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Juntamente negociaron los ingleses con tártaros que habí-
tan á la ribera del rio Wolga por medio del moscovita, á cuya
devoción están, los dejen navegar libremente con sus mercado-
rías por el dicho rio Wolga al mar Caspio ó Hírcánico, y que
allí el persiano edificando en Astracán naos grandes, les diese
licencia para poder manejar las mercaderías, y distribuir por la
Media y Persia, conmutándolas en cambio de las que hay en
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las dos provincias y les YÍenen á los persas por ríos que salen
á este mar Caspio de la India Oriental; lo cual alcanzaron los
ingleses del persiano.
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Paoli s’exécuta aussitôt et remit à la jeune dame la somme de 750 francs. Quelle ne fut pas sa surprise en voyant entrer, hier, dans son bureau, Mme veuve Emile Richebourg ! — Mais, madame, lui dit-il, les droits d’au teur ont été payés, il y a quinze jours. La veuve du romancier n’eut pas de peine à démontrer à M. Paoli qu’il avait eu affaire à une habile voleuse. Et M. Paoli alla porter plainte chez M. Rieux, commissaire de police. Un demi-million d’escroqueries Mme Civet, rentière demeurant à Passy, avenue du Bois de Boulogne,vient d’être coup Bur coup victime de deux escrocs qui lui ont soutiré plus d’un demi-million ! Mme Civet est divorcée. Elle voudrait bien ee remarier, mais en passant par l’église. Un homme de lettres dont elle faisait la connaissance il y a quelques mois, M. G..., demeurant rue Bleue, se fit fort d’obtenir du Pape l’autorisation nécessaire et, il y a quelques jours, il lui apporta un bref signé do Sa Sainteté Léon XIII, et du cardinal Rampolla, et se fit donner pour ses frais yne somme de 50,000 francs environ. Mme Civet ne tarda à s’apercevoir que ce bref était un faux. Elle porta plainte et hier 'M. Cochefert arrêta M. G... à son domicile. Cet escroc est bien connu parmi les gens do lettres, plusieurs romanciers célèbres ont déjà été ses victimes.Mais Mme Civet n’était pas au bout de ses peines. Comme • lie avait besoin d’argent, elle alla à la Banque géné rale de la Bourse de Paris, 12, boulevard Poissonnière, pour retirer les titres de ren tes qu’elle avait confiés au directeur de cet établissement, M. Melle val. Ce dernier la pria de repasser le lendemain et disparut avec les titres valant au tol&i -497,000 francs. Mme Civet, désespérée, a porté plainte contre le peu scrupuleux financier. Le feu chez M. Pierre Lebaudy En entrant, hier, à midi, dans la salle à manger de son appartement, 17, place Ven dôme, M. Pierre Lebaudy, député, aperçut une épaisse fumée qui sortait à travers les planches du parquet. Il fit aussitôt donner l’alarme, et les pompiers de 'a caserne dui Marché Saint-Honoré arrivèrent. Ils crevè rent le plancher et constatèrent que les pou tres de la charpente brûlaient activement 'depuis au moins deux jouiO. Le feu a pu être facilement éteint.
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Februar cr. wird ein tüchtiges Mädchen für Küchen- und Hausarbeit gesucht, bei einem Lohn von M. 150 p. Jahr. Die Stellung ist auf dem Lande, aber in unmittelbarster Nähe von Halle und dies in 15 Minuten zu erreichen. Zu erfragen Herrenstr. 13, III. S An der Provinzial- - Irrenanstalt Nietleben sind zum 8. Februar 1902 zwei Küchenmädchenstellen, bei einem Anfangslohn von je 120 Mk. nebst freier Unterkunft und 2 Dienstkleidern p. Jahr zu besetzen. Gute Zeugnisse erforderlich. Für unser Spezial - Damen - Confections - Geschäft suchen wir zum sofortigen oder späteren Eintritt noch mehrere, mit der Branche durchaus vertraue, tüchtige Verkäuferinnen mit möglichst guter Figur. Engen Preis & Co., Leipzigerstr. 5. Modes. Zum Antritt für die Frühjahrssaison suchen wir eine durchaus branchenkundige erste Verkäuferin bei hohem Gehalt und dauernder Stellung. Schneider & Haase, Juh. Ab. Stegmann, Modehaus für Damen-Putz. Juniges Aufwartemädchen von 10 Uhr früh gesucht Neue Promenade 1, II. links. Aufwartung gef. Forsterstr. 11, p. r. Aufwartung gesucht! Jumelden Sonnabend 10 - 11 Uhr Mecklenstr. 3, I. l. Geübte Rasenstrickerinnen finden dauernde Beschäftigung in der Strumpfstickerei, Geiststr. 5. Triefe & andere Aufwartung sofort gesucht Magdeburgerstr. 6, III. Aufwartefrau von früh 8 Uhr an auf - 2 Std. gesucht Leipzigerstr. 18, II. Sauberes Mädchen bis Aufwartung für Vormittag gesucht Gr. Steinstr. 38, pt. Doge Eimegerimen werden bei hohem Lohn sofort gesucht. Friedrich & Baner, Gr. Berlin 84. Aufwartung für Vormittag gesucht Schmiedestr. 23. Mehrere junge Mädchen werden auf Reisen in eine Schießhalle gesucht Thorstr. 17, I. 7 für Februar, März ges. Aufwartung Denriettenstr. 24 pt. 9 — (Mädchen) gesucht Aufwartung Schimmelstr. 16, pt. Tüchtige gewandte Putzdirectrice für betten und mittleren Genre bei hohem Gehalt und dauernder Stellung per sofort oder 1. März gesucht. Zeugnis, Photographie und Angaben des Gehaltsanspruchs erbittet Albert Troplowitz Nachf., Riesa a. Elbe Füchsenmägden für T. Hans von 70 bis 80 Thlr. Lohn gesucht Deutscher Kleinverein - Verband, Sternstr. 5, I. (Inh. Alb. Koch). Sauberes junges Frau oder Mädchen von 8 bis 1 Uhr in Aufwartung gegen Zahlung. Zu erfragen in der Expediton der Zeitung. Haus- und Stallmädchen aufs L. erhöht sofort und später Stunde durch Frau Marie Stoll, Stellenvermittlerin, Streiberstr. 20, I.
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Le garde des sceaux l’a démontré. Et si elle ne le condamne pas, dans quelle situation singulière la Chambre et la Cour, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire vont-ils se trouver l’un devant l’autre? On a affiché le mépris du droit au Palais de justice; n’est-il pas naturel qu’on laisse maintenant s’étaler officiellement sur les murs le mépris d’une magistrature qui s’est prêtée à la violation du droit. L'Intransigeant dit de son côté: L’affichage officiel du discours de Viviani à la porte de tous les tribunaux de France, c’est comme un glas qui précède l’enfouissement de ces pourrobes qui portent complaisamment sous les plis de leurs toges toutes les hontes d’un régime corrompu. La magistrature a reçu hier le plus cruel des soufflets: c’est le commencement de la justice et des réparations. L'Événement fait la remarque suivante: La majorité qui, hier, a voté l’affichage du discours de M. Viviani, l’affichage du vote sur les conclusions du rapport général de la commission d’enquête, et enfin l’affichage des dites conclusions, n’a pas fait preuve d’un grand esprit politique. Elle n’a même pas fait preuve de la plus élémentaire logique. Il y a deux jours à peine, quand on annonça que la commission d’enquête avait décidé de demander que la Chambre se prononçât, avant sa séparation, sur les conclusions du rapport de M. Vallée, ce fut un rire général dans les couloirs. Eh ! quoi, quelqu’un s’intéresse-t-il encore à cette vieille affaire du Panama. On allait, en deux temps et trois mouvements, enterrer le rapport Vallée, puisque son auteur avait l’imprudence d’appeler l’attention sur ce travail que tout le monde croyait enfoui à tout jamais dans les cartons parlementaires. C’est sur cette belle résolution que la majorité s’est rendue à la séance, hier, et...qu’elle a voté par trois fois un affichage qui la place dans une posture désavantageuse devant les électeurs et lui fait perdre le bénéfice de deux ans de sagesse parlementaire. M. de Vogüé a adressé à M. Léon Bourgeois une lettre ouverte, publiée par le Figaro. M. Barbezieux fait de cette lettre le sujet du premier Paris de La Paix: Avec une pointe d’ironie, intentionnellement émoussée, M. Melchior de Vogüé reproche à M.
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« Depuis lors, ajoute-t-il, j’ai rencontré bien des croix, mais en conservant mon entière confiance aux anciens qui veillent sur les intérêts spirituels de notre famille, je vis dans une union bénie avec mes frères et sœurs, et j’apprends cette importante leçon : « L'obéissance vaut encore mieux que le sacrifice. »
L'humble vocation de George Wickersham me paraît avoir été celle de beaucoup de Shakers, sans exaltation, mais tenace et solide, impliquant le souci d'un certain bien-être en ce monde et du salut assuré dans l'autre qui ne sera que la continuation de celui-ci sans heurt ni différences.
Le récit d'un autre Shaker, jadis marié, Galen Richmond, est plus émouvant. En pleine félicité domestique, la pensée le frappa que ce n'était pas là une vie chrétienne. Ses scrupules dont il fit part à sa jeune femme la touchèrent peu. Alors il s'entendit avec les Shakers, confessa ses péchés, cessa de les commettre, dénoua lentement tous les liens qui l'attachaient à la famille et au monde. Cela prit des années. Sa femme, devenue pour lui une sœur, consentit à recevoir une large part de sa fortune en échange de la liberté qu'elle lui rendait et, emportant son estime, il s'éloigna pour rejoindre la société à laquelle il n'est complètement uni que depuis quatorze ans, bien qu'il ait vécu vingt-six ans en communion avec elle. — Les Shakers acceptent sans difficulté ces longs noviciats qui sont une garantie de persévérance. — Et Galen Richmond se proclame le plus heureux des hommes, si heureux, que, n'y eût-il pas de vie future, il choisirait encore son lot présent. Voilà un ascète digne de la Thébaïde.
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Das Rätsel über das geheimnisvolle Verschwinden des Wucherers Rosenberg, so berichtet die „Trem.“, scheint sich zu lösen. Der Gefangene Ausseher Kohn ist gestern Morgen nicht zum Dienst erschienen. Eine Suche nach ihm blieb ohne Erfolg und liegt es demnach sehr nahe, dass dieser von Rosenberg durch Geld als Helfershelfer erkauft und ihm die Türen geöffnet hat. Kohn hatte allerdings in der fraglichen Nacht keinen Dienst, er wohnte aber im Gefängnis und war im Besitz von Schlüsseln sowohl zu den Zellen, wie zu den nach draußen führenden Türen. Das Werk ist binnen weniger Augenblicke vollbracht worden und zwar allem Anschein nach gegen 11 Uhr Abends, während der diensttuende Aufseher auf dem hinteren Gefängnisdach die Kontrolluhr markierte. Durch den Umstand, dass der letztere bei seinem Wiedereintritt nirgendwo etwas Auffälliges fand, vor allem sämtliche Türen verschlossen und auch die Kleider Rosenbergs, die ihm wie allen anderen Gefangenen Abends abgenommen und vor der Zelle auf den Flur hingelegt wurden, unberührt lagen, erklärt es sich, dass das Verschwinden erst Morgens bei der Revision der Zellen entdeckt wurde. Es sind demnach die Kleider Rosenbergs in die Zelle hineingeschmuggelt worden. Die ganze Geschichte beweist, dass die Flucht Rosenbergs nur nach einem langen und sorgfältig überlegten Plan hätte stattfinden können, bei welchem dritte Kräfte ohne Zweifel mitgewirkt haben. Die königliche Staatsanwaltschaft hat bereits einen Steckbrief gegen den Aufseher Kohn erlassen. Benedikt Rosenberg, der Sohn des Entkommenen, welcher am Freitag seinen Vater in der Zelle besucht hat, ist gestern verhaftet worden als der Mithilfe dringend verdächtig. Bochum, 19. Juni. Der „Christliche sozialer Arbeiterverein“ hatte bei seinem Stiftungsfest am vorigen Sonntag je ein Telegramm an Freiherrn v. Schorlemer-Alst und an den Fürsten Bismarck abgesandt. Ersterer hatte sofort geantwortet und versprochen, dass er mit aller Kraft weiter arbeiten wolle, insbesondere für das Wohl des Arbeiterstandes. Heute ist nun auch die Antwort des Fürsten Bismarck eingetroffen. Sie lautete: An Herrn Meinke! Kissingen, 16. Juni. Ew. Wohlgeborenen danke ich verbändigt für Ihr Telegramm von vorgestern; die Herren Absender können nicht lebhafter wie ich selbst wünschen, dass die Sonntagsruhe jedem Arbeiter zu Teil werden, der sie dem Lohnerwerb vorzieht.
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Monsieur Georges Lachaux M id oiselle Thérèse Lachaux ; Madame Louis P vit et Monsieur Louis Prat, lieutenant de vaisseau: Mes sieurs Théophile et Albert Béraud et leurs familles (d’Aix) ; Madame veuve Sirjarques : Monsieur Hippolyte Sirjaeques, ont la douleur de faire part a leurs amis et connaissances de la perte cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la personne de Monsieur Alexisf'harles-Pliilippe Manen, contrôleur des Contributions Indirectes en retraite, leur époux, père, beaufrère, oncle, cousin et allié, décédé le 17 janvier issu, dans le me année de son âge, muni des sacrements de l’Eglise, et les prient d’assister â sou convoi funèbre qui aura lieu aujourd’hui mercredi, à 3 heures 1(2 du soir, rue du Loisir, 6.Il n’v a pas de lettres de faire part, selon la volonté expresse du défunt.AVIS DE MESSELa famille Campoudore prie ses parents, amis et connaissances de vouloir bien assister à la messe dti sortie de deuil qui sera célébrée rend, 19 du courant, à 9 heures du matin, en l’église Saint Laurent pour le repos de l'âme de .Muiwicui' lofât l auu poudre.mais il savait sa situation et lui devait plus d’égards. C’est très inquiète qu'elle suivit la jeune servante.Dans son appartement on avait déjà monté ses malles. Quand elle y fut seule avec sa nouvelle femme de chambre, et pendant que celle-ci l’aidait à retirer son costume de voyage couvert de poussière, elle lui demanda :— La dépêche est-elle arrivée trop tard pour qu’on put m’envoyer une voiture ?— Je le crois, madame, Monsieur le comte voulait d'abord se faire conduire au devant de madame ; mais c’est sur l'observation de M. l’abbé Jeannet, que vous deviez être en route, qu’il a résolu d’attendre.Rassurée par ce quelle apprenait, elle releva seulement la lin de sa phrase.— De m’attendre, dites-vous ? — Monsieur le comte voulait attendre madame, et croyant avoir le temps d’une promenade avant l’arrivée de madame, il est sorti avec madame la comtesse.— Madame la comtesse ? interrogea vivement Adrienne, fronçant les sourcils, surprise et inquiète... Que voulez-vous dire ?La servante avait compris l’intention de la question et la pensée de la jeune dame, et c’est en souriant qu’elle répondit :— Madame la comtesse de Zintsky, une amie de M. le comte, revenue au château hier.Adrienne était ennuyée d’apprendre que le comte n’était pas seul... qu'une femme surtout était au château, et elle répétait bas:— La comtesse de Zintsky.
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2299 96 2300 nun getan und er steht nicht UN, sein Urteil darüber öffentlich auszusprechen. Der Herr Verfasser will in seinem Werke ein Hilfsmittel liefern, Ordnung, Sicherheit und Übersichtlichkeit in die Buchhaltung des Buchhandels zu bringen. Der Vorsatz ist löblich, denn darin stimmt Rec. mit ihm überein, daß die Buchhaltung des Buchhandels noch sehr im Argen liegt und noch keineswegs geregelt ist. Teilweise mag das wohl daher rühren, dass die ersten deutschen Buchhändler nicht aus dem Kaufmannsstande entsprosen und dessen eigentümliche Buchführung und Geschäftsordnung nicht kannten. Allein um etwas Tüchtiges zu leisten, reicht der gute Wille allein nicht hin, und das Werk zeigt in seiner ganzen Anlage sowohl, als auch in Einzelheiten, dass der Verfasser seinem Vorhaben nicht gewachsen war. Dies mag vielleicht daher kommen, dass der Verfasser den Buchhandel nicht durchgängig in allen seinen Zweigungen und Beziehungen kennt, so dass er den Gang desselben in allen Einzelheiten nicht darstellen konnte. Es scheint, der Verfasser habe den Buchhandel praktisch in einer guten Sortimentsbuchhandlung, wo allein eine genaue Kenntnis desselben zu erlangen ist, gar nicht erlernt; wahrscheinlich hat er die Handlung in einem anderen Geschäftszweig erlernt und ist vielleicht von der Buchhandlung, deren Bücher er führt, herbei gezogen worden, um diese nach streng kaufmännischem System einzurichten, weil diese Buchhandlung die Mangelhaftigkeit des in den meisten anderen Buchhandlungen üblichen Systems einsah, aber unter den Buchhändlern niemanden fand, der es besser verstanden hätte. (Das ist auch nicht zu verwundern. Die meisten jungen Leute können während ihrer Lehr- und Wanderjahre von einer geregelten Buchhaltung gar keinen Begriff erlangen, eben weil in den meisten Buchhandlungen die Bücher nach einem bloßen Unsystem geführt werden. Rec. weiß aus eigener Erfahrung, dass in sehr vielen, sogar großen Handlungen, nicht einmal jährlich eine bloss ungefähr, nur auf eine Inventur begründete, Balance gemacht wird.) Nun hat Hr. H. versucht, die Praxis des kaufmännischen Buchhaltens auf den Buchhandel anzuwenden, was aber mißlungen ist und mißlingen mußte. Dies wird durch eine genaue Zergliederung des Werkes zu erweisen sein. Seite 36 und 37 zeigt der Verf.
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Comme il était bien fait, agréable, poli, il avait gagné l'estime et l'amitié des dames par des manières qui le fléchissaient de tous les ecclésiastiques du pays et qui donnaient de la jalousie aux maris. Il choqua tous les moines en prêchant contre les confréries et pour la messe de paroisse. Il avait eu un procès avec Mignon et ses deux oncles Barrot, président de l'élection, et Trinquant, procureur du Roi; ces trois ennemis ligués lui en suscitèrent d'autres. On l'accusa de plusieurs crimes. Monsieur de La Rochefoucauld, évêque de Poitiers, le crut coupable sans l'examiner, sur
Sa Majesté n'eut pas plus de peine à se résoudre d'embrasser cette affaire et de la rendre sienne que le récit de son officier, qui se mit à la tête des conjurés. Mais Grandier vint à bout de ses calomniateurs. Il fut déchargé et renvoyé absous par sentence du présidial de Poitiers, de l'official de Bordeaux, et par deux arrêts de la Tournelle du parlement de Paris. S'il avait suivi les avis de Henry d'Escoubleau de Sourdis, archevêque de Bordeaux, qui lui conseilla de permuter ses bénéfices et d'aller dans un autre diocèse, il n'aurait pas été exposé à la rage de ses ennemis qui jurèrent sa perdition à quelque prix que ce fût; mais Grandier était fier, hautain, et poussait une injure à bout. Il rentra même à Angers avec une branche de laurier à la main, pour marquer son triomphe. Ses amis condamnèrent sa conduite: son étoile malheureuse l'entraînait au précipice.
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Nachdem der Bericht noch die erfreulichen Erfolge constatirt, die die Gesellschaft aus den Gebieten des Volks- und Fortbildungs-Schulwesens erzielt hat, lässt er Mitteilungen an den Berichten der Zweigvereine und Verbände über das abgelaufene Vereinsjahr 1880 folgen und am Schluss befindet sich der Rechnungsbericht, aus dem hervorgeht, dass die Einnahmen der Gesellschaft im Jahre 1880, den Kaffenebestand vom vorhergegangenen Jahre in Höhe von 80,037 Mark inbegriffen, die Summe von 154,197 Mark betragen, denen ein Gesamt ausgaben-Betrag in Höhe von 70,828 Mark gegenübersteht, so dass Ende 1880 ein Kaffenebestand von 83,369 Mark bleiben ist. Neue Wohnungen. Wer unsere Stadt zur jetzigen Zeit durchwandert, der wird in allen Teilen derselben eine rege Bauaktivität wahrnehmen. Alle Gebäude werden niedergeschossen, neue nehmen ihre Stelle ein, ganze Stadteile entstehen, wie aus dem großen Areal des Kurprinzen oder von Lehmanns Garten. Die an der Peripherie der eigentlichen Stadt einzeln gelegenen Häuser werden durch Zwischenbauten mit dem Stadtkörper eng vereinigt und die Lücken, welche die umliegenden Vorstädte noch von uns trennen, füllen sich schnell und täglich auf. Eine große Anzahl neuer Gebäude auf vorher unbebautem Grund entsteht oder ist schon entstanden, kleine, niedrigere Häuser haben fallen müssen, um mächtigen, für eine vielfach stärkere Anzahl von Bewohnern ausnahmsfähigen Anlagen Platz zu machen. Man könnte meinen, dass eine starke Einwanderung stattgefunden habe oder dass bei früher bestehender großer Wohnungsnot die Bewohner Leipzigs auf kleine Räume zusammengedrängt worden wären. Und das Letzte möchte demjenigen glaubwürdig erscheinen, der die entstehenden Neubauten in ihrem Entwicklungsplan beobachtet. Wie Pilze schießen sie aus der Erde und vielleicht passt das Gleichen mit mehr als einer Weise; hoffen wir jedoch, dass diese Treibhauspflanzen unserer diesjährigen Baulabilität eine größere Lebensfähigkeit zeigen, als jene Gebäude im sogenannten Musikhansviertel, das nur durch ein schnelles Beilegen unserer Polizei vor einer verhängnisvollen Neigung, sein schnell müde werdendes Haupt aus dem Pflaster auzsurrenen, bewahrt würde. Eine große Lücke in der uniformen Kasernenreihe zeigt noch heute von der verschwundenen Pracht dieses Triumphs der Baukunst. Aber so schnell wie die neuen Häuser emporwachsen, so schnell erben sie auch Bewohner. Es scheint, als ob sich hundert speculative Augen sofort aus jedem Platz heften, aus welchem das Erscheinen einer Schaar geschäftiger Arbeiter den Schall kommender Ereignisse vorauswittert.
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Pues, leche de nuestra-Señora, cabellos de
la Madalena , muelas de san Cristóval ; no
tienen cuento. I allende de la inzertinidad
que en esto hai , es una vergüenza mui
grande ver lo que, en algunas partes , dan
á entender á la jente. El otro dia , en un
monesterio mui antiguo, me mostraron ]u
tabla de las reliquias que tenían , i vi , en-
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tre oirás cosas , quedezia: cUn pedazo
del torrente de Cedrón. » Pregunté , si era
del agua , ó de las piedras de aquel arro-
yo, lo que tenian; dijéronme: que no me
burlase de sus reliquias. Habia otro capi-
tulo , que díízia : a De la tierra donde apa-
rezió el Anjel , á los Pastores : » i no les
osé preguntar qué entendian por aquello.
Si os quisiese dezir otras cosas mas ridicu-
las, é impías, que suelen dezir que tienen;
como: del ala del ánjel san Gabriel: como,
de la penitenzia de la Madelena : huelgo
de la muía i del buei : de la sombra del
bordón del señor Santiago: de las plumas
del Spiritu Sancto: del jubón de la Trini-
dad: i otras infinitas cosas, á estas seme-
jantes; serin para hazeros morir de risa.
Solamente os diré: que pocos dias ha,
que en una Iglesia Colejial , me mostraron
una costilla de san Salvador. Si hubo otro
Salvador, sino Jesu Cristo; i si Él dejó acá
alguna costilla , ó no; véanlo ellos.
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Sobre su extraña multitud, radiante
De mágica bermosiiia,
Con su expresión celeste de ternui-a,
Se alzaba dominrnte
La imagen de Lucía seductora;
¡ Lucía ! Objeto de su ardiente anhelo,
Centro de su desvelo,
Su única aspú'acion, su bien soñado . . . ,
i Por fin, de poseerla
Iba á sonar, la tan deseada hora !
Sonó por fin ! El pensamiento helada
Por elaUento del terror se siente
Al llegar a este punto, anonadado
Párase de repente
Vacilando en sondear con su mh'ada
El abismo de horrores
Que enjendró del cristiano en la morada
El odio de los bárbaros traidores.
La pluma se resiste
A describir, en su pavor profundo.
22 CELESTINA FüNEZ
El cuadro que en el fuerte castellano
Trazó en su odio inhumano
Con sangre y hiél el indio furibundo !
Al resplandor rojizo de la hoguera
Que con lenguas de fuego
A devorar el fuerte principiaba.
Ebrio de sangre y de venganza ciego
Lanzóse sobre el fuerte con su gente
El infame Siripo
Que sediento de horrores, impaciente
En el bosque esperaba.
De la incendiada pólvora al estruendo
Algunos su letargo sacudieron
Y en el lecho murieron.
Mientras muchos, durmiendo,
El hondo abismo del no ser salvaron
Y recien mas allá se despertaron !
Los demás, empuñando
El arma matadora, de coraje
La mirada terrible centelleando,
En fiera lucha, su existencia, cara
Vendieron al salvage.
Oiego de ira mas que todos, Lara
A cada golpe de su noble acero
La muerte difundía
Entre las filas del cacique fiero.
El pecho generoso
Por numerosas flechas traspasado,
En su sangTC bañado,
Buscaba con denuedo al alevoso
Bárbaro autor de la traición impía
Que del alcance de su acero huia.
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Le ministre de l'intérieur, qui me fait encore des signes que je retiens. J’y attache quelque importance, parce que ce n’est pas l’usage, quand on nomme un sous-préfet aux extrémités de ce pays, quand on envoie un jeune fonctionnaire de Bourg à Espalion, de le faire venir à Paris pour lui donner des instructions spéciales. M. Waldeck-Rousseau, ministre de l'intérieur. — Ce n’est pas l’usage de tout le monde peut-être, mais c’est le mien, je le trouve bon et je suis disposé à le continuer. M. Andrieux — Surtout quand on est à la veille d'une période électorale ! (Rires sur divers bancs.) Le fait d’avoir fait venir le sous-préfet de Bourg à Paris — ce n’était pas évidemment son chemin pour aller à Espalion — indique l’intention de lui donner des instructions précises. Le fonctionnaire a reçu ces instructions. Je pense que je rencontrerai ici encore un aveu loyal de M. le ministre de l'intérieur. On voulu lui donner des instructions, et il est reparti muni de ce viatique. (On rit) Je ne sais si sa mission lui a été tracée dans tous les détails ou s’il gardait une certaine liberté d’allures. En tout cas, voici comment il a compris sa mission : Il a d’abord acheté un cheval. (On rit) Et puis il a endossé son uniforme, et il est monté à cheval en uniforme. Il a parcouru ainsi toutes les communes de l’arrondissement, rencontrant fréquemment l'honorable candidat, et jetant sur lui je ne sais quels retards du brillant uniforme et des éclatantes dorures dont il était revêtu. (Rires.) Nous étions en pleine période de révision, comme c'est l’usage lorsqu’il s'agit de convoquer les électeurs dans une circonscription où il s'agit de assurer le succès d’une candidature. M. Denayrouse n’avait aucune qualité pour assister aux fêtes et aux banquets donnés à l’occasion de la révision. Il y assistait néanmoins. Il était toujours présenté par le préfet. M. J. Carret. — C'est l'habitude. (Bruit et rire) M. Andrieux. — Je retiens cet aveu parti du centre (Rires à gauche.) M. J. Carret — Je ne suis au centre qu'accidentellement. (On rit) M. Andrieux.
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En 1303, Casan se joignit au roi d'Arménie pour chasser les Sarrasins de la Palestine. Il vint camper dans la plaine de Damas ; mais, au rapport d'Ayton, l'empereur et les chrétiens furent mis en fuite. Ayton fut témoin de tout ce qu'il raconté sur cette expédition. Il dit que les habitants de Damas, voyant les chrétiens et les Tartares campés dans leur plaine, détournèrent pendant une nuit les eaux du fleuve, et inondèrent tellement cette plaine, que leurs ennemis furent obligés de prendre promptement la fuite ; ce ne fut que par une sorte de miracle qu'ils échappèrent à mille dangers. Aylon ajoute toutefois que beaucoup d'Arméniens, de Tartares et de Géorgiens furent noyés avec leurs chevaux.
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Quod si tantum vellet sumere fructuarius,
ut ipsum corpus arborum tolleretur, non
est ei concedendum. Additur enim in extre-
mo d. L. ex silva, quod ad omnia prtree-
dentia referri debet, cx silva sumpturum
prnti. Quoad modum vero , finem et usum
difTereutiam magnam esse inter silvam , n-
leatn, et lienum , quod immature prata ton-
dere , oliva- legere etiam boni patresfami-
lias soleant. Si autem incidute sifvte, id est
p.n>cu.e ususfructus relictus, vult Cujae, d.
lac . fieri compendium posse ex pactione ,
immittendo pecus suum vel alienum, acce-
pta certa prruuia. Cardele uutem noli licere
nisi usus gratia, vel ileuioi tuas arbores. Sed
si uaiisfruclua tundi, in quit est silva rxdua,
constitutus, ea uti nou |K>ssc qu. catus sui
caussa , sed ad eum mnduiu quo . otniuus u-
sus d. L. 9. j. ult. vid. idem aj. i>bs- 5.
,to. dcl Ca-titlo de Usuf. C. ">5. /1. ifi. u-
qac ad Jincm t rt an bic plus patri liceat
in tirufructu advenlitiorum f. uti quod ne-
gat Uinel. in /.. 1. C.de b-ui. rnat. u. Go.
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69 DE JURE CIVILI
fructuarium superiora, dum ne fundum de-
teriorem faciat.
XII. i Lee dicta sunt in silva ct artioribus,
quandiu stant artiores integra;. Diversum
est, si orhoresaut demortua; sint, aut vi ven-
torum evulsa;, dejccbcve. Demortua; ad fru-
ctuarium perlinent, ut eas succidere possit,
et his ut. vel ad srdificandum, vel ad com-
burendum, prout votcL' tantum in demor-
tuarum locum alias substituere delict. L.
agri. 18. fi. de usufr. De quo onere postea.
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1, ngm poflidcbit „ . Qiuirda ? E [1 bIÌ"d1ì'i ' di pidii , c di Buiri nella
(cnnipla di che? In qucflt viu : e il ihiela . Vedi li Efi.l, a Tfmtt. c.r.
ccniupTo .11 iifc, c di ampi. 0»1 il v.i. fif. Alcniijon Lfgit. fn Ciri.
■Siiirofrprt(ToS.Mj,;or.i.t>.:i./;^5. flUa. aum.ttxis. f-Ho. elit. Opp,
„ Ntmo ift , qui icìiilucrìl dnmurn, /nftn. M*r». l'alt. J».174T,„ Pro
» ini Inim , i^t h<o!a, sul t*- » l'^t: .^io, filio,, & (lliis novimiu ,
„ Itcm, M iTulmi, JUI aut „ liio! FfiTrn, & foiorcs ha!>;ral.i.
„ dura , It rorom , & matun , 8e IHemmc li prtancOa di Grillo, e ad
p >>»«, & AGR05 con pnfenitia. rcDo nnn (dìo, Ah nnn Ri IliusJcm.
1, luln, & In fKDlD fnmiD nam piUi nu , che fotTe anche di Criila
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MANI MORTE LIB. IL afij
(lefso Signori;, clic 1' avea fitta , ne fofse impedito — ■ -
1' jJcmpiiiii.-;it(j oll.i proibizione di pofsedere campi cap-iu
almeno in camiinL- ? L' Avvcrfario ftefio ripugnando)
fcnzi awL-dcrlenc , a Ce mcdefimo , cunf^^lsi . che
libra non tutti vandeano, né quelli , che vendeano ,
VL-:idea[io tiitti^ le cafe , e i campi fO. Ma polh li
teli imonianza di S. Luca negli Alti , c egli credibile,
che que' fondi da molti , clic n' erano llati piidroni , naa
fofsero offerti alcomun della Cliicfa ? Omiies , dice
» il fiato Evangelifla , omncs qii\ creJebant , crant
„ parlter.&fiabebant OMNIA COMMUNlACz) „.
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(6 And it came to pass on another sabbath, that he en-
tered into the synagogue and taught : and there was a
(7 man there, and his right hand was withered. "And the
scribes and the Pharisees watched him, whether he would
heal on the sabbath ; that they might find how to accuse
8) him. "But he knew their thoughts ; and he said to the
man that had his hand withered, Rise up, and stand forth
(9) in the midst. And he arose and stood forth. "And Jesus
said unto them, I ask you. Is it lawful on the sabbath
to do good, or to do harm? to save a life, or to destroy
(10) it? "And he looked round about on them all, and said
unto him. Stretch forth thy hand. And he did so: and
11 his hand was restored. "B^ut they were filled with ^mad-
ness ; and communed one with another what they might
do to Jesus.
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Sacchetti. E qui fervendoli del metodo analitico fa una ingegnosissima ricostruzione, cioè, che se tali accrescimenti ne’ secoli passati da Anco fino al presente solfero accaduti, si dovrebbe, che Roma fosse stata piantata, non in terra ferma, ma in mare; il che non è essere vero facilmente dal testimonio degli antichi scrittori si comprova, i quali della fondazione di Roma scrivono, e di Osta ridotta in colonia. Egli dunque giudica manifestamente, che negli anni vicini più che ne’ passati le alluvioni del fiume, e gli accrescimenti del lido del mare appresso Ostia siano stati maggiori; e ciò essendo vero, né potendoli, come pensa, porre in dubbio da alcuno, retta per cercare le cause di tali differenze, che si pongano sotto i più chiari principi, che è quanto egli si è preso la pena di ricercare.
Articolo VII. 157
Penso, che una tale diverità abbia in primo luogo l’origine, o la causa riconoscibile dall’ineguale inclinazione degli alvei, ed alla età dell’acque; in secondo luogo dal retto, o obliquo corso del fiume, terzo dalla durezza, o mollezza della terra, per la quale le acque strisciano quarto dalla diversa velocità delle acque correnti; le quali colle tre cause co’ principi idrostatici egregiamente prova, e poi scioglie facilmente il nodo della posta questione, cioè intanto ne’ presenti.
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"Parlate, Firenze!... per amore del cielo, parlate!... voi siete povera, disgraziata.... e io, se anche non devo essere l'ultima per voi, sono, posso dire, dei vostri... sono anch'io di quelle parti là, e almeno... Che cosa avete fatto mai?..."
Perché siete venuto a cercare di me? Cosa vi importa di una... come sono io?... di una che vi ha tradito, che non pensò più a voi, come non ci foste al mondo?..."
E così diceva con amarezza quasi crudele, soffocando quelle prime lacrime che l'imprevisto incontro di colui le aveva stappate. Poteva darsi più di ogni altro ella avrebbe voluto fuggirlo, s'augurava d'essere sotterra, piuttosto che trovarsi a lui dinanzi.
"Voi non vi siete più ricordata di me, o Firenze.... perché vi avevano ingannata, tolta di mente.... perché vi avevano mutato il cuore.... Oh se sapeste... quante cose! E il padre vostro? e quella povera Linda? e il piangere che ha fatto anche lei?"
"Non ditemi, non ditemi niente.... Ho lasciata casa mia; e ora non devono più pensare a me, come fossi morta.... di più ancora, come non fossi nata mai! Io non domando, non voglio saperne altro cosa, né di voi! Andate! lasciatemi andare."
"Lasciatemi andare? dopo avermi trovata così? Ma non sapete che, tanto tempo fa, vostro padre e la Linda sono venuti qui a Milano, per conoscere dove foste andata a finire, - e vi hanno cercata per mare e per terra.... e Dio sa il patire che hanno fatto per voi."
"Io, qui con voi non voglio stare.... non posso! Se loro hanno pianto, ho pianto e patito anch'io!..."
"Avete patito, e mi cacciate via così!... E Selena dovrebbe essere contenta di...?"
"Si! la vendetta del male che ho fatto a voi, ve l'ho procurata io stessa.... Basta, tutto è finito, e non c'è più rimedio a niente."
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Il s’agit des aumôniers des maisons départementales, non de ceux des bagnes. » M. Piou : « Une autre économie de quelques millions a été réalisée par l’exclusion de 15,000 soldats que le contingent de l’armée avait donnés en sus des prévisions. »
Feuilleton du Journal de Saint-Quentin (62) du Vendredi 11 Novembre 1910. L’aiguille creuse. Maurice LEJBLANC. Chapitre X. LE TRÉSOR DES ROIS DE FRANCE — On n’a pas le droit d’être touché, peut-être que tu fais passer pour ta mère, c’est Victoire, ta vieille complice, celle qui t’a élevé. Shoimès eut un tort. Emporté par son désir de vengeance, il regarda Raymonde, que ces révélations frappaient d horreur. Lupin profita de l’imprudence. D’un geste rapide, il fit sauter sur eux, et il ne voulait pas écouter un second : celui de droite roula au sol, la poitrine démolie, tandis que l'autre, la mâchoire fracassée, s'écroulait contre la barrière. — Débrouillez-vous, Victorine, attachez les prisonniers. Et maintenant, à nous deux, l'Anglais... il se baissa en jurant : — Ah ! canaille... JOURNAL DE SAINT-QUENTIN.
gard des dépenses utiles? Et alors, où trouver des ressources quand tout ce qui peut donner prise à l’impôt a déjà été cerné à l’excès ? » Pourquoi ne pas relever les droits des successions ? » Voici que l’on nous propose, en effet, de majorer de 50 pour cent les droits de succession de père à enfant, dans le cas d’héritier unique.
Bourse de Bruillances du 9 nov. 1910. Communiqués par la Banque Régionale de Saint-Quentin, 25, rue Saint-Jean. Shoimès avait ramassé son arme de la main gauche et la visait. Une détonation... un cri de détresse. Raymonde s'était précipitée entre les deux hommes, face à l'Anglais. Elle chancela, porta la main à sa gorge, se redressa, tournoya un instant, et s’abattit aux pieds de Lupin. — Raymonde !... Raymonde ! Il se jeta sur elle, la prit dans ses bras et la pressa contre lui. — Morte, fit-il. Il y eut un moment de stupeur. Shoimès semblait confondu de son acte. Victoire balbutiait : — Mon petit... mon petit...
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Mittens im Bett, ulutans; vorn Juni. Gelegenheit, beide Seiten betten. Gut ist feste Liebe. Bedeutung, sehr wichtig, unsere Stoff ist eine neue Inspiration gefunden. Geben wir ihnen an, ihre Wünsche nicht zu nutzen, die, wenn der Vorteil war, auch ein Segen sei, alle versicherten, eine Seite, die Sicherheit, die Schrift schreibt, auf welche Art und Weise sie ihren Schatz bewahren, kaffee spendiert, wenn sie gefallen sind, dass sie sich auf die Schrift, wenn auch nicht auf die Perfektion, würden, dass sie weiterhin die Verlässlichkeit haben. Die Schrift sollte sorgfältig aussehen, die Handschrift sollte klar und deutlich sein, die Kaffee, der spendiert ist, sollte gut sein. Es sollte gefallen sein, dass sie sich auf die Schrift, wenn auch nicht auf die Perfektion, würden, dass sie weiterhin die Verlässlichkeit haben. Die Schrift sollte sorgfältig aussehen, die Handschrift sollte klar und deutlich sein, die Kaffee, der spendiert ist, sollte gut sein. Es sollte gefallen sein, dass sie sich auf die Schrift, wenn auch nicht auf die Perfektion, würden, dass sie weiterhin die Verlässlichkeit haben. Die Schrift sollte sorgfältig aussehen, die Handschrift sollte klar und deutlich sein, die Kaffee, der spendiert ist, sollte gut sein. Es sollte gefallen sein, dass sie sich auf die Schrift, wenn auch nicht auf die Perfektion, würden, dass sie weiterhin die Verlässlichkeit haben. Die Schrift sollte sorgfältig aussehen, die Handschrift sollte klar und deutlich sein, die Kaffee, der spendiert ist, sollte gut sein. Es sollte gefallen sein, dass sie sich auf die Schrift, wenn auch nicht auf die Perfektion, würden, dass sie weiterhin die Verlässlichkeit haben. Die Schrift sollte sorgfältig aussehen, die Handschrift sollte klar und deutlich sein, die Kaffee, der spendiert ist, sollte gut sein. Es sollte gefallen sein, dass sie sich auf die Schrift, wenn auch nicht auf die Perfektion, würden, dass sie weiterhin die Verlässlichkeit haben.
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/á ge Cifea comentó a deftruir los Templos, que Cifci andaua en ellos negocios, les dovc<^T
; • y Uazer impiedades, y defafueros increi- 'Confulcs de Praga prendieron y mataron P°c
blcsjy en pocos dias pufo la ciudad ral, que a luán el Monge, y aciertos hereges fus fe
ningún cnemigo,aunque fuera el T urco.la quacesj pero Cueles dello cambien, que los . „
pudiera poner peor. Seria nunca acabar , fi hereges de Praga prendieron a los Coníu-
qui fiera yodeziraqui las abominaciones y les, y los quemaron viuos. Y no contentos
crueldades que Cifea, y los fuyos hizieron con ello embiaron a llamar a Ciíca,c] qual
en Praga// fuera dclla. Baila dezir.quc fue vino y pufo cerco fobee la ciudadry cierto
ron tantaSjquc ios nacimos que le hizieron la tomara , fino fe metiera de por medio
venit a Praga, le hizieron bolucr con fus luán Roquezana Clérigo hcrcgc.gcanLe.
hereges a Tabor. Por el camino no dexó trado,y predicador, q de pobrccicoy men-
Iglcfia.ni Monafierio,niCruz,niocra Ima digo, vino por l*us Ierras y malas mañas , a
gen ninguna, que no qucmafle,cxccutando fer principalísima perfona en Bohemia,
cnlo3 Católicos todo genero de tormbtos eomo adeláte fe verá. Quedó tras cito Cif-
y tqrpedades.Succdialcs tambienfporper- ea tanpodcrofo y granleáor, que el Empe
milsion de nueílro Señor , que quifo caíti- rado: Sigifmundo perdió de todo punto la
gar con ellos maluados hereges a fus Cato eíperan^a de poder prcualcccr contra el 5 y
licor) que en ningana cfca»mu$ a , ni icn- aíri procuró fu amiílad , y le embió a ofee-
Martirio V. Pontífice CCX17.
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Ec Synodus Mechl. P. II. tit, u. cap, x. "Mcmine-
„ nnt , sut, omnes tam in dignitate conftituti, quam
„ Canonici , Capellam , Vicarii , Beneficia n , Sc rcli-
„ qui habituali , Mandari Concilii Trid. ut omnes Di-
„ vina per fi , tc non per fubflitutos compellantur
,, obire Officia, atque in choro ad plallcndum iniH.
„ ruto hymnis & canticis Dei nomen reverenter , di-
„ Itinclt , devoteque laudare.
V. lnhniu propemodum tum veterum, tum re-
ccnriorum Synodorum Decreta , tum probariflimorum
Aurhorum tcflimonu , hanc Canonicorum oh ligatio-
nem per fi Divina Officia , ccllante legitimo impedi-
mento , perfolvendi afferentia ; conerariumquc ufunt
tamquam metum abuium cx defidia & ftiperbia Ca-
nonicorum ortum reprobantia , allegare poliam , nili
id fuse & abunde prallitiilcm in Diirerutionc De Ca-
nonicis parte j. cap. t. Illud hic addo, referente Ni-
colao Garcia de Beneficiis farte j. cap . i.nn, 498. rc-
folurum fuille conformitcr ad jam diida , a Sacra Con-
gregatione , ” li facium lit aliquod llaruiuni , quod Ca-
„ nonici poffint infervire per Subflitucum , vel alccr-
„ narim unus pro alio , non haheatur ejus ratio , quia
„ cll contta Concilium Tridentmum.
„ Procedit etiam di&a dcclarano , ait Garcias , Ii-
„ cet ante Concilium cllct llatutum , vel confuctudo
„ etiam immemorialis in contcatium , ut colligitut ex
„ ipfo Concilio.
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Examined by Me. Corbin.
Q. You are the Clerk of the Supreme Court? A. Yes, sir.
Q. And have been since what time ? A. Since November,
1872.
Q. You have made returns each term since the act of 1879 of
the judicial fees collected for the use of the State through your
office, have you not? A. Yes, sir.
Q. And these files from the Comptroller's office which I show
you, are they such returns? I observe that you have returned
each term a gross sum; for example, you return March 1, 1895,
total amount of fees earned by the entire bench for the term of
November, 1894, $2,004 04, less 5 per cent, commission by the
statute, $100.20, leaving $1,903.84 ; I see that is not in detail,
showing the number of writs and orders, &e. Where are those
details recorded from which you make up this gross sum ? A,
In my cash journal or ledger.
Q. But you didn't spread that out upon your returns? A.
No, sir.
Q. But the details are all there in your books? A. Yes, sir ;
they are all checked off from that upon a sheet, and then the
sum total is taken.
Q. You have from 1880 to the present time remitted them
these statements — you checked up the amount due the State ?
A. Always.
Mr. Corbin — Strictly speaking, the statute says these
returns shall be made in detail on a form provided by
the Comptroller, and I suppose a strict compliance with
the act would say so many sealed writs, and so many
59 SH
930 BENJAMIN P. LEE.
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K. von hier ver letzte das Töchterchen des Bergmanns W. durch einen Steinwurf derartig, dass das Kind in das evangelische Krankenhaus nach Gelsenkirchen verbracht werden musste, wo die Wunde als eine lebensgefährlich erkannt wurde. Der Junge ist gestern in Haft genommen und dem Kgl. Amtsgericht vorgeführt worden. * Eickel, 20. Mai. [Gesangsfest.] Am Sonntag feiert der hiesige Gesangverein „Niegedacht" unter Mitwirkung der Gesangabteilung des hiesigen evangelischen Arbeitervereins und des Gesangvereins „Heiterkeit" = Hordel sein Gesangsfest. Eine gutgeschulte Musikkapelle hat den instrumentalen Teil des Festes übernommen. Die gesanglichen Vorführungen bestehen aus Chorliedern und Gesängen der einzelnen Vereine. Das uns vor liegende Programm ist ein überaus ansprechendes und verheißt den Besuchern einen schönen Genuß. * Wattenscheid, 29. Mai. [Gewitter.] Gestern abends zwischen 6 Uhr ging hier ein Gewitter nieder, wobei der Blitz in die Scheune des Herrn Landwirt Karl Oberhagen zu Eppendorf einschlug. Die Spritze war schnell zur Stelle, doch musste wohl etwas daran hapern, weil der Wasserstrahl anfänglich nur schwach hervorkam. Dennoch wurde man schnell Herr des Feuers, so dass nur die Docken unter den Dachpfannen verbrannt sind. * Höntrop, 20. Mai. [Messeraffaire.] Am Sonntag kam es in unserem Orte am Kirchplatz bei der Neu kirche zwischen mehreren jungen Burschen zu einer Keilerei, wobei leider das Messer wieder die Hauptrolle spielte. Einem der Beteiligten, dem Bergmann Wilh. Pennekamp, hatte man den Leib aufgeschlitzt, wobei die Eingeweide heraustraten; derselbe ist bereits vorgestern mittags im evang. Krankenhaus dahier seinen Verletzungen erlegen. Ein anderer ist durch einen Messerstich in den Hals schwer verwundet worden. * Rotthausen, 20. Mai. [Verhaftet.] Hier wurde heute ein Viehwärter von Kray, es heißt wegen Sittlichkeitsverbrechen, verhaftet und dem Königl. Amtsgericht in Gelsenkirchen zugeführt. * Herne, 20. Mai. [Ordensverleihung.] Heute war der Landesbauinspektor Brickenstein aus Witten hier anwesend, um dem vor einiger Zeit in den Ruhestand getretenen Chausseeaufseher Herrn Hein das demselben von Sr. Majestät verliehene „Allgemeine Ehrenzeichen" zu überreichen. Westfalen, Rheinland, Hessen = Nassau. * Bochum, 21. Mai. [Verhaftung.] Ein über seinen Urlaub sich hier aufhaltender Soldat vom 16. Infanterie-Regiment wurde gestern verhaftet und wird seinem Regiment nunmehr zwangsweise zugeführt. * Linden, 20. Mai. [Feuer.]
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Na zapytanie przewodniczącego oświadcza
oskarzony z uśmiechem, iż łatwo byłoby mu
dowieść niewinności, gdyby ze względu na za
bójstwo Blócha nie był skazany na niezłomne
Lekarze sądowi, którym doręczono do ob
serwacji czaszki zamordowanych Kisertów, Ze
znają, iż razy Śmiertelne
i tępemi narzędziami, a ciosy musiały być z
wielką siłą prowadzone.
Potem odroczono rozprawę na godzinę.
Około godziny czwartej roz
Berta Eisert, przesłuchana następnie po
daje, że zrabowano 6970 złr. w gotówce, resztę
w akcjach 7290 złr. Kucharka Antonia Glau
bischer, która była na chwilę przed zamachem
w kantorze Kiserta, podaje rysopis dwóch ludzi,
którzy stali przed kantorem, lecz Stellmachera
Toż samo nie poznaje go komisjo
Włoch, stojąc w bramie,
awionego Kiserta i zro
ów nie widział. Carlo
Walczymy o dobro
więzionym Stellmacherze znaleziono woreczek
piasku — i czarny lont.
Ta prezydent wyjaśnia, że guzik metalowy
należy do jednej z trzech kasetek dynamito
wych (każda w cztery guziki zaopatrzona). O
skarzony dodaje, że maszynki te służyć miały
w razie ścigania przez policję. Zkąd otrzymał
te maszyny, powiedzieć nie chce. Również nie
chce powiedzieć, zkąd wziął pieniądze pierwsze
na pobyt w Austrji.
Po przesłuchaniu jeszcze kilku mniej wa
żnych świadków, odroczono posiedzenie do dnia
następnego.
ukowych. Niemal wszystkie te szkoły, prócz 0
kazów robót uczennic, przedstawiły zarazem
plany nauki robót kobiecych w szkole, co też
jeszcze więcej nadawało charakter instrukcyjny
wystawie.
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CXLVI
En estudio privado se emplearán tres ho¬
ras quando ménos, dos por la mañana de
cinco á siete; y otra ó algo mas por tarde ó
fo ORDENANZAS
noche, según las estaciones. Después del al¬
muerzo se lavarán los Colegiales, y entra¬
rán en sus respectivas enseñanzas á las ocho
en punto. La hora ántes de la comida se des¬
tinará á exercitar la letra, á trabajar en a U
guna sala de instrumentos y máquinas , á
manejar libros en la biblioteca, ó á otras ta?
reas que juntamente diviertan y aprovechen.
CXLVII
El DireCtor, los Catedráticos, y el Maes¬
tro de primeras Letras ordenarán el método
con que los jóvenes, según el estado en que
se hallen, estén ocupados con gusto en lo
mismo que les conviene, así en las horas
de estudio privado, como en las restantes;
procurando que aun las de recreación se em¬
pleen con utilidad, inspirando exercicios cor¬
porales , y juegos ingeniosos: bien que se
atienda principalmente al honesto desahogo
con racional libertad.
CXLVIII
En todos tiempos se concederán á los jó¬
venes ocho horas de sueño. La de levantar¬
se será siempre á las cinco de la mañana: la
DE S. TELMO. ?I
de acostarse será , en ivierno á las nueve
de la noche ; en primavera y otoño á las
nueve y media, y habrá media hora de sies¬
ta ; en estío á las diez, y la siesta será de
una hora.
CXLIX
Se entrará en refectorio para el almuer¬
zo á las siete y media, para la comida á las
doce , y para la cena de ocho á nueve: que¬
dando al arbitrio del Direétor anticipar ó
retardar media hora, y tal vez una, según
las estaciones y ocasiones.
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Sec. 521. Definition 755
Sec. 522. Joint stock companies— Not to be incorporated under special
charter 756
Sec. 523. Former charter — To be deemed extinct when 757
Sec. 524. Organization of company — Within what time must be ef-
fected 757
Sec. 525. Dissolution of corporation by suspension of business 757
Sec. 526. Right of legislature to alter or repeal charters 757
Sec. 527. What companies are subject to this chapter 758
Sec. 528. Corporate name 758
Sec. 529. Same— Change of corporate name 758
Sec. 530. Effect of change of name 759
Sec. 531. The capital stock 759
Sbc. 532. Same— Preferred stock 759
Sbc. 533. Number of stockholders 759
Sec. 534. Stock owned by the corporation 760
Sec. 535. Who deemed the owner of stock 760
Sbc. 536. Stock deemed personal estate 760
Sec. 537. Transfer book 760
Sbc. 538. Transfer of stock 760
Sec. 539. Subscription to the capital stock 760
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» Contre ces chiens maudits qu'eussiez-vous fait sans moi ! « Instruit de leur dessein, j'ai fui pour vous l'apprendre : » Jugez si Velloso songeait à les attendre ! » Il leur raconte alors ce qu'il n'ont point connu. Au sommet de ces monts avec eux parvenu, Comme vers leur demeure il s'apprête à les suivre ; « Non, retourne, ont-ils dit, pars si tu tiens à vivre. » Il insiste, on menace, on s'arme, il faut partir. Trop heureux si du moins il peut nous avertir, Car il les a compris : sur la liquide plaine Nos jours étaient trop sûrs, on veut qu'il nous entraîne Vers la rive ; c'est là que nous l'irons chercher, C'est là qu'on nous attend, là qu'on vient se cacher, Qu'on se promet sur nous, en dépit de nos armes Un profit sans péril, et du butin sans larmes. Nous morts, ils saisissaient, ils pillaient nos vaisseaux, Digne terme en effet de si nobles travaux. Depuis cinq jours la flotte à son labeur rendue, Des mers paisiblement sillonnait l'étendue, Voyant Phébus renaître et mourir sur ces flots Dont jamais nef encor ne troubla le repos. La nuit régnait aux cieux ; sans troubler son silence, Les vents de nos vaisseaux secondaient l'espérance. Je veillais à la proue, et calme, insoucieux, Je laissais mon regard se perdre dans les cieux. Soudain monte un nuage au-dessus de nos têtes, Nuage épais, immense et tout noir de tempêtes, Tel que son seul aspect nous a glacés d'horreur. L'onde sent sa présence et mugit de fureur. On croit entendre au loin parmi son bruit sauvage La vague qui s'irrite en battant un rivage.
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Es la tuza perniciosísima á los campos por el
grano que roba, y á los caminantes por las mu-
chas cuevas ú hoyos que hace en los caminos,
porque cuando por su corta vista no encuéntrala
primera cueva, se labra otra, multiplicando así
las incomodidades y peligros á los que viajan á
caballo. Cava la tierra con las manos y con dos
dientes caninos que tiene en la mandíbula su-
perior, mas grandes que los otros: al cavar pone
1 Juan Fabri, académico de Lince, publicó en Roma
una larga y erudita disertación, en la cual se esforzó á pro-
bar que el xoloiUouintli es lo mismo que el lobo de Mé-
jico, engañado sin duda por el retrato original del xoloitz-
ouintli mandado á Roma juntamente con otras pinturas do
Heraandeij pero si ól hubiera leído la descripoion que este
docto naturalista bace de aquel animal en el libro de los
cuadrúpedos de la Nueva España, hubiera ahorrado la fa-
tiga que tuvo en escribir aquella disertación y los gastos
que hizo para publicarla. El error de Fabri fué adoptado
por el señor Bufíon. Véanse nais dUertaoion«s, en donde
se impugnan otros errores de este grande hombre.
2 Dice el dootor Hemandei que cuando el ocoiochlli
hace alguna presa, la cubre con hojas, y después subido so-
bre un árbol inmediato comienza A dar aullidos, como
convidando á los otros animales á comer de su presa, y
que en efecto el último que come es el mismo ocotockili,
porque es tal el veneno de su lengua, qu© si comiera pri-
mero quedaría inficionada la pre«i y morirían al comerla
los otros animales. Hasta ahora M oye esta íabula en bo-
ca del vulgo.
uf
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HISTOBIA ANTIGUA DE MÉJICO.
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avec le comte Albert, lorsque la seconde lettre d'Amélie m'a été apportée par mon domestique. J'étais assis près de Blanche; son père et sa mère nous avaient quittés; le comte Albert regardait quelques livres placés dans une petite bibliothèque près de la porte; William entre, me demande, présente un paquet; Albert avance la main, le prend et me le remet : le timbre et l'écriture le font tressaillir. "C'est d'Amélie ! s'écrie-t-il avec une extrême surprise. — D'Amélie ! répète Blanche."
À ces mots je sentis la rougeur me monter au visage, et déterminé à me laisser soupçonner plutôt que de trahir votre secret, je baissai les yeux vers la terre en mettant la lettre dans ma poche. "Vous ne la lisez pas, a dit le comte en contrôlant son agitation ? — Vous le voyez bien, ai-je repris en le regardant avec tranquillité. — Quel étonnant mystère ! s'est écriée Blanche en joignant ses mains. J'ai souri avec amertume et n'ai point répondu.
"J'espère que M. de Reinsberg ne se fera pas prier pour éclaircir, a ajouté le comte, et qu'il sentira que le frère d'Amélie a droit d'être instruit de tout ce qui la regarde. — Je vous prie de ne pas m'interroger, lui ai-je dit, car il ne dépend pas de moi de vous satisfaire. — Il ne dépend pas de vous. Ma sœur vous écrit, et je ne puis en savoir la raison ? M. de Reinsberg, ce secret est un outrage : pour l'honneur d'Amélie, il faut le dévoiler sur-le-champ.
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»^ierauö erijeben fid) für uni'erc !^i6^e|'e nur jwei fefte ©ren*
ien: bie trcftlidic, baö frifc^e »g)aff, unb bie ö|l(id)e, bie (Mrenje
t)on i?itfJ)aiien, für bie anbern beiDen leiten aber nur foly^cnbc
5ludgani}öpuiifte : ber 2)raufcn'Sec unb ber 4>affaluf --glu^
füblich, unb ber^regel ndrbU€(^> benn n?enn man unter bem ^j^affa^
luf auc^ bie $aßar9< txtße^tn tooüte (me jeboc^ unrichtig iß), fo
fObit Mb bicfc ttnbou4 ber $rcgc( ni^t an bic litt^uifd^e (fi^rcnar,
wo^in wir gcwicfen finb. ®.r bcbflrfen alfo noc^ weiterer
qucDai um )itr Mljlctfttiig bc4 9erci((^ vnfercr IDi^sefe lu gelangen.
3unad)fi tt>ürbc bie UrfunK- beijujieljen fein, irorin etn^a bie
vom Orben tjor^enommene 3«^rl^}]""i] beii bifd)öflic^en (Eprcnflclö in
brei Zi^tiic, bamit ber ^ifd^of einen ta!oon für ftci^ au0)väble, bt*
((^rieben to&xt, mt foic^ Urlitnben wn ben 8idl(^üaiem ^cmc
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fanien unb Samlanb borf^anben finb*). Xflctn oUcn Um^Aiibm
na4 ifl m.ürmUiib bie Si^ORfl burc^ ein gfilfic^ nfbcmji«
foMeii )mtf4»en bem 9if4ofr nnb bem bibcti crfo(gt, 9(tic ba#
^cfpr n^ig gehabt f^attf , i(bf# IDriMd (m)dn fefljufleQeR unb eine
iMTÜber fpred>fnbe UrfkiRbe oudjuferttgen. Sir koetben bieftd tm
folgcnbcn ^i{(b)c^niüe naiver audfü^ien.
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Da Udine, di sier Zuan Basadona dottore, locotenente, di 12:
Manda una lettera alta da la comunità di Tolmezzo, di 12, con una relazione, quale dice così:
Il giorno di Pasqua di risurrezione 1528, alla hora di mezzogiorno, Antonio de Ronco di Rivo, in esecuzione della richiesta fatta per lettera del magnifico e duro signore Locotenente, mandato Zobbia prossimo passato avanti giorno da Tolmezzo in Alessio per spia a vedere e intendere se l'aveva sentito o altro apparato di guerra, e verso che Iugo e contro di chi, il quale referito che in quella notte si era a Troburch in la hostaria di Jacomo Fenz cenando, e da poi cena parlando con alcuni mercanti che erano venuti da là del Tauro di Rostock, el con alcuni altri falzionari li quali erano venuti da Prisgraz, il quale Iugo è zoso verso l’Ungheria, da detti falzionari sentì affermare come per il campo dell'Imperatore o del fratello era stato preso il Vayvoda, e cussi si diceva, e che tutte le genti che sono in sul logorio di Starmore in zoso vanno verso l'Ungheria per esattare i turchi. El poi quelli mercanti che erano venuti da là dal Tauro, dissero di aver visto gran quantità di gente che venivano verso Bolzano e Marano; il quale luogo di Marano è zerci a 12 miglia sopra Bolzano, e che lì vi si condussero gran quantità di artiglierie, dicendo loro di sapere come lo Imperatore aveva determinato di fare un grossissimo campo che forse mai se ne vide uno simile, per andare a la volta di Milano.
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But you say that in the two orations which he left, as if
delivered in the Capitol, he has given us Cicero. These, I
confess, I have read not only with great admiration but also
with great delight ; for they caused me to feel far more
than ever before the genius of the man. So much so that,
though I had formed a fine opinion of him, he far surpassed
my expectation; for he seems to have brought forth in these
1 12 Ciceranianus
orations whatever power he had of his own and what he had
drunk from the orations of Cicero. Yet these speeches which
were worked on for so many years, revised so many times, so
many times subjected to the censorship of critics, — how httle
have they of Cicero! Xo fauh indeed of De Longueil, but of
the times. Cicero spoke in perfect keeping with his times, not
5o De Longueil; for at Rome today there are neither the Con-
script Fathers, nor the Senate, nor the authority of the peofd^
nor the votes of the tribes, nor the r^;ular magistrates, nor the
laws, nor the comitia, nor l^al procedure, nor provinces, nor
towns, nor allies, nor dXizeas, — ^and Rome, there is no Rome, for
there is nothing but ruin and rubbish, scars and tracks of <dd-
time calamity. Take away the pope, the cardinals, the Ynshops,
the curia and its c&!da\s, the embassadors, the churches, colleges
and abbeys, and the rabble — a. part of whran live on trafficking ',
and the other part are such as have drifted iAaihex seeking liberty J
or fortune — and what will Rome be? You answer that the
authority of the Vopes handed down by Christ is grandee ibaa
was formerly the rule of the Senate and the Roman Pec^le, or
even, if you please, of Octavius Caesar. Suppose it is, only
acknowledge that the kind of rule is different. Then you see
that the same language will not fit, if we dedde that it is Cicer-
onian to fit the language to the present theme But that cele-
brated youth fitted his speech to the onotions of men who dream
of ancient Rome, rerum dominam gentemque togatam, just as the
Jews dream of their Moses and the temple at Jerusalem.
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She could not bear, when Hamish, with advancing life, made
repeated steps towards independence, absented himself from her
cottage at such season, and for such length of time as he chose,
and seemed to consider, although maintaining towards her every
possible degree of respect and kindness, that the control and
responsibility of his actions rested on himself alone. This would
have been of little consequence, could she have concealed her feel-
ings within her own bosom ; but the ardour and impatience of her
passions made her frequently show her son that she conceived
herself neglected and ill used. When he was absent for any length
of time from her cottage, without giving intimation of his purpose,
her resentment on his return used to be so imreasonable, that it
naturally suggested to a young man, fond of independence, and
desirous to amend his situation in the world, to leave her, even for
the very purpose of enabling him to provide for the .parent whose
egotistical demands on his filial attention tended to confine him to
a desert, in which both were starving in hopeless and helpless
indigence.
Upon one occasion, the son having been guilty of some inde-
pendent excursion, by which the mother felt herself affronted and
disobliged, she had been more than usually violent on his return,
and awakened in Hamish a sense of displeasure, which clouded
his brow and cheek. At length, as she persevered in her unrea-
sonable resentment, his patience became exhausted, and taking
his gun from the chimney corner, and muttering to himself the
reply which his respect for his mother prevented him from speak-
ing aloud, he was about to leave the hut which he had but barely
entered.
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vel Post rem devmatam ratio. Erasm. Véase : Después de ido
-d conejo , &c.. Y : De^ues de vendimias ;, ^c.
198 REFRAt^ES CASTELLANOS.
Mala muger de su cuerpo. Decimos esto por donajrre, quati-
do una muger es fea. Thersks facies. Suid. Thersica ( según
icscribe Homero) fué el hombre mas íéo de todos los Griegos
2ue fueron á la guerra de Troya » y así se dice este: adagio
e qualquicra persona que es muy fea. Véase ; Mas feo que
la noche.
Mal de muchos , gozo es. Commune naufragium ómnibus est s0^
Ut'mm. Erasm. vel Solatium est msetis socios babere potnantes^
vel Dulce mxrenti fofulns iolentnm. Séneca in Tibade , vel
ÍH'thil est prdcipue cui^uam dolejubm in eo , quod acüdit univer^
sis. Cic. lib. 6. Famil. epist. 2. vel Levat enim dolorem cummu--
nis quasi legit , & human* conditioms recotdatio. ídem epís--
, toL 6. vel :
> Eltvat insanum communis poma doloremy
' ¥it mea cum multis juncta querela minou Ferd. Ben. vel:
Vna omnes quando metitur pertica vmsj
Son est cuf agrá vulnera mente feras. ídem.
Maldito sea el caballo , que no relincha en viendo la yegua. Tor^
tis equus visa semper adhmmt equa. Ovid. lib, ^. <le Kemed.
Amor.
Maldito sea el hombre , c]ue confía en el hombre. Homo homini
lupus. Plaut. Véase : Ni aún de vos mismo os fiéis.
Males comunicados son aliviados. Est aliqmd fatale malum per
verba levare. Ovid. Trist. 5. eleg. i, vel Calamitas etiam gra^
vissima fido amico relata nátescit.
Mal hueso tuvimos que roer en fulano. Usase de esta manera de
decir , quandb queremos encallecer el mal y contradicción
oue alguno nos hizo. Multum obfuit., Thucydides.
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Anpoffu creditor adire hereditatem delatam debitori, lib 2.
c 46js.qop.37a.
Creditorum appellatione vernant tam hjpothecaru, quam Chi-
rographarij hb.2x46.njqp.q7q.
Lex magu fanet fifco quam priuqto creditori . hb.2 c46.num.
6W*WV
Credttor efipottoris conditionis quam fifcus. hb.lx 46.00jB.67.
Bona omnia reperta m hereditate alicuius. qua non fubifCiuntsfr
r efi uuttontper unent ad cr editores dec. 6701.2 p.X 7.
Creditor non potefi petere extmriione cenfusjUc.80n.29p 1 10»
Creditori pofierion denegatur immiffu , dum prior habet rete «.
tionem pro alqs credit is.Jec. 1 03 js. if. 143.
Cr edi tonpofi quam funt adiudtcata bona facit frurius fuosJec.
103.0.1 3 p. 144.
Heres non cenfetur de fuo credito f aris faSus quando no confiet
tot pecunias ad eius manus peruemffe. dec. 103 .0.23 p. 144.
Legatarius pendente conditione legati non efi creditor. Ub.q c.2.
0.74^422.
Faciens parium de non petendo cum debtr&repto potefi r euoe er e
parium mpreiudictumfidetufforis. hb qx.2 u89.p42q.
Jn contraria inter patrem , & hhum requrumur folemmtetet
ad exstandas fraudes m prxmdsctum creditorum . hb.qx.q.
nq6p.q29. 9
Quando duo obligantur m folidum quoad creditores efi vnrcam
creditum etiam fi pecunia ad vnum per uen erit . hb 3 . c. 1 0.
n.\6p47%.
Legata non debetur tnpretudictu creditori dec. 208 0 6p. 2 8$
Negoaum continuatum ab herede non obligat bona heredita-
ria in presudiaum credstorum.dec. 208.0.7 p.286.
Creditum ,
Creditum exttnflum per fubhaflationem euiriit bonis fubhu
fiatis ruuutfcu cum fua anterioruaie,dec. loqjs. 1 l.p. 144. -
Crediti nomine venu omne id quod debetur m pecunia dec, 1 <5y.
f0.8p.izq.
Culpa.
Culpa fuos debet profequi auri ores. hb.2c.2qjt.\8p. 232,
T tritus non debet incommodum femire ex culpa ahenaJib.14.
25.093^.256.
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Cap. Primum.
: 1
■> &
-■» i
V JE N AM Jit E jfentiaijiue interna Vir
t£ natura , ea folum methodo reperiri
pojs.e omnibus apertum cenjt^o, qtix Dct
fnitio uocari conjueuit : objeurum ta-
men arbitror an unica dcjlnitiotte ua- •
leat uita natura in uniuerjum explicari j an potius plu-
ribus definitionibus id fieri debeat : ^lua quidetri in re
. primum illud accipio , propterea non pojsc quidpiam ^^^pQfi^
unica definitione innotefccre, quia non Jit eius una com-
munis natura, fedmultiplex ftP' <equiuQca:^fccus enim.,
fi habuerit naturam uniuocamjaut f altem quam uo-
<at AriHoteles alicubi alteram ab alteris , uulgus aute i*degcat.44.’
analogam i id pojse per unam definitionem folummodg
0 0 notifi^.
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Lorsque l’expérience était faite sur des poules, Je mpampinona prenait entre ses jambes une poule dont les pattes reposaient à terre, maintenait les pattes de la poule avec ses pieds, d’une main lui tenait le bec et les ailes, et de l’autre lui administrait le poison qu’il la forçait à avaler. Si la poule laissée en liberté ne se démenait pas, surtout restait muette, c’était le verdict de culpabilité; si elle poussait, au contraire, des cris provenant de l’absorption de cette substance amère lui raclant le gosier, c’était un verdict d’acquittement. Si le juge voulait la condamnation de l’accusé, il étouffait à moitié la poule dans ses jambes et lui remplissait le gosier de manière qu’elle ne pût crier.
Lorsque les individus suspects étaient soumis de leur personne même à l’épreuve du tanghin, une grande foule s’assemblait comme pour un spectacle, le centre d’attraction étant nécessairement l’exécuteur ou mpampinona et la ou les victimes. Pour inspirer la confiance, le poison était préparé en public par les mpampinona, qui pétrissaient sur une pierre, avec un peu d’eau, deux moitiés de noyaux différents, dans le but d’assurer l’uniformité du poison ; ils obtenaient ainsi une émulsion blanche qui, délayée avec le suc d’une feuille de banane, se dissolvait en partie. L’individu soupçonné absorbait cette dissolution.
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Si beaux que soient les mérites des « Histoires », il est certaines pages d’ « Agricola » qui ne sont pas inférieures à ce que Tacite a écrit de plus beau et qui font de lui tout à la fois un grand historien et un grand artiste. M. Courbaud découvre en Tacite un nouveau mélange de poète et d’orateur. Il fait remarquer que l’orateur et le poète ne s’entendent pas toujours et que leurs qualités se nuisent parfois en se contredisant. « Le poète, dit-il, a bien soin d’être un peintre non seulement des âmes, mais des objets extérieurs, de tout ce qui se voit, se touche et tombe sous la prise des sens. L'orateur, lui, a pour but unique de convaincre et de persuader, d’agir sur l’esprit et de toucher le cœur. S’il a bien enchaîné ses arguments, s'il a provoqué des émotions, il est content ; il ne cherche rien au-delà. Et cette différence se reflète dans le style ; ici, le développement régulier et continu ; là, l'imprévu, le rare, le capricieux, toutes les audaces, toutes les envolées, tous les éclairs. » Ceci s’explique par la définition même de Cicéron : « Fiunt oratores ; nascuntur poëtes, » C’est à force de travail qu’on devient orateur : c’est de primesaut qu’on est poète. Ici apparaît le laboureur avec ses effets cherchés ; là surgit l’improvisation avec ses élans spontanés. Tacite est à la fois poète et peintre, « le plus grand peintre de l’antique », a dit Racine ; et en même temps, il reste orateur, parce qu’il a été élevé à l’école de la Rhétorique ; parce que, pendant vingt-cinq ans, il a parlé comme avocat et comme magistrat. Ne nous en plaignons pas. L’éloquence, dans un récit historique qui traite de grands sujets, passionnants et même tragiques, l'éloquence est bien à sa place... Vous voulez que je pleure? Eh bien, commencez par pleurer vous-même ! Vous voulez que je sois ému ; montrez-moi quelle émotion vous étreint et vous agite !... Croire que Tacite a cherché à dépouiller en lui l’orateur, ce serait, à mon avis, une erreur réelle. M.
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Valmont.wÆHMsmHUMammaKBimmmamElude de M* Léon DU PU Y Notaire à BayonneSuivant acte reçu par M Léon Dupuy, notaire à Bayonne, le 28 avril 19.32, enregistré à Bayonne le 29 avril suivant, volume 37, numéro 187 B ; Monsieur Paul LA BARRIERE limonadier, et Madame M ariaAnna LAF<0)UiBlLAIDE, sans pro fession, son épouse, demeurant ensemble a Guérhary, ont vendu à (Monsieur Laurent Arnaud Henri LAiBiAiDIE, limonadier, demeurant à Bidart ; Un fonds de commerce de li monadier, café et débit de bois sons connu sous le nom de « Ca fé de Madrid », exploité à Guéthary, immatriculé au Greffe du Tribunal de commerce de Bayon ne, sous le numéro 959 ; ledit fonds comprenant ; 1) L’enseigne, le nom com mercial, la clientèle et l’acha landage qui y sont attachés ; 2) La licence ; 3) Le matériel, le mobilier et objets mobiliers servant à son exploitation. L’entrée en jouissance a été fixée au premier juin 1932. Publication de cette vente se ra faite au Bulletin annexe au « Journal Officiel » et sera re nouvelé dans les délais prévus par la loi. '.Les oppositions, s’il y a lieu, seront faites au domicile élu, à Bayonne, en l'étude de M" Léon Dupuy, notaire, élans les dix jours de la seconde insertion. Pour première publication. Signé : Léon DUPUY. •■maeB6iia*»*BEaoa««s8iiaivAG EXC IA B. Pastor, tél. 11306 offre 500 domestiques catholiques hommes et femmes renseigti4273UNE CARRIERE LUCRATIVE Par ces temps de crise, beaucoup se demandent quelle profession choisir. Nous conseillons nettement le métiei d'Agent Commercial qui n’exige pas de capitaux et qui est -xempt de risques. Certes, il faut pour réussir connaître la profession. Cela vous est facile grâce à un « Manuel pratique de l’Agent Com mercial » qui vous initie rapidement aux mille sgpreta du métier. Avantage considérable : avec l'ouvrage, 11 eut remis à chaque souscripteur 3 cartes d’Agent Commercial, ce qui per met de se mettre Immédiatement au tra vail et de gagner de belles sommes. Cet ouvrage, tiré à un nombre res treint d’exemplaires, ne sera pas vendu en librairie.
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Es kann also nicht zweifelhaft sein, dass diese Sprachen
nicht von Anfang an hier galten, sondern dass sie von
asiatischen Einwanderern herübergebracht wurden. Wenn
wir dann zwischen diesen unter sich genealogisch verbundenen
Sprachen und dem ebenso fest zusammengehörigen Sprachen-
Complex, welcher den ganzen Süden Afrikas (mit der schon
genannten Ausnahme) umfasst, einen im Mittel etwa 15 0
breiten Gürtel von vielen isolirten Sprachen antreffen, welche
weder der südlichen noch der nördlichen Sprachfamilie ganz
angehören: so ist der Schluss gewiss berechtigt, dass diese
zersprengten Sprachen ohne Ausnahme ein Product des
großen, teils feindlichen, teils friedlichen Zusammenstoßes
zwischen den urafrikanischen und den eingedrungenen
asiatischen Sprachen sind. — Dieser Schluss ist um so un¬
vermeidlicher, wenn wir sehen, dass diese unter sich isolirten
Sprachen dennoch durchgängig in ihren grammatischen
Einzelbildungen sich teils den Südsprachen, teils den [ein¬
gewanderten] Hamitischen Sprachen anschließen, so dass in
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340
H. Steinthal,
jeder einzelnen sich noch beide Bestandteile, wie wir sehen
werden, sondern lassen.«
Dies ist, mit seinen eigenen Worten, Lepsius’ Stellung
zu den afrikanischen Sprachen. Er geht aus von drei all¬
gemein anerkannten sprachlichen Tatsachen: im Süden ein
großer Complex von Sprachen mit einheitlichem, afrikanischem
Typus; im Norden und Nordosten aus Asien eingewanderte
Sprachen; zwischen beiden ein Gürtel von vielen isolirten
Sprachen. Die letzteren bilden das Rätsel des Glossologen,
das Lepsius durch die sehr einfache Annahme der Gegen¬
wirkung des Einheimischen gegen das Eingewanderte erklärt
glaubt.
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Un peu au-delà de Béthanie, sur un chaume aride, on montre un bloc siliceux, gisant dans le désert comme tant d'autres, sans aucune marque distinctive, sauf les déchirures faites dans ses flancs par le marteau des pèlerins. C'est sur cette pierre du Colloque que le divin voyageur se reposait lorsque Marthe accourut à sa rencontre pour lui apprendre la fatale nouvelle ; alors s'engagea entre le Maître de la vie et la sœur éplorée le dialogue admirable rapporté par saint Jean et qui contient pour tous les âges, pour toutes les familles et tous les séparés, ces paroles éternellement consolantes : "Celui qui croit en moi ne mourra pas pour toujours." La pierre du Colloque a entendu cette promesse de résurrection, cette divine harmonie d'outre-tombe, elle a été mouillée des larmes de Jésus, elle est donc vénérable. Près de là on signale dans un champ l'itinéraire de Marthe l'empressée ; et çà et là éparses les ruines d'églises élevées en l'honneur des trois amis du Sauveur. N'étaient-ils pas les prototypes accomplis des différents états de vie qui se partagent l'Église ? La vie active personnifiée par sainte Marthe, la vie contemplative par sainte Marie-Madeleine et la vie apostolique par saint Lazare.
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3d) war bald aber mit Prügeln — und hab ich an der Berge in Bergettaubgemacht — Bergettaub Anstift, bah "stan" bis jetzt Paragraphen ganz streiten müssen. Benn ich eine Ahnung gehabt, bah' bei den Anfängern, welche eben bei der Erörterung entrollt hat, nämlich bah auf die Konjection gar sein Serbt 3U legen sein, auch die Anstift bei der Stab in Hamburg wäre, so würd ich an der heute noch bei Eintrag wie bei solt haben, id) habe aber in der Kommunikation bauen Abstand genommen, weil ich bei der Anstift war, dass ein soliden Übergangsstabium, wie es im § 27 bewilligt wird, wesentlich im Interesse der Befugnis des Staatsbehaltb des Staates berührt, liegen, und habe heute bauen Abstand genommen, weil ich glaube, dass eine goldige Angelegenheit nur durch ein bindiges Arrangement zu reglementieren ist. Die § 36, 50 findest alterbar nicht näher begründet, eine Berechnung ist nicht zu liefern, worauf geraten die § 27 beruht; ja meine Herren, jeder an der Sache, bei Sie in der Sache gehe hinein, hätte sich rechungsberechtigt eben so wenig begründet lassen. Es ist eben in diesem § 27 nicht weiter gegeben, als ein billiger Ausgleich ex aequo et bono. Projet bei der Erörterung des Fürsten Sorrebnern werde id) innerhalb auch heute trotz seiner Sieben bei Antrag auf Streichung des § 27 nicht stehen, und ich bitte Sie meine Herren, den § 27 so anzunehmen, wie iljn die Kommunikation vorgeschlagen hat, ohne bei den Gebanfengang des Fürsten Sorrebnern dabei gütig 3U geben. Amt liegt ist § 29 nur bei Antrag der Abgeordneten isoliert von ihm Sir. 244 f. bei der Erörterung des Stabes 3U streichen. Er hat bah Slort.
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En réalité, avec la disposition de mécanisme indiquée dans la figure 401, le membre e exécute des mouvements qui ne sont qu'approximativement des oscillations harmoniques et qui sont représentés par l'expression :
dans laquelle y est la distance d'un point de e à une position moyenne, r la longueur 2.4, a et ça désignant les mêmes angles que précédemment.
Pour une faible valeur de a, la différence entre les deux mouvements est très
petite et peut être généralement négligée dans les applications de la pratique. —Nous avons tenu à signaler cet exemple comme une preuve de ce que nous avons avancé dans la note 43, que, jusqu'ici, l'attention se trouvait dirigée sur la loi ou plus exactement sur l'une des lois du mouvement dans un mécanisme, tandis qu'on laissait entièrement sans examen la combinaison à l'aide de laquelle se produisait le mouvement considéré. Cette combinaison est pourtant, dans le cas actuel, la partie la plus importante, puisque nous possédons déjà toute une série de mécanismes avec lesquels on peut réaliser un mouvement rigoureusement ou approximativement harmonique, tandis que la chaîne (Ce") n'a pas encore été étudiée complètement sous ses différentes formes.
La machine à vapeur de ROBERTSON, qui a été mentionnée à la page 591, contenait une partie accessoire, qui mérite d'être signalée. Dans le type de date la plus
Fig. 459.
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POTATO PATTIES, WITH PEAS
Select rather long potatoes of uniform shape and size; pare, cut off a slice,
then hollow to make cups or thin shells. Let stand in cold water till about
ready to serve, then wipe dry and fry in deep, hot Crisco. The shells should
cook until tender in from six to eight minutes. Drain on soft paper at the
oven door; sprinkle the inside with a little salt and use as receptacles for
cooked peas, seasoned with salt, sugar, black pepper and butter. Creamed
fish, chicken, or almost any variety of vegetable may be ser\'ed in these
patties; the patties are to be eaten with the contents.
POTATO FRITTERS
3 eggs, beaten light 2 teaspoonfnfs baking powder
;2 cupfuls inashe(| potato 1 teaspoonful salt
1 cupful sifted pastry Hour 14 teaspoonful pepper
Crisco for frying
Do not separate the whites and yokes of the eggs for beating; gradually beat
in the potato (hot or cold), tlien beat in the flour sifted again with the other
ingredients. Drop bv the large teaspoonful into hot Crisco; let cook to a
golden bro\\ n, turning often; drain on soft pa[)er. Serve with or without fish
or meat.
FRIED EGGPLANT
half slices of eggplant soft, sifted bread crumbs
i egg, beaten liglit salt and pepper
'3 cupful milk Crisco for frying
Cut the eggplant in halves lengthwise, then cut in slices half an inch in thick-
ness and remove the purple skin; sprinkle with salt and pepper, dip in the
egg mixed with the milk, ilrain and pat in the crumbs, turning to eoat the
whole surface. Fry two or three slices at a time. The Crisco is at the right
heat w hen a crumb of soft bread Ijrowns in about CO seconds.
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Le changement de localité agit comme cause de ces fièvres aussi bien que comme cause des fièvres intermittentes simples. Les exemples de cette influence sont nombreux.
Influences individuelles. — L'influence de la race est bien marquée. Ce sont ordinairement des Européens qui fournissent les observations de cette maladie. Cependant les indigènes peuvent être atteints. En 1864, M. Vilette, médecin en chef du Sénégal, observa un cas de fièvre bilieuse mélanurique suivi de mort chez un noir natif du Haut-Pays. M. Bérenger-Féraud donne l'observation d'une fièvre mélanurique chez un mulâtre de Gorée en 1871.
Sur cinq des cas de fièvre bilieuse mélanurique que nous avons observés à Sainte-Marie Madagascar, et dans lesquels nous avons fait nos premières expériences sur les injections de sulfate de quinine, nous trouvons dans nos notes une observation de cette maladie sur un mulâtre créole de la Réunion employé comme menuisier, un cas sur un Chinois employé comme maçon. Ce Chinois était un ivrogne, depuis trois ans qu'il habitait Sainte-Marie, il avait déjà eu deux atteintes de fièvre bilieuse mélanurique. Les trois autres observations concernent des Européens : deux hommes et une petite fille de 3 ans.
Le docteur Horton parle de nombreux cas de fièvres rémittentes bilieuses dans la population indigène de Sainte-Marie de Gambie. Mais c'était en 1866, au moment où la fièvre jaune réapparaissait sur les Européens, et le diagnostic n'est pas discuté par le docteur Horton qui considère la fièvre jaune comme une fièvre de malaria.
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No doubt all this and much more is plain to Senator Borah and the other members of the foreign relations committee of the senate. The present break in Italy is certainly not as much of a surprise to them as it is to men who are barred from their sources of information. But good is likely to come even from this serious reverse that has come to the cause of the allies. It is insisted that General Cadorna will yet be able to stem the onrush of the enemy and this seems reasonable if the morale of his army is not completely shattered, and unless the strength of the nation is completely sapped and undermined with treason. It must be true that if Italy continues the fight she will fight German as well as Austria from this time forward and that she will take a broader view of the tremendous conflict that has been forced upon the civilized world. The only change this Italian crash will make in America will be to arouse the sluggish to a clearer realization of the fearful responsibilities the war has brought to this nation. If it is true, as many military experts insist, that the break-down in Russia followed by the break in Italy will prolong the war for at least three years, then it is incumbent upon all Americans.
Watch Their Smoke
Previously acknowledge... $74. Hotel Moscow List
Phillip Lettermall, Moscow... 25c—1 25c
Tom Wright, Moscow.... Creighton List
Miss Mae Wood, Moscow.
Mrs. Mae Schwartz, Moscow...25c —1
J. O. Sturgean
V. N. Ramstedt
Childers' List
$2.60—10
Boyd Childers.
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Deze catalogus wyst de boeken in wetenschappelijke orde aan, hun vorm blijkt uit de kolom ter regter zijde van den titel, waar het nommer tan het boek wordt opgegeven. De nora-
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mers worden op den rug der boeken gedrukt. Eene combinatie van letters van A, Aa enz. tot Zz en van Hommers van 1 tot 9999 geeft het middel om 6,500,000 werken te nomineren van A 1 tot Z z 9999. Deze nommers zijn verdeeld volgens de tegenwoordige en waarschijnlijke toekomende evenredigheid tusschen de onderscheidene afdeelingen, en daardoor wordt het doel bereikt, om aan ieder boek eene bepaalde en gemakkelijk te vinden bestemming te geven, en toch kan de bibliotheek twaalf malen hare tegenwoordige uitgebreidheid toenemen, zonder de streng wetenschappelijke orde te storen, en zonder dat er eenige verwarring ontsta door veranderingen in het gebouw of door de geheele verplaatsing der bibliotheek naar een ander gebouw. Men begrijpt, dat, waar de bibliotheek al de werken van éëne soort bevat, die te verwachten zijn bijv. tien achtereenvolgende uitgaven vaneen romanschrijver, de nommers geregeld voortloopen , bijv. X p. 1/9, X p. 189 enz.: doch waar groote aanwinsten zijn te wachten, springen zij honderden èn duizenden over , bij v. tusschen de geschiedenis van Pennsylvanië en die van Virginië. Dr. Peutz is van oordeel, dat de catalogus niet moet worden gedrukt om de gedurige aanwinsten, die hem onvolledig zouden maken en onophoudelijk supplementen zouden vorderen, terwijl het geld beter besteed kan worden tot aankoop en uitbreiding van de bibliotheek. De catalogus van handschriften zal worden gedrukt, en dat gedeelte , wat de Oostersche H. S. bevat, ligt gereed voor de der bibliotheek. Het verslag voorondersteld bekendheid met do bepalingen, die wij evenwel hier willen herinneren. leder practiserend geneesheer , jurist of predikant, ieder professor , onderwijzer en beambte en ieder student aan de universiteit heeft als een regthet vrije gebruik van de boeken. Wat andere personen betreft, het gebruik der boeken in het gebouw is ook vrijelijk toegestaan aan ieder aan den werkman op de straat, die een uurtje besteedt, om een boek met platen te bezien zoowel, als aan den geleerde, die vele uren besteedt aan de studie vaneen Grieksch of Sanscritisch wortelwoord; doch indien zij verlangen boeken mede te nemen, moeten zij een certificaat inleveren van iemand, die bekend is of reeds boeken ontvangt, en die zich borg stelt voor de veilige teruggave.
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Święty Józef, a nawet sam Pau Jezus, długi czas spełniał obowiązki brata za:
konnego, t. z. oddał się pracy ręcznej i modlitwie. Pomoce braci zakonnyca
jest wprost nieodzowna dla pracy kaplańskiej. Młodzieńcze, może nieraz nad
tym rozważałeś, jakby najlepiej służyć Bogu i wykorzystać najlepiej krótki
czas życia swego na ziemi. ldź za głosem Bożym! Jeśli Cię woła, nie ocią
gaj sięl Każdy młodzieniec o nieskalanej przeszłości, pracowity może się
zgłosić do Księży Salwatorianów. Potrzebujemy rzemieślników, drukarzy, biw
rowvch. ogrodników. — ale i niefachowcy mogą się zgłosić, by się wykształ
cić w czymkolwiek w klasztorze.
Adres: Księża Salwatorianie Mikołów Śl.
MMM ESET PTO TOY AS AA DS a vo OVI A De SAO
K.
[i] Pozyskaj choć jednego nowego abonenta!
Bo Syn Gzłowie
czy przyszedł,
aby zbawił co
było zginęło.
(Mat. XVIII 11).
Rekolekcje wśród prześladowania
w Meksyku
W nieszczęśliwym Meksyku sroży się od szeregu lat okropne
prześladowanie chrześcijan, podobne do krwawego prześladowania
wyznawców Chrystusowych przez rzymskich cezarów w pierwszych
wiekach chrześcijaństwa. Wiara jednak katolików meksykańskich
nie upada. Wobec braku kapłanów, których rząd socjalistyczno ma
soński powypędzał lub wymordował, wierni sami gromadzą się tłum
nie w świątyniach i odprawiają nabożeństwa jak mogą.
25
Czy w takim położeniu może być mowa o odprawianiu reko
lekcyj? Zdawało by się to niemożliwym. A jednak — ta żywa
wiara, która góry przenosi, miłość Chrystusowa, która do czy
nu nagli, dokonała i tego cudu. W Meksyku wierni tłumnie gar
na się na rekolekcje. Swiadczy o tym poniższe wzruszające sprawo
zdanie, pochodzące z zupełnie wiarogodnego źródła.
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Your health or even your life may depend on the care given to the laying of a drain pipe. Guard your health. We GUARANTEE every piece of plumbing we do to be PERFECT before we quit the job. Play safe—let us do your plumbing RIGHT. Witter Fisher Company Phone 320.
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J'ai appelé un pourboire. C'est par l'exercice scrupuleux de ma profession d'avocat, dont je tire grande fierté, que j'ai assuré à mes prochains et à moi-même une existence terrestre convenable et digne. J'ai eu l'honneur d'occuper quatre postes ministériels d'importance. J'ai eu à répartir des fonds considérables. quelquefois sous le contrôle à part unique de ma conscience. Et c'eût été pour une somme dérisoire que je me serais livré à un acte douteux ! C'est cruel d'avoir à s'en expliquer, mais c'est aussi infiniment grolandaurait fallu que je fusse atteint de démence pour oser de rompre ma promesse non seulement une situation politique marquante, mais surtout l'appréciation que portent sur moi tous ceux qui connaissent ma vie dans tous les domaines et une réputation attaquée et vérifiée d'indépendance et de probité. M. André Chagné, ancien chef de cabinet de M. Max Lejeune, assigne le général Revers en diffamation. M. Chagné, ancien directeur du cabinet de M. Max Lejeune, tient à déclarer qu'il ne connaît pas M. Peyré, qu’il n'a jamais eu aucune relation avec lui et qu'il n'a eu à connaître l'affaire percée que pour réfléchir à M. Roger l'ex-lieutenant de la légion d'honneur. Il assigne à partie civile le général Revers en correctionnelle pour diffamation et lui réclame un million de dommages et intérêts. Une mise au point du professeur Pasteur Vallery-Radot. Prenant acte de la déposition du général Revers, le professeur Pasteur Vallery-Radot déclare que la personne mise en cause n’est pas lui, mais M. Maurice Vallery-Radot, lui fut attaché au cabinet de M. Coste-Floret. (Suite de la 2e page française, nous ne saurions admettre que l'étranger puisse avoir pour prononcer sur la France un jugement de moralité assorti de sanctions internationales. Nos affaires intérieures ne regardent que nous, et nous trouvons M. Bidault singulièrement endurant d'accepter, sans se plaindre, une interprétation des pensées de M. Churchill passablement injurieuse pour notre pays. La France n'éprouve pas le besoin de se faire blanchir à Londres, fut-ce par le plus sympathique des amiraux de bâtiments lavants britanniques. NOUS pensons qu’un gouvernement digne de ce nom se doit, tout d’abord, d’écarter sans examen une hypothèse excessivement humiliante pour la France qui peut tout de même, sans désavantage, siéger auprès de n’importe quel fumeur de cigares dans une conférence de rappar le international. Churchill n'a pas toujours du génie.
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grossièrement, en plaçant sur l'obturateur, au lieu d'eau, des poids marqués : on trouve que la somme des poids nécessaires pour le détacher est précisément égale au poids total de l'eau qu'on avait dû verser dans le vase cylindrique A. Il en résulte que, pour le vase élargi B, la pression exercée sur le fond est inférieure au poids de l'eau qu'il contient ; dans un vase rétréci tel que C, elle est supérieure au poids total de l'eau.
49. Pression sur le fond des mers. — D'après le principe précédent, on peut facilement calculer les pressions exercées sur le fond des mers. La pression sera égale au poids d'une colonne d'eau ayant pour base la surface pressée et pour hauteur la distance du fond à la surface de la mer augmentée de la pression exercée par l'atmosphère. Nous verrons que la pression atmosphérique est égale au poids d'une colonne d'eau de 10 mètres de hauteur. Or, les plus hauts fonds ont au moins 4 000 mètres. Sur de tels fonds la pression serait égale à plus de 400 fois celle de l'atmosphère.
60. Pression sur les parois latérales. — Les liquides exercent des pressions sur les parois latérales des vases qui les renferment, ces pressions sont normales aux surfaces pressées. On peut mettre en évidence ces pressions latérales en pratiquant un orifice à la paroi d'un vase contenant un liquide. Ce dernier s'échappe alors avec d'autant plus de force que l'ouverture est plus éloignée de la surface libre ; on constate en outre que le jet est dirigé normalement à la paroi.
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Hendi (pe» Aene* effet) vocat, dreo.exiltcn» accincta ferrou.ar-
mii (errcii (Soni enim iunoni arma, de quibu» in primo. Hic ll.
Iiut aima, hic curru» fuit , conflrutnda aurem funt diuihot epi-
theta, ne vitlufc >nl ab vna parre demur, per hoc vero , 9 ferro
accincta videtur, fe inimicam declarai)Retpice Pallas Tritonias
i Tritone lacu Africjr lic diria , infedit .1. occupault , iam 1 urces
fumoia» .1. in qu*busres futnm* erant, fit fumma Ipca rehUendi,
qux illis occupatu nulla rcltabat, infedit (dicu) fulgens nimbo
Apparens dir* facies,)
Sctiidum Mathcfnn,
poltablccHum Vene-
ria dira dicumur apparu ifle nu
mina, cuius prarfemes radi) in
trruenirntes Anxrcticos tem
pera ir [ Tum vero) ia an-
te,& ab H .aoieaudicfar,«i *
fc viderat euerti Troum, fcd
no omnrm.[Fcrio,Sf bipenni
bo »)T eucologu eli . [Eruere)
Tro deijtefc.Atell Aeyiologia.
[Mnunu) Aut emmeuvt.M»*
SER.V . Ppatens dirx facies , ) ab n. Dixerat , & fpisfis no Ais fe condit 10 VITlbris •
Apparent dirae facies , inimicaquc Troi*
Numina magna deum ,
Tum vero omne mihi viium confidere in ignes
Ilium , & ex imo verri Neptunia Troia :
Ac vcluti , fummis antiquam in montibus ornum
Cum ferro accifam .crcbrisqu^b pconibus inftant
Eruere agricola; certarim , illa v lquc minatur ,
Et trcmcla&a comam concuflo vei tice nutat ,
- - Vulneribus donec paulatimcui&i.fupremurn
[TremefiCt» comum)Soln»h Dcfccndo, ac.tlutcmc oco , lumnum inter , oc nolles
cRumi) Allitum iibo- lixpcdior : d jnt tela locum , (lroimique recedunt.
[Ac, ducemedco) Se- v|,j jim natrix peruentum ad limma ledis ,
m eotquidw n. vtn^ AntjquaMjucdoniosjgcnitor, quem tollere in altos
Optabam primum montes , primumque petebam ,
Aiincgatcxcifa vitam producere Troia,
Lx iliumque pati, a n ch. Vos 6 quibus integer eui
bangu.s , ait, fohdxqut luo ftantfobore vires.
Vos agitate lugam.
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"The man or woman who, through his own negligence or that of the community in which he lives, contracts any preventable disease during the next few months lessens to just that extent the efficiency of the nation, not only by reason of being incapacitated for a greater or less period of time from rendering service of any kind, but also by reason of causing needless expense at a time when economy, of the proper kind, is all-important. Furthermore, one-fourth, or more of all our doctors are going to be taken from civil life into the army or navy. Those who remain behind will have their hands full. At least, let us see to it that they are not called on to treat a single case of any disease which could have been prevented."
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The Pullman Herald tells of his appointment as follows:
"I wish to announce that I have been appointed as superintendent of the Pullman School for the past year. I am looking forward to serving the community for the past year and I am looking forward to serving the community for the next year."
Superintendent Graham has given the best satisfaction and his resignation is expected to be accepted by the board. He is now in charge of the school, and I am looking forward to serving the community for the next year.
The superintendent, Henry, has been engaged in educational work for the war department during the war, having just recently been discharged.
GOES TO PULLMAN
POPULAR SUPERINTENDENT,
FORMERLY AT MOSCOW, WILL
BE CLOSE NEIGHBOR
NOT WHIZED
SPOKANE COMMISSIONER SAYS
ARREST OF COEUR D'ALENE
MAN WAS WRONG
The story of a Coeur d'Alene dray man being arrested in Spokane for soliciting a return load after he had hauled a load from Coeur d'Alene Spokane, as published in The Star-Mirror and a Spokane newspaper, and an editorial on the subject in The Star-Mirror, has caused some comment in Spokane and officials are denying responsibility for the arrest. The following article on the head, "Argali Protests Arrest":
City Commissioner J. C. Argal yes
arrest JfT Coeurd^Keîraîïï'bS
Spokane officials on the charge of
carrying on interstate trade without
a license.
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hielt der nationalliberale Wahlverein des Börlitz = Laubaner Wahlkreises eine Versammlung in Görlitz ab, in welcher der Landtagsabgeordnete von Schenckendorff über das Thema sprach : „Worin unterscheidet sich im Wesentlichen das Programm der Nationalliberalen von dem der Freifinnigen? Die Versammlung stimmte den Ausführungen, welche sich an das Heidelberger Programm anlehnten, einstimmig zu, und wählte den Redner, sowie den Landtagsabgeordneten Beier = Görlitz zu Vertretern des Vereins zum bevorstehenden deutschen Parteitag der nationalliberalen Partei zu Berlin. G Berlin, 21. April. Heute früh ist der ehemalige Reichstagsabgeordnete Dr. Adolf von Brüning in Höchst bei Frankfurt a. M. gestorben, ein treues und hochgeschätztes Mitglied der nationalliberalen Partei. Am Scheidewege. Novelle von Ludwig Ziemssen. Der Besuch der Königin von England ist beschlossen! Sie dürfen es als ein Factum ansehen, denn ich habe es guter, von — ahem! — von sehr guter Hand und könnte Ihnen schon pikanten Details — Sie verstehen? „Nein! nein! erzählen Sie bester Baron! „Und so geistvoll erzählt! Meine Damen, Sie beschämen mich! Doch hören Sie! Es hat sich — was man Ihnen auch sagen möge — diesmal nicht um einen Milieubesuch, wie in England, sondern um eine feierliche königliche Reise um einen solennen königlichen Empfang! „Ist es möglich! „Wer hätte das denken sollen! „Ja noch mehr: es handelt sich, um es gerade heraus zu sagen, um den Besuch am Rhein zu paralysieren, wenn nicht gar zu verdunkeln! für den phantastischen kleinen König von Preußen! Der Redende schnippte höchst bedeutsam mit den Fingern und blickte sich bewusst im Kreis umher.
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Verdere mededeelingèn: Minder aanvoer van alle soorten vee, ook van kalf en melkkoeien; handel iets trager doch kwaliteiten werden duur verkocht. Handel in jongvee iets flauwer, goede soorten betere prijzen, guste koeien meestal levering Centrale. Melkgevende koeien werden heel goed verkocht. Schapen matige handel. Biggenhandel vanwege de strenge vorst zeer matig. Geiten groo<e aanvoer. vlugge handel.
VRAGEN EN ANTWOORDEN
VRAAG V. C. te S. Is het waar, dat U aanraadt, kaf vóór de biefen te voeren.
ANTWOORD Zoo in het algemeen zeker niet, want mem krijgt kaf e‘r juist zoo mooi in, als men het over de gesneden bieten voert. Maar men verwisselt dit met mijn raad, om vooral bij den eersten maaltijd te zorgen, dat de dieren een bodemin hun lijf hebben, vóórdat men- met saprijk voer (bieten, kuilvoer enz.) gaat voeren. Het best gaat dat met hooi. Maar ais men absoluut geen hooi ter beschikking Heeft, heb ik wel aangeraden, toen men nog meel voerde, wat kaf iets te bevochtigen en dat mengen met het te voeren meel. Nooit meer dan 2 Kg. kaf per dag aan rundvee voeren. Aan paarden kan men wel tot 5 Kg. gaan. TIM. De vragensteller J. H. te gelieve
zijn adres op te geven voor afhandeling ter plaatse. M.
Dr. Staring’s almanak.
Collecte Margraten.
Wegens niet geheel volledige vermelding, herhalen wij hier nog eens de zeer goede collecte die onze boerenstand te Margraten voor de Hagelramp heeft gehouden" bij de inwoners. Deze bracht het prachtige resultaat: f 1019.50 aan geld en 3840 K.G. rogge. Bovendien schonk de boerenleenbank f. 200.—.
Mededeelingen van den Boerinnendienst.
Daar de aflevering van de Kerstkaarten tot onzen grooten spijt stagnatie heeft ondervonden, kunnen wijden verkoop van de kaarten niet uitvoeren zooals we ons voorgesteld hadden.
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Goubot a disposé la scène des Derniers Moments de Charles X. Le Roi est étendu sur le lit d’où il ne doit pas relever, et qui est éclairé par des flambeaux placés derrière les rideaux. Le cardinal de Latil, assisté du clergé, administre l’extrême-onction au pieux monarque. Le médecin debout est près du chevet sur le devant et vers le milieu de l’estrade. L’héritier de Charles X, à genoux, fait une prière fervente; à l’extrémité du lit l’auguste fille de Louis XVI, la tante, l’arrière-piéce fille des empereurs, la tête en avant, est dans l’attente du moment inévitable où l’âme du prince résigné ira rejoindre ses augustes ancêtres. Derrière
renseignement Nous pourrions désirer aujourd’hui comme une atténuation du mal, en présence de la fatale direction donnée à l’instruction publique, et en raison des vices du corps enseignant actuel; mais nous ne sommes pas dans l’usage de professer des principes de circonstance. Or, en thèse générale, nous pensons qu’un gouvernement ne doit pas plus aliéner la direction des intelligences que celle des mœurs; l’une et l’autre se tiennent. On comprendra que nous raisonnons dans le sens d’un gouvernement religieux, régulier, ayant la conscience de ses devoirs et sachant les remplir. Et telle est la loi générale du raisonnement, qui doit toujours partir de la règle et non de l’exception. Si la guerre des univers avec les journaux royalistes n’était pas une guerre systématique, nous ne comprendrions pas qu’après notre dernière profession de foi et l’exposition quotidienne de nos doctrines, ce journal nous accusât d’être les ennemis des catholiques, en Irlande, en Pologne et en Prusse. Pourquoi ne nous se serait-il pas permis de condamner dans O’Connell l’esprit d’agitation et de révolte ? O’Connell est l’ennemi le plus acharné du roi catholique d’Espagne que le tribun irlandais a osé traiter de monstre en plein parlement. O’Connell lui-même ne saurait prétendre que la communauté de foi religieuse entre lui et nous puisse nous interdire le droit de l’appeler révolutionnaire. Charles V aussi est catholique, et pourtant le catholique O’Connell se permet des qualifications bien autrement monstrueuses contre cette auguste et royale majesté. La Sentinelle des Pyrénées donne une lettre d’Urdaz (frontière espagnole) du 26 avril. Cette lettre porte que l’insurrection était imminente dans le pays basque et qu’à l’heure où le correspondant écrivait, Estella et tout le pays environnant avaient peut-être proclamé Charles V. Cette nouvelle ne nous surprend pas. Nous n’avons jamais cru au traité de Bergara.
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Twelve drachms of apjimonial wine and two drachms of
laudanum. Of this mixture eighteen drops may be taken in
water every five or six hours.
1028. Lotion to Remove Freckles.
Mix two ounces of rectified spirits of wine, add two tea-
spoonfuls of muriatic acid, with one pound and a half of dis-
tilled water.
300 The Dominion. Cook Book.
1029. Ointment for Chilblains
Calomel and camphor, of each two drachms ; spermaceti
ointment, eight drachms ; oil of turpentine, four drachms. Mix
well together. Apply, by gentle friction, two or three times
daily.
1030. To Raise a Blister Speedily.
A piece of lint dropped into vinegar of cantharides, and
immediately after its application to the skin covered over with
a piece of strapping to prevent evaporation.
1031. Dyspepsia, Heartburn, and Acidity.
Pure water, five ounces; carbonate of ammonia, two
drachms; syrup of orange peel, one ounce. Mix. For a six-
ounce mixture.
1032. Warmine Plaster.
Burgundy pitch, seven parts, melt and add plaster of can-
tharides, one part. Some add a little camphor. Used in chest
complaints, local pains, etc.
1033. Rules for the Preservation of Health.
Adopt the plan of rising early, and never sit up late at night.
Wash the whole body every morning with cold water, by
means of a large sponge, and rub it dry with a rough towel, or
scrub the whole body for ten or fifteen minutes with flesh-
brushes.
Drink waters generally, and avoid excess of spirits, wine,
and fermented liquors.
.Sleep in a room which has free access to the open air, and
is well ventilated.
Keep the head cool by washing it with cold water when
necessary, and abate feverish and inflammatory symptoms
when they arise by persevering stillness.
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Fusione. Il tutto è combinato; il colonnello Non rifiutò, Bettina, Ma conviene sbrigarsi in sul momento Prima che gli sopraggiunga un pentimento. And. Vi ringrazio di cuore; Chiamatemi Bettina. Euf. Eccola appunto. Bisogna parlare chiaro And. Lasciate fare a me. Avanti signorina... Bet. Eccomi qua. And. Saprai che per sposarsi Sei stata in questo giorno rifiutata. Bet. Ah pur troppo ne sono mortificata. And. Qui ritrovar bisogna un altro sposo Prima che il fatto si scopra. Bet. E chi mai è quello, Che si scelga si potrebbe? And. Il colonnello. Bet. Un tale progetto... (con gioia repressa) And. So che non ti piace; Ma il dover, la ragione... Bett. Voi mi ordinate Di prenderlo in consorte? (fingendo mala voglia) And. E guai a te se ardisci a dir di no. Bet. Per obbedirvi solo lo sposerò. Euf. (Che furba!) SCENA ULTIMA. Odoabdo, Pasquino e Detti, indi Don Procopio ed Ernesto, in fine Coro di servi. Pas. Il colonnello. And. Venga pur (a Pas.) Siamo intesi (a Bet.) Pas. Signori! And. Favorite, e permettete Che a questo serio vi stringa qual nipote. Odo. Troppe bontà, ma prima saper vorrei Se la cara sposina Di tale nozze è contenta. And. Non c’è da dubitar; presto parlate (a Bet.) Bet. Non merito tal onore che ora mi fate: Contentissima... (fingendo indifesa) And. (Brava nipote.) Parleremo della dote... Odo. Ora non serve. È tempo ancora per questo. Euf. (Uniteli... andiamo... fate presto.) (piano a D, And.) And. Via datevi la mano... Bet. Eccomi pronta. Odo. (Alla fine sei mia!) Bet. (Oh me felice!) Pro. (entrando) Non mi posso salvare.
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French Take Town of Corfy
PARIS.—The French last night captured the town of Corfy, on the front southwest of Soisson, the war office announced this morning.
In addition, the French have secured complete possession of the town of Corfy with its railway station and complete railway equipment. The French troops have also captured Chateau and the farm of St. Paul, south of Corey.
The gains made are of great advantage to the French.
British Improve Their Positions
LONDON.—Local operations last night south of the Somme and east of Villers-Bretonneau, resulted in substantial improvement of the British positions, the war office announced. Germans bombarded, somewhat heavily, the British positions at Amiens and on both sides of the Somme river.
Say Czar's Son Assassinated
LONDON.—Swedish newspapers publish a statement made by a Swede of Nicholas Bolsheviki soldier who has just returned from Moscow, that Alexis Romanoff, son Romanoff, former Russian Emperor, has been killed by a bomb, says the Exchange Telegraph dispatch from Copenhagen.
103 Names in American Casualty Lists
WASHINGTON.—There are 103 names in the casualty lists for yesterday killed in action, 6; died today. The American army list contains 68 names, of wounds, 10; died of disease, 2; wounded severely, 26; wounded slightly, 1; missing in action, 23.
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In dit verband zij er op gewezen, dat de geldmarkt in den jongsten tijd behalve door de aflossingen op handelscredieten ook werd gevoed door de door De Nederlandsche Bank overgenomen posten goud en buitenlandsch bankpapier, wat dit laatste betreft ten minste voorzoover de overdracht direct aan De Nederlandsche Bank plaats vond en niet aan een deviezenbank. De goudvoorraad is in de week, eindigend 5 Augustus, weer met ruim 7 millioen gestegen.
De ruimte van de geldmarkt uit zich tevens in een daling van de bij De Nederlandsche Bank gedisconteerde wissels (andere dan het rechtstreeks ondergebrachte schatkistpapier) en van de beleeningen.
Vermelding verdient het verschijnsel van de stijging der biljettencirculatie met 10 millioen, waardoor de omloop thans tot een recordhoogte is gestegen.
Op de wisselmarkt blijven de omzetten om de reeds in onze vorige overzichten vermelde redenen zeer gering. De werkingssfeer van den wisselhandel als schakel in het internationale betalingsverkeer is overigens wederom ingekrompen. Met België werd een clearing ingesteld, die een onderdeel uitmaakt van de Nederlandsche-Duitsche en ; de Duitsch-Belgische clearingen, terwijl, wat Zweden betreft, een autonome clearing — natuurlijk als overgangsmaatregel bedoeld — werd ingevoerd. Men mag aannemen, dat het clearingapparaat zich meer en meer zal uitbreiden, zoodat de wisselhandel tenslotte tot minimale proporties zal ineenschrompelen.
De beurs is nogal wisselvallig geweest. Van een duidelijke en uitgesproken tendens is noch voor obligatiën noch voor aandeelen sprake geweest. Alleen voor verschillende zuiver Nederlandsche industrieele bedrijven, waarvan de grondstofvoorziening geen acuut gevaar dreigt te loopen, was een gunstige stemming te constateeren.
500
ECONOMISCH-STATISTISCHE BERICHTEN
14 Augustus 1910
DE NEDERLANDSCHE KATOENINDUSTRIE IN DÈ JAREN 1938 EN 1939.
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Wieczorem, gdy wszyscy położyli się już
do snu, my ws dwóch oddaliśmy się nie
zwyczajnemu zajęciu, Odszukaliśmy w izbie
swej spory kwadrat, wycięty w deskach
podłogi. Po wyjęciu gwoździ, siedzących
dość luźno i po dźwignięciu desek, zoba
czyliśmmy czworobok dość głęboki, w któ
rym leżała skrzynka z czarnego drzewa,
inkrustowana pięknie złotem, o świetniej
szym bodaj blasku, niż złoto zwyczajne.
Na srodku wieka znajdowała się ozdobna
wiająca krzyż i różę. |
Przy wydobywaniu skrzynki przez jakąś
szczelinę wysypała się odrobina czerwonego
proszku. Ze zdumieniem podniosłem oczy
na Sędziwoja. Wzrok nasz rozumiał się.
Trzymaliśmy w rękach jeden z najwięk
szych skarbów świata i połączyło nas teraz
z sobą posiadanie jednej z największych
jego tajemnie!
XXVII.
Mało wiedziałem do owej pory o prze
szłości Sędziwoja. Widziałem tylko, iż pod
pisywał się niekiedy „de Sądecz Sendigo
vius*, Wykształcenie jego, które nabył naj
pierw w akademji krakowskiej. później na
niejednym uniwersytecie zagranicą, stosunki
i znajomości z pierwszymi panami w kró
lestwie, majętność pierwotnie bardzo zna
czna, pozwalały mi domyślać się znakomi
tego jego pochodzenia. Równocześnie jednak
to, iż trzymał się zdaleka od ogółu szla
checkiego i cierpkość, z jaką nieraz o nim
się wyrażał, zastanawiały mnie nieraz, Do
myślałem się w żywocie jego jakiejś ta
jemnicy, zbyt eeniłem go jednak osobiście,
by badać ją, nie znał jej też napewno nikt
inny z jego otoczenia.
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On the south side of the house the eye wanders
down a lovely glade, to which Miss Thackeray
makes reference when she says, " There is a photo-
graph I have always liked, in which it seems to me
the history of this home is written. It was taken
in the green glade at Farringford. Hallam and
Lionel Tennyson stand on either side of their
174
FARRINGFORD.
parents, the sun is shining, and no doubt the thrushes
and robins are singing and fluttering in the wind-
blown branches of the trees, as the father and mother
and the children come advancing towards us."
Close to this glade grow some of the poet's rarest
trees, one of the most interesting being
the waving pine which here
The warrior of Caprera set.
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Gisela Mauermeyer ist nun schon lange eine der zuverlässigsten besten deutschen Leichtathletinnen - möchte sie solche Form an den olympischen Tagen erreichen! Die Nächsten lagen immerhin weit zurück. Mollenhauer, die recht bewährte Eimsbütterin, wurde mit 41,92 Meter Zweite vor Hagemann - Kassel mit 39,81 Meter. Ein 14jähriger Rekord wird überboten! Ein weiterer deutscher Rekord stürzte dann, der das (auch er überbot den bisherigen Rekord!) Zweite vor Drechsel - Thalheim, dem vorjährigen Meister (14,82 Meter). Long springt 7,82 Meter — Europarekord! Ludwig Long, der hervorragende Leipziger Weitspringer, löst den diesmal nicht in bester Form sich herausfindendem Leichthimmel (Reichsheer) in der deutschen Meisterschaft ab. Der Leipziger SC.-Mann, dessen prachtvoller Stil immer wieder beeindruckt und dessen Leistungsvermögen mit seinem neuen Rekord noch kein Ziel gesteckt sein dürfte, schaffte 7,82 Meter — das war nicht nur deutscher Rekord (bisher 7,76!), das war Europahöchste Leistung und liegt dicht bei den phantastischen Weiten der amerikanischen Neger! 7,82 Meter - Long schaffte sie am Sonnabend bei ihrem letzten Sprung, bei dem man ihn nach seinem lockeren Anlauf wunderbar ab-springen und durch die Luft schnellen sah. (7,61 - 7,52 - 7,58. - (7,48 - 7,65 - 7,82 Meter). Es war zugleich der letzte Sprung des Tages überhaupt. Und wenn der Leipziger in der Hocke nicht etwas nach hinten gefallen wäre, vielleicht, dass die 8-Meter-Grenze gestreift worden wäre. Hinter Long wurde Feldwebel Leichthimmel Zweite mit 7,47 Meter vor Wehtm. Bäumle - Reichsheer mit 742 Meter. Aßmus (VfL Halle 96), der im Dreisprung, den der Zehnkämfer Arthur Hölz 1922 mit 14,99 Meter aufgestellt hatte, überbot gestern der noch jugendliche Wöllner - ASC Leipzig, ein vielversprechendes Talent, im Vorkampf um 7 Zentimeter.
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Assassins fled and were pursued by the police, who had been guarding Wilson, on information that his life would likely be attempted. Both assassins were captured and one is reported to have attempted suicide and inflicted serious injuries on himself with his own revolver. The names were given as Connelly and O'Brien. Policeman Marsh, who was near Marshal Wilson when he was fired upon, died later in a hospital, from the wounds.
Implicate Irish Republicans
London—(A. P.)—Scotland Yard stated this evening that correspondence was found in possession of Connelly, one of the men arrested in connection with the murder of Marshal Wilson, proving beyond doubt that he is a member of the Irish republican army.
Says 18th Amendment Bought
Washington—(A. P.)—Renewing his attack on the Anti-Saloon League, Congressman Tinham, republican, of Massachusetts, declared in the house today that the prohibition amendment was bought and paid for, and, according to reports worthy of belief, Wayne B. Wheeler, the league's general counsel, and interests which he controls, "expended from $100,000,000 to $150,000,000 in a series of years preceding its adoption.
Tokyo, (A. P.)—The Yap treaty with the United States was approved by the privy council and the prince regent here today.
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333
Pero en la lancha luego a vela y remo
A tierra fué con treinta j dos soldados^
Briosos eran todos por estremo
T de lucientes láminas armados:
A donde vais cosarios que ya os temo,
No saltéis en la Playa descuidados,
Que en ella hallaréis otros mayores
Infidos cual yosotros, y traidores.
Pero que digo yo no es necesario
Avisaros según aquel proverbio,
Que dice, de cosario va a cosario,
Mas mirad que es el bárbaro soberbio:
Las armas trae sangrientas de ordinario
Por ser el duro brazo y fuerte nervio
De la provincia indómita araucana
Segada con la sangre castellana.
Mas ya que sois los unos y los otros
Tan sutiles en cautelosos artes,
Y enemigos mortales de nosotros
La victoria de Dios a entrambas partes:
Y ninguna jamas tengáis vosotros
Contra los Españoles estandartes.
Ni el redentor del mundo tal permita
Que triunféis de su ley santa y bendita.
Lle^ó Simón de Cordes con su gente
A Lavapié, provincia populosa.
Poblada toda de la mas valiente
Que produce esta tierra belicosa:
No saltó en ella asi tan raudamente
Cuanto la vuelta fué de presurosa,
Que Antemaiden no quiere ver en ella
De estrangera nación señal ni huella.
334
Como a la lancha vi¿ venir a tierra
Pensando que eran nuistros castellanos.
Juntó de los mas prácticos en guerra
Cuatrocientos valientes Araucanos:
Cuando en ella los vio con ellos cierra,
Pero los miserables Luteranos
Con el temor que en verlos recibieron
Mas que de paso al barco se volvieron.
Estando dentro de ¿1 y mal sesuros,
Dijeron medio en lengua castellana
A los traidores, bárbaro^ perjuros.
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Dès ses premières visites, il la trouva presque toujours seule, et il ne s'en étonna pas trop, la devinant assez déjà pour comprendre de quelle grande difficulté devait être, à une femme aussi fière, mais déclassée, le recrutement de ses relations présentes. Plus tard, il apprit qu'elle recevait secrètement, et le matin, une de ses amies du monde, restée fidèle malgré les préjugés que professe l'hypocrisie des salons pour les fautes déclarées. Élie apprit encore que Gérard avait déjà essayé d'introduire dans cet intérieur abandonné deux de ses anciens camarades. Mais ils avaient déplu à Claire par quelques-unes de ces imperceptibles fautes de tact, auxquelles les femmes sont rendues d'autant plus sensibles par les délicatesses d'une situation moins officielle. Elle en était donc arrivée à vivre dans le silence luxueux du petit hôtel, presque sans aucune sorte de société, car on pouvait à peine donner ce nom à trois vieilles gens, apparentés à elle de loin et pauvres, – une dame veuve et deux vieux garçons, – qui surgissaient une fois par semaine vers l'heure du dîner. Quant à Gérard, il n'était pas besoin d'un grand effort d'observation pour constater qu'il appréhendait les monotonies du tête à tête. Sous un prétexte ou bien sous un autre, il sortait le plus souvent pour toute l'après-midi. Et Claire passait des journées entières enfermée dans le petit salon bleu qui devint si vite le centre du monde pour Laurence ! Avec l'espèce d'égoïsme naïf qui est celui de beaucoup de maris, – égoïsme que relevait dans la circonstance une estime justifiée pour la loyauté de Claire, – Gérard prit bientôt l'habitude d'utiliser les assiduités de son ami au profit de ses désirs d'indépendance : « Élie vous tiendra compagnie, dit-il à Mme de Velde ; vous êtes tous les deux de la race des chats... vous vivriez immobiles dans un coin de la chambre... Moi, je suis comme les lévriers, il faut que j'aime et que je vienne... » Claire inclina la tête sans répondre ; Élie s'excusait, puis il restait.
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"A song, a song from Captain Lawton!" cried two or
three of the party in a breath, on observing the failure of
some of the points of good-fellowship in the trooper; "si-
lence, for the song of Captain Lawton."
"Gentlemen," returned Lawton, his dark eyes swimming
with the bumpers he had finished, though his head was as
THE SPY. 217
impenetrable as a post, "I am not much of a nightingale,
but, under the favor of your good wishes, I consent to com-
ply with the demand."
"Now, Jack," said Sitgreaves, nodding on his seat, "re-
member the air I taught you, and — stop, I have a copy of
the words in my pocket,"
" Forbear, forbear, good doctor," said the trooper, filling
his glass with great deliberation; "I never could wheel
round those hard names! Gentlemen, I will give you a
humble attempt of my own."
"Silence, for Captain Lawton's song!" roared five or six
at once ; when the trooper proceeded, in a fine full tone, to
sing the following words to a well-known bacchanalian air,
several of his comrades helping him through the chorus
with a fervor that shook the crazy edifice they were in:
Nov push the mug, my jolly boys,
And live, while live we can ;
To-morrow's sun may end your joys.
For briefs the hour of man ;
And he who bravely meets the foe
His lease of life can never know.
Old mother Flanagan
Come and fill the can again ;
For you can fill, and we can swill.
Good Belty Flanagan,
If love of life pervades your breast,
Or love of ease your frame,
Quit honor's path for peaceful rest.
And bear a coward's name ;
For soon and late, we danger know.
And fearless on the saddle go.
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La cavalerie, la garde russe et les cuirassiers autrichiens se précipitèrent par leur gauche sur notre droite, s'emparèrent de Dœble et vinrent caracoler autour des carrés du duc de Bellune. Le roi de Naples marcha avec les cuirassiers de Latour-Maubourg et chargea la cavalerie ennemie par la gauche de Warandë, dès lors que la cavalerie polonaise et les dragons de la garde des princes, commandés par le général Lort, chargeaient par la droite. La cavalerie ennemie fut défaite ; deux régiments entiers restèrent sur le champ de bataille. Le général Letort fit 300 prisonniers russes et autrichiens. Le général Latour-Maubourg prit quelques centaines d'hommes de la garde russe. L’Empereur fit sur le champ avancer la division Curial de la garde, pour renforcer le prince Poniatowski. Le général Curial se porta au village de Dudits, l'attaqua à la baïonnette, le prit en un coup de fer et fit 1100 prisonniers, parmi lesquels s’est trouvé le général en chef Mercy. Les affaires ainsi rétablies à notre droite, l’ennemi se mit en retraite, et le champ de bataille ne nous fut pas disputé. Les pièces de la réserve de la garde, que commandait le général Dionot, étaient avec les tirailleurs ; la cavalerie ennemie vint la charger. Les canonniers rangèrent en carré leurs pièces, avaient eu la précaution de charger à mitraille, et tirèrent avec tant d'agilité qu'en un instant l’ennemi fut repoussé. Sur ces coutés faites, la cavalerie française s'avança pour soutenir ces batteries. Le général Maison, commandant une division du 5e corps, officier de la plus grande distinction, fut blessé. Le général Latour-Maubourg, commandant la cavalerie, eut la cuisse emportée d’un boulet. Notre perte dans cette journée a été de 1800 hommes, soit tués et blessés. Ce n’est pas exagérer que de porter celle de l’ennemi à 6000 hommes. On ne saurait trop faire l'eldge de la conduite du comte de Narbonne et du prince Poniatowski dans cette journée. Pour donner au dernier une preuve de sa satisfaction, l’Empereur l'a nommé sur le champ de bataille maréchal de France, et a accordé un grand nombre de décorations aux régiments de son corps.
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Paris, qui fut le paradis des vagabonds, deviendra leur enfer; les déclassés devront secouer à ses portes la poussière de leurs souliers, en s'écriant : — Ingrate patrie, tu n'auras pas nos os! Et quelque part il se fondera une ville qui bâtira, expressément pour eux, des quartiers noirs, interdits au soleil, des ruelles bien étroites où la boue et les tas d’ordures auront inamovibles, ou l’on en tendra la nuit des cris et des rires sataniques, où parfois, au matin, le ruisseau sera rouge, où la loque sera reine, où la semelle crevassée, où le chapeau défoncé seront les insignes vénérés du maréchalat de la bohème. Et le plus curieux, c’est que, pleurant ses proscrits, Paris organisera des trains de plaisir pour les aller revoir. Nous aurons le regret, hélas ! trop tardif, de l’horrible, la nostalgie de l’abominable; les artistes pleureront leurs modèles stupéfiants et leur offriront de l'or pour qu’ils daignent revenir, ne fût-ce qu’une heure, poser dans leurs hôtels de la rue de Montmartre, et ces malingres dont Eugène Sue et Dumas furent les Homères et dont Callot et Doré furent les Raphaels, en leur orgueil doublé de légitimée rancœur, repousseront dédaigneusement ces offres intéressées. Et nos petits-fils verront cette chose si mystère : Paris peuplé de gens correctement habillés, faisant leurs trois — voire même leurs quatre — repas par jour, ayant le teint fleuri et l'haleine fraîche ; plus d'ivrognes bizarres, zigzaguant en mâchant des vocables insensés; plus d'étonnants Laquais déambulant leur éternelle course le long des murs. Oui ! nos enfants connaîtront Paris désespérément propre, coquet et odorant ; et à qui la faute, je vous le demande, sinon à ces maniaques d’humanitarisme et de progrès qui mènent, sans souci de nos satisfactions artistiques, une guerre acharnée à la misère, au choléra, au crime, en un mot à tout ce qui peut rompre un peu la monotonie de notre navrante existence. Voici que ce sacrilège vandalisme s'attaque à l’une des dernières et des plus respectables citadelles des mystères parisiens, j’ai nommé Montmartre.
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A di 10, a hora di compieta, i turchi hanno dato lo asalto al belguardo di Santo Athanasio, e la maggior parte erano mamaluchi, e mediante lo aiuto divino, i nostri li hanno rotto la testa, e furono morti di loro, con l'artiglieria, schioppetta e fochi artificiali, per stima da 500 il più, come abbiamo poi saputo da uomini mirali dentro. Di nostri fu morto solum uno frate e uno cannone e feriti da loro. E lo presente giorno, passato mezzogiorno, lo reverendo signor capitano generale fra’ Gabriele da Martinengo, essendo sopra lo strongholds di Spagna a guardare, fu ferito da uno schioppetto dentro del pino dell'occhio e passa appresso della orecchia; la quale ferita ne farà gran danno. Che Dio lo liberi presto per sua santa grazia.
A di 12, alle ore 3 del giorno. I turchi vennero a assaltare lo strongholds di Santo Athanasio, e furono respinti con lo aiuto di Dio. E prima all'aurora, turchi messi fuoco ad una mina al forte belguardo e non hanno fatto danno alcuno, per aver sborato, per li rimedi facili per lo reverendo signor capitano; e poi vennero come ho detto a darlo assalto, e durò il combattimento ore 2 in sera, e li nostri li hanno rotto la testa e preso due bandiere, la una con lo scudo del Mahometo sospeso.
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Thirty-four establishments, $2.50 per cent of the employees participating were other than executives, clerk, or salespeople of thirty-seven establishments. 1 per cent reported 50 per cent or more of their employees participating. The number of firms, conducting a limited profit-sharing plan is very large. Of seven, reporting, almost all bar the wage earners or manual workers in eighteen establishments approximately 1 per cent of the panic-tatine employees were executives, clerks, or salespeople in the establishments, the proportion of participants was less than 1 per cent of the number employed. There are also bonus and stock-purchase plans, which are not properly speaking, profit-sharing plans, under which payments are made on a percentage of earnings, based on length of service, etc. These various plans have resulted in more satisfactory relations between employers and employees, but employers are not agreed as to the results achieved with reference to increasing the individual or collective effort of employees. New York women say they are not needed to prove to them that they are worth while. The fact that women who prove to us that they are worth while are not worth while. Men came the glad day in the garden. The king, the king, and the king, were there. We naven't heard much of the crown prince since he took Verdun. SEEN ON THE SIDE The king, the king, and the king, were there.
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" Isn't it good of Uncle Robert ? he says he shall feel quite
comfortable as long as you and Katie are with me. In fact I
feel quite responsible already, like an old dragon in a story-
book watching a treasure."
" Tes, but what does Katie say to being made a treasure of ?
She has to think a good deal for herself ; and I am afraid you
are not quite certain of being our sole knight and guardian be-
cause Uncle Robert wants to get rid of us. Poor old uncle ! "
" But you wouldn't object, then ? "
'' Oh, dear, no — at least, not unless you take to looking zjs
286 TOM BEOWlSr AT OXFORD,
cross as you did just now in our lodgings. Of course, I'm all
for dragons who are mad about dancing, and never think of
leaving a ballroom till the band packs up and the old man
shuffles in to put out the lights."
" Then I shall be a model dragon," said Tom. Twenty-four
hours earlier he had declared that nothing should induce him
to go to the balls ; but his views on the subject had been greatly
modified, and he had been worrying all his acquaintance, not
unsuccessfully, for the necessary tickets, ever since his talk
with his cousins on the preceding evening.
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This excited universal disgust and resistance among the clergy. The
majority declined constituting themselves as a party, and acknowledging
the emperor as judge between them and the protestants. They declared
that they had nothing new to propose ; they had simply adhered to the
imperial edict ; if the emperor was in want of a charge to bring against
the reformers, let him resort to that of contravention of his. edict. Nay
more ; as it was the immemorial custom that the emperor should accede
to the sentiments of the assembly of the empire, they were of opinion that
he should now adopt their cause as his own. This was, in fact, requesting
him to use his imperial power in this affair with the advice of the electors,
princes, and estates of the empire. It was a matter of perfect indifference
to them, that this was at variance with the express words of the convoca-
tion, since they were not the authors of it. The emperor was, in fact,
compelled to relinquish his idea of a judicial mediation.
It has been usually asserted that traces are to be found of personal and
independent negotiations between the emperor and the protestants at
this diet. The fact however is, that from this moment, the whole business
was conducted by the majority of the States. Concerning the minutest
point — e.g., the communication of a document — the emperor was com-
pelled to hold a consultation with them ; he acted at last only as they
deemed expedient.
It is much to be regretted that we have no protocols of the sittings of
the catholic majority ; we do not even know whether any were drawn up.
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dactilici varietatis. Mox idem
productioris. HEUS.
t aut ii/em] Ita MSS. pro ii-
dem. Et Priscianus lib. VII. p.
737. testatur, veteres idem et
isdem per unam i scripsisse, quia
nulla confusio fit significationis.
HEUS.
K inter se juncti] Uterque Pa-
ris. inter se conjuncti. HEUS.
k contentos oportebit] Paris,
sec. contemptos : Guelpb. con-
temptos oportevit. HEUS.
1 cum quantamvis subtilitatem]
Ita conjecturam secutus nunc
edidi, quum in codicibus esset.
cum quanta vis suptililate ingenii
et scribendi adsiduitate. HEUS.
k explere facile atque instau-
rare possit] Guelpb. explere facile
atque in istantia res possit : Paris,
pr. expleri facile atque instaurari
possit : alter, explere facile atque
instantia possit. His inter se
comparatis non difficile fuit ve-
ram scripturam deprehendere.
HEUS.
• cumque ea in re in qua] Lo-
cus adflictus et a codicum auxilio
destitutus hac medicina fortasse
recreabitur : cumque ea in re
numquam finis esse possit repe-
rienda novitatis, aut dulcedinis
alicujus. Eam sententiam Mallii
fuisse, vel inde intelligere mihi
videor, quod infra cap. XI. 17.
Ea enim in re, inquit, qua ipsa
per se infinita sit, novum aliquid
reponendi constitui finis non po-
test. HEUS.
m proxima definitio visa est]
Ita emendavi ex utroque Paris.
CAP. V.
De metro Iambico.
548
ubi proelia conseruntur, altero clarorum hominum vita atque
fortuna n scena personat. Atque idcirco 0 utriusque contextio j
in earum rerum, quse sunt maxinue, expressione ac declara-
tione versatur. Recipit vero metrum iambicum hexametrum 3
pedes hos: iambum locis omnibus, tribrachyn locis omnibus
P praeter novissimo, spondium, dactylum et anaptestum locis
tantum inparibus, pyrrhichium loco tantum ultimo. Hujus
exemplum :
'I Ibis Liburnis inter alta navium.
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An explanation of the way in which God's Spirit may
be thought of as giving help to man's spirit may be
ii GOD IN ACTION 31
found in another Essay in this book. 1 Our point here
is that the help does not originate in man, nor is it
planted in man, like a seed, and left for him to
develop and increase by his own efforts. Man can
help himself, of course ; he can do a great deal for
himself in every way ; he is a centre of life — which
means, of origination, of the choice of experience, of
purpose, of effort. All this he is by God's initial gift
of life. A sea-anemone on a rock is a definite centre
of life, and has within itself certain powers ; but the
tide which comes twice a day to bring it all that it
requires for life is something other than the anemone ;
and yet, illimitable as is the onrush of the ocean over
the small life, it brings to that small life only just
so much as the creature can or will assimilate. It
puts forth its richly-coloured tentacles in the trans-
lucent flood, and lives by what it can catch of the
water's wealth. So is the action of God's Spirit on
the soul of man ; it is something other than his own
action. Salvation flows over him always — a warm,
illimitable river of life. Man takes from it, if he
will, what he can, and what he can must ultimately
depend upon what he will.
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I hope you will write by Thompson and send me the Journal, if you have com-
pleated it — Remember me to the sweet Jewels — and to the Gentlemen of the Athenian
Society, ask Evil, why he did not ***** answer his Letter wrote to him by
Voorhees
NB, Excuse the bad
writing as I am in I am dear Bogert yours,
haste and my Pen very bad
S^dont forget the Journal. John Stagg Junr.
I wish I was at brunswick again
— Oh! Dear Bectcy
II To
Mr. John Bogart
Student in Queen's College
To tho Care at Nth Branch
of Sir. Samuel Wa ll Ki H June 29th 1776.
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Competition of the T? e^xxxfeJL Stores mt Cor. Third and Broad Sts.
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Nous savons bien qu'en se donnant comme inspirés, Numa et Mahomet étaient des imposteurs. Nous savons également que nos libres-penseurs qualifient du même titre le législateur hébreu. Mais sans nous arrêter ici à démontrer comment Moïse disait vrai en attribuant à Dieu le Décalogue et comment Numa et Mahomet mentaient en assignant la même origine à leurs lois, qu'il nous suffit d'établir par ces trois faits le besoin qu'ont les hommes de regarder les lois comme ayant un caractère sacré et un reflet divin.
Les législateurs, quelque soit leur nom, devraient donc, dans l'accomplissement de leur mandat, dans la rédaction de leurs lois, ne pas rompre avec le ciel, ne pas se détacher de Dieu, mais au contraire, ils devraient être pénétrés de cette parole qui donne à leur mission, à leurs fonctions, tant de grandeur, de dignité et de noblesse : c'est par moi que les législateurs font des lois sages.
Nos anciennes chambres paraissaient sentir et comprendre cette vérité, quand, à l'ouverture des sessions, elles commençaient leurs travaux par un acte religieux et en appelant sur elles les bénédictions du ciel.
On a, depuis longtemps, mis cet usage de côté. Nos chambres et leurs fois y ont-elles beaucoup gagné ? Le passé l'a fait voir et le présent le montre tous les jours.
Et quel rayonnement auguste ne jaillit pas de cette doctrine sur la personne même des législateurs ! Ah ! la foi agrandit tout, ennoblit tout, tandis que l'impiété et l'incrédulité rapetissent tout, abaissent tout, avilissent tout. C'est la chenille qui salit et empoisonne de son venin tout ce qu'elle touche.
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Je connais la France et je ressens pour elle les plus grandes sympathies, parce qu’elle a versé tant de sang pour notre indépendance, et je ne pourrai jamais croire que le gouvernement français puisse se placer sous la tutelle d’un parti qui veut détruire notre unité. La France est la gardienne jalouse des idées modernes, qu’elle a fait triompher dans le monde entier. Nous ne pouvons voir un péril dans la France : la France moderne voit dans l’Italie un élément de force. La France ne peut se retourner contre elle-même et défaire son plus bel ouvrage. Nous ne devons donc pas nous préoccuper le moins du monde des menées cléricales contre nous; elles ne prouvent que leur impuissance. Nous le verrons dans les élections générales qui auront bientôt lieu. Le gouvernement italien a foi dans la liberté. Depretis. — Je demande la permission d’ajouter quelques paroles. Le gouvernement italien est non-seulement tout à fait étranger à ce qui est arrivé récemment en France, mais cet événement nous a surpris à l’improviste; au premier moment, il nous a fortement préoccupés. Il est fâcheux que cette discussion, même limitée à quelques paroles, se soit égarée, car ces dialogues entre deux parlements et deux gouvernements à travers les Alpes sont dangereux. Nous n’avons pas le droit d’entamer une telle discussion, parce que nous serions décidés à protester contre de semblables discussions chez d’autres. L’Italie a traversé heureusement bien des épreuves, grâce à la loyauté de son roi, le bon sens de son peuple et l’aide de Dieu. Les déclarations faites par le président de la République sont rassurantes; les événements peuvent changer, il est vrai; je ne nierai pas qu’il y a un réveil de la passion religieuse associée à la passion politique; la seule qui se fait de la religion une arme de pouvoir mondain est notre ennemie et pourrait devenir fatale en s'asseyant un jour au gouvernement; mais, à ces périls, nous opposerons la loyauté de notre conduite et notre foi dans la liberté et dans les gouvernements civils. Nous aussi nous avons une religion qui a de nombreux fidèles: c’est celle de la civilisation; et ces fidèles, au jour du péril, seront tous nos alliés. Notre autre alliée sera la nation française.
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As the men exchanged opinions, " Freezers " appeared
solitary creatures — isolated monuments of awe-inspiring
goodness and purity, and I felt thankful that circum-
stances had made me only the Little Missus — a woman,
down with the bushmen at the foot of all pedestals, needing
all the love and fellowship she could get, and with no more
goodness than she could do with — just enough to make
her worthy of the friendship of " rough chaps Uke us."
" Oh well," said the traveller, when he was ready to
start, after finding room in his swag for a couple of books,
10
146 We of the Never-Never
" I'm not sorry I struck this camp ; " but whether because
of the cabbage, or the woman, or the books, he did not
say. Let us hope it was because of the woman, and the
books, and the cabbage, with the cabbage placed last
Then with a pull at his hat, and a " good-bye, ma'am,
good luck," the man from Beyanst rode out of the gundy
camp, and out of our Uves, to become one of its pleasant
memories.
The man from Beyanst was our only visitor for the
first week, in that camp, and then after that we had some
one every day.
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Misses Dorothy and Blossom Scarborough, of New York, and Texie Campbell, of Banklin, are guests of Mrs. George M. Daniel at Westhampton. Little Miss Katherine T. Robertson is visiting her parents at Pine Ridge Farm, near Raleigh, N.C. Mrs. Parke Register and her children, of this city, are guests of Mrs. Gister's sister, Mrs. Henry C. Warner, in Orange. Miss Margaret Unity and Elizabeth Hart, who have been attending the Washington College in Washington, are spending the holidays with their parents on North Laurel Street, accompanied by their grandmother, Mrs. M. A. Poe. Mr. John Jacobs, of Richmond, has been recently guest of his parents, Mr. and Mrs. B. H. Jacobs, in Orange. Miss Julia Goodloe has returned to Huntsville, after attending the finals at the Hill and Mary College and spending a few days in Richmond. Miss Beatrice Ashley, of this city, has been spending several days with Eva Daughan, of Montpelier. Mr. T. K. Roberts and Miss Spotts, of Chase City, have returned to their home, after a short visit. Mr. J. Thomas Taylor and his daughter, Miss Sallie Taylor, are at Woodford for the summer. Mr. and Mrs. Turner Healy, of this city, have been visiting relatives in New York. The news County.
Mrs. Alfred Thomas Trafford left last week for a visit to Atlantic City, Mont., and New York. Mrs. George D. Lambeth and Mrs. Wood Alcocke are guests of Mrs. Monfort, at Hannontown, N.J. Mrs. Kate Eubank is visiting relatives at Pleasant Field, Hanover County. Dr. and Mrs. A. J. Parrish and family for Gordonsville, where they spend the summer.
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Entrambi i fratelli Antonino e Giacomo, essendone andati in Alcamo, addirittura il 25 di gennaio del 1545 pubblicamente si obbligarono, tramite un Angelo Oliveri, procuratore della confraternita dell'Annunziata, per il lavoro di un gruppo in marmo dell'Annunziazione di Nostra Donna, da dover consistere in due principali figure di essa e dell'angelo, alte ciascuna sei palmi e mezzo in circa, stando sopra una base adorna di serafini e con in mezzo un vaso con un giglio, oltre il consueto leggio col libro di sopra, e nella parte superiore il Dio Padre fra una corona di serafini e con la simbolica colomba del Paracleto. Era da farsi il tutto giusta il modello, che già gli scultori ne avevano fornito; ed anzi è notevole, ché essi scolpire dovevano quell'opera in Alcamo, dov'erano a venire i marmi, cominciando dal 10 del febbraio seguente, per darla indi finita per tutto maggio; e ciò per il prezzo di once sessantacinque: onde lor si doveva apprestare alcun luogo opportuno al loro lavoro ed il letto per dormire, durante il loro soggiorno. Né v'ha dubbio che il tutto fu puntualmente adempiuto, laddove non più tardi del 5 di giugno è poi documento, per cui l'Oliveri dichiarò aver ricevuto da Giacomo Gagini, essendo assente il suo fratello Antonino, le sopraddette figure già collocate con tutti i loro accessori; e Giacomo in vece, riscotendo once ventisette in seguito ad altri anteriori pagamenti, si disse saldo per intero del prezzo di once sessantanove, giacché altre once quattro vi si erano aggiunte per la doratura e coloramenti di quelle. Sorsero esse pertanto sull'altare della maggior tribuna nella chiesa del Carmine in Alcamo, dove aveva sede co' frati Carmelitani l'anzidetta confraternita e dove il migliore artistico effetto aggiungeva all'antica e augusta architettura del tempio, che con l'annesso convento era ben da contarsi fra i più pregevoli sacri edifici dell'isola. Ma poi, espulsi i frati a' di nostri, minata quella chiesa e mutato in caserma il convento, il pregiatissimo gruppo dell'Annunziazione fu di là tolto, scompostene le belle figure e buttate a giacere in un angolo della pubblica biblioteca alcamese, venendo lasciato in non.
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Malgrado una semi di discordia gettata dai nemici del signor Hardy in mezzo all'associazione di lavoranti stretti fra loro fino a quel giorno da una unione così fraterna, si udivano gli operai cantare allegramente in quasi tutte le camere lungo il corridoio, e Agricolo, passando davanti a molte porte aperte, diceva e riceveva cordialmente il buon giorno salutando molti dei suoi compagni. Il fabbro scese prestamente le scale, traversò il cortile sterrato, erboso e piantato d'alberi, in mezzo ai quali zampillava una fontana d’acqua viva, e passò nell'altra ala della fabbrica. Quivi si trovava il lavoro della biancheria, alla quale intendevano le mogli e le figlie degli operai dell'associazione, che non erano impiegate nella fabbrica. Questa industria unita all'enorme economia proveniente dall'acquisto delle tele all’ingrosso, riduceva incredibilmente il prezzo effettivo di ciascun oggetto. Dopo aver traversato l'opificio della biancheria, vasta sala che metteva sul giardino, bene ventilato nell'estate, ben riscaldato nell'inverno, Agricolo bussò all'uscio della madre di Angiola.
Se descriviamo in brevi parole quella abitazione situata al primo piano, esposta a levante, con la facciata sul giardino, lo facciamo perché il lettore abbia in essa una norma, un'idea dell'abitazione della famiglia nell'associazione, al prezzo sempre incredibilmente limitato di centoventicinque franchi all'anno.
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11) Jtasdtpi 3, 163. 12) pac(« 2, 185.
13) Cwecfi 3, IMt bec JXnfTi 933.
III. jQ. 2. iat|« M
goco^ ein fo(c^e§/ aber tj^rc^ freie SQ3a^( unb nic^t flccn^em
wor in IRorogorob fe^c bcfd;rdnft; bcc ^offabnif, 5>or(lc^et
MC S^rgerfc^aft; ^atte Die %m^\x, in J^dnben; bem 3u4tar
fic^ ?Roroöoro!b nit^t ; wenn bet Surf! bem ©tabtijoffe m\i>s
fiel, ^^^ll^^l^'^^^ ' ^a^ec em cafc^ec SBcc^fei bec $ui3^
Die Srei^eit bec D^on^dorober ^atte unru^tdenunb^emaUt^dtiseit
Atim iur Si^i^^; a(i Opf bec i8elf dieti^ fönten
Miie imt iill^Ibfj^ fSdrscr ihil*f9btilf(cr Hob in Mi
Statinen • aBcft^ow *^)* Slugec D^owgorob flrebte oucf;
^fCott) §iit Sccf^ett empoci (It^ 1137 ouS bcc %^
^ndidfetl 9on H^Wdorob^t ^ Hkft cl loctt (<ntcr tiefem
^urucf. !t)em mittleren unb ftiblic^en ^ug(onb ober bCirb fldbtii*
f;^eif^^ert6iuir0in|nff^fctmt; Mt ISctiM(fii^#ii^^
9lefibfii|oifr $n>ar/ M tm Megcli tct Sürfkn degen euKuitfr
oft 5U ^erfammlungen/ &u iRat^ unb l^at/ veranlagt unl>
mafitm m<in(^ ^SonM^e «ter Mef tiftitt nh^ itnfii
eigenen ©tanb freier SBär^er auö i^nen* @tdbtifcf;er Drtc
14) 6ttar)I 370.
■ 15) 3. ». Äatamfirt 2, 151.' 16) ©fro^jl a. O.
17) «Bcffpfcfc ö^cbt Jtarttmffn % 149. 163. 161. 231. 3,' 142. 215.
im % 1176 9to{iUlatt)g @5()ni baö SSote brilcftea, b«
SBoloren aber ®unft enoicfcn^ murctcn bic-iS(abimtcct uob fo^m:
as^tr finb ja freie ecute* SBir ba^n^ |Mar tiefe ^dcllen luK
Senommen, aUeitt jte \)<Mxi uni sefc^rborcn, und 6d QRcn unfmi
Äec^fcn föffen 2c. ^e^et ölso SBciibcc, wie i^t biffem Ua^
ßeuert tc. ^Sii^xi 3^ 1198. Wm^ji wn^^M^
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Kreise, Wender und 62. Dienstag, den 28. Mai v. Winter am Ende dieses oder Anfang des nächsten Reichland. Berlin, 22. Mai. Das Haus der Abgeordneten erledigte in seiner heutigen Sitzung die auf der Tagesordnung stehenden ersten vier Petitionsberichte fast ohne Debatte durch Annahme der Kommissions-Anträge. — Heute Vormittag trat die ständige Kommission des deutschen JuristenTags, bestehend aus den Herren Geh. Rat und Professor Dr. Wächter aus Leipzig als Vorsitzender, Ober-Tribunals-Präsident Dr. Borne, Justizrat Dorn, Geheimer Ober-Justizrat Dr. Friedberg, Geheimer Justizrat Professor Dr. Heydmann, Stadtrichter Hirschmenzel, Justizrat Volkmar, Stadtgerichtsrat Graf v. Wartensleben, Professor Dr. Bluntschli aus München, Ober-Tribunalsrat Faber aus Stuttgart, Professor Dr. Glaser aus Wien, Professor Dr. Ihering aus Gießen, Oberstaatsanwalt Dr. Keller aus Wien, Oberstaatsanwalt Dr. Schwarze aus Dresden und Hofgerichtsrat Dr. Stößer aus Bruchsal bei einer Beratung über die Vorlagen zum zweiten JuristenTag, welcher in diesem Jahre in Dresden abgehalten werden soll, zusammen. Die Kommission wird bis inkl. den 25. d. beisarrmen bleiben. — Der Magdeburg. Zig. wird aus Berlin geschrieben, dass zwar kein Grund vorhanden sei, gegen den Polizei-Präsidenten v. Zedlitz kriminalliter einzuschreiten, dass aber gleichwohl das Interesse des kgl. Dienstes seine Entfernung vom Amt gebietend fordert und dass auch bereits die Übernahme des Polizei-Präsidiums durch Herrn sten Monats zu erwarten stehe. — Nach Ablauf der kurzen, durch das Fest eingetretenen Ferien nahm das Haus der Abgeordneten heute seine Sitzungen wieder auf. Es stehen nur Petitionen auf der Tagesordnung. Hervortretend ist eine Petition der Handelskammer zu Breslau, betreffend die Regulierung der Oder. Schon im verflossenen Jahre hat das Haus es ausgesprochen und in dieser Beziehung auch einen ausdrücklichen Beschluss gefasst, dass es die Pflicht der Staatsregierung sei, für die Schiffbarmachung der Oder zu sorgen. Es ist indessen noch nichts geschehen. — v. Rosenberg-Lipinsky: Immer so gebe die Staatsregierung, die Lage des Staatshauses halt und Etatskommissionen hier hindernd in den Weg. Handle es sich aber um Ausgaben für das Militär, so kenne man keine Hindernisse. Das sei ein Missverhältnis, das so nicht fortdauern könne.
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Le charran est un garçon de quatorze à vingt ans ; jeune, on l'appelle pillo, mot à peu près synonyme de voyou ; on l'appelle encore granuja, expression locale qui signifie pépin de raisin, et qui entraîne une intention de mépris. Les gamins de Malaga n'ont rien à envier, sous le rapport de l'adresse, aux plus habiles filous de Naples ou de Londres ; nous en avons fait personnellement l'expérience, à bon marché du reste, puisqu'elle ne nous a coûté qu'un mouchoir. Ils sont très inventifs pour s'approprier le bien d'autrui ; on en pourra juger par cette petite histoire locale, que nous rapportons dans toute sa pureté, d'après un Malagueno. Il s'agissait de voler à un brave arriero, descendant de la montagne, une once d'or qu'il avait mise dans sa bouche, dans la crainte des filous. Un dimanche, notre arriero rencontrait à la Puerta de Mar un paysan de ses amis, qui le pressait de l'accompagner à l'église ; le méfiant montagnard refusa, disant qu'il avait une once d'or dans sa faja, et qu'il craignait de se trouver au milieu de la foule. Le paysan insista, lui faisant observer que ce n'était pas une raison suffisante pour manquer la messe, - perder la misa ; - et puis, ajouta-t-il, mets la onza dans ta bouche : elle y sera plus en sûreté que dans ta ceinture.
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3 s En el lado del Evangelio esta escri-
to x : Efi tumulatus jacet Rex inclitus Wam*
ha. Regnum contempsit atino DCLXXX. Mo~
nacbus obiit anno DCLXXXV1L é Coenobio
tramlatus ab Alfonso X. En el lado de la Epís-
tola hay escrito lo siguiente * : Hic jacet tu*
mulatus inclitus Rex Recesvintus 9 Obiit anno
DCLXX1L
t 36 Los quadros del altar mayor de la
Parroquia de S. Marcos son de Juan Bautis-
ta Maino , y en esta Iglesia hay un Crucifixo
de Dominico Greco.
37 En la Sacristía de la Parroquia de
S. Andrés se vé una bella copia de un fa-
moso quadro de Guido Reni , y representa
en figuras de medio cuerpo á Lot con sus
hijas.
•■ 38 La fachada , é Iglesia de las Monjas
Gerónymas, llamadas de la Vida Pobre, es
de buena arquitectura , y en las paredes del
M 3 Pres-
1 El cuerpo del Rey Wanaba foe trasladado á Tole-
do , y colocado en la Colegiata de Santa Leocadia,
fundada por el Rey Sisebutc. Estaba antes en S. Juan
de Pampliega, cerca de Burgos, en donde se dice que
murió retirado.
* Estos dos Sepulcros los reconoció Felipe II , y acá-*
so mandaría poner las inscripciones , que son de bella
'letra Romana*
x 7 4 VIAGE DE ESPAÑA.
Presbyterio hay dos quadritos con unas San-
tas de medio cuerpo, bravamente pintados,
según el gusto de la escuela Romana.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirêm e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais expiraram. A condicião de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você:
• Faça somente uso não comercial dos arquivos.
A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais.
• Evite consultas automatizadas.
Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar.
• Mantenha a atribuição.
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prostytutek. Władze prokuratorskie zakwa
lifikowały ten ostawi projekt jako chęć
b
Sytuacja między laponją a Chinami
bardzo naprężona
Londyn, 13. 6. (PAT). Z Tokio donoszą, że rząd
japoński bardzo poważnie traktuje sprawę tajem
niczego zniknięcia konsula japońskiego w Naniii
nie Kuramoto, który zaginął w ubiegły piątek pó
źno wieczorem w drodze na dworzec w Nankinie.
Rząd japoński stawia ped adresem rządu chiń
skiego szereg żądańi co do gwarancji bezpieczeń
stwa życia i mienia Japończyków w "inach, Rzą::
japoński domaga się również od rządu nankińskie
go zagwarantowania nietykalności konsula Kura
moto, mimo oświadczenii rządu chińskiego, że nie |
utworzenia w Marakesz wielkiego lupanaru.
Według wyjaśnień dep. Falcoz, prostytu
tki te faktycznie przebywały w powyższej
liczbie w Marakesz, a projekt ulokowania
ich w jednejwyodrębnionej dzielnicy miał
na celu ułatwienie kontroli i izolowanie ich
od reszty miejscowej ludności. Dep. Falcoz
twierdzi, że podjął się tej sprawy już w mo
mencie, gdy koncesja była podpisana, i że
nigdy nie interwenjował inaczej, niż w cha
rakterze adwokata.
Sprawozdawca dep. Piot przytoczył argu
menty dep. Falcoz i jego deklarację, że nie
ma zamiaru osłaniać się nietyltalnością po
selską. Wobec tego referent zapowiedział,
zgodnie z postanowieniem komisji, że przed
stawi izbie wniosek o zniesienie nietykalno
ści poselskiej dep. Falcoz.
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Schuld 573/6 ; 4 % # to insatz , Wigner Handels = Ges. — ; span. 5 % 147/6 ; bito 3 % 35½ ; bte dito 31432. 3453 portug. 4 % 365 ; österr. 5 % Mei. — ; dito neue 7756 ; Hei sehr schwer fälligen Hags 3 Volinerhein. Eisenbahn = Act. Gr. anseren iklärungsbeschaffenheit angenehmer. ne ven Bete die Schmunggr Asergrt , sich günstige 8 ; Börsen zehrte beim Bezahm dieser Woche an außerordentlich günstige Stimmung für die meisten Eisenbahn = Actien , und Steigerung : in den letzten Tagen e blühenden Geschäft eine recht erhebliche Rückkehr es kanden schen Tagen gingen dieselben zwar zum Teil merklich schwankend aber, Heute die schlechtere Rente der pariser Rente , welche am Schluss der neunten Session bisher eine höhere Entschädigung für die Spekulations = Effekten , 67½ - — 66 Von Fonds heben auch wohl nicht ohne geschmeichelt zu sein , entgegen. Joseph war entzückt , ein Heerlager der Preußen zu sehen und den Übungen der siegreichen Truppen beizufallen. Friedrich zeigte dem Kaiser auch einige Kunstgegenstände , unter andern die Büsten mehrerer Fürsten aus dem Hause Habsburg. Joseph fand darunter die wohlgetroffenen Marmorbilder seines Vaters und seiner Mutter Kalt und ohne Gemüt , wie Friedrich war , benutzte er den Moment der Rührung , die seinen Gast überschlich. Nicht wahr , sagte er , meine Leute wissen ziemlich gut zu Effekt , gleichviel , ob sie die Muskete oder den Griffel zur Hand nehmen ! Joseph faßte sich rasch. Er sagte : „ Es fehlt auch in Wien nicht an Künstlern und an Talenten , die gut treffen , und was mich angeht , so ist es mein sehnlichster Wunsch , Sire , die Ehre zu haben , Sie einmal ganz niederzuschlagen. “ Der König erwiderte lächelnd , er sei vielleicht schon zu alt , um noch still zu halten , habe schon Falten im Gesicht , und es sei nicht so leicht , ihn zu treffen. Oder will man mich viel leicht nicht bloß treffen , sondern übertreffen ? „ Sire , sagte Joseph , ich bin zu jung dazu. “ Nun lenkte Friedrich ein , es wäre nicht das erste Mal , daß ein Meister von seinem Schüler übertroffen wäre ! „ Ich würde mir Mühe geben , sagte Joseph , meinem Meister Ehre zu machen ! “.
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YOUNG PHILOSOPHER IN UNIFORM
The following is an extract from an authentic letter received by a Belgian father and mother from their son who entered the of 1914 the of 16 a volunteer, was wounded at the battle of Yser and since returned to the front, where he is now or was when this was written in reply to a despairing letter from his parents:
"Do as I do. You must forget the war. Don't think about it at all and just make up your mind that you have somewhere three sons who are all coming back to you safe and sound. This is the surest way not to 'emafardor' as we say. If we should pity ourselves as you pity us, we who are under the direct stroke of the war, we would have been a long time dead and buried. So, no more worrying, eh? Let the war take care of itself, it's something we have nothing to do with."
BORAH SHOWS GOOD SENSE
in an address in New York the other evening Senator William Borah made this statement:
"In my humble judgment the administration has performed a marvelous task. There may have been mistakes of judgment but they are not fundamental or irrevocable. You may rely on congress and the administration to rectify errors that may have occurred. It is a wonder to me that there have not been greater mistakes than have been made."
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ITT 10 mo IN FIGHT
FOR ARMOR-PLATE PLANT
.'inns Asks Council to Appropriate
N.>,?)<:(? for- ICvpnises of
< 'a in pulpit.
\:\\ <;>cncii. is nit<,.\MZKi>
f\v West I .ml I iridic, lievisloii of
f fitl!l?* Laws, lioml Issue for
Stieels aii?] !irou<| Street Viaduct
Measures OllVied ami Kefenetl.
Uc-tci iiiin, ,i tl.iii <Jot!, leave
?tlllllK Ull'loiic will. , ,|l(.
?juis of svciiiu;- | ?,, | i nt< >11 < I the
?upoftcd IV.I ,a! ai-u,..!-,.,,.,.. plant,
'?sill.-lit William II A -lit i:i.4 I:,Sl niullt
<-r?-l. in i|,, Uoar.l ,.| M.l.-nn. n. a
ho In I ion appropriation for t !>.?
'?*?'? 1 i >111111 i 11 <-.? of Inc ? *J t >
?Uli;H. * <!111i111xl, at i\. Hoard ami t In
liaiulur ,,f (*,.mm...\\ 11 f ? -11 is I 11 i i ?? I
in. i t i? I,,.half of tin- < om
tltiltx Heine nffe.,.,1 at a special .?<?:< -
'??? 1 ineasui.- was allowed to 1 ???
trodlie'-il 1111.1,1 a a pension r,f the
!es. ami was |.f.*in-<l (<? tit,- I'll,.!i|i-.?
"iniMitii'i. f,,| i : ami i>r?>m
omla I Joti.
I lie meet in;.; ,.f tli" li | a | >. ? i" bram!i w. s
? I lowed l,\ tii. ti: i i ytllav session
1 'In- Common ?" ?iiit.-il. and iiica?ur<>
trod If. <1 i ml f I a t I I > i <- falters Whirl)
ii \ fa i In iwill u i v.' I li< , i at -
? it lot* durii.t llx- i.?-\t few month-.
Most prominent anions then i.- the
icntioa ,,r the Uunstruvtloii a new
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tjtl. Councilman C. C. .Iouck. of Madl.
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Recidffe jam fator doti i dignitatem ad regnandi cu-
piditatem apparet , ab humilitate ad fuperbiam , J
jejunio ad deliciat prolapfam ; i * difpenfatione de-
nique ad dominium ventjfc . No* enim ut difpenfa-
loret adminiftrare rem volunt , fcd ut domini , fibi
propria venditant . L.J. Ep.xu
XII. Narrat Theodoretus ingens illud & admi-
randum Eremi columen Zenonem , cum patrimo-
nia fua diftrahi julfilfet , & pauperibus ipfcmct ea
ex parte non mediocri diftnbuiflet; jamque fenti-
ret piae largitatis fua curfum morte interceptum
iri Epifcopum loci invitafle, & in ejus manusde-
pofuiiTc; quidquid fibi eleemofynarum fupererat
erogandum, quod omnium incommune pauperum
provifor iit Epifcopus, & procurator. Ade/dum ,
inquit , S venerandum mihi caput , tjlo illarum
quoque pecuniarum optimus difpenfator , eat juxta
Dei voluntatem diflnbuem ,tanquam ipfi judici ra-
tionem redditurus . Harum te de difpenfatorem infli -
tuo , quo & Pontifex et, & Pontificatu dignam vi-
tam agit. Peeuniai ergo vel ut divino quojiori tra-
didit , &e. Hifi. Relig. c. 13. J
CAPUT XXIX.P.2. /.4.f.5.
Res Ecdefix omnes patrimonia efle_.
pauperum , quorum non fint Cle-
rici & Beneficiarii quique nifi dif-
penfatores . Probationes ex Eccle-
fiae Latinx monumentis , ab anno
Chrifti quingentefimo ad feptingen-
tefimum.
I. II. III. IV. Argumenta ex Conciliis Eeelefio Galli-
cane , quo rei Eeelefio omnet addicunt alendit Clf-
neii & pauperibus , redimendis captivis , infiouron-
dit templit . Ad ii excubat in Epifcopot povincia
Concilium Provinciale , quod nonnumquam coit ad
confultandum fuper pauperum nec effit at ibut i precipit t
m Jingulis urbibus, Parochis, Laicit propriat ali pau-
peret . Quibus ita integro funt pauperibus viret cor-
poris , ut manibut operari poffint , nefas ejl ciet -
mofynit eos fucent ari.
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Ala. Aveva pure appreso il disegno, ed io che, come sai, mi dilettavo di quest'arte bella, potei istruirla nel dipingere. Ora, ella ed io abbiamo completato un quadro, in cui sono tratteggiate le sembianze del padre trafitto nella Selva oscura, in quella notte tenebrosa e quelle di un giovane d’aspetto truce, che fu, l’assassino. Alar. Dunque si ricorda la fisonomia di colui. Filau. Ella mi fa comprendere di ricordarla perfettamente. Tu sai che le grandi impressioni ne' fanciulli non si cancellano mai. Indica che era quegli un uomo di confidenza, una specie di segretario che il padre aveva preso da poco tempo in Genova, e che con esso viaggiava, ma che non ne aveva mai udito pronunciare il cognome. Dice pure anche, che da quel momento, non ha più veduto un loro servo chiamato Valentino, del quale si ricorderebbe la fisonomia. Mar. Ed oggi che è l'anniversario della funesta scena, vuole esporre, alla nostra rista il quadro da lei dipinto? Mau. Oggi appunto. SCENA QUINTA. Bah, e delti. Bah. Aggio visto dallo barcone lo corteggio degli sciacallo che venivano col madornale Giulietta. "Vittorio veniva come un trionfo. Che bella cosa! Io sono incantato di quella figliola. Mar. Incantonato! Che diavolo dici? Bah. Incantonato, allungato, schiacciato. Mar. Incantato volevi dire. Bah. Già incantato è più che incantato. Mar. Hai ragione. Ne sono incantato anch'io.
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Hélas ! il n’en est pas de même pour les concours. À cette faiblesse, je dirai que l'on peut en attribuer la cause à l’énorme travail technique qu’il faut fournir plusieurs années durant avant de faire une performance acceptable. Concernant par les cadets. Zorzenonc a gagné le poids une fois de plus, mais avec 13 m. 15 ; où sont les lanceurs cadets ? 15 mètres, distance minimum pour lancer le poids de 5 kilos avec quelque chance de succès au moment du passage du poids cadet au poids réglementaire de 7 kilos. En longueur, Thiry qui a de loin le plus de classe, passe 6 m. 06 ; il est vrai que le sautoir est en mauvais état. En hauteur, 1 m. 65 par Simonet est plus performance honorable; qu’il prenne patience et son temps viendra. MONIQUE BERLIOUX bat le record de France des 100 m. dos. Triple saut. — 1. Marquet (A.S.R.), 1 m. 13 ; 3 Ribetou (L.O.U.), 1 m. 55. Perte. — 1. Orétaline (C.A.S.E.), 2 m. 50 ; 3. Gautheret (E.A.B), 3 m. 50; 3. Victor (Bellay). 3 m 18. Pole. — 1. Braconnot (L.O.U.), 38 m. 14; 2. Jeandeau (C.A.S.E.). 11 m. 59; 3. Durand (E.S.L.). 10 m. 83; 4. Bertrand (L.O.U.), 10 m. 68. Disque. — 1. Crétaine (C.A.S.E.) 41 m. 28; 3. Braconnot (L.O.U.) 38 m. 61; 3. Jo (C. S. O.) 38 m. 37; 4. Auboyer. Les jeunes cadets a vont vite, on le sait. En quelques jets de but, ils liquidèrent donc Jassand puis Vassal. Mais on ignorait qu’ils puissent courir longtemps. Pour un peu, ils jouaient la finasse. Est-ce le soleil trop chaud qui les incommoda à cet moment inopportun ? On l’emporte sur Cauff, Romain Théard et Lachâtre. Les autres en sont au dixième manche, — seizième en dixième manche. La course de Neaufle-le-Châtel se termina avec Lucien Zins la traverse de Troyes. La traversée de Troyes fut la nage disputée cet après-midi a été l’occasion d’un succès facile pour le recordman d’Europe de dos crawlé Zins, premier arrivé de Donhez. 30e au même endroit, “cinquante vous ceux qui partirent fond s’écroulèrent... sol, fatigue”.
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the "helmed cherubim and sworded seraphim hirping in loud and
solemn quire " before the throne of the Almighty I This magnificent
ode is a fitting prelude to the Paradise Lost.
In my remarks upon the dramatic literature of the age of Elizabeth
and James I., I took occasion to speak of that peculiar and exquisitely
fanciful species of entertainment called the Masque, of which Ben
Jonson and other poets had produced such delicious examples. It was
reserved to Milton to equal the great poets who preceded him in the
elegance and refinement which characterize this kind of half-dramatic,
half-lyric composition, while he far surpassed them in loftiness and
purity of sentiment. They had exhausted their courtly and scholar-
like fancy in inventing elaborate compliments to some of the most
worthless and contemptible of princes ; Milton communicated to what
was originally a mere vehicle for elegant adulation a pure and lofty
ethical tone that soars into the very empyrean of moral speculation.
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