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Di quelli che, durante il discorso dei Rioni di Roma si dicono, tra cento e più tempi di gradi, di quello solo se ne vede la forma, e quello ancora andava a terra, se con buon fine al fervore dei primi Cristiani non si oppose all'Honorio Imperatore, acciocché da quà si conoscesse per buon modo al servore di quei primi tempi. La Solennità del Rione di Colonna, il Mercoledì 6 Maggio, nella Domenica di Pasqua, si festeggia con il libero 6 e il 6 del mese, nelle Terme di Agrippina. La Ciaccola che ignifica. Timonata rale. Risulta che di Roma. Delle Chiese di Roma è per nostra consolazione, quanta sia stata la forza della predicazione Evangelica, e quanto pienamente la fede del nostro Cristo nei petti umani contro di tutti gli idoli, poiché da tanti templi d'idolatria famosissimi nel mondo, questo solo resta a Roma, come un trofeo levato dalle mani dei nemici, e in questo teatro di tutto il mondo, qual è Roma, si conserva intero, come si vede.
Sentinella
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" It was a question now," said they, " no longer in re-
gard to the debts of La Vallette merely, but as to the prin-
ciple of who had to pay, in the case of an individual member of
the Society of Jesus incurring debts, and this all-important
• question could only be decided by the highest law-court of
France."
The High Council of the King acknowledged this to be so, and
iby a decree of J 7th August 1760 placed the matters in question
before the High Court of Parliament of Paris, as the highest
law tribunal of the whole of France. A scrupulous investiga-
tion was then commenced, the Procurator- General, Monsieur
Le Pelletier du San Fargeau, being a man of the highest rectitude,
>who took into consideration all the proofs, for and against,
three times before coming to a decision. First of all, he was
desirous of accurately informing himself as to what law regu-
438 HISTORY OF THE JESUITS.
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En effet, depuis le premier jour, les recettes se maintiennent au maximum, il en sera même ce soir mercredi et jours suivants. Ajoutons que la scène Aviation, remaniée par des auteurs, a été révisée, vu son succès. «LE SOLDAT DE CHOCOLAT» AUX VARIÉTÉS est une affluence considérable qui se prépare à chaque représentation du Soldat de Chocolat. L'norme succès et la vogue toujours de cette pièce s'expliquent par sa musique adorable, sa précieuse gaieté et aussi parce que tout en amusant et vu charmant, elle fut être vue et entendue par tout le monde, le Soldat de Chocolat ne saurait recevoir une plus participative interprétation qu'avec la diversité Van Loo, dont la voix est aimable de pureté et de souplesse, Mmes Morin et Van Riel, MM. Cocugond, Villat, Coulomb, Véder qui ne cesse de se répéter fort applaudiés. Le spectacle commence trèè exactement à 8 h. La reprise de ce soir est certainement la continuation du triomphe de l'opérette TameuïO d'Oscar Strauss aux Variétés-Ensas. ELDORADO-CASINO à 9 h. 59. Le Chemin de l'Amour, pièce dramatique en 10 actes, de M. Jean Lemichepin, avec le conclut du Petit Provençal du 10 avril. ELLE S'OFFRE À L'AMOUR PREMIÈRE PARTIE— «Pas plus, fit Hercule bey, lourdement jugeard, que vous ne l'étiez sur la renaissance de sa situation... industrielle et financière ?... Bien que l'importance que se donnait là Hercule bey lui soit moins qu'agréable à Hossein, celui-ci sourit encore gentiment et prit instamment avec quelque effusion la main de l'Arménien.— Vous avez été, reconnut-il, tout à fait un ami pour moi !— Et j'avais quelque mérite, je crois ! écria le gros homme, dont les yeux s'éclairèrent soudain d'un éclat singulier : mon père m'avait refusé jadis du crédit, lors que je lui apportais, cependant, des garanties de premier ordre !... Il me haïssait, je ne sais pourquoi !... et il vous voit fait partager son animosité contre lui, son dédain !... tandis que je n'ai pas essayé de vous admirer dès votre jeunesse ! je sentais en vous la nouvelle école orientale où fussent arméniens ou grecs, nos cerveaux fruits de tant de siècles d'assouplissement, où telle intelligence s'est si terriblement reposée, doivent commander aujourd'hui à tous ces Francs, qui veulent la prétention de mettre notre beau monde en coupe réglée !...
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No osan chistar. Ne My qmdem faceré ándente Erasm. Dícese de
aquellos ^ue de miedo no se atreven á despegar la boca.
Varron dice , que el verbo i/íusso , as , que significa hablar
cptre dientes , se deriva de la letra M7, lo qual solamente
proriuhdani los mudos , y así no se puede encarecer nías el
silencio de los que no se atreven á hablar de miedo, vel Vicú
non audenf hiseere. Plutareh.
No os comerá. Suele decirse esto quando alguno teme llegar á
algún túmulo , ó sepulcro , donde haya algún cuerpo muer-
to. Mortui non mordent. Erasm.
No os corren Moros. Decimos esto quando vemos a alguno in-
quieto y desasosegado sin proposito , nj causa. ISon incedis per
ignem. Erasm. ex Theocrito dicente : Ne pr opera , ñeque enm
igne calescis. Con este adagio se significa que alguno se da mas
priesa en algún negocio de lo que es justo, vel Nema nos
iñsequitur. Plat. Véase : No va nadie , &c.
No os espantéis que las' muchas NavicUdes han hecho esto. Sole^
Y LATINOS «LOSADOS. 155
«IOS decir esto i algunos viejos que se espantan de que so-
lian hacer grandes hazañas j y ya no las pueden hacer. Sig«i
nifícamosles j que el tiempo gasu y consume las cosas. V$^ '
ríat UfUem kngMm temfus. £rasm. Véase : Todo Jo consume
d tiempo , vel Otmem delet stHMUs v'm corpris. Menander^'
Véase ¿ Perdido ha la rucia , &c.
No os hagáis de nuevas. Ordinariamente decimos esto -i los que
fingen no saber algún negocio que con ellos traumos, siénao*
les muy notorio y manii^sto. Tuum tibi narro somnium. Erasm. -
id est. Narro tihiy quod ifseme rectius nostL Cucmote lo que sa«
bes mas bien que yo.
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Irgend ein Verschulden des Beamten an dem Unfall ist durch Klosters noch geraume Zeit in Anspruch nehmen dürfte, so kann die Rückkehr der Dominikaner erst in einigen Monaten erfolgen. Aus ausgeschlossen. * Düsseldorf, Dominikanerorden, so 1. Sept. Wie dem Franziskus ist auch jetzt dem Dominikanerorden die Wiedererrichtung ihrer hiesigen Niederlassung in der Thalstraße von der Regierung zum Zwecke der Aushilfe in der Seelsorge gestattet worden. Da die Instandsetzung der bisher vermieteten Räume des Handelsnachrichten. Neuss, 1. Sept. Weizen per 100 kg 1. Qual. 16,30, 2. Qual. 15,60 Mk.; Roggen neuer per 100 kg 1. Qual. 12,20, 2. Qual. 11,40, 3. Qual. 10,00 Mk.; Wintergerste per 100 kg 11,50 Mk.; Sommergerste per 100 kg 10,00 Mk.; Buchweizen per 100 kg 10,00 Mk.; Hafer neuer per 100 kg 12,00 Mk.; Avocado (Rubsen) per 100 kg 20,50 Mk.; Raps per 100 kg 22,00 Mk.; Kartoffeln per 100 kg 7,00 Mk.; Heu per 500 kg 36,00 Mk.; Stroh per 500 kg 25,00 Mk.; Rübenöl per 100 kg in Partien von 100 Ctr. 49,00 Mk.; Rübenöl per 100 kg fassweise 50,00 Mk.; gereinigtes Öl per 100 kg 3 Mk. höher als Rübenöl; Presskuchen per 1000 kg 113 Mr.; Berlin, 1. Sept. Fruchtbörse. Weizen Sept. = Okt. 150,00 Okt. = Nov. 152,50 Mk. Gek. 81 000 Centr. Roggen Sept = Okt. 114,75, Okt. = Nov. 116,75 M. Gek. 69 000 Centr. Hafer Sept. = Okt. 92,50, Okt. = Nov. 94,50 Mk. Gek. 56 000 Centr. Rübenöl vorrätig, mit Fass 44,20, ohne Fass 43,80, Sept. = Okt. 44,10, Okt. = Nov. 44,70 Mk. Gek. 8 000 Centr. Spiritus vorrätig, 68,00, Sept. 67,70, Nov. = Dec. 101,00 Mk. Gek. 3 050 000 I. Petroleum vorrätig, 21,00, Sept. = Okt. 20,90 Mk. Gek. 63 000 Centr. Posen, 1. Sept. Fruchtbörse. Spiritus vorrätig ohne Fass 67,00, Sept. 66,50 Mk. Gek. 400 000 Ltr. Stettin, 1. Sept. Fruchtbörse. Weizen Sept. = Okt. 153,50, Nov. = Dec. 157,50, April = Mai 167,50 M. Roggen Sept. = Okt. 113,00, Okt. = Nov. 114,00, Nov. = Dec. 117,00, April = Mai 126,00 Mk. Rübenöl, Sept. Okt. 45,00, April = Mai 47,00 Mk. Spiritus vorr.
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En dehors des œuvres destinées à l'enseignement officiel, il en existe quelques autres qui ne sont pas indiquées dans les Statuts du Gouvernement à propos des examens : ainsi un important vocabulaire mandchou-coréen, qui ne porte aucune date, et plusieurs collections de dialogues en chinois parlé, presque toutes récentes. Il faut encore noter les dictionnaires chinois avec prononciation coréenne, qui sont presque tous du XVIIIe siècle ; quelques-uns seulement remontent au XVIIe siècle. Parmi les ouvrages employés pour l'éducation, un petit nombre sont des vocabulaires, donnant à côté de chaque caractère la prononciation coréenne et le sens en coréen ; les ouvrages de morale élémentaire que l'on met dans les mains des enfants, joignent parfois au texte chinois une traduction en langue vulgaire.
Enfin la langue sanscrite a été aussi étudiée en Corée, mais seulement par les bonzes, il existe quelques textes bouddhiques en sanscrit, chinois et coréen ; une méthode pour apprendre la langue sacrée, datée de 1777 et paraissant fort claire, se trouvait en 1891 dans une bonzerie voisine de Séoul ; je n'ai malheureusement pas eu le loisir de l'examiner en détail et les bonzes ont refusé de me la céder.
VI.
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MEIJER Een verhaal uit den tijd van den grooten trek der Boeren Even wacht de boer, dan gaat hij voort: „Behalve het losmaken van onze mooie plaats, zou alles verder zeer gemakkelijk zijn, als we slechts naar Boschberg trokken ' om daar nieuwen grond te koopen. Maar ik 1 acht het mijn plicht jullie te zeggen, dat ( er groote kans bestaat, dat we daar slechts ' heel kort zullen vertoeven. Honderden van onze Afrikaners, die het Engelsche bestuur moe zijn, hebben besloten het binnenland in te trekken. Gaat dit door, dan sluiten ik, je moeder en Herklas ons bij dien „trek” aan. En als ik neef Paul goed versta, dan gaat die ook met ons op trek, want die zoekt immers avonturen ? En ik ben bang, dat we daarvan meer dan genoeg zullen mee maken. Ik kan dus veilig zeggen, dat Paul ook meegaat. Wat jullie, Jan, Hester en Piet betreft, jullie zijn meerderjarig. Wen- schen jullie daar achter te blijven en grond te verkrijgen, dan help ik jullie daar gaarne aan. Ik denk, dat je daar binnen enkele maanden de beste plaatsen voor een prikje zult kunnen koopen. En daar jullie vee volop hebben, zal ik héél gaarne met het geld helpen, dat ik nu voor „Leliefontein” heb ontvangen....” Oom Laurens wacht wat, steekt, alsof hij zich verlicht voelt, zijn pijp weer op en kijkt naar zijn oudste kinderen. Wat Paul betreft, die voelt zich zóó verheugd bij het vooruitzicht op een langen trek naar het binnenland, dat alles in hem zingt en jubelt. Oom Laurens gaat voort: „Neen, jullie behoeven nog niet te beslissen. We hebben nog maanden lang tijd, en vooral op onzen tocht van Swellendam naar Boschberg, die wel een kleine maand zal duren, is er ge legenheid genoeg, om alles te bespreken. We trekken einde April. Jij, Jan, kunt met je vrouw den blauwen wagen nemen; Her klas en Paul nemen den groenen voor hun rekening, terwijl Piet den wagen van ons, den „Blomwagen” zal drijven. We beginnen zoo spoedig mogelijk met oppak ken en zenden ons vee in „klompe” voor uit, zoodat we genoeg weiveld vinden als we volgen. Nu nog iets, maar dat is een geheim. Het Engelsche Gouvernement wenscht den trek te verhinderen en belem mert daartoe zooveel mogelijk den ver koop van geweren en kruit.
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Jest rzeczą ciekawą, że paar do tej hi
storji dodaje, że fakty takie zdarzają się
dosyć czesto. Ten sam sędzia z Bedford roz
patrywał cztery dalsze sprawy, podobne do
powyższej. i
Sprawozdanie to bardzo trafnie charak
toryzuje stosunki panujące w Anglji. Jest
to także charakterystycznym komentarzem
dla zakłamanych twierdzeń angielskiej
propagandy, która podaje. że Anglja broni
cały Świat przed barbarzyństwem i upad
kiem kultury. Oto dowód. że cała ta wojna
angielska nie jest niczem innem, jak tylko
wojną kapitalizmu, który wysyła angiel
skiego robotnika na front niemiecki, a rów.
nocześnie nie troszczy się o ludność pozo
stałą w kraju.
ministrem spraw zagranicznych Gafencu,
ministrem eprawiedliwości Jamandi I gu
bernatorem Banku Narodowego, oraz mi
nistrem skarbu Konstantinescu. Ci ostatni
prawdopodobnie wejdą do tworzącego slę
gabinetu. Jamandi, Konstantinescu i Ta
tarescu należą do byłej partji liberalnej
robót przymusowych. Wobec katastrofal
nych warunków zdrowotnych oraz nie
ludzkiego ich traktowania przez nadzor
ców angielskich, wielu z pośród tubylców
nie wróci na wolność.
Inną metodą jest zadłużanie tubylców.
Sprzedaje się im różne drobnostki za wy
soka cenę, w związku z czem popadają oni
w zależność angielskiego kapitalizmu.
obawie zaostrzenia się tych fatalnych
stosunków, rozpoczęła się w związku z o0
głoszeniem nowego podatku wojennego.
pole Franke, która dyrdala za matką eta
rając się jej nadążyć, a żjej bose pięty dud
nily po ścieżce. Chodziły często nad sta
wy, gdyż na groblacł zawsze jakie takie
zielsko się znachodziło, albo też na dół za
Gzworuki, gdzie wśród młodych :bojaków
były prawdziwe plantacje dorodnych po
krzyw. Franka wyszukiwała je. a potem
odsuwała się na box i patrzała z podziwem
jak matka sierpem żęła to piękące zielsko
1 kładła je do płachty.
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Sept. 29.
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À nos amis hellènes, les plus gros bénéficiaires de cette guerre de dix mois, de se méfier des rancœurs bulgares et de la déception autrichienne ! Il s’agit pour chacun, aujourd’hui, de garder ce qu’il a pris aux Turcs. La paix, la joute de sorts et les armoiries sculptées au-dessus de la porte rappelaient d’ailleurs aux passants l’origine de cette confortable demeure. Marchand, devançant son maître, s’était rendu immédiatement à Saint-Germain pour faire une reconnaissance préalable et préparer la surveillance de la maison louée par la dame Avimio. Son cœur battait lorsqu’il passa devant le haut portail vert de cette maison où, dans quelques jours, se jouerait peut-être le dernier acte, l’acte définitif du drame commencé dans la lugubre nuit de la Peste. Il cherchait une chambre à louer : ce faisant, il explora tous les alentours du clos qui s’ouvrait au numéro 2 de la rue Voltaire : il n’y avait d’autre sortie qu’un portail vert. De tous côtés, la propriété était entourée de murs de quatre à cinq mètres de hauteur. Il fut d’abord vivement déçu de ne trouver aucune chambre à louer en face de l’entrée armoriée, contrairement à ce qu’il espérait, tout d’abord. Néanmoins, à force de chercher, il trouva mieux c’était au deuxième étage d’une maison assez éloignée, une petite pièce dont la fenêtre avait vue sur l’intérieur du clos. Avec de bonnes jumelles on pourrait, de là, suivre parfaitement toute la scène, et le jeune homme se faisait fort de reconnaître Mme Arni, qui devait paraître dans le jardin. C’est donc dans cette chambre que le 11 mars dit le mutin, Juseph Marrinmel, Mira, Montet et Schwenborg étaient installés, aux guets derrière les stores baissés, attendant impatiemment l’arrivée de la messagère chargée par Mme de Saint-Geais de porter les cent francs exigés pour la rançon de son fils qui commença à voir s’ouvrir et se refermer plus de traquenards que la guerre qui finit. PIERRE GIFFARD. La Folie Guérie par le Radium On nous télégraphie de Paris, 12 août : Une communication des plus importantes a été faite, au congrès international de médecine de Londres, par les docteurs Marchand, Dominici, Chéron et le professeur G. Petit, d’Alfort, relative au traitement de la folie aiguë par le radium.
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Jedno jeszcze słówko pod adresem wyko
nawców i komitetu. Koncert o tak artystycznym
i artystycznie wykonanym programie, koncert,
w którym biorą udział prawie wyłącznie facho
we siły artystyczne, powinien też w zupełności
zachować zwyczaje przyjęte w Świecie muzy
cznym. Do tych należy trzymanie się programu.
Dla publiczności nie istnieje racyonalny powód,
któryby usprawiedliwiał dowolne przerzneanie
numerów programu, a w poszczególnych nume
rach jeszcze pojedynczych ustępów. A nie ma
chyba wątpliwości, że stanowi to dla publiczno
ści, nie oryentującej się tak łatwo i szybko, jak
muzycy, wielkie utrudnienie w rozumieniu po
danych jej utworów.
Z koncertu możliwem jeszcze było zdążyć
na operę, gdzie rolę Anny na drugiem przedsta
wieniu Blodeka „W studni* oddała p. Łopa
tyńska. Głos artystki. którą raz dopiero mie
liśmy sposobność słyszeć w operetce, brzmiał
pełno i sympatycznie, spiewackie wykonanie było
poprawne. Szkoda tylko, że p. Łopatyńska nie
zdołała wnieść w kreacyę tę tego żywiołu, któ
ry partyę tę charakteryzuje w pierwszym rzę
dzie : peezyi i uczucia. SR
W teatrze Grymnase przedstawiono z
ogromnem powodzeniem komedyę Alfreda Capus
p. t.: „La bourse ou la vie“. Sztuka ma być
bardzo wesuła i pełna humoru Dyalog tryska
dowcipem i werwą.
Dziceiom na pamiątkę przygotowali
wydawcy „Wiązankę z dziejów Polski“, ozdo
bioną portretami królów według rysunków Ale
ksandra Lessera. Jest to spuścizna po $. p. Sta
nisławie Jachowiczu, a złożyły się na nią obra
zki historyczne, kreślone już drżącą ręką starca,
na krótki czas przed zgonem. Przeżywszy dłu
gie lata z myślą o ukochanych dziatkach pol
skich, poświęcając im każde uderzenie serca, Ś. p.
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Il possesso di un simile scritto non prova dunque di più di quanto proverebbe se fosse stato intercettato ad un ufficio di posta. Tutta la forza, che questa circostanza può avere, verrà dagli indizi che lo scritto può offrire, dalle precauzioni prese per custodirlo, dalle qualità personali dell’autore, in una parola, da tutte le prove naturalmente legate a quella, quando il prevenuto è colpevole. Supponiamo che lo scritto incolpante non venga da persona che abbia il carattere di complice, ma di accusatore: "Voi vi siete condotto nel tal affare, con una insigne mala fede: il vostro padrone vi ha rimproverato in mia presenza per delle infedeltà, ecc." Se in luogo di essere scritto, un discorso di simile tenore gli fosse stato pronunciato a voce, avrebbe potuto operare contro di lui con una gran forza. Perché? Perché le due parti, l’accusato, e l’accusatore, essendo l’una all’altra presenti, questa circostanza dà alluna il motivo di smentire una imputazione falsa, e l’occasione di farlo. Il silenzio in simili casi è considerato come una tacita confessione, quantunque vi siano ancora molte riserve a farsi prima di trarne una tale e così assoluta conclusione. Ma per rapporto ad uno scritto incolpante, le parti non essendo presenti, e l’occasione di una contraddizione immediata; non avendo più.
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Veut-on savoir comme on écrit l'histoire ? Un auteur nous dit que « le poète du sentiment, le modèle de Racine, Euripide, naquit à Salamine environ 480 ans avant J.-C. Il cultiva d'abord la peinture avec un beaucoup de succès. C'est lui qui, dans le tableau d'Iphigénie, couvrit d'un voile la douleur d'Agamemnon. De quatre-vingt-douze tragédies qu'il a composées, il nous en reste vingt. Quinze furent couronnées dans les jeux solennels de la Grèce. Il méritait le nom de poète philosophe. Il était lié de la plus tendre amitié avec Sophocle. Il mourut d'une manière tragique : des chiens qui gardaient le temple de Diane, lâchés par quelque poète jaloux, se jetèrent sur lui et le déchirèrent en morceaux. » Le Dictionnaire de l'Encyclopédie méthodique, à l'article de ce poète grec, exprime « qu'il était rival et ennemi de Sophocle; que de soixante-quinze pièces qu'il a composées, il ne nous en reste que dix-neuf ; que l'on trouve qu'Euripide déclamait beaucoup contre les femmes dans ses tragédies, et que c'est une preuve qu'il les aimait beaucoup. »
Je me souviens qu'en suivant les cours du Collège de France, l'un des professeurs, membre de l'Institut, l'abbé Sélis, disait aux auditeurs, en parlant de la Pucelle de Voltaire : « C'est un ouvrage que je n'ose nommer, mais le génie et le bon goût l'auront toujours dans les mains. » Frédéric le Grand, dans son Éloge de Voltaire, dit aussi de la Pucelle que « ce poème n'est point une imitation du Roland furieux; la fable, le merveilleux, les épisodes, tout y est original, tout y respire la gaieté d'une imagination brillante. » Condorcet, dans la Vie de Voltaire, annonce que la Pucelle est un poème qui « réunit la licence et la philosophie, où la vérité prend le masque d'une gaieté satirique et voluptueuse. »
Ce triple sentiment va recevoir encore un nouveau poids de l'autorité d'un grand critique dans les lignes suivantes; c'est La Harpe, qui les consacre à l’Éloge de Voltaire. Lecteur, écoutez bien; pesez, je vous prie, chaque mot, car tout est fort précieux en un tel sujet.
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Wants Tariff on Farm Products
El Paso, Texas—(By A. P.—Tariff duty on farm products at the earliest possible date increased credits, the early adoption of legislation pending in congress for the Appointment of a commission to supervise the livestock industry, industry, was urged as a necessary step for the early rehabilitation of the livestock industry by John B. Kendrick, of Sheridan, Wyoming, president of the American National Livestock Association in addressing the association's annual convention which opened here today.
For Secretary of Agriculture Henry C. Wallace, of Des Moines, Iowa, was endorsed for secretary of agriculture by the American National Livestock Association convention today after a contest on the floor. Charges were made that the packers were contesting his appointment.
(Wallace is publisher of Wallace's Farmers, one of the well-known agricultural publications of the middle west.—Ed.)
EXPERIENCED MILITARY MAN COMES TO ASSIST COLONEL CHRISTIAN AT THE U.S.
Major Ralph C. Harrison, formerly of the 71st artillery and recently on duty at Coe college, Cedar Rapids, Iowa, has arrived in Moscow to take the position of assistant professor of military science and tactics at the University of Idaho.
Major Harrison, whose home is in California, and who was graduated from Leland Stanford in 1905, was then 25 months with murder and suicide.
The body of Andrew Evans, 45 years old, said to be a wealthy contractor, and Miss Irene Adams, aged 25, both Fresno were found in an area. Apart from the incident, both were participants in the tragedy. Both were involved in the incident, having commanded the third battalion of that organization.
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5 Et quant il furent descomfit si sen reuindrent & disoient que moult auoient
perdu [c 95 c] . & quil neussent pas ceste perte eue se vertiger i eust este . Ensi
remest li enfes si ne sauoit mie si bien desfendre sa terre com mestier li fust . si
lacuellierent li plusor en hei & disent quil nel soufferroient plus ,
(13) T Ors vindrent a vertiger si li distrent . sire nous somes sans roy & sans veniger is asked to be
10 -L/ signor car il ne uaut riens pour dieu soies rois & si nous gouuernes & ^'
maintenes . Car il nest nus hons en ceste terre qui si bien le puisse estre ne
ne doie comme vous . Et il respont ie ne le puis pas estre . ne ne doi tant
comme mes sires uiue . & cil dient quil vauroient bien quil fust mors . Et
uertiger lor dist sil estoit mors & vous & li autre uolies que ie fuisse rois ie He declines, whilst the
IS le seroie volentiers mais tant comme il viue ne le pus iou estre ne ne doi . Cil
oirent la parole uertiger si i penserent ce quil vaudrent . si prinsent congie
alui si sen alerent en lor pais . & quant il i furent uenu si manderent de
lor amis & lor conterent comment il orent parle a uertiger & le respons que
il lor fist . Et quant cil loirent si distrent cest le miex que nous ochions le roy
20 & lors sera uertiger rois des que nous laurons [col. d] ochis . si fera mais a
tous iors quanques nous uoldrons , & ensi porrons nous estre signor de lui.
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Beethoven, 5te. - 2.
- 3. - do. - 4. - 1. Erste Salle des zweiten Concertes von L. V. Beethoven. - 5
- 4. Im ersten Salle des dritten Concertes von L. van Beethoven. - 6
Digitized by Google
Nr. 51. 27. Dezember 1865. - 878
L. V.
M:
- h.
- fl.
• 10.
- 11.
- 12.
• Alle neuigen
im Buch. -
de 5te Roodo des
Ersten Concertes von
L.V. Beethoven. Gdur, -
nach dem Wiener Jlallkonzert
Op. 61 nr. Klavierkonzert von L. van
Beethoven. Ddur. -
1. Im ersten Salon des
Pianoforte - Konzerts von
T. W. Alioni. Ddur. -
2. Roodo - daselbst. -
D moll. -
3. Extratitelle Instrumentalstücke von L. v. Beethoven,
BMOlt, 6. Zt, Op. 12. La robuste. -
4. L. van Beethoven. Symphonie Nr. 9. -
5. Johann Strauss. Quadrille. -
6. Franz Burgmüller, Op. 24. Schönbrunn. -
7. Carl Berg, Op. 5. Suite in 4 Sätzen.
Chausson, Fr., Scherzo pour le Pianoforte
aus der Sonate Nr. 5. -
8. Ernst, A., Op. 5. Elegie für Klavier von Robert .
9. James A. Calender. Septuagesima. -
10. Lundi, Valse. -
11. Harkness, Air Varie. -
12. Monda, Paraphrase. -
13. Lundi, Brilliant. -
14. Dimanche, Valse. -
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à première réquisition. Les envoyés en possession provisoire reçoivent également les biens de l'absent pour les garder, et à la charge de les rendre à qui de droit, dès qu'ils en seront requis. Sous ce double point de vue, la possession provisoire peut être assimilée au dépôt. Mais, sous d'autres rapports, elle en diffère essentiellement. Ainsi :
1° La possession provisoire comprend tous les biens de l'absent, meubles ou immeubles; le dépôt proprement dit ne s'applique qu'aux meubles (art. 4918). — 2° Elle est salariée (V. le n° 432) ; le dépôt est essentiellement gratuit (art. 1917). — 3° Elle confère le droit d'administrer les biens qu'elle a pour objet, et, par suite, le pouvoir de faire au nom de l'absent certains actes qui l'obligent, par exemple, des aliénations conservatoires ; le dépôt n'impose que des devoirs : son effet se borne à obliger le dépositaire à garder la chose et à la rendre en nature.
— Pour tout dire, en un mot, les envoyés en possession provisoire ne sont point propriétaires des biens qu'ils possèdent; ils en sont simplement les gardiens chargés de les administrer, sous l'obligation d'en rendre compte, mais sous la réserve à leur profit d'une forte portion des fruits qu'ils perçoivent. La qualification qui leur convient est, par conséquent, complexe. Je les appelle : des dépositaires, administrateurs salariés, et comptables.
Les actes qu'ils font en qualité d'administrateurs comptables et dans la limite des pouvoirs que cette qualité comporte, devront être respectés par l'absent, en cas qu'il revienne ou qu'il donne de ses nouvelles.
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"Reichsanzeiger der Preußischen Staatsanzeiger" erscheint an jedem Wochentag abends in einer Vollausgabe und in einer Ausgabe - Münzform der "Börsenblätter" mit Beilagen. Der Reichsanzeiger - der offizielle deutsche Handelsregister - enthält Gesetze, Rechtsverordnungen, Amtlichen Veröffentlichungen, Presseerklärungen und Unternehmensmitteilungen. Soweit der Reichsanzeiger als offizielles Organ bezeichnet worden ist, bezieht sich das auf die Vollausgabe für den Raum einer Zeile 35 mm breit. Bezugspreis der Börsenblätter durch die Post monatlich 2,00 K zuzüglich Postzuschläge, für Selbstabholer bel der Anzeigenstelle monatlich 1,00 K. Alle Börsenblätter ohne Beilage, einschließlich des Portos, sind auf Anforderung durch die Post monatlich 2,00 K zuzüglich Postzuschläge, für Selbstabholer ist darin enthalten, welche Worte etwa durch Fettbruch (einmal unter der Anzeigenstelle monatlich 1,00 K. Alle Postanstalten nehmen an. In Berlin für Selbstabholer die Anzeigenstelle Wilhelmstraße 32. Termin der "Staatsanzeiger" Nr. 35 Inhalt des amtlichen Teiles Deutsches Reich 25 Die Indexziffer der Großhandelspreise im Monatsdurchschnitt Januar 1943. Wertung der Anweisung Nr. 61 der Wirtschaftsgruppe Werkstoffverarbeitung und verwandte Eisenindustriezweige als Bewirtschaftungsstelle des Reichsbevollmächtigten für leichte Eisenzeugnisse über die Herstellung von Drahtseilen und "Drahtlitzen" vom 25. Januar 1943, in Nr. 26. Kriegswirtschaftliche Disziplin bewährt sich auch im Kleinen! Unserer Aufforderung, zur Papierersparnis von der Vollausgabe des Deutschen Reichsanzeigers und Preußischen Staatsanzeigers auf die neu geschaffene gekürzte Ausgabe überzuweisen, haben die Bezieher in erfreulich starkem Maße gefolgt. Unter den gegenwärtigen Beziehern der Vollausgabe sind jedoch noch immer nicht wenige, für deren Bedürfnisse die gekürzte Ausgabe (ohne Zentralhandelsregister- und Börsenbeilage) ausreicht. Es wird erwartet, dass auch diese Bezieher, die es versäumt haben, die Umstellung vorzunehmen, sich in Quartal für die gekürzte Ausgabe entscheiden. Postbezieher bitten, den Wechsel auf die gekürzte Ausgabe (Preis 8,20,— monatlich zuzüglich Postzuschläge) beim Postzusteller für die demnächste beginnende Einziehung der Bezugsrechnung März.
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nurn. i .nouiffime Homobon.de Bonis in confidtation .(y rcfpenfis qua-
fiionum morAl.p. i .refip. 1 6.
Verum fi per ignorantiam , incogitantiam , fcu inaducrtenti.im
non fecerit illam, peccare mortaliter non videtur , cum bona fide
legem humanam tranfgrcdicns mortale peccatum non committat,
cenf. i. de/ummaTrinit. i» ant/q. alihconf. iz.de iureiur.
in nouis in fioribua dccif.fuh illo tit. de fumma Trinit. decifi. j.
Flamin. Parif. de rcfign.it, benefic, lib. i o. quafl, numero 8. cum feqq.
Azox.dicfpart.z.lib.j .cap.z. quafi. 1. Profp. de Aiiguftitio in addit. .ul
^unrant. in fumota Bullari ] , verbo beneficiorum pojfefiio litt. B. verf
inter alia, Molin. de luHit. tra 5 f. 4. dfiput. 7 1 . numero 8. Squillantc
diff.part.i.niimero ioo.SMXch.d.lib. ^.cap. 1 numero j. Anton.Ric-
ciull.iatc diftingucns dict.Ub. t.cap. ij. numere 43. Ego ipfe di£l. al~
leg. 61. numero zg.ic mccitatoinillolocoHomobon.de Bonis de
examine eecleftracf.x ^.c.^.q i^.rejol.i.dr i.cf d.p.i.refip.^B.
Vitra peccatum incurrit quoque fruffuum amilfioncm qui intra iz
duorum menfium (patium a die captx pofleflionis Canonicatus
numerandum Fidei profefiionem noncmifcritjvt idc Concil. Trid.
</•(■<1^.1 i-flatuit, quod quidem intelligitur de fructibus decuriis poli
lapfum duorum mcnlium,non vero de dccurfis in ipfis duobus mc-
fibuSjVt cum Nicol.Garc.r/. p.ir. 3 . cap. 3 . num. 3 9. refoluo d.atleg 61,
num. 13. Et profe/fio exinde fafta non proficit ad recuperandum 13
fru£lus amillos pofl diftos duos mcnfcs,fed tantum ad quxrcndum
futuros, fecundum N.iu.,V conf.q.alias eonf.\\.n,^.V\zxx\l^tix\I.d. lib. 10.
q.*).num.iz.ef' /e^.Nicol.Garc.i^.f.3.».30.Ricciul.</.f. 1 3.»-39. Squill.
d.par.i.num.<jj .'E'go ipfe dict.alleg,Si.n.zi .Rot. in Oueten. mercedis ii.
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Digitale da VJOOQIC
DIZIONARIO STORICO D'ITALIA; ABT. I, N. 125
gare, porgeano più bella mostra di te, perchè usciti dalla
mente di un filosofo. Se non che il rivolgimento filosofico di
questo secolo in Allemagna non poteva finire per modo più solenne più grave da far tornare a coscienza le menti più disdegnose. Era comune assioma che col niente niente può avvenire; e questo (disformazione il vero suo significato) si contrappose in ogni tempo al dogma della creazione. Allora la filosofia ortodossa tolse a dimostrare come la creazione non contraddica all'intera di quel vero, imperocché non era col nulla che Iddio creava, quasi di quello usasse come materia, o che nel nulla si contenesse virtù ad essere. Che infine la creazione doveva essere un mistero, quando a comprendere un atto eterno ed assoluto faceva d'uopo d'una mente infinita. Ma che nondimeno essa diveniva un vero razionale, come quella che solo poteva costituire la relazione che è tra Dio ed il mondo senza avvolgere la "nostra mente in assurdi inconcepibili. Che lo svolgimento panteistico, oltre che nulla ci disvela del problema filosofico, non poteva aver luogo; perchè l'emanazione porta o che la sostanza debba aumentare, se si amplifica senza perdere nulla, o scemare, se si spande per certa maniera cacciando da sé alcuna cosa;
e Ogni cosa o fa parte della efficienza assoluta o procede da lei per atto causale. E però tutto quello che principia ad esistere o fa parte di essa efficienza o avviene per atto causale di lei... Ma far parte non può, perché il finito e l'infinito, l'efficiente e il deficienti ripugna che coincidano in una essenza medesima; e quello che principia riesce finito nella durazione almeno del proprio essere. Dire che i finiti risolvono in una apparenza e in un modo di concepire intellettuale, no al vero si appone né giova a poterli introdurre nell'infinito. Imperciocché in Dio nulla è fenomenico e nulla è vano... Emanare dalla sostenza infinita nemmeno possono; avvegnaché nella sostenza infinita non c'è luogo aumento o decremento, dilatazione o diminuzione d'alcuna forma.
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Comme la plupart des vieilles gens, la comtesse était assise dans son fauteuil dans l'embrasure d'une fenêtre et congédiait ses femmes. On éteignit les bougies, et la chambre ne fut plus éclairée que par la lampe qui brûlait devant les saintes images. La comtesse, toute jaune, toute ratatinée, les lèvres pendantes, se balançait doucement à droite et à gauche. Dans ses yeux ternes on lisait l’absence de la pensée; et en la regardant se balancer ainsi, on eût dit qu'elle ne se mouvait pas par l’action de la volonté, mais par quelque mécanisme secret. Tout à coup son visage de mort changea d’expression. Les lèvres cessèrent de trembler, les yeux s’animèrent. Devant la comtesse, un inconnu venait de paraître : c'était Hermann. N’ayez pas peur, madame, dit Hermann, à voix basse, mais en accentuant bien ses mots. Pour l'amour de Dieu, n’ayez pas peur. Je ne veux pas vous faire le moindre mal. Au contraire, c’est une grâce que je viens implorer de vous. La vieille le regardait en silence, comme si elle ne comprenait pas. Il crut que elle était sourde, et, se penchant à son oreille, il répéta son exorcisme. La comtesse continua à garder le silence. — Vous pouvez, continua Hermann, assurer le bonheur de toute ma vie, et sans qu’il vous en coûte rien... Je sais que vous pouvez me dire trois cartes qui... Hermann s’arrêta. La comtesse comprit sans doute ce qu’on voulait d'elle ; peut-être cherchait-elle une réponse. Elle dit : — C’était une plaisanterie... je vous le jure, une plaisanterie. — Non, madame, répliqua Hermann d’un ton de colère. Souvenez-vous de Tchaplitzki, que vous fit gagner plaisir.
Les décrets du 6 avril 1886 sur les cadres de la gendarmerie. Par décret du 6 avril 1886, le général Boulanger avait supprimé un certain nombre de commandants de gendarmerie dans les départements. L’expertise faite depuis cette époque ayant démontré les inconvénients de la mesure; le général Logerot a décidé le rétablissement de ces emplois de commandant. Tel est l'objet du décret signé ce matin par M. Carnot. Il résultera de ce rétablissement d'emplois une augmentation de 50.000 fr., mais celle-ci sera couverte par une économie correspondante opérée sur le même service. ... Le général Logerot a également fait signer un décret par lequel le général de brigade Boussenard, ancien chef d’état-major du général Saussier.
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'I really advise nothing of the kind, mon cher,' was the
reply ; ' I have already cautioned you against that abrupt plain
speaking of yours ; you should divest yourself of that rustic
habit. You could scarcely sin more deeply against good taste
and good breeding than to go to la belle Coverdale and bring
a railing accusation against her husband, nor could you divine
AND ALL THAT CAME OF IT 273
a plan more certain to frustrate your hopes and wishes ; but if,
grieving over her misplaced confidence, you philanthropically
incline to hint to her that he is scarcely the immaculate ascetic
her imagination depicts, c'est tout autre chose/ and now you
must excuse me ; ' and as he spoke, he gently freed his coat-
sleeve from Lord Alfred's grasp, and regarding him with a half-
sarcastic, half-compassionate, but wholly irritating smile, he
turned and quitted the spot.
Thus left to his own reflections, which were none of the
most agreeable, Lord Alfred paused for a few moments in
indecision; then, with a hand tremulous from excitement,
again replenished his glass, tossed down the Champagne, and
returned to the dancing-room.
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C’est là le mot de l'énigme ! C'est un fait qui saute aux yeux : le capitalisme mondial qui tire les ficelles des pantins divins s’accomode facilement de l’absence de foi dans « la vie d’outre-tombe » ; mais il ne peut tolérer l’existence d’un État qui a aboli résolument à jamais la propriété privée. MM. les évêques et les curés auront beau recourir à tous les artifices de l’hypocrisie, ils auront beau en voyant aux cieux leurs prières de cachots, tout ouvrier conscient de ses intérêts de classe, saura que ce n’est pas les « chrétiens persécutés » que défend « l’Internationale Noire », mais la propriété privée, le régime capitaliste. DE GRAVES BAGARRES ONT ÉCLATÉ À MADRID POUR L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE En mercredi les restaurants n’ont pas chômé à Versailles. Toutes les tables étaient retenues par les congressistes, les journalistes et les nombreux curieux se pressaient aux abords de la salle de Congrès. Voici, dans un grand restaurant de la ville, des cuisiniers préparant en hâte un nombre respectable de poulets et de poissons pour les membres du Congrès. (Cliché Cellon, Paris) LA RELIGION OPIUM DU PEUPLE Très bonne chose pour l’éducation de nos enfants Pendant que les curés traînent de vant les tribunaux, comme dans la Lozère, où onze des leurs poursuivent l’éditeur du Cri du Peuple, ceux de la banlieue parisienne félicitent les chefs socialistes. Lisez camarades : « Les Suresnois ne sont pas hostiles à l’Église. Ils font pour la plupart, baptiser leurs enfants et enterrer religieusement leurs morts. Leur maire actuel, M. Henri Sellier, tout cartelliste qui'il est, s’inspire, à l'égard du clergé, d’une largeur de vue qui jusqu'à la sympathie. On nous assujetti qu'il serait homme à permettre même le retour des processions si les catholiques le lui demandaient. Pour nous, comment oublierons-nous que, président d’un important lotissement de la Ville de Paris, il a compris la nécessité d’établir un lieu de culte dans ces agglomérations nouvelles et s’est fait l’instigateur d’une offre importante de terrain à l’archevêché ? Quelle que l’idée que l’on ait sur la politique générale où de tels hommes se trouvent engagés, on doit reconnaître que leur intelligence des besoins moraux de la Société les sauvent du sectarisme mesquin. (Suite en 3e page.) P.
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do niej, by przeuieść pawne zawiadomienie,
wpadli po drodze w konflikt z hałastrą pi
janych robotników. Pisma doniosły jeszcze
poza tym i sceną w porcie o innym jeszcze tu
„Marya Cecylia“ wydała gwizd | muleie ulicznym, w którym kilka osób zra
niono i który dał powód do licznych are
i wzburzenie mas równie szybko, jak wybu| sztowań.
Iv.
Odwiedziny.
Ellen Hamilkar wiodła beztroski żywot
bogatej Amerykanki. Dla niej istniało jedno
tylko pytanie: jak wypełnić rozrywką nie
łożone na szofera i niezręcznego cyklistę | skończenie długie dni i noce, Nie wystar
czały jej sport i przyjęcia towarzyski:, To
dziecię szezęścia od najwcześniejszej młodo
istne męczarnie z powodu nienasyconej żądzy
użycia.
Chsrakterystyczna światło rzucił na nią
następujący wypadek. Pewien młodzieniec ze
średniego stanu. odebrał sobie życie, ponie
waż Ellen nie odwzajemniła mu miłości. Tra
giezna śmierć młodzieńca dała jej garstkę
nowych wrażeń. Podobała się dziewczynie rola
Obie ofiary nieszczęśliwego wypadku | dniów, by ich zabić. To był jeden z tych | mocarki rozstrzygającej o życiu i śmierci. No
uległy ciężkiemu stłuczeniu, Oburzony tłum ! drobnych „tricków“, które Marfie Awdotje
rzucił się na szofera i rowerzystę, wnie miały utrudnić jej czynność.
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' W*tamtyn poniedziałek wynajon nas kilku
nastu jeden kawioż, któremu akademiki miały
zrobić owacyjom. Zlazły sie i kielnery z roz
maitych bajzłów, jako rozerwa, ale nie przyszło
do nijakiej wojny, bo akademików było wien
cyj, i nadeszły kumisarze ze sułanami, więc
choć my dostali po koronie, zwąchawszy pismo
nosem dali my w ciemności dęba, czyli muwią
„cy po wojskowemu, zrobiliśmy dysenteryę z pola
walki. Mańka poszła tyż ze mną, na on feldeug,
ale mi się w ścisku zgubiła. Wróciła dopiero
rano i opowiadała, że ją zarereśtował patrol
nieprzyjacielski i odprowadziuł do główny kwa
tery u jednygo akademusa na Karmelickij, gdzie
z niej ściągnęli pertokół. Bardzo sie dziewczyna
przestraszyła, wienc na pocieszynie dali ij dwie
korony, które mi w całości oddała, a jo zapi
sołem je na fundusz bojowy partyjny, co ni
niejszym kwituje.
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It was an arrangement prompted as much by the nature of things as
by habit and tradition, that they should nominate a single head of the
league, who should also command them in war. Saxony wished that one
of the two Guelfs, either the Liineburger or the Grubenhagener, should be
chosen. There was a general wish to avoid the landgrave, who was
accounted too rash and too intimately connected with the Swiss.
But this was not practicable. The landgrave was far too powerful
and warlike to suffer himself to be excluded from the command of the
league ; and, since the defeat of the Swiss, nothing more was to be feared
from his leaning to their side.
But as the elector of Saxony also did not choose to be thrown into the
shade by the landgrave, it was agreed at the meeting at Nordhausen to
elect two commanders, and that these two princes should be the men.
Each of them was to bring up one half of the troops, and they were alter-
nately to conduct the affairs of the whole body ; if the war was to be
carried on in Saxony and Westphalia, the elector to have the command ;
if in Hessen and Germany, the landgrave.
But it is not to be imagined that full powers were given to these two
chiefs to act at their good pleasure : the question was discussed with
equal earnestness, how the deliberations were to be held, and the
votes divided ; and what relation these should bear to the contribu-
tions.
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Nog zij hier genoemd een andere aandoening, nJ. de jicht. Maar ook deze zien we dikwijls by vader en zoon optreden, onder omstandigheden, die het aannemen van erfelijkheid als oorzaak overbodig maken. Wij zien zoo dikwijls dagelijksche gewoonten, als wijze van voeding, kleeding enz., manier van uitspanning en ook het beroep van den vader door den zoon overnemen dat het ons waarlijk niet behoeft te verbazen als wy ook ziekten, het gevolg onzei levenswijze, zich in denzelfden vorm bij beiden zien openbaren. Soortgelijke opmerkingen kunnen worden gemaakt omtrent maag- darmlever- en zenuwziekten, en in het algemeen zij men op zijn hoede in de beoordeeling der waarde van de erfelijkheid als oorzaak van ziekten, want naast de vele bekende omstandigheden die op onze gezondheid influenceeren, kunnen er nog een groot aantal onbekende zijn, en het is onze plicht naar deze vooitdurend te zoeken.
De juiste verhouding tusschen de erfelijkheid en de omstandigheden, waarvan onze gezondheid afhankelijk is, vast te stellen, heeft onberekenbare gevolgen, omdat wy op de eeiste niet, en op de tweede wèl kunnen influenceeren.
G.
Het batig saldo der Tentoonst. van Vrouwenarbeid.
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Quand l’insurrection de l’Herzégovine éclata, bien des gens crurent y voir la main de l'Autriche et l’on se rappelle encore que les insurgés prirent les armes aux cris de : « Vive François-Joseph, protecteur des Serbes ! » L’empereur d’Autriche a reculé devant ce rôle, qui avait ses séductions, mais aussi ses dangers. Dans son entourage, on lui a dit que certaines gens ne le poussaient ainsi dans la voie des annexions au Sud que pour le diminuer au Nord ; que l’annexion de 5 ou 6 millions de Slaves serait une faible compensation à la perte de 8 ou 10 millions d’Allemands. Dans tous les cas, si l’Autriche a renoncé à faire campagne avec les ennemis de la Turquie, elle est impuissante à la sauver, et elle se gardera bien de se faire l’alliée de ce cadre. Il est vrai que depuis la chute d’Abdul-Azis, la Turquie a trouvé un allié, un champion énergique dans la vieille Angleterre, où un ministère tory semble avoir repris les traditions belliqueuses du vieux whig Palmerston. Ce dernier revirement a été l’échec le plus sensible qu'ait encore subi le général Ignatieff. Depuis bientôt un an, de concert avec Mahmoud-Pacha, son ami et un peu sa créature, il régnait en Turquie bien plus réellement qu’Abd-ul-Azis. S’il faut en croire des rapports dignes de foi, il avait préparé en Bulgarie l’insurrection qui vient d’être noyée dans le sang; il avait soutenu et encouragé l’insurrection en Herzégovine et en Bosnie, et, en contenant les ardeurs belliqueuses de Hussein-Avni-Pacha, le ministre de la guerre assassiné par le Circassien Hassan-Bey, il avait permis à la Serbie d’achever ses préparatifs militaires pour tenter l’audacieuse campagne où elle est aujourd’hui engagée. La chute et la mort d’Abd-ul-Azis, qui ont suivi de près la disgrâce de Mahmoud, ont singulièrement brouillé les cartes et gâté le jeu du diplomate russe. Avec Mehemed-Rouchdi, grand vizir, et avec Midhat-Pacha, l’âme du nouveau cabinet, l’influence anglaise est rentrée à Constantinople, où elle est aujourd’hui souveraine. La flotte anglaise de Biskaye est presque une flotte ottomane et, à coup sûr, elle paraîtrait en un clin d’œil dans le Bosphore pour arrêter l’escadre russe, si les Russes avaient une flotte dans la mer Noire.
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The glory from the ark is gone, —
The mystic cuirass gleams no more.
In answer from the Holy One, —
Low lies the temple, wondrous store
Of mercies seal'd with blood each eve and morn ;
Yet Heaven hath tokens for faith's eye forlorn. lo
" Heaven by my mouth was fain to stay
The pride that, in ova evil day,
Would fain have struggled in Chaldea's chain :
Nay, kiss the rod : th' Avenger needs must reign :
And now, though every shrine is still.
Speaks out by me the unchanging will ;
' Seek not to Egypt ; there the curse will come ;
But, till the woe be past, round Canaan roam.
And meekly bide your hour beside your ruin'd
home.' "
SACRILEGE
/ have heard of Thee by the hearing of the ear, hut now mine
eye seeth Thee. — Job xlii. 5.
I
'Twas on the day ^ when England's Church of yore
Hail'd the New Year — a day to angels known.
Since holy Gabriel to meek Mary bore
The presence-token of th' Incarnate Son —
Up a low vale a Shepherd strayed alone ;
Slow was his step and lowly bent his eye,
Save when at times a thought of tasks undone
His waken'd wincing memory stung too nigh :
Then startled into speed, else wandering wearily.
1 The above was written March 25, 1833, whilst the Irish
Church Bill was in progress.
pa
426 MISCELLANEOUS POEMS
II
A Shepherd he, but not of Iambs and ewes, lo
But of that flock redeem'd with precious Blood ;
Thoughtless too oft, now deeply seen to muse
O'er the cold lea and by the rushing flood,
And where the pathway skirts the leafless wood.
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Elle ajouta : Mais donc, comment expliquer celle cicatrice et comment sait-on !... Robert vit une question embarrassante. Pierre de Peyras s'empressa de répondre : — toujours par l'information qui m'a été communiquée et où j'ai vu ce détail — Eh bien, venez, accompagnez-moi. Ils se levèrent tous trois et sortirent. Il y avait beaucoup de monde dans les coulisses. Ils marchaient donc très lentement à travers cette brillante cohue. — Alors, qu’est-ce que cela signifie ? dit Diane à son frère, nous rencontrons ici beaucoup de connaissances, des amis, même, et personne ne vient à nous, ou se contente de nous saluer, et même assez froidement. La cause de cette froideur, Pierre la connaissait bien, mais il ne pouvait la dire. — Eh ! ma chère amie, comment veux-tu qu'on s'arrête au milieu de cette foule ? On ne peut que saluer et passer. — C’est possible après tout. Ils arrivaient à la loge de la princesse. Au moment où Diane priait l'ouvreuse de lui ouvrir la porte, un homme mis avec une certaine recherche, se croisait avec Pierre et Robert Talbot et les toisait d’un rapide coup d’œil en passant. Pierre de Peyras frissonna à sa vue et son trouble était tel que Robert Talbot en fut frappé. — Qu’avez-vous donc ? lui demanda-t-il. — Nous sommes surveillés, répondit Pierre d'une voix basse et tremblante. — Par qui ? — Par la police. À son tour Robert se troubla et pâlit. — Avez-vous remarqué l'homme qui vient de passer près de nous ? — Celui qui nous a regardés ? Oui. — C’est Lombard, l’agent de police chargé de la galerie Rocaille ; c’est pour nous et pour vous surtout qu’il est ici. Tenez, voici votre gauche, une porte de sortie, croyez-vous, disparaissez par là. Robert jeta autour de lui des regards inquiets et un instant après il n'était plus là.
LYLA CHANSON
Jamais la salle Cavalli n'avait été si éblouissante, des fleurs et des diamants partout : c'était quelque chose de lumineux, de chatoyant et d’féerique comme une apothéose, et tout cela pâlissait devant une femme, sur laquelle convergeaient tous les regards et toutes les admirations. C'est-que (oui, jusqu'aux circonstances extérieures, se réunissait pour immatériel et fisc sa beauté et l'envelopper d'une auréole de mystère et de poésie. Vainement attendue pendant toute la première partie de la soirée.
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Fendihook laughed in vulgar bluster. "You didn't take all that rot seriously, you silly cuckoo?"
Loisha drew a step away from him and regarded him wonderingly. For the first time, doubt as to his straight-dealing rose in her candid mind
"She did," said Jaffery. "She also took seriously your promise to marry her in France."
"Well, ain't I going to marry her?"
"No." said Jaffery. "You can't."
"Who says I can't?"
"I do. You've got a wife already and three children."
"I've divorced her."
"You haven't. You've deserted her, which isn't the same thing. I've found out all about you. You shouldn't be such a famous character."
Loisha stood speechless, for a moment, quivering all over, her eyes burning.
"He's married already," she gasped.
"Certainly. He decoyed you here just to seduce you."
Loisha made a sudden spring, like a tigress, and had it not been for Jaffery's intervening boom of an arm, her arms would have been around Fendihook's throat.
"Steady now," growled Jaffery, controlling her with his iron strength. Fendihook, who had started back with an oath, grew as white as a sheet. I tapped him on the arm.
"You had better hook it," said I. "And keep out of her way if you don't want a knife stuck into you. "Yes." I added, meeting a affected look, "you've been playing with the wrong kind of..." A woman. You had better stick to the sort you're accustomed to." "Thank you for those kind words," said he. "I will." "It would be wise also to keep out of the way of Jaffery Chayne. With my own eyes, I've seen him pick up a man he didn't like and?" "I make an expressive gesture?" "Throw him clean away." "Right O!" said he.
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4703 2-1 ON DEMANDE, aux Établissements modernes Humbert David, rue de la Liberté, 34, de bonnes vendeuses, munies de sérieuses références. 4743 Ouvrier coiffeur est demandé chez M. Courageux, place Barbe, Dijon. 4683 PETITE CHAMBRE garnie avec cabinet de toilette et eau, à louer de suite, de préférence pour monsieur seul. — Voir tab. des ann. ou timb. pour réponse 4700 'ajsæznàTfVr.ÊsnjPi vm À VENDRE : villa bien située. Confort moderne. — Voir tab. des ann. ou timb. pour réponse. 4725 À VENDRE machine à coudre, 130 fr. ; réchaud à pétrole, 10 fr. S’adresser : M. Elle, rue d’Assas. 4718 ON DEMANDE à acheter d'occasion 2 lits jumeaux ou même un seul pour une personne. — Voir tabl. des ann. ou timb. pour réponse. 4729 À vendre JOLIE PROPRIÉTÉ, cours du Parc, compl. : maison de 7 p., grandes dépend., jardin d’agr. et potager. Libre de suite. A. Reverchon, receveur de rentes, rue des Forges, 22, Dijon. 4706 À REMETTRE : bonne petite charcuterie, cause de maladie. Prix facile. — Voir tab. des ann. ou timb. pour rép. 4721 Irais Cafés, sur places À CÉDER A. Reverchon, receveur des rentes, rue des Forges, 22, Dijon. 4708 ON DEMANDE À ACHETER villa entre 20.000 et 50.000 fr. Très pressé. — Voir tab. des ann. ou timb. pour rép. 4722 MONTCHAPET Deux jardins à louer S’adresser avenue Alexandre-Nicolas, 7. 4745 2-1 À VENDRE : bel immeuble de rapport, centre de la ville. — Voir tab. des ann. ou timb. pour réponse. 4724 PRÊTS de capitaux sur immeubles ou autres garanties. J. Gouot, rue Lamonnoye, 2, Dijon. 4709 À VENDRE propriété comprenant : terrain, bâtiments avec chute d’eau. Conviendrait pour installer petite industrie. — Ecr. M. R., bureau du journal. 4740 CAMIONNAGE, DÉMÉNAGES. Affaire en pleine prospérité, à céder, cause santé. Maudot, rue du Petit-Potet. 24. 4735 2-1 ÉTUDE D’AVOUÉ, dans jolie sous-préfecture, à céder, cause santé. Maudot, rue du Petit-Potet, 24. 4736 2-1 ON CHERCHE À LOUER petite maison, rez-de-chaussée de 3 pièces, 4 pièces au 1er étage, avec jardin. Quartier des Perrières ou Montchapet. — Mme Hauder, rue de la Gare, 7. 4687 2i À REMETTRE : café, billard ; bien situé. 300 fr. d’affaires par jour. — Voir tab. des ann. ou timb.
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Railroad, 93 Mo. 79; Dayharsh v. Railroad, 103 Mo. 570; Miller v. Mo. Pacific
R., 109 Mo. 350.
Colorado: Denver R. v. Driscoll, 12 Colo. 520; Colorado Midland R. v. O'Brien,
16 Colo. 219; Lautry v. Silverman, 1 Colo. App. 404.
Iowa: Troughear v. Lower Vein Coal Co., 62 Iowa 576; Hathaway v. Des
Moines, 97 Iowa 333.
Illinois: Chicago & Alton R. v. May, 108 111. 288.
Indiana: Louisville R. v. Graham, 124 Ind. 80; Nail v. Railroad, 129 Ind.
260; Taylor v. EVansville R., 121 Ind. 124; Hoosier Stone Co. v. McCain, 133
Ind. 231.
Louisiana: Mattise v. Consumers' Ice Mfg. Co., 46 La. Ann. 1535.
Michigan: Brown v. Gilchrist, 80 Mich. 56; Lyttle v. Railroad, 84 Mich. 289;
Slater v. Chapman, 67 Mich. 526; Palmer v. Railroad, 93 Mich. 363.
Montana: Kelley v. Mining Co., 16 Mont. 484; Goodwell v. Montana Central
R., 18 Mont. 293.
North Carolina: Dobbin v. Richmond R., 81 N. Car. 446; Turner v. Goldsboro
Lumber Co., 119 N. C. 387.
Oregon: Anderson v. Bennett, 16 Or. 515.
.Pennsylvania: Mullan v. Steamship Co., 78 Pa. 25.
South Carolina: Whaley v. Bartlett, 42 S. Car. 454.
Texas: Texas R. v. Whitmore, 58 Texas 276; Gulf R. v. Wells, 16 S. W. 1025;
Douglass V. Texas Mexican R., 63 Texas 564; Mo. Pacific R. v. Williams, 75
Texas 4; Texas R. v. Nix, 23 S. W. Rep. 328.
Utah: Reddon v. Union Pacific R., 5 Utah, 344; Anderson v. Ogden Union R.,
8 Utah 128.
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At a later period the ribs are introduced, as at
Peterborough, 1117-43. The Norman archi-
tects preferred to cover their large spaces
with wooden ceilings, as in the naves of Ely,
Peterborough, and Selby. Early Norman
masonry is extremely rude and bad, with wide
joints between the stones, filled in with
mortar of a poor quality. The foundations
of their buildings were rarely securely laid.
The result has been a long list of disasters,
from the fall of the central lantern of Win-
chester, 1107, to that of Chichester, 1861.
At Winchester the rebuilding of the tower is
marked by much finer work, which is called
' fine-jointed masonry ' to distinguish it
from the earlier and inferior form known
as ' wide-jointed masonry.'
Early English, 1190-1245
The last quarter of the twelfth century
marks the period of transition from the
Norman to the Early English or ' Lancet ' or
' Eirst pointed.' All these terms are used
for the first type of Gothic. The process of
transition began, however, much earlier in
the use of the pointed pier arch at Malmes-
bury, Fountains, Kirkstall, and Buildwas.
The Cistercians, whose architectural energy
was at its height during the latter half of the
twelfth century, aided in no small degree
( 23 )
Architecture]
Dictionary of English Church History
[Architecture
to develop the styles as at Byland and
Roche.
The convenience of the pointed arch would
soon suggest its use for windows and doors.
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Rêve « Les perles de la couronne » En raison du succès sans précédent que connaît cette grande production due au génial talent de Sacha Guitry, la Direction du Marignan nous prie de une seconde réunion de l’Alliance du Livre, créée par M. Georges Duhamel, a eu lieu tout dernièrement à l’Académie Jullian. En trois discours denses et précis, M. Georges Duhamel, M. Georges Lecomte et Mlle Choureau, présidente de la Chambre syndicale de la Librairie exposèrent la situation actuelle du Livre français et les remèdes qui s'imposent. MICHELE a appris hier à l’Hôtel de Ville survenue le matin même à l'arrivée du voyageur le 15 juin rois. À 1 fr. 75 LE « FRONT DE LA LIBERTÉ FACE AU COMMUNISME » DORÉ 30. Fiançailles nature (25, rue Fontaine), relâche. Altitude 20 h. 45, Amiral le voyageur. Victoria Regina, Tovarich, 45, Amsterdam, le 15 juin rois. À 1 fr. 75 LE « FRONT DE LA LIBERTÉ FACE AU COMMUNISME » DORÉ 30. Fiançailles nature (25, rue Fontaine), relâche. Altitude 20 h. 45, Amiral le voyageur. Paul Marteau-Pier-Hélas ! À l’appel de tes vœux, les secrétaires et futurs mamans, garde à la fertilité, c’est un mal grave par origine, grave par ses conséquences. Prénez régulièrement de LA JOUVANCE DE L’ABBÉ SOURY qui assure une parfaite épuration sanguine, allège le travail du cœur, assouplit les artères, diminue la tension du sang, améliore le système nerveux et régularise les fonctions digestives et intestinales. Pour toutes ces raisons, la JOUVANCE DE L’ABBÉ SOURY est la médication appropriée de la fertilité accidentelle chronique ou opiniâtre. En soirée : entre 21 et 21 h. 25 et 23 h. et 23 h. 28. L’Œuvre Ce qui irrite le chef d’une entreprise, modeste ou moyenne, ce ne sont pas les seules difficultés d’argent. Il en a connu beaucoup depuis quelque temps, et dans la période de déflation surtout. Mais c’est le sentiment de n’être plus le véritable chef — au sens « moral » — de son entreprise. de ne pas être maître du choix de ses collaborateurs. Le même sentiment se retrouve dans le personnel de maîtrise — ingénieurs, contremaîtres — dont ceux-là mêmes qui ont voté « Front populaire » sont prêts (le danger est grand, nous pouvons l’assurer) à se tourner « vers autre chose ». Pourquoi ? Parce qu’ils ont la conviction que « travailler », selon les paroles d’Edouard Herriot à Lyon dimanche, « c’est travailler à la vie de son pays, à l’équilibre social, et que le travail doit assurer, avec celui du travailleur.
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livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele si; tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público 6 aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao [lassado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Dirct rizes de uso
Google se orgulha de: realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e tornados amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etap As visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas, se consulta automatizadas. Pedimos que você:
• Faça somente uso não comercial dos arquivos.
A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para o uso individual, e nós solicitamos que você use estes arquivos para finos pessoais e não comerciais.
• Evite consultas automatizadas.
Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótíco de caracteres ou outras áreas para as quais o acesso a uma grande quantidade de texto for útil.
entre em contai. o conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar.
• Mantenha a atribuição.
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In olden times, it was believed that
the seat of the soul was the stomach,
most likely for the reason that a man
is never so completely used up as
when his stomach is out of order. For
the cure of ordinary stomach troubles
there is nothing quite so prompt and
satisfactory as Chamberlain's Tab
lets. They strengthen the stomach ■
and enable it to perform its functions
naturally. Give them a trial. They
only cost a quarter. J
The Home of the Soul
COUGAR CUBS SWAMP
College proved the superiority oj.
their track team over the Idaho first
yea r men in a meet held at McClean
L- u m , . „■
f le id Tuesday afternoon, by rolling up
86% j, 0 j n t s to the 44% of theirop
ponents.
,
No exceptional records were made
during the afternoon.
, , ,, . ,. . ,
men showed up well in the sprints and
, ,, .,
hurdles > but were outclassed in the
^ departments,
., , . ,
Schcyer of W. S. C. was the high
P olnt man of the meet > gathering 14
tallies. Next to him ranked Davis,
his teammate, and Casebolt and Cob
, , ,. ,
°t Idaho, who had respectively 13,
tl and 10 points. The relay was
jwo* by the Washiington State quar
tet, composed of Hopkins, Nelson,
Starcher and Scheyer, who ran again
r ■ and Caae
st Keen, nasoroox, canine ana <-/ase
i
IDAHO FRESHMEN
FIRST
YEAR MEN STRONG IN
DASHES BUT ABE NOSED OUT
IN FIELD EVENTS
The freshmen of Washington State
The Idaho
bolt.
A summary of the events follows:
Fifty yard dash; Casebolt,
first; Scheyer, W. S. C., second; Reed,
Idaho, third; time, 5.5.
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L'istesso questo, Vditori, mostro Cristoforo 15
facellandoli quei fanciulli, che fecero applauso al trionfale ingresso di Cristo. Geniali nome, e per rappresentare si risolse di tale, che il da saggiella istinto a piccoli bambini non anche viziati dalle faccine per ancora distaccati dal latte materno, è proprio miracolo della venuta di Cristo, miracolo non mai fatto nell'antica legge. In fatto (dice)
Google
La diccia Cristoforo antico ha più odore
Infatti i seni dismoniti si trovavano Linguaimbrittita espresse
alle femmine. E le sue ciò vero, che i fanciulli di allora
scioglievano e stringevano le labbra balbuceanti, e la lingua, sussurrava che cantavano a Cristo il giorno delle palme; era detto cosà, che per far corrispondente l'entrata all'uscita, si detto Lingua.
Altrove, quest'oggi lo celebrano per celebrare la propria morte la vita di Cristo, ed in questo senso possiamo aggiungere, che essi per tante bocche parlavano, quando ebbero apertura e ferite, ne i teneri corpicini. Ma ciò non possiamo asserire con certezza, perché non ci è concesso dalla Chiesa, che nella colletta di questo giorno apertamente si mostri il contrario. Detestati, cuius hodie di ospitali Innocenti mori non ha lode, dirò per tanto che la santa voce di quei Bambini fa spesso il linguaggio migliore, che d'ogni altra voce si compiace Iddio.
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Un tel emploi de la faconde ne paraît pas inconnu de la langue classique : au plurel « coups portés » de Djendouba correspondent très exactement le « » w de Mufaddaliyat, l. 35 : JUDJ *-.}j»=!l ^$>L5 S£)l ^JO ^> Je Ja*~:j 4_) w>ji*, et le « » de Nâbi-fa (AHLWARDT, p. 174) J-ill ^ J*> ^^ çy 4-LnDl ^Lîl JALJI 3 ; et si les « » contenus dans les phrases suivantes sont morphologiquement des noms d'une fois, il n'est pas possible de leur attribuer une valeur nettement singulative : «LPJL»I_J_9=J1 (BUHÂRÏ, gihad, n° 157) '; <*-j)j SJJÛU ly,«lJ.) (id., iman, n°29) ;
jt iSSj *,*£ >jL} J~t o jï, p^ j, iLii.ll (id., libb, n° 3) ; et il n'est pas davantage possible de discerner une différence appréciable de sens entre fa'l et fa'ta dans les exemples suivants :
1. Les lexicographes considèrent saria(l), les uns comme un singulatif, les autres comme un abstrait verbal (quasi infinitif).
2. Le commentaire de Tibrizi sur ce vers (ms. autographe de la Bibliothèque nationale de Tunis) est extrêmement net : ~y»-lj jvlSOl Z> Jai Ja .>
sL&l &*} JL? *j ^j: Vî. •--••-•
3. Comp. ‘Abid b. el-'Abrash, XXVI, v. 21 et p. 73, note f.
4. Comp. MAIDÂNÎ (Boulac), 1, 133; ‘ALA’BI, Fasl, p. 26, l. 2.
132 W. MARC AÏS
<? ^ SIJLI JJP »_>l — (jAl»j *LJI Sjjcv_jl> (BUHÂRÏ [Boulac, 1314], gihad, n°s 61 et 63) ; Ji ill l^} ^je *>ji> ' — "ù'jo -uy» ^.yj jiJUÏl ôl (MAIDÂNÎ, I, p. 283 et 285); sltj jjjl ULL»J }L^ Itj ^j — SJbai ( Ta//, I, p. 134, l. 8 a f.) '.
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No año de 1821 reuniam-se diariamente os maçons para tratar da Independência. Eis a descripção feita por um chronista do tempo:
Iam diariamente á casa do capitão-mór José Joaquim da Rocha os coronéis Francisco Maria Velioso, Gordilho de Barbuda, Luiz Pereira da Nóbrega, António de Ménes Vasconcellos de Drumond, Dr. José Mariano de Azedo Coutinho, desembargador Francisco de Franca Miranda e outros, e como não queriam divulgar
Bonifacio — o politico 39
OS pasos que ciavam sem haver certeza se o príncipe annuiria ás representações que se lhe fizessem, o coronel Gordilho de Barbuda (depois barão de Giracinó, visconde de Lorena e marquez de Jacarépaguá) guarda-roupa do Príncipe, se offereceu para este empenho, e partio para S. Christ ovão. Em conferencia com o Princespe D. Pedro de Alcántara, lhe expoz o motivo da sua ida ao Paço, visto que a respeito delle não poderia haver suspeitas. Contou-lhe tudo o que se estava fação o que pretendiam fazer, e então perguntou elle a Sua Alteza si ficaria no Brasil si as três províncias do Rio, Minas e S. Paulo lhe pedissem. O Príncipe, a principio resistio, pelo receio que títima da divisão auxiladora; mas por fim, movido pelas razões e rogativas de Gordilho, seu guarda-roupa, que estava casado no Brasil, onde títima muitos bens de fortuna, disse-lhe: «Fico.
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Egg, Liquid. Prep. (Jayne.) From lime,
1 bushel (sliiked with water); common salt,
2 or 3 lbs. ; cream of tartar, J lb. ; water, q. s.
to form a mixture strong enough to float an
egg. Used to preserve eggs, which it is stated
it will do for two years, by simply keeping
them in it. Simple milk of lime answers
quite as well.
Egg Wine. As egg flip, but using equal
parts of white wine and water, instead of
beer.
ELA'ISIIfE. A fatty compound of eliudic
acid and glycerin, formed by the action of
nitrous acid or nitrate of mercury on olive oil.
It is neutral; melts at 90° Pahr. ;' and is very
soluble iu ether, scarcely so in alcohol. It is
one of the components of oitbine ointment.
ELAIN— ELATERIUM
611
By laponiflcation it is resolved into its two
t'ODBtituonts.
EIA'IH. See Oliib.
ELAIOM'ETEE. Sgn. Qleou'eteb. An
instrument for oscertnining the specific gravity
of oils. See Hydbometeb and Oil.
ELAL'DEHTD. A peculiar crystalline
substance which forms in aldeutd when
kept for some weeks at a temperature of 32°
Fnhr. It melts into a colourless liquid at
about 38°, in which state it is miscible with
water, alcohol, and ether. It is isomeric with
aldehyd, but its vapour has about three times
the density of that substance, whilst it neither
combines with ammonia nor comports itself
with potasssa and solution of silver like alde-
hyd.
ELAOP'TENE. See Oil (Volatile).
ElAT'ERIN. Sgn. Momoedioine. The
active principle of elaiebiuu. It was dis-
covered by Dr Clutterbuck in 1819, but first
obtained in a state of purity in 1830 by the
Inte Mr Hcnnel.
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Quelles avaient été les premières lueurs ? Sitôt que nos goûts avaient commencé à poindre au pays natal, quelle avait été leur direction ? Les promenades, durant les soirées d’été, sur les grandes et jolies routes autour de Saint-Girons, attirent merveilleusement aux conversations sérieuses ou rêveuses. Que de fois Arnaud, Denis, d’autres amis et moi, nous sommes-nous surpris, causant encore, le long de la route, d’après un géographe de 1755, Saint-Girons était à cette époque le chef-lieu d’une châtellenie du comté de Comminges, et dépendait de la sénéchaussée et du siège présidial de Pamiers. Cette châtellenie fort étendue était ce qui composait anciennement la vicomté de Couserans. La ville de Saint-Girons, située sur la droite du Sallat, contenait 2,000 âmes (alors) avec le séminaire gouverné par les PP. de la Doctrine chrétienne, et deux couvents, un de dominicains et un de capucins. Géographie historique, ecclésiastique et civile, par Dom Vaissette, religieux de Saint-Maur, t. VII, p. 102.
En face des étoiles, embaumés du parfum des soins coupés, lorsque onze heures ou minuit nous rappelait à nos demeures ! La commune émotion de l'infini nous saisissait ; mais si nous redescendions aux choses de la terre, nos tendances politiques n’étaient plus absolument les mêmes entre nous trois. La Gazette de France, le Journal des Débats et le National d’alors (feuille républicaine) représentaient approximativement nos manières de voir, comme on peut les avoir, à l’âge de dix-huit ans. Arnaud était déjà démocrate, et méditait, en religion, un catholicisme peut-être tout rationnel. Denis était légitimiste de tête, absolu, très autoritaire d’idée, quoique fort indépendant de caractère et de pratique. Moins prononcé que mes deux camarades, je me demandais si je pourrais trouver un milieu entre leurs systèmes. Au reste, en littérature et par leur goût, mes deux amis étaient plus classiques, tandis que je passais à leurs yeux pour un romantique décidé.
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' cap. ▼. arg
a a ¿«jando muerto* cerca de tres determinado arrimar al día siguien-
mil gentiles , y apoderándose del te su ejército á aquellas ciudades,
botín. y cogerlos, y acabar con ellos en
a 3 Tomó después consigo á los un solo dia.
judíos que habia en la Galiléa y en a 8 Con esto partió Judas inme-
Arbates, como también á sus mu- diatamente con su ejército por el
geres é hijos , y todo cuanto teuian, camino del desierto de Bosor, y
y condújolos ¿ la Judéa con gran- apoderóse de la ciudad , y pasó á
de regocijo*. cuchillo todos los varones, y des-
24 Entre tanto Judas Macabéo pues de saqueada la entregó ¿ las
con su hermano Joña thás pasaron el llamas.
Jordán, y caminaron tres dias por ay Por la noche salieron de alli,
el Desierto. y se dirigieron á la fortaleza de
a 5 Y saliéronles al encuentro los Dalheman ;
líabutheos’, los cuales los reci- 3o y al rayar el dia, alzando los
bieron pacificamente, y les conta- ojos vieron una tropa innumerable '
ron lo que habia acaecido ¿ sus de gentes , que traian consigo esca-
hermanos en Galaad; las y máquinas para tomar la pla-
a 6 _ y como muchos de ellos se za, y destruirá hacer prisioneros
habian encerrado en Barasa , en á los que estaban dentro.
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A genus of plants belonging to the natural
order ScrophulariaccB. The leaves of the
uncultivated « Digitalis purpurea,' or purple
foxglove, are officinal in our pharmacopoeias.
They must be gathered before the terminal
flowers have expanded. " The petiole and
FOXING— FRENCH BERRIES
761
midrib of the leaf being cut off, dry tbe
lamina." (Phar. L.) The seeds (DiaiTALls
bemina), which were ordered, as well as the
leaves, in former pharmacopoeias, are said to
be in many points preferable to them. When
good, the leaves are of a dull-green colonr,
and possess a feeble narcotic odour, and a bitter,
unpleasant taste. Both tbe dried leaves and
the powder should be preserved in corked
bottles covered with dark-coloured paper, or in
well-closed tin canisters, and kept in a dark
cupboard ; and the stock should be renewed
yearly, as age considerably diminishes the me-
dicinal activity of digitalis.
Aoiion, usee, ^c. Foxglove is diuretic, seda-
tive, and antispasmodic, and exerts a specific
action over the cerebro-spinal system, promot-
ing the functions of tbe absorbents, and reduc-
ing the force of the circulation in a remarkable
manner. It is administered in fevers and in-
flammations, to reduce the frequency of the
puUe, and to allay excessive vascular excite-
ment J in dropsy (unless tbe habit is full and
pulse tight and cordy), as a diuretic, either
alone, or combined with squills, calomel,
salines, or bitters ; in internal hEDmorrliiige?, ns
a sedative, when the pulse is full, hard, and
throbbing ; in diseases of the lieait and gi-eat
vessels, and in phthisis, to reduce the force and
velocity of the circulation ; in epilepsy and
insanity, to repress vascular excitement; and
in spasmodic asthma, scrofula, and several other
diseases, with one or other of the above inten-
tions.
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L'instrument, tourné en fronde, n'aurait probablement pas donné une élévation de la température de plus de 1 ou 2 degrés au-dessus de celle prise à l'ombre, ainsi que nous l'avons souvent constaté à Saint-Louis, en faisant tourner au soleil le thermomètre-fronde, pendant que le vent d'est faisait monter le thermomètre placé sous l'abri normal au voisinage de 56 degrés. Placé sur le sable du sol, l'instrument marquait, dit M. Verdier, 61 degrés. C'est sensiblement le résultat obtenu par Adanson, dans les mêmes conditions d'observation, en 1750, au voisinage de Saint-Louis. Il n'y a pas besoin d'aller au Sénégal pour constater des températures analogues à la surface du sol exposé à une forte insolation. Le résultat trouvé dépend autant de l'instrument, de son volume, de sa position, que de la température réelle. Nous avons fait, à Dakar, un grand nombre de tentatives pour obtenir ce que l'on pourrait appeler la température de l'air au soleil ; nous ne sommes arrivés à aucun résultat. Un éminent météorologue, M. E. Renier, directeur de l'Observatoire météorologique de Paris (Saint-Maur), l'a établi : « On ne possède encore aucun moyen d'obtenir la mesure scientifique de l'intensité de la chaleur produite par l'exposition au soleil ». Il est impossible de recueillir, à l'aide de l'exposition directe des thermomètres au soleil, des observations dont les résultats soient comparables entre eux. Vents. — Les observations faites en 1860-61, celles de M. Verdier, en 1872-75, donnent des résultats concordants. En établissant les roses des vents de Bakel d'après ces documents, on constate que le régime des vents est, dans cette localité, le même que dans tout le nord de la Sénégambie. Les
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&c.) Quu Anienorijcomcf-
fitiupuer.vt in Italum, Ixtua
peruenirer, fcdcsq jc locaret ,
vide ur id A^cx,debcrc con-
cedere . Non amem placec
mihi, quodSeru.dicit, vtrun-
que proditorem fuiife , idque
audot itate L uiana , nam Li-
uius uon alfent , cuius vetba a
in principio operis funt :
Iaoi primum omnium, foris
conliat Troia capra in cete-
ros , fxuitum efte Troianos » ^
duubus , Aenea, Antenore q uc,
&. vetultnure hofpitij,&qu a
pacu , reddendxquc Helenae •
femper audores fuerut,omne ius belli Ach.uos abttinuiffc. Ca-
libus demde vatijs . Antenorem cum multitudine Hene>um,qui
fednione e Paph agonia pulli, & fedes,& ducem, rege Phileme-
ne,ad Troum amilio, quxrebant, vemlJe in intimum maris A-
dnatici (imum . Eugencnq. qui inter mare , A picisque incole-
bant, pulfis, Henetos Tto. anosque eas rei u. fle, & in quem pri-
mum egrefli funt locum, Troia vocatur : Pagoque inde T rou-
no, nomen elt, gens vniuerfa,Veneti appellati, Aeneam ab limi
li clade, domo profugum ,fed ad maiora rerum initia ducentibus
fatis, in primum in Macedoniam vcmfTr, inde in Siciliam quae-
rentem (edes delatu m . A Sicilu ciatic , Laurentem agrum tc-
nudle . [Troia) Et huic loco nomen elt . Hxc ille , qui nullam
ptodmoiicm in Aenea, aut Antenore aflerir, vnde, licet fuccin-
aius,caftius tamen rem tradar Donatus,cuius verba funt. [ Ao
tenor)I*io compara. ione a minore ad maius, exaggerat n ato
rtm. Antenor ergo^lirnus a nccefli.udine iua,homo,& humi-
lis,& d< pttftus^ianus hoft um potuit cflu^tre. [idyricos pene
trare) Voluit dea oftraie uirhcuUatcm perutniendi, & ad hofti-
les partes penetrandi, oux omnia facit, dtdis poiicrius annexis.
[Penetraie) Peneuarc enim eft penitus intraic,5< (inus, funt re- Pra*fr»
ccftiis terrarum, pcniius icmotarum quibus dau fis, non potuif- re.
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HEAVY BATTLE
The Kenworthy
LOSSES IN ARABIA
OFFICERS ARE MURDERED AP
! TER BEING OVERPOWERED BY
SUPERIOR NUMBERS.
MONDAY and TUESDAY
Bombay—Another tragic chapter of
the series of Arab uprisings against
the British in Mesopotamia has been
reweived here. The message says Mr.
Drigley, a political officer, Transvaal,
cowardly of the levies, Mr. Buchanan,
an irrigation officer, and two British
non-commanderies were killed at
Shasraha, Mesopotamia, Sunday by
Arabs.
"The officers with their levies
resisted overwhelming numbers for
three days until their ammunition was
exhausted. The Arab levies were loyal
to the land and died fighting side
with the British."
Fear Mostly Military Campaign
London, Aug. 20—Fears are expressed here that recent events in
Mesopotamia will involve Great Britain
in a costly military campaign,
official reports show that the country is in a state of enmity with rebel
lion against the British administration
particularly northeast of Baghdad
and Metz. British garrisons have
been invested, railways cut and British
officers have been invested.
According to official accounts, the
situation is much more serious than
F i Only benight the India office issued a statement confirming the death of the British foror in Mesopotamia last Sunday. It adds that the wife of Mr. Buchanan, an irrigation engineer who was killed, was suspected by the Arabs but is reported to be safe and well treated...Her body is believed to be with her.
The news in the Bombay dispatch telling of the killing of the Britishers was first in the first instance that Arab levies were fighting on the side of the British.
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> 652 HI. ÜDt* Statute» t>»
ttr ftd) feiner Seele faltige ©rlöfung fbnneh an*
gelegen fe^n (affen. ’ ( 5 « foüen m«b feine gefachte
€rben binnen bret ©onaten ta« ton ihm [getra¬
gene Orben«jeicbett in Unfere J£>änbe liefern.
t) *Oie9iattg-Orbmmg fandßetfaminfungber
Orten« Siitcer, (Wenn etwa bergleid* en foReen ge*
falten werten) ober wenn f« tuteff tiefen Staturen
bet; tem offrnttidjen ©ottesbienfie ftcfr einfinben
werten/ feil nach ter Orbmmg, in welcher fte ten
Orten erfalten, befHmmef wetten / ofae SXäcf-
jt4)t auf ifae ©Arten, im Senat bei) ter .Krone,
ober in itttfauen.
g) ©ir bcjilmmen jum feterflcben $age tie*
(e« Orten« ten achten ©lat, al« ten ©ebuecatag
' be« heiligen <8tani«lauö, ®if<boff« unt ©arfprer«,
beß -Königreichs 9>ofaen Patron«,
io) ’2in tiefem ©eburtßfage be« failigen
Scantelgu«, wirb einer »on ten ifacbmürbigen
35 ifdjöffen, bcr ein SXictec be« Orten« iff, wäre
ober feiner taten ooifanben, ber #od)wütbige
«Öifcboft ton Pefen, unt wenn tiefer nkhr . gegen¬
wärtig wäre, ter er(ie ©ifdjoff tem. Stange nad},
ober ein anberer Prälat bi« Zeitige ÜReffe mit einte
loderte be« ^eiligen ©eifies lefett, unb biefelbc
mit einer $rebigt begleiten, welche fid) auf tiefe«
ftefi begehen foü. ©iefes alle« fofl in ber auf ber
©rafauiftben 93 orffabt. belegeuen Kirche s ber ©iflfto-
nttrien geftbefan, wobet ber König unter einem
befonber« ba|u oerfertigten tfaonhimnjei ft$tn,
. Mttb
; Google
Pohl«. ©t 4 tuelaus*<!>r&ens. 653
unb alfe ju ber Seit gu 2öarfd>auficb beftnbenbe
SRitfer* gegenwärtig fet)n Herbert. SBor bes
«tgs ©tu^l wirb ein mir einer reid)Cn!t)ecFe beleg»
ler $ifd> fielen , auf welchem fo Diele Orten«.
Reichen liegen werben, all neue SXitfec aufgenom»
men werben fallen. ;
11) ^ 23 ct> biefem $tfd>e mtrb ber 2flmofert*
Pfleger unb ©ecretaire beö Orten« fielen, unb auf
einem <£rebeng.$eller bie Örbf n$.3eichen eine« nad?
bem anbern tem Könige überreichen.
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p. Alfonsa Parczewskiego. Ogólnych po
siedzeń było dwa, zarządu 11, a prócz te
go liczne posiedzenia wydziałów. W ro
ku 1934 Tow. Przyj. Nawk liczy człon
ków zwyczajnych 356 honorowych i in.
35, razem 891. (Cokolwiek mało jak na
dość liczne społeczeństwo polskie u nas).
Darów w postaci książek przybyło 1871
tomów, pozalem olrzymywano wydaw
nictwa, tak że ogólnie, przybyło do Di.
bljoteki 2438 lomów. Skatalogowano
38150 dzieł.
Prezesem jesi obecne prof. M. Zdzie
chowski. kustoszem p. M. Brensztejn.
skarbnikiem p. A. Dunaj. Członkowskich
opłat otrzymano 2143,50. Wydawnictwa
Tow. „Zbiór dokumentów cechowych m.
Wilna”, Ateneum i in. prowadzi się
Z powyższego widzimy, że mało rekla
mująca się instylucja spełnia sumiennie
swoje zadanie, a pięknie urządzone ma
łe muzeum Ściąga licznych turystów.
szkoły i wycieczki. Dobudowanie no
wych części gmachu jest konieczną po
trzebą. Ostalnio Magistrat eromadzi w
paru salkach zbiory odnośne do Wilna,
jest lo niepotrzebnem rozpraszaniem
zbiorów, Vilniana specjalnie zgromadzo
ne zostały w Bibljotece Im. Wróblew
skich. które również. zduszone w ma
łych pokoikach. nad schodami, nie moga
się odpowiednio pomieścić. Gdy więe
Tow. Przyj. Nauk znalazło fundusze na
rozbudowę swego gmachu, z pewnością
byłoby dużo zbieraczy gotowych do od
dania tam swych archiwów. obrazów, i
t. p. pamiątek wartościowych. którym
obecnie grozi rozproszenie lub zniszcze
nie. O dobudowę więc gmachu. powinno
zabiegać Tow. Przyj. Nauk, a może się
i u nas znajdzie jaki mecenas nauki, kló
remu los Wileńskiego Muzeum będzie le
żał na sercu i zamanifesluje to zainlere
sowanie za życia lub po Śmierci hojnym
zapisem.
rzeć jak „raby” (niewolnicy) żyją”.
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Der junge Kiffionär starb ben folgenden 4. Stück Oktober an einem Fieber. Selig war Quoet, war all Zauberei im Saarre 1861 in letzter Erübung angefangen. Selbiges, welche wilde Steine, Kräfte oder Bemerkungen festhielt, wurde von unseren Kiffionären, so Kartoffel, Regen, einer ferneren Granzeisfeste fand wie der genug, in Gefallen, einer Stätte auf Sefuch zu einer Kirche in der Stadtbarfthof. Das war am 4. Mai 1863. Das war fast, aber lieber blieb ich auf der Stelle, um zu kommen, trennte er sich von der Stätte. Säuerchen er war arglos zuwärts ging, traf in der Mitte der Brust. Die Kiffler, die ihn toten, faserten, ließen aus ihrem Berge herab, um ihre Macht zu teilen, wobei sie aber bemerkten, dass ihr Befehl ein streifter Feind, fast sie die Freden, und ging gegen ihre Gewohnheit bekennen, sie benutzten Scheinname Beifall, ohne ihn zu berühren, und bemächtigten sich nur eines feinen Geistes. Darum barauf genommen, mir, dass der Hauptling dieser Indianerbande den Schuldigen hatte, toben, lachen, den Wurm eines streiften, hatte den großen Krieg erklärte, und er musste nach den Erfindungen der Wunder haben. Die gaben den noch toblen Indianer im ganzen 1868thum Mag mir wohl auf 80,000 belaufen, gingen die Sonne an, und ihre Serben beten, die einen großen Teil auf unserem Gebiet erleben, blieben regnet.
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Il "Rinaldi" negli "Annali" ecclesiastici, all'anno 348, n. 97, osserva che già la chiesa romana, per antonomasia chiamata la "Chiesa". All'anno 1199, n. 60 e 61, che Innocenzo III avendo mandato Alberto e Saldino notari legati a Costantinopoli per la riunione di quella chiesa alla romana, il patriarca Camatero ricevette bene i Legati apostolici della Sede, e commendò il zelo del Papa, ma con perfidia espose i suoi dubbi, per non averne Innocenzo III chiamata la chiesa romana universale e madre delle chiese, e perchè questo titolo non si dovesse attribuire alla chiesa di Gerusalemme, poiché la fede cristiana da quella scorse. Rispose Innocenzo III, che la Chiesa si chiama universale per due cause: "Dicesi universale la Chiesa, la quale si forma di tutte le chiese, e chiamasi in idioma greco Cattolica, e secondo questa significazione la chiesa romana non è universale, ma parte della chiesa universale, come la prima e la principale, come capo nel corpo, perciocché in essa è la pienezza della potestà, e agli altri è comunicata una parte della pienezza. E chiamasi universale quella sola chiesa, la quale contiene sotto di sé tutte le chiese; e secondo ciò la chiesa romana solamente si appella universale, imperocché ella sola per privilegio di sacolare dignità è sopra le altre; così come anche Dio è chiamato Signore universale non quasi come diviso nelle spedizioni specifiche o subalterne, ma perchè tutte le cose si contengono sotto il suo dominio.
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Fires, which at different times have destroyed vast areas of forest, especjally in the northern part of the state,
are now less frequent and destructive. During the year 1880 but 5,954 acres were reported stripped of their tree
covering by fires. Of such fires twelve were set by sparks from locomotives, seven by the escape into the forest of
fires originally set in clearing land for agricultural purposes, six by sportsmen, one through malice, and one by the
careless use of tobacco.
The basis of the following estimate of the amount of merchantable black spruce (Picea nigra) lumber standing
May 31, 1880, in Carroll, Coos, and Grafton counties, where alone the spruce forests of the state are now of commercial
importance, was furnished by Mr, G. T. Crawford, of Bjaston, and verified by the testimony of other experts :
BLACK SPRUCE (Picea nigra).
, CountieB.
]?eet, board
measure.
Carroll
60, 000, 000
1, 000, 000, 000
450, 000, 000
Coos
Tatal . ..
1, 510, 000, 000
Cut for the census year ending May 31, 1880 (including 26,000,000
feet sawed on the Connecticut river, in Massachusetts).
153, 175, 000
It is roughly estimated that the spruce forests of the state contain over 33,750,000 cords of hard wood and
165,000,000 feet of hemlock.
rEPARTKENT OF THE DTl-EEIOR
TEjiTK :j::i;::'js of the united states
Juluw TiifTi S L'o,hUv
DEPARTMEMT OP THE INTERIOR
TENTH CENSUS OF THE UNITED TTATEc
MAP OF
NEW H/\MPSHI RE AND VERMONT
SIlOW'lNCi THK niSTRirU'TION OF THE PINE
AND SPRUCli FORESTS,
WTll srivCLM, HKFERENCli TO THE
LHM1!KF< INUUSTRY.
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»A decir verdad, las intenciones del Gobierno espa-
ñol no nos sorprenden, En un país donde el déficit del
presupuesto es permanente, todo debe esperarse, y par-
ticularmente los peores expedientes. Vana empresa
seria tratar de persuadir al Gobierno de que tiene el
mayor interés en proteger la industria de los caminos
de hierro; las necesidades financieras se le imponen, y
se preocupa poco de prevenir las consecuencias de las
combinaciones que adopta, con tal de que le permitan
hacer frente á las exigencias del momento presente.
aperólas accionistas de los ferro-carriles españoles
tendrán que examinar si es prudente conservar en
cartera unos valores que en definitiva ofrecen una se-
guridad tan precaria,»
Moniieur des intéréts materiels . — «El Senado {es-
cribe el ífi de Julio) no ha votado aún la retirada del
10 por i 00 sobre las tarifas cedido á las compañías, y
aun tenemos esperanza de que la medida será, si no
desechada, mitigada al ménos.»
El Journal des chemins de fer publica como noticia
de gran trascendencia un telégrama del 28, en que le
anuncian haber sido desechada en el Senado la en-
mienda del Sr. Montesino.
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Fünf Tragödien von Aeschylus, Sophokles, Euripides aber. I. Text [Sitz]. Appréciation en somme favorable de cette trad. N° 7. F. Helm, Materialien zur Herodotere [Kalinka]. Sera utile même aux vieux professeurs. S. Ch. Schirmer-Th. Eger, Griech.-deutsches Wörterbuch zum Neuen Testament [Stolz]. 6e 20 ed. revue de ce dictionnaire dont l'utilité est reconnue de tous. O. Plasberg, M. T. Cicéron, Paradoxa Stoicorum, Academicorum reliquae cum Lucullo, Timaeus, [Gschwind]. Excellente éd. critique dont la suite est attendue avec impatience. M. Petschenig, Q. Horatius Flaccus. Ausweis : Weidner R. Franz, Q. Horatius Flaccus [Jülling]. Cette 4e éd., n'a pas subi de changement. "Cette 2e éd. remaniée est presque un livre nouveau." E. Hedicke, Q. (surtout Rufus) Historiarum Alexandri Magni Macedonis qui supersunt Ed. mai. et min. [Bitschowski]. Quelques petites réserves. K. E. Georges, Kleines lateinisch-deutsches Wörterbuch. [Stowasser]. Cette 9e éd. est due à H. Georges. Ce livre a prouvé son utilité, mais il y aura encore beaucoup à faire pour qu’il soit ce qu’on demande aujourd’hui. M. C. P. Schmidt, Kulturhistorische Beiträge zur Kenntnis des griechischen und römischen Altertums. 1 [Höfler]. Éloges, J. Golling, Kommentar zu P. Ovidii carmina selecta [Dorsch], Grands éloges de cette 3e éd., Programme. R. Neuhofer, Platonicum Ionblaton Ion [Pavlu]. Analyse 8e et 9e livres. Die apokryphen Apostelakten und die Folkswissenschaft [L. Radermacher]. La philologie classique n’a plus le droit de dédaigner ces écrits apocryphes, elle a au contraire le devoir de s’y intéresser. L. montre comment leurs auteurs, pour intéresser le peuple à des êtres dont on ne savait rien de sûr, les incorporaient dans des légendes, mélange de choses vraies et d’irréelles. Die Aktionsarten in den wechselseitigen Beziehungen [K. Kunst]. Article qui se continue dans le liv. 10. K., après avoir rappelé que vers le milieu du siècle dernier Curtius a montré que dans les verbes il ne faut pas tant considérer le présent, l’artiste et le parfait comme des moyens d’exprimer les différents temps, que comme des moyens de différencier les modes d’action, théorie qui a été vivement combattue, se propose dans cet article de 42 p., qui se termine dans le n° suivant, de reprendre et d’approfondir la question et de montrer que la thèse de C. est exacte. Zu Petronius 35 [J. M. Stowasser et F. Weihrich]. W. a montré.
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THE GEEAT COMMOTION AT PABAGUAY. 575
■with muskets, but, as they were provided with masks, and as it
was at the time tolerably dark, it was impossible for him to give
any other particulars. That was all that could with certainty
be made out, and that this was but very little everyone may well
admit. Still, if the actual facts that could be taken hold of
failed, the field for conjecture and supposition was all the
richer; and there were two views, in particular, which obtained
favour. Some said that the attempt was nothing else than an
act of private revenge. In other words, they thought that Don
Luiz Bernard de Tavora was jealous that the King paid sucb
frequent visits to his wife at night — she was called Donna
Johanna Theresia, and was born Countess of Albor — that he was-
beside himself, and had laid in wait for the great personage, with
some relations or servants, in order to murder him. Others, on
the contrary — and they were supported by the half of Europe —
held that the attack could only have been arranged by th&
Jesuits, or, at least, must have been concocted by them, as
respecting the perpetration of such a wicked deed a good jurist,
asks at once, " Ciii prodest ? " i.e. " Who benefits ? " and this,
question seldom fails to indicate the true authors of crime..
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À chaque dizaine, il recommandait plusieurs intentions dont une pour la pauvre mère qui était en train de monter son calvaire. Pendant ce temps, Maria, les yeux à mi-fermés, semblait soutirer et, à la fin du chapelet, dans un soupir presque imperceptible, son âme s’envola vers le Dieu qu’elle avait tant aimé et servi dans la personne des pauvres et des malades. Les personnes présentes firent remarquer que c’était au dernier Ave que Maria avait rendu son âme à Dieu. Madame T..., qui avait conservé son énergie jusqu’à la fin, se trouva alors dans un état de prostration extrême. Monsieur le Curé lui dit que saint Joseph l’avait certainement inspiré lorsqu’elle avait tant insisté pour que la malade fût confessée. Le docteur, qui était resté dans la chambre, demanda à madame T... qu’elle voulût bien donner ce qu’il fallait pour la dernière toilette de Maria. Mais, la pauvre mère qui, jusqu’à la fin, avait conservé toute son énergie, se trouvait tout à coup anéantie au point de ne plus savoir ce qu’elle faisait. Elle demanda au docteur ce qu’il faudrait mettre à Maria ; puis, accompagnée de la femme de chambre, elle se mit en devoir de chercher ce qui était nécessaire. Au bout d’un quart d’heure, comme les personnes qui étaient dans la chambre mortuaire ne les voyaient pas revenir, elles crurent qu’elle s’était trouvée mal. Monsieur le Curé et le docteur sortirent pour voir ce qu’elle était devenue ; ils la trouvèrent toujours en quête de ce qu’il fallait pour habiller Maria. Enfin, après avoir cherché longtemps en vain, madame T... se souvint que ce qu’elle cherchait était si loin se trouvait près de la chambre même où reposait le corps de sa fille. La jeune fille fut habillée de blanc ; on la revêtit d’une robe qu'elle devait porter le jour de ses fiançailles. Majestueuse dans sa simplicité, elle avait sur la poitrine la croix qu’elle portait toujours, ainsi que quelques médailles souvenirs ; elle tenait entre les doigts le crucifix de méditation de sa mère ainsi que son chapelet de première Communion bénit par Léon XIII, ce chapelet qu’elle avait égrené à Lourdes et qui lui était passé si souvent entre les doigts. Elle avait conservé l'amine un peu souriante qu’elle avait souvent. Ce fut le vendredi 20 décembre, vers 6 h.
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Deschamps aurait eu à lutter, durant sa tournée, contre la mauvaise volonté des agents généraux et du contrôleur général, POESIE / Il y a des gens qui prétendent que la poésie est morte et que les poètes, s'il y en a, n’arrivent plus à percer. Pour se convaincre du contraire, ces pessimistes n’ont qu’à lire la « petite annonce » suivante que publiait, hier, un journal : « On s'adresse aux poètes pour vers cartes postales. Écrire à X_., poste restant ». Voilà qui va remonter le moral à nos porte-lyres ! MOT DE LA FIN— Qu'as-tu reçu, Bob, pour tes citronnes ? — Oh ! des jouets, des livres, des bonbons, comme d'habitude. Et toi, mon oncle ? — Oh ! moi, comme d’habitude aussi, j’ai reçu des factures. Le Pape et les Évêques Rome n’aime pas qu'on discute ; elle l'a jadis prouvé par des moyens extralégaux dont la « douceur » légendaire — oui, légendaire ! — est restée présente à la mémoire des peuples, les plus dociles à sa voix. Rome n’aime pas même qu’on fasse semblant de délibérer pour lui donner raison : on se souvient de quel œil elle considéra la fameuse réunion des évêques à propos de l’attitude à prendre à l’égard des cultes. Ces précédents d’hier et pris dans le tas ont une suite — comme de juste : avec Rome, la séance continue toujours. Il est vrai qu’elle n’aboutit jamais. Cette suite, la voici d’après une information ad hoc : L’assemblée plénière de l'épiscopat, qui devait être tenue à la fin du mois de février à Paris, est ajournée sine die : ainsi en a décidé le Pape, par une lettre du cardinal Merry del Val, secrétaire d’État du Saint-Siège, adressée au cardinal Richard. « L’archevêque de Paris a aussitôt prévenu les évêques de cet événement. Toutefois, il ne s’agit pas d'une suppression, mais bien d’un ajournement puisque Pie X en ajournant l’assemblée plénière, déclare maintenir les assemblées régionales qui ont pour mission de la préparer. » J’admire sans trop comprendre, ce qui est une façon comme une autre d’admirer ; si ce n’est pas la meilleure, c’est évidemment la plus romaine ; ainsi je suis dans le ton, quoique je ne sois pas d’accord.
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Il y eut, comme dédommagement, du vin à profusion et d’une excellente qualité. Nous pourrions citer encore, en interrogeant les étés célèbres par leurs longues chaleurs, deux ou trois exemples à peu près analogues, desquels il paraît résulter qu'il faut, pour sérieusement commencer les récoltes, une sécheresse d’environ trois mois. — La sécheresse devient de plus en plus persistante, dit le Journal de Jérôme. Les cultivateurs sont unanimes dans leurs plaintes. Tout sera défaut, les fourrages et les céréales. Certaines graines de printemps ne rendront pas leurs semences. La betterave se présente dans les plus tristes conditions. Il faut s’attendre à un renchérissement des denrées. Décidément 1870, que les populations désigneront sous le nom d’année du plébiscite, sera une mauvaise année. — Les courses de la Soie seront suivies, le dernier jour, 26 juin, d’une soirée vénitienne qui sera donnée sur le grand canal du parc de Fontainebleau à huit heures et demie. La société chorale de la ville, la fanfare et les trompettes du régiment des chasseurs de la garde concourront à cette fête de nuit. — Il circule en ce moment des pièces fausses de 2 francs émises avec des anciens sous de Louis XVI. La fraude est grossière, car ces pièces de cuivre ne sont recouvertes que d’une légère couche d'argent. On signale également de fausses pièces de 10 fr. en or, à l’effigie de Napoléon III et portant le millésime de 1868. On ne peut les reconnaître qu’à leur son mat, car l’imitation est parfaite. Avis au public. — L’association française contre l’abus du tabac vient d’adresser à tous les chefs de gare des chemins de fer français l’exposé des lois et ordonnances concernant les fumeurs en chemin de fer. Cet exposé a pour but de faire connaître les devoirs des administrateurs envers les voyageurs et les droits des personnes qui ne fument pas contre celles qui fument. — Bien des voyageurs ont la mauvaise habitude de traverser la voie à l’arrivée des trains sans se préoccuper des recommandations des employés des chemins de fer. C’est un acte d’imprudence sur lequel il est bon d’appeler l’attention des voyageurs.
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Michelin ne devrait guère ressembler, sauf erreur, à celle de M. Achard. Ne serait-ce pas le moment de tout ajourner ? Les esprits sages de la commission pensent que tel a paru être l’avis de M. le président du conseil, quand il a dit qu'il ne présenterait la révision qu'au moment où elle cesserait d’être un piège cachant des projets monarchiques ou présentant des énigmes plébiscitaires. Un tel avis n’est pas à dédaigner. Pourquoi ne le suivrait-on pas? Ah ! voilà : c’est que l’on a promis dans le programme, dans le fameux programme, la révision de ces lois constitutionnelles qui sont, on ose le dire, la cause de tout le mal, et comment ne pas tenir une semblable promesse ? On ne pourrait plus figurer ni compter parmi les plus avancés, et toute la politique radicale est dans ce mot, ne l’oublions pas. Si l’on cesse d’être parmi les plus avancés, on tombe dans les vils opportunistes. Shocking ! E. Spuller. Comme nous l’avions prévu, le Moniteur universel déclare inexacts les renseignements que nous avons publiés hier « sur de prétendus conseils tenus à Sheen par M. le comte de Paris et sur des avis qui lui auraient été transmis ». « Prétendus conseils » est admirable, alors que, depuis dix jours, il n'est question que des allées et venues des principaux meneurs orléanistes sur la ligne Paris-Calais-Londres. C’est ainsi qu'on lisait dans le Figaro de mardi cette note, d'origine évidemment sénatoriale, et qui n’a point été démentie : « Deux courants se sont dessinés dans les entretiens que M. le comte de Paris, retour d’Espagne, a eus, à Sheen House, avec ses conseillers habituels et plusieurs de ses notables partisans. Le groupe des sénateurs royalistes représentait le courant antirévisionniste ; au contraire, du côté des députés, on s’est montré révisionniste ardent, et c'est à l'opinion de ces derniers que s’est rallié M. le comte de Paris, qui, d’ailleurs, a toujours penché à la révision. » Il espère en tirer profit, ce qui serait fort raisonnable si la question Boulanger n'était venue compliquer une situation déjà trop embrouillée et donner aux idées conservatrices une orientation assez inattendue.
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Produits Provenance Point de fusion acides gras Indice Ferrier Indice d’iode Saponifié 36 19.5 Inconnue 12 42 18.8 pur 30 41.8 18.9 saponifié 40 19.2 42 41.25 18.8 31 41.50 18.8 34 Marans saponifié 40.50 19 18.8 37.3 37 Charente 40.50 18.8 37.3 saponifié 39.60 19.4 30.2 Camargue 40 19 29.5 40 19 29.2 saponifié 40.50 19.2 33.02 Bretagne 41 19 31.50 41 19 31.75 saponifié 41 19 37.35 Am 41.25 18.8 35.60 La constance de ces résultats, quels que soient les provenances des beurres, est remarquable surtout par l’indice de saponification (acide Ferrier) ; elle prouve que la méthode fournit une base d’investigation tout à fait sûre et d’autant plus efficace que la grande différence existant entre l’indice de saponification des beurres et celui de l’huile de coco permet de reconnaître des mélanges d’huile de coco dans les beurres, inférieurs à 10 pour 100. Le tableau suivant résume les résultats des analyses de différents mélanges effectuées par M. Ferrier. BEURRE DE VACHE ET GRAISSE DE COCO 1 38 19.5 2 42 18.8 3 41.75 18.8 Même beurre avec 1 36 19.7 50% de Végétal 2 39.75 19.3 3 — 19.4 Même beurre avec 1 35 20 10% de Végetal 2 — 38 19.6 3 — 19.6 Même beurre avec 1 — 40.50 19 2 — 41.25 18.8 3 — 41.50 18.8
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12. The sums allotted for grammar schools shall be subdivided Allowance for
among not less than two nor more than four schools in each county, hoTdi^de°a.°°'^
in such proportions as may be directed by the commissioners, ex-
cept as 'may be otherwise provided in schedule A, but no grammar
school shall receive less than twenty-five pounds.
13. The commissioners shall draw half yearly from the trea- common school
sury the sums allowed for the places respectively, and shall appor- d"awnMdareov-
tion the same for common schools according to the sums raised by "^s'l-
the inhabitants of the district, and the number of useful branches
of knowledge taught therein, having regard to the nature, amount,
and quality of the instruction, and the amount paid by the people
towards the salary of the teachers. The commissioners shall ex-
clude any district from participation in the public grant if the in-
habitants have not according to their ability provided and paid for
a teswber and kept the school house in repair. Before distributing
168 Chap. 60. Sect. 14—20. [pakt i.
the common school fund, the commissioners shall apply such sum,
not exceeding one-sixth of the whole fund at their disposal, as may
be necessary for schools in poor or thinly peopled settlements, on
such terms as they think reasonable.
Tree scholars to 14. Thorc shall bc always gratuitously taught in every school
sohS andaoa- or academy receiving aid under this chapter, as many poor scho-
demies. |g^].g^ j^q^ exceeding eight, as the commissioners and trustees re-
spectively shall see fit to send.
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Madeleine 1 vol. 5 fr. » Mademoiselle de la Seiglière. 2 vol. 19 fr. Un Héritage (sous presse) 2 vol. 10 fr. »
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COMTE DE ODYSEN.
Hommes souterrains 2 vol. 10 fr. » Romans du Maroc. 4 vol. 10 fr. »
ARSÈNE HOUSSAYE.
Madame de Favières 2 vol. 5 fr.
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Sous presse.
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Le differenze riguardanti il regno di Navarra e che il predetto re d'Aragona aveva tolto a Giovanni d'Albret, del sangue reale di Francia, distolsero il re Francesco dai pensieri di invadere Napoli; e il timore che risvegliarono in quel medesimo tempo i grandi preparativi di guerra che faceva Selimo Gran-signore dei Turchi, pose nuovo motivo al papa di raccomandare la pace ai principi cristiani. Frattanto terminò anche i spazzamenti di giorni Massimiliano I e tutta Europa stava a guardare con ansietà, quale dei due suddetti re di Spagna e di Francia, che apertamente mostravano di aspirarvi, sarebbe stato eletto per succedere a Massimiliano nel Sacro Romano Impero. I voti comuni delle potenze italiane e massimamente del papa, come più di ogni altro interessato per ricetto del dominio ecclesiastico e di quello di Firenze, sarebbero stati di escludergli ambedue da quella dignità.
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It is calculated that nine-tenths of the coasts of the world are covered with sand. What is the origin of this sand and to what circumstances is its abundance due? Men of science, says the New York Sun, have explained this in part by saying that it is due to the explosive effect of the waves upon the rocks, but it is generally admitted that this is not sufficient to account for the vast quantity of sand that borders our beaches. Undoubtedly a very considerable portion represents the material carried to and toward the ocean by the storms and glaciers of the ice age.
Pennsylvania's Bituminous Mines. According to D. H. Downey, in Pennsylvania, the greatest number at one time of bituminous mines employing ten men or more underground was 2,000. There were in 1913 probably as many as 2,000 small temporary workings, but the aggregate production of these small operations was less than one percent of the whole output.
Peppermint Production in Japan. The production of peppermint in the prefecture of Okayama during the last fiscal year amounted to 90,725 kin, valued at 611,255 yen. This is a reduction in quantity from the year before amounting to 6,973 kin. But owing to the rise in price there was an increase in its valuation amounting to 59,000 yen.—New York Post.
Don't You Forget It. Bear in mind that Chamberlain's Tablets not only move the bowels but improve the appetite and strengthen the digestion. They contain no pepsin or other digestive ferment but strengthen the stomach and enable it to perform its functions naturally. J. H. E.
Lis:—Alexander Munro vs. Elliott et al; suit to foreclose mortgage.
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l'accord entre les deux hommes était partiel, et l’un peut due hautement que cet accord, en retenant les républicains dans les limites d'une opposition purement théorique, a rendu les plus signalés services à la couronne aussi bien qu'au pays. M. Canovas supportait avec peine l'existence de cet accord. Il était jaloux de l'influence acquise par M. Castelar. Il le poursuivait dans la presse, il l’attaquait à mots couverts à la tribune. Il l’accusait en petit comité. Bref, il semblait que le duel fût déclaré non pas entre la politique conservatrice et la politique libérale, non pas entre M. Canovas et M. Sagasta, mais entre M. Canovas et M. Castelar. Sans l’avoir recherché, M. Castelar avait un peu accepté cette situation due à l'esprit inquiet et jaloux du chef du parti conservateur. Aussi, quand la nouvelle de la retraite de M. Sagasta s'est répandue dans Madrid, un cri s'est élevé : « C'est M. Castelar qui est vaincu ! » C’est pourquoi M. Castelar a si vivement ressenti l'échec du parti libéral. En somme, c’est sa politique qui est battue. Ce sont ses sacrifices qui sont perdus. C’est l’édifice de toutes ses espérances qui s’écroule en un jour. Castelar avait, en effet, voulu prouver que la monarchie était compatible avec la démocratie et pour cela il avait sacrifié son histoire, sa popularité, tout son programme du temps jadis. Le réveil est douloureux pour lui. Aussi, un journal, El Gaceta, dit-il ce matin, en présence de la ruine de ses projets, qu’il est des expériences que l'on peut bien tenter une loi dans sa vie, mais qu'on ne recommence pas. Il faut entendre par là que si les républicains castellanos ont bien voulu prêter une fois leur concours pour faire l’espérance d’une monarchie libérale, si ne faut plus compter désormais sur leur bienveillante attitude : Bonsoir, messieurs. Il n'est pas doux que l'attitude de l’armée et plus particulièrement des généraux Martinez Campos, Jovellar et Dalmatine a fortement influé sur l'esprit de la Reine. Doña Christine a eu peur de mécontenter les militaires en laissant plus longtemps le pouvoir aux mains des libéraux. Et pourtant, c'est le parti libéral qui a donné cinq ans de paix intérieure à ce pays.
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Knoirn an "Tlio.ly Fields."
"The place of the massacre is still
In the own as Bloody Fields, and for many
Years. In order to keep alive the sense
Of outrage against the hill people, the
Gens on each anniversary of Black
Vondny would march to the scene of
The massacre hearing banners inscribed
With the legend 'A terror to the native
Irish.'
"Even in the early days the vigor
With which the people of Dublin waged
Their internecine strife did not lessen
The impetuosity with which they entered upon any conflict with a foreign
Adorer. They tore down their churches
Secure stones for their walls when
Carrying for the defense of their city
Against King Edward Bruce, in 1313, and
In lieu of the Irish governor, who had
Failed to the enemy, fell into the
Falls of the defenders he was brought
To Dublin and starved to death.
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j/fPjtjGD**!* á saber ,.jft¿.yt -^P. por la tabia^j
CDV ppr saber quantos pies tiene. , ; • \
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lqa ptratioaleular los triángulos} estas lateas son los
«rcn la&Haí^emes y las ^secantes , coyas lineas Ata
notoJfelqwide ¿o» twflfcgi^ semeje 16^^^,
^g/ÍS,vrG2*G,*>tfl« sacan tlaS siattqnúesi p&pafttidnes
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Pígí vatotf del quarto . término de cada iíoa ; y da
ti í valor de las tangentes y. secantes* como también
el 'de. las cotangentes y cosecantes, <jue<son lo tni4-
mo que las tangentes y secantes del 'complemento. ■
828 La expresión general R del radio basta pa-
ra evidenciar que las proporciones poco ha forma-
das son verdaderas y sea el que fuere el tamaño del
irfreulo donde se consideran; fisto tóánlfiesta qtur éí
tealor det radio es arbitrario , con tal Kf» ufea; v&*
dttermmado rija siempre el mismo ; donde 00 r mu*»
daHan de valor todas las lineas trigonométricas* Si
163.^1 lugar vdtevjJC* fuera [CD el radio, y se tma el
arco DGy el seno del ángulo O ya t^^f^t^^ÁP^
sino DE¡ y tehdflémd&AR : C&xDB: CD. Lo pro-
^ó' se sacará respecto de otiJa 'qualqumcnüaest' Ü\jfc±
¿o la raaoD, entre toda linea trigonométrica yd
^adio es ition*t?nté., oná vez* que siempre -Ve veíSft-
*S?J5p5&*r.í*SBP ^pó^^^;^^,^ a
-uacbo sea ¿ ana '(linea trigonométrica ?- y ^ndli
SI ¡el. radié sea £' k misma' Knea trigotlotíié»
trica, siempre se verificara que R : L :: K:-üts.
^ njuyfUnd^ó,¡^itpir así sdoniJlwcíloélotelíft*.
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638 P. TERENTII
Dz. 1 Etfi facta mihiinjuria 'ft, verumtamen
Potius quàm 2 lites fecter , aut quàm 3 te.»
audiam , s ÓEI
4 Itidem ut cognata fi fíc , id quod lex jubet
Dorem dare , ;abduce hanc , minas quinque
accipe.
Pu.5 Ha, ha, he, homo fuavis! DE.6 quid
' eft? 72 num itiquum poftulo?
KAu-ne hoc quidem ego adipifcar , € quod
jus publicum 'ft! 65
P. Ita-ne g tandem quzío? item ut ro mere-
tricem ubi abufus fis,
ri'Mercedem dare lex jubet ei , atque 12 a«
mittere? 15 am
Ut nequid turpecivis in feadmitterec
Propter egeftatem , proximo juffa eft dari;
x Senex confutatus X
Phormione; citm parum in:
jadicio fpei reponeret , ho.
neíra éqitxelag: pra(cti-
ptione , ad. tran(attionem
animum: adjicit , quaft ex
altera parte: legis ,. de do-
tandá, quam proximus non
vult ducere, orbá. z Con-
tentiones foreníes , id eft,
potius quum judices acce--
dam. 3 Sc.contra me caue
fam Phinii agentem. 4 Or.
do eft: 44ure, id cít, ab-
duc; fc.accepta dote, banc;
jtidem: wt fs fit cognata , ,.
petinde ac fi cognata effet,
(9 accipe quinque mias, íc..
$0 coronatos , id quod. lex.
jubet dare dotem, id e(t, in
dotem. Appo(itive: Vel dare
dotem , id eft, cupio dare
dotem « $ Hic rifu de(truw
xit , quod pratendebat fe-
nex,6 Quare rides? 2 Am
peto quod injaítum eft ?
8 Sc. dotem dare ? g. Sc.
agis? Hic Phormio & men-
tem legis, & confilium le-
gislatoris adveríario oppo-
nit, (ed Demipho ad a qui-
tatem legis cofifugit. 10
Meretrice. Arch:iímus. 11
Dotem. Olio:é hoc dicit.
12 À (fe dimittere ? 13. Or-
do eítr 4s civis id cft,civis
filia, ju(Taeít (c. per leges,
vel. auctoritate judicum ,.
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Causes. — Les mauvais aliments, leur pénurie, l'usage trop longtemps continué des fourrages secs, les travaux excessifs, la malpropreté des étables, la chaleur qui s'y développe quand les animaux y sont placés trop près les uns des autres, etc. ; enfin tout ce qui tend à augmenter la plasticité du sang et à irriter la peau.
Traitement. — Le repos, la propreté, l'aération des étables, un meilleur régime, les boissons blanches et chaudes, l'usage du vert, la saignée, sont les moyens, employés avec succès.
Les bains de rivière, quand la température est bonne ; sont un excellent auxiliaire dont on doit faire usage toutes les fois qu'on le peut.
Cale.
Comme les autres animaux domestiques, les ruminants sont quelquefois affectés de la gale mais cette maladie, qui, du reste, est assez rare, n'ayant rien de particulier dans ces animaux, nous n'en parlerons pas. Qu'il nous suffise de dire qu'on ne la reconnaît qu'à la démangeaison et à la chute des poils, l'épaisseur de l'épiderme empêchant d'apercevoir les boutons qui sont très peu développés et applatis.
Le traitement n'a rien de spécial. — L'huile de cade, les préparations soufrées en forment la base.
Rafle miliaire (feu d'herbe).
D'après l'opinion généralement reçue, cette maladie est particulière à la vache.
Symptômes. — Eruption de petits boutons durs au toucher, dont le sommet pustuleux blanchit et laisse échapper une matière séreuse qui s'étend sur les poils et les agglutine.
Le siège de ces boutons est particulièrement à la face interne des cuisses, aux mamelles et aux lèvres.
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Hans Jakob hat mit all seinen Söhnern wohl noch in keinem Mädchen den Ordensberuf geweckt und die allzugroßen Ansprüche des Publikums. Da, wo Ordensschwestern die Krankenpflege versehen, wird diesen von den Angehörigen der Kranken oft fast alles allein zugemutet und die Schwestern finden demütig und opferwillig genug, sich dieses gefallen zu lasten. Das Gebetspensum der barmherzigen Schwestern ist nicht übermäßig; das kleine Officium der seligsten Jungfrau, in dessen Sinn sie wohl eingeführt sind; kaum eine Schwester dürfte es lieber in der Muttersprache, als in der Kirchensprache beten. Eine Ordensperson aber ohne bestimmtes, wenn auch kleines tägliches Gebetspensum - was wäre das! Hans Jakob fördert immer sonderbarere Ansichten zu Tage, die auch von seinen Oberen nicht immer in allem gebilligt werden. Ulm. Die Handelskammer Ulm hielt am 22. im Schwörhaussaal eine Versammlung ab, die vom Vorsitzenden Braun-Riedlingen mit einem Rückblick auf das abgelaufene Jahr eingeleitet wurde. In demselben wurde hingewiesen, dass der Organisation des Handwerks im kommenden Jahre noch mehr Aufmerksamkeit geschenkt werden müsse. Sekretär, Amtmann Vollmar verlas den Bericht über die vom Vorstand in 3 Sitzungen gefassten Beratungen. Als erster Beratungsgegenstand stand die Bestellung der Gesellenprüfungsausschüsse auf der Tagesordnung. Die vom Vorsitzenden vorgeschlagenen Namen wurden ohne Einsprachen angenommen. Für die Weißgerber wurde ein eigener Prüfungsausschuss für notwendig erachtet und derselbe für den ganzen Kammerbezirk in Biberach ausgestellt. Der Gewerbeverein Geislingen beantragte, für die Lehrlinge der Maschinen- und Metallwarenfabrik einen unabhängigen Prüfungsausschuss aufzustellen. Bayr. Oblig. deutsche Reichsanleihe dt. Prüfungsausschusses wurden gewählt aus der Zahl der Mitglieder u. a als Ersatzmann: Merkle-Schwendig, aus der Zahl der Gesellen: keiner für den jeweiligen Bezirk. — Die Besorgung der Geschäfte des Gesellenpflegewesens werden zur Erzielung einfacherer und billigerer Geschäftsstellung dem Vorstande übertragen und als Vertreter der Innungen Angler-Roth zugewählt.
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PLANS LEGISLATION TO STOP "HEART BALM" SUITS
Representative Martin Hays of the Massachusetts legislature has aroused a storm of protest by his announcement that he will introduce a bill to place a ban on breach of promise suits. Hays says the present "heart balm" suits are mere holdups, pure blackmailing. His intentions have started a storm of protest from the fair sex.
Reports 964 U. S. Vessels Idle. Nine hundred and sixty-four of the United States's slapping board's fleet of 1,370 ships were idle, aggregating 5,600 tons, were stored in the warehouses.
Shipments were idle, 874, eighty-seven tankers were idle.
The Idle vessels, 874, eighty-seven tankers were idle.
SHALL WE USE NURSE CROPS IN IDAHO
Successful Legume Stands Depend upon Careful Use of Nurse Crops is the Opinion of H. W. Hulbert, Associate Agriculturist Idaho Agricultural Experiment Station.
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Feinem Garten fohnt man ein und besonders fagend, immer
er magft don ein donk befund, denn man eine Stube aus dem
Wilde jiett!
"Strom lab' id) mir meinen Garten don gemacht!" rief
der Sattler. "Stein Gesichtsfeld ist nicht so lax, und es
Dichtungen verlangen, hat der Cößen dich für mich gestellt,
der hin und her schreitend, fürchtet sich uingerührt, wie
trotz der hohen Gefährlichkeit durch mich stets. Wie
hier und da oben, er, um sich zu schütten, einen
Unsinnigkeit gefangen, um über das für sie
prächtig abzureißen — bis lab' id) den Saften gefallen,
trotz dem Pfarrer ihr Selbst aufgestellt. Es sind ein
Kalb jungen Fohne; eine lokalseite und runder der
Hinter zurück anbetrachten — ich lab' mir einen
Quell gekommen, und nachdemit geht einmal nachdem
er badet in die Stollen tätig eingejagt ist!
"Zimmern hier nur in Gedanke, dass der Sattlermann
unbeaufsichtigt, sein Seil in die Hand genommen, "lachte
der Klaue, "so ist das Geliefert!
"Wie will er mir sagen?" rief der Sattler. "Tausende
nicht für und auf, vergessen, aber ich selbst für mich
ergen, dürfte sein? Da bin unbedingt so bumm,
wie der Sattler! Wirtinnen er es so gemacht und mich
zogen einer folgenden Spruch fort, getanget, und er
antwortet! Der sagte, muss auch ausfagen, und wenn
der Sattlermann aber die Wahrheit, nicht, sollte in die
Pfarre und Stöcken fort. Er nimmt das zu die
Ableger, die nicht mehr zu überraschen ist, aber
jungen Hinein in die Paradiese und Stöcken fort. Er
nimmt das zu die Worte über, dass das nicht immer
reden, ist, ist den Knechten beugt — idy möchte
lernen, wäre er gegen ein wissendes Wesen! "Nein,
trotz des!" rief Riefen und trat rasch auf den
beschäftigten Tor. "Trotz des — bei der Sir mit einer
Finger einen Streich durch einen Röhren Kanal
gemacht, wurde mir gesagt. Das labt dich mehr!
"Ob mir gefällt, was du tust, und einungen dich
sein Seilten Seil in die Hand nehmen, in die Raupe
Städte und strecken? Denkst du, bei Oben fest,
unbedingt), tue id) mich jemal mit Sund abwehren
hier! "Oft, nicht gar so lügt" rief der Sattler fröhlich.
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Il est revenu la veille de Vannes, où il résidait depuis plusieurs mois, par suite d’un congé, motivé, dit en, pour cause de saute. Agé d'environ 55 ans, doué d’une intelligence remarquable, il munira dès sa jeunesse, au collège Louis-le-Grand, les dispositions les plus heureuses pour l'étude. Nommé élève de l’Ecole polytechnique, il fut blessé d’un coup de fleuret à la figure, et par suite il fut presque entièrement paralysé du côté gauche. Il se peut que cette infirmité prématurée l’ait réduit à un fatal désespoir. Combien l’un doit déplorer que l'impétuosité de la nature lui ait fait méconnaitre ces peines religieuses si propres à réjouir l'âme abattue et la consoler ! — Hippolyte Ducoudray, condamné à mort par la cour d’assises de la Seine pour tentative d’assassinat sur sa femme, a été exécuté ce matin à la place de la Lanterne Saint-Jacques, il s’est préparé avec chrétienté à sa dernière heure. Lors qu'il fut arrivé sur l’échafaud, il s’est écrié : « Je meurs innocent de la préméditation. » Quelques secondes après, la justice humaine était satisfaite.
Nous n’avons pas répondu aux attaques calomnieuses dont la congrégation de Saint-Lazare a été l'objet dans plusieurs journaux, à l’occasion du procès qui lui était intenté par le sieur Denis Hennebert, ancien commerçant à Lyon. Nous avons dû attendre la décision de la cour royale de Paris. Un arrêt prononcé hier, la 1ère chambre a successivement apprécié chacun des actes opposés par le demandeur. Elle a jugé que de ses dispositions formelles, et de toutes les circonstances du procès, il résultait que la congrégation était restée étrangère aux stipulations intervenues entre lui et M. l’abbé Nuzo, ancien surplice général. Le sieur Denis a été condamné sur tous les points. Loin d'être son débiteur, M. Nuzo demeure son créancier d’une somme de plus de 50,000 fr. — Michel, Joullard, Barthélemy, horloger, la femme Michel, la sœur Pilote, couturière, Bouvard, garçon de magasin, et la fermière Crespin, marchande des quatre saisons, ont comparu hier devant la cour d'assises de la Seine, sous l’accusation d'avoir contrefait les poinçons servant à marquer les matières d’argent; de s'en être servis tout en sachant qu'ils étaient faux; enfin, de tromperie sur la nature des marchandises vendues.
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Edito Lo Stato della Questione circa il Vescovo di Cortona, e la sua condizione dai Secoli Estruschi, fino a quelli dei Goti, nel qual tempo non ha ella mai fatto la figura di Metropoli della Toscana, ne è stata la Sede del Correttore della Provincia, si conosce chiaramente l’insufficienza della di lei creduta grandezza nel Regno dei Longobardi, e dopo la restaurazione dell’Impero Romano, come ridotta una misera, dispopolata Città, senza territorio, e distretto, incapace di mandare forze tali nelle spedizioni delle Crociate, da lasciarne il suo nome nei porti di Candia; sparpacci, non meno la spirito della di lei Chiesa, non ravvisandoli in essa la Cattolica Fede ne i primi Secoli del Cristianesimo, non Ecclesiastiche Dignità, non donazioni d'Imperatori, o di Re, o antiche memorie dei SS. Martiri. Nulla le giova il S. Vincenzo vantato nella Tua moneta, non essendo quella battuta, che dal Vescovo Tuo Padrone temporale, che avrà probabilmente tenuto la Zecca in Cortona, come Luogo di suo Vescovato, a tenore dei privilegi Imperiali, non trovandosi la Cortonesi moneta fino al 1158, da che Guillaume degli libertini la sottoscrisse.
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Vera rimane, a spiegare il fatto. Fu tutto questo Boadaglio dal lago terra? Essa non era senz'alcool di incolore; ma, onde rendere l'esperienza desolata, fu messa di nuovo.
MATERIA E FORZA CIRCOLO. — CAP. I. 897
materia vegetabile, sotto qualsiasi forma, ma secca, la parte organica, la quale è combustibile e scompare con l'aria, è di gran lunga la più grande. Ordinariamente il suo peso si eleva da novanta a novantasette per cento. Questa parte della pianta non può essere stata formata da soltanto azoto, se non direttamente, per mezzo almeno di composti, i cui elementi fossero stati tirati dall'aria, ed esistenti sul suolo, assorbiti dalle radici. Secondo il linguaggio del professore Draper, nella sua chimica delle piante, l'aria atmosferica è il gran ricettacolo da cui tutto cose promanano, ed a cui tutto ritornano. È la culla della vita vegetale, e la tomba di quella animale.
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X V 111. Vis et effectus cautionis is, qui
ceterarum stipulationum, ex quibus quid
sub conditione delietnr, ut scilicet com-
mittatur hic stipulatio exsistentibus condi-
tionibus singularum partium propriis. ita
enim jus est omnis conditionalis stipula-
tionis, ut exsisicnlc conditione committa-
tur stipulatio, id est , in ea caussa esse in-
cipiat, ut cx ea agi possit. $. sub conditio-
ne, Init, de rer. obt. Sic ergo es priore ra-
phe eaulionis actio futura est. In bis, quae
cx hac parte pr,Tslare debet fructuarius,
quaedam sunt in non faciendo, vel uti. ne
contra conditionem rri re utatur, ne rem
deteriorem faciat. Tunc commilletur ex huc
genere stipulatio, cum fructuarius adversus
ea quid fecerit, puta contra utendo, aut
rem deteriorem faciendo. Haec enim condi-
tio est , sub qna cx stipulatione agere li-
ceat, si pactio servata nun sit: el commit-
tetur in id , quod stipulantis interest hac
facta non esse. ullim. Itist. de rtrbor. o-
btigat. Quicdam sunt contra, qua- fructua-
rius facere debet: ut rem omni diligentia
cusiodire, ne pereat, aut deterior liat; rem
collapsam restituere; onera pra diorum su-
stinere. Ex his caussis committetur adver-
sus fructuarium stipulatio, cum quid eurum
factum non erit. Ilac enim rursum est con-
ditio , qua in hoc genere cx stipulatione a-
gere liceat, si factum non sit, quod debuit.
d. $. uttim. Insiti, nabor, obi. cl committe-
tur item in id quod stipulantis interest, ut
accidit in omnibus faciendi obligationibus
d. §. ult. L. stipulationes non , vers. Celsus.
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'AXA& xata yyouaxy G6 ot.
HPAZINOH.
Na(* xu)óv eas.
Tóprt Xovoy eepe "UT xat tay SoAiay. Xatà XÓGHoy
" AgíSec. oUx &&G tu, cixvov* puoppeà, Qva innog. 4O
V. 38. y»àun» G. — ánióz v ,W, L. itíóa p, Vat. ànépa G.
— 10. om. Y. — voi xay sic vulgo cum À. D, N, O. Z, Reisk.
Harles. Dahl. Kiessl. ToUto xiby értca, h Ps Vat. 5, C. E.
F. vooto xZeutag k. touto xdmtrec Ce out x ipi K. L. M. «c.
x& eixag P. roUco x& streg W. tovti xa)by Vat. 8, G. Y. covri d£
e" xa)ov Vat. 9» toüto xa inae Vat. 4. toU cóx« direc Junt. vat xa-
6v: six Brunck. zà rox! utree Valck. Gaisf, — Pérsonz no-
**men, T'OPTIQ, ante hunc versum om. Z.
V. 39. cópreyóvtoy p, G. — cài» p» — 3oXíav Vat. ap. Sanc-
tam. Y.
V. £o. ápgit P. — &tà p. — daxvot P. — frrov p. troc P.
GiioessiediubhtUREpde Ie DS pam Md
dxó toU mou9évcog t0 morjcay, S. l. M. IFOEEDEIEN;
npoídwka, s. l. E. M..
38. XxoA. nAA. KaAON. Toóto diwSie efmac, Mya
L Upaswóa , ótt. xatd run Uo éugdy9n. ete * àvti-
atpéget xóy AMyov TpOg UV Jtpéinatyay xat qnot pépe (hot tO
ipie ovy xat thy QOAIAN , ifyouy ^o oxidiÓtoy, , cóv nécagov,
eUxóguo iniges. &ontat ài &mó to) Sóc TRAN oi Ó&
vi tó oxidOtoy ? ox (pov xalobm. LAupteis de GoAav.
M.] — Zxo4. NEOT. KATA TNOMAN , xat váy , Tyouv
d -iGoÀov, S. l. E. M. AnEBA, &ní6a, &yéveto, s. l. M.
39. Sok. NEOT. TawmExoNox , iudvtoy , Évdypa,
s. l. M.
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Bemerkt sei noch, dass bei den Bauten der Pariser
Weltausstellung zur Herstellung der Wandflächen, Decken
und Dächer namentlich bei dm Gebäuden für Bergbau
und Hüttenkunde, sowie für Weberei- und Spinnerei • Er-
zeugnisse gegen 1 Mill. <i® Streckmetall zur Verwendung
gekommen sind. —
in den Kreisen des technischen Berufes. Bedeutete schon
das gelegentlich der Jahrhundertfeier der Technischen
lh»chschule in Berlin den prcussischen Technischen Hoch-
schulen verliehene Recht der Doktorpmmotion, das aller-
dings statt des erhofften Doktors der Technischen Wissen-
schaften schliesslich nur den $r. brachte, die Aner-
kennung der Gleichwerthigkeit der technischen Fach-
wissenschaft gegenüber den alten Fakultäten, wurde diese
Anerkennung der Bedeutung des technischen Berufes
durch die Ernennung von Technikern zu Mitgliedern der
Akademie der Wissenschaften und durch Berufung in das
Herrenhaus aufs Neue zum klaren Ausdruck gebracht, so
musste eine nach der genannten Richtung zielende Reform
des höheren Schulwesens in ganz besonderem Maasse ge-
eignet erscheinen, dem freien Spiel der Kräfte aller Fach-
richtungen die Bahn zu öffnen, mit nicht mehr zeitge-
mäßen Vorrechten und veralteten Vorurtheilen aufzuräumen
Wenn nun der langsame Fortgang in dieser Angelegenheit,
der heftige Widerstand, der von den Anhängern der alten
Richtung dieser Reform entgegengesetzt wird, fast den
Anschein erweckt, als wenn schliesslich wieder ein gutes
'Theil der Hoffnungen begraben werden sollte, so ist
menschlich begreiflich, wenn von der Gegenseite dem
Unmuth über diese Entwicklung kräftiger Ausdruck gegeben
wird. So lange sich eine solche Aussprache in dem Rahmen
einer wenn auch scharfen, so doch rein sachlichen Kritik
hält, wird sie der Sache förderlich sein und darf mit Freuden
begrüsst werden. Der Erfolg muss aber in das Gegcnthei!
Umschlagen, wenn sic über das Ziel hinausschiesst, wenn
den Vertretern einer ganzen Berufsrichtung nicht nur das
Verständnis* für die Aufgaben des modernen Leben-, son-
dern auch der Wille abgesprochen wird, seine Forderun-
gen zu erfüllen. Aus diesem Grunde muss auch die Rede
bedauert werden, welche eines der «len technischen Beruf
vertretenden Mitglieder des Herrenhauses, Ilr. Geh. Re
gierung.srath Prof. Kicdler von der Technischen Hoch-
schule zu Berlin, am 29. v. M. vor dieser Körperschaft
gehalten hat, da >ie geeignet erscheint, den Gegnern der
Vertreter der Technik, die ohnehin geneigt sind, diese
als unberechtigte Eindringlinge in vielen Gebieten des
Lebens zu betrachten, selbst Waffen zu liefern.
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The Knights of Pythias, a secret benevolent or-
der, was organized in the city of Washington, D. C,
February 19, 1864, by J. H. Rathbone. On No-
vember 28, 1867, Honorable Stephen D. Young,
William B. French, Robert F. S. Heath, Richard
B. Wilmot, John Matlack, George W. Conrow,
Charles Slayhew, Joseph Braddock and William
Penn Repsher, all residents of Camden, were ini-
tiated into Damon Lodge, Xo. 8, in Philadelphia.
On December 1 2th, of that year, the above-named
Knights assembled in Odd-Fellows' Hall, in Cam-
den, and were instituted as Damon Lodge by several
Grand Officers from Washington, D. C. Upon that
occasion nearly fifty gentlemen were initiated,
among the number Honorable Samuel Read, who
subsequently became the first Supreme Chancellor.
P. G. C. Young officiated that evening as Grand
Junior Guard. At a later day charters were re-
ceived for two lodges. New Jersey Lodge receiving
the first number and Damon !N*o. 2. Undoubtedly
a mistake had been made, as the members who had
been initiated in Philadelphia constituted Damon
Lodge in Camden and were justly entitled to the
first number.
The Grand Lodge was organized in Camden
March 16, 1S6S. The first annual session was held
in Camden April 20, 1868. The Grand Lodge
meets annually at Trenton, in February. The fol-
lowing were the first Grand Officers : Robert F. S.
Heath, Xo. 2, V. G. P. ; Samuel Read, Xo. 1, W.
G. C. ; Robert Muffett, No. o, V. G. C. ; William
B. French, No. 2, G. R. S. ; Charles W. Heisler,
No. 1, G. F. S. ; Anthony Phillips, No. 1, G. B. ;
John T. Tompkins, No. 4, G. G. ; John L. Sharp,
No. 6, G. I. S. ; Frederick L. Cobb, No. 3, G. 0. S.
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Die Maassregeln zur Bekämpfung der Cholera. 155
^In welcher Ausdehnung diese Maassregel auch in den bis dahin ver-
schont gebliebenen, an demselben Wasserlaufe gelegenen Ortschaften Plata
zu greifen hat, wird von Fall zu Fall zu entscheiden sein. Unter Um-
standen wird man sich hier zunächst damit begnügen können, vor jeder
Benutzung des Flusswassers, bei welcher Theile desselben in den Mund
gelangen können, zu warnen. —
„Beim Ausbruche der Seuche wird der beamtete Arzt, zumal wenn
räumliche Entfernungen mit ins Spiel kommen, sehr bald mit Arbeiten
überhäuft sein, und er wird daher, gelbst wenn er persönlich den in CholerA-
Zeiten an ihn herantretenden Aufgaben gewachsen ist, der Unterstützung
bedürfen.
„Dementsprechend sind neuerdings in denjenigen Fällen, wo die Seuche
«inen erheblicheren Umfang angenommen hatte oder anzunehmen drohte,
von der Centralstelle aus alsbald sachverständige, insbesondere auch mit
den bacteriologischen Untersuchungsmethoden vertraute Aerzte an die ge-
fahrdeten Punkte entsandt, die, durch keinerlei Nebengeschäfte in Anspruch
genommen, ausschliesslich der Cholerabekämpfung ihre Kräfte zu widmen
hatten.
„Diese Maassnahme, welche ausserdem die Yerwerthung der gemachten
Erfahrungen in wissenschaftlicher und praktischer Hinsicht wesentlich for-
dert, hat sich offenbar aufs beste bewährt, und es ist daher sehr zu wün-
schen, dass auch in Zukunft von ihr Gebrauch gemacht wird.
„Ich bin, meine Herren, am Schlüsse meiner Ausführungen, die selbst-
verständlich nach keiner Richtung erschöpfende haben sein können. Wie
auch heute noch, obwohl der Krankheitserreger uns bekannt ist, und obwohl
seine Eigenschafben der experimentellen Erforschung zugänglich sind, in
ätiologischer Hinsicht immer neue Nebenfragen auftauchen, die zu beant-
worten zahlreiche Forscher unablässig bemüht sind, so werden auch die
Maassregeln zur Abwehr und Bekämpfung der Seuche der Vervollkommnung
stets zugänglich bleiben.
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Mais les mesures avaient été bien prises et la lancette n’épargna personne. On n’y va pas de main morte en Amérique. L'USURE DES MACHINES. Pour se rendre compte exactement de l'usure qui se produit dans une locomotive et voir quelles sont les parties de la machine qui souffrent le plus, les ingénieurs d’une grande compagnie de chemins de fer américaine ont eu l’ingénieuse idée suivante : Toutes les pièces de la machine ont été d’abord soigneusement pesées puis mises en place. Après un certain temps, on démontera la machine, on pèsera chaque pièce à nouveau, et, par comparaison, on se rendra compte exactement de l’usure. À TRAVERS LA POLITIQUE L’ARGENT DES FEMMES ET DES PAUVRES. Les cléricaux ont entendu de cruelles vérités hier, au Palais-Bourbon, mais malgré leurs cris de colère et leurs demandes, non justifiées, d’ailleurs, de rappel à l’ordre, l’orateur républicain qui les leur disait, ces vérités, est allé jusqu’au bout. Personnellement, M. Piou, qui est le grand chef de l’organisation électorale noire, a passé un mauvais quart d’heure et des témoins oculaires nous rapportent que, sous la parole de M. Berteaux, quand celui-ci dénonçait et flétrissait les manoeuvres cléricales, il pâlissait de colère. Nous le comprenons, car l’énergique député de Seine-et-Oise n’a pas plus mis de gants qu’il n’a cherché de périphrases. Nous parlions l’autre jour, à cette place, de l’embauche des femmes pratiqué par les adversaires de la république en vue des élections prochaines. M. Berteaux est revenu sur ce sujet et s’est montré sans plié pour ceux qui font tendre les mains à leurs femmes pour récolter leurs fonds électoraux. Le fait est que la posture n’est pas reluisante, mais les Assomptionnistes et les Jésuites, qui mènent la campagne, préfèrent se procurer de l’argent de cette façon que de dépenser les nombreux millions de leurs coffres. Mais où l’indignation de l’Assemblée a éclaté de toutes parts, sauf à droite, bien entendu, c’est quand l’orateur radical a rappelé qu’un prélat, l’évêque de Lydda, prêchant électoralement devant un auditoire féminin, n’avait pas craint de compter de consacrer aux besoins politiques du parti réactionnaire et clérical les fonds des œuvres de bienfaisance, l’argent sacré de la charité ! ! Il était bon que ces choses fussent dites.
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Qux omnia argumenta Bcllarminus pene ad verbum ex Cajetam argutiis fiipra con-
futatis defumpfit : tamen ne cui hxretet ratio , & auctoritate Bellarmini moneatur,
lingula demoliemur. Primum , quod in fua generali propofirionc ftntuit Papam clTc
Caput non folum omnium Ecclelianim particularium , fcd etiam Eccleiix univerfa-
lis congregatx in Concilium , &c. fallit partim xqui vocatione vocis to caput, par-
tim a dicto fecundum quid ad dictum litnpliciter •• li enim r'o caput fumat pro pri-
mo & Principe miniltrorum Chrilli ; ita ut habere debeat in Concilio ledis at-
que (uftragii & conciufionis prxrogativam : concedimus Papam hoc modo efle Ca-
put Concilii : fi autem intelligat ut reverd intclligit hoc caput omnium conferre au-
ctoritatem Concilio , licut , verbi causa , Rex confert Conlilio fuo & Parlamentis ,
negatur hoc modo polle dici caput : ellque mera petitio principii : Papx enim po-
tcllas elt in ordine ad regimen Ariftocraticum , ut etiam decreta quartx & quintae
feflionis Conftantienfis dcmonllrant.
Secundo , argumentum duitum a capite 1 6. Marhxi etiam fallax Si captiofumefte
quoniam Petrus elt dumtaxat petra & fundamentum Eccleiix fecundum quid& me-
taphorice , non abfolute /impliciter , de qua re quxft. i. hoc ipfo capite contra
Bcllarminum egimus.
Tertio , fateor Papam ede caput Eccleiix congregatx , ut di&um eft relponfione
ad primum : fallirque Bcllarminus partim a fuppolitione principii , partim a dido
fecimdiim quid ad dictum (impliciter , dum ea Pontifici arrogat , qux Chrifto pro-
pria funt : Chnftus enim ablolute Se fimpliciter eft caput & fundamentum Eccle-
fix 5 .Papa verd metaphorice Si fecundum quid juxta leges Ariftocratici regiminis
prxfcriptas in Evangelio. Vide axioma xv. Si. xxxi.- Apologix noftrx.
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O poszczególnych postułatach szeroko
mówić nie będę. Co się tyczy dróg žela
znych, SĄ postulaty dość powszechne i mo
żna koszt ich dość ściśle obliczyć. Co się
tyczy przekopów dla żeglugi, pragnąłbym,
żeby rozbieranie kwestyi ich znaczenia eko
nomicznego zeszło na drugi plan, żeby na
"ia WM." NEW a "WNN". . rzucił jej jedno słowo: „Prze
bacz mi!“
Oto, jak prawo franeuskie rozłącza
przykładne małżeństwo, skazując na opu
szczenie kobietę, która przez lat dwanaście
była wzorową, kochającą żoną!
Zuzanna nie kryje swej boleści przed
przyjacielem, ale pomimo swojej rozpaczy,
dzielną jest do końca, mówi o przyszłości ze
smutkiem, ale z odwagą. Musi otrząsnąć się,
zapomnieć, bo ma dzieci; o nich teraz my
śleć powinna, bo one nie mają już nikogo
oprócz niej na świecie... Natychmiast po o
trzymaniu rozwodu pojedzie do Annecy, do
londeta i jego żony, i tam, choć wie, że
miejsce to pełne jego wspomnień, rozdziera
jace na niej uczyni wrażenie, — spędzi pierw
sze czasy swego osamotnienia. (o dalej po
cznie? ona sama nie wie i myśleć teraz nie
może |...
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Maar Henk Wilkes zat avond aan avond aam het bed inde duistere kamer vam het ziekenhuis, waar een kleine jongen roerloos in zijn bed lag met niets ziende ogen een jongen, die tóch een wonderlijke wereld zaïg, een wereld waarin geen afstanden bestonden door de snelle vliegtuigen die hem in gedachten vam de ene plaatsnaar de andere brachten. Er was geen luchthaven in Europa, welke hij niet bezocht. Met de Swissair vloog hij naar Zürich, de Ala Littoria bracht hem naar het schone Boedapest en de Air France voerde hem over de Middellandse Zee naar" Casablanca. Met de Amerikaanse „clippers” stormde hij over de Atlantische Oceaan naar de groene kust van Brazilië en de goeie ouwe K.L.M. deed hem de wonderen kennen van het Verre Oosten. Hij beleefde de sensationele landingen op de stoffige militaire Engelse vliegvelden in Afrika en op de drassige velden van Bombay en Singapore. Vol spanning maakte hij de tocht over de met haaien vergiftigde Timorzee op weg naar Australië en van iedere nieuwe lijn in het net van het machtige luchtvaartverkeer was Bob de eerste Hollandse passagier. Hij wist hoe Athene er vanuit de lucht gezien uitzag en ook
waarom de K.L.M.-piloten Sumatra’s dichte plantengroei als-boerenkool betitelden. De wereld was van hem, dien kleinen luchtvaarder, en het_ was Henk Wilkes, die het- stuur met vaste hand hield en hem bracht waarheen hij wilde, naar alle werelddelen van Kaapstad tot Charbin, van Melboume tot San Francisco. En het was Henk Wilkes’ stem, die steeds weer met gloed en enthousiasme de fantasie van den kleinen patiënt nieuw voedsel gaf. De verpleegster, die haar ronde deed, luisterde nu en dan aan de deur en ving dan brokstukken op. „Nee Bob, dan krijgen we eerst nog Allahabad daar moeten we even opletten, met landen, want er is een zandstorm gemeld ” „Butzweiler? Dat is het vliegveld bij Zürich. Ja, daar nemen we even benzine in en dan klimmen we tot tweeduizend meter om over de Alpen te komen. Het is nou de tijd van de Föhn en dan heb je boven de Alpen die vervelende „luchtzakken”. En dan werden de propellers weer aangeslagen en vervolgde de bemanning de tocht naar verre, verre landstreken. „Nou mevrouw, u mag dien meneer Wilkes heel wat dankbaarder zijn dan mij”, lachte de oogarts, toen Bob Storm’s moeder hem kwam bezoeken op de zelfde dag, dat het verband van de ogen was verwijderd.
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In uso letto con soffitta di filo. Negri ca A 31. È per L. 66 Ri da. O nato di TIE Lai L'emotore indirizzato a M. il Ministro dell'agricoltura di come Mencurziao =; La merce della Repubblica francese, per EDUARD SOF. TI da EMEGOZI LETTI, DI FERRO. Vuoto e DI FERRO, Pieno. Con parla articoli e modicità di prezzi non teme con poco tempo APERTO in via del Teatro Valle (accanto al Teatro). ROMA. Sterrasso e paglieria a molla L. 69 50. Dichiarazione dell'Autore avviso alla Stampa. L'Autore è un po' qua eroe, in questo senso che: professa la teoria. La cura o scrivere; notte di battiti nervosi per tutto il corpo, la digerizione era difficilissima, persistenti le insonnie, ed era in preda ad un’agitazione nervosa insopportabile; era sotto il peso d’una mortale tristezza. Molti medici mi avevano prescritto inutili rimedi; ora disperando volli far prova della vostra farina di salute. Da tre mesi essa è il mio abituale nutrimento. Il vero nome di Revalenta le si conviene, poiché, grazie a Dio, essa mi ha fatto rivivere e riprendere la mia posizione sociale Marchesa De Bregnano. Quattro volte più nutritiva che la carne, economizza anche 50 volte il suo prezzo in altri rimedi. Revalenta in scatole: 12 kil. 4 fr. 80c; 24 kil. 8 fr; 36 kil. 12 fr. 50c; 48 kil. 16 fr.
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Dans l'intérêt d'une vérité dont j'avais appris à apprécier l'importance et avais depuis longtemps épousé la cause, je résolus de faire une tentative auprès de Broca, que je connaissais un peu, pour tâcher de le ramener au combat, qu'il venait de déserter à la première escarmouche. Me voici un beau matin dans son cabinet de la rue des Saints-Pères, n° 1, où il venait de s'installer en se mariant. Je me permis de lui faire la leçon suivante, que je vais reproduire ici dans l'espoir qu'elle ne sera pas perdue pour tout le monde :
« Vous avez commis, lui dis-je, une étrange imprudence en vous posant d'emblée devant le corps médical et le public comme maître et docteur ès-hypnotisme chirurgical sans autre connaissance dudit art que les quelques bribes que vous en aviez ramassées dans un article de dictionnaire écrit de seconde ou de troisième main, plus ce qu'a pu vous en apprendre un premier essai pratique dans lequel le hasard vous a trop bien servi. Je n'avais jamais entendu parler de Braid non plus que de son hypnotisme jusqu'au moment où vous me les avez révélés tous deux en me signalant l'article du Nysten. Mais cette information m'a suffi pour me convaincre que, de même que M. Jourdain, j'avais longtemps fait de la prose, c'est à dire pratiqué l'hypnotisme, sans m'en douter, tout en exerçant assez convenablement ce métier, mais sous un autre nom, et tout en l'enseignant, et en traitant en un volume de dimensions respectables. Bref, continuai-je, je me sens assez expert en la matière pour oser vous dire que vos échecs répétés tiennent uniquement à ce que vous n'avez pas poussé l'opération jusqu'au bout, que vous vous êtes arrêté au premier temps et, pour mieux dire, aux préparatifs. C'est comme si, ayant à extraire une molaire avec cette clé de Garengeot (Broca tenait une clé de Garengeot à la main), après avoir garni de linge son panneton comme il convient, et avoir appliqué ensuite l'instrument sur la dent malade dans les formes prescrites, vous borniez là votre travail.
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Les petits collèges, malgré leur grand nombre, n'ont pas honneur à l'Université, et leur décadence, qui est due à des causes multiples, leur fait perdre leur influence. Plus surveillés, et par suite obligés à plus de retenue, étaient les principaux des grands collèges, les seuls qui eussent des régents dans leur dépendance. Ils étaient généralement choisis par les supérieurs avec plus de soin, et ne pouvaient pas se permettre ces fantaisies administratives dont leurs collègues des petits collèges étaient coutumiers. L'intérêt, à défaut d'autre motif, leur commandait de vivre en bonne intelligence avec leurs régents; car, en matière d'éducation, la concorde entre les maîtres s'accélère chaque jour. Ce n'est pas sans raison qu'on a demandé à plusieurs reprises la suppression de ces établissements mal dirigés, mal surveillés, sans discipline et sans moeurs, et dont quelques-uns se trouvent dans un tel état de délabrement qu'au cours d'une inspection le recteur constate que le collège de Tergnier n'est plus qu'un amas de décombres. Il n'est pas passé dans ces maisons soi-disant académiques des choses si étranges qu'on aurait peine à les croire, si les registres n'en faisaient foi. Dans tel de ces collèges, le recteur, en tournée d'inspection, ne rencontre qu'une vieille femme. Au collège de Boissy, pendant quarante-cinq ans, il n'y a qu'un principal et point de boursiers. Il est inconnu dans la rue même où il se trouve. Au moins celui-là n'était pas un objet de scandale. Dans la plupart des autres petits collèges, toute discipline a complètement disparu. Au collège du Mans, en 1649, le collège du Mans est dans un état indescriptible. Les boursiers sont en guerre ouverte les uns avec les autres. Ils s'injurient, se frappent, et même se battent en duel. La maison est fréquentée par des femmes de mauvaise vie, les bâtiments loués à un chirurgien qui soigne des maladies honteuses, et reçoit chez lui, au grand scandale des voisins, une nombreuse et peu recommandable clientèle.
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di S.4n-r>uìrì«o,, Dioc, di M*>ntalci«o, già
di Cliìiiisi, Gump. di Sienii,
POGGI , o POGl , ti*Kolia Poci, in V^l-
d'Ainbrrt, — C;itt, cc>n |wrr. (S. ornalo) nel
piviere di Gt pan noie, Coni, e cirri» nu niì-
gL 44 ostro del Bucine , Giur. di Mùuievai'-
*:hi. Bjoi", i' Gìiiip. di Areaio.
Li smantelbliii roci%* dì Po^i vedesi s'apra
il ris;dtn di una collina alLt de^ra di'irUii-
h ni» mentre il suo borgo liovasi j»n Ila strada
pr«HÌnci.ilc lungo la fiumana.
Ebljcro paniere in cotesto luogo i monaci
tìrUit Badia d* AfTUìi no, che sino dal ij;3S
|iossedev^no in Po|ri un mulino iultora esì-
stente, seld>i-nc i diritti baronali spellassero
ai coni! Gnidi. — Infatti il Cast, di Pogi
del visconte ilo di V<il -d'Ambra appartenne
ai conti Gnidi di Poiriano, dui quMili di|.ien*
devHuo i fK>f>oli del Bucine, di Catfoselvi^
Gililrnud, Mercalale, Pogi, Torre S. Rep-
rnhi, R" Tidnb, eTenlennano. Inqìerocche nel
1^6^ gli abitanti di Po|;ì f^iiirarouo tHtiU
e vasiikillH^ifin ^] conte Guido di Tc^i'Lnro
de'cfMilJ Gnidi di Porciano, poco dop» avere
quel conte ucqn istinto d^ii Mioi consi»rti per
li ri' *j MI il r^slello di Pni;i e U villi di Ten-
Iciin^iiiocon le lot^*ip|,iailcnenw, — ^(,A*iiiji.
S(or. di' conti Gnidi ), — Fu al loia ìu\ìaU
180
poce
a Pogi col titolo di TÌsoonte» o podetli. Or-
inilo flegli Alergotli di Areno, dopo che il
conte Guido diTegrìmonel nunodel 196O
■i era dato in aocoinandigia agli Aretini in-
sieme con i vtsnlli suoi e con i castelli cbe
possede\'B in Val -d'Ambra.
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j sriettaM#- fnni tlir standpoint of t|i?
. aiJminisil.iti-iii of Fr?|rral justb r "
MM\I> No l)|srMI?1 IIF.S
III-* I\TI-:i? N ATION M. I* I .II I
>1r tt'iHs, in l\n testimony. failed
to makr an\ dlsclo-in #?*-- regarding .in
in l e rnat iona t pint
Tlir yic.-in-r part >?' thr ?J^ \ n ?
J-lii-lll by i|ir c mil III 111 r >- in v,ei-ret ??
Stoil Late to -May, aflri till- Oi'illpHIU
"f ilif ofhee*; of the law- firm nf Sey
mour Seymour bail been I'vaMlllicI
b\ I >ist riot Attorney s?min, n w;> att
rion iii-im) that th?- commit Irr ,-i s satis- !
tiril n i i rime li.nl ln.f!i i ommittei) in ;
thr Se> inntirs I>r the otll*e llirn w l|i> !
'shared tbrir ofTii-rs. ,\ fr\* minute
lulrr a pnblii- ui'iuiry into ilii- motive,
that impelled ?!?>?> poll r I ?> t .? j. i n.. ohi ,
leadinsr 1? thr S'yitioijr A- Sevmnui !
ofP-'e:; v. as hesrtin.
??otnmtssinn?*r W-jnl' v. a . illnl in
I thr -'.Mid in thr open 111i) 1 r\ a f t f r '
"iliif^iA 11 a 11 testified tliat Willi, i m .1
Kuril* iif i In I '.iirti* I ii*Ii n <? \ -r o v.
anil In ?-??ii. Sherman. ha'l encaard a
room adjntninc tlii* :???>> tiiout oflii-rs a 11'I |
: caused tin- tn tallatirm ..f .i trlrphotiio
'I"1 *?'?" '' alrr.nly bail brrn aIIliOll*i*-r?l
h> tlir ?Jtii<-1 ittiornr** that thr Huinsl
ilrtcirtiv r.s wi*rr riip.ippi) !*\ ilir tirni r.f
.1 IV Morgan <v i*o,. from who^r ?
lia.l brrn pilfrrril oOi -i;il iim'v..;^ frnm
tin* l'rrti'b L-nvi-niiiifnt i<-lnt.\. t<> n;u
[ lilt inn Mtpplics.
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Albmal beginnen die Vorgänge an den Blätterhissen, TOS denen sowohl die Auflösung der kalkhaltigen Substanz als auch die Anteilung des Kriechgewebes vorgebt. Setzt man bei der Gelichbarkeit darauf hin, dass die Vorgänge atomisch verlaufen, so kann man sagen, dass bei den verschiedenartigsten Erkrankungen die Wirkung mit großem Regelmäßigkeit bestimmte Teile des Skeletts trifft, die aber auf seine Wirkung bin dasselbe sehr verschiedene Wirkungsmäßen am Knochenschaft vonziehen. Unter die Art dieser Reizwirkung ist ein alschließendes Urteil noch zu geben, die Zeit dazu ist noch nicht zu geben, doch darf man von R. darin unbedingt zustimmen, dass der von ihm betretene Weg des sorgfältigen Vergleiches Erkrankungen am ehesten an das erstrebte Ziel einer Erkenntnis der Ursachen führen wird.
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Le lendemain du jour où fut commis ce crime affreux, qui a jeté dans la consternation toute la France, une scène vraiment touchante s'est passée aux Tuileries. Mme le duc de Bourbon était venu apporter quelques consolations aux douleurs qui déchirent l'âme de MONSIEUR. En vain plusieurs personnes conjurèrent S. A. R. de retarder une entrevue si triste. "Non, " répondit le Prince ; puisque je vis encore, je dois profiter des jours que la Providence m'a laissés pour aider mon cousin à supporter un malheur que j'ai moi-même éprouvé. " Lorsqu'on ouvrit les portes de l'appartement de MONSIEUR, M.gr le duc de Bourbon ne put résister aux sentiments qui l'oppressaient; ses forces l'abandonnèrent. MONSIEUR se précipita aussitôt pour le soutenir ; et ces deux pères infortunés restèrent longtemps enlacés dans les bras l'un de l'autre.
Le récit qu'on vient de lire, fait connaître toute la magnanimité du Prince chéri, dont nous pleurons la perte. Tels sont tous les Bourbons, dont l'esprit révolutionnaire a fait à dessein les vertus pour éteindre notre amour. Cet esprit diabolique, aussi atroce que perfide, n'a pas cessé de s'acharner contre nos malheureux Princes. À peine rendus à la terre natale et à nos vœux, il faisait déjà retentir autour d'eux le cri de mort, qu'étouffaient les cris d'allégresse. Aux joies de la terre, aux bénédictions du ciel, le monstre osait mêler ses horribles blasphèmes, ses épouvantables imprécations. La vivacité, l'impétuosité d'une âme forte et généreuse se faisait remarquer dans le caractère du duc de Berry, et l'a fait juger souvent avec une sévérité plus que condamnable. Sa franchise naturelle et la bonté de son cœur l'empêchait de se mettre en garde contre l'interprétation du sentiment qui le faisait agir.
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£1 padre provincial pasó personalmente a Pátzcuaro, reconoció la
comodidad y la importancia de fundar en aquel sitio, admitió la Igle*
BÍa, la casa, y los 800 pesos que habían querido ofrecerle. Respecto
de los 400 para maestro de latinidad y predicador, resjiondió que nó
podían admitirse: qne la Compañía tendría á grande honor servir ásus
señorías en cátedra y pulpito; pero que siendo este uno de los ministe-'
líos esenciales de nuestro instituto, no podía recibir por elio estipendio
ni limosna alguna: que por lo demás luego que llegase á México, en-
viaría sugetos que efectuaran la dicha fundación, la que desde enton-
ces admitía en nombre del R. padre general, de quieh tenia para este
efecto singular comisión. £1 ilustre cabildo agradeció ai padre Pedro
Sánchez la pena que había querido tomarse de ir en persona á tratar
de aquel asunto, quedó muy edificado deja religiosidad y desinterés de
l& Compañía, y le suplicó que sí no habia en ello inconveniente algu-
no, se sirviese señalar por uno de los fundadores de aquella casa al pa.
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Wilzo, 18 listopada (ETE). Równocześnie z
aputikoewaniem dekretu o wyborach do zgm
madzenia orzekającego, nastąpić ma dymisja
jen. Mokrzyckiego į dielknet, w Którym miano
wany bedzie na jego miejdce Majszowicz. Pe
papisoniu dezratu o wyborach i nominacj
|Majsztowiczą jen. Żeligowski nieodwołalnie u
stapi.
TERYTORJA WYBGRCZE. _
Wiino, J8 listopada (PAT) Wybory maj:
przeprowadzić władze Litwy Środkowej or%
wiadze polskie. W związku z roszarzeniem tery
tajum wyborczego zajdzie prawdopodobnie
zmiana w podziale na okręgi wyborcze, W;tery
potrwają około 5 dni.
LICZBA POSŁÓW.
Wilno, 18 listopada (ETE). Ludność teryt»
rium wybomezągo liczy wadle spisu pozeprowa
dzonego w r. 1919 — 732.000 mieszkańców
Przy nermie jedmego poda na 7.000 mdności
Sejm orzekający w Wilnie liczyć będzi 185 po
slów.
Piorwsześe grudnia rozpoczną sie
rekowanie poisk
o-piennerkie
'ferencję przedwstępną komisji mieszanej. To
wamzyszy mu prócz seknetarza: jako zastepcs
ministerjum spraw zagranicznych bh. Sełmłen
burg.
Niemcy wekec wykoru
przewodniczącego
Hanower, 18 listopada (PAT) Oginja nie:
niecka zadowolona jest z wylbomu Calonder
ną przewodniczącego komisji górnaśląskiej, w
znając jego obiextywizim i bezstronność.
liak zwykle. a gdy się znalazł na ulicy. poza
ścdanami mirów. w których upłynął najlepszy
okres jego życia — odezuł gwałtowną potrze
be natychmiastowego powrotu. jakby wiedział
że jeśli teraz nie zawróci. to już nigdy... a żjeśl
i terazby zawrócił. to i tak zapóźno..
Strasziiwy Asz-ri już, już wybrał się w dro
gę.. odrzucił płomienistą grzywe w górę. jab
lew, gdy przeciąga się į pręży swe cielsko..
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Subsets and Splits
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