text
stringlengths
3
9.2k
scores
sequencelengths
5
5
race_origin
int64
0
3
gender_sex
int64
0
3
religion
int64
0
5
ability
int64
0
3
violence
int64
0
3
vi, 34 C i, 79 Af71, 84 Elabitur C ii, 11 Elapsi G v, 37 Elata esset C ii, 8 Elati G vii, 47. viii, 29 C i, 45 C iii, 59, 79 Af 76 Elatos G viii, 19 Elatum est G i, 46 Elatus A 41 Af 22 Elaver G vii, 34, 35,53 Elaveris G vii, 34 Electi C i, 85. iii, 91 Electis Af 18, 32 Electissima A 30 Electos C iii, 84 A 17 Elegantia G viii, 1 Elephantes Af 19 Elephanti Af i, 27, 41 Elephantis C ii, 40 Af 25, 30, 35, 41, 48, 70, 83 F 858, 6 Elephantorum Af 72 Elephantos G vi, 28 Af 27, 59, 72, 81, 83, 86 Elephantus Af72, 84 Elevebant C ii, 9 Eleutheris G vii, 75 Elicere G v, 50. vii, 32. viii, 8, 16 Elicerent G viii, 12 Eliceret G vi, 8 Elici C iii, 38, 85 Eliciebatur H 40 Elicuit C iii, 100 Elide C iii, 105 Eliderentur C iii, 27 Elige Af 45 Elocutus C ii, 34 Eludebant C i, 58 Eludentibus A 25 Elusa esset A 24 Elusates G iii, 27 Eluta Af 24 Emendate G viii, 1 Emerant G ii, 33 Emi G i, 16 Emigrent G i, 31 Eminebant G vii, 73 Eminens C ii, 24 Eminentibus G vii, 72 C ii, 9, 23 Eminentiores C ii, 9 Eminere C i, 41 Eminerent G vii, 73 Emineret C ii, 9 Eminus G vii, 24. viii, 13 C i, 26. ii, cxl INDEX 6 Af 29, 30 Emisit A 01 Emissae essent G vi, 42 Emissis G ii, 23. v, 26. vii, 88 Emisso G v, 51 H 13 Emissum C iii, 76 Emissus A 24 Emittebat G v, 19 Emittere G i, 25 A 19 Emittit G vi, 58 Emittitur C i, 81 Emittunt C i, 76 Enataverunt A 18 Enecaret Af 84 Enim G i, 14 et alia Enisus est C ii, 6 Eniterentur C ii, 34 Eniteris Af 22 Enixe C iii, 35 Ennius H 23, 31 Enumeratis C iii, 105 Enuntiarentur G i, 31 Enuntiaret G i, 30 Enuntiari G i, 17. vi, 58 Enuntiarit G i, 17 Enuntiata est G i, 4 Enuntiata sint G i, 31 Enuntiatum esset G i, 31 Eo, pron. G i, 3 et alia Eo, adv. G i, 14 et alia Eodem, pron. G i, 5 et alia Eodem, adv.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Levò anche da loro patiboli. Li gettarono nella caverna, in cui erano appesi, e misero all'entrata delle grotte pietre, le quali vi sono rimaste fino ad oggi. Lo stesso giorno prese ancora Giuseppe per forza la città di Maceda, e mise al filo di spada il suo re, e tutti gli abitanti di essa: né li lasciò né pur qualche piccolo avanzo. E fece al re di Maceda, come aveva fatto al re di Gerico. Ed da Maceda passò con tutto Israele a Lebna, e l'albicondusse. Ed il Signore la diede infieme col suo re nelle mani d'Israele; e sversò al filo di spada quanti si trovarono abitatori nella città: e non vi lasciò anima viva. E fecero al re di Lebna, come avevano fatto al re di Gerico. Da Lebna passò a Lachis con tutto Israele: e circondarono col suo esercito l'assedio. Ed il Signore diede Lachis nelle mani d'Israele, e la presero il secondo giorno, e misero al filo di spada tutta la gente, che v'era dentro, come avevano fatto a Lebna. Qui depotenti proiettarono in spezzant, in qua stava, e non v'ebbero super l'osso, che era ingente, qua permanente fino ad oggi. #Deut. ii. 23.
[ 0, 0, 1, 0, 3 ]
0
0
1
0
3
Con e schivo l'infedele, Com'e facile, Filebo, Ti ho visto, Filebo, Ti ho visto negare, Che Nereo t'inganni, Più presto crederò, che egli sia ingannato, Ma ingannato, oh no; che Gelopea Sia tanto malvagia, E' certamente inganno Duo mi, che per l'amore, Che vi portate, a me è divietato Entrare in casa loro; E che sia divietato a Gelopea In me favellare, Che certamente ora Farei che con sua bocca t'aprirebbe La strada da venire A trovar questa froda; Ma perché so, conte la gelosia Metta presto radici, Nel petto di chi ama, E so come ne tratta, io vorrei condurti A ritrovare il vero; Per un altro cammino; Vanne subito, ostentatamente. Entro il lenigo di Alfeo.
[ 0, 2, 0, 0, 1 ]
0
2
0
0
1
raglia la bugia. Dunque bora è il tempo. Dunque ci no da preghiere ultime quali noi medesimi, si come ogni bora misfaccia. Dunque si acqueti fornati cor. Dunque fa ch'io un bene riguardando ultime notte modi di quest'attuazione. L'articolo, in eccede giorno lo giorno di alte nel fimimento della p.a v.o.& Ullo.P.oz.y detono la fantasia favoleare Ullofcola po fitone Ud Lat.T si come il popolo tutto Faola fu re. Et Ulloabitato Conoscitula uli in giù il faglia china, gran tempo. Che quoto piace il mondo liberò fuggo. Ulloingiù è pur corso acqua, abbastanza ul'incontro. Era la mia virtù tal cor risolta. Che potesse ul bifo da s'Albore fu io più timido allo stato, che dentro nascita portava il fermare. Quindi il poggio fattoso, & all'ottimo l'alno di questa fiamma, e guardava ancora il bello corpo. Ul fine ul tempo. Bocca Ul parer mio Ul l'altro muro. Men ul deserto l'ultimo. L'andare Ul presente a cal' al con ghe di eccede di al conto, & alcuna volta si trova nel nuovo cunicolo. Un luogo ul colé il grido al grido di colé. Da an Lara mero più Lat. antichi, e nave quanto qualch'uno mettendosi ul latito. Quel fu ul modo perfino glorioso. Fede portai ul trionfo ufficio. Vanno a vicende da esterno ul studio. Ul luce a Sic si ul legno ambedue le mani. Indi veniamo ul fine. Et in eccedente & in "P\,T. Onde fibella donna ul mondo nacque. Ritorno ul topo ch'io la vidi prima. Benigna mi ridusse il primo fiato. Ma nulla il mondo, in c'huamo faggio si fide. Venire ul niente. L'in niente. Così si ul presente amo. Da attui tempo de li Dei falsi, & bugiardi. FJ ecco quasi ul cominciare de le ene. Et fanno rumore quell'acqua ul fondo. Et quel di mago eh'ul petto si mira. Saranno i corpi nostri appesi a un ul pruno dell'ombra sta molesta.
[ 0, 0, 0, 0, 2 ]
0
0
0
0
2
Depuis les temps les plus anciens, mes chers amis, tous les habitants de l'Égypte étaient partagés en trois classes, également utiles et respectables. La première était celle des prêtres, qui seuls possédaient l'art de faire usage des hiéroglyphes, déchiffraient cette écriture mystérieuse, observaient le cours des astres, et présidaient aux sacrifices que l'on offrait aux divinités du pays : quoiqu'ils fussent en petit nombre, ils possédaient à eux seuls le tiers des terres du royaume. La seconde classe était celle des guerriers ; qui n'avaient d'autre occupation, d'autre science que celle de défendre leur patrie contre les ravages des Ethiopiens et des peuples pasteurs qui avaient autrefois envahi l'Égypte. Ces guerriers, comme je vous l'ai dit tout à l'heure, possédaient aussi le tiers des terres du royaume, dont le reste appartenait entièrement aux Rois. Le peuple enfin, c'est-à-dire les marchands, les ouvriers, les artisans de toute espèce, formaient la plus nombreuse et la dernière classe des habitants de l'Égypte. Ceux-là n'apprenaient ni à lire ni à écrire ; leur caractère était craintif, leurs mœurs farouches, et ils ne savaient qu'obéir et souffrir en silence. Ces pauvres gens ne possédaient pas le plus petit coin de terre; ils vivaient à demi-nus, se nourrissaient de quelques légumes grossiers, et n'avaient d'autre abri que les portiques des temples, ou des huttes fragiles de paille et de feuillage. La plupart du temps ils n'échappaient aux plus affreuses privations, qu'en se livrant aux travaux pénibles et dangereux que leur imposaient, pour un modique salaire, les orgueilleux Pharaons qui construisirent les pyramides, et couvrirent l'Égypte des gigantesques monuments de Thèbes et de Memphis.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Cette maison est d'un style tout à fait recommandable. Bâtie sous la direction de M. Lobrot, dans l'avenue des Champs-Elysées, à l'angle de l'avenue Marbeuf, elle se distingue avantageusement parmi toutes celles récemment élevées dans ce quartier neuf. Par son caractère d'originalité, mais d'originalité de bon aloi, le bon goût et le bel effet de ses ornements sculptés, ainsi que la sage distribution de ses moulures au galbe bien étudié, font le plus grand honneur à cet architecte. Les plans, la façade, et trois planches de détails expliquent cette construction. Planches 67 et 68. Sur ces deux planches sont reproduits un balcon, deux clés de fenêtres et une porte bâtarde du style Louis XV. Quoique n'étant pas modernes, les sculptures n'en sont pas moins très utiles comme décoration. Du reste cette construction, où existait un roulage il y a quelques années, est aujourd'hui une immense propriété dont un bâtiment principal est en bordure du boulevard Sébastopol; un second corps de bâtiment fait partie de cet immeuble qui a été remanié entièrement sous la direction de M. Tavernier, qui y a conservé l'ornementation qui nous occupe. La menuiserie toutefois a été exécutée récemment. Planches 69, 70, 71 et 72. Il nous manquait, pour compléter cette collection, un type de porte cochère moderne, et de même pour les lucarnes. Celle que nous donnons peut être considérée comme du style Louis XIV, de même que de l'ornementation du premier étage qui se trouve sur la planche 71. Élevée au coin de l'avenue Marignan et de celle des Champs-Élysées, sous la direction de M. Victor Marie, cette construction est remarquable par sa richesse; aussi lui avons-nous emprunté le sujet des planches 72 et 73, qui consiste en la décoration intérieure d'une salle à manger et d'un salon.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Maintain attribution The Google "watermark" you see on each file is essential for informing people about this project and helping them find additional materials through Google Book Search. Please do not remove it. Keep it legal Whatever your use, remember that you are responsible for ensuring that what you are doing is legal. Do not assume that just because we believe a book is in the public domain for users in the United States, that the work is also in the public domain for users in other countries. Whether a book is still in copyright varies from country to country, and we can't offer guidance on whether any specific use of any specific book is allowed. Please do not assume that a book's appearance in Google Book Search means it can be used in any manner anywhere in the world. Copyright infringement liability can be quite severe.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
In 1343, when he was fifty years old, the growing sense of contrast between those intuitions and the religious formalism and unreality of the cathedral life, the distracting bustle of the town, reached a point at which it seems to have become unendurable to him. Together with Hinckaert and Coudenberg — both now old men — ^he left Brussels for ever ; all three intending to settle in some lonely country place, where they could devote themselves to the Hfe of prayer and contemplation. They were given the old hermitage of Groenendael, or the Green Valley, in the forest of Soignes outside Brussels. There they were presently joined by disciples, and formed a small community, which was eventually placed under the rule of the Augustinian canons. Coudenberg became the provost and Ruysbroeck the prior; and under their government the priory of Groenendael soon became known as the home of a special holiness. We shall probably be right if we identify his thirty- eight years' sojourn in the forest with the " God- seeing " stage of Ruysbroeck's mystical life.^ Here without doubt all his greatest works were written. The Adornment of the Spiritual Marriage must have been composed soon after his retreat from Brussels, for we know that in 1350 he sent a copy • Cf. The Adornmmt of the Spiritual Marriage, bk. iii., and The Sparkling Stone, caps. 3 and 9.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
"Then you suppose it was the people who wished to burn the condemned? " " Oh, yes. Monsieur ! " " That is quite another thing. You strongly resisted, then 1 " " We had three men killed. Monsieur.'' " But you killed nobody yourselves 1 " " Monsieur, a few of the rioters were left upon thfi square, and one among them was not a common man." " Who was he ? " " A certain Menneville, upon whom the police have a long time had an eye." " Menneville ! " exclaimed Colbert, " what ! he who killed, in the Eue de la Hochette, a worthy man who wanted a fat fowl 1 " " Yes, Monsieur ; the same." " And did this Menneville also cry, ' Vive Colbert ! ' " " Louder than all the rest ; like a madman." The brow of Colbert became cloudy and wrinkled. A 144 THE VICOMTE DE BRAGELONNE.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
— Vous me parliez de votre départ, Gaston,... ne tardons plus; quittons Paris, toutes les traces de la douleur seront effacées, et je vous le jure devant Dieu, jamais femme n'aura été si éperdument heureuse... — Ah ! je ne puis partir avec vous, Marguerite, prenez les devants; Rivalou vous accompagnera... Moi, je touche au moment le plus solennel de ma vie... si je dois quitter Paris c'est avec une autre personne. Un mouvement de dépit fit contracter le visage de Marguerite. — Vous savez bien que je suis venu à Paris, afin de délivrer mon pays, de sauver ma souveraine ; afin d'accomplir le rêve de mon existence entière, poursuivit Gaston. — Quoi ! toujours cette pensée ! elle causa notre séparation pendant plusieurs mois au début de nos amours ; elle continue à faire le malheur de ma vie. — Ah ! Marguerite, je ne vous croyais pas coupable d'autant d'indifférence envers votre pays... Jeanne est malheureuse,... emprisonnée,... condamnée à la stérilité, aux outrages... Je veux la délivrer, la ramener parmi ses sujets... Et vous blâmeriez... — J'avais tout compris, Gaston... — Si je ne vous avais pas tout dévoilé, Marguerite, c'est que les projets politiques ont besoin du plus grand secret pour réussir ; je n'avais confié les miens à personne... — J'entendis la conversation que vous échangeâtes avec la comtesse Sanchette et Barthélémy, un instant avant votre départ, et je saisis tout ce qu'il m'importait de savoir,.. Jugez du coup affreux que je reçus !.. Marguerite se tut, le désespoir serrait sa gorge et étouffait sa voix. — C'est que je ne puis m'expliquer votre douleur, au contraire... Blâmer une entreprise qui doit rendre la liberté à notre souveraine... l'indépendance à ma patrie...
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Suite une calomnie atroce « On lui reprochait (à moi) de vouloir « TOUT » diriger déspotiquement « dans le diocèse. » Et vous vous dites fastueusement l'ami du roi et de la religion. En fait, on ne me le reprochait pas. Je prends Dieu à témoin que je n'ai jamais rien entendu, rien appris, rien lu (et j'ai entendu, appris et lu bien des sottises sur mon compte), qui fût l'équivalent de ce reproche. Je vous défie de citer à l'appui de cette assertion un témoignage qui vaille la peine d'être écouté. Vous avez calomnié tout le diocèse, mes ennemis eux-mêmes. Mais c'est peut-être une tournure pour insinuer que ce reproche, on aurait pu légitimement me l'adresser. Voyons si on le pouvait. Le mot despotisme, dans notre langue du moment, est un de ceux dont on abuse le plus en écrivant, quand une tête chaude, exaltée, conduit la main qui le trace. Il devrait exprimer ici une ou plusieurs des choses suivantes, particulièrement la dernière : 1° qu'obligé, dans mes opérations administratives, d'avoir le concours de mes deux collègues, j'ai voulu tout diriger dans le diocèse, sans les faire concourir avec moi. 2° qu'obligé, du moins, de prendre l'avis de mes collègues sur les points de quelque importance, j'ai voulu tout diriger dans le diocèse, d'après mes seules idées et mes seules lumières. 3° qu'obligé de me conformer aux règles du diocèse, à celles de l'Église, j'ai, en tout, négligé les unes et les autres, pour me livrer à cet esprit qui s'élève au-dessus des lois et les enfreint, soit qu'il ne les juge pas faites pour lui, soit qu'il se persuade, trompé par de présomptueuses spéculations, que le bien demande qu'on passe à côté d'elles. Si donc j'ai toujours pris l'avis de mes deux collègues, même de celui qui ne mettait rien ou que des riens dans nos conférences; si je n'ai agi que lorsque leurs volontés ont été conformes à la mienne; si les règles ont constamment été pour moi une chose sacrée, et que l'attachement que j'ai manifesté pour elles ait été une des principales causes de l'inimitié et de tous les désagréments que de misérables passions ont appelés sur ma tête comment l'ami a-t-il pu me reprocher de vouloir tout diriger despotiquement dans le diocèse, et ne pas se rendre coupable, à mon égard, d'une calomnie punissable.
[ 0, 0, 1, 0, 2 ]
0
0
1
0
2
io. ferm. 3. de Natività, si offre con la fama vita, con i penieri casti, con le opere profittuose sfuggendo il male, e procurando il bene: o dal desiderio del vitto, e amando Dio. CAPITOLO XV. Delta quarta Conditone della Bellezza.] Secondo il Platone, che è l'essere bello per sé (sola essenza) ornamentale, e bisogno di altro compagno. E come quest'essere si trova unitamente in Dio. E si tratta della grande eccellenza di Dio, di essere il solo sufficiente. Conferma ancora a Dio molto propria menzura, Se unicamente l'altra condizione del bello, celebrata da Socrate, e da Platone; Se è vero che la vera bellezza ha l'aspetto di tale maniera bella, tale da per sé (sola essenza), e non per partecipazione di un'altra bellezza accidentale, e a questo io, che non può dar piede alla bellezza, ma una sola breve apparenza. E chi vede, che quella condizione sola a Dio può convenire, poiché egli solo da sé è bello, è bello per sé, senza aver bisogno di un'altra cosa più, che della sua medesima essenza, per rapire i cuori degli uomini, e le volontà degli Angeli; che è una incomparabile gloria della Divinità, di essere amato da sé a sua basta eternità.
[ 0, 0, 3, 0, 0 ]
0
0
3
0
0
2> Heeipieudii ad ConfrateraUatem . . §.7, Non potcft admitti in Socictatcm uU us $.t. Quia muliiiudo confufionem iwrcrcj qui fit in Ordine Sacro confiitutus » nccCap- folct , ac etiam relaxationem , conveniens erit, |>cllani , nec ullo alio titulo , neque ullus Frater st nou adfit in nofiris Horpitalihus major Fra- \ cx hucufi]uc admilfis , A in ^loficrum admitten- trura numerus » quam quos exiget necelfitas» | dis ordinari» qnia flatui Sacerdotali non conve- son erit tamen duodenario inferior, Afiopus | ninnt manualia minifleria, in quibus exercere erit numerum augcre,lleri poterit , id delicen* fedebent Fratres; Et fi quis ordinem fufccpcnt tia Prxfrc^i Generalis » A AlTiflcntium Genera* | ipfo fufccptionis faflo remaneat cxclufus » A So- Utim. ; cietatis habitu privatus, ac a votis ablolutus, S*»* Omn«» qui apti fu^int Medicinx. A | nec in Domo flare poflit » etiamfi fit in alio ha- Chirureix artibus » illas addiicent cx Prxfe^i j biru. lis vero, qui jam reperiuntur in Ordinej Generalis , A Afliftemium pcrmifllone . ; . Sacerdotali permittatur in S<Kictate permanere, S-?. Admiiicndi xiatc » A viribus j>olIcrc | prxfcnfque dif{x>ntio refpiciat tantum futurum, debent ad minifleria» quibus initiantur» convc-ri non ohflantibusdirpofitis in contrarium invete- niemibus» ab omni originis » A iniamix Ube, ..ribuiConftitutkMiibusaSan^Sedeconnrmatis.
[ 0, 0, 3, 0, 0 ]
0
0
3
0
0
(Ki>sc»i |h 114) wird mich IwJ Xncliielialii erjtAlilt; ilwh at oa jat lüdil iruH «wel VUgvJa Uiö ItiiJiä, stoitira m jwici (r^i4icn (_jj — t*) ditür itrjUfm crsdwtucadfJQ Mirridi hd tttiifn) ht tKii KwJiaJutbi iiiel» difi bei!?; der Tniui» «udet vklmßlir mit der AtdiniTt dl» rmitm lirniia^; — 61 Ancb bPi NadwoUaW, «i« M Rof«'» <p. litti, lut Karfr aul der mnartm ItHekreito am^linwli olnua Trum} ö bekii alisr imr ^ni kttn: ^ tTATHHtP »lim Wip das wsuniml“ ( JJUi ln der Awuitou Abüiejlung dleMr KmUit, dl« bei Ikon fühlt, litt Je« siüli folgmidp AbwoichniigDn veu der tnirstpllaiig dt» 'l'ürkt-i» (liiHien (I. ft, 1J7): i> Aas fimlige Tläer iat mcM mti Kamel, somlfTD tda Pftn), — ^| Dar Sebatoi] mtiMibtildigt Mdi» Sirrtn'n mirli HOlmrem ntid (iesseimn mit dum ßclspielc des iJltttu» d« aufduriaM aueb itu Kanlnebiui vwlasw, wenn nick Ihm rin wilder I^strJ j all Ritrtite JW}}»!. AtfbtüDilavmi (Imdildita «in dum narbenbcdeüttcai Tilpfor, welcbur zuin Keldlicmi geniuuLt wn nleii m]] rlkOQ ue. 37.) ntnl Ttm dran jaagen Suluikiii, wetebw tqp dom UlKimmur aduptiri wunir.
[ 3, 0, 0, 0, 3 ]
3
0
0
0
3
•down, having accused about 350 pickpockets, housebreakers, &c who gott to be soldiers in the guards, the better to hide their roguery, were last week upon mustering the regiments drawn out, and immediately shipt off for Catalonia ; and about 60 Women, who lay under condemnation for such Crimes, were likewise sent away to follow the Camp.' ' The Act of 1706 either fell partially in abeyance, or did not fulfil its requirements, for in the Gazette of Jan. idllf), 1707-8, is a proclamation by the Queen calling attention to it, and promising, for the better carrying of it out, and ' for the greater Incouragement of all Parish Officers to perform the Duty injoin'd them by that Act, That such Parish Officers, for every Person they should bring -before the Magistrate, who should be Impressed should Receive the Sum of Twenty Shillings ; and that every Volunteer, for his better Incouragement to come into our Service, and List himself according to the Intention of the said Act, should Receive the sum of Four Pounds, and also that such Volunteer should be Discharg'd after Three Years Service, if he deserved it.' This was the outcome of a fresh Act (7 Anne, cap. 2).
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Subject to the Supervision of the Court.'\ When a volun- in what cases, tary winding-up has commenced, the court may order it to con- tinue, subject to the supervision of the court, having regard to the wishes of contributories and creditors (ss. 147 — 149). But the court will not interfere in general with a voluntary winding-up on the application of a contributory unless there has been fraud or undue influence in passing the resolution. Beaujolais Wine Co., L. E., 3 Ch. 15. A voluntary wind- when commences. ing-up under supervision, like an ordinary voluntary winding- up {ante, p. 443), is to be deemed to commence from the date of the second resolution, and not from the presentation of the petition on which the order is founded. JVeston's Case, L. R., 4 Ch. 20. The court may appoint additional Liquidators, liquidators, remove liquidators and fill up vacancies (s. 150). See Marseilles, SfC. Co., L. R., 4 Eq. 692 ; London Quays, Sfc. Co., L. R., 3 Ch. 394. The liquidators may, subject to any restrictions by the court, exercfse all their powers as under a voluntary winding-up, but, save as aforesaid, the orders made by the court shall have the same effect for all purposes as if the winding-up were by the court ; and the expression "official liquidators" shall mean liquidators in a winding-up under supervision (s. 151). On a change from voluntary to compulsory winding-up, the liquidators under the former may be appointed official liquidators under the latter (s. 152). When a company is being wound up by, or Dispositions, &c. subject to the supervision of, the court, dispositions of the menVoTwindtag- property of the company and transfers of shares between np.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
riservati e poi dati in affitto ad alti prezzi. Nella provincia di Mosca il loro provento non arrivava al 32-44 °/o, e in altre ad 1/3 del necessario. Ma la condizione della classe lavoratrice è divenuta estremamente difficile in seguito all'aumento dei dazi, delle imposte e dei generi necessari e soprattutto dei mezzi e strumenti dell'agricoltura. È scemato il reddito dei contadini, e si sono aumentate le spese di coltivazione. Indi la necessità dei contratti usurari, dei debiti crescenti, delle anticipazioni funeste, delle vendite intempestive e disastrose di animali, strumenti di lavoro e simili.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
A "marca dágua" que você vê em cada um dos arquivos essencial para informar aa pessoas sobre este projeto c ajudá-las a encontrar outros materiais através da Pesquisa de Livros de Google. Não a remova. Mantenha os padrões legais. Independentemente do que você usar, tenha em mente que é responsável por garantir que o que está fazendo esteja dentro da lei. Não presuma que, só porque acreditamos que um livro é de domínio público para os usuários dos Estados Unidos, a obra será de domínio público para usuários de outros países. A condicião dos direitos autorais de um livro varia de país para pais, e não podemos oferecer orientação sobre a permissão ou não de determinado uso de um livro em específico. Lembramos que o fato de o livro aparecer na Pesquisa de Livros do Google não significa que ele pode ser usado de qualquer maneira em qualquer lugar do mundo. As consequências pela violação de direitos autorais podem ser graves.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Gerstenkörner, weshalb javai, auch Plur., im Lithauischen Getreide; in der Folge Gerste und daher Java nach Angabe des Clemens von Alexandria »Gersteninsel«, auch im Zend yava, vermutlich Gerste, und daraus, nach richtigen Laut¬ gesetzen, Gr. £sid, f«d. Merkwürdig genug nun übrigens ist, dass, worüber wir uns schon, weiter zurück, klar geworden, es habe das Gerstenkorn, *Qt9jj, nicht bloß als kleinstes Gewicht, Gran, gegolten, sei inzwischen auch zu Längen¬ bestimmungen verwendet, dass dies als uralter Gebrauch von Europa aus bis nach Indien hineinreicht. Es wird näiplich yava, Gerstenkorn als Maß bald = V«> bald = l /* angula angegeben, dagegen als Gewicht = 6 oder 12 Senf¬ körner, oder == Vs gunjä, dem Samen von Abrus precatorius, welcher, mithin wie Karat, als Juweliergewicht dient. Das gunjä wird aber, auch als mit 2 Weizenkörnern, 4 Reis¬ körnern u. s. w. gleich angegeben, während 7 oder 8 gunjä dem mäshaka, Böhnchen, genannten Gewichte entsprechen. — 12 angula machen 1 vitasti (Spanne) aus, und 24 angula 1 basta, d. h. die Entfernung vom Einbogen bis zur Spitze des Mittelfingers. Hasta, eigentlich Hand, als Längenmaß 18 Zoll ungefähr. Vitasti ist wohl seiner wahrscheinlichen Herkunft nach aus vi mit tan, dem sich etwa ein s wie in Desiderativen anheftete, soviel als Ausstreckung. — Der ganze Mensch ist in dem Sanskritausdrucke tuldpurusba (Waage¬ mensch) vertreten, d. h. die Darbringung von Gold und Kostbarkeiten in einer dem Gewicht des Gebers entsprechenden Menge. — Den Indern abgeborgte Maße und Gewichte bei Digitized by Google Sprachliche Bezeichnung von Maß und Zahl etc. 171 den Barmanen (Schleiermacher l’Influence p. 299 fgd.), wie unsichtbare und sichtbare Stäubchen oder Atome; Rost eines Eisengriffels, Kopf einer Laus und die verschiedensten Kömer- arten übergehe ich.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Through flat and stale indifference ; With struggling, chilling, checking, so deprave him That, to his hot, insatiate sense, The dream of drink' shall mock, but never lave him : sc£ne IV. 75 Refreshment shall his h'ps in vain implore — Had he not made himself the Devil's, naught could save '^ him, Still were he lost forevermore ! (A Student fK/fyj.) A short time, only, am I here. And come, devoted and sincere. To greet and know the man of fame, Whom men to me with reverence name. MEPHISTOPHELES. Your courtesy doth flatter me : You see a man, as others be. Have you. perchance, elsewhere begun ? Receive me now, I pray, as one Who comes to you with courage good, Somewhat of cash, and healthy blood : My mother was hardly willing to let me ; But knowledge worth having I fain would get me. MEPHISTOPHELES. Then you have reached the right place now. ST0DENT. I 'd like to leave it, I must avow ; I find these walls, these vaulted spaces Are anything but pleasant places. 'T is all so cramped and close and mean; One sees no tree, no glimpse of green. And when the lecture-halls receive me, Seeing, hearing, and thinking leave me. 76 FAUST. MEPHISTOPHELES. All that depends on habitude. So from its mother's breasts a child At first, reluctant, takes its food. But soon to seek them is beguiled. Thus, at the breasts of Wisdom clinging. Thou 'It find each day a greater rapture bringing. STUDENT. I '11 hang thereon with joy, and freely drain them ; But tell me, pray, the proper means to gain them. MEPHISTOPHELES. Explain, before you further speak, The special faculty you seek. STUDENT.
[ 0, 0, 1, 0, 2 ]
0
0
1
0
2
We have deciduous trees, too, of great loveliness, and these may be so interspersed with the Evergreens as to heighten each the beauty of the other. A most graceful tree is our drooping Elm, and with it, all the Maples,—the Red, the Sugar, and the Silver Maple,—-with the Birches and the Oaks, flourish through- out the Dominion. To these may be added the Mountain Ash, both of Europe and America; and Maples, and Oaks, and’ Birches and Elms of other climes, as may best please the taste of the planter. And if he have a little knowledge of their several tints of foliage, and particularly of their autumn hues, and of their natural forms and habits of growth, he can so plant them that through all the changing year they shall minister to the homestead both grace and beauty. But it is hardly within the scope of this humble treatise to dwell upon the subject of the planting and management of trees around our dwelling-places, and the formation of lawns and parks. The time, we trust, is near at hand when the desire for home embellishment in the planting of trees shall attain such a position among us, that Canadians will require and receive, from abler hands, a work that shall treat specially of the planting ot ornamental trees, and give such hints concerning their arrange- 272 HARDY FLOWERING SHRUBS. ment and disposition in groups or avenues, or single specimens, and such descriptions of their several characters, peculiarities, and beauties, and adaptation to soils and climate, as shall give a new impetus to the planting and culture of trees, for their own sake, throughout our entire Canada.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
CCCLXVII. — Quella parte delle pieghe, che si trova, più lontana da suoi costretti estremi, si ridurrà, più, in sua prima natura. Naturalmente, ogni cosa desidera, di mantenersi in suo essere. Il panno, perciò, essendo a eguale densità e spessore, si nel suo rovescio come nel suo dritto, desidera di stare piano. Onde, quando egli è, da qualche piega o falda, costretto a lasciare essa planizia, osserva la natura della forza, in quella parte di sé, dove egli è più costretto; e quella parte, che è più lontana a essi costringimenti, troverà ridursi, più, alla prima sua natura, cioè dello stare disteso e ampio. CCCLXVIII. — Ad un panno, non si deve dare confusione di molte pieghe; anzi, farne, solamente, dove, con le mani o braccia, sono rette, e il resto lasciar cadere, semplicemente. E si avranno ritrovati di naturale. Cioè, se vorrai fare panno di lana, usa le pieghe secondo quegli. E, se sarà seta o panno fino o da villano, va diversificando, a ciascuno, le sue pieghe. E non fare abito, come molti fanno, sopra i modelli, coperti di carica o corame sottile, che ti inganneresti, forte. CCCLXIX. — Dove la figura scorcia, fagli vedere maggior numero di pieghe, che dove la non scorcia. E le sue membra siano conformate, da pieghe, spesse e giranti, intorno ad esse membra.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
John Duncomb, Secretary of the Hereford Agricultural Society, and Historian of the county, says: “The cattle of Herefordshire have long been esteemed superior to most, if not all, other breeds in the Island. Those of Devonshire and Sussex approach the nearest to them in general appearance. A large size and athletic form and unusual neatness, character- ize the true sort. The prevailing color is a red- dish brown with white face. They are shod with iron in situations which frequently re- quire their exertion on hard roads. “The showing of oxen in thriving condition, at Michaelmas Fair, in Hereford, cannot be ex- ceeded by any similar collection in England. On this occasion they are generally sold to the BROQK HOUSE, KING’S-PYON, HEREFORDSHIRE. 24 HISTORY OF HEREFORD CATTLE principal graziers in the counties near the me- tropolis, and then perfected for the London market.” I have introduced Mr. Duncomb at this point, as it is fair to presume that his statement may refer to the past as well as to his own time. Mr. Henry Haywood (ff 14), of Blakemere House, Hereford, informed Messrs. McDonald and Sinclair (editors of a history of Herefords, published in 1886) that in the division of John Haywood’s property in 1713, he especially re- WELLINGTON (4) 160, CALVED 1808, BRED BY B. TOM- KINS.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
SESIÓN DEL 20.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Von Links wurde der Minister dafür zur Rechenschaft gebracht, dass er einer größeren Anzahl katholischer Geistlicher die Beaufsichtigung von Volksschulen übertragen habe, aus den Reihen des Zentrums wurde ihm zum Vorwurf gemacht, dass es weite Bezirke gebe, in denen die geistlichen Inspektionen vollständig fehlten. Der Abg. Seyffer glaubte es als „Vergewaltigung“ der schlimmsten Art bezeichnen zu müssen, dass der konfessionelle Charakter der Volksschulen wieder hergestellt worden sei, der Abg. Strosser als schweren Übelstand, dass es immer noch Hunderte von simultanen Volksschulen gebe. Nach dem Abg. v. Stablewsky führt die Weltlichkeit des bestehenden Schulsystems uns direkt der Revolution zu, nach Herrn Seyffarth bereitet der kirchliche Einfluss auf die Schule dem Staat schwere Gefahren und läuft das Bemühen, zwischen staatlichen und kirchlichen Interessen zu vermitteln, auf „reine Sisyphusarbeit“ hinaus. — Kurz, wo der Eine nichts als Schatten sieht, erblickt der Andere goldenes Licht, und nur darüber sind die extremen Parteien einig, dass die Regierung es falsch mache und dass die Schulverwaltung besser als bisher geführt werden könnte und geführt werden muss. Bedürfte es einer principiellen Rechtfertigung dieser Verwaltung, — mindestens zur Hälfte wurde dieselbe durch gegen sie erhobene Beschwerden und durch den Umstand bestritten, dass diese Beschwerden vom Standpunkt einer seitlichen Partei = Interessen erhoben worden sind. Weil unsere Regierung keine Parteiregierung, sondern ein über den Parteien stehendes Regiment darstellt, das die einzelnen Gebiete scharf auseinanderhält, kein anderes leitendes Interesse als dasjenige der staatlichen Gesamtheit kennt und weil sie darüber wacht, dass Jedem innerhalb seiner Sphäre das gebührende Recht wird, — versteht sich gradezu von selbst, dass ihre Politik überall angegriffen wird, wo man nur das Einzelne = und den Einzelvorteil im Auge hat. Der Minister v. Gossler hatte nur nötig, sich auf den allgemeinen Standpunkt zu stellen, und die an ihn gerichteten Fragen von diesem aus zu beantworten, damit er die gegen seine Unterrichtsverwaltung gerichteten Angriffe mit siegreicher Überlegenheit zurückwies.
[ 0, 0, 1, 0, 0 ]
0
0
1
0
0
Das Grundkapital ist ein zehnteils in 80.000 Stammaktien zu je 52.000 Stammaktien zu je 1.000 RM, 20.000 Vorzügen zu je 1.000 RM, alle auf den Inhaber lautend, 13. Februar 1932. H.R. B 9. Vereinigte Metall-Waarenfabriken AG vormals ist zur Vertretung der Aktiengesellschaft und zur Zeichnung der Firma in Glied oder nur in Gemeinschaft einem berechtigt. 17. Februar 1932. H.R. A 985. K. Schönau & Co. Fischverarbeitungsagentur, Altona. Die Prokura des Kaufmanns Schönau ist durch Tod erloschen. Gesellschaft mit Altona-Stellingen: Personalhaftende Gesellschaft über die öffentliche Handelsgegenleistung, je am 13. Januar 1932 begonnen hat, sind Privatier in Altona-Niendorf und Ehefrau Auguste Schultz geb. Harms in Burg. Die in dem Beispiel 1013790 Handelsgesellschaft in Firma 11918811 r. 6. Eintragungen ins Handelsregister sind bestimmt: 1. Kaufmann Sattler in Berlin, Frankfurt a. M., 2. Haller & Co.: Der Prokurist Haubold Gemeinschaft mit einem e R. A 3091. Ewers & Schultz, großhändler, und Ehefrau Margarethe Pein geb. Hofenbetscher, Harburg-Wilhelmsburg. Dem Mann Sattler Pein in Harburg-Wilhelmsburg ist Prokura erteilt. H.R. A 3093. Schröder & Sanio, Altona-Othmarschen (bisher Hamburg): Firmeninhaber ist Kaufmann Ernst Gustav Sanio, Altona-Othmarschen. Altona, das Amtsgericht, Abt. 6. Arnstadt. In unserem Handelsregister A Nr. 393 ist bei der Firma Hermann Leid, Arnstadt, Nelken-Culturen in Arnstadt, eingetragen worden: Elfriede Leid ist aus der Firma ausgeschieden, das Geschäft wird von Elisabeth verw. Leid geb. Schäddrich als Allein-Inhaberin fortgeführt. Arnstadt, den 19. Februar 1932. Thüringer Amtsgericht. In unserem Handelsregister ist eingetragen worden: 1. in Abk. A Nr. 217 zur Firma F. K. Albert Dittmann in Bad Frankenhausen (Kyffh.) am 22. Januar 1932: der Firmenfortführung an den studium jur. Friedrich Wilhelm Dittmann in Weimar, Lottenstraße 18, veräußert. Der Übergang der in dem Betrieb des Geschäfts begründeten Forderungen und Schulden ist bei der Übernahme des Geschäfts durch studium jur. Friedrich Wilhelm Dittmann ausgeschlossen. 2. in Abt. B Nr. 28 zur Firma Böttger & Pittack GmbH in Liquidation in Bad Frankenhausen (Kyffh.) am 1. Februar 1932: Die Liquidation ist beendet. Die Firma ist erloschen. Bad Frankenhausen (Kyffh.), 19. Februar 1932. Thüringer Amtsgericht. In der unter Nr. 12 der Abteilung B unseres Handelsregisters eingetragenen Firma Freienwalde-Grundstückserwerbs-Gesellschaft mit beschränkter Haftung in Bad Freienwalde (Oder) ist heute folgendes eingetragen worden: Die Firma ist erloschen. Bad Freienwalde (Oder), 17. 2. 1932. Amtsgericht.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Ce n'est pas insignifiant et fade, c'est lugubre. « La mort ni le soleil, a-t-on dit, ne peuvent se regarder fixement ». Or Chaulieu semble fasciné par le spectre; il n'en détourne jamais longtemps ses regards. Ce n'est pas seulement dans les trois morceaux où il se joue à l'envisager d'abord en chrétien, puis en épicurien, puis en déiste. Il y revient bien des fois, toujours s'efforçant de sourire; mais son sourire, sa grimace de joie, fait plutôt mal, tant la préoccupation est visible et la peur qui se ment à elle-même. Non, les roses d'Anacréon ne sont jamais bien gaies sur une tête blanche, sur une tonsure encore moins. Comme Chaulieu est disciple de Chapelle, La Fare est disciple de Chaulieu, mais inférieur à son maître par le talent, voire qui le croirait? par la tenue. On connaît l'homme, et comment, incapable de s'arrêter à l'épicurisme pratique, il finit dans un dévergondage ignoble à soulever le cœur de Sainte-Beuve lui-même. La Fare a célébré la Paresse, il l'a préchée à son ami Chaulieu en plats sophismes et en vers communs. Son idéal est « la volupté tranquille et délicate d'un Lucullus », à propos de quoi il s'écrie « Rome eût toujours été la maîtresse du monde, Si son sein n'eût produit que de pareils enfants. » On ne s'en aviserait pourtant pas à première vue, et l'oisiveté voluptueuse n'est point d'ordinaire le grand secret des conquérants. La Fare chante la Vérité sans rien dire et l'absence de chaleur sans pouvoir se donner une apparence de chaleur. La Rochefoucauld, La Rochefoucauld. Et quel christianisme est le sien! Dans ce morceau, qu'il croit religieux, il nie l'enfer et plaide l'innocence de la volupté. Voir plus haut, chapitre m, section 1. Sainte-Beuve, Cahiers de l'Idée, t. X.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
How a Child Distinguishes his Body from the Rest of the External World. — Any one who has ever watched a very young child will be quite sure that he has not dis- criminated his body from the rest of the external world. ' He first confuses his body with the rest of the external world. Little by little he comes to learn that a little piece of this external world sustains a very peculiar relation to him — that it obeys his will, moves when he wishes it to move, stops when he wishes it to stop, and that it is the direct occasion of pleasure and pain as nothing else is. These two facts, then, and these two facts alone, distin- 74 THE SUBJECT MATTER OF PSYCHOLOGY. guish our bodies from the rest of the external world, so far as Psychology is concerned, and give us our peculiar interest in them. While this course of reasoning makes it clear that the internal organs of the body are not mental facts, another course will make it equally clear that they are physical facts. Is a pencil in a drawer a physical fact ? No one can see it. No, you say, but every one can see it if it is taken out of the drawer. Precisely. We need, then, to think of a physical fact as one open to the observation of all men, certain conditions being complied with. Bearing this in mind, we see that the various internal organs of the body are physical facts, because when the body is dis- sected they are open to the observation of all men, pre- cisely as is a tree or flower.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
con rimuovere le Pitture pochi modelli, che vi soffero. Il quarto mezzo di cui debbono valere i Capi di Famiglia per il devoto incaricato di tale é la lezione di buoni libri, di cui vorrei, che ogni casa fosse provveduta: 2 Barma Anghieri, libri meditativi. Diciamo a voi con Gio: B. Crivelli. Gli studenti devono apprezzare l'importanza di una disciplina morale, non manche poco il risparmio di quella gioia più cara, che consola il cuore, dove quella infedeltà mal dissimulata col cattivo uso della parola rende l'anima amara. I segni più evidenti sono l'assenza di suoceri, certe amicizie sospette, dove quella indulgenza e il perdono illimitato fanno di ognuno un nemico del prossimo. L'ufficio dei genitori è quello di sorvegliare affinché non si diffondano errori che, una volta entrati nelle abitudini, diventano difficile da rimuovere. Non è poco importante, quando le cariche pubbliche diventano uno strumento di arricchimento, i giovani vedano con chiarezza che il vero benessere non è nelle ricchezze, ma nelle virtù.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Daring those ten years, from 1881 to 1891, which covers two terms of this office, the term of the Secretary of State being five years, these fees as Register of the Prerogative Court had been paid into the Treasury. When the term, which was then about to expire, did expire, under this act of 1891, those fees were no longer paid into the Treasury, but under the construction given to the act, have since been retained by the Register of the Pre- rogative office. Senator Skirm — Was that the intent of the law ? 762 SECRETARY OF STATE. Mr. Corbin — The act will bear that construction, but it doesn't seem to me the obvious construction, and as long as you have asked me the question, I will say this, that in laws appropriating the revenues of the State the intent must be clear or the money does not go. That is a rule of construction which I think is pretty well understood by lawyers, particularly those who have at all studied State affairs. You cannot appropriate the money out of the Treasury by any doubtful language ; it must be clear ; every doubt is solved in favor of the State. But this act says in words that " for all official services as Eegister he shall be entitled to charge and receive fees," and so on ; whether that simply fixed the meapure of these new duties, leaving the Secretary to receive and turn the fees over to the State as theretofore, is one question, or whether it meant he was to receive them for himself, is the other side. Senator Skirm — During these ten years did the fees go into the State Treasury? Mr. Corbin — Yes; they were returned.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Paris.—There is a certain United States signal service sergeant up in the Toul sector at the front who has been able of late to combine a little pleasure with his business. The censor won't let one tell the sergeant's name, but without revealing any military information it may be said that before the war the sergeant was rated as one of the top guns at well-known trap-shooting club in the States. There is not much trap-shooting just now in France. They are not cracking away at live birds, either. But the sergeant got his pigeon shooting just the same. The particular front in which the sergeant operates is infested with German spies. All sorts of things were happening. "tramp" battery, one of those particular guns that whisks up, slams a few at the Frittles, then slides out on the jump, found itself being shelled the instant it lined up for a shot. Again, every time there was a troop movement, the movement was anticipated by the Boche. Beside that, every time a body of our men got together for any purpose whatever, the Germans shelled them with everything they had, big guns included. Tipping off the Hun. Now, the Hun doesn't use his big guns unless he knows what he's shooting at. How he learned, however, was pretty evident. Someone behind our lines was tipping him off.
[ 0, 0, 0, 0, 2 ]
0
0
0
0
2
San. in «liu: (^tlll^,>^c .in tad Juil&friCiifmirufiaiuni über tic Sagt 6<r bcutfdiiii Wüiijtn Stti*t crüöitft; tüilvlbt »ftbirgt fitb in tiefem S3(rid?ie ^mx n\A>t, bag &rctflni|Te (uilrden fi^nnttn, bit neue Hoffnungen erregen mi'trten, nanicntli6 bie fcbman* ttirtt Sage bn beutfd-en SjeifaffungSverbaliniffc Ul^ta {^»fntta* (kl* Hiitc {Robrung }ufubren muss, (ibir eg fr^ gllfebWobl Üln^tt, baO bic 9}ad)rid[iien im 2(Ugfmemrn bcrubigenbcr lauten nM tag ber Suflanb brr IMnge mefcnllieb bcffcr fct. Uber» (inflimmenc int ticdr 3(i,fiLlt wv,rXt am '.47. 3an. im bflbifd>en Staatrmtnifitrium eiti liuca^ lUtrminberunci ber battidicn Xrumn n?enigflecS btir* Sieurlaubung genebmigt. 2nv" '*"i war unter bem 20. ^in. vom WtiebirritgSminiiienum em dilag aufgegangen, welcber ben berubigenten ^.^acbri(i)ten b« badfd^en ^'c^icrung entgeg(n);ult, „wit aamniiiid) Card) btn XbirbfftbK' bobrr bc< 7. un» 8. TbmtttWft, »cm ^tRjen Stanü von IBattrn ntbifaA 9Rt(b«RgCB }ttg(fl»iMnm, baß cte XHfKguNg im ;&6«r> UmU fld» in itn CtttcntBtf^ni ii«d< Adleigert l>ab(." DicSletdif' beiirbe flcUtc taber an 23aben ^lc ?lii'i\i.ic, rb man unter ten gegenwärtigen Umfiänftn „ben äb.ijjn;; t>r ?h'eid-6trut»{n n?* für juläfiig balle." (Scgeniiber felifen '.^cri.i ten finiil; *i\i^rn nidu* oneerr* eiftären, alS baß tS unür ffld^n iSerbiUttiiTcn (in iH'!;:(>:i öiirrul iiii-n tcr StutJpen nidt-lür tälfclicti halte.' <|int njue .^;otc (<(• 'Jüi*«fii<g6min;(leriumd aber (»ctn 5. Sebr.) fliißte fid) rcicrer; f.! auf jene i^tridttf, roie fit „tfon Pom i^ber« btftbUtdixi b(*7. URO 8. ICrmceforpl in StRD<r|l<int< ni$ mit brm JlemwaabtrtRbea be6 8. Vracrfsripi <u<> gfgoagta feten iint etflaite, b.t0 (itie ^ermintKrHSg Ub(l «ül 3a« nifjirbrn fcineSweciS geilattet lufrben f^nnt.
[ 0, 1, 0, 0, 2 ]
0
1
0
0
2
Plus diverses et les plus opposées. Il peut pré méditer le bien comme le mal, avoir des pensées justes, des pensées saines, des pensées droites, des pensées sages et des pensées perverses, impies, abominables. S'en suit-il de là qu'il soit indifférent à Dieu que l'homme pense bien ou mal, que ses pensées soient équitables ou qu'elles soient criminelles, pieuses ou impies, chastes ou licencieuses? Non sans doute, car celui qui a donné des lois aux actions des hommes, en a donné à leurs pensées qui sont les actes, et les opérations de leur intelligence et comme la semence dont les oeuvres sont le fruit. La pensée est donc un acte essentiellement libre de notre intelligence, mais en même temps un acte réglé par Celui qui veut l'ordre, l'équité, la justice dans les pensées comme dans les actions ; et nos pensées ne sont pas plus indépendantes que nos actions de ses suprêmes lois. Et si elles échappent à la connaissance et au jugement des hommes, elles n'échappent pas de même à l'œil et au jugement de Dieu qui regarde spécialement le cœur. Que si ce Dieu, tout en laissant l'homme libre de penser ce qu'il veut et comme il veut, réglemente cependant ses pensées, il en est de même à fortiori de ses paroles. La parole, qui n'est autre chose que la pensée parlée et communiquée à d'autres, la pensée révélée, est libre comme la pensée, mais dans le même sens, c'est-à-dire que si, d'un côté, l'homme dit ce qu'il veut, de l'autre Dieu donne des lois à la parole aussi bien qu'à la pensée.
[ 0, 0, 3, 0, 0 ]
0
0
3
0
0
Laciniis scriptorum de pedibus eorumque divisione adsuta sunt in membranis nostris ESIDORI JUNIORIS PALE- STINENSIS [Lege: ISIDORI JUNIORIS HISPA- LENSIS] EPISCOPI GRAMMATICAS ARTIS NO- MINA GRAECA ET LATINA NOTATA. Ilinc, opi- nor, auctori suo restitui poterit libellus aSsmoTOf, qui in codicc 574 Scriptorum aliquot vnciDuxxx. biblioth. reg. Paris, ita inscribitur : Grammatica: artis nomina Grcece et Latine notata. Erunt fortasse, qui hoc, quidquid est glossarum Isidori, cum aliis codicibus com- parare cupiant. In eorum gratiam hunc etiam qualcmcumque centunculum hic proponam. Poeta vates. k Poeticus liber. Poema unius libri opus. Poesis opus multorum librorum, Idyllion paucorum versuum, Distlchon duorum, Monostichon unius versus. Onomastike nominativus. Genike genetivus. Dotike dativus. JEtiatike accusativus. Cletikc vocativus. Aphcerctike ablativus. Monoptota ejusdem casus. Aptota in quibus nulla inflexio casuum. Diptota in quibus similitudo duorum tantum ca- suum est. Triptota trium casuum varietas. Tetraptota quattuor casuum varietas. Pcntaptota quinque casuum inflexio. Hexaptota omnium casuum varia declinatio. Anomdla nomina, quae in com] Ut bonus, melior, opt pessimus. Ctetica possessiva. Epitheta id est adjectiva. Syllaba litterarum congregatio. Macra longa. Brachia brevis. 1 Monochronos unius temporis. k Poeticus liber] Haec, nisi fal- lor, cum prioribus conjungenda sunt sic : Poeta vates, poeticus liber. HEUS. 1 Monochronos] MS. mochron. HEUS. veterum apospasmatia . 575 communis temporis. geminatio vocalium. accentus, sive tonus. elevatio. positio. acuta. "brevis, circumflexus, longitudo, vel tempus, accentus, crassitudo. hispidum, vel asperum : unde et aspiratio. leve, vel purum. regressio. separatio. subsepa ratio. duplex littera. pes. a Pyrrho filio Achilli nominatur. tractus. celer. maledicus, sive lividus, digitus. dactulo contrarius, hinc et inde longus, hinc et inde brevis, trium brevium, choris aptus, inaequalis, contrarius bacchio. mensura, numerus.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Hae cum discernant honesta et turpia, osten- dunt qualis sit Deus, videlicet sapiens, verax, bonus, beneficus, iustus, castus, Hherrime agens, vindex scelerum, talem intelligimus esse illain optimam mentem architectaricem, quae qiiidern et nos vult cum archelypo congruere. Et ut discrimen hoc honestarum et turpium actionum firmius esset, addidit dvuty.br in corde aeterno et immutabili ordine, dolores exitiales in corde violationem discriminis illins comitantnr, ut naturae extinctio fudicium architecti ostendat. \ ides enim \n hornine pictam esse formam iusti- ciae, praelucet in tytuoviyio recla noticia, et ro- mes cst viudex instissimus, et implacabilis dolor 945 DECL. DE DOCTRINA ANATOM. 944 in (huuxqi, horrendis poenis delens naturam propter scelera, et quanquara nunc in hac pravi- tate naturae, alii etiam vitiosi impetus in corde accenduntur, tamen etiam cum id fit, semper ex- tremus et valentissimus comes est hic vindex, qui est diviui iudicii custos et executor. HaecDei ve- sti^ia in nobis adeo expressa et conspicua sunt, ut plusquam cvclopicus furor sit , nolle ea aguoscere, et qui sese aspiciuut , fateri coguntur haec quae dicimus verissima esse. Est autem in Deo et hoc decus, quod est agens liberum, eius boni imaginem in nobis etiam conspici voluit, quod et ad gubernationem mo- rutn utile est , ohtemperant itp fjyefiovixw nervi, et motus voluntarii instrumenta, ita ut ciere membra externa suo arbitrio possit. Retrahit Achillem ru fyefiovixov, et manus cohibet, ne interficiant Agamemnonem , sed gladium rursus in vaginam condant. Haec libertas in nobis reli- qua est, et ut sit frenatrix errantium cupiditatum, et commonefaciant nos, Deum vere esse agens li- berum, non enim a serva natura , quale numen fingunt Sloici, liberum agens condi potuisset.
[ 0, 0, 3, 0, 2 ]
0
0
3
0
2
Vrouw Lobbers pushed the pot across with sudden resolution. " Help yourself, Elizabeth, and welcome." she said. " You'd take the bath quick enough, Maria, if they put you into it." " I wouldn't ! I wouldn't ! " reiterated the old creature with tremulous eagerness. " You wouldn't let 'em ; would you. Dirk ? " " What a fuss ! " said the grumpy brother. " Don't ye wash yer face and hands every morning ? It's only like washing them a little lower down." "It'd kUl me!" cried Maria hysterically. "I never took a bath in my life. Dirk, you wouldn't let 'em bathe me as if I was a woman from the streets ! " " Oh, hold yer tongue about yer killings ! " inter- posed Vrouw Lobbers unamiably. " Liza isn't dead yet." — " No," said Liza. — " And she's two years older 'n you." After that nothing was heard for some time but the noise of Liza's greedy eating : then the 229 THE BANQUET mistress of the cottage crossed to a perfectly ordered cupboard and produced a bottle of gin and a bag of tobacco. She filled two bright little glasses for her husband and Liza. The gin was an extra : during its consumption both purveyor and purchaser watched anxiously for some cause of recrimination or complaint.
[ 0, 2, 0, 1, 0 ]
0
2
0
1
0
Alt R H V Alt It 11 O .\ I iiiini' i. fii. '.'it' i ?wi. if . t :: fi Tavlnr. lb " .' - 1" - I'.'rtlrtr. 7 1 J .? T Hall. .!?. '? t 14 llarv'v r.l. r. a 1 i .1 ? mKIiis. i f '? 11 -' ?' ? >wl, rl . 1 . " ?> 1 l<> rd. f ' I ? " < '.irter. 11> ; t : |? i !" .bdiii., It ' -' I It.?urn. <?. ii ', 10 ^ .ii.lin-'n. e ? : ' '? '? \\ I!-.?n. . f r, l l c< 11 1. W s. is. I J 1 '. Kiel.Is, 21.. 1 1 2 l llilil,>. p. ' 1 " ?> 1 Katoii. ji.. i; I II L' t .III.-k-'n. . f II 1 II I IIUKh's. L'l. ;; n u 1' 0 .teffrlns. |>. >. ii <i n .1 Thiuu'n, p I 0 I i> it S. utt. p .. a ii il 'I ') Totals 1 JI -tlx Totals....: St 0 It s -..r. I.. I ii ii i nits It. fill.Ml e (I ; 0 ; '. 1 t ! i'l , II...11 I 0 ". 1 J 1 I 'I I ? ? M S "ni'iiir* r.rtt.i. Iii'in-'.n (. ii.inh'l. ' ?tail, Ityr.l, !?' .bilin-ou. fields cji, ilurnoe, ? iv' T\v . lilts?Daniel. Taylor. Ilml... ' .!? tikills. I'll..ni| hi Tin Ii:t-- hits?tivl. ?la'i. I?? "ii?? in . lt.ivv. >. Saerlll. - hit i in i. .??? ?iis 11.? Sti.|.*ti Ii.is.m- Oivl, i Jura*.'*, I':i- T#.t \Vil-,,.;. I'l-I.li. rn fc'l'i". 11.11 1.1. I*. 1 1 ? ? 11 'I . I!:.!.. I.'.. MP. P.rr.k.
[ 3, 0, 0, 0, 3 ]
3
0
0
0
3
A me, nella profondità della anima è di corpo, altrimenti non si agiterà l'Impressa, ma il motto Pittura senza. Altro nome, che corpo è la Figura, di anima il Motto. Nessuno. Verifichiamo, chenonda l'Impressa Senza Figura, e parole; ma già no è vero, che ogni Figura Senza parole a cura, sia Pittura Senza altro nome; conosciuta che tale è di loro sia Geroglifico; rale Emblema; tale Rottocio; tale Insegna; e tale semplice Simbolo da me specifico e distinto dagli altri appellato. E etimologia, salse che il Morto sia anima dell'Impressa, quanto per anima egli intende la forma; avvenge che una stessa forma informarebbe bene specie di cosa; il che è astuto. Prova la conseguenza; perché in alcune Insegne, e in alcune dei Rottoci, e degli Emblemi pure entrano parole (si è visto), e nondimeno sono di valenti Simboli. Veramente, anche che ne il Motto, ne il corpo tra loro distinti non costituiscono Impressa; ma anche falso, che il mirto di loro per se solo produca. Perché bene alla composizione dell'Impressa necessariamente anche accoppiata tali entrambi contribuiscono; non però bastando è per darle. Dell'impulso d'Anima Tapin.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
L’alterazione dei lineamenti del padre d’Aigrigny, il suo pallore, il passo vacillante, accennava come la scena terribile della piazzetta di Nostra-Donna avesse prodotto sulla sua salute una reazione violenta. Contuttociò, la sua tensione si serena e assume una espressione trionfante quando entrando nella camera di Rodin, egli esclamò: «Buona nuova!» A quei detti Rodin trasalì; malgrado il suo abbattimento egli sollevò repentinamente la testa; i suoi occhi brillarono, curiosi, inquieti, penetranti; con la mano scarna e furente cenno al padre d’Aigrigny di accostarsi al suo letto, e gli disse con una voce così rotta, così debile, che appena si poteva intendere: «Mi sento molto male.... Il cardinale mi ha dato quasi il colpo di grazia.... Ma se la vostra buona nuova,.... si riferisse all’affare Lenepont.... di cui il pensiero mi divora.... e di cui non mi si parla.... mi pare.... che scamperei dalla morte. — Consolatevi, dunque» esclamò il padre d’Aigrigny dimenticando gli avvertimenti del dottore Baleinicr che non voleva si parlasse a Rodin di affari gravi finché fosse in pericolo. «Sì, consolatevi! » ripeté il padre d’Aigrigny, «leggete, e insorghi: quello che avevate pronosticato incomincia ad effettuarsi» e l’abate si trasse di tasca un foglio cui porse a Rodin che tendeva la mano debole e tremante con ansietà inesprimibile. Pochi minuti prima, Rodin non avrebbe avuto realmente la forza di proseguire il suo colloquio col cardinale, posto ancora che la prudenza gli avesse permesso di continuarlo; non avrebbe neppure potuto leggere un rigo di scrittura, tanto era velata e torbida la sua vista;...
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
part le traité franco-suisse du 15 juin 1869, de l'autre le traité franco-belge du 8 juillet 1899. Traité franco-suisse du 15 juin 1869. — Ce traité, qui a complété et remplacé celui du 18 juillet 1828, et dont les dispositions, formellement déclarées applicables à la Tunisie, peuvent, croyons-nous, être invoquées par les ressortissants des États ayant stipulé de la France, tout au moins en termes généraux, le traitement de la nation la plus favorisée, s'exprime ainsi qu'il suit, dans son article n° 14 : "Il n'y a pas de traité dérogeant à l'article 14, C. civ., dans les rapports de la France et de l'Espagne. Pau, 13 janvier 1895 (Sir., 1898. 2. 14); Cass., 12 avril 1897 (Sir., 1900. 1. 356); Trib. civ. Narbonne, 21 décembre 1898 (Journ. du dr. int. pr., 1899, p. 350); Trib. comm. Seine, 22 février 1899 (ibid., 1899, p. 354). — De même la convention franco-badoise du 16 avril 1846, n'a porté aucune atteinte au système de compétence adopté par cet article. Colmar, 11 décembre 1861 (Sir., 1862. 2. 205). Aubry et Rau, 4e éd., t. VIII, § 748 bis, p. 141, note 24. V. cep. Ern. Roguin, Conflits des lois suisses en matière cantonale et internationale, n° 463, p. 616.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
La condition essentielle pour que l'établissement d'un barrage sur un fleuve ou sur une rivière, sur un ruisseau ou un canal, réside dans le fait que le barrage établi doit empêcher entièrement le passage du poisson et devienne ainsi une cause de dépeuplement ; car c'est le dépeuplement des cours d'eau que la loi de 1829 a eu surtout en vue d'empêcher. Mais cette seule condition est-elle remplie, le barrage interrompt-il complètement le passage du poisson, le délit de pêche est constitué. Il n'en est pas dans le cas de barrage, mode de pêche prohibé, comme lorsqu'il s'agit d'un délit de pêche à l'aide d'engins prohibés n'est consommé et ne peut être légalement établi que lorsqu'il y a un fruit de mécontentement et déterminé. La simple détention d'engins prohibés ne constitue pas par elle-même un délit. Tout au contraire, le rétablissement, le maintien ou la réparation d'un barrage, d'un ou plusieurs points de pêche prohibés, consume de l'école l'ont appris seulement à 9 heures du soir. Les nouveaux officiers sont partis immédiatement pour Saint-Pétersbourg afin de s'équiper ; ils rejoindront leur corps, sans le mois de congé habituel. Le ministre de la guerre a donné également l'ordre de faire une promotion parmi les élèves des écoles de Moscou, de Tver, de Vilna, Kiev, Odessa, Tsarskoïe Selo et Elisabethgrad. La Vérité Vremia assure que des mesures militaires ont été prises contre toute surprise de l'Autriche. EN ALLEMAGNE Manifestations belliqueuses Berlin, 26 juillet. — M. Cambon, ambassadeur de France à Berlin, a vu cet après-midi M. de Jagow, secrétaire d'État aux Affaires étrangères. Le consulat d'Autriche-Hongrie annonce la mobilisation partielle et invite les sujets autrichiens à rejoindre leur corps. Une animation extraordinaire règne dans Berlin. La foule s'assemble dans les rues, et sur plusieurs points la circulation est presque interrompue. Les manifestations devant l'ambassade d'Autriche, le Palais royal et le palais du chancelier se succèdent. Des postes de police sont en permanence devant l'ambassade de Russie. Des précautions sont également prises auprès de l'ambassade de France. Il convient de constater que la foule ne manifeste pas d'animosité ouverte contre la Russie et encore moins contre la France. Dans leurs éditions spéciales, les journaux prévoient l'éventualité de graves difficultés. Munich, 26 juillet. — Des manifestations ont eu lieu devant la négation d'Autriche-Hongrie. La foule a parcouru les rues en chantant des refrains patriotiques. Les réservistes autrichiens sont appelés Berlin, 26 juillet.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
' " ? >1 t v " i ? ., I I and ; ,.ot'<-.| * - IM v .til |.,r| .f :| l<> , .!<? a .-.-.l 'I ? ? ,' had 1. <1 a i ? - ' . i ii j; ? ! .. i. ? 1 aim I. wiiitn -f i's owrni, li| |Ulld doVMI tl.o .Shores of l.otlg ,8,a|ltJ ! mor'd ? v""""Ti ,,hC loilB* briR,u 01 III.I up dfcowilv under | cover during tl,.- ::..,sun of snotv and Still la It r, it I.m.I changed bands a ?'> , J" 1 Vs.now sk,l>l?cr. likewise an a ma let/,-. i,:?| |,t Called a heavv dutv iiiarl!ie-iii..t.,r; an.l since |?- uas an ainateur win. purposed using the craft f"P Pleasure i-ruisi,!- only, had tsiKvnl I !'% !IMI 0,1 ??'*'?? ?st until the ?out was a., nearly noiseless as anv iiiotor-criill on the Atlantic Coast. ' litis last characteristic had been its ? ?hiefest recomnn n.latIon to its present owners, whose desire it was to Hit hither anil yon a.s unostentatiously as might I.e. in their hands the boat bp. came a skulking thing that shunned the sunlight and only went abroad bv night and by preference )>Iie.| its shameful trade only in the dark of the moon. At such times it was one of the busiest little boats in the waters ad jacent to New York Hay; u traveled far and wide and cv.-r furtively, ply Inn .1 nefarious trade, returning al ways before dawn to a mooring In Ciowanus Hay. at which it bobbed bv day wearing the special make-up of a poverty -stlichen fisherman's I.oat. Juan 1 losed his eyes and lay like a ili'". The murderer ?uuni; round t?? glare at him susph-iously, then, per mitting himself t*o l.e deceived. and.
[ 0, 0, 0, 0, 2 ]
0
0
0
0
2
Nur echt, wenn direkt ab meinen Fabriken bezogen — schwarz, weiß und farbig, von 75 Pfennig bis Mk. 18,65 pro Meter — in den modernsten Geweben, Farben und Dessins. An jedermann franko und verzollt ins Haus. Muster umgehend. G. Henneberg's Seiden-Fabriken (k. u. k. Hofl.) Zürich. Was braucht der Mensch Ernährung? Viel weniger als wir glauben, denn es sterben mehr Menschen an Überfluss als an Entbehrung. Das Übermaß an Essen und Trinken ist in vielen Fällen nur zur Folge, dass die Verdauungsorgane leiden und hierdurch auch die Gesundheit unseres Körpers und Geistes. Ebenso wichtig wie eine vernünftige Ernährung ist die tägliche geregelte Leibesöffnung, welche, wenn nötig, durch den Gebrauch der beliebten und empfohlenen Apotheker Richard Brandt's Schweizerpillen (erhältlich nur in Schachteln zu Mark 1, — in den Apotheken) in bester Weise erzielt wird. Die Bestandteile der echten Apotheker Richard Brandt'schen Schweizerpillen sind Extrakte von: Silber 1,5 Gramm, Moschusgummi, Aloe, Absinth je 1 Gramm. Bitterklee, Gentian 0,5 Gramm, dazu Gentian- und Bitterklee-Pulver in gleichen Teilen und im Quantum, um daraus 50 Pillen im Gewicht von 0,12 herzustellen. Sonnabend den 31. Dezember nachmittags 3 Uhr cur. sollen im Geschäftszimmer des Unterzeichneten nochmal öffentlich gegen Meistgebot zum Verkaufe gestellt werden: A. 67 Stämme Fichtennutzholz und 93 Fichtenstangen 1. und II. Klasse aus dem städtischen Walddistrikt Hüsinge, B. 18 Eichenstämme I. — V. Klasse, 84 Buchenstämme IV. und V. Klasse, 18 Fichtenstämme und 8 Fichtenstangen II. Klasse aus dem Stadtwalde Griesheim. Sämtliche Hölzer liegen an bequemen Abfuhrwegen und wird der Zuschlag im Termin sofort erteilt werden. Der Waldwärter Forstaufseher Klinkner wird die Hölzer auf Verlangen an Ort und Stelle vorzeigen. Olpe, den 27. Dez. 1898. Der Bürgermeister Dütz = Josun. Liebe Glaubensgenossen! Mit Eurer Hilfe ist es mir gelungen, den für den Kirchenbau in Königswusterhausen, vier Meilen von hier, gekauften Bauplatz am 1. Januar 1899 zu bezahlen; ich rechne auch auf Eure Hilfe zum Bau der Kirche selbst, welcher nach der Vereinbarung beim Kauf des Bauplatzes bestimmt im Laufe des Jahres 1899 beginnen muss.
[ 0, 0, 2, 0, 0 ]
0
0
2
0
0
Die Hügel steigen von der Ebene aus sehr steil an. Die Stellung ist kaum zu umgehen, außer durch einen Vormarsch auf Etropol, den die Russen zu bewerkstelligen versuchen. Früh Morgens besetzten die Russen Orkhanie und rückten in zwei Kolonnen in die Ebene hinaus; ihre Geschütze eröffneten unter dem Schutze der Bäume des Dorfes ein heftiges, aber wickelloses Feuer auf die türkische Rechte. Die türkischen Geschütze erwiderten mit gutem Erfolg. Mit starken Infanterie Kolonnen stürmten die Russen darauf gegen drei Seiten der türkischen Stellung an. Die Türken ließen sie nahe herankommen und eröffneten dann ein würenderiges Feuer im Halbkreis auf die Plänkler. Aber und abermals stürmten die Russen vor; aber vergebens. Zu gleich wurden ihre Geschütze zum Rückzug genötigt. Dies bemerkend, brachen die Türken aus ihren Stellungen auf die unbeschützte russische Infanterie vor und trieben sie fluchtartig zurück. Mittlerweile war der Angriff auf Etropol in gleicher Weise zurückgeschlagen worden, so daß die Türken auf der ganzen Linie siegreich blieben. Die türkischen Soldaten sind sehr ermuthigt durch diesen Erfolg. Mit dem Eintreffen Mehemed Ali's erwarten man, im Stande zu sein, die Straße zu säubern. “ Petersburg, 19. Nov. Nach einem offiziellen Telegramm aus Van = Kaleh ( Asien ) war der Haupthurm gegen die südöstlichen Forts von Kars, Hafiz, Kanly und Suwari gerichtet, gegen die übrigen Forts nur demonstriert. Karadagh = Arab wurde von Freiwilligen in plötzlichem Ansturm genommen. Die Zahl der Gefangenen beträgt 10,000; in den Spitälern wurden 4500 Kranke und Verwundete gesunden. Der russische Verlust beläuft sich auf etwa 2500 Totte und Verwundete. Verschiedenes. Arnsberg, 23. Nov. Gestern Abend 8 Uhr zog ein kurzes, aber schweres Gewitter über untere Stadt. — Im Regierungsbezirk Arnsberg dürfen die Ernteergebnisse im Allgemeinen als günstige bezeichnet werden. Der Roggen ist durchweg gut gerathen und leidlich eingebracht worden. Der Ertrag an Stroh und Körnern übersteigt den der Vorjahre nicht wesentlich. Dasselbe gilt im Allgemeinen vom Weizen. Bei dem Sommergetreide war der Ertrag weniger reichlich, auch haben Stroh und Körner durch den vielen Regen während der Erntezeit in der Qualität gelitten. Die Kartoffel ernte ist, in Folge des Auftreffens der Kartoffelkrankheit in den Gebirgsgegenden, durchweg schlecht ausgefallen, während das Ergebnis in der Ebene ungleich günstiger war. Gras und Futterkräuter sind in reichem Maße zugewachsen.
[ 0, 0, 0, 0, 2 ]
0
0
0
0
2
Il cède, de l'aveu de tout le monde, à l'impossibilité morale de remplir la loi qui l'a établie pourquoi ne céderait-il pas au pouvoir de l'ORDINAIRE excité par les plus impérieuses circonstances? Quand on accorde à Rome, in fine pœnitentiae, dispense de quelque empêchement dirimant, on ne demande aux conjoints, pour devenir de vrais époux, que de renouveler entre eux le consentement qu'ils s'étaient donné. N'est-ce pas la dispense à toto de l'empêchement de clandestinité? Si l'on me répond que leur mariage, quoique nul au fond de la conscience, avait eu la publicité requise, j'observerai d'abord que la publicité d'un mariage nul ne rend pas public un mariage qui vient après lui, et que c'est pourtant ce mariage subséquent et réparateur qui doit être public, n'être pas clandestin. Ensuite je demanderai si, dans l'esprit de la loi, un homme et une femme, mariés, en pleine audience, à la municipalité, vivant ensemble, portant le même nom, figurant comme époux dans tous les actes et toutes les actions de la société, n'ont pas donné à la première émission de leur consentement un caractère de publicité tel que l'Église, pour de fortes raisons, puisse s'en contenter? Le cardinal Caprara et ses théologiens n'objectèrent rien contre ces raisons. Les différents modes de réhabilitation que j'ai exposés ne pouvaient servir qu'aux époux de bonne et unanime volonté, je veux dire qui convenaient ensemble de renouveler, avec plus ou moins d'appareil, leur consentement nuptial d'autrefois. Dès qu'une des deux parties refusait de souscrire à l'arrangement, rien n'était fait. Le mariage continuait d'être nul ou douteux comme auparavant. Par malheur, les époux récalcitrants étaient nombreux, surtout parmi les hommes. La femme aurait bien voulu tranquilliser sa conscience, la guérir, en usant du remède qui lui était offert et le mari s'y refusait, ou parce qu'il regardait les craintes de sa religieuse épouse comme un scrupule dont il se moquait, ou parce que, ayant cessé de l'aimer, il aurait plus volontiers cherché les moyens de rompre avec elle, qu'accepté celui de consolider leur union. On voyait pourtant, et pour les mêmes raisons, des femmes qui repoussaient le désir chrétien, manifesté par leurs maris, d'émettre un nouveau consentement. Cet embarras se faisait sentir dans toute l'étendue de l'Église de France. Le légat, résidant à Paris, ne pouvait pas n'en être pas instruit.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
ATLANTA, GA., July 19.?The general scramble for players, which has been taking place recently in the Southern Association, apparently has passed by New Orleans. Despite the fact that the Pelicans have an injury list including an infielder and an outfielder, and what is said to be the temperamental indisposition of a pitcher, they are moving alone at their best pace since the first weeks of the season. Reported slipping several weeks ago when a batting slump overtook them and counted out of the race more recently by several critics when out fielder Allison and infielder Stensbury were injured, the play of Manager Dobbs's men since Sunday has proved the feature of the league. Pitcher Walker, who had been accused of shirking, gave the experts a sharp turn by disposing of Atlanta rather easily Thursday. Winning all four games they played this week, the Pels crept up rapidly on the Volunteers, who got but an even break out of six games. Both Chattanooga and Atlanta, despite several changes in line-up, have lost more games than have been won, and neither, according to critics, are now giving any evidence of being ripe for a real drive.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
291 706 Village Belle, The, 30 L. T. 232 ; 2 Asp. M. C. N. S. 228 268 Villa de I'Orient, The, 2 L. T. N. S. 62 85 Vindobala, The, 60 L. T. 657 ; 13 P. D. 42 ; 14 P. D. 50 ; 58 L. J. Adm. 61 ; 37 W. E. 409 36 Vine, The, 2 Hagg. 1 332 Vlierboom v. Chapman, 13 M. & W. 230 ; 13 L. J. Ex. 384 ; 8 Jur. 811 . . 307, 547, 561 Vogeman v. Bisley, 2 Com. Ca. 81 646 Vogemann «. Zanribar S.S. Co., 6 Com. Ca. 253 ; 7 Com. Ca. 264 . . 573,'App. B. Volant, The, 1 W. Eob. 383 700 Vortigem, The, (1899) P. 140 ; 68 L. J. P. 49 ; 80 L. T. 382 ; 8 Asp. 523 19b, 79, 102a Vrede, The, 30 L. J. Ad. 209 ; Lush. 322 336, 338 W.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
His sternness was that of the judge who dooms a criminal to the gallows. His theology had much in it that is in strik- ing harmony with modern scientific philosophy, and much in it, too, that the descendants of his Puritan converts have learned to loathe as sheer diabolism. It is hard for us to forgive the man who burned Michael Servetus, even though it was the custom of the time to do such things and the • tender-hearted Melanchthon found nothing to blame in it. It is not easy to speak of Calvin with enthusiasm, as it comes natural to speak of the genial, whole-souled, many- sided, mirth-and-song-loving Luther. Nevertheless it would be hard to overrate the debt which mankind owe to Calvin. The spiritual father of Coligny, of William the Silent, and 52 THE BEGINNINGS OF NEW ENGLAND of Cromwell must occupy a foremost rank among the cham- pions of modern democracy. Perhaps not one of the medi- eval popes was more despotic in temper than Calvin ; but Calvin's it is not the less true that the promulgation of his Us^poHtol theology was one of the longest steps that mankind bearings have taken toward personal freedom. Calvinism left the individual man alone in the presence of his God.
[ 0, 0, 1, 0, 0 ]
0
0
1
0
0
Von einer Teilnahme an den äußeren Dingen kann die Rede nicht sein, und man muss in der Tat die Königin bewundern, welche in so aufopfernder Weise zurückgezogen, sich ihrem königlichen Gemahl widmet und von allen übrigen Interessen sich gänzlich entfernt hält. Der Prinz Regent hat in Folge eines im vorigen Jahre überreichten Immediatgesuchs der evangelisch-lutherischen Gemeinde in Schwelm, zur Tilgung der bedeutenden, 80,000 Thaler betragenden Kirchenbauschuld, ein Gnadengeschenk von 20,000 Thaler bewilligt. Dem Londoner „Court Journal“ zufolge wird die Königin Viktoria Ende August oder Anfang September nach Berlin abreisen. Kassel. Ein Kaufmann aus Mannheim, der unlängst in Kassel „Don Carlos“ aufführen sah, erzählt, dass der Kurfürst mit dem Spiel eines daselbst gastirenden Schauspielers, der den Don Carlos gab, so unzufrieden gewesen sei, dass er so laut ausgerufen habe: „der Kerl spielt ganz erbärmlich!“ dass nicht nur vom Parterre, sondern auch vom Spielenden selbst diese Äußerung deutlich vernommen wurde, und dieser sichtlich darüber betroffen, erst weiter spielen konnte, nachdem ihm vom Publikum ein anhaltendes Beifallsklatschen zu Teil wurde. Serenissimus war darüber so ergrimmt, dass er seinen Armsessel in die Ecke schleuderte und sich entfernte. (Beob.) Frankfurt a. M. In Nr. 185 des hier erscheinenden Blattes „der Arbeitergeber“ ist Folgendes enthalten: „Ein praktischer Mann war der Pforzheimer Bürger, welcher vor einigen Tagen sein baufälliges Haus durch die dortige Feuerwehr abtragen ließ, ohne dass es ihn einen Heller kostete. Derselbe lud namlich die Feuerwehr ein, sich in diesem Geschäft praktisch zu üben. Diese machte sich unter Leitung ihrer Offiziere daran, und in wenigen Stunden war nicht nur das betreffende Gebäude bis auf den Grund abgetragen, sondern auch die Ziegel, das Holzwerk und die brauchbaren Steine besonders geordnet beiseite gesetzt, wie dies von sachkundigen Handwerkern nicht besser hätte geschehen können. Dies gibt uns Veranlassung zu der Mitteilung, dass die Rettungs-Compagnie zu Lindenau bei Leipzig bereits am 17. April d. J.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
" Save me, O holy man ! " — her cry Fills all the void, as if a tongue,' Unseen, from rib and rafter hung, Thrilling with mortal agony ; Her hands are clasping the Jesuit's knee, And her eye looks fearfully into his own;- WHITTIER'S POEMS. 2,7>Z Off, woman, of sin ! — nay, touch not me With those fingers of blood ; — begone ! " With a gesture of horror, he spurns the form That writhes at his feet like a trodden worm. • Ever thus the spirit must, Guilty in the sight of Heaven, With a keener wo be riven, For its weak and sinful trust In the strength of human dust ; And its anguish thrill afresh, For each vain reliance given To the failing arm of flesh. MOGG MEGONE. PART III. Gloomily against the wall Leans thy working forehead, Ralle ! Ill thy troubled musing fit The holy quiet of a breast With the Dove of Peace at rest, Sweetly brooding over it. Thoughts are thine which have no part With the meek and pure of heart, 334 WHITTIER'S POEMS. Undisturbed by outward things, Resting in the heavenly shade By the ovefspreading wings Of the Blessed Spirit made. Thoughts of strife and hate and wrong Sweep thy heated brain along, — Fading hopes for whose success It were sin to breathe a prayer ; Thoughts which Heaven may never bless - Fears which darken to despair. Hoary priest ! thy dream is done Of a hundred red tribes won To the pale of " Holy Church ; " And the heretic o'erthrown, And his name no longer known, And thy weary brethren turning. Joyful from their years of mourning, 'Twixt the altar and the porch.
[ 0, 2, 3, 0, 3 ]
0
2
3
0
3
§. PRIMERO, 1 í* P^ m , ero fe ba feponer» q la Igícfia defde fu$ principios ha delviando fus Miniftros^y Sacerdotes del etnpfeo>y Eftudio de las Facultades profanas , para aficionarlos , y elevarlos á las Divinas; verdad, que la comprueba lapraxi continuadade Concilios, v Decretos Pontificios. El primer Concilio Hierofplimitano > que celebraron los, Apollóles , entra en el Can. 7. con eíU eufeñan^a >y fanta difpoficion, .Mpfiopus } a ut Pmhyur , aut Uheonus , wqiiaqMm*S¿ tul ara Curas adfih mtjfin aliter deijeiat ur. Lo mifmo , y mas expresamente mandan et A Ma- j 2 . Vn-Aad Caite. El Cavilonenfe cap, 5 . El Viencnfe, tó ^ ntin0 w. IJ y § fin 5 i ne/e el Concilio Latcrancnfc 5. itiBpifibl, y otrosmacb— Mimar. Ne ^dfqmmdéf atero in SacrisOr- J—h) c¡»/Útutas,in Studüs Gentralibm’vel alibi pbli:eaudiendo,Pbilofó- X í4®| «mW. Ó- «* 0 ».
[ 0, 0, 2, 0, 0 ]
0
0
2
0
0
The teacher does not grant this liberty to his 126 The Way to the Heart of the Pupil pupils out of love jor ease, but led by a correct understanding of child nature, which needs a short period of relaxation after each period of hard mental labor. A sensible driver does not allow his horse to pull a heavy load for hours without rest. He knows that the few minutes of rest can easily be made up by the refreshed animal. So we may let the children, when we deem it necessary, recover their breath in the midst of their work. They will make good the loss of time by more diligent work. The ten minute recess prescribed for the Prussian schools is certainly sparingly meted out. If we consider that at least three minutes in large schools — even more — are lost in walking to and from the school yard, there are only six to seven minutes of real recreation between every two hours. In high schools where, with each suc- ceeding hour, a different teacher enters the class room, demanding the same exertion of mind as his predecessor required, rest in the course of the session is of double value to pupils. Every practical teacher should know from his own experience what a benefit rest is to the pupils, if they are granted, after finishing a written exercise, a period of two minutes for rest or chatter with each other. The little School and Appearances 127 pause often proves a great relief, after the strain of close attention. In fact they are still so absorbed In the difficulties of their examina- tion questions, that it Is impossible for them to take up at once a different subject of study.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Présence des trésoriers Indispensable. La paie des cantonniers aura lieu le jeudi pour la 1ère et la 2ème; le vendredi 21 pour la 3ème et la 4ème et le nettoyage. La perception des quotités aura lieu au bar Armand, bureau de tabacs, place Daviel, 10. La paie sera effectuée dans les bureaux de la recette municipale. DANS L’ENSEIGNEMENT Syndicat de l’Enseignement. — Assemblée générale demain, à 14 h., Bourse du Travail. salle 19. Cotisations, traitements, affaires courantes. ÉCLAIRAGE ET FORCE Énergie électrique. — Réunion du bureau ce soir, à 19 h. 15, salle 9. Bourse du Travail. Syndicat des Electriciens de la C. P. B.— Les camarades Mougins, Wéarn et Pont sont convoqués pour la délégation à la direction, vendredi, à 17 h. 15, sous l’horloge. Vendredi, le 1er janvier, assemblée générale. Bourse du Travail, salle Ferrer; compte rendu moral et financier, renouvellement du Conseil syndical. Présence indispensable. DANS L’ALIMENTATION Personnel des Raffineries de sucre. — Les ouvriers de la raffinerie de sucre usine Saint-Charles, réunis le 10 courant, boulevard Amayen, 98, après avoir entendu les camarades Amedeo, Bruno et Bozzi, secrétaire de C. G. T. Italienne, les remercient de leurs belles internationales et s’engagent à faire la propagande et essayer pour regrouper les travailleurs des raffineries au sein du Syndicat du personnel des raffineries de sucre. — Le secrétaire : Bernard Jules. DANS LA FINANCE Syndicat des Employés de Banque et de Bourse. — Dans sa session du 17, le Conseil d'administration, après avoir pris connaissance de la correspondance de la Fédération de la finance, enregistre avec satisfaction que, grâce à l’action menée par cette dernière, les augmentations seront relativement importantes dans les grands établissements de la place. Avis aux camarades de la banque que le nouveau cahier de revendications a été adressé au siège central des établissements financiers. — Le Conseil. DANS L’IMPRIMERIE Syndicat des Lithos-Papetiers. — Ce soir, à 7 h., réunion du Conseil. DANS LES PORTS ET DOCKS Union syndicale des Dockers. — Les membres du Conseil et les délégués de chantiers sont priés d’assister à la réunion du Conseil qui aura lieu ce soir, à 6 h., au siège. — Le secrétaire : Advenant. SYNDICATS UNITAIRES Union locale. — Ce soir, réunion de la Commission exécutive à 18 h. 30. Bourse du Travail, salle 18. Les camarades Roque et Cadenel, membres de la Commission de contrôle, sont priés d’être présents. Présence Indispensable. Cheminots.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
And if she depart, that she remain unmarried or be recon- ciled to her husband." Plainly, there is question here of separation founded on a solid title, on the adultery of the husband.. "Were the woman's departure justified by no such reason, St. Paul would be the first to urge her immediate return. When, therefore, he counsels her to remain unmar- ried, and solemnly declares that singleness or reconciliation is the only course sanctioned by God's law, he necessarily un- derstood adultery to be no ground at all for absolute divorce. If the husband's adultery destroyed the marriage bond, the 336 SPECIAL ETHICS wife could with perfect freedom contract a new alliance. Again, in Rom. 7.3, St. Paul gives advice wholly incompatible with modem notions of divorce. "Whilst her husband liv- eth, she shall be called an adulteress, if she be with another man." This rule is absolute, hedged round about with no conditions or exceptions; and is only another index of how Christ wants the exceptive clause in St. Matthew to be in- terpreted. Death, and death alone, can invest the surviving partner with the right to enter a second marriage. The Catholic Church, therefore, can never recognize the validity of an absolute divorce, decreed by the civil court. It forever considers divorced men and women as truly mar- ried, as much husband and wife as they were before the State interfered ; and never reckons them capable of receiving this sacrament anew. The customs and laws of our country make it more or less necessary for Catholic judges and Catholic lawyers to conduct business on lines opposed to the spirit and principles of their Church.
[ 0, 1, 2, 0, 0 ]
0
1
2
0
0
Tes sociélés de navigation qui désirent participer A cette manifestation n'ont qu'à envoyer les affiches qu elles désirent y voir exposer aux Scullers de Marseille, à l'Esiaqtie-Plage. Une plaquette sera remise A la compagnie exposant la meilleure affiche par un jury composé de personnalités de notre ville.Elections cantonales2’ Canton COMITE D'UNION REPUBLICAINE CANDIDATURE XAVIER CORSETTI Transitaire Ancien conseiller d arrondissement du 1er canton Depuis sa désignation comme candidat aux Fant. l'interprète du conseil d’adminis-I tes à la populationdiW"ranloii”Tl Vst'sn-A la suite d’une discussion un docker lue un de ses camarades d’un coup de couieaui niaïqué. hier, l’escale tî du paquebot hoîlan*tric ,* v h. JG de 11 iit «tvant les plaques, l'n apéritif d’honneur i <>>mine eandicu réunit ensuite an Inr Terminus les ,li. }■Ul?OH re*’ul,i , a,"e dans le T canton au reunu ensuite, au u.tr iei minus, R. ut élections Uu J décembre prochain, le citove verses, délégations. M. Boyer, se faixavt.r wisetti a rendu de nombreuses viscours. Le président profita de la circonslanpour manifester à M. Franeesehi, l’ancien directeur de l'école de. garçons, qui vient de prendre sa retraite, la sym pathie et les regrets de tous. Il salua Avec une vivo satisfaction la nomina tion de M. Bond il, le nouyeau direcl«Mir, qui, depuis six ans déjà, comme instituteur, donne la mesure lie son dé vouement, aux enfants du quartier. 11 souhait également la bienvenue à M. 3’abhé Coulange, nouveau curé de Mnnloiivet, qui a déjà su conquérir l’cstiino de toute la population. L’A. des A. C. du 414" R. I. A Montfort-sur-Argens Pour célébrer l’Armistice, M. Crouzl, receveur-buraliste à Montfort-sur-Arqeus, a réuni ses camarades de tranchée «lu 41»* régiment d’infanterie, le 11 no vembre, en un banquet familial. De dif ferents points de la région, les anciens du 41»* ont repondu à son appel et ont pu déguster le menu d’uri chef de cuipme réputé pour sa bonne et vieille cuiFine régionale. MM. Marcellin, de Ni ce ; Chamay, de Draguignan ; Format, de Gotignac ; Lauzière, Leroy, Levrcux et Pellufj, de Marseille, vinrent apporter leur témoignage de sympathie à leur vaillant camarade et une soirée pleine «le cordialité termina celte fête du sou venir, qui fuit honneur à son organisa teur., Au Canet Le Comité des intérêts du quartier du Canet a déposé, à l’occasion du 11 no vembre, une couronne du Souvenir au monument aux morts de la Grande Guerre.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
du 24 mars 1928, exonère de la taxe civique, instituée par l'article 29 de la loi du 4 avril 1926 : 1° Sous la condition qu'elles ne soient pas assujetties au titre de l'année 1925 à l’impôt général sur le revenu, les veuves de guerre pensionnées en vertu de la loi du 31 mars 1919, c’est-à-dire les veuves de militaires ou marins décédés depuis le 2 août 1914, soit des suites de blessures ou maladies contractées au cours de la Grande Guerre, ou de toutes autres opérations militaires, soit du fait de maladies ou accidents survenus en service; 2° Les ascendants ou descendants de militaires décédés dans les mêmes conditions, bénéficiaires pour l’année 1925 de l’allocation prévue par la loi du 31 mars 1919. L’exonération doit être réclamée par les intéressés, au moyen d’une demande en décharge, produite devant le préfet du département où a été établie l’imposition, dans les trois mois de la promulgation de la loi, c'est-à-dire au plus tard le 25 juin 1928 et devra mentionner le numéro du titre de pension ou d'allocation du réclamant. Masson, mis en forme. géo. concernant. 12e bureau, mis en forme géo. concernant. 10e réunion. Cette importante association, qui a pour président d’honneur le maréchal de France Pétain, tiendra son assemblée générale annuelle dimanche 20 mai 1928, à Béthune, au collège de jeunes filles. La séance, et le banquet qui suivra, seront présidés par le général de division Nollet, ancien ministre de la guerre, membre du conseil supérieur de la guerre, représentant officiellement M. le Ministre de la guerre. A. F. R.; Jonquet, I MF ailleurs; Même s’il lui a permis de revaloriser sa monnaie et de contracter des emprunts. « Le traité de Locarno, a-t-il dit, n'est rien d’autre que la stabilisation de la paix sur le Rhin avec la garantie de l’Angleterre. » Passant alors à la défense de la politique d’entente qu’il a pratiquée, le ministre des affaires étrangères a expliqué que Bismarck lui-même en avait fait autant après les guerres de 1866 et de 1870. « La politique aujourd'hui, a-t-il dit, suit le même chemin; c'est pourquoi la France n’aura jamais à craindre une invasion de la part de l’Allemagne: il en est de même en France.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Pierrot, berger de mon village, En plein jour était harcelé Par une vision, triste et lugubre image. Le pauvre homme, à coup sûr, était ensorcelé : Car ce qu'il croyait voir, c'était un personnage Ayant depuis un mois gagné le sombre fond. Purgon et Clystorel, pendant sa maladie, Avaient été mandés pour lui sauver la vie : Le moyen qu'il ne fût pas mort! Une simple et bonne commère En fuite prétendit mettre le revenant. Elle court chez Pierrot, le voit pâle et tremblant, Se croyant poursuivi du spectre imaginaire. Le voici ! criait-il. Tout en l'apostrophant, De point en point le pâtre explique Le port, l'air, toute la façon Du ressuscité fantastique. D'après ces détails-là, dame Berthe fabrique. Quoi? vous le demandez? Un défunt de carton. Avec le mannequin elle rentre et le place Où Pierrot croyait voir l'échappé de Pluton. Le faux défunt faisait une horrible grimace. Grand effroi! nouveaux cris! Oh! oh! qu'est-ce-ci? Dit la dame par feinte. Un revenant ici ! En plein jour! devant nous ! Il faut que je le chasse. Aide-moi, Pierrot. — Moi! merci, Quelque sot! répond-il. Mais voyant la commère Vous houspillant monsieur le mort, Lui-même bravement il prit part à l'affaire. Le défunt, comme on croit, ne fut pas le plus fort. On fit pour lui les frais d'un luminaire, On le brûla. Grâce à l'invention, Serviteur à la vision ! D'une triste pensée afin de se distraire, Que faut-il quelquefois? Un rien. Remède de commère est le meilleur moyen. XV LES INSTRUMENTS ET LA VOIX. Cinq violons, deux basses, un hautbois Faisaient un bruyant tintamarre.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
le tribunal a homologué le concordat obtenu le 24 août 1893 par le sieur Plerro Bugarde, boulanger à Bordeaux. Étude de M. G. MORICE, avoué à la cour. Annulation de la faillite de M. Paul Monconsin. Par arrêt du 8 août 1894, la première chambre de la cour d'appel de Bordeaux a réformé le jugement du Tribunal de commerce du 6 mars dernier déclarant M. Paul Monconsin, demeurant rue Judaïque, 88, en état de faillite. M. Monconsin ne pouvant être réputé commerçant, et ayant, d’autre part, désintéressé tous ses créanciers. MOUVEMENT DU PORT DE BORDEAUX le 3 septembre. — Montants arrivés : Loire-Bretagne, 51 fr., e. Nicol, de Passages, l'atra. si. ang., c. Canrobert, de Cardiff, Claving, st. ang., c. Wilts, de Londres. Egret, st. ang., c. Ferris, de Southampton. L'importante Worms, st. fr. c. Maillard, du Havre. Brestots, st. fr., c. Guinbert, de Brest. L'Esperance, st. fr., c. Pinaud, de Saint Nazaire. Gréoundover, st. ang., c. Bewlay, de Charenton. Durnont-d'Uriville, onde fr., c. Davignon d'Audierne. Ont descendu la rivière : Winthorpe, st. ang., c. Winter, p. Cardiff. Mouette, goél. fr., c. Matagot, p. Paimpol. Jacques-Paul, st. fr., c. Faraud, p. Nantes. À l'arrivée : Dodo, st. ang., v. Lloyd, p. Swansea. PAU, 3 septembre. — Montants : Breton, st. fr., c. Solgran, de Nantes. Dordogne, st. ang., c. Lo. vin. de Cardiff. Anglais, st. ang., c. Boer, de Rio. Sur rade de montée : Loading-Chick, tr.-m. ang., c. Morgan, de la Guadeloupe. Ville de Paris, st. fr., c. Schircks, de Marseille. Sur rade de descente : Wilking, tr.-m. nom., c. Knudsen, p. Aberdeen, Lnga, tr.-m. fr., c. Le Veux, p. Newport. PARTIE DE GAUVRE, 3 septembre. — Entrée ; Goélette sans signaux. Mis en mer : Joanne-d’Arc, st. fr., c. Botton, p. Londres. Winthorpe, st. ang., c. Winter, p. Cardiff. LA COUR, 3 septembre. — Vents ouest, petite brise, ciel nuageux, mer belle, 763°. BULLETIN MÉTÉOROLOGIQUE du 3 septembre. Observations faites par M. Lieuténant de Vesselier, sur l'île de Cers, près de Bordeaux. Heures. Ther-Béro. Ciel. Vents. Minima de la nuit 11: 57:62.0. Nuages. O. S.-O. Midi 2: 21: 5761.0. Nuages. O.-N.-O. Maxima du Jour... 12: 00: 21. Nord-Ouest. Heures du soir... 17: 57: 5761.0. Nuages. N.-N.-O. Harcelées du 4 septembre. FIN DE LA PAGE SOIR PAR LES FEUILLETS DE L'HEURE. Bordeaux 9: 31: 50 P. 3. le 7 H, lira Libourne 10: 17: 85 l. le 15 H 4: 31: 11. Observatoire d'Ambès 8: 49: 7 D. Q. le 22: 0: 42 s. Blaye 8: 3: 18: 51 N. L.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
A pokazało się wkrótce, że była to dobra próba ustawy przeciw lichwie i domagają się dzisiaj za prowadzenia jej w całem państwie. Można nako niec powiedzieć przeciw memu wnioskowi: „Ależ to znowu nowy wyjątek dla Galicyi*. Proszę pa nów, jeżeli weźmiecie ze stanowiska formalnego byłby to wyjątek, chociaż, że wyjątek, nie nasza w tem wina; ale wyjątek taki jest. rzeczowo uzasadnionym u nas, bo niestety w żadnym kraju monarchii wymiar sprawiedliwości nawet na podstawie tej procedury, jaka istnieje, tak złym nie jest, jak w Galieyi. Nie jest to bynaj mniej zarzut przeciw urzędnikom sądowym w Ga licyi. Ale tak być musiało. Najpierw bowiem charakterowi naszego narodu pismienność postępo wania jest wręcz przeciwna. Polak da sobie za wsze prędko radę ustnie, ale gdy ma na pismie sprawę roztrząsać i sądzić, nie jest w stanie zna leźć granicy między tem, eo ważne, a co mniej ważne. Jednakowoż z tą samą śŚcisłością i grunto wnością ima się Polak tego, ec ważne i tego, co mniej jest ważne. Ztąd proszę panów, nasi sę dziowie zabrną zawsze w ogromne zaległości we wszystkich pismiennie traktowanych sprawach, kiedy przeciwnie, Niemcy znacznie łatwiej sobie w tem dają radę. My temu nie jesteśmy winni, ale faktycznie tak jest. Nadto jest jeszcze druga Galicya w stosunku do ważniejsza okoliczność. innych krajów znajduje się w stanie wyjątkowym. i ten wyjątkowy stan tylko znów z wyjątkiem znieść można.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
In vero era ad essi cosa dispiacevole l'essere trattati da nemici pubblici, e da nemici degli imperatori, e gl'immuni che non respiravano se non ubbidienza. In vero era ad essi cosa dispiacevole l'essere trattati da nemici pubblici, e da nemici degli imperatori, e gl'immuni che non respiravano se non ubbidienza.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
been needed. Shall we go back to Italy for a model? Furthermore, this Italian woman is setting up a standard of life for all laboring women. It is not enough to say she is as well off here as in Italy. We cannot afford to per- mit the establishing of little Italian centres REPLY TO A CRITICISM 65 throughout the Republic, with which every American laborer in the land must enter into competition. No matter where people came from, nor what they have suffered in their native land, if we permit them to come to us, we are compelled, in sheer self-defence, to see that they are treated fairly and justly, and re- ceive a sufficient compensation for their toil to support them in cleanliness, intelligence, and morality. Question six raises a different problem : " If the mother cannot support the children, — being now in this country, without having been sent back, — she is entitled to go with her children to the almshouse, where suitable shelter, clean rooms, and good food will be provided. Is it better for her to try to support her children, under existing conditions, than to go to the alms- house ? " It is, of course, better for the woman to try to support her children. The almshouse is for the sick and helplessly infirm. Such may go there in all honor, without disgrace. I doubt not there are men in the almshouse who have done more service to humanity than many others who die amid luxury and wealth.
[ 2, 1, 0, 0, 0 ]
2
1
0
0
0
Einen bedeutenden Umfang in den Tagesblättern ein: Wenn Kanada in den Krieg in Afrika hineingezogen wird, kann es ebenso in einen europäischen Krieg verwickelt werden; dann könnte es aber auch kommen, dass der Kriegsschauplatz auf amerikanischen Boden verlegt würde und eine europäische Macht den Fuß auf den amerikanischen Kontinent fasste, was der Monroe-Church widerstreitet, ohne dass die Vereinigten Staaten Einspruch erheben könnten. Sogar der frühere Minister John W. Hotter greift diese akademische Frage aus und entwickelt im Independent, dass die Vereinigten Staaten eine solche Gelegenheit als günstig betrachten, mit der britischen Regierung wegen Zurückziehung ihrer Hoheit über Kanada zu verhandeln. Die Untersuchung des vom Präsidenten Roosevelt angekündigten Obersten Crowder soll ergeben haben, dass in Edalmette tatsächlich ein britischer Militärposten unterhalten wird und der Ankauf und die Beiladung von Pferden und Mauleseln direkt durch britische Beamte geschieht. Ob das aber ein Bruch der Neutralität ist, steht Crowder zu entscheiden nicht zu. Der Sekretär des Gouverneurs in Jefferson City (Missouri) hat vergeblich in Lattrop nach dem dringlichen Posten gewacht. In seinem nach Aasdington gesandten Bericht lagt er, dass die bisher verschickten 72.000 Pferde und Maulesel sei dem Namen nach von einer Privatfirma gekauft und verladen worden, tatsächlich jedoch von militärischen Beamten. Die Privatfirma Erzbuchot von Paris, Kardinal Richard, hat erhalten nur eine Entschädigung für Benutzung ihrer Anlagen, erhielt aber keine Akte einen Panther Präficker, den Abbe - onlangeS. Präficker von Plaisance, entsandt. Die Zeugen waren als Laie der Marquis de Castellaro und als Geistlicher der Abbe Breton. Allerheiligste des Hospitals. Die Königin kämpfte gegen die Erregung energisch nieder und gab mit fester Stimme die Erklärung aus, dass sie aus eigenem und freiem Willen an den Einklang der allein heiligmachenden Kirche zurückkehrte. Nach der Ereignung küßte ihr der Herr von Castellaro die Hand, woraus an den AmtssegeNRen sie umarmte. Die Erregung der Königin löste sich dabei in einem Tränenstreifen. Am Sonntag empfing die Königin in derselben Kapelle das Sakrament der Buße, das ihr ein spanischer Priester, der als Lehrer in der Familie der Castellaro fungierte, vor Abraham gab. Belgien. Für die Unzuverlässigkeit der belgischen Armee und der Bürgergarde werden eine Reihe von Einzelheiten angeführt. Am Sonntag badete in Brüssel die Bürgerwehr in der Liege, kehrte die Laute gekehrt und drohte, gegen die Gendarmerie selbst vorzugehen.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
de Paris de 1506, pour l'archiprêtre de Lisle-Bouchard, dans le diocèse de Tours, un autre de 1558, pour l'archidiacre de Paris deux autres pour le grand doyen du Mans, des années 1516 et 1517. Fevret dans son traité de l'abus, liv. 1, chap. 5, en fait aussi mention. Enfin cette jurisprudence est encore confirmée par les arrêts qui ont été recueillis dans M. Louet et son commentateur, lett. D, n. 62 dans les anciens mémoires du clergé, tome 1, pag. 85, et dans plusieurs autres ouvrages. C'est aussi ce qui a été jugé pour le diocèse de Lescar, par les arrêts que l'on a cités.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
(3) et (2) donnent encore la somme et le produit des inconnues. 2° Soit à trouver MG = GN d'où EM = NF Équation du second degré que l'on sait résoudre et construire. 30° Soit à trouver MG - GN = cl d'où NF - EM = d, NF = EM + d Ainsi MN = 2a - E - (EM + d) = 2a - 2E - d La relation (1) devient Equation du second degré. Problèmes d'Apollonius. 332. Sur deux droites concourantes OX, OY on donne deux points fixes D, F. Par un point A, mener une sécante M AN de manière qu'on ait une des relations suivantes. (a) Problème de la section de raison. Les segments DM, FN doivent être dans une raison donnée, c'est-à-dire dans un rapport donné. Prenons BM, CM pour inconnues, on aura la relation générale xy = bc (1) d'où nx + dy = mf + my (2) On peut regarder le problème comme résolu, car (1) est du second degré et (2) n'est que du premier. (b) Problème de la section de l'espace. Le produit des distances DM, FN doit égaler un carré donné k2. On a donc : (cl x) (f + y) = k2 ; (If + d + fx + xy = k1 mais xy = bc (n° 324) ; donc fx + dy = k1 - bc - df Les équations (1) et (3) donnent la solution. 333. Autres Problèmes. Il est facile de proposer plusieurs autres questions. (c) On veut avoir DM + FN = l ou ci + y = l d'où x + y = l (4) (4) et (1) donnent la somme et le produit des racines.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
seulpta Pi o eH. 2 609- 5. £enera.Ad. .:33 55. 2 ——- Sellovii King ..:....... 697. 0 —sÁctenuis: (Gnay. 1 JEe T. e ——- semidecussata Mk. ..... 605.-— 1— — »tenuispira/ Bense 29.4. .- — —'visemisculpta" B. 8. .; 7603 —— — :/sterebella Lw.22.533095 5 -——- semisulcata Dh......... 639 —— terebraeformis P....... —— semitarum Rang....... 619 .——— .terebraster Dh... ..:i.. ——— Sennaariensis P........ 649. :——— ."Terveri BOoisSs-f —— Sericina Jon........... 606m Boufbesio o s — —. Shiplayl B.::..:20:.2s.. 6019 ——— . Texasiana P: ;4205.. 7..: Shuttleworthi P. ....... 608. .'—— — tincta. Rv.-...:94. 8009385. L2 issiellis. Pzz.0€6 350g. s 694 —— tornatellina Lw. ....... ——— . Siderata. Rv... .......... 602 -—— torrida Gd. ........... ——— $illimani Dh..:..:..... 593 ——— . Tortillana P. .......... ——— similis Ad............. 630. E »tridehis P-— 06 A0. —— Boiss. f. —-——^ Jprrinitaria Gdl.......... —— simpularia Mor. ....... 043. £——. riticeas bw. 7: EROR LC -——— . ginistrorsa Ch.......... 600 —— trochiformis P. ........ HEIL «solida. Say... 339119. 2 604 —— trochlea P............. —-—2. . solidula P. ...:..25s... 635 .—-—- . trochlearis. P... ........ ——— . Solimana Pet. ......... 599^ &— — -truncaía, P. 205 991 ez ——- solitaria Ad. .......... 641 —— trypanodes P. ......... —— sordida King.......... 627 —— tuberculata Lw. ....... ——— Sowerbyana P......... 642 —— tumulorum Bourg. ..... ——— . speciosa P. ........... 629 —— turbinata Lea.......... ——— . spieulum Bens......... 6414 —— turricula Migh: :....... ——— spirizona Dh.. ..,...... DAS PES — turis JP... 004 RIRIL . E ——— splendida Ant.......... 515 —— —— Dph............. ——— Stewartii Green........ B98..625— oturrita Poi. UA is 596 641 645 824 INDEX.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Mentre che il Sole ancora non cade, Giusta il tenore del rigoroso editto Mi partirò di Sparta afflitto, e foto E vi circo d'essa in opportuno luogo Sta però pronta. Dam. Io farò pronti attendi Pur tu quel che prometti; e forse ancora Spettacolo troverai nel tuo ritorno, Che renderà meno grave il nostro figlio Ale. Che vuoi tu dire? Dam. Non voglio altro: a Dio Ale. E tu, mia patria, a Dio; che senza colpa Lascio, ma se ben porto a questa citazione gli occhi, La stanga non posso, senza già senza pena. Digitized by Google 170 Starò nascosto infino a mezza notte, E poi ritornerò nel nostro albergo, Terze tu venga meco ovunque io vada. Sta però pronta. Dam. Io farò pronta attendi Pur tu quel che prometti; e forse ancora Spettacolo troverai nel tuo ritorno, Che renderà meno grave il nostro figlio Ale. Che vuoi tu dire? Dam. Non voglio altro: a Dio Ale. E tu, mia patria, a Dio; che senza colpa Lascio, ma se ben porto a questa citazione gli occhi, La stanga non posso, senza già senza pena. Digitized by Google GRO. Fra i guerrieri che più fieri Battuti furono di sferze orrende, Gran furore. Batte il coro, Quando l'ira un petto accende. Non si tace Ne costinge Altro amore con tanta forza - Come quando, Difendendo Fiero vento il lume ammorza. Vira mai sì gran fece, Come fuole Quando vuole Punger donna a far vendetta. Altra prova Vecchia, o nova Non recò, io di quel che ferito, Se noi crede Puoi fare fede Tu, Damocrate, se fa menzolo? Tu, che brami Tu, che trami Pur ch'arrivi a vendicarti Crudelmente D'innocente Sangue ancora contaminarti.
[ 0, 0, 0, 0, 2 ]
0
0
0
0
2
Quella di Cornelia figlia di Scipione e di infinite altre, che sono note non solo delle nostre ma anche delle barbare, come di quella Alexandra moglie di Alessandro Re dei Giudei, la quale dopo la morte del marito, vedendo i popoli accesi di furore e già corsi alle armi per amazzare due figlioli, che di lui le erano restati per vendetta della crudele e dura scrittura, nella quale il padre sempre le aveva tenute tali, che subito mitigò quel giusto sdegno: e con prudenza in un punto fece benedire ai figli quegli animi, che il padre con infinite ingiurie in molti anni aveva fatti loro inimici. Disse almeno rispose la Sposa, disse il Magnifico. Questa vedendo i figlioli in tanto pericolo, incontenente fece gettare il corpo d' Alessandro in mezzo alla piazza; poi chiamati a sé i cittadini, disse che sapeva gli animi loro esser accesi di giusto sdegno contro suo marito: e che le crudeli ingiurie che egli iniquamente gli aveva fatte, lo meritavano e che come mentre era vivo avrebbe tempo voluto poterlo far rimanere da tal sciabola di vita, così dopo era apparecchiata a farne sêde. Se loro aiutare a castigare anche morto per quanto si poteva: e però di quell' corpo, e io farlo mangiare ai cani, e lo strappare con quei modi più crudeli, che si poteva immaginare, ma bene gli prese che aveva fatto compiacimento a quegli innocenti fanciulli, i quali
[ 0, 0, 0, 0, 3 ]
0
0
0
0
3
This is the "Fighting Ninth," represented in Congress by James C. Slemp, Republican, and in which democracy is assumed to be of the organization type. Both sides agreed in allowing two-thirds of the delegates to James and one-third to Glass. GLASS IS EXISCTED TO CARRY THE THIRD DISTRICT entitled to ninety-four votes. This is the home district of Representative Hal D. Flood, who, although one of the organization leaders, is waging an active campaign for Glass. Both sides concede the district to Glass by a 3-to-1 majority. In making up their estimates, leaders of the Glass faction made the statement that their figures fully recognize the claims of the opposite side that a majority of the nearly 500 uninstructed delegates already elected will follow organization precepts and vote for James. Counting on a continuation of the wave of instructed Glass delegations, they estimated that the Lynchburg man would win by a small margin. In organization circles, leaders reached the opposite conclusion, disputing heavily the Glass claims in Second, Third, and Eighth Districts. They conceded to Glass the First, Sixth, and Ninth Districts, claimed nearly even breaks in the Second and Fourth Districts, and majorities in the Third, Fifth, Seventh, Eighth, and Tenth Districts. On this basis, they gave James a majority of more than 100 votes. Up to last night, the following had been announced: FIGHT FOR RUBLEE ENDS WITH DEFEAT Senate Declines to Reconsider Its Refusal to Confirm Wilson's Appointee.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Ribot, qui, par ses opinions, appartient aux écoles dites indépendantes, appartient d’un autre côté par ses origines, par ses titres scientifiques, par ses amitiés à l’Université. Il est donc très propre à faire vivre en bonne intelligence la philosophie du dehors et celle du dedans. Il est lui-même un esprit droit, honnête, sans passion de secte, éminemment bienveillant. Néanmoins, comme on tend toujours à verser du côté où l’on penche, il doit surveiller son penchant au positivisme. Le succès et l’originalité de sa revue tient à ce prix. L'intérêt doit résider précisément dans la diversité des points de vue : diversité qui ne doit pas aller jusqu’au conflit, mais qui ne doit pas permettre qu’un point de vue domine trop exclusivement par-dessus les autres. Nous aurions mauvaise grâce d’ailleurs à prévoir une sorte d’exclusivisme que rien n'annonce, puisque M. Ribot a bien voulu accueillir notre propre collaboration dès premier numéro. La sagesse, dans les choses humaines, consiste à prévoir et prévenir ce qu’il serait difficile plus tard de corriger. Nous signalerons encore, peut-être avec un excès d’appréhension, un autre écueil. La préface nous apprend que la Revue se propose d’exclure tous les travaux qui n’exposeraient que des doctrines communes ou reproduites par un talent d’exposition littéraire. Nous reconnaissant ici la prévalence exagérée des nouvelles écoles contre la forme littéraire ; et, quelque libéraux que nous puissions être en tout le reste, nous sommes sur ce point inflexibles et inaccessibles à ce qui nous paraît un faux progrès. Que voulez-vous dire? Que vous rejetterez la déclamation et la rhétorique ! Quel besoin de dire cela? Ne n'a-t-il pas de sottise que vous écarterez ce qui vous paraîtra mauvais ! Mais ce que vous condamnez d'avance, c’est le talent d’exposition ; or le talent d’exposition est ce qu'il y a de plus rare en philosophie et fait partie de la philosophie elle-même. Souvent la force de l’exposition donne un aspect nouveau à une pensée connue, et est une partie de sa nouveauté. L’élégance n’est-elle pas un mérite, même en géométrie ? L’art de faire entrer, d’une manière aisée et naturelle dans l’esprit des vérités difficiles n’est-il pas un des éléments de la démonstration ? L’épaisseur des formules n’est-elle pas...
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
QAPI'TVLO 'GCXC* De como fino dona Ximena (fomcz>muger del Qid : fw-i nieron a fus obfequtas la Rey- na doña Sol fu fija,e el Rey de Nauarra con doña E lufa-fu muger-, hermana de doña Sol 7 e con fitfijo et fufante do Car ci Rarntrezsede como fechas las obfiecfuias partiero las Rey* ñas el hauer de fisspadres, efe boluieron a fus - 7 rey nos. ; C Ventalahiftoria, que acabo dfc quatro añosderechamcn te que el Cid fino , ouo He finar* la noble dueña doña Ximena Go mez, muger que fuera del noble varonCidRuydiez campeador, en aquel mefmotiempo.Eorrofi enaquel mefmó tiempo era Ab- baddel monelterio don García Tellez vn muy noble religiofo, c era orne fijo dalgo.Eefte Abbad eGil Diez embiaron por fus'fijas del Cid , ededofia Ximena Gó- mez, que venieflen a honrar a fi| madre al fu epterramiéto , ea he redar lo fuyo : edoñaSolla me- nor llego hy primero, ecftoera porq ue ya era biuda,ca finara ya el Infante don Sancho con quien ella era cafada, que non vifquio mas de tres años depues de la muerte del Cid Ruydiez,e non 1c fincara del fijo,ninfija: e luego llego el Rey don Ramiro con la qtra dueña doña Eluira fu mu- ger:e vino hy muy grand gente Chronica con el, por honra de fu muger e de fu fuegra: e traxo configo el Obifpo de Pamplona, para hon- rarla a fu enterramicto.E la Rey- nadoña Eluira traxo configo al Infante don García Ramírez., ni fio de quatro añosre de otras par tes veníeron hy muy grandes gé tes, de parientes e de amigos: e muchas otras gentes por ver el cuerpo delCid.Efin efto cuenta lahiftoria , quede todas partes venían hy de cada dia por ver co rao cftaua el cuerpo del Cid tan honrado. E defque todas eftas compañas fueron ayuntadas, en terraró el cuerpo dedoña Xinie- *na Gómez a los pies del efeaño en que el Cid eftaua aíTentadore dixo la Miífa el Obifpo de Pam- ' piona, e officiola el Abbad don GarciaTellez. Edcpucs que fue •ehtérrada moraron hy fietedias, faciendo cantar muchas Miífas, e faziendo mucho bien por fu al- ma. E elfonce llego hy el Obifpo don‘Hieronymo,queera con el Rey don Alfonfo,que lo mante- nía: e fizo mucho jpor honrar el cuerpo dedoña XmienaGomez: eadefquelo fupo que era finada non quedo devenira jornadas contadas.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
477 batiendo en el sitio de Beatriz á dos cuerpos volantes que man- daban los capitanes realistas Orámas y Machuca , dependientes de la división de Moráles. Al mismo tiempo Cedeño se hallaba en San Diego de Cabrutica, y Monágas en las cercanías de las bocas del Pao : estas divisiones podían comunicarse y hostiliza- ban de continúo á los realistas. Mandaba sus tropas en la pro- vincia de Barcelona don Eugenio Arana, quien tenia sus estan- cias en San Andrés de Onoto : desde allí hacía pequeñas corre- rías en los Llanos ; pero siendo sus fuerzas inferiores á las de los patriotas, se hallaba en la necesidad de limitarse á la defen- siva. En el ínterin el general Morillo se había restablecido entera- mente de la peligrosa herida que recibió en la batalla del Sé- men. Él trabajaba con mucha actividad en llenar las bajas que los cuerpos de su ejército habían sufrido en la campaña ante- rior, en disciplinarlos y reorganizarlos; él visitó los lugares del occidente de Carácas, llegando hasta Barquisimeto; él examinó el estado que teníala quinta división estacionada ordinariamente en Nutrias y sus alrededores; él penetró á Calabozo, á ñn de pasar revista á la división de vanguardia regida por Moráles, la que llegó á tener mil cuatrocientos jinetes del país bien monta- dos y equipados, fuera del segundo batallón de infantería de la Union; él, en fin, regresó á Carácas por San Juan de los Morros y las montañas de Güeripa.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
— Ah! Rivais, écoute encore! Si cette voix n'est pas celle de Marguerite, je suis donc fou,... ma raison est complètement égarée? Dieu! Seigneur! Est-ce pour me faire oublier mon devoir envers la comtesse Jeanne? Est-ce pour me rappeler mes serments envers ma fiancée que vous faites retentir ces chants sur mes pas?... Ah! je saurai dévoiler ce mystère. Il pique son cheval et se dirige vers le point d'où partaient les sons plaintifs et mélancoliques; mais il tombe dans l'immense feuillage d'un chêne qu'un coup de vent venait de renverser sur le chemin. Les branches obstruent complètement le passage; il faut faire un détour, chercher une nouvelle voie. La nuit était obscure; après quelques tâtonnements, Gaston dut renoncer à l'espoir de sortir de ce cirque sans issue. Quels regrets! Les voix retentissent encore plus loin, toujours plus loin, et si l'on attend le jour, il serait peut-être impossible de rejoindre les chanteuses. Gaston s'approche du château, espérant obtenir des renseignements sur ce qu'il vient d'entendre; il ordonne à Rivais de donner du cor: l'écuyer obéit, les jappements d'un chien répondent à cet appel. La petite lumière de la fenêtre supérieure se met en mouvement, elle se montre à l'accoudoir et encadre le visage d'un homme dans une auréole rouge comme les aiment les peintres de l'école hollandaise. Cet homme lisait dans un grand livre; l'abstinence, la douleur semblaient avoir amaigri ses membres et décoloré ses traits; mais il conservait toute la force de ses bras musculeux, et tout le feu d'un regard pénétrant. Il était couvert d'un capuchon, ceint d'une corde; ses cheveux retombaient en mèches négligées sur sa barbe entièrement blanche.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
M. de Saint-Pierre sentit que tant d'inconséquence et si peu de vertu annonçaient la dissolution de la société. Il osa le dire, il osa combattre ceux qu'il avait admirés ; et, dans cette discussion où il essayait ses forces, il était aisé de voir qu'il échapperait aux erreurs qui devaient bouleverser le monde ; en un mot, les philosophes trouvèrent en lui un adversaire. Il leur disait : "Les délices de la fortune effacent en vous le sentiment d'une Providence ; mais essayez d'interroger ceux qui sont dans la misère, et croyez-en leur réponse : ce n'est point parmi les malheureux que se rencontrent les ingrats. Dieu est partout où l'on souffre ; c'est là qu'il se rend visible, non pour consoler, comme les mortels, par des promesses d'un moment, par des espérances de quelques jours, mais pour relever nos âmes par ce qu'il y a de plus grand et de plus sublime. Philosophe, je te laisse le néant, et je me réfugie vers celui qui console en donnant les trésors du ciel et les joies de l'immortalité ! Vous me direz peut-être : Ce n'est pas la religion, c'est la superstition que nous voulons renverser. J'adopte un moment ce langage. N'est-il pas à craindre que les esprits peu éclairés (et ce sont les plus nombreux) ne puissent devenir subitement des raisonneurs assez habiles pour vous comprendre, et que, faute de saisir ces distinctions, ils ne renoncent à toute religion, à toute divinité ? Si ce résultat est certain, que pouvez-vous répondre ? Vous voulez, dites-vous, détruire les maux de la superstition ! ceux de l'athéisme sont-ils moins grands ? Que des raisonnements métaphysiques fassent votre vertu, je veux le croire ; mais c'est la crainte, c'est l'espérance qui font la vertu de tous. Si vous anéantissez ces deux mobiles des actions humaines, il ne restera que le crime. Ainsi la fin de vos doctrines en démontre la fausseté. Lorsqu'on ne peut arriver qu'au mal, on n'est point dans la voie de la vérité, qui ne peut mener qu'au bien.
[ 0, 0, 2, 0, 0 ]
0
0
2
0
0
3m über vitae bes 2lbtS ©remmelsbad; oon 8t. 'feter Reifet es: 27. Decembr. obiit Conradus de Schwarzenberg nostri Conventus, qui dedit nobis praedium suum prope Merdingen. Unb in einem auberu Necrologium oon 8t. $eter ftef)t ber Eintrag: frater Conrad nobilis de Schwarzenberg 26 Decembr. (jioifdjen ben 3 a ^ reu 1154 bis 1183). (5S mirb reofft llonrab II. geioefeu fein. 33alb nad) 1152 mirb im Rotulus n. 84 unb 87 nod) ein llourab o. 8djro. ermähnt. 9Us .£effo oon grieuiSberg mit 12 (Sifterjieufern nach £cmtenbad) gefommen, unb ©runb unb 93obcn bafelbft mit umliegenben ©uteru oon Jituno oon ^orroin taufte in ©egemoart bes 'Diartgrafen ^ermann oon §acperg unb £>er$og 33ert()olb IY. mareu 3 cu 9 eu: ®vaf 23er^ 1 Neugart. Ep. Const. II, 67. 1 '-Sei ©cfyaitnat vindem. litter. Coli. I. 3 8eminar^iMioll)ef. Digilized by Google 161 tholb üou Sßenenburg, Burfarb ©on Ufenberg, imb „Cunradus et Wernherus Advocati de Swarzinberg“. ©3 gefdjaf) 1161 4. Bi3 gum 3 . 1200 habe ich fie nid)t roeiter mehr ermahnt gefuitbeit. @s finb alfo bis bahcr folgeitbe 8chirm©5gte bcfannt: J^onrab I. „advocatus de Waldchilicha“, ©ergabt noch ©or 1111 feine Hüobialgütcr 311 "Xfjiengcn ait 0 t. ^eter, ift oft in Begleitung ber £>ergoge Bertholb IT. uub feiner ®5hne Wubolf, Bertholb uub Honrab, etma ©oit 1100—1123; nach biefent fein ®ohn Honrab II. „advocatus de Swarzenberg“, nad) feiner oou il)m bemohnten ober auch erst gebauten Burg genannt, ©ergabt ©fiter bei fltterbingen an 0t. ^eter , ift oft in Begleitung bes £er?ogs Hoitrab , tritt nach 1152 als Bruber in biefeö Hl oft er ein uub ftirbt bafelbft an einem 26. ober 27. Dejember. 0eine Söhne finb Honrab III. uub herüber, welche gemeinfdjaftlidj bie ®d)irmuogtei führen ©on etma 1152 an.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
POMYLIŁ SIĘ i zamiast do swojej, włożył FE kẹ do kieszeni Sioronia Jana. w której tnieściły się tylko 3 złote. Pomyłkę tę sprostówano dopiero w komisarjacie policji TAJEMNICZE ZNIKNIĘCIE. Karolina Petry nowa, zamieszkała przy ul. Kolłątaja, dónicsia do tutejszej policji, iż z domu wydaliła się dnia 2i b. m. wychowabica jej Zawadzka. pdnienka. lieza ca lat 17 i do tego czasu jeszcze nio powróciła, Zawadzka jest panienką miłą, o fiełnej i rumidnej tww'zy. Zawiadomienia 1 kobiunikaty, „ Oddział warszawski Polskiego Towarzystwa krajoznawóżcho urządza szereg dłuższych wycieczek w dniu 2—%0 sierpnia. Informacje w biurze P. T. K. ul. Grodzka 64, między 5-6 godz. 1038 ; Natomiast Kraków i Lwów stoją już ta, trze ciem miejscu ż 89 procentami drożyzny. Mniej OWY. .., | więcej równą drożyzną odznaczają się takie mia» dam „Niemczech, Szwecji, Norwegii i w inńyth| sto jae Kitystók > gi, Bosowieć 4 87.8, Ba ig róbóihity Utrzytłnją również płatne YHo-| ranowicze 4 868, "omaszów Miz z B54 pre. Sonia do ozas płacy i umowy kolek | Ho yajtańszych miast zalicza sið Kołotńyja, gdzie z i > poziom tet fest tiżsźý przeciętnie © 38.4 proes | jak ty Warszawe, Wyraża stę bń w cyfrze 63:4. + w a . Drugień miasteth podobnie łanieth jest Zamość, Rich wydawńieży. gdzie drożyzna wynosi gł? Biot: Dy kałegórji „BLUSZEŻE tr. 29, ktory właśnie opiuścł pra miast najtańszych zaliczykjy: Miożńa jeszczą > 4 5 We iie i Płock, ra | ę iak DIE RAFY SĘ. grzeszy zasadniczy brakiem, dającymi sty Już h ME a Aoli h żańważyć od pownegó tzaśli, á a pewną | .. + A W ype drożyzna nie ionotonją treści. Rzeczy zamieszeżańć Wœ tyh)| vy racza poi 9 proe., ù zymująč SIĘ " fe tygodiiku; ardzo Fatdkć wzlatiją ponad poziom täch.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Sapete dunque che v'hanno in Persia otto regni, di cui è grande provincia, ve ne dirò i nomi. Il primo si dice Caspian, il secondo verso mezzogiorno Curdistano, il terzo si dice Lor, il quarto Cettan, il quinto Istanbul, il sesto Cerazie, il settimo Sonnacar, l'ottavo Tunecain che è al termine della Persia verso levante fino al mar Rosso secco. In questi regni v'hanno molti bei cavalli e di gran prezzo, che ne portano a vendere all'India, dove li acquistano ordinariamente a duecento e più lire torinesi, v'hanno anche i più belli asini del mondo, che costano trenta marchi d'argento ciascuno, perchè sono veloci al corso e sostengono la fatica. Gli uomini di questa contrada menano i cavalli, di cui vi ho parlato, fino a Chiraz e a Coro, due città presso alle spiagge del mar Rosso, dove si trovano i mercantanti che li acquistano e li menano all'India, dove li vendono al prezzo che vi ho detto. In questi regni v'hanno molti uomini crudeli e micidiali, che tutto giorno si ammazzano fra loro, e, se non fosse per paura del Signore dei Tartari di Levante, grande male farebbero ai mercantanti: né v'è luogo che non abbia più volte sofferto danni da loro. E se i mercantanti non andassero bene armati e con archi, li ucciderebbero. Costoro osservano la legge di Maometto loro profeta. Nelle città v'hanno molti commercianti e artigiani che vivono di mercatura e d'industria, lavorando tessuti d'oro e stoffe di seta di ogni sorta. Qui prospera il cotone, abbondano il frumento, l'orzo, il miglio, il panico ed ogni altra biada, il vino, e ogni qualità di frutta. Lasciamo di questi regni, e parliamo di quelli.
[ 2, 0, 1, 0, 2 ]
2
0
1
0
2
L'expérience dure une heure et demie. On remarque que la contraction s'accentue peu à peu. Il y a aussi une certaine irrégularité, et des contractions faibles au milieu de plus fortes. 8 mars. — L'élan de la motilité paraît parfaite. Pression dynamométrique : main gauche 1 kilog. main droite = 35 kilog. Les réflexes tendineux sont très exagérés au bras droit. À gauche ils n'existent pas au poignet et sont très faibles au coude. Réflexes rotuliens : adroite, peu accusés, à gauche à peine sensibles. L'anesthésie paraît se répartir uniformément du côté gauche de façon à constituer l'hémianesthésie. L'insensibilité à la piqûre existe dans la moitié gauche de la face, du cou et aux membres de ce côté : diminution légère de l'acuité auditive à gauche. Achromatopsie à gauche pour le violet et le vert. La malade a été sur le point d'avoir ses attaques hier au soir. Elle a mis la ceinture compressive qu'elle porte encore ce matin. Influence de l'excitation mécanique sur l'état de la motilité (contracture provoquée). — La répétition du choc tendineux aux deux membres supérieurs ne produit pas la contracture. L'excitation mécanique du nerf cubital gauche en arrière de l'épilobule produit une secousse de peu d'étendue dans les doigts. Au bout d'un certain nombre de froissements du nerf, les doigts se trouvent raidis, sans être complètement immobilisés pour cela. La même manœuvre répétée du côté droit amène également des secousses dans les doigts, et la main finit par se raidir dans une attitude nullement en rapport avec l'action des muscles tributaires du nerf cubital excité. Les doigts sont en extension, le poignet lui-même est raidi.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
No. 2005 Grove Ave! In execution of a certain deed o trust dated June :u>, ] :? 1recorded li 1>. II. 222-1i. nage t>s, liicnmond Chan eery Court, default having been inad< in the payment of this debt secured, nn< i.eiuu th'-reto required by the bene llclary, the tinderslKlU'd trustees wll sell iiy public auction on tho prcml Isesi on TU ESI i AY. JULY 11. 1 ?# 1 <?. at o'clock iv M. the i.:(l estate above referred to an> as Ilesei llie.l III s.itd t|< . d. It bcitlK till at 11 act Ivelv located, spacious, modetv and vciy d'sirable re.-ldence, contain inic ;il.?*iii ten t<io!jis, hot-water heatj electric linht. and the usual moileri: I'onveniiiici'f, tin lot fronting 2- fee 10 1-2 inches more or l<*ss, and runnim back within parallel lines 1JT feet Inches, more or less, to an alley lr common I 0 feet u idc. TKKMS: l ot cash as t'i the expense! of s.ilc, t\? s to day of Halo and tin sum of $"..ir,o and interest thereon, atn the residue In ei|iial installments :l one and two years by negotiable note with interest added and secured lr deed of trust on th'- property, or alj cash, at the option of the purchaser. I .!. B El.AM, O. II. FUNSTEN, Trustees. ELAM & rUNSTI'N, Auctioneers. High Constable's Sale l will sell by public auction, on MONDAY, Tin; 10T11 DAY OF JULY i :? i 12 o'clock M . at 'Jft North Twentieth Street, the follow inj.- ptop^rty, to sat i.'fy a civil . \e< utio!' 'A Meyers So \John !?". M.iyoi in my hands: auto mohtle cha: TI.WMS ? ash. W. II W Y ATT, JR., Illeh < onstable. City Richmond.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Sic ud notat .* K«II< • O Arn>i r«p« T vftntiif mA(i- rmi , foktvtTH T IU «r»pA«r«f ri» irAanrt) . Nanus Vlyffes a Tyrrhenis vocatur : quod nomeh erronem no- tat . Sufpicio mihi fubiit, verum Vlyllis Tyrrheni- cum nomen fu i (Te ( nj nod autem vagum figni- ticat ; eft enim participium a m nud , vagori: quae notio tum Hebraeis tum etiam Chaldaeis , Syris , Arabibus eft ulitata) deinde quia litterae D pronun- tiatio biacfa & ambigua apud Orientales & Tufcos rorum traduces erat (vide dc ejus litterae fono in Tyrrhen. Diatr. V. in Capua) hinc cxN*i»s i. e. »*«- mrxt fartum fui fle n«»< . Non enim is fum , qui etymo tantum durtus , fine librorum veterum au- ftoritace in Lycophrone h* 3 »% pro N««*t reponere 467 aufim . Ac fero res fic fc habet . Apud Tufcos in infcrlptionibus nullum D deprehenditur . itaque in vocibus , quae in Oriente Daletb habebant , in l!s Daletb ut plurimum mutatum reperitur in T ; in- terdum in R ( cuius mutationis exempla plura ali- bi retuli ) interdum in N . Hujus ultimae mutatio- nis hoc unum fpccimcn e fio , quod Vlyftes qui u n ad Hebraice dicebatur , i. c. vagus ( 2 111 nud , fcllicct quod Hebr. & Chatd. eft ti^arf , migrare , agitari ) is apud Tufcos evafit Nan , ac terminatione Graeca nanos . Alterum exemplum eft , quod panis azymus Athenaeo ex Nicandri Gloflis aapatoS vocatur ( vere : nam eft a Cbald. k.th dana , fartaro , in qua is panis coquebatur ) is in Tab. Iguv. II. ver. 27. & in Tab. Lerpiriana cafu patrio Naratv pro daratu fcribitur.MazocHivs.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
le docteur Larcher a l'honneur d'informer les membres de la Société des vignerons qu'il n'a nullement demandé une augmentation de tarif. Les raisons pour lesquelles il a dénoncé les conditions faites le 12 décembre 1896 ont été expliquées par écrit au président de la société qui a omis de les porter à la connaissance des membres présents à la réunion du dimanche soir 6 juin courant. VISITE AUX PITES DE MINE DE CIRCONSCRIPTION DE SAINTE-EUGÈNIE Visite réglementaire n° 24, faite au puits St-Louis, le 24 mai 1897, de 3 h. 30 à 7 heures du matin. — Itinéraire et observations. Je descends au puits Saint-Louis, étage 212, et je rends à l'étage 178, où je visite tous les chantiers et galeries de la descente. L'état du boisage n'est pas trop mauvais en ce moment, mais le même danger existe dans les grands chantiers inclinés qui ont trop de hauteur. Je me rends à Saint-Clisabeth par le bureau du retour d'air et j'ai visité les galeries de ce niveau, ainsi que celles du grand bureau et les câbles. À l'ausage du petit bureau de la galerie supérieure, la partie cerclée du fond qu'on est en train de murer a un aspect très vilain et présente beaucoup de danger. Il y a une pression énorme, on en voit rarement. Le cerclage est tordu et désorienté et le garnissage brisé, le charbon est menu et mouvant et les mineurs pourraient être ensevelis par l'éboulement des parois. Il est urgent au départ d'une benne du fond d'en ramener une autre au plus vite pour être à la disposition des mineurs en cas de danger, et il faudrait aussi en parlant sous la roche, quand on aura fini de murer, ne pas aller aussi profond que cette fois avec le cerclage avant de murer, car les mineurs sont trop en danger. De là, je me rends à la contrée Lacour, d'abord à 170, partie duieu, où je n'y vois rien de nouveau à signaler. Je termine ma visite de tous les travaux de ce puits à l'étage 212. L'état du boisage est moins mauvais qu'à ma dernière visite.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Moses in Numeris de slella quae in orlu Salvatoris nostri visa est, hac ait : i Dixit Balaam filius Beor, dixit homo qui » vere videt, qui audit verba Dei, qui novit scientiam Allis- » simi,et qui visionem Dei vidit, iu somno aperli oculiejus : » Ostendam illi, sed non nunc; beatum dico, sed non ap- i propinquat : orielur stella ex Jacob, et surget homo ex Is- i rael, et franget ductores Moab, et captivos ducet omnes » filios Setli, et erit Edom ha>reditas,el erit haereditas Esaii i inimicus ejus, et Israel fecit in robore, et excitabitur ex » Jacob, et perdet eum qui servatur de civitale1. »Hoc va- ticinio commotos ait successores Balaam (id enim inco- lume extitisse adhuc, ut par est, apud illos, cum in coelo ignotum quoddam sidus praeter cognita nobis et consueta, supra verticem, ut sic dixerim et ad perpendiculum terrae Judaeae constitutum inspexerunt) festinasse ut in Palaeslinam terram pervenirent, utque sciscilarentur de Rege qui per eam slellam quam ipsi viderant significabatur. Fidem his facit Evangelisla Malthaeus, his verbis : « Cum autem Jesus « natus esset in Bethlehem Judaeae in diebus Herodis regis, » ecce Ma2;i ab Oriente venerunt in Hierusalem dicentes : » Ubi est qui natus est Piex Judaeorum? vidimus enim stel- » lam ejus in Oriente, et venimus adorarc eum. Quo tem- i pore iidem missi in Belhlehcm abierunt, et ecce rursus 1 Nam. \xiv, j5 el scqq.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Y porque almaío no permite el ciclo* Que cncílc figlb gpze vida larga j Lcdio la muertc^cüyo prefto buclo Quito a fu* r cy no) la p ciada carga j Qaedola? gente llena de confuclo¿ Yá fatigador de fu fuerte amargas Mas la juila jjuíiicia¿ íicmgrc viene & la fazon y ticmpo$queconuiene;« Ypor *!• DEFENSA DE DAMA$> Yporcaftigo de íu exorbitancia A fus hijos intenta darles muerte^ Sin que les mucua de fi*rierna infancil La bcllezayvirtud,y buen^fuerte: Antes aumentantconrperfeucrancia La colcrajelrigo^íafi^fucrtei Mas Alcxandrayeoma valerofa Los fofsiega^mitigajy los repoía^ IMziendoihermanosyo foy buen* redigo* De la razon,quc a la venganq^ os tira, Y afsi no quiero quepara conmigo Satisfagais^en lo que al mundo admira^ Antes en mi con ofecrcis abrigo Efitanjiiffarcneoriy jufta yra: Eimuerto cuerpo os tégo aquFguardado Para ver lo antcmidefpcda^ado. x %, Wi$ lo aqui cftájhazcldo miIFpeda$os¿ Pague os el daño^con queros a offendido^ Y pucs^aulBtangraucs embarazos De fus lebreles deucferrcx)mido: Den a los cueruos fus dañado&bra^os^ Y alfucgo Ib dema^quedeofreícidoi/ Porque auaqucproffcil^íum^ullieia^f ] Eahizo fu:rigprXunira^injuftÍGÍa^ C 5 Ypucf _vwpp ¿i CANTO SEGVNDO DÉLA 13: Y pues conoíco fer vueftra venganza , luílifsimajO varones excelentes Conofced que es iniufta lamatanqa, CLue procuráis en eftos innocentes; Pues todos ellos dan buena efperancja De fer affablesjmanfosjy prudentes; Y no es razón que paguen por el Padre Los tiernos hij os,y ia trifte madre, 14; , Que es cofa cierta,nunca fer culpados En parte alguna del agrauio vueftro; Y afsi no deuen fer martirizados Por la difculpa¿que en tazón os mueftro: Antes de vos merefeén fer amados, Pues fauorcícen el partido nueftro; aue en fu poca razpn,y cortos anos Ay fentimiento de los muchos daños; Y fuera defto,en vueftra mano queda Darles la muerte>íiendo merefeida; De lo qual fere yóguftofa y leda.
[ 0, 2, 0, 0, 3 ]
0
2
0
0
3
En liquidité, ces valeurs: 500 fr. pour le tramway de Société cinétique, 625 fr., 607,50 fr., 745 fr., 450 fr., 480 fr., 400 fr., 676 fr., 60 fr. 50, 85 fr. 50, 145 fr., 178,75 fr., 187,50 fr., 115 fr., 95 fr., 575 fr., 670 fr., 475 fr., 637,50 fr., 645 fr., 75 fr. 15, 01 valeurs étrangères au Dividends courants: 760,90 fr. pour l'Égypte unifiée, 1000 fr. pour l'Espagne extérieure, 1100 fr. pour la Turquie, 750 fr. pour l'Autriche, 95 fr. pour la Banque ottomane, 750 fr. pour l'Autriche, 50 fr. pour le Sud-Australien, 600 fr. pour le Nuevo de España, 600 fr. pour la Portugaise, 500 fr. pour Saragosse, 500 fr. pour Madrid, 1000 fr. pour le Crédit foncier d'Autriche, 101,65 fr. pour les Tabacs ottomans. OBLIGATIONS. 600 fr. pour l'Égypte, 500 fr. pour la Prévention, 600 fr. pour la Portugaise, 500 fr. pour Saragosse, 500 fr. pour Madrid, 1000 fr. pour le Crédit foncier d'Autriche, 101,65 fr. pour les Tabacs ottomans. OBLIGATIONS. 600 fr. pour l'Égypte, 500 fr. pour la Prévention, 600 fr. pour la Portugaise, 500 fr. pour Saragosse, 500 fr. pour Madrid, 1000 fr. pour le Crédit foncier d'Autriche, 101,65 fr. pour les Tabacs ottomans.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Volta evitare il vituperio di parlator da protribolo. Alcuni ancor furono i quali non di piacere ma sentirono orrore che Crilippo dopo avere empiuto il Cielo, la Terra, l’aria e il mare d’idoli, nullo di essi reputasse libero dalla morte fuori di Giove in cui pensò che tutti andassero a confondere sfatti. E orridirono pure ch’egli dichiarasse Dio il Mondo, la Natura, il Fuoco, l’Etere, il Fato, la Necessità, la Forza della Legge perpetua ed eterna. Donde fu dedotto che Crilippo fece Dio mutabile e corruttibile e lo sottopose alla asseblutta necessità e lo fece autore del male e così lo distrusse. Il dotto Brucker distinguendo tra il Dio primo causa di Crilippo e gli dei minori, nega la prima accusa e concede le altre. Noi per le cause già sopra disputate abbiamo diritto di negarle tutte o di dubitarne. In onta di tante vituperazioni Crilippo sostennne dopo Cleante il primo luogo nel Portico e per dottrina era ad ogni forma di lettere ne fu riputato il primo sostenitore e fu detto chiaro sostenitore, gli altri erano ombre e che se Crilippo non fosse stato al Portico non farebbe testo. Vi fu chi aggiunse con egregia insipidità che se gli dei usavano dialettica userebbero la Crilippia. Il che vorrà intendere, io penso, di quegli dei che andavano a discupire.
[ 0, 0, 2, 0, 0 ]
0
0
2
0
0
Rutilio Ma netti segui il Caravaggio con meno scelti, ma con più forza di scena. Si discernono facilmente a Siena le sue opere fra le altre perché partecipano quasi sempre di un far tenebroso, che toglie il debito equilibrio dei lampioni e delle ombre. Similmente, con l’eccezione di molti dei suoi coetanei, come avverto quasi in ogni Scuola. Il metodo di purgare i colori e di far le mescolanze era guasto; e il danno di tal corruttela non compariva ancora nelle opere; ben vi si vedeva il grand’effetto, che il secolo gradiva tanto. Il Manetti vi congiunse emendato disegno, idee non volgari, belle architetture; onde talora più volentieri che al Caravaggio si paragonerebbe al Guercino. Al duomo di Pisa è di sua mano Elia presso il ginepro, ove il Descrittore di quel tempio lodò la forza del colorito sugoso e la naturalezza. Molto ne rimane alla Certosa di Firenze, e in varie chiese di Siena; e il più che ivi si veDE ammirare è un Riposo della S. Famiglia a S. Piero di Castelvecchio. Nelle quadrerie private, ove le opere meglio si conservano che nelle chiese, se ne vedono Madonne assai belle; e presso i Sigg. Bandinelli è una sua Luchezia commendatissima. Si scostò alle volte dalla sua maniera, come in un trionfo di Davide che ne ha il Principe, nel quale gli scuri sono più temperati, e il tono della pittura è più lieto. Nel tomo I delle Lettere pittoriche si fa menzione di Bernardino Capitelli, scolaro del Dino Rabellino, maestro ad acqua forte.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Un abîme immense a été ouvert au milieu de nous. Louis XVI, comme Dėcius, s'y est précipité ; une multitude d'illustres victimes l'y ont suivi, dans l'espoir de le fermer. Généreux mais inutile dévouement! Déjà il a englouti et les coupables et les innocents ; des générations entières s'y sont précipitées pêle-mêle.... Il n'est pas comblé, il demande encore des victimes. Depuis vingt-cinq ans le glaive du Très-Haut brandit sur nos têtes, il n'est point encore rentré dans le fourreau, il ne s'est point refroidi, À peine s'est-il reposé. C'est l'impiété qui a creusé cet abîme, c'est elle qui a armé le bras du Tout-Puissant, il ne posera ses foudres que lorsque la religion aura rendu au trône, des sujets fidèles, des ministres éclairés sur le véritable intérêt des peuples, des magistrats intègres qui sauront faire respecter les lois, contenir les savants dans le respect qu'ils doivent aux mœurs et à la morale, et qui leur évitant la honte de donner dans des écarts toujours funestes, détruiront ce plébiscite littéraire qui a causé parmi nous tant de ravages. ERRATA. Page 25, ligne 25, dans quelques exemplaires, lisez : communes, au lieu de concurrens. Page 26, ligne 6, lisez : immunités, au lieu de indemnités. Page 52, ligne 28, lisez : institutions, au lieu de instructions. Page 59, note prem., 2e ligne, dans quelques exemplaires, lisez veuves désolées, au lieu de villes désolées. Page 65, note 3, dans quelques exemplaires, lisez : cacouacs, au lieu de cacoucis. OBSERVATIONS CRITIQUES Sur un article inséré dans la feuille dite La Quotidienne, du 12 septembre 1815.
[ 0, 0, 3, 0, 2 ]
0
0
3
0
2
Le fait est que dans certaines réglons des négociants sont eiicoro assez chargés de vins laissés à la propriété et que lo# cours ont une tendance ù telfuir. bien quo la consommation dans srm ensemble», n’ait diminué, malgré ('“s prix élevés. que de 2 millions (Vlxcctolltiu# sur lu campagne précédente. •Nos vin» h l'étrange:* Au dire do M. de Llvlo, consul de France â Assomption (Daragnay). les éviitimtton.s logisnuit sur le tarif (hmunlur et vieil, josouen I90S. étalent très déssvantegeuee» peur les vins et llflueur» d’origine française, ont été modules, et nous avons obtenu pour nos produits l'application de lu clause de la nation la plu# favorise. ù lu(i,u<6le leur donnait droit le truite de eonimetagi conclu en i#:hê entre lu RnUNt et le l'araguay. A prix égal, nous pouvons lutter désormais avec l'Espagne et l'ituiie, dont lies vin# avalent a p*p pré» totalement Mquphwité les nôtres aur le muché paraguayen.Dupuis un un, ajoute M. (le Livlo dans un récent rapport, pilleur* maison» Ifrnnçalses sont déjà cintrées en relations avec los principaux importateurs d'Assomption.« Ce sont surtout nos vins ordinaires en Bits qu’il «st important de faire connaître sur este place. Dernièrement une maison <isoagn«)le. la C.ompagnlti l'.l Blojano, a Introduit avec succès des (lunnlilés de vins « genre français » : c'est ce type* oui est maintenant le élus émit '» et dont il iroporterntt de se rapprocher, n en eut de même pour le vin Italien nuiront fltiizano.» Nos vins finaude l’cordeaux eu bmileiHes sont très goûtés, mais Ils ne sont nerossibNsi ou’à un néphro restreint de consommaiouf:». Il arrive peu de bmirrngne.» Nos vins de champagne sont fort apprécia. mais il est dlftlello de faire acre nier îles unirunes nouvelles. I4»s droits denrée en niiffih -nvent d ailleurs consldéraldeintmi. le prl De nombreuses Imitations allemandes et italienriais. sans narre du « mémento spumanfe ». hoir font concurrence. Il entre égnlemevit ici des vins dits champagnes Indiqué» comme d« provenance portugaise. •BEVUE ÜOŒMMLELo commoi’co franco-itnllon Bordeaux, 5 Juin. La llcvue générale tic lu marine mnrchtimlc n publié, ce» Jour» dernier», lie remarquable luttai sur la .situation uctucflo du commur-X' fiaïuo-ltuiien.H résulte, dit porto confrère, de l'examen des tarif# de douane don* le:-; deux pays, quo nos produits n'ont fixés. on Italie, une situation aussi avantsreiisv que le# produits itulieu.» on Franco.Sur 140.059,<•00 fr. do marchandises Ht lionnes iiupoi'tiSo# su) Fianice. J.l.G'Ti.fkv fr.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Finché durò la communità di ecclesiastici istituita da Benedetto XIII, uno di essi col titolo di priore dirigeva non solo la disciplina, ma ancora l'amministrazione di S. Gallicano. Questa, dopo aver subito le medesime vicende che negli altri pubblici spedali, è ora in mano di una deputazione: alla quale nel presente anno succedono i religiosi di S. Giovanni di Dio come in S. Giacomo. La rendita di San Gallicano è di soli 2,600 scudi, e vi supplisce l'erario con 10,000 scudi all'anno. Segue la tavola decennale, per la quale però non ho potuto ottenere, come avrei desiderato, la distinzione fra gli infermi dei due sessi. Ospedale è fondato verso il 1500: il cardinale Salviati vi fa ricevere anche le partorienti: è destinato esclusivamente ad esse: capacità, segreto e inviolabile sicurezza del pio luogo: ricovero per occultare la pregnanza: destino dei figli nati: direzione sanitaria, scuola per le levatrici e famiglia: osservazioni sul merito e permanenza delle ricoverate: rendita e amministrazione: tavola decennale.
[ 0, 1, 0, 0, 0 ]
0
1
0
0
0
Sepan cuantos esta carta de testamento vieren como yo Ana Nuñez de Harana mujer legítima de Pedro de Torquemada, que Dios haya, vecina que so en la muy noble e muy leal cibdad de Córdoba en la collacion de Sant Pedro estando enferma del cuer- po e sana de la voluntad y en mi buen seso, memoria e entendi- miento natural cual Dios me lo quiso dar e creyendo firmemente en la santa e verdadera Trinidad asi como todo fiel cristiano debe creer e temiendome de la muerte que es natural, de la cual per= sona alguna no se puede escusar e porque por esto el mejor re- medio que yo pueda haber es tener escrito e ordenado mi testa- mento e mi postrimera voluntad, por ende conozco e otorgo que fago e ordeno este mi testamento e ultima e postrimera voluntad de mi e de todos mis bienes a honor de Dios y de la Virgen Santa Maria madre, con toda la corte celestial, en que mando primera- mente mi anima a Dios padre mi señor que la fizo e creó e redi- mió a la su santa gloria e paraiso, e encargo, cuando de mi acaesca finamiento, mando que lo entierren en la iglesia de la dicha collacion de San Pedro e mando que el dia de mi enterra- miento que me digan en la dicha iglesia de San Pedro una misa de requiem cantada e dende en adelante fasta los nueve dias pri- meros siguientes que me digan cada dia una misa rezada e que fuera de los nueve dias que se diga otra misa de requiem cantada, e mando que se ofrende de pan e vino e cera en la dicha iglesia de Sant Pedro los dichos nueve dias, e mando a la obra de la dicha iglesia de Sant Pedro por honra de los santos sacramentos que recibo diez mrs., e mando a la cruzada e de la Santa Trinidad DATOS REFERENTES Á BEATRIZ ENRÍQUEZ DE ARANA. 471 a cada una un maravedí, e a Santa Maria de la Merced treinta maravedís para ayuda á la redencion de los cristianos que están «cautivos en tierra de moros, e cuando á la obra de la iglesia ca- tedral desta cibdad seis mrs.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
SUNNISHED, usually, in far more than a mere combination of wood, crevices, varnishes and stains. In its design, its construction and its finish it carries with it something of the soul of the craftsmen who produced it. If it means something in your home, and, like a beautiful picture or a lovely landscape, has a measurable effect upon your daily life with it. We have made ourselves up to date in such good Furniture, Engraving, and Furniture. For Weddings, our new lines of samples are now ready, featuring a splendid assortment of distinctive and correct styles for use this spring. May we have the pleasure of showing you? No obligation to buy. Phone Rand 720. STATIONERY? 914 East Main Street. Mother, why don't you take Nuxated Iron and be strong and well and have nice rosy cheeks instead of being nervous and irritable? All the time and looking so haggard and old? The doctor gave some to Susie Smith's mother and she was worse off than you are and now she looks fine. NUXATED IRON WILL INCREASE THE STRENGTH AND ENDURANCE OF WEAK, NERVOUS, CAREWORN, HAGGARD LOOKING WOMEN 100 PER CENT IN TWO WEEKS' TIME IN MANY INSTANCES. THE CHILD'S APPEAL "There can be no Beautiful. Healthy Rosy Cheeked women without Iron." F. KING, M. D.
[ 0, 1, 0, 0, 0 ]
0
1
0
0
0
In religione, a volte la disciplina, a volte il dogma fatti argomento di controversia; in politica, anche maggiore in altri tempi la confusione fra i vari principi; nell'arte e nella scienza, un ritratto fedele, sia della condizione di una società, sia delle aspirazioni future; nei costumi, perfino nei pregiudizi e nelle follie ha argomento di esame. E posti a riscontro, e severamente studiati questi elementi, scoperto il segreto della vita morale pubblica e privata, notomizzato, quasi diremmo, il cuore e il cervello delle nazioni, si potrà vedere fino a quanto seppero i dominatori infrenare o dirigere la umanità nel suo corso. Talora, ma rare volte, non immuni dalle passioni o dai desideri dei propri tempi, poterono essi mettersi a capo del loro paese, e ottenere gloria stupenda. Più spesso conobbero un solo aspetto della civiltà, e quello forse anche favorirono, ma non si accinsero a dirigere tutti; e non credendo agli effetti irresistibili di qualche opinione si avvisarono poter trionfare agevolmente. Tanto sperò Carlo V nella tremenda battaglia religiosa, Carlo V pur tenero della propria e della gloria altrui, dell'onore dei suoi Stati, inteso ad assicurare politicamente alla Germania quel posto in Europa, che, lui morto, non fu attuato a conseguire; ma ignaro che la nuova potenza della libertà, la quale si assiedeva sulle rovine del feudale medio evo, prima che sconvolgere il campo della politica, difeso dalla forza, manderebbe sossopra, come fece, il campo della religione, difeso dal mutabile sentimento. Carlo V usciva eletto dai compiti voti di Francoforte, e il litigio religioso non qui toccava: ad ora ad ora e faceva palese la sua impotenza ad arrestare il progresso della riforma, e tenne accesa una discordia che avrebbe dovuto dirigere. Egli volle in vece compromettere l'ultima dignità della potenza imperiale, e preparò il terreno alla futura guerra trentennale: grido tremendo di riscossa della nazione germanica, pur tanto divisa, il cui capo, l'imperatore, serbando la politica tradizionale della sua famiglia, non concepiva né meno lo spirito di agitazione, se non minaccioso alla vita del trono puntellato ben altrimenti, certo abolitore del suo antico prestigio.
[ 0, 0, 2, 0, 1 ]
0
0
2
0
1
De contributies voor de verschillende plaatsen worden er door op verschillend bedrag bepaald. Dat leidt ,bij verhuizing van leden tot moeilijkheden. [Bij den tègenwoor digen toestand gebeurt het niet zelden? dat de plaatselijke .werkloozenkassen niet aan hun verplichtingen kunnen voldoen? door de nog altijd bestaande neiging? om de contributies zeer laag 'te houden. Al deze nadeelen .worden opgeheven door centralisatie der plaatselijke .werkloozenfondseu. Hef hoofdbestuur van sprekers bond deed een onderzoek? in hoeverre dit mogelijk zou zijn. ,Van 5 gemeenten .werd geantwoord, dat onder bepaalde voor,waarden geen principieele bezwaren tegen centralisatie waren. Met andere staat men nog in correspondentie. Enkele antwoordden beslist afwijzend op grond van hun reglement. .Van de groofere plaatsen kwamen dus gunstige antwoorden in; de bezwaren kwamen in hoofdzaak uit de kleinere plaatsen? sQn'danks daf de behoefte zeer sterk werd gevoeld aan de oprichting vaneen centraal werkloozenfoiids, dorst de bond er niet toe overgaan. gegeven de ingekomen antwoorden. Vandaar het ernstig beroep van spr. pp de algemeene vergade- ring om de propaganda in dezen krachtig ter hand te nemen. Na eenige discussie over de vraag öf het iVerbondsbestuur door directen of indirecten invloed (in verbinding stellen mei gemeenteraadsfracties) het doel zal trachten te bereiken? werd het voorstel zonder hoofd* lijke stemming aangenomen. Verder vroeg en verkreeg het bestuur bevoegdheid om een derde gesalarieerde bestuurder aan te stellen. Onderzoek .werd beloofd naar de mogelijkheid om een bureau voor rechtskundige adviezen in te stellen. LTen opzichte van cudsrricms» en invaliditeitsverzekering werd volgende resolutie na inleiding door O udegeest met overname vaneen amendement S tenh u is aangenomen: „De Algemeene Vergadering van het Nederlandsch Verbond van Vakvereenigingen, gehouden op ip, xi en 12 Juni 1912 te Amsterdam, gezien het ontwerp van wet tot verzekering van werklieden tegen geldelijke gevolgen van invaliditeit en ouderdom? betreurt: i°. dat in dit ontwerp de verzekering tegen de geldelijke gevolgen van ouderdom en tegen die van invaliditeit zijn aaneengekoppeld, 2°. dat in Kef ontwerp slechts rekening is gehouden met den uoodstand, waarin weezea verkeeren, terwijl voor den vaak ellendigen toestand, .waarin de weduwen, na den dood van den kostwinner, achter, blijven, geene voorziening wordt getroffen? en is van meening, dat het huidige ontwerp ten eenenmale onvoldoende tegemoet komt aan den nood van oude en invaliede arbeiders en anderzijds den arbeiders lasten oplegt boven hunne draagkracht en buiten verhouding tot de geboden voordeelen. Als voornaamste gebreken zijn aan te merken: a.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
22. La contrainte par corps a pu être prononcée pour dommages-intérêts aux termes de l'article 126 du Code de procédure civile, dans un procès intenté en 1806, et jugé en 1807. Ronstan. C. Pradelle. 12 août 1807. — Cour de cassation. — Rejet. — Cour d'appel de Grenoble (c). 23. — Le créancier qui n'a point observé le délai prescrit par l'article 780 du Code de procédure, entre l'exécution du jugement qui prononce la contrainte par corps, et la signification de ce jugement est passible de dommages-intérêts, sauf son recours contre l'huissier exploitant. C. proc. civ., art. 780 et 1031. Helds. C. Schwing. 20 août 1808. — Cour d'appel séant à Colmar (d). 24. Le propriétaire d'un immeuble hypothéqué, qui, même avant la saisie immobilière, fait des coupes extraordinaires de bois, et commet des dégradations, peut être condamné par corps à des dommages-intérêts envers ses créanciers hypothécaires, comme agissant en fraude de leurs droits. C. N., art. 544. — C. Proc. civ., art. 90, ANAL. Montz. C. Tourton et Ravel. 26 août 1809. — Cour d'appel séant à Paris (e). 25. Sous le Code de procédure, les juges ont la faculté mais ne sont pas tenus de prononcer la contrainte par corps, en matière de dommages-intérêts. C. proc. civ., art. 126. — C. de comm., art. 605, Appt. Schlumberger. C. Benner. 17 mars 1810. —Cour d'appel séant à Colmar (a).
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
XXIil. Non dubium proiade hoc unum fuiffe e Decretis Concilii Tridentini , cui congruit declaratio , & protedatio Cardi- nalis Lotharingiz, tum fuo, tum omnium aliorum Galliae Epifcoporum nomine fafbt coram Patribus Concilii , in ultima ipfius Concilii fc (Tione . “ Cum nudius tertius „ (ait) meam de reformationis articulis „ dicerem feotenciam , prxfatus fnm etiam „ me valde eupere, ut prifea illa Ecclefta* „ dica reditueretur difciplina ; fed cumbis „ corruptiflirois temporibus , & moribus „ inteliigam non poffe ea , quibus maxime „ opus eli, protinus adhiberi remedia, in- „ ierim aflenriri, & probare ea, quz nunc „ funt decreta : non quod ea judicem fatis „ ede ad integram zgrotamis Reipub. Cbri- „ dianz curationem , fed quod fperem his „ prius leoioribus fomentis adhibitis, cum „ graviora medicamenta pati potuerit Ec- „ defia , Pontifices Miximos , & maxime „ D. N. Pium, pro fua indgni pietate & „ prudentia diligenter curaturum , ut ea , „ quz defunt , implens , & efficaciota ia- S s a „ve- id by Google >14 Jus Ecdcjiajlicum Untvttfum. „ veniens remedia, inufum veteribus, jam- „ diu abolitis , revocatis Canonibus , & „ maxime quatuor veterum illorum Con- „ ciliorum , qui , quantum fieri poterit , „ obfervanda efle cenfeo ; vel fi expedire „ vidcb tur , frequentiori ctEtumenicorum „ Conciliorum celebratione , morbum ab „ Ecdefia propulfans , eam fui prirtini „ refiituat fanitati . Hanc autem meam *, mentem, & lentendam, tum meo, cum n omnium Gallia; Epifcoporum numine in „ ada refern volo , &. ut id fiat a Nota- 5, riis peto & pollu Io,,.
[ 0, 0, 2, 0, 0 ]
0
0
2
0
0
Certaines valeurs ont été à prix moment discutées entre hussiers et baisers, et finalement l’avantage est resté aux premiers. L'amélioration a porté principalement, au parquet, sur les Rentes françaises, les banques et les valeurs surrieures. Les indications publiées par le conseil de la Banque nationale de crédit ont permis de constater le heureux développement de cet important établissement de crédit, qui apporte un large concours au commerce et à l’industrie. En coulisse, les pétroles ont été bien traitées, mais les valeurs russes sont plus lourdes. BOURSE DE PARIS LE 11 AVRIL. Français perpétuel 3 %, 56 90; amortissable 3 67 50; 3 %, 87; 5 83 95; 4 67 60; 1918, 67 25; 1920 libérées, 97 75; 6 % lib., 100; 6 lib., 100 05 — Obligation Tunis 1892 3 %, 258 50. — Ville de Paris 1865, 556; 1871, 306; quarts, 91; 1875, 437; 1876, 439; 1892, 218; quarts, 62 50; 1894-1896, 210 50; quarts, 55; 1898, 246; quarts, 64; 1899, 238; demi-parts, 63; 1904, 240; 1905, 310; quarts, 76 25; 2 34 1910, 213 25; demies, 109 50; 1910, 213; quarts, 57; 1912, 200; 1917, 499; remainder, 99; 1919, 500. — Banque de France, 1.454. — Banque d’Algérie. 3.710. — Banque de Paris. 1.455. — Compagnie Algérienne, 1.305. — Comptoir d’Escompte. 972. — Crédit Foncier. 695. — Caisse 1879. 445 50; 1884, 280; 1885, 275 50; cinquièmes, 60; 1895, 279; 1903, 298 25; 1909, 160; 1913, 318; 4 v 1913, 166; 1. 1917, 252. — Coloniale. 1879, 424 50; cinquièmes, 97 75; 1880, 452 50; 1892, 268; 1899, 265 25; 1906, 288; 1912, 158; 1. 1917, 252; 1920 lib., 460; 2 lib., 430; 1921 lib., 489; 2 lib., 486. — Bons Algériens 1888, 95. — Crédit Lyonnais. 1.500. — Crédit Mobilier. 457. — Société Générale. 745. — Banque Française. 260. — Banque Privée. 435. — Crédit Commercial. 670. — Bône-Guelma. 440; ob. 3 %, 264. -Chemin de Fer Economique 3 %. 255. — Est Algérien, 467; ob. 4 %. 260. — Est, 601; ob 3 %, 300 75. — Paris-Lyon-Méditerranée. 789; ob. 3 %, 292 75; jus. aug., 276; fus. nouv., 270; 2 'A %. 206 25. — Midi, 699; Ob. 3 %. 280 — Nord, 901; Ob. 3 %, 302. — Orléans, 781; ob. 3 %, 393. — Ouest ob 3 %. 291. — Ouest Algérien ob. 3 %.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
NKW YORK. October 20 --In *?dte i>f frr< proflt-tHkiiiK by tli- nubile and of an at temi't.-.l raid l>y professional traders. idoeki wore ptror.e at the i'Iosd to-day. with n? v ht'th r> ot ds .howltic In "bout ?????? dO*ei 'l li* market was weak m the morn Inc bei-aus- .if reports that three t'-boals liri. Mill off the American -oa?t. li ?.troiiKtlKr.. .1 in the lut. afternoim. follow tin.- u report from Canada that the -j had been Mink Neither report con ?, s a?Esr.? ?.v. n?'.y . This lit! u re marked an ,l."v Ksk: ?r w. r? tlrin. but did not follow Its li.-.t. r "'other evidence that n 'onB war is in of n?-' s" " 1.KAT11 l.lt >TO? hSVTTI{Arr ATTr.NTION T .-The- toi 1>? attracted much attention j,.,.' ,.. .. t i .... manipulation in both id tip I l.eathcr made a reinarkal'lj K',,i. i -.'i ..ml American llldo ami 1 .eather u -iiaiu... I one Tli. former .stab ,, ? . . hlRh re< ord. with an nd 1 uolnts. while the Utter broke i - .r - points The two! in HMO j t, . ? i . ? tj ( . i.iewtipof the bail o.irnllics V. V wi. - I -'ti" tu?nli>ulatlon of. the ito k 1 Hue with what often has been done In th< came if?ue by the Min# PJJj "i. The ph.- i. will fvrKot the o?> ' "v. . .tit wait Btiroriiter nmonid 'I I',' in- f limit tiiadi* to-day was tj, I I .-}? -if. ill ' ne-.er would folRet the Iismiv: ? it.\ ? 1.nation conducted bv .Mr.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Dans le tableau qui va suivre les indications attribuées à des villes sont empruntées à des taxes officielles; les autres sont tirées de comptes particuliers. Aux chiffres qui évaluent la pension et le salaire en argent, nous ajouterons leur rapport proportionnel, marquant la part faite la nourriture sur l'ensemble du salaire.
[ 0, 0, 0, 0, 0 ]
0
0
0
0
0
Si è domandato quale influenza abbia ciascuno dei due sessi sulla progenitura, e taluno ha formulato delle leggi come questa: che cioè il padre determina i caratteri esterni, la madre i caratteri interni dei figli. Il prof. Ghiselli fa un'asserzione che merita di essere riportata: « Fa d'uopo conoscere » egli dice « qual parte spetta a ciascuno genitore nella conformazione della prole, e su questo riguardo l'esperienza ha stabilito delle regole accettate come principi di scienza nella zootecnia. Lo stallone determina nella prole la forma della metà anteriore del corpo, che si modella a similitudine sua; la madre quella della metà posteriore; la taglia o l'altezza del puledro è dovuta alla madre, l'indole ed il temperamento al padre». Il prof. Ghiselli ammette queste regole come vigenti soltanto nel cavallo; ma anche così limitata, quest'asserzione è forse troppo categorica. Tale opinione è peraltro sostenuta anche dal Berti-Pichat, il quale dice: «D'ordinario la prole, nella statura, nella groppa e altre parti posteriori e nel temperamento, somiglia alla madre più che al padre » e quindi consiglia di non far mai coprire femmine biliose e mal costruite in specie nelle estremità posteriori. Secondo lo stesso Berti-Pichat, circa la produzione della
[ 0, 2, 0, 0, 0 ]
0
2
0
0
0
II , n,0?"r ??HW. Hence NVu 'v' J"' fr?"1 ' ''biiBo and (ho I U \vMM r,fl'Vr ",0 w,'? '"'-mo, . widKnl tho street* confident thai i>i'i0a i si r ,,p '-V.iv ;v;: i" osi-lo iL I* '' V" ho likolv ? , 1 J* Kcr" observation of their ow n home towns r-" Wisss 1 v it" ??remonio.s this year, as far h'-.vo n "?r!,,b,C to 'Io *?? on I v holo . rr fr",n Ibiltlmore ncar?v iftf! i, ",0 !,,r ?""*?Je. and ?' ? Ii?vc been sworn rn ? tompor;,,y ??livri,10M f ?? ? 1 irilrr . ? ' 'I'ltlOU of lllo Pl|h|ic nrsii nixori"1,1''' il,>e "* hImhvo fcMti\ it'io.w .. ha vI' ^'iiV '? "'O "bio proportions. ? IMU.Io.1 s 'io n.oml.o,, ?r I|(, ; ? ?i Pi ofohslona I l.ranch.-s. aro ,,r. int.. Mih.onimitti'o. "i,f u hii ii -???? TI.e S'rM "p '? 1,10 committor 11v , ,l rv wariiiK ilio i,i(,Jur. ,.f u 'Z:Z,X':U;V\'? ^ ?????-?' ,.|u ? '?!, online isitor.s ;,t tt.c .ro iil 1o V ?,,S; '"k'' c-'rr "f :i"> who , '"I'-A'catni, ;lll() Hr|vih<> J||U ? J net loctofj r0 i osor\ o > '??!.. Mi'i la tions. concornine !?<-? i r I n n,i hoai dine-bouses. heretofore. ( l,'u Hd ! b? has hcen profTorcd. hv H crew of roYooto0'." ,V,,,r",,,U,S "f'- rCp. l. ln ' tV n'" roputa Mo Lo1:.
[ 0, 0, 0, 0, 1 ]
0
0
0
0
1
Puede ser sin duda, que cuando sea un astro radian- te en toda la plenitud de su vida, el Brasil haya enve- jecido y sea como uno de esos astros apagados, sin luz, ni atmósfera, al que como la Luna, solo queden sus enhiestas montañas y sus hondos cráteres, para atestiguar las profundas convulsiones de su edad pla- tónica, y sus pálidos y silenciosos valles, como reminis-» cencías de tiempos remotos— mas entre tanto, bien puede él lisonjearse hoy que su enorme masa, ya mas fría y condensada, es la causa de ^kls constantes perturbacio- nes de estos países, sin tener en cambio, nada de rece- lar de ese inmenso cúmulo de vapores caóticos qué constituye la nuestra. — 355 — Raza intelijentísima, aunque físicamente mas débil que la nuestra, ha sabido suplir siempre con la fuerza de la colectividad y la astucia, lo que podría faltarle de enerjia é individualismo,— y ha triunfado siempre sobre nosotros por la intelijencia y el número, que es como en todo tiempo triunfan las especies superiores de las inferiores. Así triunfará siempre. La segunda, pues, de las soluciones que se ofrecen á nuestro porvenir, y cuyas ventajas, inconvenientes y pro- babilidades dejo estudiadas, acaba de verse que si bien es también posible, no es menos improbable que la pri- mera. Solo me resta estudiar lijerámente la tercera solución: nuestra incorporación al Brasil como Provincia cispla- tina. CAPITULO XII Verc^t"ái y Unioa. solución probixbld t^WL XVovincia cisplatina. I La improbabilidad, pues, de que se realice ninguna de las dos soluciones que dejo estudiadas deja por el hecho fuera de toda controversia, que la única solución que ofrece probabilidades de realizarse en época mas ó menos cercana , es nuestra incorporación al Brasil, co- mo Provincia Cisplatina.
[ 3, 0, 0, 0, 2 ]
3
0
0
0
2