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CAPÍTULO V,. .. :
íclio es y puestos ejemplos de la la Sacra Escritura,
resta de decir de los fechos de España , de que en este trac-,
tado se face mención. £1 Rey Don Pedro IV. de Aragón
«oaié^l 8«yno^ Cecilia á los Francesses, porque ovíera
indo de sn suegro €l Rey Monfre, üjo del Emperadikr Don
Fadriqiié;^ pcei6 die,oiloini]£ho ai Papa é desconttJgó-
lo, y dió la conquista del Reyno de Aragón é de Cecilia
«i Rey Felipe ide Francia , porque , lio q[iierla éezar d
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título
Rey no de Cecilia, t^ue decía d Sancto Padre ser de la Igle-
fia. E por esto ei Rey de Francia dispusosse para venir á
facer guerra á Aragón , y tomar el Reyno de Aragoa y
de Cecilia ) mandó pregonar por toda su tierra que á cierw
tó día faessea á él á París á facer alarde. El Rey de J^Uf-
gOD que lo sUpo, fízo apercibir todos los de aa. Reyoo i y
metlósse en ua Castillo llamado Monte de Aragón » f
defendió que no dezassen en él entrar i. oiogiuio, diciendo
qfie el Rey am jurado que no entrasse .ninguno 4 él hasf
ta que oviesse acordado, y. fecho lo que le eompila , > par*
tió muy secretamente con tres hombres , conviene saber
Don Anial de Figueras, que en un rico Mercader muy
conoscido de Francia, iba por Señor, y Don Pelegrin por
Despensero, y Don Pero Martín de Bolea por Cocinero, y
el Rey por Mayordomo. Assi fueron desconocidos basta
que llegaron en París, y fueron á possar en unas cassas do
el Condestable possaba. | [
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Chaque bailliage devrait seul entretenir les bâtiments des justices qui y sont établies. On fait payer à celui de Coutances la construction des bâtiments de la justice de Caen, ainsi que les travaux qui se font à la rivière de cette ville pour son embellissement; cela n'est pas juste, puisque les habitants du bailliage de Coutances n'en retirent aucun produit.
Sur le prétexte que quelques habitants de la Normandie chassent, les seigneurs ont sollicité une ordonnance qui défend à tout roturier, sans exception, d'avoir chez lui aucune arme à feu, à peine de trois mois de prison; par là, des fermiers isolés dans les campagnes sont exposés à être volés; on a vu avec douleur quantité de ces malheureux traînés en prison et subir la peine portée par cette ordonnance encore existante.
Il paraît aux délibérants qu'un seul et même impôt sur tous les biens-fonds du royaume, sans exception, serait avantageux. Ils sont la base de toutes les denrées et du commerce dont le prix augmenterait ou diminuerait en raison des impositions; répartir cet impôt par généralités, bailliages ou élections, et par paroisses, dans lesquelles seraient formées plusieurs classes des terrains dont elles seraient composées; les asseoir au pied, la perche. Le rôle fait serait mis aux mains d'un paroissien receveur, lequel, aidé d'un secondaire, recevrait cette imposition, la porterait à un receveur particulier qui la ferait passer au receveur de la province, et ce dernier dans les coffres du roi; cela serait peu coûteux et les sujets de Sa Majesté seraient libres de leurs biens et commerce.
Les délibérants supplient Messieurs les députés de subvenir à ce qu'ils auraient pu oublier et de faire valoir très-humblement les présentes remontrances et doléances près Sa Majesté.
CAHIER DE LA PAROISSE DE MOGADORX. | [
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À la conclusion du demi-mandat de l'Assemblée dénuée d'opposition, une proximité dille avec le gouvernement sera établie, les forces de l'extrême droite et de la gauche de la France, d'une part, et l'extrême droite de l'Assemblée, d'autre part, formeront comme une enjambée de gymnase dans les parois heureux de l'opposition. C'est un foot pour être écrasé, ils le seront même courageusement, si l'on ne fait rien noir pour éviter la crise ornière d'une guerre. Il faudra trouver une autre solution contre ce mal. M. Françoise précise qu'une situation est évidente et pour prévoir, en même temps, une retirade déferlante de communautés. Il faudra, de toute manière, se mettre d'accord.
À l'extrême droite, Touche et sur divers bancs à l'échelle. Les prononcements de M. Garchery vont sans dire que l'écume de la débattance de la ligne est encore plus catégorique que cela lui coûte de reconnaître. Garchery se repose, d'ailleurs, sur les différences présentes, c'est-à-dire, d'une manière terreur, que la bourgeoisie sera deviner par son pessimisme intérieur, se blesser à contester que les contributions seront et seront reçues. Il a la conviction que rien ne sera fait de véritablement sérieux en l'avenir du corps législatif. L'opposition accuse le gouvernement de l'unison nationale de n'avoir apporté à ce malaise ni le chômage, la réduction des salaires et la vie devenir plus chère. La lutte continue armée dort, voulant enlacer l'extrême droite dans son éhonté. Il en résulte, en effet, que les forces économiques sont formidables, les commissions sur les emprunts, le refus réalisé sur les états issus travaillant pour la guerre. Les banques ont des subventions partout, pour sauver les économies des paysans heureux de leur vermeille, de payer leur concours et le rétablissement. C'est pour elles une étrange immunité fiscale. Quand il s'agit des banques, les brochettes de l'État sont sorties. Il - vivants applaudissements à gauche et à l'extrême gauche.) Pendant ce temps, les petits consommateurs ou producteurs sont écrasés par les banques qui en profitent pour le contrôle de l'État. | [
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Images reproduced by courtesy of the Biblioteca Nazionale Centrale di Firenze. | [
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Da che in mia corte stai
Hai tu veduto mai il Museo di Cupido?
Io lo sogguardo, e rido
Credea, che il vecchio scherzoso fanciullo
Tutte sue brame avesse di gioventù amiche
Non che a serbo tenesse
Anche le cose antiche
Dentro una ricca stanza che di tempio ha sembianza
Guidami, il mio bel Duce
Il oro, che intorno al trono
Mi raddoppiava il giorno:
Ora guarda, e disse, intorno
Guarda, oh servo fedele!
Di sculti marmi, e di dipinte tele
Ecco è il bel loco, dove Amore passeggiava
E guidò il mio mano additò la l'arsa reggia
Cui la Greca tradì sposa infedele:
E quindi il mare e le fuggenti veli
Di Teseo ingrato, e vuoi che sculto io veda
Ninfa che guizza, e ninfa che arboreggia
Imprese tutte di quel Dio crudele
È Amore dipinto in cocchio alto drappeggiato
Con mille uomini e numi in ceppi e in foco
Dinanzi al carro, e il gli urta e confonde
Psiche, che i volanti e il tergo ad Amore
Non è dipinta, Ognuno fa pompa e gioco
De' altrui scorno, il suo ricorda e offende
Ma più liete e gioconde
Cose e più rare io serbo
Disse il garzone superbo
Ciò che pennello dipinse
Ciò che scalpello fece,
Il tuo piede non ritarda;
Rivolgi al vero gli sguardi
Vedi queste due spade
Opera di prisca età?
Furon, diceva Cupido
Di Piramo e di Enea
Su queste, e soggiungeva
Caddero Tisbe e Dido
Del sangue sparso allora
Ecco le stillacidi ancora
E mentre ciò diceva
Quel barbaro rideva
Stavano in un dei lati | [
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Presently espying a certain rising ground, across which
the Arcadians had drawn their outer line of circumvallation,
' See Grote, I/. G. x. 429 foil. ; al. B. c. 364.
^ The port town of Elis. See above, p. 18.
' Cromnus, a township near Megalopolis. See Callisthenes, ap. Athen.
10, p. 452 A. See Schneider's note ad loc.
* Lit. " lochi." See Arnold's note to Thuc. v. 68 ; below, VII. v. 10.
bIc-jV'""'} siege of CROMNUS 219
Archidamus proposed to himself to take it. If he were once
in command of that knoll, the besiegers at its foot would be
forced to retire. Accordingly he set about leading a body of
troops round to the point in question, and during this move-
ment the light infantry in advance of Archidamus, advanc-
ing at the double, caught sight of the Arcadian Eparitoi^
outside the stockade and attacked them, while the cavalry
made an attempt to enforce their attack simultaneously. The •
Arcadians did not swerve : in compact order they waited impass-
ively. The Lacedaemonians charged a second time : a second
time they swerved not, but on the contrary began advancing.
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Ipse igitur etiam hoc loco fuerit de quo Propheta loquitur,
et sane nbsque mendncio constitit vaticinium, Solus enim
de semine David qui eodem nomine cum prisco suo parente
ad sensum sit dictus, quando ex interprelalione ille est ma-
nu potens, judicium et justitiam per suam ipsius doctrinam
omnibus qui essent in lerra nuntiavil, et solus omnium eo
rum qui unqunm fuerint non in parte nliqua orbis regnnvit,
sed in omni prorsus terrn, et solus ut exoriretur juslitia
auctor fuit, quemadmodum de ipso in Psalmo dictum est :
<t Orietur in diebus ejus justitia et abundantia pacis. » Ju-
das aulem atque Israel, qui in diebus illius servandi sunt,
omnes sunt qui illius pietatem ac cultum ex Judaico po-
pulo acceperint, Aposloli ejusdem et Discipuli et Evange-
1 Jcr. xxx. <j — a Zach. vi, 12. — 3 Id. iii, S. — ' Jcr. xxx, 9,
DEMONSTRATIONIS EVANGEUC.E T.ITS. VII. 449
listae, aut etiani omnes qui iu occullo Judaeum vcnimquc
Israel conserveut, emn utiquo qui secundum senlentiam
Dcum videat. « Non cnim qui in apcrto Judaeus cst, inquit
» Apostolas, neque quae in apcrlo in carne est circumcisio,
» sed qui in occulto Judaeus, et circumcisio cordis in spiritu
» non in littcra, cujus laus non cx hominibus, sed cx Dco
» est '. » IIos igitur ex Christi vocationc Judaeum in occullo
et verum Isracl refercnles, alio nomine csse vocandos dicit,
non ulique Judaeos aut Isracl,scd novoquodain praelerhaec.
« Hoc enim, inqu.it, nomen quo vocabit eos Dominus Jo-
» scdecim, » quod ex intcrpretationc cst, qui jusli sunt Dei.
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depuis notre dernière, les arrivages ont un peu augmenté notre approvisionnement mais les affaires ont continué à être limitées, sans grande variation dans les cours, à l'exception de la farine et du riz qui ont été l'objet d'une reprise assez marquée, ajouté que la morue a donné lieu à de belles ventes à haut prix. Farine du froment — Il a été importé 2260 barils de farine française et 168 barils de farine américaine ; les cours raisonnent en hausse. On a vendu à 50 centimes celle de la première origine et à 40 centimes celle de la seconde riz. — 488 sacs importés directement de l'Inde ont été traités à prix secret que l'on suppose être de 80 centimes. Un chargement introduit de St-Pierre-Miquelon, par Raoul-et-Amélie, a trouvé preneur à 36 francs le grand banc et à 25 francs le petit poisson. Il est en outre, arrivé de Yarmouth une cargaison qui a été vendue à 33 francs le grand banc et à 27 francs le petit poisson. ARTICLES DE MARCHÉ — Bougies à 1 franc le paquet, Chandelles à 15 centimes la carte. — Fromage de Gruyère à 2 francs le kilo. — Huile d'olive à 12 francs le pan. — Dito en fût à 1,65 francs le litre. — Lentilles à 70 centimes l'halle. — Riz du Piémont, à 50 francs le kilo. — Sucre raffiné à 1,15 francs le kilo. — Savon à 80 centimes le kilo. — Suif à 13,50 francs la caisse. — Saucissons, délaissés. — Salaisons à 6 francs la caisse. — Sel à 20 francs le houe. — Vermicelle d'Aix à 1 franc le kilo. — Vin à 70 francs à 87 francs la barrique. — Vermouth à 11 francs à 16,25 francs la carafe. — Muscat à 8 francs la carafe. — Raisins, à 3,50 francs le quart de caisse. ARTICLES DU HAVRE.— Biscuits, à 30 francs la caisse. — Beurre, à 50 francs le quart. — Bière à 7,50 francs le pan. — Bougies à 95 centimes le paquet. — Fromages parisiens, à 1,50 francs la carte, Gruyère à 2,20 francs le kilo. — Huile de colza à 1,50 francs le litre; — D'olive à 82 centimes dito; — Oignons, à 20 francs les 100 kilos. — Pommes de terre à 10 francs les 100 kilos. — Sucre raffiné à 1,50 francs le kilo. — Avoine à 13,50 francs le sac; — Son à 6,50 francs dito. — Dattes, dénoyées à 25 francs. | [
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Communication from Dr. U. V. V. V.
Sity, asking for the appointment of a delegate to the first annual meeting of the League to Exposition. The conference is to be held in Washington May 25 and 27. In case he is unable to attend, President Taft has been asked to appoint some member of the faculty of Richmond College to represent that institution.
Arranges the railroad men visitors at the city yesterday were Dr. M. Taliaferro, general agent of the Norfolk and Western, of Lynchburg; S. H. Nol, traveling passenger agent of the Norfolk and Western, of Norfolk.
THIRD DISTRICT TO HOLD PRIMARY ON AUGUST 1
Any Democrat Must Oppose Money to Oppose Money
Before June 1. | [
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Civiele verdediging en vredescalamiteiten 13 708000 127* Civiele verdedigingsvoorbereiding 15622000 waarvan komt ten laste van hoofdstuk VII 6 900000 zodat wordt uitgetrokken 8 722 000 In 1987 aan te gane verplichtingen, die in latere jaren tot betaling zullen leiden 100 000 128* Personeel civiele verdedigingsvoorbereiding 5 321 000 waarvan komt ten laste van hoofdstuk VII 335 000 zodat wordt uitgetrokken 4 986000 Onderafdeling III. Financiering en planning 1 821 585000 129 Ziekenfondsverzekering 1810000000 130 Algemeen Fonds Bijzondere Ziektekosten 6600000 131 Voorschot aan het Algemeen Fonds Bijzondere Ziektekosten ingevolge artikel 80 van de Algemene Wet Bijzondere Ziektekosten Memorie 132 Garantie van rente en aflossing van een gedeelte, pro resto f900000 van een lening pro resto f 1 400 000 aangegaan door de Stichting tot instandhouding van het Centraal Laboratorium van de Bloedtransfusiedienst van het Nederlands Rode Kruisten behoeve van de bouw van een centraal laboratorium Memorie
Art Omschrijving 133 Garantie van rente en aflossing van door de Stichting Revalidatiecentrum 'De Hoogstraat' te Leersum gesloten leningen tot een totaalbedrag van pro resto f6091 000 voor dekking van een deel der kosten van verbouwing en uitbreiding van het huis 'De Hoogstraat' aldaar tot centrum voor medisch inclusief fysio- en arbeidstherapeutische behandeling (revalidatie) van minder-validen 134 Reeds verleende garanties van rente en aflossing van leningen tot een bedrag van pro resto f7 769 000 aangegaan voor bouw of herbouw, herstel en uitbreiding van verpleegen behandelingsinrichtingen 135 Garanties van rente en aflossing van leningen voor bouw of herbouw, herstel en uitbreiding van inrichtingen voor gezondheidszorg In 1987 te verlenen garanties: 670000000 136 Vernieuwingsprojecten Zorg voor geestelijk gehandicapten Onderafdeling IV. | [
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Die sucht, nach einer Stellung, sind, die letzten eigenen Spargroschen oder denen ihrer Verwandten abzuknöpfen. Folgendes Vorkommnis mag zur Warnung dienen: Eine G.m.b.H., mit 20 000 Mk. Kapital, in das Firmenregister eingetragen, sieht sich veranlasst, weitere „Betriebsmittel“ zu beschaffen. Sie hatte bei Beginn ihrer rühmlichen Tätigkeit große Räume gemietet, diese vornehm eingerichtet und mehrere junge Damen und Herren angestellt, die aber wenig oder nichts zu tun hatten. Da kommt dem Geschäftsführer, der sich Direktor nennt, ein leuchtender Gedanke, spielend schnell neue Mittel zu beschaffen. In der Provinz sollen Filialen errichtet werden und dazu sollen junge Leute engagiert werden, die die Leitung übernehmen und ein Gehalt von 200 Mk. und 5 Proz. Provision des Umsatzes erhalten. Für das angebliche Kommissionslager ist sofort, bei Unterzeichnung des raffiniert ausgearbeiteten Vertrages, eine Barsumme von 3500 Mk., die auf Erfordern bis auf 6000 Mk. erhöht werden kann, zu deponieren, aber nicht bei einer Bank als Kaution, sondern als Einlage bei der Gesellschaft, die damit schalten und walten kann, wie es ihr beliebt, und die dem Herausgeber Rechenschaft nicht schuldet. Der Angestellte hat nach dem Vertrage wohl große Pflichte, aber keine Rechte. Geht das Geschäft nicht gut genug, so kann er nach vier Wochen entlassen werden, und wie er dann nach vier Wochen zu seinem Gelde kommt, ist nicht leicht zu beantworten, denn Einreden, um Prozesse hinzuzuziehen, sind wohl feil. Jedenfalls aber gelangt die Gesellschaft zu neuen Betriebsmitteln, wie sie solche sich nicht leichter beschaffen kann, und noch dazu zinsfrei. Gelingt es ihr nur, 10 Dumme zu finden, so hat sie mit einem Schlage spielend 35 000 Mk., die bis auf 60 000 Mark steigen können. Stellungsuchende können nicht dringend genug davor gewarnt werden, auf einen derartigen Bluff einzugehen. Deutsch-Südwestafrikanische Woll-Waren und Produkte. Getreide. Berliner Produktenbörse, 26. Juli. Am Freitag notierte Weizen inländ., ab Bahn und frei Mähren, Roggen inländ., 164,00 - 105,50 ab Bahn und frei Mähren. Hater märkischer, mecklenburgischer, pomm. | [
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Dziennik pozwała nam śledzić za stopniowym
rozwojem idei utworzenia cesarstwa niemieckiego
i podaje ciekawe szczegóły, odnoszące się do jej
nrzeczywistnienia. Giodną uwagi jest pod tym
względem rozmowa Fryderyka z Bismarkiem za
pisana pod datą 14 listopada: „Bismark objawił
chęć załatwienia kwestyi niemieckiej, ale gorli
wie przedstawiał mi trudności, na jakie napotkać
można, i zapytał, jak należy postępować wzglę
dem Niemców południowych, czy życzę so
bie, aby im grozić? „Naturalnie, odrzekłem;
niema żadnego niebezpieczeństwa, wystąpmy sta
nowczo, a przekonasz się pan, że miałem racyę
twierdzić, że nie masz pan jeszcze dostatecznej
świadomości o swej sile“. Bismark stąwiał za
rzuty i dowodził, że w yno dighe tylko
należałoby posunąć się do groźby, yt nie
oględna groźba mogłaby przerzucić południowe
państwa w objęcia austryackię Qtil das jene
Staaten in Oesterreichs Arme treibey. Do
wodził, ża przy objęciu swego urzędu
miał stanowczy zamiar doprowadze
nia do wojny Prus z Austryą, wy
strzegał się tylko zbyt wcześnie mó
wà o tem z królem. wyczekująe od
powiedniej po temu chwili; tak samo i
obecnie zdaniem jego, należy przecz kać pewien
czas, aby, kwestya niemiecka się rozwinęła.
Odparłem na to, że ja, który reprezentuję
przyszłość, nie mogę obojętnie pa
trzeć na takie ociąganie się. Nie ma
potrzeby uciekać się do przemocy: możemy z ca
łym spokojem vczekiwać, czy Bawarya i Wirten
bergia ośmiela się przejśćzna stronę Austryi. Nie
ma nie łatwiejszego, jak przy pomocy zgroma
dzonej tu większości książąt (Rzeszy niemieckiej
przyp. red.), nie tylko ogłosić cesarza niemie
ckiego, ale zezwolić na konstytucyę odpowiada
jącą słuszuym wymaganiom ludu nieinieckiego —
wywarłoby to presyę, której królowie nie mogliby
się oprzeć.
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On paraît être impudent d’en indiquer la condamnée, depuis quarante-huit heures, à clamer une réponse par les mesures les plus extrêmes. D’importants entretiens ont eu lieu hier après-midi à Londres. Les mouvements d’une partie des troupes italiennes s’expliquent par ce fait qu’on va renvoyer très probablement en Libye les vingt mille hommes qui en furent rappelés. Peut-être même ces effectifs seraient-ils renforcés. Enfin, d’autres corps mobilisés le seraient en vue d’assurer la protection de certains points des côtes italiennes les plus exposés. La ville de Naples est l’objet de précautions particulières. — Les informations sont confirmées par la dépêche suivante, en provenance d'Alexandrie. Alexandrie, 28 novembre. — On apprend de très bonne source que les précautions militaires qui viennent d’être prises par le gouvernement italien en Libye ont été notifiées à Sir Samuel Hoare, lequel a reçu M. Corbin, ambassadeur de France, au Foreign Office, et un peu plus tard c’est M. Grandi, ambassadeur d’Italie, qui avait une entrevue avec sir Robert Vansittart, sous-secrétaire d’Etat permanent aux Affaires étrangères. — J. R. Pour la convocation du comité des sanctions Genève, 28 novembre. — M. de Vasconcelos, président du comité de coordination des sanctions, se mettra demain en communication téléphonique avec M. Pierre Laval et avec M. Anthony Eden, au sujet de la date de convocation du comité des Dix-Huit. C’est seulement après avoir consulté notamment les gouvernements britannique et français que M. de Vasconcelos prendra une décision. Dans les milieux de la S.D.N. On ne croit pas que le comité des Dix-Huit puisse utilement être convoqué avant le lundi 9 décembre. Rome espère que M. Laval sera de l'avis contraire. DEVALUATION DE LA LIRE Tokyo, 28 novembre. — Le chargé d’affaires de Grande-Bretagne à Tokyo a demandé hier au gouvernement japonais de faire connaître son attitude et ses intentions exactes à l’égard de la Chine. Aucune réponse n’a encore été faite. Interrogé à ce sujet, un haut fonctionnaire du ministère nippon des Affaires étrangères a déclaré aujourd’hui que le mouvement autonomiste avait été déclenché spontanément par la population des provinces du Nord de la Chine et était une affaire d’ordre intérieur ne concernant que les autorités chinoises. — Par conséquent, a-t-il ajouté, le gouvernement nippon ne saurait s’immiscer dans cette question. Le cardinal Baudrillart restera à Paris. Le maréchal Badoglio en Érythrée Dès son débarquement, il s’est rendu au quartier général d’Asmara pour poursuivre sa politique temporisatrice. (DE NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER. PAR TELEPHONE) Rome, 28 novembre. | [
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Il a été interrogé par le commissaire de police à qui il a déclaré que rien dans ses paroles n’avait été destiné à provoquer l'agression dont il a été victime. Il s’explique l’acte de M. Bo*’1’"u'en admettant chez son as;^ un effet de folie bien compréhensible, puisqu’il était résolu à se tuer un instant après. À la suite de plusieurs pétitions adressées par les habitants et les municipalités de la banlieue, le préfet de police vient de procéder à une réorganisation de la police en banlieue, dont le nombre des agents sera incessamment augmenté. C’est aussi à butte la commune de Courbevoie, qui compte trente-deux agents chargés, outre le service de cette commune, de celui de la Garenne-Colombes, va posséder un poste de police de cinquante agents, ce qui permettra d’assurer plus sérieusement le service de nuit. Désespéré. — Les habitants de la route de Flandre ont été témoins d’un drame navrant. Un convoi funèbre se dirigeait vers le cimetière parisien de Pantin, conduisant à sa dernière demeure une jeune femme de vingt ans, Mme Marguerite Hillig dont le mari, un jeune homme de vingt-et-un ans, était fou de douleur. Soudain, le malheureux, échappant à ceux qui le soutenaient, courut se jeter sous les roues du corbillard qui lui passèrent sur le corps. C’est dans un état lamentable qu’il a été relevé par les membres de sa famille et conduit ensuite à l’hôpital Lariboisière. Pendu. — Le concierge de l’immeuble situé, 4, rue Drevet, M. Emile Brand, âgé de vingt-huit ans, s’est pendu au cordon de sa loge. Le désespéré, qui quelques instants avant de mettre fin à ses jours avait eu une discussion avec sa femme, profita de l'absence de celle-ci pour se suicider. Le commissaire de police a procédé aux constatations. Disparu. — Le 28 août dernier, M. Devine, concierge, 1, rue Garcet, envoyait son fils Maximilien, âgé de douze ans, faire une course dans les environs. L'enfant n’a plus reparu depuis et ses parents sont très inquiets. Maximilien Deviney est vêtu d’un paletot de toile, d’un tablier d’écolier et est nu-tête. Sa taille est de 1 m. 20 environ. Les personnes qui pourraient donner des renseignements sur l’enfant sont priées de les adresser aux parents. G. GUITTY. Dépêches des Départements Accident de mine Savil-Etienne septembre. | [
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SERVICES AT ST. PAUL'S
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Hecm- itm it tin- inoiiiinv >i'i \ i.'0
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wili |ir.*ai-li a .ties of si riinui on "t ilil
l-'aillifl and Modern P'a.-ts" Tho s>-r
iii.his will I..- a- follows. I'. l.i ii;ir\ I.
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The total of these bills is $21,847.88.
Q. Have you examined all these files which I have mentioned ?
A. Yes, sir.
Q. How recently? A. Friday last.
Q. Have you made a careful estimate of the value of them all?
A. i have.
Q. And have you made a detailed statement of what each one
consists of ? A. Yes, sir.
Q. Refer first to those of 1891, first the Comptroller's vault;
the item which on this paper that you have made up is called
"C"; how have you figured the value of them; have you
allowed a profit to the manufacturer ? A. Yes, sir.
Q. Of how much? A. Of about 33J per cent.
Q. Is that a good full profit in that business ? A. Yes, sir.
Q. What is the value of that vault, including that profit? A.
$1,150.
Q. It is charged in the bill at $3,064.40. Refer to the Treas-
ury vault item ? A. Yes, sir.
Q. What is the value of that vault? A. $986.67.
Q. That is charged at $2,897.60? A. Yes, sir.
Q. Now, refer to the vaults which were put in in 1893 and
1894, first to the item A, which went into the Adjutant General's
vault, including the table and all ? A. $1,654.27.
Q. They are charged at $4,021.20 ? A. Yes, sir.
Q. Refer to item B in the Clerk in Chancery's room. What
is the value of that, that Mr. Dickinson spoke of? A. $1,840.67.
Q. That is charged at §5,207.60. Refer to the item D in the
Coruptroller's basement vault. What is the value of that? A.
$1,073.34.
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Prior to the playing of the singles semifinals round, the national Junior nincles championship was decided. Harold A. Throckmorton, winner of the Middle States junior championships, forced Roland Roberts, the Pacific Coast titleholder, and the two youngsters played a hard match, which Throckmorton won, 7-5, 6-4.
The Richmond Grays defeated the All-Stars yesterday morning at Proat Street Park by the score of 11 to 3. The game was a one-sided affair, the Grays pounding the ball for eleven hits and taking advantage of the errors of the All-Stars, were able to put over a easy victory.
The score by Innings: R. H. R. Grays 3 1 0 3 1 1?10 1?
All-Stars 0 0 0 0 0 3? 3 1 1
Patteries: Grays?Whitfield, Dunn, and P. All-Stars?Wahlbauer, Millet, and Pen 7.1 ey.
WINS VICTORIA ROUTE
SLEEP PUNCH IS HANOED
TO BALTIMORE CHALLENGER
Johnny Kilbane's Orphans in Title of
reconstruction Champion Against
George Whitney.
CHICAGO, September 4. In less than eight minutes of actual fighting, Johnny Kilbane, Of Cleveland, spoiled the hopes of George Chaney, of Baltimore, for the world's featherweight championship today. A terrific right smash to Chaney's jaw settled the battle near the end of the third round. The champion's longer reach and greater defensive skill off the spirited fight Chaney began with the sound of the first gong. The leads of the Baltimore lad were blocked easily for the most part by Kilbane, and the champion earned an even break in the first two minutes by his clever defensive tactics. | [
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Hi;i MM ?< ?.M N11> :t Massiv#- t,Mi:trli-rot1
t ta i\ I'liamlo-r Suit, with l-'oli Mitins:;
ami Uo\ Spritins. .Mir foi I 'oor Armour,
I'aipot. tirnainonts. Toilet Wan. ill
UKI?IM i< i.M Nn 4 Walnut Suit, w ith
*iii(ilo Wnlnut Waniiolii'. l-'eallior I'.oil,
||'oathrr I'lllotvs ami Holster, I 'rut: lm-I s,
t'hairs. rtOi-Uers, . to
l-'iiio Hall :itill Si p t'atpots. Kllflicn
Ta l>|es ami t 'Iiairs. ? i o
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MUS, mes vis i jutas, v J * J*"’4» é» **u oui B8* mener, à dater du 22 Juin (par l'une et l'autre voie ses) traversements, V-â. — Le port de Syrie et de Smyrne sont reliés chaque semaine avec Marseille tant à l'aller qu'au retour, tant par la ligne politique de Constantinople et tant par celle de dine. — LIBERTÉ, navigation à vapeur entre MARSEILLE, TUNIS, MALTE, TRIPOLI et bordant SU SA et BEFAX. Anglaise et transpiration par l'eoC lip pour l'ALLEMAGNE. Le vapeur ALLBORA, jete capitale F. Inglott, partira pour les destinations en ligne le mardi menant. Il offre fret et passage. S'adresser à M. L. Stivera, espagnol, rue Breton, 132. VÉRITABLES GRAINS de SANTE ou DOCTORAL FRANCO. Les Pilules, de même selon les âges, depuis 7 ans - le prix entier et les prix selon des purgatives. — Et les rend sens jets, soit en mangeant, — exiger sur celerés bons et sur la santé qui me dit fretin, les ablations ailes de la merde de l'hippopotame : Bien ainsi aller, vite elle à Saint-Étienne. Prix. 5 fr. le toboggan fr. à la fontaine Paria, pharmacie Lerey, 41, rue du Levant-Saint-Aignan —À Marseille, en location libre, dr. M. Abad dr., ph.; fouets. ph.; Théodore d'Éryx ph.—d. 51, école, Geeler jouit ph.—d. Toulon. Lerey, 2 ph. Michel, b.; Belgrand, ph.—d. Ricé. Ferté, b.; Oest, ph. COMPAGNIE INTERNATIONALE DE LA LINE ODESSA-ALEXANDREI DE VAPEURS RÉGULIERS ENTRE MARSEILLE ET LONDRES et entre ces transversées pour Anvers, Rotterdam, Amsterdam et Hambourg. Le vapeur de la ligne principale ODESSA, capitaine Lavdovsky, partira pour les destinations ci-dessus le 10 février au celer. Fret et passage, à MM J. d'Avital et C., 32, rue de la République. Le vapeur et les transbordements permettent de gainer le nord. Le samedi L'orange de l'Allemagne "commence 1 ODESSA ODESSA" pour CONSTANTINOPLE ET ODESSA. Le nouveau vapeur rapide PRINCIPESSA WORONZOV, commandant PH, partira pour CONSTANTINOPLE et ODESSA le 18 février pour fret et passage. S'adresser à M. Ia. Blagov, quartier, m. B. Envoyé. SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DE TRANSPORTS MARITIMES A VAPEUR responsabilité limitée. CAPITAL : 100 MILLIONS. Souscription entre les 5 et 20 de chaque mois. Effetué par l'expérience française de première classe L'ARTOIS. | [
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Riano essere buono, come di cosa ultima. Dico dunque che poi che i Principi sono tanto corrotti dalle male costume e dalla ignoranza, e fanno persuasione di sé stessi, è tanto difficile il dar loro notizia della verità, e indurli alla virtù, e gli uomini con le bugie e adulationi, e con così usi modi cercano d'entrar loro in grazia, il Cortegiano per mezzo di quelle gentile qualità, che gli hanno dato il Conte Ludovico, e Marchese Federico, può facilmente, e deve procurare d'acquistare la benevolenza: e desiderare tanto l'animo del suo Principe, che si faccia adito libero, e sicuro di parlare d'ogni cosa senza essere molestato: e se egli farà tale, come s'è detto, con poca fatica gli verrà fatto; e così potrà aprirgli sempre la verità di tutte le cose con disonestà. Oltre di questo a poco a poco infondergli nell'animo la moderazione, e insegnargli la continenza, la fortezza, la giustizia, la temperanza, facendogli gustare quanta dolcezza sia coperta da quella poca amaritudine, che al primo aspetto s'offre a chi contrappone i vizi, quali sempre sono dannosi, spiacevoli, e accompagnati dalla infamia, e biasimo, così come le virtù sono utili, gioconde, e piene di lode: e a queste eccitarlo con l'esempio dei celebrati Capitani, e d'altri uomini excellenti, ai quali gli antichi usavano di far statuette di bronzo, e di marmo o talvolta d'oro; e collocarle nei luoghi pubblici, così per onore di quegli, come per lo stimolo degli altri, che per una onesta invidia hanno avuto da forzarsi di giungere anche a quella gloria. In questo modo per la via astrada della virtù potrà condurlo, quanto adornandola di fronda ombrosa, e spandole di vaghi fiori, per temperare la noia del faticoso cammino a chi è di forze debili; e ora con musica, ora con armi, e cavalli, ora con versi, ora con ragionamenti d'amore, e con tutti quei modi, che hanno detto questi Signori, tenere continuamente quell'animo occupato in piacereonesto: imprimendogli però sempre (come ho detto) in. | [
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Then her false voice made way, broken with sobs :
' ' O crueller than was ever told in tale,
Or sung in song ! O vainly lavished love ! "
*****
She mused a little, and then clapt her hands
Together with a wailing shriek, and said :
" Stabb'd thro' the heart's affections to the heart !
Seeth'd like the kid in its own mother's milk !
Killed with a word worse than a life of blows !
I thought that he was gentle, being great :
God, that I had loved a smaller man !
1 should have found in him a greater heart.
*****
Farewell ! think kindly of me, for I fear
My fate or fault, omitting gayer youth
For one so old, must be to love you still.
But ere I leave you, let me swear once more
That if I schemed against your peace in this,*
May yon just heaven that darkens o'er me, send
One flash, that, missing all things else, may make
My scheming brain a cinder if I lie. "
* Desiring the charm.
THE ART SCHOOL. 317
Scarce had she ceased, when out of heaven a bolt
(For now the storm was close above them) struck,
Furrowing a giant oak, and javelining
With darted spikes and splinters of the wood
The dark earth round. He raised his eyes, and saw
The tree that shone white-listed thro' the gloom.
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DELL'ANTICO DOMINIO
Cum Dominis (i) Guillelmus, Dei gratia Regis,
opus in Theodorem, Definitorem, Trionis Consulis, Consules Societatum, Resistent artium.
Citis
Il Vescovo Guglielmo degli Uberti, per inveterata tradizione del nostro paese, riferita ancor dal Valfarina nella Vita di Margaritone Pittore, ebbe da Papa Gregorio X. molto denaro acciò, lo ponete alla fabrica della magnifica sua Cattedrale, non ancora terminata; Stimò ello meglio di prevalere per i suoi fini; e gonfio della scolfìa data ai suoi nemici Fiorentini, e Siena l’anno 1188. Quattro miglia lungi d’Arezzo, nel luogo detto la lieve al Tappo, di cui parla Dante al Canto XIII dell’Inferno, radunò un forte esercito di Ghibellini e per la parte del Casentino con loro. | [
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como que una lurba de un guerrero vuu un vestiglo está i-epreaei\-
tada por trM vcct's en un relieve de 1a Catedrul de «sta ciudad qua
perteoeciii al anterior edifirin, pr>r dos veccs en uno do loa capiteles
del claustio de San Cjf;(it drl Vnllés y aiieniiia en otras del aiUiquí-
simo de San Pablo y de la puerta dorada de Poblet. K[i Villat'iancft
del Paiiftdi'g el Drag'^n cu requisito indispensable d<t cualqui>rr fiesta
i> solemnidad, y Temos ya en la protesióo de San Raimundo di: Pe-
ñafort en 1601:
Cena primera
Viu que venía
De c't^nipanyia
Ab avalots
Cinch diablots
Un bell diaráK
Co boca y naa
Llansaha foeh
Balldui uEi puch
Tots sia plogats
Ben enramats
Totsde euets...
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Notizia che l'armata di Piacenza era una città molto devota al Re, e quest'ultima poi tanto vasta da poter ricoverare un'armata di 50 mila uomini, ed anche nutrirli, avendo d'attorno a sé un territorio molto ubertoso e nel quale si sarebbe potuto rinvenire in abbondanza biade, grani, carni e vini; e quindi l'esercito poteva a suo bell'agio rifocillarsi per rimettersi dal languore e dall'abbattimento nel quale le privazioni, le sofferenze, la stanchezza l'avrebbero lasciato. Da Piacenza infatti era breve e libera la strada per Alessandria, naturale base di operazione dell'esercito regio, che avrebbe ricevuto da colà molti rinforzi, e minacciato di fianco Radetzky, le cui masse non potevano non essere molto diradate, costretto come era a dover lasciare presidi nelle varie località percorse dalle sue armate, ed a lasciarne dal più al meno, da Mantova in avanti, tanto sullo stradale di Cremona, come su quello di Brescia, onde tener aperte le sue comunicazioni con l'anzi detta fortezza. La posizione di Piacenza, che forma un triangolo con Alessandria e con Milano, valeva ben meglio da sola che non Peschiera, né Pizzighettone, né Palmanova, né Rocca d'Aiello, né quante altre mai fortezze e castelli; la poca o nessuna perizia in cose di guerra di cui diede saggio i rettori dei nostri destini li fece serbare intatti, nel mentre che dovevano essere e tosto demoliti e smantellati, in modo che non potessero essere mai più riedificati; tanto più se remoti dal centro della monarchia, e se tenuti sprovvisti di vettovaglie e di munizioni, deficienti delle quali altro non sono che mucchi di sassi, e prigioni, anzi tombe dei presidi che vi si rinchiudono, e dei miseri abitanti che vi si rinserrano. | [
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Ici, comme devant la justice criminelle, la mission du médecin est des plus graves, car il s’agit là de la tête d'un homme, et leurs il s’agit de sa liberté, et cela vaut bien qu’on y songe et qu’une décision ne soit pas prise à la légère, sans tous les éléments possibles de contrôle, en un mot, sans que la décision apparaisse à tous comme empreinte de la plus stricte justice, sans qu’il reste la plus petite fissure par où puisse pénétrer le soupçon. Il ne nous appartient pas de nous prononcer sur le cas de Mlle Dourches ; mais il nous est permis de demander si la décision irrévocable prise à son égard est entourée de toutes les garanties désirables. C’est une affaire de conséquences terribles, que l’internement à la légère, dans un asile d’aliénés, de quiconque a encore assez de lucidité pour se rendre compte de sa misère. Que serait-ce donc pour celui qui, en pleine possession de sa raison, s’aperçoit que plus on l'interroge plus il s’enferme, et que le bon sens de ses réponses à l’interrogatoire peut quelquefois passer pour preuve de folie ? Enfin, en admettant que le diagnostic puisse être précis, ne serait-il pas très juste de lui fournir plus d’autorité en le multipliant ? Quand, sur le rapport catégorique d’un seul médecin, on se résout à supprimer la liberté de quiconque, il est permis de trouver que, quelle que soit l’autorité du rapporteur, ce n’est pas suffisant, et que beaucoup plus de précautions seraient désirables. Il faut croire qu’une enquête plus sérieuse, plus entourée des garanties nécessaires, sera faite à ce sujet, et que des raisons majeures seront fournies sur cet internement qui vient de provoquer, dans le public et dans la presse, une légitime émotion. Jean de Nivelle. CHARLES-LOUIS MULLER La grande faucheuse ne ralentit pas sa funèbre besogne. Elle frappe partout et semble en ce moment s’appliquer à faire des vides dans notre Académie des beaux-arts pour y introduire les nouvelles écoles. Les anciens comme les jeunes disparaissent et malheureusement les rangs s’éclaircissent de ceux qui maintenaient à un niveau élevé la gloire de l’école française. | [
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AMERICAN dressmakers
WHICH THE Kerker emoked.
AND MY friend pointed.
TO HIS month.
AND THE first time.
HE HAD to get
A HAIRCUT and share.
AND SAID "Like too"
AND THE barber roared.
AND SAID "You BET."
I USED to ambash them.
HE PRACTICED an hour.
MAKING SIGNS.
IN THE looking glasses.
SO THE French barber.
WOULD UNDERSTAND him.
AND THEN he went in.
when I worked.
IN INDIANAPOLIS.
AND BELLIEVE me.
THEY SATISFY!"
AND WIGGLED his fingers.
THROUGH HIS hair.
IT'S a smoke that talks in
all language and needs no interpreter. Light up a Chesterfield, down deep—and more plainly
your smile will tell the world "They
It's the blend that does P—
and you can't get "Satisfy" any
while except in Chesterfields,
that blend doesn't cost to
20 for 20 cents
AND THE barber grinned.
four small
Satisfy".
AND FINISHED the job.
In air-tight packages.
Also obtainable in round
cases of 50, medium-sized.
for
THEN MY friend thought
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Dekker too, in his most melodious verse, has said :
An innocent to die ; what is it less
But to add angels to heaven's happiness ?
It will be observed that the purely theological note is
never sounded in any of these lyrical outpourings on
the theme of death. The pagan tone which marks
them all, takes strongest pitch, where it is well in
E 2
52 SHAKSPERE'S PREDECESSORS.
keeping with dramatic character, in the last words of
Petronius condemned to suicide by Nero :
It is indeed the last and end of ills !
The gods, before they would let us taste death's joys,
Placed us i' the toil and sorrows of this world.
Because we should perceive the amends and thank them.
Death, the grim knave, but leads you to the door
Where, entered once, all curious pleasures come
To meet and welcome you.
A troop of beauteous ladies, from whose eyes
Love thousand arrows, thousand graces shoots.
Puts forth their fair hands to you and invites
To their green arbours and close-shadowed walks.
Whence banished is the roughness of our years !
Only the west wind blows ; it 's ever spring
And ever summer. There the laden boughs
Offer their tempting burdens to your hand,
Doubtful your eye or taste inviting more.
There every man his own desires enjoys ;
Fair Lucrece lies by lusty Tarquin's side,
And woos him now again to ravish her.
Nor us, though Roman, Lais will refuse ;
To Corinth any man may go. . ..
Mingled with that fair company, shall we
On banks of violets and of hyacinths
Of loves devising sit, and gently sport ;
And all the while melodious music hear.
And poets' songs that music far exceed.
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"I want to a -1- the labor people to
a.sk themsHv er wli.it thr- >11 i out
of war. If we .liter She w :?? r we Will
be compelled to po into it as an ally
of the alio.- w ho h.i\ ?ji-turbe-l o ir
commerce. Sllpt?'?se if we enter the
war, we win. Would that be all.
What is the Issue ' It is the forbidding
of our ships t? ? travel on the high seas.
If we go Into the war w know that
our ships will be he Id up an I that
American live- will l.-ik'n. So if
we enter the war we will go into i'
for something we can't stop And what
will i< profit ynii. what will it profit hu
manity If we oilier l lie conflict':'
I \N SF.TTI.K llll-'KHHKM l>
\\ ri'HOI T l.UINi. TO U AIt
"I am not In favor of pence under any
and all conditions," said Mr. White,
following: "but 1 believe that the na
tions can H'ttb- their differences with
out going to war. We can exercise a
great deal of patience ami avoid that
f.pirit which causes ministers in e'er-,
belligerent country to ask ? tod's bless
ing on their particular brand of s'? ligh
ter. 1 believe In lighting as a last
resort H two men live together and
cannot agree I believe that on* must
correct the error.
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Tunkin occidental. La mitad del reino hácia el occidente. Un obispo
con su coadjutor y dos misioneros clérigos seglares franceses del seminario de
París: 70 sacerdotes del pais: unos 180® cristianos: religión cristiana tolera-
(5) Todos estos vicarios apostólicos son obispos titulares ó in partibus >
inmediatamente sujetos á S. S. y á su tribunal la congregación de Propa-
ganda fide y que los nombra, y á quien cada año deben dar cuenta de su
administración. Aunque su jurisdicción sea delegada tienen privativamente en
sus distritos todas las facultades de los ordinarios: ademas de estos siete hay
ptros tres en la India , esto es , en el Pegú , Malabar y Mogol ; este último
reside en Bombay. En el Tibet hay un prefecto apostólico capuchino , y otro
qn la isla de Java.
(6) De las misiones que en este vicariato tenían los franciscanos españoles,
y que dejaron, ahora cuida el vicario apostólico.
(7) En el año de 1816 administraron el número siguiente de santos sacra-
mentos: bautismos de adultos 270; idem de párvulos 1159; confirmaciones
737; confesiones 11530; comuniones 10831 ; extremaunciones 436; matrimo-
nios 620. Por estar prohibida nuestra santa religión, en China no es fácil ad-
ministrar anualmente los sacramentos á todos los cristianos, pues los misione^
ros están obligados á andar ocultos y administrar de noche. El obispo ad-
ministra como cualquiera simple misionero.
(8) En el año de 1816 administraron el número siguiente de sacramen-
tos: bautismos de adultos 564; idem de párvulos 6742; confirmaciones 567 3;
confesiones *69,801 ; comuniones 150,285 ; extremaunciones 2927 ; matrimo-
nios 1234. Como en Tunkin está tolerada nuestra santa religión pueden los
misioneros administrar con bastante Jibertad;. Los obispos administran coma
cualquiera simple misionero.
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Respondiendo á las observaciones del Dr. Gz. del Valle, ex-
presa el Sr. L, Cowley que la Comision desconoce la existencia
de prescripciones anteriores de las Juntas de Sanidad 0 de Mu-
nicipios referentes al asunto; de lo contrario, hubiera hecho mé-
rito de ellas, —y en cuanto á las del Dr. R. Cowley, hoy es di-
fícil que un buen veterinario desconozca el muermo, y por
otra parte no puede contarse entre nosotros sino con muy pocos
profesores, —de donde la imposibilidad de constituir Consejos
de Hiyiene Veterinaria, al estilo de los que funcionan en
Europa.
El Sr. R. Cowley replica que, ya que estamos en la hora de
legislar, creemos esos Consejos, pues en la Habana no faltan
médicos veterinarios, provistos de sus diplomas respectivos,
que concurrirían con sus conocimientos teóricos y prácticos
para llenar los fines de esa institucion. :
El Dr. Mestre piensa que cuando la Comision ha presentado
y leido su proyecto de Reglamento, no ha sido con el objeto
de que se le acepte de un golpe, sino de que se le discuta ar-
ticulo por artículo, como ha propuesto con razon el Dr. Valle;
317
pero hallándose á la órden del dia otros particulares de que
tratar, él sería de parecer que se dejase para despues aquella
discusion.
El Sr. Melero, Presidente accidental, manifiesta que habién
dose tomado en consideracion el trabajo leido por el Dr. L.
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NO ECLIPSE DA LIBERDADE
Quando ella veiu, com a grande calma
Da força que triumpha, e que perdoa,
Entre estrellas andava, e era tão bôa.
Que o chão em palmas foi-lhe uma só palma.
Chegou, enchendo tudo de su'alma...
Que faz? onde erra agora? em que céos vôa?
Por valle e monte o nome seu não sôa:
Que crime á garra adunca a tem, a empalma?
O infortúnio do tempo, um dia, achou-o;
Viu no monstro a belleza de Antinôo,
No traidor viu o espirito do forte;
E de então, como á flor a gotta d'agua,
Sinto que dobra a minha fronte magua,
Que ódio não turva, ou medo ao exilio e á morte.
— 217 —
OS EVANGELISADORES
Homens de bem Mentis; mas eu vos comprehendo: Vós não fazeis a Deus este cobarde insulto de diminuir-lhe o grande, o mysterioso vulto... Tomo como virtude o vosso crime horrendo. Quasi que vos perdoo, e este preito vos rendo, Que vós sabeis o que ha de ridiculo e estulto Nessa historia de sangue, e nesse immenso culto Que nasceu de Jesus, no Golgotha morrendo... Pode espalhar mais soes sobre o nosso caminho, Nos espinhos da vida arrancar um espinho. Ser Prometheu, e ao céo ir roubar a verdade... Sendo tudo chimera, exceptuando as dores, Por que não lhe deixar um sonho... ó sonhadores, Prendeis assim a um sonho eterno a humanidade... | [
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OBSERVACIONES METEOROLÓGICAS
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Une voix : "C'est juste.
La Gazette : "Vous voyez, M. le président, que vous ne pouvez pas me maintenir la parole. Veuillez ordonner que des perquisitions soient immédiatement faites pour découvrir les perturbateurs. Autrement je ne finirai pas mon discours".
La même voix : "Tant mieux : ce sera autant de gagné pour l'assemblée.
La Gazette : "C'est trop fort : je n'y peux plus tenir.
Dans ce moment on voit l’Étoile s'agiter sur son banc, en criant : "Je le tiens le coupable ! je le tiens !
Le Drapeau blanc, en levant la compresse qui lui couvre les yeux : "C'est étonnant, je ne vois rien !
L’Étoile, toujours en se débattant : "Je vais l'amener au milieu de l'assemblée. Le voyez-vous ! le voyez-vous !
Une foule de voix : "Qu'est-ce donc ?
L’Étoile : "C'est le quart de l'ombre du Pilote T. qui était venue se gîter dans le corps du Pilote C et qui voulait insurger l'assemblée;
Le quart d'ombre : "Je faisais de l'opposition."
Le Pilote C. : "C'est singulier! je ne m'étais pas aperçu que j'étais encore double. Tant mieux ! je ferai doubler ma rente.
Le président avec sévérité, s'adressant au Pilote C. | [
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Au XIXe siècle, l’histoire de la papauté présente un singulier mélange de revers et de grandeur. Sous les pontificats de Pie VII et de Pie VIII, le domaine de l’Église, un moment confisqué par Napoléon Ier, lui est rendu ; mais elle le gouverne mal. Rome se soulève en 1849 contre Pie IX, qui ne peut être rétabli que par une intervention française. En 1867, l’Italie s’empare des États pontificaux : en 1870, ses troupes entrent dans Rome même.
Malgré ces revers, la papauté a vu croître, au point de vue religieux, son autorité. Pie IX a fait définir, en 1847, au concile du Vatican, l’infallibilité pontificale. Le long règne de Léon XIII lui a donné une situation morale respectée entre toutes, même hors du monde catholique. La hiérarchie a été rétablie en Hollande, aux États-Unis et en Angleterre, et le pape a plusieurs fois servi de médiateur ou d'arbitre dans les conflits international. Avec Pie X, l’action de la papauté se limita aux questions religieuses ; elle reprit sous Léon XIII une orientation politique, qu’elle semble devoir conserver avec Pie XI.
papaver [réf.] n. m. Nom scientifique du pavot.
papavéracées |>t!j n. r. pi. famille de dicotylédones dialypétales, ayant pour type le genre pavot.
S. une papavéracée.
papavéraldine n. f. Céloné résultant de l’oxydation de la papavérine.
papavérate n. m. S. de l’acide papavérique.
papavérine n. f. L’un des alcaloïdes de l’opium.
papavérique adj. m. Se dit de l’acide obtenu par oxydation de la papavérine.
papaye [pa-ic] i
Fruit du papayer, A
papayer n. m. Genre de plantes de la famille des caricacées, dont on connaît une vingtaine d’espèces, originaires de l’Amérique tropicale. | [
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II. Non hunc tantum unius vel alterius , fed uni-
verfx Gentis errorem fuifle; diflinguit enim Pon-
tifex Grxcos, antequam jugum ApoHolicx fedis
fubirent, & po ft compofitam cum Latinis pacem;
illos ver&, dicit, ex Latina Ecclefia venientes re-
baptizafle; hos verb non omnes quidem impium il-
lum retinuiffe morem , fed quofdam tantummodo
refratiarios & immorigeros . 111. Illud in Lati-
nos odium furculus fuifle videtur & propago illius
diffenfionis, qux Latinos inter it Grxcos coepit
fub Cerulario ; fub eo aurem Patriarcha fidem Ec-
elefix Grxcx labefatiatam fuifle ^ jam fupra de-
jnonflravimus. Idem ipfe Pontifex in Epift.ad Ept-
fcopos Abbates cgterofque in cruce lignatorum exer-
citu , poflqoam gaudium fuum dc occupata h Chri-
Aianis Conflantinopoli exprcffillct , deinde ei ro-
rem Grxcorum de Spiritu Sai.tio i Patre tantum,
& non a Filio, procedente confutandum aggredi-
tur. Quod ille certe ad commodius aliud tempus
diAulillet, fi error ille non omnium quidem , fed
paucorum tantum fuiflet. Qu d , quod Latinorum
ApologiAx adverfus Grxcos , (icut Grxcorum ad-
verfus Latinos, non tam de Myfleriorum confe-
tiionc in azymo, quim etiam dc procclfionc Spi-
ritus Santii a Patre & Filio defendere ac impugna-
re fementiam nituntm ? Quod argumento eft aper-
tiffimo non minfis obtinui fle palfim apud Grxcos,
ut confetiioni myfleriorum in azymo , quam ut pro.
ceffioni Spiritus Santii iFmo repugnarent . Sed fir-
miora alia argumenta promenda funt. Poitquam-.
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His son, Isaac Shelby, was born near the North Moun-
tain, Maryland, on the eleventh of December, 1750, where
amid the excitements of the Indian wars, he obtained only
the elements of a plain English education. In 177 1, he was
for some time engaged in feeding and herding cattle in the
extensive natural ranges west of the Alleghanies ; and in
the same year, the Shelby connection removed to the Hols-
ton country. In 1774, when the Indians became trouble-
some, Isaac Shelby received the commission of a Lieuten-
412 KING'S MOUNTAIN
ant in the militia at the hands of Colonel William Preston,
the County Lieutenant of Fincastle, and took his seat ;
when his father, who was present, thinking his son had not
shown proper respect in the matter, said to him : " Get up,
you dog }'ou, and make your obeisance to the Colonel " —
whereupon the 3'outhful officer arose, somewhat abashed, and
made the amende honorable. He served with distinction, as
second in command of his father's company, in the memor-
able battle of Point Pleasant, October tenth, 1774, where the
frontier riflemen fought the Shawanoes and allied tribes from
sunrise till sundown, gaining a decisive victor}'. Point Pleas-
ant was then made a garrison, where he remained in service
till July, 1775, when Governor Dunmore ordered the dis-
bandment of those troops, lest they might sj'mpathize with,
and become obedient to the Whig authorities.
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T.A ltf.ANCAUDK — Numéros gagoant* rte la souscription rte» Ands d* l'Instruction i *6 wv ;hc> <ioo 4 tv r.2u :,;,s nos mo tut <vt« tua 7U 7SS Si* SU* S-J7 V74 1046 1071 IMS IKIS llfrt» IV«ta 1VW 12411 t K4 Viilt KiOO 1!47.> lf«7(l lO’.Xl 1084 1770 1W10 uni V07* 7 VIO* 9901 9991 J9ÎU Vit» 94IS 209V 970* 97J1 9891 98,73 9(175 9V4t W4V Lit (’ANKT HA R K — 1-e oonsoll d'admlnlstrslloit du comité d'IntèrêU du «piartler, Juatcmuiit *mu du ca.» d* la faudlta Maurin, qui xe trouve di iaRa deux Jour», avec plustaur* enfants, sans logement et oblige*, malgré l'Inclémeuce rte la température, de camper dehors son» une tenté en haut île la tra vers* du» Aranavaux, croit de sou devoir d'en In former le» autorité'* compétentes, et adresse en même temps un npjH'l jiressaut aux personne» qui pourraient venir en nlrtu, an point de vue du loge ment, U celte famille (ligne d'intérêt A tous le» fKdnt» de vue Le comité se fera un plaisir do ren voi r lo* offve* qui pourraient lut être faite» à re sujet. M ADRAnilF.-VH.LF L'Amicale HoausêJonr. coidlmiant sa série de repré tentations, donnera sa medi prochain, a son siègs, une puMM soirée de gala ii vue Uconcours <Kplusieurs grandes vedettes. IIASSK NKRTHF. ~ Comité d'intérêt* d* quarlier. Réunion générale demain Jeudi, à i» h. 30, au siège. Seront présent» deux délêgiRve de la Confédératton.“SUPER”Bureau * amène, ma Classeurs ù rideaux MAGASIN D’EXPOSITION : PAPETERIE du. PETIT MARSEILLAIS » 48, rue Paradis. Tél. t 81-40Vendredi, Raquel Meller chaulera à VAleazarRaquel Meller. c est la belle créatrice île la l‘laieleira, cl rtrhemio. Mimosa. Au ('Iprluuo. «es chan sons qui ont fait lu tour du monde, Kiiqui-t Muller, c est la chanteuse cspugnoU’ célé bré *l captivante, si merveilleuse jiur la iimuvanlu expression du *««* irait» réflcianl le» Impression» du son Auiu «]u elle pourrait cesser du « tumlc-r ou coin prendrait i nv mimlquu expressive ce que veut conter la chanson qu'elle interprète. Roquet Mol 1er chnniv dan* sa langue matermllu et II n y a. cepundant, pas d'artiste plus IntertiaH(»nale, car son visage exprime de façon *.l par•h'ta la profondeur «tas scullincnl» qui l aglumt du (’Me c*i toujours comprise du tou*. Raquel Mellvr doit a «-es dons exceptionnel» de sensibilité artistique d’avoir èt<V pour quelques nimx «v grand succès, empruntée nu llié.Atre par In clnêm*. | [
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Vere arbiter elegantiarum eft Petronius , quic-
quid Catones contradicant, & bonorummanibus
terendus , licet Hellefpontiaco par fit Priapo,ut
ille cecinit.
I.R. in Confutatione Fabulae Bourdonianae ,
pag. 305-
Primum
GoLDASTI Pnor. ECOMENA.
?ox
Primum illiid innumerumprocedat: Potroniiim
Jofcpiii (.tclitias. Magnum Cane crimcn ; quod
tamcn adeo vcrum cll, ut Jofcplius pollquam nb
hinc annos xxxvir. Valentiac Cavarum illuinau-
dorcm ex membranis Cujacii dcfcriplit , vix unam
paginam illius infpcxerit. Quo modo crgo dcli-
tiac cjus libcr ille facrit, qucm poft tam longin-
quum icmpus rcvifcre dignatus non fit ? Et ta-
mcn cum ifli amphithcatrici latratus non adeo dc-
tcrrent, ut , fi totus Pctronius in niembranis ex-
(laret , pigeret eum dcfcribcre. Si cnira is fcri-
ptor indignus elt , qui tenerae actati conuiiit-
ratur , atnondignus, qui pereat tamen. Qua-
re non objeccrunt Martialem, Catullum , alios,
apud quos
Nomen adejl rebiis , nominibufque pudor ?
Quis vcterum poetarum plus obfcoenitatis , ini-
puritatis , flagitiorum profcirus eft , quam docct
POENITENTIALE BuRCHARni ? QuOt fuUt , qui \-
gnorarent inuha, quae ii)i leguntur, nifi ex ipfo
didicilTcnt ? Ridicula magis , an impudcns con-
tuinclia? Quot polTcnt huc adferri, nifi haec ri-
dcrcmus potius , quam in illis confutandis vel
momentum temporis tcrerc vellemus?
Erycius Puteanus Melcbiori Haimensfeldio Gol-
dajio, feriu amico, S. D.
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2^1 EXEQUIAS DE LA SEaORA DOñA
Mi pluma aquí, quificta, que la Efpada
ci C02X0 coree á (a Canon no diera;
qtic la paísion cü brazos <Ic1 Elogio
há corrido dudofa i la evidencia*
Del ligero Bronzc aátivo vuelo
fas spiaufos aumcre en voz parlera;
-^115 cn-akos. hechos íob íe pcituitc í
a la Fama, ios de la íFatna mcíma¿; -
Htiír del ricfgo quieto; no zozobrar,
, Alítíkr, vquc dcJbii tin^ida navega, .o
conociedo, q?{iemprc SUPERi-UNDAS
u tí. mas fucf£$ Vagel peligros 11c va, '
De Marre fien do en las Efcuclas duras
acordado piincipio, el que no emprendan
coa arrojo violenco los Soldados
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, que no puede Ser eroprcíTa.
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U. sub per l. Ort. bez. Hechtr. 70. sahn. Soschleich zzt vers-riechen schöne ohn. m Löblau, Wild drufferstrasse W, 2., 2 Stuben- Kammer üchr. 850 Mk. 45181 Ochotter. Wo! sinnigen eräumig, kanns-J, r. 880 u. 400 IN per sofort zu denn. Näher. das. Bistrostveg 32 (Alaunplatz), Gartenlx. Ei. Heintmannsjwj sFr.hetzv.St.f.lod·2H-a-Schlaist fo- z- des. Gerberq-31,i.Lad.[-L4190d Sön gellegene Zimmer an Zern zu vermieten Johann eor ensAllee M, 4. r. 12008 Eeere 2fstr. otube 1. Der J« verm. Neubertstr. 2Z,.5. l. 118 9 2 oder 3 leere Zaun-er, Bist-at, mit sep. Eine. von der reppr. Grausesit. S, I» käm« 1. October zu vermieten Nä er. Grunaerstrasse 4, part· 52 Bibl-l. Z. f. 2 H» d 3 Ptt.vroWoch« mit K.,zu neun— Gr. Kirchgasse 28. 2. Ei. 451671 Eck- Schlafstelle zu vermieten Grünenstrasse M. 4. B. 451 Op 2 schöne Schlafzimmer zu vermieten Kurfürstenstrasse 2 , 4. Katzen. ·" « HFSchl ftss f. u Verm. W3Fkl;;ll;enftk. 337 reochtä sc« Weis. Tit-Saales« zivckitbewohn M. zu denn. Näher. Münzplatz Nr. Z, 4Tn b. It. Ventelmeveck 545184 Breibergasse Usptz «« ZFaZJckarEeitetin sind. Schlaf. POPPID 17- s. No cher. 4520 m · kzzåssdkr seh: M.-EYclål«afst. zu verm Näh. Hektelfstka e L, it. r. 10 2 Mschlfsr. fr. äöllnerpl 12, 4. r. Anst- FrL f. 111. frdl Schlafst Mittelfstr. Z, l. urkliardt 260d .-Schlsst« darob- lstsse s. r. ··L31":I"""dck;"""·"ää ·" t·" ·I sikiiskäikskksze ZEIT-IT Ei? L« Mk. ! heulen, «. i. i. .- kskTchöyttffikkrMt zbn IF. Na. Schumannstr IS, I. 45087z Parxcrrg mit "LcjjiHEll it! Dcubkn Esssop gut: I. Januar 1900 zu derart-J» ennriqetvüichh das Grundstück Izu ve an e»n. Gefl- Ofß unter T« 1s8'« il. Marien it. Es. Ladk»n, Wohnung; BOVJZFFLHF ZTFHRHTLFZZJV Fu! Ikilchbätcdler vqssend Stämme m. Wohn- zu Verm. Zu erst. Ell-ZU Burschenstr. 145201 f Tcklsrik-Räume, Z Exp- tlftellem If; t Zell« mit O er- und Seiten Inst. zu vorm. Schumcmmstr. 11. Der I. It. Arbeitsmäckchen sind. dauernde leichte Beschäftigung Stevfmnienst AS, hinkt-gebände- Rofcnarhcitcrittne bei hob. Lohn sofort gesucht von Chor« u. Co» Btumenfahrt Pfisherstrasse 17. 450512 llssussoastsssl’tsust. Gartenarbeitetin sauch m. Kinder gr ein auswärtiges Grundstück ge. ff. unt. ~C 67 Expspgspgålzfc Arlscitsntädmen sxxksgsxgggkgzzs» Esegkssssksssssszsg Zunge Llsckädchcn fü»r au·b. Arbeit fucht Bauer, Hjorsterekstrasse is. s? Lehrmädrliett mit 10 Mk. Unfan snehalt sofort aefuchh A. Simonsobth Waaren haus- Scheffestrnhe w. THE) steck-sites? gute feänekås ge u · a n; ra e , geschäft fur Dantenputz zu werd. wecials 45227 Aufwarh f. d. Vormittagstr. | [
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La charte mentionne la guerre qui éclata entre Henri II et ses enfants, au grand détriment de la Touraine, siège naturel de ces luttes lamentables. Menacée par l'ennemi, toute la population de Champigny s'était réfugiée dans l'église Notre-Dame, espérant être sauvée par la sainteté du lieu. Une nuit la lumière manqua, par la négligence des clercs. Alors la lampe suspendue devant le crucifix s'alluma miraculeusement, à la vue d'un grand nombre de témoins. Ému de ce prodige, Robert de Blois, seigneur de Champigny, voulut que désormais la lampe miraculeuse fût allumée toutes les nuits et fonda des revenus cette intention. Il voulut en outre que tous les habitants présents et futurs de la paroisse fussent serfs de l'église, et il investit de ces droits Odon, prieur de Champigny. Cet événement se passa au temps de l'abbé Henri.
Les habitants de Champigny avaient sans doute de bonnes raisons pour redouter les gens de guerre et il est probable que le pas de ces troupes plus ou moins irrégulières devait être accompagné de pillage et de violences de toute sorte. Aussi les moines de Noyers revendiquaient-ils avec énergie le privilège qui les exemptait du logement militaire. | [
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W ostatnim rozdziale polemicznego dziełka,
rozbiera Sybel politykę ubóstwianego księcia
Bismarcka. Urzędowy historyk stəra się za po
mocą niemałego zasobu djalektyki zbić miano
wicie historjozoficzne badania Delbruecka i
Brandenburga, którzy, opierając się na świeżo
ogłoszonych zapiskach króla rumuńskiego, wyra
żali przypuszczenie, że hrabiemu Bismarckowi
nie było tajnem cd samego początku, jak dalece
jest Francja przeciwną kandydaturze księcia
Leopolda, a przecie popierał ją, upatrując w tem
korzyść Pras, ba, nosząc może w głębi serca
pragnienie wojny z Francją, aby przyspieszyć
zjednoczenie Niemiec. Sybel przyznaje pierwsze,
interpretując atoli odmiennie zapiski króla Ka
rola ramuńskiego: kanclerz, oraz ojciec księcia
Leopolda, uważali Napoleona raczej za przyja
ciela hohenzollerskiego księcia, połączonego z
nim związkami krwi, aniżeli za wroga i ani w | bieżne,
JS R W ANN RR OR ta W 0 W. 4 w «AIC ZA
do prowadzenia ! przybliżenia nie przewidywali wybuchu wojry
z powodu tej właśnie kwestji. Bismarck nie tę
sknił za wojną, pragnął on dłagą praca pokoje
wą w związku celnym zwalczyć partykularysty
czne dążności Niemiec południowych, a w pracy
tej była dlań wojna tylko przeszkodą. Podczas
zatargu nie zmienił swoich poglądów: usiłując
uniknąć wszelkiej bezpotrzebnej prowokacji, po
stawił sobie przecie za zadanie strzedz honoru
Prus. W tem był istotnie niewzruszony; ponis
waż zaś postawa rządu francuskiego stawała się
coraz bardziej wyzywającą, a nadto Gramont i
Ollivier zaalarmowali opinją publiczną w Niem
czech i Francji hałaśiiwemi mówkami w izbie.
więc też wojna wybuchła ze względu na machi
nacje Bismarcka.
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Sie wusst: selbst nicht, wie oft sie diese Zeilen gelesen; sie leuteten: „Seele meines Lebens, die Du für alle Zeit und Ewigkeit, Du wirst Dich nicht von mir wenden wollen, um mich der Einsamkeit und der Trostlosigkeit zu überlassen. Ich habe Strafe verdient, daß ich Dir, Geliebte, verschwieg, was ich hätte sagen sollen, doch so hart: Du hast einmal geäußert, — noch bevor ich Dir meine Liebe gestanden, — Du fändest es fatal, enn Wiwer zu heiraten, Du würdest das niemals tun; Publikations-Organ der sämtlichen Behörden des Kreises. Kreis- und lokalpolizeiliche Verordnungen für den Kreis Gelsenkirchen durch die „Emscher Zeitung“ veröffentlicht. Erlangen aufgrund gesetzlicher Bestimmungen (laut Bekanntmachung Kgl. Regierung zu Arnsberg vom 19. Juli 1895) rechtsverbindliche Kraft für die Kreis-Eingesessenen. Der Kreis umfasst die Bürgermeistereien Gelsenkirchen und Wattenscheid, die Ämter Braubauerschaft, Eickel, Schalke, Ueckendorf, Wanne und Wattenscheid. Telegr. = Adresse: Dienst = Gelsenkirchen. Fernsprech = Anschluss 35. 22. Jahrg. und schließlich auch durch künstliche Herbeiführung des Konkurses an sich gebracht. (Großer Lärm, Raf: Pfu! Raus mit dem Hallunken! Redner verlas einen Brief des Herrn Rittweger, wonach die „Märkische Volkszeitung“ bereits 1890 am Rande des Bankerotts gestanden habe, weshalb er, Rittweger, schon damals versucht habe, eine Gesellschaft mit 100·000 Mk. Kapital zu gründen, wovon 75·000 Mk. bar hätten eingezahlt und 25. 000 Mk. den Verkäufern in Aktien übergeben werden sollen; Dasbach habe mit dem ganzen Kram nichts zu tun gehabt. (Zu rufen: hört! hört!) „Nun aber“, so schloß Redner, „wird die Sache in der Presse so dargestellt, als hätte ich die damaligen Kommanditisten mit 20 bis 25 pct. in minderwertigen Eisenbahnaktien abspeisen wollen". (Lärm und Pfuirufe.) Nach dieser Eröffnungsansprache des Kaplänen Dasbach, die von stürmischem Beifall begleitet wurde, nahm Herr Rittweger das Wort: Direktor Eckes habe behauptet, und diese Behauptungen seien in der „Katholischen Volkszeitung" veröffentlicht worden, Kaplan Dasbach habe vor drei Jahren versucht, die „Märkische Volkszeitung" um billiges Geld an sich zu bringen. | [
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lASEIMLL WAR AGAIN?
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Puissant les bienfaits du plan ne pas tarder davantage à se faire sentir. L'Allemagne présente tout les observateurs, le clou de la réunion était sans conteste la présence de... l'Allemagne. Présence par personnes interposées d’ailleurs, car on n’apercevait nulle trace d'un quelconque Stresemann dans le salon de l’Horloge. Mais les uniformes des généraux Robertson et de Koenig prenaient une importance symbolique considérable. En arrivant, le général Robertson avait d'ailleurs expliqué avec bonne humeur : « Il n’y a aucune raison pour que l'Allemagne ne soit pas intégrée au mécanisme économique que nous construisons. » Le travail allemand est une façon comme une autre pour l’Allemagne de réparer le mal qu’elle a causé. Pas de marché de dupes. DESTÉ à savoir évidemment si cette association plus ou moins directe de l'Allemagne au plan Marshall sera aussi bénéficiaire que les promoteurs de l’idée imaginent. L'Allemagne peut tout aussi bien travailler pour son propre compte et finir par devenir rival plutôt qu'associé. Sur ce point, le général Robertson paraissait cependant rassuré : « N'oubliez pas, disait-il à ceux qui l'interrogeaient, que nous sommes quand même encore en Allemagne pour un petit bout de temps. Le temps de mettre en place un dispositif de sécurité... qui soit aussi un verrou de sûreté susceptible d’être tiré à tous moments. » L'entrevue Bidault-Bevin... Il faut croire pourtant que les paroles du général Robertson n'ont pas apaisé toutes les inquiétudes, et notamment celles de M. Georges Bidault. Car à l'issue de la cérémonie de la signature, M. Bidault s’enferma dans son bureau avec M. Bevin. Quelques instants plus tard, le général de Koenig vint rejoindre les deux interlocuteurs, bientôt suivi du général Robertson. Et les quatre, une fois installés, se mirent à parler sérieusement de l'avenir. Le Parquet poursuit Mme Marthe Richard de ses assiduités. FRANC-TIREUR, le 14 avril 1935. IIHEXTÉ A1 Thierry La Seine et ses mystères — Pap ! Il y a certainement une surprise — Sorenson « lever » absolument porter ses lupans le tien aussi. | [
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VERITABLE TALONS LOUIS XV seront vendus aux prix exceptionnels de : D’ESTOMAC pr ESTOMAC FOIE INTESTIN LOUER magas, et appert g p. 8'adr. *17. rie Médecin, Bœuf, Docteur de Koch Traitement curatif par les PEAU DE COEUR. V. OMNIBUS, II, rue Marié. A LOUER Hôtel, saison Lacroix, 11, avenue ou avenue. Fera, Rayne. Sans porteur et équipé Bel Lmm. commerce libre, bien imagé date im. canton Hong Kong unit, dir., et vendre coutume accept. Conv. pour tout coup un., induire, garage. Affaire inventée pour sa créer situation, sans acheter fonds. Age nos ASTRA. — UROUSSIER REPRESENTANTS de baume articles luxe et utilité, grosses commissions. Pro.. industriel et Commercial, 81 aidé, Marseille. J'ACHÈTE MEUBLES, etc E. MAZET 76, rue des cachots-Caravans-Langue. ASSISTANT INGENIEUR, RAIS-CUBES, ÉCOLE DROIT, SOUS-CONSTRUCTION, BANQUES demandes. Travail assuré toute l'année. Bons salaires. 41, rue des Sablées. Diff. OC et fr. Cavoir lo JOBLIM C A.J. : 3LM JUIN DIMANCHE ET 14 SAMEDI APRÈS-MIDI, importante chez Rives des démarches de 26 et 31 ans, achète conduire autos, se présenter avec références complètes, écrite PILOTES, agence Havas, lieu demandé DON TRAVELEURS CHANTEURS METALLIQUES adresser A Ote du contrat de Matériel de Transport, 2, quai de la bougie, 8, Boulevard-Munich. Les Poudres de Cœur constituent le remède réellement efficace de ces maladies parce que les Poudres de Cœur pratiquent l'ulcère de l'estomac, du rochet et de l’intestin. Elles sont étroitement unies pour rendre utile l'alimentation humaine. Avec les Poudres de Cœur, tous les aliments sucrés ou digérés créent du sang, des forces, de la vigueur et de la vie. Pour soigner avec succès une maladie de l'estomac : gastrite, dyspepsie, gastroduodénite, dysenterie, entérite, gastro-entérite, entité mucique-membranacée, une maladie de seule une maladie de l'estomac d'origine gastro intestinale, pour empêcher sûrement ces maladies de dégénérer en cepaebiens plus graves, prenez, avant ou après chaque repas, un sachet de Poudres de Cœur. Le buLLU à 6 fr. En pharmacie. EXCURSION AUX ÉLEVAGES DES RACES OVINES de L'ILE-DE-FRANCE, du CHATILLONNAIS et de RAmbouillet. La Compagnie des Chemins de fer du Midi a organisé, les 16, 17 et 18 juin dimanche, une excursion aux élevages réputés de l'Ile-France, du Rameaux et de Rambouillet. Dirigée par M. Crard, professeur de zootechnie à l’École Nationale vétérinaire de Toulouse, cette excursion répondait à la double préoccupation suivante de nos éleveurs de races ovines du plat et des coteaux et fc céréales : l'amélioration de l’aptitude à produire la laine. Car la production présente, étant donné l'état actuel, a un intérêt réel. | [
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Chipi roile vaghi di vedere con gli occhi quanto sia fin qui detto in grande gli orecchi, moltreraglielo il Galileo, colui nel primo dei suoi scritti bellissimi Dialoghi del moto, Niccolò, e del critore l'ondeggiate delle corde, il rappresentatore nel dondolare di pendoli, con espresse del verbo del cadere dietro che scorreranno, del dilungarsi, dell'avvicinarsi, del raggiungimento infine accordarsi per ricominciare il suonare iniziale, dopo le risonanze appena viste: come dopo tale vibrazioni le corde, a pendoli proporzionati, tornano dal punto e li trascinano al medesimo punto dal quale erano partite usi a comporre.
Ma non vuole mica procedere (come ben si intende da quel dotto Autore) nelle lunghezze dei pendoli con la misura che si dovrebbero usare alle corde; ne ricava altro che il risultato per cui Ottavia in due pendoli, raddoppiando la misura di essi, già che ella li ha nelle corde duplicandone la lunghezza. | [
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SING. Ma che starò a dire? Quello che sa tutto il mondo, che sotto la cappa del cielo non v'è che un solo Fracasso, il più forte, il più leggiadro e il più invincibile? Le donne sono tutte pazze per te, con ragione: sei così bello! Anche ieri a calle due che mi tirarono per dietro...
Frac. Che ti dissero?
SING. Mi domandò una di loro: "E' lui Achille?" - "Anzi, il suo fratello," risposi io. Allora l'altra: "In fede mia, mi è parso pur bello e gentile; che bel capo di capelli! Fortunale quelle che se lo godono!"
Frac. Ti dissero proprio così?
SING. E per di più mi supplicarono affinché ti menassi quasi a precisione per quella strada.
Frac. (irai! miseria della troppa bellezza!
SING. È una disperazione: mi pregano, mi supplicano, mi scongiurano che gli conceda di poterli vedere, e vogliono che ti conduca da loro, di modo che è impossibile che oggi badassi a' fatti tuoi.
Frac. Mi pare ora che andiamo in piazza per pagare qualche guardia qui, che ho arrolato per il re di Scozia, avendogliene fatto caldissima preghiera: questo giorno penso di darlo tutto a sua Maestà.
SING. Su dunque, moviamoci.
Frac. (con piglio soldatesco). Seguitemi!
Ciò detto per l'ultima volta, la scena alla ribalta al salone, perché Achille non aveva alcun fratello.
ACTVS II.
MILI (GLOMIOVS). — ACTVS 11.
ACTVS II.
MILI mi femmina, questo arrembimento cos'è con me.
Si ad auspicarne vittoria, extra benignità.
Qui anzi l'avviso notte, uscire fuori,
Voi siete dove a destra il cancello s'apre,
Accorrite al fine c'è la causa in quel luogo,
Come spaziosi modo avventurati, stimati
E argomenti e domande volete spiegare.
Al fine Grecia qui in vostro interesse:
Id est, al fine Glohiosi me lo dite.
GLOMIOVS. | [
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U j'Opbátm i» Oveto ^ qat m tu» ; <]iie el territorio co»
el II. por quanto la data -et nombre á& Castilla abrazaba
Eia DCCCXXXVim. (8 39) el VaUe de Mena. Pert> oi ex-
año de 8oi« como afirma Ar- Coiide , ni Prd^c^ £1
gaiz^eolaEacrttiiraque le pa* declarar d Rejr' de . Oviedo
vedó ori^naL - pvudia fiedooliitate^eaOa»':
.30 Pordhi tencvos ood* talkL
da de la Ciudad de ;^/¡r4i
femkmi ^ no mendonada en
los Geógrafos : pero se repite
en otra Escritura de S. Millan,
por haberse anejado i este Mo- del preced«ite nos ofrece el-
nasterio de S. Emeterio de Ta- Car^logo propuesto al Abad
raneo , otro con nombre de
PABLO
31 A los 31. años después
Andrés en el año de 804. y
alli dice Eugenio , su funda-
dor , que el primero fue edi-
lic^ío in Area Paterniani. (Ar-
gaizTom. 6. p. S570 Sábese
Pahio , que como el prece-
dente ascendió á la dignidad
de Obispo : Paulus Abbas &
Epsscopus Era 840. (año 802.)
sin que tengamos otra noticia
mas que la referida delCata-
tambiea por la primera Escri- logo, como en. el prec^em^
C A P IT ü LO IX..
PRINCIPIO DE LA SfiDE.DB VAJUPUESTA
JUAN I.
f^ma en el ano SOf, m
W 844*
' * TV/TEncfona este Prelada.
ÍtX Sandoval en los cip^.
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ten Iis jrete auf baä freie gelb fegt. i!JturIict> bleibt auet ron ibncn b;c 'IX'elirj.ll i:i ^cn Statten jurücf, weil ^in für ebt« liefen unb unc^rlicben i!ebcn£unterbalt mehr }U t)offtn is, ali in £iHfern. Diefe unglücfliebe Völkerschaften ber uniformirtea Proletarier vermutlich ^äf soaait^ ia bca Gtibten in <|uobratif(ben ii^erbdltnifTcn, UcbetbM ffnb bic «er^ltatfmäQig «»cnigen groM Statt. ^uglanbt noif in oiel ^i^rem (Srabe bic (Stntralpuaftt b«r ^rcoin^en, all in ben übrigen etiro)>jif(bcn Sinbern, »efl aud; in bicfer Schiebung (wie in ber bürgcrlict^cn (SefeOfebaft) ber 3Rittelflanb, bie «Dlittelfiätte, sebUn, 9?ur bie Cfifeeprcwn-, n.ictflbem i>oUn, haben tcren aufjuweifen; im übrigen SiuS* Unb iiob AHi^ btcjcaigcB Gt^btc, tul^^ut Siniao^ncr^t a«ft
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STOittflftiibte ^ti fem fdxincn, ifarem 8rtin Rod) ni({>tt «IS t)erflr6§fr(e iCi^tfcr. Inä ^c^ grö§«rn (Statten «Ifo, nidjl Pom glad)Ian^, au« (cm ^Tolcianat, nicbt au6 btr £citKi0(nfd)äf(, out ^fr intuflrifOcn, ni^t aus ttr bäutrti^ta Bcvlltmmg »irb in !KuOI>)n6 foiiolr, M< fMi«lr«liti6f« SlMoUitjoii raip«rM4)f<n. 6rß mtm bic fociji< tIrMfatto« f tligiMe Cfrufstc brnrngcifeca hnn fh uMV^ tint raf(t( 9Beittrt<(rbrdttlll9 im Solfr fintfit. Grit nacbbtn bi« tHo i<c(ution einen t>onf»m«tn rosuilTtli^üfrii Qbaraflrr angcnemmcn liiU, n>irb ibr Uebrrgang inS Dolicifdjc iSraMum gerc.ft fein. Ifbcr tnö ^!<('> ^IlfS femmt, btbarf rS ein« noch untefiimmten 3fit, l'iD.iif tine* ^(r(jnwa(tifen& tcr vrotctJtifct»en unt ]>miv( rtfiii'ct<(n iuflänte ju einer ^ittt, totliit oor(er|ianO nc<$ nirgentS au9er in etn]elnen SrabttMiOl |}><(r6burg$, 9)2oefau'6, £tictKd, Saif^AB'A tiBO Riga't '«rriMtt W> — UtbrrbtcS iwb«rf ti atK>|> tto^b f imf 4Mr(rt«tcl. tosn Stttofcii* nit dftrncni €^j#)ittr (crtrctt, gloubcn wir nid^t an bicStftgUl^fril dux fU^ lvcUanl> breitentcn ruffifdien dteocdition. | [
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Nihilominus Auguftinus , dum fe fe
Semipelagianis opponit , in ahud extre-
mum manifefte inclinat, docecque difere-
tionem hominum faluandorum a noii
faluandis, & credentium a non credenti-
bus habere primam radicem, & originem
in fola voluntate , mifericordia Dei ,
hac ratione intelligit didiim effe a Paulo,
^uis enim te difeernit^ (fi non efi volentis.,
neque currentis , fed ‘Vei mijerentis. Non
enim dixit Paulus ,non eft volentis fua
virtute , vel ablque auxilio gratise , fed
fimpliciter non en volentis. Et in hocpu°
tat Auguftinus maxime commendari gra-
tiam Dei circa eos, qui faluantur , bL bene
operantur. Et ad hanc gratiam explican-
dam confiderauit.Deum ex certa prxfcie-
da prseparafle quibufdam hominibus au-
xilia congrua, & profutura , aliis vero non
prEcparafie. Et hanc prreparationem ait
eife ex fola mifericordia , & gratia , iiec
poffe habere fundamentum in voluntate
hominis, non folum operante fuis viribus,
vt dicebant Semipelagiani , verum etiam
neque vt cooperante auxilio Dei ,quia vc
cooperetur , debet pr^eueniri auxilio con-
gruo, e]uod procedit ex folo beneplacito,
ac propofito Dei , quo decreuit , vt ho-
mo eftet fandfus , pcenitens , credens,
vel quid fimile. H^ec eft mens Augu-
ftini dido libro de prxdeftinatione San-
dor. pi-refertim a capite decimoquinto
ad deciraumodauum , & libro de Bo-
no perfeueraiatise capite odauo , deci-
motertio , 6c fcquentibus eftquc
veriflima fententia , vc
- latius videbimus alibi
tradando dc caufa
pr^edeftinationis.
T 4 Cap,
224 vera intelligentia
Capvt XXXV.
De argumento fumpto ex dono ^er-
Jetterantia ^ ex libris Augujiini de
bono perfeuerantiie ^ de correptione
^atia.
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' wURkr biffdi llnfMRbai», <— fogU er p«<taW, .ml 1^ 9fRai
mit mcim f» fi^ MiWibcieB Snfii^ttn nii^t »oU ftfül«.'*
JBantM bcm W«r i^rt gleii^gadtgc «RMMt mMr
:a3atei WitnMl« unfere fSerbinbung, gern necbc 14 MfMfWR fßo,
in b«m frob«« Qcriangen, ®it, Qonftn 3oft)>b di IDiitttn ia w^am
8unbe ton maniben ^rrl^&rmem idifen. — 3BoIIen ®ic Ri^k
länger vtrrocilen ?" fragte jie, od er Mn feinem ^Ut^t aufflanb.
Xit 99<»egung toai unwiaifirli^ gcwtfe»- ber ptfb-
lii^e @4re(t über biefe offene ^vCUtung, »di^er ben jungen 9)lanR
m attjri^lete.
©0 weit war er in einer »itunbe gelangt, ifiit bürren 3B«t«
ten fagte fit i^n, tag er n^iHFi^muicii jei, aber fo (cdcn(i>i3 ru^ij),
aU fei er eine ber »trgilbten tcpfiofen 9i«ten in bem alten 'üui^t,
•»f »d^t« fie ibrc ^anb flfibte.
(St tnl((^u[bi5.te fK^ Pcttttiib, bag et ©riefe ju fdjreiben unb
einigt <8«id;a[Cc ob^ut^un ^abc.
«Sann Ummu &t wicbn, iobalb ba &ti& &u boin Utibt'V
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^fitlUK, M( fracnnilti« il> Sdii^ am Kh^k iß, »ctcx ik 9?r<
rr^Mtgimg no4 Mr 1«> tqinitne fQt 6«(l)r tn gccu
^ »4« Sott in fni>ccn, JH InhiMii mt CrfeliK |i rnltgen.
tDflf Cftnp«{)omt fn taffcl UMcinrc kit »8««" mM*
«nter Ctttcttc" uiroKnrHfttK IMlcfi^, Wt riaif tiKn SoHUKcf ««*
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tottttoMtm, vn» »ciin fk «» 3"«"?» »cifajfun* «M 18SI
jff*rlr{-fii fln>, ni<Dt an ^ic «trcfff gflanjrn jii U|f(a.
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As I have stated in other places in my writings, the
people in Utah who professed the Mormon religion were
at and for some time before the Mountain Meadows
massacre full of wildfire and zeal, anxious to do some-
thing to build up the Kingdom of God on earth and
waste the enemies of the Mormon religion. At that
time it was a common thing for small bands of people
on their way from California to pass through Cedar
City. Many of these people were killed. When a Gen-
tile came into a town he was looked upon with suspicion,
and most of the people considered every stranger a spy
from the United States army. The killing of Gentiles
was a means of grace and a virtuous deed. I remember
an affair that took place at the old distillery in Cedar
City, just before the massacre.
Three men came to Cedar City one evening ; they were
poor, and much worn by their long journey. They
were on their way to California. The authorities be-
lieved they were dangerous men; that they were spies
from Johnston's army ; and ordered the Danites to devise
a plan to put them out of the way, decently and in
order.
That the will of God might be done, these men were
coaxed to go to the old distillery and take a drink.
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L'emploi des alcooliques à haute dose, jusqu'à produire une ivresse profonde, paraît avoir combattu avec succès les acides consécutifs de la morsure des serpents venimeux, aux îles Philippines, au Brésil. L'alcool est la base des liqueurs d'agrément, excipient des extraits d'odeur des parfumeurs. Dans des arts, ses emplois sont nombreux. Concentré à 92°, et dans les proportions de 75 parties pour 25 d'essence de térébenthine, il constitue le liquide pour l'éclairage désigné sous le nom d'hydrogène ou gaz liquide.
ALCOOMÉTRIE. — On constate le plus ordinairement la force d'un alcool à l'aide d'alcoomètres ; l'alcoomètre pèse-esprit de Baume n'est plus employé ; celui de Cartier l'est encore beaucoup, mais il fait place de plus en plus à celui de Gay-Lussac, ou alcoomètre centésimal, qui est en effet plus rationnel. C'est aussi l'alcoomètre légal.
Dans l'alcoomètre centésimal, l'échelle est divisée en 100 degrés inégaux de longueur ; le zéro répond à l'eau pure, et le nombre 100 à l'alcool absolu. Chaque degré intermédiaire indique en centièmes la quantité d'alcool absolu renfermée dans la liqueur essayée : un liquide dans lequel il marque 60° contient en volume 40 parties d'eau. L'alcoomètre de Cartier marque 10 dans l'eau pure, et 44,2 dans l'alcool absolu.
Voici la concordance de l'alcoomètre centésimal avec celui de Cartier, la densité et la composition en centièmes (poids) de l'alcool à titrer :
°/.o EN ÏOIDS CENTÉSIMALS — ALCOOL. EAU. | [
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Dès l’approbation définitive et l’inscription au Journal officiel de notre amicale, nous ferons parvenir aux membres actifs leurs cartes définitives et tiendrons à la disposition de toutes les personnes s’intéressant au sort des mutilés de la guerre des cartes de membre honoraires et de membres « Hronneur ». Nous osons espérer que nombreux seront ceux qui nous témoigneront leur sympathie. — Les camarades adhérant à la société et cherchant une situation civile peuvent déjà s’adresser à nous en nous faisant connaître leur condition physique et leurs aptitudes spéciales. Nous prions aussi les personnes susceptibles d’employer des réformés de penser, le cas échéant, à notre groupement. Pour renseignements, s’adresser à M. L. Babas, trésorier, café Européen, place d’Armes. (Timbre pour réponse.) G. M. N. B. — Prière aux membres du bureau de se réunir dimanche, à 10 h., café Rabus. L’Appui belge, œuvre française de secours aux militaires belges, serait reconnaissante de toute inscription qui lui permettrait de donner une correspondante à chacun des nombreux soldats s’adressant dans ce but à l’œuvre. Il s’agit uniquement de procurer à ces exilés le réconfort moral de la lettre amie, remplaçant celle de la famille dont ils n’ont plus aucune nouvelle depuis de longs mois. S’adresser à la Section des correspondants, Appui belge, pavillon de Flore, palais Au Louvre, Paris. Echos LES BRAVES L’adjudant Auguste Mougenot, du 27e d’infanterie, a été cité à l’ordre du corps d’armée : « Au cours d’une attaque, le 1er juillet 1916, étant débordé sur sa gauche, et sous un feu violent, a mis une pièce en batterie sur le terre-plein et a réussi, par son initiative, à enrayer l’attaque sur ce point » A été nommé sous-lieutenant et décoré de la croix de guerre. Nos félicitations à ce brave. LA QUESTION DU LAIT A Chalon-sur-Saône, M. Biaggi, commissaire de police, vient de faire appeler à son bureau un certain nombre de laitiers de la ville pour les interroger sur les motifs qui leur ont fait mettre le lait à 40 fr. 30 au lieu de 25 fr. Ces interrogatoires ont eu lieu sur l’ordre de la police judiciaire, qui cherche à savoir s'il y a eu entente pour augmenter le prix du lait. Si l’entente est reconnue, il y aura poursuite devant le tribunal. | [
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action à ce qu’on abolît la forme populaire de son gouvernement, dans lequel chaque actionnaire avait une voix, pour soumettre une colonie dont les intérêts étaient les leurs, au despotisme d’une petite junte absolument dépendante du roi. Ni les promesses ni les menaces ne purent les engager à se départir de leur refus; et, dans une assemblée générale, la demande du roi fut rejetée d’une voix unanime, et la résolution prise de défendre jusqu’à l’extrémité des droits appuyés sur une charte, si on pouvait les mettre en question devant une cour de justice. Jacques, blessé au vif de leur audace à s’opposer à sa volonté, fit expédier un ordre de quittance, en vertu duquel la validité de la charte de la compagnie devait être jugée dans la cour du banc du roi ; et dans la vue de rassembler de nouvelles preuves de sa mauvaise administration, il envoya des personnes de confiance en Virginie pour y examiner l’état de la colonie, et rechercher la conduite de la compagnie et celle de ses officiers dans ce pays. Le procès intenté par-devant le tribunal du banc du roi ne fut pas long. Il fut terminé, comme il était ordinaire sous ce règne, par une décision parfaitement conforme au désir du monarque. La charte fut annulée, la compagnie dissoute, et tous les droits et privilèges qu’elle conférait, remis à la couronne de qui ils émanaient. Quelques écrivains, et en particulier Stith, le plus éclairé et le mieux instruit des historiens de la Virginie, parlent de la dissolution de la compagnie comme de l’événement le plus désastreux pour la colonie elle-même. Animés pour la liberté de cette passion commune dans un siècle où les principes en étaient mieux connus que sous le règne de Jacques, ces écrivains ont vu le procédé arbitraire de ce prince avec une si grande indignation, que leur horreur pour les moyens les a rendus incapables de juger le but avec discernement et avec candeur. Il n’y a peut-être aucun moyen de gouverner une colonie naissante plus ennemi de sa liberté, que la domination d’une compagnie privilégiée, revêtue de tous les pouvoirs que Jacques lui-même avait conférés à la compagnie des aventuriers de Virginie. Pendant longues années, les colons purent difficilement se regarder autrement que comme des Chalmer, p. 62. | [
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b. t^on J^im^ II. %ott So^atin«. ia5
mtben i>on naA iiii^ Üe% ouft ^em itaabe dt|«9t ^''); ^
^tte er ^um bcutfd;c Jgjdretifec |tr @unflen bec Äi'rd)c burcf>
J^unger unbSt<ü(tc umfommen (affm^*): iH^oj^U^kr für @taat
11115 SBotf wucbe <f 5tti^ ante einri^twi^ii i» de« £atea«
^crt(f;ten«
g{u5(( ted Siniddftofei (curia regia) M £anb iereifen iiiid
©crid^t ^egm foOten, woc abgcfommcn; ^>cinrid; II. ilcürc fic ^.
^ct 1176 ouf Um ^cid^ötage. SU Oiotting^am^*); <;^ii0teiid
»urbe in fec^ @^erid>tö^eMrf e set^eUt unb f&r (eben 90ti
btcfen breiÜlic^ter (justiciariiitineranteö, justices in eyre)
oU ^kUwiutu M ^ibni^^ofU bi^mmt, aof bem IRiic^tege
mS&iabfoc 1179 aber ^itBat^t beriBe^iffe auf vier »emmibcrt
unb für einen ocn hkfm \'cd)i , füc lic anbcrn brci aUt finf
^tcf^Ur an^eorenet/')« 36r m^^Wto^, bur(^ eine Sn«
fhoctton J&etmi(j^ lefUimiit '^^) ^ reid;te Mer M ti^tti^
mannf((^ft tu beforae«/ bie fianbgcagen in JOiboiina §0
ten^Of |>o(teeit!(^ dKaßregetn §u nehmen ^ $. 93. auf
Srcmbe oc^Un* 3n :i3ttbinöung bamit jlanb ein 1170
gedebene^igefet be^^inia^dedea^^cpieffunden unbiDUdbr^uc^e
ter ©^ertfS. . £>ur^ bie S^tagna (E^arta wvcbe bie Seit [bec
@m4)(6()e^uni3 jener Suftitiatien fcft bellimmt^'^)»
00 »utbe^erfieOana a^f^^ic^^n®^^'^«^^ d^d^ Un6t(beii/
. bie ao6 CMUimnig unb Sßiflfu^c ^er\>orsingen^ benen \\x Vi^vX,
bie bi^kt nicC;t |u bem ^6nid$^ofe Ratten gelangen f6nnen ; t%
fdOt iß bieStuaen/ bag tnibefonbere bie^ac^fen bejfen bebüifda
60) Henry 6 , 79. 61) ^itt«n0C[c^. 1, 120. 0t. IM. *
. 62) g){,{aip6 2, 51.
63) SBetf. a. £). SSknct; 23cUt. ®efc^. b. Snquißtujnlprou 241 f.
64) JDfrf. 2 , 53. 77; 80. Lingard 2, 404.
öjj i^tjiUi^d 2/248. ' 66) Ätt. 17.
9
186 3« Mifc^en Snfdii.
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Le jour, pour les examiner, n'est pas trfes heureux,
et le temps les mine, les efface en partie comme s'ili
voulait cacher a nos gouts trop d^licats et si fermes
au surnaturel, les ^tranges horreurs qui sont depein-
tes, enumer^es sur-ce stuc qui s'effrite et dans les-
regions sauves, noircit. Sur un fond mort, des foi'-
mes inquietantes se profilent, des monstres surgis-
sent jetant I'epouvante, des animaux prodigieux a
plusieurs gueules vomissant des flammes, aux ailes
armees de pointes ac^rees, se tordent, se dressent,
vont bondir sur une femme qui, cependant, ne
s'apeure point et qu'un enfant, debout sur un nuage,
semble garder. Des hommes nus avec des ailes de
chauves-souris, coiff^s de comes, se battant les
flancs d'une queue, grin^ant furieusement des dents,
font des sarabandes infernales, poussent des hurle-
ments sinistres, brandissent des verges et manipulent
la pauvre femme dans leurs mains crochues, la bous-
culant, la precipitant sur des cadavres et des sque-
lettes hideux. On se demanderait si c'est la un reve-
de legende ou une epopee mysterieuse de fantasti-
que personnage des anciennes theogonies. Or, si Ton
s'en rapporte aux r^cits des chroniqueurs de Fi'an-
coise, ce n'est que de la r^alite traduite, c'est un
detail de la physionomie de cette femme ^tonuanle qui
eut a supporter, — comme d'ailleurs d'autres saints,
des hommes ordinairement — , de terribles batailles
avec le Mauvais. II se pr^senta a elle sous les aspects-
224 DANS LA I.UMIERE DE ROME
les plus repugnants d'homme ou de bete ; elle le vit
lion, serpent, agneau, pourceau, puis humble moine,
frfere mendiant, et la comblant de promesses all(5-
chantes, ou la torturant de violences inouies. Sos
oraisons en etaient troubl6es el ses nuits ne lui don-
naient^lus de repos.
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Zu der vorerwähnten dem heil. Pancratius geweihten
Kirche führt eine seitwärts zur Linken der Via Aurelia ge-
legene Stralse, die den Namen Via Vitellia von einer römi-
schen Familie erhielt, auf deren Veranstaltung sie vermuth-
lich angelegt oder erneuert wurde. Nach dem Bericht des
Anastasıus wurde jene Kirche von Symmachus (498—51#)
erbaut, und dann zwischen den Jahren 625—628 ein neuer
Bau derselben von Honorius I unternommen. Von dieser
Kirche ging Pelagius I in Begleitung des Narses, des berühmten
Feldherrn Justinians, in feierlicher Procession nach der Pcters-
kirche, wo er durch einen Eidschwur seine Unschuld an dem
Tode seines Vorgängers Vigilius bekräftigte, und Gregor der
Grofse hielt in derselben seine siebenundzwanzigste Homilie
über die Evangelien an dem den 12 Mai gefeierten Feste des
heil. Pancratius, der nach der Legende hier in der Christen-
verfolgung des Diocletian im Alter von vierzehn Jahren den
Märtyrertod erlitt und daselbst begraben wurde. Leo X
erhob sie zum Titel eines Cardinalpriesters im Jahre 1517,
und 1609 unternahm der Cardinal Lodovico Torres eine Er-
neuerung ihres Gebäudes. Nach der Verwüstung, die sie
zur Zeit der französischen Revolution erlitt, ist sie ım
Pontificate Pius VII abermals erneuert worden.
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Daladier reçut l'important message suivant : « À mon retour à Londres, je désire exprimer ma reconnaissance pour notre aide et pour notre coopération loyale durant les récentes journées ainsi que mon admiration pour le courage et la dignité rarement évoqués. Tels sont les soldats qui luttent aujourd'hui, concentrés, leur attention sur la décarrière, orphelins d'une personne. Il ne s'agit pas de l'Italie. Voilà les soldats qui luttent aujourd'hui, unis, confondus presque en un seul front germano-britannique signé par Hitler. Il ne s'agit de Mussolini. Toutefois, reconnaissez même idéal (dit-on) en tout cas pour une chambre à Munich, vendredi matin, plus que les mesures édictées en Italie même pour la cause. Comment concevoir que ces organes officiels afin que cette déclaration trie le Chancelier allemand et moi même dans le sens signé hier nous avons eu accord pour reconnaître les locaux contre les Israélites sont moins absolus que ceux de Berlin, où l'honneur est nullement touché. Tant aux religieuses unies dans le même désir de maintenir la paix par les consultations américaines sur la rage de s'ailler contre la grève orientale, on ne saurait reconnaître contre les autres dans notre, parmi la masse des Juifs, ceux que l'on pourrait, également tant au point de vue militaire qu’au point de vue scientifique et artistique, se seront distingués. Sans doute, mais en un pays infecté par la clé du mal, ceux de tous les pays. | [
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Un dubbio per avventura potrebbe forse gergeri in animo, Ascoltatori; per quale causa si nominino forse gli Amorrei, mentre appaiono pure, che siano le dazioni, le quali per le loro colpe furono da Dio sbandeggiate da quella terra. Un ne adduce il Perseo, la quale io sento tra l'altro, sia perché panno è l’altra la principale, sia perché mi apre l’accesso ad una moralità necertaia, che non può mai inculcare balzavolmente. Erano gli Amorrei per la grandezza del corpo, per la fierezza dell’animo, per l’abbondanza delle ricchezze, e per la moltitudine della gente il primo popolo di quel paese, e d’infra gli altri il più celebre, e il più ragguardevole, si con le loro colpe erano stati di scandalo agli altri popoli; ed a scegliere gli avevano tratto col loro esempio. Così quindi, coscritti principalmente erano un peso insopportabile alla pazienza di Dio; e delle loro scelleraggini di tale conto ne ebbe più fatto il Santo Cielo. Quando lo scandalo loro fu giunto al colmo, Dio per punire la terra, abbandonò gli spadi, e alle sacerdozze del popolo israelitico. E certamente, o Cristiani, non può negarlo, che non sia quello un peccato, il quale sfaccia, a nostro modo di dire, ed opprime la misericordia infinita del nostro Dio. Udite, come egli parla per bocca del suo Profeta: "Impinse battezza vinum... Ecco gli dico: odiate il vino!". | [
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BRISURE DES LIENS. L’étudiant parvient alors à briser les dix grands obstacles appelés les dix chaînes (Sanyojanas) qui sont : 1° S’illusionner sur soi (Sakkaccha-dithi). 2° Le doute (Vicikiccha). 3° La dépendance des rites (Silabbata paranuisa). 4° La sensualité (Kama). 5° La haine, la malveillance (Praghinna). 6° L’amour de la vie terrestre (Ruparaga). 7° Le désir du ciel (Aruparaga). 8° L’orgueil (Marisa). 9° La suffisance, se croire meilleur que les autres (Uddhacca). 10° L’ignorance (Avidya). C’est par la destruction de ces obstacles et la connaissance de la vérité que le disciple parvient à l’état d’Arhat.
DISCIPLES DU BUDDHA. Le Buddha eut, parmi ses disciples, quatre-vingts Arhats maha siddhas, spécialement renommés pour le développement supérieur qu’ils avaient obtenu grâce à leur connaissance de l’enseignement du Maître. Le principe fondamental sur lequel cet enseignement est basé est appelé Paticca Samupada, ou encore Nidana, la chaîne des causes, l’origine de la dépendance.
LES DOUZE NIDANAS. On compte, comme il a déjà été dit, douze Nidanas : 1° Avidya, ignorance. 2° Samskara, action causale Karma. 3° Vinñana, conscience de la personnalité. 4° Nama rupa, la vie de la forme. 5° Salayatana, les six sens. Phassa, la relation. Vesanà, la sensibilité. 8° Tanha, le désir de jouir. 9° Upadanà, rattachement. 10° Bhava, l’existence individualisée. Jati, la naissance, la caste. 12° Jiva ou maràna, le déclin, la mort, le regret, le désespoir. La compréhension des douze Nidanas est extrêmement difficile, et intelligible seulement aux personnes déjà très avancées. Le Buddha, pour enseigner sa doctrine, a employé les paraboles, quand il s’adressait à la masse dorante. | [
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Métier d’argoussin, et pis encore, car, enfin, pour que vous soyez si bien informé de mes projets, il faut que vous m'ayez espionné. Von Heirich eut un ricanement féroce. — Voilà un mot, mon drôle, qui jure étrangement dans votre bouche. Le pauvre garçon sentit comme un nuage de sang lui passer devant les yeux. Il n'en releva pas moins, la voix soudain enrouée : — Pourquoi donc, je vous prie parce qu’on est mal venu à dauber sur l’espionnage, quand on est soi-même le fils d’un espion! ... Il n’achevait pas, que notre zouave, bondissant à la façon d’un ressort qui se détend, l’envoyait, d’un coup de pied, rouler sur un tas de charbon, où il se ruait sur lui, le terrassait, et, là, d’une étreinte de fer, lui broyait les poignets, l’immobilisait, l'écrasant du genou. — Misérable! tu vas t’expliquer, tout de suite, tout de suite, sur cette accusation infamante ! ... réponds, ou je te tue, sur l’heure, comme un chien ! Il voyait rouge. Il ne se connaissait plus. L’injure jetée à sa tête par cet ennemi résumait trop bien, éclairait trop clairement tous ses doutes antérieurs, pour qu’elle n’eût pas porté au plus vif de sa plaie. ... Et, cette plaie, comme c'est ordinaire, il était pris d’une frénésie de la creuser, de l’élargir, de la faire saigner davantage, dût-il en mourir. Il voulait savoir, enfin, enfin ! le mot de cette énigme qui, depuis ses premiers tâtonnements à la recherche de sa personnalité le tourmentait, le torturait, — pénétrer jusqu’au tréfonds le mystère effrayant entrevu dans un vertige d’abîme lors du terrible drame de X... naître, oui, encore une fois, eût-il en mourir, mesurer toute l’étendue de son allait ! réponds ! — le nom de cet espion dont je serais prétendument le fils ? — Uckpre Jean ressentit au cœur le froid d’une lame de poignard. Ce nom expliquait tout... Son étreinte se desserra... Déjà le lieutenant se baissait pour ramasser son arme tombée à terre... Mais Jean l’avait devancé, plus prompt que lui. "Monsieur, dit-il, glacial, "un de nous ne sortira pas vivant de cette cave. Vous m’assassineriez ? Non, rassurez-vous, ces procédés ne sont pas en usage dans mon pays. — Votre pays ? — lequel ? — Cette impertinence va se régler avec le reste. — Comment l’entendez-vous ? — Dans un combat loyal, auquel je ne vous permets pas de vous dérober. | [
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There Is* In he only an informal ten
at the Woman's Club to-morrow after
noon. with possibly a little Impromptu
music. Entertainments for Monday
afternoons will he discontinued until
the first oi October.
IX A.M> Ot T OK TrtWX.
OotiRlas W. Ellyson. of Chicago. 111.,
is visiting his parents. Mr and Mrs.
H. Theodore Ellyson. Si 4 Park Avenue.
Mrs. P. 1. Glenn and children. Gra
' ham. Turman and Argyle. have joined
Mr. Glenn at Pine 1 teach. N*. J., where
they will spend the summer.
Miss Ethel Henley, of Manakin. Is
j in the city to attend the summer nor
mal school.
Mrs. H. \V. Stone, of Macon. Ga.. is
visiting* her sister. Mrs. E. I-. Bolton,
of North Lombardy Street.
Russell Willlama Is In Stuart Circle
Hospital, where ho recently under
went an operation.
Sam Humphrey has returned from a
I recent visit to Vlnlta.
| Mr. and Mrs. C. Morgan, of 1231 West
j Onry Street, havo returned from a visit
i to Detroit. Mich.
1 Miss Pattle Taylor, of Rawlings, Va.,
land Miss Louise Atkins, of Blaokstone.
'are the nuests of Mr. and Mrs. B. J.
Taylot in the Hamilton Apartments.
! Mr. and Mrs. Eugene R. Jones have
? returned to their home. 1715 Hanover
! Avenue, after spending: several weeks
iln the North.
WOMEN'S 1IEKTIN?S.
The meeting of the chairmen of tho
Indoor I'.ardin Pete wns held at the
Y. W. C. A. on Monday. The fete w*s
a financial success, regardless of tho
many society functions going on.
Oroas receipts were $600.07. The
chairmen- of bazanr preaented Mrs.
William M. Wade, their general chair
man. with a beautiful bar pin.
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ETpucs déla muerte í Tu
| tiiñjundo fue Teoderico
fu hermano aleado per
Rtydeíos Godos. Eei primero a-
ño del fu reynado fue en !a Era de
quatrocictos e nouenta e cinco a~
ños,quáJo andaua la Era ái Impc
r o de Marciano en feysic el reyno
de Requiliaúorey de los Sueuos,
en d1e2.ee! de Gcíenco rey de ios
V andalos , en diez e ocho , e el de
Vualamer rey de los Oftrogodos
en veynte e fieteie él de Ernacrey í
losV unos en dos años. Auino afsi
O u
que aquel año el rey Requiliano a-
uiendo por reyno a Galicia, e a to¬
da tierra deLucena,non fe tono en
deporcócento nin porcomplido,
t *nto le tiene por bie andáte e por
lozano poiq era cafado có fa hja
del rey Tuni mundo, fegu q haco
tado de íuro!a eftoria ,sfa'io de fu
reyno c fue a guerrear a toda Efpa
ña por la tomar al fu feñorio : e
él Rey Teudcrico non gelo quifo
fo ííri r a u 1 q era fu cuña do, d corn o
fu fuegro f olie,e corriol gran defa¬
mar egr.m enemigad con el, mas
como era home mucho aífoííega
do,
ana.
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Monsieur le Sceletari, par Ernest Daudet. À JOURNÉE, 21 Avril (soir). ÉVÉNEMENTS DE TUNISIE. Tunis, 20 avril, soir, lorsque d'Anthouard a ou hier une entrevue avec le Bey auquel il a déclaré que l'armée française avait coulé et que l'épée avait été fourreau, il l'allait attendre derrière les portes inouïes. Ensuite, M. Houston a écrit au bureau responsable, avec son astre, de ce qui surviendrait, la mise à mort de sang européen à Tunis. Or, on tient à perdre est arrivé ici, ce soir. Tunis, 21 avril. Naturellement, le Bey, répondant aux observations de M. Houston, reconnaissait aux dangers que pourrait souffrir la colonie européenne à Tunis, avait donné les ordres nécessaires pour la protection de tous les étrangers qu'il ne pouvait pas répondre à la question qui produirait sur la population musulmane la nouvelle de l'entrée de Français sur le territoire de la place. Maintenant, les mesures de la colonie étrangère à Tunis sont en voie d'apaisement, improvisées pour le maintien de l'ordre sur le chemin de fer, et l'arrivée du corps expéditionnaire, dont une partie pourrait être ramenée à Tunis en quatre ou cinq jours, sont considérées, non moins que les tensions très sérieuses qui ont été au bureau, comme une garantie au moins pour le moment de la sécurité de la colonie. Il ne semble pas ici qu'à moins d'une nécessité absolue, le gouvernement français donne à l'envoyer la Horde Mac Gouragé, attendu que cet acte aurait probablement pour résultat d'y amener d'autres nations de guerre étrangères, ce qui pourrait être exploité d’une manière par le parti à la France, tandis que l’Algérie, la ville voisine de Tunis par terre, en face de toute la Horde devant Tunis, nous met à tête à tête avec le gouvernement beylical. Toulon, 20 avril soir. Un détachement, composé d’un officier et 50 hommes des équipages du croiseur Desaix est arrivé aujourd'hui venant de Bône. Le port de Toulon est en mesure d’effacer en deuxième transport de troupes en aussi important que le premier, soit 1 500 hommes environ. La cadre volante, sous le commandement du contre-amiral Ciliber, partira lundi pour une nouvelle période d’instruction; elle est composée des deux frégates cuirassées Annamite et Cerf, et des deux corvettes Fauvette et Patrie. | [
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Biefem Gelehrte gab er auf sein förmliches Gebet: "Mittels einer "manuductio ad philosophiam Stoicam" und einer "physiologia Stoica" veranlasst und beleuchtet in der "on ijum beforchtenen neuen Arbeit der Serfen" bei Seneca baß flüchtig werden. Syphent ta eine Seife, wie eine Tor im Kommentar getan hat, floss Stahl bei. | [
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Kaum wagt muh btr ergebende' Anhänger unfercr Satbe
in feinem gebeimßen ©erftetf zu vet bergen, unb nur an
jebem jcbntenJage mlaffe itb unter ben bergenben ©ßatr
ten ber ')Jaßt mrine , um bie gefahrvollen 'yfabe
meiner legten Senbung in biefan heben tu wantein! Mein
Salpb, mein tbeurer. tbrurer 9iälpb, fuße ©lume ber Un*
ftbulb , autb Du? glutb über fein £aupt! Obwohl ba«
ftürzenbe ©ebälf autb über feinen Snaben ging — er iß
toeb Dein Mörber, Dein gefübllofer, bünbtftber, fßättb*
litber Mörber. tennoeb iß er«!"
iülmäiig ßeigerten fuß tie ©etanfen Srtbur ©ernep’«
ju foltber hebbaftigfeit , baß er »ernebmlitb in bie ©aßt
ßinaubflüfttTte, inbtm er zugleiß wie befßwörenb ben Slrm
jum Sternenhimmel empotbob:
„Sßäßnt nttbt, meine hieben, wähnt nitbt, baß ich Suer
»ergeffen? ©ißt einen ©alten, einen ©ater habt 3 br, ber
ten grecler Sure« heben« nißtungrfßretft l<ißt ein ganze«
heben lang. Slngß um »ngß, Stbauer um Sßauer, ©er*
Zwnflung um ©erjweißung, ba« tft ba« ©eßt unb tie
©aße! Seit rußig — 0 fetb rußig, 3ßr meine ©eliebten!
Dct, tem 3ßr ba« £«z entjüdt burtb Suer ©efn unb
©eteißen, burtb Surr htebt, Surr häßefn, Sure reinen
Seelen — er — obwoßl morftb unb weif zur 3»'f , efn
abgelebter, oßnmätbtiger ©rei« — er — ßängt feß an
öutb mit ftbulbiger Xreue bi« in ben lob!"
Der Sitter fpraß nitßtS. weiter unb wartete wie ein
bunfle« Steinbilb ten Stßlag ter Ußr ab , bit hie neue
Stunbt oerfünbigen follte.
Sben waten ihre fßtillrn Xöne in ber hanbftbaft »er«
ballt, af« ganz naße am Sip bes Sitter« ba« rauße ©r*
frätßz eine« Stbußu« erftßoQ. Der ©ittfT erßob ßß unb
antwortete burtb ba« leife pfeifen ton ©Salbfßnrpfen,
worauf ber Stbußuruf fitb wiebrtßoltf unb bie ©eßalt
eine« Manne«, au« tem ©ebüftße ßertortretenb, mit be-
ßutfamen ©ßritten auf bie CEiße jufam.
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Po odejściu plebana owładnęła nią silną gorączka,
w której utraciła całkiem przytomność. Mówiła
wtedy o Stachu i swych zamiarach służby w
mieście. Matka Stacha doglądała ją teraz z tro
skliwością wielką. Może spodziewała się, że Stach
wybierze sobie po śmierci Antki bogatszą dzie
wczynę za żonę. Stary, o którym ua czas pe
wien zapomniano, zwlókł się z posłania dopiero
nazajutrz rano. Przez cały ten czas nie przyj
mował wcale pokarmu i leżał jak martwy. Dniałe
już na dworze i przez otwarte okno wpływał
do izby powiew orzeźwiający, słodki. Chmury
pierzchły gdzieś daleko i odsłonił się błękit
czysty, modry. Pierwsze blaski słońca złotemi
plamami upstrzyły łoże Antki. Stary obejrzawszy
się po izbie, wlepił swe mętne źrenice w uśpioną
córkę i wolnym krokiem postąpił ku jej łożu.
Matka Stacha drzemała, siedzać na ławie.
DODATEK LITERACKI „DZIENNIZA POLSKIEGO".
Stary stanął nad łóżkiem i drżącą ręką
dotknął ręki córki. Wtedy Aatka otworzyła
oczy, ale wnet je zamknęła, gdyż promienie
wschodzącego słońca raziły jej oczy. Nagle spo
strzegła ojca. Ciałem wstrząsnął jakiś dreszcz
mocny, a potem łzy wielkie spłynęły z pod pół
otwartych powiek, W twarzy ojca ujrzała bo
łeść straszną, choć stary nie rzekł ani słowa.
Niebawem uspokoiła się nieco i ręką, której żar
ostygł już znacznie, wyszeptała tak głośno, że
Stachowa matka obudziła się i powstawszy, zbli
żyła się do jej łóżka. A Antka mówiła wolno
i z ciężkością wielką:
-Tatusiu, mój tatusiu serdecny.
I umilkła. A po chwili znów szeptała, ale
ze łzą w głosie:
— Co wy tez pocniecie bezemnie na swie
cie? Tatusiu, mój tatusiu serdecny.
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Dans le Parlement, toutes les fractions de l’opinion publique sont avec lui, l’encourageant à faire tout ce qui paraîtra nécessaire en vue d’une action rapide et décisive. Majorité comme minorité sont prêtes à mettre à la disposition de l’amiral Miot les ressources dont il aura besoin. Donc, ni la bonne volonté du pays, ni l’argent ne feront défaut. Aussi, ANNONCES DE LA HAUTE-LOIRE PARAISSANT TOUS LES JOURS PUBLICATION OFFICIELLE DE TOUTES LES ANNONCES JUDICIAIRES ET DES ACTES DE SOCIÉTÉ Elles sont reçues exclusivement à SAINT-ÉTIENNE : Agence V. Fournier, r. St-Catherine, A LYON — V. Fournier, rue Confort, 14. A PARIS : — Havas, place de la Bourse, 8 Annonces 60€ la ligne. PRIX 1. Declaimers 60€. Chronique 30€. Lets ou envois d'argent ne sont refusés. ADMINISTRATION ET RÉDACTION SAINT-ÉTIENNE, FOUNI & FERRET 3, / Adresser les lettres à M. THEOLIER, directeur. Dans l’escadre, dans la même situation expectante qu’avec l’amiral Galiber. Certains journaux assurent qu’une marche sur Tananarive ne rencontrerait pas des obstacles insurmontables ; que, par certains côtés, la capitale des Malgaches est très abordable ; qu’il suffirait peut-être d’une démonstration de cette nature pour donner à réfléchir aux ministres malgaches. Nous ne saurions nous prononcer à cet égard. Mais nous croyons être l’interprète des sentiments de la masse du public français en demandant qu’on agisse sans tarder et avec vigueur, dès qu’il sera prouvé que la diplomatie malgache ne veut que gagner du temps en engageant des négociations sur des bases inacceptables. Le ministère serait-il sans excuse s’il demeurait, avec le nouveau commandant, nombre d’abstentions et rallier tout CORRISPONDANCE PARTICULIÈRE DE MONDE. Dis-Là. LOUIS Paris, mardi 22 avril 1834. M. J. Ferry et les chefs de l'Union républicaine. — Les doléances de M. Paul Bert. — La révision limitée. — Les élections municipales. — Les conservateurs. — M. Hervé. Depuis les discours ministériels de Calvados et de Périgueux, il y a du froid contre le Parlement et les chefs de l'Union républicaine. Ces derniers reprochent à M. | [
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Tel est, en définitive, le mécanisme de production de la lumière, de la chaleur et de l'électricité, en tant que forces vives, dans les conditions artificielles des substances inertes et solides.
Les substances inertes ou mortes ayant appartenu antérieurement, à un titre quelconque, à un corps doué de vie, soit à titre de choses sécrétées ou de fragments séparés de tout, telle que la branche détachée de l'arbre, il est naturel que les mêmes forces vives et les mêmes supports, dont le mécanisme vient d'être étudié, se retrouvent dans les corps vivants ; mais il faut s'attendre aussi à y rencontrer des différences essentielles.
Il a été dit que l'état solide est la modalité particulièrement attachée à l'inertie d'une mort durable, et que les autres modalités, pâteuse, liquide et gazeuse, observées dans des morts transitoires et relatives, sont avant tout les trois caractères fondamentaux des corps vivants, étudiés au point de vue physique de la consistance.
Théoriquement, le rachitisme est la substitution d'un état liquide, puis pâteux, à l'état solide normal dans les os. C'est un excès de vitalité morbide, une exubérance de vie organique dans des tissus peu actifs. Cependant, même à l'état normal, dans les os comme dans tous les tissus, la vie réside et s'entretient dans l'état liquide en circulation, dans le sang des vaisseaux et dans un liquide nourricier répandu par les ostéoplastes.
Même observation dans les végétaux, où l'importance cellulaire est encore plus excluse que dans les animaux : Le "contenu d'une cellule végétale est solide, liquide ou gazeux". | [
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Estou a ver o desfastio adorável com que algunos centenares de lectoras de ixam cahir o jornal, e murmuram no tomos dos anjos agastados:
— Que impertinência I que narcótico!
Eu queria ter a audácia dos apóstolos das grandes ideas para ousar dizer a vu. exc. que é chegada a hora em que se faz mister ao sexo das graças vestir-se da armadura da sciencia para entrar em lucta com a travía de homem. Se os dons maviosos, os encantos.
Vhite horas de liteira 12 r
E a magia dos aítectos bastassem á emancipáção das senhoras, emancipadas estariam todas, desde que Dalila tosqueou Sanso, e Omphale fez que Hercules fiasse na roca. Mas a desigualdade dos direitos assenta o seu arbitrio odioso na desigualdade dos. Dotes intellectuos.
Muitos "Sansões continuam a ser tosqueados; muitas
Omphales obrigam, com a violência de um relância den
goso de olhos, enormes indivíduos a fiarem na roca; e,
todavia, as frágeis vencedoras, realezas ephemeras, continuam na submissão, no ostracismo dos grandes cargos da republica, na elegibilidade aos parlamentos. Nem se quer sócias das academias I nem nas academias, cousas fúteis e irrisórias, que parecem ter sido inventadas especialmente para senhoras ociosas! Já é!
A estólida argumentação dos feios impugnadores da emancipação das senhoras, como disse, apoia-se na mingoa de sciencia dos doces seraphins, que tudo sabem do écu, e tudo desdenham do saber dos homens. E', pois, forçoso desalojar os selvagens d'este baluarte Com as armas da sciencia. E' preciso que as damas, entre cusas igualmente indigestas, aprendam no folhetim o como se institui o convento jurídico de Porto. | [
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tban auy other Eastern type. One of their peculiarities
makes theiu a constant dread to their conquerors. This
consists of a man joining a religious society, and bind-
ing himself by an oath to reach paradise immediately
by killing as many Christians as he can before he him-
self is killed. The society has a name, but it is un-
known to the Spaniards. They refer to the members as
the Juramentados, or those who are oath-bound. The
society, or societies, are directed by priests called Fan-
ditas, whose meaning can be recognized by its resem-
blance to pundita. These drill the members, and put
them throagh a regular course of training. They are
made to exercise, fight with blunted weapons run, jump,
climb, swim, and dive, and when tired they are told of
the beauties of Mohammed's paradise, of the houris, the
fruits, and the joys. When a member has reached a
stage which borders upon frenzy he is then sent upon
his mission. He usually goes naked or with a breech
cloth in whose folds he carries one or two short creeses,
sharp as a needle, and keen as a razor. The flutings on
the blade are often poisoned bj' immersion in decaying
animal blood. He enters the camp, ship, town, or house,
to which he is directed, and the moment he approaches
the first Christian his deadly work begins. The knife is
drawn, the breech cloth cast away, and with a spring
like a tiger, he is upon his victim. In his delirium he
seems to have the strength of ten men. He is never
overpowered, and he never stops his murderous career
until he is killed, or incapacitated by a serious wound.
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Ponadto komisja poddała ponownej rewizji pro
jekt opłat mytniczych, oraz ze względu na spodzie
wany niedobór budżetowy uchwaliła wnioski Admi
nistracji akcyzy dotyczące podwyższenia opłat od
trunków.
gl. Posiedzenie w dniu 13 lutego 1920.
Komisja rozpatrywała najpilniejsze adaptacje
i inwestycje rzeźni miejskiej, które też uchwaliła.
Sprawa tych inwestyj ma być przedłożoną na
najbliższem posiedzeniu Rady miasta.
Pozatem załatwiono kilka spraw osobistych, do
tyczących funkcjonarjuszów Administracji akcyzy.
Komisja budżetowa.
Posiedzenie w dniu 12 lutego 1920.
Na posiedzeniu dokonano wyboru referentów
z łona Rady miejskiej dla poszczególnych działów
budżetu, oraz wybrano generalnym sprawozdawcą
radcę miejskiego dra Karola Krzetuskiego.
23
Komisja drogowo-kanałowa. Komisja planłacyjna.
Posiedzenie w dniu 9 lutego 1920. Posiedzenie w dniu 10 lutego 1920 r.
Uchwalono preliminarz budżetu dla budowli
i robót publicznych na rok 1920, oraz budowę kaPaca 5 3
nału wa A a w ulicy Kilińskiego, dz. XI. | Dyrektora Miejskiej Izby Obrachunkowej budżet
Pozatem przyjęto do zatwierdzającej wiadomoupiększenia miasta na rok 1920. i
ści kilka spraw administracyjnych budownictwa m.
oddział B/b.
Komisja uchwaliła po wysłuchaniu referatu
Nakładem Gminy miasta Krakowa. — Czcionkami drukarni Związkowej w Krakowie, ul. Mikołajska L. 13.
Krakowa dodatku miejskiego do państwowego poda
tku dochodowego i państwowego dodatku wojennego
do podatku dochodowego.
2. Wzywa się Magistrat, by projekt tegoż roz
porządzenia przedłożył do zatwierdzenia Ministerstwu
spraw wewnętrznych po myśli ustawy z 24 paździer
nika 1919 Nr. 479 Dz.'u. p. (L. 566/920 TI a).
Rm. Dr Lang wnosi o przeiście do porządku
dziennego nad projektem.
Wniosek rm. Langa upadł.
Wnioski Sekcyj uchwalono.
Rozporządzenie c dodatku do należytości od czynności
prawnych.
Imieniem Sekcyi I, H i III sprawozdawca rm.
Dr Gross wnosi:
Rada miasta uchwali :
1. Zatwierdza się załączony projekt rozporzą
dzenia *) w sprawie zaprowadzenia w Gminie miasta
Krakowa dodatku miejskiego do należytości od czyn
ności prawnych.
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REcipe Caftorei 3.ij-Pyrethri, cuphorbii, ftaphifagriaj,
zinzibcris,ruupis,ana3.iiij.Succi afphodilloril , iucci
rut2ea£^reftis,ana|.iiij.LinjanturomniaciUuccis. Dcindc
coQHanturcumccra:|.v.Olci rolaii|.xx.vfquc ad fuccoru
conlumptioncm.DeindccoIctur &. adminiftrctur.
Vnguentum Philagrn ^c. cccxivii.
REcipcCcr^B^iij.hyflbpi humidar,fucci rutx agreftis,
ana i-ij Euphorbii,piperis,ammoniaci,croci,olei bal-
fami,caftorci,glutinis aIimbath,opopanacis,ana|,ij.Si§iar.
J.ij.s.Olci quantum fuiFicit.
Vnguentum aureum 8Cc. cccxlviii.
REcipe ccrac citrin<i | .vj .Olei boni tb.ij .s.Tcrcbinthinac
5.ij.Relina:,colophonia;,ana |.j.$ .Olibani ,maftici$,
ana|.j.Croci3.j.
Vnguenfim de CcruTa dCc. c r c x l i x
REcipeccruf3C,mcrdafengi,ana i.vj.Humbi adufti, fco-
rix atgenti,ana3.iiij.Mafticis,olibani,ana3.ij.s.Olei
rofati,& accti albi,quantu fufFicit.Terantur in mortario,&
ponatur priiis olcii,poftea acctu,anaparu intundcndo , ita
3iu6d lineintermifsioneterantur,ni5choc,nuncillud infun
cndo , doncc impinguctur. Si autcm eo indigct pi uritum
habcns:Argentiviui3.v.adde,&admimftra. £t quandoquc
apud nccetsitatem,addc Ziniar.S.ij.
Vngu^ntum Svricinum 3Cc. c c c l.
SVper vnguentum de Cerufa,adde Syrici |.j.$.Alocs,myr
rha;,ana3iiij.Etvtere.
Vngucntum Aegvpti^cum SCc. c c c l i.
REcipcFIorisarrisaur.v.MclIis aur.xiiij. Aceti fortis
aur vij.Coque fupcr ignem doncc infpiflctur. Et lunt
qui addunt ci olibani malculi triti,aur.ij.$.
Vnguentum tripharmacum>fa~
ciens SCc. c c c l 1 1.
ACcipc Lithargyri triti ficutalcohol partc vna. Et fun-
dcfuperipfum,nuncolcum,niinc acctu:& teraiur,&
ada:quctur,& proprie quautum lufficit.Etadminiftrctur.
, 1'.
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Images reproduced by courtesy of The Wellcome Trust, Londoi
4697/A
RECEPTARIVM. ^rj
/ Vnsjuentiim tripharmscum ^liud. c c c l 1 1 1.
i^<0 Ecipc Lithirgyri (icutalcoliol,partcm vnam, accti vi-
/iS^ ni tantundcm.Olci antiqui, partcs duas. Coquantur
umfacilitatcvfqucdii fiat eiusfpilsitudo. EtadminiftrciT.
Vngucntum nlpforicon 6Cc. c c c l i i i i.
Ecipc ccrufa:,lithargyri,pforicon alocs bono:, climiaj
argcnti viui cxtindi\ana partcs a^qualcs.Olci dc olca-
ro,&: accti quantum fufficit.Fiat ficut vngucntu dc cerufa.
Coiif.!v:tio pfoncon ^^c. c c c l v.
REcipc Lithargyri albi/calcathi.ana partcm vnam. Flo-
ris a^ris patcm mcdiam.Tcranturcum aceto vchemcn
:tcrforti,in lolctcmporcacftiuo,fcre pcr dic vnam , lempcr
autcm modicum addcndoacctum.Dcindc ponatur in vafc
vitrco, Sc ftringatur os cius , & fcpcliatur in limo dicbus
40 Dcindcadminiftrctur.
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"And what do you advise? Now, really."
"How childish you are, St. Clair." I shrank from
saying: "Give her up. You are unfit for her. Women
do not resist you. You were made to please for the
hour, not the year." I went on at last quickly: "If
you are honestly in love, I have no more to say. Go
on, and God help her and you. Perhaps he may, and
time may show what a fool I have been."
"Frankly, Owen," he returned, "is it of me or of her
you think?"
"Of both."
"Of whom most?"
"Oh, what matters it? I have said enough."
" Too much or too Uttle. But do not think I am not
284 CHABACTBRISTICS.
thankful, and more thoughtful than you suppose. Let
us drop it. I hear that you may go to Charleston
about this yellow fever."
"Yes; I am asked to go South on a Government
commission to study the outbreak they have had. I
think I shall go. I saw it once before, and, for vari-
ous reasons, no one else is quite as weU fitted for this
not over-pleasant task."
"It is risky."
"Very."
"I would n't go. What 's the use ?"
"It is a simple duty. I should like to go away for a
while, and it fits in nicely."
"Dam duty."
I laughed, "Ah, if darning duty mended matters,
how easy a place were this world to live in," and we
parted.
xxin
flHAT I had said was true. I was out
of spirits. My work bored me, and,
as has been seen, I was peevish and
irritable.
The next evening I was at Mrs.
Leigh's. They were alone — or rather
Miss Alice was — for a time.
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Nessuno può dubitare del vostro coraggio. Che questo nobile sentimento non vi faccia dimenticare il sacro dovere che vi vuol serbato all'Italia. Combattete, ma da Re condottiero; sicché la nostra bandiera possa da Voi inalberarsi sulla estrema vetta delle Alpi, mentre gli Italiani deporranno ai vostri piedi le armi vittoriose gridando: Viva Vittorio Emanuele re d'Italia.
A Sua Maestà Il Re Vittorio Emanuele II. La Toscana, desiderosa quanto ogni altro popolo italiano di concorrere con tutte le sue forze alla guerra dell'indipendenza da Voi magnanimamente condotta e lealmente ripresa, seppe con dignitosa e unanime fermezza liberarsi dagli ostacoli che si opponevano all'adempimento di questo sacro dovere. Sentì subito il bisogno di unirsi con affetto fraterno e piena fiducia a quel popolo italiano che, merce le virtù del suo Principe, volle e seppe mantenere viva la fiamma del risorgimento della nazione; e si poneva spontanea nelle vostre braccia. Non ottenne tutto quel che chiedeva; accettò, riconoscente sempre, la valida protezione, e si dispose a cooperare alla guerra rassegnandosi ad aspettare dopo la vittoria la sua definitiva sistemazione.
Documenti
Il Viddare di Gli avvenimenti quei bisogni è diventato necessità. Le nobili e generose parole dette agli Italiani dal cuore ignano e dal senno profondo del grande Vostro Altezza imperatore dei Francesi, di quel Napoleone III che ha promesso all'Europa di restaurare l'Italia, riparando così a una grande offesa che macchiava il secolo della civiltà, fanno ancora più persuasa la Toscana di quella necessità. | [
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Les Kourgouses, que dirigent des officiers japonais, sont très actifs actuellement. Quinze cents de ces Kourgouses, avec six canons, ont apparu le 21 novembre sur le Liao He, sous le commandement d’un officier japonais, près de la station de Kaiou-Yan. Trois détachements de gardes frontières, avec deux canons, envoyés à leur poursuite, les ont défaits avant qu’ils aient pu mettre leur batterie en position. Les pertes russes sont insignifiantes. Les Chinois se sont enfuis précipitamment après avoir perdu deux cents hommes. Le correspondant de l'Echo de Paris dit qu'il a eu confirmation que la flotte de Port-Athur est hors d’état de quitter le port. Les obus japonais ont causé de graves avaries à la plupart des gros vaisseaux et il est difficile, sinon impossible, de pouvoir actuellement procéder aux réparations nécessaires. D’autre part, on affirme de source sûre que les gros canons de 30 centimètres qui se trouvaient à bord des cuirassés ont été montés sur les forts de Liaoyang. Une dépêche de Port Said au Daily Telegraph prétend que le vapeur volontaire Voronej, qui a franchi les Dardanelles comme transport, aurait à bord trois sous-marins. Le Proslav aurait trouvé dans le même cas et aurait, sur le pont, un emplacement pour quatre pièces de six pouces et pour une douzaine de mitrailleuses qui seraient à bord. Le ministre de la marine de Chili vient de déclarer publiquement qu’il n’acceptera, pour l’achat des navires, que les offres d’une puissance neutre et capable financièrement d’en faire l’acquisition. Le gouvernement argentin a fait une déclaration semblable pour en finir avec toutes les propositions sans bases sérieuses. Il y a presque chaque nuit quinze degrés de froid en Mandchourie. Le prince Jaime de Bourbon a été décoré de l’ordre de Sainte-Anne avec les glaives, pour sa conduite contre les Japonais. On mande de Changchun que l’aviso français le Kersaint est parti hier pour Shanghai. Les autorités douanières de San-Francisco annoncent que les rentrées de marchandises japonaises, aux États-Unis, prennent des proportions énormes. Les Japonais, afin de pouvoir continuer la guerre, vendent à vil prix. L’agence officieuse Renier annonce que le nouvel emprunt de la Russie, au capital de un milliard 300 millions, venait d’être conclu en Allemagne. L’emprunt aurait été arrangé entre M. de Bulow et M. | [
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Met de arbeiders is het echter minder goed gestelde
De oestervverkers, sorteerders en verpakkers- verdienen f 3 per dag. Er wordt heel veel vrouwenarbeid verricht, welke betaald wordt met f 1.50 per dag en ook het aantal kinderen, werkende inditbedrijf, isgroot. De vrouwen verrichten er vaak zware lichamelike arbeid, namelik het kruien van oesters uit de putten en met de, arbeidstijd neemt men het zowel voor mannen, vrouwen ais kinderen, niet nauw. Als men eropwijst dat deArbeidsinspeksie toch toezicht heeft, zal rrien U zeggen, dat de Inspeksie gewoon bij de neus wordt genomen. De kinderen worden opgestookt te liegen als hun door eeri kontroleur vr a-g en worden gesteld.
Het is wel fraai, datgene wat de heer Kersten bereikte met de prediking van tevredenheid en berusting. Uitbuiting en opvoeding tot de leugen! Zij die zich vergasten aan oesters 'en champagne mogeit bedenken op welk een ellendige wijze ~deze lekkernijen”' worden verkregen ! Gelukkig heeft de moderne 'l'ransportarbeidersbond dit oord in zijn propaganda-aksie betrokken. Ook hier zal de organisatie ontzettende misstandett moeten opruimen. N. B-
Mededelingen van de Sekr.-Penningmeester. I. Op Zaterdag 2 November plakt ieder A. J. C.-lid een kontributiezegel op het 48ste hokje van het diploma; Zaterdag 3 Desember is het 49ste Zaterdag 10 Desember het hokje aan de beurt.
Vergeet het Kampfondssegel niet! 2. In Oktober werden 20116 Kampfondszegels verplakte Daardoor kwam deze maand weer een bedrag van ƒ 502.90 i*' het Kampfonds. 3. Bij onze Uitgeverij verschenen :
a. ~Weven op Karton”, door Pan van Heil—Wijnma*' (voor A. J. C.-lid ƒ i,—), Een prachtig boekje voor de handwerkklubs.
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Messieurs les membres du comité Impérialiste du Xe arrondissement sont invités à vouloir bien se réunir le jeudi, 28 courant, à 8 h. 1/2 du soir, boulevard Magenta, n° 14. Ne sont invités que les membres du comité et leurs amis qui seraient désireux d’en faire partie. Le président : Amédée Deville. LA CRÈVE DES OUVRIERS TAILLEURS La grève des ouvriers tailleurs semble tout chercher à sa fin. La mort du Victor Hugo et les événements du Père-Lachaise ayant quelque peu détourné les préoccupations des quelques révolutionnaires qui s’étaient mis à la tête de ce mouvement, une déunion s'est produite parmi les ouvriers qui, se concentrant sur leurs objectifs n'auraient pas mieux demandé que d’obtenir, grâce à leur concours, une augmentation des salaires. Devant la volonté bien arrêtée des patrons de ne céder sur aucun point aux exigences de leurs ouvriers, ceux-ci commencent à comprendre qu'ils sont les premières victimes d'une lutte aussi longtemps prolongée. La réunion d’hier à la salle Lévis avait attiré beaucoup moins de monde que les précédentes où l'on avait convoqué les principaux tailleurs pour dames de Paris; ils n’ont pas jugé à propos de venir discuter avec des ouvriers qui n’ont aucun rapport avec eux. À défaut de discussion contradictoire possible, on a dû se borner à dénoncer les défections que l’on a constatées parmi les grévistes, et elles paraissent nombreuses, tellement nombreuses qu’un membre de la commission auquel on demandait de citer des noms a pu dire : « Vous demandez des noms, citoyens ! Comment voulez-vous que je vous les donne tour, puisque les trois quarts des grévistes sont de faux grévistes ? » Et cette accusation ne rencontre pas de protestations trop indignées. Les bagarres ne sont pas rares dans les réunions des grévistes depuis, mais jusqu’ici elles avaient toutes fini par un immense cri de « Vive la grève ! » Dans celle d’hier, cette acclamation a fait totalement défaut. Une ouvrière ayant fait remarquer que des familles entières d'apprentis grévistes ne touchaient de secours que pour une seule personne et mouraient de faim, la salle a acclamé cette famille reçue son indemnité. | [
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§ XI. Or che queste virtù conferiscano alla felicità delle persone, e perciò delle famiglie, e individualmente della repubblica, se vi è di già possibile ignorarlo, è giusto che si tenga per selvaggio; e se, conoscendolo, il nega, per nemico suo e della patria. Se la storia ci ha giovato e giova ancora a farci conoscere delle utili verità, una è, senza contesa, esplicita, che niuna nazione fu mai né è che possa dirsi al fatto avanzata nell’arte, nel commercio, nei veri comfort e piaceri della vita, per le cui viscere non serpi un forte e copioso sugo d’intelligenza e di prudenza che l’animi e la governi: mai non vi si vedrà fatica bella, grande, regolata; né sarà possibile che le rendite vi siano molte. Si vedrà sempre squallida e languente in tutte le parti, e dall’alto a basso. Se alcuno vorrà durare la fatica di paragonare, leggendo la loro storia, la Francia e l’Inghilterra di un secolo e mezzo addietro con come sono oggi, capirà assai meglio ch’io ne dico, il vero di questa massima.
§ XII. Vi saranno pochi, cred’io, tanto rozzi o cattivi che ci vogliano in ciò opporre. La forza delle armi non può mantenersi a lungo senza una virtù d’intelletto ed esecuzione proporzionata, che mai non si è trovata in decine di secoli di regni assoluti. | [
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W ciagu drugiego dnia
dokończono obydwu
prób, przyczem okazało
się, że obrońca tytułu mi
strza 3 Pułk Strzelców
Konnych, podobnie, jak i
w r. ub. utrzymał się na
czele mając 763 punkty
karne. Dalsze miejsca za
jęli: 2) 14 pułk ułanów
1268 p. k., 3) 16 p. ułanów
1331 p. k., 4) 2 p. ułanów
1868 p. k. 5) 22 p. uł. 1880
p. k. 6) 4 p. uł. 1945 p. k.,
7) 15 p. uł. 2003 p. k, 8) 1 p.
s. k. 2061 p. k, 9) 5 d. a. E
2113 p. k, 10) 19 p. uł. 2231
p. k, 11) 7 p. uł. 2345 p. k. 12)
10 d. a. k. 2591 p. k. Zespół 10 p.
ułanów 'został zdyskwalifikowany.
W indywidualnej klasyfikacji po
dwóch próbach kolejność miejsc przed
stawiała się następująco: 1) por. Nieczaj
(3 p. s. k.) 19% p. k, 2) rtm. Kulik
(4 p. uł.) 273 p. k., 3) por. Korson (3 p.
s. k.) 283 p. k, 4) por. Totjew (3 p. s. k.)
288 p. k, 5) płk. dypl. Anders (2 Sam. B.
Kaw.) 308 p. k., 6) rtm. Paszotta (16 p. uł.)
343 p. k., 7) por. Tudziński (26 p. uł.) 350 p. k.
O ile próba ujeźdżania stanowiła dla widza próbę
dość jednostajną, o tyle próba władania bronią dawała
znakomity przegląd tego, co kawalerzysta musi umieć. —
Był to sport wojenny w całem tego słowa znaczeniu. Galo
pujące konie, błysk szabli przecinającej... tylko toze, lub ma
nekina, dawał wyobrażenie o szarży kawalerji i o jej znaczeniu.
sę
Poniżej: Zespół 3 pułku strzelców konnych, mistrza armji. Stoją od lewej: por. Totjew, por. Korson,
płk. Michalski dca pułku, por. Nieczaj i ppor. Kossakowski.
Na prawo w kole: rtm.
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STATE SUNDAY SCHOOL
ASSOCIATION INVITED
Conference of Local Superintendents
Dinner Plans for organizing the
Convention to The City.
Superintendents of local Sunday schools met yesterday afternoon in the
Second Baptist Church for the purpose of discussing plans for bringing the State Sunday-School Association here next February. The city was divided into four districts in order to facilitate the arrangements.
Jacob L'mlauf, president of the Richmond Sunday-School Association, presided at the meeting, and J. H. Montgomery acted as secretary. Following a statement by Mr. L'mlauf, a report from the executive committee of the association was read. It was explained that $1,000 would have to be raised to entertain the State meeting, and an apportionment of the amount among the Sunday schools of the city was suggested.
On a motion of X. C. S. Cost, it was decided to divide the city into four districts. All Sunday schools west of Belvidere Street will be in the west end district; all between Belvidere and Fourteenth Streets will be in the east end district; all east of Fourteenth Street will be in the east end district, and all on South side will be in the south side district. | [
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Meinzer, chief of division of groundwater, United States geological survey, that the bureau has found it necessary to prepare a brief summary of the report in advance of the publication of the bulletin. The Goose Creek basin is an area of about 1200 square miles in the extreme southern part of the state with parts extending in to Nevada and Utah. Burley, the chief community in the basin, Goose Creek first came under consideration as a possible source of arid water in the fall of 1920 when a large flow of water was struck in a oil prospect well in the canyon about nine miles south of Burley. This survey is a part of the bureau's program to make detailed surveys of all areas which show underground water possibilities. In the Goose Creek section are large tracts of excellent land for which no water is now available and any additional supply from arid wells would be of great value.
Favor Artesian Conditions.
"Structurally, the artesian basin is limited by boring faults to an area bounded on the east and south by Goose Creek and on the west by north-south line slightly east of the Peak," says Mr. Piper in his preliminary report. "Within these limits, the tertiary beds have a general slope favorable to artesian conditions. Under such geologic conditions as those encountered in the basin, it is impossible to determine the quantity of artesian water available, in any systematic development of the artesian water resources of the basin, first drilling should be along Goose Creek and Trapper Creek. When this development has been completed, it is impossible to determine the quantity of artesian water available. | [
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Die weitere Beratung wird Montag 12 Uhr stattfinden. Halle, 13. März. (Der Abdruck unserer Lokalnachrichten, auch auszugsweise, ohne deutliche Quellenangabe wird gerichtlich verfolgt.) — Die im Abgeordnetenhaus (vergl. Landtagsbericht) von den Ultramontanen angegriffene lateinisch geschriebene Schrift ist von Herrn Prof. Dr. Schlottmann verfasst, von der Buchdruckerei des Waisenhauses gedruckt und trägt den Titel: „Erasmus Redivivus Lurus et Rationales Livorum Sui, Romani, Luthoriani“ (auf deutsch der wieder erstandene Erasmus oder über die bisher unheilbare römische Kurie). Schon dieser Titel lässt die scharfe, auf den 152 Seiten des Büchleins mannichfach verstärkte Tendenz des Verfassers durchleuchten, zugleich muss man sich aber vergegenwärtigen, dass der Verfasser einer der besonnensten und gemäßigtsten Theologen der evangelischen Kirche, eine Zierde der Wissenschaft ist. Die Parallele zwischen dem gelehrten Erasmus von Rotterdam, dem Vorläufer von Martin Luther, und dem weisen Haupt der Altkatholiken, von Döllinger, ist jedenfalls zutreffend. — Der Provinziallandtag nahm am Sonnabend die einmalige Schlussberatung über die Vorlage wegen Verwendung von Kapitalbeständen zu Grundstücksankäufen und wegen Verkaufs eines Provinzialgrundstücks vor. Der Referent Abg. Gneist führte, wie wir in der „Magdeburg. Ztg.“ lesen, aus, dass in den letzten Jahren an den Provinzial-Ausschuss nicht nur die Notwendigkeit herangetreten sei, zu einigen Grundstückserwerbungen zu schreiten, deren Kosten aus dem Kapitalvermögen des Provinzial-Verbandes zu entnehmen seien, sondern es sei auch der Verkauf eines Chausseegrundstücks für zweckmäßig erachtet worden, welcher über die vom zweiten und dritten Provinzial-Landtag ertheilten Ermächtigungen hinausgehe. Die bei den Geschäften abschlüssen obwaltenden Verhältnisse hätten ohne Nachteil für den Provinzialverband ein Hinausschieben bis nach einer Beschlußfassung des Provinzial-Landtages nicht gestattet, weshalb der Provinzialauschuss die Genehmigung nachträglich erbittete. Es sind erworben worden zwei Grundstücke für die Irrenanstalt Nietleben zum Preis von 18 684 17 H. | [
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zdrojowej, składającej się w czasie od 20 | Oftober 1905, Br. XXXV, 103/5 (4), auf Ai
maja do 15 czerwca i od 16 do 80 września | trag der É. É. Staatianwaltjdjajt erfanut, dak
z 18 ezłonków, w czasie zaś od 16 czerwea j der Jubalt Deg in der Folge 248 der periodi
do 15 września z 24 członków, zocząwszy | jchen Drudjecijt; „Alldeutjheś Tagblatt” bom
od 20 maja 1907. 24 Gilbgarts (Oftober) 1905, 8. Jahrgang,
Detyczęce oferty z dokładnem poda| auf Seite 2 Spalte 3, und auf Seite 3 Spalte
niem żądanej kwoty za cały Sezon, należy |1 enthaltenen Alrtifels: „Ungarn“ Durch Die
wnosić na ręce Komisyi zdrojowej w Kry| Uberjhrijt: „Djdingiś Khan” und durch) Die
nicy najdalej do końca marca 1906. Stelle bon „Bie Tataren fommen!” bis gu Den
Bliższych informacyi udzieli na żądania | Sdjlujjworten: „Khan angejdhlofjen* dag Ber
c. k, Zarząd zdrojowy w Krynicy. brechen nah $ 63 St. ©. begründe und eś
Komisya zdrojowa w Krynicy. |wirb nah $ 498 St. P. ©. Das Berbot der
Weiterverbreitung Diejer Drudjdhijt auśgejpro=
i chen, Die von bor É. £. Staatsanwaltjchajt ver
[8617] | fügte Bejdhlagnafime nah $ 489 SŁ P Ə.
bejtótigł und nah $ 37 Pr. ©. auf die Ver
(oka der jaifierten Eremplare erfannt.
Wien, am 25. Oftober 1905.
Lwkr. 97.582/905
Konkurs.
Wydział krajowy Królestwa Galicyi
i Lodomeryi wraz z Wielkiem Księstwem
Krakowskiem rozpisuje nini:jszem konkurs
na posadę sekundaryusza w szpitalu po
wszechRym w Drohobyczu. Dag É t Śrei< als Preggewidt in
Kandydaci powinni najpóźaiej do 15 | Chrudim bat mit dem Grtenutniffe vom 25.
listopada 1965 wnieść podanie do Wydziału | Oftober 1905, Br. 23,0, bie Weiterverbreitung
krajowego z dołączeniem: | der Nr. 45 der Zeltjchrijt; „Samostaine Sme.
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: 4 Siempre que se verifkjoe la existencia de al-
guna de estas dos ediciones*, ú pera 1 antes del 1474,
d*ré4a primacía d¿ este Arte á Barcelona : y por
lo que'hafeta ahora veo descubierto, solo puedo de-
cir ser la segunda que le exerció , según D. Ni-
colás Antonio r que dice vid la Obra de Epide-
mia & Peste del Mro. Valasoo de Taranta 5 tra-
duüda en lengua Catalana por Juan Villa 9 impre-
sa *ri Barcelona ~áfe<4é ^7^^ >f " ^
Egre~
X») Annfu^rXips s^cular^ jnraH Arfli Typographic^ , • •
. [Zr/iniM Ty¿ographVT<$itt, í.'part. t. )*g. 33^ '"l
(4) Kbliot. Vet. TomML-pag. 306. al 3*a. .;.:;:;/*
94 Typographía Española
, Aitos. S "Egregü Doctor Sancti Thome de Aquí-
■ i ¿ »no in libris Ethicorura cSmentarium incipit
!4?«- » ICVT dicít philosophus &c. '7,. Finaliza:
wComentum sancti Thome fratris ordinis predi-
wcatorum in Ai; (Aristotelis) ethicoij. (etkkorum)
j>\\bvQ$ feüCtter explicit: per toSnem ferrarium ci-
wyem barchiñ. studiorum fotim&nitatts amantissi*»
i>mum sédalo emendatura atque ule ideen uti le*
»gemibus . x.° modi comentum ad novam traduo
Mtionem eorumdem librorum Aristoteü* greci per
«Leonardum Aretinum elegantem utique in latí?
t>oam ItagUam suma dicendL*
En la librería del Señor Velasco existen dos
Tomos de folio de tas Obras de Santo Thomas*
de uno de los quales copié te antecedente Nota,
y no la concluí, porque no me dieron tiempo pira
ello: pero por razón que t$pgó de otro exemplar
que poseía el Rmo. Careamar ., consta ^ según inte
dice en su idioma Catalaq, que »Die xv Juny de
yMCCCCLXXVIII. se imprimí en la noble ciu?
»tat de Barcelona lo Commentari de S. c Thomaa
«sobre los libres Ethicorum ? sobre la edicio do
«Beroaldo Aretino per Pere Bruno y Nicolau
wSpindeler Alemaoijs»"' • . -
,£or aquí se Ye. que Jestas dos Obras de Santo
Thomas, uoa sobre 1* Ethkfl > y Ja ofirasótae
la Paito ¿caí se imprimieron en Barcelona en un
mismo año * y por unos mismos Impresores, I*
de la, Política dice asi;,/ /
gregii Doc^orj5i&tectí Thoro^dc Aqui-
«no in libros Politicorum Av (Aristotelis) comen*
»tum feliciter incipit.
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j* 43. Vote magna clamavit , lax.au veni foraal
CLmavit voce magna , non quod ad mortuum cxciq
tandum magnitudine clamoris tflet opus illi, qui foto
' voluntatis imperio facere poterat quicumqL*e vellet 5
fed Dcopter myllcrium. Quatriduanus enim mortuus
& fepultus , fignificat peccatorem inveteratum , qui
mole confuecudinis preflus, difficilius convertitur
i deoque maiori clamore , id eft , multis ac magnis Bc-
defi* precibus ac lachrymis opus eft, ad impetrandum
ei vitam animar 4 Deo. Porro non cft putandum, vo^
ccm Chrifti 4 Lazaro fuifle auditam , mortuus enim
erat , audire autem vits operatio eft ; fed ea vox ope-
ratoria fuit & efficax cx Dei virtute ad tnortsuro fuU
citandum, quomodo verba quibus confecratur Euchl*
riftia, 6t cztera Sacramenta perficiuntur, non operan-
tur,quia audiuntur , fed ut ex Chrifti inftitutione proq
feruntur. Alioqui St folcro, fle lunam quibus lolue im-
peravit ut flarent ; St mare, fle ventos , quibus Salva-
tor imperavit, ut quiefccrcnt dicens t tace , ebmuttfci }
Mare. 4. audivifle imperata , fatendum eflet. Si quis
tamen exiflimet animam Lazari apud inferos degen-
tem perccpifle Dei virtutem , qui juberetur ad corpus
redire ; non repugnamus.
^.44. Et facies iBm fudarloerat ligara.S.Arobr.liW
de fide rclqrrtdionis ptofudarit lcgiicr«rl»»fc. ah ore.’.
I
In. E vanadium Secundum Ioannem.
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Sanb bai b^<bfl< äBefen fcbon (ein ®leicbee,
Ttui bem Jteld) be^ ganzen SBefenreicheS
@(bdumt ibm bie Unenblitbleit."
^iefe spekulativen Srdume, beten ^auptresultat »ir
nach ^offmei^et „auch in unferne Stagen, mit bet än*
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240
«naßung btr abfoluten SBa^r^eit, »iebcrfe^ren fe^en",
finb oie(mel)r butc^ bte neue SDialeftif »efentlic^ befefhgt,
erfuUt unb }u unangreifbaren äBai^r^eiten gemacht ioor>
ben/ an benen ein selbsfjufriebener itantiani^mu^ ner>
gebiic^ nergeln wirb. Slud^ bie „3;af(^enfpielerfünile",
burd) bie nac^ @d)iUer bie eitle S3emunft bet S3efd>ämung
ju entgegen fucb)e, in (Srweiferung i^rer Jfenntnijfe bie
®rdnjen bet menfd>lic^en 9latur nic^t überfc^ritten ju
haben, geben wir ^errn >|)offmeifler jurüd, um fte „im
S)ien{le eine« feit JCant beraiteten SBahneä" gegen bte
SBahrheit unb SSirflichfeit ber S3ernunft anjuwenben.
^ie metaph^fifdie SSegrünbung, ba^ Cluabernfunbament
ber Sogif fe^it aUerbing^ unb ijl auch bon 0chifler'4
poetifch'ph‘^®f®P^if^<>” @eifte nie au^gefuKt worben, ob«
gleich bie ganje (e^te, rein probuftibe ßpo^e feinet Se«
ben$ unbeflreitbar auf ber Ueberjeugung bon Einheit be$
3)en!en6 unb 0ein$ unb ber göttlichen S3ernünftigteit ber
SBelt bafirt. 9ln ber Älaue ertennt man in biefer „Sh«®”
fophie'' ben Söwen. SBlenbenbe Schlaglichter entfahren
biefem hin unb Wieber übelberfianbenen 0pino}i^mu9.
Qi fonnte nicht fo bleiben in bem nach tlarer fBerflän«
bigung tingenben dichter; bie ihm alö ewig unruhiger
£eben^punft eingeppanjte Sortbilbungäfraft mufte ihn
später über biefeO blo$ gefühlte 0p{fem h>nau£treiben.
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Dans la respiration ordinaire, on voit distinctement cette couleur, dans le moment même où le sang passe dans l'oreillette gauche, et alors le cœur se contracte avec sa force et sa fréquence ordinaire.
Il faut être grandement initié dans les mystères de la chimie moderne, pour oser dire : on voit distinctement à travers des membranes opaques, épaisses et blanches, même à travers la propre substance du cœur des animaux parfaits, ce qui s'y passe, et vouloir persuader à d'autres que l'on a vu, cela n'est pas pardonnable ; c'est bien ici où on peut dire : Ad populum phaleras.
Quatrième Conséquence.
Quand la respiration est interceptée, l'éclat de cette couleur diminue par degrés, et les contractions de l'oreillette gauche s'arrêtent bientôt.
Cet effet, pour être expliqué, n'a pas besoin d'action chimique, de diminution de la couleur vermeille du sang ; il suffit qu'il y ait stagnation du sang dans les poumons, quand la respiration est interceptée, et que tant que cet état dure, il ne se porte pas assez de sang au cœur, ni avec la force qui fait sans doute le stimulus, pour que les contractions de l'oreillette gauche s'arrêtent bientôt.
Cinquième Conséquence. | [
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van koloniën geschi van zuiver Germaa
he afstamming zelfs Italië en Spanje reeds tui igeschikt zijn, daar de Lombardim in den zor no van eenige eeuwen in Italië, tot op nau- ue elLs herkenbare overblijfselen zijn verloren hij Lari.” «Dij de Gothen was nauwelijks een ya. noodig. om elk spoor van hen in Italië te ï vernieligeu” Evenmin zijn duidelijke sporen 111 dezen Germaanschen stam in Portugal en panje te ontdekken. Geheel overeenkom- me :ig daarmede is ’t gesteld met deEransche volks- ocl lanliiigen, voornamelijk in Algiers, waar het ijfer der sterfgevallen steeds grooter is dan gn lat der geboorten en waar alleen steeds nieuwe ec anvoeren van immigranten de leemten, door mi ;en dood veroorzaakt, aanvullen, „’t Was als ov en vuur, dat slechts onderhouden kon worlen, door er steeds nieuwe brandstof bij te wer- ga len,” zonder nieuwen toevloi d van nieuwe aaiicomenden kon de kolonie niet blijven bestaan. a n de blanken gedij e n éénig en te lil een in d e lande n a a n deke e r- R’ rringen grenzende (omtrent de eigen- w ijke keerkringen ontbreekt de ervaring), even- m 11 soVeral,d e J o d e n. Zij zijn geschikt zi sich daar te vestigen en eeuwen lang door n ruime voortplanting te blijven bestaan. ,
„Het feit,” zoo eindigt Vircliow, „staat vast, z’ dat alles wat van Duitsche afstamming is i n y den It oogst e n graad aan het geschetste l gevaar is blootgesteld, dan komen de JSoor- n delijke Franschen, dan de Provengalen, dan de y Spanjaarden, dan de Portngeezen en Malthezers en ten laat s t e n de Joden. Dit is de volgreeks. Hoe deze volgreeks in alle bijzonderheden zich laat verklaren, dat moet een i onderwerp van verder onderzoek zijn, 'wi alleen nog kortelijk vermelden, dat een 100 vraas, die hier te herde komt, deze is: i ‘ hoever is deze zonderlinge, men kan bijkans Tem immuniteit, welke de Joden onder de • omstandigheden bij de nieuwste – kolonisatie getoond hebben, gegrond op hun bijzonder leven, ophunstreugere J g ènische hnisho n d i n g, o p d e »..gv«iaigl.e.i de. | [
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(S3 ge^t feiten o^ne ^ein unb ^bränen ab, mnn ß^egatten, bic fi(^ ^erjs
lieben, burc(> ben 5:ob »ou cinauber geviffcn toerben. Sßeit (^^riftuÄ
bie grommcn liebte, mollt er aud) qcvn bei iünen bleiben, ^er ftt^tbarcn
@egeuh)avt uad) fonnt« nidjt ycidjcljcu, teuii im ^öttlidycu Jutl) il\u- be--
fc^loffcn, bafe er 50?enfd) »erben, ben 3uben ^^rebigen, am 5^reujc ftevbeu
von ben Itobten aufcr|ie^en unb ^emac^ gen Gimmel fai^ren follte. ^mm
mu|t cd unftd^tbarer SBelfe gefc^e^en im (Glauben unb ba^u ^at er felbft
b«d fD6cnbma|( eingefettet. 6imeond ®laubcndarme Urningen, 5DaiNbd
^aubendaugen fe^, ber Braut <8laubenSmunb Ififfet unb fdl^mcttet S^iis
fhtm im ^benbma^L feine brunflige Siebe ^at n\<S)t ertragen miSgen,
ba| er fc lang ton und tuSre bid an ben jüngfien Xag!
©etrac^tcn n^ir ben ^eilfamen ^uben, ber aud bem h)ürbigen SBrauc^
tief-r bhnmlii'd^en iDla^ljeit ju unS fommt , fo Tenc^tet und abcrmal bie
Siebe (Rottes inj3 ^erj. ^)icr finben mv cine©tdrfung unb Sabfal wn-
ferig ©tauben^. 2)enn ift ein '^fanb ber Siebe i£^rifti, ber livlcjung,
*>cr T^rjebiiuni.^ mit @ott, ber ^^evgebung ber «Siinben, ber ^öd)ften -Ikxi
einigun;! mit (n)vifto unb allen feinen ^liebem, ber ^luferfte^ung unferer
Seiber ^uui eaugcu hieben, h^a^ foQte unfern (glauben fräjtiger [tavfen
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Umm, ai^ b.u^ OV^^a*tn{§ bc3 bittern Jeibenig ^t\u ©^rifti? 5lc^, mmi
ein nnner, betrübter ©unter biefc JBortc ^örct: „Sänini unb iß! ba« ift
mein Mh, für bic^ gegeben; mein 33(ut, iür bid) Wtgoffen, ba« tbue
tneinem ®ebäd3tni| — ja \um @cbact)tni^ nidnei^ 5^abe^, baburd) bu
@ctt ber[5^nct bift/' — ttja^rlid; baÄ bWfet ba« glimmenbe ^(aubeni9^&<l^ts
lein auf, emerft flnbac^t unb frÄfllg ©eufjcn gu ®»tt. $)(i§ e0 «Itter
ben ^ttHgeit ^riflen fo SBeiHge emppnben, f&mmt ba^er, l9fK fk mnr ml
#rtoi>^n^eit \)[nni gel^n, o^ne bag fk ber ^lige ®dß bunl| etile ^inH^e
VnQft ttttb 9er^m|e 8c^|jMe Nigu tNiM. ttcil fi€ bann iveiiig t3nmd%t
Mt «nl 64iv<t4l<tt iititbrtn()en, fo trafen fie aut^ toemg Xrcfi unb @tSrfe
ivcfi. 9tw[ ben mMc^goi ift iSniHktim^ wib bcii Sdbtmdenbiit tcifl
Sie btdB ^immUf^e 9]lta(t ben (3)(auben fieirfet, fo ^flnbet e9 an «nb
meßtet bic Siebe ju (^ctt unb bem ^adjften. | [
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Pour les faits et intérêts locaux : H. Rioubland. Notice Bibliographique. A l’approche de la Première Communion qui va se faire dans les différentes paroisses de notre ville, ainsi dans toute l’étendue du Diocèse, successivement, je crois devoir rappeler aux familles et à MM. Les Écclésiastiques que j’ai, en ma Librairie, les ouvrages les plus propres à fortifier et à développer les instructions, déjà données aux enfants, dans chaque paroisse, par MM. les Curés. Parmi quelques-uns de ces ouvrages que je pourrais citer avec éloge, parce qu’ils sont aussi intéressants par l’instruction qu’on y puise qu’édifiants par la piété qu’on y respire, je me contenterai de nommer les trois suivants, qui doivent avoir pour les Diocésains un intérêt plus direct, plus particulier; c’est, premièrement: LE PETIT MANUEL DU COMMUNIANT. ABRÉGÉ DE LA DOCTRINE CHRÉTIENNE, Composé par Monseigneur l'Évêque de La Rochelle. Cet opuscule renferme tout ce que doit savoir et croire un jeune chrétien : prières du matin et du soir ; conduite pour la confession ; examen de conscience ; règlement de vie après la Première Communion, choix de prières &. Ce petit livre, d'un style clair et concis, d'une telle autorité de parole, est à la portée de toutes les intelligences et il doit être à chacun d’autant plus précieux que Monseigneur déclare lui-même qu’il l’a composé pour être offert à ses Diocésains comme le témoignage du vif intérêt qu'il porte à leurs âmes. Le second ouvrage est intitulé : LES DOUX SOUVENIRS DU CHRÉTIEN. C’est Un livre, OU plutôt un véritable album, qui devrait être entre les mains de la jeunesse chrétienne, parce qu’il rappelle les trois grandes grâces qu’elle a reçues, dès ses premiers pas dans la vie: Le Baptême, La Première Communion, et la Confirmation. Ces trois principaux actes du premier âge sont représentés par des tableaux emblématiques dans lesquels l’enfant peut inscrire son nom et ses prénoms, son âge et la date à laquelle il a reçu chacun des trois sacrements précédemment désignés. | [
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uaa|,.ttrb6 M4a«olU grave iaceodium. cil expecta.. Multa
3» NOVA ACXA.ERUDITORUM -
oomniodo epifcopatus adquidvit. A. 12289 quidam ipruna^
. ^ . , apud Qregotitm IX criminati erant, ao fi ob decrepitaoi acta-
tepi mQiuls fii» motiandispar nofi mpUt» efllrt:^^^
res antUlitibiii liitagdeburgenii & Brandeoburgenfi di(cut|cii*
da datfl elTet, adveriarii iffiva repuKam tulenim; 000 mnlt^- •
Pa£«H^-i6j«poft vtvis pteeffit A. iiaO. iiilitMrifut^ eoi imp. tHderii^
f iurll omoe aoniro, argentom; vel alkid metdhit^» ^od vd
V 1n fodiols, vd io £avi!s repericecnr, addixity eidenK|iie boaU
tatem monetas endendaB conceifit. A 1937 tHderico^Ih Bri-
iciam obGdenti, adfuit A. 1237. Vivis eA exemtus A. 1440»
103 * itfft 23) Conradut I, qai fiib aufpioiis niuneris fui S. PauJi coeno*
biuni LipGx, una cum aliis» initiavir, ' Canooici ]^ff^ifo(e£
epud Ilugtmcm leeatum pontiGcinm accufati eraut, i^od ab
Mlefia fua abefleat} hos proinde, literis ad Conradum iim
! 1252 datis, graviter monuit Pontifex, ut officio fuo fiKerint iatis.
- Tnnocentiur ll^ A. 1254 imperavit, ne quis in canooiconim col-
lcgium reciperetur, nec beneficiuiii aliquod accipefer, nid
ponlificiis literis mnnitns efTet, item, i\z qnis pnctcr pontiff-
cem, intra proximuni triennium, cxconiinunicationis, ve! lus-
penfionis fcntentiara pronuntiarer. Mortc interceptus pfl
jtfJSt" *80« A. 1258. 24) Albcrttu If, vir doc^us, & moribus probatis.
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Ecco una delle cose dall'amico a me conosciute. La sua cara sposa, la sua diletta compagna, la pupilla degli occhi suoi a me l'ha raccomandata. Mi ha incaricato d'assistervi, di soccorrervi, di non allontanarmi da voi.
Mi sembra strano, che D. Roberto voglia appoggiare all'assistenza d'un uomo che non ho mai conosciuto, e che non ha mai veduto frequentare la sua casa.
Voglio intendo; vi sarebbe più grato, se tale incombenza l'avesse appoggiata a D. Federigo, non è vero?
D. Fiamminio, voi mi offendete.
Perdonate uno scherzo. Sappiate, che egli sarà quanto prima in Napoli.
In Napoli? Come?
Mediante la mia assistenza.
Sarà rivocato il suo bando?
Sarà rivocato, avrà i suoi beni. Il mio nome può molto presso la Corte, e non vi è grazia chiesta da D. Fiamminio, che non sia velocemente ottenuta.
Se così è, D. Roberto avrà a voi tutta l'obbligazione.
E D. Eleonora non mi sarà punto grato?
Benedirò il vostro animo generoso.
Mi guarderete voi di buon occhio?
Oh, signora padrona. Le dame arrivano in questo punto colla carrozza.
Va tu a riceverle. Di' loro che perdonino, eh' io non ho servitori.
Eh non temete, non mancheranno loro braccieri. (parte.)
Quante cose ho ancora da dirvi intorno all'arrivo di D. Roberto! (È necessario condurre la cosa in buona maniera.)
Ma voi mi tenete in una crudelissima rena. | [
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The narration of the capture and escape made
Jack wild with excitement. All the next day
he was in a state of tremor, and that evening
he and Jake spent a long time up in the barn
together talkkig, or rather Jack talking and
Jake listening. Jake seemed to be doubtful;
but Jack's enthusiasm carried all before him,
and Jake yielded, as he nearly always did.
307
AMONG THE CAMPS
All that evening after they got back to the
house Jack was very quiet. It was the quiet of
suppressed excitement. He was thinking.
Next day, after dinner, he and Jake started
out. They were very mysterious. Jack carried
a rope that they got from the stable, and the
old musket that he used in hunting. Jake car-
ried an axe and some corn. They struck out
for the creek as if they were going hunting in
the big woods, which they entered; but at the
creek they turned and made for about opposite
where Jack understood his friend had been
thrown by the wild horse that night. They had
to avoid the pickets on the roads, so they stuck
to the woods.
At the river the first difficulty presented it-
self; the bridge and ford were picketed. How
were they to get across? It was over their
heads in the middle. Jack could swim a little,
but Jake could not swim a stroke. Besides,
they did not wish to get their clothes wet, as
that would betray them at home. Jack thought
of a raft, but that would take too long to make ;
so finally they decided to go down the stream
and try to cross on an old tree that had fallen
into the water two or three years before.
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Esopo. Favole, tradotte in Sonetti, per Accia Zucco. Verona, Gio. Alvise, 1478, in 4 -
Euripide. L’Ecuba, tragedia, tradotta da Giam Battista Gelli. Senza alcuna nota, in 8.
Fiore di Virtù. Ven., senza nome di stampatore, 1474, in 4 -
Firenzuola Agnolo. Prose. Firenze, Bernardo di Giunta, 1648, in 8. — G-a. H-m.
Fonasi Bastiano. Libro chiamato Ambiguum. Senza alcuna data, in 4 - — G-a.
Fiacastoso. La Sirena, lib. tre, volgarizz. da Vincenzo Benini. Padova, Cornino, 1738, in 4 - — F-i.
Francisco (S.). I Fioretti. Venezia, Nicolo Garesio, 1480, in 4 - — A-l.
Gli stessi. Perugia, Stefano Arna de Hamborch, 1481, in 4 - — A-i. G-a.
Franco Matteo, e Pulci Luigi. Sonetti giocosi e da ridere. A petizione di Ser Piero Pacini da Pescia (sec. XV), in 4 - —
G-a.
Frizzi Federico. Quaternario del decorso della Vita umana. Perugia, Stefano Arna, 1481, in fol. — A-i.
Galilei Galileo. Lettera a Madama Cristina di Lorena, etc. Augsburg, Trechsel, 1636, in 4 - — G-a.
Le Operazioni del Compasso geometrico e militare. Padova, in casa dell’Autore, per Pietro Marinelli, 1606, in fol. picc., 4 g. — G-a.
Gelli Giambattista. Capricci del liottatore, Firenze, per il Doni, 1546, in 4 - — G-a.
Gli stessi, Firenze, (Torrentino), 1548, in 8, con ritr. — G-a.
Gli stessi. Ivi, Torrentino, 1551, in 8, con ritr. — G-a.
La Circe. Ivi, Torrentino, 1554, in 8.
G-a.
Lo Errore, comm. Ivi, Torrentino, 1556, in 8, con ritr. — A-i. H-m.
La Sporta. Ivi, senza nome di stampatore, 1543, in 8. — G-a. H-m. | [
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Subsets and Splits