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Si donnons en mandement au lieutenant général et corsaires les tons par ces présentes à nos aimés et vrais Conseillers, les gens tenant la Cour de nos Aides à Paris, auxquels avons commis et attribué la connaissance de tous les procès différents sous dits Aides et offices de juges et mesures et à tous nos autres Juges, Donné à Fontainebleau, le vingt neuf décembre, l'an de grâce 1617, et de notre règne le septième. Acte sur le reply, Le Roy, vous prend, Bois d'Aydi, La Cour d'ordonner et ordonne de l'expression mar, chantier du bois rayé. Sa Majesté plussieurs fois répandu des ducs lettres sera mis, Le nez et commis entre des aides. Signé les senéschal, Statuts, ordonnâmes, privilège et règlement des trente quatre inenvendeurs de laine de farts.
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The provision of the bill against which the strongest protest is made is that portion which provides that if a fire originated upon the land of any one in the timber belt, the forester shall have power to send men to fight the fire and shall charge all of the costs of the fighting to the owner of the land and this shall be reported to the assessor who shall file the claim against the land the same as taxes and it shall be collected the same as taxes, and that the land is subject to sale under lien as for labor or material. "This is a rank injustice to the small land owner and will work a great hardship and a great injustice to him," says the protest. "If a man who lives 1000 miles away from his land and has no way of knowing of a fire being started in his timber, which might be by lightning striking a tree or otherwise, and the fire wardens sends 40 or 60 men to put out the fire and it is put out on this man's land, even though all the timber on it is destroyed, he will be held for the cost of putting out the fire which has destroyed his timber while the owners of timber on adjoining land which has been saved at his expense, will be charged nothing." The protest points out that by this law the holdings of the small timber owner might be entirely wiped out. It would be an incentive for the starting of fires on small holdings with a view to sending fire fighters to extinguish it and charge all of the costs to the man whose land the fire originated, thus forcing him to sell out at a sacrifice. The protest points out further that in the forester would be selected by the big lumber interests and would naturally favor them at All times as against the small timber owner.
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La place d'honneur était donnée à Grèce, étant située au centre de 4 tablettes; les Perses avaient la première place, et c'était celle des Bactres. Sous les eaux, le Perse nous faisait remarquer une différence des banquets. Il se présentait comme étant d'une famille d'un vase d'or, alors que l'hôte était d'argent, et le vin était plus abondant, ce qui mit à 4 dresser une table très bruyante de propreté. Une femme vénérable apporta enfin du pain, qu'elle mit devant les convives, alors que l'on servit les viandes d'hôtes libérales, tandis qu'un héraut courait autour de la table pour leur apporter du vin. La troisième mention des amants de Pénélope était là dès lors et dès maintenant ils occupèrent les fauteuils et les sièges l'angustié avec des bancs de bois; de la salle. Les hérauts tendirent alors à laver; ils portèrent ensuite la main sur les bancs, et on tourna vers du vin dans des coupes d'or. Le repas fini, on présenta une belle lyre à Phormios, qui se mit à chanter, ALCAMBERT - La culture cannibale alimentait alors en fruits que la terre produisait spontanément. Les habitants d'Argos se régalaient de poires; ceux d'Athènes de figues; l'Ariccia s'automatisait par ses états de fers, sa famine et les châtiments. Cérès apporta les premiers grains dans l'Attique; elle apprit l'agriculture à Métopis, à Thémistocle de Patres, et aux Arcadiens. On attribuait à Pan l'invention du pain et l'art de le faire cuire: il détachait le froment et compactait, parce qu'il était moins levant et cuisiné sous la cendre. Celui qu'on nommait Môisa était composé de farine, de miel, de sel et d'eau, trempés avec de la gaule. Le kretès était un mélange de farine et de fromage, d'œufs et de miel; on ajoutait de l'ail au myron. La nourriture des pauvres était un pain croulant au fond du pot, ils déposaient les gourmes, les ailes et les olives qui composaient cette humble pitanée.
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CDer länbliche ©aal unfreg ist almenfjausge mar mit allen flaggen beg. Diatmatt), roldje alg Tapeten bietend, gerichtet. Um 9 Uhr mar SlUeg bereit, un bag fjeitige Dpfer begann. Die Stiften ber Ästabt un biele Reiben nahmen an ber freier Teil; ber Diatmatt) feuerte im 2Jugen-blid ber Sammlung, bann beim Te Deum un Domine salvum fac, roldjeg nad) ber 2Jteffe gefungen mürbe, sein ganz-jeg ©efdjüf ab. ©o mürbe bie SBeifsenafmte biefer tuilben ©egetten, bur<$ ben Äatfjolijigmug oerfünbet, mo, mir §ofsen eg, bie Darbringung beg SBerfö^nunggopferg nimmer aufs §ören roirb. — 2Sä|renb bem übrigen Teil beg Dageg jog bie SReuIfeit beg ©cfyaufspielg eine großje ©ö^enbiener an, reelle ben ©Freden, ben iljnen ber getifdjljain fonst einflößte, oergeffen ju tjaben fdjienen. ©in 'geftmafjl in ber französischen gaftorei oereinte alle angefähenen SJtänner oon 5ßortO'9?ooo am gleiten Stifte.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais expiraram. A condicião de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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And the seams aU inside out!" This was the first time that my spirit had been hurt. His words were a torment that left a scar upon my very soul. Even to this day when I awake from some bad dream, it is a dream that I am wearing crazy breeches and all the world is jeering at me. It has made me tender toward poor children who have to wear hand-me-downs. To-day psychologists talk much of the "inferiority complex" which spurs a man for- ward to outdo himself. But Babe Durgon and I didn't go into these matters as we trudged along through the dark on our way to do battle "over the line." At the foot of the hill. Babe exclaimed: "What's the use of going any farther? Let's fight here." It was in front of a new building r — a church-school half completed. We took 23 THE IRON PUDDLER off our coats and made belts of our suspend- ers. Then we squared off and the fight began. Babe rushed me like a wild boar and tried to thrust his deadly thumb into my eye. I threw up my head and his thumb gashed my lips and went into my mouth. The impact almost knocked me over, but my teeth had closed on his thumb and when he jerked back he put me on my balance again. I clouted him on the jaw and knocked him down. He landed in the lime box. The school had not yet been plastered, and the quicklime was in an open pit I started in after the bully, but stopped to save my pants from the lime.
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"What right has a man to be brutal or even dictatorial to his wife or to the girl he expects to marry? Why should she endure it? It would need a tremendously strong love to over come the feeling of repulsion, it seems to me." Edith M. Hull wrote "The Shiek," which Monte Katterjohn adapted to the screen. Her psychology, according to the reports received by the pro ducers of the picture, has awakened much controversy among women par M mm isjäÖ jg kcgljBL £1 _ try it 1 ■g WITH I ONE g HAND I BENNY fil Mt? 5 ) I SRUNOwJj f (one- j 'TWO" 1 THREEIw V wpé / SAXES wnats WI (N-TO THAT LAN m m MAN" / '.v\\ U '4 I I (YOU SAY N BASIL IS )<SETT/N / GAY? TvO.-NO-"', ) ITS MIS l BIRTH DAfi 1 'I STAMuEg ägM 1 It Ü 1 Basil Benson ch/nned himself three times ttsday * -R Something For Every Stocking There are gifts In our stock suitable for persons of every age and condition. We bought early and wisely and can offer our trade the cream of the world's best gift goods—at prices which will make selection easy. (Check items in which you are interested and bring the list to our store.) Perfumes Toilet Waters Atomizers Stationery Fountain Pens Traveling Sets Shaving Sets Spectacles Opera Glasses Jewelry Toilet Sets Manicure Sets Desk Sets Leather Goods Ivory Goods Carafes Vacuum Bottles Japanese Goods Watches China Cut Glass Silverware Cutlery Books Candlesticks Confectionery DRUG AND JEWELRY STORE Where Quality Counts C. E. BOLLES, Prop. y> HELLO!—Remember LEONARD'S NEW AND SECOND-HAND STORE. Lots of pretty things for Christmas. New Dishes, Cutlery, Rugs, Etc.
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Les Portugais et les Espagnols, sous l'impulsion de Jean de Portugal et d'Isabelle de Castille, se précipitent sur les terres nouvelles que leur ont dévoilées Colomb, Diaz, Gama et Albuquerque. Ils établissent sur les ruines des anciennes loges dieppoises de nombreux comptoirs protégés par des forteresses, pénètrent l'Extrême-Orient et sèment leurs établissements du Cap-Vert aux Molluques. Grâce à l'efficace appui de leur gouvernement, ils s'assurent le monopole presque exclusif des épices, de l'or, de l'ivoire, etc.. Les navires étrangers qui veulent s'aventurer au sud de l'Équateur sont considérés comme pirates, leurs équipages embarqués de force sur les galères du roi Jean, leurs cargaisons confisquées. L'exécution impitoyable de cette mesure avait même tout à fait refroidi les sympathies qui s'étaient établies, au temps de la guerre de Cent ans, entre Péninsulaires et Normands, alors que le roi de France faisait appel contre les Anglais aux marins espagnols. Aussi les audacieux capitaines de Bayonne, de Saint-Jean, de Honfleur, de Dieppe, de Boulogne ont-ils désormais le plus grand intérêt à entourer leurs expéditions — vraies campagnes de contrebande — du plus impénétrable silence : pour eux le silence est d'or. C'est donc loin des comptoirs rivaux, dans les criques ignorées de la Guinée et du Gabon, qu'ils vont jeter l'ancre : en toute hâte ils font leur cargaison; puis ils reprennent la haute mer et reviennent vendre à bon prix leurs chargements aux gros marchands de leur port d'attache, se gardant bien de les mettre dans la confidence de la route qu'ils ont suivie, à plus forte raison de publier la description des pays où ils ont accosté. RESTES D'UN VIEIL ÉTABLISSEMENT ESPAGNOL NOTRE ÉPOPÉE COLONIALE
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Cosham (John), mercer. — To be buried as directed in another testament. To the vicar and churchwardens of the church of S. Laurence in Old Jewry certain tenements in the parish of S. Mary le Bow in Westehepe for the maintenance of chantries in the church of S. Laurence aforesaid for the good of his soul, the souls of Johanna his late wife, Eoger de Grlendon, Alice, wife of the same, William Pountfret, Alice, wife of the same, and others, and the residue of the issues and profits of the said tene- ments to be devoted to the maintenance of the fabric, ornaments, &c, of the said church. In default the property is to go over to the Mayor and Commonalty of the City of London to carry out the terms of his will. Dated London, 10 February, a.d. 1419. Eoll 148 (7). Monday next after the Feast of SS. Peter and Paul [89 June~]. Bulstrode (John), goldsmith. — To be buried in the common churchyard of S. Paul's before the high cross where the Gospels are wont to be preached. To John his son all his instru- ments appertaining to his art of goldsmithery called " tool,"2 and all his body armour ; also a tenement in Westehepe in the parish of S. Matthew de Frydaystrete, saving the dower of Laurencia his wife, to hold in tail ; remainder to Johanna, Matilda, Isabella, and Eobergahis daughters in successive tail; remainder in trust for sale, and the proceeds devoted to the maintenance of chantries, 1 There must be some mistake either in the date of the will or of its enrol- ment. 2 Cf. supra, p. 317, where a goldsmith leaves to his apprentice all the tools (totum tote) of his shop, with the excep- tion of certain balances.
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La netteté du dessin et la robustesse des organes sont un sûr garant de la résistance à tout, s épreuves du ce magnifique châssis que les visiteurs du Salon pour dont admirer sur le stand BEJiLl ET.L industrie des Transports en communs pourrait on dire, a été créée par cette maison: c’est elle en effet qui a construit les premiers cars en usage sur la route des Alpes, le premier grand itinéraire touristique exploité par véhicules automobiles ou transports en commun.Bien entendu BERL1ETs’et bien gardé abandonner cette branche de construction ou il avait témoigné une telle matrice, et il a su au contraire développe le nombre et la qualité de ses types.C’est ainsi qu’il expose: un châssis ffi à 8 places pour omnibus d’hôtels ou petit car de famille: un châssis 10/14 places pour grand omnibus d’hôtels, cars moyens ou même autobus pour service du vile, le, un châssis 18/20 places pour grand omnibus ou cars alpins : un châssis 25/30 places pour omnibus interurbains et services départementaux ; un châssis 40/45 places pour transport de personnel, services privés d usines, etc., un châssis à cardan surbaissé 40/45 places pour autobus urbains, ce dernier châssis entièrement nouveau est pourvu d'un pont arrière présentant des particularités très intéressantes pour les amateurs de belle mécanique.Enfin les visiteurs du Salon ne manqueront pas d'admirer un châssis poli destiné aux transports en commun rapides, qui comporte tous les derniers perfectionnements de la mécanique moderne, moteur à soupapes en tête, pont à double démultipliecastions, frein sur les quatre roues avec serre-frein, éclairage et démarrage électriques, gonfler de pues, etc.En terminant il convient d’ajouter que B Eli L1ET a consacré son activité à la construction et à la mise au point de véhicules électriques qui ont déjà fait leurs preuves. Enfin le grand constructeur Lyonnais fabrique également un im portant matériel de locotracteurs et d’automotrices pour voies de 60, de 110 et pour voies normales.BEAUCOURT. Refoulement d'étranger. — Ls gendarmes ont refoulé à la frontière le nommé llorenberger Fritz Auguste. 39 ans, cultivateur en Suisse, qui était dépourvu de passeport et de car.o frontalière.IPobésltéet les rhumatismes sont causés par un mauvais fonctionnement de l’appareil digestif, qui accumule les toxines.
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Itouti-?Scu'ii trent li |o MiiIii In 1 lltli to l-'ritukllu lo JrlTrrHon to llroinl lo I li t Hull, (iml | hence (o Jirmorv on \?,rlli l-:iK|ith Street. inline N?|iim| nin-lH II o'clock nl armor;. Iloivll/.cr ,\ s?ucln I ion iiKHPitililfn nt train nt I I :.'{(? o'clock. S?-oiiIh fiHw-mlilc nt liradqiinrtrrn lit I I i:il? o'clock. llHiii|Uct nt armory following pa r ti lie. FAVORS inlriONIN TM ON INTANGIBLES (?amen Says Present Law Calls for One-Sixth of Income of Se ? urity Unifiers. I .WOIJS STHICT KM-OKCKMK.XT Audi i or Moore Looks I'dcwcii] to l)?,V When Virginia Can Adopt Complete Segregation of Slate and Local Taxes. That the |iii>sciit rat" of taxation im posed ill,on intangible personal prop erty. upon which the State now levies a segregated ta\ of ?>.> c ?? n t s on the ? 1 ItO ;i nd >' ie 1*1 ' to t It e localities the. privilege of exacting Htm another HO ?.enti-? too high and may he matc riall\ rod need seems to he the con sensus of opinion expressed i,y experts at the conference of the State Tax Hoard and examiners of records, which ? iue to ,! ? lose last night at Huccer'a Hotel. Though t ho rate exacted of this .-lass of pioperty holders has been appre ciably lowered under the system of paitial scgreirat ion, removing in large measure tlie just complaint of these taxpayers that the law discriminated as between them and the owners of other classes of taxable property, it is, ?S,'H the belief, not only among the taxpayers themselves, but anions tax oillclaIs as well, that the holder of in-1 tangibles pay more than his ju.st pro portion of revenue.
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* Am I not brave and strong f Am I not kei* To flght and conquer ? Have I not around A world of comrades, bound to the same canse, AH brave as I— all led by the same chief, All pledged to victory f " MILNB9. MAN has a destiny, — ^his end is God, — ^his life is divine. Jesus Christ is the comple- ment of man, — ^the restorer of the race. The Catholic Church is the manifestation of Jesus Christ, — the organ by which Jesus Christ per- petuates his life upon earth, and the organ of man's restoration, and nature's restoration through man. CONCLUSION. 291 Tho Catholic Chijj'ch affords to man the op- portunity of becoming Christian without vio- lating the laws of his reason, without stifling the dictates of his conscience. She alone is ahle to guide man to his destiny, — she is ade- quate to all the wants of the human heart,- — and in her religious orders she opens a path- way to those nobler souls who seek a perfect life. This Church is here in the midst of us, but strange as it may seem, it is concealed from the minds of the American people, by ignorance, misrepresentation, and calumny, as effectually as if it were once more buried in the Catacombs.
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4ih Session. 5th Session. Ninth Parliament. Tst Session .. 2nd Session. 3rQ Session. From 25th April, i8gi 2nd Jan., 1896 13th July, 1896 rgth Aug., 1896 2Sth Mar, 1897 3rd Feb., 1898 i6th Mar, 1899 ist Feb., 1900 5fh Dec, 1900 6th Feb., 1901 13th Feb., 1902 1 2th Mar., 1903 To 24th April, 1896 23rd April, 1896 9th Oct., 1900 Sth Oct., 1896 29th June, 1897 13th June, 1898 nth Aug., 1899 1 8th July, 1900 23rd May, 1 90 1 rsth May, 1902 General Elections held in the Dominion of Canada. (Continued from page 297 . ) Parliament, Eighth Parliament Ninth Parliament.. Date of Writs. 24th .4pril, 1896 9th Oct., 1900 Date of General Election. 23rd June, 1896 7th Nov., 1900. 562 The Judicial Bench in the Dominion of Canada. (See pages 298 to 398.) The Supreme Court of Canada. (Continued from page 299.) The Chief Justice of this Court is styled " The Chief Justice of Canada," Act 59 Vict, Chap. 14, assented to 23rd April, 1896. previously, he was styled "The Chief Justice of the Supreme Court of Canada." The Act 58-59 Vict., (Imp.) Chap. 44, assented to 6th July, 1895 provides, among other things, that if any person being, or having been. Chief justice or a Judge of the Supreme Court of Canada, or of a Superior Court in any Piovince o( Canada, is a member of His Majesty's Privy Council, he shall be a member of the Judicial Committee of the Privy Council.
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Il vaut donc mieux, pour donner une idée du savoir-faire et du goût pour la peinture de ces maîtres dans l’art de la règle et du compas (bien entendu que nous reconnaissons qu’il en est qui ont autre chose dans la tête), parler d’une caricature faite par un peintre académicien qui n’a pas voulu s’associer à l’iniquité des jugements de ses collègues. Voici cette composition, qui caractérise les artistes de la symétrie, et qui justifierait les nombreuses clameurs qui se sont élevées contre eux en leur qualité de jurés et de juges des peintres et sculpteurs. La scène se passe dans les galeries historiques de Versailles. Il n’y a que deux personnages : un architecte tenant en main la règle et le compas, et un menuisier armé d’une scie. Les pâtissiers sont des tableaux dressés sur des chevalets à scier le bois. Dans une première opération, un tableau, dont l’ordonnateur n’a pas su donner la dimension exacte, se trouvant trop long, il en est résulté que les personnages du premier plan ont perdu les pieds. De la part de l’architecte, il n’y a pas là d’invention : l’idée est renouvelée des Grecs ; mais dans cet autre qu’il s’agit de rogner par le haut, la chose prend un aspect tout nouveau ; du jugement rendu il résulte que la ligne de craie traverse horizontalement les yeux d’un héros menaçant dont la visière a fait trembler le menuisier ; celui-ci hésite, il interroge de nouveau l’architecte, mais l’architecte est impassible, l’arrêt est prononcé, il faut scier. L’on cite d’autres détails plaisants que justifient de tous côtés à Versailles des tableaux nouveaux commandés pour les places, qui sont assez maladroitement réduits ou augmentés de tous les côtés. Mais revenons aux œuvres des artistes présentés, et cependant, avant de parler de la gravure, nous appellerons l’attention de nos lecteurs sur un tableau des derniers moments de Charles X, par M. Goubot, qu’on voit dans les bureaux du journal la Mode, rue Taitbout. L’on conçoit facilement le refus d’admission de ce tableau au Salon ; mais comment expliquer, autrement que par l’observation de ce jurisconsulte italien, l’admission du tableau de M. Robert Fleury représentant les encens de Louis XVI au Temple. Le jury a-t-il trouvé qu’il serait plus agréable pour le public d’assister aux angoisses du royal enfant martyrisé que de lui donner l’exemple de la plus grande résignation pour la plus grande des infortunes ?... Voici comment M.
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T7 N algunaspartesdelndias vían vn genero de pan¿ que llamánCa£aui,elq.ualfe haze de cieita^rayz,que fe llama Yuca. Es la Yuca rayz grande y grueíTa,la qual corran en partes menudas, y la rallan , y como en prenfa la efprimen,y lo que queda esvna como torta delgada y muy grande y ancha cafi como vna adarga. Eíla afsife- ca es el pan que conssmes cofa fin güilo y deíTabrida, pe ro, fana y de fuílento, por eíTo deziamos eflando en la Ef pañola, que era propria comida para contra la gula , por que fe pedia comer, fin efcrupulo deque el apetito cau- faíTe exceíTo. Es necesario , humedecer el Ca^aui , pa- ra comelia, porque es afpero, y rafpa': humedecefe con agua , ó caldo fácilmente , y para fopas es bueno , por- que empapa mucho, y afsihazen capirotadas dello. En leche , y en miel de Canas, ni aun en vino a penas fe hu- medece; mpaíTa,coi§]ohazeelpande trigo. Deeíle Ca^aui ay vno mas delicado , qne es hecho de la flor que ellos llaman Xauxau ^ que en aquellas pactes fe .> ' ÍL* ' Pfe- 24° De la btfloria natural de Indias: precia , y yo preciara mas vn pedazo depan, por duro y moreno quefuefíe. Es cofade marauiÍla,queel^Umo,4 agua que efprimen 4e aquella rayz de que hazeTn elCa^a ni, es mortal veneno,y fi fe bcue mata, y la fuftancia que queda es pan fano^omo eftá dicho. Ay genero de Yuca que llaman Dulce5queno tiene en fu £umo eífe veneno, y efta Yucafecameafsienrayzcozida,o aliada, y es bue Na comida. Dura el Ca^aui mucho tiempo, y aísi lo lle- nan en lugar de vlzcochopara nauegantes. Donde mas fe vfa ella comida,es en la sidas que llaman deBarlouen to,que fon como arriba eftádichojSanto Domingo, Cu- ba,Puerto Rico, Iamayca, y algunas otras de aquel para- je:Ia caufa es,no darfe trigo, ni aun mayz fino rnal Ei tri- go enfembrandolo luego nace con gra ndg frefcura, pe- ro tan defigualmente que no fe puede coger, porque de vna mifma femetera al mifmo tiempo vno eftá en ber^a, otro en efpiga > otro brota:vno eftá alto,otro baxo : vno es todo yerua, otro grana. Y aunque han lleuado labra- dores , para ver fi podrían hazer agricultura de trigo , no tiene remedióla calidad de la tierra.
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In the midst of the chaos, the crowd gathered at the jail, but the denouement was not enough. Men, who were tortured by the mob, were seen to be more vigilant. The incident, while looking for the negro, was a significant one. The jail, a symbol of the community, was a hub for the community. PUBLIC EVENTUALLY MUST FOOT THE BILL FOR EIGHT-HOUR DAY "Heard from the past, how many ways, the country," the convention, the commission, merchants, said he was positive his organization would be fuller investigation before the situation is passed. Robinsott, who said he represented short-line railroads, particularly in the South, protested against any legislation which would affect those lines. He represented two companies, largely financed by local capital, that... have never paid dividends, and whose train employees are not qualified to hold positions on the railroads. Presidents of Garrets Carter and Stone, of the brotherhoods, occupied the employees' last hour in debate. All of them reiterated that arbitration had proven a failure for the men, and insisted that responsibility for a strike, should one come, would be on the railroads for their failure to offer to deal with their employees.
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Nous allons plus loin. Nous supposons qu'on arrive à réaliser, – ce qui est encore à l'état de rêve, de recherche, de poursuite ou de chimère, – la navigation aérienne, qui fournira à l'homme des routes plus rapides d'un point du globe à l'autre. On dit que la science proclame la possibilité d'enlever en haut dans l'air des corps lourds, de se servir de couches d'air comme de rails pour faire courir des trains pesants (l'astronome de Washington, le savant Langley). On croit qu'on affirmera bientôt la possibilité de la direction des ballons. Mais alors, ce serait le renouvellement de la face de la terre! La base de l'existence serait déplacée, les conditions de la vie changées! Accordons tout cela; oui, une telle transformation emporterait le vieux monde. On dirait: À quoi bon continuer à mener le train de vie présent, puisque l'avenir doit tout changer? À quoi bon agiter la question sociale et tant d'autres problèmes, puisque un prochain avenir annonce l'inconnu? (Voir article d'Arthur Loth.) On aurait raison de tenir ce langage. Eh bien, sur les ruines du vieux monde détruit et dans les assises du monde nouveau, vous auriez encore le malentendu, du moment que vous auriez l'humanité. En attendant, débattons-nous entre les malentendus inconscients ou les malentendus voulus. J'appelle malentendus voulus, l'exploitation de la naïveté des individus ou des peuples, par motif d'intérêt ou d'ambition. Ce serait le cas, par exemple, d'un premier ministre, usant de tous les moyens pour se prolonger au pouvoir dans son pays. C'est, ce qu'insinuerait un journal protestant, à propos de l'attitude du premier ministre d'un pays voisin, en vue des prochaines élections. Selon cette feuille qui n'affirme pas la chose absolument...
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At a quarter past ten, two hours after leaving Rosthwaite, I reached the top of the hill, though not quite the highest part of the Stake, and Pike o' Stickle came into view. I proceeded on the path as far as a small pile of stones, which is exactly at the crown of the pass, and which marks the division of Cumberland and Westmoreland. On one side of this boundary the water flows down into Langdale, and on the other into Langstreth and Borrowdale. Here, according to the directions I had received, I quitted the path, and went over a boggy moor in an oblique direction to the left, aiming directly at the Pike o' Stickle. It caused some apprehension to perceive that the clouds occasionally tipped the Pike in their passage ; but as they again cleared off, and as on the best observation I could make they were not just at that time lowering, I determined to persevere. Yet I thought it prudent to notice, as closely as I could, the course of the gills, so that if the clouds should come down on the mountain, I might by following the water retrace my steps to the Stake. Again and again both Harrison Stickle and Pike o' Stickle were capped for a little while, but the wind carried off the clouds, so that I pressed on, and exactly at eleven o'clock I stood upon the pointed summit of Pike o' Stickle. LANGDALE PIKES. 309 The view down into Langdale is enough to make a person of good nerves tremble, though the top of the Pike is not so sharp a point as it seems from a distance. However I only stayed here a few moments.
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Przed kilku dniami podnieśliśmy na tem miejscu, jak szkodliwą jest dla frakcyi młodoczeskiej życzliwość i uprzejmość pewnych dzienników wiedeńskich. Od pe wnego czasu dzienniki te przestały się na rzucać z swojemi ra/ami i życzeniami a jeden z nich oświadczył kategorycznie, że | uie łudzi się żadnemi nadziejami na wypa dek zwycięztwa młodoczeskiej frakcyi, że dalej abstencya czeskich posłów od obrad sejmowych utwierdza powoli ludność cze ską w przekonaniu o bezstronności nie mieckich posłów w wszechstronnem uwzglę dnianiu życzeń calego kraju. To ostatnie twierdzenie poruszyło do żywego wszystkie pragskie organa opozycyjne, ale mimo to nie może być zaprzeczouem, Faktem jest bo wiem, że już w czasie ubiegłej sessyi sej mowej ludność czeskich okręgów wyborczych udawała się z różnemi prośbami do dzisiej szej reprezentacyi krajowej i Wydziału krajo wego, a prawdopodobne też że w czasie tego rocznej sessyi sejmowej liczba takich proźb nie zmniejszy się lecz raczej wzrośnie. Jest to wypadek na pozór małej wagi ale skutki jego mogą już w krótce osiągnąć decydujące znaczenie. Zdrowy rozum bowiem dyktuje, że bierny opór pewnej frakcyi parlamentar nej dotąd ma znaczenie polityczne, dopóki liczyć może na stanowcze poparcie masy wyborców. Jeżeli zaś ludność czeska pomi mo wyboru deklarantów, uznawać będzie legalność dzisiejszej reprezentacyi kraju i Wydziału krajowego w sposób tak dobitny jak dotąd, to usuwanie się posłów od obrad sejmowych, będzie tylko prostym aktem za uiedbywania obowiązków poselskich.
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nM, \Yu verly el?.lite, itke new. 1 rice. i ini; t;iiulnteri>. ne?\ tlree. MobcIi nitiRncto. i i ink' 'Vi*tiiiri?rc CO-horne power Price, ! . ?.\ I. stii'l?liak?r rutin bout. l'ricc. ijX !?; I'hIu" tout inj;- line ?on.lit.on. I rtcc. ! UNb" StuiiebnUer tourlnc. Il'te cnndltlon. ij.\ iV Mlt'Tiell. :.-paH?en(ter. rebuilt. I'rlce. I i il'lS l'or.1 runabout. Tricc. $200. i (jNi: I-'oril tourlux iCO-lnclt irea.lt. .oniHtloii. Price, f-'j.*.,. ONIJ 1 :? 1 ? llupnioblle. run i>.J>00 inllar. ex ! i client . omlilion Price, 5HiiO. ! ONI. IM:' Huptrioblle roadster. Rood con ditio;: 'Price. Il'jl'. Cull .. I PMVP.HSAI. Mt?Tt'?P. <*<J . INC.. u.'l-:i;? Wr-nt Itroed Street. Hlcltmond. Vft. ^UKOr" I"". ' "no- "l^-,iinliCu KOIl nale. IM'i-inodei I'onl lourliiif car. I i'I.k " nrl''* for ouicli . hhIi ?al?*. In nn e 1 vbw: ? . co.>d llre?. Addrejt, 1. VI-. care | Tlltu M.P&ltaleh) I sici": II > viwii in ti"<-tl Of k W11 Ron or bugKI*. I iv.- ar'- f-lllnz tlt< in m ' "."t and on "any t- r* .*? S. v. ral rccotid.Iihii.I ItuuKi'-H ?-|icii|?. <...." for barctilf.'- In I'ord cominercliil i iu.dlert A Mt'yer'w Honn, T.tl Kn?l t.'ury, I :.Vj7iiV . rTic-r t'lu-x-rob-t '..piiHsctnc r lludiion. pa????"? n^' r ' "??!*" T-p.-l^K'i c*-l" Will" St* '.-i.a-K-' <?'!* ' Iv.-rlatid r.-t.Rp-.eitj?er I'ord .ti fiot-'.. .i.dUioti | ?,'*or'\.1V. 'yottTII mr.HTII STUKBT ; Kofi I > tourlnc car. worth of cxtran: u??'d v* !!? IS'.'O. I-*or<l co?<l con I .littoil. A l: Tlllnr. 1-Vts We?l llroad I ulftPumrTi'r ? irT "with extra llmouplne I* bod-, for ??r ??xi'li.-nr"*: .-xcellent j on '?ll'ioi. llooin M?-relimit*' llitnl> Huildinir. ' rinT ri-ll..Id- ?lL*bl?-?'ltiK. lure new auto I mo-die-. ?1.*" P-I hour. <!. W. Smith. | Plione .Matllson 10*9.
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The furniture of the Hawaiians was as rude as it was simple. The floor was covered with a layer of dry grass, over which mats were spread. A wooden pillow, some baskets of braided wickerwork, in which the tapa or bark cloth was kept, a few calabashes of various sizes, which were used as water vessels and for table service, some wooden dishes, and a kind of rack called haJca frequently carved and well finished, but generally consisting of a tree branch provided with prongs. As a substitute for a lamp they lighted a palm leaf stem that served as wick which was fed by a row of oily candle-nuts. To complete their household outfit the rich were supplied with a feather fly-brush (kahiri) attached to a handle of wood or bone, which answered the purpose of a fan as well as a sunshade ; and as it was a badge of rank it was borne before them by an attendant. The ordinary dress of the Hawaiians was simple and unadorned.
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"We're ever so much obliged, Hugh," she answered, "but the street-cars go almost to Perry's door. We're dining there." Her eyes were filled with tears, and she seemed taller, more ungainly than ever — older. A sudden impression of her greatness of heart was borne home to me, and I grasped the value of such rugged friendship as hers — as Tom's. "We shouldn't know how to behave in an automobile," he said, as though to soften her refusal. And I stood watch- ing their receding figures as they walked out into the street and hailed the huge electric car that came to a stop beyond them. Above its windows was painted " The Ashuela Traction Company," a label reminiscent of my professional activities. Then I heard the chauffeur ask : — "Where do you wish to go, sir?" "To the Club," I said. My room was ready, my personal belongings, my clothes 406 A FAR COUNTRY had been laid out, my photographs were on the dressing- table. I took up, mechanically, the evening newspaper, but I could not read it ; I thought of Maude, of the children, memories flowed in upon me, — a flood not to be dammed. . . . Presently the club valet knocked at my door. He had a dinner card. " Will you be dining here, sir ? " he inquired. I went downstairs. Fred Grierson was the only man in the dining-room.
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Il ramassa des pierres qu’il lança dans leur direction, les traitant de brigands, de gendarmes, assassins, voleurs, cochons, fainéants, etc. Après une lutte énergique, tout en évitant les coups de pied et de poing que lançait cet homme, les représentants de la loi parvinrent néanmoins à se rendre maîtres de lui. Il a été conduit et déposé à la chambre de sûreté de la caserne de Nesle. Le gendarme Beauvais a été mordu à la main légèrement. Cet individu interrogé au sujet de ses méfaits a déclaré se nommer Leulnan Jules Oswald, âgé de 39 ans, sans profession ni domicile certain, né à Goyencourt, canton de Morel (Somme). Lenin a été l’objet d’un procès-verbal. Albert. — L’affaire François. — Il y a bien longtemps qu’on n’entend plus parler de cette vilaine affaire qui a passionné pendant quelques jours tout Albert. Nous pouvons dire cependant que François sera de nouveau interrogé lundi prochain. Une chemise présentant certaines traces qui ne laisseraient aucun doute sur la nature de l’attentat dont la petite Mourénal a été victime, a été confiée à un expert, M. Roguet, pharmacien à Péronne. Le rapport du chimiste a été déposé cette semaine et c’est sur les conclusions de ce rapport que François subira un nouvel interrogatoire qui sera probablement le dernier. Beauval. — Mme Pécourt, après avoir retiré du feu un chaudron d’eau bouillante, vaquait aux préparatifs de sa lessive. Trompant sa surveillance, sa petite fille Marie, âgée de deux ans et demi, s’approcha du chaudron et y tomba la tête la première. La malheureuse enfant mourut quelques instants après, dans d’horribles souffrances. Mme Pécourt dont la désolation fait peine à voir, a eu les deux mains entièrement brûlées en retirant sa petite fille du chaudron. Doutions. — Dans la nuit de vendredi dernier vers 12 heures, de lugubres appels « au feu » furent jetés aux quatre coins de la ville. Un incendie venait de se déclarer à l’Institution Notre-Dame. Un bâtiment d'assez grande importance, à usage de buanderie, a été complètement détruit. NORD Jeumont. — Curés fraudeurs. — Cette fois-ci c’est le tour des curés belges, qui, malgré les avertissements de la presse et les leçons données chaque année, à pareille époque, à leurs collègues, semblent ignorer qu’il y a des douaniers en France. Un train de pèlerins belges se rendant à Lourdes, passait en gare de Jeumont. Nos braves douaniers, qui ont bon œil, visitèrent soigneusement Messieurs les curés sujets à caution. C’est d’abord M.
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66 Swenson v. Metropolitan St. Ry. Co., 78 App. Div. (N. Y.) 379. »T Kerrigan v. Market St. Ry. Co., 138 Cal. 506. 68 Savannah, T. & G. of H. Ry. v. Williams (Ga.) 43 S. B. 751. (391) PART IV. EVIDENCE AND DAMAGES. CHAPTER XI. THE VALUE OF EVIDENCE. ! 141. Credibility of Witnesses in General. 142. Credibility as Affected by Interest or Bias. 143. Credibility as Affected by Corroboration. 144. Credibility as Affected by Contradictory Statements. § 141. Credibility of witnesses in general. The value of the testimony of witnesses is for the jury,^ and they may find negligence from the physical facts, al- though all the witnesses testified that there was no negli- gence.^ It is error to instruct the jury to consider the character of the witnesses as they know them,* and a judg- ment will be reversed where it is clear that the plaintiff's 1 Brown v. Washington & G. R. Co., 11 App. D. C. 37; Washington & G. R. Co. V. Adams, 11 App. D. C. 396; Kean v. West Chicago St. R. Co., 75 111. App. 38; Fox v. Oakland Consol. St.. Ry., 118 Cal. 55; Maxwell v. Wilmington City Ry. Co., 1 Marvel (Del.) 199; Hig- gins V. Wilmington City Ry. Co., 1 Marvel (Del.) 352; Chicago City Ry. Co. V. Young, 62 111. 238; West Chicago St. R. Co. v. Mueller, 64 111. App. 601; Kornazsewska v. West Chicago St. R. Co., 76 111. App. 366; Olfermann v. Union Depot R. Co., 125 Mo. 408. 2 Hunt V. Missouri R. Co., 14 Mo. App. 160. s Johnson v. Superior Rapid Transit Ry. Co., 91 Wis. 233.
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Off. Xunidiu velle debebit , quoad tt , quantum profi- cias , non pxn.tebit . Item in Somnio Scip. Orat, ad Brutum , lib. xn-ad Au ep. xxvn. &c. Item Livius non uno loco atque alii . Non dubito autem , quin hanc fignificationem refpexerit Agellius, cum, lio. xvn. cap. i. fer ibit , aliter hac voce, quam vulgo fiat , ufos antiquos , nempe ab co , quod eft pane vel panuria . Dc etymo tamen non portum fubfcriberc . Plane enim ccnfco figmficat Ionem hanc ex eo originem capere , quod cum quid parum preituirte videmur , fafli atque operis noftri noa t.edct pigetque . SerAper igitur a pana fuerit pani - t et , non a pane vel panaria . A panitet vero eft panit entia , quod Iccirco male per JE feribitur in aliquot antiquis boo* not* codd. ut refle ad EcL n. monuit Pierius. At ratio quam adjecit , fri- vola eft . Vult enim ( & , quod mirum , adftipu- lante Lraftno annot. in cap. m. Matth. ) pa niten- tium dici , quia pone teneat . Nam quis non videt pernitentium dici a panitendo , qua forma ab obtdiesu do eft obedientsa ; a favendo , faventia ? punit et vero per OE feribi debere , liquet cx eo , quod ( ut an- te diximus ) veniat a pana quod a Porro cx iis qu* de vocis origine attulimus, planum fit, id, quod & Laciant ius fcripfit , elegantius efic Gra- tum (a trans» , quam Latinum panitentia ; cum ia hoc foium fit dolor ob rem coinmiOam , in illo etiam mentis emenditio. A pana olim diaerc punio: unde pumbitur in antiquis infeript. legere eft . Sed pollcriorcs pro eo punio dixerunt . Itidem dicimus impune pro impane vel impoine . Ut 07 in OE , ita OE in V convenitur . Ita in iisdem infeript. legitur conare pro curare , & hoc pro curare : ludos pro ludos , uti hoc pro ludos : oitile pro utile , uti hoc pro ntsU , &c. Quod nunc quoque murus , id olim «arsi & moirus . Ennius : Hedaris gnatunl de muro jafiarier.
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El misino dia de esta batalla , desde el amanecer, emprendió el mutilado ejército de Bolívar su marcha de San Mateo hacia Magdaleno para cortar á Bóves , porque se calculaba que sería aquella la dirección de su retirada. Mas avanzó muy poco, á causa de que la artillería no podía seguir los movimientos de la infantería. El enemigo pasó aquella noche, y á las siete de la mañana del siguiente dia se supo la rota de Bocachica, y que Bóves se retiraba con dirección á Güigüe. Entonces la infantería y caballería independientes, dirigidas por el mayor general To- mas Montilla, corrieron en su persecución. Quiso Bóves hacerse fuerte en Magdaleno, ocupando una posición ventajosa; pero fué desalojado inmediatamente : lo mismo sucedió en la cuesta de Lluma y A la entrada de Güigüe. Siendo la marcha de los rea- listas por las márgenes del lago de Valencia, nuestras lanchas les hicieron un fuego vivo y acertado desde Magdaleno hasta VENEZUELA. — GAP. VI. 247 Guáica, el que les causó daños considerables aumentando el desorden de su retirada. Bóves tuvo en ella bastantes muertos, y se le tomaron cerca de trescientos prisioneros , mas de mil caballos y armamento, junto con otros artículos militares y gran parte de lo que sus tropas habían robado. Estas, según su costumbre, comelieron en los pueblos que dominaron multitud de asesinatos, violaciones, saqueo y devastación general. Mucha parte de sus equipajes era conducida por ancianos, mujeres y niños por no cansar los caballos, ni ocupar á los hombres útiles para la guerra. Gran número de aquellos desgraciados perecie- ron en la campaña por el hambre, las fatigas y los malos trata- mientos.
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Mit Beerdigung am Donnerstag nach dem Gottesdienst. 1 vor m. r. Marke Oerker von sagt bei ihren Einkäufen in diesen teuren Zeiten jetzt so manche Hausfrau. Da kann man ihr einen guten Rat geben: Wer sparen will, verwende täglich Kathreiners Malzkaffee. Er ist billig, dabei wohlschmeckend und durchaus unschädlich. — Billiger, einfacher in der Verwendung, dabei ebenso gut wie Vanille ist Jußvall-Gluß, 'Olympia' Laupheim. Auf Donnerstag Abend 8 Uhr werden die verehrten, aktiven Mitglieder und sonstige Interessenten ins „Lokal" zu einer wichtigen Besprechung, zwecks Gründung einer Sten Mannschaft eingerufen. Rege Teilnahme erwünscht. Der Kapitän. Garantiert reines Schweinezschmalz empfiehlt M. Rumpft, Delikatessenhandl., Rabenstr. gegen halb 8 Uhr in der Stadtpfarrkirche statt, wozu ich Verwandte, Freunde und Bekannte einlade. Laupheim, den 22. September 1909. Seb. San-Herr. Josef Neuburger, Inh. Mar Bach. Große Posten Bett-Tücher schöne Ware u. Dessins 130/180 ä M. 1. 140/190 M. 1.10, 1.25, 1.40 und höher, Trikot-Hemden, Hosen und Unterjacken in allen Preislagen sehr preiswert empfiehlt: Josef Neuburger, Inh. Max Bach Laupheim. Sterbe-Jahrstag für meine geliebte Frau Genoveva Sandherr, geb. Herrmann, findet am Samstag den 25. September. Ein tüchtiger Schweizer wird eingestellt. Schlotzgut-Verwaltung Laupheim. Heute Mittwoch Mehlen-Suppe, wozu höflichst einladet Remmele zur „Krone." Teile meiner werten Kundschaft ergebenst, dass ich meine WMN Bade-Anstalt wieder selbst weiterführe und ist jeden Freitag und Samstag Vormittags 10 Uhr aufgeöffnet. Hochachtungsvoll Ludwig Mancher. „Es ist kaum noch zu bezahlen“ — Todes-Anzeige Gott dem Allmächtigen hat es gefallen, heute Nacht um 1 /» Uhr unsere liebe Mutter, Großmutter und Schwiegermutter Franziska Leicht W geb. Hohensteiner, versehen mit den hl. Sterbesakramenten MM im Alter von 91 Vz Jahren zu sich zu rufen. Um stille Teilnahme und um das Gebet für die Verstorbene bitten ich. Laupheim, den 21. Sept. 1909. Die trauernden Hinterbliebenen: Una Müller, geb. Leicht, Maria Pfalzer, „ „ Die Schwiegersöhne: Franz Müller, Konst. Pfalzer. Ml Josef Neuburger, .Inhaber Max Bach. Umbau halber öin ich genötigt mein Lager in kommender Wintersaison rasch zu räumen, mesfjatö sämtliche Artikel zu znrnckgesetzt äußerst billigen Preisen verkaufen und liegt es im Interesse jeglichen Käufers meine Preise und .Qualitäten zu prüfen. Josef Neuburger, Inhaber Max Bach Laupheim. Dr. Oetker’s z“ Ein Päckchen für 10 Pfg. entspricht 2—3 Stangen guter Vanille.
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Le retour fut lui aussi des plus agréables et les excursionnistes n’ont qu’un désir : que les dirigeants de ce groupement amical organisent le plus souvent possible des sorties familiales aussi agréables. UNE SANGLANTE BAGARRE ENTRE LES FRÈRES DELORME DE LA FAMEUSE « VALLÉE » Hier, dans la soirée, une bataille a mis aux prises deux des frères Delorme, Emile, 24 ans, et Lucien, 33 ans, tous deux étaniniers, et demeurant avenue de la Raye. Les frères Delorme ont déjà bien souvent fait parler d’eux dans maintes batailles à Chantenay ; cette fois c’est entre eux qu’ils ont voulu vider une querelle. Vers 21 heures, les gendarmes du chemin de l’Abbaye étaient avisés qu’un homme très sérieusement blessé était emmené de l’immeuble situé 25, boulevard de la Liberté, à l’Hôtel-Dieu, par l’ambulance des Prompts-Secours. Le chef de brigade Percheron et le gendarme Morhais se rendaient aussitôt sur les lieux puis accompagnèrent le blessé à l’Hôtel-Dieu. Mais le « roi des donneurs » et ses frères n’aiment guère faire connaître aux gendarmes les motifs de leurs querelles. Le blessé Emile qui portait trois plaies béantes, l’une à la cuisse, la deuxième à la hanche, la troisième au côté gauche, ne voulut point donner beaucoup d’explications sur ses blessures ; le chef réussit cependant à savoir que Emile Delorme avait été frappé chez lui, avenue de la Raye, par son frère Lucien, à coups de lime. Après la bataille, Emile s’était réfugié chez sa sœur, boulevard de la Liberté, où les Prompts-Secours étaient venus le chercher. Quant aux motifs de la rixe, Emile Delorme ne voulut point les faire connaître. À l’Hôtel-Dieu, l’état du blessé a été jugé grave. La blessure du côté gauche en effet est très profonde et les chirurgiens ne peuvent encore se prononcer. Lucien Delorme qui, après avoir frappé son frère, est resté chez lui, sera arrêté ce matin à la première heure par les actives gendarmes de la brigade du chemin de l’Abbaye. Les Ulcères de l’Estomac vaincus par ce Traitement nouveau Il est maintenant formellement reconnu que même les ulcères de l’estomac et du duodénum sont guéris par la < Formule Macéan », employée actuellement dans de grands hôpitaux pour le traitement des troubles digestifs.
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PRESS PIUISES PRESIDENT U NEWSPAPERS OF AMERICA LAUD REPLY OF PRESIDENT TO GERMAN PEACE NOTE I Never has a president of the United States struck a more popular chord than did President Wilson by his dignified yet firm rejection of Germany's offer to accept his terms for ending the war. Following are a few editorial comments from leading newspapers on the president's reply: New York Tribune—Why in growing correspondence with Germany is the word surrender tabooed Why is it that we cannot talk as fight? * * * We are negotiating! with Germany toward an armistice— Does the American toward peace, government know the heart of the American people, and how it sinks each further expectation is so vaguely disappointed? New York Herald (German)—The principal point in Mr. Wilson's note is that part in which insists on a change of government Germany. * * * military party thinks to win by camouflage they are hopelessly mistaken. Washington Post —Humanity cannot fail to applaud the decision taken by President Wilson in behalf of the United States and the allies and conveyed to the German government in manner that gains terrible significance and finality by the restraint of the language employed. The note nothing less than a sentence of death upon the Hohenzollern military system, pronounced by the spokesman of the civilized world, now in arms and actually executing the sentence. Voice of America.
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Januar bis August Stat. Warenbezeichnung n 1928 Nr. Menge Wert Menge Wert dz 1000 RM da 1000 RM 1 Roggen 262 963 5 3401 2 892 912 64 725 24a ] Weizen. 1879 586 39 139116 2911160 391 693 1624 ] Roggenmehl. 47 2 5 643 100 1629 Weizenmehl. 25 700 708 261 990 8 234 3a] Gerste zur Viehfütterung. 1 563 438 28 16310 259 506 207 179 3b] Andere Gerste 112 165 2 188 1 660 393 38 288 ,,, 4 398 1 233 067 25 124 134 ][ Milchbutter, Butterschmalz] 110 122 36 648 819 295 276 796 135a / ef Käse (Hart. und Weichkäse) 66 821 11 255] 406 301 68 803 Statistisches Reichsamt. J. V.: Bramstedt. Über den deutschen Arbeitsmarkt bis Mitte Aug 5 1928 gibt die Reichanstalt für Arbeitsvermittlung und Arbeitslosenversicherung folgenden Überblick: Die allmählich zunehmende Verschlechterung der wirtschaftlichen Lage in den letzten Wochen war auf dem Arbeitsmarkt deshalb nicht so gut eingetreten, weil durch die saisonbedingte Aufnahmefähigkeit der Landwirtschaft und durch die im Verlauf des Sommers etwas gelockter gewordenen Finanzierungsverhältnisse auf dem Baumarkt dem Arbeitsmarkt Kräfte entzogen wurden, die den Zustrom Arbeitsloser infolge der Entlassungen aus einzelnen Industrien im allgemeinen ausglichen. Mitte August sind die Ernte-arbeiten in der Landwirtschaft im vollen Gange, und Neuanforderungen von Arbeitshilfskräften sind kaum mehr in größerem Umfang zu erwarten. Auch die Zahl der gegenwärtig beschäftigten 1 312 — 7 * 5 4 5. UN N 1 N 5 1 5 7 2 56 2 2 2 0 2 1 2 1 f 42 1 2 K. 1 ö TTTTTTTTTTTTVTTDTTTTT—TTT—TTTTTTTTTTTTTT+TTTT++—XꝓXtTW....———ꝓꝓ— Z——à—‚—¼ a ͤ 5 Bauarbeiter wird sich in den nächsten Wochen kaum erheblich verändern, wenngleich trotz der vorgeschrittenen Jahreszeit noch mit einem gewissen Neuzugang von weiteren Banden zu rechnen ist, der aber kaum mehr Arbeiter beanspruchen dürfte, als durch die Fertigstellung von Neubauten wieder frei werden. Die von den Außenberufen bisher ausgehende Belebung dürfte auch einem gewissen Stillstand weichen, dass die bisherige Depression in einzelnen Industrien auf dem Arbeitsmarkt merklicher zum Ausdruck kommen kann. Eine erheblich schärferer Verschlechterung des Arbeitsmarktes ist jedoch zunächst nicht zu erwarten, da in einzelnen Industrien in der zweiten August-Hälfte sich die Aussichten etwas verbessert haben, so dass zum mindesten weitere größere Entlassungen nicht zu erwarten sind. Soweit bis Ende Juli die "von Arbeitsuchenden bzw.
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J^OS Indios del Piru antes de venir Efparto íes, ningún ^genero de efcritura tuuieron, ni por letras, nipor ca- fa ¿ler es, o cifras, o figurillas, como los de la China, y lo* de México, mas no por effo conferuaro menosla memo fia de fus antiguallas , ni tuuieron menos fu cuenta para todos los negocios de paz, y guerra, y gouierno. Porque en la tradició de vnos a otros fueron muy diligentes, y co mo cofa fagrada recebiá,y guardauanlos mo^os , lo que fus mayores les referia,y có el mifmo cuy dado laenfeáa üaa fus fuceífoies. Fuera defta diligécia,fuplia la falta de efcritura y letras:parte co pinturas como los de México, aunq las del Piru eran muy grofferas y tofcas : parte y lo mas con Quipos. Son Quipos vnos memoriales, o regí- ftros hechos de ramales,en q diuerfosñudos, y diuerfas colores fignificadiuerfas cofas. Es increyblc lo q en eíle modo aIcanyaró,porq quato los libros puede dezir de hi {lorias, y leyes, y ceremonias, y cueras de negocios, todo eífo fuplen los Quipos tan puntualmente q admira. Auia para ten^r eflos Quipos o memoriales, oficiales diputa- dos,q fe llama oy dia Quipocamáyo , los qua ies era obli gados a dar cuenta de cada cofa como los efcriuanos pu- / blicos aca,y afsi feles auia de dar entero crédito. Por q pa ra diuerfos géneros como de guerra, de gouierno, de tri- butos, de ceremonias , de tierras, auia diuerfos Quipos, oramales.Y encada manojo deílos tatos ñudos, y fiudi- cos,y hiíilios atadostvnos colora^dos'.otros verdes: otros azules :otrps biácos: yünalaíétetatas diferecias,q afsico tnq < t Libro Sexto' 41* i&éñofetrós Je veyntey quatroletras guifandolas en di Teretes maneras Tacamos taca infinidad de vocablos , afsi eftos de fus ñudos, y colores facauá innumerables íigfli - ficaciones de cofas.Esedo demanera q oy día acaece en el Pmi, acabo de dos y tres añosquado vaatoroarrefidé da a vn Gorregidor/alir los Indios co.fus cuentas menú das, y aüeriguadas,pidiédo q en tal pueblo le dieron íeys gueuos, y no los pago, y en tal cafa vna gallina , y aculia dos hazes de verua para fus cauallos,y no pagó fino tan- tos tomines, y queda deuiédo tatos: y para todo edo he- cha la'aueriguació alli al pie de la obra có calidad de ñu- dos y manojos de cuerdas quedaportedigosy efcritura cierta.
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Ofdrzieecnie przez faszym doktryny o śródłach władzy I nianie za jet iedvna sródły wali zoreanizaw anet mniejszości nosłuonipeaj sie metodami t. zw. „aken Iwznośrednieić CZYT owaltu, iest eotnie szyzm mimo wszystkie przeciw ieństwa, |eiom sie na stanowiska piamał nrehisto jakie go dzielą od socjalizmu i komuni l KAZIMIERZ ZTOBNICKI. ŚWIĘTO UMARŁYCH. (Dokończenie). Ces wodził wystraszonemi oczyma po thi mach żehractwa. u serce ściskało mu się w piersiach z trwogi i obrzydzenia. Wpatry wały sie w twarzyczkę dziecka wybludłe, zne kane, cierpiące oczy. Zewszad wyciągały się| llagalne ręcc, ze wszystkich stron płynęły abożne śpiewy, żarliwe madły, natrętne wośby, pluczliwe skargi lamenty, biadania. sayki, jęki, szlochania — wszędzie słychać „Ażwięki lir, granie harmonij i kałarynek, we piskania skrzypiec. Zdawało sie chłop ykowi, Że wszyslkie zle moce wywleglv na piekieł, że wszystkie cemenlNne upio widma, koszmary i majaki, o których sie e nasłuchał, wyrojły się lej nocy z pod mnych lochów. pieczar i czeluści, aby dro ć i straszyć ludzi. A ponad tym tłumem żebraczym płonał mtarz, świeciły nieprzebrane, nieprzejrza| roje świateł, bezbrzeżne morze roziskrzo h, migothwych gwiazd. Wyżej, na niebie, b zwieszone chmurv zalliły się już od „świateł i płonęły gorącą, ciemno-puptu' luna Mas z mamusia mingt bramę nalazł się na niewielkim plaru, skąd roz ały się aleje cmentarne we wszystkie nnach Wszędzie, gdziekolwiek spojrzeć, jprobrwcach, n.ięfzy drzewami. p'łno pło u aR Ma seo mien a i eal "mentarną ryvczne: do okresu hordy z właściwem jej | czerwonych, Gdzie okiem rzucić — marmuro krzyże, strzaskane kolumny, kraty, ciężkie łańcuchy, akute drzwi żeła Białe po w białych, szklanych. we grobowce, czarne 1 pozłacane ogromne płyty kamienne, zne, wiodące do lochów grobowych.
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No negarlas, suele bastar. Yo suspendo m¡ juicio , y vuelvo á deciros sin determinado intento de malicia ó de advertencia, que soy Castro , y ahunque viejo, esta sangre no es de aquellas, que declinan con el tiempo. mi*. al use, 4$ D. GASPAR* ¡Que graciosa prevención para mi humor! JUANA. ¿Caballero? D. GASPAR. ¿Quién es? JUANA. Una mujer soy* ¿No me veis? D. GASPAR* Cómo be de veros: ( no parecece -mala moia ) áf* si es vuestro manto tan necio, que entre dos que bien se quieren, se pone. JUANA. ¡Ya nos queremos! Cierto , que no lo he sentido. D„ GASPAR. Ni yo tampoco lo siento; pero dicen los Poetas, que suele entrarse en el pecho, sin que se sienta , el amor: y sí es de este modo .esto, quizá nos queremos bien, sin saber , que nos queremos: fuera de que es la hermosura 4* B& AMOR ahun en el manta avariento::: JUANA, No digáis mas ; que ya sé, que pecáis de lisonjero, embaydor y mentiroso. D. GASPAR, Como de esas cosas peco; pero pues tenéis mis señas, sepa yo, por quién me pierdo. JUANA, ¿Qjiereislo ver? r>. GASPAR. ¿Lo dudáis? JUANA. Miradlo bien. D. GASPAR. Bien lo vec. JUANA. Pues yo soy. destapase. D. GASPAR. ¡Mi Juana hermosa! No en vano estaba mi pecho tan hallado, JUANA. Las lisonjas dexad ; que á traheros vengo un recado. AL uso. 47 D. GASPAR. j Tú, xcc&dol * ¿De quien es? I UANÁ. Del dueño vuestro. D. GASPAR. Será tuyo. . TÜANA. Ello dirá; escúchame muy atento* Mi señora Doña Clara de Castro:;: T>. GASPAR. cYa ya te entiendo. jHas averiguado algo? Anda : no me pidas zelos de Clara; que ya pasó.
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AVIS — Nous tenons tout d’abord à remercier bien vivement ceux de nos lecteurs qui, comprenant que la Revue a de grosses responsabilités financières — et que le prix de l’abonnement est évidemment modique —, nous ont envoyé des mandats destinés soit à soutenir notre effort soit à accroître le nombre de services gratuits de la Revue dans divers milieux de jeunesse, et spécialement les sénatorial. La Revue s’excuse de n’avoir pas répondu individuellement à chacun de ces amis. — Nous venons de parler de charges financières. Cela ne nous empêche pas d’avoir de grandes ambitions. Si les circonstances le permettent (et très spécialement si le renouvellement des stocks de papier demeure possible), la direction de la Revue envisage d’en rendre bimestrielle la publication à partir d’octobre. Nous venons vous poser la question suivante : Avez-vous avec plaisir deux fascicules de la Revue, moins importants, évidemment, que celui que nous publions actuellement, et paraissant le 1er et le 15 de chaque mois ? — L’augmentation du prix du papier et des frais d’expédition nous obligera peut-être, dans un avenir prochain, à rendre plus élevé le prix de chaque fascicule pour la vente au numéro. Comme nos grands confrères, les journaux quotidiens, nous avertissons donc nos lecteurs non abonnés de l’avantage qu’ils ont encore à souscrire un abonnement : Celui-ci pourrait commencer, pour ceux que cet avis intéresse, avec le numéro du 15 juillet. — Chaque jour nous arrivent de nouvelles adhésions. L’augmentation continue de notre tirage est un grand encouragement. Mais puisque, semble-t-il, la Revue contribue véritablement, dans beaucoup de milieux de jeunesse, à une formation humaine profonde, nous songeons à tous ceux et à toutes celles qui ne sont pas encore atteints. Diffusez donc la Revue, entrez en rapport avec l’organisateur de votre région et réclamez-nous des tracts et des spécimens. On nous a demandé de reculer l’échéance du concours dont la Revue a parlé dans son numéro du 15 mars. Il suffit que les manuscrits soient remis pour le 15 juillet. Rappelons le sujet du concours : « La vocation de la France, fille aînée de l’Église. » Enfin, signalons que la Vie Spirituelle prévoit un « abonnement de vacances ». Celui-ci donne droit aux trois numéros de juillet, août, septembre, pour la somme de 12 francs. Que les amis de la Vie Spirituelle saisissent cette occasion de faire connaître la revue (Administration : M. Pierre Bernard, 12 rue Verdunet, Saint-Etienne).
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ward we iaet in the street • he was with two other youngsters, and gave me a polished alad distant bow. In another week he passed me as if we had never met. "I don't blame him, poor boy. My only wonder is that any of them ever get through this place without being thoroughly spoilt. From vice-chancellor down to scout's boy, the whole of Oxford seemed to be in league to turn their heads, even if they come up with them set on straight, wliich toadying servants take care shall never happen if they can hinder it. The only men who would do them good up here, both dons and undergraduates, keep out of their way, very naturally. Gentlemen-commoners have a little better chance, though not much, and seem to me to be worse than the tufts, and to furnish most of their toadies. " Well, are you tired of my railing ? I dare say I am rabid about it all. Only it does go to my heart to think what this place ihight be, and what it is. I see I needn't give you any more of my experience. "You'll understand, now, some of the things that have puz- zled you about me. Oh ! I know they did. You needn't look apologetic. I don't wonder, or blame you. I am a very queer bird fol" the perch I have lit on ; I know that as well as any- body. The only wonder is that you ever took the trouble to try to lime ine. Now have another glass of toddy. Why ! it is near twelve. I must have one pipe^ and turn in. No Aris- tophanes to-hight." CHAPTER IX. A BEOWN BAIT.
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Caritegie's testimony to financial dithcuUies of industry in I'uiied Statss. netwith- statrding Protection. tiJ. ^lA-nW : Trade not very bad after all. Sir James Kitson's tcstimonv, price of shares, 152. /uinv:,'' : L.ai\;e increase of exports, 237. /fich- .K,:,'i : Ftlect of utilisation of phos^^horitic ores on preKlvietion of steel, 2o5i ; how import duties on iron would atlect us m competition with the w orld. 200. Jam and Pickles, C.i.!''!\-n\:irt : A subistitute for sv.gar industries, 54. 25S. Jenkins, Sir John. AV^iV/y ; His testi.nony as to the tin-plate itidustrj-, It6. Jewellery Trade. C-;.iw^;^'-A;/« . Statistics of decline, 259. Kitson, Sir James, .'.''.'o '■ His testimony as to condition of iron and steel trade. 152. 330 Land Laws. Campbell- Banmyman : Our present system greater peril than foreign tariffs, 128. Laurier, Sir Wilfrid {Canadian Fremisr). — CMmderlaiti: In favour of pre- ferential system, 256. Asquith : Canadian preference not a quid pro quo, 68 ; what would he say to proposal to stereotype colonies' industrial posi tion ? 69. Rosebeiy : Why he gave us the Canadian preference, 114; his testimony that British Empire can only be maintained upon absolute freedom, 118. Moiley: His statement that abandonment of Free Trade will Umit purchasing power of people, 151. Hicks-Beach : His desire for preference from mother country in return for increased preference on part of Canada, 272. Leather. Rosebery: Manufacturers largely dependent on imported leather, 295. Hicks-Beach : How import duty on, would affect leather trades in competition with the world, 269.
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i . oraj i a si 2 le zys Przedwczoraj wieczorem wybuchł pożar w aa ORG, się przed. sadem. A] a Ę : 2, S rozprawa braci Tenetów. Stefan T. utrzymywóś re „zy m ŚW ONE: dad NOO “|w r. W18 stosunek z Anną Kohut w Kulowej $ . E e m S . a i o A wszystkie zapasy, wyrządzając znaczne straty Gdy Kohutówna zaszła w ciążę, a przytem Mx pom, 3 grażała się, że nie dopuści do małżeństwa Tenety | y OW | A . . K «. aae nn A i E PPAWEC | z inną, Stefan T. postanowił się jej pozbyć. Wie| DOE a czorem 25 lutego 1919 przyszedł z bratem dom Kohutówny, wcisnął mu w rękę rewolwer ! kazał strzelić przez ókno do odmawiającej wła* |śnie pacierz dziewczyny, Skutkiem celnego strzałl | Kohutówna zmarła po paru tygodniach na zæ | palenie otrzewnej. Drugi z braci oskarżony był ponadto o cię? Z kroniki kryminalnej, | Z początkiem kwietnia b. r. na polu koło Do |maszowa pow. rawskiego znaleziono poranioną i e Eda © R, WB kie uszkodzenie „ciała, zadane H. Seńczukównići Lwowie. Śledztwo ustalilo, że zbrodni dokonat|U Której Skutkiem kopnięcia nastąpiło przed Franciszek Ataman z Rzeszowa, który usiłował | WCZESNE rozwiązanie. (zamordować Swierkową w celach rabunkowych.| . Po zatwierdzeniu pytań | Ataman zrabował jej 20.000 mk. i zbiegł. Policya Siegłych zapadł wyrok. skazujący obw. bra w ostatnich dniach ujęła bandytę i odstawiła go 15 lat ciężkiego więzienia. do sądu we Lwowie. Obrona zastrzegła sobie 221 mysłu, Wi powiecie kolbuszowskim ujęto Franciszka Lewińskiego. Dokonał on licznych napadów ra | bunkowych. Stwierdzono, że jest to ten sam osob nik, którego poszukiwano listami gończym: pod nazwiskami Józefa Fila i Józeia Rzesztitka.
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The question of management naturally occurs in any company, no matter how promising its prospects may appear. In going into the Medina association, Messrs. David and Lewis obtained the control of the stock of the association, and can dictate its management and policies. In doing this, it was without any thought of personal pay, their pay will come only in dividends but to insure that their promises to those who buy stock in this will be carried out. Before leaving the present officers should direct the management of the company. The development work for the balance of the year, but cut the payroll so that the entire expense of conducting the business will not exceed $250 a month, while the development of its affairs will call for an expenditure of about $7000 a month, and require the personal oversight of an experienced mining engineer at all times. This makes the Medina Association a Moscow company so far as the control and management concerned. We will be glad to meet and explain any further details to anyone at any time. Respectfully, F. A. DAVID, M. E. LEWIS.
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SATURDAY ONLY MATINEE AT 2:00 SPECIAL MATINEE 10c—ALL SEATS—EVERYBODY—10c SECOND SHOW 3:40 FIRST SHOW AT 2:00 ATTRACTION EXTRAORDINARY POLA NEGRI IN GYPSY BLOOD 99 THE LOVE LYRIC OF A WONDER WOMAN—Paralleling "Passion" in Artistic Splendor Outstripping it in Wonder-lure! Come with Pola Negri through the languor-lanes of Old Seville, where the days are hot and slow, and the nights deep—purple—incensy: Hers is the art that brooks no limit. To bind is to destroy a glorious creation. Hers the fascination that transcends mere beauty. To deny it is to mock the appeal of an Incomparable woman. Thousands will pass before you. Kaleidoscopic panoramas will amaze you. Swift sweet flashes of wonderful wooing will call to you. But above all you'll ever remember the thrall of the Enchantress who holds a humble soldier with a love as ecstatic as the love of the world's Immortal Beauties.
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§ VII. Il terzo frutto è di portare le nazioni trafficanti alla pace, come lo dice bene l’autore dello Spirito delle Leggi; e ciò per due ragioni. Primariamente, perchè la guerra e il commercio sono così diametralmente opposte cose, come il moto e la quiete; di modo che dove il commercio si ama, non è possibile di seguitare la guerra, se non fosse per sostegno del commercio. Secondariamente, perchè il commercio unisce le nazioni con reciproci interessi, i quali non possono sussistere se non nella comune pace. Egli è il vero che non di rado la gelosia del guadagno e dell'impero porta le nazioni al conflitto; ma più spesso il comune interesse alle estraordinarie e fortunate guadagni che alcune nazioni traggono dal commercio, le induce alla pace e ai reciproci sacrifici necessari per conservare alle nazioni stesse la pace e il benessere.
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29 août. Tandis qu'ici, Paoli, ARRIVÉES du 29 Août. VI.Gl.lt, 26 août. Celle, 28, vapeur français Emir, 77s tx, cap. Kninceschl, avec 242 tx divers pour divers; Compagnie Mixte ; 81 passagers, dont 11 militaires. AU-VER, 27 août. va. fr bastiais, 503 tx, cap. Grades, avec 50 tx divers, 2432 moutons, n divers, nan. A MAI caillot-Douville, de Montreuil et Cie, 45 passagers. AUVER, 27 août. va. fr. Alger. 906 tx, c. Calatine, avec 2793 moutons, p. divers, Agence Maritime ; 117 passagers. AEGHERO, 17 août, goélette espagnole Industria, 39 tx, cap. Serro, avec 1.500 kilos mangoustes pour M. Estalella, ainsi que la goélette. BUXE. 27 août. vapeur fr Berry, 845 tx,avec 300 tx divers, 3949 moutons p Société Générale ; 85 passagers. linos Vit Y Es. pr août, Monde vivant, 2. Sanvis, 5 ; Rio-Juiniény, 8, Dahlias, 12, Dakar. 19, Las Palmas, 22. va. fr. Bordeaux, 2128 tx. c. Fabre, avec 1635 tx dl. p. divers, Société Générale ; 224 passagers. Il VIE. 17 Juillet, trois-mâts italien Adolfo-S, 429 tx, cap. Lazzarmi, avec 629 tx bois et dunettes à ouille, navire à M. Crémeaux. Il LIE. 10 août ; Cette, 28, vapeur autrichien Hileficienter, 1.450 tx, cap. Nakhrovich, avec 600 tx dœufles à ordre; navire à M. Crémeaux. GENES. 27 août, trois-mâts Italien Nello, 41 tx, cap. Lavina, sur lest, navire à M Barry. KOTKA. 4 août ; Danube, 12 ; Alger, 27. va. dan. Sontsferuen, 1318 tx, v. J'arsen, avec 650 tx bois, à ordre ; nan. à M. Ouo Knapp ; passé le détroit 18 courant. A CJOTAT, 26 août, bateau français Jeune-Bien, 4 tx cap. Carlin, avec 50 tx pavés pour M. Champion ; navire au capitaine. A CJOTAT, 29 août, b fr. Charles-Aurèle, 24 tx,c. Simon, avec 50 tx pavés, p. M. Champion, nan. au capitaine. A CJOTAT, 29 août, b fr Le Conle, 24 tx, cap. Ruiz, avec 50 tx pavés, p. M. Champion ; nan. au capitaine. NAPLES. 19 août ; El Ferrol, 21, Liaborme, 23, brun, 26, vapeur français Italia, 535 tx, cap. l'état, sur le bel ; Compagnie de Navigation Française ; détroit, 24 courant. ORAN. 26 août ; Arzew. 37. va. fr. Ville-de-Sousse, 1117 tx, c. Navorotski, avec 568 tx div., 5000 moutons, p. divers ; Cie Franco-Tunisienne ; 29 passagers. ORAN. 27 août, va. fr.
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On dut cette suspension imprévue au zèle et aux efforts des deux sœurs, la reine de France et celle de Hongrie, qui ne cessaient de travailler à réconcilier les deux monarques. La guerre des Pays-Bas avait ravagé les provinces frontières des deux états, sans aucun avantage réel pour les deux partis. Les Français et les Flamands regrettaient également l'interruption de leur commerce, qui faisait leur bien commun et Charles et François, qui avaient épuisé leurs sujets pour soutenir les opérations dispendieuses de la campagne précédente, virent qu'ils ne pouvaient alors entretenir dans ce pays des armées sur pied sans affecter leurs opérations dans le Piémont, où ils voulaient tous deux faire les plus grands efforts. Toutes ces circonstances secondèrent les négociations des deux reines et on conclut une trêve qui devait durer dix mois, mais qui n'avait lieu que pour les Pays-Bas. La guerre se faisait toujours avec beaucoup de vivacité dans le Piémont. Charles et François n'étaient pas, il est vrai, en état de faire des efforts proportionnés à leur animosité mutuelle; mais ils continuaient les hostilités comme deux combattants que la haine soutient encore lorsque leurs forces sont épuisées. Les mêmes villes étaient désolées.
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SEntemiam , ex qua denegata fuit exeeutio Gratis Apoliolica:,dc controucrlisBcneficiH,a Promonto- rio obtentis, iterum DD.p€rfiftendoindccifis,cot.Me46* 7. Decembris proximi, ex capite iniullitue intirmao Jam eifc, hodie cenfuerunt ; quia cum cx fententia Ordinari; confiet,lufpatr.laicalecor>eofuific probatum, o.tm^que alia contenta in d.graiia appareant iuM 'ficata, vnque il- la,dc lure, venit cxequcnda^yTr^r/w/o/^ qoegl- verb.exe- t nuatur dc Prxb.1n6.R0t.dec.91 num. 1 1 .quxft.drec. Non obilat^enuo^reptiuuM ooi<rtiu.» ,quod l)-Pro- moniorius nou dotvat fc fuifle prsuntdtuin k maiori parte Patronorum,iuxticondit'oncir k Pontifice, in li- teris cius prouifiomsappofiiam , fi dematur medietas vocum Io: Antonii, Barnabs, -Sc Hieronymi tratrum de Grcffis, quas poli morten Mm ia. illorum neptis, 6c do- natanx , integre trdtifijllc prxienditui , ad Claram ip- fiusiiliam,dr vmucrialem hsrcocm, quxprxfentauit Contardum , non autem pro ncdieutcfpctiaread An- nam alteram aiaidem Maris filiam, qux prslcmauit ipfum 164 Deciflones Sacra? Rotae Romanse. ipfum Promontorium ; Siquidem, cum dd.fratres, con- templatione certi , & determinati Matrimonii donaue- rintd. Mariae, ciufque filijs nafcituris , & in eorum defe- dlum filiabus facminis, filij etiamfi fuerim principaliter contemplati , adeo vt tot cenfeantur fadix donationes , quot fimt perionx, vocat* , & quaelibet earum recipiat , a cx prouidentia donantium , non autem a prxdidia do cataria > Idcoque Anna fuccefsit xqualiter cum forore, in lurepatr. ali jfque bonis donati$,quamuis a matre, qu* fine mafcultfdecefsit , non fuerit principaliter inftituta 5 CX Rot.cof. Meri dec.404. num, 1 7. m Rom. Apothtcar. 1 7. yi/4.7 i6$Ccor.Ceifom Rom. Donationis 3. lunij 1658. cor. Reucrendifs . Detono.
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Seit der Begleichung an hohe Stellen und der Wiedergewinnung von Stücken, ist die Seaufgabensache, die die Bertheilung der Stücken, die der Öffentliche Staat dem Eigentümer zurückgibt, ein wichtiges Thema. Die Regierung hat die Pflicht, die Souveränität des Staates und die Rechte der Bürger zu verteidigen. Darum muss auch die Wiedergewinnung der Stücke, die der Staat dem Eigentümer zurückgibt, nach der gesetzlichen Bestimmung erfolgen. Dies gesetzliche Bestimmung ist nac dem Gesetz vom 3. Juli 1793. Die Konnektionen und der Handel, die die Beziehungen zwischen dem Königreich und den anderen Ländern regeln, sind von wesentlicher Bedeutung. Die Königlichen Finanzbehörden haben die Aufgabe, die Einnahmen des Staates zu verwalten und die Ausgaben zu ordnen. Die Verwaltung des Eigentums und der Rechte des Königreichs ist ein wichtiger Teil dieser Aufgabe. Darum muss auch die Wiedergewinnung der Stücke, die der Staat dem Eigentümer zurückgibt, nach den gesetzlichen Bestimmungen erfolgen. Dies geschieht nach dem Gesetz vom 3. Juli 1793. Dieses Gesetz regelt, wie die Stücke, die der Staat dem Eigentümer zurückgibt, die Öffentliche Staat, die Stücke, die den Öffentlichen Eigentümern zurückgegeben werden, und wie die Stücke, die den Privatpersonen zurückgegeben werden. Die Regierung hat die Pflicht, die Souveränität des Staates und die Rechte der Bürger zu verteidigen. Darum muss auch die Wiedergewinnung der Stücke, die der Staat dem Eigentümer zurückgibt, nach den gesetzlichen Bestimmungen erfolgen. Dies geschieht nach dem Gesetz vom 3. Juli 1793. Dieses Gesetz regelt, wie die Stücke, die der Staat dem Eigentümer zurückgibt, die Öffentliche Staat, die Stücke, die den Öffentlichen Eigentümern zurückgegeben werden, und wie die Stücke, die den Privatpersonen zurückgegeben werden. Die Königlichen Finanzbehörden haben die Aufgabe, die Einnahmen des Staates zu verwalten und die Ausgaben zu ordnen. Die Verwaltung des Eigentums und der Rechte des Königreichs ist ein wichtiger Teil dieser Aufgabe. Darum muss auch die Wiedergewinnung der Stücke, die der Staat dem Eigentümer zurückgibt, nach den gesetzlichen Bestimmungen erfolgen. Dies geschieht nach dem Gesetz vom 3. Juli 1793. Dieses Gesetz regelt, wie die Stücke, die der Staat dem Eigentümer zurückgibt, die Öffentliche Staat, die Stücke, die den Öffentlichen Eigentümern zurückgegeben werden, und wie die Stücke, die den Privatpersonen zurückgegeben werden.
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Mit der Pracht der Natur wie - eifert die denkbar gesündeste Luft, um diese Streifen Land zu einem gottgesegneten zu erheben. Lungenkrankheiten können daher in diesen Höhenlage nur bei eigener grober Versündigung gegen die Gesundheit entstehen und verlaufen auch dann viel milder als anderswo. Als glaubwürdiger Beweis dieser Behauptung kann wohl die Tatsache gelten, daß in den nächstgelegenen Ortschaften Lungenerkrankungen zu den Seltenheiten gehören. Zahlungs-Einschüsse, vvvuS W Alks - S s. 3 - R. M. Fritzsching, Kktm. Oederan Oederan 13. 4. 15. 6. 5. 29. 6. d Groß u. Co, Tuchhdlg. Berlin Berlin 14. 4. 66. 23. 4. 23. 6. einreich Böttcher, Kfm Lübeck Wübeck 13. 5. 13. 5. 13. 5. Gustav Perrey, Kfm. Stallupönen Stallupönen 11. 4. 18. 6. 5. 26. 6. Ph. Burger, Kfm. Straßburg E. Straßburg 13. 4. 12. 5. 13. 5. 13. 5. Ferdinand Eckert, Kfm. Tilsit Tilsit 13. 4. 25. 6. 5. 26. 6. [ 2 Vangren - und Produktenberichte, Baumwolle. * Liverpool, 16. April. Baumwolle (Anfangsbericht). Mutmaßlicher Umsetz 8000 B. Stetig. Tagesimport 17,090 B. * Liverpool, 16. April, nachm. 12 Uhr 10 Min. (Telegr.) Baumwolle. Umsetz 8000., davon für Spekulation und Export 1000. B. Stetig. Middl. amerkt. Lieferungen: April - Mai 4, Juli - Aug. 4, Aug. - Sept. 4, Sept. - Okt. 45, Nov. - Dez. 4, d. Alles Käuferpreise. * Liverpool, 16. April. (Telegr.) Offizielle Notierungen. Amerikanisch good ordin. A. Domra fairest. Z. „ low middling. 4, good fair. 3. / middling - - 41 * - 42 ⸗ middling fair. Briefer a - - 4 Pernambuco fair. » - S Scinde good fair J u ⸗ good fair * 9 5 i v good * 92 28 3 *. Ceara fair. ' Ege 5 i Bengal good fair - 3 x e fair -. 57 9 ood. - -. Bahia air - 77 e. - - - - Z. Maceio fair. „ e S Madras, Tinnevelly, fair 4 Maranhao fair. - 5 * / ], good f t 42 Egyptian brown fair. „. S 7 - good * „ „ good fair. 657, ⸗ * Western fair. J [ good » 6.
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Viennent ensuite : Carion, de Pontret ; Bichermand, de Vermand ; Lampion, de Pontret. FILLES. — Ve, Lecomte, d’Aubigny, 43 points. 2e ex-æquo, Dullot de Fluquières, luquénois, de Fayet, 40 points. Vient ensuite : Oblois de Fluquières. MUSIQUE DU 87e RÉGIMENT D'INFANTERIE Programme du Dimanche 9 Août de 4 h. à 5 heures au KIOSQUE DES CHAMPS-ELYSÉES 1. Orléansville (Gurtner). 2. La Plainte du Barde (Mereadante). 3. Rêverie d’Automne (Gillet). 4. Carmen (Bizet). 5. La Traviata (Verdi). 6. Cendrillon (ballet) nos 1, 2, 3, 4 (Massenet). SAINT-QUENTIN. — Cette nuit, vers 3 heures du matin, les agents Poulain et Liétoir se trouvaient en patrouille aux environs de la caserne, quand ils aperçurent trois individus porteurs de sacs assez volumineux qui sortaient des jardinages situés derrière la caserne. Les agents se dissimulèrent aussitôt et attendirent l’arrivée de ces individus. Mais ceux-ci ayant aperçu les agents, abandonnèrent leurs sacs et s'enfuirent. Les agents se mirent alors à la poursuite des fuyards et purent appréhender l’un d’eux, le nommé Toussaint, manouvrier, domicilié à Saint-Quentin, qui a été mis ce matin à la disposition de M. le Procureur de la République. Les sacs contenaient environ 70 kilos de pommes de terre. Les deux autres malfaiteurs, qui avaient pris la fuite, sont activement recherchés. Cette nuit, vers une heure du matin, des agents du service de nuit ont arrêté, rue de La Fère, le nommé O. J..., âgé de 39 ans, manouvrier, qui, étant en état d’ivresse, s’amusait à briser à coups de pied une lanterne éclairant les travaux de pavage en cours. Procès-verbal a été dressé. CAULAINCOURT. — Un procès-verbal pour abandon de voiture a été dressé contre deux charretiers de Gouy, qui avaient abandonné leurs camions dans une rue de Caulaincourt. RIQUEVAL. — Ce matin, on a retiré du canal une femme âgée de 50 ans, Mme Joseph Hachet. CONTESCOURT. — Une débitante de Contescourt a été l’objet d’un procès-verbal pour avoir laissé sortir son chien sans l’avoir muni de collier. MOY. — Un charretier de bateaux nommé D..., domicilié à St-Quentin, trouvé en état d’ivresse dans une rue de Moy a été l’objet d’un procès-verbal. RENANSART. — Un arpenteur a été l’objet d’un procès-verbal pour avoir entravé la voie publique. SURFONTAINE. — La gendarmerie de Ribemont a été appelée à constater l’empoisonnement d’un étang appartenant à M. Viéville Arthur, cultivateur à Surfontaine. M.
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(1) Cette référence très laconique du Codex signifie Ouvrage publié par Luther contre le livre d'Eastne Diatribe de libero arbitrio (1514), qui fut réimprimé au tome VII des Œuvres du même auteur. *(Cf. Matt., XVI, 16.) *(Cf. ibid., VII, 15 ; Jerém., XLV, 14, XXIII, 21.) *(Matt., V, 15.) Calvin, lib. II Inst. cap. II, § 4. (Cf. Les Controverses, Part. II, ch. III, art. II.) (Ed. Wittenberg, t. II, 421b ; Leipzig, t. III, 160.) Contra Erasmum. tom. VII de suo operi (ed. Basle, Froben, 1540).
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Mais, quoi cas qu’ils s’en excusassent, En redoutant les premiers frais, Ou totallement refusassent, Ceux qui s’ensuivent ci-après Institués, gens de bien très : Philippe Brunel, noble escuyer, Et l’autre, son voisin d’èmeûtrè, Si est maître Jacques Raguier, Et l’autre, maître Jacques James, Trois hommes de bien et d’honneur, Désirant de sauver leurs âmes Et doutant Dieu Notre Seigneur. Plus tôt y mettraient de leur argent Que cette ordonnance ne baillent; Point n’auront de contrôleur, À leur bon seul plaisir en taillent. Des testaments qu’on dit le Maître De mon fait n’aura quid ne quod ; Mais ce sera un jeune prêtre, Qui est nommé Thomas Tricot. Voulant gré de son escadron, Et qu’il me coûte ma cornette ! S’il savait jouer à un tripot, Il eût de moi le Très-Périlleux. Quant au regard du luminaire, Guillaume du Ruz y commet, Pour porter les soins du suaire, Aux exécuteurs le remet. Trop plus mal me font qu’once mai Barbe, cheveux, penis, sourcils. Mal me presse le temps; désormais Je crie à toutes gens merci. BALLADE À Chartreux et à Celestins. À Mendicants et à Dévotes. À musiciens, à claque-pieds, À servants, à filles mignotes Portant surcots et justes cotés, À cireurs d’œufs transis Chaussant sans meschine savotes, Je crie à toutes gens merci. À fillettes montrant les tétons Pour avoir plus largement d’hostes, À ribelleurs, mouvants de butins, À bateleurs, traînant marmottes, À folles, à sots et sottes, Qui s’en vont siflant cinq et six. À marmotets et mariottes, Je crie à toutes gens merci. Sinon aux traîtres chiens mastins, Qui m’ont fait chers dures crostes Maischant maints soirs et maints matins, Qu’ores je ne crains que trois crotes. Je me sers pour eux pets et rotes ; Je ne puis, car je suis assis.
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De permettait aux juges de paix d'intervenir dans les luttes électorales en faveur des candidats « conservateurs. » M. Dufaur estime que les magistrats ne doivent point se mêler de politique, que leur neutralité ne saurait qu’augmenter la dignité et la considération dont ils jouissent grâce à cette intervention. Nous félicitons vivement M. Dufaur de ce qu’il se tienne ainsi. L'institut inauguré le 23 février n'est pas la continuation du triste gouvernement du 24 février ; au contraire, il en est la répudiation. Il voulait faire partager son sentiment au monde « à l’intérieur, il éviterait à son ministre de peine dans l'avenir collège : bien des soucis. Les électeurs qui prendront part aux élections sénatoriales sont au nombre de 42.563, dont 736 députés, 3.081 conseillers généraux, 3.520 conseillers d'arrondissement et 35.217 délégués municipaux. Le sénateur qui sera nommé par le plus grand nombre d’électeurs est le sénateur de la Réunion, dont le collège électoral compte 40 électeurs ; le collège électoral le plus nombreux est celui du Pas-de-Calais qui compte 1.016 électeurs. Le département qui a le moins d’éléphants est celui des Bouches-du-Rhône qui n’en compte que 173 ; vient ensuite celui des Alpes-Maritimes avec 208 électeurs et la Seine avec 221. Le collège électoral de la Seine est ainsi constitué : députés 43, conseillers généraux 88, conseillers d'arrondissement 18, délégués municipaux 72. Ce sera le département du Pas-de-Calais qui aura le plus grand nombre de délégués municipaux, car il renferme 1.018 communes. Nous constatons avec un vif plaisir que les maires d’Arcis, de Chaumont, de Saint-Macaire (Vendée), et de Paimbet (Côtes-du-Nord) que le gouvernement vient de nommer sont des républicains. Le préfet des Hautes-Pyrénées a l’intention d’appeler à la mairie de Tarbes M. Branhaven, qui a été candidat républicain lors de la dernière élection : cette nomination sera aussi bien accueillie que celles que nous venons de signaler ; mais ce n'est que un commencement et nous opérons que le gouvernement ne s'arrêtera pas là. Il a, en effet, fort à faire pour réparer le mal causé par les nominations si impolitiques de M. de Broglie. On écrit d'Alençon : « Le Journal La Liberté, dans une note affectant un certain caractère de prévision, annonce que dans sa 3e tentative électorale est établie entre M. Christophle, ancien président du centre gauche et M.
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QUIET CHRISTMAS ON WESTERN FRONT Men Feasted and Entertained as Far as Is Compatible With Stern Business of War. HEAVY FIGHTING IN ROUMANIA Ground Yielded at Some Points Under Pressure of German Forces. Assembled from the Third Christmas Day. The third Christmas of the European war passed without much fighting on the British and French fronts, where virtually only the artillery was active and the men were feasted and entertained as far as was compatible with a sterner business of war. Kumania's first Christmas as a participant in the war witnessed heavy fighting on the Romanian front. Ground was yielded by the Roumanians at some points under the pressure of the Germans, and north of Huvistinik Road, a height was lost by the Russians. In the northwest corner of Dohrudja province, the sector to which the Russian-Kumanian retreat has taken them, the army of Field Marshal von Mackensen has begun to attack the bridgehead of Matzit, after Isakitc, on the eastern bank of the Danube, was captured. In addition to announcing the evacuation of Isakitc, the Russians admit the occupation of Tultcha. HEAVY CASUALTIES The British mounted troops, with the cooperation of aircraft, carried a strong position at Mighdndah, twenty miles distant from Kish, which was captured on Thursday. Incomplete reports, says the statement from London, show that 1,130 prisoners were captured and a large quantity of arms and war material taken. Heavy casualties were suffered by the Turks. The Russians claim to have inflicted heavy losses on the Austro-German forces when the latter attempted to recapture heights occupied by the Russians on Sunday in the wooded Carpathians.
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la commune souscrira 5 actions de 500 francs.— L’administration municipale a obtenu de l'administration des postes, a peu prés satisfaction sur tous les points, dans ses réclamations, sauf pour l'acheminement du courrier sur le train venant de Delle.— Sont maintenus commissaires répartiteurs : MM. Docteur Julg, Pierre Japv et Augustr Hau, et comme suppléants, MM. Charles Bigoulot, Victor Witmer et Charles Maillard.— Le maire donne lecture «l’une lettre de remerciements de M. Pierre Kœchün à l'adresse «les membres du conseil municipal pour les sentiments tle sympathie témoigne à l'occasion du décès de M. Paul Kœchlin, conseiller municipal.— Le conseil vote 100 francs aux victimes «lu cyclone de la Guadeloupe, 50 fr. pour le monument de l’Hartmann 11 rejette une demande de la société française de la Croix-Bleue et de l'exposition artisanale de Montbéliard.— Le taux de la journée de placement familial est porté de 2 fr. a 3 fr.Le conseil approuve la révision des listes d’assistance présentées par la commission.Au marché. — On a vendu : beurre, 23 ù 24 fr. le kilo : œufs frais. 8 à 10 fr. la d.; choux verts, 3 francs le kilo ; choux-rouges. 1.50 à 2.50 pièce ; choux-raves, 0.50, 1.50 : choux de Bruxelles, 6 fr. le kilo ; navets raves, 0,10 pièce, carottes, 2 fr. le kilos ; pommes de terre à 1.15 le kilo; 14 à 15 fr. le double ; oignons, 3.50 le kilo : poireaux, 0.50 à 0.75 pièce ; salades, 1.25 à 2.25.Pommes. 1 fr. le kilo, citrons, 0.75 pièce, bananes. 1 fr ; oranges, 5.50 le kilo. •Harengs 1.25 pièce; colin, 14 fr. le kilo; merlan. 7 fr. : maquereau, 10 fr. ; rouget. 9 lr. ; dorade, 11 fr.; lapins, 20 à 30 fr. pièce ; poulets, 20 fr.BOTANSCollision. — tandis que M. Richert Antiré, 30 ans, boulanger a Bot ans, remettait au cours de sa tournée quotidienne ù Trétudans du pain à une cliente, sa voiturearrêt ée le long «le la ligne du tramway départemental. à l'endroit où la route fait un coude brusque fut accrochée par 1 arrière par un train supplémentaire trie M. Richert n'avait pas entendu siffler. La carrosserie a été endommagée.CHATEN0/SPas de visa... à sa carte d’identité ? M J... Jean, 32 ans, à Châtenois, rencontré par les gendarmes bénéficie de la contravention «l’usage.C0URTELVANTObsèques. — Un nombreux cortège d’amis a accompagné à sa dernière demeure,DOUGLAS FAIRBANKSdans le.GAUCHOM.
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I commissari del terzo e sesto ufficio sostenevano la provvisorietà del dazio attuale od anche di un dazio minore per un tempo determinato, ma alla condizione di elevare quello del frumento almeno ad una lira per ettolitro, appena cessate che fossero le attuali strettezze, e così proporzionatamente per gli altri cereali. La ragione precipua addotta a sostegno di questa proposta consiste nella convenienza che potrebbe chiamarsi ancora meglio necessità, di non ridurre maggiormente il già troppo scarso introito doganale, il quale colla progettata diminuzione del dazio sui cereali soffrirebbe di un esaurimento di due milioni circa. Si rispondeva dagli altri commissari che lo stato provvisorio era praticamente conosciuto di poca o nessuna utilità nelle riforme daziarie, siccome fu all'evidenza provato dalla esperienza fattane in Inghilterra, Olanda e Belgio; il ragionamento o la teoria condurre pure allo stesso convincimento: ed in verità perché la speculazione si risolva a volgere i suoi capitali sopra di un'industria ovvero di un dato ramo di commercio, occorre che questi abbiano sufficienti condizioni di stabilità, e far esse che le spese non siano soggette a variazioni frequenti; l’armatore che parte dal mar Nero, dal Baltico o dall'America con un carico di frumento, non deve temere di giungere nel porto di Genova o di Nizza alcune ore dopo che sia cessata la tariffa provvisoria del dazio, ritardo che lo esporrebbe ad una spesa assai maggiore.
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Magnificam Deum cetidit i» fanrm. Beneficia dcprxdi- cct , qui gratiam agnofeit : corporis animique motibus rependit gratiam , quam non valet leprofus gratis muneribus, p. 17 1 . v.x8.p.i 4 6. v.8. p. x j 3, v.i .p.x »7. Y.if.p.tfiA.v.io. p.617. v.8. Nonni io mundati fant t Unus , fcd non lino merito , gratus revertitur ; aliorum taxat ingratum benctador animum, p. 5 14. v. 18 .& 19. p.' j8x. v.jo. Dominica XI 11. Post Trinitat. Mttib. 6. NEmopeteft duobus Dominit fervere Non eft per fe dum ucriufque Domini iervitium , ubi pertedus non eft amor & timor utriufquc. pag. xso. v.43. pag. 33. Y. so. Soh poteflis Dic frrvire. Non bene , qui concrariantur fibi , zdificant ;ncc bene duabus quis viis ambulat-fic nec Deo & alij benepoteft Domino ferviri. p.i7j.v.7. p.184. v.j. p.x8^.v.i4. p.iox. v.i f. StfoUtiti fitis. Ex Dei nomo totus providentia pen- deat, contra fpem bona eveniunt: fuis femper providet, qui cunela provide difponit. p.jo.V.8. P<33'V. 19^.41. V.i 9. p.47. V.x8.p.48.v.i.p.i 38.V.S. p.xSo. r.j. Nt/olieiti fius. Non eft inconveniens ad uiiim legi- timum fibi futfque bona providere neceifaria: tollenda eft immoderata rerum cura. p. 11S. v. x.p.xy^.v.i. P.419.V. 11. p.4xo.v.s;.& 34. p. 508. v.i 5. 14. & x9. p.?48.v.6.p.j3. V.4.P.X70. v.n.p.x7i.v.ix. N^/inii fim Solicitus nimis , avarus eft , qui , cum bonWtbundat , inopiam fimulationc mentitur. p.xSi. Ycrf.7. Nonne anima flui eft. Animx majorem/iulm corporis coram habe- verbo creatum eft corpus, infpirata anima. p.4.v.7.p.i97.v.x. Rt/pict te volatilia. homo deCcelo fubfidhmi: nec tamen Dei promiflio hominis excludit induftriam. p.8f.v.io. p. 91. v.xx, p.113. V.xy. Nonne vos mugit pluns e Ilii ? Habet utique curam Deus fuonim , fi tantam in impium geffit folicitudincm. p.7. Y.it.p.x3o. v.xi.
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Surpass All Records Twenty-two were enough for Bucklin and Guerin. Bucklin, on account of previous showing last year, had been counted a sure winner but the "dark-horse," J. Arnold Cobley, continued to stow away the eggs with apparent little effort until he had reached 27. Three more were stowed under his belt and the record expected to stand for some time, was made. Scales to slightly above the 150 pound mark. The three are willing to eat eggs again and may even become participants next year but it was probably a subtle kindness on the part of the house manager that no eggs were served at breakfast this morning. Last year Thomas Bucklin of Idaho Falls, with an eye to a new record of 18 products of the hen, thereby equaling Goff's record. But yesterday was the record breaker. Lesser lights were put out of the running and the claim of "a dozen" was greeted with "not in the running," as the egg shells mounted up around the places of Messrs. Cobley, Guerin and Bucklin. Eat Chicken at Dinner Most remarkable is the fact that the three men ate hearty CHICKEN dinners Sunday afternoon at 1 o'clock. The annual Easter breakfast contest started at 8 o'clock Sunday morning and Cobley had cleaned up his last egg shortly after 9 o'clock. Contestants were allowed a limited amount of exercise, such as running around the table twice.
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29th. — The thermometer at sunrise 36°, with a bright sun, and appearance of finer weather. The road for several miles was extremely rocky, and consequently bad ; but, entering af- ter this a sandy country, it became very good, with no other in- terruption than the sage bushes, which covered the river plain as far as the eye could reach, and, with their uniform tint of dark gray, gave to the country a gloomy and sombre appear, ance. All the day the course of the river has been between walls of the black volcanic rock, a dark line of the escarp- ment on the opposite. side pointing out its course, and sweeping along in foam at places where the mountains which border the valley present always on the left two ranges, the lower one a spur of the higher ; and, on the opposite side, the Salmon River mountains are visible at a great distance. Hav- ing made 24 miles, we encamped about five o'clock on Rock creek — a stream having considerable water, a swift current, and wooded with willow. 30th. — Thermometer at sunrise 28° . In its progress towards ihe river, this creek soon enters a chasm of the volcanic rock; which in places along the wall presents a columnar appearance ; and the road becomes extremely rocky whenever it pa3ses near its banks, li is only about twenty feet wide where the roaa j'osses it, with a deep Dea. ana steep banks, covered with rocky "290 COL. Fremont's narrative of fragnurUs, V^ith willows and a little grass on its narrow botton:.
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Dans la nuit du 5 au 6, ils dégarnirent de ses pièces, pour les placer devant le bastion de Tolède et la lunette de Riel, cette partie de la face de leurs ouvrages qui regardait la ville, et leur feu devint de plus en plus meurtrier. D’un autre côté, le général Chassé tenait continuellement suspendue sur Anvers la menace d’un bombardement. Aussi cette ville présentait-elle le spectacle le plus lamentable. Partout des canons, des barricades, l’image de la guerre ; partout la terreur. Les habitants se croyaient chaque jour à la veille de voir leur cité réduite en cendres, et ceux que l'excès de leurs appréhensions ne poussait pas à un départ précisé, cachaient dans les caves leur argent, leurs meubles, leurs effets les plus précieux. Pour conjurer des calamités qui paraissaient imminentes, le maréchal Gérard invoqua tour à tour, dans ses lettres au général Chassé, les lois de la guerre, les droits de l’humanité, les exemples fournis par l’histoire. Puisqu’il se résignait à n’attaquer la citadelle que du côté de la campagne, n’était-il pas en droit d’exiger que la citadelle épargnât la ville? Mais le général Chassé demandait que les Français s’abstiennent de faire concourir à leurs opérations, même les ouvrages extérieurs, même le fort de Montenelle. Or, souscrire à une condition semblable c’eût été compromettre follement le succès du siège. De sorte que la menace subsistait toujours, quoique les Hollandais n’osassent jamais l’exécuter. L’auraient-ils pu sans violer les lois de la guerre ? Ce qui est hors de doute, c’est qu’il eût suffi de deux ou trois bombes lancées sur Anvers, pour renverser l’échafaudage de ruses si laborieusement élevé par la diplomatie. Car, dans ce cas, une plus longue inaction de la part des Belges devenait impossible, et leurs efforts unis aux nôtres imprimaient à la lutte un caractère tout opposé à celui qu’avaient prétendu lui donner les combinaisons diplomatiques. Cette simple remarque peut faire apprécier à leur juste valeur les hommes d’État de la conférence, et M. de Talleyrand, leur complice. Quoi qu’il en soit, réduit à l’attaque extérieure, le maréchal Gérard fit prendre qu’il était indispensable d’isoler la citadelle en lui fermant l’Escaut. Le général Sebastiani occupait les digues de la rive droite. Les Français armèrent le fort Ste-Marie et se mirent en devoir d’armer le fort St-Philippe, de manière à dominer le cours du fleuve.
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L’assassin Bonfils a été conduit avant-hier. FEUILLETON DU 8 FÉVRIER 1882—22— UN SCANDALE RUSSE IV LE BONHEUR ENTREVU (Suite) : Pour les uns, c’est une affaire ; pour les autres, un calcul de vanité ou d’alliance, où l’on unit deux noms, sans songer si les époux se conviennent ; quelquefois, on se laisse entraîner par un sentiment frivole qui met aussi peu de temps à s’éteindre qu'il en a mis à éclore ; le plus souvent, pour se servir d’une expression consacrée, on se marie pour faire une fin, et l’on va offrir les précoles décrépitudes d’une vie de débauche à l’enfant naïve et pure qui tremble, dans sa chaste ignorance, sur le seuil d’une vie nouvelle. Et comme les femmes sont la plupart du temps ce que les hommes les font et qu’elles suivent la première impulsion donnée par le mari, il en résulte fréquemment ce relâchement de mœurs, cette honteuse imitation des façons des courtisanes, qui a produit les cocodettes, ces adultères scandaleux dans les familles les plus honorables, dont la société blasée ne sait plus s’émouvoir, hautement satisfaite qu'elle est si, pour sauver l’honneur du nom, on réussit à les soustraire à la curiosité malveillante des journalistes. Quand Mme Terline était obsédée par ces craintes vagues touchant l’avenir de sa fille, elle appelait sa foi à son aide, se disant que Dieu n’abandonnerait pas sa Lili après la lui avoir miraculeusement conservée, et, se confiant à la divine protection de la Vierge, elle se sentait rassurée et attendait avec une patience sainte ce qu’il plairait à la Providence de décider. Elle connaissait de longue date la princesse Balguino et leurs relations avaient toujours été des plus affectueuses, car elles avaient pour base une estimulation réciproque. La princesse avait vu naître Lili, elle avait suivi pas à pas son développement moral et, appréciant tous ses mérites, elle n’avait pas tardé de voir en elle la belle-fille de ses rêves. Mais par cela même que c’était le plus cher désir de son cœur, elle le tenait enfoui dans un mystère impénétrable, car elle avait souvent entendu dire à son fils qu’il ne contracterait jamais un mariage de convenance, et il lui paraissait que toucher à ce sujet serait infalliblement anéantir la réalisation de ce projet caressé.
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ebenfalls Genüge geleistet werden kann. Es soll hie¬ von in der nachfolgenden Nummer die entsprechende Anwendung gemacht werden. V. Ueber die Unmöglichkeit einer neuen rein mathematischen (algebraischen oder arithmetischen) Einheit. In Nr. 111. wurde nachgewiesen, dass irgend ei¬ ner reellen algebraischen oder transcendenten Glei¬ chung eine Wurzel der mehrerwähnten Gattung p qi entspricht. Einer jeden solchen Gleichung kann also durch die bisher bekannten Zahlen , seien sie reell oder rein imaginär oder komplex, genügt werden und es liegt schon desswegen die Vermuthung nicht gar ferne, dass es vielleicht überhaupt keine weitern al¬ gebraischen Zahlgattungen mehr gebe. Was diese Zablgattungen in quantitativer Bezie¬ hung anbetrifft, so leisten sie Alles, was man hin¬ sichtlich der blossen Quantitätsbildung erwarten darf, da man durch dieselben dem Verlaufe der Kontinuität so nahe kommen kann, als man nur will. Allein nicht so unmittelbar lässt sich entscheiden, ob durch die drei Einheiten 1, — 1 und die Zahlen in quali¬ tativem oder relativem Sinne abgeschlossen werden können oder nicht. Der letzten algebraischen Operation, dem Boten- ziren, und den entsprechenden Gegensätzen verdankt man die dritte Einheit }/-1. Nun hat man aber bis jetzt den Gang der algebraischen Operationsbildung, wie solche aus der speziell axiomatischen Thätigkeit des Zählens stammt, nicht weiter fortgesetzt, obwol Hog, m«th«mali$che MittlMilangen. 289 diess nicht dnrcfaans nnmöglich wäre. Allein gesetzt man wollte auch, etwa mittelst der Potenzform X = a? = p, (1) in welcher jedes auf das unterste folgende x der Ex¬ ponent des unmittelbar vorangehenden und n der neue Index wäre, Anlass zur Aufstellung einer neuen Ope¬ ration bieten, so Hesse sich wohl nachweisen, dass aus dieser Verbindung (1) allerdings merkwürdige, auf wiederholte Logarithmen von Logarithmen bezüg¬ liche Relationen, nicht aber neue, nicht schon in der allgemeinen Gattung p + qi enthaltene Zahlen entsprin¬ gen können.
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">,!S w ar to cr.fno ? ho. or., I,!,. W rtns a Hiore is no lionor that we can irnln toitir ifito ti-i, ^ >T"I'a t.tl.|. mil, (I,, honor wo ?an win If w, |lf. o;,t of ,i,?! mil - or Mood :tni, t|ir hnjti f >|- _ " J"1 "I"-': Wlli.-I, t!.,. With M,|, o,h..,- |.ro!h"p! ai" a I'Crmanof.T n-, Ir'vo i"t ? no spirit of ,'o-op,jon OM World tri. -I ? ' p.-owo, Vo J? ??> f-icr an?l f. a: -. Kn, Paralyz,- th.. otho. affor.l t,. ;,,iopt ? ' 'O^-'oph v that has fi i111 | ?,,, .. s nuKhter house Wo cannot afford t!, ?Micourntro military Issues ..t, one side no: naval is<=!ios on the other duty is to ploa.i with both to' i .nil hi,.. I 'rodipa 1 Sons f,j... ^;. whi?-h th.., I.avo hoor, f!.,Vl,, ' ' ? ultivato fric-ticlKhip Itisi<>r hat!..,!, i . . uprr-mc opportunitv t,-> Mi inanity.". DEATHS IN VIRGINIA l.o.lfrry A. ?II,.- f uncial mC Uodfrey .\ Kilr's; , about H'vnity-twii years ol?l. who died VMslcrUav mornini; at. ''is home, lis North Thud Street, will be con ducted 111i.h afternoon at 3 o'clock from ,l? Moriuar> Chapel of the Hel'iow t Vmotcrv. where the intcrnUMit will ho Hisi.l.* Mr. Kass was for a number of vet- a professor Of laiiBtiaues. music ,ri. a lid later a well-known busl ine:- man ol K i?'ti in oud. Mi Nasi live.l in New York City f??r , number <>t years before comlnR to u,is . jtv, ami was a member of sev - I fr liet -.ai .., ?aniv.aUnt<s in Kicli them the Masons. Odd Kollows. Heptasophs a'ill Ko>.?l Art a |lllt. ii.. mcirrii'il Miss Hirseh.
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Die Dämmerung legte sich über den Schäumen der See, und bei der Nacht mit ihrem Grau, ihren Sternen brach herein. Streifpur folgte wie bei Seeleute hatten sie mit Striegen an der Haft und an der Daue Wert festgehalten, so ihre Kräfte abnahmen und ihre Geliebte zu sterben begannen, doch tonnten sie nur noch die weißen Häupter hervor, während die Perantouren bei der Gegenbewegung in Geduld standen, die sie umgaben, ermuten, wappneten bei dem Donner, womit die Stürme sie überfielen, sie betäubte. Die Hoffnung auf ein folgendes Wundererwachen lag nicht bei den Schiffbrüchigen, die an den Stränden an Land geblieben waren, die waren so benachrichtigt, hielt den Tauben in der Ringtür aufrecht, dass der Allmächtige in der Rettung der Seele gerettekt sei. Der Tag graute, und bei den eisern erstarren, das Schiff schmiegten auf die Dämmerung nieder, die über die hohen See, ob sie nirgend ein Schiff erblickten könnten. Das bemerkte der Ringthurm, der ein anfängliches Segel, welches die Fahne bei dem Hintertheil getragen hatte, noch mit einem Tag an sich befand und in einiger Entfernung hinter ihr hertrieb. Er rief den Schiffbrüchigen zu, ob sie sich in dem Staub, der sie umgab, sehen könnten, dass ihr Schiff auf einem fernen, in der Dämmerung fast unsichtbaren, Fahrbett Schiffbrücken erkannt worden wäre. Einer der jungen Seeleute, der glaubte, dass das Segel des Schiffes ihr zum Anbrennen herangeben, und es gelang ihnen mit großer Anstrengung, dass sie es schließlich hoch an die Stelle des Schiffes zu besetzten, mochte es bald trocknen und in die Sende hinausflattern. Der Sturm holte nachgelassen und die Segel bäumten sich nicht mehr mit solcher Kraft auf, mit in der zerbroffenen Wange, der noch oergegangen seine Minuten, ohne dass eine sicherlich sich über das Schiff hinwegschlage. Auf allen Seiten gingen große und Klein gewaltige Stürme toben, so dass die See, die gefährliche trug, sich ihrem bürchsenfittigen Rande zu füllte. Ende.)
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John Bull l’officielle des nègres, John Bull le Quaker, John Bull le dévot, se montre tel qu’il est, pour l’état-major de la presse qui s’associe à sa débauche. Mais cela ne doit pas nous rendre injustes, pour ceux qui sont restés sobres, pour ceux qui, ne écoutant que la voix de la justice, résistent aux entraînements du jour, déclarent la politique Gladstone un outrage à la raison, à la justice, un crime contre le droit des gens. De ce nombre est le « Newcastle Daily Chronicle » l’organe respecté d’un des plus grands orateurs de la Chambre, du honnorable Joseph Cowen, lequel, dégoûté des mensonges et de l'hypocrisie de M. Gladstone, a quitté son camp avec armes et bagages, suivi de soixante-cinq héritiers, qui à la rentrée des Chambres sauront lui demander un compte sévère de ses faits et gestes, mais aussi de lui faire mieux apprécier le sentiment de ce groupe, extraits d’un des derniers numéros du « Newcastle Daily Chronicle » le passage suivant : « Comment pourrez-vous désormais parler des conférences et des concerts, lorsque la nation qui les a préconisés plus haut que nulle autre, les abandonne avec mépris à peine rassemblés les laissant libres de parler et de décider comme bon leur semblera, pendant qu'elle jette en défi à l’Europe, son autorité, le calme en main à bombarder Alexandrie et à massacrer les Egyptiens quant aux courtoisies à l’égard des nationalités, il est temps de leur imposer silence, en montrant au gouvernement ses mesures en Irlande, la violence faite aux pécheurs de Duluth et les milliers de cadavres défigurés, représentant il y a peu de jours les aspirants nationalistes d’Egypte. En présence de ce qui se passe, et au nom de notre réputation de peuple, il est temps d’abandonner le langage trompeur hypocrite du Cabinet, de laisser nos paroles redevenir le reflet précis de nos actes, et de faire comprendre au monde qu’aucune nationalité n’a le droit de se mettre en travers de la nôtre, à moins qu’elle ne soit assez louable pour nous porter défi. Face à face avec notre récente politique au dedans et au dehors, nous ne pouvons plus espérer désormais de tromper le monde, en lui cachant la tête, en le regardant au ciel, et en invoquant Dieu à témoin.
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Di. Ûp R che furai y Bidone il tuo desiderio, JL £t il congiunto d'Anna tua Sorella spronanti a prendere per marito Enea. Noi interni timor e y i preferisci - che fissi ti hanno gli Indovini tuoi da portare terrore ad ogni forte cuore. Tene ritraggente dura colpo fa parti Contro dire di te fedele ma più dura. E’ al divino volere preporre il tuo, come colossale che fai che possa giungere buon fine col fare cambiare il tuo desiderio. Che querele siano mosse da qualche personale pensiero venuto in mente. Di queste temo Sorella mentre io cerco la pace mia incerta procurarmi eterna guerra in inevitabile danno. Emi accrescono timore i gravi mali che sono stati fatti ciò che è ordinato dagli Indovini nemici. Di Haucn. Atto. Ann. Hauendo detto a noi, con sguardo diffuso Giudicato, è e quindi altro che bene non può avvenire, lo vorrei e vedere Scacciare dalla mente corruzione di tutte le colpe; tanto non voglio credere a giuriglie tenere e nere te ne sceglierò dalle dette che scolpiscono la geografia del ver. Did. Ter e dunque per lei cerchiamo di sapere quel che al di là del piacere. Se crederemo a noi vogliamo poi che è visto mostra anche in noi Gli Dei hanno cura delle cose umane Desolato hanno pensiero conforme a queste parole Apponendo Gli Dei per l'ignoranza Opinione, a la costretta contraria. In noi, cui pur tocca sapere e il nero Vò, che sappiamo, abbiamo visto il fulmine Ter. Pignorante loro, quelli Indovini.
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— 204 Au loin, dans le haut de Gestange, le tambour de Beelitz essaie en vain d’entraîner les hommes du régiment. Attaque du colonel von Block, 4 h. 3/4 -15 heures.
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' „0:9. Zadają, a Cennik lwowskiej Izb ii a Aur s" GOP k . 284,— 284.50 Koglavich : Fi-cą Żądają TAA r TC a a a E ' stopada 1578, i tuin 22 listopada 1878. | , Uzern. ko, WF WA. 53.74 254,— Pożyczka mias mo 40 A. 0 MGR zał A ana DE Państwa amoa tądają | Tow. kol. żel. państ pot) pg. 2 ORIINA ape jo 2 a r lod) pea _ badsją or diug Państwa w kast i prenn ERIN a. Rh ke 80.-$1.— GER oh ze r Rudolła (= a RUA: "stop i 1 Kol weg. gal, a 200 zł W Sie u > = Od acya . ęcia Rudoita R 1. AKCYE za sztukę. o z? | luty deco A, SOĘ . LR EA ME a Listy za8t. logowane. ou po 40 a. AE 3976 40 25 r SAs. O ZŁY. Of. dnojity dz ola, 5 P v . A A 2: cza j o OSA Tak a z Di, nois po zł m. k . od. 35M : E wia m ae a czek lipiąą TA W Makra. oag 62 go | 5 Gait i Bukawiny, w Bi ólgólo (qpa mo mk mA 1950 2050 ZE Ee) z EAZA 125.60 kwiecień-pażdziernij ` ORO 9.60 : ie pee LO o o ryesta po 100 zł m. k. 1% Banka hip. galic, 200 zł. w. a. R]48 — ; Październik , 6245 62.60 ; Powwn. kustr. sakt. kred. ziem. 5 WE 91.25 92.50, 50 zł > .75 11825 Batalia <AM6J mo GE ag A5 g37.— | Gal makè, kr. ziem, Krak. ea 1 Lee D550 9650, Wldstalna po 20 zł mt. . Pine x a. lny zasto a $ i C > A EEETTERUUJ oa ODEZWIE ? „ za 100 zł. 80 Zł. . 6. „SD t n p ` 8 79.50 = eksle (na 3 ai p” Tow. kredyt. galie. oj, w. a, . |3520 8690 | » > 1860 po 500 aèr. 6%,. 11226 112.59 | dw. Tow. kred w. A po Ailo > | 6525. 8550) Augsburg za 100 i. w. A).
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Obawa wybuchn pożaru w samym Rzeszowie wzrasta z dniem każdym. Większa część domów w mieście, na Bernadynce i na Baldachówce, to drewniane kurniki, przypominające wyglądem na pół rozwalone nory robotniczych mieszkań w Bo rysławiu. Przedmieścia miasta, jak Ruska Wieś, Psiar niska, Wygnaniec i Budy stanowią groźny ma teryał palny. Brak wody daje się odczuwać w całem mie ście, tem bardziej, że kilkanaście istniejących studni stoją dziś snche! Projektowane od kilku lat wodociągi zostaną chyba zbudowane na po piołach dzisiejszego Rzeszowa; a tymczasem, z powodu braku w funduszach gminnych przeszło 64 tysięcy złr., zapłacą Rzeszowianie za strach przed pożarem, za mądrą gospodarkę rady grain nej i za wiele innych jeszcze bardzo mądrych rzeczy, 100'/, dodatku do podatku gminnego. Czekajmy cierpliwie, abyśmy nasz rozum mogli pokazać po szkodzie, B. Pożary w pow. lwowskim. Z Brzuchowic donoszą, że dziś wybuchł wielki pożar w oddalonej stamtąd o kilka kilometrów wsi Jaśniskach. Spaliło się kilkanaście zagród i kilka sztuk bydła. W płomieniach miało zgi nąć dwoje ludzi. W Tołszczowie pod Lwowem spaliło się dnia 24 b. m. 18 gospodarstw z wszystkimi budyn kami, 8 sztuk bydła, 15 sztuk nierogacizny, oraz u jednego z gospodarzów sporo zboża w ziarnie. Pożar łąk w pow. samborskim. Na łąkach, położonych nad rzeką Błozewką w gminach Bylice i Rakowa, zapaliła się w kilku miejscach wysuszona słońcem trawa na powierz chni tych łąk, czy to od rzuconej niebacznie za-* pałki lub resztki papierosa i jaż od kilku dni, bo od 16 b. m., pożar ten trwa, nie dając się łatwo ugasić, bo nietylko trawa, ale i ziemia pod nią się znajdująca, pali się na głębokość taką, do jakiej warstwa suchego torfu sięga. Tylko okopanie rowem palącej się przestrzeni może zapobiedz dalszemu rozprzestrzenianiu się pożaru, a nawiezienie gliną może zdusić pożar.
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Dedicato a Protettore degli Ordine dei Servi, il Cardinale Fiesco, suo nipote, sono da mano del Rosselli. La quinta Lunetta ove è Maria sopra un carro tirata da un Leone e da un Agnello è di Ventura Salimbene Pittore Senese. Nella quarta facciata, alla prima Lunetta è dipinto Papa Alessandro IV che concede alla Religione di fabbricare Monasteri per tutto il Mondo, da mano del Rosselli, come pure del medesimo è la seguente, quando il B. Buonfiglio rinuncia al B. Buonagiunta il governo della Religione. Nella terza da mano del Poccetti è espressa la morte dei B. Buonagiunta. Le tre ultime sono dipinte dal sopradetto Ventura Salimbene; entrambi peducci delle volte di questa loggia i ritratti degli uomini più insigni dell'ordine dei Servi si rimirano. In questo Chiostro esiste una grande Cappella involta, eretta dalla Famiglia Macinghi, della quale restano le Armi negli angoli, che passata in quei Religiosi, serviva loro di Capitolo; ma adornata da essi modernamente, ed abbellita di pitture a fresco, è stata destinata al Culto Divino dei Sette Beati Fondatori del loro Ordine, dipinti in Tavole di assai antica e semplice maniera; perchè sono oggi le dette Immagini assai scolorite dal tempo, e per meglio conservarle sono state unite tutte insieme in un Quadro che posa sull'Altare, ma spartite una dall'altra da un nuovo ornamento dorato, e coperte di cristalli. Accanto a questa Cappella è il Refettorio dei Padri; adorno in testata di una pittura a fresco della Cena del Fariseo da mano di Santi di Tito. Nel Noviziato è osservabile a capo della scala una Pietà da mano di Andrea del Sarto, delle più belle del suo pennello, come pure nell'Orto di questo Convento è del medesimo la pittura espressiva della parabola della Vigna, vedendosi il Padre di Famiglia che tardi chiama alcuni Mercenari con una figura che siede, e altro che si appoggia al bastone. Partendosi da questo Santuario si trova lo Spedale degli Innocenti, assai celebre per la carità che vi si esercita di fare allevare i Fanciulli esposti, che senza una tale azione i più perirebbero. Fu fondato questo Spedale in via della Scala ove è ora il Convento delle Monache di S.
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Le loro coscienze, e si accollavano sempre più al Regio mio Trono più di tutti gli altri Religiosi; allora... oh allora direbbe l’Abate Sabino, e con lui quella buona pezza dell’editore Bottegna; allora dovevano tutti dire, che erano uomini grandi, e fanti; allora non potevano scrivere o pensare contro la loro condotta se non sentivano di perduta coscienza, eretici, o spetti di eresia non dice però così il Re, ma vi aggiunge un’altra bagatta: "Agora tentarono, e macchinarono crimini usurpazioni di Regni... della libertà, onore, e vita dei Popoli, animarono Principi Sovrani contro del Re, gli dichiararono la guerra, difettarono ribellioni con superbia abominevole, tentarono di ammazzarlo, e fallito il colpo, provarono a tentare contro la sua alta reputazione a faccia scoperta. Ma chi spiegò tali cose: si erano arbitri della educazione dei Figli direttori generali delle loro coscrizioni, e si accollavano sempre più al Regio Trono, anzi, dovevano dirlo, l'ajvidavano, poi ve ne erano in Corte Venti o trenta Scritti, ed aderivano a tali colé un Re un Cardinale Patriarca Visittatore, il Tribunale dell'Inconfidenza, e sergenti interi, Generali etc. Dunque, concludono con ottima logica il Prevosto, dunque quei che manifestano i difetti dei Gesuiti non possono essere seculari. Chi faranno dunque quelle buone pezze? Non possono essere Preti, perchè i Preti o sono stati alle Scuole dei Gesuiti, o da loro dipendono: ma se pure fu qualche Prete, per necessità deve essere o ignorante, o scandaloso, o venduto, a che serve da Maestro di casa. Se io vi assi ridico, che il vestito, che avete indotto non si fece da Sarto, perchè i Sarti lavorano per altre persone; ma che se pure fu fatto da un Sarto, quello doveva essere o Matematico, o Fornitore, o Cuoco, voi mi direte, che il mio discorso è da matto. Io non ho detto del Reverendissimo, che ha tanti impieghi; ma il suo discorso è simile.
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“ von durchaus glaubwürdiger Seite wie folgt geschildert : Kaum hatte der ungarische Redner seinen Toast mit einem „Eljen!“ geendet und die mächtigen grün-weiß-roten Bänder mit magyarischer Inschrift, welche das ganze Rednerpult bedeckten, entfaltet, als durch den ganzen Saal von allen Seiten der Ruf ertönte „Herunter mit dem Kranz!“ „Herunter mit dem Renegaten!“ „Das ist eine Demonstration gegen die siebenbürger Sachsen!“ „Herunter mit dem Kranz!“ In vorderster Reihe drängten sich Reichsdeutsche dem Pulte zu. Die Österreicher sammelten sich um ihren Führer Strache, der sie zur Ruhe ermahnte. Die Mehrzahl der Gäste verstand nicht alsbald den Zweck jener Rufe und wendete sich gegen die angeblichen Störer des Festes. Bald aber schlug die Stimmung um. Nur wenige riefen noch „Ehret die Gäste!“ „Es sind Deutsche aus Ungarn!“ — „Gerade drum“, riefen die andern, „wären sie echt Magyaren, so wär's schon recht!“ „Es sind Renegaten, das ist Politik auf dem Turnfest, das sind Demonstrationen gegen deutsche Brüder!“ Der Tumult war unbeschreiblich, die Erregung zur Siedehitze gespannt. Kein Mensch saß mehr an den Tischen, alle gestikulierend, schreiend, sich anfeuernd, sich abwehrend. Mit richtigem Gefühl entfernte ein hochangesehener dresdner Bürger, zugleich Besitzer fürstlicher Herrschaften in Nordböhmen, den Kranz von der Tribüne. Ein dichter Knäuel ballte sich vor derselben. Auf der einen Seite drängten sich deutsche Turner heraus, indem sie ein mächtiges schwarz-rot-goldenes Banner entfalteten. Ein würtembergischer Redner, stürmisch begrüßt, da er das Schwarz-Rot seiner Heimat trug, langte endlich auf dem Pult an und suchte durch Gesten zu erklären, dass er mit der Entfernung des Kranzes einverstanden sei. Die Festredner bildeten einen Ring auf der Tribüne. Die Magyaren sammelten sich um ihr Geschenk. Der Redner derselben aber sprang in die Menge, indem er schrie: „Wer hat hier gerufen?“ Dutzende von Visitenkarten flogen ihm entgegen.
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Pour faire cette Opération, il faut rendre la fistule parfaite et apparente, quand elle est borgne externe, ou borgne interne. Nous avons ci-dessus indiqué comment on peut connaître le fond de la fistule interne en observant le changement de couleur et de consistance, arrivé à la peau. Quand elle est borgne interne, c'est-à-dire, lorsque elle n’est pas percée du côté de l'intestin, on fait coucher le malade sur le bord du lit; il faut qu'il ait les genoux pliés, le dos incliné, et qu'il soit couché sur la selle contre laquelle est la fistule. On insinue une sonde, d’argent cannelée et dont l’extrémité entrante est applatie, aiguë et pointue, mais recouverte de cire, afin qu'elle ne perce ou ne déchire pas les parois de la fistule, en la introduisant jusques dans son fond. On introduit pareillement le doigt indicateur de la main droite dans l’anus, de manière que le bout de ce doigt touche le fond de sa fistule, sur l’extrémité de la sonde qu’on a insinuée. L’Opérateur fait tenir par un aide les selles élargies, et touchant bien exactement avec la pointe de la sonde.
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Oh la félicité céleste, murmurait la jeune fille, te voir, te contempler, seule, sans témoins ; trembler d’une émotion mystérieuse, mais divine, en sentant ton souffle aimé effleurer mon front : sentir ton baiser de feu qui me dévore, tes bras tremblants qui me pressent; puis tour à tour pleurer, rire, sangloter, devenir folle, éperdue, enivrée par l’extase ! Allah, mon Dieu, que donnez-vous de plus à vos anges du Paradis ! Un ronflement sonore de Ben-Hachmi la fit tout à coup tressailler. — Allah ! murmura-t-elle avec un effroi involant, pardonne-moi, je blasphème en comparant mon bonheur à celui du prophète : il manque une chose au nôtre : la liberté ! — Tu seras libre, mon Aïssa. — Plus bas ; un mouvement de cet homme pourrait nous perdre. — Sois tranquille ; il ne se réveillera pas avant le jour : nous avons donc toute une nuit devant nous. La réunion de la Gauche républicaine vient de procéder au renouvellement de son bureau. Le nouveau président, M. Jules Ferry, a prononcé, en prenant possession du fauteuil, un discours qui mérite d’être signalé. « N’attachez pas, a dit M. Ferry à ses collègues, trop d’importance aux incidents des premiers jours. Déjà l’Assemblée fait la dissolution sans le dire. Mais il lui répugne de la regarder en face et d’en parler ouvertement. » C’est pourquoi M. Ferry est d’avis, non seulement de hâter, mais encore d’organiser la dissolution. » * * Nous sommes à même de confirmer de la façon la plus formelle les nouvelles rassurantes que nous avons données à la suite de l’entrevue de Berlin. L’attitude de l’empereur de Russie a été très nette et très ferme. L'intervention un peu tardive de l’Angleterre a néanmoins contribué dans une certaine mesure à l’apaisement des esprits. Sans vouloir anticiper sur l’avenir, on peut être assuré que pour le moment, pour cette année au moins, toute cause d’inquiétude disparait. Or, en pareille affaire, une année gagnée est un fait considérable. L’empereur Alexandre en conseillant la modération. M. de Bismarck en écoutant ces conseils, ont mis fin à une crise dont quelques sceptiques sont allés jusqu’à nier l’existence. D’autres puissances ont participé plus ou moins directement à cette solution pacifique. C’est un fait en somme considérable, bien que tout se soit passé, pour ainsi dire, dans la coulisse.
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13. There lies the fiddler, there the gold) Clemens Brentano, in his "Boy's Wonder-horn," states that it is a common superstition in Germany, that, when one accidentally stumbles, he is passing over the spot where a fiddler is buried. The expressions of Mephistopheles refer to the power of divination supposed to be possessed by certain persons. They suggest a passage in Wilhelm Meister, where Jarno de- s'cribes a man who accompanies him on his mineralogical journeys : " He possessed very wonderful faculties, and a most peculiar relation to all which we call stone, mineral, or even element. He felt not only the strong eifect of the sub- terranean streams, deposits of metal, strata of coal, and all such substances as are found in masses, but also, what was more remarkable, his sensations changed with every change of the soil." Goethe, himself, seems to have had a half- belief in the possibility of an occult instinct of this nature. 14. He seeks saltpetre -where the clay-walls stand. Old walls, especially in damp cellars and subterranean passages, become covered with an incrustation of saltpetre, the collection of which was formerly a government monopoly. 15. A cask of tartar holds the wine. It is a general belief in Germany that when a cask of wine has been kept for centuries, it gradually deposits a crust of tartar, which may acquire such a consistency as to hold the liquid when the staves have rotted away. The wine thus becomes its own cask, and preserves itself in a thick, oUy state. It is then supposed to possess wonderful medicinal powers. NOTES. 327 16.. Carnival Masquerade.
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Rel.—Moscow State Francis M. Hill, R. M. 11-24-18. R. M.—Francis M. Hill to Moscow State Bank, WNW 14 E14NW14 32 19-4. cor of 1 19-41-6; V&A in Bank to KAS Latah County Records. Monday, December 29, 1919. Rel.—Scandinavian Am. Bank of Spokane to Chas. Smith, R. M. 6-19-17 R. M.—W N. Duthie to John Olson, 4.3500; NlèSWM 14-39-4 except strip 15 rods by 20 feet. Rel.—J. B. Espy to Ray Espy, R. M. 1-17-14. Assgt.—C. S Barnes to R E John on, R. M. by Wm. E. Nagle, 10 22-19. Assgt.—Same to Julia E. Johnson, 1. M. by F. P. Krasselt, 11-14-19. W D.—Potlatch Lumer Co. to Geo. W. Turner, $1; NE%, W% 17-4y-3. Q. C. D.—Geo. W. Turner to Wm. Lawless, $50; above. Rel.—J. K. McCornack to A. P. Enevoklson, 9-24-14. C. M.—Auto Sales & Service Co. to R. K. McIntosh, $4,142.26; 3 Republic trucks. C. M.—Same to same, $1,780.80; 1 Republic truck. M. L.—Milton Mack West, Bremerton, and Myrtle June Triplett, Moscow. Potlatch Lumber Co. to Andrew J. Queener, $1; SW¼ NE¼ 8-41-3 W. Q. D.—Andrew J. Queener to Chas. Bradbury, $1; above. M. L.—Imer L. Brown, Oakesdale, and Junetta M. Lauritzen, Potlatch. C. M.—Rudolph Nelson to W. M. Duthie, $641.86; crop SE¼ 22-39-4. M. L.—Elijah Baker, Deary and Augustine Young, Troy. HISTORY OF NUMBER 40 40 years ago an old doctor was putting up a medicine for diseases of the blood, that cured the worst cases of blood troubles, and time proved that the cures were permanent.
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Le Journal des Débats veut que ce soit la loi et non la nation qui donne à un homme la mission électorale; mais cette loi, comme il faut que quelqu’un la fasse, quel sera le titre de celui qui la fasse? On lit dans le Temps : « La constitution de France est décidément remise à l'ordre du jour, et le plus accrédité des organes du pouvoir est entré dans la lice ouverte par les détracteurs de ce qui existe. C'est une faute que cette spirituelle escrime à laquelle il a consenti contre le fantôme d’institutions politiques que les légitimistes ont exhumé de nos annales. Et il fait d’esprit comme il fait d’argent, la dissipation n’est pas mère permise aux riches. » Ne dirait-on pas, à voir cette ardeur de parallèle entre les capitaines de Charlemagne et la charie de 1850, que la France est un pari rejeté d’hier, sorti comme par enchantement du sein des eaux, et qu'il lui suffit de raser pour choisir l'ordre politique le plus conforme à ses besoins et à ses idées? Ne dirait-on pas que, parce que les esprits se mettent ainsi à méditer sur les fondements de l’édifice, qu’il n'y a plus rien à faire pour le compléter et le rendre propre à sa destination ? Sommes-nous assez avancés dans la pratique des libertés pour qu’il nous soit permis de nous reposer dans les bras de la théorie? C'est une tactique habile de la minorité mécontente, que de nous faire perdre le temps à discuter sur le principe le temps que nous devons employer à en tirer les conséquences. Lorsqu'elle met ainsi le problème social au concours, elle sait bien que ce ne sont pas les dissertations qui le résolvent : elle espère, en détournant le pouvoir de la mission qu'il a reçue, faire avorter dans ses mains la solution qui la blesse. Cette solution par le monopole, tous les journaux ne sont-ils pas d'accord pour déclarer qu'elle est impossible? Nous prions la Tribune de méditer le passage suivant, de M.
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Le Rappel a raison, car jamais Chambre plus idiote n'a pris soin de mieux justifier le mépris qu’elle mérite. M. Henri Rochefort, dans l’Intransigeant, compare la majorité à « un troupeau de ruminants » ; cela n’est pas trop sévère, mais c’est injuste pour les vrais ruminants. Le Radical, de son côté, publie les lignes suivantes, de M. Henry Maret ; si cette prose n’est point parlementaire, il faut bien avouer qu’elle est merveilleusement appropriée au sujet. Nous ne sommes plus au Parlement ; le Rappel a dit vrai, et il ne faut pas l’oublier : Nous sommes au Bardo : » En un instant cette Chambre, sans concurrente possible, venait de voter le pour et le contre. Elle n’était pas contre Ferry, et elle n’était pas pour lui. Pour qui, pour quoi était-elle donc? Elle n’en savait rien. Son maître, Gambetta, ne le lui avait pas dit. Que pouvait faire Pandore ? Pandore n’avait pas d’ordre, et le brigadier n’était pas là. Alors ce fut inénarrable. Le centre et la gauche s’en allaient de ci de là, se cognant la tête, ahuris, désespérés. Dix-neuf ordres du jour se succédèrent, aucun n’obtenait la priorité ; en sorte que cette Chambre avait fini par trouver cette quadrature du cercle, une série qui n’a pas de numéro un, et inventé ce procédé curieux : commencer par le numéro deux. « Les ordres du jour s’entassaient ; il y en aurait un millier, et nous y serions encore. » Soudain un grand murmure; un ventre est apparu. On avait retrouvé le maître. Ce ventre demande la parole; on la lui donne. Il emplit la tribune. « Enfin, l’on tenait le sauveur. Deus ! ecce Deus ! On allait donc savoir ce qu’on pensait soi-même. C’est toujours agréable de connaître sa propre opinion. Sans ce ventre divin, on en eût été réduit à mourir d’inanition sur un tas d’ordres du jour accumulés, à moins qu’on ne se fût décidé à voter celui-ci : l’étonnement. — Moi, peut-être, toutefois, avant de poursuivre, un mot, je le prie. » Parlez. — Celle enfant... Gilberte... n'avait-elle pas une sœur? Une sœur... précisément... plus âgée qu’elle et qui a disparu ! — Continue. — Mais vous savez donc... — Rien ne t’arrête pas, continue.
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Casablanca ; Entre-Bios, du Havre, de Bordeaux, pour Madagascar.— Accra. — Arrivé le 11 septembre, st. ail. Janette-Wivrmann, yen. de compléter pour Hambourg. CANAL DE SUEZ — Port-Saïd. — Arrivés le 12 septembre, st. fr. Armand-Béhic, ail. de Marseille en Australie; st. ange. Iltisulalay ; st. hon. Surabaya. — Le 15, st. ange. Clan-Gordon. Partis le 10 septembre, st. holo. Kungnungurgentes. — Le 11, st. ail. Nechar, pour Brême. — Suède. — Arrivés le 13 septembre, st. ange. Duke of Devonshire ; st. ail. Koning-Albert. Parti le 13 septembre, st. ange. Soudan. MER ROUGE — Aden. — Touché le 10 septembre, st. ail. Pisa. — Port Said. — Passé le 12 septembre, st. holo. Sindoro ; st. fr. Chodoc. INDE — Bombay. — Arrivé le 12 septembre, st. ange. Persia, venu de Marseille. — Colombo. — Parti le 13 septembre, st. ange. Victoria, pour Marseille. — Batavia. — Arrivé le 12 septembre, st. holo. Stallang, venu de Marseille. Parti le 11 septembre, st. holo. Sibarai, pour Marseille. CHINE — Hong-Kong. — Arrivés le 11 septembre, st. fr. Natal, venu de Marseille. — Le 12, st. ail. Königsberg. — Le 13, st. ange. Patawan, venu de Marseille. TONKIN — Haïphong. — Arrivé le 6 septembre, st. fr. Colomba, venu de Marseille. Parti le 13 septembre, st. fr. Mont-Blanc, pour Marseille. JAPON — Yokohama. — Arrivé le 12 septembre, st. ange. Formosa, venu de Marseille. AUSTRALIE — Sydney. — Arrivés le 13 septembre, st. ange. Yarrawonga, venu de Londres. — Le 14, st. ange. Ormus, venu de Marseille. — Adelaide. — Parti le 12 septembre, st. ange. Borne, pour Marseille. SINISTRES ET ÉVÉNEMENTS DE MER — Quelque part, 12 septembre. — Un incendie s’est déclenché à bord du navire ange. Beliance, ayant à bord 3 200 tonnes de nitrate de soude. Le navire sera probablement une perte totale. — Kiel, 9 septembre. — Des plongeurs ont entrepris le renflouement du steamer ail. de Dunkerque à Gothembourg, coulé dans le canal à la suite d'un abordage. — Queenstown, 12 septembre. — Le navire ange. Barbadian, allant de Liverpool au Mexique, a relancé ici, ayant des avaries dans sa machine. — Saint-Vaury-sur-Somme, 12 septembre. — Le navire dan. Ceres, cap. Bager, venu de Soudhams, qui s’était échoué sur un banc à environ 1.200 mètres de notre port, a été renfloué hier, À la marée du matin, et entré ici. Il fait environ trois centimètres d'eau à l'heure. — Yarmouth (H.-E.), 6 septembre (télex).— Le navire ange.
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Mais quelques âmes charitables l'y encourageant, elle forma résolument quand même sa demande en séparation de corps. On dit que le travers des gens de lettres est de cribler leurs adversaires de quolibets, il n'en a rien été pourtant, et le spirituel plumifére s'est contenté d'opposer à la tâche demanderesse, qui voulait en finir incontinent, une exception qui nous paraît décisive, la plus raisonnable de toute, celle tirée de la douce réconciliation des époux. Grande bataille de langues à l’audience, comme bien vous pensez, M° Fay-Lacroix a failli faire triompher la cause de l’épouse. Après la plaidoirie de M. Fontaine de Rambouillet, le tribunal de la 5e chambre, présidé par M. Boseili, a autorisé la preuve offerte par le mari, de la réconciliation. Le vrai sens de cette décision était dans une lettre charmante de l'enfant des époux L..., la jeune Marie, qui disait dans son naïf langage : « Si Dieu exauce mes vœux dans ce jour, qui rapproche de ma première communion, J’aurai la joie ineffable de vous voir réunis pour me bénir ensemble tous les deux au pied de l’autel. » On commence lundi prochain, le printemps, la moisson des seigles dans notre grand rayon autour de la capitale. « Vous avez parlé, il y a quelques jours, d'un meurtre commis rue des Hautes-Gatines (quartier de Ménilmontant), cessé la nuit du 13 au 19 de ce mois. Nous avions annoncé que trois arrestations avaient été opérées, mais que les individus arrêtés avaient été immédiatement remis en liberté. Voici, au sujet de ce crime, de nouvelles révelations. La victime, qui fut reconnue le lendemain à la Morgue par ses deux sœurs et par son beau-frère, est un nommé Hébert Mention, dit Dubois ; il était âgé de dix-neuf ans et exerçait la profession de journalier. Il était presque sans ressources et avait dîné le 18 chez sa sœur, qui lui avait remis une petite somme. Il était sorti vers neuf heures et demie du soir sans dire où il allait. Dans la soirée, une dame F..., qui habite au n° 17, rue des Hautes-Gatines, juste en face du n° 22, vit cinq individus vêtus les uns de blouses blanches, les autres de paletots, qui en poursuivaient un sixième vêtu d'une blouse. Ils l'atteignirent sous ses fenêtres, et elle crut voir qu'ils le frappaient. Du reste, il tomba et elle entendit l'un des agresseurs dire : « Je crois qu'il a son affaire.
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Ramerì di poter dare altresì lode a tutti i membri di quella rispettabile congregazione di chierici, che venne istituita dal Rosmini sotto il titolo della Carità cristiana. Ma non posso dissimulare che alcuni di essi, (certo pochissimi, contro le intenzioni espresse del pio fondatore, ) si sono governati talvolta parlando, e anche scrivendo, in certi giornali che si stampano fuori d’Italia, per modo non del tutto conforme alla verità, alla giustizia e a quella virtù sublime, da cui si denomina la società loro. Nè io vorrei però interpretare troppo alla rigida cotali trasposizioni e attribuire loro una malizia, che forse non hanno; tanto più che poterono muovere da buona radice, cioè dall’ affetto lodevole di tali uomini onorandi verso la persona del loro istitutore. E ciascuno sa che quando in una controversia scientifica o letteraria entrano le passioni, non si pesa sempre il valore delle parole, nè la gravità degli effetti, che ne possono emergere. Ben sarebbe da desiderare che per evitare questo rischio i prodi della Carità cristiana non entrassero a sentenziare troppo facilmente su materie, che non s’allengano allo scopo del loro istituto, e in cui forse la più parte di essi non sono giudici competenti. La foro-osservanza del fondatore è tanto più lodevole e santa, che per amare e onorare un uomo come il Rosmini non è pur necessario di essere suo discepolo; ma dal venerare la sua persona, e celebrare il suo ingegno e le sue virtù al difendere ogni parte della sua dottrina, grandissimo è l'intervento. Troppo disdice a un uomo prudente e occhio a una società cristiana, a un cattolico sacerdote il perorare la bontà di una causa, sentita conoscerla intrinsecamente; imperocché, facendolo, si può esporre al pericolo di difendere il falso e impegnarsi a contraddire la verità conosciuta. Il Rosmini è uomo virtuoso e dolce, ma non infallibile; e pur sarebbe d'uopo infatti lo dono dell' inerranza per stabilire oppure confermare.
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Tidings of the riot came to the chief captain, equivalent to our colonel (Acts 23:26). Paul was bound with two chains, one from each of his arms to a soldier, secured, yet left free to walk with his guards, thus fulfilling the prophecy of Agabus (v. 21). Mohs usually have great respect for soldiers, for they are inwardly cowardly. No sooner was Paul on the stairs which led to the top of the fortress than the mob, afraid that they were about to be balked of their vengeance, made a mad rush at him, with cries of "Kill him; kill him!" and Paul, unable in his fettered condition to steady himself, was carried off his feet and hurried off in the same path his Master had trod (John 19:15) and he was again to hear that cry. (Ch. 22:22). During all this tumult, Paul had but one thought, how he might witness for his Master, and bring some of his blinded accusers to a saving knowledge of Christ. Thus it was that he asked for the privilege of speaking, and most courteously did he make his request. He spoke to the captain in the Greek tongue, not in Hebrew, and great was the surprise of the captain. Practical Application. When we are attacked, no matter for what cause, if we confidently look for deliverance and exercise self-control, God will take care of us. Such conduct is disconcerting to our enemies. Diplomacy is often dangerous and misunderstood. Circumstantial evidence is never of great value. There is, however, a desirable form of diplomacy as when Paul addressed the soldiers in his native tongue. Paul's principle was in essentials, firmness; In non-essentials, liberty.
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" No. He has a bad cold, and I stopped in to see that he wore a red flannel bandage around his throat. A sculptor's work is so dreadfully wet and sloppy, and his throat has alwaj-s been very delicate."' " Do you mean to say that 3'ou charge your mind with the coddling of that great big, pink-cheeked boy.'' " laughed Valerie. " Coddling!" repeated Rita, flushing up. '" I don"t call it coddling to stop in for a moment to remind a friend that he doesn't know how to take care of himself, and never will." " Nonsense. You couldn't kill a man of that size and placidity of character." " You don't know anytliing about him. He is much more delicate than he looks." Valerie glanced curiously at the girl, who was pre- paring oysters in the chafing dish. " How do you happen to know so much about him, Rita.?" She answered, carelessly : " I have known him ever since I began to pose — almost." Valerie set her cup aside, sprang up to rinse mouth and hands. Then, gathering her pink negligee around lier, curled up in a big wing-chair, drawing her bare feet up under the silken folds and watching Rita pre- pare tlie modest repast for one.
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On cite souvent, en ornithologie, telle analyse ou tel travail, sans faire attention que le plus grand nombre des coupes qui s'y trouvent inscrites portent une date antérieure à ces écrits. Par exemple, la plupart des coupes faites de main de maître, par Levaillant, n'ont coûté aucune peine à ceux qui les ont érigées en genres. Toute leur science, portée si haut, s'est bornée à former, ou à faire composer, par quelque helléniste, la dénomination générique prise de racine grecque ou latine. M. Yvigors n'a peut-être pas fait attention à la date de la publication de mon histoire des Gallinacés; elle est de 1813: les noms qu'il veut faire prévaloir ont été proposés sous une forme différente en 1818. Je ne fais cette remarque, très insignifiante, que pour l'acquit de la conscience de M. Yvigors, qui fait preuve, dans tous ses écrits, d'une impartialité bien louable, et d'un talent très distingué. MONOGRAPHIES facile mais il n'en est pas ainsi de la destruction de ces mêmes erreurs, qui est certainement l'ouvrage d'un temps très long. On peut adresser cette remarque à ceux qu'un désir immodéré d'écrire lance avec trop d'ardeur, j'aurais presque dit avec trop d'assurance, dans le vaste champ de l'étude de la nature. J'ose me permettre de renvoyer ceux-ci à l'épigraphe du présent ouvrage, empruntée d'un poète qui dans les règles de l'art poétique s'est semblablement avancé plutôt qu'écrit les lois qui servent de code au Parnasse français. Je subdivise provisoirement les Molosses en deux petits groupes d'après leur habitation dans les deux grandes contrées du globe. PREMIÈRE SECTION COMPOSÉE DES MOLOSSES DE L'ANCIEN CONTINENT.
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Sir Moses Montefiore and his colleagues had intended to carry the Firman themselves to Damascus, but their design had to be abandoned, partly in consequence of the dangers of the journey, and partly because it was feared that an outbreak of fanaticism on the part of the Christians might follow such a visit. An authenticated copy of the order of release was forwarded to Sheriff Pasha by other channels, and the British Consul was requested to see that it was carried out. The Firman arrived on the 6th September. M. de Ratti-Menton endeavoured for a time to oppose its execution, but unavailingly. The nine prisoners — seven of whom had become crippled for life by the tortures to which they had been subjected — were released, and it was publicly made known that the Jews who had fled might return to their families. To a large proportion of the Mohammedan population the Firman gave great satis- faction, but the Christians did not disguise their disap- pointment. With solemn pomp they erected in the Church of the Capuchins, over the mutton bones dis- covered by Ratti-Menton, a memorial tablet, setting en. vin.] Sultan A bdul-Medjid. 105 forth that heneath were interred the remains of Father Thomas, "who had been murdered by the Jews." The members of the Jewish Mission, before return- ing home, attempted to sow the seeds of some permanent improvement in the condition of the Eastern Israelites. Sir Moses Montefiore made a careful study of their political arbitration ; M. Cremieux preached to them of the advantages of secular education. The latter then left for Em'ope, and received a perfect ovation on his homeward journey.
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President and Baker, in Washington, the president went this morning to the office of Secretary of War Baker for a conference that lasted more than a half hour. It is generally assumed that the president called upon the secretary for the purpose of discussing the war council bill with him but nothing was announced officially. MOSCOW INSTITUTION ADJUSTS ITS AFFAIRS TO MEET WAR CONDITIONS HARVESTER COMPANY The annual stockholders meeting of the Idaho National Harvester company was held at the company's office on the afternoon of Monday, January 14, 1918. The meeting was well attended, stockholders from a number of outside points attending. The business of the company is audited by a bonded auditor at the close of business, October 31, each year. The audit covers in detail every transaction of the plant and shows the exact condition of the business. Stockholders by this means are kept fully informed of the company's progress. The business of the past year has shown satisfactory advancement and in discussing the plans for 1918 the company was found to have on hand good supply of material and the company's financial stability. Output would be fully as large as for 1917.
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Sottoscritti le proteste contro il trionfo della Montagna, il 31 maggio, fu quindi posto nel numero dei 73 che ritornarono all'assemblea dopo il 5 termidoro. Il 10 dicembre 1795, provocò un rapporto su Giuseppe Lebon; il 11 febbraio propose di rimandare al tribunale criminale del Maine-et-Loire i membri del comitato rivoluzionario di Nantes, assolti dal tribunale rivoluzionario di Parigi. Il 5 marzo entrò al comitato di sicurezza generale e denunciò le sommosse del partito giacobino, le violenze commesse sui cittadini, accusò Duhem in segno agli avvenimenti del 1º aprile, e votò il suo arresto. Dopo la chiusura del club dei giacobini, fece decretare il 17 maggio che il luogo delle loro sedute sarebbe consacrato allo stabilimento di un mercato sotto il nome di Campo Termino. Il 1º pratile (10 maggio), contribuì a liberare la convenzione, di cui le sale erano ingombre dagli insorti dei sobborghi, e li affrontò alla testa del battaglione di legno della Boulle di Montmartre (oggi Place des Acacias nel Supplément). Alcuni giorni dopo annunziò che Rublé, posto in arresto in propria casa, era cravagliato e fece decretare che i deputati in stato di arresto, sarebbero trasferiti nella casa di sicurezza. Il 19 giugno fu eletto segretario. Il 14 vendemmiale anno IV, (6 ottobre 1795), dopo la disfatta delle sessioni di Parigi, chiese che il comitato di sicurezza pubblica pronunciasse la liberazione dei terroristi arrestati. Divenuto membro del consiglio dei 500, prese parte a molte discussioni sugli stabilimenti di umanità e di pubblici soccorsi.
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— Réunion do la commis*, exécutive, à 8 h. 1/2 du s.. 21, rue des Cinq-Diamants. O/J. : La manifestation du 19; la délégation au Congrès général. Parti socialiste révolutionnaire. — Groupe du 13* arr. — Réunion, à 8 h. 1/2, salle Blan chard, 68, rue du Ghâtean-des-Rentiers. O/). : Organisation d’une réunion publique; conférence du camarade Tanger. Fédération des travailleurs socialistes de France (P. O. S. R.). — Cercle d'études sociales du 13* air. — Réunion, ce soir, salle du Lion, d’Afrique, 11. place d’Italie. Parti ouvrier rociaiisve révolutionnaire(P.C.). — Groupe central Les Révolutionnaires du 14*. — Réunion, à 8 h. 1/2 du s., maison Séguy. rue du Château. O/j. ; Nomination d’un délégué au Congrès so cialiste; l'entente au 14« anr. Fédération des Indépendants. — Cercle d’études sociales d6 Plaisance (14* arr.). — Réunion, à 9 heures, salle du Moulin de la Vierge, 1U0-102, rue de Van vos. O/J. : Nomination des délégués au Congrès na tional socialiste. Jeunesse socialiste indépendante du U» arr. Réunion, à 8 h. 1/2. an Petit Collège, 65, rue Halle. O/j. : Causerie du cit. Georges Bussy, de la F. J, S. (P. O. F.), sur l’Action socialiste du P. O. F. FÉDÉRÂT!#* DES travailleurs socialistes de Franck (P. O. S. B.). — Groupe BatignollesEpinettes. — Réunion à 8 h. 1/2, 145, r. Legendre. O/j. : Adhésions et cotisations ; compte rendu des délégués : Congrès fteéml des organisations socialiste» française» ; proposition» diverses. Parti socialisterévolutionn-aiiui: — Comité révolutionnaire socialiste des Ternes et PlaineMonceau. — Réunion, à 8 h. 1/2 du soir, salle Bourges, 30 bis, avenue Niel, et 1, villa Nicl. O/j. : Dernière entente pour la réunion publique; causerie pac le citoyen Noir; question» diverse».Th*ire socialiste do Parit. Bâumon *«%., a 1» M®ao»<toPeeflfo,,48.,mû Battre*. v/j, : Organisation de la repréBentation de Mont martre. — Prière, d’être présenta. Parti ouvris* goarAUsm révolutionnaire (F.C.) Groupe central du 18* arr.— Réunion,.» 9 heures, ni h» Maisondu Peuple, 47", me Ramuv. <W: : h.’unîtâ socialiste au Congrès gétiéral. ComitA républicain socialiste, do CUgnancourtr (Rouan etc Le Grondais), — Réunion privée», à. a h. 1V2'préflises. salle da Iti Ligne Fraternelle,. 15, rue Samtfe-Isaure. Q/j. : Les élactiona de la Caisse-des écoles ; le Congrès do parti socialiste ; la fête du Triomphedû la République ; laJéte dw Comité du U csurant; questions diverse» tré».importante». Parti ouvrier français (Aggl. parisienne).
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Dio è giusto e non è permesso agli uomini, né ai cattivi, né ai buoni, deludere le sante leggi... a ciascuno la sua parte!... perciò donna perduta e senza avvenire, hai voluto occupare quel posto, che era riservato a casta e vergine fanciulla?... perchè? ATTO QUARTO. hai accettato un trionfo, quando meritavi un castigo?... ebbene: sconterai, ad un tratto, il primo ed il secondo errore: sarai condannata innocente! Bar. (fra sé). Povera donna! Gian. Se portai il turbamento nella vostra famiglia, se ho aperto nel vostro cuore una piaga, che rimarrà forse insanabile per sempre; la colpa non ne fu tutta mia... perdono natemi almeno questa e dimenticatevi di me! (s'avvia con Gastone, tutti grandemente commossi piangono, Lucia li corre presso). Lucia. Giannina! (si abbracciano). SCENA VI. Margherita, poi Valmoreau e detti. Mar. (dal mezzo). Il signor Valmoreau! (esce). Cam. Valmoreau? Bar. Che viene a fare qui? Val. (dal mezzo). Signori!... signor Camillo!
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He was specially summoned to the deathbed of the Conqueror (1087), though illness pre- vented him from appearing ; and Rufus, after his accession, revered Anselm if not as a saint, at least as his father's friend. On Lanfranc's death (10S9) the English laity and clergy concurred in desiring Anselm for their primate. The see was kept in the King's hand until 1093 ; when, the King lying sick at Gloucester, Anselm was invited by the bishops to give him ghostly counsel, and produced such an impression that Rufus promised to amend his life and government, and as an earnest of repentance invested Anselm with the see of Canterbury. Anselm, inspired by a well-grounded mistrust of the King's sincerity, made his acceptance con- ditional upon three promises : that the lands of Canterbury should be restored in full; that he should be accepted as William's chief counsellor in spiritual affairs ; and that (17) Anselm] Dictionary of English Church History [Archdeacon he might continue in the obedience of Urban H., whom the Norman Church had long since accepted by preference to Wibert, the Im- perial antipope. The King granted the first condition, but evaded answering the second and third. He soon repented of his repent- ance ; he refused to let Anselm summon a Church council, though this was the tradi- tional method of initiating ecclesiastical reforms ; he turned a deaf ear to remon- strances on his private life and his oppressions of the Church ; and finally told Anselm that he must repudiate Urban, and leave the Crown to settle which Pope should be recognised in England. On this last question Anselm appealed to the Great Council, pleading that no obedience was due to Caesar in the things of God. His case was heard at Rockingham (1095). Both the bishops and the barons urged him to submit ; the King hoped that he would resign. But Anselm appealed from the Great Council to the Pope ; the bishops, though they renounced his friendship, de- clared themselves incompetent to depose him ; and the barons were won over by admiration for his courage. Bufus there- fore, making a virtue of necessity, acknow- ledged Urban, but asked Urban's legate that Anselm might be deposed, or at least obliged to take the pallium [Pall] from the royal hand.
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Eransi anche in questo tempo congiunte a Livorno le galee di Andrea Doria, e quattordici galee Francesi con le sedici galee dei Veneziani; e avendo ricevuto Renzo da Ceri con tremila fanti per porre in terra, partirono il terzo di Novembre da Livorno. E benché prima fosse stato determinato che assaltassero l'isola di Sicilia; mutato consiglio, si voltarono alla impresa di Sardegna, per i conforti, secondo si credette, di Andrea Doria, forse perchè già avesse nel petto nuovi concetti. Accorsa a questa impresa Lautaro, per la speranza che, presa la Sardegna, si facilitasse molto l'acquisto della Sicilia. Quello che ne fosse la cagione, le galee travagliate in mare da tristissimi tempi, separate andarono vagando per mare; una delle galee Francesi andò a traverso appresso ai lidi di Sardegna; quattro delle galee Veneziane molto battute ritornarono a Livorno; le Francesi scorsero per l'impeto dei venti in Corsica; dove poi in Portovecco si ricongiunsero secoli quattro galee dei Veneziani; le altre otto furono trasportate a Livorno. Finalmente la impresa si risolse, restando insieme in molta discordia. Andrea Doria, e Renzo da Ceri.
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Sostituendo il valore di a, il valore di si ha il terzo termine espresso da aa = a,-i-SS. Sostituendo questo valore di a, in quello di a^, si ha il quarto termine espresso da Oi=a,+35. Così si troverebbe o,=ai+W, aft=«,-h55; e in generale, il termine if"^ o_n = ai+(n— 1)X5. Per definizione si ha anche a_n_ = a_n - 5, a_n_ = - 5, a_n_j = o_n_, - 5. Sostituendo il valore di a_n_, in quello di a_n_j, si ha o_n_3 = a_n - 2S; sostituendo questo valore di o_n_j in quello di a^, si ha o_n|_3 = a_n - 3S, e così di seguito. Il primo termine sarà quindi dato dall'egualianza o_1 = o, - (n— 1)X5. Osservazione: Per calcolare l'espressione si può ottenere un termine qualunque senza passare per i termini intermedi. Esempio. Vogliasi il venticinquesimo termine della progressione 7 5. 10. 15 si ha a_n = 5+(25— 1)X5=125. Inserire i medi aritmetici tra due numeri, a e b, significa formare una progressione di cui a e b siano i termini estremi, e di cui questi medi saranno i termini intermedi. Per calcolare questi medi e la ragione S della progressione che essi formano, osserviamo che questa progressione avrà n termini; l'ultimo termine l, che supponiamo maggiore di a, sarà dunque dato da (353) l = a+(nM-1)X5; da cui e quindi Dunque la ragione della progressione che si tratta di formare è eguale alla differenza dei numeri dati divisa per il numero dei medi da inserire aumentato di 1.
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STAR-MIRROR, MOSCOW, IDAHO The Kenworthy SUNDAY MATINEE EARL WILLIAMS in "IT CAN BE DONE" MONDAY AND TUESDAY ONE OF THE SEASON'S BEST A TREAT FOR ALL Mark Twain's GREATEST COMEDY A CONNECTICUT YANKEE IN KING ARTHUR'S COURT The greatest Satire in the History of Literature. Eight Thousand Feet without a dull inch. SIDE-SPLITTING COMEDY MASSIVE SPECTACLE LIGHTNING ACTION -PRICES - SHOWS AT 7 AND 9 CHILDREN 25c ADULTS 50c Next Tuesday evening the Moscow Business and Professional Women will elect officers for the coming year at their business session. L. H. Hilliard of Troy was a Moscow visitor Saturday. PERSONAL MENTION C. J. Smith of Avon was a guest at the home of Mr. and Mrs. G. W. Miller Saturday. Cards have been received, announcing the marriage of Miss Marie Osness to Mlrick Gunderson, at Tacoma, Wash., Thursday, September 28, 1922. Miss Osness has many friends in Moscow where she is quite well known. She lived here about four years, making her home with Mrs. John Canham. She was employed in the First Trust bank. Miss Gertrude Christen, supervisor of music in the Potlatch schools, is spending the weekend with Rev. and Mrs. W. S. Snoddy. Mrs. Boland Hodges, who has been quite ill the past week at her home on West Sixth street, is now convalescing with hopes of a speedy recovery. Mr. and Mrs. T. L. Buffington and family of Thermopolis, Wyoming, were guests at the home of Mr. Buffington's sister, Mrs. H. O. Folkins, several days the past week. They left Friday for Winchester, Idaho, where they expect to locate. They are making the trip in their car.
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CONTRACTS FOR THIRD PERSONS 253 children, equity raises a trust in favor of the latter.^ When one who holds a life insurance certificate in a beneficial order, causes the same to be made payable to a certain person on the faith of his oral promise to pay the proceeds to a third person, equity will enforce the trust against the beneficiary named in the certificate.* When a legatee promises the testa- tor that he will use the property given him by the will for a particular purpose, a trust aiises.® In England, and in a few States in this country, (Massa- chusetts, Connecticut, Michigan, and perhaps two or three others) the common law rule is more or less strictly adhered to, and the right of a third person to sue on a contract made for his benefit is denied.^ But the prevailing doctrine in America is that a contract by which, upon a consideration furnished by one of the par- ties to it, the other party promises to do something for the benefit of a third person, gives to that person a right to sue the promisor in case of non-performance/ The establish- ment of this doctrine has been gi'adual, and is a victory of l^ractical utility over theory, of equity over technical subtlety. 3 Stahl V. Stahl, 214 111. 131. * Coyne v. Supreme Conclave, 106 Md. 54 ; Hirsli v. Auer, 146 N. Y. 16. These are all really contracts for the benefit of a third person and are so treated In McCoy v. McCoy, 32 Ind. App. 38.
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Les vers de Belando sont dans le genre de sa prose; nous trouvons chez lui un petit poème qu'il serait trop long de reproduire en entier, mais qui peut servir de pendant à cette Tariffa delle Puttane qui a été (à tort peut-être) attribuée au divino Aretino, et dont un exemplaire, le seul dont l'existence paraît bien constatée, a été successivement adjugé aux prix de 59S et de 655 francs aux ventes Nodier et Libri. Scudo d'Amanti dove si scopre gli assassini, inganni, astuzie, frodi e truffe che usano le puttane per ingannare i semplici giovani, quelli di loro si fidano, con le passioni e dolori che da il mal napolitano, o di chi l'ha già composto da Vincenzo Belando Dolci signore, vi prego state attenti Ch'io vi narro in questi pochi accenti L'affanni e i dolori che sopportano le genti Del mal napolitano che ne viene a passi lenti. Anche udrete le grandi truffe, L'insidie, astuzie, inganni e le bugie Ch'usano le puttane agli amanti e le malie Da far compassione alle tigri, orsi ed arpie. Migliore sarebbe che l'uomo non fosse nato Ché esser dalla verola circondato, Che come cera al fuoco ti trovi' esser consumato Fin che pian piano ti scerchiò l'anima, l'ispirò, e'l fece morire. E questo da le cattive puttane Con le carezze loro simili al cane Che tanto ti vuole bene mentre tu gli dai del pane, Finito che gliel'hai non ti conosce più oggi o domani. Queste poltrone paiono si belle in viso E con un certo simulato riso Ti spogliano del tutto, poi da quelle sei deriso Come l'hanno ben pelato dell'amore resti conquiso.
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Corps aplati de haut en bas ou non comprimé latéralement; abdomen assez réduit, à pattes, sauf les dernières, semblables et pourvues de branchies; pattes thoraciques toutes semblables. Isopodes, p. 510. I. AMPHIPODES. Corps ordinairement comprimé latéralement; pattes thoraciques différant le plus souvent de grandeur et aussi dans la manière dont elles se terminent, celles des six paires postérieures offrant en général une branchie tubuleuse à leur base; abdomen ordinairement bien développé, ses trois paires de pattes antérieures dirigées en avant, les trois autres en arrière, toutes natatoires; glandes antennaires constituant l’appareil rénal de l’adulte. I. Corophium longicorne. — II. Podocerus falcatulus. — III. Lyosatomus atlanticus. — IV. Atylus Swammerdamii. — V. Talitrus locusta.— VI. Hyperia medusarum. — VII. Caprella linearis. 1. Abdomen présent et bien développé; corps non extrêmement grêle; sept anneaux thoraciques libres. 2. Abdomen réduit à un petit tubercule presque invisible; corps extrêmement grêle et allongé; six anneaux thoraciques libres. Malacostracés, p. 569. 2. Tête et yeux normaux. Crevettines, p. 565. Tête très renflée, à yeux énormes. Hypérabdes., p. 569. I. Crevettines. Abdomen bien développé; sept anneaux thoraciques libres; tête et yeux de médiocre grandeur; pattes mâchoires pourvues d’un palpe. 1. Corps peu ou point comprimé latéralement; antennes postérieures très fortes, non terminées par un fouet multiarticulé. 2.
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Ils payaient simplement leurs dettes électorales et mauvaise grâce à leur reprocher d'avoir voulu tenir une parole donnée à leurs électeurs. Tout au plus, pourrions-nous trouver assez humiliant et pour eux et pour le parlementarisme auquel ils aspirent, truque-t-ils n'auraient qu'à se résoudre à de pareilles polémiques électorales, qu'ils auraient usé contre leurs adversaires d’un semblable argument. Mais c'est d'un passé déjà suffisamment lointain pour que nous n'insistions pas. SOUS LA COUPOLE de M. J. Lemina, dans Y Aurore : Etant donné ce thème, — en un concours quelconque !— Etablir qu'un homme qui arriva aux plus hautes dignités de l’Eglise, qui fut élu membre de l’Académie, qui fut nommé évêque, peut-être même le conseiller d’un pape, n’était au demeurant qu’un bon fainéant, apte à tout, c'est-à-dire à rien, charmant homme, haïssable dans ses amitiés, accueillant à tous sans fixer son attention sur personne, bref, un individu heureux, ne s’étant donné que la peine de vivre. Comment vous en tireriez-vous ? Si vous êtes un simple sceptique, vous diriez carrément la vérité, et elle est un peu grosse. Si vous êtes un croyant, vous ferez peine à contenir votre indignation devant un personnage aussi surfallant. Mgr Duclos a résolu le problème et, vraiment, c’est plaisir artistique que de lire l'éloge, — est-ce bien un éloge ? — qu’il a prononcé sous la Coupole en l'honneur de son prédécesseur le cardinal Mathieu. C’est doux, c’est bénin, c’est élégant, c’est même gai, — et cependant, c’est féroce. À notre point de vue, ce Mathieu était un type dans le genre du bon curé de la légende, fumant sa pipe, amoureux du bon vin, et plaisantant avec les camarades. Ce serait fort bien dans un petit patelin : mais voyez-vous cette jovialité, ce dédain de l’étiquette, ce « rigolissement » — antithétique au rigoriste — transporté dans les plus hautes sphères des dignes ecclésiastiques, sous la pourpre romaine ? Duclos s’est amusé à désarticuler le bonhomme, — pas méchamment, puisqu’au fond il ne lui reproche qu’une chose, c’est de n’avoir rien fait, pas même des livres acceptables, et qu’il se soucie des dogmes autant que lui. Cet apologue d’un cardinal qui ne broie pas grand corps par un prélat qui ne croit guère à rien, avec cependant le bon gardé de la parfaite correction religieuse, fut un véritable régal.
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