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Il est si triste, parfois, qu’il faut bien trouver une raison à cette tristesse; mais, moi qui pense tout différemment, je hausse les épaules et je ris. — Pourquoi donc? — M. Edouard Lebel ayant une maîtresse, ce serait drôle, et être amoureux plus drôle encore... Lui, amoureux d’une femme, allons donc? — Pourquoi pas, monsieur Darimon? — Ne vous l’ai-je pas déjà dit? Eh bien! Claire, croyez-moi, M. Lebel n’aime que la peinture; pour tout ce qui n’est pas du domaine de ses rêves et de son idéal, ce garçon-là est de marbre... — Oh! que dites-vous là? — Il n’y a et il n’y aura jamais dans son cœur qu’un seul et unique amour, l’amour de son art! C’est ma conviction. — S’il est ainsi, mon cher tuteur, dit la jeune fille d’une voix qui trembla légèrement, nous devons plaindre mademoiselle de Lancelin. — Oh! réplique sornement le vieillard, ce n’est pas d’aujourd’hui qu’elle est à plaindre. Mademoiselle Dubessay resta quelques instants silencieuse, la tête baissée. — En vérité, reprit-elle avec un accent qui trahissait un secret dépit, je ne comprends pas quel plaisir si grand peut éprouver à M. Lebel à faire constamment les mêmes promenades dans un pays où tous les accidents de terrain et jusqu'aux plus petits sentiers lui sont connus. L'année dernière, c’était bien; désireux de connaître les environs de Grisolles, ses excursions s’expliquaient; mais à présent, qu’il n’a plus rien à voir... — Un artiste, Claire, a toujours quelque chose à voir et à admirer dans la nature; en hiver, les paysages ne sont pas les mêmes qu’au printemps ou à l’automne. Du reste, l’artiste possède cette faculté de voir la même chose sous vingt, sous cent aspects différents. Ainsi, M. Lebel, qui est allé maintes fois à la Côte-aux-Rochers, y retourne souvent; il y était il y a quinze jours, il y était dimanche dernier, et s’il sort aujourd'hui, je parierais que c’est encore là qu'il ira. Cela prouve que cet endroit si pittoresque l’attire et qu’il se plaît au milieu de ces énormes pierres de formes bizarres. Il faut bien dire aussi que du haut du monticule, on a des vues superbes, très étendues, et qu’on peut contempler et admirer de magnifiques paysages. — Eh bien! quoi? M.
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Da Basso, di Sier Gabriel Barbò, podestà e capitanio. Con avviso di come stanno le cose a Trento, e preparati a difendere la guerra, ut in litteris.
Di Sier Vettor Soranzo, provvido in Bregi, di 7 Aprile. Scrive del suo ingresso in terra, mandato a quel governo, con gran jubilo della terra, li venne incontro gridando: «Marco, Marco», e basandoli i panni, e quelli non poteva toccare lui, toccava chi l'aveva toccato; e che alcuni però erano malcontenti, perchè stando sotto Cesare mancava vano quella terra, etc., ut in litteris.
Venne domino Guido Naldo, capo di fanti in Legione, viene dal campo da Cassano, e voria avere il luogo aveva Babone suo fratello di essere capo di colonnello, e che suo nipote Hierimia avesse la compagnia, dolendosi che alcune compagnie avevano il suo avanzo e la sua non etc.
Narrò la cosa del passaggio nemico Adda, come fu. E il Serenissimo li usò gravi parole, dicendo non è tempo, e tornò in campo.
Da poi dianzi, si è Pregadi, per fare Provedador a Bregi.
Dal Grangis, da Coyra, di 13. Con avviso del calare le lance, come dirò di sotto diffusamente.
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Aujourd’hui mardi, 9 courant, à 9 heures précises du matin, il sera vendu par le ministère de Mes Henry Caumont, père et fils, courtiers de commerce, les laines ci-dessus énoncées, divisées en plusieurs lots. La vente aura lieu au domaine de Chois, où les laines sont déposées. Les 20 balles de laine Salonique, provenant du vapeur Indus, sont vendues par-devant MM. Pélissier et Sflotzin, représentants des assureurs. Tout—C3De 687 sacs de café Haïti, avariés, à la consommation. Ce 9 septembre, jour de mardi, à trois heures de relevée, en présence de M. le receveur principal des douanes, et par le ministère de Me Félix Ciani, courtier, seront vendus, en plusieurs lots, lesdits cafés, déposés domaine Double, rue de la Paix, où la vente aura lieu. — E 5YEATE A 4h pour attente de départ, Aujourd’hui mardi, 9 septembre, à 4 heures après midi, Grand Chemin de Rome, n. 33, au coin de la rue Bel-Air. De divers meubles de chambre et de salon, consistant notamment en canapé et fauteuils recouverts en velours, ottomane et ganaches en soie capitonnées, table à coulisse, tables à portefeuille, glaces et consoles style Louis XV, bureau de dame et travailleuse en bois de palissandre marqueté, étage des chiffonnières, commode, placards, gravures de Jazet et autres encadrées, pendules à sujet, appliques, lustre en cuivre doré, lampes modérateurs, jeux de feu ; d’un service en porcelaine coloriée et dorée, d’un service de table en cristal mousseline gravée ; d’une grande quantité de rideaux en velours, en soie et en mousseline brochée, etc., etc. On pourra voir et examiner à l’avance tous ces objets dans la matinée d’aujourd'hui. 2103—IL A ÉTÉ PERDU à Roucas Blanc (chemin de ceinture) dans la journée du 5, une PERRUCHE à col, parlant assez bien, et prononçant spécialement ces trois mots : carré blanc, Annette et Alexandre. Recompense de 25 fr à la personne qui la rapportera, ou qui indiquera l’endroit où elle est. S’adresser rue Beauvau, 5, chez M. Garelli. 2090—C2BANDAGES BIONDETTI. Ces nouveaux bandages à régulateur, d’une légèreté et d’une solidité remarquables sont reconnus depuis longtemps d’un emploi beaucoup plus gênant et d’une efficacité réelle; ils ne compriment uniquement que la hernie, sans déterminer de pression douloureuse sur la colonne vertébrale, ni aucune saillie désagréable sous les vêtements.
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Béni soit Dieu qui a permis à ma voix de chasser le démon de votre cœur. Tandis qu’il parlait encore, don Rafaël parut, son regard comme le mien semblait chercher le prisonnier. — Ribeira, où donc est Ribeira? cria-t-il. Ses yeux flamboyèrent et se portèrent avec anxiété, tantôt sur le prêtre, tantôt sur mon hôtesse. — Mon fils, dit le moine. — Par l’enfer, interrompit brusquement le vieillard, m'auriez-vous trahi? — Il est libre, dit la malheureuse mère en se jetant aux pieds de son mari et en poussant un sanglot. L’ombre des fils a demandé grâce pour lui et mes doigts ont rompu les liens qui le reliaient. Le vieillard saisit sa carabine avec rage et promena son regard autour de lui comme s’il cherchait une victime. — Et mon vœu ? cria-t-il. — Il est accompli, répondit un guerrier en jetant aux pieds du chef un couteau ensanglanté. Je reconnus Antonio, le cavalier si maltraité la veille. — Tu as tué le colonel ? dit le prêtre. — Mon père, dit Antonio en s’agenouillant, pour vous demander des prières pour lui et l’absolution pour moi. — Ah ! s’écria la femme de don Rafaël en posant la main sur le bras du moine, vous voyez bien que Dieu l’avait condamné ! Lucien Biart. (L'Île tempérée. Le zèle, édit.) LES BÊTES CURIEUSES LE FER-DE-LANCE : De l’avis de tous les naturalistes, le trigonocephale, fer de lance, est le plus terrible des serpents, le plus prompt des empoisonneurs, le plus redoutable peut-être des êtres créés. Il n'existe que dans les îles de la Martinique et de Sainte-Lucie, ces douces terres où tout est rayons et brise, verdure, fleurs, parfums — venin ; C'est là seulement qu'on trouve ce reptile redoutable, il ne se rencontra pas ailleurs. C’est sur son berceau, son paradis, sa tombe. C’est son oratoire sinistre et son domaine inviolable. Notre belle Martinique lui appartient. Avec une grande audace il entra dans les cités et les villages, se glisse et se cache dans les maisons, se blottit derrière les meubles, s’alla-t-il dans les lits. Sa longueur atteint jusqu’à dix pieds, et sa grosseur est celle du poignet. C'est la plus venimeuse de tous les serpents connus. L'homme inquiété est perdu : il saute et meurt.
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Der Bediente öffnete den Schlag und schlug die Stufen des Tritts zur lauten Freude der Bergjungen, denen eine solche auf und nieder klappende Fahrt nie vorgekommen war, auseinanders; und Jenny, purpurrot, bis zum höchsten Grade aufgeregt, flog mit verweinten Augen und fröhlichen Gesichtszügen in zwei leichten Sprüngen herab und mir an den Halt. „Wo ist mein Anton? rief sie, und wollte in seine Arme; Anton aber stand schon am Wagen und trug vorsichtig, fest und sicher, den Fremden in das Haus, und der Fremde legte segnend seine Hand auf Antons glühende Stirn. Da brach Jenny in lautes fröhliches Weinen aus, und zog mich, der ich zu dem Allen keinen Schlüssel finden konnte, stürmend in das Zimmer, weil der Fremde mich zu sprechen wünschte. Nach dem Verband, bei dem der Arzt erklärte, dass das ganze eine bloße Contusion ohne alle Folgen und Bedeutung sei, bat der Kranke die Umstehenden, abzutreten und behielt mich allein zurück. Er reichte mir tief bewegt die Hand und dankte mir für den ihm bei seinem heutigen Unfall bezeigten Anteil und für die Freundschaft, die ich bisher dem Hause hier bewiesen. — Letztere berechtigt mich zu dem Vertrauen, fuhr er fort: mit dem ich Ihre Güte in Anspruch nehme. Ich bin der Lord Lifford. Jenny ist meine Tochter. Am großen Markte zu Birmingham, wo jetzt Nelsons Statue steht, hatte mein Onkel, den ich als junger Mann von zwei, drei und zwanzig Jahren von London aus besuchte, ein prächtiges Haus; dicht neben ihm wohnte Jenny's Mutter, die in der ganzen Stadt unter dem Namen der schönen Deutschen bekannt war. Wir sahen uns ein halbes Jahr täglich, ihre Tugend, ihr Verstand, ihre Reize schlugen mich in die Fesseln der süßesten Liebe. Meine Aussichten, meinen Rang, die lächerlichen Vorrechte meiner Geburt, alles legte ich zu ihren Füßen nieder, und erst als sie sich von der Reinheit meiner Absichten fest überzeugt hatte, schenkte sie mir ihr Herz und gelobte mir ihre Hand.
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L’habitude de la clandestinité a pu laisser à certains de nos journalistes un peu d’inexpérience devant ces sons fortes que sont des dépêches par trop hâtives et quelques-uns ont abusé des gros titres alléchants et trompeurs. Mais qui les a induits en tentation ? Nous demandons également que nous prennent au sérieux ceux, tons ceux qui nous renseignent sur la vie diplomatique. Inutile, n'est-ce pas ? de tenter le compte des contradictions au milieu desquelles on nous a promenés depuis un mois sur notre own situation. Dans ce domaine, nous demandons non pas qu’on regarde nos journaux, mais qu’on les comprenne, qu'on nous comprenne. Les Français essaient de suivre les faits diplomatiques comme les événements militaires. On nous croit indisciplinés ? C’est par discipline, une discipline que personne — Je tiens à le dire surtout ici n’a eu besoin de nous demander, si nous écrivons peu sur ces questions : nous savons les difficultés de notre gouvernement. Et pour jouer sa partie dans un orchestre, il faut savoir quel banc on y occupe. La France fait de la température : elle le sait. Nos amis ont tort de s'étonner de quelques réflexes trop vifs. Qu'ils viennent donc mesurer ce que ce pays a souffert, dans son corps, dans son visage aux cicatrices irréparables, dans son âme ; ils n’en tiennent pas assez compte, disons-leur fermement. Malgré sa fièvre, la France est au combat. Nous demandons qu’on la traite en camarade de combat, au rang qui lui revient. Le Conseil des ministres décide LES MEMBRE S DES GOUVERNEMENTS DE LA CAPITULATION SERONT CHÂTIÉS Le Conseil des ministres s’est réuni le 10 octobre, sous la présidence du général de Gaulle. Celui-ci a fait connaître les conclusions qu'il a tirées du voyage qu'il vient d'effectuer en Normandie avec M. le ministre de l’Économie nationale et M. le ministre de l’Agriculture. M. Thévenol, ministre de l'Intérieur, et M. Diethelm, ministre de la Guerre, ont rendu compte des mesures prises à l'égard des ministres du gouvernement de la capitulation et du prétendu gouvernement de Vichy. Le programme des constructions aéronautiques, présenté par M. Tillon, ministre de l'Air, a été approuvé. Sur le rapport de M. de Menthon, ministre de la Justice, un service des crimes de guerre a été créé par ordonnance. Premiers entretiens Churchill-Staline à Moscou Moscou, 10 octobre. — M.
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„Ojcem” hiszpańskiej partii socjalistycznej * był Pablo Iglesias,
drukarz i wydawca gazety „El Socialista”, poseł do parlamentu. Prze
wodnicząc PSOE przez wiele lat, nadał jej umiarkowane, reformis
tyczne oblicze. Dopiero represje, jakie spadły na socjalistów po wy
darzeniach „tragicznego tygodnia”, skłoniły to ugrupowanie do
5€ Tamże, s. 821-822.
57 P. Machcewicz, Historia Hiszpanii, s. 350.
58 Na temat powstania Partido Socialista Obrero Español zob. przyp. 12. Dla
dokładniejszego studium tematu zobacz m.in.: M. Murillo Carrasco, Partido
Socialista Obrero Espańol (Sector histórico), Bilbao 1977; G. Móron, El partido
socialista ante la realidad política de España, Madrid 1929; P. J. Ramírez, David
contra Goliat: jaque mate al felipismo, Madrid 1995; F. Bustelo, Partido Socialista
Obrero Español, Barcelona 1976.
134 PIOTR RYGUŁA
współdziałania z radykalnymi anarchistami i nawiązania kontaktów
z republikanami. W pierwszym trzydziestoleciu XX w. ruch socjalis
tyczny rozwijał się w Hiszpanii powoli, ale systematycznie. Pokłada
jąc nadzieję w konstytucyjnych sposobach działania, PSOE powoli
przenikała w struktury życia politycznego i administracji państwowej.
Pozostając zawsze partią mniejszościową (w 1920 r. liczyła 15 tys.
osób), zgromadziła w swoich szeregach wielu ludzi wykształconych,
intelektualistów. Znaczny przyrost członków odnotowała natomiast
Socjalistyczna Centrala Związkowa (UGT), od 15 tys. w 1899 r. do
277 tys. w 1930 r. Lokalnymi centrami ugrupowań socjalistycznych,
istniejącymi od 1905 r., były tzw. domy ludowe (Casas del Pueblo),
połączone z biblioteką i kawiarnią.
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Hence, where certain property in county of Hants was devised, and the descrip-
tion under the will was applicable to that alone, the devise could not be extended
by extrinsic evidence. Ibid.
The application of the words of a will to the person or thing described, is the
operative construction and is for the court. Ibid.
For the purpose of such construction, the court must be informed of surround-
ing circumstances, when will was made. Ibid.
Doctrine of false demonstration explained. Ibid.
Words '' now in occupation of," applicable to devise of land, will not pass the
right to the use of a pump on adjoining property of devisor as appurtenant to
land devised. Polden v. Bastard, cxvi. 257 ; 4 B. & S. 257.
Semble, that a continuous easement, as a flow of water to the cottage, would
pass by these words. Ibid.
Otherwise, it is necessary to show an intention of the devisor to create the
easement de novo. Ibid.
Purchaser of copyhold, under power in will, entitled to admission without
previous admission of executor or heir.. Regina v. Wilson, cxiii. 201 ; 3 B. & S.
201.
Devise of rent charged on land of testator, free from income tax, not within 5 & 6
WILLS, IV.— VI., (<x), (6). 481
Vict. o. 35, s. 103. Festing v. Taylor, cxiii. 235 ; 3 B. & S. 235 : reversing s. c.
in Q. B., Ibid. 217. '
Prohibition against deduction, in said act, only applicable to transactions inter
viaos. Ibid.
V. The devisee.
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E — 166. —
mente identico a quello del Reggiano; mentre poggia sulle argille compatte e sabbiose con fauna tortoniana. I strati gessiferi sono sabbiosi, marnosi, calcarei, e di tripoli, e tali rocce predominano nell’ordine in cui si trovano qui enumerati, anzi pare che spesso le marne fanno graduale transizione verso i tripoli, siccome a Grotte fu osservato dallo Stohr. Il gesso raramente vi è stratificato, compatto o saccaroide, d’ordinario invece si trova sparso in seno agli strati vari in forma di ammassi colossali e di ogni dimensione sino alla forma di piccoli arnioni, che risulta dall’aggregato di grossi o piccoli cristalli, sovente associati a ferro di lancia e spesso sporgenti alla superficie degli aggregati, e non mancano i casi in cui il gesso si presenta in cristalli isolati voluminosi e sovente assai belli.
Nel Messinese il gesso invade anzi gli schisti silicei, mentre bene spesso giace nelle marne. Ciò accennerebbe che sin dal periodo superiore del Tortoniano esso cominciò a deporsi in queste contrade, il quale fatto concorda col la scoperta a Benestare d’una fauna tortoniana in strati sabbiosi cementati dal gesso.
La formazione gessosa del Messinese presenta assai spesso i suoi strati flessuosi e ripiegati in mille modi, come d’ordinario presentansi i coetanei della zona solfifera, le quali curvature vengono concordemente seguite dal calcare concrezionato cellulare, mentre gli strati pliocenici soprastanti fanno un rimarchevole contrasto presentandosi ordinariamente appianati.
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Nous croyons voir ici Ulysse conduit aux enfers par Circe ou la Sibylle, au moment où, après avoir vu passer les ombres des héros et de ses aïeux, il retourne sur ses pas frappé de crainte et redoutant que, du fond du Tartare, ne s'élève, par les ordres de Proserpine, le monstre à tête horrible, la Gorgone. En combinant les fables infernales d'Homère avec les idées italiques sur les enfers exprimées au sixième livre de l'Énéide, nous pourrons justifier en grande partie notre conjecture. Le compagnon d'Ulysse serait Périmédès ou Euryloque conformément au poète grec; la figure de femme vue serait expliquée selon les notions étrusques sur les fonctions des Sibylles; l'attitude d'Ulysse serait motivée par son mouvement de retour; à droite sont les monstres de l'Érèbe, la Gorgone, le Deimos ailé comme on le voit toujours, le Minotaure, les oiseaux de Stymphale. Le seul objet.
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François, verrier, témoin de l'accident, s'est précipité dans le canal et fut assez heureux pour retirer l'enfant à temps. Jeudi matin, M. Philippe Barriau, quincailler à Montcenis, en se rendant dans sa forge, a constaté que dans la nuit précédente un malfaiteur s’était introduit dans ce local et y avait dérobé une chaîne de 12 mètres de long et un marteau à frapper. L'auteur de ce vol, qui cause à M. Camay un préjudice de 13 francs, est inconnu. Mlle Anne Bon, femme Brunus, 54 ans, cultivatrice au hameau d'Ouard, a été trouvée noyée dans une mare, à environ 100 mètres de son habitation. On suppose qu'en revenant d'un marché des environs, celle pauvre femme, qui était sujette à des étourdissements, sera tombée accidentellement à l'eau. 1811 OBLIGATIONS 400 — quarts, 100 1815 4 0/0, r. 500 1816 4 0/0, r. 500 1832 2 1/2 0/0, r. 400 — quarts, r. 100 1894-96 2 1/2 0/0, r. 400 — quarts, r. 100 1898 2 0/0, r. 500 — quarts, r. 125 Foncières 3 0/0 1819, r. 500..— 3 0/0 1883, r. 500.. = 1 — 3.80 0/0 1885, r. 500.. 51 — — 5-, r. 100.. g 1 — 2.60 0/0 1895, r. 500.. Comm. 2.60 0/0 1879, r. 500..— 5r. 100.. 3 0/0 1880, r. 500.. 3 0/0 1891, r. 400.. 3 0/0 1832, r. 500.. — 2. 60/0 1893, r. 500.. gEst 3 0/0 nouveau, r. 500.. P.-.-L.-M. 3 0/0 fus. nous, 500.. a y Midi 3 0 0 nouveau, r. 500.. Nord 3 0/0 nouveau, r. 500.. Orléans 3 0/0 1884, r. 500.. Ouest 3 0/0 nouveau, r. 500.. Canal de Panama 5 0/0 (en liquide) Suez 5 0/0, r. 500 409 .. 101 .. 565 .. 565 50 315 5099 .. 374 ..95 .. 411 .. 104 .. 501 .. 400 .. 415 25 480 25 415 5091 25 488 .. 481 .. 102 .. 501 ..
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Adriano Dacalge, nato a Vabres, piccola città del Castrais, perse il padre nel 1780, e venne a stabilirsi presso due zii, antichi militari e cavalieri di san Luigi, che godevano di un ricco patrimonio, ed abitavano a Reims. Il padre e la madre di Dacalge avevano poco prima rinunciato alla religione protestante. Essi terminarono i loro studi a Vabres, e incominciarono a lavorare con passione per l'astronomia, ammirando la grandezza di Dio in quella moltitudine di globi rilucenti disseminati sul suo capo. Concepì per qualche motivo il desiderio di entrare in un ordine religioso; ma avendo perduto uno dei suoi zii, gli fu proposto di ammogliarsi, e dovette piegarsi alla volontà dei suoi genitori.
Profonda conoscenza dei modelli, Vittorio era eguale, i suoi lunghi inquieti lavori, a pervertire completamente le sue idee, a guadagnare facile profitto dalle proprie invenzioni, a diffamare il suo eletto, e per tutto il tempo a ingannare gli altri. Poteva forse aspettarsi di non essere scoperto, di poter continuare a sfruttare le prime logge umane in pieno disprezzo delle regole e degli altri?
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à mesure que le remorqueur opérait sa traction vers l’axe du chenal de sortie; Que à un moment précis l’amarre devait être larguée afin d’éviter la tension que, sans cette précaution, lui imprimerait inévitablement l’aire croissante du navire; Que le cabestan hydraulique était mis en mouvement par une équipe aux ordres de la Compagnie Transatlantique dont les hommes ne devaient pas monter à bord, et n’étaient pas inscrits sur le rôle d’équipage du navire; Attendu que cette manoeuvre était considérée comme si dangereuse, que pendant toute sa durée et par les ordres de la Compagnie Transatlantique, l’accès du pont à l’avant était interdit aux passagers et qu’une corde tendue indiquait à ceux-ci la seule partie du pont où ils devaient se considérer comme en sécurité; Qu’il est établi que, au cours de la manœuvre dont s’agit, le câble ne fut pas largué à temps, que sa tension devint si forte que le chaumier sur lequel il était enroulé fut brisé et qu’un éclat de fer projeté dans l’espace, en frappant Kreig, lui a causé la blessure dont il fait aujourd’hui grief à la Compagnie transatlantique; Qu’il n’est pas contesté que Kreig se trouvait sur le pont, dans la partie où il devait se considérer comme en sécurité, et qu’il n’est allégué en son encontre d’aucune imprudence; Que cette sécurité était placée sous la garantie de la Compagnie et du capitaine sauf les cas de fortune de mer, cas fortuit ou force majeure; Attendu que la Compagnie Transatlantique a fait plaider que l’accident dont Kreig a été victime rentre dans les risques de navigation, qu’il serait dû à un cas fortuit, mais qu'en tout cas, la Compagnie défenderesse serait couverte par la convention inscrite sur les billets de passage; Mais attendu que la fortune de mer ne s’entend que des accidents de navigation provenant, en cours de voyage, de l'appareil ou de l'entourage du navire, et non des actions ou omissions des gens de mer ou des passagers; que les dommages causés par des objets lancés ou tombés sur le pont du navire en situation à l'ancre dans le café Collin ont tous les caractères de ces derniers; que en les offrant au public périodiquement, Collin a réellement tenu dans son établissement un café-concert, et ne s’est pas contenté d'y faire de la musique, au sens du contrat de vente qui forme le titre de Bical, et dont celui-ci a transmis le bénéfice aux époux Marc; Attendu que la Compagnie Transatlantique soutient encore que le navire était, dans toutes ses parties, en parfait état de navigabilité, ainsi que l’établissent les certificats de visites réglementaires; Que l’accident dont s’agit serait le fait d’un cas fortuit et de force majeure, alors que toutes les prémisses, le navire évoluait dans le port et qu’il n’avait pas perdu contact avec la terre, puisque c’est précisément parce que son amarre n’a pas été larguée à temps que l’accident s’est produit; Attendu que la manœuvre spéciale alors en cours d’exécution ne résultait pas d’une circonstance de navigation, mais de la disposition particulière du port du Havre; Que la possibilité de l’accident était prévue, puisque la fortune de mer ne s’entend que des accidents de navigation provenant, en cours de voyage, de l'appareil ou de l'entourage du navire, et non des actions ou omissions des gens de mer ou des passagers; que les dommages causés par des objets lancés ou tombés sur le pont du navire en situation à l'ancre dans le café Collin ont tous les caractères de ces derniers; que en les offrant au public périodiquement, Collin a réellement tenu dans son établissement un café-concert, et ne s’est pas contenté d'y faire de la musique, au sens du contrat de vente qui forme le titre de Bical, et dont celui-ci a transmis le bénéfice aux époux Marc;
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La responsabilité du preneur, qui subsiste alors même qu'il a sous-loué l'immeuble à des tiers, mais qui ne s'étend pas à un immeuble contigu non compris dans sa location, quoique appartenant au même propriétaire, à moins de faute ou d'imprudence particulière dûment constatées à la charge du locataire, ne cesse qu'autant qu'il prouve que l'incendie est arrivé par cas fortuit, force majeure, vice de construction, ou que le feu a été communiqué par une maison voisine.
La disposition de l'article 1733 a donné naissance à plusieurs controverses qui seront exposées au mot Incendie. Disons seulement que le locataire qui invoque le cas fortuit n'est pas tenu de prouver le fait précis qui a occasionné l'incendie, qu'il doit seulement démontrer qu'aucune faute n'est imputable ni à lui ni aux personnes dont il répond, et qu'il est impossible d'attribuer l'incendie à une autre cause qu'un cas fortuit ou la force majeure.
En cas de pluralité de locataires d'un même immeuble, l'article 1734 C. civ., modifié par la loi du 5. janv., 1883, rend tous les locataires responsables de l'incendie proportionnellement à la valeur locative de la partie de l'immeuble qu'ils occupent, à moins qu'ils ne prouvent que l'incendie a commencé dans l'habitation de l'un d'eux, auquel cas celui-là seul en est tenu, ou que quelques-uns ne prouvent que l'incendie n'a pu prendre chez eux, auquel cas ceux-là seuls n'en sont pas tenus. Cette disposition nouvelle de la loi sera commentée également au mot Incendie.
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These three state committees will conduct the work of each respective state association until such time as an election can be held for the members-growers themselves to elect the board of directors provided for in the general plan for each state association. These state boards of directors shall be elected annually by popular vote of the members.
How Plan is Financed.
In order to get the movement underway immediately, voluntary subscriptions are being made by individual wheat growers, local farmers' unions, and others to create a fund of approximately $10,000 to defray expenses of organization. A. D. Cross of Spokane has been named trustee for the fund. It is the intention of the executive committee to refund these subscriptions when the association has been well started and permanent finances arranged. Each wheat grower who joins the association by contracting his wheat to the association will pay a membership fee of $10, after which no further fee is contemplated. It is the purpose of the committee to have the wheat itself bear all expenses of the association and the marketing organization, so that after the movement is once on its feet, no membership dues or assessments will be required.
Securing Membership.
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Over 80 years ago, farm had hardly yet kindled—the Rumely ideal in power farming machinery building was born—the ideal to design and build farm power equipment so supremely good that it could not be surpassed. And now for over 80 years every step in the process of designing and building Rumely products has been held firmly to this ideal. Years of hard farm service have proved the supremacy of Rumely design, and likewise the superiority of its construction.
Take the Rumely Oil Pull tractor, of which there are four sizes. It is the only tractor guaranteed to burn kerosene under all conditions at all loads up to its full brake horsepower. It has an unequaled record for long life—many of the first Oil Pulls built, over 12 years ago, are still working as steadily as ever. It is the only tractor possessing the distinct advantage of an oil-cooling system.
Then there is the Rumely Ideal separator, five most important features and contributes greatly to the unusual power and responsiveness of the new motor."
A statement published in this Paper Friday regarding Mr. Frost's trip from Spokane with this new car that "less than a gallon" of water Moscow Trading Company
NEW and SECOND HAND GOODS
A good place to trade. Phone 324. 217 East Third St.
PUBLIC SALE
Having sold my lease and as I am leaving the state I will offer at public auction on the farm known as the John Reyd place and located 4 miles south of Joel, 2½ miles northwest of Linville, 10 miles north of Genesee and 12 miles southeast of Moscow, on MONDAY, MARCH 21, 1921
Commencing at 10 a. m. the following property, to-wit
MACHINERY, ETC.
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22. Beneficiis Juris Patronatus laici , pen-
fio fine confenfu Patronorum imponi
nequit.
23. Idem dicendum fi fint Juris Patrona-
tus mixti.
24. Quid , fi prafentatio fpeBet -alsernative
ad Laicum , Cf Ecclcfia/ticum ?
25. Beneficium Juris Patronatui ecclefiafti-
ci petej I fine confenfu Patroni pen-
fione gravari.
I. "VTEque in priflinis Canonibus ,‘ne-
lN que in Decretalibus , aliifve Juris
Canonici libris legitur determinatum , quae
Beneficia penfionibus onerari pofiint , aut
non pollmt . Hoc enim duntaxat reperitur,
quod fubinde Epifcopis , aut Palloribus,
abifuue Clericis , live hoilium furore a
Sed bus fuis expulfis, aut alia jufta de cau-
fa Beneficiis fuis fervite non valentibus ,
vel urgenti alia de caufa penfio aliqua ali-
mentaria ex proventibus alicujus Ecclefix,
vei Beneficii aliignamur , id tamen folli-
XI. De Penfionibus Ecelefiaflicis . 341
cite cavebatur , ne ea penfionis affignatio-
ne adeo ipfius Ecclefix , aut Beneficii pro-
ventus exhaurirentur , ut proventus fulfi-
cientes alendis neceffarris rnnillris non fu*
pereffent.
II. At cum labentibus feculis mirum in
modum penfioautn impofitio creviffet, atque
indifferenter omnia paflim Beneficia iis gra-
varentur , in tantum ut in plerifque vix
quidquam ipfis poffefforibus Beneficiorum
lupereffet ; indeque contingeret , ut idonea
vix invenirentur , qui Beneficiis defemre
vellent , novis hifce malis , & abufibus ,
nova remedia adinvenire, & adhibere coe-
ptum clt.
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As senhoras debruçavam-se nos camarotes. Os
juvenis príncipes da Baviera applaudiam. E sempre, em redor de Fausto adormecido, por entre
as altas ra marias floridas das arvores, voavam
as sylphides, em espiraes harmoniosas, com a
leveza aérea de phantasmas, abrindo as túnicas
cor de lilaz, côr de esmeralda, cor de esmeralda, cor de
estero e de turqueza.
A sala erguêne-se então n'uma acclamação
unisona; Mancinelli teve de fazer executar de
novo o bailado dos Sylphos; e chamado ao
palco, o snr. Pacini assistiu ao triumpho do seu
processo. Com alguns scenarios alugados em
Itália, com uma cantora que já fora ouvida por
cinco tostões no Colyseu, com um tenor mediocre,
com um barytono sem voz, elle conseguia propagar o
enversamos entre os seus assignantes.
Mas com que surprehendente talento, com
que superior intelligencia, com que superior intelligencia,
com que superior intelligencia, com que erudita
philosophia esse barytono sem voz, traduziu,
para um publico, na sua maioria litterariamente
inculto, incapaz de o comprehender, a cynica
tristeza e o tacit
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Il6 CARTAS DE LISBOA
para um publico, na sua maioria litterariamente
inculto, incapaz de o comprehender, a cynica
tristeza e o tacit
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Il6 CARTAS DE LISBOA
para um publico, na sua maioria litterariamente
inculto, incapaz de o comprehender, a cynica
tristeza e o tacit
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Il6 CARTAS DE LISBOA
para um publico, na sua maioria litterariamente
inculto, incapaz de o comprehender, a cynica
tristeza e o tacit
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by urno orgulho do Mephistopheles do poema de Goethe I Devia ter sido assim que o orgulhoso Berlioz o entreviu, nas paginas sublimes da sua partitura, com o passo claudicante, as unhas aduncas, arrastando o seu manto preto, cofiando a sua, barbicha ruiva, calvo e magro, sarcástico e melancólico, meditativo e sonhador, tão differente dos Mephistopheles italianos, de gorra vermelha e sorriso galanteador, que enxameiam a scena lyrica, cantando as operas de Boito e de Gounod.
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Three years ago every outfit was yelping "who won the war?" The question today is "Who is going to win the next one?" The present fight between the air service and the navy is getting interesting. In as to the relative worth of aircraft and ships, high naval officers recently disclosed that a bomb weighing 1600 pounds and loaded with T. N. T. had been exploded recently on the old battleship Indiana without destroying any of the vessel below its protective deck. This seems to prove that there isn't much to a recent statement by Brig. General Wm. Mitchell of the Army Air Service that the battleship is as helpless against the airplane as the armored knight was when firearms were brought against him. His disapproval of a bill pending in Congress for the payment of $10,000 war risk insurance to the heirs of the four ex-service men who were killed by the I. W. W. at the Armistice Day parade at Centralia, Wash., in 1919. "Yeah" said Bowery Bill, late of the On the grounds that it would set a bad precedent, the Secretary of the Treasury, Mr. Houston, has expressed the belief that life all right. Went through the war without a scratch and ain't been murdered once since I got back to New York. Illinois Bonus Vote Is Key For Congress The returns of the state-wide referendum on the question of national and state compensation which has been completed by the department of Illinois of the American Legion brings out the following facts: 99 percent of the ex-service men in that state are in favor of a state bonus of $15.00 for each month of service.
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Todo afio Tochtli oonáenza por Cipactli; todo afio
Acatl por Miquiztli; todo afio Tecpatl por Ozoma*
tlij y todo sfio Calli por Cozcaquauhtli; dando
siempre al signo del dia el mismo número del
año, así oomo el afio I Tochüi tiene por príroer
cU&I Cipactli; así el 11 Acatl tiene el UMiquis-
tli y el fu Teopaa tiene III Ozomatli, y el I Y
Gafli tiene IV Cozoaqnsuhtli, eto.^
Por lo que hemos dicho se ve el particular
aprecio en ^ue estaba ejitre los mejicanos el nú-
mero trece. De trece afios eran los cuatro pe-
ríodos de que se componia el siglo, de trsce me-
ses era su cicls de doscientos'sesenta dias, y dt
trece dias los períodos de que hemos becko men-
cbn. La cansa' de seta estimación fué, por lo
que dios el doctor Sig^jcnsa, el haber sido este
el número de sus dioses mayores. Poco menos
apresMo parece haber ádo por «lh>s el número
cuatro. Como chitaban en su siglo enatro perío-
dos de trece afios, aa oontaban trace períodos de
cuatro afios, y al fin de cada uno de estos perío-
dos hacian fiestas extraordinarias. Ta hemos he-
cho mención en Qtrá parte del Jtynno de cuatro
meses, y del nappapohuallatolH ó audiencia ge-
neral que debia hacerse cada cuatrO meses.
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The Dreadnought is and will continue to be the chief reliance of every navy, and the United States, preparing against a possible foe, must be ready to match ship with ship and gun with gun.
Two Dreadnoughts certainly should be included in the navy's building plans, and three would be better. We cannot afford to lag behind the progress of the world. The battle cruisers are necessary to round out our fleet for we have now no vessels of this type—but they do not obviate the necessity of constructing floating fortresses.
The special need of the situation is haste. The Senate Committee on Naval Affairs does not require weeks in which to make its investigation. There should be a prompt report and prompt action in the Senate itself.
The people demand a fleet adequate to any emergency. And they want it just as soon as they can get it.
That woman who is suing a New York man for $1,000,000 for breach of promise must have estimated her value before he broke his promise at enough to run the war several days.
It is the Board's Duty
INVESTIGATION of the various rumors regarding the award of city contracts, that now fill the City Hall, should be made by the Administrative Board. If the grand jury decides to conduct an investigation, that will do good, perhaps, but the grand jury cannot consider or urge the punishment of mere improprieties. However gross, the Administrative Board can, and it is the board's duty to do, when these improprieties are related. To the discharge of its functions.
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Je crois qu’elle ne nous cache rien. Si elle savait quelque chose, pourquoi nous en ferait-elle un mystère? Gervolse restait soucieux. Il ne paraissait pas convaincu. Et les traits fatigués, fièrement véreux, les yeux apeurés de Jacqueline, qui semblait souffrir de cet entretien, tout cela, en vérité, n’élevait pour rendre du mal. "Je veux en avoir le fin mot, et je la questionne moi-même", dit-il. "Prends garde!", elle le prononça d'une voix étouffée, "elle est nerveuse. Tu vas l’effrayer." — "D’où lui viendrait une si grande frayeur? Ne m’aime-t-elle pas? Et qui l’aurait si fort et si brusquement changée à mon égard? — "Elle t’adore, tu le sais bien... — "Et c’est parce que je l’adore, moi aussi, que je veux tout savoir... Puis, tu seras là près de moi... ta présence la réconfortera si, par hasard, et bien malgré moi, je te le jure, je me montre trop sombre... Elle murmura résignée : — Qu’il soit fait comme tu te veux, de nix... Je vais la faire venir... Elle était si triste, sa voix était si doucereuse, qu’il lui prit les mains, qu’il l’attira contre son cœur, et l’embrassa avec tendresse : — Tu n’es pas fâchée contre moi? — Oh! non! — Tu m’aimes toujours? — Plus que jamais... Oui, elle l’aimait! Elle l’avait aimé plus que jamais en cette nuit terrible, puisque, par amour, elle avait commis un crime. Ainsi, sa vie, à la pauvre femme, s'enchaînait, irrémédiablement, de faute en faute... Jadis, coupable comme fille, elle avait gardé le secret de sa maternité... Aujourd'hui, coupable comme femme, elle était condamnée au silence sur le meurtre... L’un dérivait de l’autre,.. La première faute avait engendré la seconde... Elle se laissait emmener, emmenée par la fatalité. Liliane, prévenue par une femme de chambre, entra. Elle était à peine remise du drame nocturne qui s’était passé si près d’elle, et qui avait conservé, pour elle, tout son mystère. Ses grands yeux noirs posèrent un regard effaré d’abord sur Gervolse, puis sur Jacqueline ensuite. Elle devina que c'était une souffrance qu’on lui préparait, et son regard, rempli de haine, lui donna du courage. "Pourquoi ne m’as-tu pas épargné cette nouvelle torture?" la menace eut le courage de sourire, pour lui donner confiance.
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Luglio 16^5. PrecetSqncdcgl'Equinottij . G. 28.45'. 59'^.
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gus respondent rebus divinis quas philosophi rationibus docent, et sunt prima et aeterna vera, quae Metaphysica statuunt. Quare de quibus Metaphysica agit, sunt viz metaphysica populis religiones fundatae, vel a Hebraeis, qui unum ibi creatum Mundi Greatorem sub nulla imagine, et gentibus, quae Mundum, Mundique animam, ejusque animae mentem, seu vim rationalicem Mundo coevam, necessario agentem et in partibus Mundi divisam, ut exempli causa motricem terris Jupiterem, maris Heptunum, sub idolis religione malari.
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Sapientiae latebrae sua integra partes dant: et ita Sapientiae integrae partes dant et corruptio naturae licuit, sive consilii savissimi consilium et consilium conservationale humanitatis, itaque religionibus fundatae gentes, et genus humanum propagant.
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Tout provient de la religion; tout y aboutit. La religion fut le premier lien qui réunit les hommes, le premier architecte de la société, le premier moteur de la civilisation, le premier frein imposé aux passions humaines. C'est de la religion que procèdent les idées primitives de justice, de droits, de devoirs, de solidarité. N'est-il pas enfin constaté que les premiers gouvernements furent tous sans exception essentiellement théocratiques?
Mais d'où les croyances religieuses, prises d'une manière générale, tirent-elles leur origine ?
D'où ? sinon de Dieu lui-même; c'est Dieu qui a révélé aux premiers humains et sa puissance et la manière dont il entendait être adoré.
Il y a néanmoins des écrivains qui enseignent l'athéisme et prétendent nous faire descendre du singe. Ceux-là, nous ne chercherons pas à les convaincre. Ce n'est pas là d'ailleurs l'objet de notre travail. On nous permettra seulement de réfuter en passant l'opinion de certains auteurs, nombreux aujourd'hui qui, tout en reconnaissant que Dieu a créé l'espèce humaine, veulent pourtant que là se soit bornée la volonté divine et que l'homme, complètement abandonné à lui-même, ait peu à peu par le seul secours de ses facultés, ou par l'effort de sa raison, puissé parvenir au point de civilisation où il est actuellement. Ce qui revient à dire que l'homme a tout créé, tout inventé, de ce qui constitue la société humaine.
Notre réfutation de cet insoutenable système, nous la trouvons dans Benjamin Constant et dans M. Louis de Garnier.
Benjamin Constant, écrivant son ouvrage, De la religion considérée dans sa source, ses formes et ses développements, s'est posé cette question : — L'état sauvage a-t-il été l'état primitif de notre espèce ?
Voici le résumé de sa réponse.
« Des philosophes du dix-huitième siècle se sont proclamés pour l'affirmative avec une grande légèreté.
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Enfin l’on parle avec allégresse de la saisie et de la vente des biens ecclésiastiques et de la sécularisation des ordres religieux. Si M. Siccardi sort du ministère, il se formera, sous l’influence du comte Cavour, élevé au poste de ministre du commerce ou peut-être à celui de grâces et justice, un tiers-parti conservateur. A l’aide de ce parti on ferait une loi contre la presse, en régulariserait, épurerait l’émigration et l’on restituerait certains droits au sacerdoce. Quant à la querelle avec Rome, il est sûr qu’elle s’accommoderait si le pouvoir reste à M. d’Azeglio; car M. d’Azeglio, pendant qu’il prenait les bains à Aqui, près de Gênes, a eu des relations avec Rome par l’intermédiaire d’une dame affligée des dissertations de l’Eglise et qui, pour y remettre l’harmonie, a franchi la mer de Civita-Vecchia à Gênes. Autorisée ou non autorisée à cela par le gouvernement romain, elle a tenu ce qu’elle avait promis, car, pour faciliter cette réconciliation, elle avait vu la nécessité de contenir la presse, qui alimentait la discussion. C’est par l’effet de cet engagement que les deux journaux de Rome, le Giornale di Roma et l'Osservatore romano, ne disent pas un mot de l’affaire Franzoni, du moins pas un mot de polémique. M. d’Azeglio, de son côté, a voulu tenir parole. C’est pour cela que, à peine arrivé à Turin, il ordonna l’expulsion de M. Bianchi Giovini, le journaliste le plus influent pour les questions religieuses ; car, auteur d'une Histoire de la Papauté, il a une profonde instruction surtout ce qui se rapporte au Saint-Siège, mais une instruction hostile. — Plusieurs membres du conseil d’amiraux ont quitté Londres pour Portsmouth où ils iront assister à la revue de la flotte française à Cherbourg, passée par Louis Buonaparte.— Une université ou pour mieux dire un jury d’examen permanent vient d'être institué en Irlande sous la présidence de lord Clarendon assisté de dix-sept membres représentant les diverses branches de la science, et chargé de conférer les grades académiques aux étudiants des trois collèges de l’Etat à Belfast, Cork et Galway, lesquels conservent leur indépendance sous tous les autres rapports. La commission nouvelle prend le titre d'Université de la Reine.
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Déjà, nous apprenons que les cantons de Royan, La Tremblade, Saujon et Cozes se proposent de se rendre en foule à cette manifestation qui montrera la vitalité de nos œuvres catholiques de jeunesse. Écrit de Saint Louis de Rochefort : Le dimanche 13 juillet, a eu lieu, dans la paroisse Saint-Louis de Rochefort, la bénédiction du drapeau de la Mésange, la jeune société de gymnastique du Patronage Saint-Joseph. A la grand-messe solennelle, chantée par la Maîtrise, sous la direction de Mme Bonnefons, M. l’abbé Vanni, curé de Bourgneuf, a prononcé, devant un très nombreux auditoire, un beau discours d’une inspiration chaude et délicate, demandant aux jeunes gens du Patronage et de la Mésange d’être fiers de leur foi chrétienne, de la Croix de Jésus et de leur drapeau. M. l’archiprêtre d’Arsas a bénit le riche drapeau offert par un généreux donateur et tenu par M. le commandant Schalck, en vertu des membres du comité de la Mésange. Les clairons sonnent : Au Drapeau. La Maîtrise exécute aux grandes orgues, tenues par M. Dubois, le beau chœur Le Drapeau, musique de M. Chaigneau et paroles de notre grand poète rochelais, M. Georges Gourdon, qui a aimablement ajouté, spécialement pour la Mésange, ces trois strophes : O drapeau, symbole sacré Qu’en Alsace-Lorraine Les mères, le cœur déchiré, Par l’amour et la haine Font baiser aux petits enfants, Dans l’espoir des jours triomphants Qui briseront leur chaîne ! Ab ! vienne l’heure des combats, S’ils se lassent d’attendre ! La Mésange aura des soldats Tout prêts à te défendre Et ceux qu’elle verra grandir Comme à Loigny sauront mourir Plutôt que de se rendre. Après la messe, ce fut en ville, par un beau soleil, un brillant défilé de la Mésange suivie de la Jeunesse catholique, du grand et du petit Patronage, toutes associations drapeaux en tête, devant une foule étonnée et sympathique qui suivit le cortège jusque devant le Patronage. Là, dans la rue, après les sonneries réglementaires, M. l’abbé Percheron, directeur du Patronage, présente au comité la Mésange et son dévoué et parfait moniteur. M. le commandant Schalck, président à la fois de notre Société et de l’Union régionale des Patronages de Saintonge et d’Aunis, prononce une allocution patriotique fort applaudie.
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C'est ainsi que le chasseur de lucioles opère jusque vers deux heures du matin, l'heure des fantômes des vieux Japonais; — à ce moment les insectes commencent à quitter les arbres pour s'abattre sur le sol humide de rosée. On dit qu'alors elles cachent leurs queues dans la terre, de manière à demeurer invisibles. Mais l'homme change de tactique. S'armant d'un balai de bambou, il brosse vivement et légèrement la surface de l'herbe. Dès qu'elles sont touchées par le balai, les mouches effrayées allument leur lanterne et sont prises et embarquées sur le champ. Au petit jour le chasseur rentre en ville.
Dans les magasins, les insectes sont immédiatement classés d'après la qualité de leur lumière, — les plus lumineux ont le plus de valeur. On les enferme dans des boîtes ou cages garnies de gaze où l'on dépose aussi une certaine quantité d'herbe humide. Chacune de ces cages contient de cent à deux cents lucioles, d'après l'espèce. On y attache de petites tablettes de bois où s'inscrit le nom du client : propriétaire d'hôtel, restaurateur, marchand d'insectes en gros ou en détail ou bien encore simple amateur qui a fait une commande en vue d'une fête privée. Les boîtes sont transportées jusqu'à leur destination par des messagers agiles ; — le transport par chemin de fer n'offre pas suffisamment de garanties pour des marchandises de cette nature.
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accorded them by us, while others were excluded for no
other reason than the jealousy which their noteworthy
qualifications inspired in our mind.
"In order to wrest the Kingdom of Naples from
Ferdinand of Aragon, he kindled a terrible war, the for-
tunate issue of which had no other result than to add
to our fortune, while a disastrous issue could not have
failed to bring discredit and shame upon the Holy See.
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ResJ>exerlnt] Proprie, quafi dc rc
non animadvcrfa: cum ad vi(ftoriam
tantum gaudio prarpcditi nui)io adi pc-
xeiint. ^
Etrobury foboles miUtum] Etqui
fortcs ipfi erant, ^ quibus gigni fortes
poflent. SoUles cnim cft quafi nov*
ftirps,poftaliam cnata. & mfoUles
dicuntur: utlib.j. dc Lcg. Cenfres
popult ^vtiateSyfUlesJamiliaSypecuniaf^
que cenfento. Et lib. I. Off. Sequuniur
conmU^y ^^ffinitates , ex quib^ etiam
plurespropiftqui. qux propagatio fsfjo^
lesyorigoefl terumpubl. Virgilius Iib. 4.
Saltemflquamjhide tefufceptafuiffet
^intefu^umfoboles, - ^
OmnfmcunHationemeyis difcufliffem]
EffcciflTcm, nc Lcpidusinfufcipicnda
rcip. cura cun^arctur. fic locutus &
Valcrius Ma.x. lib. 5. cap. 2. CuncUtits
ne boy^orum civium difcuffay Gracchum,
quas mercbatury panns perfohere coegit.
I>ilcutereadvocationcm ,cxdcra, cali-
g«ncm, captiones, Ciccro di.xit , alii
alia.
Stmiles] SimiUs y habcnt vctcrcsli-
bri j quod idcm cft : vcl , Simu! : quod
mcndofum vidctur. Similcs autcm
concionibus Narbonc habitis Lepidi
littcrasdicit.
Pag. T45. Palmarer] Sic vidco cflt
in omnibus antiquis libris : ^ ita fcri-
ptum arbitror a Pollionc. nam, licct
hoc vcrbumalibiforraflc nufquam re-
periatur ; non ramcn ideo rcjiciendum
videtur : cum ejufdem gcncris alia
qiioquefinr. quod fi, qux femeltan-
rum dida nobis occurrunr , ca mutarc
ramquam corrupta , & ufitata rcftitucrc
conabimur : Latinam linguam, qux
paucisomnino librisconfervata, vixad
a:tatem noftram pcrvcnit , majorcm ad
inopiam rcdigemus , maleque mcrcbi-
mur dc ftudiis littcrarum. P.timari pu-
ro idcm cfle, quod pa/pari , id eft adula-
ri. palma cnim blandimur, itcm ut pal-
po.
Proelium] Mutinenlc.
Kdperent in contrariam partem] ScCQS
inrerprctarcnrur , meque dicercnr in
Icaliam vemlTc, non utrcip. f^dutop-
pugnanti
r8
P A V I. L I M A N V T I I
pugnantl rcmp. Antonio opcm fcrrem.
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a
LEGAL
EXPRESSION
PORPARTE DE DONJUAN DE ZEA,
VECINO DE esta CIUDAD.
LOS AUTOS CON EL SYNDICO DEL CONVENTO DESr.
San Antonio de Padua de ella.
' SO'B
LA MODERACION DE UN TRIBUTO, QUE A DICHO
Convento pega.
Y
PRETENDE, QUE SE REFORME LA SENTENCIA DE VISTA, EN
<^ue quedó iru^erado en docientos reales menos de los que dicho Don Juan
pagaba , quedando á la elección del Syndico palTar por
^ ^ la moderación, ó elegir fu finca.
. y’.
I .íSrlJíDO d^.' cite divino precepto , debía (Señor) la Parte dtl Syn*
1 ;C’> contentarle en perccjirlo que en jufticlale comíponde, y no
p ):ur.ir con rcü:bncia en ambos tueros exigir réditos, que no íc de-
be .. -d li com o fe -ie'entiende de !o que debe hacer , íoJo ligue ^or no/tc
pj,: iimpu^ iareibrecurfo/uvoluntad, queriendo coníeguír continué el
perjjicio, que i.)on Juan de Sea experimenta en la dación a tributo, que
p d:cbo Synúico fe le hizo del Cortijo de las Palmas , termino de A c^.a
cié ci íl!<), enuacíiJo en los Autos; X entrando a rundar juila la modcia-
c.oi, que Don Juan pretende (y para lu cfeiflo la reformación de la Icn.
tv-ncia de Viifade V. S. ) para proceder con la claridad, jofsibJc, íc rc-
'u.i.irándosm.dioseítaexpreísionb raanifeíiandoíe en el primero el ex-
ced.) en ios re líeos , y deberfe moderar eftosá lo corrcfpondicnte, y Icgi-
t mo, rcihtuyenJoíele al dicho Donjuán ias cantidades indebidaiutn-
te taristechas. í en el fegundo, quelareñitucion de dichos réditos fe ha
den.cer, rcgiilandofc defdelaformacion de el contr ito, y fin quedaren
a >; ano del S;/ndico la continuación dél , fiel que aiga de elUr, y pallar
p).' ii n )deracion, fin embargo déla coaiicion dcUEÍCineura, y demás
in.d^osde que fe vale.
PRIMER MEDIO.
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ti^ di^ftlt^flimr mx; ja tfe i^tiret nahmen fegat bfli9}tf(9i
• la^ tei' ^ffi^ife an ^mtgUd^e &Attt an mil bit (^e(fi#
lidiUit ibit Oen €rmerb a\\6 i^ren ^'rantrtt nicht tefltrcM
turftf / fonöfrn l^n öer JtirAe laffen nm^te, jrfld)e tet .taU
fer m^&ren^ Oer Stu^f^erlebigund uettrat. ^le <^et(Ht(^fit
tii(^aen Aber n((()t e^er^ al$ bi6 ftd) bie Jftdfer omr-^l liefet
Cinfunft, af^ aud) M Vied)i6, 5ep flreldsen SäSa^fen bctl
3u0 d^Cag geben; n>oinit fte fl<6 fett Dem Concoreot flate
^er e(^emaHgen (£rnenniui^) Ratten begnögen miiffm, tegat'
len. ^{f faifetlic^e «futfagund entt^iett ntc^t^ übt i tit ^d|U*
temattung n>4^ren& 6et iOacanj j el ttar d(fp ntdyt 6er ge#
>tlti9(ie 3«w<W/ bag (te nicfct 6er gan^fn £tfn6f*aft iuflctje^
loei^e ber iBerfatlung un5 fe(6fl 6em pibflUd>en iHed)te noc^
iXecf}t iur Sante^abmlnifhatton {^ttt, nnb an 5eten^pi«
^ tu dapirel f^anOen. 9e9 verlängerter &tui)leerle^iiti)n9
n^ieit entn)e5er ba6 (Kapitel, af^ erfter immer qi^citvoäiu et
•ton^ane, öen 2(iiftrag, hie SHevUeruna ju t^forgen, o6rt
^Mi^m i^n 5ec^ für erhalten an, o()ne öag man ihm oer*
^ 'l»e^rt^. Uebrigen5 machten bie Sopitel feinen Tln^prud; aaf
/#kun5eigent^um/iin5 fonnten feinen mad)en, 6a Der ^a6
Irr Sr^et^err. fofg(i4 Im fdefi^e M Q5rutiDetgtnt()umtf (do«
minii dire£li) btteb, ob er g(etc^ bie ^ermattung br^ nuf^t
lllegliiten ^igent()ume< (dominii utilis) an emen anbertt
•fibettalTen ^tte, 5er fonfl nfemanb fe^^n fann, al4 öte 2anb»
f^lAft. ^enn gefegt aud^, fep Die Aird^r , fo fann matt
unter {^r ntd^t^ anber^ verfle^^n, ali Die etittelanDi
flbfl, Ci\t mld^ dlei^^fam Der ^tamm fiwb, auf Den Dta
SBe1tli(t>frlcm gepfropft ftnb; fofglid) ifebt Dem ^ttfr^IanbO
Mn bentfdren uralten J^erfammen gem/if ; oud) Da^ fSern^afi
^iiiiig«fed)t bei) ^acanifeti gu. ^rboch auA ba, n)0 «ugelf
rfem Capitef feine &t^nDe v«r(iiitDen fmD , ober Daffel^ 04
ttK itt#fi^l(e8enben'0tffittfuertoa(tar.g bt^m^^ttat bat, fantl
«n# Mtftr SermaYtung ^ bi^ bfo^ m 2ftiffanunliins ^cr ^cit«
fftnfte p$n Den ^afitjiikern unb SlegaHen , unb in ben attef»
'MlMMtf^ ^ R>«nM auf
llii 0mibef<|ent9um gefd)fo(Ten n^erben , aH e«. toM|liiibl *
tdk i«^te3(lt&cl(flii<« Aber di^ tl^b(aiHtti(<HW
$m ^fe^emfibm lbomc;:ptfcf, ent^4(c Hn erflen 2(bf<btiftl
Me (fefiMAr« ^ WMt^pUulcttiontn. {bit i^^Utt^
>. ■ , • • * Belnif
ttÄgt mit MtiAfw^lcen 4u ettid^un/ tooter<^ fte ihi t&gk
&fi&e0iia&iaundeti er^ieUen^ tie fie jtd^ «tu SDif^oi , i ^
Schritt wkuf, iTi^teti iDibufii^jber QliiM^tt&i
tetf, nMU fic IMI tanfetoen S&if((^of beobad^t^t n>t(ffii « »tttoi,'
iintfv d^rctfe Capitcl, bmn ÄeoN^tung tt tibiiä^ \ -
<ben muite.
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I 1 1 ? !n .i seai.lt 1 he homes o( the ex
HM.i:t#rs rli.vvil uather outside.
Th? f-eenes around and inside of
Tiiur ?? I'ala. >? home of tie- lUnii.t. are
? i -i ? . I.. v ?? The arms of ttie iroops
' ? V. l "le eiiy, with innuinerahle
l ine mms and motor lorrle are
*e<l ihei.. ' i\j i of this I'haos Ihe
"Ii ? ? u ;iii> tryln;; I" hritiK order.
M ?: leti'i.olf, who nun is lo ht eome
Mini Ii i <?< War <'ii the -a', ite He
? i ? liori t . ei ma ii. a lol h<- per
, ir. pri.l ? t ? ?? (|ii? oi ly . toppini;
short in Ins detnamis to wipe bis face
with ;i huge red handkerchief.
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which had fallen over Brandon's face. Men said afterwards, that they saw written there, in terrible distinctness, the characters of death; and there certainly seemed something awful and preternatural in the bloodless and haggard calmness of his proud features. Yet his eye did not quail, nor the crinkles of his lip quiver; and with even more than his wonted loftiness, he met the regard of the prisoner. But, as alone conspicuous throughout the motionless and breathless crowd, the judge and criminal gazed upon each other; and as the eyes of the spectators wandered now on one, now on the other, a thrilling and electric impression of a powerful likeness between the doomed and the doer, for the first time in the trial, struck upon the audience, and increased, though they scarcely knew why, the sensation of pain and dread which the prisoner's last words excited. Perhaps it might have chiefly arisen from a common expression of fierce emotion conquered by an iron and stern character of mind, or perhaps, now that the ashy paleness of exhaustion had succeeded to the excited flush on the prisoner's face, the similarity of complexion thus obtained made the likeness more obvious than before; or perhaps the spectators had not hitherto fixed so searching, or, if we may so speak, so alternating a gaze upon the two. However that be, the resemblance between the men, placed as they were in such widely different circumstances — that resemblance which, as we have hinted, had at certain moments occurred startlingly to Lucy — was plain and unavoidably striking: the same the dark hue of their complexions, the same the haughty and Roman outline of their faces; the same the height of the forehead, the same even a displeasing and sarcastic rigidity of mouth, which made the most conspicuous feature in Brandon, and which was the only point that deteriorated from the singular beauty of Clifford. But, above all, the same inexorable, defying, stubborn spirit, though in Brandon it assumed the stately cast of majesty, and in Clifford it seemed the desperate sternness of the bravo, stamped itself in both.
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Warmte voor de zaak, dat moesten we hebben, bezieling brengen overal. Geen woorden, maar daden. Wjj moeten den drankstrjjd maken tot beginsel, dan komt de warmte vanzelf.
Ik ben sociaal-demokraat, zei spreker, en dat beginsel is mij lief, dus daarom werd en ben ik steeds warm daarvoor, evenals voor de geheelonthouding.
Hier eindigde hij zp bezielende leerzame toespraak, waarvan ik hier slechts een geraamte heb weergegeven. Het publiek toonde dat ook door een flink applaus. Door een der aanwezigen werd opgemerkt dat de heer Smith wel aanstoot had gegeven aan Katholieken door te spreken over de misstanden vroeger in de kerk, maar hij werd door den spreker, die beweerde dat feiten nooit aanstoot kunnen geven, en hij ook naast die feiten namen had genoemd ten voordeele der Katholieken, ten genoegen van 't publiek beantwoordt.
Na nog een paar vragen werd de verg. gesloten door den heer v. Bruggen met een woord van opwekking en dank. Laat ons hopen dat de zaal een volgenden keer te klein zal zijn, de heer Smith wenscht het zeker.
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Wat zou Manshoff doen? De werklieden waren geen drinkebroers, doch menschen, die niet beneden het gros van de anderen stonden. Hij dacht er aan, om uit beginsel te weigeren; maar dat viel hem moeilijk. Hij vreesde ook nog meerdere tegenwerking van hen, wanneer hij hun dit weigerde. Sinds maandagmorgen waren ze reeds aanmerkelijk in toon jegens hem veranderd. Hadden ze hem eerst blijkbaar eenigzins gevreesd, spoedig was dat anders geworden. Hij was hun mindere, dat zagen ze. Ze konden hem knijpen, Karei was niet geneigd tot kommandeeren en kon dat nu buitendien onmogelijk, omdat ze meer van de zaken wisten dan hg. Iemand met wat meer brutaliteit had zich er wellicht doorheen geslagen, maar hq bezat die niet!
— Nou? Hoe wordt het? vroögMeier weer, hem lachend aanziende. Komt er wat van of wordt het een smoesje?
— Als-ie 't niet wil, dan laat hij het, riep Lorres grof. Ben je bebliksemd, we willen d'er niet om schooien I Ik kan zelf ook nog wel een koopen, al loop ik met geen witte boorden over de straat en al heb ik wat minder stront 1
In die woorden lag een bedreiging, Manshoff voelde het.
— Ik zal je dan maar de centen er voor geven, antwoordde hij. Maar ik ga niet mee. Hierl
Hij tastte in den zak en wilde eenig geld geven.
— Nee, dat gaat niet! was het het bescheid. Jij moet zelf ook mee. Geen grootschegheid.
— Grootschheid? Neen, maar ik lust nog niets.
— Och kom, daar moet je aan wennen!
— Zou jij hier blijven als de brave Hendrik en ons er in laten loopen? Als meneer ons dan snapte, was jij de Piet en wij zuiplappen. Neen, kameraadschappelijkheid bovenal. Jij mee, en anders gaat het over.
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Atque in primis sapientis moniti memores Praede-
cessoris nostri B. Zosimi (a ) , ea qriae ma?na vmt , wff-
gjum pondus examinU desides^are. Synodum ab Episcopo
editam primum quatuor Episcopis, aliisque adjunctis e
Clero Saeculari Theologis examinandam commisimus :
Tum et plurium S. R. £. Cardinalium , aliorumque
Episcoporum Cotigregationem deputavimus, qui totam
Actorum Seriem diligenter perpenderent , loca inter se
dissita conferrent , excerptas Sententias discuterent ,
quorum Suffragia coram Nobis voce , et scripto’ edita
excepimus : qui et Synodum universe reprobandam, et
plurimas inde collectas propositiones , alias quidem per
sese , alias attenta Sententiarum connexione plus minus-
ve acribus censuris perstringendas censuerunt : Quo-
rum auditis perpensisque animadversionibus, illud quo-
que Nobis curae fuit*, ut selecta tota Synodo praeci-
pua quaedaip pravarum doctrinarum capita , ad quae
potissimum fusae per Synodum reprobandae Sententiae
directe vel indirecte referuntur , in certum deinceps or-
dinem redigerentur , eisdemque sua cuique peculiaria
censura subjiceretur.
Ne vero ex hac ipsa tametsi accuratissime peracta
sive locorum collatione , sive Sententiarum disquisitio-
ne , pervicaces homines obtrectandi occasionem arri-
(a) S. Zosimus Ej>, a, ap, Ciust,
as
Digitized
IV.
jTcrent , «t huic forte jam paratae calumniae obviam
iretur, sapie.iti consilio uti statui/nus , quod in emer>
gentibus hujusmo.li periculosis , noxiisve novitatibus
reprimendis pliircs Nostri SSfhi Praedecessores, tum et
gravissimi Antistites, ac Generales etiam Synodi rite,
cauteque adhibitu n , illustribus exemplis testatum , com»
mendatumque reliquissent.
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beschlossen, das Aktienkapital unserer Gesellschaft um Mk 3 500 000 zu erhöhen und zwar durch Ausgabe von Stück 1000 auf den Inhaber lautender Stammaktien zu je Mk. 1000.— Stück 200 aus den Inhaber lautender Stammaktien zu je Mk. 10000.— Stück 500 auf den Namen lautender Vorzugsaktien zu je Mk. 1000.— je mit Gewinnberechtigung vom 1. Januar 1923. Die neuen Inhaber- und Namens-Aktien sind unter Ausschluss des gesetzlichen Bezugsrechtes von einem Konsortium übernommen worden mit der Verpflichtung, hiervon den Teilbetrag von Mk. 1500 000.— den alten Aktionären derart zum vorzugsweisen Bezüge anzubieten, dass auf jede eine alte Stammaktie von Mk. 1000.— eine neue Stammaktie von Stück 1000.— zum Kurs von 200% ohne Stückzinsen zuzüglich Schlussnotenstempel und Abgaberechtensteuer bezogen werden kann. Bei Ausübung eines Bezugsrechtes von mindestens 10 Stück erfolgt die Zuteilung in Stücken von Mk. 10 000.— Vorbehaltlich der Eintragung des Beschlusses der Generalversammlung über die Erhöhung des Grundkapitals in das Handelsregister fordernten wir hiermit namens die Konsortiums unsere Aktionäre auf ihr Bezugsrecht unter folgenden Bedingungen auszufüllen: Billige Schuhe! Segeltuch-Halbschuhe äußerst stark, elegantes Tragen, bester Preis für Leder mit Ledersohle und Absatz Herren, Größe 40—46 Mk. 4000.— Damen, Größe 36—42 Mk. 3500.— Mädchen, Größe 30-35 Mk. 3000.— Segeltuch-Halbschuhe, mit Ledersohle, Absatz und Gummiverwan Herren, Größe 40—46 Mk. 1400.— Damen, Größe 36—42 Mk. 1200.— Mädchen Größe 30-35 Mk. 1000.— Schnürstiefel aus Militärtuch, Absatz, Kaufer, Leder sohle und Leder-Verwärmer Herren, Größe 40—46 Mk. 2100.— Damen, Größe 36—42 Mk. 1800.— Mädchen, Größe 30—35 Mk. 1450.— Kinder, Größe 24-29 Mk. 1400.— Tuch-Halbschuhe in derselben Ausführung wie oder ohne Ledervorderkappen Herren, Größe 40—46 Mk. 1200.— Damen, Größe 36—42 Mk. 1000.— Mädchen, Größe 30—35 Mk. 850.— Kinder, Größe 24-29 Mk. 800 — mit Ledervorderkappen Mk. 150.— pro Paar mehr. Von 4 Paar ab erfolgt freie Zusendung gegen Nachnahme. Nachnahme und Verpackungsspesen werden berechnet. 5544 Händler haben Vorzugspreise. Schuhfabrik Wüstenrot, OA. Weinsberg (Württemberg) Joh. Stiebt. Niethammer. Segeltuch-Halbschuhe in bestem Zustand, kaum getragen, 3. Kundenservice, Dresenach a.Riß. Sinnliche Igorula lüt Zentrifugen aller Art fertigt rasch und billig Marin Haggenmüller, Isny a.Allg. (früher bei Firma Riedesser, Leutkirch). Ersatzteile für "Alfa" sind stets auf Lager. 5625 ~ der Gegenwart Z <7 m nac /fer m Von Genuinen. e D R G M-D RPon. Bevzis-Merü. veuh, fahrbar, 1 Jahr im Beirieb, garantierter betriebssähib, verkauft preiswert Auslagenhaus zum "Bären" A. Seebold, Elektro-Motoren 50 Rm. Papierholz 2. und 3.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos.
As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você.
Diretrizes de uso
O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis.
Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você:
• Faça somente uso não comercial dos arquivos.
A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais.
• Evite consultas automatizadas.
Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar.
• Mantenha a atribuição.
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"Ich bin ein Mensch, der sich zwischen der Begeisterung und der Ratlosigkeit befindet, aus binärer now rohter Frage: Wie denkt nur fast jeder, dass Schlussregierung und fester England fest sind. Bas sind eigentlicher Haubtc, ein feins Spuk in Billigkeiten, Coctcrtc's Boten verkaufen, die Begeisterung festhaltend und feste England? Bas fästen eigentlicher Haubtc, babylonisch feine in Blicke in feine panische Renomme, und botte es mit Begeisterung binent gefasst in den Staatsbankrott und in feine Staatsfinanzen, nur um das ungeheur profite zu machen und Vermögen anzusammeln." - Die premttömctiare zu briefer fitte petition ne, bas &zil Deutschland tanner nur rober tanner, bas Bol! die Diktatur der bürgerlichen Magnaten abfchüttelt, nicht geniesst es ausgebeutet und in die Barbarei gefasst verbe. Tranzielle bomber feine lebhaften Bündeln, Deutschland rober aufgerichtet. Das sei aber nicht genug, noch mehr. Dann noch angebeutet, die beutige Blutotrafie bomber mit feine entadlre Hingabe peine Klage gefallen und die geheimen Einflüsse briefer golbenen Bündnisse begunstigt auf die Bevölkerung zu fruchten. England und Tranzille. Die internationale Konjunktfest steht im Zusammenhang der Verletzungen. Darauf bot Boincarc frimmer envol bing'’®’^^Die Stürmer der Außenpolitik fand nicht, nur die Beifall. Die Einladung von Conborn bot feine Beifallseinlagen in dem geeigneten europäischen Unternehmens, neben der Stinnes & Elc. Die Konzilslust (Eumcrictas) und die großmögenden Verren der Baill Street von Berlin. Die Stimmung aber feine Panik in der Spionage-Lotterie. Die Bürgermeister aber so in England. "Zu reeller Station fie auf) geborene Mängel, es gibt für Sie so in nationales Verkehr. Bei die Boote por ängstlicher Gebur, aber ob die gegensätzliche Ausrotterung in entsetzlichen Kriegen, ob die Zivilisation aber zusammenbricht, bas vermutlich feine. Das celt ist fein sattes, ibr Beifall, feine Moral, feine Religion, und feine Heimat." - Infolge und Konjunktur noch mehr, man aber bedenkt so, dass andere wieder erst zusammengebrochen tanner, so sie in feine Bezeugungen der Blätter gefällt. Die Infolge ist teures, fast losgelöst von den Rubeln verkaufte. Eine nationale Infrastruktur. Sie kann nicht gebeiben, rocks Bothen und Kanäle zu brücken gibt.
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Ce sont les traités de commerce, ceux qui engagent les finances de l’État et les traités de paix. Il n’est fait aucune mention des traités d’alliance. J’ignore s’il existe réellement un traité d’alliance entre la France et la Russie et ne veux pas envisager la question. Ce qu’il me suffit d’établir, c’est le droit absolu du Président à signer un traité d’alliance. Un autre savant jurisconsulte nous a dit : « Le Président de la République a absolument le droit de signer des traités d’alliance. Voici, en effet, l’article 8 de la loi constitutionnelle du 16 juillet 1875 sur les rapports des pouvoirs publics — l’une des trois lois qui forment notre Constitution :
Art. 8. — Le Président de la République négocie et ratifie les traités. Il en donne connaissance aux Chambres aussitôt que l’intérêt et la sûreté de l’État le permettent. Les traités de paix, de commerce, les traités qui engagent les finances de l’État et ceux qui sont relatifs à l’état des personnes et au droit de propriété des Français à l’étranger ne sont définitifs qu’après avoir été votés par les deux Chambres. Nulle adjonction de territoire ne peut avoir lieu qu’en vertu d’une loi. Vous le voyez, du moment que le Président ne donne connaissance du traité aux Chambres que lorsque l’intérêt ou la sûreté de l’État l’exigent, il est bien évident qu’il a le droit de conclure toutes les alliances que cet intérêt et cette sûreté lui conseilleront. Il est bien une théorie qu’on fit valoir en Italie pour obtenir communication du traité de la triple-alliance : « Les traités d’alliance, disait-on, engagent les finances du pays, donc ils ne sont valables qu’après avoir été admis par les deux Chambres ». Mais je crois que c’est là du lysantisme et que d’après l’esprit et la lettre de la loi le Président a le droit de faire seul des traités : il est bien évident, au surplus, que notre ministre des affaires étrangères en sera averti, car les traités, quels qu’ils soient, sont obligés de lui passer par les hands. Les avis des jurisconsultes paraissent être unanimement réunis sur le droit qu’a le Président de la République de signer un traité d’alliance.
(Patrie.) Pierre Franc. REVUE DE LA PRESSE Quelques opinions Le Matin commence une série d’interviews des hommes politiques marquants, pour recueillir leurs impressions sur la situation franco-russe. Nous extrayons du premier article de notre conférence les opinions de MM. Goblet et Clemenceau : M.
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Darin. Rämö # ei d Moi . 18 . 23 . 24 . 25 . 26 . 27 . 28 . Wir, Sieger Vollmann Joh. Fr. Thessing Conr. Thessing Ferd. Thessing Didon Brunner Caesar Brüll I. W. Vowinckel I. F. Sessing C. G. Hegele George Thompson Hr. Metzler Warsheim Napp Viebahn Pasch von Lassaulx Blell Consbruch Kreeft I. Mönch P. Luchtemberg L. Baum Forstmann J. C. van Thielen Schulte m. Gem. Schrauth v. Kesseler m. Gem. Mad. van Thielen m. Fam. Hr. von Röntgen Funcke G. Meyer Clausen Kobbe Charakter. Wohnort. Kaufmann Buchhändler O. L. G. Referendar Vicarius Kaufmann 9 90 29. Spamer Petersen Creuz Stadler Metzner Otto Sahler Hoffmann Heuser m. Gem. Missionar * Negerknabe Kaufmann Regierungsrat Justizamtmann Kaufmann 99 75 Fabrikant Kaufmann Banquier Kaufmann Kaufmann Gastwirt Kaufmann Großherzogl. Bad u. Nass. Gesandter am Niederländ. Hof Kaufmann 7 Herz. Nass. u. Fürstlich Wied. Justizamtmann Land Ober = Schultheiß Kaufmann * 0 00 1 07 17 7 Cöln Lüdenscheid Münster Bremen Wiesbaden 10 Odenkirchen Grand = Bassin in Westafrika Cap Mount Bonn Offenbach St. Goar Gimborn = Neustadt Dierdorf * Brandenburg 7 Elberfeld Offenbach Cölln Düsseldorf Rheydt Amsterdam Rheydt Kreuznach Düsseldorf Amsterdam Wiesbaden Hagen Cöln Quedlinburg Seitersch Lennep Siegen Orb Elberfeld Stromberg Coblenz Cöln Ronsdorf Gasthof. golden Anker. wilder Mann. Brüdergemeinde. wilder Mann. golden Anker. Brüdergemeinde. golden Anker. wilder Mann. golden Anker. Brüdergemeinde. Ein Schwarzbrot kostet 4 Sgr. 11 Pf. —. Ein Weißbrot 5 Sgr, 5 Pf.
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PRODüCrrO DE LAS 'DOS COLONIAS A SU» JiKSFfl
TIVAS ME'l?ROPOi:*IS Y HABITANTESi,
Bien conozco que el hilo de esta obra ped
iiecesariahiente que después de haber hablai
de lo mucho qife produjo en ííus' principios
Española, de la entera ruina que padeció esl
producto por la despoblación de la gran poreia
y escelente calidad del terreno .que en ella M
«emoB, y manifestado en fin , lo. que se ha rfl
puesto el veeiudario y número do sus habitante
1
—147—
leemos lo que daba con respecto á este incre-
^to, que ha logrado para que pudiese seguir-
^.ppr unos principios contiuuados la verdadeía
la q«ie nos hemos propuesto dar de su valor y
ílidad. Fero no podemos dejar de confesar aun-
0 con mucho dolor, que la subsistencia de
bel establecimiento cuesta todavia al real era-
k la suma anual de que arriba se habló; porque
Hqiie se ha establecido el ramo de los dere-
&8 que adeudan las cabezas de ganado mayor
menor, las de muías y caballerías que pasan ú
% franceses y el de las cosas q\ie se sacan do
roo, aunque se ha impuesto el 2 y medio por
de alcabala y permanece el de lo que de-
pagar los efectos que entran y salen por
r, según sus respectivos aforos, conforme á
últinnas gracias de S. M. (que Dios guarde)
do ello es aun de tan poca monta, que no as-
en de un año con otro, su total á mucho mas
p 70,000 pesos si yo no estoy engañado. Este
i cual aumento no ha rebajado cosa conside*
Ible á favor del re^il erario por la creación de
Bs compañías mas que se han agregado al ba-
ilón , los sueldos de milicias regladas que so
ta creado, los de guardas en la frontera y eu
capital, y oti*as erogaciones que no tenia an-
^ la real Hacienda.
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r.i)
L.'ilifl** for l-Ih. i*ii ti m,
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I'lfiH'tiM* l.niii'lv i.%-lli. ?*up*i.
I ,r,iii:<i
iaoi the i
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Yes, it is hard .-sometimes?but PLANT the
right seed and life will yield a very wholesome
crop.
One of the very best and most profitable seeds
to plant is the insurance seed in the Massachusetts
Mutual Life Insurance Company.
The Times-Dispatch will issue votes on all pre
mium receipts for new policies.
CHAS. B. RICHARDSON,
General Agent for Virginia,
Mutual Building. - - - Richmond, Va.
E B. MEADE,
District Manager.
Ask for Votes
11 /?,
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Palm Beaches K, A r
Made New for
vvirvK c.ot tin-: mi:tik?i>
works womior swith I'AI.M i:i:.\('l I ICS
they "conic hack" iviili all ilio snap
.?nut ?o of a to w suit. If -v on arc par
twnlsir. rail SI'ITZIOC, Madison 1121/
I o-?!av.
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You'll t?n ilcliKhlod with th<? rc.sulis
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I.I M; Kit 110 DltKNSI-'.S.
I.A<'10 WAISTS.
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Have you ever noticed when you drive into town with a load of apples to peddle about, or dispose of to grocers, what a hungry look that man standing upon the street nearby gives you as you pull up to the curb, and especially if you have extra fine fruits displayed in nice crates? We did, and we took a valuable lesson from the hungry look. The whole world is hungry for good apples to eat, and all the time. We used to feel sorry when we shied glances at him with the hungry look, but our apples were all weighed up in measures ready to deliver, and we must not start in handing out, or we would run short. We caught a trick one day when packing in our orchard for the market. Quite a few specimens were always found with little defects, over ripe or bruised just a little. These apples were more than we could use up at home, and often went to waste. Next day when we took our load of apples to town, a half-bushel basket of these specimens, mellowed for ready eating, went under the seat, and everywhere we met that hungry look with a ripe apple.
And it worked better than we had suspected, for the next time we went to town with apples that had hungry look met us with an order for some of our apples. Tiled it went still further. The grocers where we delivered apples did not find out, and we did not tell them either, that we were handing out ripe samples. It increased their trade and thereby increased the demand for more of our apples. — Georgi Weimar Brown in Farm and Fireside.
When You Feel Lazy.
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Des citoyens mal renseignés avaient annoncé que le président du Conseil serait reçu dans ce département avec des pommes cuites. Nous ne les avons pas cru et les événements nous ont donné raison. Selon l’habitude, le voyage a été bien organisé et il a parfaitement réussi. M. Clémenceau a prononcé un important discours dans lequel il a exposé sa politique. Cette politique, elle est connue maintenant. M Clémenceau s'est plu à rassurer la classe bourgeoise et s’est appliqué à se montrer son véritable défenseur. Son discours lui a certainement attiré les sympathies et les encouragements des réactionnaires. Il lui a également conservé le mépris des socialistes. Devant des auditeurs d’autant plus enthousiastes qu'ils avaient été triés sur le volet, le président du Conseil a posé le dilemme suivant : la République ou la Révolution. Cela fait toujours bien dans un discours officiel et provoque inévitablement de chaleureux applaudissements. C’est contre nous, contre les socialistes qu’il a été parlé de la République et de la Révolution. M. Clémenceau s’imagine défendre la République en salissant la classe ouvrière et en recherchant l’appui de la réaction. Une telle tactique met au contraire en danger la République. C’est aussi contre les socialistes qu’il prétend prendre la défense de la République. Combien cet ancien journaliste a tort de tourner le doigt dans l’œil ! Il n’y a pas de républicains plus fermes que les socialistes et si, demain, la République avait besoin de leur concours, ils ne le lui refuseraient pas. M. Clémenceau a fait apparaître la Révolution comme une catastrophe dans laquelle la société trouverait la mort. La vérité c’est que la prochaine Révolution sera une catastrophe pour la bourgeoisie, à laquelle appartient M. Clémenceau comme la Révolution de 1789 a été une catastrophe pour la noblesse. Comment conclure ? Alors qu’il était journaliste M. Clémenceau a écrit de nombreux et inutiles articles contre le socialisme. Depuis qu'il est ministre, M. Clémenceau a prononcé de nombreux et inutiles discours contre le socialisme. Rien n'est changé : le socialisme a résisté aux efforts de M. Clémenceau. Charles Vérecque. LE COEURS DE TOULOUSE Le prochain numéro du Travailleur contiendra le compte rendu du Congrès de Toulouse par notre camarade Charles Vérecque. UN PEU DE TOUT AU GROUPE SOCIALISTE Le groupe socialiste au Parlement s’est réuni le 9 octobre.
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Siccamibushlcopuieft : oamot perenni
madore humer : maximeque infernae
oris paries. Maligna orii vlcufcula tange
aquaihcciacali { adde quid aceti, fli boli.
Ycl ablue decofio fucci acaciz.Si bii inni*
Qa (int , remirce parum fublimati cum
aqua plamagmii , tange ipfa rqlum vlcuf-
cula. Rana cftearo fub lingu^quc rlira
dcntesattolliiur. Aperiatur rcalpcllofuin-
tepidum fxpe lineus fubdatur. Si phic.
! ;raoQC adiit, adeo ri feiuidae maierix fu.
picio ad iit , cum dolore ac febre , rubore,
pulfu.-Duc cailiaaluum.fcca senam, diaeta
accedat huroida 5 'fngida. Accipe radu
cum alihxc coAa. jm ac coniufarum,paC
fularuffl ineodecofiocoflaruin, fingulo-
fum vncias du>s:lingux fubdatut. Ante,
rconi ecio foiis, hoc. Accipe rorarum.sio-
larum, farinc hordei, cuiufque femimani*
pulura.-pulpc paflulatum rneias iresaradi-
cum alihiec manipulos duos : fiat cara.
plaTma : adde olei violari & amygdalini
que.in dextra Bcfinidra parte, quo humor .cuinfque vncias uuas. Si fift gulxapoile- OaU
albumini ouorum fimilis exeai. Colluatur
poica cum exiguo adicAo fale. Interdum
periundiiur infra meatum. Sed antequam
ad (edionem veniat. difeute ac emolli, Ac-
cipe Caricarum coftaruip in vino dulci
maex oificuloibifixo i rigeriuotrempcr
oleoivcl dccoQo radicumalibxx, feminis 1*
faenigrzci,flt Imi. Tandem adde ftabio.^'***
fam & glycyiihjzan.
7 I N I a.
INDEX CAPITVM
HVIVS LIBRI.
CAT. I. DeOralsraaipreJtaHtis. qasd^ Pbifn/spfciayirexetiirta. VtrtJLgm} Dm.
O . M. caaerir, ae fttili iS» vtt Uffn perctSeremiir. Car ia site ps/iri. Eos c^c meata iadiers.
P«r(ese«ram:(^adaur<nit/4WiraitsraM;iaqa4 5. DtiS4pieifiUel»(tt. Qao aisdo^at vi-
fi» : fultu Namcaparoiatalam^l/abricaiam. ProMmaia ^ aadaas
t/bih*lmic* /cita iaraads. t
j i . De Epi^bsvA.bsr rjl imperaasi /axiwi «t iatbrpNMra jdM.paj. 9,b.
pa^.i8,b.
psf.a 3 ,a.
p*i .3 3 ,b.
/* 144 ,k,-
III. De Oplrbalmia.bocf/l Lippitadiae.
s 1 1 1 . Do 1’ajjae a calaram. ^
V. Be Sagiflsia,boc eif Maea/aocaGtc^dcFanalaiaien/M.
VI . De Vdntnbm.Vlteribm ($> Cicatriribia acaiaraat.
VII. Do rolifau Ocaioram afeSiba.
VIII. Dt ftfitnibm A»mm,.
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W eettortm ^ ber »pofleC bereite ongctoMtet, »oti» M IK«bf(^«ft
•te Mttf^ M tinosftfeis berfdta 4«f evc S^M 9U(ete t^, baf mir , le*
gegniftifr^^n ; ^dbea mir bot Mfl ber Ittnbf^aft, nvivfia vio^eaioQ,
e«)>fongen, fo ntfen mir ?tbba, SJater (Wbm. 8, 14. 15. ®aL 4, 5. 6.); |mfi-
trM froher 3itoerfi<^ in S6etreff ber ^uixm^i leben; ben« mtffen mir and aU
JJiaber, xfxia ^for, fo mijfen mir anc^ nnb finb «nf« Sofl^AnbigPe überjeugl^
baf »ir (^ben fein, b. ^. bie ^immlifc^e jperrlic^feit nnb ©eligfeit erlangen mer-
b« («bm. 8, 16—18. ®al. 4, 7. 09I. 2 5I:H- 4—10.). «flerbine« befinben
i»ur ,00^ bmnalen no<^ ni(^t in ooHem 93eft^e nnb ©cmiffe bef{e& , n?a$ un^ all
tfirimr (Bottf« ermattet C^^öm. 8, 18 ff.). 9(aein mär fUib ber ^loagnua bH-
fo gen^if , baf mk M MKOinftieer Q^rm^gnag nii^ bem Uifefbn 3wtif4
t«» |8 geben «eitH^e«. 0ie f»? tUfere tfobWi^t dröabct m a«f ddriffaK,
a^ct bflNmf , baf (Bott aal fUnes (Baeclerenea gef^ad (at. ffitc follle aber
9ett , ba er frtaea (Eingeborenen fnr aal Angegeben , anl nti^t Stdel &agtei4
biefeat ft^Ienl C9*bai. 8, 32.). §ie1bei aber fraßt eö ftc^ bo((i no(^ n5^r,
wie bie 33eörnnbnng nnferer Jtinbft^oft auf (f^^nl be^mmt ju benlen fei. ©c^oa
im ©i^^erigen ifl bief aagcbeatet; ber afofiel belehrt un^ aber no(^ genauer,
u^«m er fagt: „©etreu i^ ®ott, bnr<^ meli^en i^r berufen feib jnr ®emeinf(^aft
feile« ©o^ne« 3. (£(>r. U. $>. (1 <5or. 1, 9.). ^^rißu^ ifl ber @o^a ®oüel, b^
8ftHe gitfle ber ©ott^t ia ft^ trogeab {jlol 2, 9.); ftab mir a(fo mit i^m M-
cii4||, glcK^fan feiae ®rftbcr imm, 8, 29.> fo (abe« »tt wmÜMUt t^tSL
MlMi M Mi MI ittlllteft; m& (lab {efoe micilm ; lUbet »iv ««• mt(
fef fi tNMi »fr ttll ü« mfenefttll loetbea" C^^bat. 8, 17.}. —
tf aal bei »ilibfllbwll Mgefä^rt; nnb mir finb tm @tanbe, bal ©anae )a
ttcrf^ttc«. ^a Hafeag an tß ber 9)?eafc^ oon felbß ftinb ®otte< , nnb biefe
l^Bbf(^aft dttfert fl^ oll S^ereimgnng aiit <9ott anb bewährt ft(^ in ber ^iemit
»nbaabenen ©eltgfeit. (Setrennt »on Oott (bnrjj bie ©üabe), ^ört er ouf , bie
^Mng eiael fttnbel (Mi Me««be« ^ i4bt». Hafer ^laabe, btefe euüm
^ kju.^cd by Google
ftUblma«^ — IN«.
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lubrici, che in quelli si raccontano; e se si può dire che in essi si parli di amore. Vedete dunque, fedeli miei, la forza che hanno sulla mia anima questi libri amatoriali. In secondo luogo, voglio concedervi, si libri e poemi amatoriali? Vedete se ebbe che molte volte (si cominciano a leggere) la ragione di S. Girolamo, di chiamare universalmente cattiva intenzione, ma però le cose simili alle poesie compositive cibo dei Demoni; perché mentre trattengono ed allettano col fascino del metro le orecchie, penetrano nell'anima, emettono in catene il cuore; Carmina Tecta. "Di cibus Dominum cibus, quia dum aurea verbus alii medulantes currentes in ea pungunt, animam quoque pentirant, in ipse sperant, interna deviniunt." Dicono gli ereti mestieri quelli che frequentano tali lezioni, quante volte degli avvenimenti impuri che leggevano, se ne compiacciarono, delle immagini, che alla loro fantasia li rappresentavano, se ne dilettarono, ed aspiravano di avere simili incontri accadenti. Dicono quante volte, dopo confusione dei partiti con le lenze, e delle palate compiacenze; tentati a di nuovo leggere tali libri, e sentendosi a tentare di nuovi compiacimenti, furono affretti a gettare il libro da parte, per non indurcire in nuove cadute. Tutto ciò non è una maniera prova di quanto andiamo dicendo. Perché dunque si ritiene?
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È rammentato collo stesso nome nel diploma di conferma di Arrigo III, dell’anno 1048. Fu eretto in contado a favore dei Giriodi baroni di Costigliole.
MONASTEROLO DI TORINO (Monasterium Taurinensium), coni, nel mand. di Fiano, prov. dioc. e div. di Torino. Dipende dal senato di Piemonte, intend. gen. prefett. ipot. di Torino, insin. di Ciriè, posta di Fiano.
Trovasi a manca del Ceronda, a maestrale da Torino. È discosto un miglio dal capoluogo di mandamento, miglia due da Lanzo, e dieci dalla capitale.
La sua giacitura è a’ piedi del Mombasso, così dello stesso per essere la più bassa e piccola montagna di quelle che formano le valli di Lanzo.
Il territorio ne è situato sopra due colli che divennero assai fertili per le molte sollecitudini degli abitanti; e produce in qualche copia grano, segale, meliga, legumi, castagne ed anche uve, fieno e legname.
Tre ne sono le vie comunali, tutte in cattivo stato: la prima mette a Fiano; la seconda a Lanzo; la terza a Cavaglio.
Vi scorre un rivo o torrentello denominato Davito, il quale discende dal Mombasso a levante: nelle sue inondazioni suole arrecare gravi danni ai circostanti poderi.
I terrazzani di questo comune sono di complessione robusta e d’indole buona e gioviale. L’agricoltura e il traffico sono le loro principali occupazioni: fanno il loro piccolo commercio massimamente con Torino, Rivoli e Pianezza.
La chiesa parrocchiale, dedicata a M. V. assunta in cielo, è di recente costruzione e di mediocre disegno: si trova in luogo isolato, alla distanza di cinquanta trabucchi dalle abitazioni: le giace dappresso il camposanto.
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El nuevo arzobispo de Colonia se presentó en
Francfort ante el joven rey, mientras dos abades le
mostraban el cadáver de Engelberto , para que la
vista de éste clamase contra su asesino ; y cuando
el rey vio los restos de quien habia sido su tutor y
su segundo padre, derramó lágrimas amargas, y así
la monarquía como la Iglesia lanzaron su anatema
contra el asesino, mientras el cardenal Conrado de
Porto y de Santa Rufina en el Concilio de Magun-
cia, celebrado á mediados de Diciembre de 1225,
alabó los méritos del finado como santo mártir. Los
(1) Hay algo de salvaje en las últimas líneas de la can-
ción de Walther ; pero el mismo exceso de la indignación
del vate demuestra cuan grande era la pérdida del noble
arzobispo, que en vida fué la personificación de la justicia,
y á quien ha santificado su muerte y ?u martirio incompa-
rables.
^ 62 —
obispos de Münster y de Osuabrück, que pasaron á
Roma para defenderse de la acusación , fueron allí
degradados ; el uno murió poco después , mientras
el otro fué perdonado más tarde. Pero el miserable
Federico de Isemburgo, que, cual otro Caín, no en-
contraba paz en ningún rincón de la tierra, fué pre-
so en Noviembre de 1226 y atado á una rueda fuera
de la puerta de Severino de Colonia , donde sufrió
el suplicio más cruel y exhaló el último aliento, sin
que una sola queja saliera de sus labios , sino que
pidió á los que le rodeaban rogasen por la paz de su
alma.
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Dourges - Escarpelle (Nord) Epinac - Ferfay Lens - Liévin - Meurchin Maries 30% (part d’impôt) Thivencelles Vicoigne-et-Voix Forges de Denain et Anzin. 50 50 119201 13250 11 2200 1908 2000 1909 1000 Fonds d’État, villes Danemark 3 1/2 %, per-rituelle - Idem, amortissable 12 50 12 50 7 50 Caisse d’Éspoir. - actions Caisse Politique et Générale Crédit du Nord.... H. Devilder et Cie... Banque régionale du Nord Gaz de Paris et Étrurie Générale des Assurances Le Nord... 2592 2631 2631 272A 27A1 27AA 58 2601 9310 9780 11210 12090 2 Crédit Lyonnais...; Société Lyon de Dépôts * Foncière Lyonnaise * Société Lyon Eaux etc. Canal de Suez Terre-Noire L’Bonnet Creuzot Acier, de la marine Cheminot Fourchambault Chat Commentry Réassurance 2 Mines de la Loire..Mines de Moulins 383.749 9.915.274 629.950 2.311.179 46 990 4.576 869 10.088.741 362.000 Différences 275 9 7025A701 310001 445.100 935.398 2377AUI 2AA1201 1/2 0% Pays-Bas.. Espagne externe 0% Turc. Portugais 3 0%.... Egypte 6 0%... 100 100 100 100 100 100 100 100 100 1840 1/2 0% Pays-Bas. Espagne externe 4 0% Turc Portugais 3 0% Egypte 6 0%... Capital Billets en circulation Comptes courants : À Alger Aux succursales Société anonyme de l’amérique Art et Alors Factures Paul court, Paris. - M. Barnagaul. Alger, 8 décembre. Le steamers Colombo reprend la mer à destination de Toulon. 88 20 nov. 88 1 août 88 15 août 88 15 nov. 88 1 août 88 oct. oct. oct. Est 5 0% Est 3 0% anciennes Ouest 5 0% 1855 Rouen 5 0% 1847-49-54. Wassy à Saint-Dizier... Eaux 4 0% 1880 Forges et Chantiers de la Méditerranée Métaux Panama à lots (libérées) Coton Middling Upland... cents la livre Philadelphie, 8 décembre. Pétrole raffiné... cents le gallon, 60 50 91 5/8 1920 800 2011 800 2080 686 156 1197 770 905 216 1500 2201 15 15 15 6 0% Péruvien Change sur Paris... — Berlin — Londres Les personnes qui visitent les environs de Paris, les familles qui vont passer le dimanche à la campagne, trouveront dans le Livre d'heures des Environnés de Paris, non seulement les heures de départ des chemins de fer, mais encore une série de dix plans coloriés très utiles pour leurs excursions, ces plans, qui comprennent le Bois de Boulogne, le Jardin d’Acclimatation, les forêts de Saint-Germain, de Fontainebleau et de Compiègne, Saint-Cloud et Versailles, le bois de Vincennes.
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Quelques jours après, il apparaissait à Liverpool, dans un meeting irlandais, y prenait la parole à l'impromptu, créait séance tenante une association insurrectionnelle permanente où s'en frôlait d'enthousiasme tous les assistants, puis tombait, épuisé de cet effort, dans une de ces longues défaillances où le jette à chaque instant sa nouvelle maladie. De là, il courait auprès des siens, dans le comté de Mayo : il les trouva sur le point d’être évincés, et put à son aise rafraîchir dans son âme l’image de la misère irlandaise. C’est là qu’il jeta le cri d’où devait naître la Ligue : « Chassons l’usurpateur ! » Il se mit sur-le-champ à errer dans le comté, mendiant pour vivre et ramassant des affiliés. Quand il en eut quelques-uns, il leur donna rendez-vous à Irishtown ; chacun d’en y amena une troupe des siens. Le meeting fut gigantesque. La Ligue agraire était fondée. Ceci se passait en avril 1878. En quelques mois elle était si puissamment constituée que Parnell y adhérait, moitié de gré, imposé par nécessité, et annonçait, à Dublin, qu’il renonçait à son système des Trois F, pour se ranger à l’idée de Davitt. Huit jours plus tard, la Ligue avait ses bureaux à Dublin, ses agents partout, sa caisse, et probablement ses arsenaux. Rassuré de ce côté, Davitt, songe aux Etats-Unis, arrive à New-York, rassemble les Irlandais expatriés : « Aidez-moi à chasser ceux qui vous ont chassés. » Il expose le système du boycott logique, enflamme les esprits, réunit l’adhésion de tous les assistants, et des sommes dont il garde le secret. Quelques-uns, O’Donovan Rossa, d’autres, l’accusent de mollesse, parce qu’il ne prêche pas l’exécution immédiate de tous les landlords. Il les foudroie avec son éloquence enflammée, et réunit à lui tout son monde, poussant sa course triomphale de ville en ville, jusqu’à San Francisco, où le maire et la municipalité lui font accueil et lui obtiennent des subsides. Il fallait revenir : on le suppléait, en Amérique, de n’en rien faire ; libéré sous condition, il peut se voir enlever sans prétexte son ticket-de-leave et c’est Dartmoor qui l’attend. — N'importe ! Où sont les siens, il se trouvera.
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Il a reconnu avoir acheté, fait abattre et débité clandestinement pour certains clients, depuis le mois d’août dernier, trois veaux, deux vaches et un porc. Doucet a été déféré aujourd’hui au Parquet de Bourges. Une information est ouverte contre lui et ses acheteurs. UNE GRAVURE AFFAIRE de propagande communiste commence. La police d'État a mére de lire enquerîte sur une grave affaire de propagande communiste, dans laquelle ont été compromis des ouvriers des Ateliers de La Guerche. Onze arrestations ont été opérées. Parmi les individus impliqués dans cette affaire se trouveraient des militants importants. Les communistes arrêtés ont été amenés à Bourges. Ils sont déférés au parquet cet après-midi. Deux ouvriers sont tombés d’un échafaudage. Ils sont sérieusement blessés. Vendredi après-midi, vers 17 h. 30, MM. Naudin René, 27 ans, demeurant à Annoix, et Dumas Louis, 34 ans, demeurant à Saint-Germain-du-Puy, au Val d’Yèvre, tous deux charpentiers à l'entreprise Jacob Leising, étaient montés sur un échafaudage, sur un chantier de l’Aéroport lorsque des planches se romirent. MM. Naudin et Dumas furent précipités sur le sol, d’une hauteur de 10 mètres environ. Ils furent relevés par leurs camarades de travail, et bientôt hospitalisés à l’Hôtel-Dieu. M. Naudin souffre d’une fracture de la jambe gauche et de multiples contusions, et M. Dumas est atteint d’une fracture probable de la clavicule droite. NOUVELLES DIVERSES TRAMWAY INCENDIÉ Hier, vers 13 h. 40, un tramway garé sur la place de la Gare, a été complètement détruit par le feu. Les pompiers, immédiatement alertés, se rendirent sur les lieux avec l’auto-pompe de premier secours Lafly. Le feu se serait déclaré à la suite d’un court-circuit provoqué par le contact électrique sur le moteur arrêté, qu'on aurait omis de couper. EPAVES DE LA SEMAINE Objets trouvés dans la semaine du 24 au 31 janvier et non réclamés : des gants, une pièce de bronze, une pompe de vélo, une bâche, un carré de soie, des trousses d’écolier, une carte d’identité, un stylo, des lunettes, un portefeuille, des sommes d’argent, une pèlerine, une bague, un chapelet, une carte d’alimentation, un parapluie, une fourrure, une ordonnance. Les réclamer au Poste Central de Police. Le Foyer Ouvrier de Bourges. Les Actionnaires de la Société d'habitation à bon marché « Le Foyer Ouvrier de Bourges » sont informés que la recette trimestrielle aura lieu le Dimanche 1er Février 1942.
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ENCYCL. Les laminaires sont très communes dans toutes les mers; certaines espèces sont comestibles, mais elles servent plutôt comme fourrages. On les emploie aussi comme combustible, comme engrais; elles forment la majeure partie des végétaux d'où on extrait la soude et l'iode. Les laminaires présentent une partie grêle cylindrique, fixée aux rochers, puis une partie foliacée aplatie en ruban. On emploie les laminaires en chirurgie pour dilater les trajets fistuleux : la tige sèche se dilate énormément sous l'influence des sécrétions.
laminariacées [sel n. f. pl. Famille d'algues, dont la laminaire est le type. S. une laminariacée.
lamine n. f. Petite lame
laminectomie [nê.i,-to-mie] n. f. Opération chirurgicale qui consiste à sectionner une ou plusieurs lames vertébrales.
laminer [né] v. a. (du lat. lamina, laine). Déduire, au moyen du laminoir, des métaux ou des pâles en grandes feuilles, en laines fort minces.
laminerie [n. f. Atelier dans lequel on lamine.
lamineur n. m. Ouvrier qui lamine les métaux. Machine à laminer les pâles. Adjectif : cylindre lamineur.
lamineux, euse [lat.] Laminaire.
adj. En forme de petites lames. Anat. Tissu lumineux, tissu cellulaire.
laminoir n. m. Machine composée de cylindres d'acier tournant en sens inverse et entre lesquels on fait passer les pièces du métal qu'on veut laminer. Machine analogue au cylindres lisses, que l'on emploie pour le glaçage des papiers et des cartons. Fig. Passer au laminoir, être soumis à de dures épreuves. Activ. Soumettre à de rudes épreuves.
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1. Es gibt in der Ebene eine bestimmte gerade Linie, die Linie im Unendlichen oder die unendlich ferne Gerade derselben und in dieser Linie zwei bestimmte, nicht reelle Punkte, die Kreispunkte im Unendlichen der Ebene. Ein geometrischer Satz hat entweder keine Beziehung auf diese Linie und zu diesen Punkten und ist dann deskriptiv oder projectivisch, oder er steht in Beziehung zu ihnen und ist dann metrisch. (Vergl. „Kegelschnitte", Kap. XXII.)
2. Die zur Bestimmung der Lage eines Punktes in der Ebene dienenden Koordinaten sind rechtwinklige oder schiefe Parallel-Koordinaten (Cartesian) oder trimetrische (projective) Koordinaten; die letzteren umfassen als einen Special-Fall die erstere. („Kegelschnitte" Art. GS.) Im Allgemeinen kann man sagen, dass die Cartesianen und insbesondere die rechtwinkligen Koordinaten vorzugsweise geeignet sind für die Untersuchung der metrischen Eigenschaften, die trimetrischen Koordinaten dagegen ebenso für die der deskriptiven oder projectiven Eigenschaften. Es ist aber auch für die Untersuchungen der ersten Art oftmals von Vorteil, die Bezeichnung der trimetrischen Koordinaten zu gebrauchen, da dann die Gleichung der Kurve homogen in x, y, s erscheint, wo x, y die gewöhnlichen rechtwinkligen Koordinaten sind und s die Einheit vertritt.
3. Die trimetrischen Koordinaten eines Punktes sind als die senkrechten Entfernungen p, q, r desselben von drei gegebenen Geraden definiert worden („Kegelschnitte"Art.62.), sie genügen daher, wenn a, b, c die Längenzahlen der Seiten desselben und A seine Flächenzahl bedeuten und wenn x, y, z für jeden im Innern des Dreiecks gelegenen Punkt als positiv angesehen werden, der Relation
p^2 + q^2 + r^2 = 2 A. („Kegelschnitte" Art. 63.)
Mittelst derselben kann eine ursprünglich nicht homogene Gleichung homogen gemacht werden und es wird vorausgesetzt, dass dies geschehen sei und also die benutzten Gleichungen immer homogen sind.
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Più leggio alla pubblica opinione fu il decreto del 20 Luglio con cui venne ordinato lo smantellamento del Forte di Belvedere, quasi si volesse punire l'insuccesso del 27 Aprile e distruggere ogni garanzia di cose che non dovevano più rinnovarsi. Ma questa fu l'ultima successione che il Governo toscano non si degnò di mostrare verso la pubblica opinione dopo la pace di Villaforte. Venivano i tempi in cui esso, rassicurato dalla pace passata, riprese coraggio, e sebbene si vedesse costretto a cedere come prima all'impulso che gli era venuto e continuava a venire dal popolo, volle riaffermare tutte le apparecchiature della spontaneità, e finire di trasformarsi da pedaso qualsiasi in precursore. Né con ammirabile sarebbe stato lo stemma, purché idonei fossero stati i mezzi per continuare a seguire, cioè immuni da ogni autenticità, da ogni vanità o di impostura, e soprattutto accorsi in ogni tempo stessi a compiere l'educazione del popolo, a tutelare il decoro dei suoi rappresentanti, a favorire l'ingresso dei suoi veri amici, a raggiungere non solo in apparenze ma anche in realtà il supremo scopo della difesa, l'indipendenza e della unificazione, d'Italia. I fatti sono da ricordarsi di nuovo affinché essi mostrino se la corrente del Governo toscano fosse consenziente a tutte queste necessità.
Il Governo della Toscana nella nuova via in cui entrò dalla partenza del regio Commissario, ebbe per oggetto non tanto di rendersi popolare, quanto d'impedire che altri divenesse tale in sua vece. Laonde nel rimanere essenzialmente aristocratico e conservatore, fece monopolio d'ogni larva di ostentato liberalismo, d'ogni lenocinio di mendicare ovazioni, e costituì una strana forma di reggimento che non ha nome nella storia e può essere dinominata solo con quello di conservativa demagogia. Ed anche in questo caso, al partito sinceramente nazionale, popolare non parve vero di lasciare i nuovi ed inopportuni antagonisti in una gara la quale avrebbe dovuto trasportarli con maggior celerità e sicurezza colà appunto dove esso voleva. Il mare seguitava ad essere placido, il vento a soffiare propizio, e la mistica navicella a più correre.
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A ZA 5 Pi S > < > SĘ i iE zyk X n £ h a r s. = KE” i ~ d à c= ZEK A
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|| W Sobotę dnia 21° Marca 1874 roku
A | Wa dochód
i Emilii Terenkoczy
WW Dramat w 5 aktach z prologiem pp. Teodora Barrière i Lamberta Thiboux, ję
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tłumaczony z francuskiego przez J. S. Jasińskiego, Dyrektora Teatru WarszawKG
k skiego z muzyką p. Stefaniego Józefa, w akcie 2 Śpiew p. E. Montaubry: A
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a DIOBEBR SR 5 Pan Benda. 2 Ateńczyk — — — — Pan Nowakowski. (iE
By Gorgiasz — — — — — Pan Szymański. Thea — — —' ga: Pani Terenkoczy. Wo
A B Alcybiades — — — — Pan Dłużewski. Strabon — <— — .— — Pan Głlikson. G
K Posągi — niewolnice. — Rzecz dzieje się w Atenaçh “przed Nir; Chr. 350 r. to
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Se Rafal — — — a = Pan Wardzyński. Pani Delmar — — — Pana Kwtecińska. RE
SP? Desgenans — — — — Pan Benda. Juliasjej córka, —— — Panna Ekel. ( 9
N De Fresnes — — — Pan Szymański. « Pani Didier, matka i Rafaela — Pani Wolska.
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ABOLIZIONE della GELOSIA 443
Sono nostre ablassanza le ragioni che li facevano temere e le arti con cui venivano indicati all'odio; eresia, gallicanismo, giansenismo, filosofismo cospirarono contro di loro: paventavasi soprattutto la loro efficacia sul popolo : si asseriva che essi corrompevano la Chiesa, e si assicurava che, tolto via questo scandalo, la sposa di Cristo tornerebbe pura, efficace, venerata e cara come nei migliori suoi tempi; i laici invece d'osteggiarla ne diverranno passionali; la morale regnerebbe, riconcilierebbero principi e popoli dacché fosse con loro abolita la dottrina del regicidio. Maria Teresa li difendeva; ma fu assicurata che il padre Parchammer, suo confessore, aveva rivelato essere ella pentita d'avere cooperato allo sbandamento della Polonia; del che indignata, accondiscese alla loro distruzione. Le Corti borboniche, alleate a questo intento, non temevano la dottrina del tirannicidio, comune del resto anche ai Domenicani; non la sopreminenza dei papi, quand'erano cosi fiaccati; non la prevalenza di questo Ordine, mentre avevano ostile tutti gli altri; non che si impedisse l'incamerazione dei beni ecclesiastici, che Clemente era disposto a consentire; bensì temettero che l'Italia, asfiatica nelle dinastie, sorgesse a indipendenza, mentre essi Borboni fantasticavano farne un regno per la loro stirpe. Si asserisce che il Ricci di Macerata, generale dei Gesuiti, palesasse tale divisamento al papa, il quale scappò a dire: "Voi siete matto". Rispose: "Anche il duca di Ferrara diceva matto ai Tasso".
D'accordo col Borboni di Francia e Spagna, i Borboni di Napoli e di Parma chiesero al papa di abolire i Gesuiti, e dessi in loro mano esso Ricci e il cardinale Turrigiani loro protettore. Clemente non solo non obbedì, ma osò lodare i Gesuiti e riconfermarli; onde i re indispettiti occuparono i paesi di esso, minacciarono di bloccare Roma, ammutinando il popolo contro di esso.
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Silks $15.50 $16.50
Mohair $15.50 $16.50
Stouts, Slims, Rich.
COOL
5 MABCT
DISTINCTIVE
Jacobs & Levy
705 E BROAD ST
Leave
RICHMOND
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Arrive
BALTIMORE
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Supernumerary digits are much more frequently
found in males than in females. Supernumerary
nipples are also much commoner in men; among
several hundred persons Mitchell Bruce found that
g.i per cent, men and only 4.8 per cent, women
possessed an extra nipple, so that it is nearly twice
as frequent in males.''^ Although goitre is much
commoner in women than in men, it is remarkable
that congenital goitre occurs much more frequently
in males. The majority of cases of transposition of
viscera (in which the heart and the stomach are
found on the right side and the liver on the left) are
found in males. An additional (eighth) true rib is an
interesting anomaly which has been especially studied
by Professor Cunningham; he finds it to occur twice
in a male to once in a female; it is normal among
the lower apes and in the chimpanzee, and may
therefore be regarded as a reversion.^
The majority of muscular abnormalities are found
^ We may perhaps connect this fact with the much greater
frequency of appendicitis in men, less than 20 per cent, cases being
in women. There may, however, as Woods Hutchinson indicates
(Human and Comparative Pathology , p. 52), be other factors at worlc.
^ Journal of A nat., vol. xiii. p. 432.
^ D. J. Cunningham, "Occasional Eighth True Rib in Man,''
Journal of Anat., October 1889.
4l6 MAN AND WOMAN.
in male subjects. It would be of little interest to'
consider in detail the results reached by Wood,
Schwalbe, Macalister, Wenzel Gruber, and others,
but on the whole there seems to be little doubt of the
fact, although there are exceptions as regards certain
muscles, and Testut is of opinion that the sexes may
be regarded as about equal in this respect.
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EUe avait vu venir le premier soir de son mariage
avec des fremissements, la nouvelle ^pousee; elle
avait tremble en approchant des ombres de cette
nuit, elle doni la vie s'ecoulait en des colloques
divins, elle dont la robe somptueuse cachait un
cilice. Et la musique desnoceslui faisait peur... Mais
ce fut joyeusement qu'elle eutra dans la vapeur bru-
lante de sa salle de bain pour y mourir. Le pave en
6tait surchauff^ et I'air suffoquait dans ce « calda-
rium » funebre. Elle attendit longuement que ce fut
rheure qui ne vint pas. II fallut qu'un licteur lui
tranchit la tete; et ses coups porlferent mal le
tranchant du fer ne fit que macher les chairs. La
victime, couch^e sur le sol, mit trois jours pour
achever, dans I'dpuisement de son sang qui filait par
les blessures, son supplice. Les Chretiens qui guet-
372 DANS LA. LUMIERE DE BOME
talent appost(5s la fulte de son ame, prlrent le corps
tel que I'avalt laissiS le supreme soupir et le plac^rent
dans le cercueil.
La figure ne se volt pas : elle est lournee vers le
fond de la tombe; les bras, inertes, pendent devant;
les pieds nus depassent de la robe. Le ecu ^tale
I'ebauche du martyre ; les jambes sont ployfe
comme celles des gens qui s'endorment. G'est ainsi
que, dess^chee et brunie, mais sauve de la pourri-
ture des caveaux, elle demeure dans la chambre
paree de la confession. Enclose dans un cofifre de
cypres, habillee richement de pourpre et d'or fin,
elle termine sous les caresses des prieres le travail
de sa dissection.
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Era i convitti di educazione per gioventù maschile merita qui una speciale menzione il collegio di Marina, avvegnché dipendente dai. R. comando superiore della Marina residente in questa città, e quindi compreso nelle istruzioni ed amministrazioni soggette esclusivamente all’ autorità militare. Esso è destinato a formare degli allievi capaci nell’ esercizio delle diverse arti di marina militare, distinguendone due classi, una di veneziani ossia sostenuti o mantenuti dallo Stato, fra i quali vengono ammessi i figli di ufficiali e d’ impiegati superiori nelle armate di mare e di terra, l'altra di pensionati, il cui numero e presenziante di 63, e può ascendere a più di settanta grazie agli ultimi miglioramenti e ristauri del fabbricato. L’ annuo prezzo di questi ultimi è di fiorini a carico delle rispettive famiglie, non facendosi alcuna eccezione sulla condizione delle medesime, e soltanto avendosi riguardo all’ attitudine degli aspiranti e ai mezzi di supplire alla spesa. Si aggiungono poi due fondati dai conte Festetics.
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O clamor incessante da opinião publica, expresso na campanha do Jornal de Noticias, levou um
Chefe de Policia, Dr. Asclepiades Jambeiro, a transferir, no começo deste anno, todos os alienados, em numero de 42, ali recolhidos, para o Ásylo São João de Deus. De Abril em deante, porém, no infelizes foram recebidos, na Casa de Correcção, e agora numa situação mais afflictiva, porque, ao simples incommodo daquella collocação, aecresceram os horrores da fome (!!) a que foram votados. É incrivel, mas é absolutamente exacto. Aos alienados recolhidos á Casa de Correcção, a Intendencia Municipal como o governo do Estado, num conflicto de attribuições para saber a qual cabia alimental-os, deixaram sem ração e a viver das sobras de comida dos outros presos, quando sobras existiam! De Abril a 29 de Julho, quando finalmente se resolveu o governo do Estado a mandar para o Asgylo oito alienados da Casa de Correcção, elles passaram assim. E sabe Deus quantos. não terão morrido desta situação, num verdadeiro As assassinato, à fôme, porque lá ficaram alienados a pretexto de que são criminosos, pois que de facto commetteram crimes, mais não foram julgados. Alguns destes estão até hoje (10 de Agosto) sem ração, e um bem poderá vir a morrer de inanição. Trata-se de um pobre paranoico, de nome Mascarenhas, que, nas alluções do seu delirio, matou a propria mulher na Feira de Sant'Anna. Transferido para a Casa de Correcção, elle encorporou ao delirio de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguirse de perseguir
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On n’est pas trop mal, après tout, me disais-je, et c’est là une aventure qui vaut son pesant d’or. Pas de voleurs à craindre, pas d’indiscrétions, pas d’insectes... À ce moment, j’entendis un petit bruit semblable à un grignotement, et une souris trottinant traversa la cabine avec effroi et sortit par un petit trou. Elle aussi avait peut-être fait l’ascension malgré elle, apportée par un aiguille où elle s’était réfugiée ? Comment s’en tirerait-elle, la providence ! Et moi-même, qu’avais-je à faire ? Il n’était encore que deux heures du matin. La lourde cloche ne sonnait point. On ne sentait aucune oscillation, et cependant j’éprouvais une sensation singulière. Il ne me semblait pas que mon abri fût solide. C’était la peur qui s’avisait de me tourmenter. Pour comble, voici qu’un bruissement sinistre se fait entendre autour de la cabine. Je ne me trompe pas : c’est un cidechirant fendant les airs. Je bondis à une lucarne que j’ouvre et je vois distinctivement, malgré la nuit, la tour envahie d’une immense nuée d’oiseaux migrateurs. Ils sont des millions. Un couinement de canard sauvage bien distinct, ne me permet plus d’avoir des doutes sur l'espèce de ces volatiles. Les ailes de quelques-uns raffinent presque la tour. Leur passage a bien duré dix minutes, car ils volaient lentement, lentement, suivant une direction bien déterminée, comme le navire qui traverse les mers dans les grandes nuits, guidé seulement par l’étoile polaire. J’aurais voulu, comme cela arrive souvent au phare de Cordouan, que l’un d’eux venant se buter contre la tour laissât son cadavre sur la plate-forme. Mais pas un ne sombra. Le silence le plus absolu continua à régner, me rendant ma solitude presque terrible. Seul, le sommeil pouvait m’aider à attendre. Je me pelotonnai donc dans une couverture, et je fermai mes yeux avec résolution. Dieu que mon sommeil ne fut pas troublé serait un mensonge. Un cauchemar succéda à un autre cauchemar. Tout à coup je me sentais tombant du haut de la tour, lancé dans l’espace ; tout à coup, le colosse de fer s’ébranlait, oscillant odieusement sous l’effort du vent. Puis, la tempête augmentant, les fils de fer devenaient comme autant de harpes éoliennes qui rendaient des sons lugubres, se mêlant aux éclats du tonnerre. Le dernier roulement de celui-ci fut tel dans mon cerveau affolé que je m'éveillai.
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Conoscevano nella medesima Lega, il codardo Duca di Firenze si trae di stato, e che ai Sanesi fosse romputa la strada, e in somma che tutta l'Europa si volgesse in Moaropros, se ne svegliasse alle imprese e vi mettesse a finire i Fiandesi, e che i confini dello Stato della Chiesa si allargassero oltre all'Appennino al mare Adriatico intorno alla Pescara, fiume, e di qua dal Appennino al mar Tirreno insino al fiume del Garigliano, talché buona parte degli Abruzzi e di Campania, con molte città, porti e castelli venissero in potere della Chiesa; e sopra tutto che in questa Lega si facesse forza d'indurre i Signori Veneziani con promesse loro grandi premiali, e il Duca di Ferrara, al quale si dessero il generalato delle armate della Chiesa, e che Capo dell'esercito dovesse mandare il Re uno dei primi Baroni del suo Regno, al quale tutti gli altri ubbidissero.
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Meanwhile Greif had obeyed the wishes of Frau von Sigmund-
skron and had taken immediate steps to change his name. In
Germany the matter is an easy one, as it is managed chiefly
through the Heralds' Office. Nothing is required beyond the
formal and legal consent of all persons bearing the name which
the petitioner desires to assume. When this is given, the neces-
sary formalities are easily fulfilled, and a patent is placed in the
hands of the person who has applied. After that, it is no longer
in the power of the family who have given their consent to with-
draw the name, under any circumstances whatsoever. In Greif 's
case, everything was done very easily. The Heralds' Office was
well aware that the male line of the Sigmundskrons was extinct,
and that the family was only represented by Hilda and her
mother, the necessary documents were forwarded, signed and
attested by the two ladies in the presence of the proper persons,
and returned. A month later Greif received his patent, sealed
and signed by the sovereign, setting forth that he, Greif von
Greifenstein, only son of Hugo, deceased, was authorised and
entitled to be called henceforth Greif von Greifenstein and Sig-
mundskron, that he was at liberty to use either or both names
and to bear arms, three crowns proper, or, in field azure, either
quartered with those of Greifenstein or separately, as good
should seem in his own ey«s.
And at mid-day on a certain day in June, the wood-cutters in
290 GREITENSTBIN.
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Ha sopravvissuto abbastanza per non essere più protetto dai diritti di copyright e diventare di pubblico dominio. Un libro di pubblico dominio è un libro che non è mai stato protetto dal copyright o i cui termini legali di copyright sono scaduti. La classificazione di un libro come di pubblico dominio può variare da paese a paese. I libri di pubblico dominio sono l'anello di congiunzione con il passato, rappresentano un patrimonio storico, culturale e di conoscenza spesso difficile da scoprire. Commenti, note e altre annotazioni a margine presenti nel volume originale compariranno in questo file, come testimonianza del lungo viaggio percorso dal libro, dall'editore originale alla biblioteca, per giungere fino a te.
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Mme. Granson sorrowed with a dumb concentration of grief
which few understood. For mothers there are two ways of
bereavement. It often happens that every one else can under-
stand the greatness of her loss ; her boy was admired and ap-
preciated, young or handsome, with fair prospects before him
or brilliant successes won already ; every one regrets him, every
one shares her mourning, and the grief that is widely spread
is not so hard to bear. Then there is the loss that one under-
stands. No one else knew her boy and all that he was; his
smiles were for her alone ; she, and she only, knew how much
perished with that life, too early cut short. Such sorrow hides
itself; beside that darkness other woe grows pale; no words
can describe it ; and, happily, there are not many women who
know what it is to have those heart-strings finally severed.
Even before Mme. du Bousquier came back to town, her
obliging friend, Mme. du Eonceret, went to fling a dead body
down among the roses of her new-wedded happiness, to let
her Imow what a love she had refused. Ever so gently the
Presidente squeezed a shower of drops of wormwood over the
honey of the first month of married life. And as Mme. du
Bousquier returned, it so happened that she met Mme. Gran-
son at the corner of the Val-Noble, and the look in the heart-
broken mother's eyes cut her to the quick. It was a look from
a woman dying of grief, a thousand curses gathered up into
one glance of malediction, a thousand sparks in one gleam of
hate. It frightened Mme. du Bousquier ; it boded ill, and in-
voked ill upon her.
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Do, Nayświetfey MARYI progbé dla pozy
fkania milosti. Jezusewej,
(U PERE
Wybuchaigs odkrytych urazow płomienie;
| Z oczutyśiąc irzał pada na każdc skinienie:
Y iaż fig nie rozgore! y rány nie zniose?
Innym fzczodra, mnie miłość skąpa spuśći rose
Nieday rege o! Panno. Tak ci niech świtrany [nys
Tak niech. Swietych hołduis ftrzałpełne kołczą:
Gzy mis (en zmorzy,nięch mie miłość morzy ras
Czy czuie, przed miłośći wartuie obrazem: |zem,
Czy iem niechmi apetyt da miłośći rośnie;
Gzy piie, nlechay miłość oftrzy {mák nicanośnie,
Gdy mowie, miftrz moy miłość, co w fercu panuie,
Niechay iezyk. niech uftá, niech fłowś formules
©nśzemna niech pźlcem w lutni biie rony,
By rzekł kożdy, lutnifta miłość, urodzony.
Y kiedyż Panno z toba: iednymże pożarem
lednym tkniety zaftrzałem niebios bede. darem?
! (townię
Wtem czasbym. wrecz wyzywał naysrożsże ká
Byłbym celieden wfzytkim mekom niewymownie |
Krew wespołz Panem toczyć wfzytkie kontentece, |
Ná Krzyżu życie złożyć tylo mey. fortece, i
Niech:Pźnno żądze beda twym podobne maie |
Spraw, yferca niech odtąd iednocza fiedwoie.. | gy
Zobopolne nitch miłość obowiazki włoży N :
Sam z ficbie wiezy dawizy leżus, niech fg froży. | A}
PSF grel
3888 (13) RR
ELEGIA VI,
Sługź poprzysiężony Nayświetfey MAREI
z Czyfcć zebrze iey pomacy,
(C Ześćludźi wielka, śni ociebie nie ftoi
Panno ćichś, ni Syná gniewu fie nie bojs
A chociasżby tak było, pzzecież dźwigśc winne
Sługi, ieft to miłośći twey własność nśd inne.
Mogłem nedzny, by nic był umyf niecnotliwy,
Błedom móim uprośić odpuft miłośćiwy,,
Ateraz y wygnaniec y wieźieńtw katusży
lecze, świftyd z boleśćięnieuftannie (usży,
Fu fenttoski nie ulży, przyiaciołow trzody
Nie rozetwg, mych ogniow nie zaleia wody.
Tylko fie: paść nadźieig mulże, w odległośći
Od fzcześćia zofłaigcy , maiąc coś pewności.
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d) W browarze Haberbuscha i Scbielego wyprodu
kowano 107,236 antałków piwa.
glanej wyprodukowano 100,800 antałków piwa.
f) W browarze Aleks. Lentzkiego wyprodukowa
no 97,100 antałków piwa. , pł; Pc
9) W browarze Edwarda Reycha wyprodukowano
94,885 antałków piwa.
h) W browarze. Henryka Limprechta wyproduko
wano 73,410 ańtałków piwa.
i) W browarze Filipa Hopfenfelda wyprodukowa
no 65,920 antałków piwa.
k). W browarze Anny Krauzowej wyprodukowano
51,900 antałków piwa,
Ogółem więc wyprodukowano w ciągu roku ubie
głego w Warszawie /,804,840 antałków dwuwiadro
wych piwa bawarskiego, co przy obeenem zaiudnie
nin Warszawy daje przecięciową konsumcję, 120 li
trów piwa bawarskiego na mieszkańca na rok.
| Ośm browarów produkujących piwo zwyczajne do
starczyły wciągutego czasu 154,180 beczek (30 garn
cowych) piwa zwyczajnego, co odpowiada kon
„— Słuchajno, królu Salomonie. Ja tu nie mam co
robić — wiesz? oto tego durnia (wskazał na mnie)
nauczyłbym czytać.
— Jeszcze czego! uczyć czytać! — zakrzyknął Sa
lomon.—Czyż asindziej, z pozwoleniem, oszalał! A to
mu na c0? To przybłęda jest, znajda... b... Dopiero
by mu się zachciało ' nie wiedzieć czego! Chamowi
tylko dać trochę oleju, zobaczysz co z niego wy
rośnie.
Niewiadomski słachał głową kiwając.
nc Widzisz, królu Salomonie, gadasz tak jak żółto»
brzuchy. Im się to przebacza, oni temu niewinni, bo
się w tem urodzili i zrośli... ale nam, dzieciom nata
ry—nie godzi się tak mówić!! Takiemu urwisowi jals
dasz abecadło, to jakbyś mu dał majątek... Dlaczego
où nie ma nauczyć się Pana Boga chwalić; i do ro
zumu przyjść? dla czego? Dla tego że go znaleźli
pod płotem??.
Salomon nie śmiał przeczyć,
ale się marszczył.
— Niech Pan Bóg uchowa— rzekł cicho—jakby się `
Skarbnikowiez dowiedział... dopierobyśmy się mieli
z pyszna.
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Cet après-midi, à 4 heures, le service de la sûreté a reçu un télégramme d'un parquet de province l’avisant de l’arrestation d’un individu sur lequel pèsent, paraît-il, des soupçons au sujet du crime. À la suite de cette dépêche, M. André, juge d’instruction, a ordonné de ramener l’individu à Paris et d’opérer une minutieuse perquisition à son domicile. Vol important Toulon, 15 décembre. Un vol des plus importants a été commis ce matin au Musée-Bibliothèque de Toulon. Des cambrioleurs ont escaladé à l’aide d’une échelle une des fenêtres du premier étage. Ils ont emporté des objets ayant appartenu à l’amiral Baudin, son bâton de maréchal, les deux épées d’honneur garnies en or, la dague, la décoration du Medjidiô en brillants, la médaille militaire, le grand cordon de la Légion d’honneur, le chronomètre et la montre de l’amiral. Ils ont volé aussi un collier préhistorique en or et émeraudes trouvé dans les fondations d’une maison du boulevard de Strasbourg. TIRAGES FINANCIERS Ville de Paris Obligations. — Emprunt 1865 Le numéro 484.291 gagne 150,000 fr. Le numéro 431.348 gagne 50,000 fr. Les numéros 258.353, 453.120, 101.843, 351.823 gagnent chacun 10,000 fr. Les numéros 15.771, 144.594, 21.883, 223.674, 352.109 gagnent chacun 5,000 fr. Les numéros 472.418, 188.664, 516.552, 73.313, 60.468, 293.653, 338.404, 121.747, 344.313, 25.510 gagnent chacun 2.000 fr. Obligations canal de Suez Le numéro 1.119.469 gagne 150.000 fr. Les deux numéros 52.699 et 173.670 gagnent chacun 25.060 fr. Les deux numéros 101.714 et 65.457 gagnent chacun 5.000 fr. Les 20 numéros 29.077, 235.193, 265.144, 142.933, 278.610, 188.358, 190.595, 163.208, 108.601, 138.419, 297.120, 249.385, 197.308, 30.640, 327.793, 68.817, 862.315, 205.767, 53.932, 201.974, gagnent chacun 2.000 francs. Bons de Panama Le numéro 1.756.428 gagne 500,000 fr. Le numéro 1.877.914 gagne 100,000 fr. Les numéros 1.994.519 et 432.799 gagnent chacun 10,000 fr. Les numéros 494.083 et 442.696 gagnent chacun 5,000 fr. Les numéros 1.062.980, 1.853.551, 426.059, 1.756.200 et 575.514 gagnent chacun 2,000 fr. 50 autres numéros gagnent chacun 1,000 fr. EXTÉRIEUR L’emprunt de guerre anglais Londres, 14 décembre. La chambre des communes et la chambre des lords ont adopté le projet d’emprunt de guerre et le projet de crédit. La prorogation du parlement a été prononcée à deux heures.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos.
As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você.
Diretrizes de uso
O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis.
Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você:
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• Mantenha a atribuição.
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Digimos en un principio, que Illici fué una población de origen antiquísimo, y sien-
do así, no debió ser de fundación romana, sino simplemente repoblada por los roma-
nos, ó ampliada por ellos. Y que una de estas dos cosas debió tener lugar, y no lo
primero, está fuera de toda duda, por el testimonio de las monedas acuñadas en esta
ciudad.
Y ANTIGUED ADES. 21 5
' ■.
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Dempsey's ability to punch Willard into submission so decisively won him not only the admiration and respect of ring followers, but the experts' acclaim as one of the greatest hitters who ever held the heavyweight title. The champion carries a knockout smash in either hand; hits as hard with his left as he does with his right, and always seems to be ready, because of his peculiar swinging style, to whip over a terrific punch from any angle.
Back of Dempsey's right is tremendous power, but his left hook probably is an almost equally effective blow. It seldom travels more than a foot, but it carries the force of a falling skyscraper. Dempsey hooks the punch from the shoulder with a slight twist of his powerfully muscled forearm. He rarely swings a punch; always hooks them across. It is not uncommon to see the titleholder lead with his right in an attempt to get his opponent into position for a left hook.
The champion is master of every trick in the puglistic bag. His favorites are to get his opponent off balance while coming out of a clinch, thus making him an easy target for a left hook. Dempsey accomplishes this trick by hooking his right glove fist back of his foe's left elbow, with a quick jerk, twisting him around and off balance.
Since Dempsey won the title, Tommy Gibbons of St. Paul, the champion's opponent in a 15-round battle at Shelby, Mont., last July 4, is the only man who ever succeeded in staying the limit with him in a decision match.
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Die Behörden des Central = Zollamts in London erhielten aus Liverpool die Warnung, dass demnächst das Gebäude in die Luft zu sprengen versucht werden würde. Vorsichtsmaßregeln sind getroffen worden, die Zahl der Wächter ist verdoppelt. — In Ballina, Grafschaft Mayo, ereignete sich am Dienstag ein blutiger Zusammenstoß zwischen 12 Konstablern und einem Haufen mit Knüppeln und Steinen bewaffneten Männern und Weibern. Die Konstabler gebrauchten ihre Schusswaffen, zwei Frauen wurden verwundet, eines schwer. — Der Lord = Siegelbewahrer, Herzog von Argyll, hat wegen Meinungsverschiedenheit über gewisse Punkte der irischen Landbill seine Demission gegeben. — In einer Zuschrift an Londoner Morgenblätter hält Maltman Barry seine Behauptung aufrecht, dass Unterstaatssekretär Dilke ihm im September 1879 eine Summe Geldes für die „Freiheit“ übergeben habe. * Italien. Wie es heißt, würde die Rechte der Kammer zur Neuformation des Ministeriums aufgefordert werden. * Oesterreich = Ungarn. Graf Schuwaloff ist am Donnerstag von St. Petersburg in Wien eingetroffen und in der Hofburg abgestiegen, derselbe wird vom Kaiser mit großem Ceremoniel empfangen, die Thronbesteigung Kaiser Alexanders III. notifizieren. Nach der Audienz wird sich Graf Schuwaloff zum Minister des Auswärtigen, v. Haymerle, begeben. * Russland. Prozess gegen Russakow und Genossen. Donnerstag Vormittag 11 Uhr wurde die Gerichtssitzung eröffnet. Drei Reihen Sessel wurden von hohen Persönlichkeiten eingenommen, darunter der Prinz von Oldenburg, der Kriegsminister, der Finanzminister Abrosa u. s. w. Zehn Sitzplätze waren für die ausländischen und fünf für die inländischen Presse reserviert. An der Hauptwand des Saales hing ein lebensgroßes Porträt des verstorbenen Kaisers mit einem Trauerschleier umhüllt. Dem Gerichtshofe präsidierte der Senator Fuchs, als Beisitzer waren anwesend die Senatoren Bippen, Pissareff, Orloff, Sinitzin und Belostozki; als Staatsanwalt fungierte Murawjew mit dem Prokuraturbüro Postozki.
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The people of the city are wonder
When they are at the door
And if they do, ruin whether they will
arrive by way of the Vidler's place or
over yonder where the Widow Spencer
lives in the laprooms of the Holy
Lake. The Kent Vermont, the place
Harrow and the Sun Inn the men
Hit their and boast the vital interest
There is something higher than mere stolidity in the
lack of fact in the folk of the country
among all of the villages. The young men have known
for their mother and fathers, the sisters and
the little brothers are at home. "Hill
I don't mind his bit in the time he so why
can't we stand a little something without
assisting a row about it?"
Woman's experiences during the Armenian massacres of Tarsus. What
struggles she and her husband know
Through in behalf of their Armenian
charges, and how from their newborn
baby's sake, they eventually escape to
safety, make a story of tense human
appeal, at once impressive, pathetic and
dramatic, which all Americans, and
especially all American women, will
want to read.
"Tip-Adventures of the 20th,"
which is In the Century Company announces for publication this month, is said to be in stark contrast for its involuntary release of German war psychology.
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Ma potrebbe dire alcuno, A che fine ci narri tu questa storia? Per farli conoscere, Signori Atenei, quanto pregiudizio, e danno apporti il sospetto sempre intrufolare qualcosa in fine al nostro agire. E notate bene il differente Audio, che si è Filippo nel correre le facende, la continua cura, con cui parimente vive, mediante la quale, non essendo contento delle imprese, che ha fatto, non potrà già contenersi da poi in quiete, finché non tenti qualche altro conquisto. Questo è egli l'ira determinata di volere sempre macchinare, e impegnarsi in qualche fatto più grande, e voi per l'appoggio giudicherete che non sia meglio accingersi ad imprese alcune valorose; che riuscita debbiamo quindi aspettarci finalmente, che abbiano da fare queste cose. Odio quale è quel divo di costui ingegno, e di così poco giudizio, il quale non piace, che si noi Aaremo da vedere, la guerra si rivolterà contro di noi, e qui verrà a trovare il che accadendo, io veramente ho gran paura, che non ci intrenga, come a quei che prestano l'arma, i quali per via della spavalda forza, per poco il valore di tempo vivono agl'armati entrambi in grande abbondanza.
Il problema perdono attaccandoci a questi nobili con noi dati in preda alla pigritia, e procacciando ogni colpo, per soddisfare i propri appetiti narcisi, alla fine faremo contorti i progetti, e in difetto delle nostre, molti e grandi di zizzania, e a correre il pericolo di non perdere le encrate e i frutti delle nostre campagne.
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Come dissenta, eh' a di dottor secondi. Forchè la scorsa al basso disonoda: 24, Cu l'ultimo dei mortali a capo fronda. Sai mondo di cielo, li e più caro dall'onda, Hialla palombella a a, mala di voci. Quanto la marina radente ai profondi. Uomo, ti può ridere, come al caralo. Son in nuovi ch'una, eh, possa seconda. Ancor dagli occhi, chinandomi all'onda e al centro di lei. Vana la grande Ungheria divenuta tonda. Onda.
Di ali Quanty dai distruttori, eh, ripondo. Edeli a me: Sa parla incide onda. In umidità dal passato, noi ti nascondi. Mirate la dottrina, che l'aria tremava come tremava ambedue la epoca: rispondi. Che ti fa dire, di' ti ha notato, s'io dico tutto, l'affollato noi si. Quello in dal a Colui, che il anaconda. Quello sarei di lì dallo larghe onde. Là, dora agl'innocenti ai leopardi. Bah, cade tocchi tuatro lo fronda per Diana: Paura malata, cosa alia bocca, ch'è ora parla alle popolazioni.
E guardi non è scherzo, ha verso il fronda, che pregano, e i pregati non rispondi. Tesa allo sbar di desideri, noi naschi e si. Con questa anima con questa piccola cosa. Tale l'acino ch'è mono di qui pia arido. Verso di nazione ch'è nulla in compenso, ranocchio è una verminae da nazione. Ed udì rumore raggiò il ricordo, un mini tirato a cena condita.
Cu mi laggiù (Malora), a me condusse. Alas, assalto, ad argui via con le ascelle; avevi avuto atti il mio in la croce.
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SCT
268 Captain Davis:
Dr. Boliyar A. Sparks, of Mississippi, fired twice
at the robbers, and fell, mortally wonuded. Cap-
tain Jonathan E. Davis, of South Carolina, then
drew his revolvers and commenced shooting at the
enemy — every ball forcing its victim to bite the
dust. lie was easily distinguished from the rest by
his white hat, and from his being above the medium
height. The robbers then made a charge upon
him with their knives and one sabre. Captain
Davis stood his ground firmly until they rushed up
ahreast within four feet of him. lie then made a
spring upon them with a large Bowie-knife, and
gave three of them wounds which proved fatal."
Afterwards he killed all the rest, and then tore up
his shirt to bind the wounds of the survivors. The
party of spectators then came down. It seems
they had been prevented joining in the fight from
a sense of etiquette : as the letter of one party
expresses it — " Being satisfied that they were all
strcmgers, we hesitated a moment before we ven-
tured to go down." When they got down, they
found eleven men stretched on the ground, with
some others in a helpless condition. Tliey then
formed a coroner's jury, and held an inquest over
twelve dead bodies. Captain Davis was the only
A Oalifoenian Ballad. 269
living person left in the Kocky-Caiion. One letter
says : " Althougli we counted twenty-eight bullet
holes through Captain Davis' hat and clothes (sev-
enteen through his hat and eleven through his coat
and shirt), he received but two very slight flesh-
wounds."
The ballad was written, during intervals of
severe occupation, upon the backs of business-let-
ters and scraps of cartridge-paper, in railroad cars,
and on tiie Hoboken ferry-boat. This will be ob-
vious to the skillful, upon perusal. The object of
the writer was to preserve, in the immortal Knick-
EEBooKEE Magazine, a record of the ' Battle of
Rocky-Canon,' for fear the story might be lost in
the perishable pages of the daily press :
Y' Battail of Rocky Canyon.
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Eii la jurisdicción dcAyabamba [ antiguamente Paccha ] se hallan
varias bocas de minas antiguas. Al SO del pueblo, allende la
quebtada del rio vemos un pequeño ramal de la cordillera de Düiiía-
rí, qué se llama Tarapal y está cruzado por muchas vetas y diques
de cuarzo, de los cuales algunos fueron explotados antiguamente, y
personas ancianas recuerdan todavía dos molinos de cuarzo estable-
cidos en el pequeño rio de Ayabamba al lado del pueblo/ A la dte-
— u —
tancia de pocas cuadras de este lugar se hallan las bocas antiguas en
diversas alturas de una veta ancha y casi vertical. Las labores su-
periores están derrumbadas, en la inferior se puede entrar con algu-
na dificultad unos diez metros. El cuarzo es poroso y celular y alo-
ja en las minas superiores mucha pirita de hierro y cobrizo, un poco
de arsenopirita, calcosina [ Cu^ S ], glauconita verde, pequeños gru-
pos de cristal de roca, ocre de hierro y óxido de manganeso. En la
mina inferior faltan los sulfuros de los metales y se hallan sul;\mente
los óxidos de hierro y manganeso [ productos de los sulfuros des-
compuestos ]. El oro es invisible, sus partículas microscópicas se ha-
llan ya en los sulfuros, ya esparcidas en el cuarzo. Las pruebas mas
ricas de estas minas dieron :
Oro [ y plata j (10) 0,0063 hasta 0,0071,
lo que daria 7 onzas poco mas ó menos, por cajón de la mena ; (11)
pero otras muestras dieron mucho menos y á veces nada, de suerte
que el oro parece ser diseminado con mucha desigualdad
Las otras minas en la cercanía de Ayabamba y Paccha, las de Bu-
za, de Santa Bárbara, al pié de la cordillera de Chilchiles etc son tan
parecidas á las de Tarapal, que parece excusado describirlas una por
una. — Atrás del pueblo de Paccha, en el descenso al rio Palto, existe
un sitio llamado "OristaV^, que tiene la fama de minas ricas, pero sin
fundamento alguno. Encontré en un pórfido dioritico algunas venas
de cuarzo, que alojan í^u sus cavedades hermosos grupos de cristal
de roca y prismas delgados de tremolita j ademas contienen pirita y
arsenopirita El análisis cualitativa de la pirita dio una reacción su-
mamente débil de oro y así desistí de la cuantitativa.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos.
As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você.
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Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você:
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Un jour que les rédacteurs étaient las de travailler à bon compte et de tirer des feux d'artifice à peu près pour le seul plaisir d'en tirer, un jour que ils avaient manifesté des véléments de grève, Le Poitevin Saint-Aimé trouva une combinaison géniale pour augmenter « ses petits crétins », comme il disait paternellement, sans qu'il lui en coûtât rien. Un hasard heureux lui avait donné l'entreprise d'un poème-réclame par lequel le dentiste Rogers souhaitait faire connaître aux foules les avantages de la prothèse dentaire. La rédaction du journal restait maintenue à son ancien chiffre, mais Le Poitevin Saint-Aimé inaugurait un système de primes les auteurs des articles les plus spirituels recevraient, comme gratification, un certain nombre de vers octosyllabes à remettre sur pied.
Il est pas indifférent de constater encore un trait de cette fierté de Murger à ne pas vouloir être plaint. Lui qui avait connu les pires misères, lui qui vivait encore du hasard, il raillait, dans un de ses premiers articles, les « jérémies littéraires », ces jeunes écrivains qui ne savent que se répandre en doléances, et, corbeaux du découragement, croassent leur plainte monotone.
Ô Muse mâle s'écrie celui-ci.
Ô public crétin ! ajoute celui-là.
— Ô critique sqùi ! hurle cet autre.
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Was ist der Grund? Wir begreifen vollkommen, dass ein Mann, der Jahre lang aus sich allen möglichen Angriffen, Nörgeleien und Anfeindungen, offenen und geheimen, solchen, die man bekämpfen kann, und solchen, die sich jeder Verantwortlichkeit entziehen, ausgesetzt sieht, schließlich sich nach Ruhe sehnt; wir begreifen das um so mehr, wenn es in einem Augenblick, wo der Reichskanzler für die Durchführung seiner volkswirtschaftlichen und finanziellen Pläne sich auf dieselbe Partei stützen muss oder will, die er seit 1872 unablässig als seine erbittertsten Feinde angesehen und hingestellt hat, wo es von Gerüchten der Vermittlung mit Rom durch die Lüfte schwirrt, wo alle Welt glaubt, das Centrum fordere als Gegengabe Aufgeben des „Kulturkampfs“, Angriffe auf diesen Mann regnet, wenn sein Fall als Bedingung hingestellt wird, ohne dass bisher von maßgebender Seite auch nur entfernt streng und bündig dem entgegen getreten oder erklärt worden, Eisen =, Korn =, Vieh = und andere Schutz = oder Finanzzölle könnten niemals den Grund bilden, ein System aufzugeben, das man Jahre lang mit aller Macht und Energie vertreten, aus Überzeugung für das richtige angesehen und als das dem Staatswohl notwendige durchgeführt hat. Wir wollen annehmen, die Lage habe den Entschluß des Ministers herbeigeführt, er wolle durch seinen Abgang den Weg bahnen, wenn das wirklich helfen sollte, zum Frieden zu kommen. Uns liegt der Kulturkampf als solcher nicht am Herzen, wir haben keine Freude am bloßen Kampf, wie wir das oft ausgesprochen haben. Aber wir dürfen fest hoffen, dass der Reichskanzler nicht der Mann sei, um finanzieller oder schutzzölle rückerischer Zwecke halber auch nur ein einziges Recht des Staates preis zu geben, dass er niemals Wohl und Recht des Staates den Ansprüchen des Vatikan opfere, dass er an seinem Worte halten werde: „nach Canossa gehen wir nicht".
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XIX 9 6. patere videtur, eorum librorum actores non nulle
egisse. De quam aliquam aliam, quam Catilinaria, conjuratione
h. L potest sermoni esse? Sensu est multos praeterea con
jurationis participes esse, quos non cognitos habeat, quonumque
nomen eadem ex causa vocare haud possit. Attentur. Fateri est, id,
quod ante occultatum vel simulantur erat, aperire. Inde injuriari
est, id, quod verum, ideoque alendum est, negare. Vid. et,
coarguunt gravieter, vali argumenta. Vid. et praeter literas.
Praeter negationem sericis, et als si excepteris, us. positioni
non solum cew hbrz. Ex urin Sibyllinis. "Mentalani autem
(Galli dixerunt) sibi hos firmasse, ex fatis Sibyllinis aruspicioque
responsis, se in eodem tertio Gomelium, ad quem regnum hujus
urbis atque imperium peryeniret esset necesse. Cinnam ante se
et Siblam fuisse; eundemque dixisse, fatalem hunc esse anno
illi interitum hujus urbis atque imperii, qui esset decimus annus
post virginum absolutionem, post Capitolii autem incensionem
vicensimus." Cicero Orat. III. in Cat., 4; De libris Sibyllinis
cf. Gellius N. A. I, 10. Portendunt Vox media est, et bona
enim et mala portenduntur. Vid. et Sidicanus Ct. supra Cat.
y, 6. Xly 5. Antea. Ante se fuisse duos Comelios, ad quos
regnum huj. urb. peryenisse. Mälbr. Factum fordi H, 1, sacer
iniscinis, oraculis praedictum, divinitus constitutum. Totem fatum
Cicero definuit de Div., I, 44. Fatum id est pellum, quod Graeci
eljuapjuivov, i. e. ordinem seriemque causarum, quum causa
causa nexa rem ex se gignat. Ceteri. Vid. et urbis potent. Cf.
Zumpt. §. 74, 7. Vicesimum annum L. Cornelius Scipio Asiaticus
et Gaius Junius Nervius Consularii a. u, c. 6719 custodum
incuria Capitolium conflagrat. Vid. et. Respondissent. Vox ea de
re solemnis. Respondent enim haruspices, si ad eos relatum est.
Vid. et. Signa sua cognovissent, Veteres tabellas sive epistolas
suas annulis obsignabant, quibus imago aliqua erat, ut hodie quoque
incisa erat, eaque imago tear obsignantium propria, rei alicijus
ex majoribus, rei alia aliqua, ut avium, sphingis etc. erat.
Eorum annulorum opem imprimebatur cera, filis quibus epistolae
constringebantur. Inde lineum incidere. Quod ut in liberis
custodiis habentur.
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En vain, prétendrait-on que l'ordre public international ne saurait s'accommoder de l'efficacité que nous reconnaissons de plein, sauf le cas d'exécution matérielle, aux jugements étrangers d'état et de capacité. L'ordre public international, en effet, restreint également -et au même titre l'application en France des lois étrangères qui gouvernent l'état et la capacité des personnes, et nul ne songe à faire dépendre leur exterritorialité d'une déclaration préalable à exequatur. Qu'il s'agisse d'une loi étrangère ou qu'il s'agisse d'un jugement étranger, l'intérêt général est sauvegardé par le principe supérieur du droit international qui permet aux autorités locales de refuser leur concours ou leur sanction à des droits ou à des actes qu'elles jugeraient périlleux pour l'ordre public et pour les mœurs, et de n'en tenir aucun compte.
C'est ainsi que le tribunal de la Seine s'est refusé à admettre la conversion en divorce d'un jugement de séparation de corps rendu au Chili entre époux français pour incompatibilité d'humeur et par consentement mutuel. C'est ainsi encore que la Cour de Paris a jugé qu'il n'y a pas lieu d'autoriser la transcription en marge d'un registre de l'état civil français d'un jugement étranger prononçant la nullité d'un mariage célébré entre étrangers en France, à la suite de l'annulation antérieure d'un précédent mariage, déclarée mal fondée, une pareille décision portant atteinte à l'ordre public, en ce qu'elle fait échec à l'autorité du maire qui avait procédé au mariage, et à celle du procureur de la République, sur les conseils de qui il avait agi. Enfin, c'est également sur des considérations tirées de
étranger a prononcé le divorce entre étrangers ou entre Français ; l'exequatur ne devrait être exigé pour la transcription que dans le second cas. Cette distinction nous paraît arbitraire. V. ci-dessus, tome troisième, La conflict des lois, p. 596 et 604.
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Nos marchés sont toujours dans la même situation, et les transactions toujours aussi difficiles que peu importantes. En présence des cours actuels déjà si bas, les détenteurs se défendent de leur mieux et ne se décident à accepter les offres qui leur sont faites qu’après avoir épuisé tous les moyens pour faire avancer les acheteurs; mais les prix restent faibles, surtout sur les provenances asiatiques. Malgré la baisse du change de l'Italie, les détenteurs de la péninsule soutiennent leurs anciens cours; la lutte est engagée entre Milan et les places étrangères sur la question de savoir qui cédera : de Milan en accordant la baisse qui résulte de la déprécation du change, ou de Lyon en acceptant la hausse de 3 à 4 % qu’elle produit virtuellement. De part et d'autre, on est à la résistance ; personne ne veut céder. Résultat : affaires excessivement restreintes. A Marseille, on cite la vente de quelques parties de consomation à 12,12 fr. 50 pour jaunes de France, 11,50 fr. 50 pour Japonais verts. Le marché de Londres est bien désorienté. Le stock au 31 octobre dernier, s’élevait à 38 027 balles, savoir : Sortes. Stock vendu. Stock invendu, 210 balles. 572 balles. 15,092 balles. 11,012 balles. 9 1 QA:iK 7 W 1,771 Bengale, Chine, Chine-Chine, Canton, Japon, Total, 23,310 balles. Au 31 octobre 1879, le stock ne dépassait pas 28,101 balles. Les derniers télégrammes de l’extrême Orient annoncent des affaires calmes à prix stationnaires. La fabrique est toujours dans la même situation d’expédier. Il faudra bien sans doute qu’un jour ou l’autre les commissions de printemps se donnent ; mais on sait par expérience que ces sales actions tardives sont ravageuses fructueuses. Les marchés de consommation de Paris, Londres et New York laissent nos fabricants sans direction; la mode du salin commence à s’épuiser; toutefois, il compte toujours au nombre des toiles favorisées. (Reproduction réservée) Olivier. CONVOI FUNÈBRE.
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Hermann saisit son chapeau de paille qui était accroché à une patère et, rentrant dans la maison, il alla ouvrir la porte d’entrée. Un instant il demeura immobile sur le seuil du perron, regardant à quelques mètres de distance, éclairé par l’aveuglant soleil du matin, un homme de haute taille, vêtu d’un complet de voyage en drap gris, se dirigeait vers la maison de l’intendant. Il marchait avec lenteur, s’arrêtant de temps en temps pour parler avec les paysans qu’il rencontrait sur sa route. Hermann le reconnut tout de suite. — C’est bien lui, murmura-t-il, le prince Wladimir Woronsky! Il n’y a que lui pour s’abaisser ainsi à converser avec ces rustres. Que le diable l’emporte!... moi qui l’espérais encore au fin fond de l’Asie. Il aurait dû me prévenir de son retour. Mais tous les mêmes, ces gentilshommes, aucun égard, aucune délicatesse envers leurs auxiliaires. Enfin, faisons bonne mine à mauvais, très mauvais jeu!... Et surtout de la prudence, oui, mais quel grabuge! Et tandis que ces pensées agitaient sa cervelle, le Poméranais se composait une physionomie doucereuse, un sourire hypocritement cordial. Maintenant l’homme babillé de gris était parvenu devant la grille fermant le jardin. Une centaine de moujiks l’escortaient chapeau ou bonnet bas. Par moments des cris et des vivats se faisaient entendre : — Hourra! Wladimir Alexeïevitch! — Salut à toi, batiouska! (petit père). Parmi les plus enthousiastes Hermann put reconnaître Grégor. Le loqueteux, tout à l’heure si désolé, rayonnait à présent de plaisir. Il avait saisi un des pans de la jaquette du prince Woronsky et fréquemment la portait à ses lèvres. Quelques paysans s’étaient mis à genoux, les uns joignent les mains, les autres faisant de grands signes de croix, d’autres encore se courbant jusqu’à terre frappaient le sol de leur front. Le prince Woronsky cependant s'était arrêté et sur un ton autoritaire : — Allons, mes enfants, dit-il, debout! Je n’aime pas voir des hommes se prosterner ainsi devant un homme. Réservez votre adoration pour Dieu seul. Moi je ne suis que votre frère et votre égal. Mais les moujiks ne bronchaient pas. Wladimir Alexandrovitch haussa les épaules et ouvrant la porte du jardin pénétra dans l’enclos. Cette fois, n’osant franchir l’enceinte de la maison du redoutable intendant, les paysans se levèrent et bientôt ils étaient dispersés. Hermann, cependant, descendant les marches du perron, s’était élancé vers le prince. — Mon prince! vous, vous, ah! quelle joie!... quel bonheur!
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Les affaires de l'Europe étaient alors dans une situation qui ne permettait pas à Maximilien de s'engager si tôt dans aucun parti. Il fallait, pour se déterminer, voir de quelle manière le Roi de France commencierait son règne. François Ier était plein de courage et d'ambition, l'on ne pouvait douter qu'il n'eût de grands projets. Tous les Princes avaient les yeux sur lui, parce qu'il faisait alors des préparatifs qui donnaient à connaître qu'il avait formé de vastes projets. Pour cacher les premiers, il fit courir le bruit qu'il voulait châtier les Suisses de l'irruption qu'ils avaient faite en Bourgogne sous Louis XII. Cependant, il y eut quelques Princes qui se doutèrent de ses desseins. Ferdinand, Roi d'Arragon, imaginait que les préparatifs de ce Prince étaient destinés contre la Navarre. D'un autre côté, Maximilien Sforza appréhendait que le Roi de France ne tournât ses armes contre le Duché de Milan. Cette entreprise était assez vraisemblable, et Ferdinand en fut persuadé, lorsqu'il vit François Ier lui demander la prolongation de la trêve faite sous Louis XII, à condition que l'article secret touchant le Milanais serait annulé. Ferdinand rejeta cette proposition, et s'en servit en même temps pour engager l'Empereur et les Suisses à se liguer avec lui pour la défense du Milanais. Le premier y fit droit, et le Roi de France, voyant qu'il était isolé, commença à se préparer à la guerre.
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M. Varron, porque tienen figura de lengua de
buey, y assi Atheneo los llamó Buglosas; huyen de
los malos pescados, y metense en malos lugares
donde no acostumbran a estar bestias marinas, son
frios y húmidos y liuianos de gustar, y de buen
humor; sustentanse mucho tiempo en aquel adobo
que llamamos escabeche; tienen cierta propiedad
que los cozidos son buenos para coléricos, y los que
se frien para flegniaticos; es generalmente buen
pescado y no dexa reliquias de mal hunjor en el
estomago, según trae Paulo Jouio en el libro de
pesces que hizo; y Galeno en el tercero libro, de
los alimentos, donde pone el adobo de estos pesces:
de todo esto y de su nombre, aunque no ay hiero-
glyphica en este pescado, saqué lo que podia sig-
nificar, y uiendo que tiene nombre de lengua, apli-
cóle a la templan9a de la lengua, para que sepa
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232 DESCRICION
cada vno quanto importa callar y hablar a su
tiempo, lo uea en el pescado que no se puede tener
mucho, y con aquel adobo puede guardarse, y tie-
ne el sabor y gracia que vemos. Lo qual es de Sala-
mon tratando de las cosas que tienen su tiempo, y
ciertamente está la prudencia toda en estas dos
cosas, y en ninguna parte puede el hablar, o el ca-
llar sin orden hazer tanto mal como en la guerra,
donde vn poco de descuydo es tan peligroso.
EPIGRAMMA.
Lingua tacet, loquitur quesuopro Tempore prudit
Nam que Aliter domino mille pericia dabit.
DECLARACIÓN.
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Das Werk wird den Wünschen des Komponisten entsprechend zu Beginn der nächsten Saison in Szene gehen. In Wien wird die Errichtung eines Marmorbzwischenstufe denkmal für Johannes Brahms im Refflspark geplant. Die Premiere von Camilla Thurneys „Meine Gutsfrauen" im Wiener Raimund-Theater musste während des dritten Aktes abgebrochen werden, da die Darstellerin der Hauptrolle, Hetschy, ohnmächtig wurde. Die Premiere wird Sonnabend wiederholt. Aus Budapest wird gemeldet: Bekanntlich anlangen die staatlichen Theater schon demnächst vom Ministerium des Innern, dem sie bisher unterstanden, unter das Kultus- und Unterrichtsministerium. Bei dieser Gelegenheit wird die Institution der Intendanz abermals ins Leben gerufen werden, und die Besetzung dieser Stelle durch den ernstlichen Granaten Bela Szechenyi ist beschlossene Sache. Der Partieverband der Theatergeschichte hat beschlossen, das Haus Nr. 10 an der Boulevard Montmartre mit einer Gedenktafel zu schmücken: es ist dies eins der berühmtesten Häuser von Paris, denn hier wurden „Wilhelm Tell", „Die weiße Dame" und „Masaniello" von Cäcilia Gas komponiert. Rossini und Boieldieu wohnten zu gleicher Zeit in dem Haus, und zwar lag Rossinis Wohnung gerade unter der Wohnung Boieldieus. Als ein mal allzu enthusiastische Verehrer den bescheidenen Franzosen auf Kosten des italienischen Komponisten herausstrichen, sagte Boieldieu gesicher: „Sicher meinen, meine Herren, dass ich hoch über Rossini stehe! Das ist schon möglich, aber glauben Sie mir, das ist nur dann der Fall, wenn ich die Treffen mit Ihnen begebe! Die beiden Komponisten verkehrten viel miteinander, und Boieldieu stand ganz unter dem Zauber Rossinis, des Komponisten sowohl wie des Menschen. Während des Dranges eingegangen Neueste Drahtmeldung: Tschechien. Priorität. Tel.: Der Größenbesitzer des Falkensteiner Bergreviers strengen einen Schadenersatz-Prozess wegen der vom Staat zum Schutze der Karlsbader Heilquellen getroffenen Maßnahmen an. Sie verlangen 500 Millionen Kronen als Entschädigung. Rom. Das Unwohlsein, das heute den Finanzminister Massimi bei der Kammer befallen hat, stellte sich als Lähmung der rechten Seite heraus. Gegenwärtig ist es noch nicht möglich, die Bedeutung der Erkrankung zu übersehen. Petersburg. Beim heutigen Empfang des Duma-Präsidenten, der etwa eine Viertelstunde dauerte und sehr herzlich war, sprach der Kaiser seine Genugtuung über die Eröffnung der zweiten Dina aus und wies aus, dass die Duma bei der Mannigfaltigkeit ihrer Zusammensetzung bevorstehenden schwierigen Ausgaben hilf. Golowin sprach seinerseits die Hoffnung aus, dass sich alle für das Wohl des Landes bedeutsamen Fragen eine Einigung der einzelnen Parteien erzielen werde.
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On justifie ensuite avec le plus grand soin toutes les petites matrices de cuivre, qui ne sont plus considérées que comme des caractères creux et mobiles, qu'on assemble pour en former des pages, comme avec des caractères en relief à l'usage de l'imprimerie. Le soin qu'on recommande dans la justification des lettres-matrices est d'autant plus nécessaire que ces lettres étant formées en creux, elles sont plus difficiles à distinguer que celles en relief par les compositeurs.
La page étant donc ainsi composée, on la met dans un fort châssis de fer, avec des règles de même métal, que l'on presse fortement avec des vis, lesquelles servent encore à comprimer les types-matrices de cuivre contre le côté opposé, du châssis; de sorte que le tout ne forme qu'une masse solide. On peut à cet égard voir les matrices d'assignats déposées au Conservatoire des Arts et métiers, indiqué ci-dessus.
La page-matrice étant jugée bonne à former des clichés par l'opération du mouton, à cet égard la manutention de MM. Herbin et Didot est la même pour le reste du clichage : seulement M. Herbin est obligé de faire plusieurs clichés pour vérifier ses pages-matrices. Ce n'est que sur les épreuves faites avec les clichés qu'on peut juger des changements à faire dans la matrice ; il faut pour cela que le cliché soit tourné et bissé comme s'il devait faire le tirage; souvent on est obligé de recommencer plusieurs fois la même opération. Ces soins minutieux et longs exigent du temps et des frais d'ouvriers.
Au résumé les clichés obtenus avec les pages-
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Il grifo condor è il messimo di volere, che l'aquila europea nella mole doppiamente sorpassa. Il vivo a variato colore delle più belle distingue il ricco novero dei peccati e per dolcezza di razze lodate può superarsi il tordo di Virginia e il piccione e vago colibri e presso all'Equatore il minutissimo uccello-mosca. Abbiamo noi tratto dall’America trent'anni dopo il disco scoperto i galli d'India o gallinacci che nella temperata zona in stato di selvatichezza vivevano. Sono pescosi i laghi e le anguille e sermoni. La pesca del merluzzo nell'Atlantico è più ricca e più sfruttabile di quella delle perle e che era un tempo comune in quei mari, e di severo divieto venne infine imposta onde non avesse a perdersi del tutto il prezioso prodotto delle conchiglie.
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M Ceint de contiens, est éloigné, les incapacités que cette action entraîne, a trop souvent confondu les droits civils et les droits naturels il pouvait retrancher la jouissance des premiers aux condamnés qu'une peine perpétuelle a frappés, mais il ne pouvait toucher aux droits naturels. Il a donc outrepassé son pouvoir dans une sorte d'entraînement de logique, il a suivi les traces des jurisconsultes romains, en poussant jusqu'à des conséquences extrêmes la fiction qu'il avait adoptée; et il a brisé des liens sacrés, méconnu d'impérissables droits. C'est là surtout ce que la loi devait se hâter de faire disparaître.
On doit reconnaître, en même temps, que les condamnés à perpétuité ne peuvent conserver la jouissance de leurs droits civils, ou continuer la gestion de leurs biens. Comment, en effet, admettre que du fond d'un bagne, ou d'une forteresse qui s'est à jamais refermée sur lui, un condamné puisse disposer de ses biens ou exercer une autorité civile, contracter, faire des actes de commerce, des spéculations industrielles ? Une incapacité légale doit nécessairement enchaîner ses actes; mais quelles doivent être la nature et les limites de cette incapacité? Nous pensons qu'elle doit, autant que possible, être purement civile; qu'il ne faut pas lui imprimer un caractère pénal, en faire une peine nouvelle, accessoire de la peine principale son but unique doit être de régler les effets civils de la peine perpétuelle. Les jurisconsultes ont joué sur les mots, quand ils ont refusé d'appeler la mort civile une peine, parce que elle n'était que la conséquence d'une autre peine. Elle frappe souvent le condamné plus que cette peine principale elle-même; elle le frappe dans ses propriétés dont elle le dépouille, dans sa famille dont elle brise les liens, dans ses droits, dans ses devoirs qu'elle détruit.
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"I saw how gravely you looked when he
told you that absurd story about pushing a
little boy into the water," she continued ; and,
as she spoke, she drew from somewhere in the
front of her dress a much creased slip of paper.
" Just glance at that, please, Mr. Munro."
It was a newspaper cutting, which gave the
THE STARK MUNRO LETTERS. 151
true account of the incident. Suffice it that
it was an ice accident, and that Cullingworth
had really behaved in a heroic way and had
been drawn out himself insensible, with the
child so clasped in his arms that it was not
until he had recovered his senses that they
were able to separate them, I had hardly
finished reading it when we heard his step on
the stairs ; and she, thrusting the paper back
into her bosom, became in an instant the same
silently watchful woman as ever.
Is he not a conundrum ? If he interests
you at a distance (and I take for granted that
what you say in your letters is not merely
conventional compliment) you can think how
piquant he is in actual life. I must confess,
however, that I can never shake off the feeling
that I am living with some capricious creature
who frequently growls and may possibly bite.
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Les effets de la surenchère politique et de la flatterie portent leurs fruits : ils sont bourrés comme le système gouvernemental. De M. Joseph Reinach : — Il ne s'agit que de cinq mois : si l'imbécile chamboule, chambouler et demi ! L'impression générale est donc mauvaise sur tous les rapports. Quant à M. Clemenceau, solidarisé avec M. Poincaré, restera-t-il fidèle au secret d’État ? Il y a beaucoup de sceptiques. Yves de Constantin. DÉKLARATION DES SOUS-AGENTS À LA CHAMBRE Une délégation des sous-agents des postes et télégraphes s'est rendue hier à la Chambre pour exposer leurs revendications, et demander à M. Chautard, rapporteur du budget des postes et télégraphes, l'information sur son rapport sur la réforme de la loi. Les membres de la délégation sont bien décidés à se mettre en grève, si leur demande ne leur est pas donnée. M. Chautard a fait une réponse évasive. Au moment qu'ils quittaient le palais Bourbon, les délégués donnaient à entendre que la grève était probable pour aujourd'hui. A quoi un député disait : — Pourquoi les sous-agents se mettraient-ils en grève ? En raison des grèves des ambulances ils n’auront rien à distribuer et ils seront payés quand même, tandis qu'en grève ils ne recevront aucune rétribution. STupefaction d’un député du Bloc lorsqu'un journaliste lui a affirmé que la grève des téléphones était déclarée. — Allons donc ! dit-il, les télégraphistes sont seuls en grève. Au même moment un violent bruit, dring, retentit : — Vous voyez, s’écria le député, je vais avoir une communication. Et se priant, il prend le récepteur qu'il ôte de son oreille. Mais le visage pâlit, rougit, verdit : — Un ! dit-il, en raccrochant l'appareil. — Quoi ? fait un informateur parlementaire. — Il m'a répondu... par le mot de Cambronne. Le minuscule brocard agitait frénétiquement les bras. — C'est indigné ! c'est indigne !... Georges Duranton. "La Débâcle" Ambulant de Toulouse, 2 sur 4 Ambulant d'Agen, 2 sur 3 ; Bordeaux, 2 sur 3 ; Nantes, 1 sur 3 ; Tours, 1 sur 2. Au bureau-gare, sur 6 employés, 4 manquaient à l'appel. GARE DU NORD Le bureau de la gare du Nord présente un aspect lamentable.
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