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Le bon est que de tout Lisette la console, Et ne lui laisse voir rien d'égal au dessein De vous sauver la vie en lui donnant la main. Elle a si bien tourné son âme irrésolue, Que par elle ou par moi votre affaire est conclue ; On a fait revenir le baron tout exprès. PHILIPIN. Ils sont à disputer encore sur nouveaux frais. J'écoutais tout à l'heure, et d'une ardeur semblable L'un nommait La Rapière, et jurait comme un diable, Et l'autre soutenait que, quoiqu'il fût baron, Sa nièce valait bien qu'il signât le pardon. Léandre feint entre eux d'avoir l'âme incertaine. ORONTE. Il travaille pour nous, n'en soyons point en peine. ANGÉLIQUE. Mais pouvez-vous penser, quand ma tante apprendra Qu'un baron supposé... ORONTE. Le vrai baron viendra. Je vous ai déjà dit qu'arrêté pour affaire, Il n'avait su partir comme il le croyait faire, Et que par un pouvoir que j'ai d'aujourd'hui, Il me donne plein droit de tout signer pour lui. Le voici, dans vos mains il sera l'assurance De l'hymen dont on a flatté son espérance ; Le baron d'Albikrac se trouvant des mieux faits, N'aura pas grande peine à faire notre paix. Il lui faut jusque là cacher le stratagème. ANGÉLIQUE. Mais quand il l'aura vue, êtes-vous sûr qu'il l'aime ? ORONTE. Qu'importe! elle est fort riche, et lui fort endetté, C'est son bien qu'il épouse, et non pas sa beauté ; Pourvu qu'il trouve l'un, il l'acquitte de l'autre. PHILIPIN. Que j'aie aussi mon compte en vous donnant le vôtre. J'aime Lisette. ANGÉLIQUE. Va, nous songerons à toi. PHILIPIN. Après tout, votre amour ne tenait rien sans moi. Avouez que pour vous La Rapière a fait rage. ANGÉLIQUE.
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Cam. Ed è là che posso trovarvi, quando voglia restituirvi la vostra visita? Val. Oh, no... no... io occupo sempre il mio antico quartierino della Chaussée-d’Antin. Cam. Ah... bene... mi procaccero il vantaggio di venirvi a riverire! Val. (fra sì ed esce dal mezzo) Vale a dire: vattene! («Camillo) il vantaggio sarà tutto mio! Cam. (salutando) Signor Valmoreau! Val. Dottore! (s'inchina ed esce dal mezzo.) Cam. (solo) L’uomo che vidi sulla piazza del Carrosello era bene codesto Tellier... ma la donna?... era poi veramente Giannina?... uscì ieri?... Gastone lo afferma, a me parve riconoscerla... ma essa dice di no, Barantin dice di no, mia madre... mia madre dice di no... che tutti debbano mentire così sfruttatamente... anche mia madre?... oh, il dubbio! il dubbio!... ah... ecco il mezzo di uscirne! atto secondo SCENA X. Signora Aubray, Barantin, Camillo. Bar. (da destra, accompagnando la Signora Aubray abbigliata per uscire) Camillo? Cam. (all'Aubray) Esci? Aub. Sì... un istante con Barantin. Cam. Una parola... prima... (a Barantin) con vostra licenza! (conduce sua madre sul davanti e le dice a bassa voce) ti ho promesso stamane di dirti quel nome, se fossi riuscito ad indovinarlo. Aub. Ebbene? Cam. Giacomo Tellier! (L'Aubray trasalisce, vorrebbe parlare, poi, come ricordandosi la fatta promessa, si arresta, va a dare il braccio a Barantin ed esce con lui dal mezzo) Ah, è dunque così... finalmente! (esce). (Cala il sipario.) FINE DELL'ATTO SECONDO. ATTO TERZO Altro salotto, con porta laterale a sinistra, e comune nel mezzo. SCENA PRIMA. Un Servo, signora Aubray, Barantin.
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Espação, que o principio da assimilação pode levar a resultados interrêtos, seguudo a ferma do governo da mãe pátria. Se, por exemplo, tísí metrópole véorar o absolutismo, não havendo littérides indivíduas, nem politicas, nem administradas, âlioil de vêr que a sujecição conduzirá neste calso aos mesmos resnltados que a sujecição. Speyer, La constitution juridique de Vempire colonial enimique, pag. 317 e seg. Billiards Politique et organización económica, pag. 274 e seg. ADUMIRÇÃO COLONUL Se, pelo contrario, a metrópole gosar de loatitoiç5e livres e dama desceatralización que chegue até a federalismo, eotio a assimilação produzirá effetos maito similhaotes aos da aatODomia. No caso da appiicação da assimilação por am pais, como os Estados Unidos, a organização politica doma colónia rednzirse-ba ao estabelecimento de novos Estados federados. E é até no regimen federal que muitos espirituos procuram encontrar o remédio para os perigos da autonomia das colónias inglesas. Mas, se se tractar não duma monarcia absoluta o dum Estado federal, mas duma republica ou monarcia constitucional, como as da Europa ood-dental, alliando a uma forte centralização as instituções liberaes derivadas da revolução francesa, não pode haver duvida de que o regimilação produzirá resultados distinctos dos das outras duas politicas colonias. E é esta situação politica que se tem em vista, quando se estudam os effeitos da assimilação, porquanto a assimilação, quando Se litnita a estabelecer que os colonos devem ser tractados do mesmo modo que os habitantes da mãe-patria, formula uma regra puramente negativa. E* necessário ter presentes as instituções da mãe-patria, para poder avaliar os effeitos de tal regimen colonial.
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40/093 or 5*ôm. m. — 40/094 or 5*ém. juil. — 30/01891 crin. id. — 40/0 Cons. let 2* id — — 3° série id — 41/20/pint Con 90 mai — 40/Û Int. 1894 13 juin Emp. SERBES O/O juil. OG Congo rebats du Lots 88 Mada P. 60/01887 lodéc.94 Route italienne 5 O-O........ — 3 0/3 Banque nationale Crédit mobilier italien Société immobilière Méridionaux Méditerranée Changement sur l’France vue — — Londres vue. — — 8 mois — — L’Allemagne. LONDRES Turc 40/0 (s.C), 13 sept. 95 FP d/25 FP d/10 Turc 40/0 (a.D), 13 sept. 95 FP d/50 Banque Ottomane, jouis d/10 660 555... .. FP d/5 FP d/2 50 ..j Ottomane, (oblig. pr.) n. sept 95 — (95 L Pr D.) 13 juil. 95 — 40/0 Cons. 13 sept. C FP a To? 1'(L' T-) oct. TAB. OTT., act. 200 L, sept. Tab. Port. act. 500, 250 fp. Rio-Tinto ex-c. 34, nov. FP d/5 FP d/10 FP d/20 Tharsis, ex. el, 10 mai 05 De Beers, ex-c. 13, 22 août FP d/10 660.670...'." FP d/2 50 Cape-Copper, ex a. juil. 95 Gaz et Eau Acétyl. (parts).. BANQUE DE FRANCE Escompte... gond Intérêts des avances............ 3 /, Papiers longs 805 .3/4 4808 1/4 et 4 / 122 1/8 4122 3/8 876 ./. 331 ./ , I — / à 1 380 ./. r i 3/4 à Ob, Tunis. 30/0 jan. 1897. Banque de France | clôture dominicale — 28 janv. 1897 (tome 2 Banque Paris, Pays-Bas) compte actif. Société civile, janv. 1897 Comptoir National d’Escompte, compte 500 fr. t. p. Janvier! Tunis Crédit Industriel. 125 f. nov. compte Crédit Lyonnais.. compte 500 f. t. p. J. 25 sept. 96 tome Crédit Mobilier, compte 500 fr. t. p. J. juil. 1891 tome oct, Italien compte 500 fr. p. J. oct. 1896. (tome ANQ. Int. Paris joué compte ST, 600 fr. t. p. J. nov. compte : LYON-MÉDIÉTERRANÉE ; vente 0/0 Hollande. 3/01 Allemagne. 0/0 Espagne.... Act. 500 fr. t.p. j. déc. 1325 — J. janvier 1897. fanée 1325 sofr, act. 500 fr. t.p j. oct. 0 .umb. 400 f. J. jan. 1897!tb 78 CLÉANS, art. 500 f. ) compte 1500 f. t.p — J. octobre 1896!tome 07 >UEST, 500 f. t.p. J oct. compte 1002 85 102 77 /. 100 90 100 95 106 60 106 65 499 5u 8625 ..AUTOBUSES DE PARIS.. compte 100 f. t.p.— J. janv. J tome ‘ ANAM (G. 1 ni.) déc. 88 compte Suez factions) 1 compte 5 f. t. p. J. janvier (tome Société civile. — 1 compte. janvier 1897.... tome YNAMITE (Sté Cont.) 1 compte noir. t. p. duc. 96. tome UTTER, 40/0 J. oct. Cf i-iGY p. dette snif. 70/0 j">0 J i.d.e.-J. ,:ov IfCXS'Ui'i Dette privée 1/2 oci. ih; •COMPTA T Ant Randiinstein. 41 .. Bip Gold... 49 50 Robinson. .. 185 5-4i 75 1. janvier 1897 !tome Le NORD, 40/0 or, J , janv. 95 , Italien 5 0/0 t c'J. janvier 1897 fia, ?ORTUGAL, 30/0 J. jan compte : ‘US8H 40/0 consolidé c,l"-2 s.-J. janv. 1897't<ii< |uuc, 40/0 (56 D) sept. 95 compte obi. consolidé 40/0 1890, s.)6 c) oct. prior. — — cd Douanes, obl. jan. 97 compte Banque Pays-Bas-Autriche...| compte 2’09 fl. t. p. J. 31 mai 95 Italien langue TURQUE ( 500 fr. 250 p. J. juin p'tit I.éd. Foncière d’Autriche.
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Les désordres et la confusion qui résultaient d'un gouvernement si faible, incapable d'établir ou d'exécuter des lois salutaires, rendaient la communication entre les différentes provinces d'un même royaume, extrêmement dangereuse. On voit par une lettre de Loup, abbé de Ferrières, dans le neuvième siècle, que les grands chemins étaient alors tellement infestés de voleurs, que les voyageurs étaient obligés de s'unir en troupes ou en caravanes pour se mettre en sûreté contre les brigands. Le droit d'aubaine est actuellement aboli en France, à l'égard de presque toutes les nations de l'Europe. Le droit d'aubaine est actuellement aboli en France, à l'égard de presque toutes les nations de l'Europe. Les nombreux règlements faits par Charles-le-Chauve, dans le même siècle, montrent combien ces actes de violence étaient fréquents; ils étaient en effet devenus si communs, que bien des gens les regardaient à peine comme des crimes. C'est pour cela que les juges inférieurs, appelés centeniers, étaient obligés de jurer qu'ils ne commettraient aucun vol eux-mêmes, et ne protégeraient point les voleurs. Les historiens du neuvième et du dixième siècle ont fait de pathétiques descriptions de ces désordres. On trouve quelques passages remarquables à ce sujet dans Becher. Enfin ces attentats devinrent si fréquents et se commirent avec tant d'audace, que l'autorité de la magistrature civile n'eut plus assez de force pour les réprimer. On appela le secours de la juridiction ecclésiastique; on tint des conciles avec grande solennité; les corps des saints y furent portés; et, en présence de ces reliques, on fulmina des anathèmes contre les voleurs et autres perturbateurs du repos public. On a conservé une de ces formules d'excommunication, qui parut en 988; elle est extraordinaire, et d'une éloquence si particulière qu'elle mérite d'avoir place ici. Après l'introduction accoutumée et le détail des violences qui avaient donné lieu à cet anathème, elle commence ainsi: "Obtenebat oculi vestri, qui concupiverunt; arrerant manus, et leviterient omnia membra, et sacerdotibus vestris privemini. Semper laborem, nec requiem nemenin, sed lucibat vestri saeculo, priva isti delicti et paupertatis, et ne ridebant que hostis, ut aeademeret securitatem. Sit publica vestra cura Juda traditore sacramento, in terra mortis et sepultura; donec corda vestra ad satisfactionem plenam convertantur. Ne cessent à vobis maledictiones, sceleris pecuniarilorumque actorum quamdiu perseverabitis in peccato pecuniae. Mea fiat, fiat."
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Tnlerat legem Theodosius , ut facultates ecclesia- sticae, quas Donatistae tenebant, transferrentur ad pias Ecclesias. Novum cxemplum odiose ca- lumniahantnr Donatistae, vociferabantur alienum esse a pietate, facultates aliorum appetere, pro- pter certamina de doctrina nemini facultates eri- piendas esse. Sed Angustinus Theodosii decre- tum recte defendit, affirmat illas possessiones do- natas fuisse Ecclesiis piis, et atl piae doctrinae conservationem. Has cum impii ac hostes verac doctrinae tenerent, fuit Imperatoris ofncium, do- minis restituere, hoc est, verae Ecclesiae. Nec magis licet idolatricis collegiis huitis aetatis, res donatas atl ministerii evangelici conservationem tenere, quam Regi Babylonro licuit in convivium proferre sacra vasa templi Hierosolymorum. Quid horum in quaestionem vocari potest? Si Episco- pi tuenlur impios cultus, si veram doctrinam op- primunt, ut palam faciunt, falso titulum usurpant Eceiesiae. Ac Regum officiumest, facultates ec- clesiasticas transferre atl coelestis doctrinae prae- cones, atl eos qui gloriam Dei vere ornare stu- dent. Utinam Principes intelligerent, hanc rem atl officium suum pertinere , quorum praecipuum est mtinus, religionem ornare, defemlerc Eccle- siam. Haec sunt vere heroica, propter quaeDeus impertit societatem nominis sui bonis Principibus, ut ait: Ego dixi Dii estis, hoc est, res divinas cu- stodienles, Evangelium, pios cultus defendentes, gloriam Dei , atlversus Diaholum , qui spargit im- pias opiitioiies, qui incendit tyrannos atl exercen- tlam saevitiam. Non tantum corporihus nostris seruit Magistratus, setl multo magis gloriae Dei.
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The Circuit Court, Judge J. Tyler presiding, convened here this morning for the regular August term. Our evening session resolutions were offered by Attorney N. L. Henley, urging the late Robert T. Armistead and H. D. Peachy, of Newport News, and A. Dovell, of Williamsburg. The resolutions were made a part of the court record. Louis C. Phillips, M. C. Wallace, and R. H. Prese, the latter colored, qualified to practice in this court. W. H. Macon was appointed a member of the local tax board or review. In place of W. M. Loftus, who resigned on account of ill health. The court was engaged this afternoon in the trial of the case of the colored, charged with creating a disturbance on a Chesapeake and Ohio passenger train. ASHLAND IS CONFIDENT Believes Majority of Hanover County Will Favor Removal of Courtroom. ASHLAND, VA., AUGUST 14.- It is expected that practically every voter in Hanover County will go to the polls tomorrow to cast a ballot on the question of moving the county courthouse from Hanover to Ashland. Almost every section of the county has been covered by the workers here in favor of the county. change. Many meetings have been held, the campaign closing tonight with a meeting at Cohl Harbor. County Supervisor S. Luck said tonight: "The changes of the past few days have been in our favor. The prospects seem to me very bright." Rev.
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Pour ces petites bourses, employer aveuglement leurs épargnes à mesure qu’elles en ont, est le summum de la sagesse. Après avoir passé de longs mois sans se voir offrir en pâture, l’épargne a eu la bonne fortune depuis quinze jours de se voir proposer coup sur coup trois affaires différentes : 1° 625,000 obligations à lots du Crédit Foncier ; 2° 240,000 obligations du chemin de fer de Boue à Guelma ; 3° 63,751 obligations du chemin de fer de Ciudad Real à Badajoz. Nous avons déjà attiré l’attention de nos lecteurs sur les deux premières, sur les obligations Foncières qui, avec les lots et l’amortissement, rapportent 4 20 % et sur les obligations de Boue à Guelma qui, en dehors de l’amortissement, rapportent 5 0 %. Nous allons aujourd’hui consacrer la causerie aux obligations de Ciudad Real à Badajoz, qui rapportent en dehors de l’amortissement plus de 6 0 %. On voit la progression : obligations du Crédit Foncier 4 20 %, obligations Boue à Guelma 5 0 %, obligations Ciudad Real à Badajoz un peu plus de 6 0 %. C’est à l’épargne à agir et à choisir en fonction de ses goûts et de ses opinions. Tel capitaliste vise à la sécurité avant tout, pour lui le taux d’intérêt n’a qu’une importance secondaire ; tel autre a besoin de grossir son revenu sans s’exposer cependant à compromettre son capital; 4 à 5 % ne lui suffisent pas, il faut qu’il obtienne 6 0 %; tel autre encore veut placer un substitut de ce qu’il possède à l’étranger. Les obligations de Ciudad Real répondent merveilleusement aux vœux de l’épargne qui a besoin d’une rémunération supérieure à 5 0 % et qui cherche un emploi à l’étranger. Dans l’état où est l’Europe, l’Espagne est, dans ce dernier cas, le pays à choisir de préférence. Mais quelle est la Compagnie de Ciudad Real à Badajoz ? quelle sécurité présentent ses titres ? Ces deux questions sont celles qu’il faut tout d’abord dégager. L’existence du chemin de fer de Ciudad Real à Badajoz se divise en deux périodes absolument distinctes, comme on va le voir. Voici l’historique de la première : Les chemins de Ciudad Real à Badajoz et d’Almorchon aux mines de Belmez, ont été concédés à MM. de Morny, Chatelus, Gustave Delahante et Lehoux, les 21 août 1861 et 7 décembre 1864.
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Dziwaa i tgskaa szarość zimowego wieczoru zwiesiła mgły i mad wysokimi Brezytami Kr.xowa i nad mogiłami Kraka Lecz ct» w mitrę,. jak pogłębiała się ROC, Tosbwierały Się i powiotrzae aasłony, PsgoGny wiatr wienął od zachodu, rozegaał cmg, popądził miş, jak ptaszęcem stadom chmur, 2 ma Mobo rzucił anow gwiazdy zło e i wyiskrsoma, Zzówiecił 1 arebray róg półksiężyca. Połsenaym blaskiem osul ar kady i dziedrińce, atrzolisto wieże i do mu tów przylegio Wyku:x6, prztŹreczyszcza okien 1 spadzisto dachy ogrodu kuójew _ Bierp ów księżyca, który stanął na nie e „kie planota wydawał się być maonesaE, ;grośaom z przestrzeai widziudłom. I ró e jakby na jedsa snak z:błycnyły kościełów św. Jerzego, Michała, Naj aj ** e | | W fuis'ejrzai Gagecie Lwowskiej ogło szora jast chwieszozanie N»miesinictwa o śreókagh ochrownych przeir zawleczeniu zarazy stadaiczej keni z Rumunii WE PAY | YA | Lwów, 31 grudnia 1920 Przegląd polityczny 1920 r, (IIL) Ala karta dziejów się obraca, Warszawa ocalona, atsk polski zyskuje na sila, wielka cfanzywa pod wodzą Naczelnego Woda na Brześć rozbija dwie armje bslists wiekie, zagraża -linjom odwrotowym wojsk eserwonych, Zwycięstwo lawiną ruzęło Ba wsebód Jaszeze 21 sierpmia delegsaja rosyj dka dyktujs warunki pokojowe dla Polski nie d: przyjęcia, a oto w tydzień p Źniej, sowia ty pod wplywem pogromu swej armji mięk ną jak wosk, zgadzają się ma przemiesienie dalszych konfersncji pokojowych do Rygi. I oto % września p. J.ffe jako prze wodaiezący delegzeji rosyjskie; jadzie splo asie do Rygi. Rząd Polski wysyła również swych dalegatów, ale tym rarem stawia już propszycje z całą Btanowcieścią zwycięacy. Armja bowiem polska rozgromiła wojska caerwoae w szybkim pochodzie, zajęła x po wrotem (Qredąs i Lidę, zblsźsła się pod Wilno.
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AUTOMOBILE SECTION PART TWO 67th YEAR German Artillery Lieutenant Relates His Experiences Before Verdun. ILL FROM NOXIOUS WAVES Breath of Fresh Air Comes While Officer Is in Unconscious Condition. HEALTHY WITNESSES OF THE CIRCUMSTANCES KENT, Jan. 1, (Correspondence) German artillery lieutenant, who, with a few men of his battery, miraculously escaped death and is now recovering in a hospital, is now recovering in a hospital, having been suffering from a heart attack. "We have had an experience in the hospital, surrounded by swampy ground. The strongly fortified artillery position has captured some time before the enemy with heavy sacrifices. This week we were under continuous fire from the trenches and the enemy's artillery but, on the heights, we were under continuous fire from the enemy's guns. "The enemy's artillery, under the command of Lieutenant Colonel K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. K. For the tiny 11, i v Imt li.nl onlt'rs 1,01,1 all..re,, instance* The thirteenth of the, 1,0,1,1, w, Wf I|. eilouuh in the-v.. day of the ,?S'' etKli Im f<.,- Ul.,apt mod the |?>S|t I..||. , """"?*' "<?' < >|?? IbIJv furious bombardment of the enemy ",l,J '??" 'I '-out snat., "?'r wr??" "< I i,;i,| j!114, thrown Off,< > and stint..,I r' I I w).. || two s..i<ll< |.
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Gynsu, Guns, or Koszegh, a walled town of Hungary, capital of the county of Eisenburg, 57 miles S.E. of Vienna. A Bohemian New Testament of 1839, and a Bohemian Bible of 1840, bear this imprint. See also under Koszegen. H. Habana, see Havana in Series I. Hackney, a very large and populous village of England, in the county of Middlesex, now become a suburb of London. The eminent philanthropist John Howard was a native of this place. Caleb Stower printed here in 1811. 90 HA. *Hafnia. Copenhagen is variously printed Kopenhagen, Kobenhafner, Kiobenhaven, Kiobenhafn, Kaupmarinahaufn, (Copmanhauen in a Poem of Sir David Lyndesay, pretended to be printed here in 1552,) and Kiobenhaunme in a Qreenlandish New Testament dated 1744. In 1550 Ludewick Dielz printed here The first Danish Bible, a volume of great rarity. The Bible of 1607 was issued under the care of Dr. Eesen, bishop of Zealand. It was in a pocket size. It was succeeded in 1623 by an edition in folio ; of which it is said that some few copies were struck off on vellum, to be presented by the King of Denmark to foreign Sovereigns. *Hagenoa, or Haganogia. One of the early Haguenau books, the Longobardica Historia, 1510, professes to be printed "Ex- pensis Io. Rymman Archibibliopolce" — a new dignitary in the ranks of literature. Hagerstown, a thriving village of the United States of Ame- rica, in Wayne County, Indiana. William Stewart printed a New Testament here in 1843. Hagley, a village of England, in Worcestershire, within 3 miles of the town of Stourbridge. Near it is the seat of lord Lyttelton, celebrated for its beautiful gardens. A Letter by John Wilkes bears " Hagley," 1763. Hailsham, a small market town of England, in the county of Sussex. It possessed a press.
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E per verità il più, che far poteva! dall’Udienza di Guerra era il proporre, che momentaneamente impediva la riunione fino a che non ne aveva deciso il Giudice Ecclesiastico. E quello fu il parere del Fiscale de Medici; ma non fu seguito. Quindi avverte il Gonzalez: Et licet verba Protoni (cioè le parole adoperate nell’Interdetto onde vi), de privato concepta sint, tamen protrabuntur ad Judicem, qui absque parte citatione, causa cognitione aliquem spoliat, qui ante relinquendus est. Ratio illa redditur sic Legge Minus, Codice Unde vi: ne inde INJURIUM NASCATUR OCCASIONE, UNDE JURA NASCUNTR. Accedit, nam Judex extrajudicialiter procedendo, privatus sentiet, et impune ei resists valent. Deinde quia Judex extrajudicialiter procedendo, si injuriam alii irroget, injuriarum actione tenetur. Di fatti nella legge trigesima seconda Digesta De in juriis si dichiara: Nec Magistratus licet aliquid injurialiter facere. Si quid igitur per injuriam fecerit Magistratu, vel qui privatim, vel fiducia Magistratui, injuriarum possit conveni.
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Sie habe sich ihrer Ausgabe auch zur Zufriedenheit ihrer Vaters gewachsen gezeigt, was den veranlaßt habe, von einer Wiederverheiratung abzusehen. Sechs Jahre seien da über ins Land gegangen, ohne dass sie jemals Uriache gehabt habe, mit ihrem Los unzufrieden zu sein und sich in andere Verhältnisse zu wünschen. Das habe sie aber an einem Tag die Aufmerksamkeit eines jungen Mannes auf sich gezogen, der ihr nach kurzer Bekanntschaft einen Heiratsantrag gemacht habe. Er sei als Inhaber eines Engros-geäts in einer mittleren Stadt anscheinend gut bekannt und auch sooft kein übler Mensch gewesen und so sei es denn auch sehr bald zur Verlobung gekommen. Ihr Vater habe nun aber auch nicht eiligere zu tun gehabt, als nach einer zweiten Frau umzujehen, was sie ihm unter den ob waltenden Umständen ja auch gar nicht habe verübeln können. Nur hätte sie gewünscht, dass ihr Vater mit seiner Wiederverheiratung auch gewarnt hält, bis nach ihrer eigenen Hochzeit. Das hat er aber aus geschäftlichen Rücksichten nicht für nötig befunden und so ist bereits im fünften Jahr ihrer Brautchaft eine Stieftochter ins Haus gekommen, die ihr das Regiment abgenommen hat. Die oft schon zu Tage getretene Erziehungsaufgabe, saß sich erwachsene Tochter mit einer Stieftochster schlecht verstanden, hat sich auch in diesem Fall geltend gemacht und Hedwig hat natürlich den Tag vervolgt gehütet, an dem sie das sonst so trauliche Vaterhaus würde verlassen können, um in ihr eigenes Heim einzugehen. Aber — es war so ILVn gewesen. doch tat's nicht sollen sein. Das Geschäft des Bräutigams hat nicht aus so soliden Fußen gestanden, wie es den Anschein gehabt hat und eine Tugend war nichts nur der Konkurs ausgebrochen, sondern der Geschäftsbetrieb auch wegen unlauteren Mitbetreibens mit Wechseldraftler Schloß und Riegel gebracht worden, nachdem er kurz zuvor, um sich zu retten, unter Verwendung oder Regierung eines bereits bestehenden Verlöbnisses um die Hand einer vermögenden Witwe angeblich gehabt hat. Der zugezogene Umstand hat dann Hedwig, als sie davon Kenntnis erlangen hat, natürlich veranlaßt, ihre Verlobung ohne weitere auszukennen. Das Verhältnis zwischen ihr und der Stiefmutter hat sich dann rauf bis zur Unverträglichkeit zugelassen und Hedwig eines Tages veranlaßt, ihr Bündel zu schnüren und Unterbringung bei fremden Leuten zu suchen. Darüber sind nun wieder zwei Jahre vergangen und Hedwig, die heute 25 Jahre zählt, findet sich wieder in ein eigenes Heim.
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100 soit sur la contenance, soit sur le degré, sera accordée sur leur déclaration aux expéditeurs de spiritueux, alcools, vins, cidres, poirés et hydromels, mais que les quantités reconnues en excédant seront prises en charge au compte du destinataire. Dans son audience, du 22 décembre dernier, la cour de cassation a décidé que le bénéfice de cet article était accordé exclusivement à l’expéditeur de bonne foi qui avait pu involontairement se tromper en se servant, par exemple, d’instruments imparfaits, mais non pas au calcul frauduleux, à une déclaration volontairement inexacte. Par le même arrêt, la cour a décidé aussi que les amendes ayant principalement, en matière de contributions indirectes et d’octroi, le caractère de réparations civiles, les contraventions constatées doivent nécessairement donner lieu chacune à une amende disjointe. Etc.); 14 collèges subventionnés pour l’accroissement de leurs collections scientifiques. Terminons par un mot — ou plutôt par un rapprochement de chiffres: le budget de l'instruction publique qui était de 25 millions sous l'empire est de 49 millions sous la République. Toute la moralité des deux régimes est dans cette comparaison; et, si l’on nous demandait sur quels fonds la République a pu trouver une telle différence au profit de son budget scolaire, — nous n’aurions qu’à parcourir le budget de l’ancienne liste civile: la France a fait l’économie d’un empereur et de tous les parasites princiers et autres groupés autour de lui, — la France a de l’argent pour instruire ses enfants, pour en faire des hommes éclairés, libres, appelés à parcourir une destinée pacifique, prospère, et non plus à aller périr dans les criminelles aventures d’un despote insensé. P. S. — En publiant la lettre de notre correspondant et en nous associant aux excellentes pensées qu’elle contient nous devons manifester un regret: c’est de ne pas voir le Lycée de Tours figurer parmi ceux qui vont être élevés d’une catégorie. Notre Lycée nous semble avoir des titres sérieux à cette faveur, aussi sommes-nous persuadés que le libéral et généreux ministre de l’instruction publique ne l’oubliera pas à la prochaine occasion. Dans sa partie non officielle, le Journal officiel insère une note sur les chemins de fer Hollandais. Nos lecteurs se rappellent que M. Christophle, ministre des travaux publics, s’était rendu en Hollande pour étudier le régime des chemins de fer. M. Christophle était accompagné de deux députés, parmi lesquels un membre de la commission du budget et l’un des nôtres, M.
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L’impressione però da essi concepita, che Cristo comparisse dovesse in quel tempo, era si forte, che durò fra loro quasi per lo spazio di un Secolo. Cresto detto. Digita da Google. WLLA Storia Universale, S9 detti, dice il compimento delle Profezie potesse avere una certa estensione, e non fosse sempre così ristretta ad un punto preciso: di modo che dopo cent’anni non si parlava fra loro se non dei falsi Cristi, che si facevano seguire, e dei falsi Profeti, che gli annunziavano. I Secoli precedenti non avevano visto cosa alcuna di simile; e gli Ebrei non furono prodighi del nome di Cristo, né quando Giuda il Maccabeo riportò contro il loro Tiranno tante vittorie, né quando suo fratello Simone li liberò dal giogo dei Gentili, né quando il primo Ircano fece tante conquiste. I tempi e gli altri contrassegni noti contenevano, e solo nel Secolo di Gesù Cristo si cominciò a parlare di tutti questi Messia. I Samaritani, che leggevano nel Pentateuco la Profezia di Giacobbe, si fecero dei Cristi non meno, che gli Ebrei, e un po' dopo di Gesù Cristo riconobbero il loro Dio. Simone il Mago vantavasi parimente di essere il Figliuolo di Dio, e Menandro suo Discepolo diceva il Salvatore del Mondo. Mente Gesù Cristo Viveva, la Samaritana aveva creduto, che il Messia fosse in procinto di venire: tanto era costante nella Nazione, e tra tutti coloro, che leggevano l’antico Oracolo di Giacobbe, che Cristo doveva comparire in quelle congiunture.
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Pendant le cours de ma maladie, il m'arriva une chose très étrange, et qui me laissa une profonde impression. Une nuit, j'aperçus distinctement autour de moi des avenues d'arbres, dont les branches pendaient comme celles des saules pleureurs; elles étaient d'une verdure incomparablement plus belle, toutes semées de paillettes d'or. Il y avait plusieurs espèces de ces arbrisseaux, dont les feuilles étaient variées de couleurs diverses, et dont les branches formaient des entrelacs d'une élégance qu'il est impossible de dépeindre. Bientôt parurent, au milieu de ces vastes prairies, une multitude d'animaux, tels que des lièvres, des chèvres, des taureaux, des cerfs. Il me semblait que ces arbres changeaient de feuilles et que ces animaux tantôt couraient, tantôt s'arrêtaient çà et là, variant sans cesse leurs attitudes. Jamais le fameux Paul Potter n'a rien peint d'une aussi parfaite imitation. Quoique cette vision n'eût rien d'effrayant, elle me remplit de tristesse; je crus que j'allais mourir, d'une manière à la vérité fort étonnante et fort douce. Je me mis à réfléchir sur la mort, dont le nom seul effraie tant de bons esprits et les soumet à la tyrannie d'hommes barbares qui les remplissent d'effroi pour leur profit. On lit dans Bossuet un morceau qui a été excessivement loué, et qui pourtant n'est guère digne, selon moi, d'un chrétien. Il peint Dieu qui hait les hommes, quoique rachetés par la mort de son fils. Il le peint qui s'amuse, depuis la création, à les précipiter dans la mort; en vain, chemin faisant, ils veulent s'arrêter et se reposer un peu : Non, dit-il, marche, allons, avance, point de repos que tu n'y sois arrivé! Ainsi se succèdent toutes les générations. Madame de Sévigné disait que l'effroi de la mort rendait toute la vie malheureuse, par cela seul qu'elle y menait infailliblement. Pascal est encore allé plus loin quand il a dit que Dieu a les hommes en horreur. Il n'en était pas de même de Marc-Aurèle, le païen, qui disait que nous devons sortir de la vie comme d'un banquet, en remerciant les dieux de nous y avoir admis, ne fût-ce que pour quelques jours. Ainsi pensait Fénelon. Et en comparant cet ami des hommes avec son persécuteur, il me semble que l'un pêche par excès de haine, et l'autre par excès d'amour.
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Płacz głodowy jest rytmiczny i mo notonny, dziecko Śpiące płacze słabo i przerywanie, przy bólu — krzy czy ostro i kopie kolanami. O ile podejrzewam dolegliwości żołądkowe kładę suchy kompresik łub też płatkiem waty, zmaczanym w oliwie smaruję brzuszek i powijam flanelą. Jeżeli nie ma poważnej cho roby, wymagającej pomocy lekarza pediatry — zabieg ten w połączeniu z paroma łyżeczkami rumianku jest bardzo skuteczny. 14 Listopad. Podczas okresu karmienia unikam pokarmów ciężko strawnych, staram się jeść o połowę więcej niż zazwy czaj pokarmów stałych io 1 litr więcej pić płynów. Lekkostrawna mączka odżywcza „V I T Ą F O S E O S A (Gqseckiego) przygotowana z owoców, warzyw i ziarnek, z zawartością soli organicznych wapniowo-fosforowych, stosuje się dla dzieci, ozdrowieńców i osłabionych. Cena zł. 4.— „Vitafosfosy” gotować nie można. 552 MŁODA MATKA _ Nr. 21 Wystrzegam się wszelkich napojów alkoholowych, nawet piwa słodowe go, które dawniej specjalnie karmią cym zalecano. Prowadzę spokojny tryb życia, gdyż wszystkie gwałtowne wstrząsy działają ujemnie na wrażliwy ustrój dziecka. Nie zaniedbuję niczego, co może być konieczne dla mego zdrowia, a tym samym dla zdrowia dziecka. Nie zapominam o rannej gimnastyce, pamiętam o higienie, brak ruchu bo wiem powoduje tycie i może wywo łać utratę pokarmu. Dawniej była wielka śmiertelność wśród niemowląt. Spadła ona bardzo odkąd zrozumiano, że najlepszym posagiem, jaki dajemy dziecku, jest zdrowie, zdobyte przez karmienie piersią matki. Na pierwszy rzut oka mogę roz różnić dziecko karmione piersią od będącego na butelce. Zdarzyło mi się, że w tramwaju usiadła obok mnie kobieta z dziec kiem o buzi bladej i nalanej. Zdjęła mnie ciekawość i zapytałam. — Niestety — odpowiedziano — matka ma wrzody w piersciach i karmić nie może, jeszcze ciągle jest chora i dziecku stale coś dolega.
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OBEOOBY, liEVI, merchant, Sa- lem ; born in Jefferson Co., Iowa, in 1850 ; he came to Salem in 1872, and entered Whittier College; was appointed in his senior year, conductor of the com- mercial department of the College ; he graduated in 1874 ; after his graduation, he was appointed to take charge of the school established for the education of the absentee Shawnee Indians, in Indian Territory ; was also engaged in allot- ting land to this tribe ; he returne.d to Salem in the autumn of 1875, and re- sumed teaching in Whittier College; engaged in business in 1876 ; is at pres- ent a member of the Board of Directors of the College. Married, in 1873, Lyd- ia A. Mc. McMillan, a daughter of Amos McMillan, of Salem. Mr. Gregory has been Superintendent of the Friends' Sabbath school at Salem for over three years. Grim, D. P., far., S. 27 ; P. 0. Hillsboro. Grim, J., far., S. 27 ; P. 0. Hillsboro. Grim, Joseph, far., S. 19 ; P. 0. Hills- boro. Gray, David, laborer ; P. 0. Salem. Grober, C, far., S. 7 ; P. 0. Hillsboro. HALLODAY, WM., far., S. 1 ; P. 0. Salem. Hallowell, R., far., S. 23 , P. 0. Salem. Hammond, F. M., far., S. 7 ; P. 0. Salem. Hammond, H., far., S. 6 ; P. 0. Salem. Hammond, J. W., far., S. 31 ; P. 0. Hills- boro. Hammond, W. H., far., Sec. 6; P. O. Salem. Hargrave, A., far., S. 24 ; P. 0. Salem. Harlan, E., far., S. 7 ; P. 0. Hillsboro. Harlow, Isaiah, S. 30 ; P. 0. Salem. Harper, J., far., S. 20 ; P. 0. Hillsboro.
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Je vais un peu mieux, lit lourdeur de la tête, une lenteur dans la vie, descendre; j'ai envie de vomir; j'ai bu beaucoup, je ne suis pas habituée; j'ai la figure très chaude; je me sens bien malade; je suis très abattue, et j'ai besoin d'entrer à l'hôpital. On m'enseigne le tube et les phénomènes d'accablement disparaissent instantanément. Quelques fleurs de Muguet L'action perturbatrice des odeurs sur le système nerveux se révèle encore dans ce cas d'une façon très saisissante; le sujet étant en léthargie, je lui ai présenté sous les narines deux bouquets de muguet, la réaction ne se peut attendre; immédiatement le sujet se réveille d'un état de vive excitation, les yeux ouverts, la figure animée, il se met à aller et venir et à frapper les objets ambiants, il parte sans aucune idée suivie, bientôt il est envahi par des hallucinations terrifiantes et dit qu'il voit des loups; et on assiste ainsi à l'explosion d'un véritable accès d'excitation maniaque. Cette excitation se choléra par la soustraction du bouquet; mais là où l'expérience d'une stiller encore plus qu'ici, c'est que les odours de muguet ayant été jetés dehors, les traces persistantes de l'odeur ont empêché pendant un certain temps le sujet de revenir au calme; j'ai fait que je le fasse passer dans une chambre éloignée pour le soustraire à l'influence de ces odeurs et le faire tomber en période de léthargie de retour. Lautemaison (28 or) Ce fut l'aimant. Physionomie souriante tout d'abord; puis tristesse; la tête s'incline sur l'épaule droite, le regard est terni, contracture du bras droit ainsi que de la jambe droite.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais expiraram. A condicião de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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Osłabionegu fi:ycznia I zgnębionego mo ralnie zaskoczyły wypadki 1861 r. Kiedy Wielopolski za wp'ywem En«nocha stał się wykonawcą reform uchwalonych w Peters vurgu, przed Korzeni wskim, wówczas już rzeczywistym radcą stanu 1 członkiem Rady wychowania, otworzyło się szerokie pole działalności. M anowany dyrektorem Wydziału oświecenia, z zapałem wziął się do pracy. Doczekał się nareszcie upragnionej chwili, kiedy „na drodze legalnej", jaką Jedynie u znawał, można było służyć ruaczywióście kra jowi. Do tej chwili był urzędnikiem państwo wym, zmuszonym trsymxć się poleceń obcej władzy, której o dobro społeczeństwa nie chodziło — teraz na wysokiem autonomi 1) Obszernie o tem w artykule moim „Z natat o Korzeniewskim* (Kurjer Warszawski 1913 ur. 257.
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Cesl nssauoir quc les hahitans dudit Vaull deuronl aydcr audit seigneur d une gracicuse ayde si lant esloit que ledit seigneur acqucroit ou rcimbroil lcri os ou seigoGuries ct que ccla soit u une iieuc a l'eiitour ou presl dudit Francquemonl ou dudit Yault ou desoub la seignenrie du seigneur, duquel le seigncur tiendru de 0ef ledit FraHequmont , Kt seront tenus lesdiis habitans de payer disme a la vnzieme gerbe, Et seront tenus les habitans dc payer el rendre chacun an dix noufs quats de fromenl bon et suCrisanl a la mesure de Monibeiliard pour leurs fourgs. Et aussi peuuent faire lesdits habitans un chacun d'euh un fourg ou bon leurs semblerat, Et seronl tenus lesdils habitans ou un chacun ro^nager do faire une journee de fauciller si ledit seigneur ou dame feme en son chef et non autrement 6s despends dudit aei- gneur ou dame sans fraude ou baret, Et aussi ne doibuent lesdils habitans recder nuUe espaue sur peine de Fesmende de soizante sols, Et si tant esloit qu'il eust poipt de peschon £s bois dudit Vault de (?omoy, Noos lesdits habitans et bonnesgensduditVauU ypourront mettre et painer nos ports pour nos nourissages sans prejudice dudit seigneur. Et si tant ^toit qu*il y dost ^dits Bois — 558 plus de pcschons quc ne seroit bopning esdils habilans pour leur nourrissage lesdits Bois sc doiijuent visiter par qwatre priid'- hommcs dudit Yault en foy et en conscience, el se que sera Irouut; de peschons phis que ne seroil nocp?saire osdils habilans po\ir leur dit mesnage ledit seigr ct danie y pourrat nicttrc porcs a son proffil selon que ledit Bois le pourrat porter, Kt que ce ne fust point ^ doramage desdits habitans.
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Je vois cent beaux esprits qui n'ont qu'un seul modèle. Dans ce genre élégant le goût français excelle ; Mais il aiguise trop la pointe de ses traits : Le naturel sait plaire avec bien moins de frais. Négligemment aimable, autrefois Saint-Aulaire D'une rose embellit son front octogénaire. Soyez simple et léger dans un léger écrit. La nature, c'est l'art ; le bon sens est l'esprit. Noble amante du Temps, fille de Mnémosyne, L'Inscription, des faits proclame l'origine : Sacrée, annonce un Dieu, console les tombeaux; Morale, avertit l'homme et des biens et des maux : Héroïque, à la gloire instruit les grands courages. France ! quand tes exploits sont la leçon des âges, Ose à ta langue enfin confier tes succès ! Ta langue est souveraine, et le monde est français. Mais, fuyant des rhéteurs la triviale emphase, Du tour académique affranchissons la phrase ; Naïvement profonds, simples, concis et vrais, À la place des mots laissons briller les faits. Une élégance noble est l'âme des Distiques. Que j'aime le parfum de ces roses attiques Dont Erato forma le dépôt enchanteur Où de l'esprit des Grecs se conserve la fleur ! Dans les moindres sujets ils pourront vous apprendre Cet art d'être à propos naïf, sublime, tendre ; De leurs vers délicats les traits sont ingénus, Et leur aimable Muse est la soeur de Vénus. Austère, et rejetant le vain art de séduire, Belle de vérité, satisfaite d'instruire, La Muse didactique à des traités divers Prête avec dignité le charme des beaux vers : Mais elle fuit alors, populaire, Uranie, Des chants ambitieux l'imprudente manie ; Elle borne son vol, embrasse un seul objet, Et moissonne en courant les beautés du sujet.
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Doyagüc (D. Manuel José'), Catedrático de Música en Universidad y Maestro de Capilla de la S. I. Catedral de Sa- lamanca por oposición: mereció al inmortal Rossini la cali- ficación de primer compositor de Música sagrada y son tan- tas y d« tal importancia las obras inéditas de este genio mú- sico, que en la imposibilidad de enumerarlas habremos de limitarnos á citar la siguiente, tenida por la mas acabada y llena de inspiración, con la circunstancia de conservar su grandeza hasta el fin. Magníficat á 8 con instrumental y órgano obligado original de esta obra escrito de su puno, estaba guardado en su nicho dentro de una caja de zinc, y al ser exhumados sus 1 í — 591 — para trasladarlos al proyectado Panteón Nacional, fuéestraido y Hoy se conserva en la Biblioteca Je esta Universidad. (¿allanto I). Bartolomé Jote), nació en Campanario (Fxtre- madura) el año 1777. y en su pueblo aprendió primeras Lc- L.itin. pasando cuando apenas tenia 14 años á Sala- manca á estudiar Filosofía: á pesar de que pretendieron obligarle á abrazar la carrera eclesiástica se negó tenazmente . dedicó por completo al estudio de las bellas letras y de la Filosofía. Nombrado aposentador de una división de tro- republicanas francesas que venian de Portugal, se le dio una comisión importante que desempeñó cumplidamente.
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Htjun, i^irs, 9^ai»e bee a3el; (SI, ober lOelttan, (^ßett ®ott^ (et ben CHbtttfc^} femth'fc^en fShlftn, be^ ^rono^ bet ben ^rfrt^en, Sa tut* nu€ bet ben S'Jömern. Die LXX geben ben nur etmat im alten ^eflanient %mc9 26. C»0t- ^P0. 7, 43.) Dorfommcnben 5?amen burc^ 'Paufctv C^a^^. 'Ptf^icfav^ *F£(pdv, 'PojiKfcO] na^ ber getDÖ^nltc^en (SrUdrung (wit j. 35. no($ bc 2Bette'6 ]» apg. 1. c.) sinbet Jt'er ein SSefc^jen @tatt, ber UcBerfe^cr ^abe für :: Cji">"iD ttab 1 bitri^ q) iPaiq^av) gelefettl 2)tefe SSefc^uIbigung envei^t bwr(^ bte Sanje Slnffaffona, toelc^e We (eri^ni» CMe bisr^ bte LXX crfit^r, «ff ixti^ \ tbi4lffl«ii0r «mU^ Soite bff f^atT^en SMr^ im Me^tfd^e» eilMM» itntäitstti^ an^ bof ber belaittttere 9lamc cdtr OcfUnis0(l|eit «er^attbeit «oerbeit foHte ; 'i^^crv fotntnt aber toirRt^ tn etnem C^on ih'rc^er unb Sevlfinrt^ stttget^etlten) arabtf^-fopttft^en f^Ianeteitoerietd^ntf at6 92ame ©atume i»or, •* ebenso t'P Äi'ion Äet»an , ^cwan , Slame beö (Saturn bet ben fJerfern , Slta- bent; ©^rern u. a. , »erflümmelt tn bem dgypti'f^ien /Cvwy, riyojv. 9ieben ber gprtn irs sinbet Pc^ etne jaeite C^on, (5^un, (J^e»»an), ^duftg bei dtah' btnen snb anf numtbtfi^en 3nf($rt^en as^ SBaaI*Q[^on, ^^un ober (E^ewan. 2)er 9{ame tfl stoeifel^o^ne femtitfi^ nitb lettet fi^ ab oott p^, anfrei^tpeaen, feß- fbUhi, eritnbes; M Slomen p-^d mb tß ein anfrctti ober feji 9cßdttc9, flif €MUe ixUay); 6«tarn fü^ bicftt Hami M bctt €Mloi dl wafio^ kfj&tfoq^ fofofcnt bte Settorbttttng e»{s stf<4 ^tfl^M «9^ fvrtb altert, anf xotVä^t flnfc^aattiig anf bte bilbli^en iCarßeQnngen beffelto (intteifen. ^^\, ^DX>tx9, 9^^bm>'er, 6. 286 ff. «ib tai «st Silber (et beit ^ebräern, unb (Bö^enbtesß. # [^&nta.] jlUian/ ©lanben^prebiger nnb ^axi^xtx im flebenten 3a^r- Jttttbert, ein ©cotte (b. t. ^rWnber) »on ebter ©eburt, öon 3oß«^ «»f iecture ber ^I. ©(^rtft unb ber grbntmiöfeit ergeben, toa^rfc^einlicj ein trifc^er Soitbbif^ofi ber )U0(ei(^ ein itlofler tnnb eine ®i(tt(e in 3tlanb leitete, Oer« fnmMÜe tted Xaee«, ergriffen (Qrißt Sorten: „SBer mir na^folge« IvIO, 9fitti%ne f{4 felbß, neunte jfeAi «if fl^ »nb folge wir aa^" feitt 9^ sefen nnb (Seiler, ^onmter ben frefb^tcv Wnum (Mmf) «üb bot Diftcm IDOttHin« (totnan), erfldrte feine Sbfi^t, ba« Saterlanb nnb SCSe^ )tt bertaffen Mb nannte fle i(m }tt folgen, fßiü Bnrebene bebnrfte H bei SiUlnbem , bie fo gerne in frembe Sdnbcr, befonber« not^ 9lom ptTgerten, nt(|t, nnb fomif 30^ Kilian mit meutern Begleitern, oon benen namentli«^ ber ^reöb^tcr (Soloman »nb ber Diacon Donatuö angeführt »erben, jur aJcise nac^ dim an«.
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Rtfp. concefTo ^ntccedenri» n.*go Confequen- tiam . Et Ratio difcriminis eftquoJ Prclarus»& Snperior quiltbet habet potcltatcimperandiAib- ditis» inquantum conuenxns eflbotiO commiot; fccundariO, vero, vt conducit bono particulan, & ideo debct poire impcrari » vtiudicat conucnicns eflebonqcommuni , non attentaparticulari opi- nione fiibditi»& ipfe fubditus ei obtempcrare. ContVflbr autem habct Audoritarem pcr fe or- dmatam ad falutem confitentis, & fccundari6 ad b niiim comnmne.ad quod deb:t pro noicre co- fitentcm ,& ided ctim circa tes coi.fcicr.tix px. nicenti fatis prouidcatar , fi fcquatur oninio icm probabJem, vt non peccet, ncc tcncatur rcftitue- re» idjocum fichocbonum (aluetuf.deb.t Con- fefloradmitterc talcm confitentis opmioncm, & conformare fe illi»non verd coiificens cum opinio - ne Confeflarij. Arg. j.Reus m caufa fanguinis dcli&ofcim- probato , intcrrogatus iuridice prxcepto Superio- ris» vt vcritatcm apcriat.non tcnctur ob.-dire, & illam iperirc . Etgo ncquc in alijs caults . Con- fequentia videttirbona i paritate racioti;s-& An- tecedens conceditur a plunbus Doctonbus ct hcs, qui non profitcntur dodnnam Angclici Prx- ccptons. vcl probabile. crgo eadem pfobabi;icate dcb.nt concedere» qttod fubdicujiin hnulicafu non t.ncatur ob.-dirc. Re(r>. i.aeeando Anteccdtms; vt cnm Jocet Sanctus Thom.yrr ttnda fecunda , queti. 6.ya. I. fk omnis eius fchola , p:urcfquc ext a lhaoi ctim illo» in eocafti Rcus tenctur verttatcm fatcri etii cumdifprndio vicx.li ludcx camfemiplena pro- baciane, &a!ijs dcbitis Circamftantijs intcrrogat, de qtio vidcantur cxpoiitores illius loci. Sc~ cundd Rcfp. tranfcat Antcccdcns» & nrgo Con- icqucntiam : c\ Katio difcnminis efl» quam alii- gnamus in fecuuda parte Conclulionis prxterit» dub. antcted. nempc, qu.id q iando cx h >c» quod obcemp rct itifcnor S.ipcnons.fcquitur a/iquod grauc damnnm libi. v.lalt.ri.tunc ficftopinio probabiiis.quodnon tcnctur obtcmpcrare obali- quam caufam , puta t q -na matcria eft iniufta» vct quia» vt tunc nondvbet l^qiii conrra* proprium fanguinem fjctc^ potcit non obedirc.
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Magnae quaedam res est, magnaeque saculari felicitatis continent civiles homines ebietas, atque conjunctio ex qua cum omnes humanicas, omnes optimas atque honestissimas artes ortum habuerunt, tum ipsi in primis justitia reliquarum omnium regina virtutum orbi terrarum illuxit; ut plane confitendum est. Ut nullum aliud moralium generi constitutum bonum, quod officio, cultuque civili, aut optabilius esse potest, aut praestantius. Rursus ex his rebus, quae in terris aguntur, nulla difficulatae, molisque molestiarum majores habent, quam congregatio, & communitas generis, humani. Primum enim, ut omnicam malam, quae cum pura in regione celesti effi non pontis, nos hunc inserviendo inferiorem incedentes astringere; cum unusquisque naturam quandam habeat sumam, eamque minime implacem; tanta exsitit in singulis voluntatione ac sententiarum dissimilitudo, & tam varii animorum ratio, ut in vita versari sine aliqua vel occulta, vel interdum etiam nimis aperta atque acerba disceptione vix possimus: deinde cum civitas omnis optima quandam formam proponat vitam (omnes enim, quantum necesse est, esse cupimus) ea autem fit in usu virtutis positae, ita fere contingit, ut in magna hominum multitudine alii, & ii quidem admodum pauci, sive virtutem colant, alii parum, multi vero ne quid ipsa quidem sit virtus intelligant; ut mirum minime sit, si videamus res civiles non modo in proprio fine impeditae, sed ab eo expius aberrantes multis magnisque perturbationum incommodis conflatuarum. His rebus, quas per senem peripateticum fissa sunt, exempla non adjungam: verum si quis se cum animo repetat, et eaque studiose inquisitabat, quae post hominum memoriam rerum gestarum monumentis tradita funt, non dcam in barbaris nationibus, sed ne in temperatioribus quidem regionibus Europa, ubi ingenium in rebus & consiliis publicis maxime semel praeterit, nullus proprie civitates floruit, quas interina mala non aliquando aut de pristino statu consulcerint, aut certe labefactarint.
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’ ' gantzen Wclc , tantum cavjfam caujfam formalem w con- zur bezahlung rur die Sunde aer i.Job. 1.7. Ne vero dicatur, haec meritoriam juftificationis, aon vero i74 CALOV. DE FIDE VETERUM concernere , ilico fubjungitur : diefe gerechtigkeit aber und folch verdienft Chrifti left uns GOtt im Wort des Euangelii , und in den lieben Sacramen- ten furtragen, anbieten,und wil, dafs wir fie durch den Glauben, welchen der H. Geift durchs Wort in uns anziindet und wircket , begreifen und an- nehmen follen, Rom, m, und aifo werden wir fur GOtt gerecht, nichc ohne gerechtigkeit, fon- dern vermitre|ft und durch die allerhochftc und voikommenfte Gerechtigkeit , die unler Mittlcr der Soho GOctes, da er uncer das Geletz gethan war, mit feinem Gehorfam , Leiden , Sterben '-y und Aufiferftehung uns erworben hat. Denn diefe frembde Gerechtigkeit Chrifti rechnet Gott aus gnedjger Barmhertzigkeit denen fundem zu , wel- che in wahrer bufs durch rechten Glauben Chri* ftum im Wort und Sacramenten ergreiffen und an«« nemen, alis der ihnen zur Gerechtigkeit von GOtt gemacht und gegeben ift, und ftellet diefelbe Ge- rechtigkeit Chrifti zwifchen Gottes Zorn und ihre Sunden. Umb diefer Gerechtigkeit Chrifti , und deflelben Verdienft willen, macht GOtt diegleu- bigen gerecht , das ift. Er fpricht fie gerecht, ab- iolviret und fpricht fie lofs von ihren Sunden, votn Urtheil der Verdamniifz , und des ewigen Todes, nimbt fie zu gnaden auf , helt fie vor feine Kin- der, und machet fie Erben der Zeligkeit und des ewigen Lebens. Daher denn die jenigen , fo durch deii Glauben gerecht worden feyn , friede mit Gott habe n ; und einen freundliehen zugang zu Gott und'feiuer gnaden durch den Glauben , in hoffhung der zlikiinffcigen herligkeit, die GOTT gebenfol, Rom. v. 2. Ut ergo fine juflitia non juftificatus um- qvam qvisqvam , fed fer juftitiam j ita non per qvalemcunqve juftitiam, fed per juftitiam Jummam & ferfe£hffiwam , typus Filii Dei faffwte partam - nec •* • v* IN CHRISTUM.
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La journée du jeudi fut assez désagréable, à cause du temps, qui ne permettait pas de sortir. Au dîner, je me trouvai à côté du Prince Gabrielli, avec lequel je m'entendis fort mal sur les affaires d'Italie. En sortant de table, on passa dans la salle de spectacle, où les artistes de la Comédie française jouèrent trois petites pièces : Gringoire, Pour les Pauvres, Une loge d'Opéra. Une éclaircie permit le vendredi d'aller jusqu'à Pierrefonds. La pluie nous tint compagnie pour le retour, mais j'étais bien installé, dans un char à bancs, entre la Princesse Gabrielli et le vicomte de La Ferrière, premier chambellan, en sorte que le trajet me parut assez court. Après le déjeuner du samedi, je fis un tour dans le parc, pour voir la chasse à tir de l'Empereur, ce qui m'intéressa très médiocrement. A cinq heures, l'Impératrice m'invita pour la seconde fois à son thé intime. Elle me fit asseoir auprès d'elle, et lut, en le commentant, le discours prononcé, ce jour même, par Victor-Emmanuel. Puis, en cherchant un portrait de Mazzini, qu'elle voulait me montrer, elle ouvrit un cahier rempli d'extraits d'ouvrages qu'elle avait copiés de sa main. Je vis qu'elle aimait à fixer ses souvenirs, car, pendant la conversation, elle prenait des notes sur un petit carnet. Le dimanche, tout le monde assista à la messe dans la chapelle du château; vers deux heures, l'Empereur et l'Impératrice firent leurs adieux à leurs invités, et à quatre heures, j'étais de retour à La Muette, heureux de retrouver mon simple foyer. Au mois de janvier 1867, un changement de ministère amena M. Cornudet à la présidence de la section des travaux publics. Ce me fut un vrai bonheur de me trouver sous la coupe directe de cet homme de talent.
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Eine anerkennenswerte Leistung ...", mit einem sehnsüchtigen Blick. „Meine Sekretärin," fagte Peter Pieter, „schreibt fünfzig Worte in der Minute nach Diktat. Seit ich zur Methode des direkten Diktats in die Maschine übergegangen bin, erspare ich nachweisbar hundert Arbeitsstunden im Jahr, bei einer täglichen Durchschnittsproduktion von dreißig Maschinenschreibseiten. Meine Sekretärin " Und dieses Wort faßte Wurzel in Silvester Kärglichs Träumen. Sie war schlank und blond. Sie begann ihre Tätigkeit damit, daß sie einen Lippenstift zog und längere Zeit vor ihrem Taschenspiegel andächtige Handlungen verübte. Nach Beendigung dieses sakralen Aktes spendete sie Silvester Kärglich einen nachsichtig-aufmunternden Blick, der zu sagen schien, daß sie nun bereit sei, zu den nebensächlichen Dingen überzugehen. Silvester Kärglich ergriff das unvollendete Manuskript seiner letzten Novelle, räusperte sich und begann zu diktieren: „Egon schlug die Tür hinter sich zu und sagte: „Ha! Ha! Ha!!..., haben Sie „Ha! Ha! Ha!?" „Ha! Ha! Ha!" wiederholte die Sekretärin. „Ja, ich danke, Bitte weiter. „Aeh. ..." sagte Silvester Kärglich und räusperte sich. „Aeh ..." „Bitte?" „Oh — nichts." Pause. „Aeh. ..." begann Silvester Kärglich noch mal und verstummte hoffnungslos. Es war aus. An jener Stelle seines Hirnes, wo eben noch ein schemenhaftes Gebilde einleitend „Ha! Ha! Ha!" gesagt hatte, war plötzlich ein Loch. Das schemenhafte Gebilde sagte nicht mehr „Ha! Ha! Ha!", es fagte überhaupt nichts, es war einfach verschwunden. Nur eine ungeheure weiße Fläche war mehr da, über die Wortbänder liefen, monoton, wie die Schrift einer Lichtreklame: Graue Augen Blonde Haare — Das Zusammentreffen der Herren Simpson und Pebbles war zufällig und einmalig, wie die Begegnung zweier Sterne im Weltraum. Es kam derart zustande, dass Mr. Simpson nach seiner Ankunft mit dem Transkontinental-Express vor dem Bahnhof von Chicago das gleiche Autotaxi bestieg, das Mr. Pebbles zum Feld seiner (für ihn) ersprießlichen Tätigkeit erwählt hatte. „Wohin wünschen Sie zu fahren, Sir?" hatte der Chauffeur gesagt, der einladend auf Mr. Simpson zugetreten war. „Carlton-Hotel," hatte Mr. Simpson erwidert. Worauf er das Taxi bestiegen hatte, um zu spät zu entdecken, dass in seinem dunklen Fond bereits Mr. Pebbles kauerte, ein Herr, den er nie in seinem Leben gesehen hatte, der aber die leidige Angewohnheit zu haben schien, fremde Leute mit gezückten Revolvern zu empfangen. Der Wagen fuhr so schnell an, dass Mr.
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Alvarado y Olid continuaron su marcha ha- cia Tlacopan^ de donde pasaron a romper el acueducto de ChapoUepec para quitar la agua á los mejicanos; pero no pudieron ejecutar tan im- portante hostilidad sin una gran resistencia de ios enemigos, los cuales previendo este golpe, hablan hecho, así por tierra como por agua, sus preparativos para la defensa. Estos fueron der- rotados, y los ílazcaliecas en la persecución ma- taron veinte de ellos, hicieron siete ü ocho pri- sioneros. Dado tan felismente este primer pasp, resolvieron aquellos comandantes ir per la cal- zada de Tlacopan á vencer algún foso; pero M tan grande la multitud de mejicanos que vinie- ron contra ellos, y tan espesa la lluvia de flecheSi dardos y piedra > que les tiraron, que mataron ocho españoles é hirieron mas de cincuenta, y con mucho trabajo pudieron estos retirarse aver- gonzados á Tlacopan^ en donde acampó Alvara- do, según la orden del general, y Olid marchó á Coyokucan el dia 30 de mayo, consagrado aquel año á la solemnidad del Corpus, en el cual co- menzó, según el cómputo de Cortés, el asedio de la capital. Mientas que Alvarado y Olid se ocupaban en llenar algunos fosos que habia en la orilla de la laguna y componían algunos pasos para la eo- modidad de la caballería, el comandante^ Sando- val con el numero referido de españoles y con mas de treinta y cinco mil aliados> salió de Tez* coco el dia 81 de mayo oon el propósito de tomar por asalto la ciudad de Iztapalapan^ contri la cual estaba particularmente empeñado Cortés.
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Ainsi se présente la question religieuse dans ses termes primitifs et les plus simples, sous le double aspect de l'intérêt spéculatif et de l'intérêt pratique, et tel est le problème capital dans lequel l'importance de la science dut se concentrer presque en entier. Quels prodigieux efforts l'esprit humain n'a-t-il pas faits pour le résoudre! Mais ici comme partout, et bien plus qu'ailleurs, l'observation ne fournissait d'abord que des données insuffisantes. Cependant la société humaine avait un besoin urgent à satisfaire: elle ne pouvait se passer d'une foi, car elle ne pouvait se passer d'une règle de conduite, car, en un mot, elle ne pouvait se passer de vivre; et cette foi, renonçant à obtenir de l'expérience et du raisonnement une base de certitude, se donna pour base l'hypothèse. Une religion conjecturale fut donc constituée, et ses enseignements imprimèrent leur type à tous les autres enseignements, à toutes les opinions, à toutes les mœurs, à toutes les pratiques, à toutes les institutions, à l'organisation sociale toute entière.
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5. die Refoniss zur Anleitung von! Die Prüfungsausschüsse bestehen aus einem Vorsitzenden nach Maßgabe ihrer Leistungsfähigkeit zu den Lasten der Neuaufrichtung beiträgt. Die Bewilligung erfolgt durch den Minister der geistlichen Angelegenheiten und den Finanz-Minister. Die jährlichen Ersparnisse an dem nach Absatz 1 bereit gestellten Betrage fließen in die allgemeinen Staatsfonds. Artikel 10. Die allgemeinen Grundsätze über die Berechnung der Erträge des Stellenvermögens und der anderweitigen kirchlichen Einnahmen des Stelleninhabers werden von dem Minister der geistlichen Angelegenheiten nach Anhörung bischöflicher Behörden festgestellt. Der Betrag des Stelleneinkommens wird bei den vorhandenen Pfarrstellen nach dem Zeitpunkt des Inkrafttreten dieses Gesetzes, bei neu zu gründenden Pfarrstellen nach dem Zeitpunkt der Errichtung bestimmt. Die bischöfliche Behörde beschließt über die Höhe des mit der Pfarrstelle verbundenen Stelleneinkommens und trägt die mit einem Stelleneinkommen von weniger als 3200 Mt. jährlich verbundenen Pfarrstellen und den Betrag des festgestellten Stelleneinkommens derselben in das Register der aufbesetzungsbedürftigen Pfarrstellen der Diözesen ein. Die bischöfliche Behörde nimmt nach Ablauf von 12 Jahren nach dem Inkrafttreten dieses Gesetzes und fernerhin in zwölfjährigen Abständen vor. ordnung. Ferner steigt die Befugnis zur Anleitung von Lehrlingen nur denjenigen Personen zu, welche das vierundzwanzigste Lebensjahr vollendet haben und in dem Gewerbe oder in dem Zweig des Gewerbes, in welchem die Anleitung der Lehrlinge erfolgen soll, entweder die von der Handwerkskammer vorgeschriebene Lehrzeit, oder, so lange die Handwerkskammer eine Vorschrift über die Dauer der Lehrzeit nicht erlassen hat, mindestens eine dreijährige Lehrzeit zurückgelegt und die Gesellenprüfung bestanden haben, oder fünf Jahre hindurch persönlich das Handwerk selbständig ausgeübt haben oder als Werkmeister oder in ähnlicher Stellung tätig gewesen sind. (§ 129 Abs. 1.) Damit ist der Grundsatz anerkannt, dass der Meister, welcher Lehrlinge ausbilden will, seine Befähigung nachgewiesen haben soll. Leider ist das Gesetz bezüglich der Anwendung dieses Grundsatzes auf halbem Wege stehen geblieben, indem nicht die Meisterprüfung, sondern die Gesellenprüfung verlangt wird und auch hier eine fünfjährige selbstständige Ausübung des Handwerks als Ersatz gelten kann.
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La lune venait de se dégager des nuages qui la voilaient, et sa douce lumière éclairait un des plus beaux sites qu’il soit donné au regard de l’homme de contempler. Les fugitifs, bien accoutumés aux nuits splendides de ces contrées privilégiées, ne purent se défendre d’un mouvement d’admiration profonde, et tout en se courbant énergiquement sur leurs rames, ils laissaient leurs regards se perdre au loin dans les profondeurs pleines de verdure qui les entouraient. À droite, à gauche et devant eux s’étendirent à perte de vue des forêts vierges, dont le vert feuillage se détachait vivement sur un ciel éclatant de pureté... De temps en temps, un bouquet d’arbres s’élançait du milieu du lac. C’était une petite île, charmante oasis, où des troupes d’oiseaux chantaient doucement leur prière du soir. Tout était calme et recueilli. On eût dit que la création sortait des mains de Dieu, et il passait sur ce magique tableau comme un souffle de bonheur et de béatitude divine !... Les barques volaient, ridant à peine la surface de l’onde ; il y avait loin encore pour atteindre les « Marais Maudits », mais les fugitifs pouvaient espérer que Smith avait perdu leurs traces et qu’il ne devait plus les retrouver que lorsqu’il serait trop tard. Cela devait être, en effet, et tout donnait lieu de le penser. Malheureusement, il advint un accident qui, au lieu de les servir, vint précisément se mettre en travers de leur fuite. La petite bande que conduisait Smith avait bien, ainsi que le pensait Rugby, dirigé sa poursuite du côté des « Marais Maudits » ; pendant les premiers moments, ce fut de leur part une lutte acharnée à travers les bois, course directe que rien n’avait pu distraire et qui ne tendait qu’à surprendre les fugitifs.
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Après avoir tenté, sans succès, d'amener une entente entre les maires de Paris et les pouvoirs insurrectionnels, il répondit par sa démission à la publication du décret relatif aux otages (6 avril) et se tint désormais à l'écart. Le 30 juillet suivant, il était élu membre du Conseil municipal de Paris, pour le quartier Sainte-Marguerite (XIe arrondissement). Appelé à déposer devant la commission d'enquête sur les actes du gouvernement du 4 Septembre, il soutint, avec énergie, la politique de résistance à outrance et n'eut pas de peine à se disculper de l'accusation ridicule d'avoir préparé des listes de proscription. Il protesta, en outre, contre les allégations de la commission d'enquête sur le 18 mars (1872). Cependant, bien que membre de la Commune, ne fût-ce que quelques jours, M. Ranc n'avait pas été poursuivi. Jugeant qu'il y avait à cette exception une flagrante injustice, M. Edgar Raoul Duval interrogeait à ce sujet M. le ministre de la guerre, dans la séance du 16 août 1871. Le ministre avait répondu que « la justice suivrait son cours », et il était visible qu'elle le suivait en effet, bien qu'elle ne s'en prit pas à celui que M. Raoul Duval s'acharnait à désigner à ses coups. En conséquence, l'honorable représentant déposait, le 20 septembre suivant, une demande d'interpellation sur le même sujet, laquelle n'eut pas de résultat plus décisif que la « question ».
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La tempête qui sévit depuis lundi avait atteint son maximum d’intensité dans la nuit de lundi à mardi. Entre ces deux journées, l’ouragan a démoli quantité de cheminées et de toitures, déraciné des arbres et transporté à de grandes distances des branches cassées et des dalles arrachées aux maisons. Les dégâts sont nombreux mais peu importants. Le vent continue à souffler avec violence. AARCACHON La tempête, qui a commencé dans la soirée du vendredi 27 février, ne nous avait pas gravement atteints. Les vapeurs de toutes les pêcheries ont pu rentrer, et naturellement ne sont pas ressortis depuis, car le vent et les rafales n’ont pour ainsi dire cessé ni jour ni nuit. L'ouragan a redoublé dans la nuit de lundi à mardi. Pendant toute la soirée, s'étalent succédé des abats d'eau; à deux heures du matin, il est tombé beaucoup de grêle; à cinq heures, l'éclair éclatait dans un fort coup de tonnerre. Beaucoup d'embarcations ont été enlevées par la force des vagues et démolies, des bacs sont partis en dérive. Le vapeur pingouin a perdu une ancre, le voilier Résolu a chassé et perdu l'ancre aussi, de même que le ponton Henriato. Le vapeur Ville de Rockefeller, chargé de trois millions d'huîtres pour Marennes est dans l'impossibilité de prendre la mer. La force des lames a enlevé le tablier de l’échafaudage construit en face de la place Lisiers pour l’établissement de la jetée-projetée. Des centaines de madriers sont alors devenus le jouet des flots, et ont été rejetés sur la plage, où l'on s'occupe à les recueillir. Mardi matin, on tire sur le littoral des oiseaux de mer qui fuient devant le gros temps, et en face du débarcadère, on tue même à coups de pierres, des quantités de pécules roulées par l'eau, et n'ayant plus la force de s'envoler. Toute traversée étant impraticable sur le Bassin, qui est complètement démonté, on ne peut aller aux parcs aux huîtres, qui ont dû certainement souffrir de la tourmente. Toutefois, cette tempête ne causera probablement pas d’aussi grands ravages que d’autres, parce qu'elle est venue progressivement, ce qui a donné le temps de se précautionner dans la mesure du possible. AUTRES DÉPARTEMENTS Angoulême, 3 mars. Lundi toute la journée, le vent a violentement soufflé, causant ici et là des dégâts: Dans la matinée, M.
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CASTALION (Sebastiano) di cui vero nome è Chateillon era del Delfinato. Si acquistò a Strasburgo nel 1340, la stima e l'affetto di Calvino, che gli procurò una cattedra nel Collegio di Ginevra; ma dopo tre anni, avendo avuto qualche contrasto con Calvino, e con Teodoro di Beza, ritirò a Basel, ove insegnò il Greco. Morì a Basel il 29 Dicembre 1563. Egli sapeva il Latino, il Greco, e l’Ebraico. Ha lasciato diverse opere; Le principali sono: 1. Una versione Latina, e Francese della Scrittura, che ha fatto molto strepito: La versione Francese composta a Basel nel 1535, è rarissima: 2. Quattro Libri di Dialoghi, che contengono in bel latino le Storie principali della Bibbia. Di quell'opera furono molte edizioni. Un anonimo l'ha pubblicata poco fa, e l'ha messa fra le mani della gioventù; ma 3. mancamenti egli ha commesso: 1. l'ha spacciata per sua senza far menzione alcuna di Castalion: 2. ha lasciato dei luoghi, che non sono conformi alla Dottrina Cattolica: 3. infine non ha mutati inompropri alla maniera dei Cattolici. Tolentini quelli difetti, quell'opera è eccellente, e molto propria a formare la gioventù alla pietà, ed alla latinità.
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Joris van den Bergh kwam zijn perskaart voor den laatsten avond van den Zesdaagsche afhalen op het secretariaat van De Amsterdamsche Sportpers, welk secretariaat in hetzelfde huis gevestigd is als de redactie van „De Revue der Sporten", hetgeen begrijpelijk is als men weet dat hoofdredacteur van De Revue en secretaris van de A.S.P. slechts één man zijn. Zoodat onze wielerexpert niets kwaads vermoedend in het net van den interviewer liep, die opdracht had van zijn baas om van de gelegenheid gebruik te maken en Joris uit te hooren. „Een paar algemeene opmerkingen ?" vroeg het slachtoffer welgemoed. „Wel, dan in de eerste plaats de vraag of het niet te riskant was om met slechts 12 koppels een Zesdaagsche te beginnen. Zoodra er een paar koppels uitvallen, Zooals hier nu helaas gebeurd is, wordt het aantal strijdende renners te klein. Vooral omdat men bovendien nog Rielens en Van Buggenhout uit de koers heeft genomen. „De enorme belangstelling van de laatste dagen is voor mij geen verrassing geweest. Die heb ik altijd al voorspeld. Een bezwaar blijf ik het echter vinden dat deze Zesdaagsche gehouden wordt in een gebouw, dat zich er niet toe leent.
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Bruxelles 4880, Londres 4SU Les plus hautes Récompenses INVENTÉ» 4 "«O ras u prieur un l’an I *9 # O Pierre BOORS AUD « L’usage journalier dol’Blixir »en-, dfrlce des R*. PP. Bénédictine ■ la dose de quelques gouttes dans l’eau, prévient et guérit la carie de dents, qu'il blanchit et consolide vu ' fortifiant et assainissant parfaitement les gencives. « C’est un véritable service à rendre à nos lecteurs de leur signaler cette antique et utile préparation, le meilleur euratif et le seul préservatif des Affections dentaires. »Maison fondée en 1117^% — ■ ■ ■ ». ■ 3, rue Huguerle^ IAgent général : S EG U I N BORDÉ Dépôt» chu tou» l»t Pharmacien», Parfumeur» el Coiffeur». Dépôts à Bag ières : ch z MM. Cayran, coiffeur l. ule.aid du College. — Mèayot-Farant, coiffeur, allée des Coustous. — Clétlé, coiffeur, place l.afiyette.Etude de 51e GAYE, notaire.A VENDRE AUX ENCHÈRES Le 15 Avril 1881», à midi Les immeubles ci-après dépendant de la succession de feu M. Dominique Péré Premier lot. Une MAISON, avec Cour et Ecurie, sur ,a Pu=« Ram»„d. Second lot. Due MAISON, avec Cour et Ecurie, Troisième lot. ÜI16 MAISON 6t Jardin, rue des Carmes ou Gambetta. Quatrième lot. Doe USINE TOURNERIE, avec Chute d’Eau et Pré l'entourant.Le tout SIS A BAGNERESTous lesdits immeubles d’un revenu assuré.A vendre également divers PHÉ8 et CHAMPS dépendant de la même succession et situés dans la plaine de Bagnères à Pouzae.S’adresser, pour les conditions de la vente, à M* GAYE, notaire.* H • u10)«mz 2 lîlCQ FÜ.?1 O c q-l â^I!CO= £he»S ■s 2 g ? si “ * § t ® g J g * U CçFfc 5 rA 1^0 ^ IfylL U.â;lO| g°g z o 2 ! * iu|-=MÉDAILLE D'ORH0^L*WlND5OH RÉGÉNÉRATEUR DES CHEVEUX le publie est prié pour éviter toute Imitation ou contrefaçon, d'exiger les mot» “ ROYAIj IVIMIS O II » sur l’enveloppe do chaque flacon. X.e KOYAIj WINDSOR est le soûl Régé nérateur des cheveux qui, pour non eflicaclté et ses qualités hygiéniques a obtenu une ni fill Al ElD’OR à l'Exposition Internationale d’Amsterdam 1633, après avoir été le seul médaillé A l’Exposition de Bruxelles 1330. Le ROYAL WINDSOR est le seul Régé nérateur recommandé par les médecins. XiO ROYAL WINDSOR est infaillible pour rendre aux cheveux gris leur couleur naturelle. C’est aussi lo meilleur remède pour détruire les pellicules.
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HBSS: Henricus B. F. Walkenbach (strafnr. 4577) Westerfrankenlandsestraat 102a, Schiedam, ingaande 29 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Sportlust ’46— HBSS op 13 februari 1960. RHEDEN: Albertus Bosveld (straf nr. 4578) Oranjeweg 86, Rheden, ingaande 26 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Heerenveen—Rheden op 14 februari 1960. RHEDEN: Gerrit Dorland (strafnr 4579) Smidsweg 20. Rheden, ingaande 26 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Rheden 2— PEC 2 op 7 februari 1960. WAGENINGEN: Leonardus P. Kuhnen (strafnr. 4580) Zonnebloemstraat 24, Nijmegen, ingaande 26 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Fortuna VI.—Wageningen op 14 februari 1960. DE SPECHTEN: Johannes J. v. d. Linden (strafnr. 4581) Chaussonstraat 36, Eindhoven, ingaande 29 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd De Spechten—MOC T7 op 14 februari 1960. AXEL; Th. Rietjens (strafnr. 4582) Wouterij 27, Koewacht, ingaande 29 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Axel—RCS op 7 februari 1960. RENESSE: Willem Krijger (strafnr. 4583) Hoogezoom 27, Renesse, ingaande 29 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Renesse —Noordhoek op 7 februari '60. WOENSEL: Petrus M. A. van Dijck (strafnr. 4584) W. Barendsz.- straat 24, Eindhoven, ingaande 29 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Eindhoven 4— Woensel 3 op 7 februari 1960. MVK: Jan van Dijken (strafnr. 4585) Hoofdstraat 53, Valthe en Johan de Vries (strafnr. 4586) Zuiderdiep 53, Valthermond, ingaande 29 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd MVK—SSSV op 6 februari 1960. ORANJE NASSAU: K. R. Noordhuis (strafnr. 4587) Kromme Elleboog 24, Haren, ingaande 29 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Oranje Nassau—ONS op 30 januari 1960. ZWART WIT ’19 : Matheus Boon (strafnr. 4588) Eijserweg 19, Eijs, ingaande 29 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Zwart Wit T9—Leonidas op 7 februari 1960. HORN: Theo Janssen (strafnr. 4589) de Weerd 5, Roermond, ingaande 29 februari 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Horn—Merefeldia op 7 februari 1960. DVAV: Jaap Stodel (strafnr. 4592) C. J. van Kinderenplein 2, Diemen, Ingaande 1 maart 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd TWMDVAV op 21 februari 1960. MADJOE:. Lambertus Groenemeijer (strafnr. 4593) Krugerstraat 21hs, Amsterdam, ingaande X maart 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Nijenrodes—Madjoe op 21 februari 1960. WIELDRECHT:, Mathijs Dubbeldam(strafnr. 4594) Brugdam 9, Hoge-Zwaluwe, en Leendert Drooger (strafnr. 4595) W. Barendszstraat 126 Dordrecht, ingaande 1 maart 1960 wegens wangedrag tijdens de wedstrijd Oranje Wit—Wieldrecht op 13 februari 1960. BVC’12: Petrus L. J. Verbeet (strafnr.
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cise collation of the two procedures of analysis and synthesis ; — or, (as, these terms have been corrupted by metaphysical uses) composition and decomposition. — Every substance which has been decomposed must evidently be capable of recomposition, whether the process be otherwise practicable or not. If the inverse opera- tion reproduces precisely the primitive substance, the chemical demonstration is complete. Unfortunately, the vast extension of chemical resources in this century has had a much stronger bearing on analytical powers than synthetical means ; so that there is at present little proportion and harmony between the two methods. — Such harmony is indispensable to the establishment of certainty in some cases, as we see when we duly distinguish two widely differ- ing kinds of chemical analysis : the preliminary, consisting of the simple separation of the immediate principles ; and the final, lead- ing to the determination of the elements, properly so called. Though both are essential to chemical research, the first is of the most im- portant and extensive use. The elementary analysis might be spared a synthetical verification,: — because the composition of the reacting substances may be compared with the results obtained, thus indicating the composition of the proposed substance, the dif- ferent elements of which will in this way have been in some sort sep- arated. The impossibility of recombining the elements, to repro- duce the primitive body, ought not to throw any doubt on the solu- tion, unless there is some special reason for suspecting the simpli- city of any one of the elements. Synthesis can, in this case, only add a valuable confirmation, to what was before not doubtful. But the : case is very different when we have to determine only the im- mediate principles. As the elements concerned can produce com- binations of different orders, we can never be sure that one or more of the supposed immediate principles obtained does not result from the reactions caused by the analysis itself. It is only synthesis which, by reconstructing the proposed substance with the materials concerned, can decide the question conclusively, though in some cases of feeble agency in the reaetives, and strong analogical in- duction, there is no room left for reasonable doubt.
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398 KING 'S MO UNTAIN twenty-second, 1781, in his thirty-sixth year. When La Faj-ette received intelligence of the death of his friend, he issued a General Order announcing the sad event, char- acterizing General Campbell as "an officer whose services must have endeared him to every citizen, and in particular to every American soldier. The glory which General Campbell has acquired in the affairs of King's Mountain and Guilford Court House, will do his memory everlasting honor, and insure him a high rank among the defenders of liberty in the American cause;" General La Fayette recrettino- that the funeral was so ?reat a distance from the arm}^ as to deprive him and his officers the privilege of paying to General Campbell the honors due to his rank, and " particularlj.' to his merit," and deputing four field officers to repair to Rocky Mills and, in behalf of the army, pay him their last tribute of respect. Here his remains reposed until 1823, when his relatives had them removed to his old Aspenvale homestead on the Holston, in now Smyth County, beside his mother, little son, and other relatives, and where a neat monument was ei'ect- ed to his memory. His widow, a son, and a daughter survived him — the widow subsequently uniting in marriage with General William Russell ; the son died young ; the daughter, Sarah, became the wife of General Francis Pres- ton, and mother of Hon. William C. Preston, General John S. Preston, and Colonel Thomas L. Preston. Gen- eral Campbell's widow died in November, 1825, aged about eighty ; and his daughter, Mrs. Preston, died at Abingdon, Virginia, July twenty-third, 1846, at the age of nearly seventy years.
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La consommation en est si grande que les nations ont peur d’en manquer; elle déploient une activité fébrile à s’assurer de la possession des gisements, à en trouver de nouveaux ou à chercher des succédanés au précieux liquide. Une raffinerie de pétrole. Pendant que des équipes de savants et de techniciens font des prospections dans le monde entier, les ingénieurs exploitent à fond les gisements anciens et nouveaux ; ils forment maintenant des puits de 2500 mètres ; ils exploitent et pressent jusqu’aux sablés pétrolifères ; enfin ils s’efforcent de perfectionner les moyens de transport : wagons-citernes, bateaux-citernes et mieux encore, canalisations souterraines (pipes-lines) qui amènent le pétrole de la mine à la raffinerie. Pays de production. — La production la plus considérable appartient aux États-Unis : 70 % de totalité. Après les États-Unis vient le Mexique. La Caucasie russe a longtemps tenu le second rang comme pays pétrolier ; le liquide y abonde, mais il n’est exploité qu'en bordure de la Caspienne, avec Bakou comme centre. La Galicie polonaise, la Roumanie, l’Amérique du Sud, en bordure des Andes ; la Birmanie, la péninsule de Malacca, les îles de la Sonde, tous ces pays ont une production régulière destinée à l’exportation en très grande partie. La France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, sont à peu près dépourvues de pétrole. Avant la guerre, elles n’en avaient cure. Les besoins formidables qui se sont fait sentir alors et depuis ont fait naître une politique du pétrole qui a transformé la question purement commerciale en une question vitale pour les pays démunis. Loin d’être tranchée, elle reste en suspens, avec une redoutable incertitude. Production du pétrole dans le monde. LOCUS LATINS USÉS EN FRANÇAIS Coram populo : En public. — Currente calamo : Au courant de la plume. — De commodo et incommoda : Au sujet de l’avantage et de l’inconvénient (que présentent l’exécution de certains travaux publics, l’ouverture de certains établissements, usines, etc.) — Alea jacta est : Le sort en est jeté. — Lapsus calami : Une erreur de plume, et non de pensée. — LINGUA : Une erreur de mot. — Modus vivendi : Une manière de vie (acceptable par des contestants).
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XV. i8. 5. MARK. 121 (15 1) And straightway in the morning the chief priests with the elders and scribes, and the whole council, held a con- sultation, and, bound Jesus, and carried him away, and (2 delivered him up to Pilate. "And Pilate asked him. Art thou the King of the Jews? And he answering saith (3 unto him, Thou sayest. "And the chief priests accused 4) him of many things. "And Pilate again asked him, say- ing, Answerest thou nothing ? behold how many things 5 they accuse thee of. "But Jesus no more answered any- thing ; insomuch that Pilate marvelled. 6 Now at ^the feast he used to release unto them one (7) prisoner, whom they asked of him. "And there was one called Barabbas, lying bound with them that had made insurrection, men who in the insurrection had committed 8 murder. "And the multitude went up and began to ask 9 him to do as he was wont to do unto them. "And Pilate answered them, saying, Will ye that I release unto you 10) the King of the Jews? "For he perceived that for envy II the chief priests had delivered him up. "But the chief priests stirred up the multitude, that he should rather (12) release Barabbas unto them. "And Pilate again an- swered and said, unto them, What then shall I do unto 13 him whom ye call the King of the Jews? "And they (14 cried out again. Crucify him. "And Pilate said unto them, Why,' what evil hath he done ? But they cried out (15) exceedingly, Crucify him. "And Pilate, wishing to con- tent the multitude, released unto them Barabbas, and de- livered Jesus, when he had scourged him, to be crucified.
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Mando era nipote del primo, D. Michele dell'altro. Ma quel che riuscì loro doloroso a sentire fu, che l'Imperatore aveva dato volta nel contrario di quel ch'era prima: perseguitava la Cristianità a spada tratta: e pena la testa a' Padri se non uscivano del Giappone. Vero era, che, inteso dell'Ambasceria inviataagli dai Viceré dell'India, si era tutto addolcito, aveva rimesso la spada nel fodero, o forse il Valignani con impazienza. Questi, sperandone consolazione e calmo a quella tanto a lui cara e afflitta Christianità, volle accorrere a qualunque suo rischio: non v'ebbe forza di danari né eloquenza di preghi che non adoperasse col padrone di un giunco cinese (e sono i giunchi una mezza nave propria di quei mari, e mal sicura), per indurlo a metterlo nel Giappone: ma non gli venne fatto di smuoverlo: e fu effetto più della provvidenza di Dio che della ostinazione di colui: perciò si frequenti furono i Tifoni che regnarono l'un dopo l'altro in quella stagione e tu quel mare, che quanti giunchi sorpresero luiti ne all'ondarono.
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Naissances: Jeanne Jean-Francesco ; Quintenet René-Philippe ; Maillard Raymond ; Folliet Georges-Paul-Claude ; David Louis-Marie, Marcelin ; Thevenet Geneviève-Charlotte-Antoinette ; Perriaux Marie-Yvonne ; et la vie des Lucienne-Marie. Publications de mariages. — François Desvignes, tourneur, demeurant à Boulogne, et Marie-Violette Schaffausser, couturière au même lieu ; Marcel-Lucien Robert, employé, et Marthe-Marguerite Lebalieux, à Montcenis ; Jean-Marie Bourgoing, maçon, et Francine Sirop, journalière, Auguste-François, ajusteur, et Marie Mainfel, à Clichy ; François Tranchant, dessinateur, et Alice-Béatrice Rossignol. Mariages. — Curty Didier, sergent, et Lacagne Marcelle ; Gamier Pierre, mécanicien, et Nouveau Marthe-Marie-Germaine ; Brodel Louis-Edouard, comptable, et Claire Marie-Antoinette. Décès. — Winkler Etienne, 18 mois ; Robin Françoise, veuve Demouzh, 72 ans ; Guillaume René, souffleur, 68 ans ; Monneret Cécile, 9 ans ; Gaulias Anne, veuve Billard, 80 ans ; Rebichon Josephine, veuve Quenot, 73 ans ; Richard Marguerite, 23 ans ; Millier Emilande, femme Doucad, 80 ans. — 46. MONTCENIS. — En guerre. — Deux ménagères habitant un quartier éloigné de la ville, sont prises à partie pour un motif des plus futiles. Des injures, elles en viennent aux coups et se livrent à un pugilat des plus recherchés. Elles purent enfin être séparées, mais toutes deux furent plus ou moins « pochées ». — Il est arrivé! — Dans la matinée de samedi, il est arrivé enfin du sucre si impatiemment attendu de nos ménagères. Dans la journée, il fallait voir l'empressement de la population à venir chercher cette précieuse marchandise. — Vandalisme. — Une de ces dernières nuits, des inconnus ont mutilé trois jolies arbres fruitiers appartenant à M. Léon D..., ouvrier aux usines, qui estime le montant du méfait commis à 30 francs. CHARMOY. — Un chien atteint de la rage a parcouru la semaine dernière la commune, notamment le hameau d’Aigrefeuille, mordant les chiens de MM Michaud, fermier, et Lane, cultivateur; ces chiens ont été abattus séance tenante. Une oie a été mordue également. Malgré une poursuite acharnée, le chien hydrophobe n’a pu être tué et se serait dirigé dans la direction d’UCHON. — Accident. — M. Lazare Simonnet, 26 ans, qui pedalait dans la soirée de samedi non loin de la ferme de Toujours, a fait une chute par suite de la rupture du frein de sa machine.
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Succedit novus virtutis Schmidianai tertis, annus fx- culi trigertmus. quo, cum indida comitia congrertique Ra- tisbonx cum Imperatore Eledores ingenti fed vafia expe- datione , metuque dc fpe , curas conflidatx duodecim an- norum bello Germanix arrexirtent, fuamque quanto quis- que poterat opere cauflam 8c pacem Synodo fam celebri commendarent: Liberx,qux vocantur, & Imperii civita- tes Ev.ingelicx,utefficacimme loquerentur , Argeutoraren- lis iji J, H. Boeclem jfis ore Neftoris apud Imperatorias aures funt locutae. Rc- praefenrabatur dHcrrilTima deprecatione , indu(5ba late terris lblitudo,agrorum vaftiras, raptus penatium, injurix bello- rum^ acerbitates tributorum, conciiflio imperii & pavor.: CUJUS tot tantasque miferias non longius a patriae exitio , quam a dilatione auxilii abefle. Igitur modum malis ac finem eos orare, qui omnem Imperii incolumitatem ab Im- perii capite , poft divinam opem , expedarent. Infequens annus caufiam gravifiima: legationis concilium Evangelico- ' lum Procerum , Reipublicje ab interitu vindicanda: indi- btum , locum ac teftem Lipfiam : Sc mox alterius , Franco- cofiirtum habuit , quo pacis faciendae ergo ferebatur fada coitio. Sed & permultae difficultatis arduacque adminiflra- tionis fuifTe putandae funt, quae anno trigd uno tertio hu- jus faicuU primo Heilbronnam , deinde Francofurtum rur- ius infiitutae funt profecfiones : cum utrobique de rebus fatis ambiguis cum Proceribus Sucdicis ; quique eorum.
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Et la conscience des auditeurs se mesure au volume de leurs bouffées. Mais cela n’empêche point les congressistes, fort au contraire, de faire de l’excellent travail et ne troublent aucunement leurs idées. Ils ont émis, au cours de leur première journée de travail, des vœux pleins de bon sens. Ils protestent contre l’excessive siccité du caporal ordinaire et réclament, pour ce tabac de seconde qualité, un empaquetage aussi méticuleux que pour les Chesterfield de luxe avec feuille étanche. Ils font le procès de l’allumette, observant que si le paquet de grâix renferme quelquefois trop de petites bûches, la boîte d’allumettes n’en a pas toujours son compte exact. Et même en admettant que le compte y soit, trop souvent l’allumette n’arrive même pas à s’enflammer par ses propres moyens. Enfin, les fumeurs demandent la création d’un tabac de pipe qui soit moins cher que le caporal ordinaire et le reajustement du prix du cigare à l’indice général du coût de la vie. Demain, dimanche, ils se livreront entièrement à leur passion favorite qui est de fumer plutôt que de parler. Ils feront un concours de vitesse avec le cigare, un concours de lenteur avec la pipe, éliront la reine des tabacs entre deux cigarettes et permettront à leurs dames « d’en griller une » pour prendre part à un concours dit « de l'élégance du geste ». Face à leurs paroles, ont, merveille assez rare, une bonne chance de ne pas s’envoler en fumée. Pas un gros fumeur, un gros amateur de pipes, oserait-il ne pas les entendre ? Heureux congressistes, dont les vœux se réaliseront peut-être. Pair! ADOUINE LE PROBLÈME DES DETTES L'Angleterre est en mesure de laisser l'écoulement du 15 décembre Londres, 19 novembre. — La conviction que la Trésorerie britannique est en possession des sommes nécessaires au versement à l’Amérique prévu pour le 15 décembre trouve une confirmation dans les notes du « Manchester Guardian ». « La Trésorerie possède « en dollars », dit ce journal, les sommes nécessaires pour faire le paiement, s'il y a lieu de le faire, à la date du 15 décembre.
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Le commandant de brigade fait à son tour le service avec les gendarmes, et, s'il est absent pour une cause quelconque, il est remplacé, pour le commandement de la brigade, par le plus ancien gendarme. Dans les tournées de communes, les gendarmes doivent être porteurs de la note des signalements qu'ils ont reçus pour arrêter les brigands, les voleurs, assassins, les perturbateurs du repos public, les évadés des prisons, les déserteurs, les insoumis et autres personnes contre lesquelles il est intervenu mandat de justice. Si, dans ces tournées, on signale aux gendarmes quelques criminels, vagabonds ou déserteurs, ils doivent se mettre aussitôt à leur poursuite pour les arrêter. Après s'être assurés de l'identité des individus, par l'examen de leurs papiers et les questions qu'on doit leur faire sur leurs noms, leur état, (1) V. Passe-ports, p. 456 et 457.
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Mentre che '1 reato, corno fa, si tace Siede la terra, dove ntia fui. Sa la marina dove 'l Po discendo Per aver pace co' seguaci sui. Amor, eh' a cor gentil jratto *' apprende, Prese costui della bella persona, Che mi fu tolta, o il modo ancor m'offendo. Amor, eh' a nuli' amato amar perdona, Mi prese del costui piacer sì forte, Che, come vedi, ancoi non m'abbandona. Amor condusse noi ad una morto: Dama attendo chi vita ci spense. Queste parolo da lor ci far pòri* I H r.t *éfa SS. P«nI« 41 fnvena a fiatila: 0 n»4i o la càci i»i non anima «ola, ma tarpa aaiaulo, triilim Iriiene. pieno 1» pula • knKDlU. • Sonni. il > mima al tMf»i ni an»l. • Valg. «lori. *. fu . tannimi, • GpllalimtoU tact'e. « Peno ò no color* mitio di raeiireo • di Boro, ni «tao» il o»o e uiiiiidw ., Dui* attuo •a* f»a»ltf. Intuì-: IV. cip 3) I. <&• Uafcamo la terra JH no *• «ans- ili U font aaair-a, enUinUndi a noi. * »•• GII aallcr, ■irata. Lo rateilo» incl * cattavate rinvìi Si miti pia lotto ''■*, M . th' « modo tutto 1 o«t ,'* ti Uri, <i i iot come tool ■•llUrtr» K nem n tot li ■ *"fi| ria nei •*• rtiri. patch! "■« td unto • in » f. ■ I "s* ie<-l«M« conràcaioU alla natura ■ Miai *-*}. tWa U le "a. I •«1 "l'i «a. I. «Uni '1 drl naia, n< il **Men/a, aia noli incitala M lui. |iBi f,, uif pan <*■ K-j.iti /ui, ji.t I li.-rarii dall' impelo il.
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Dum igitur post reditum de Babylone non amplius itidem ii t prius in tribus divisus esset populus, quos tandem pcr Ephraem merito significari inlellexeris, nisi eos qui ipsam Uierusalem habitarent? quorum in bellis et ia armis cgrc- giam viiiulem, quae usque ad Romana tempora vigens fuil, Salvaloris noslri adveutus, sicut in Prophelia dictum fue- rat, divina et ineffabili virtute delevit. Proindc colleclam de gentibus Ecclesiam oraculum Evangelice instruit ac mo- n«i, non ut simpliciter gaudeat, sed ut vehcmenter gau- deat ; quippc quod illam ad id facicndum cxhortetur prop- ter Dei Verbi ad ipsam advenlum, quam itcm ccelestisSion, aut etiam prioris congregalionis fdiam vocal, propterea quod nosomncs qui cx genlibus profecti in Chrislum Dei credidimus, Christi Apostolorumque ejds proles el. filii su- mus, utpote qui de Judacorum congrcgalione lanquam dc natre orli simus : nam ctiam quod sequilur in Salvatoris nostri advcnlu complctum rssc constal. Quis cnim ignorat ^jusmodi j>acem e\ gentibus posl adventus illius tempora DE1I0KSTRATI0NIS r.V AXGKLICE LIV.. IV. 5/1 r xlitissc,cujusmodi nunquam anlea fuisset? nequc cnim ut prius, sic nunc civitales a civitalibus oppugnantur, neque genles cum gentibus colliduntur; neque vero ut priscis temporibus, sic noslris vita hominum inquicta iustabilis- que est, quippe cum neque Athenienses contra Lacedacmo- nios ferantur, neque Syri adversus Phoenicas, neque Arabes in Palaestinos, neque item /Egyptii adversus finilimos mili- tiam exerceant. Sed ex illo in hunc usquc diem Deo faven- le, in unum omnia coivere, et re vera, sicut in Prophetia dictum fueral, abundantia pacis ex gentibus prodiit, et unus Jesus, et ab ipso dcnuntiatum Evangelicae doctriiKE ver- bum, principatum a mari usque ad mare, hoc est ab orienle sole usque ad occidentem, et a fluminibus ad cxporrectio- nes terrae, sicut ea significaverant quaj apud Prophelam proedicta sunt, accepit; quae sane Aquila quoquc in hunc modum interpretatus est : « Et loquelur pacem in gentibus, » et potestas ejus a mari usque ad mare, et a fluminibus » usque ad fincs torrae1. »Tu vero haec comparato cum illis quae in Psalmo contmcntur qui inscriptus est in Salomo- ncm, quae videlicet de filio Regis ex semine Salomonis oriundo dicuntur, de quo hic Psalmus ila loquitur : « Et » dominabitur a mari usque ad mare, et a fluminibus usque » ad fines orbis terrae *. » Porro idem hic Psalmus eam item quae hic significalur pacem, sic futuram describit : « Orie- n lur in diebus ejus justilia et abundantia pacis 2.
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But it is dead. Just as my heart is dead. If I could atone to you for the grief I've caused you, I'd do that, too. But I can't. All I can do is to avenge us both." A month passed before Fleetwood Blair heard again from Bulb. But not a day passed without his hearing much concerning Batson Kendrick, whose employ he had quitted on the morning after the interrupted dinner. Kendrick's name was in Wall Street's mouth, nowadays, even more than usual. He was, single-handed, conducting the most audaciously brilliant deal in copper stocks known in all the history of the Street. By sheer genius, he gave promise of conquering the mighty clique opposing him and of swelling his immense fortune by many new millions. It was a daring and stormy campaign. Like Napoleon, Kendrick was dominating the whole situation. Unlike Napoleon, he seemed about to crush his allied enemies and to dictate a disastrous peace to them, on his own terms. Then, of a sudden, something went wrong. Kendrick redoubled his efforts. But he could no longer make headway against his opponents. Steadily, though he fought every step of the way, they were forcing him back. All his genius, all his resources went for nought. He could not understand the reason. But he knew that for the first time in his life he was being beaten. He knew, too, that the treatment the wolf-pack gives to one of its wounded brethren would be merciful compared with what he must expect from his Wall Street. Enemies; once they should get him down. They were relentless, and more than one of them had long and blue scores to settle with him.
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The point which is of highest importance in Gluck's victory, as far as the development of the art is concerned, is the restoration of the element of genuine human expression to its place in the scheme of art. Gluck, like every one else, was forced to accept the work of his predecessors as the basis of his own, and even to retain some of the most conspicuous features of the scheme which he aimed at destroying. He had to write arias on the old lines, for they were the only definite types of design then understood ; and Gluck was far too wise to think he could dispense with definite design. He had also to accept the ballet, for it was too vital a part of the French operatic scheme to be discarded without almost certainty of failure. But, in the case of the arias, he did his best to make them as characteristic of the situations as the backward state of the art allowed ; and he often replaced them by short movements of very complete and simple form — more like the type of folk-songs — into which he concentrated a great deal of genuine expression. For the ballets he had the justification of the ancients ; and he undoubtedly applied them in many cases extremely well. "Wherever it wai 2 20 THE AKT OF MUSIC possible they were made part of the action, and became a very effective part of it. As, for instance, the dance and chorus of furies at the threshold of the infernal regions in "Orfeo," and the chorus and ballets of Scythians in " Iphigehie en Tauride." For his treatment of recitative he had the earlier examples of Lulli and Rameau, who had both adopted a free style of expressive declamation with definite accompani- ment; often with very successful results. Since their time music had very much enlarged its resources of expression and had become more elastic; and Gluck, while working on the same lines, improved immensely upon their standard in respect of refinement and artistic finish. Moreover, the ex- pressive qualities of his admirable recitatives are very much enhanced by his way of dealing with the accompaniment.
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2lufiorjcnborjfunb@ctcf)au®eor3c3cf' (ri^ 141 4.(Luc« f<^t 5um(5f amfjau^ b«(r J^cmu »on^ctrri^iorenjbcr^ im@d;TOciN iüon 7(bcUbac^ tnt ^d^Xüfilbni^ifSim Vid.obcnöflcucii^jaiie» füonixin J^aufc^^ßf^n^g V.NaTp ia Phoeoice P.Z75. 3u^(etnbriefeim 35rcg(aui(c^Kn@ifl' munb ^^'^^ ^r^enborff 1567. gu^^nf^g^i^n Vid ^arif(^. 4uf ^albmburg unb auf Sloi^oiK bcjjbte im @d?n>ribnljifcf>cn Vid. ölcu- 3(uf 3obfcti ©fgmunb ton 3cffr<$c< auf Sobren 'iBittib €incg<bo(}mc0Ucm^ Xi6i6, warm im ^djmibniiifdfo»: iiijifc^cn.bcrorcid^cnabcrbanic^fanjufref. '^raSam juSr6lid^6bor|f , itfii.^cm' fm3aunfd>cn)@i9l^niunb3ctfriJ?i?onior* ff .nrabswalbc , Liebenau, iicbcröbortf. jenborjf ju Älcinbricfc im '^rcf (autfd^cn 1^67. 1570. @igie:munb iH>n gcttri^, €onraM t>on 3ctfri^ unb Ä^incbcrcj ju ioxf jcnborff unb ^cbwigiö »on 9\ungtu unb ^d)obftrc^ @o^n/ traf in (£^c|fanbmif QJlartat)on3fblt!5,^u2Rcufircf) iy47.t)on tcr gebobren : i , (Scorgc geb. i y 49. 10. 3an. 2. (Soa geb. 1552. ffarb 15^3. 3.©corge geb. 1554. 1 i.SKaj. 4*^n» Tab geb. 1555. 7, @ept. 5. Dtfo gric txid) gcb^unb ge|Torben 1^57. Tlufm 5ürlkn)]cin gcfefcn ©corgc unb J^an6 ^jctref gcbrubcfc Jj^cnnonuei ©dhne 1455. 2(ufÄlnöbcrg (ober ^6ntgö6crg) fm (Sd)n>dbnljifd)en J^erinann t>on Jcttrii^ oufilinjJbergbci;m5ur|!entagc ju ©rof* 9au ^on ivartfc^ Jp^anö 1 5 39 . T 547.^anö 3(braljam 3ertrift »onÄarlfd; ju ^6nfg6' tai;ni58o» SonraböwalbC/ Liebenau / iicbcröborff. ^anö 3u ©eif enborff , €5imb<borf , ^af« feuborjf* ^tgiemunb auf bcm ^täbf lein ^(bcnburg/ auf 9)cut)au0 unb 9Uu« fcnborff. S5onbmfn Herren toon3rttri$/ bkin Dbcr-^djlcfien un ^roppaui|t^m itt grof- fer Confideration gefiatibeU/ unb im ianb« geri4^« 9«fc6<>» i V. Paproöus p. 4 37. ^n^((^ in Schickfufio, Spencro, Si- lefiogr. Renov. in Lucat , Bucclino und 5i3appenb. P.l. p»73. unrer ban ^t^lc* fifc^i«! DyttCT'^tanbc uorfoinm«, und ^warwirbfelbfge bo) bcn ^»(9 legten g«« trieben Zybulka. ob bi< Cybulfcii in Ma- ibvia, noclc^ Okolski in Orbis Pol. T* II. pi 51U m<t dm Utäm M fyai^ Coo ^rawöjtc anfiifert / (jtc(jcr geboten, fan ic^ nic^t ücrfidjcr». 5)a6 @djlc|tfc^c SBapiKtijeigt Im ro lögt ntan^ afÄ bering ^au$ gcf^difc, »igen fonre, baheroctburd) bcö Jiönigö Cafi.
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que les landes, qui ne sont autre chose qu'une étendue de terre qui ne peut être cultivée et dans laquelle il ne croît que des bruyères, genêts et autres herbages qui ne peuvent servir qu'à faire paître des bestiaux, sont pâture vive, lorsqu'ils appartiennent à une commune ou qu'ils lui sont asservis exclusivement, quoiqu'on ne puisse ni les clore, ni récolter et conserver leur production. Du Parcours. Nous venons de considérer la vaine pâture ou compascuité dans ses relations avec les individus qui en jouissent et la souffrent, c'est-à-dire, comme un droit de servitude ou de propriété : avant de faire connaître comment elle s'exerce et se perd, il convient de parler d'un droit qui l'accompagne souvent et qui lui fait franchir les bornes du territoire dans lequel, de droit commun, elle est renfermée, ainsi que nous le dirons au paragraphe suivant. C'est le parcours, c'est-à-dire, le droit qu'ont des communes voisines de faire réciproquement passer leurs bestiaux sur les terres les unes des autres pour y pâtrer. La compascuité peut bien exister dans une commune sans parcours ; car les bestiaux peuvent vaguer dans son territoir sans faire des excursions sur les territoires voisins. Mais le parcours ne pouvant s'exercer que sur les vaines pâtures, et jamais sur les pâtures grasses ou vives, ne peut être là où il n'y a pas compascuité ; car des animaux qui ne marchent que pour manger, ne sauraient être introduits sur des terrains dont la dépaissance leur serait interdite.
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de Fourtou monte à la tribune à deux heures quarante-cinq. Il étale devant lui un grand nombre de pièces et prend la parole, après avoir attendu pendant quelques minutes le silence. Il commence en disant que la Chambre reconnaît sans doute qu’il prend la parole à la fois comme député de Riberac et comme ministre du 16 mai. Je crois même que cette dernière qualité est la principale. En effet, il a 6,000 voix de majorité, et il n’admet pas que si l’on professe un respect quelconque pour le suffrage universel, on invalide une telle élection consacrée par les électeurs de son arrondissement. Il tient à honorer, du reste, de succéder à ses collègues de la droite. Et quant à son œuvre de ministre, il en revendique la responsabilité, toute la responsabilité. Il aborde le débat relatif à l’élection. Il s’attendait, quand la commission d’enquête a siégé dans l’arrondissement, à débattre devant elle, avec les amis qui ont soutenu sa candidature. Mais la commission ne songea ni à lui communiquer les témoignages ni à appeler les personnes mises en cause à un débat contradictoire. La commission s’est, au contraire, empressée de ne pas le faire, et est partie sans l’avoir entendu. C’est le 4 novembre seulement que M. de Fourtou a été prévenu de la résolution prise par la commission par une lettre dont il donne lecture. M. de Fourtou : — Que s’est-il passé à Riberac ? On sait que les radicaux portent tous leurs efforts sur les circonscriptions où se présentent les ministres. On a l’exemple de Castelsarasin. M. de Fourtou accepte ce qui a été fait à Riberac. Lui reprochera-t-on d’avoir présenté des instituteurs et des employés au maréchal ? Mais il n’a fait que son devoir. Que représentait cette visite du maréchal ? Un grand nombre de voix de moins pour lui. Dans une circonscription voisine de la sienne, M. le duc Decazes a été battu, bien qu’il eût aussi reçu le maréchal. On lui reproche les travaux d’une compagnie de chemin de fer ; cette compagnie était concessionnaire depuis 1875. Elle était en retard, et tellement en retard que les sénateurs de la Dordogne avaient demandé la déchéance de la compagnie. Quant aux poteaux dont on a parlé et qui auraient porté des affiches en son honneur, ils n’ont jamais existé. Serait-il par hasard criminel de demander un chemin de fer trois ans avant une élection pour son arrondissement ? Mais il en appelle à M. de Freycinet.
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I RAZON, JUSTICIA Y HONOR TRIUNFAN DEL MAYOR VALOR. ALEXANDRO EN SCUTARO. DRAMA HEROYCO. POR T>. JOSEPH CALVO DE BARRIO NUEVO. epresentada por la Compañía de Eusebio Ribera el día de Noviembre de 1^92 en celebridad del cumple año de nuestro Augusto Monarca. PERSONAS. ACTORES Alejandro , Rey de Macedoni*..„ ... Sr. Félix de Cuba*. Arsinoe 9 su hermana .,. Protulo , Gobernador de Scutaro.:.,.. Timoclea , su esposa ...... Fenice , Lugar-Teniente de Protulo .. Demudes . Y ~ _ Cheroneo.S La ^ ltaneS * e a Guarn * c i°»> Sr. Manuel de la Torrad Sr. Joseph Vallés. Sr. Manuel lbanez. Sra. Andrea Luna. Sr. Manuel García. Sra. Juana García. Sr. Rafael Ramos. Sr, Joaquín de Luna* ACTO PRIMERO. Lt Scina es en la Plaza de Scutaro y sus inmediaciones. Razón , justicia y Honor que late en mis nobles venas al escucuchar de mi amigo Fenice las precauciones *con que Alexandro, ese indigno Monarca (pues otro nombre no ha de ciarle el labio mió, ínterin sus altiveces postre el rencor que respiro), intenta tomar á costa de sus invencibles hijos la Plaza ; pero ignorante de nuestro valor , preciso es qué fulmine su rabia iras venganzas , prodigios de indignación , que promuevan nuestro fatal precipicio. Sí, Timoclea::: de nada ya me sorprehendo ni admiro, pues su corage le induce á este despecho , y confio en mi constancia , que excede á su atrevimiento mismo, he de postrar su arrogancia con tan nuevo é inaudito Valor , que dexe asombrado á los venideros siglos.
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Du numéro FEUILLETON DU JOURNAL DE PARIS. (Dimanche Octobre relaté.. de l'École CHANTIER-ŒUVRE DE LA NATURE-, A exer. — JÜÉ. — L' D. au numéro G. H M. N. O. C. K. Du 22 octobre, 66* année; nouvelle, 66. Du numéro 16001 année. Des fleurs et plantes, apprêtées pour recevoir l'empreinte, Dessins & Tableaux de toutes grandeurs, ainsi que les médaillons & Glaces, généralement toutes choses relatives à la peinture, au dessin & à l’architecture. Mise à nu du Paiement de la DETTE PUBLIQUE, lundi octobre 1806, au samedi. CINQ POUR CENT SEMESTRE ECHU LE 21. On paiera le lundi du mois, 3. — 36 38' Par l'unité de poids, 24. R. U. V. W 900. B2300. E. I. J. S 500. F. T. X. Y. Z 1300. D du numéro. 36146 à 38900. DETTE VIAGÈRE & PENSIONS. SEMESTRES ECHUS LES 4e NIVÔSE AN 14 & 22 JUIN 1806. — On paiera le mardi. Amateurs de Tableaux. — À relier DE PEINTURE ET D'ÉTUYAGE & KÉTÉRIAT. ON, Magnifique & exposition de très-beaux Tableaux de maître, complets ces principaux avirons des îles, contenant, 1. q44 de to, 2. q38 de to, 3— q. .33 Luzerne, 1.” q. .41 de to, 2. q. 99 de to, 3." q36 Freffie, 1.” q. 38, 2 * 37 Paille de blé, 1.•' q .?$ *de to, 2.°“ q26 * de to, 3 ™' q. .24 W d’avoir, t.q. 4 ç *de to, 2. q. .40 * de to, 3. q. .32 * (l’unité de poids) : vieillances aux M M. les Curés, par la très pieuse de leur foi me rue Guignol-S.-Boniface, n • 8, au premier. On fabrique dans le même local, les Toiles à peindre. Du 10. 2 Mars, AS pour 9$, que l’on paiera comptant & en retour À LA GRANDE GUÊTRE, rue de la Hache, n.° 89. LÉGER. — "L'École impensable polytechnique", de GUÊRISE IMPLÉABLES et elliptiques Drap, Camisole, Chemise &.
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Quod autem aos aiguunt de eo quod dicimus, fiamus ad dorrium Petri, ad domum PauRad do- mum Ftindfa, ficficdercliquis: rdpondetfins, quod nullus qui (ane lapit, dictum hociraintcllu f iu Nullam quippe Petro, neqUe Patife, neque uncifco, neque ali/ (,uuiir fando domum faci- 'musJSed in honoicm Petri, atqj memonain Pau- li*cam Deo dcdicamut.Quiitnecahcui poutifir Meflix atque in cum credentes, id oioLitraruili gentium regibus vlcerius ffefuituri non erant Quod tUnc protedo vfijuequaquc completum, efl» cum fub Conflammo Geiai e, & Sylueflro Pontifice maximo , koitunuminipcnUm fc Do- mino lefii Chhflo fjsontc fubicar. Ex his igimf- qOx drfita fune» fatis liquido patet, uihij ex his prophetx verbis a pnfidis ludxiscofitra Salua- rorein noflrum obiid pofle , quod fadle pereo* cum hs efl in Ecclcfiariim cbnfecratlone dicete, F rUnt fcripturas foltti nonpoflk. Natneumdide* Tibi Petro, aut tibi Paulo, Hdhc domum dedita- raus.fcd Deo duntaxat quddhbet templum cort- fecrari dicitur. Et quanmis diuerlx Ec t lef ix Deo confccrcntur , vna tamen efl domus Dei , vna efl Dcitccl c(u, Dmimimijur MJcliu n coiHi^dUis. Adluncdomiiin Uti accedit, tjuidc vnitate Ec- elellx e ll. Io hac Ghtiftus ipfc matis uiommrti it lindluslandoiiuiialidclibasadoiaturi 111 hacK {Xccataicitiiitumur.
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rapidity. With these one hundred and forty rounds there ^vas no fault of any kind. The breech acted perfectly. The accuracy, as shown by annexed target, proved very good, and in firing for rapidity thirteen shots were fired per minute." BS US ■■■■■! ■!■■■■ ■■■■■I BE BE !S3 BSB ■nil SS^raiSSi iiSpj jiina mfMM BBiMaw»in — ■■■■ ■■BrnpiHiBmBglgging ■■■■DfiaaBBIHiaBBB!!!!! laaaanHBaHH ESSbnniiiBaa^ „ linBBBBBU!! ■BBnUHHSgBBBBBBB ■bbbm Bmbb bbbbbbbb —■Bill BBB SSB BBH !*'~ BBI " The arm having been t.aken apart after this trial, showed no signs of wear in any parV of the breech. It was put together without cleaning of any of its parts, and preserved for further trial. Second trial, September 21st, 1333. The firing for testing tlie durability of the breech was continued with cartridges of sixty grains. Eighty rounds were fired in one continuous series. One cartridge split lengthways without causing any difilculty in open- ing the breech and without covering the latter with dirt. The barrel having then been cooled by cold Avater poured througli it, a furtlier number of thirty rounds were fired, after which cartridges of forty-five grains were used, with which three hundred and four shots were fired. The barrel A\as cooled after each series of rounds by running cold water through it, and at last, after having fired four hundred and fourteen rounds, the whole gun, includ- ing the breech, was made wet and left in that state to ascertain the influence of rust upon the working parts. Third trial, September 23d, 1888, The gun left in a wet state on the previous day was taken apart and examined. All parts of the breech and lock were thickly covered with rust, but the working of the breech was not interfered with. The gun was put together without cleaning, and the trials continued in that state, in order to establish the influence of rust covering the breech and lock upon the firinn- of the gun. It was decided to fire two thousand rounds in all with this gun. Of these, six rounds were fired to measure the force of recoil in a special apparatus. The mean recoil was fortv- eight pounds. Thirty rounds for rapidity without taking aim were made by an expert in one minute and fiftv-two seconds, giving seventeen shots per minute.
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m:\ i:it \ i. imih i mi:nts \ * It KM I.T OP SI IT I M*. A-si. 1 .if ?"J I'rej,!, j .?K \\ YoliK, I '?"?tniii r ;j.?Several indictinvntK were returned in the Fed-j ? rul ' '."ii t hi i. as n result of tin- Tan j /.er-Osborne hint, which was for .lames \\ Osborne. forni' i ly an ! assistant distiiet attorney ami Jong a promiii'nt iiioii.Im'I' ?.f the New Vork liar, repeatedly denii >1 that ho had ? ?mi- m nr. si t.t. <1 hi ins.! f nj Miss Tan i as "Oliver" Osborne, as she swore ? ?? ?? the witness stand. Ut'inuch ii .. \i.ijtii; woman and sev- I era I 'if her witnesses pointed him out ? i * t!>? elusive .vwii..i. Air. i is borne de- | 'land umbr oath that lie had never : s< Miss Tanker until they met tri ? "'it. \ hn'.e l i b-rk wh<. t> st Tnd thai l.< had s.eM it.,. |;iwy<r and Mis.- Tan r touetlier 4f.l.u.-rj 'a .is indieted ami convicli-d mi a rhiiriro '?f p??rjur>. M:*s Tanzer also was in dicted on the same charge. After Mis* Tan/., r brought her suit,! it was announced by James \\\ Osborne I ?hat a man who claimed to be "Oliver ' 'f-borne," a mechanic "f Hoston. had voluntarily called upon him and ad- j milted that he hail pnld court in Mi*n : j Tanzer. If. was said t.. have con "ted ! I me. t t!... L'niterl States at ' ?rm y f.ir .< conferen. o ;,t the Federal Muliding. but dnl not appear there, at ?he time appointed. The Federal an-' thoritl. s sim- the,, |,nv, been se;irch ing f".r him. it has been understood.
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Paul Reynaud a défendu l'impôt financier, économique et fiscal qu’il fut improviser en une semaine, et dont le succès s'affirme de jour en jour. Le Ministre des finances a répondu par des chiffres à ses détracteurs : 700 millions d'emprunt en 1931, « si la vapeur n'avait pas été renversée », livre esterlins à 200 francs; si le contrôle des changes avait été établi avec une balance commerciale dont le déficit atteint 12 milliards ! Entre le contrôle des changes, que les techniciens allemands eux-mêmes reconnaissent impossible sous un régime parlementaire, et le redressement par des moyens normaux convenant à un régime libéral comme le nôtre. Paul Reynaud a choisi la deuxième méthode : Il a mis fin à l'inflation monétaire, il a diminué le taux d'intérêt des bons du trésor. Il a augmenté les charges fiscales ; mais l'ouvrier italien et l'ouvrier allemand sont encore plus frappés que le travailleur français. Cette politique porte déjà ses fruits : Les capitaux rentrant en France, le stock d'or de la Banque de France est reconstitué ; le franc s’est raffermi : les valeurs françaises sont de nouveau demandées à la Bourse, et l'argent afflue dans les caisses d'épargne, où l'excédent des dépôts atteint actuellement 600 millions. Tout cela, trois semaines à peine après la promulgation des décrets, et malgré l'obstruction socialiste et les grèves... quant à M. Daladier, fort de ces résultats, dus en grande partie à son énergie qui a su forcer la confiance, il s'est montré plus « dur » que jamais, et il a parlé à la Chambre en Chef de gouvernement, non en accusé qui présente timidement sa défense. Avec une fermeté toute française, il revendique la responsabilité de ses idées et de ses actes. Il a dénoncé de nouveau le caractère politique et révolutionnaire des grèves déclenchées par la C.G.T. qu'il a brisées par des moyens légaux. Enfin, il a mis en lumière que la grève générale du 30 Novembre avait été organisée le 1er décembre. La Rentrée des Chambres Edouard DALADIER Paul REYNAUD EXPOSENT LES LIGNES DE LEUR POLITIQUE. La rentrée de la Chambre Paris, le 1er décembre (Arip). — Ce matin, à la Chambre, M. Gabriel Lafaye, député de la Gironde, de l'Union Socialiste.
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17 Qui tam fuum ,32uam meum filium corrupit fna indulgentia. 18 Curruptio noftrorum liberorum. 5 9 : ADELPH I. $5 Ma. Tandem reprime iracuudiam , atque t ad te redi. DE. 3 Repreffi , 3 redii, 4 mitto maledica omnia :z s Rem ipfam putemus : 6 dictum hoc iuter nos fuit , 10 Ex te 7 adeó eft 8 ortum , ne tu curares 9 meum , Ne-ve 1o ego 11 tuum; rz refponde. Mi, 13 " factum 'ft , 14 non nego. Dzg.Cur nunc apud te 15 potat? cur reci- pis meum ? Cur emis amicam Mitio ? nam 16 qui minüis Mihi idem jus zquom 'tt effe, quod mecum "ft cibi? E" 17 Quando ego 18 tuum non curo , ne cura ig meum. s Trati enim exierunt de goteftate, id efr, de coni. ljo , de ratione, de meute. Undé P. Syrus: Homo ex. 41a corpus eff [uum , «ura i- vafcitur ; Et iratus, cm ad fe edit , fibi tum irafcitnr. 2: Compeícui iracundiam. Quam fubica mutatio ? qui modó pre iracundia tan- toperé exclamavcrat , qui fratri contumelias dixe- rat , nunc ad unam ejus wocem , quà iracaudiam reprimere , atque ad fe re. dire monebatur , miteícit. 3 Ad me, id eft , placatus fum . 4 Omitto. $4 Kei ipfius inter nos pacta com putemus,Áive expendamus tationes. 6 Nos ita con. venimus . 2 Pratereà.8 -— Hoc pactum proceífit . 5 Filium Ctefiphonem . 10 Curarem.i1 Filium tuum ZRlchinum. 12 Mihi. rg: Quod dicis. Concefüio cít.
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Crateras purificavano, e una cornamut. E di più, per le città. Sed urbifformam Deus ipse coronavit. Solevan anche gli antichi dedicare a ciascuno dei loro dei ghirlande particolari, secondo che a ciascuno erano particolari piante consacrate. Terzo, come forte (come le Calliope) la vite era attribuita a Giunone, al litto la Torre, all'olivo al Callimaco, e talvolta all'appio, al polline al lauro, a Baccho l'edera, a Venere il citrito, alla Quercia a Giove, e secondo le opere di Ferecide vuole, che Saturno riceva il perielio e primo, che sia coronato. Dio d'oro attribuì la corona a Giove; e altri dicono, che Pandora fu la prima coronata dalle Grazie. Fu anche la corona simbolo a più precife degli antichi, secondo il testimonio di Clearcho, primo libro delle cose dei Greci.
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WENTY-FIVE MEN TO BE Acreage to whom of the newly-commissioned second lieutenants in the United States Army, twenty-five are graduates of the Institute. Every V. M. I. man who stood the examinations passed. Fifteen V. M. I. men recently have been appointed second lieutenants in the United States Marine Corps. Academic duties were suspended on Thursday morning as a tribute to Captain J. W. Olllock, who died in Richmond on Wednesday. He was for forty-four years military storekeeper at the institute. Cadets and officers attended the funeral on Thursday for his home in Lexington. Colonel Henry C. Ford, professor of story, spent several days this week in Richmond attending the meeting of the State Board of Education. The Thanksgiving dance will be held on next Friday and Saturday evening in the gymnasium of the new Jackson Memorial Hall. Dr. W. D. Weatherford, national field secretary of the Young Men's Christian Association, addressed the corps on Wednesday evening. The institute will be in a flourishing condition. The membership includes every cadet in the barracks. The entire corps will be to participate in the Thanksgiving Day to attend the football game with the Virginia Polytechnic Institute. The cadets will return to Lexington the same night. Herst Special to The Times-Dispatch MILKST, VA., November? Misses Mollie and Emma Gregoire are visiting friends in Lynchburg. Misses Eleanor Sttele and Ruth Claibaugh, of Sweet, High College, were week-end guests of Miss Mary Whitehead. Dr. Howard Hurley, of New York, was a guest at Mrs. M. H. Robertson's last week.
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Et surtout que ce remboursement soit bien réellement effectué, monsieur, car un jour pourrait venir où d’autres que moi vous demanderaient compte de ne m’avoir pas rigoureusement obéi ! Le commerçant tergiversa un long moment ; mais il songea que cette jeune demoiselle était quelque peu enragée et qu’elle ne craindrait pas de provoquer un esclandre s’il lui résistait ; d’autre part, il pensait bien que la chose, qui prenait une si extravagante tournure aujourd’hui, s’arrangerait par la suite, d’un commun accord avec le baron d’Agray ; et, en outre, il n’avait peut-être pas la conscience absolument tranquille au sujet du rôle d’intermédiaire qu’il avait si discrètement joué et dont la preuve flagrante existait sur ses livres. Il finit par copier la facture et rédiger sa lettre, ainsi que le lui imposait Natacha. Celle-ci, de son côté, écrivit, sur le papier du tapissier, une lettre à l’administration de l’Opéra pour que tous les objets que renfermait sa loge fussent remis audit tapissier. Les choses étaient ainsi, parfaitement en règle. Les signatures échangées, le commerçant essaya de rire. — Eh ! ch ! mademoiselle, pour une jeune personne si innocente que cela, il me semble que vous entendez joliment bien les affaires ! Elle le foudroya de son regard. — Pensez-vous donc, monsieur, que l'intelligence n'appartienne qu'aux gens indélicats ? Il y a longtemps que j’ai pris l’habitude de me défendre seule, et de me défendre en homme. Je vous salue, monsieur ! C’était bien l’expression qui traduisait toute sa pensée. Elle avait le plus entier mépris de l’argent, surtout de l’argent gagné par elle ; mais cela ne lui faisait pas changer les obligations que l’argent impose quand on en doit aux autres. Et, de même que, pour elle, son frère était l’obligé du baron d’Agry tant qu’il n’aurait pas rigoureusement remboursé à celui-ci, en argent ou en travail, les objets empruntés : B. ICAFPB. 9, RUE DE LA MONNAIE. — 7, RUE DU TEMPLE.
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AÜAM ( Fleo de ; Melea » moptaila «lera- da de Oilan, i 14 i/a Icg. E. S. E. de Co- IomlK>. LiU. ^. 6" 47'lon{;. E. 84» aa'. Loe aatmalea la Uiimaa üamatcl j «n Saiukrito» Sttmnlátt M fonna «• cdnicA y tm flaMoe mtm cubieitos [|f }¡< r^f^tifs inip«-ncti";il)Ies. El cami- ¡M que coiidutc a la cumbre es eacarpodo j ríligroso. Su Lase es de 84 pÍM de iñf^ao- if: 63 de andio : tiene un mum, que lo urvu^ke de mas de cinco pits de uUui'a, ca- li tüitk» en ruinas : en él se enseña una pie- dra que tiene impresa la planta <le un pi4 gigaiitcscn , (juc «egun unos, ta de AdaOi ae* gunoti^». tit Sanio Tduias, y Mgun lüS del rs, de buddAh, que después de buljer toma- tnfiníUtt Toraiaa , ae devó deade aquel pieo p.Tia trasladarse d lo» cidu*. La rcft-iida pie- dra está encerrada en una guamicton de roe- pij en la qoe hav cnatio mknes de picdm [rrrcioaas engasuuí.»: se conserva m un pe- qucüo etlilicio de madera de unos i5 pies de higo sobre 10 de ancho; Uw bebilantes de Cedían, del Pqpi, de Stam, y de Maloca, euucMiiai en mucho námero y peregrinando, «.n el ¡o (k- \isiiar rstc müiiumenlo, tra- \eiiil<.> en otrciMia iodo señero de fnttoa. Loe- ¿.o .jue los pt-repinua hm Ili-|r.ido al Santnft» rio y se han ciTr rado al rt-dt-uor de la reli- tfiUt winistio nronuMcia en clara y al- ta VOS el simhulu de au creencia , el cual re- jjiti-n todos píiliiljia ¡^^r palal.ui. Ci>rirlui<lo t%ix acUi, se oiVccea al espectador la» esce- nas mas tirinas y palélicatf pues la venida de loa coocurreniea tiene ¡lor objeto el e»- mchar Ins vínenica paternos y conjugales y el >it .ifinn.ii loi I.i/.os del paitiilcMO v tic lu .amistad , con pioposito de desterrar su odio } enroaUiadea. Loa hijos espreaanaua aftctnoaoa íentimittuo-) en los hrazcs fie sus piidix-i : los ami);us imccati las üovcs fie que han venido aif»laiiadu6, y tod<is después de haberte do* piostta.lo el mas sinceit) alecto, se ittlrnn con ei hiuie pro|.ókiio de rntregai'se á una vida ejemplar. Caal á Ja mitad de la moniafla ae fMamin oiia prodigioca cascada, que pue- de coraidenirae como el verdadero numantial de Kalu-(iaii(;a.
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Washington, November 21. - Ratification of the Atlantic Fleet is imminent. Admiral Unison, chief of the naval forces, told the House Naval Committee today, but the recruiting problem still remains. With thirty-five battleships on the list, only twenty-five are in full commission. The admiral said for practical reasons, he thought it would not be necessary to commission more than seventeen until enough of the new ships were available to make a total fleet in line of twenty-five. If the navy had all the men it needed, Admiral Benson said it would be better to yet all the armored cruisers on the Pacific Coast and all the reserve destroyers and other small craft for scout duty, work into full commission than to take the older battleships out of reserve. He thought 50 percent crews of well-trained men on the reserve ships would be ample preparations against war on the reserve. Representative Oliver asked if reports from the captains of the Atlantic Fleet had not indicated that the men were working tired of long stays at Newport. "I understand," he said, "that it is a pleasant sight at Newport to see the men sitting around with nothing to do." Admiral Benson said his attention had not been called to such reports. The admiral said he thought some place of recreation for the men of the fleet away from the high cities should be provided on the Atlantic coast, and Representative Oliver agreed that something of that kind should be done. "I am not certain," he said, "that there should be a great deal of that kind of recreation."
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Het ontbreken van de vertegenwoordigingsmacht verhindert, dat de handeling van den vertegenwoordiger voor den gerepresenteerde rechtseffect heeft. Dit gebrek kan door een latere bekrachtiging van den vertegenwoordigde verholpen worden. De bekrachtiging is echter niet altijd noodig. Soms gelden de handelingen, door den machtloozen vertegenwoordiger gedaan, van rechtswege voor den vertegenwoordigde. De zaakwaarnemer verbindt dengenen, wiens belangen behoorlijk zijn waargenomen. Betaling, namens den schuldenaar gedaan, bevrijdt steeds den debiteur, ook al werd geen volmacht om te betalen gegeven 1). Deze gevallen zijn echter uitzonderingen. Als ') Art. -1418 B. W. Zie Van Goudoever, Bijdragen tot de leer der zaakwaarneming (proefschr. Leiden 1905). Hij wijst er terecht op, dat betaling in eigen naam van eens anders schuld, waarover dit artikel spreekt, onmogelijk is (bl. 187). regel geldt, dat de handeling van den machtloozen vertegenwoordiger bekrachtiging behoeft, om effect te sorteeren. § 1. De machtiging. De volmacht is de macht om te vertegenwoordigen, steunende op den wil van den vertegenwoordigde. Zij is een macht, geen bevoegdheid x). Zij wijst op een kunnen, niet op een mogen. Wel heeft de volmachthebber gewoonlijk naast de macht ook de bevoegdheid om te vertegenwoordigen. Doch ook zijn er volmachthebbers, die onbevoegd zijn te handelen. Wanneer de volmacht herroepen is, blijft zij werken tegenover derden, die te goeder trouw zijn. De volmachthebber heeft dan wèl de macht, zijn principaal te verbinden. Bevoegd daartoe is hij niet. Hij handelt onrechtmatig.
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Où le mérite en paix soit moins perfECT. À peine dans nos murs la nouvelle est semée, Que notre âme inquiète au repos est fermée. On entend dans Paris un murmure confus, Les spectacles déserts, les bals interrompus, Des vains amusements la troupe fuitive, De la Seine effrayée abandonne la rive. Terspore brisant son luth harmonieux, S'enfuit avec Thalie hors de ces murs affreux. Du ministre banni considérant l'image, Le peuple de ses pleurs lui présente l'hommage. Des dangers dont ses cris sont un avant-coureur, Une cloche lugubre apprend toute l'horreur. Le citoyen troublé, quittant son asile, Aux maux de sa patrie offre un secours utile : Brûlant d'un même zèle, artisans, ouvriers, Forment leurs atteliers, artisants, ouvriers, Et mêlant leurs clameurs à ces larmes publiques, De nos temples sacrés inondent les portiques. L'ombre à qui faisait place un jour si malheureux Couvrit leur désespoir d'un voile nébuleux. La lune dans son cours, l'ombre par intervalle Éclairait à regret une nuit si fatale.
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In successo della negazione, dei nella numero plurale qui dono e leggibile l'orticolo. Bocca. E così detto ad una bocca meccanica, le mani a capelli, e rabbuffati e stracciati tutti. Le rincorse in monastero sono in perpetuo l'usato. Nessuno difende. Avendo alcuno odio contro i fiorentini morbidi e ne mischianti. Non sono bei uomini. Non sono miei bisogni. Non accompagnata con la metà, del gelo. Bocca. Scoppio quello in giù, devo chiarire, che tu ragioni. Ha avuto pure una volta maggiore furioso, potente ammirarsi di quelle. Calar si mosse, ora scarsi ne alcuni ce ne sono, con la non bontà, non c'è la notte di sopra. E con la Le, e La, in successo di lezione. La buona felicità che si ha da ridere, preferisce pietà. Ollacasa li portarono. Be', la Gli, nel senso del futuro, gli uomini. E quando la griglia nel fallimento del denaro, e dell onomero mostra la causa della cosa. Bocca. Et stato lavorato con una infermità, da sopra avvenne, i detti al resto. E in diversi sentimenti. Bruno dalla parte gli rifà da alle sue e imbasciata, da parte di lei si era fatto a lui il famiglia queste parole ricoperte, come se fossero molte ne ricoglievano, nuove altra scena non infonderà il significato del dire negli indici. In successo di ne, nel verso però. Ne davamo per tale il suo dignitosi altro gatto. Non un, non nessuno, et nullo, et il più del verso, e Ninno più della prossima. E re, Nessuno pianeta a piangere, mia condanna. E così, ch'altro else noi non ha senso di miei più leggeri che non siano cervi, alati.
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30 73 centrifuge degrés; 3 1,8 ou (r. 35 71. Raffinage granulé 4 7(10 ou fr. 5071. Tendance ferme, bonne demande. New-York, 30 juillet. Pétrole — Brut : Disponible, b »» ou fr. 8 21 ; Standard White disponible 7 17 ou fr. 0 02; pétrole raffiné 700/0, 7 20 ou fr. 7 18; pipe de certes 81 1/2 ou fr. 114 47. Ventes du jour : »»,»»» gallons ; expéditions : 60,000 gallons. — Marché calme. Frott pour Anvers, 1/7 1/2 à 1/9. Blés Prix roux d'hiver, en cents N. 2 p. bushel en francs : infect. 13 Chicago, 30 juillet. Prix faussé; en francs ou baisse aux UN) k. p. 100+ 205 04 4 83 to o: lit lu no 98 87 -j 8 00 4 8 82 -f 8 (VS 410 08 0 00 40 11 24 0 47 0 35 0 42 0 78 Céréales. — auto. ou fr. 14. Pesth, 31 juillet, sur automne, ti. b 07 aux Suisses. — Pilule de tant 16 1/2, fr. 314 ; 0 > : Aînémi k. <. fr. 20 fr. 13 MANQUE SARDINE AUDIERE, 30 juillet. — Nombre de bateaux sortis, 23. — Pêche complètement nulle. CONCARNAVE, 30 juillet. — Nombre de bateaux sortis. 770 ; moyenne de poissons pêchés par bateau. 3,000. Prix moyen du mille fr. 30 le plus élevé, fr. 22 ; le moins bas fr. 18 ; 18 bateaux ont une moyenne de 4 et 6. BREST, 30 juillet. — Bateaux pas sortis pour cause de mauvais temps. ARDENNE, 30 juillet. — Aujourd'hui les bateaux du port ne sont pas sortis. L’usine a reçu nuit 40,000 sardines pêchées dans les passages de Concarneau et apportées ici par 3 chaloupes attachées à ce port. Le mille de ce poisson a vie aujourd'hui, 30 juillet. — Nombre de bateaux sortis 80 : moyenne de poissons pêchés par bateau, 1,600. Prix peuvent du mille, fr. 18 le plus élevé et fr. 11 le plus bas. — Quelques bateaux ont une moyenne de 1,700. LES AIS, 30 juillet. — Nombre de bateaux opérationnels aujourd'hui : 28. — Quelques bateaux ont opéré, du 20 juillet au 20 juillet. Bateaux pas sortis pour cause de mauvais temps. Nombre de BARCA TONN de bateaux, 31 juillet. — Nombre de bateaux sortis 170. Ils ne sont pas rentrés. LES RECOLTES Bonnes filières et Vilaines, 30 juillet.
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Ten for example, natural or unnatural hair conditions. Elements of strength and weakness are transmitted to successful generations, accentuated or lessened by the habits and attendant physical conditions of the individual in each generation. Bearing on this point, a recent writer advances an interest and scientifically sound the notion to account for the fact that women have more hair than men. He points out that since luxuriant hair is one of the acknowledged charms of women, and probably has been since the early days of the woman, the well-known true law of artificial selection has been a work for countless centuries. In other words, over-the-elfe being equal, the woman with wealth of hair was selected as a mate in preference to the one who was less hair follower, out Darwin's principle of improved breeding by selection. It is a rare mistake to rest secure in the belief that no special attention is necessary to continue normal hair conditions indefinitely. One might as well argue that when in sound health exercise is necessary. The errors of commission and omission are penalized by nature. Just as severely where the A. B. M. Membrane; B. Outer Longitudinal Layer of External or Connective Tissue Covering; C. Inner Circular Layer of External or Connective-Tissue Layer; D. Ratal (Vitreous) Membrane; E. Internal or Epithelial Lining. Composed of the External Epithelial Layer and the Internal Epithelial Layer, Which consists of the Layer of Henle, the Layer of Huxley, and the Curle of Follicle; F. Interlocked Cuticle of Follicle and Hair Shaft; C. Bulb of hair Shift; H. Papilla (Fatly Layer).
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Le ministre de l'instruction publique leur a recommandé de se tenir à l'écart des discussions politiques. Mais je constate qu’il n’est pas ici en complet accord avec M. le président du conseil, dont les agents abusent ainsi des instituteurs et les exposent aux rancures et aux haines naissant de ce qu'ont fait d’eux les agents d’information, c’est-à-dire les mouchards de la commune. (Très bien ! très bien ! à droite.) La presque unanimité des instituteurs souffrent de cette situation et en sont honteux. Mais ils ne sont pas libres d’y échapper et ne peuvent refuser de servir la sous-préfecture. (Très bien! très bien! sur divers bancs à droite.) Chaumié affirme que les instituteurs ont l’ordre de ne pas sortir de leur rôle d’éducateurs. M. Auffray. — Nous verrons si désormais les instituteurs refuseront de répondre aux demandes de dénonciation! (Applaudissements.) On a volé un crédit de 13,000 francs pour subventions aux œuvres postscolaires laïques. Notre ami Klinger a fait voler un crédit de 10,000 francs pour subvenir à l’apprentissage de la dentelle à la main. M. Meunier, pour faire une petite manifestation anticléricale a demandé à Chaumié d’interdire la prière dans les collèges où cette habitude subsisterait encore. M. Chaumié a déclaré qu’il se tenait à une circulaire de Paul Bert qui autorisait « cette manifestation (sic) pourvu qu’elle ne gênât personne ». La séance de l'après-midi Les Beaux-Arts Dans sa séance de l’après-midi, la Chambre, présidée par M. Bourgeois, a voté le budget des Beaux-Arts après l’adoption d’un crédit de 600,000 francs pour la participation des Sociétés ouvrières et syndicats à l’Exposition de Saint-Louis. Dans la discussion générale des Beaux-arts, M. Couyba s’est plaint que les jeunes filles ne puissent concourir aux prix de Rome. Chaumié a promis que, dorénavant, elles pourront concourir. D’autres orateurs ont insisté pour que des représentations gratuites aient lieu plus souvent dans les théâtres subventionnés. Le Palais du Louvre M. Arclideacon a vivement intéressé la Chambre en parlant des recherches et des fouilles que M. Redon a exécutées autour du Musée du Louvre. L’orateur expose que l’architecte du Louvre a retrouvé les soubassements de cet édifice enfouis sous le sol. Ces soubassements n’étaient pas faits pour être enterrés. Il faudrait permettre à M. Redon de continuer ces utiles travaux et lui voter des crédits pour qu’il rende au Louvre sa vraie physionomie.
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camion du service de M. Meriolle-Gadmer, entrepreneur, pour avoir détérioré un trottoir, sur une longueur de 3 m. 50, rue Antoine-Lécuyer, par une mauvaise direction de son attelage. Le demi de Vieux-Borwart à Caourl EXCURSION DANS LES SOINS D'HOLON À l’occasion du Lundi de la Pentecôte, la Compagnie du Chemin de fer de Verviens-Borwart à Saint-Quentin a l’honneur d’informer le public qu’elle mettra en marche, au départ de Saint-Quentin pour le Bois d’Holon, le LUNDI 1 JUIN 1914, les trains spéciaux suivants : Aller Saint-Quentin, départ, 13 h. 95.— 15 h. 35. Rocourt, départ, 13 h. 16. — 15 h. 48. Bois d’Holon, arrivée, 13 h. 33. — 16 h.08. Retour Bois d’Holon, départ, 18 h. 03. Rocourt, arrivée, 18 h. 20. Saint-Quentin, arrivée, 18 h. 30. A cette occasion, il sera délivré des billets ALLER ET RETOUR de 3e classe, à prix réduits, de St-Quentin et de Rocourt au Bois d’Holon. valables également dans les trains réguliers n° 33, 7 et 8. Saint-Quentin et Rocourt au Bois d'Holon (3e classe aller et retour) 60 centimes. Des billets seront distribués, la veille, à la Gare de Saint-Quentin, ainsi qu’à celle de Rocourt. NOTA. — Les trains spéciaux ci-dessus n’auront pas lieu en cas de mauvais temps. Avis. PELLICCIOTTI a l'avantage de faire part à son honorable Clientèle qu’il vient d’ouvrir dans son Étude Photographique, Place du Huit Octobre, 1, un DORURE ATÈLIER DE PORCELAINNE éclairé à la lumière du jour. A cette occasion, Il offre, pendant un mois ; L'OPPORTUNITÉ DE POUR toute commande photographique. Emballé et expédié dans la voiture de M. le docteur Malgès de la rue Sainte-Anne sortant de l'obélisque. Dans sa courte toile, le cheval rencontra un tombereau en stationnement. Le choc fut tel que le tombereau fut défoncé à 8 centimètres du trottoir, et la voiture de M. fut complètement brisée. Le cocher fut projeté à cinq ou six mètres. Il fut relevé avec des contusions assez sérieuses. Fort heureusement, personne ne se trouvait dans la voiture. Le cocher fut transporté dans une maison voisine par MM.
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"Anarchie sans la bruyère, encor plus belle que les théâtres royaux exceptionnels de l'académie, les clôtures de clé de volière donnant à l'académie son éclat. Autant à trois régimes, divers qu'une machine aussi délicate en trio jouant sa partition avec audace, existée pendant tout le palais, car sa clé, son choisi, chose pour l'hôme de usage, quelle amplification étant ens regardé dans cette longue histoire, la scène, comme un protocole d'état, pour le premier homme d'Edmond d'une monarque qui rompit de la restauration, si l'on retrouve l'essence, ami de la pauvre, le chef-d'œuvre d'un géneral, comme inspiration de la divinité, comme une avouez aujourd'hui que l'on n'aurait pu se soutenir de la restauration ne vitale se trouve encore son nom, mesuré par l'oraison funèbre, de l'éternel sinistre d'autre système ne vient pas avoir un unique la vérité sur la monarchie il n'est que pour sauver la société dans ses organiser vicieux; et vous lecteurs communistes et progressistes avez dominé ainsi la véritable révolution par des royalistes. Quand la Gazette eut vu sortir cette restauration des Bourbons et du désir, elle qu'elle avait mille fois déclaré de douleur fut moins prédominante, moins pessable, son embarras à concilier l'événement avec ses prévisions et ses professions de foi avec ses actes désormais dans un partenariat. Que sous ces motions aux vues gargantuesques de l'orateur grande déduction, froide, non plus usées de mesures. Les bouffons pour mémoire d'égayer le Quatre Frères, page, étaient mis à part, remplir avec des journaux, bailleurs de fonds habitué, avait besoin de le malheureux pour sa logique rentrée. Dans le premier conseil secret fut tenu dans une union critique, un mot encore si cela fut décidé; pas assez d'égaler, épuration seraient soignés en reconnaissance de cause de cette mure, pour déconcertant, l'objet qui ont été employés à l'opération grande moi, contre de l'avenir, la reconnaissance a paru radicale."
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Szwarca pomada «—wzmoenienia porostu" włosów ntrzy muje i udelikatnia takowe. Cena slol ka małego 40 kr., wiekszego 70 kr. Glówne składy tychże arty kułów na Galicję utrzymują: 4. Berliner apt. i S. Ruker apt. we Lwowie, Pomniejsze składy utrzymują: 1 w buczaczu p. Czerkawski, w Cie szynie p, Schroder, w Opawie p pea w Białej p. J Knaus, 2—24 Oho RÓRESTOSTOSTOSTOMOWOSKANNOE E | | i z nadchodzącą porą JW WUNBIŁA po nadzwyczaj zniżonych cenach, szczególnie: Jedwabnych materji czarnych, popielatych i roku ti najaowszemi znany z (aniości Wełniamych silków, bareżów i grenadiny, Chustek cachemire, Niantyl i pałtolów jedwabnych czarnych , Rarzutek wełnianych , czarnych Ì popielatych, Jopek i koszuiek różnego Be oraz: Sukiem gotowych neglige* PEREZ ZONA PETE TOE WTC REI WO ALI ZE mL E E Wydawca Hipolit Stupnieki. irRędditowówie : Jan Dobrzański, strojnych 7 W ECIENIĘY "HE APEI IÈ PP PA I POCO tx Áa STEETS Witalis Smochowaki tularów, barege, grenadine i korónkowych. towarami, Z drukarni K. Pillera. c Cesarz, Polska i Europa. Dusze szlachetne głęboko” zostały wzruszone wypadkami w Polsce. Toż samo współczucie o kazało się we wszystkich częściach oświeconej Evropy. Żadnej nie ma wątpliwości, że, gdyby J. C. Mość był się radził samego tylko popędu serca swego, słowo stanowcze od dawna byłoby wyrzeczone. , 4 Ależ przedewszystkiem w sprawach politycz. nych serce ulegać musi prawidłom rozumu. Nie ma innej dobrej i prawdziwej polityki jak ta, która się zajmuje wypełnieniem obowiązku. Jed nakowoż wybór chwili jest w najwyższym siop niu ważoą rzeczą, a środki powinny ściśle wy równywać celowi Czyli tron Polski powstanie i czy wielki ten naród odzyska swój byt i swoję niepodległość? czy z głębi grobu swego powróci do życia?...
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Hoe men echter art. 211 ook versta, in ieder geval zal men het m. i. moeten beschouwen in verband met hetgeen het wetboek omtrent dat onderzoek op de terechtzitting bepaalt. Daarop heeft betrekking § 2 van den vierden titel van het Wetboek van Strafvord. en nu zou ik meenen, dat waar de rechter, ook bij de vraag over bevoegdheid, „rekening moet houden met de op de terechtzitting gebleken omstandigheden, waaronder het feit is gepleegd" — hij zulks dan toch maar alleen mag doen, voor zooverre het hem niet uitdrukkelijk door den wetgever is verboden. In dit. geval verkeeren wij m. i. in casu. Art. 191 Strafvord. zegt uitdrukkelijk, dat, indien uit het onderzoek omstandigheden zijn bekend geworden, niet in de dagvaarding vermeld, die tot verzwaring van straf grond geven, de rechter op straffe van nietigheid — op die omstandigheden geen acht mag slaan, tenzij het Openb. Min. den bekl. daarop heeft opmerkzaam gemaakt. De woorden zijn m. i. zoo duidelijk mogelijk, met welke omstandigheden de rechter ook rekening wil houden — op die verzwarende omstandigheden mag hij geen acht slaan. Het artikel komt voor in de § handelende „over het onderzoek ter terechtzitting" en is algemeen.
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248 The Honey-Makers Next in importance to the kingly office was oftentimes the office of the keeper of the treasury, and his title also contains the form of the royal and industrious bee, thus: K, That the bee figured in the religious beliefs of the ancient Egyptians would seem to be indicated by its presence in the symbol & WV denoting one of the priestly orders, and also in that denoting one of this order of priests. ow ; Ora The word “substance ” wh} likewise contains (t4 the figure of the bee, while of the signs meaning pent ” TZ 4G is the bee. The sign for the arrow uf ik also contains the bee, the reason for which would seem to be sufficiently obvi- ous, even though it does occur in Egyptian hieroglyphics. Here, as in Hindu, and many other literatures, the bee is found associated with death <4 as is wwn shown by its presence in the symbol of the bier; while ser- honey itself is expressed thus: 4 Maspero lets us into some of the secrets of Egyptian honey by telling us that, of the pigments used in picture- In Egypt and the East 249 making, “ the white is made of gypsum, mixed with albu- men and honey,” and also that the smallest of the perfume vases “were not intended for liquids, but for pomades, medicinal ointments, and salves made with honey,” which, in conjunction with the perfumed pills that we learn were made in part of honey and “when chewed by women made the breath of their mouth sweet,” gives us an in- sight into the manners of the Egyptian ladies somewhat at variance with the non-frivolous impression they create by their unsmiling visages cut in stone or painted on their tombs.
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L'Espagnol était dévoré d'impatience, et Roger ne savait s'il devait se réjouir ou s'affliger de ce contretemps. Enfin, on les rend à leurs travaux. Ils ne pouvaient se parler. Leur maître, ce jour-là, les avait accompagnés. Antonio se contentait de regarder Roger, et de soupirer. Quelquefois il lui montrait des yeux la mer, et ne pouvait, à cet aspect, contenir des mouvements qui étaient toujours prêts à lui échapper. Le soir arrive. Ils se trouvent seuls. Saisissons le moment, s'écrie l'Espagnol, en s'adressant à son compagnon, viens. Non, mon ami, jamais je ne pourrai me résoudre à exposer ta vie. Adieu, adieu, Antonio, je t'embrasse pour la dernière fois. Sauve-toi, je t'en conjure. Ne perds pas de temps, et souviens-toi toujours de notre tendre amitié. Je te prie seulement de me rendre le service que tu m'as promis, à l'égard de mon père. Il doit être bien vieux, bien à plaindre, va le consoler. S'il avait besoin de quelque secours, mon ami. À ces mots, Roger tomba dans les bras d'Antonio, en versant un torrent de pleurs. Son âme était déchirée. — Tu pleures, Roger! Ce n'est pas des larmes qu'il faut, c'est du courage; ne résiste plus. Si tu diffères encore d'une minute, nous sommes perdus. Peut-être ne retrouverons-nous jamais l'occasion. Choisis : ou laisse-toi conduire, ou je me brise la tête sur ces rochers. Le Français se jette aux genoux de l'Espagnol, veut encore lui faire des représentations, lui montrer les risques infaillibles qu'il court s'il s'obstine à vouloir le sauver avec lui. Antonio le regarde tendrement, l'embrasse, gagne le sommet d'un rocher, et s'élance avec lui dans la mer. Ils vont d'abord au fond, reviennent ensuite au-dessus des flots.
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Philip sank down and groaned aloud. That there should be such an end to his hopes, which this proved to have had founda- tion, was hard indeed to bear. Awhile Charles strove to comfort him, but both their hearts were sick, and they were poor com- forters one to another. ' There may be further trace of him,' said Philip ; ' let us look around.' They did so. For a while they found nothing, but at length a joyful cry again broke forth from Charles. ' God be praised ! ' he said, ' come here and read, Philip.' The writing on the wall was rough and misshapen, but they were characters of blessed hope to both ; the words were these : — 'Captin Comtin was taking awey from this horible pleace verry ill, on the day of — ' John Simpson.' ' God be praised for this ! ' exclaimed Philip, as he fell on his knees and blessed Him aloud ; ' there is yet hope, for assuredly he did not perish here, Charles.' 3S6 TIPPOO SULTAUm CHAPTER XI. ' Thesk are too precious to remain here, Charles,' said Philip ; we must remove them.' It was easily done: with their pen- knives they carefully cut round the plaster of each inscription, and then separated it from the wall without difficulty ; they were precious relics, and the young men long gazed on them, with that depth of feeling which such memorials were well calculated to excita ' Ah ! Philip, if we could only trace him further,' said Charles.
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et DEOBLIGATION 60 1 19 1 >61 19 1 .2 hi-fi 18 7 — 1" 1677 — 3 7 — 3**j 31 te 3:7 316 t0321 4 40 3.1 — v i — 9 2 931 :g,5 2 759 11 0 — v? Z Z Z Z 12 U 199 4 11 Marseille 1% s % Marseille 3 1 4 % Marseille 1*94 3 14e 4. ie te Paris 1* 4 % V. Paris 1871 4 %... quarts de Paris 1891 96 2 1 92 V ile de Paris 1X Ville de Paris 1389 t x....ville de Paris 1996 2 3 4% .. Lyon 1*90 3 % Communales 1 -73 2 60 % Foncières 1979 3 % enregistre, 3 % Foncières 1890 2 60 % cinquième 1 propositions 1q 3% Foncières liés 2 50 V. Communales 1-d 1 ia P : M 5 % 1--.M VP I M. fusion r. n-e!V3c. I 'indhard ou-d-ut. 1, Ciments 1 flask 4 1 • blocs de Marseille : traitement Marseille Marseillaise Messageries Maritimes Panama nous ire série Bons à lots 1 (grand remanié d Midi C.... e)n «k Travaux publics du Var »l Ordre et Eau de Tunis 1997 97. 5:; 4 n ;û ledit î' Z Z’9t (1:6 $2 2 — — on 4 iij h 7 3"8 9: 50 , 5 — — — —3.2 ".j 4 3 .81 tdi 50 — 91 lis — — 4 rn 4RS (67 0 4èS —fi» •33 à 339 25 338 25 2 '0 421 50 422 4 : «50 121 Z _4 CDU P. CE DE PARIS C Of : l « iu i O antre 1905Rt.-SIE K+t,HpiOH V : dispos par poète pour les a4*1 ? e). l* o quartier «.d« u *„t» Infornte que la «®ncit*uvn le. i article 1» «*e I met u, taxi i i-, it sauver «v». eut uctu*;iitm rival u e la i, -ta. re uiwaiiie : Les mi .té» ne ver* nt pea «vum.» au croit : potin, sauf (tans te* va» vu il» iw.out vipoilé» enta forumes u «-a:"a.s.n = -r te pont avili amatie navire, ou m‘tn<in'r» et mis vu estid.vulaire uu Département des deux bues, en date du 11 -J août 1902, suite.
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militum tria erant genera in exer- citu Romano 6 8. 2. a militia: leguimacfinem afFcrebat fcx- tufdccimusftipendiiannus 71.2.3. jnilitix Romanac gencra plurafucre diverfisteinporibus 6 8. 2. b milliarium quot ftadiis conftet 181. 2. a Ji/i>fiixab ArellanautdifFcnct 23.2. b Minervxcognomcn ttox/xc 113.2.2. Minerva invita 153. i. a mirificHs , mirus , mirandus , admtrandusy mirabiluy admirabilts, fynonyma 310. I. a fnifiricordia propric dc hominibus 302. i.a tnittere ad aliquem intcrdum quid fi- gnificct 252. I. b niinr eadaliquemy fiofgnificare 90. 2. a moderatio & tempciai.iia, idcm 92. I. a xnodo ut, c^f. 299. i.a fwo/iM interdum abfolutc 105.2.3 monere , & hortari 14. i.b. moncn- di partcs qui fufcipit , vitarc debet arrogantiam 201. i. b monumcntatria> trcfquc corumin- fcriptiones 75. i. b mordcicfrcnum 93. 2. a morifinedolorequi dicantur 19 3.1. b moror. JVfor<r«r, paflivc 385. i.b morofiqui 332. i. a mors. In mortc ftnfum rcfiderc alii, alii amitti putarunt cx vctcribus 246. i.a. kiifum amitti in moitc \ aliquando,afFirmatCic. 271. i.b. I mortis genera 207. r. b. mortem cum vita commutare 193. i.b mos. MoresSc tempora 112. i.a ■ mulieres raro cognominibus uteban- j tur 391. i. b. mulieres interdum j abordine nafccndi nppellabantur, utPrima, Sccunda, Tertia 15. 2. b multitudinis numerus pro fingulari ab oratcre interdum ufurpatur , ut remaugeat ii.i.b I multum, Multa, adverbii loco pofitum, Ut, mtdta deos venerati 283. I b. mul- ta qucri, peccarc , &c. 154. i. b. multa probamus finc laude, lauda- j mus nihil quod non probcmus i 256. i.a I municipiorum jus 371. i. a, b ! munus oftcndcrc 108. i. b. munus oftenderc, & declarare idem 12.2. I a. munera populo dabanr, cum vel giadiatorum ccrtamina prxberent, vel nummos dividerent,vel epulum darcnt,aut aliquid e j ufmodi 1 c 8.
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It is related by Plutarch in his life of Numa, -written in the first century, that among the ordinances made for the Vestal Virgins when they were established in Eome, there was the following. If the sacred fire which it was their duty to keep continually burning should happen to go out, it was not to be lighted again from another fire, but new fire was to be made by lighting from the sun a pure and undefiled flame. "And they kindle it especially with vessels which are shaped hollow from the side of an isosceles triangle with a (vertical) right angle, and converge from the circumference to a single centre.
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Zaeharias hoorde die boodschap van het weldra te gebeuren wonder aan met een ongeloovig hart. Hij zelf toch en zijn vrouw Elisabeth waren verre op hun dagen gekomen. Zij hadden wel jaren lang gebeden dat hun huwelijk gezegend zou worden met de geboorte van een kind, maar dat gebed was verstomd, en leefde niet meer in hun hart. Vanwege zijn ongeloof wordt de priester met stomheid geslagen totdat deze dingen geschied zouden zijn. Ook tot Maria kwam de boodschap van het wonder dat gebeuren zou. Zij was wel een jonge maagd, en mocht hopen te zijner tijd €cn bretgettö ü>ri)töma. VIII. De verzoening, te Morges getroffen, bleef niet zonder vrucht. De Geneefsche predikanten dienden zelfs terstond bij den raad van Genève het verzoek in, om de kerkgebouwen te restaureeren, waarvan meer dan een in droeven staat verkeerde; ook voor de school moest beter zorg gedragen, in het bizonder wat het armenhuis aanging, waar zelfs een priester de kinderen der armen onderwees; verder moest de raad maatregelen treffen tegen schaamtelooze speelwoede, publieke taveernen en vele zwervers, die hun tijd met nietsdoen doorbrachten.
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B| coronel, ssplian do dd D. José Verganzto ' Ldo de la de Guaraquil. i El caplian, teniente de ld. D. Eguscio Pedroso Juzgado privativo de este real crerpos Juez. El Subinspeeror del departamentos Asesor, Gr. DM. José Irigoyen. Fiscal, D. D. Salyados Castro. Escribauo, O, Ygoacio Luza. e Ministerio política de artillería. | Consta de un comisailo de guerra del exér- clto y departamento, de otro de artillería hon3* "eariódegaecra, de un guarda almacen ordina- ríe, quatro extíaordinarios, tres escribientes de número, y des pepnes de conflanza. j Comisario de guerra de exército y departamento. Sr. D, Igzacle Gonzalez. 1d. de artillería honorario de guerra y exército. GE D. Leandro Cendeja. e Guarda almacen ordinario de artillería de Lima. DD. Fraecisco Rueda, Y) ld. de la sala de armas de id. D. Fiancisco Sarrio. | »x Id. de la plaza del Gallao "D, Miguel Estrad». hs Had. de la de Ebiloó. D. Fabian Loaysa. | ds Hd. de Etajagall. PD. Pablo Esbayer, Justa seperior del departam. dsnde se exáminan deficitivamente los gastos, y existene. de artilleria. Presidente Bl xefe de soperlor emples que no sea el subisspector : vocslzs , el eficlal que le siga en el órdea del maado en el mismo de- percimentez el aomisario de guerra 6 ministro que le siga de este cuerpo, Otro subalierno y ua ofñiclal de esta clase que es secretario sio voto. REAL CUERPO DE INGENIEROS. Director subimspector. El brigadler $1, D. Pe- dra Antonio Molins. Comandante de Cáiteé. Do De Erayeguil. D. ge Coroasl. Y, Prencisto Mendizabal. Doartel maes: tre general del exérc. de aperac. en elalto Puú Teniente coperel, DD Francióso Huarte» i 12, D. Nicolas Seduno. Sarg. mayor de brig. D, Ramon Oteo de Texada Jd. D. Pedro Antonlo Molina. Id. D. Pedro Colmenares.
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terit a ea habito judicio Ordinant. 9. De Jare cognitio de pertioae congrua fptSat ad Or- dinariam, 1°. Jgaefho de pertioae ceagran in pcfrjfone hodie agi- tur ceram judice regio. tl. Judex latent provilionalitcr pronuntiat faper portioni congrua. IX. Edtflnm Pegi! Gallia refirvat cognitionem Judicibut Regin. t). Ediflum Prinapum noftromm vult per Regin Afa- gijhratut Ixecutionl mandari, quod per Ordmariel fuerit determinatum. 14. Eadem Edi flo mandatur Alagijfratibm Regin , at Or- dinarii! dtftflncfit iu aj/ignanda portione , ipfi pro. Videant. Ij. Jgnomodo conformittr ad hec Edtfltem foltat portu cerrgrua peti. 1 6. Sententia provilionalis Senatui Regii qualem tfftfla» habeat. 17. Petitorium fuptr portione tengrua hodie injhtai ara filet. t8. Dam portio congrua petitur fip,r Jecimn infrudatis, etiam petitorium fpeflat hodie ad judicet Regiet. I. T) Ottioncm congruam peti polTe per Vicarium per- X pecuum , in cujus fullematiuneui principaliter ce- dit, dubium non ell. Imb non carnilm fuis propriis ne- celliutibus , fed & Prclbytctorum , qui ad curam ani- marum laudabiliter exercendam neceflarii funi , (ufficicn- tem petere polle , fupra cap. x. notavimus. II. Si Parochus fcu Vicarius perpetuus ellet regligens m adjungendis libi Ptelbyteris ncccllariis ad curam ani- marum laudabiliter exercendam ; & Epifcopus judica- verit propter amplirudincm & extentionem Parochia; plo- res Presbyteros neceffarios ; aut in Ecclelia aliqua fuc- curfali requiri Presbyterum , qui ibidem rcfideat , & po- puli circa illam Ecclefiam commorantis cutam habeat, ob dillaticiam ab Ecclelia Parochiali , poterit Epiicopns Parocho negligente ad portionem congruam cogere ip- fos Decimator es, aliofvc ad quos ejus folutio fpeflat. Quin Sc Vicarium hujufmodi Ecclelix fuccurfal» auflo- ritate Epifcopi prxpofitum ad portionem congruam , Pa- rocho negligente , agere polle , judicatum refert Joanncs Tournetius liti. P. aum. 119.
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The incorrect use of the handkerchief is, according to Dr. William S. Tomlin, one of the most prolific causes of acute disease of the middle ear, with consequent deafness, says in the Indianapolis Medical Journal that the average adult constricts the nostrils when he blows his nose, thus producing extraordinary compression of the air in the nasal tubes. When he has a cold there is infection and swelling around the eustachian tubes, and the effort to expel the compressed air through the constricted nostrils is likely to blow some of the infected mucus into these tubes, thus starting the trouble. When a person has a cold he should sleep on his side and not on his back, for thus he will establish good drainage from the eustachian tubes. Spread of Species. One of the problems that confronts the naturalist is that of accounting for the distribution of identical forms of life through widely separated localities. Investigation frequently shows that this has been accomplished in many ways that appear quite simple when once discovered, although one would hardly have thought of them. Some interesting facts gleaned concerning the dispersion of fresh-water mollusks account for their appearance in remote and isolated ponds. Waterfowl play an important part in this work. Ducks have been known to carry mussels attached to their feet a hundred miles or more. Bivalve mollusks not, infrequently cling to the toes of wading birds, and are thus transported for considerable distances. Kid Has the Usual Luck. When Mrs. Louella Bulthaup Stout fell down the steps of her home at Lawrenceburg, Kan., her baby granddaughter in her arms was uninjured.
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U ran Moscow, îvlaho Vi I • INH m IS «S.C. VS. «INO Base Ball Four o'Cku'k 11111111101 Ml I AH l> 11 'WillMl* T(l>, 11 HU IHM» HI III «IHM II» III 1 IN UM«) Il H Timen I« cmiMldm'Hhm lulumdm' »Himllim nimm «Imin ummhi «Imuhl Hiiiumi'lhn fnr Hmlc hmide uf Hm ihhd mm,uv inmc lu unlec m clmic h uu h 1« « nil In Ihiuw uu «hui lm»!» Hm»c Imude me mmi'Hmmd Hi Hm \miuu« »ecHmm uf Hm vmuiil rv Tim mimiUiuumui m litnhm mid Hi llm uiimr »mm«, nm Inmml nuHml» uu Hm tmuH »ln|m»H» uf Hm«c «mm» Wlmu Hm mmmul mmi'Hmmd Hi Hhilm I» divided uu mumm Hm viulmm vhhh il,'», Hm «mue nile I« fnlUmmf m\\ Hm mmmul mnu'HuueU I« Hi lU'mimlhm lu (Im defined« Hi (lie fmulm uf Hm«e miullee. Till« mmmul 1« nnUeil uf fi'um Hm ieuui'1« uf Hm hnufm fu Hu» nimimlhm uffleev«. fu Hie «Ulfe hnuH nvnmiimi' Hi eHHe hnulrn, mill fu Hm eumuH'ellei' uf Hm euvi'em v Hi Hm mi HuhiiI hmik« 'f'lm nmuiiui miuvlluimd m f.nfnfi euuuhv Ueuvmfa uu UUV hmili lUqiusim mui uu uufhHm el«e h fuflu««. fhevefuvv. HuH e\vv.v uue mklna inmu« «huuld luHe Huuu mum m» n«u h«uH h il\i« 1« uuf dune mi luhmllee fulluw» li « um»uu \\lm 1« hnuklim fu « vevmlii hmill. Hue« iiul lake hl« fmml« Hmv« Hm «iluHi uf Ihm UnuH ellhev full« helu« «lim 1« m uevied fi'uiu ll, uv Hm miiuiml Hum lu«i imi«i im uuule uu h.\ «um« uh« ehe lu like mmiimi'. if u imv«uu whu u Cnukum lu uue lew il hHm« m« UumW ln mmlUev lewm Hm nimm whh U W ul Hemd u, uw lumm lewe ein Sill «Uuvi w me«! Ue mmle uu Uv eiliev« u, umn vunnd. whevv ihe im«e»ij town, Me«eew. 1« lueuled ueui'lv un Um »mm Ihus a \m,v m,«e uivuuillvm uf Hm hewk deuu«lU vumv Hum «we»» Um Une uuv eunnu m ehm«vd wllh Um«e deuu*H« ln «wuvllvmln« VUv «nmnm ol lUe we m>kvd vuj «niiavvUm u um»v hank dwiw^ilvv* NV m, uw uvev me live and de mmlnv»» ln \u,»vow uvke Umlv Wund» Iw uHmv -—.. .-... ". -. -r.
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Voilà encore une sottise qu'il me faut réparer! (Haut. À Canisson.) Oui, monsieur, elle était veuve; mais je suis issu de son second mariage, ce qui n’empêche pas que la pauvre femme était veuve de son premier mari... Avez-vous compris?... (Avec colère.) Ah! ça, aurez-vous bientôt fini de regarder ma femme!... APRÈS LE BAL MASQUÉ. CANISSON C’est que sa tournure, sa démarche, ses gestes me rappellent une personne avec qui je suis intimement lié. VINCENT Ta ta la!... Vous me contez là des histoires... Je suis jaloux et ça tournera mal... (À Rachel.) Dépêchez-vous de rentrer à la maison, si tu ne veux pas recevoir une dégelée. (Elle sort.) Tu sais que lorsque je tape, je n’y vais pas de main morte. SCÈNE V. CANISSON. VINCENT. ANTONIN. CANISSON Vous êtes bien sévère pour votre femme. VINCENT Il faudrait peut-être la laisser à votre disposition et assister comme un jobard aux galanteries que vous lui adressez... CANISSON, bas à Antonin. Tâche qu'il ne le pince jamais avec elle: car il ne te manquerait pas. ANTONIN, bas. Mes précautions sont bien prises. CANISSON, bas. Je voudrais voir le visage de la maîtresse. ANTONIN, bas. Vous y exposez pas, autrement gare à son mari. CANISSON, bas. Apprivoisons-le. (Haut) Monsieur est dans les céréales? VINCENT Monsieur Canisson vous demande si vous faites le commerce des blés. VINCENT Je fais les blés, les haricots, les pommes de terre, les épinards, les... CANISSON Les denrées alimentaires, les produits végétaux... VINCENT Plaise-t-il... Il ne faudrait pas avoir l'air de me mécaniser parce que je suis un campagnard... Moi, quand on m'asticote un peu trop (montrant ses poings), c’est avec ça que je réponds.
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Lorsque l'article 50 permet d'interdire une exploitation de mines pour cause de sûreté publique, il permet en réalité de toucher au cahier des charges de la concession et de le compléter. L'État n'a pas pu épuiser d'un seul coup, dans l'acte de concession, son droit réglementaire sur l'exploitation de la mine : en pareille matière, le droit réglementaire se confond avec le droit de police générale. Comment donc le concessionnaire pourrait-il se dire lésé? Comment l'acte administratif pourrait-il violer son droit, puisque ce même acte est légalement destiné à définir son droit? Du jour où, par mesure de police, le concessionnaire est exclu d'une exploitation que l'intérêt public commande d'arrêter, son droit de concession n'existe plus sur les lieux mis en défense, au moins tant que dure la prohibition administrative. Telle est la condition de son titre ; tel est le sort qu'il a librement accepté en sollicitant la concession. Au surplus, c'est une règle incontestée que les servitudes d'utilité publique résultant des lois et règlements doivent être subies sans indemnité : elles sont assimilables aux charges naturelles de la propriété. L'opinion contraire devait s'appuyer sur l'article 7 de la loi des mines : l'acte de concession donne la propriété perpétuelle de la mine, laquelle est dès lors disponible et transmissible comme tous les autres biens, et dont on ne peut être exproprié que dans les cas et selon les formes prescrites pour les autres propriétés. L'État, en concédant une mine, crée une propriété à laquelle il ne peut plus toucher. Il est inadmissible que l'administration puisse faire indirectement ce qu'elle n'a pas le droit de faire directement.
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Arrafa^to, úm, adj- et part. pass. du v. arrufar* Tonturé; se dit d^on vaisseau dont leseitrémi- !éa son! plus élevées que le reste. Arrafadara, s. f. arroufadou-^a. Mar. Ton!are, • courbare qu^on donne a un vaisseau de maniera qoe sea deux ett remites de prooe et de poupe aoiant pías élevées que toot le reste. Arrufaldada, adj. anc. v. Arremanaado, Remanr gado. II Querelleur ; qui aime k cbercker qoe- relle. || Libertiñ; qui n'a paa égard aai bien- aéances. ArrafaoMMiaa, a. m. Y. Enojo. Arrwfar, v. a. arroufar. Mar. Tontorer; donner de la courbature á un bátimen!. Arrafarse, V. pron. arroufar té. Se coarroucer, ae Af.her, ae meUre en colera. t| S^enorgaeillir; se faire orgucilleux. || Gronder . mon!rer lea dents un chien lorsqu^il estén colére. Arraflanada, da. adj. Imprudent, insolcnt, qui a des moeurs dcrégléos. || Debauché, infAme, qui n^apas d^honneur, qui eierce on vil métier. Arrufo, Mar. Y. Arrufadura, Arrala, s. f. arrou-ga. Ride; pU de la pean. {| Techa. Fronce; pli qui se trouve dans le papier, et sur les cartes á jouer.sPli defectueux qui ao fait dans toute sorte d'étoffe. ArroKaelaa, s. f. anc. Y. Arrugamiento. Arrasada, a« part. pass. du v. arrugai^, ChiffoD- né.'fironcé. ridé. || Ghiffonné^ gresillé. || On l^em- ploie adjectiv. Arranamleaia, s. m. arrougamién^to, Gresille- ment; actíon de gresillcr, de rider; éta! de ce qui est gresillé, ridé. Arrasar, v. a. arrougar, Rider, chifToner, fron- cer, crisper, faire des ridos. |I Gresiller; faire que quelque chose se fronce, se ré!réci8se. Arrasarse, V. pron. arrougar^té. Se rider, se chiflbnner, se froncer. se crisper; (Hre ridé, etc. ArruslA) s. f. anc. a rrQU<;-Ma. Mine d'or. Arriilaada, a. part. pass. du v. arruinar. Ruiné, achevé, exterminé, perdu, culbuté, délabré, flambé, confisqué, etc. ¡¡ S^emploic adjectiv.
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G. Signore, egli era di chiaro, mentre che Bastiano Magro, e maestro Giovanni Stocchi, e Costantino furono i primi a salire con quattro compagni scoppletieri per uno, ed il tamburino, e gli altri venti soldati con le picche aspettando gli altri compagni, che di mano in mano montavano, fu per consiglio del signor Francesco dal Monte Santa Maria e Perotto Corso, che si ponessero a giacere in terra fino a che gli altri arrivavano; passò qui una guardia nemica, la quale, partendosi dal luogo suo, gli vide così prostrati, e cominciò a levare il romore, talché vedutisi scoperti, non aspettando altro i compagni, diede il segno che avevano da quelli del campo, i quali subito con il colonnello Meo da Castiglione piantarono le scale al luogo solito, e così fecero gli altri capitani, i quali con velocità in più luoghi, come Vostra Eccellenza vede, assalirono il monte, e con alte scale per divertire quelli di dentro, i quali spaventati per vedere inalberate sei insegne, e moltiplicare il numero dei soldati in battaglia, che combattevano valorosamente, si misero in fuga, ancorché la rocca tirasse del continuo: una parte di dentro si volsero a serrare la porta, la quale da' soldati del campo di fuori in un tratto fu aperta, onde li assalitori con gran furia presero tutto il piano del monte con morte di molti soldati, facendone prigioni, con mettere a sacco tutte le case di quel luogo. Tornò utile a quelli che furono solleciti a ritirarsi presto nella fortezza, che è quella che Vostra Eccellenza vede murata in cima al monte, nella quale entrarono Carlo da Sora combattendo con molti della terra. Fu morto da uno scoppletiere quel Lione, che mise in S. Leo quei quindici soldati, poche ne ebbero preso il monte con sanguinosa battaglia.
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madzenie prawyborców, w którem ckoło 2000 osób T) brało i na którem uchwalono: 1) Księztwa Szlezwieko Holsztyńskie pod rządem uznanego przez siebie księcia są niepodzielne, prawa księztw mogą być jedynie w interesie całych Niemiec mocą uchwały parlamentu nie mieckiego ograuiezone. 2) Prawa księztw zosta ły konwoncją gasteinską naruszone, przeto wszel ki opór przeciw przeprowadzeniu tej kon wencji jest uprawniony. 3) Dotychczasowe zachowanie się Średnich i małych państw państw niemieckich wobee dokonanego na księ stwach gwałtu jest nagannem, i tak dla nich samych jak i w ogóle dla całych Niemiee w następstwach swych szkodliwem. 4. Niemiecki bundostag udowodnił ną nowo swoje niedołęz two w kierowaniu losami narodu niemieckiego. 5. Jedynie parlament niemiecki byłby zdolny obronić prawa narcdu niemieckiego i nadać im powagę. Jak długo tego parlamentu nie ma, tak długo „zgromadzenie deputowanych niemieckich* zastępować go musi. Wzywamy więc depnto: wanych wszystkich krajów n'emieckich, aby zgromadziwszy. się w Frankfurcie, stosownie do uchwał niniejszych postępowali i działali. We Francji zajmuje uwagę okólnik Lava lettego, którym nakazuje prostować z urzędu wszelkie doniesienia dzienników o posiedzeniach rad municypalnych. Jestto wyborny sposób za raniania dziennikom rozpraw o sprawach gmin nych, gdyż sprostowania urzędowego we Fran cji prostować nie wolno! Rzym. Do Mem. dipl. donoszą z Rzymu z wszelką pewnością, że Ojciec św. zamyśla na najbliższym konsystorzu mówić o ukłądach z p.
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Hure dans les travaux publics l’œuvre auquel on tréfile ; Ouvrage qui intéresse tous les ordres, de la récite, mais plus particulièrement utile aux personnes qui font apprises de certains des affaires relatives à l’administration des Chemins, des Aujourd'hui 2 et noir, suivants, il sera procédé à l’enlèvement de l’Hôtel de Ville, en présence de MM. Les Prévôt des Marchands & associés, au treizième Tirage de la Loterie Royale établie par Arrêt du 4 Octobre 1783. Le 4e des Séparations achevées aux Confrères de l’imprimeur-libraire, et le trouvera, Imprimeur ordinaire du Roi Du 10 Avril. Adélaïde-Catherine-Augustine Congnieffe Desjardinins, mineure, femme de Jean-Alexandre Pincent, fils, ci-devant Négociant, rue des Nonnains désireuses. Edit jour. Anne-Louise-Augustine Foucher de Villecourt, femme de Charles Eugène Raymond, Horloger, ci-devant rue St. Honoré, et actuellement rue St. Pierre aux Bœufs. Du 12 dudit. Suzanne Françoise Mouflet, femme de Pierre-Joseph Lambert, et avant veuve d’André Deiches, Menuisier, Les d’impression. À Paris, chez L’Épineuse, traduite en Français, avec l’explication du sens littéral & du sens spirituel, tirés des saints pères & des Écritures Sacrées. Nouvelle édition, mise dans un vingt ordre pour la faciliter. Manuel des Muses, ou nouvelles instructions par M. Quin, ancien Maître à Cheval au Château, rue & Montagne Ste. Geneviève. L'édit jour. Non communauté entrée Jean & Thomas Perrard, mari d’la, rue Bourgogne Abbé, & de Jeanne Victoire Loton, son de S. Jacques ; Dejeune, Hardouin et Gately, Libraire au Palais Royal, & chez Didot fils aîné, Libraire rue Dauphine. Complément aux détails du 10 dudit. Marie Marguerite Chopard, femme d’Alexis Joseph Renaud Ducruet, Banquier, rue Feydeau. L'édit jour. Clotilde Desfosses femme de Jean le Gué, dit Dubois, Maître & Maîtresse Tailleur d’habits, Cloître St. Garnier en Auxerrois. Du 21 dudit. Catherine Renault, femme de Sébastien-Charles Denivet, Maître boucher. Morts. M. René-Remi Pernaut: Le siège de Livourne, Conseiller au Parlement de Paris, décédé à Tarbes, le 9 de ce mois. Clotilde-Antoinette Henriette Levere, fille mineure de M. & Mme Pierre-Joseph Marquis de Fontari, Maître de Camp en seconde du Régiment de Bourbon, Infanterie, rue & chaussée d’Antin. Marthe-Gabrielle Gros, épouse de M. Richard Crepinel, Bourgeois de Paris, rue Jacob. Louis Carion, époux de Mme Jean Dumaresq, Maîtresse Fouquier, & ci-devant veuve de M.
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Al qual dclamparando dcfta manera los caiulleros Caftelljnos.pufo el Rey de Caedla cerco fobre Atiene* pcrfonalriic- tCiComencaron los Cartcllanoicl primer combate córra el cadillo, al que por no le poder dañar nada, dieron lan brauoscom bares a la villa , que moflen Rodrigo de Rebolledo viendofe muy apretado, pidió focorroal Rcv don luán.
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W ten sposób Osservatore Romano daje do zrozumienia, że, według mniemania Waty kanu, kwestja rzymska nie może być roz 300. Wiadomości Archidiecezjalne Wileńskie. Nr. 20. wiązana w negocjacjach miedzy upełnomo cenionymi przedstawicielami Papieża i wiel kiej Rady faszystowskiej. Prasa w tej wymia nie zdań dopatruje się początku negocjacyj, zmierzających do załatwienia kwestji rzym skiej. Portugalja. — Portugalski minister dr. August de Castro, którego książeczka o Małym Kwiatuszku została szeroko rozpo wszechniona w Portugalji i w południowej Ameryce, ofiarował specjalne jej wydanie we włoskiem tłumaczeniu Ojcu św, Do na pisania tej książki skłoniły ministra uro czystości, związane z procesem kanonizacyj nym św. Teresy z Lisieux. Francja. — W końcu września r. b. od był się w Bierville we Francji Kongres „Unji Pokoju“ Marka Sangnier'a. Na kongresie tym wytknięte zostały nowe linje wytyczne dzia łalności stowarzyszenia. W zakresie realiza cji wzajemnego zbliżenia się narodów Unja za rzecz najważniejszą uważa pracę nad kształtowaniem umysłowości społeczeństw i sądzi, że tego rodzaju praca jest bardziej celowa od działalności prawno-technicznej. Nauczanie historji winno położyć nacisk nie na wojny, lecz na kulturę ludzkości, Należy stworzyć międzynarodową komisję, któraby czuwała nad podręcznikami szkol.
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