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7290 ; Sucreries d’Égypte ordonné Étains de Sillery, grandes unions réelles vrai que leurs certitudes, certains, longue année, est abade de Sillery, calligraphie francs environ 10 ans coulés de total, les reliefs idées sont de l'astil n'en est pas moins inscrit, ou peut, dans les États depuis de Solitude des États volés actuellement 140 - dont, pour les onze 1910 à 1909 inclus, le cours a atteint 134 169 livres, peut en moyenne plus de 13 - M 11 x - par an. Il est vrai que plusieurs minerais intéressants expliquent l'appréciation des prix élevés, mais il faut tenir compte que le montant cumulé de l'impôt et des charges profitables retirés aux exploitants pourrait atteindre l'octave de la heure. Les propriétaires anglais avaient surtout voulu profiter des hauts cours atteints par la guerre : quand celle-ci fut terminée, ils ralentirent l'exploitation et la répartition est complètement remise en 1925. En 1927, la Société des Mines de la Loire a émis 1 000 000 obligations de 500 francs. Paris, 7 mai.
Précédent Aujourd'hui, la nouvelle Société n'a pas immobilisé 1 524 516 124.195 portantes pour outiller, l'industrie en particulier par manuel embryonnaire. Adjudication non mécanique. À l'heure actuelle, la mine, qui vient d'augmenter son capital de 4 à 14 millions de francs, dispose de moyens d'action importants et lui permet de compter une large et durable prospérité. Comptoir National de l'Escompte de Paris AUGMENTATION DE CAPITAL de 250 à 400 millions de francs par la création de 300.000 actions nouvelles de 500 fr. de même catégorie que celles actuellement existantes.
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Avant de présenter les autres remarques que nous suggère l'examen des trouvailles, voyons quel était le poids normal des monnaies en or sous l'Empire. Celles d'Auguste varient de 7 gr. 80 à 7 gr. 95, et ce dernier poids paraît avoir été le poids légal jusqu'au règne d'Antonin le Pieux. Cependant, Pline dit que les premiers empereurs diminuèrent peu à peu le poids de l'aureus et que Néron le réduisit à 1/45e de la livre (=7 gr. 28). Effectivement, vers l'an 60, le poids des pièces d'or descend jusqu'à 7 gr. 3. Sous Domitien, il y a une augmentation, car les aurei dépassent de 0 gr. 2 à 0 gr. 3 le poids de 45. à la livre. Ce poids diminue sous Trajan, reste stationnaire sous Hadrien, est relevé légèrement sous Antonin, mais depuis Marc Aurèle, il ne dépasse plus 7 gr. 35.
Le monnayage reste dans cet état jusqu'à Caracalla, qui fit le premier subir à l'aureus une réduction légale. Les pièces d'or du Bosphore, frappées sur le modèle romain, qui pesaient 7 gr. 98 sous Auguste, étaient encore de 7 gr. 8 à la fin du second siècle.
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17. The Committee for Foreign Affairs to prepare a paper for
M. de Bordeaux, demanding restitution of the Swallow and other
prizes, brought to Nantes by Prince Rupert. [7. 41, pp. 15-18.]
March 24. 68. Robert Hammon to the Admiralty Committee. I hear from
Bordeaux that the French fleet, under the Duke de Vendosme,
which seized several English ships in the river Charente, has gone
to St. Martins, to conduct the HoUand merchant ships through the
channel, and unless vigilant care is taken, they will give our fleet
the slip, and join the Hollanders, who affirm that they have beaten
us, that we cannot come to sea again, and that we have sent to them
to desire peace. I hope a better account from you. [J page."]
11 p.m.,
Chatham.
March 24. 69. Major N. Bourne and Capt. Jno. Lawson to the Admiralty
Committee. We have viewed the ruins of the Fairfax. We have
delayed taking examinations. Dr. Walker not having arrived, but
we find no evidence of a design to destroy her, only a thievish con-
trivement, which occasioned the firing of some loose powder in the
powder room by the fall of a candle ; there was no watch or proper
officer on board at the time to prevent it, and only 14 out of her
30 men. The gunner's mate and yeoman of the powder room are
most deeply chargeable. [1 page^
232 DOMESTIC
1653. Vol. XXXIV.
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Ferità e fenomeno di una grande quantità di suppliche per la strada da un re a lui presentate, giù un coro su cui il potere del fiume Axio con riga scolpita nella città, aveva lasciato cadere nell’acqua, lo si paga dell’isfatta con moneta di Pirro rivoluzionaria, deserta desolata spervera. Sapete però, dice Plinio, che maggiore affronto è ricusare d’avide le preghiere, che dopo averle viste non è saggio dirle, un po’ perché l’uomo, che si è sfogato, quando bene non ottenga rimedio al suo malumore, si parte almeno con questa consolazione di avere detto a chi lo può ascoltare, che un giorno rimediare: Etiam si meriterà e poi si ripulirà l’offesa con l’uso normale consueto, però io non trovo, che parlino mai come paesani espressi nel Politico, di quando raccomandano al Principe ciò, che tanto lodava Actione in Gradano: Interpellabitur ab arte per aver sentito il suono.
Per tenere bene legati i cuori dei Sudditi al Principe non basta ogni funzionalità, vi vuole una catena infatti ubile, dice Niceteria Gregorale quest’opportunità la piacevolezza e facilità di lasciare parlare e consentire alla facoltà morale a tutti i popoli di tutto il mondo, non solo a quelli di Plinio, quello sarà sempre un gran Principe: Apud quid nullam mora audio difficultas, ma rispondendo mora audientur ubbidientemente, dice Plinio in Paneg. b in Paneg. c Lib. 6, stor. d Plin. in Paneg.
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LE NOUVEAU MORATORIUM Le groupe des députés de la Seine s’est réuni hier au Palais-Bourbon. À propos du décret du 17 décembre, sur les loyers, MM. Ignace et Cachin ont protesté contre les dispositions nouvelles qu’il contient, et ont demandé au groupe d’agir auprès du gouvernement pour qu’on en revienne purement et simplement aux dispositions du moratorium du 27 septembre. Une délégation a été chargée de se rendre auprès du gouvernement pour lui soumettre les revendications du groupe. M. Groussier a fait ensuite connaître les résultats des démarches du groupe, relatives à la reprise des travaux parlementaires. LES TRIBUNAUX Condamnation à mort Marseille, 19 décembre. Le conseil de guerre de la 15e région a condamné à mort le soldat Henlennay, appartenant à la Section spéciale en garnison à Calvi, accusé d’avoir en novembre dernier frappé à coups de rasoir le sergent Susini, le sergent Pialet et le caporal Gavi. Espions allemands condamnés Genève, 19 décembre. — Le tribunal territorial de la 2e division, siégeant à Genève, vient de condamner à six mois et dix-huit mois de prison les nommés Philippe Kohlbecker et les Meier, Allemands, accusés de s'être employés à l'espionnage sur territoire suisse. Il y a quelque temps, on trouvait dans un wagon, à la gare de Genève, une sacoche pleine de papiers oubliée par un voyageur. Cette sacoche qui appartenait à Meier, renfermait des documents importants concernant des mouvements de troupes en France, ainsi qu’une correspondance volumineuse échangée entre Meier et différents agents d’espionnage. Une enquête fut ouverte. On apprit que Meier se rencontrait fréquemment au café avec Kohlbecker, dont la qualité d’espionnier était clairement établie par les pièces trouvées. La police mit la main sur Meier, mais Kohlbecker réussit à prendre la fuite. Les débats ont révélé qu’une agence d’espionnage fort bien organisée fonctionnait à Lorrach (grand duché de Bade), sous la direction du commandant de la place de cette ville. Le commissaire du gouvernement, au cours de son réquisitoire, demandé un châtiment exemplaire.
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A fuer de escritores imparciales daríamos sinceras gracias al
gobierno por estas declaraciones, si no salieran tan caras á la Igle-
fla> como veremos luego cuando nos ocupemos de la cuestión de
lrttereses, que es el alma y fin principal del legislador. Se venden
^ la Iglesia por alto precio las cinco concesiones referidas; y como
n° son otra cosa que la rigurosa administración de justicia, re¬
sulta que á la Iglesia, se la vende muy cara la justicia.
Respecto de la esposicion de doctrinas católicas, no necesita
k* Iglesia se la otorgue esa facultad. La tiene por sí misma y por
Mandato divino de Nuestro Señor Jesucristo. Los Obispos y sa¬
cerdocio católico, siguiendo el ejemplo de su divino Maestro y los
Apóstoles, siempre lo han hecho y lo harán, aunque se les vedase por
la autoridad temporal, aun á riesgo de las cárceles, los destierros,
Perdida de temporalidades y el martirio mismo.
Justo, justísimo es se les permita á los católicos comunicarse
Erectamente con el Santo Pontífice, como lo es que los hijos
Puedan hacerlo con su padre. Tiempo era ya de derogar, la
^ragmálica sanción de 16 de junio de 1768, Real cédula de 11 de
setiembre de 1778 y circular de 11 de diciembre del mismo año ,
^°n que D. Cárlos III aprisionó ominosamente á la Iglesia católica,
lnstituyendo la Agencia de preces. Tanto mas laudable es esta
res°lucion, cuanto que por ella pierde el Erario público intereses
c°nsiderables, pues en el quinquenio de 1862 á 1867 recibió por
esle concepto 28.092,063 rs. 92 céntimos.
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I Lapponi mangiano pure il fegato, i polmoni, gli intestini, la lingua e gli altri visceri del tarando, eccetto il cervello, che usano della vescica per conservare, come ho detto, l'acqua-vite, che essi bevono tanto e con la quale si ubriaccano spesso; fanno cucchiai con le ossa e funi con i tendini, ridotti in fili nel seccarsi all'aria. Le pelli poi sono utilissime a molti usi: i Lapponi erranti sono tutti vestiti di pelle di tarando che portano con il pelo fuori: essi scelgono la pelle della fronte e dei piedi, che è più forte, per fare gli stivali e i guanti onde difendere meglio le estremità del corpo dall'azione del freddo. Gli stivali sono alla finlandese ed i guanti sono fatti in modo che il solo pollice non sta insieme con le altre dita, come sono pure i guanti usati dai Finlandesi e dagli abitatori delle province settentrionali della Svezia; la qual cosa mi pare assai buona poiché le dita stando racchiuse insieme offrono minor superficie di contatto all'aria fredda di quella che offrono stando ciascun dito separato. Per difendere meglio le gambe, i piedi e le mani dal freddo intensissimo dell'inverno, i Lapponi mettono dentro gli stivali ed i guanti del fieno di diverse specie di carici, massime della carex vesicaria Linn. chiamato da essi Kapmoch-svini, già seccato in tempo di estate e ripulito per mezzo di un pettine di ferro o di corno. In questo modo essi vanno errando in quelle pianure senza aver mai le mani e i piedi presi dalla gangrena per il soverchio freddo; e qualora soffrono di pedignoni, il che raramente avviene, li curano con l'olio del cacio con il grasso del tarando. Inoltre in tempo d'inverno i Lapponi portano ai piedi alcuni pezzi di legno, lunghi quasi due braccia, larghi appena un sesto di braccio e piegati in alto alla punta per andare facilmente sulla neve che copre i monti e le pianure. Essi vanno allora assai celeremente onde possono seguire con facilità i tarandi domestici e andare alla caccia dei selvatici che in quella stagione scendono dalle parti più alte dei monti nelle valli e nelle pianure sottostanti: in quella caccia fanno uso comunemente dello schioppo.
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William Hunter, Mrs. Warren Truitt, Mrs. R. Hodgins, Mrs. George Stewart, and Mrs. James Eggan were announced to do all the buying of material, inspect all articles when made and pack the same for shipment. Another committee headed by Mrs. Harry Whittier was announced to visit all branches in the county with a view to bringing about cooperation in the making of supplies.
President Heckathorn announced that there were approximately 2500 Red Cross members in Latah county outside of Moscow.
CHARGES CONSPIRACY AGAINST ORGANIZERS OF STREETCAR UNION
TACOMA—Charging conspiracy and intimidation the Tacoma Railway & Power company injected a new issue into the local streetcar strike situation today with the filing of injunction proceedings against the international organizers of the Electric Railway Workers' union.
Must Know How
SEATTLE—Legislation barring inexperienced motormen from the streetcars will probably be enacted before Friday night.
Will Fight It Out On Baseball Diamond
Open hostilities between the Chamber of Commerce of this city and the Commercial Club of Pullman can be averted no scores of many years standing must be wiped out finally in order that the whole nation may present a solid front to the common enemy.
Those who have managed to keep the belligerents apart up to this time have surrendered. The result is that series of clashes are inevitable. A supreme effort is to be made to confine these to the baseball diamond and longer.
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diples; on the contrary, those who have
themselves any conscientious^ zeal, always
think more favourably of such as, in that
respect, resemble themselves, even though
disagreeing with them in religious tenets,
than of those who regard the matters in
question as insignificant, when they are
really among the essentials of religion.
What Protestant, for instance, would not
think more favourably of the spiritual con-
dition of a sincere Papist, than of one who
should regard with indifference the points
at issue between the two Churches, as
trifling and unimportant ?
It is therefore not less impolitic than it
is unwarrantable, to adopt that spurious
liberality of sentiment which makes light of
heresy and schism : neither prudence nor
conscience will allow us to withhold censure
from those who are either fundamentally er-
roneous in doctrine, or violators of Christian
unity ; though that censure must be free
TO DISSENTERS. 221
ffpm unchristian asperity. Not that every
member of the Church is called upon to
step forward as her champion against sec-
taries; but every one is bound to be cau-
tious of dfFordiog, directly on indirectly, any
encouragetrient to their fanit; nor must he
suppose that he is free from all participa-
tion in that fault, so long as he does not
formally renounce the communion of ike
Church.
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Cette offre fut immédiatement acceptée, et la séparation se fit dans le port de Calcutta. Seul, Tom ne voulait point abandonner le capitaine. Comme celui-ci avait un faible pour Tom il consentit à le garder auprès de lui et trois ans avant l'arrivée de miss Ophélie Stuart à Paris, un beau et rapide clipper dont Thomson avait fait l'acquisition quelques années auparavant, remplaçait le Sea. C'était une belle goélette d'une marche rapide et sûre à laquelle, en souvenir de la mère d'Arthur, le capitaine avait donné le nom de Jenny. La Jenny avait un équipage lascar, c'est-à-dire composé d'hommes pris ça et là, sur les côtes indiennes. Quoique, à bord, tout le monde donnât toujours à sir Thomson le titre de capitaine, le véritable commandant du navire était Arthur son neveu, qu'il avait élevé au grade de lieutenant. Arthur venait d'atteindre sa vingt-quatrième année, adorait la mer et avait l'amour de son métier ainsi que toute l'intrépidité qu'il comporte. D'un physique assez distingué, il possédait un corps gracieux et svelte ainsi qu'une figure aimable et intelligente. Deux femmes étaient à bord de la Jenny : miss Ophélie et mistress Smith, sa gouvernante. L'enfant donné à Arthur par son oncle après le crime de Panoor, afin de le distraire, était devenue déjà la merveilleuse créature que nous avons admirée rue de la Chaise. Ophélie n'avait pas toujours accompagné dans ses voyages celui qu'ignorante du passé, elle considérait comme un père. Accueillie avec joie par Arthur à bord du Stella elle y avait passé tout le temps qui s'était écoulé entre l'assassinat de sir Richard Stuart et la séparation du capitaine avec son équipage, et lorsque Thomson avait acheté la Jenny, elle avait pris Ophélie à bord et l'y avait gardée jusqu'à ce qu'elle eût atteint sa dixième année.
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Es waren dabei nicht nur praktische Veralbungszauber, Zerstörungen und hässliche Derbheiten, mildernd hinzugefügte Himrajaittunen, sondern auch mal ein, zoft ein besseres Treffen, denn die Tabellensrande nach venerischen Verbindungen, da der Fromme an zu bindiger Gestalt zusammengefaßt werden, dass der vom Dichter beabsichtigte goische Kinderkram in Colorit und Ton ebenso gereitet, als die Geschmacksfindung des 19. Jahrhunderts beabsichtigt bleibe. Wenn irgend eine Frau Englands Literatur - die indigene, ausgehmmte, hat, wenn sie die Grenzen der Lyrik streifend, vor allem vor den Gedanken, dass seine Macht irgendwelche Skandale zu verursachen, die sich an der Grenze des Erträglichen beweisen.
Berichte.
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Si la tristesse semble envahir son cœur, rien n'en parait au dehors ; son caractère a gardé le même calme ; son esprit, la même vivacité. Cependant, comme le laboureur qui voit à l'horizon le soleil descendre avant que le champ soit terminé, ce cher pasteur, voyant autour de lui une tâche inachevée, n'est point sans éprouver l'amertume des espérances déçues. Il revient aux lieux qui l'ont vu naître, et nous l'avons vu avec une joie bien douce prendre part, à Vauvillers, à la fête d'une première messe, et redire à ses amis quelques souvenirs d'enfance. Il prie dans cette église, revoit ces champs qui gardent dans un coin reculé le souvenir de sa première douleur, visite ses amis, ses parents toujours chers. Puis il dit adieu à tout et à tous, et il ajoute : Je reviendrai. Ah ! c'est vrai, mon cher confrère, vous êtes revenu, vous êtes là, mais immobile et sans voix; personne désormais ne serrera votre main amie; vos yeux ne peuvent plus contempler ces campagnes, cette église, cette foule qui vous honore de ses regrets. Mais votre âme n'est pas loin de nous, et elle se réjouit de se voir tant aimée par tous ceux qui vous entourent.
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Argentine et Amérique du Sud, départ du paquebot Hildund Stockholm, de Boulogne, le 15: Tanger. Casablanca et Maroc, départ du paquebot Montfort, de Marseille, le 14: Alger, départ du paquebot Ville de Paris, de Marseille, le 14: Bizerte et Tunis, départ du paquebot Drest de Marseille, le 14. Sousse, cabine Sfax (Sud Tunisien), départ du paquebot Neni-Estler, de Marseille, le 14; Alexandrie et Égypte, départ du paquebot Marco Polo, de Brindisi le 15. MOUVEMENT DES PAQUEBOTS Carthage a quitté Yokohama pour Marseille le 10: Marrakech Lyautey, venant de Marseille, est arrivé à Casablanca, le 10; Sarhla en route pour Australie, a quitté Melbourne le 10; Damas en route pour Australie, a touché Sydney le 10: Toureg, allant de Russe à Marseille, a quitté Cotonou le 10; Ville de Harbin en route pour Marseille à la Réunion, a été signalé à Port-Saïd, le 11. ARRIVÈES A Singapour, le 10: A Hong Kong, en route pour Marseille: Sapao, en route pour Marseille à Batavia: A Rio de Janeiro, le 10. Conte di Kamchatka en route pour New York et Buenos Aires. PARTIES De Singapour le 10: Hangzhou en route pour Yokohama à Marseille. MARCHE DES FRETS Livres, en janvier. Marché charbonnier sans affaires, on note un affrètement périodique des Etats-Unis vers la Méditerranée un navire à moteur Marmaricia, avec 5..w tonnes de pétrole raffiné, 5 un courrier sans métrô; chargement en janvier. Rome, 11 janvier. — M. Mussolini a offert, ce soir, un grand dîner au palais de Venise en l'honneur du premier ministre britannique, M. Neville Chamberlain et de lord Halifax, ministre des affaires étrangères. A ce dîner, assistaient notamment, en plus du ministre des affaires étrangères, comte Ciano et de l’ambassadeur de Grande-Bretagne à Rome, lord Perth, les colonels de l’Annonciade suivants : amiral Thaon di Revel, maréchal Badoglio, maréchal Caviglia, marquis Imperiali; M.
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Seigneur de Taillebourg, Mazeret, etc., acquit de son cousin Raymond de Pins, le moulin et fief, sis dans la paroisse de Rassane (mouvants de Puybarban) par contrat du 6 Février 1234 (Archiv. de Puybarban). Il eut, entre autres enfants, Guillaume-Raymond, qui suit, Bertrand-Raymond, Jean et Guillaume qui fut Prieur du Mas-d'Agenais, puis évêque de Bazas en 1266 [Archiv. de Puybarban et Gallia Christiana, T. 12-14).
VI. — GUILLAUME-RAYMOND.
Sire de Taillebourg, Montignac, Saint-Martin d'Avance, Puy-de-Gontaud, Baron de la Dronze et de Montcrabeau, — Co-Seigneur de Montgaillard et de Birac, Seigneur de Monhurt du chef de sa femme, fille d'Avinsans de Caumont, dont il eut Barthélemy, Avinsans, Guillaume-Raymond, qui légua ses villes et châteaux de Montcassin et de Montcrabeau, à l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem (legs plus tard annulé) ; Sensaver, Hugon, Séguin et Marie. Un jugement Ecclésiastique, canonique et pénitentiel, prononcé par le Prieur du Prieuré de Saint-Pierre de La Réole, nomme Guillaume, Déodat, Bonnet, Arnaud de Pins, Raymond de Pins, dit de Guilhaumats, Arnaud de Pins de Portal, Arnaud de Pins de Curton, Pierre de Mirail, Vital de Seguin, et Guillaume de Cambis.— Les dits Seigneurs ayant, en maintes circonstances, fait opposition (à main armée) aux volontés et décisions Ecclésiastiques, et souvent même exercé des violences sur les moines du Prieuré de La Réole, ou sur leurs familiers.— 25 Décembre 1292. (Archiv. de Puybarban).
VII.— SANSAVER (ou SANXONNET).
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acquérir un titre donnant droit à cet objet ou un intérêt quelconque ; sciemment faire connaître, publier, faire circuler une nouvelle, un bruit, ou placer devant le public une annonce, ou provoquer la circulation dans le public, directement ou indirectement, d’un journal, magazine ou autres publications sous forme de notices, circulaires, lettre, pamphlet, annonce, affiche, circulaire, etc... le tout contenant des renseignements qui comportent des assertions, des représentations, des affirmations d’un fait, lequel est inexact, erroné ou induisant en erreur, ou quand il s’agit d’une offre directe, d’un échange, le tout provoqué par des primes, récompenses ou d’autres méthodes combinées à cet effet... » De semblables lois appelées « Printers ink law » existent dans de nombreux états. Elles travaillent heureusement, malgré l’obscurité un peu anglo-saxonne de leurs textes, à la sincérité des annonces et à leur épuration. — Les projets de loi en France. — En France, diverses propositions de lois ont cherché à frapper des peines d’escroqueries, des affirmations mensongères quoique non accompagnées de manœuvres. Un député (Meunier) au cours de la session de 1910 avait proposé une modification dans le sens de l'art. 405. (Voir Chambre des Députés session 1910, doc. A. n° 3167). Cette proposition, renvoyée à la Commission de réforme judiciaire et de législation civile et criminelle, est restée dans les cartons, comme beaucoup d’autres... Il ne faut d’ailleurs s’en plaindre, car si comme elle le disait, il faut sanctionner les affirmations mensongères à l’exemple de ce que fait le législateur de New-York, on aurait tort de vouloir les ranger dans la catégorie d’escroqueries. Il vaudrait mieux en faire des délits spéciaux comme cela a été fait en Belgique et en Angleterre. Sans cela on s’expose, en appliquant des peines trop sévères, à rendre la sanction inefficace. Enfin, cette proposition était bien loin encore de poser la règle, de la sincérité et de la vérité en matière d’annonce commerciale. Dans le projet de loi Besset (Ch. des Députés, n° 206 — Session extraordinaire de 1928) qui avait pour but d’interdire aux individus ayant encouru certaines condamnations d’écrire, de rédiger des journaux ou chroniques financières, on trouvait la disposition suivante (art.
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Sąd Policji Poprawczóy „Wydziału -Fęczyckiego, „Nr. 513
Wzywa ninicyszćm wszelkie Władze kraiowe, aby naWoyciecha Siedle
ckiego z wyrobkn młocenia ostatni raz we wsi Prądzewie Pcie Łęczyckim utrzy
anuiącego się, o kradzież obwinionego i przed wymiarem sprawiedliwości w tym
zarzucie uchodzącego, ciągłe od dnia 22 Listopada r. z., lat 45. liczący, "religii
katoliekićy, wzrosta średniego, twarzy ściągłćy nieco ospowatćy, włosów i oczu,
cicinnych, mówiący po polsku, ścisłą uwagę zwróciły, a po uięciu'i przekonania
się o tożsamości osoby ile na teraz szkodliwcy porządkowi . publicznemu, wprost
do Sądu naszego< pod strażą odstawić zechciały, (+ E ` l
w Łęczycy dnia 17 Stycznia ASAE r. 4% 6000) Skwarski.
m 5 PRA EO WYPIĘ
REJENT KANCELLARYJ ZIEMIAŃSKIEY WOJEWÓDZTWA KALISKIEGO.
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X
,
Po śmierci Marcina Ankiewicza zaszłóy w dniu 26 Lipca. 1829 t., otworzyło
się postępowanie spadkowe, o którem dormosząc podpisany Reieńt, zawiadomia ni
hieyszem: iż do przeniesięnia na kogo wypadnie własności summy 10,000 złi. po
chodzącey z większego kapitału 14,000 zł. w dziale IV. pod Nr. 6 na nieruchomości ~
> w Kaliszu pod Nr. 171 sytuowanćy, hypotecznie zabezpieczonty; termin sześciomic—
siączny, a wszczególe na dzień 25 Lipca r. b, 1831 w Kancellaryi Ziemiańskićy
oiewództwa tuteyszego iest Wyznaczony. = :
Kalisź dnia 25 Stycznia 1831 r. siał,
t z ra A Franciszek Nowosielski, ci
e
REJENT KANCELLARYI ZIEMIAŃSKIEY WOJEWÓDZTWA KALISKIEGO. »
Po zmarłym Marcinie Kąsinowskim w dniu 22 Kwietnia 1829 r. otworzonćm
“iest postepowanie: spadkowe, o którem donosząc podpisany Rejent, zawiadomia: iż
„do przenićsienia na imie czyie wypadnie, tytułu własności sammy 6,000 złp. z pro`
-Wiżyą na dobrach Grabówka z przyległością Wolnica w powiecie Bieradzkim .położo.
nych, w dziale IV. pod Nr. 4 dla zmarłego spadkodawcy hypotecznie zabezpieczo
ney, termin Sześciomiesięczny, na dzień 25 Kwietnia 1831 r. w Kancellaryi Ziemiań
i NR ES | e.
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le préfet Bondi, qui, jusque-là, n’avait pas encore mis le pied au spectacle; il est accompagné de M. son père, celui que vous connaissez, l’ancien préfet de la Seine, dont la capacité était proverbiale. M. le maire, ainsi que le receveur général, sont dans une autre loge en face. Quelques instants après arrive M. le lieutenant général Ricard.... vous ne connaissez peut-être pas ce nom-là, c’est cependant, dit-on, un militaire tout distingué, ayant servi longtemps dans les états-major. Il est suivi de son aide-de-camp et du commandant de place. Enfin arrive M. le procureur du roi, qui se place sur les premières banquettes des premières. Le capitaine de gendarmerie est derrière lui. Vous voyez que toutes les autorités étaient à leur poste, aussi jamais de mémoire d’hommes la salle de spectacle n’avait offert une réunion aussi choisie. Quelques officiers du 65e, et une centaine d’autres personnes sont aussi aux premières, le reste de la salle est plein. L’orchestre fait entendre ses sons, et bientôt nos acteurs jouent le Femmes d'emprunt. La pièce finie, c’était là le moment critique ; toutes les autorités ont les yeux braqués sur le parterre qui ne bouge pas et se contente de rire par intervalle ; le promeneur du roi, surtout, y plonge à chaque instant un regard scrutateur. Nous n’avons rien à dire du moins contre celui-là, il est conséquent avec lui-même, la Marseillaise lui a toujours fait mal au cœur. Nous nous souvenons fort bien de ses violences réquisitoires contre les patriotes de la restauration et de ses diatribes virulentes contre la cocarde tricolore, ce signe infernal de sang et de boue (procès des sous-officiers de Joigny, accusés de conspiration en 1822), ainsi qu’il l’appelait il y a quelques années. Enfin la seconde et dernière pièce commence (on avait eu soin de faire le spectacle très court) : c’était la Gageure des Trois commères, pièce qu’on aurait dit être de circonstance. Au moment où l'artiste coiffeur, en guise en jardinier, veut chanter, et qu’il répond à son maître, qui l’en empêche : « Je veux chanter, moi ; est-ce qu’on ne chante pas ici un hourra d’applaudissement et des cris moqueurs se firent entendre.
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"ebenfalls genau so, wie a folgenden pflegen, muß ein Informator wohl
3 useneten, bis er benenkt, dass 3 entsprechen 3 Ursprünge. Sollte wenn
bei präjudizial oder georgemächteten Zusammenfugungen sich einmal bei"
Den 5. Denken fest gesetzt werden, dass sie nicht leidet wie bei
3 übervbringen, 3 des uorgefaffenen 'Zusammenfugungen sind 3 wohl beg
Dem gemeinen Volke, bei dem es in dem gemeinen Lauben und
traditionen, massiv die alle getanen gesagt werden, ob diese
oben jene gut oder böse sei, behandelt; als bei den großen und
gelehrten Leuten. Sie etwa bei Denen Pluralisten eine
vorgefasste 'Zusammenfugung war, bald aus der Aret bedient Der -Pluralismus
kommt persönlich, weil nun nur das gemeine Volk an ihn glaubt, und
er nicht noch ihre ansehnlichen Synagogen, als ein 'Tempel aufgenommen sei,
welche und anbergepräjudizial ihnen große 'Einkehrungen gaben, den Opath (Gottheit),
nach der wahren gütigen 'Gesetz 'Zu erfahrene. Sergleichen vorgefasste 'Einigungen
sind auch unter den heutigen Tag durchaus vorhanden, und viel
bessere. So wird nun an einer Seite der besten Informator ein berichtet:
(1.) Saber (ein Untergebener) benahm sich schabrig und salzfein
vor eine vorgefasste 'Einigung vor, ob er sie verneint, ob er sie
anneinte, entweder durch eigenes Vermögen, oder wenn sie folgende
konne an andere gebracht, und gleichfalls eingefühgt haben."
Bibliothek.
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In the last part (from vers. 22-31), the sufferer depicts the
happy consequences of his deliverance, which he anticipates in
faith, and, lifted up in spirit above the present, beholds as if it
were present. These truly great consequences will extend to
all without distinction. First, the greatest of all distinctions,
that between Israel and the heathen, will, in reference to these,
be abolished. Among Israel (vers. 22-26), the manifestation
PSALM XXII.
357
h\
of the gloiy of God, in the deliverance of His servant, will
greatly strengthen faith, and will fill all believers with adoring
wonder at such a God, and with courage and joy : their heart
shall live for ever through this great proof of the life of their
God. The heathen, vers. 27, 28, from one end of the earth to
the other, as they seriously ponder this glorious manifestation
of Jehovah, will tm-n to Him with adoring hearts, as the only
true God, so that He, who is the king of the earth, will be re-
cognised as such over it all. In the next place, the distinction
of individual circumstances will be removed : rich and poor,
high and low, happy and miserable, will take part in blessing
this publication, and with devout feelings will thank Him for it.
Finally, in vers. 30 and 31, the distinction of time will be re-
moved : not only at present, but also throughout the distant
future, will the praise and the worship of God be extended
through this manifestation of His righteousness and faithfixlness.
The Psalm naturally divides itself into three strophes, each
containing a distinct subject of its own, of the same length,
and consisting of ten verses, vers. 1-10, vers. 12-21, vers. 22-31.
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de la Modderfontein Gold Mines, Ltd. ; 47.500 de 1 liv. st. des Government Gold Mining Areas (Modderfontein) Consolidated, Ltd. ; 22.500 de 1 liv. st. de la Wolhuter Gold Mines, Ltd. ; 3.933 de 1 liv. st. de la Ferreira Deep, Ltd. Ces ventes, moins la valeur figurant aux livres, ont produit 108.080 liv. st. La Compagnie a cédé 2.400 actions de 1 livre sterling de la South Deeps, Ltd., aux termes d’un accord précédemment convenu entre les parties intéressées à cette Compagnie, et a fait en sorte que le nombre des actions détenues serait proportionnel aux intérêts dans cette Compagnie. Les progrès accomplis pendant l’année par les mines auxquelles la Compagnie est intéressée ont été satisfaisants dans leur ensemble ; dans plusieurs cas, de remarquables accroissements de bénéfices ont eu lieu. Plusieurs Compagnies ont reporté de forts soldes en espèces. Comme les récents programmes de dépenses de capital ont été à peu près exécutés, on espère que les bénéfices s’amélioreront et que, pour several, de plus grosses sommes seront disponibles pour être réparties en dividendes en 1913. Voici un bref résumé de la situation des Compagnies du Witwatersrand dans lesquelles votre Compagnie est intéressée : Modderfontein II Gold Mines, Limited. — Cette Compagnie a eu un heureux début d’année et a distribué un premier dividende de 20 %. On peut prévoir des dividendes réguliers dans l’avenir. New Modderfontein Gold Mining Company, Limited. — Les perspectives de cette Compagnie sont des plus encourageantes. La teneur du minerai est bonne et les travaux de développement seront poussés activement depuis le nouveau puits circulaire et autres points importants. Le matériel de traitement sera augmenté en temps voulu. Des dividendes de 12 1/2 % et de 15 % ont été déclarés pendant l'année prenant effet en décembre 1912. Eustland Proprietary Mines, Limited. — Les résultats de l’année ont été satisfaisants. Les dividendes distribués ont représenté 25 %. Rose Deep, Limited. — Les opérations de cette Compagnie ont donné le bénéfice le plus élevé et justifient les prévisions faites à l’époque de la fusion avec la Glen Deep, Limited. La mine est en bon état pour être exploitée économiquement. Il a été réparti 45 % en dividendes. Geldenhuis Deep, Limited. — Les résultats de l’exercice ont été décevants. La restriction des opérations, par suite de l'épuisement de la section septentrionale, a réduit la proportion des broyages.
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Verbo grazioso nella dolcezza e nel l'umiltà, fate che la dolcezza e l'umiltà non abbandonino mai il mio cuore... Credo in unum Deum...
Il prete scopre il calice, lo ricopre, si purifica le mani a lato dell'altare, mostra il volto ai credenti, e, sempre con lo sguardo basso, dice: —
Orate fratres. — Alza poi l'ostia, come immagine di Gesù alzato sulla croce, e, consacrato il vino, solleva il calice. — O sangue prezioso, sgorga insino a me quale nuovo battesimo. O se potessi versare il mio sangue tutto per te, il mio sangue fino all'ultima stilla... Per omnia saecula...
Il prete spezza in due parti l'ostia santa, a similitudine dell'anima di Gesù che si stacca dal corpo; mette una parte dell'ostia nel calice e la consuma, picchiandosi il petto: — Domine non sum dignus,... — Indi riceve il sangue prezioso nel calice, e, dopo essersi comunicato, procede alle abluzioni: — Dominus vobiscum .... Nella ineffabile gioia di vedervi salire in cielo, o Salvatore del mondo, sento la contentezza di possedervi ancora qui in terra; la mia fede vi adora sul trono del vostro amore nell'Eucaristia, in quello stesso modo che vi adora sul trono della vostra gloria in Paradiso...
Nel dire: — Ite Missa est — il sacerdote alzò gli occhi e vide dinanzi alla folla, seduta nella prima linea di panche, Olimpia, la baronessa, accanto al maestrino di pianoforte. Il collo di neve e il principio del seno candido, spiccavano nella mezza oscurità del tempio. Ella sorrideva colle sue labbra tumide e rosse, fissando gli occhi negli occhi di Don Giuseppe, lasciva e sfacciata. Il prete sentì un velo calargli sulle palpevre; non ci vide più; traballò; il sangue gli corse tutto al cuore.
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the language of a novel by unauthorized translation
would be,2* a decisiouj^" to the contrary notwith-
standing. The last cited case is, in no event, law
under the present Act and its fallacies under the
Act involved in its decision, have been clearly demon-
strated by Mr. Drone.^*
The similarity between translation and transposi-
tion directs attention to a further phase of musical
compositions. The individual notes are comparable
to the letters of the alphabet, chords to syllables and
bars to words. Merely changing the order of the
bars of a musical composition would, ordinarily,
25— Wagner v. Conreid, 125 F. 798.
^6— Chappell v. Boosey, 21 Ch. D. 232. See also ScUesinger v.
Turner, 63 L. T. N. S. 762.
27— Hein v. Harris, 175 E. 875.
28 — See Drone, p. 450.
29 — Stowe V. Thomas, 2 Wall. Jr. 564.
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LE REVEILLa ChambreLe mot de la journée c'est le triomphe du Cabinet.C'eut M. Floquet qui préside. Dès le début de la séance, M. de Freycinet vient lire la déclaration que nous avons publiée plus haut.Après cette lecture, on assiste àL'interpellation Lockroy M. Lockroy.—Je demande la parole.(MouM. le président. — Vous ne pouvez avoir la parole, à moins de déposer une demande d’interpellation.M. Lockroy. — J’ai simplement quelques observations à présenter.M. le président. — Dénosez une demande d’interpellation; je consulterai le gouvernement, et la Chambre fixera le jour de la discussion.Vowr nombreuses. — Sur quoi! M. le président. ■— 11 faut que tout le monde se conforme aux régies et aux lois Or, rien n’est en discussion puisque aucune proposition n’a été faite.Tout député qui veut faire une interpellaionien remet la demande écrite au président. Cette demande explique sommairement la nature et le but de l’interpellation. Le président la communique à la Chambre, et, le gouvernement ayant été consulté, la Chambre fixe le jour auquel la discussion aura lieu. Avez-vous à me remettre une demande d’interpellation ?M. Lockroy. —■ En voici une, monsieur le président.M. te président. — M. Lockroy me remet une demande d’interpellation ainsi conçue : « J’ai l'honneur de demander à interpeller le gouvernement sur sa déclaration. » (Mouvements divers ) Quel jour le gouvernement entend-il fixer ?M. le président du conseil. — Immédiatement. (Très bien! très bien! à gauche.)M. Lockroy.-— Je ne monte pas à cette tribune avec les intentions agressives qu’annonce d'ordinaire une demande d’interpellation. J’ai le terme espoir que le ministère remplira les desiderata de la Chambre et du pays, qu’il restera fidèle au programme que ses membres ont suivi dans leur longue carrière politique en même temps qu’aux paroles prononcées récemment par l’honorable M. Bourgeois et que ht Chambre a applaudies.Les sentiments de fidélité que cette Chambre a conservés pour le ministère d’hier rne sont un sür garant du concours qu’elle donnera au ministère d’aujourd’hui, et je suis persuadé que les hommes éminents qui le composent sauront résoudre ce problème difficile : faire la politique de tous les républicains.Si je suis monté à cette tribune, ce n’est pas pour demander à M.
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In ogni parte di questa opera ci ingegneremo di discernere questi due fatti, i quali, se sono ben distinti negli altri paesi, possono dirsi opposti nel nostro, dove splendidissima regnava la civiltà allorché il cammino vigoroso e unanimemente non fu o ricordato o sviato dallo scindersi la cristianità in due campi ostili, e dal cessare Roma di essere la capitale di tutto il mondo civile, e l'unica educatrice dell'incivile.
Menoma ingiustizia appare in coloro, che dalle sventure precipitano sulla patria nostra, accagionano l'essersi conservata con i paesi; e al paragone di lei esaltano le nazioni, fra cui rimasero appena conoscibili vestigia della grande unità cristiana, che formava un giorno la gloria dell'Europa.
L'opera nostra, malgrado qualche traviamento, rimase nell'unità della fede e della carità, sia nei tempi ove la ragione si teneva sbigottita lasciando predominare la superstizione, sia in quelli ove essa baldanzeggiava producendo l'incredulità. Ci rimarrà, confidiamo, attraverso alle nuove e diverse e ben meglio sistemate e risolute minacce.
Le eresie antiche, le quali spesso erano una ricerca della verità, e le eresie nuove, che sono un contraddire alla verità ritrovata, provocano confutazioni e discussioni. In un secolo che osa investigare tutto, tutto dire, se v'è errore non può essere che volontario.
Dopo che la Chiesa disputò a lungo per sceverare la menzogna pronunciando «Questo è falso. Chi lo dice sia anatema», oggi conviene dare l'affermazione dei veri, e dire «Il cattolicismo è questo e questo». Allora apparirà come non è vero che esso sia esclusivo: comprende anzi e riunisce tutte le verità, mentre gli eterodossi ne prendono solo alcune, disseminate e tronche, e ripudiando qualche punto, rimettono tutto in problema, negando, escludendo, restringendo ciò che è fisso ed universale.
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(3«ctfebung folgt.)
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tt flflt nk^t «piünbcTuna war an ttt Tajjt»ptbiaiiia. Sßenn Ut
iptifi^nt 6 iWcnoic lanj am iSulrr jieirrffti ift, irfirn fr unb
feint Wintf^rt <iU trictc tiutc vcii il)uni >i!oft<n .U'. Xft ^rd*
pb-.;':n, ^:uhl ift Calja flrt^ tcr 3,infjpfil iKircicti. ?Jin(tfii toi)
in Cfrti atijfruvitti^fii "Äiidfnl'lid L^i^mmontort, ;ju(ua*in, l'itranicn
unb 3uatr) fäwmt(i(* bfttaiii SlniVriidj, redjimjfjigf *i>tö("itf)iten
|o f<in, uiib taju fommt wi) tm flirte .i^ccr i^ni aJuCitii, bfe
tiTiu miD, mii H>«n ttnfprü^ta brrvprjuirctni , fobolb fldf rinc
f)ünr»ifle «ilricöünfecit Njh biffff ®riiii ,vrifrt im gunbf ffiii foU,
0 muß fcitftt 3«"f>Hl'«l nuiitffti-nti auf fiin\K ^nt rntfemr mu
bfn. StrQrit^t n;ül^f nn ucn nrifc frcmCrn ^irrifmad)» unttu
flü^*« Diftalot ouf ts - lü 3,il<tf t.i* JK[*[ip,f fiiii. anct
bat mürbe nu( ein X>orübnd<l;ttibr$ 'äuSfunfisiit iiti fiin. 3f( etfi
einmal nnt 2)ionard}ie erc^irt, fo pub bicfc firuuti ^di?vtllnae
ttn für a[U a}J(iI ab^ffban , tie fl^t^^f trS IJauCiP gtriairtf unb
bei temcttanidic (fl)fi\tij CcÄ 3<pitftia ^)rj»i)''li- t*'t^ Uictjcrtle^,
}u aloutfii, tiiif tfVLiblifanii*f iXi'jirniiijBfo'.m lcn\)c tn einem
ÄoiiCe 9cCtil;rii, vcri tn^u :>,(MiO,OUU ^icUn i'i^itct Sfvplteiunjj
nncfi fcft nirtridfun i^irritmiu.) :i:{iit trcHijec M 3^ ilKiUiDnen
5nCianct uiiC, tir im Juiiiiiifc Cii tuf|>;n UlmMiftn^^ric l<b<ii.
iint ptiilrirt) aiifaiii^Ä U-ctunluiU 511 übftiomtrn fdn mÖdMcn, fo
ifurt'c tH'A ta ,-,il>ilC'i:c unb ad^tboi« ZiftA Ui SioUff balb he
äJcdbnlc ciiur t<üni vjt(rlid)cn 9i(AlRiiii9 |u MntrMflrii »ijftn.
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BOMINAUOM
310
luoso y austero , que ayunaba con sumo rigor, y celebraba eou esplen-
didez la Idalfitra ó pascua de salida de llamaran con sus fronteros *, y
gastaba en osle dia todos sus ahorros con la gente de su fuerte. Su ves-
tido era rústico y su comida muy frugal : permaneció toda su vida en
la frontera de Castilla, y falleció á la partida del rey , que sedeluvo en
aquella tierra tres años menos dos meses. Escribió al rey el wazir Abul
Huzaui Gchwar que convenia que luego viniese á Córdoba; que el pue-
blo estaba inquietoy descontento; que deseaba verá su rey; que de sus
leves quejas y hablillas tomaban ocasión los sediciosos para fomentar
discordias y conmociones graves ; que los v al íes ó gobernadores de las
pro\incias interiores manifestaban descubiertamente sus intentos de
independencia, ganando con aparente blandura y equidad los ánimos de
los pueblos que tenían en su jurisdicción, obrando como reyes abso-
lutos, sin permitir que las contribuciones y rentas de las provincias
viniesen á la capital. Con este aviso el rey llixém partió Clon mucha di-
ligencia para Córdoba, y entró en ella dia 8 de la luna Dilbagia del
año 420 (1029) : fue recibido con gran pompa y demostraciones de ale-
gría , y rodeado de infinito gentío entró en su alcázar. Su afabilidad y
apacible y generosa condición , y al mismo tiempo su atención á la ad-
ministración de justicia ganó las voluntades del pueblo, calmó las in-
quietudes y puso freno á los ánimos revoltosos. Visitaba los hospicios
y casas de pobres , y las madrisas , escuelas y colegias : cuidaba con
especial celo de los enfermos, y sus mismos médicos debían visitar cada
dia los almareslancs ú hospitales. Depuso al radi de la aljama de Cór-
doba Abderaliman ben Alimed ben Said bon Muhamad ben Baxir ben ’
García, apellidado Abulmotarif, y conocido por Aben el llasari,que
había sido electo radi por el rey Aly ben llamud. Era muy elocuente, y
filé prefecto de oración en la aljama , y muy privado de los reyes Ma-
ntudos.
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ANNO 526
bisogna volere, ed altre città per le quali si va al Po. Aggiunge che la causa dell'essersi ritirato Attila di là dal Po, si deve attribuire a Vezio generale di Valentiniano Augusto; il quale valorosamente gli era alle spalle con un'armata che l'andava incalzando e pizzicando. E qui cita il Sigonio le seguenti parole di Giordano storico: Attila si ritirò, con le truppe raccolte ad Aquileia vi si fermò dinanzi alle ostre capitudine, ac circa quadragina praedi e suburbia circondati da un'esercito tenace e valoroso, ad un trattato di pace con Valentiniano Imperatore, dopo aver visto il suo esercito fatto da fame, peste, morbo, e altre malattie da Aetio attaccato e infine ritornò a casa in pace. Può essere che il Sigonio abbia letto in Procopio quanto egli riferisce, quantounque io non ve l'abbia trovato; ma per quanto concerne il passo che egli rapporta da Giordano, non so onde l'abbia egli preso. Certo nell'edizione del padre Garesio Benedettino, e nella edizione confrontata col antichissimo testo dell'Ambrosiana, non compariscono quelle parole, le quali, se sussistessero, porgerebbero motivo di credere che, aggiunta alle persuasioni di san Leone l'apprensione del valore e delle forze di Ezio, quel Barbaro si fosse ridotto alla ritirata. All'incontro abbiamo l'autorità di san Prospero opposta all'asserzione suddetta. Eccone le parole al presente anno: Attila, dopo aver ritirato le truppe, quelle che in Italia aveva lasciato, entrò in Italia per le Pannonie.
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Bien entendu, cette solution est repoussée tant par les auteurs qui les considèrent comme de simples successeurs aux biens, que par ceux qui expliquent par la saisie l'obligation indéfinie aux dettes, les légataires ou donataires à titre universel n'étant jamais saisis. En admettant, du reste, avec une partie de la doctrine, que les légataires universels ou à titre universel et les institués contractuels ne soient pas tenus ultra vires des dettes de leur auteur et n'aient pas besoin de recourir à une acceptation bénéficiaire, il sera toujours prudent pour eux de procéder à un inventaire de l'hérédité, afin de ne pas s'exposer à des poursuites sur leurs propres biens dans le cas où il leur serait impossible d'établir autrement la consistance des biens héréditaires; car la confusion de fait, de leurs biens et de ceux du défunt pourrait entraîner l'obligation indéfinie qui ne résulterait pas de leur titre. Mais le plus sûr sera encore, si la succession paraît onéreuse, de se conformer à l'opinion qui exige l'acceptation bénéficiaire.
Légataires et donataires particuliers. — Mais ceux qui ne sont pas tenus des dettes, comme les légataires et donataires particuliers, et ceux qui n'en sont tenus que jusqu'à concurrence de l'émoluments, tous les successeurs aux biens et non à la personne, ne peuvent recourir au bénéfice d'inventaire, parce qu'il n'aurait pas de raison d'être.
Successeurs irréguliers. — Les successeurs irréguliers, à savoir les frères et sœurs naturels, le conjoint survivant et l'État, ne sont pas successeurs à la personne, mais seulement aux biens; ils ne sont pas tenus des dettes sur leurs biens personnels : ils ne sont donc pas obligés aux formalités du bénéfice d'inventaire.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos.
As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você.
Diretrizes de uso
O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis.
Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você:
• Faça somente uso não comercial dos arquivos.
A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais.
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Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar.
• Mantenha a atribuição.
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f
Index
cxxxvi
I. ». c.J3* n i. i. $. In Gallia defundi Epifeopi
unus curabat vicinior Epifeopus remque illius
Ecclefix temporalem per dies folumfeptem rege-
bat: quibus elapfis & ipfe & quicumque alius
Epifeopus vetabatur k Concilio Regienfi civita-
tem illam adire donec k Metropolitano ad ele-
dionem convocarentur , II. !.a. c.3. n .6. Com-
mendator in Hifpania dicebatur is Epifeopus cui
vacantis Ecclcfiz cura erat demandata , 111. I.x.
5.31. num.n. In Italia vifitator, II. l.j. c.io.
n.i. 3. Et in Gallia fimiliter, II. l.i. c.3. n.6.
In Africa interventor & intercedor, n.«.
Nullum ante Calchedonenfis Concilii tempora vi-
detur ptxfixum fuifle tempus intra quod novum
Epifcopum eligi necefle effet. Illud trium men-
iium (patio Synodus illa conclufir, II. Lx. c.9.
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If the light of all the stars were to go out at once, it would be at least four years before we noticed any difference in their light. After that time, those lights in the sky would disappear one by one, according to their distance from the earth. No one living today would see the last starlight go out if all their lights were extinguished at once. The nearest star takes four and one half years for its light to come to us. We say a star is so many "light years" away, basing its distance on the time it takes its light to reach us. It takes light 100,000 years and more to reach us from some of the farther stars. From some of the more distant stars, we are just now receiving the light that originally emanated from them way back in the Stone age — before history. It has taken it all these years to reach us.
The Thrifty Partners.
Two Aberdonians, who were keen business men, started on their own account, and it was part of the co-partner agreement, that one of them should do the canvassing for orders in the forenoon, and the other in the afternoon.
A customer of the firm after noon, entered, and knowing this arrangement, remarked:
"You're late today in going out, Mr. McGregor."
"Yes, you see it's a tag day in the town today, and I am waiting on my partner returning with his tag."
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A, 9 ist das Protokoll einer Sitzung vom 29. Sept. der Indiction IV d. h. des Jahres 600; aufgenommen wie es scheint erst 4 Tage später, nämlich am 3. October (falls im Anfang nicht kalendarum statt nonarum zu lesen ist?). Es ist richtig zum October der Indiction IV in das Lateranensische Archiv eingetragen und mit Nummer versehen worden. Statt der Ueberschrift setzte man das Datum der Abfassung des Protokolls oder der Sitzung selbst an die Spitze dieses Stückes. Die Angaben der Zeit sind in den Zahlen ausserordentlich verderbt: ‘imp. mauricio etc. anno XIII eodemque consule anno XF im Anfang und nachher ‘anno XCIII p. c. eiusdem anno XVT, muss jedes Mal in der ersten Zahl XVIIII, in der zweiten XVII gelesen werden und stimmt dann zu 600. Die Entstellungen erklären sich auch leicht.
A, 10 ist völlig Formel; steht aber dort in der Indiction V zum Februar eingetragen mit rothem Titel ‘Promissio quam solvi sēcl. etc.
Als Nachtrag zu Indiction V ist, obwohl numerirt und mit Titel versehen, doch 111,57, eine Antwort des Bischofs Johannes von Ravenna auf III, 56 (vom Juli Ind. XI) und A, 11 anzusehen. A, 11, Exemplum praecepti benannt, ist vom 22. Sept. <imp. iustino> datirt; geht also auf Justin II. 565—578 zurück.
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XII. Hic rurfus nota, Concilium folli-
citum , ut idonei Examinatores eligerentur,
Graduatos fpecialiter defignaverit , tamquam
qui publicum capacitatis, & eruditionis te-
llimonmm acceperint ; quo rurfus elucet,
2uomodo Ecclefix imponant, qui hujufmo-
i publica tellimonia nimii facilitate an-
nuunt ; de quo fupra sit. 2. cap. 4. alias
tit. 19. cap. 4.
XIII. Hi Examinatores ex prrfcripto
Concilii Tridentini jurare debent “omnes
» ad fanfla Dei Evangelia fe, quacumque
„ humani affeflione pofipofita , fideliter
,, munus executuros,,.
XIV. Jurameatum non in quolibet aflu
examinis prxllari debet , nec prallari folet;
fed tantum femel in initio aflumptionis :
quamvis optandum eflet , ut Examinatores
ad examinandum properantes , fcmper prx-
fliti a fe juramenti meminiflenr i omnem-
que humanum affeflura deponerent ; ac fi-
Snanter placendi Epifcopo , a quo deoen-
ent ; &non raro promotionem ulteriorem
exfpedant , quo facile contingit , afleilu
excxcante , ut favorabilius judicent de iis,
quos noverunt Epifcopo gratiores : licet
etiam fciant, aut facile fcire polline, Epi-
fcopum humano afleftu erga nonnullos prx-
occupatum : de quo affeffu , nimirum pla-
cendi , hodie major fufpicio effe potell ,
dum a folo Epifcopo conllituuntur.
XV. Ut magis integri & indifferentes
fint Examinatores , vult Concilium ut “ca-
,, veant , ne quidquam prorfus occafione
,, hujus examinis, nec ante, nec poli ac-
„ cipiant , alioquin fimonix vitium , tam
,, ipfi , quam alii dantes incurrant ; a qua
„ abfulvi nequeant, nifi dimiflis Beneficiis,
,, qux quomodocumque etiam oblinebant,
,, & ad alia in pollerum innabiles reddan-
„ tur „.
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1 53
GAP. IIT.
fusión ú causa de ellos. ron ignominia.
i tj Hé aquí que yo quitaré la vi- ao En aquel tiempo , cuando yo
da a todos cuantos en aquel tiempo os habré traido, y os habré reuni-
te afligieron ; y salvaré aquella na~ do , haré que adquiráis nombradla,
cion que claudicaba , y volveré á y seáis alabados en todos los pue-
llamar á la que fué repudiada, blos déla tierra ^entonces que os ve*
y les daré gloria y nombradla eu xéis librados por mí de vuestro cau-
toda aquella tierra en que padccie- tiverio.
♦ * •
«rant: ut non ultri babeas super eis opprobrium. 10 Eccc ego ¡nterficiam
orones, qui afflixeruol le in tempore illo: et salvaho claudicantem : el eam,
quae ejecta fuerat, congregaho: et ponam eo 6 in laudem et in nomen , in om-
ni ierra confusionis eorum : 20 ín tempore illo , quo adducam vos , et in
tempore, quo congrcgabo vos: dabo enim vos in numen , et in laudem óm-
nibus populis térra? , cum convertero captivitatem vestram corum oculis ves-
tris , dicit Dominus.
FIN DE LA. PROtECÍA DE SOFOA'ÍAS.
ADVERTENCIA
SOBRE LA PROFECIA DE AGGÉO.
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NOW, THEREFORE, I, M. Alexan
der, governor of Idaho, hereby set
aside the week beginning November 19,
and ending November 24, as a week
for the registration and mobilization
of all the women in this state in ac
cordance with the rules and regula
tions that have been recommended and
adopted by the national government,
and I call upon all the women of our
state to promptly, comply with this
request and do all other things that
may put Idaho in the line of the serv
ice for which this nation has conse
1 crated ltself ' and for which the youn S
I '
men, the sons of our mothers, are now
turning their faces to the battlefields
of France, so that by the action of our
j women at home we may be thereby
I better enabled to feed and clothe this
I army of ours and assist the nation in
gaining victory for the cause of down
trodden humanity. v
In testimony whereof. I have here
| unto set my hand and have caused the
I great sal of the state of Idaho to be
j hereto affixed. Done at Boise, the
! capital of the state of Idaho, this 23d
I day of October, in the year of our
,
, Lord, 1917, and of the independence
: of the United states 142d.
( SEAU,
j
j
i
1
j
|
M. ALEXANDER,
Governor.
Attest :
I W. T. DAUGHERTY,
Secretary of State.
Hotel Moscow Arrivals
Louis Des Voignes,
R. S. Brown.
ADVERTISING
;
j
j
;
mm ccwsiiPAiBN
Get Dr. Edwards' Olive Tabl
That is the joyful cry of thou—.:
since Dr. Edwards produced Olivo Toilet.
the substitute for calomel.
Dr. Edwards, a practicing physic!"". ;T:
17 years and calomel's old-time enemy.
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220 — aboutit à une indemnisation équitable, mais encore en faisant de cette indemnisation non le paiement d’un achat d’espace, inutilisé par la faute de l’annonceur, mais une indemnisation au sens de l’art. 1794, on se rapproche davantage de la réalité. L’application des règles du contrat de louage va encore nous donner des solutions très justes à un autre point de vue : le contrat de publicité sera dissous par la mort du publicateur (art. 1796), c’est-à-dire si le journal arrête sa publication. En appliquant les règles de l’art. 1796 du Code Civil, on peut dire que l’annonceur devra régler au journal les annonces déjà parues, sauf si elles constituaient une suite telle que l’absence des dernières enlève toute valeur aux premières. D’autre part, depuis la loi de 1881 sur la liberté de la Presse, il y a deux cas de résiliation possible : la grève et la guerre. Telles sont les principales conséquences juridiques des conventions qui assurent la publication des annonces.
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Mrs. O'Hare's reply, as given by Friedham this morning, was to the effect that she would stand upon her constitutional rights, that she had been threatened before and nothing happened and that "barking dogs don't bite."
Introduced Mrs. O'Hare to Sheriff T. R. Sherman and Chief of Police John M. Asterman to present the situation to her.
Following the conference, Friedham announced that the authorities had told Mrs. O'Hare they would do all in their power to avoid untoward developments and he insisted at this hour that Mrs. O'Hare would speak here tonight.
AMERICANS WIN TENNIS CHAMPIONSHIPS
Wimbledon, England—(By A. P.)—Randolph Lycett and Max Woosnam, of England, won final match in men's doubles of British turf court tennis championship today, defeating A. H. and F. G. Lowe, of England, 6-3, 6-0; and 7-5. William H. Tilden, world's lawn tennis champion successfully defended his title in challenge round defeating B. I. C. Norton, of South Africa, 4-6; 2-6, 6-1; 6-0 and 7-5. Randolph Lycett, of England; and Miss Elizabeth Ryan, of California, defeated Max Woosman and Miss F. Howkins, of England, in the finals of the mixed doubles, 6-2; 6-2, 6-1.
Stanford Man A Winner
Philadelphia—(By A. P.)—Philip Neer, Of Leland Stanford University, won the intercollegiate lawn tennis championship today by defeating J. B. Fennon, Jr., of Harvard, 3-6; 6-1, 6-4, 1-6; 6-1.
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f.2. Ite Angeli vtlttt i ed gentem couvulfim & 41 •
leter et em , C7 pipulum terribilem. Vox cenierur regit
iEgypti.mutcnm Angelus, id cft,auniios ad Judxos»
quos vocat gentem couvulfim , quia bellis attrita erat j
terribilem tamen propter ligna St prodigia , au* occa»
fione illicis populi aliquando in Aegypto St lolitudioe
ftdi erant. Im6 Se addic : p tft quem ntn elim. q.d.<ui
non eft alius popului comparandus : gentem expeSen*
f#Mtid cft, qux hoc habet proprium, ut expedet auxi-
lium I Deo, quiro tame n non viderer. Propter quam
caufam & extern gentibus Judxi ridebantur. Unde il*
lud de Jud.ro apud Pcetam : Nibil puter nubes,<r (teli
numen ederet.
CAPUT XIX.
f.I. p Cte Dominus aftendet fuper nubem levem, &
JL> ingredietur JBgjplum . & commovebuntur fi-
muleibre £gjfti a fecit ejm. Hoc de adventu Chrilti
pueri in Aigyptum , quando Herodes eum ad necem
querebar, pleri que interpretantor. De qua rc videSo*
Kom.hiftor.Ecclcf.lib.$.cap.ao.8t Nicephorum lib.io.
«ap.31.itcm Palladium io hiQor.Liuf.cap. 5 a. Alcen-
dic autem fuper nubem levem, quia vinit indutus hu*
inana carne nullo peccato gravata. >
. #.19. Iu die i Da erit elute Demini in medie terre
dSg/pti. Prophetia cft manifeflade Ouificio,& altati
Euciurift ico novi teliamcnti , contra novatores* qui
illud facriGcium tGc negam. Non enim hoede altari
«rudi intelligi poteft j nam idem hic ifaiascap.ulnde
Eliis novi teliamcnti prophetans, exprimit Sacerdote*
& Levitas , ne quis fingar, folum Chnihim clle Sacer*
dotem. A fumem, inquitjx iit in SACtrdettt & levit At,
diiitVominui. Iit fimilia funt J.rcroix 33.V.18.& fcq.
Neque poicfl hic locus referri ad templum quod lofc»
pho refert nte,, i ity A£gvpto txftruxif Qaias quidam.
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a voulu, par la communication qu’il nous a faite, mettre en garde la population d’Aubervilliers contre un farceur qui s’était déjà mis sur les rangs il y a quatre ans. En 1932 cet estimable citoyen proposait la suppression de tous les impôts et l’augmentation de toutes les dépenses. En 1936 il veut sans doute se placer sur un autre terrain et le C. R. S. 4-C. n’entend pas le laisser faire. Si nous avons bonne mémoire, en 1932, les ambitions de M. Clémençon s’évanouirent au second tour pour un motif demeuré obscur. C’est peut-être ce motif inconnu qu’il veut exploiter cette année ; mais à quatre ans d’intervalle on peut penser que les mêmes arguments ne porteront pas autant de poids. En tous cas nous donnons acte au G. n. b. 4-C. de son honnête désintéressement. M Bru, juge d’instruction, a terminé l’instruction du procès relative au meurtre de l’agent Fargeas. L’affaire sera très prochainement évoquée devant les jurés de la Seine. Le meurtrier présumé et son complice seront défendus par Maîtres Torrès, Garçon, Mourier, Ceccaldi et Brideau. Les intérêts de la partie civile seront confiés à Me Delaunay. FABRIQUE DE MONUMENTS FUNÉRAIRES BARILLET 18, av. du Cimetière-Parisien PANTIN Téléphone Combat 03-80 et 01-48 La commission administrative de la Maison de Retraite avait décidé, il y a quelques mois, de substituer à la cuisine qui existait, et qui était trop étroite, une cuisine souterraine, bien aérée, bien éclairée et capable d'assurer le service d’un établissement aussi important dans d’excellentes conditions d’hygiène et de rapidité. Les travaux sont aujourd’hui terminés. La nouvelle cuisine fonctionne. L’emplacement de l’ancienne va être utilisé pour la construction d’une large salle de réunions destinée aux pensionnaires. Ceux-ci disposeront d’environ 100 mètres carrés pour se distraire et pour assister aux spectacles que la commission administrative et le conseil municipal, aidée par les sociétés locales, ne manqueront pas d’organiser. Mme Marie Rolland, 28 ans, demeurant 215, rue de Paris, a découvert, en rentrant chez elle vers 20 heures, son mari Louis, âgé de 25 ans, inanimé sur son lit. Mme Rolland avait quitté son mari le matin vers 7 heures sur se rendre à son travail et celui-ci ne semblait en aucune façon décider à mettre un terme à sa vie. Louis Rolland était employé dans un grand quotidien parisien et la gêne n'aurait pas dû entrer dans le jeune ménage sans la passion du désespéré pour les courses.
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p:edicato:ee.£cce tnbefeno eA cpnAue.noli//
te etire.lct ad videndam cum.Eccc in penetra
IA)ue.nolueaedere. Erponft autem efue pic
dicatoiee Idipnirae falladter.4cd magna do
qnentia 4 verratia verbotu. Ptcdicaio:ee adt
ccclede tacebunt: vd ttmene pwionie: vel amo
re terrenommtvd ignoianna tmpmrc faae4>
pterquam nefddconfutarec^oAti^ ettoi
tae illomm. £t Ac implebitur iund lignut p:o/
pimmi tudieg Datum a ^ ir>aitb.nfig<a.
Stdie cadentDecdo fdell Doctoieebecidn ab
intellectu 4 Audio Mptvrt.Oidiurenij Oan.
cg.Qui ad luAitiam erudiunt pinrimoe qua//
d AeUe.Scriptura Didrarcdum-CInde teppe//
rinaepapaDi.crcvfi|.dca!t.iSbrntee f)deliu5
inpmntee facre Idipture Armamento tdrA ce
lo.non obldiraUt mundana iniqniue. Vld ta
menatotocdrabnntpted(catoteeveritatie.4 I
permatime De paradifo terreArf mittenrar in '
mundum £no^ 4 ‘bdj/ae quo fuerunt n-ifla/ i
d.vt pabctnrDepttnio ScA. v.oe fetudo. ii^.
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Up to this time, I had only met Mr. Forster at the
social gatherings at " Gad's " and at the office ; and,
before the interview at his hotel at Ross, had not
met him in a business capacity. Being perfectly aware
of the intimate relations existing between Mr. Dickens
and Mr. Forster, I regarded this interview with con-
siderable anxiety, as, in my opinion, much depended on
the view Mr. Forster should take of the matter. This
anxiety was not allayed by the discovery that he had
in the most unreasonable manner, and without any
knowledge of the subject that I could see, made up his
mind that the enterprise was not to be ; and a red rag
could not have made a mad bull more ferocious than
the discussion of the clauses in the moderate and
business-like " case in a nutshell "made the biographer
of the novelist. He had made up his mind j and , there
was an end of the matter. . He urged that ever since
the Staplehurst accident Mr. Dickens had been" in a
MR. FORSTER IN OPPOSITION. 137
bad state of health, and that a sea-voyage was the very
worst thing in the world for him. He had a personal
dislike to America and the Americans . ever since the
Forrest-Macready riot > and as eyerybody in America
knew of the intimacy between Dickens and Macready^
the riots, he believed, would be revived. He was cer-
tain there was no money in America, and, even if; there
were, Mr.:DiQkens \yquld-not get any of it ; and if he did,
the Irish (bysome means I could not quite understand),
and the booksellers, between them, would break into
the hotel and rob him of it. Even if the money were
deposited in a bank, the bank would fail on purpose.
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In the midst of chaos, Chase & Sanborn's Seal Brand Coffee has won all the basics. RicK, delicate, uniform, has won all the basics. In 1, 2, and 3 pound cans, ground, unground, or pulverized. Never sold in bulk. 1 lb. can 50c; 2 lb. can 95c; 3 lb. can $1.40. Preferred stock seeded saisins 15 oz. Sun-Maid seedless Raisins, 15 oz... Soft shelled Almonds per lb. Walnuts, No. 1 soft shelled per lb. Brazil nuts per lb. Salted Peanuts per lb. Full Cream Cheese per lb. Sweet Corn, 24 can case. Tomatoes per can. Tomatoes, 24 can case. Tall can pink Salmon per can. 4 lb. package Cretana Pancake Flour. Sugar, 12½ lbs. for $1.00. 100 lb. sack
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$3.45
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$3.45
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5
I
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t!
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FRUIT AND VEGETABLES
Oranges per doz.
Bananas per lb.
Grapefruit, large size, each
Grapes per lb.....
Delicious apples per box..
Head Lettuce per head
Radishes per bunch.
Green Onions per lb.
Celery per bunch.
Cauliflower per lb.
Hot House Lettuce per lb..
Green Peppers per lb.
Turnips per lb.
Parsnips per lb.
Cabbage per lb.
Beets per lb.
Sweet Potatoes.
Potatoes, 100 lb. sack.
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Heretofore this agitation has been out of the
sight of the general public, Avith the exception
of a few letters which have appeared from time
to time in the papers ; consequently, the sermon
of Rev. Louis Albert Banks last Sunday on
the subject came like a revelation to many.
" The Herald had been making a thorough in-
vestigation of the charges brought, previous to
]\Ir. Banks' utterances, and this has been con-
tinued up to the 23resent time, in order that the
people of Boston may know accurately and to
the fullest the precise condition of its pauper
institutions and their inmates. As a result of
that investigation, it may be boldly said that
the criticisms which have been made public do
not give an adequate idea of the disgraceful
292 WHITE SLAVES
condition in which the institutions are at pres-
ent, nor the treatment which the paupers
receive and under which they exist ratlier than
live.
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There is one production of the German mind which owes its origin
directly to this concurrence of circumstances. In translating the Psalms,
Luther conceived the project of making a paraphrase of them for the pur-
pose of congregational singing ;l for the idea of a Church, such as he had
described and begun to call into existence, supposed that the congregation
should take a far more considerable part in the service than it had ever done
before. In this case, however, as in some others, a mere paraphrase did
not suffice. The devout spirit, tranquil in the conviction of possessing the
revealed Word of God ; elevated by the strife and danger in which it was
placed, and inspired by the poetical genius of the Old Testament, poured
forth lyrical compositions, at once poetry and music ; words alone would
have been insufficient to express the emotions of the soul in all their fulness,
or to excite and sustain the feelings of a congregation. This could only be
done by the melody which breathed in the solemn old church music, and
the touching airs of popular songs. Such was the origin of the evangelical
hymns, which we may date from the year 1523.2 Detached hymns by
1 Luther's preface to Johann Walter's Hymns recalls " das Exempel der
Propheten und Konige im alten Testament, die mit singen und klingen, mit
dichten und allerlei Seitenspiel Gott gelobet haben," — " the example of the
prophets and kings in the Old Testament, who, with songs and music, with
verses and all manner of stringed instruments, praised God." — Altenb. A., ii.,
P- 75i-
2 Riederer, "von Einfuhrung des deutschen Gesanges " p. 95. The remark-
able letter to Spalatin concerning the translation of the Psalms into German
verse, in De Wette, ii., p. 490, is doubtless earlier than that dated 14th Jan.,
1524, ibid., p. 461. In it we see what the Musae Germanicae, about which De.
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les actionnaires de la société que l'assemblée générale annuelle est convoquée pour le 21 mai, à trois heures du soir, au siège social, à Montpellier. Pour faire partie de l'assemblée générale, il faut être propriétaire de dix actions au moins. Les titres ou les certificats de dépôts doivent être déposés cinq jours au moins avant celui de la réunion. À Montpellier, au siège social, et à Paris, à la société de Crédit Mobilier, place Vendôme, 15, contre récépissé servant de carte d’entrée à l’assemblée générale. Le secrétaire du conseil d’administration, P. Verrière, le plus élevé est à 30 fr. 50; les Sandomirka 126(121 37 fr. 50. Les avoines sont excessivement calmes, les Samsoum valent fr, 16 50 les 100 mil. En laines, un cours les Tunis, fr. 92 50 les 50 mil.; les Petit-Mossoul fr. 2 50 le mil.; les Géorgie 2e tonte fr. 90 à 92 50 les 50 mil.; les agneaux salonique noirs fr. 85 les 50 mil., conditions d’usage. Les cotons ont un marché fort peu animé; on fuit des Volo à fr. 10; des Souboujean à fr. 106 les 50 kilo, conditions d’usage. À Liverpool nous n’avons aucun changement à signaler sur les cotons, à Manchester la halle de mardi a été presque nulle avec des cours en baisse sur ceux de la semaine dernière de 18 éden. par livre pour les Lires et de 112 éden. par pièce pour les tissus. COLLECTION de feu M. le baron DE HARDENBROEK DE BILJOEN chambellan honoraire de S. M. le roi des Pays-Bas, chevalier de plusieurs ordres, etc. OBJETS D’ART ET DE CURIOSITÉ Faïences italiennes, faïences de Delft, verrerie de Bohême. Orfèvrerie: bijoux, miniatures, émaux, montres, horloges. Porcelaine de Chine: cuivres, bronzes, sculptures en ivoire, tableaux, estampes. Vente hôtel Drouot, salle n° 1. Les lundi 29, mardi 30 avril, mercredi 1er, jeudi 2, vendredi 3, samedi 4 mai 1872, à une heure et demie. Commissaires-priseurs: Me Henri Gauthier, 12, rue Bérenger. M. Charles Pillet, rue de la Grange-Batelière, 10. Hier, mercredi, le concours de Trotteurs a eu lieu au palais de l’Industrie, au milieu d’une foule d'amateurs et de visiteurs. On a surtout beaucoup remarqué deux trotteurs qui semblent être de la race Percheronne améliorée, et appartiennent à M. Bouju, du Havre; l'on a couru attelé en 4 minutes 12 seconde 12, et l’autre monté en 3 minutes 50 secondes pour 2,400 mètres environ. Demain, vendredi, concours de chevaux de chasse.
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L'ukrajse aurait été plus sincère et plus explicite en disant : Le gouvernement turc n'a plus droit à la vie, et en nous montrant ouvertement son hostilité, on ne saurait être plus mélancolique. Et le Vassal-Est qui est toujours claironnant et prêt à l'action gourmande le cabinet said Halim pacha pour ce qu'il appelle son "indécision". Pauvre Andrinople ! s'écrie-t-il, qui, sous la tyrannie sauvage des Bulgares, nous appelle à son secours. A-t-il un seul Ottoman fidèle et sincère qui n'accoure pas à ses cris, à ses lamentations ? Non, certes. Mais le gouvernement n'a pas encore, d'un mouvement prompt et décisif, lancé son armée en avant. Oui, nous sommes sous les lentitudes que le gouvernement, poussé par nous, nous ne savons quelles considérations, observe dans la situation. Mais aucune force ni cause ne peut plus exister dans la situation actuelle, situation qui nous commande d'avancer à tout prix et de reprendre le plus vite possible le cœur d'Andrinople. L'ottomanisme avancera et accomplira cette tâche exigée impérieusement. Cet appel vibrant n'en laisse pas moins subsister la constatation première que le cabinet unioniste hésite et qu'il ne parait pas sortir de son affaire, ce qui fait supposer qu'il est en présence de sérieux avertissements. Très probablement l'Autriche-Hongrie n’est pas la seule à réagir et, devant cette résolution, le plaidoyer contenu dans la note turque à savoir que le principe des nationalités en Thrace est en faveur de la Turquie (les musulmans y étant plus nombreux que les Bulgares et autres chrétiens) : que celle-ci qui a signé les préliminaires de Londres, dont l'effet a été nul en ce qui touche la rétrocession pour la Bulgarie des territoires en deçà de la ligne Enos-Midia (par rapport à Constantinople), ne peut être logiquement arrêtée dans son action, dépendant de la nouvelle guerre des Balkans, alors que l’on n’a point arrêté la Roumanie qui a signé le protocole de Saint-Pétersbourg, lequel a même reçu un opinionnachement d'exécution et qu'antimoi de devoir d'humanité peut la Turquie de prendre le recours des populations musulmanes de la Thrace pour les préserver des sauvageries bulgares, devant l’attitude, dis-je, de certaines puissances, ce plaidoyer ottoman risque fort de demeurer lettre morte, car, je le répète, rien ne sert de marcher, il faut savoir où l’on restera.
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Cultura tritimi Tontanus de bello Teapolitano elevata r de scriveri aggetto servidore uffallo, particella unitta da oltramontani in Italia, non pur nel volgare idioma, ma tra i feritori latini, et per quello che ne lima il contingente il Tontano, inducebbe origine, perché quei baroni, quelli cavalieri, che si danno in perpetua servitù del maggiore, si possono inquadrare in un foglio ingiungere i pollici loro in guisa di legame, col quelli del levare, quelli baciarne. Quando giurano tale servizio promettono di costoro, cheli provveniente di Sicilia et di Calabria, fisso Legio alla chiesa; latinamente dalle leggi, è sostituito vece di colui che per fedeltà i legato al signore, & si porta utilmente nel vero dal nostro In. dove di ce. poiché fatto ero buono Legio Di Lei. di Laura, Famiglia O. Lat. famulus, & pedisequus, puer, mancipium Bea. Sirisco famiglia di Tarmeno. Se diviene possibile famiglia del manto di Lei. Famiglia Migliore. Segreti fimo, istinto. (chi famiglia, che qui usavano a bere. Birri.
Int. Lat. famulus, & famula, & pedisequus, valent servitore, & servitrice. Boc. Il Fante di Salvo, come cattivo, il fante che ancora era digiuno. Una Fante attesa. Una Fante del selte gratta, & piccola, & malfatta, tutta fissa, unta, & affumicata. La Fante della donna amata Sirata. Dolorosa, Bella; Fecero usare medici, & Fanti, per servire il nostro Fanti. Una Fantina assai bella, & piacevole. Come se una piccola Fante del colse offerto.
V. ne Lat. famulo, Lettigerulus. Pedisequus. Cacalo è il ragazzino o il paggio o servitore di non grande conto, Boc. Tra gli altri un giovane aveva un'alettina da parere il nome era Carlo AR. Ch'egli avesse un Spirito informato da valletto. Due valletti, dove si portavano l'elmo.
Paggio è il nome del valletto. Lat. puer, acerrimos. Forse anche un inesperto Taglio.
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Dans l'exposition des méthodes étudiées jusqu'ici, nous nous sommes constamment bornés à considérer le roulement cylindrique; toutefois, ces méthodes peuvent également être appliquées au cas d'axoïdes non cylindriques. Cette application est facile avec les axoïdes à roulement conique, mais elle devient beaucoup plus laborieuse, quand il s'agit d'axoïdes qui vivent, l'un par rapport à l'autre, ou qui sont doués d'un mouvement de roulement hyperboloïdique (Voy. § 13). Ici les lois de mouvement même les plus simples entraînent de grandes difficultés, aussi bien pour les considérations théoriques que pour l'exécution pratique. C'est à la cinématique appliquée que revient la tâche d'aborder les cas les plus importants et de les analyser aussi complètement qu'il est nécessaire de le faire. D'une manière générale, on doit reconnaître que, parmi les profils d'éléments pour des axoïdes supérieurs, les plus simples, comme ceux des engrenages hyperboloïdes, présentent encore de sérieuses difficultés d'exécution, et c'est là une circonstance de nature à nous faire envisager avec modestie les résultats obtenus jusqu'à présent. Toutefois, nous devons signaler ici les louables progrès qu'ont fait faire à l'application des axoïdes supérieurs l'industrie, relativement récente, des machines à coudre, et la construction des machines agricoles, bien que ces progrès aient été réalisés, pour ainsi dire, d'une manière empirique et sans qu'on se rende bien exactement compte du caractère général des recherches qui les ont amenés ; c'est surtout à la première de ces industries qu'on est redevable du développement donné aux moyens propres à assurer l'exécution rigoureuse de surfaces enveloppes, relativement compliquées.
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Dormeuil Jouée par MM. Guerchet, Chambody, Mmes Brémont, Fernande, Vaudeline. LA MASCOTTE en trois actes de MM. A. Duru et H. Clivaro, musique de M. A. Julien Plypo Laurent XVII Fritellini Rocco Mathéo Cypriano un soldat 2e — 3e — Lettina Fiametta Piccaluga Maugé Chambéry Gerpré Desmonts Guerchot Moureau Durand Fournier mesdames Grisier Montbazon J. Becker Les autres rôles par Mlles J. Brémont, de Moi à, Hanwick, Fernande, Arnarillys, Lambelin, Alice Mithoir, Lureau, Aline, Lilly, Verdy, Cora, Léonide, Duciel, d’Hubert, Devaux, Castella, Marie Ginesty, Pavie, Thiafre, Marietta, Dumas, Camille, Gabrielle, Yung, Julia. Deux représentations, à 2 h. 30 et 8 h. 42 LES DANICHEFF drame en 4 actes de Pierre Newski Wladimir Danicheff Osip Taldé Paul Zakaroff Prince Walanoff Le Pope Linder Nikifor Ivan Docteur Kourefl Cie Danicheff mesdames Princesse Lydia Walanoff Anna Baronne d’Ozen Anfissa Marina Nathalie Mme Germain Une servante Marais Volny P. Reney Angelo Lacroix Léon Noël Cosset Gardel Riva Gaspard Besson Fromentin Automne Malva Davray Merci Rolant Valette Louise Blanche Hymne au 1er acte, chanté par 20 voix d’hommes et 10 d’enfants. 1er acte. Un saisi chez la comtesse. — 2e acte. À Moscou, chez la princesse Walanoff. — 3e acte. L’intérieur d’un isba russe. — 4e acte. Un salon chez la comtesse. 39, Boulevard Bonne-Nouvelle Nouvelle PARIS, maison BUCHATELLIER, la chiromancienne si connue à Paris, 19, rue Molière. Avec une sûreté inouïe, dévoile les mystères les plus cachés de la destinée, par cartes ou lignes de main. — Prix : 90 francs (Chocolat à la carte) Jusqu’à la sortie des Théâtres 39, Boulevard Bonne-Nouvelle, 39. MAISON À BORDEAUX EUX D’HOUBIEMIT Pan de pâte 3> rue Marguerite de La UC FCC Voir énonces UT LA Pièce Deux représentations, à 2 h. 30 et 8 h. 42 LE GRAND MOGOL opéra-bouffe à spectacle en quatre actes de MM. A. Duru et H. Chivot musique de M. Audran. Mignat pour Lamy Joquelet Alexandre Krakson Scipion Nicobar Mesmaker Irma mesdames Thuillier-Leloir Beigaline Gélabert Les autres rôles par MM. Gobereau, Berville, Duchesne, Robillot, Lucien. Mmes Emma, Léonie Charlut, Destrella, Brunei, Carmen, Marguerite, Bucourt, Lauer, Louise, Pauline, Andréa, Degray. Au 2e acte Les Bayadères, divertissement réglé par Mme Mariquita, dansé par Mlles Despiès, Derue, Carlier, Lecerdeley, Dupetit, Vleurinck. Coryphées : Mlles Pomeisle, Vremont, Carré, Robert, Grandville, Marchai, Drué, Stockman, Person, Chevalier, Molinié, Anicette. Au 3e acte Les Jongleurs, ballet réglé par Mme Mariquita Dansé par Mlle Stichel, ex-artiste de l’Opéra PARIS.
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— Lòia. Nenia, Cantilena, Canto lungho monotono e noioso.
— Loia, per Tintinàgo. V.
Lolium perenne. Linn.
Lolìa, come Lolium.
Lolòv, come Minciòv. V.
Lomb. Trefolo, Terni, dei Cordai. Uno di quei capi di cui si compone una corda. Per ordinario tre Trefoli bastano per una corda comune.
Lominà. Nominare.
Lominanza. V. Noma.
Long. Lungo, Contrario di corto.
— Tira di long. Andare a dilungo, Proseguire il cammino. Continuare, Seguitare a fare quello che si sta facendo.
— Tira in long, come Tira da inco a dìman. V. Inco.
— Longo, parlandosi di vino è come dire Dacqua. V.
LÔN
— Andare dietro alla longa. Codiare, Andare dietro a uno senza che se ne accorga.
— Sapere la longa. Anche in Toscana Saperla lunga.
— Alla porta longa. Il più lungo; usato dal Machiavelli.
Lontana, nel modo: Zarcà ad sapere alla lontana. Eccolo tale quale nel Fiorenzuola. «Ti proverebbi di sapere cosi da discosto».
Lorgnette. Voce francese. Occhialino.
Los. Torbidiccio, Inalbato, Alquanto torbido.
Abbacinato si dice del sole quando per nebbia è poco splendente.
Appannato si dice delle cose lucide che s'oscurano per alitarvi sopra, o per sudiciume.
Losco. Guercio, Bircio, Che ha gli occhi torti. Losco vale Miope.
Lolga. V. Equazione.
Lottag. Agg. di gambero. V. Gambero.
— Lottag lottag. Quattro quattro, Cheto cheto.
— Ov lottag. V. Ov.
Lovo. Lupo, Animale sanguinario.
— Ave vist al lupo. Aver visto il lupo, O Essere stato visto dal lupo.
Aver la voce fioca.
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Nello Noti di Anatomia comparata del prof. Panceri, raccolti da Antonio Della Valle [2], trovasi un passo che non
[1] Note di Anat. comp., raccolte dalle lezioni del prof, Panceri, da Antonio Della Valle. Napoli 1879, p. 551.
[2] L. e. p. 858.
EDITORIALE di I CARATTERI (Continua) 193
mi sembra esatto, e nel quale si è detto che nei Gestodii per la disposizione speciale degli organi sessuali « il cirro si ripiega nella vulva vicina, e quindi avviene fecondazione delle uova per opera dello sperma segregato dall'apparecchio genitale maschile di uno stesso segmento; ossia, in altri termini, che ciascun segmento è ermafrodito sufficiente. » Non so se il Panceri abbia fatto positivamente questa osservazione; io ne dubito, e credo piuttosto che il discorso surriferito sia una semplice deduzione fatta a priori. Certamente gli autori che hanno studiato quest'argomento di proposito, affermano il contrario; così il dott. Stieda [1], che ha scritto una delle più belle monografie sul botriocefalo, dice esplicitamente di non aver mai visto ripiegarsi il cirro verso l'apertura vaginale allo scopo della copula. E tale asserzione non è smentita dai professori Sommer e Landois [2] che trattarono il medesimo argomento. L'autofecondazione in molti Gestodii è resa impossibile da un fenomeno di dicogamia, ossia dal fatto che i prodotti sessuali non toccano la maturità allo stesso tempo. Avviene invece che prima maturano gli organi sessuali maschili, e più tardi i femminili [3]. Da ciò segue che una data proglottide non può fecondare sé stessa, ma può invece fecondare le uova di quelle proglottidi che nella forma strohilacea la seguono. Cotali animali, per adoperare due termini già applicati ai vegetali, sarebbero dicogami e prolerandri.
[1] V. Archiv für Anat und Physiol, 1864, p. 191.
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sible à l'arme blanche ; par l'initiation complète, il devient impénétrable aux balles et aux obus des yangkwei tz. Tous les chefs en second ordre ont l'initiation complète, mais notre chef possède des dons extraordinaires de dédoublement et d'ubiquité.
Nous, humbles disciples, devons chercher à atteindre l'initiation complète, afin d'anéantir les étrangers et de ramener les jours bénis ou le Kilinn (r) réapparaîtra, annonçant à tous, entre les quatre mers, le retour de l'harmonie et de la paix.
Ces charmes ont été notés par Ho Tching Ki dans sa maison de Kaï Fong, impasse des Cent un petits fils. Pur d'intention, il l'a fait en un jour favorable, le 23e de la 40e lune de la 260e année de « Kwang Su » (20 mai 1900), avec une crainte respectueuse et en tremblant.
TABLE
Pages.
PLAN III
AVANT-PROPOS. VII
CHAPITRE I. — OPINIONS D'UN LETTRÉ ÉCLAIRÉ, 1 à 4
PREMIÈRE PARTIE. — Griefs des Chinois. 3 à 112 Tsenn Teliow sur le Yuenn 3 Mon ami Wenn Tchao lann 14 Griefs des bateliers, des maîtres de jonques, des brouettiers, des charretiers, des ouvriers filant et tissant le coton, etc 19 à 29 Les privilèges accordés aux commerçants européens pèsent les petits artisans et les mandarins (exemption de « likinn »). 30 La question de l'opium 30 à 36 Griefs contre les représentants de syndicats 37 Le progrès de la Chine par les Chinois 37 à 42
CHAPITRE I. — OPINIONS D'UN LETTRÉ ÉCLAIRÉ (suite) : PREMIÈRE PARTIE. — Griefs des Chinois (suite) Pages.
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Au point de vue religieux, la tradition est l’affirmation de l'autorité de Dieu. Au point de vue politique, la reconnaissance du principe divin de l’autorité humaine. Elle est donc religieuse et politique, et nous combattrions en vain pour le triomphe de la religion si nous ne travaillions pas en même temps à assurer son maintien. Une vérité incomplète ne relève pas une société, mais une vérité confirmée par le temps, entièrement proclamée, peut la rétablir. Dieu, en créant l'homme, lui a donné la liberté de se mouvoir partout. La société politique a ses lois aussi bien que la société démystique et la société religieuse. Ce n’est pas impunément qu’on viole ces lois. Léonce de la Ralliance "L'Espérance du peuple" publie le texte d’une lettre adressée au nom de M. le comte de Chambord, à M. de Moulins, et lue par ce dernier à la réunion d’Auray ; À M. le comte Alexandre de Monti. Le roi, sans attendre le récit de la grande fête annuelle, tient à ce que ses amis sachent, dès leur arrivée à Sainte-Aune d’Auray, qu’il est au milieu d’eux par la pensée et par le cœur ; il les remercie chaleureusement de leurs vœux, de leurs prières, de leurs souhaits et de leur indomptable fidélité. CHRONIQUE Le moral de l'armateur paraît tiré un sens contraire de sa politique en Orient. Jeudi soir, les bruits les plus pacifiques couraient, et le langage terni par M. Turquet à Evian les continuait ; on allait même jusqu’à dire que la France rappelait son escadre. Le Temps, hier soir, et l'Agence Havas ont démontré ces espérances. — Quelques efforts qu’a fait M. Gambetta pour échapper à la responsabilité du pouvoir, il n’a pu y réussir. La Vérité explique ce matin que l'omnipotence du président de la Chambre empêchant tout gouvernement régulier, c’est contre M. Gambetta que les radicaux clairvoyants deviennent le couteau toute la suture ; et, pour encourager le parti républicain à cette campagne, la Vérité fait remarquer, ce qui est vrai, que, menacé, M. Gambetta finit toujours par céder. — M. Jules Ferry, président du conseil et ministre de l'instruction publique, pour bientôt publier une circulaire importante et assez étendue relativement à l'enseignement supérieur.
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Il ne faut pas s'en étonner. Par qui nos filles, nos femmes sont-elles élevées ? Il faut le répéter encore : par nos ennemis, par les ennemis de la Révolution et de l'avenir. Ne vous récriez pas ici, ne me citez pas tel de vos sermons. Que m'importe que vous fassiez en chaire telle parade démocratique, si par dessous, par derrière, vos petits livres qui filent par milliers et par millions, votre enseignement qui se cache mal, votre confessionnal dont l'esprit transpire, nous montrent ce que vous êtes : les ennemis de la liberté. Sujets d'un prince étranger, qui reniez l'Église française, que parlez-vous de la France ?
SIX CENT VINGT MILLE. Elles sont élevées par des religieuses, sous la direction des prêtres. Ces filles seront bientôt des femmes, des mères qui livreront aux prêtres, autant qu'elles pourront, leurs filles et leurs fils. La mère a déjà réussi pour sa fille. C'est elle qui par une obsession persévérante a vaincu les répugnances du père. Un homme qui tous les soirs, après l'agitation des affaires et la guerre du monde, trouve encore la guerre chez lui, peut bien résister quelque temps, mais il faut qu'il cède. Autrement, il n'aura trêve ni cesse, repos ni refuge. La maison est inhabitable. La femme, n'ayant à attendre que rigueur au confessionnal tant qu'elle n'a pas réussi, vous fera chaque jour, chaque heure, la guerre qu'on lui fait, une guerre douce peut-être, doucement aigre, doucement implacable et acharnée. Murmure au coin du feu, tristesse à table, n'ouvrant la bouche souvent pour parler ni pour manger; puis au coucher, l'inévitable répétition de la leçon qu'elle a apprise, et jusque sur l'oreiller. Le même son d'une même cloche, toujours et toujours. Qui y tiendrait ? Que faire ? Céder ou devenir fou ?
Si l'homme était tellement ferme, obstiné, persévérant qu'il résistât à cette épreuve, la femme peut-être ne résisterait pas. Comment la voir si malheureuse, languissante, inquiète, malade ? Elle maigrit visiblement. J'aime encore mieux sauver ma femme. Voilà ce que dit l'homme s'il n'est vaincu par sa femme, il l'est par son cœur. Le fils quitte le lendemain l'école pour l'école chrétienne, le collège pour le petit séminaire.
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Allons-nous bon! voilà que j’emprunte M. Pisson, à présent. Mais pourquoi ce titre aussi?... Bref, M. Marcel Benet a eu une excellente idée en montant cette corniche. C’est un acte de décentralisation qui l’honore et qui encouragera certainement notre concitoyen à produire de nouvelles œuvres. M. Pisson peut écrire quelque chose de plus sérieux car il y a du bon dans sa première comédie : il me convient de l’en louer. H.
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snr les transcrivences extraites de cette bureaur et sur les substances réductrices du reactif de Fehling, notamment le lactose, qu'elles contiennent. No. 35. Derselbe, Considerations physiologiques sur les globules et les myomycètes laitiers de Bretagne. Ibid. No. 34. Die den eigentlichen Sandpunkt des Verf. in bezeichnenden Mitteilungen anschaulich sich auszulegen, nicht wohl wiedergeben. Walther, F., Über die Theorie der Blutgerinnung. Pflüger's Arch. Bd. 48, S. 529. Coaraco, O., Über die Erzeugung der Kuh- und Frauenmilch und ihre Beschaffenheit bei Beeinflussung des Caseins und der Phosphatre. Ebendort. Bd. L, S. 109. Auch Dissertation. Breslau. Halliburton, Report on the Proteids of milk. Univ. Journ. p. 111. (Seinem ursprünglichen Inhalt nach bereits im Banccht für 1890, S. 154 wiedergegeben. Ref.) Ldi, R., Sur an moyen de reconnaître la normale nulle anormal. Comp. lead. GAZL No. 18.
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3. F. POLYDESMIDES. Pas d'ocelles; 30 paires de pattes (3 31 Q. 1. Polydesmus. 1. G. POLYDESMUS Latreille. Corps plus robuste, offrant en dessus des rangées de tubercules aplatis et pointus de soies ; expansions latérales des segments à angles postérieurs aigus et à marge offrant quatre dents; coloration brunâtre; long. : 18-28 mm. P. complanatus. Corps plus grêle, offrant en dessus des rangées de tubercules assez pointus entremêlés de soies; expansions latérales des segments à angles postérieurs aigus et à marge denticulée; coloration brunâtre; long. : 10-16 mm. P. denticulatus. 1. P. complanatus Linn. — Sous les pierres, sous les écorces et dans la mousse, C. 2. P. denticulatus C. Koch. — Comme le précédent, AC. 4. F. CHORDEUMIDES. Six tubercules disposés en série transversale et terminés par une soie sur chaque segment en dessus. 1. Craspoda soma. Dessus du corps presque lisse et dépourvu de soies, surtout en avant. 2. Chordeuma. 1. G. CRASPEDOSOMA Leach. Corps assez robuste, d’un brun foncé, varié de clairet offrant deux ou quatre rangées dorsales de taches jaunâtres ; 25-28 ocelles de chaque côté; long. : 14-16 mm. C. ramulosis. 1. C. ramulosis Leach. — Forêts, dans la mousse, AR. 2. G. CHORDEUMA C. Koch. Corps moins grêle, d’un brun jaunâtre, varié de clair sur les côtés ; 27-28 ocelles disposés en six ou sept rangées longitudinales de chaque côté; long. : 14-18 mm. C. silvestre. Corps plus grêle, jaunâtre ; 14-17 ocelles disposés en trois ou quatre rangées longitudinales de chaque côté ; long. : 9-10 mm. C. gallicum. 1. C. silvestre C. Koch. — Bois, dans la mousse et sous les pierres, AR. 2. C. gallicum Latreille. — Comme le précédent, AR.
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No. 67 leaves Moscow at 11:50 a.m.
No. 69 leaves Moscow at 3:35 p.m.
From Spokane:
No. 64 arrives at Moscow at 11:35 a.m.
No. 66 arrives at Moscow at 7:10 p.m.
Connections
Direct connections at Spokane for all points east and west on Great Northern and Northern Pacific Rys.
No. 65 connects at Palouse with W., I. & M. at Palouse for all points.
No. 71 connects at Palouse with W., I. & M. for Potlatch.
GEO. S. RICHARDSON, Agent
AV. I. & M. (At Palouse)
Daily except Sunday.
No. 1 Arrives from Potlatch at 10:40 a.m.
No. 3 Arrives from Bovill at 3:46 p.m., Sunday only.
No. 1 Arrives from Potlatch at 10:40 a.m.
Daily except Sunday.
No. 2 Leaves for Bovill
No. 4 Leaves for Potlatch
Sunday only.
No. 2 leaves for Potlatch at 12:35 p.m.
11:15 a.m.
4:25 p.m.
W. G. Barge Auctioneer
SELLS ANYTHING, ANYWHERE. FARM
Sales a specialty. Have had over 30 years experience, terms reasonable, and satisfaction guaranteed. Have me draw your bill up for you.
You can phone in your order for Butter Wrappers and receive them next day by mail. Try it, Mr. Dairyman.
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LE MONITEUR UNIVERSEL. N° 254. DIMANCHE, 22 DÉCEMBRE 1850. PARTIE OFFICIELLE. RAPPORT AU ROI. Sire, Le conseil-d’état, dont Votre Majesté a confié la présidence, peut être envisagé sous deux points de vue : Comme conseil du Gouvernement, Comme juridiction. En tant que conseil du Gouvernement, son existence n’a jamais été attaquée ; on en reconnaît l'utilité : mais c’est une grande question de savoir si le conseil-d'état doit entrer, comme juridiction, dans notre ordre constitutionnel ; supposant cette question résolue par l'affirmative, ce serait une autre question, non moins grave, de savoir comment cette juridiction doit être réglée, et quelles garanties elle doit offrir aux citoyens. J’ai l’honneur de proposer à Votre Majesté de soumettre ces deux questions à l’examen d’une commission spéciale, qui serait chargée de préparer un projet de loi sur ce sujet important. L’organisation du conseil-d’état, comme conseil du Gouvernement, a été réglée par diverses ordonnances, et dernièrement par celle du 5 novembre 1828 : cette organisation semble défectueuse à plusieurs égards; la même commission s’occuperait des réformes qu’exigent l'intérêt public et le bien du service. Mais, en attendant, la reprise immédiate des travaux du conseil-d’état est indispensable. D’une part, le cours de la justice ne saurait être interrompu ; les dossiers des affaires contentieuses s’accumulent et encombrent les bureaux ; les avocats se plaignent ; les parties demandent jugement ; il n’est pas plus possible de suspendre l’action du comité du contentieux que celle de tout autre tribunal. Le conseil-d’état expédie à lui seul plus d'affaires que la cour de cassation et la cour royale de Paris prises ensemble. D’une autre part, il n’est pas moins urgent que les comités du conseil-d’état attachés aux différents ministères soient remis sur pied à la disposition des ministres. Ces comités économisent par leur travail une division dans chaque ministère; ils préparent les règlements d’administration publique et les ordonnances royales sur les concessions de mines, les tontines, les assurances, les desserchements de marais, les Sociétés anonymes, les legs et donations, les plans d’alignement, les établissements d'usines, chemins, ponts et canaux, les règlements sur les cours d’eau, les budgets des communes, les transactions, les échanges, les autorisations des manufactures insalubres, et une foule de matières analogues.
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Lorsque les États de Bretagne protestent contre l’arrêt du Conseil d’octobre 1780, qui les prive du droit antique de choisir leurs députés, l’intendant Bertrand de Molleville se range résolument de leur côté et dans le mémoire qu’il adresse à ce sujet au Contrôle général, il juge la mesure prise injuste et inhabile et déclare, à propos de la protestation des États, qu’il est impossible ne n’être pas convaincu de l’extrême justice de leurs réclamations. Le même intendant, quelques années plus tard, en 1788, se plaint au ministre d’une mesure prise au nom du roi contre le parlement de Bretagne, sans qu’on ait attendu la session des États, dont le consentement pour Bertrand de Molleville il est Calonne, 21 décembre 1785, se plaint que les États « asservissent tout, veulent tout gouverner, tout administrer » (Arch. nat., H. 591). Le syndic du Clergé aux États du pays de Gex réclame contre le despotisme de l’intendant Feydeau de Brou (Arch. nat., H., 202, 3.) Cf. Inventaire des Archives de l’Ain, C. 100. Les Syndics des trois Ordres du pays de Bresse formulent leurs griefs contre le subdélégué Périer, 28 août 1777 (Arch. de l'Ain, C. 894). Archives des Côtes-du-Nord, C. 162. Arch. nat., H. 643.
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Such was baptism in the primitive Church. So far
as water — and, later on, holy oil — entered into the
rite, it was analogous to the magical purificatory rites
of other religions ; but, in other respects, it was the
expression of a lofty ideal, and in profound contrast
with the later travesty of itself known as child-
baptism. In the early Church the baptised formed,
as it were, an aristocracy of picked individuals, who
had voluntarily renounced the world and, like the
sages in the Platonic Republic, dedicated themselves
to the higher life. The professional clergy could not,
under such conditions, stand out in relief against the
laity as they did later on. The beginnings of clerical
orders are obscure ; but it would seem as if, at the
first, priestly ordination, which was by laying on of
hands, was no other than that rite of sealing with the
spirit which constitutes the second half of the baptismal
rite. The idea of one man transmitting to others a
special spiritual virtue through his finger-tips laid on
their heads is common to many primitive religions ;
and the belief which underlies Christian confirmation
and ordination meets us in other religions. In the old
Hebrew religion of sacrifice an animal was devoted by
the priest laying his hands on its head before its life-
blood was shed on the altar. More than one idea
was at work in such imposition of hands. The sins
of the people might be translated or transferred to
the victim, which would then, like the scapegoat, be
turned adrift in the desert, or sold to the nation's
enemies. Or, instead of sin, it might be a spirit of
wisdom or holiness which was so communicated.
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Tout en prenant ma défense, M. Meunier m'assura que j'avais « fait une gaffe » ! Je devais, hélas ! jouant de malheur, — en faire toute une série. — C'est ainsi, par exemple, que, le 40 juillet, — 150 amené par hasard dans les environs du Palais de Justice, où se jugeait l'affaire des détournements du clerc de M. Guillo-Lohan, notaire, je montai à la Cour d'Assises. M. Drouard, qui occupait le siège du ministère public, répondait à ce moment à M. Rioche, avocat de l'accusé. Le langage et l'attitude du magistrat me parurent également déplacés et, le lendemain, en rendant compte des débats, je le dis en termes très nets. Constatant la violence qu'il avait montrée vis-à-vis de la personne même du défenseur, je rappelai à M. Drouard que « quand il requiert justice au nom de la société, un procureur à tout gagner en restant dans le calme, dans la dignité de la loi. » Et j'ajoutais qu'il ne fallait pas que les solennels débats de nos assises devinssent des joutes d'esprit et surtout des « disputes ».
Il n'y avait, certes, rien en ceci dont un magistrat « sérieux » pût s'indigner. Mais j'avais compté sans l'incommensurable orgueil du jeune M. Drouard. Parce qu'il s'est fait ce qu'il est, (dit-il), il se figure être un phénix ! Nul autant que lui, dans les parquets de France, n'a l'érudition de l'éloquence, la haute science et le beau langage, l'autorité et la séduction. Et moi, humble folliculaire, j'osais trouver quelque chose d'imparfait dans cette « divinité » résumant en elle la trinité de Solon, de Démosthène et d'Adonis !
Tant d'audace appelait un châtiment ; je ne l'attendis pas longtemps.
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But when the cub made a mistake in the spelling of the name, it did make a difference in that he suffered the consequences of that error. It is human to err; but it also is human to condemn one who has erred. The man who sought a capable person with a name had a reason. He desired an individual who had a good name. A good name is more to be desired than wealth, says the Book. And when a man is wanted for a valuable work, such a name is desired above all else. What attaches this value to a good name? Why is a good name good? It is because a reputation for truth, honesty, fairness, and generosity of spirit is attained because the individual possesses fundamental character. It signifies that he has those traits that make him worth while to himself, his family, community, state, and nation. A good name is more precious than thief. A good name will get one farther along in the world than any other characteristic. A poor man who possesses a good name is trusted by everybody. All know his word is unimpeachable. The young man who has a good name will get opportunities that have refused to knock at the door of those whom are not favored with good names. Let one show himself to be honest and ambitious and things will come his way. A person must be more than the proud possessor of a good name.
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28
Theopliilus, and the Horite Manahath, who ruled either at Zoan
or Mendes over the Mendesian nome. ^^ To the Rev. W. B. Galloway
is due the credit of fiaiding the name Asshur in that of Busiris.^®
Busiris is found in many classical authors. Diodorus gives eight of
that name, the last of whom he makes the founder of Thebes.^^ He
is also the Yexoria of Justin,^® and the Aiskus of Bar Hebrs&us, who
is plainly the head of the shepherds, since he is followed by Susunus,
Tricus, Satis and Aj)aphus '* Manetho must of necessity mention
this early monarch of the land whose dynasties he has recorded at
such length. We find his name accordingly, although I believe that
here it denotes his son Ahashtari or Sesostris, in the Sesochris who
appears eighth in the second dynasty. A similar form, designating
probably his great grandson Asareel, is Mesochris of the third. It is,
however, in the Usercheres of the fifth dynasty that we discover the
name of the ancient Hercules, and him Lepsius has found at Gizeh-^
He is the first, the ancestor, of the so-called Besortasens, the latter
part of the word being perhaps a form of Tekoa, like the tiyCLoh
of Shagarak, king of Assyria, and the tasi of the Arabs. Thus
TJsecheres (for this is the true form of the name) is no mythical
character, but probably a sovereign, at all events the ancestor or
father of several sovereigns in Lower E^pt. Osburn errs -in
supposing that he is Sesostris, but the error is not great, inasmuch
as he is the father of Sesostris, who, if Osirtasen III., has left traces
at Dashour, a most fitting place, since it commemorates his father^s
name. Not only is he associated' with Sesostris or Achashtari, and,
as we have seen, with Temeni or Timan-hor, but as Usercheres of
the fifth Manethonian dynasty, he precedes Sephres or Hepher, and
at Gizeh appears with Aseskef or Achuzam. Gizeh, which is a
corruption or abbreviation of the name of his eldest son by Naarah,
and Saccarah, a form of his own, are the regions in w^hich mention
is specially made of him. He is spoken of as a highly distinguished
monarch and the erecter of a pyramid. It is also worthy of note, as
1* Ad Autolycum, ii. 31.
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D’Ormilly ne songeait nullement à une évasion. Résigné, il avait accepté la peine qu'il avait méritée, il avait accepté la honte et l'infamante captivité sous la casaque de forçat qui était à ses yeux le prix du bonheur de Marthe et d’Arlette. Il les voyait toutes deux, dans les suaves visions de ses nuits, et il était témoin par la pensée du bonheur qu’il croyait leur avoir assuré. Jamais il n’avait eu de leurs nouvelles et il ne s’en plaignait pas, car il n’aurait pas voulu leur infliger la douloureuse ignominie d’écrire son nom, accolé à l'épithète de condamné au bagne de Cayenne. Il ne voulait pas non plus revenir à elles, aller troubler par sa présence la félicité dont sa femme et sa fille adorées devaient joyir loin de lui. Non, il ne songeait pas à s’évader. Il comptait, l’infortuné, mourir au bagne, y finir ignoré de son existence ami-du-toit, de sorte que, soit le locataire, soit les personnes qui venaient chez lui, étaient constamment maculés par les déjections de ces oiseaux.
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Another march down the field, with Harley doing most of the marching, ended in another town. The final Ohio score came in a result of a fumble, and was scored by Captain Soil, enrolling. Virginia-Carolina tobacco pays no duty, all the value is in the cigarette. That's exactly where the value belongs—in the cigarette. You can't smoke duty, you know. Piedmonts are made of the highest grade of Virginia Carolina tobacco. Golden in color and as mellow as Dixie's sun. You know what tobacco experts say—they say that Virginia-Carolina is the best cigarette tobacco in the world. "A package of Piedmonts, please," "Che Cigarette of Quality." N.Y.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A.A
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"He had written," says Bancroft of Hutch-
inson, " against every part of the Constitution,
the elective character of the Council, the
annual choice of the Assembly, the New
England organization of the towns ; had
advised and solicited the total dependence
of the judiciary on the Crown, had hinted at
making the experiment of declaring Martial
Law, and of abrogating English liberty; had
86 The Siege of Boston
advised to the restraint of the commerce of
Boston and the exclusion of the Province
from the fisheries." 1 Hutchinson's defence
was that he "had never wrote any public
or private letter that tends to subvert the
Constitution." But he was thinking of the
Constitution rather than the Charter. The
province was thoroughly roused, and sent to
England a firm yet respectful petition de-
manding his dismissal.
But Hutchinson had been serving the
king as the king wished to be served. The
wrath of the government fell upon Franklin.
In a crowded meeting of the Privy Council,
with scant respect for the forms of law,
Franklin was subjected to elaborate abuse.
There were none to defend him who could
gain a respectful hearing ; he stood immovable
under the tongue-lashing of the Solicitor-
General, and made no reply. " I have never,"
he said afterwards, "been so sensible of the
power of a good conscience, for if I had not
considered the thing for which I have been
1 Bancroft, vi, 461, 462.
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Für je 2400 % eingereichte Vorzugsaktien und zwar für zwei Stücke zu je 1200 % und für vier Stücke zu je 600 % wird ein Stück zu 1200 % mit Dividendenchein pro 1914/1915, folgenden und Erneuerungschein mit dem Stempelaufdruck: „Vollwertig geblieben gemäß dem Beschluss der außerordentlichen Generalversammlung vom 24. März 1915 und einer neuen Nummer dem Einreicher zurückgegeben, während die anderen Stücke einbehalt werden. Für Vorzugsaktien, welche in der festgesetzten Frist überhaupt nicht oder nicht den Vorschriften entsprechend eingereicht werden, treten die Bestimmungen des § 290 des HGB in Kraft. Auf Grund dieses Beschlusses fordern wir die Besitzer von Vorzugsaktien unserer Gesellschaft unter Androhung der Kraftloserklärung der nicht fristgemäß und vor-schriftengemäß eingereichter Vorzugsaktien auf, ihre Vorzugsaktien mit Dividendencheinen pro 1914/1915, folgenden und Erneuerungscheinen von heute ab bis zum 10. Juli 1915 bei der Deutschen Bank in Berlin, bei dem Bankhaus Oscar Heimann & Co. in Berlin, bei der Bergisch Märkiischen Bank, Filiale der Deutschen Bank in Elberfeld, bei der Siegener Bank für Handel und Gewerbe in Siegen, bei dem Bankhaus A. Levy in Köln a. Rh. zwecks Zusammenlegung einzureichen. Formulare zur Einreichung sind bei den Einlieferungsstellen erhältlich. Unter Hinweis auf obigen Beschluss fordern wir die Gläubiger unserer Gesellschaft gemäß § 289 des HGB auf, ihre Ansprüche anzumelden. Solingen, den 3. April 1915. Der Vorstand. 18165) Terraingesellschaft am Neuen Völantischen Garten Aktiengesellschaft. Die Aktionäre unserer Gesellschaft werden hierdurch zu der am Sonnabend, den 29. Mai 1915, Vormittags 11 Uhr, im Sitzungssaal der Nationalbank für Deutschland, Behrensstraße 68/69, stattfindenden zwölften ordentlichen Generalversammlung eingeladen. Tagesordnung: 1) Vorlage der Bilanz, des Gewinn- und Verlustkontos und des Geschäftsbereichts für das Geschäftsjahr 1914. 2) Beschlussfassung über Genehmigung der Bilanz sowie über die Erteilung der Entlastung an den Vorstand und den Aufsichtsrat. 3) Wahl zum Aufsichtsrat. Diejenigen Aktionäre, welche an der Generalversammlung teilnehmen möchten, haben ihre Aktien nebst doppeltem Namensverzeichnis spätestens am Dienstag, den 25. Mai 1915, in den üblichen Geschäftsstunden bei der Nationalbank für Deutschland, Berlin, Behrensstraße 68/69, oder bei den Bankhäusern Emil Ebeling, Behrensstraße 31, und Gig. & Co., Jägerstraße 9, zu hinterlegen. An Stelle der Aktien selbst können auch Depotscheine der Reichsbank oder eines deutschen Notars nach näherer Maßgabe des § 23 des Gesellschaftsvertrags hinterlegt werden. Berlin, den 1. Mai 1915. Terraingesellschaft am Neuen Völantischen Garten Aktiengesellschaft. Hentschke.
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Eh bien! tu seras content de moi, dit le prince; et marchant résolument vers Jeanne : Ah! belle dame ma foi, lui dit-il d'un ton dégagé, on m'assure que votre pâle incarnat s'animera, et que vos prunelles prendront le bleu du ciel: la sainte Vierge en soit bénie; mais vrai Dieu! vous êtes déjà assez gentille pour valoir la peine d'épouser un demi-royaume, tout en gagnant les levresses blanches d'Angers et la meute de Bar-le-Duc.
Soyez le bien-venu, vous qui avez ouvert ma prison, et qui chassez les fantômes, répondit la jeune fille. Emmenez-moi loin d'ici; je ne veux plus sentir la terreur, je n'aurai plus de vilaines visions dans la nuit.
C'est le but de mon voyage, belle comtesse... J'en ai assez déjà de votre pays, où le soleil rôtit, où la poussière suffoque..
Ah! noble fiancée, ajouta Beaujeu, suivez-nous à Paris; un parterre embaumé sera votre chambre nuptiale; votre alcôve, peuplée des plus gentils oiseaux de nos forêts, retentira constamment de leurs concerts; votre costume sera renouvelé chaque matin comme celui des images de la Vierge les plus vénérées.
Partons, répondit Jeanne avec impatience; emmenez-moi vers le pays des oiseaux et des roses. Puis elle reprenait tout bas : Pourquoi ne puis-je emporter ma mère et Gaston sur mon cheval, comme je les emporte dans mon cœur ?
Elle tendit sa petite main toute tremblante au prince, qui la prit dans la sienne et l'embrassa. Des vivats enthousiastes éclatèrent sur toute la ligne; le mariage approchait de sa conclusion... Toutefois, les courtisans se pressèrent de séparer les deux jeunes fiancés, pour les conduire dans les appartements du château et la faire reposer le prince des fatigues du voyage.
J'ai été complaisant et sage, dit Alphonse.
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Sie trug eine Gehirnerschütterung davon und wurde in das Katharinenhospital überführt. — In der Cannstatterstraße wurde ein 5 Jahre altes Kind von einem Personenkraftwagen zu Boden gefahren. Es erlitt einen schweren Schädel-bruch, der seine Aufnahme in das Karl-Olga-Krankenhaus erforderlich machte. — In der Forststraße wurde ein 4 Jahre altes Mädchen von einem Personenkraftwagen erfasst und zu Boden geworfen. Das Kind zog sich erhebliche Verletzungen zu und musste in das Kinderhospital ausgenommen werden. Stuttgart, 6. Sept. (Anschrift für Briefe nach Stuttgart.) Wegen der in diesen Tagen stattfindenden Umstellung des Briefverteilungsgeschäfts im Zustellbereich des Postamts I in Stuttgart nach Himmelsrichtungen empfiehlt es Freitag, den 9. Oktober 1914: Nun wird es doch ernst, ein größerer Reifendruck soll unsere Knochen auf die Probe stellen. In 2½ stündigem Marsch erreichen wir Hirbashofen drüben im Bayerischen. Nach kurzer Rast wird Feldpostendienst geübt. Ich komme auf Feldwache in der Nähe eines größeren Hofes, von dem aus wir in bester Weise verpflegt wurden, sodass wir nichts dagegen gehabt hätten, wenn - der Gegner heute auf den Angriff verzichtet hätte. Allein seine Patrouillen machten bald das Vorfeld unsicher und die Schießerei wollte kein Ende nehmen; wir waren auf der Hut und es gelang dem aus Richtung Holzheim angreifenden Gegner nicht, unsere Stellung auszukundschaften, sodass sein Hauptstoß, als um 12 Uhr das Gefecht auf der ganzen Linie in Gang kam, eigentlich nur unseren linken Flügel traf und ins Leere ging. Dadurch kam der Gegner, der nun von 2 Zügen unserer Kompagnie von der Flanke gefasst wurde, in eine brenzliche Situation. Das Gefecht wurde abgeblasen und nun kam der Marschstiefel wieder zu feinem Recht, lieber Hausen, vor, bei am Ludwigsfeld, marschieren wir um 3 Uhr wieder in den Kasernenhof ein. Nach einstündiger Bettruhe wird Feldmarsch mit Appell durch den Hauptmann abgehalten. Wir erfahren nun auch, daß wir am Montag ins Feld kommen. Wir freuen uns über diese Nachricht, aber die Begeisterung der ersten Mobilmachungstage ist verflogen, manche sind besonnen geworden. Ich zähle mich allerdings nicht zu den Letzteren. Unbekümmert um das, was kommen mag, lebe ich ganz dem Heute, das Wort „Sorge" existiert in meinem Wörterbuch nicht. Samstag, den 10. Oktober 1914: Der Tag ist der Ausrüstung gewidmet und ein Appell löst den anderen ab. Eine gewissenhafte Sorge für jeden Einzelnen lastet auf der Mutter der Kompagnie, aber es kommt alles in Ordnung. Nur keine Aufregung.
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Lamisti e indovinano le loro preghiere per vivere a lungo. Questo Principe Mongolo aveva sposato una parente dell'Imperatore Yung-Tsing, questa la signoria godeva del rispetto di dare un Khutukhtu. Dalla parte del Lama, o decano dei Lama, nipote del Vari-Dulisciii. Quando il Khutukhtu uscì dalla gioia, i Lama intonarono inni in suo onore al suono degli strumenti; i signori ed il popolo s'inchinarono profondamente alzando le mani verso il cielo. Il corteggio del Khutukhtu si avanzò a lento passo verso il tempio: la sorella del defunto l'aveva, anche dal nuovo suo soggetto, lo seguiva in una lettiga. Venivano poi il più vecchio Lama, Nonni-Khan, spedito dal Dalai Lama, e l'Amhan Cinese, tutti i Lama, il Vano e gli altri Mongoli più ragguardevoli, ed il popolo dai due lati. L'interno della piazza formava dinanzi al tempio rinchiudeva sei jurte, le cui sommità erano ornate di punte dorate dalle quali pendevano ricche stoffe di vari colori. Il corteggio giunto alla barriera si fermò: i Lama più vicini al Khutukhtu lo levero dal suo cavallo con dimostrazioni di profondissima venerazione e l'introdussero nel ricinto per la porta del sud. Dopo avervi dimorato per una mezz'ora, i Lama più attempati lo condussero per la mano al tempio, ove entrarono parimenti sua sorella e tutte le dignità. L'inviato del Dalai-Lama e le persone del suo seguito lo fecero sedere su di un trono, e poi l'Amban annunziò al popolo l'ordine dell'Imperatore di rendere al Khutukhtu gli onori dovuti al suo grado. Khonldiò o campanelle d'argento dei Lama nelle cerimonie religiose.
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Dalton, Estate in.
Dalton, John.
Dalton, John ; and Hodgson, Albert.
Dalton, Robert.
Daniell, Robert.
Dashwood, Sir Samuel.
Debentures upon forfeited estates.
Derwentwater, Earl of.
Derwentwater, Earl of; and Widdrington, Lord William.
Derwentwater, Dowager Countess of.
Dicconson, Edward.
Dicconson, John.
Dicconson, Richard.
Dicconson, Roger.
Dicconson, William.
Diggles, John.
Dogheda, James.
Doyley, Sir John.
Drummond estate.
Dunn, Mr.
Durham, county.
Durham, Toby, Bishop of.
Duckett, Jennett, of Winder, county of Lancaster.
Eccles Church.
Eccles Tithes.
Eccleston Hall, Prescot, in the county of Lancaster.
Edmundson, Richard.
EUecker, John.
Elstob, Lewis.
Errington, Lancelot, of East Denston, in the county of Nor-
thumberland.
Errington, Thomas.
Errington, Thomas ; and John Hall.
Estates forfeited. See Commissioners of Forfeited Estates.
Exeter College, Oxford.
Fishwick Hall, in county of Lancaster.
Fleet Street.
Fletcher, Sir Henry, in the Forest in county of Cumberland.
Fletcher, Thomas ; and Wyld, Sir William.
Foot, Mr.
Forster or Foster, Thomas.
Forster's or Foster's Estate.
Forster, Mr.
Fox, Sir Stephen.
Further House (lands so called).
Gardiner, Thomas.
Garforth, William.
Gartside, James.
Gee, Thomas.
Gerard, Joseph.
Gerrard, Lord, of Bromley.
Gibson, George.
Gomeldon, Elizabeth (widow of William Gomeldon).
Gomeldon, Thomas, of Someriield Court, Kent.
Granville, Colonel.
Greenalgle, William.
Gregson, John.
Grey, Charles.
FORFEITED ESTATES. 385
Hall, Jolin.
Hawley, Lord Francis, and others.
Haydock, William, of Cotton, in county of Lancaster.
Henwick Tithes.
Herds and Cravens, in manor of Twileston, Yorkshire.
Hesketh, Gabriel.
Hesketh, Gabriel, and Cuthbcrt.
Higher Shuttlings Fields.
High Treason, Lists of Persons attainted for.
Hitchmough, Richard.
Hodgson or Hodshon, Albert.
Hodgson or Hodshon, Mr.
Hodgson or Hodshon, Philip.
Hodgson or Hodshon, William.
Howard, Honourable Henry, brother to the Duke of Norfolk.
Ireland.
Jamaica Royal Mines.
Jay and Eutt, Messrs.
Jeffrey's Grove, Lead Mines in county of Durham.
Jenkinson, E., of Evyresdale, in county of Lancaster.
Jessemond Colliery. See Hodgson.
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les abus caractéristiques du marché noir prenant maintenant en 1918, entre le régime d'Allemagne aux ministres des Affaires transports et du ravitaillement, et les arrêtés municipaux instituant les communes du département ; le mal n'est pas l'ennemi, monde entier, démesuré et charpente, n'est pas la couverture saluant les spectateurs en mémoire et aux familles, nos sincères sentiments de condoléances. Œuvre des Prisonniers de guerre En une heure la côte 30 était à nous, le régiment avait franchi sa première obstacle, par ailleurs, il nous est difficile d’admettre la thèse dont un communiqué de la préfecture plus dans les journaux de ce jour, 17 octobre. À l’heure actuelle et au demain de la voie, il ne peut être ainsi expliqué, le commerce étant libre, appartenant qu’aux intéressés se pourvoir eux-mêmes par les achats directs au commerce, et au prévôté, comme le dit le simple fait que nous avons un ministre de ravitaillement indique de la part de l’Etat la volonté bien arrêtée de veiller aux approvisionnements. Depuis trois ans, l'Etat, de façon diverse, en particulier par les réquisitions et les taxations, a montré qu'il n'est pas totalement désintéressé par le sort des populations et leur nourriture. Et voici que maintenant le fonctionnaire représentant l’Etat dans le département du Doubs répond aux doléances des communes et des citoyens en les invitant à se débrouiller tout seul ! Il y a là, nous semble-t-il, une contradiction flagrante. Les comptes définitifs des services de l'Etat géométrique et industriel. — Construction géométrique et applications. — Etude des figures. — Exécution de croquis et de dessins appliqués aux diverses brancards de l’industrie : à l'antique, menuiserie, charpente, menuiserie et ébénisterie, à l'horlogerie et à la livraison seront fait. Arrêté : milice première. — À partir du 1er octobre 1918 : une course reptile vers le but. La baïonnette sur les dents de la critique, ce serait souverainement in juste de le condamner avant de savoir avec précision si c'est un commerce ou une intelligence avec l’ennemi, comme la demande instamment la conscience nationale.
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Beide Linien laufen unweit der Ecke des Schüngels Gartens zusammen, und die Fußgänger wie auch leichtere Genres werden dort von der Hauptstraße abbiegen; man liebt ein Mal die Richtwege, selbst wenn sie nur scheinbar näher sind. Bis zu der Biegung des Weges ist derselbe eine der Straßen, welche nach dem Bauplan feststehen. Sobald nun zwei oder drei Häuser dort entstanden sind, muss die Stadt den Weg zu einer ordentlichen Straße erbreiten und herstellen. Diese Kosten wären freilich erspart gewesen, wenn die Bahnhofsstraße die Richtung genommen hätte. Die Zeit, wo jene Straße sich bilden anfängt, kann nicht fern sein; denn der Baulustige, seinen Vorteil erkennt, muss sein Augenmerk notwendig hierhin wenden: Die so schön gelegenen Häuser (es steht nichts im Wege, sie uns als die anmuhigsten Villen vorzustellen) werden sich sicher gut vermieten, also nöthigenfalls auch gut verkaufen. So ist denn durch die Wahl der entlegeneren Fahrstraße eine erste Aussicht für die Zukunft Arnsbergs die „Entstehung des schönen Quais“ zwar etwas gefährdet, das nicht zerstört. Damit muss dann auch unsere zweite Hoffnung, die Regelung des Ruhrstromes, sich mit der Zeit erfüllen. Lebe Arnsberg! Arnsberg, 23. Okt. (Die Gebrüder Cohn) haben sich nach einer guten Ernte von hier nach Brilon verzogen, auch dort auf einige Tage ein Zweiggeschäft zu eröffnen. Magistrat von Warburg und Höxter indessen soll den Gebrüdern Cohn die Niederlassung nur auf einige Tage in ihrer Stadt gestattet haben, indem er dabei von der Ansicht ausging, dass solche wandernden Geschäfte offenbar in die Kategorie Trödler und Hausierer gehörten, und das Gesuch um eine momentane Niederlassung eine Umgehung des Gesetzes sei. Bei dieser Gelegenheit mag auf §. 21 und 22 des Handelsgesetzes aufmerksam gemacht werden, wonach ein Zweiggeschäft von der Gründung in das Firmenregister des Ortes der Niederlassung eingetragen werden muss. Soest, 20. Okt. (Sparkasse.
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HUSH BOAT IS LATEST
Dare Devils of the Sea Have the Cure for the German Submarine, but Mum is the Word
LONDON.—Not until Germany has been floored for the ten-count, will the world have a peep at the mysterious odd-shaped fighters that are beating the submarine today. In England they are referred to vaguely as "mystery ships" and imaginative people give them fantastic shapes and endow them with power beyond the dream of the great naval designers. So, perhaps the land-faring folk will be disappointed when its all over and the hush-boats come out of the haze to be looked at by sea-port visitors.
Privileged visitors to the great naval bases are extremely reticent about the hush-boats. For weeks the newspapers have been hinting about something they know but have crossed their hearts not to tell—something about the new and mysterious sea-rowdies which despise naval footwork but prefer to rush in headlong and scrap it out with the U-boat till one or the other goes down.
The mystery ship ranks with the tank as a feat of invention and construction according to the jealous guardians of the secret.
King George inspected two new types of vessels during his June visit to the Grand Fleet. They were in a class of their own and the class was never mentioned to the public.
Sea-monsters, mystery-ships, hush-boats—they account for some of the high honors recently conferred on naval officers.
"hush-boats".
Mrs. John Chevenell left Saturday to join her husband, who is working in The Evergreen Missionary society will meet Tuesday, September 18, with Mrs. Happenstahl. The Hunt school will open September 17 with Miss Thresa Baken of Moscow as teacher.
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Deel I. Mr. E. L. van Emden, Staatsrecht . . . f 3.75 Deel II. 4e afl. Mr. J. A. Levy, Koophandel. . . f 10.25
„ I. „ (le vervolg op idem) . . . 8.— „ II. 4e afl. „ (le supplement op idem) . 1.—
„ I. „ (2e „ « ) • . . 8.25 „ II. 4e afl. „ (2e „ » » ) . 0.75
„I. „ (3e „ v) ) • • . 6.— n II. 4e afi. „ (3e „ ,, „ ) . 0.75
„ I. „ (4e r> 99 ) • . . 4.75 ,, II. 4e afl. „ (4e „ » « ) • 1- "
h I. ,, (5e ,, 1? n ) • • • 4.— w II. 4e afl. „ (5e „ » m ) • 1* " „ I. „ (6e „ n » ) • • • 4.— „ II. 4e afl. „ (6e n w » ) • 99 I. (7e n 99 « ) • • • 4.— ,, II. 4e afl. ,9 (7e „ mm) . 1.50 „ I. „ (8e „ m m ) • • . 4.25 „ II. 5e afl. Mr. W. van Rossem Bz., Burgerlijke „ I. „ (9e „ mm) • • • 4.50 Rechtsvordering 22.50
„ I. „ (10e ,, mm) • • • 4.50 99 II. 6e afl. Mr. A. Teixeira de Mattos, Strafuord. 20.—
„ I. „ (11e „ mm) • • • 4.25 99 II. 6e afl. „ (le supplement op idem) 1.75
„ II. le afl. Mr. E. L. van Emden, Recht. Organisatie. 4.— 99 H- 6e afl. Mr. C. A. Vaillant, 2e suppl. op idem 0.75
„ II. 2e en 3e afl. Mr. C. Asser, Burgerl. Wetboek. 25.— 99 H« ?e afl. Mr. E. L. yan Emden, (Strafrecht) . 7.50
„ II. 2e en 3e afl. Mr. J. Rombach, le suppl. op idem 3.— 99 UI- le aA* H. G. W. Briedé, Grondbelasting. . 2.—"
n II. 2e en 3e afl. door denzelfden, 2e suppl. op idem. 2.50 99 Hl» 2e afl. v Personcele Belasting . 4.50 „ II. 2e en 3e afl. door denzelfden, 3e suppl. op idem. 3.— 9? a^* 99 Recht Patent . . Ter perse
„ III. 4e afl. N. Koomans, Recht Zegel . . . 1.75
Snelpersdruk en Uitgave van GEBR, BELINFANTES te 's-Gravenhage.
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Oldenburg, 24. April. Die Gefährlichkeit der Hutnadel. Am letzten Sonntag fuhr einige Herren nach Rastede und im selben Coupe auf derselben Bank hatte auch eine Dame Platz genommen, deren moderner, mit breiter Krempe versehener schwarzer Tüllhut mit einer besonders langen Hutnadel am Hinterkopf befestigt war. Ihr zur Seite saß ein Herr, eifrig in einer Zeitung lesend, als er plötzlich einen heftigen Schmerz auf seiner rechten Wange verspürte, verursacht durch seine Nachbarin, die ihm mit ihrer Hutnadel des Gesicht streifte und dabei eine tiefe Wunde beibrachte. Der Vorgang zeigt aufs neue, wie nötig es ist, die Spitze der Nadel durch Einstecken von Schutzkugeln gefahrlos zu machen. Zu Letztere sind wohl in jedem Galanterie-waren Geschäft zu haben. Strafkammer = Verhandlungen. Münster, 24. April. In der heutigen Sitzung kamen folgende Sachen zur Verhandlung: „1. Am Abend des 3. November v. I. fuhr der Schnellzug Nr. 90 auf der Station Rinkerode auf ein falsches Geleise und stieß auf einen dort stehenden Güterzug. Bei diesem Zusammenstoß wurden nun zwei Menschen, ein Kaufmann und der Bremser Schröder, körperlich verletzt, außerdem ist ein Schaden an Material von 10 — 15,000 Mk. entstanden. Dieser Unfall ist in Folge falscher Weichenstellung entstanden und zwar hat die Weiche erst richtig gestanden, ist aber im letzten Augenblick herumgeworfen worden. Es ist nun der Hülfswärter Heinr. Krampe aus Rinkerode angeklagt, durch falsche Weichenstellung diesen Unfall herbeigeführt zu haben. Derselbe stellt dieses entschieden in Abrede, er will, seitdem er die Weiche gestellt, keine Hand mehr daran gelegt haben. Der Sachverständige, Herr Regierungs- und Baurat Jansen kann sich die Sache nicht anders erklären, als daß der Angeklagte sehr verwirrt gewesen ist. Uebrigens wird dem Angeklagten von seinen Vorgesetzten ein sehr gutes Zeugnis ausgestellt. Dass die Weiche durch Einwirkung der Lokomotive herumgeworfen sei, wenn auch der Zustand der Weiche, wie fest steht, zur fraglichen Zeit ein annormaler war, ist nach Aussage sämtlicher Zeugen und Sachverständigen ausgeschlossen. Der Gerichtshof hielt die Schuld des Angeklagten für erwiesen und verurteilte ihn zu einer Gefängnisstrafe von 3 Wochen und in die Kosten. 2. Auch ein Jubiläum konnte heute der Arbeiter Bern. Wörmann von hier feiern, nämlich das Jubiläum seiner 25. Betriebsjahre. Er hatte im Okt. v.
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Advisory officers are in charge, under the command of the superintendent. The following officers are in charge, under the command of the superintendent: Major Nichols, superintendent. The medal, awarded annually to the member of the grand jury, will be distinguished by the title of service and excellence of character. The whole period of his admission will be presented at the annual meeting by the governor's department. The medal is provided by the proceedings of a fund presented to the institute by the Secretary of the Cincinnati in Virginia. The address will be delivered by the general chairman, William M. Riddle, chief of the engineering corps of the United States Army. The event was held last night and was enthusiastically received. The event was a significant one for the community, showcasing the best of the city's history. A lumnl.
Montague Mfg. Co.
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Las
AL AMO DE VN ESCLAVO. u 7
Las efclauis y criadas deveys guardar receládolas
con efpecial cuydado: porque dexarlas andar libres
difsiraulandolcs fus torpezas, y aun dándoles licécia
para ellas con efperan^a de multiplicar hazienda y
efclauos, es de amos defalmados y poco chriftianos,
que yendo a la parte en la culpa de la efclaua , feran
tan bien particípate* déla pena : porq confiSten bdi
íirauá laculpa, q dcuen con mucho cuydado atajar y
caítigar. Caíi el me.fmo cuydado q ponevs en criar,
adminiftcar, y enfcñar a vueftros hijos,deueys poner
en los criados y efclauos. Muchos [errores, y hóbres
principales temerofós de Dios, fuelen efinerarfe my
choen efiecafo^.procurando quefu familia fea chri-
ftiana mente gouernada v y fus criados honeílos y vir
tuofos: perfuadiendoles, y dan orden como frcquen
ten los fanétos facramentos, y hagan vida chriñiana,
fegun el miniíterio y calidad de cad3 vno: ponen mu
cha folicitud, en que los criados y criadas, dentro de
caía elten diuididos fin comunicarle , por el mucho
peligro que corre la caftidad, auiendo ordinaria con
tratación de hombres y mugcrcs.
Qjanbien doétrinados eftauan aquellos mance-
bos pages del Rey Dario, fegun fe refiere enel tcrcc
ro libro de Efdras: los quales eítando guardando el
fueño a fu amo, por no citar ociofos, ni paliar la no-
che jugando, rondando, ni en palabras ociofas oda libr can oni,
ñofas: trauaron entrefi vna muy galana dlfputa delta c,u: l et! bijfo
forma: qual es la cofa mas fuerte y roas poderofa
de I a tierra? El vno dixo fuerte es el vino. E!. fegun
dezia, mas fuerte es el Rey. El tercero deífendia
diziendo, mas fuertes fon las mugeres: empero,
fobre
! Efirtr.],
Kr.n ejl bic
EPISTOLA. VII.
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tjrreoL Indc per 700 d: plocai annoi aaoMi 'eH immai^'
qut caiffiMii HmtrU ageret, quod ffdum fbii&iodioK Cf«
AudoKy ei ignorantia biftoriaB ecelcfiifliax^ dt qnod neoio-
gt-8S* iAa huius conditi debita ^ndnflrla acoffiNrir* Foll oooci*
lium Conilantioiic^ pnrpnritus loMmit/ dt TkmenmM^ UK
» II da acdaC m^. 93 viam defendendi Honorii excogita!^} alii
cziftimaKimt defeQnonem aflb padiflMoint alii Jargiuotnr^
ipfam, qne privatum liomincm» in arrorem prolapfom fuiffe,
literasaiie ad Sergium non ut pontiHcem fcripMe« Pigkiur^
Quem lecuti BeVarminut Sc Btnmiufy arbitratur, ada concalaa
^^ii^ Qocpipcav dt pro^aoouiia HitmMfHmm^ foBmm
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J4ENSIS lUNU A. MDCCUV. F. I. jii
«IR, Alii tx adverfa partc, iiquc da<fliflimi viri, adorum iia-
eeritatein propugnantes, adfevcrarunt, non ob hxrefin, fed
segligCBtiam in damoando inonothelifmo, aaathema ipii di-Pag. «^^^
dnm fuifFe. Cap, X^toma delendendi Honorium viam pro*
poiil& f rimam igittir«xaiiiifii ^iriilkit wioa inodos, ^uilK»
«nrfid vid H§iurtum tb impado erimiiie mmfiare fttnc ag-
jade dllMdif «diMMi eplilalii, 4h JkiuH9 ad ilrr^AMi
mifiii ifl^.eonciio JeiSbit «pertlm intcrpolatm, parrim fup.
Bolitilim^eue, de 4|Qtbtis 4it imoerimqediciom ferri fofTir, il» '§8-93,
iM integras, una cum Jiteria Sti^i rcpeter e coofiilram duxtt, ^3 « 40|.
C0p, JTfepifkila Srv^^ qu« in a^ione fc; ti cootfiii ^
Itet, in medium addocimr. Cr/. X// raiilro O^dio conteo* ^
^ S&^ ^fiilolam aduliemtem fbiiie; tefle foanne If^A S.
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de Gsm Moniagnac qu’il faisait lire le récit des dangers qu’il eût à courir ; les entretiens qu’il eut avec les divers chefs des armées combinées ; les détails de l’audience qu’il obtint de l’empereur François, à Dijon ; le réservoir de ses conférences avec MM. de Metternich, de Hardenberg, de Castlereagh, et les pleins pouvoirs que lui confièrent ces ministres. Les amis de la monarchie retrouveront avec plaisir les noms des Montmorency, parmi ceux des nombreux révolutionnaires français qui prirent, à cette époque, la part la plus active à la restauration. Si la mission de M. le comte de Gai de Moniagnac n’eût pas les résultats importants qu’on devait en espérer ; si les circonstances nuisirent au succès qu’il devait raisonnablement attendre de son dévouement, il reçut néanmoins une noble récompense de son zèle, par les éloges que lui donna publiquement S. A. R. Monsieur, frère du Roi, et la juste considération que lui témoignèrent les écrivains, lorsqu’ils furent réunis dans la capitale. M. de Gai de Moniagnac aurait pu, comme tant d’autres, se vanter de ses services ; mais un modeste silence est bien au-dessus d’une vaine exagération. Ce n’est que deux ans après qu’il les a rendus, lorsqu'on ne peut l’accuser d'en solliciter le prix, qu’il en parle comme d’un devoir qu’il a rempli et non comme lui donnant des titres aux faveurs royales. Au mérite réel d’avoir été utile à la cause de la monarchie, M. de Gai de Moniagnac joint un autre mérite non moins rare, celui d’avoir donné un bel exemple de fidélité. La simplicité de son récit agrandit encore, s’il est possible, le mérite de son action. Nous retrouvons donc dans la relation et dans la conduite de M. le comte de Gai de Moniagnac les vrais caractères du royaliste, désintéressement et dévouement. Aussi l’estime publique le répaye du noble exemple qu’il a donné VARIÉTÉS. Sur la diversité des Principes Constitutionnels dans les divers pays de l'Europe. Rien ne contribue plus à rendre interminables les discussions, que la mauvaise foi, cachée sous des termes vagues et équivoques.
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When morning broke, the inhabitants of the little fishing village saw five men clinging to the bridge of the doomed steamer, while wreckage and bodies tossed about in the breakers. Ernest Randall, one county's best known and most highly respected citizens, for 10 years deputy county treasurer, met instant death Tuesday morning when a tree fell on him at his farm 10 miles southeast of town, crushing out his life. Death was instantaneous. Ernest and his brother John were selling trees on Ernest's farm. They had cut a tree Monday evening but had not finished falling it when night came on and they returned to the work Tuesday morning. The tree is said to have split and did not fall in the direction that had been planned. Ernest was caught directly under it and his body crushed. Meagre reports from the scene of the tragedy say that it required several hours work with a team and block and tackle to remove the tree from the body.
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Apparently this was satisfactory to Germany;
for on April 2, 1904, von Biilow, the German chan-
cellor, stated in the Reichstag that "from the point
of view of German interests we have nothing to
complain of."
But Germany was not satisfied, because the con-
vention indicated that England and France were
ready to compose their quarrels, which had long been
a source of diplomatic profit to Germany. Nothing
was done, however, until the defeat of Russia in the
battle of Mukden revealed the weakness of France's
ally. Suddenly, on March 31, 1905, the German
Emperor appeared at Tangier, Morocco, and pro-
ceeded to pay a visit to the Sultan, Abdul-Aziz, in
the course of which he spoke as follows :
It is to the Sultan in his position of an independent sovereign
that I am paying my visit today. I hope that under the
Sovereignty of the Sultan a free Morocco will remain open to
the peaceful rivalry of all nations, without monopoly or an-
nexation, on the basis of absolute equality. The object of
my visit to Tangier is to make it known that I am determined
to do all that is in my power to safeguard efficaciously the in-
terests of Germany in Morocco, for I look upon the Sultan as
an absolutely independent sovereign.
This demonstrative intervention created a diplo-
matic crisis in Europe and was generally regarded as
a challenge to the recently formed Entente. The
demand of Germany that France bring the Moroccan
[i57l
38o
question before an international conference was ac-
cepted, in spite of the opposition of M. Delcasse, the
French foreign minister, who was thus virtually com-
pelled to resign at German dictation.
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(2) M. Bolts, Alderman de la Cour du Maire, & Auteur de cet Ouvrage, comme on l'a déjà dit, était absent pour lors de Calcutta. Dès qu'il entendit parler de cette affaire, il écrivit au Maire, en lui demandant communication de la Lettre du Gouverneur Henry Verelst, afin de juger pourquoi la procédure avait été arrêtée. Le Maire, après y avoir réfléchi quelques jours, lui récrivit la Lettre suivante, pour lui faire des excuses. M. Bolts en a conservé l'original.
À WILLIAM BOLTS, ÉCRIVAIN.
MON CHER MONSIEUR,
"Je vous aurais envoyé la Lettre du Gouverneur que je vous ai promis, si j'avais pu la trouver. Je l'ai cherchée inutilement dans mes papiers, ce qui peut réter la procédure, sous prétexte que le Gouverneur est partie intéressée dans l'affaire, & qu'il allait la terminer par compromis. L'Avocat & le Procureur du Demandeur, surpris d'un si fâcheux contretemps, déclarèrent qu'ils n'accéderaient point à un compromis ou à un arrangement. Malgré cette protestation, le Maire obéissant à la Lettre du Gouverneur, arrêta le cours de la procédure. Parsek Arratoon fut mis hors d'état de pouvoir obtenir satisfaction.
Après un exemple de cette nature, il serait inutile d'en produire d'autres. Tout le monde sait à Calcutta, que dans les procès où sont intéressés le Gouverneur, ou le Conseil, ou leurs Amis & Employés, la Cour du Maire reçoit souvent en secret des ordonnances ou sollicitations pareilles. Sans égard aux formalités ordonnées par la Charte, les Magistrats obéissent lâchement. Les Avocats &
"me fait croire que je l'ai brûlée par mégarde" avec d'autres que je croyais inutiles. Je suis, Monsieur, votre très-humble serviteur,
Cornélius Goodwin,
De Calcutta le 7 Août 1768.
N
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Il rassembla des amis de dix et douze lieues de distance pour nous tenir compagnie, et le temps que nous fûmes chez lui se passa en jeux, en bals et en festins. Il semblait n'avoir bâti sa maison dans cette solitude que pour donner des fêtes. Le salon, situé au milieu, était entouré d'un corridor et de quatre chambres dont les cloisons s'enlevaient, ce qui le doublait, et formait quatre cabinets destinés au jeu, au café, aux rafraîchissements et au repos. C'était un gros homme d'une figure gaie, qui mêlait son bonheur à faire celui de sa femme, de ses filles et de ses amis. Il s'en fallait beaucoup que le maréchal Munnich menât une vie aussi heureuse au milieu de sa garde. Il avait été dans une prison dont je vis le dessin encadré dans la chambre de notre philosophe hospitalier. Elle était composée de trois pièces, la première pour les soldats de sa garde, la deuxième pour leur cuisine, la troisième pour sa chambre à coucher. Il y avait à quelque distance, une palissade de vingt pieds de haut, qui l'empêchait de voir le ciel. Il y fut envoyé à l'âge de soixante ans, n'ayant à dépenser que cinquante sous par jour, après avoir gouverné l'empire. Il n'en est sorti qu'à l'âge de quatre-vingts ans. Cependant l'amour conjugal le rendit heureux. Sa vertueuse épouse, âgée alors de cinquante-cinq ans, eut le courage, de l'accompagner, et de lui rendre les soins d'une compagne fidèle. Ce grand homme se concilia l'affection de ses farouches soldats en apprenant les mathématiques à leurs enfants, tandis que sa femme lui apprêtait à manger. Ils passèrent ensemble vingt et un ans dans cet asile, se consolant mutuellement; et à leur retour à Moscou, ils trouvèrent cinquante-deux enfants de leurs petits-enfants, qui furent au-devant d'eux. Ce malheureux fut à peine de retour, qu'il fut au moment d'être renvoyé, par la révolution qui renversa l'empereur du trône. J'arrivai en Russie immédiatement après cette catastrophe, et ce fut le vieux maréchal, alors gouverneur de Pétersbourg, qui m'y fit avoir du service, sans autre recommandation que celle du malheur, l'ai cité ces exemples, parce que la reconnaissance me les rend intéressants; mais nous en trouverions de plus touchants dans l'histoire de notre révolution, où des femmes ont accompagné volontairement leurs maris, non seulement dans la solitude, l'exil, la prison, mais
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MM. Corail et Ranvier ont mis à part la carie des os, caractérisée par la dégénérescence graisseuse des cellules osseuses, comme lésion initiale; plus tard, on observe des lésions inflammatoires; la carie se reconnaît, par conséquent, à la présence de granulations graisseuses infiltrant les cellules. R. Du cal des fractures. — MM. Corail et Ranvier ont soigneusement étudié la formation du cal dans les fractures, et suivi jour par jour le processus, en produisant des fractures expérimentales. Le rat convient très bien pour cette étude. On lui casse une patte, puis on sacrifice l’animal au jour choisi. On détache à la scie la portion fracturée, en ayant bien soin de ne pas modifier les rapports qui existaient entre les fragments. La pièce est fixée, puis décalcifiée, etc., suivant la technique indiquée plus haut. Voici le résumé des constatations de MM. Corail et Ranvier. Dans les fractures compliquées de plaie, les lésions sont celles de l’inflammation. La substance osseuse se résorbe en partie au niveau du point lésé; les parties mises à nu subissent une nécrose légère; il se forme du tissu embryonnaire, au sein duquel apparaissent des aiguilles osseuses partant de l’os ancien; elles formeront, plus tard, un cal osseux d’emblée. Dans les fractures fermées, on constate, tout d’abord, une hémorragie, origine de l’ecchymose sous-cutanée. Vers le dixième jour, le cal cartilagineux est formé aux dépens du tissu conjonctif ambiant; revenu à l’état embryonnaire. Du dixième au quinzième jour, le cal cartilagineux s’infiltre suivant le mode physiologique de sels calcaires : l’ossification s’y fait exactement comme dans un os développé au sein du cartilage, et en voie d’ossification. Au bout d’un certain temps, le cartilage en excès se résorbe et le canal médullaire se creuse, au niveau du cal, sous l’influence des vaisseaux, suivant le mode physiologique. II. — TUMEURS. Nous n’étudierons que les trois principales variétés : les sarcomes, la tuberculose, la syphilis; les ostéomes ne sont que des néoformations osseuses ayant la structure de l’os sain ou enflammé. D’ailleurs, les productions osseuses sont rares, en dehors de la syphilis ou du rachitisme; celles qui ont pour cause une inflammation chronique se reconnaissent aisément; on les distingue des exostoses syphilitiques, en ce qu’elles font, tout entières, saillie à la surface de l’os, tandis que l’exostose syphilitique s’élève du fond d’une perte de substance, qu’elle comble avec excès, et dans laquelle elle est comme enchâssée. Alquier et Léfas.
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COY LICSNCIA BEL EXCELENTISIMO SEÑOR CAflTAN QEit$^4L*
Imprxnta ce Padrino; Año ce 1814.
ITÜM. 93.
EL TIO TREMENDA^
O LOS CRITICOS
DEL MALECON.
Tremenda. Entremos desde luego y sin mas presm-
bulo €n la siguiente retractación de uno de los Redac-
tores de la Gazsta Marcial que se publicaba ea la Pro-
vincia de Galicia ; en sí misma lleva su elogie^ y yo
me apresuro gustosísimo a llenar los justos deseos^ y
rectas intenciones de su autor eo que se publique y
extienda. Dice, pues , asi. a. Pecó David, y le perdo-
nó el Señor. Niega Pedro k su Divino Maestro , k
quien viera en la plenitud de su magestad eo el Ta-
bor , y sin embargo el Señor le concede el don de lá-
grimas y verdadera compunción de sus culpas, Saulo
persigue á la iglesia , y en el ra®menío de su mayor
furor y rabia contra Cristo , un rayo divino penetra
su alma , confunde su espíritu , y elevándole ai tercer
cielo , ve Pablo lo que 00 vieron ios ojos , ni
oyeron los oidos , y desde entonces fué Pablo una de
las columnas mas firmen de la Iglesia. Agustino, aquel fi-
lósofo atrabiliario seguo ía carne , convertido por Am-
brosio , fué una roca firmísima en la que se estrellaron
todos los embates de la fariosa fi'osofia , y las crue-
les novedades de los hereges de su tiempo.
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442 ETTORE VERGA
alcuno ottenesse beve e se vou per ordine suo, e Todeschino velati pontificem constituit in urbe, quel Todeschino di Federici, anziano dei camerieri ducali, incaricato di presiedere alle udienze del principe, delicatissimo ufficio che pareva fatto apposta per favorire gli abusi di cui certamente si rese colpevole; ma appunto per questo il duca ne lo privò.
In tanta scarsezza di notizie che possano illustrare l'atteggiamento personale del duca, all'infuori dell'interpretazione che questo o quel funzionario poteva dare alla sua volontà, riesce gradito un minuscolo manipoletto di documenti segnalatomi nel carteggio visconteo dall'ottimo collega prof. Yittani dell'Archivio di Stato. Tre di essi, del 1425, riguardano il conferimento di benefici di mediocre importanza per i quali Filippo esprime le sue intenzioni senza tutavia manifestare il proposito d'imporle: il 14 febbraio di quell'anno chiedeva, con debiti modi, all'Arcivescovo di Milano che, qualora Lancillotto Terzaghi, in pericolo di vita per una percossa ricevuta, venisse a morire, si conferisse il canonico a lui al chierico Francesco, figlio del chirurgo ducale Aimone de' Medici di Seregno. Il 14 Settembre, saputo che il prevosto di S. Graziano in Vercelli era gravemente ammalato, scriveva al prevosto di S. Croce in Mortara di voler essere interrogato prima che si conferisse ad altro quel beneficio. Il 28 Novembre al Capitolo della Cattedrale di Parma designava Marsilio de' Rossi, nipote d'un suo famigliare, qual successore di tal Giacomo Rizzolini in uno dei canonicati di quella metropolitana, chiedeva si sbrigasse l'elezione e se ne consegnassero i documenti a persona da lui incaricata di portarli alla Curia romana per sollecitare la conferma.
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Aussi dans le palais de l’urne électorale, avec le privilège est entré le scandale, ici l’œil cherche l’œil, le pas poursuit le pas ; les valets du pouvoir, un essaim de Judas, l’enchanteur intrigant et l’acheteur habile ont fait de ce saint lieu leur dernier domicile. On se lie, on s'embrasse ; on s’aime et l’on se fuit ; on renaît, on loue, on hurle, on applaudit ; enfin de toutes parts le vie espionnage veille sur l’électeur, et surprend au passage et le mot qu’il prononce, et le salut qu’il rend, et le nom qu'il repousse, et le nom qu’il défend ; et, pour comble d'horreur, l'agent de la police veut, par un mauvais choix, en faire son complice. La séance est ouverte; le sage président, dans l'ordre le pas, sans louer le présent, a jeté quelques mots sur la chose publique : et, sous le deuil et la publique, sa voix est immédiatement écoutée par ses plus froids auditeurs. Il a chassé la trame; et les fleurs par un triple vivat saluant la patrie, de l’adversaire ont félicité le génie. Ensuite l’on procède ; un d’Autun froidement prononce sans broncher son vingt et unième serment ; tandis que son voisin, (ils de la jeune France, jaloux de son honneur, de son indépendance) abordant le serment pour la première fois, déclare ne jurer que conforme aux lois, soit garder tout entière, à la noble patrie, sa souveraineté méconnue et trahie. Voici tout achevé : quatre cents bulletins l’un heureux candidat ont fixé les destins ; fait bientôt en détail une voix sépulcrale déroule les secrets de l'urne électorale. Les vivats éclatants d’une longue mêlée, ont porté la victoire à la foule assemblée ; fait ses cris, répétés par de nombreux échos, du préfet, qui sommeille, ont troublé le repos. Il sait, et doute encore, quand un agent fidèle lui porte du scrutin la note officielle : « C’en est fait, a-t-il dit, plus de trois cents votants, » parés avec orgueil du nom d’indépendants, » d’hommes de deux partis, monstrueux assemblage. » Ont vaincu votre adresse et brisé votre ouvrage.
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Rappelons les résultats obtenus relativement à l'origine des familles qui forment le personnel des ministres sous Louis XVI et comparons-les aux conclusions auxquelles nous venons d'arriver à l'égard des intendants. Exception faite de quelques ministres issus directement de la noblesse féodale sans mélanger aucun avec la magistrature, il se trouve que les intendants, par leur origine, appartiennent aux mêmes groupes sociaux que les ministres, à savoir au groupement complexe que nous avons nommé la noblesse d'État et particulièrement à celui de ses éléments qui en forme le véritable noyau, à la magistrature parlementaire. On peut ajouter que ce caractère parlementaire paraît encore plus marqué dans le personnel de l'administration provinciale que dans l'administration centrale c'est qu'en effet on pouvait devenir ministre en étant complètement étranger à la magistrature. Il est de plus à noter que plusieurs ministres de cette période, qui appartenaient par leur naissance à des familles parlementaires et avaient même occupé déjà des charges de magistrature, sont arrivés au poste ministériel non pas en qualité de magistrats, mais bien parce qu'ils s'étaient signalés auparavant comme administrateurs.
Si Turgot en 1775 devient ministre, ce n'est pas au titre d'ancien conseiller au Parlement de Paris et de fils d'un président du même Parlement, mais comme intendant de Limoges. Si d'Ormesson est appelé en 1783 au poste de contrôleur général, ce n'est pas en sa qualité d'ancien avocat ou conseiller de parlement, mais comme « intendant de finances », comme quelqu'un qui est à la tête d'un des « départements de l'administration financière. Au contraire, les intendants, eux, par la position qu'ils occupaient précédemment, appartenaient tous à la magistrature, sans en excepter même ceux qui lui étaient étrangers par leur naissance ou leurs liens de parenté.
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Vous êtes des coquins ! Le président, très calme, avertit le condamné que, s’il persiste, le tribunal va sévir. Couchet, rageur mais maté, suit le gendarme, sans autre incident. Galoches et Godillots Lorsqu’un monsieur a été condamné cinq ou six fois, on l’appelle « cheval de retours »; quel nom donnera-t-on à Jean-Baptiste Thévenon, né en 1859 à La Tour-en-Jarez, qui a subi 18 condamnations graves, dont le total représente une dizaine d’années de réclusion ? Évidemment ce n'est plus un casier, c’est une armoire judiciaire. Le malheureux a été arrêté à la tuilerie Chapal pour vol de chaussures, et quelles chaussures ?... Mme Balay, qui défend ce vieux récidiviste, nous initie aux péripéties de ce drame inférieur. — Nous étions couchés à la tuilerie Chapal, dit-elle en substance. Pendant notre sommeil on nous vole nos galoches... Que faire ? Nous cherchons et nous ne trouvons qu’une paire de vieux godillots. Comme nous ne pouvons pas marcher sur notre chrétienté, nous les chaussons... On nous arrête et l’on nous mène au poste. Ces affreux godillots, percés, rapiéçés, appartenaient au sieur Molle, chauffeur à la tuilerie. Or, au poste, on découvre que ce chauffeur avait aux pieds nos galoches, ces solides galoches qu’on nous avait volées. De même que si, dans une maison amie, on prend notre parapluie par mégarde nous récoltons le « pépin » qui a été laissé, ainsi nous avons chaussé les vieux souliers, prêts à les rendre en échange de nos excellentes galoches. Malgré cet humouristique et spécieux argument le tribunal condamne Thévenon à 15 jours de prison, tout en adressant un compliment à Mme Balay. Autres affaires : Barthélemy Pierre, 18 ans, journalier à Saint-Etienne, poursuivi pour vol d’un portefeuille contenant la somme de 10 francs, au préjudice du sieur Trabut, est condamné à 2 mois d’emprisonnement. Thevenon Eustache, 31 ans, mineur à Saint-Chamond, rue de la Rive, 7, qui a soustrait une certaine quantité de pommes de terre au préjudice du sieur Sabot est condamné à un mois d’emprisonnement. Giraud Joseph, 20 ans, Santal Jean-Auguste, 31 ans et Santal Pierre-Auguste, 34 ans, mineurs à Grand’Croix, poursuivis pour complicité de vol d'une somme de 46 francs au préjudice du sieur Jourda.
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their hatid<- t" rob merchant ships, must
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pn-fu ieto'rs on o ? asion? of this kind,
and i" e Immunity from punishment !
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üT5!' ? P^OTTST. Vm een to Solo woonachtigen Hadramiet een brief aan alle landgonooten, inhoudende protest tegen de toetroding van vreemdelingen {aiot-Kadramloten) als ledon van de vereeninring "Lajnatoe ! l-islah" op grond van do ovorwo/sing, dat zulke personen niet alleen hét karakter van do voreonirring door hun nationaliteit ontzufveren, doch - ook in staat zullen zijn bij n >a leden onderling herrie te veroor" O '•*4 Lé 1 «
-CIL"0~ GEBOYCOT. In h ar vercradorinf?, '^eliou'en den 7'eri Februari 1010 spral: de veroenipiinr "Diiraaijat Chair" te Batavia de hoop uit, dat Achmud Socr Irati niet zou vorden toe reelaten aio lid van "e voroe'nirriiv? "Ladjna% too'l-islah ïïa r r~rida" (veroonirrinjj tot bevordering van vre^e en hulpvaardi~heid), aangezien doae man Je oorz ak ftorêbst is van do rrooto onecni/rheid tucschen de Hadranieten o-.iderlin.fe,
*.Vn P.p ^cbruari l r 10 7o,
O-een nieu^n voor dit ow'zicht#-
T/elt^vr^don , 29 Haart 1919. Bureau voor de Volkslectuur on aanverwante aan" e le genlieden.
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The German and Hungarian signs store windows have given place to placards in Serbian, and Sarajevo has taken on quite the appearance of a Serbian town. The Serbian inhabitants are of course quite content with the Belgrade government, but the Germans, Austrians and Turks are not quite so happy.
There is a disposition, however, to accept conditions as they are and to hope for a resumption of the commercial activity and advantages which the people enjoyed at the hands of the Austrians. The friends of the Serbs and Jugoslavs hope that with time the Serbian government will be able to match the prosperity and progress which the Austrians and Germans brought to the country.
Among the population America enjoys great prestige and respect. This largely due to the timely help brought to the country by the American Red Cross and the United States food administration. Until the arrival of these relief agencies, Americans had never before appeared in Bosnia in any considerable number.
The presence of the officers of the Red Cross and the food administration has had a splendid moral and educational effect among the Bosnians. Much of the rancor and harsh feeling engendered by the war has been removed, and through the work of these Americans, the larger part of the people look upon the United States as a friend, not as a foe.
GERMANS WRECK RHINE FORT
Swiss Border Stronghold Is Being Dismantled Under Direction of the Allies.
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