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Chap. xxiv. 'Why is it,' he asks in Chapter xxiv, 'that times and ^^"^^ ■ periods for just retribution are not laid up and observed by the All-powerful ? Why is it that those who recognise his power see not his days!''' You know how often the word Day is used in this sense in the Bible — for God's own time of meting out doom and retribution. ' Look out,' he goes on, 'on the spectacle of life; do you see the clock-work The sufferings of the rural poor. 209 regularity of goodness and reward, evil and penalty, of which lecture my friends and comforters speak so glibly ? Alas ! the whole VIII. " world is out of joint." It is a mere selfish struggle ; the „, weaker always overpowered ; the strongest always surviving. Here you see the rich landowner removing his neighbour's ver. 2. .landmark, curtailing by fraud, in a hedgeless unfenced land, -the narrow possessions of his poorer countrymen.' Cursed, you remember the solemn words ', cursed he he that re- mmeth his neighbour's landmark. And all the people shall say. Amen I But Job sees no curse fall! 'And another,' he tells us, ' takes by force his neighbour's flock, and feeds it as his own, and with his own. And mean avarice has neither shame nor pity. The one ass of the orphan is driven away, ver. 3. the widow's one remaining ox is led off as security (or as forfeited) for some petty loan. And deeper and deeper sink into the mire of misery the " poor of the earth,'' the needy ver. 4.
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L'organe a déclaré qu’il considérait comme parfaitement en accord avec le contrat de 1871, la première vénitienne. Enfin, M. Lepin insiste auprès du ministère de l’intérieur, jour que le projet de règlement est prêt pour la réglementation de la circulation des cyclistes dans les rues de Paris, il s'promène à son tour de la part du comminatoire, MM. Desvilles, député de la Corrèze, et Max Viguier se proposent d’aller demander à M. Barthon, un des commissaires de l’intérieur, d’autoriser enfin la publication de la loi ou ordonnance préparée par M. Lépine, qui donne suffisance aux "des premiers" des cyclistes et qui est l'objet d'une attente par le Bureau Central Météorologique. Le changement dans la situation signalé hier se dessine nettement aujourd’hui. Les faibles pressions couvrent l’Ouest de l’Europe, elles ont leur centre en Irlande où la baisse barométrique atteint 765 m/m à Belmullet. L’aire des pressions supérieures à 765 m/m persiste en Pologne. Le vent est faible de l'Est sur nos côtes de la Manche, du Sud-Est sur celles de l’Océan, il est variable et faible en Provence. Des pluies sont tombées dans le Nord de l’Europe, en France on en signale dans le Sud où des orages ont éclaté et ont fourni 9 m/m d’eau à Clermont, 6 à Biarritz, 2 à Bordeaux 1 à Lyon. Le thermomètre continue à monter il marquait ce matin 23 à Brest, 13 à Moscou, Vienne 19 à Paris, 21 à Trieste. On notait 11 au Puy-de-Dôme, 5 au Ventoux, 0 au Pic du Midi. En France, le régime des vents du Nord qui régnait depuis deux mois cesse aujourd’hui. Les vents du Sud vont dominer avec temps chaud et orageux. À Paris hier l’après-midi beau. Moyenne d’hier 1er juin 18.6, supérieure de 3.0 à la normale. Depuis hier midi température maximum 27.5, minimum de ce matin 14.4. Baromètre à 7 h, du matin, 757 m/m. À la Tour Eiffel maximum 25.8, minimum 14.1. Situation particulière aux Ports Manche. — Mer très belle à Dunkerque, Calais, Boulogne, Le Havre et Cherbourg. Océan. — Mer très belle à Brest, calme à Lorient. Méditerranée. — Mer peu agitée à Marseille, très belle à Sicile, Nice. Corse. — Mer belle aux Îles Sanguinaires. COURSES À SAINT-OUEN Mardi 2 juin. RÉSULTATS PRIX DU BOCAGE.
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Se concluyó por entonces la guerra civil sin haberse hecho uso de la autorización del empréstito; y antes de hablar de la época posterior al pronunciamiento progresista, que colocó en el poder á los hombres de esta comunión política, recordaré que el importe de la Deuda flotante que, emitida por la Dirección del Tesoro sobre las Cajas de productos líquidos, existia en circulación en 31 de Di- ciembre del mismo año de 1840, ascendia á la reales vellón. suma de 576.759,007 12 que hecha deducción de existencias y valo- res por 170.049,081 18 quedaba reducida á 406.709,925 28 y que al presentar á las Cortes este estado en fin de Marzo de 1 841 , se indicaba que en aquella fecha, y según cálculos formados por la Contaduría general de distribución, podria ser menos de 300 millones; pero como por separado existían giros ó Jibranzas tam- bién de Deuda flotante, espedidos sobre Jas Cajas de productos totales de las rentas por las Direcciones generales de recaudación, y cuyo importe no he llegado á conocer, distaba esta cifra bastante de la total de Deuda flotante en la época de que se trata. Bien podrá suponerse que no bajaría de 160 millones la parte de Deuda flotante que procedía de libranzas espedidas por los cen- tros de recaudación, incluyendo de consiguiente los arbitrios lla- mados entonces de amortización, cuya cantidad unida á la de los 106.709,925 re. 28 mis. de las que emanaban de la Direcccion del Tesoro, formaban cuan. lo menos una masa de .')()(>. 709, (.)2;> rs. 28 mr>., representada generalmente en letras, aunque también en- traban en ella bulólos y otros valores.
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Voici un poirier tout formé en plein rapport; vous y pouvez remarquer des boutons à fruit qui fleuriront l'année prochaine, d'autres à divers degrés de développement; des branches courtes, toutes chargées de boutons à fruit : ce sont des bourses ; d'autres plus longues, très-riches en boutons à fruit isolés les uns des autres ; ce sont des lambourdes ; d'autres plus minces, également riches en productions fruitières : ce sont des brindelles ; enfin, sur les principales branches, de petits rameaux très courts, terminés par un œil très-pointu : ce sont des dards. Les lambourdes ne se taillent point, non plus que les brindelles, à moins que celles-ci ne semblent trop longues et trop faibles, auquel cas on peut les raccourcir avec ménagement. Les bourses sont ménagées comme les plus précieuses des productions fruitières du poirier. S'il arrive qu'il s'y forme un œil à bois, on peut sacrifier une partie de la bourse pour tailler sur cet œil dans l'espoir d'en obtenir un bourgeon capable d'attirer la sève, et de prolonger par là la durée et la fécondité de la bourse qui finit toujours par s'épuiser.
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Au pas sage. quelque» pans «le murs, un resta d'ogive d'église surgissent du sein de» hér ités folle». C'eut tout ce qui demeure do Mes. nll-l«*s.|lurlus Puis «le» 111» do fer barbelé» étendant leur réseau rouillé au-dessus du sol blanc sale, de* abri* dan* le sol fouillé# rtarawdé, convulsé, de» champs funèbres peuplé» de croix blanche» : c'est le chnmp «le la bataille de Tnhura. On en sort comme d’un cauchemar... Enfin, cm retrouve «le» êtres humains, des nmlmnis, des cultures, de la vio et, à Sommetomrbe, le train prcaldoutiel qui repart pour I'urls. LOUIS l)AUSSAT<iCONSEIL GENERAL DES BOUCHES-DU-RHONEî.n séance est ouverte »ou* lu présldoncu «le M. Pasquet. M. Marty, secriUuil'e général du la préfecture, représent« M. le préfet. L’ononc du jour M. Brèntoml présente un vœu tendant à co nue l'école «le métier» d'Arles prenne lo nom «l'école ï.oul»-Pu»«|U«t. vit tiommiigo un prêsldent «tu Coinell gun«>ial, qui a apporté tout son concours à la réalisation «lu cotte œuvre. M. J. Fwbro fait Bdoptur nue tiiâliou t«ui«1«mt t« «'«’ uuu l'KInt himOWIo «««««' «ulivcuâUon «t» oa.eoo trutiçs nu niêparleiaeut i«uir ex*r.utluii d'uu progzeuiuie «lo travaux «(«' vlvliuUltê. M. J. QoiiIii exposa dlvvr*v* (jilfilloie ayant liait ti lu iti'glo dm clieiuiu* Un (et yt tramway» iltivnvioitii'iitaiix et a mm tfersonnol. U «tamanrtc. tmliuu* m, nt de» imiêllovaUtmw au iraliomanl «le* u«ii*I*>yO» et ouvrivra. l«» couuuwIirw du rapporteur «mut edoiitêi**. M. Amiiroelnl damamlo quo !e» commtsvhum «la» i liemln» «la (rr, de» tramway» « t «le» chemin» vit naît foinielit mm seule (jnmmlxvioa « qui «niitiu'Alt I îirtioii «lu ( «mselt «{<W>rul, en vm« «le I «'t>i«»« «le» Uoleiuiri’* «lu permuim'I. M. EunAm* l*ierr«« revlvnl mit la ipihütlva «llîu'Uli** hier, nu sujet «1e> Inrtrumlli» ft nv<«ir<)er au le rvni uel «le lu Préfecture et II domniule *1 l’ln«1«miilt0 «le vie clièro «le TVo (rama a Clé, oui ou mm. maintvuu®. M. le Président r«t*ou<1 une la «incaMvii^ «•ntlêrt' a C.ti'. rtinvuyCe a la i«r«*clii*ln*» mimI««I« «lu « on»rll ««' liSral, «lui statuera. A vi lle «coque. »ur l lmleiim !«' «le vie «’héin (-ouune mir li"» ImlninnUés «la grailo, uiutmmlalion «le traitements, rtr. M. Oeuhi «li'iuamle g UC *<»H inalnlenu l'artlrla 1 '■*. roiicerunut la mise t la retraite et II «lemaiiile Ajiwl «me auumnutatlou «le pension iiour ica foncllonnaire» l^re» «le A enfant». M. Régie rappelle «tue.
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Je sais bien qu'à moi seul, créature ignorée, Je ne pourrai jamais arrêter le torrent; Mais, pourvu que ma main, quoique mal assurée, En détourne un seul flot, je passerai content. Je sais que, faible encore comme une voix de femme, Ma jeune voix se perd dans le peuple assemblé; Mais, pourvu qu'un seul cœur, tendre écho de mon âme, En recueille un accent, mon vœu sera comblé. Je sais que l'arbrisseau, quand le givre l'enchaîne, Gémit, voyant tomber ses jeunes rameaux verts; Mais l'été va venir; alors, robuste chêne, Il pourra, dédaigneux, résister aux hivers. Je sais d'un vieux marin, intelligent pilote, Que ce siècle est un bord obstrué de rescifs, Où l'on voit la croyance, humble comme un ilote, Errer loin du sophisme et des regards lascifs. Je sais, quand Dieu le veut, que tout change de forme; Qu'il fait naître le bien des entrailles du mal; Qu'au gré de Jéhova, l'être le plus difforme Peut rentrer en son sein, purifié, normal; Que le vice est la claie où, céleste martyre, La vertu souffre et meurt pour remonter aux cieux, Pareil à ce bûcher d'aloès et de myrrhe Où renaissait plus beau l'oiseau mystérieux. Mais, quelque grands que soient les travers de cet âge, L'homme né pour penser doit parler sans effroi. Obscur ou triomphant, tout penseur est un sage Qui se doit imposer la vérité pour loi. Car nul tyran ne peut enchaîner la pensée. Il faut qu'elle jaillisse en faisceaux éclatants, Ou qu'elle coule à flots sur la foule amassée Des lèvres du génie ou d'un cœur de vingt ans.
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"Versino-Schl, vers I. Hohenemsner-Loneil' ümlist kol 8«nualilzil I>l> IS. FIü»/ stntt. Sv«rin : kl'» VIxriv«» Gaivorzo. FU. K»«I,I«, stüiR. Kapellmeister. ksstlisus riir tMo. Kettle So«,«lag 'Abend «ros8S8 Mitzver-Voaverl gespickt von der Kapelle des 104. Regiments. - Direktion: «» ckc»!»»!». t ^»I«»8 8 HI». Lliutiltt t»0 L'lix. .1 klavt, llem Konvent Ikr»II Schützenstraße 2. A- öffentliche Veranstaltung. <ML iii»«L »«1- KLoLiirr. Heute Sonntags 8lAnI<b686lrl6 8a!Imu8il<. Hierzu ladet ergebenst ein Emil Porstmann. 4»ri8tlir»ii8 ir« i»8«I<»i4 5 Minuten nun der Endstation der Straßenbahn. Heute Sonntag b« 3 Uhr >D »» 11MMM M» Gs» Hochachtungsvoll Ernst Nettbatte»-. an „lum üotienroilein" Heute Sonntag Nachmittag grv88S8 Mitzver-Louverl kLStllLUS AlvllKLblVM. Karpfenseligaus mit Kall. Hochachtungsvoll O»il Livvl»l8«i. vi>8 7. WM fM8-8kSl-IlIl'M>' in einminnitr findet am 13. März in den Sälen der „Linde" und ev. „Börse" statt. Teilnehmerkarte 3 Mk. Beginn der Platzverlosung V,2 Uhr. Das Turnier im großen Saal beginnt, sobald derselbe besetzt ist, dann folgen die übrigen Räume. Wer in der „Linde" nicht mehr platziert werden kann, spielt in der „Börse". Bei 600 Teilnehmern kommen 300 Preise in den Beiträgen von 200—1 Mark zur Vertheilung. Das lebendige Interesse, welches dem Turnier entgegen gebracht wird, lässt es, besonders für auswärtige, als geboten erscheinen, sich rechtzeitig, unter Einsendung von Mk. 3,20 eine Teilnehmerkarte kommen zu lassen. Teilnehmerkarten — alle auf das Turnier bez. Bestimmungen enth. — sind zu haben bei folgenden Firmen: 6. kiosk, Innsbruck, p. krusdoro ll, Königstr., L. Wolf, Langestraße, gespielt von der Kapelle des 104. Regiments. Direktion: <->. ckculbril». ILiilaue /,4 LI,r. IRutittt SO L't. «. I»ali»v. MitzWWlijlyloWeil. KlUltkt- üli!» VliWMifftMl mit Nl'iiiklgllckll. , Heute Sonntag A: K L «88«8 < «»««» 1 von der 8>«»»t'««Iivu < Anfang ' 4 Uhr. Eintritt 40 Pfg. Vorberkansskarten ä 30 Pfg. an bekannten Stellen zu haben. Von 6 Uhr an Ikillimi^il». Ergebenst VI,. Volosssum- AZ: K-I'«»88«;8 <<»S!««lt - lis»' gsscimmlsn 8lÄä1i8olien Lapellv. ^ntniiK / 4 TI». Iliiili itt«i»«l« SO I't. Ft. I'«»IiI«, sti'iät. Kapellmeister. .Von 8—18 Uhr iirilliiiii8>li. ir>alL>»vi»»«li>,. Ich musste Ihnen in erfreulicher Weise mitteilen, daß mir Ihr Volta-Kreuz sehr gute Dienste geleistet, mich sogar von meinem nervösen Leiden, Rheumatismus, Gicht und Schlaflosigkeit befreit hat. Ich rate jedem, der mit einem ähnlichen Leiden behaftet ist, Ihr Volta-Kreuz zu tragen. Ingenieur und Acheln. 6. 81rsssoi'. Ihre zwei Volta-Kreuze habe ich erhalten und danke Ihnen von ganzem Herzen."
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E. J. Armbruster, who was injured a week ago in an automobile accident, has so far recovered that he was able to be removed to his home yesterday. Mrs. Sam R. Kelley of St. Regis, Mont., is visiting in Moscow, the guest of her mother, Mrs. J. E. Mudgett. Mrs. Kelley formerly made her home in Moscow. Mr. and Mrs. Theadore Lundquist, Walter Johnson and Bliss Olga Johnson left yesterday for Cumerine gulch where they will camp for two weeks or more at the Gerney camp. Mrs. Elias Day arrived in the city from Portland yesterday and will be the guest of Mrs. Warren Truitt through this week. En route to her home in Chicago, she will tour Yellowstone National park. In the case of Mrs. Charles Heyer Minden for the collection of a promissory note of $59.39, interest, costs, and attorney's fee, Judge Adrian Nelson rendered judgment for the plaintiff this morning. Mr. and Mrs. Ernest Griner of Cashmere, Wash., are the parents of a little daughter, born the last week in July. Mr. and Mrs. Griner are both graduates of the University of Idaho. Mrs. Griner was Miss Jennie Horton before her marriage. Miss Mae Wood, in charge of the corset department at Creighton's, left for Spokane yesterday to take postgraduate work at the Gossard school which will be conducted for one week at the Davenport Hotel by the H. W. Gossard company's staff of experts for the purpose of instructing the Gossard corset agents in the science of perfect. Corset fitting.
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injunction, and the appointment of a receiver or receivers, or trustees ; whereupon the chancellor, being satisfied of the suf- ficiency of said application, and also of the truth of the facts and allegations contained in the said petition or bill, by af£- -davit or otherwise, and upon giving, when so ordered, such reasonable notice, to be served or published, as the chancellor in an order to be made for that purpose shall direct, the chancellor may proceed in a summary way to hear the affidavits, proofs and allegations which may be offered by or on behalf of the parties; and if upon such inquiries into the matters or cause of complaint it shall be made to appear to the chancellor that the said company has become insolvent, and shall not be about to resume its business in a short time thereafter with safety to the public and advantage to the stockholders, it shall and may be lawful for the chancellor to issue an injunction to re- strain the said company and its officers and agents from exer. cising any of the privileges or franchises granted by its certi- ficate, or by the act incorporating the said company, and for collecting or receiving any debts, or from paying out, selling- assigning or transferring any of the estate, moneys, funds, lands, tenements or effects of the said company, until the court shall otherwise order.
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Algunos de aquellos monges Való cianoshauian conocido' al padre fray Baptiíla Mercader: y comofe pregun- taíTcn cftós al fíeruo de Dios de aquel bédito padre., refpódio afSrmatiuajne te que ellaua en el cielo. Dixeron me» que el íieruo de Dios Ilamaua a la fie- ÍUdel Corpusja íiefta de los enamo* ' ~ radoi% fray TSticolar FnSlor. 39$ rados.Y que les dixo, como reniá elle don del Señor , que por reuelacicn en entraren vnaygleha,conociaclaram5 tefí hauiafacramento reíer u ado en c- 11a. Yeftolotratauan entreíilosmon- ges, conforme a lo que eferiue Guiüet ¿no Parifieníe en fü Rhetorica diuina* de algunos rdigiofosquetuuicrÓefte jfeífnío don . Ymasdixo aciertos r di i* giofos,como yendo vn dia a dczir Mí ía,Ie fuereueíado ,q en lósextvcicioi déla contemplación fíguieífcla dpífbri na de Taulerío , por fer comunmenté déúora y piadofa¿y no repugnante aló queenfeña lafanéla Romana ygleíia; Y tambié les dixo como hablando vti dia en Valencia có ei padre fray LuyS Bertrán, le pregunto : Padre yo yre al cielo^ refpoñdioleel bienauepturado padre.Si vos nó, quien? * Dixeron memas aquellos padres* cue no les caufo admiración alguna el hauer ydo el padre fray Nicolás a los padres Recoktos,y Capuchinos , por militar 5 q 6 ' La Vida del pA&rt militar todos.es a íaber , obíeruantcs^ y ellos (o vna regla de nueftrpS^craphi co padre fant Francifco, declarada por losfummos PótificesNicolao V.yClc menee V.en aquellas extravagantes comienfan.La vnat Exijt quifcminAt^ la otra:fVw^eP<<K4dijo^e?^ c.Dclas qua les todos los íobredichos religioíos v- Jan con fapa,y íeguraconfciencia.Yaü que mudara diuerfo habito, y eftado, huleando mayor perfe&ion , n inguna cofa le tocaramidifpnnuyerafulán&i J dad . Porque lo miímo hizo el glorio- fo Patriarcha fan¿toDomingo,el qua! antes de fundar fu facratifsimaOrdcnA fueCanonigo reglar.Y el gloiiofo fant Antonio de Padu abantes que tomaíTc el habito déla Seraphica Orden délos Menorcs,fue déla Orden de los Car ñañigos Reglares. Y afsi tnifmo S.Hu go Obifpo Licoenfe, mudo el habito, y. citado. Y muchosotros varones de 'j muy grandes letras y perfe¿tion,hizic ron lo miímo . También como regia fray Nieblas TaElorl 39 7.
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i6. Que tanto en los pueblos en que estuvieren los mesones y ventas que se hayan de com* prar y construir de cuenta de nuesta diputación , como en todos loa demás del reino no se impi* da ni embarace por sus ayuntamientos ni otro gobierno , que los mesoneros y venteros hagan sos provisiones y abastos para solo el consumo de sus mesones ó ventas , por mayor ó por meDor, y en los mismos términos quo se permiten á los otros vecinos del ptieblo» sin que eoue estos y aquellos baya diferencia alguna en ese particular. 17. Que nuestra dipuucion ha de quedar autorizada con lodo el poder correspondiente para la construcción de los dos nuevos caminos de Logroño y Sangüesa y de los mesones y. ventas que tenga por convomVntes en los sitios y parages de ambas rutas; y de lo> otros doe caminos que se hallan construidos en el modo prevenido en los anteriores capítulos; y asi mi¿mo para la conservación y reparos que ocurran en adelante con absoluta dirección; go- bierno y manejo independiente de cualquiera comunidad , ó paiticular y en las circunstan- cias que el augusto padre de V. M. le hizo la confianza i!e la constnicpion del camino de la provincia de Guipúzcoa. Suplicamos á V. M. con el mayor rendimiento se digne concedernos por ley todo lo que contiene e:«te pedimento y cada uno de sus capítulos , que así lo esperamos del paternal amor y suma clemencia de V. M. y en ello etc.
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Digitized by VjOOQlC — 31 — baden 1 ) und bettet SSarfüster Gebäude SWeljer 2 ) fernen mir in ihren Grenzen einen Anlauf gegen die obmaltenben 3Ripbräude nehmen. Generar in S3afel fietjrer 3toingli'§ und 2eo Subä'S und ljatte, nad)ben et in Siel ber neuen Seljre §al)n zu breiten gefach, 1515 eine ©teile am 33tncemenftift in Sern erhalten ; 3 ) diefer fd^emt erjl nad) 1520 bei Strasburg der nach Sern getommen zu fein. Urfunblid) fommt er erft 1525, Oktober 19., all Sefemeijler bei Serner Sarfüjjer bord. 4 ) 3n gleichem ©inne toirften nad) eine Steige anberer Scanner: zum eigentlichen Reformator in Sern aber zuar fein anberer so toie Sert^olb Waller 5 ) benimmt. 6§ ist notfjmenbig, bafc mir einen Slugenblirf bei ben 3ugenbjaljren beffelben flehen bleiben, ©ein $eimat§ort ist baß große fötoftbifdje 3)orf 91lbingen, 6 ) mo er im 3al)r 1492 ge* ') Stfirler, Urfunben ber benutzen stria^enreform, $b. I, 6. 4. §efoetten$ berühmte Männer oon ^fenninger u. Htteifter, 1799. 6. 233—40. 2Bir$ IV, 529 u. ff. Sdjuler, §ulbreidj 3roingIU 1818. ©. 21—23 u. Sinmer!. ©. 5—6. Da) 3, ®efd)id>te con 33afel, 1821, V, 381— 82. Mahne, vita Dan. Wyttenbachii , 1823. p. 2. Sppenaeller, II. $1)1., mytttnbati) je, 1828. 6.64. ßubn, Hefor* matoren 33ern$, 1828. 6. 47—83. ©acuter, %hatin und Sitten ber 6*^ 1838. mit 2. ©. 192. Dr. Slöfä, $6. 20., im ferner Saften* k$ 1853 8. 161 ff. 3 ) SSrgl. über SWeuer'S 33iograp^ie bei bei Sinsheim und SBöttenbach «geführten allgemeinen Söerfe. *) etaDtar^i» Siel, CXXX, 122 und lat. Miss. 8ud) beö »in* etnjenfttftä in SBern- H. p. 114 b. 4 ) etürler 100.
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Am Rande der neuen Maschine, wie dass sonst üblich zu sein pflegt, zu beladen, hat vielmehr den letzteren auf dem Gewinn an der Produktion der zwei alten Maschinen bezahlt, so dass der Gewinn nur 29,468 -St beträgt. Es sollen hiervon 21,402 ^l zu Abschreibungen verwendet und 8065 -St aus neue Rechnung vorgetragen werden. Eine Dividende gelangt demnach nicht zur Verteilung. Die Gesamt-Production betrug 1,014,709 Kilogram, d. i. 311,269 Kilogram mehr als im Vorjahre. Die Netto-Abnahme betrug 433,438, oder 38,246 mehr als im Vorjahre. Bauern Tuchfabrik und Kunstmühle (vorm. E. G. E. Mörbitz). Der Ausschüsse hat die Dividende für 1880/81 aus 4 Prozent (4 pro Aktie) festgesetzt. Berlin, 7. Juli. Mit dem Bau der projektierten Bahnstrecke Stockheim-Ludwigsstadt wird es nunmehr Ernst. Nachdem also der erste Schritt zur Verwirklichung dieser wichtigen Bahnstrecke, welche die Bestimmung hat, den kürzesten Schienenverkehrsweg nach Eichicht bezüglich Saalfeld herzustellen, geschehen ist, dürfte auch an der Ausführung der nur 4 Meilen langen Verbindungsbahn Sonneberg.Stockheim nichts länger zu zweifeln sein. Mit dieser würde der in Lichtenfel mündenden „Werrabahn" mit Benutzung der kurzen Zweigbahn Koburg-Sonneberg" ein nennenswerthe Bedeutung gegeben, denn sie würde den direkten Verkehr der bayerischen Bahnen mit denjenigen in Thüringen und Sachsen ermöglichen und den aus Süden bezüglich Nordens kommenden Reisenden die Touren ganz bedeutend verkürzen. Unserer Stadt — dem Tiefpunkt der Werrabahn — insbesondere und der Fabrikstadt Sonneberg würde durch den Bahnkurs Sonneberg-Stockheim ein lebender Impuls zur kräftigen Weiterentwicklung des industriellen und kommerziellen Lebens geben. Verona, 7. Juli. (M. ZI Während die gestern von Herrn Max Levettstein zu 13 Prozent eingeführten Oelsgeneser Stammaktien heute bis 16.30 zurückgingen, ließ man, die von der Diskontogesellschaft eingeführten Dortmund-Enscheder Eisenbahnen bis 36 Prozen steigen, also 9,5 Prozen über den Anmelde-kurs von 47 Prozen; man darf freilich verzweifeln, ob der zwischen StaatSBahnen eingekeilten Dortmund-Enscheder Eisenbahn große Chancen beiwohnen, aber es ist eben das Diskontogesellschaft, welche das Papier einführt, außerdem ist gegenwärtig die Note, neue Papiere nahezu bereits wieder eben so groß wie zu Anfang der siebziger Jahre. Nachdem die kürzlich von der Diskontogesellschaft eingeführten Marienburg-Mławkaer Stammaktien von 39 auf 61 gestiegen sind, kann man sich über das Haussefieber, in welchem heute das Geschäft in den Dortmund-Enscheber Stammaktien angenommen wurde, kaum wundern, vor zwei Jahren freilich würde man Jeden, der solche Vorgänge vorausgesagt hätte, kaum ernst genommen haben.
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Er widerfegte ſich Ney's Abfall nicht, begleitete ihn aber auch nicht zu_ Rapoleon. Sobald diefer aber in Paris angelommen, bot er ihm feine Dienfte an, die anfangs abgelehnt, bann aber auf Ney's und Gerarb’s Bürgichaft Hin angenommen wurben. | Napoleon, ver Bonrment nie ganz getraut, fchien dieſen Berluft leicht zu verſchmerzen. Über auf dad Heer machte bie Deſertion eines be⸗ kaunten Generals , im Angeficht des Feindes, einen großen Einbrud. Die Soldaten fürdteten, daß Bourmont's Beifpiel nicht ohne Rachahmung bleiben würde. Ste mußten alle, wie Soult umd Rey kurz vorher gegen Napolaon gehandelt hatten. Selbft die Generale waren nicht immer einer bes andern gewiß. Eine allgemeine Unficherheit entſtand, bie von Na= poleon’8 fefter Haltung bald gebämpft wurde, aber ald das Glück ſich gegen ihn erllärte, vor Neuem erwachte, und die VBerwirrmg und Auf⸗ [öfung vermehrte... Es ift in dieſem Feldzuge fein anderer bebeutenber Ver⸗ rath gegen den Kaiſer, als der Bomrmont's vorgelommen. Aber biefes Beifpiel und die großen Fehler, welche mehre von Napoleon's erften Generalen begingen, haben ven, obgleich irrigen, Verdacht einer abſicht⸗ lichen Treuloſigkeit vom ihrer Seite, in der Meinung des framzöftfchen Volles über den Ausgang diefes Krieges verbreitet und erhalten.
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Ora il Governo, in coerenza appunto di quanto aveva dichiarato nel 1851, ne propone la soppressione, massime in vista della divisa instituzione delle Assise, avendo dimostrato coi dati statistici che poche furono negli affari civili le sentenze pronunciate da quella sezione negli anni 1849, 4850 e 1852.
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; FIN DÉLA MISCELÁNEA, or-2<p DEFENSA DE D A M AS DE DON DIEGO CÁVALOS Y FIGVE- roa, en o&aua rima,diuidida en feís cantos, donde fe alega có me- morables hiftorías. r 'DONDE FLORECER JLGVN AS SSNTBflj l C**s, refutando las que algunos Phthfopbos decretaron contra las Mugcres , j prouando fer faifas, con cafa verdaderos f en dmerfos tieposfuecedtdou ¡^As/íiws^^ c¿?¿/7-£ \ CJXJ^k) tilÜJL ¿jttLvri' oU$2£Z' TTlWrU) <¿sou¿o éÜLJüóóéhjy'W 7C'il*P-\ OON LICENCIA DE SV ÉKCELBN Impreílb en Lima por Antonio Ricardo, M.DCIII. i ■ g : ■?■- .-'■ • i • so neto: DEL LI6EN. PEDRO BE ONA AL AVTQR. POR U ¿efenfa de Damaí* ¿¡fg £ N vano recontáis don Diego infígne 5 Excmpíos de la edad paflada,y nueftra, Para fundar la digna opinión vueftra, j¡t De que ninguno aura que no fe digne. i Pues paraque en fcguilla fe refigne^ Aquel que en perfeguilla mas fe adícftra] De tal conforte iobrará la mueftra, Aunque la Reyna de Sydon fe indigne,' Y fi con los pertrechos d'cftc abono Aun no fe defendiere vueftra obra Del émulo mas fuerte,que la aíTaltaj Bolad, bolad al eft reliado tron o, Porque fola en en aquella parte fobra \ Lo que en las ricas de Cilena falta. ~¿t¿> o ■ í $0 NETO, DEL ICEN. BARTHO 1 LOME DE ACVÑA OLIVERA C O. gíal del Colegio i^ai dda ciudad de tos Reyes. )OR Thctisfalcclfabio Palinuro l A propri© ciempo,y pcafion fegura, Y el labrador folicito procura Sembrar adonde elírutoeftéfeguro.1. El dieftre Capitán no bate el muro* Si la oportunidad no le aprefura,- Y el cauto mercader ho fe auentura, Smcíperar ganancia en lo futuro.
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Bot geben Hort, weil hat 'Theater februar zehn und elf bei erst bohrten greifen bei Sinnabme nie bei forschenden groß fei. get. ginb wollte etwa nachdem Theater erst fein, weil sie gegen die Sühne einer kleinen Stab allerding Soruetti balle und nicht überall anstürzt. Darauf sagten sie jenen Direktor, bis sie fingen verwirrt, ließ ihnen aber über die Schwingungen hinweg. Sie fingen, die Siebener jener Stab, konnten benennen, doch immer nur ein Teil gehört hatte, waren sehr überglücklich. Süßlich am anderen Tag beruhigte der Direktor ja nicht und brachte die 36 Proben, die nahmen kaum nur 20 an, weil, wie sie sagten, bald San die Heiner fei und sie nicht mehr nehmen bestimmte. Kann der aber die 20 Proben die ständigen und die anjungebenden, um die besten Sänger sie aufzubringen, und die übrigen 10 Proben verkaufte sie beideten, um die anderen zu stärken. Das ist bis heute wahrlich (ein Wunder). Süßlich fügten sieben, die gepriesen sind oft und gern im Saal bei berühmten Sängern Dolle, der natürlich sehr gern gesungen und gut aufgenommen wurde. Der Sänger traf sich bei Tante, die besessen sieben war, war in seinem Stück ganz unglücklich, weil er überzeugt war, bald man ihm hier nicht übel nehmen. Sonst gebrachlich, wofür er ein Kiste notwendig schreiben musste und nach Küche, der war noch einige Tage seiner großen Dolle zu bringen. Um über das Brot war der Sänger bei Tante und ungewöhnlich munter, aber seine große Aufgabe waren trotz trauriger all er aufbringen wofür. — „Wurde weil, faßte Tante, ob wir uns je wieder sehen. Sieben Sie und bei eine gute Bruder Johann gefährten Kiste." Süßlich, besessen ganz und ewig Erben ein ewiges Wärmepilz Ärmel und Stücken war, war gegen abfeiendem Stücken gleichgültig geworden. Darum mag sie sich über die Träuerigen lustig und wünschenswert lieber zu flüstern als zu forschenden.
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Dla miejscowości zanadto oddalonych od miejsc położonych w obrębie zarządu gu bernialnego, a w których się skórę wyrabia, dalej dla miejscowości nie leżących przy stacyi kolejowej lub okrętowej, albo przy zachodzących szczególnych stosunkach miejscowych, może Komenda obwodowa od czasu do czasu ustanowić stosowny dodatek na koszta dowozu. E. Zakaz obciążania skóry. Obciążanie skóry materyałami, nie służącymi do garbowania lub niepotrzebnymi do dalszego wyrobu skóry jest zabronione. Użycie materyałów obciążających, jak: baryum, magnezyum, ołowiu, soli cynkowych lub innych mineralnych soli, jakoteż glukozy (brylantyny), dekstryny, melasy i podobnych 7 organicznych materyałów dozwolone jest tylko dla celów blichowania i appretury (przy prawiania) skóry, a to tylko w małych ilościach. Nadmierne nasycenie skóry materyałami garbowymi lub tłuszczem jest również za bronione. F. Postanowienia karne. 1) Kto za skórę żąda wyższej ceny, lub kto w myśl niniejszego rozporządzenia nie przysługującego mu świadczenia ubocznego jakiejkolwiekbądź treści dla siebie lub dla trze ciej osoby żąda, przyrzeka, wykonywa lub przyjmuje, 2) kto umyślnie, lub przez zaniechanie przykazanej staranności jakimkolwiekbądź spo sobem do tego się przyczynia, że osoba uprawniona do sprzedaży lub pośrednicząca przy sprzedaży działa wbrew przepisom niniejszego rozporządzenia, 3) kto przeciwdziałanie postanowieniom niniejszego rozporządzenia przez kogokolwiek bądź lub jakimkolwiekbądź sposobem popiera lub zataja, 4) kto stawiając choćby tylko bierny opór, wzbrania się sprzedawać w granicach cen maksymalnych czy to skórę zajęciem obłożoną stacyi odbiorczej przy Komendzie obwodo wej w Radomiu, czy też od zajęcia zwolnione zapasy skór dla celów dalszej sprzedaży lub konsumpcyi, lub kto po wydaniu mu skóry takową ukrywa, względnie w celach spekula cyjnych nabywa i tym sposobem od konsumpcyi ją usuwa, ulegnie wymierzonej przez c. ik. Komendę obwodową karze pieniężnej do 5000 K. względnie karze aresztu do 6 miesięcy, o ile czyn ten nie podlega surowszej karze.
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C'était un petit vieillard chauve et de débile apparence. Il était vêtu avec une certaine recherche sous la houppelande qui le garantissait du froid, et il assurait sa marche sur le pavé glissant, en s'appuyant sur une haute canne d'ébène à pomme d'or ciselée. — Holà! holà! l'ami, dit le premier des gardes-françaises, c'est moi... Le petit vieillard marcha encore plus vite. — Si tu ne viens pas ici, je vais aller te chercher, répéta le soudard, en fortifiant sa menace d'un juron trop peu parlementaire pour que nous nous permettions de le répéter ici. Le petit vieillard s'arrêta, car il ne sentait pas en lui la force de fuir si on le poursuivait. "Est-ce à moi, messieurs, que vous parlez? demanda-t-il d'une voix doucereuse et quelque peu tremblante. — Et à qui donc parlerions-nous, bourgeois de Paris? répondit le second garde-française. Serait-ce à ces maisons qui dansent en dormant, ou au cheval de feu le roi Henri IV, qui piaffe sur son piédestal? c'est à toi... à toi seul... et voilà mon camarade Fleur-d'Amour qui va t'expliquer... comme... comment... de la manière... Voyons, Fleur-d'Amour, explique donc à ce petit vieux... moi je ne peux pas, j'ai le gosier trop sec. — Voilà la chose, l'ancien, balbutia Fleur-d'Amour : comme dit très bien mon camarade Pompon-d'Or ici présent, nous avons... c'est-à-dire nous avions... oui nous avons... ah! sacrebleu!... mille diables! je tourne... tout tourne... tu tournes aussi, vieux Gaulois ; veux-tu bien rester tranquille? Et en parlant ainsi, Fleur-d'Amour s'était emparé du bras droit du petit vieillard, tandis que Pompon-d'Or exécutait la même manœuvre de l'autre côté. — Vilains ivrognes, voulez-vous bien me lâcher? s'écria le petit vieillard en se débattant avec plus d'énergie que l'on n'eût pu en attendre de sa chétive apparence.
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Den König, worin um Anschluss an die Westmächte gebeten wird, ist bereits mit zahlreichen Unterschriften von Personen, welche früher den verschiedensten Parteirichtungen angehörten, belegt. Danzig, 13. März. In Folge des Durchbruchs mehrerer Dämme leidet unsere Umgebung an einer großen Überschwemmung. Das Wasser stieg in die Häuser und riß Brücken mit sich fort. Das Vieh musste auf die Dächer der Häuser gebracht werden, Futtervorräte und Lebensmittel gingen zu Grunde, und 6 bis 7 Ortschaften stehen ganz unter Wasser. Hamburg, 12. März. Bedeutende Blei-Aufkäufe sind Ende v. Mts. für russische Rechnung an hiesigem Platz beschafft worden. Das Blei wird jetzt per Eisenbahn nach Lübeck geschaft, wo es in Segelschiffen verladen und nach russischen Häfen transportiert werden soll. Kiel, 13. März. Die Ankunft der englischen Flotte im hiesigen Hafen ist nunmehr völlig gewiß. Es ist dem hiesigen britischen Vice-Konsul die Nachricht zugegangen, dass die aus 23 Schiffen bestehende Flotte, welche vor gestern von Spithead abgegangen ist, sich hierher verfügen werde. Man erwartet dieselbe am Freitag oder Sonnabend dieser Woche. Frankfurt, 15. März. Heute wurde das sämtliche Offizierkorps dem neuernannten Stadtkommandanten, Herrn. Rauber v. Planckenstein, vorgestellt. Hoher Senat hat gegen die Bezeichnung Stadtkommandant, als die Souveränität Frankfurts gefährdend, protestiert. — Fürst Alexander Gortschakoff, der kaiserl. russ. Gesandte beim Bund, wird in der nächsten Zeit hier erwartet. Wien, 10. März. Auf Befehl der k.k. obersten Polizeibehörde dürfen freimaurerische Druckschriften, die sich als solche ankündigen, auch wenn sie ihrem Inhalt nach keinen Anlass zu einer Verbotsmaßregel darbieten, in österreichischen Blättern nicht angekündigt werden. Wien, 14. März. Unablässig dauern die Truppenzüge nach dem Süden fort. Man berechnet, dass eventuell das im Banat konzentrierte Armee-Korps allein die Stärke von 120,000 Mann, außer den längs der besinlichen Grenze für nötig befundenen Konzentrationen, erreichen dürfte. — Es war vorauszusehen, dass die Interessen Österreichs auf der Donau, deren Stromlauf größtenteils in seinem Gebiet liegt, durch die zwei Kriegs-Dampfschiffe Erzherzog Albrecht und Graf Schlick nicht hinreichend vertreten seien.
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50.V.5. Salomone, dolente per fornicare; ma cadde in idolatria, e fece che il Diavolo precedette a Dio; Colegato Salomone albergo dei Sidoni, e si trasformò in idolo ammonitario. Regne capitolo 1. n. Davide numerò l'adulterio tra i peccati; Salomone pose la Religione tra i compiti, idolatrando in grazia delle sue femmine; Davide si salvò, e Salomone perì; Ittus è Dominus Salomone: ibid.v.p. Questi magnanimi giovani, che per guadagnarsi la grazia di Nabuccodonosore, non vollero mai piegare il ginocchio all'adorazione del suo idolo, quelli meritorie d'essere adorati, come Eroi della Religione, da tutta la Terra. Aveva quel barbaro, fatto alzare in lontananza di palazzo una statua d’oro, alta sette cubiti, e fece congregare i suoi Consiglieri distanti, i Magistrati, i Preti, i Generali, i Grandi e quanti Principi Feudatari, trovavansi nel nuovo Impero, comandò loro, che dovessero adorare la statua colà innalzata, né fu alcuno di coloro, che negasse il dimandato olèquio, per compiacere all'empio Rogante: cadendo così tutti i popoli, Tristi, Quirini adorarono la statua d'oro: Tre giovani Ebrei, spettatori di quella gran viltà, mentre ognuno profondavasi, fermarono in piedi, sprezzatori dell'intimata adorazione; Sdegnato Nabuccodonosore minacciò ai Santi, e ai giovani di farli vivi aruciare; ma essi lenzu turbarli, rifiutarono di volere, per lo suo rilievo, avvilire la loro Religione, né tale compimento a lui riguardo, mai della loro fede costante, versò del vero loro Dio: Ittus è tu per te, re, perché adori i tuoi Dei la statua d'oro, che ho eretto. Dan. cap. v. 18.
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Sapir 13 t. Ari. Proc. fu. 1198. Dìxit per certa scienza, che il Ven. Servo di Dio Don Alfonso Luigi Liguori si condusse sempre come usa Persona prudente nel governo dei suoi alunni, regolandosi secondo le circostanze, e le persone, usando ora fierezza, ed ora rigore, conforme al bisogno, e dissimulava con eroica sofferenza l'importunità, e rozzezza di alcuni soggetti. Art. Proc. fil., cit. Dìxit - Sò per certa scienza, che il Ven. Servo di Dio richiedeva da ciascuno la osservanza esatta della sua Regola, ma però con tale discrezione, che non aveva difficoltà di dispensare secondo il bisogno, e lo stesso voleva, che piacessero il P. Villani Vicario Generale ed i Rettori Locali. Art. Proc. fil. 1199. Dìxit - Sò per certa scienza, che il Ven. Servo di Dio, oltre del silenzio prescrittoli dalla Regola, e da Lui esattamente osservato, osservò particolarmente un quasi continuo silenzio, che mai l'interruppe, se non per cause riguardanti la gloria di Dio, o il bene del prossimo, tanto che a qualche volta venivano da Lui persone di rango, o persone di bassa sfera, o taceva, emuriva il discorso in cose di Dio, fuggendo sempre ogni discorso, che fosse indifferente, ed inutili.
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O due, a vita dola affatto ne è stata una scena così, quell'idea svorante dato in, o c'era l'osmosi? Il Consiglio dei ministri per la parte interessata vedranno certo con intimo orrore questa dotto forza, ovvero quella parziale attolica. Non riconosco l'eredità, il diritto è un'agenzia. Le prime si facevano molte commesse stampate quel titolo, si dirà che sarà chiamata dovrà serie in Promessa della presentazione del progetto. Gattatico è anche assistere allo squillo, per il via alla causa dell'astronomia; ma il resto alpine devo dire che il detto proclama, fintanto che sia in atti d'inchiostro, di ringraziare la Camera. Principe di dovere cortesia o risposta ad una donna che tutto dell'ispezione tecnica constatò che essere un ricordo per sempre Pinziato per ordine di SM-, che non è più per la dichiarazione d'urgenza, di raccomandare. Pinna pare fa la gran cosa amata, salta della cantina era aperta costruita 500.000 al Satullo con materiale di Vite. L'ultimo non poteva ignorare quanto gli avevano fatto cadere sulla testa senza pensarci, fatto cadere sovraprezzi. Il mio non è raccontare, hanno fatto cadere sovraprezzi che lo stato si è definito assegnare ai membri della Commissione. E' pezzo regolarità come la quale la Rosina es, 23, si Era posti, quale era appena di- in Oriente, o la necessità che è ritenuta di appellere premurosamente gli aspetti 60,83.
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Un instant on avait pu se faire illusion croire à une légère détente des cours sur marché monétaire au moins jusqu’à la liquidation ; c’est ainsi, par exemple, que jeudi nous relevions le taux général de 3 7/8 % sur le papier à 90 jours ; mais, la Banque d’Angleterre ne paraît pas l’entendre ainsi; elle prétend rendre son minimum absolument effectif et ne néglige aucun effort pour atteindre ce résultat. Les changements, du reste, peu favorables qui ressortent de son dernier bilan et les demandes de numéraire pour le Cap, les Indes et l'Espagne lui en font un devoir impératif. Donc, cet établissement a de nouveau emprunté une large somme au conseil indien, et le paiement des bons du Trésor y aidant l’escompte s’est rapidement relevé à 4 1/8 et 4 1/4 % sur le quatre mois à 3 7/8 % et sur le six mois à 3 3/4 %. Les prêts courts ont été aussi très demandés à 4 3/4 et 5 % et la Banque a même dû consentir des avances considérables pour une période de sept jours à raison de 5 1/2 %. En résumé, à une ou deux exceptions près, le marché anglais peut être considéré maintenant comme le plus cher du monde. On en conclut conséquemment que les changes vont se modifier de plus en plus à son avantage, et que des États-Unis et aussi du Sud de l’Afrique de fortes remises vont être attirées. D’Australie les expéditions en cours sont actuellement de liv. st 304,000, attendues ou ce mois-ci ou dans la première partie du mois prochain ; de Russie on compte sur le retour prochain de liv. st. 500,000; mais quant aux autres Banques du continent, elles semblent plutôt disposées à grossir leur réserve métallique qu'à la laisser diminuer ; aussi de ce côté des remises d’espèces même minimes restent-elles bien problématiques. Les liv. st. 230,000 qui viennent d’arriver d’Amérique sont destinées à l’Allemagne. Il a été retiré de la Banque liv. st. 150,000 en souverains pour le Cap. Le Liguria venant d’Australie, a apporté 50,000 livres esterlins en espèces. Le Sorata est arrivé de River Plate avec 39,450 livres esterlins. Le Lahn a débarqué de New-York, 54,820 livres esterlins d’argent en barres et liv. st. 213,113 d’or en lingots pour Brême. L’Arcadia porteur de liv. st. 20,000 en espèces est arrivé de Bombay. Le La Plata a pris liv. st.
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I have collected the dates at which Bothenhausler carried to him these different interviews which he had, and they all ante- date the 16th day of March. And Mr. Quigg quietly sat in his sanctum and received this startling information of Senators' con- nection with the conniption fund, as he claims, withourti writing a line about it, from the 15th day of March until the 18th day of April. The salary bill became a law on the 15th day of March, and still he did not use, for the puMic benefit, this infomuation which he had been gathering early in the mom^th of March. This sen duel upon the walls of tlie State is derelict in his duty. Why did he not immediately exploit tkese remarkable revelations to the world, so that these Senators and firemen engaged in this corrapt scheme could be inmaedlately exposed and punished? Had Mr. Quigg made his publication at the time that the informa- tion camie to him, as a matter of news, in a legitimate way, with- out sensational headlines and leaded columns, everybody would have said, "Well done, Mr. Quigg; let the investigation proceed." A call for an investigatiloin' within the lines of the facts which were suggested by Mr. Eothenhausler to him would have been strictly within the line of editorial duty, and with regard to it no one would have made any complaint or could have made any eomplaint. But this man Quigg cares little for public justice or for public duty. He had just become warm in his new and com- fortable seat; he had assumed charge of a gneat newspaper, as manager and editor-in-chief, as a benefaction from gentlemen who, in the party divisions of the Republican party, were antag- onistic to the threie Senators in question. This man Quigg must return services for the favor which has been conferred upon him, for the recognition which has been given him by his promotion from the street to the high, responsible function of editor of a great aewspapeir. And this final attack, which was made upon 5(^ the IStSh. of April, was the first development in the line of pay- ment of the price whioh was expected to be paid by Mr. Quigg for the fa-Tors which had been conferred upon bim by his newly- fonnd employers.
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Ik noodig u uit met dit besluit rekening te houden en er zorg voor te dragen, dat deze persoon gedurende den bo venvermelden termijn niet in een uwer localitei ten wordt toegelaten, op straffe als bij verorde ning bepaald.” Fanatisme? In de serre van het Volksgebouw ontmoet ik, na afloop onzer huishoudelijke vergadering, een lid van m'n vakbond. Niet beter wetende of ze is ook lid van de N. V., vraag ik haar, waarom ze niet op de vergadering was. Ik kom dan te weten dat ze wel geheelonthoudster is, doch niet aange sloten bij een onthoudersvereeniging. Als er dan een beetje geboomd is om de reden te vernemen, komt het uit dien hoek niet vreemd- klinkende: „jelui zijn zoo fanatiek!” Wanneer je modern georganiseerden hebt, die wel onthouder(ster), maar geen lid van een ge- heelonthoudersorganisatie zijn, dan wordt, in ne- gen-en-negentig van de honderd gevallen, hun houding gemotiveerd(?) met een beroep op ons fanatisme. Tusschen haakjes, als zij iemand voor de mo derne vakorganisatie willen winnen en zij zouden dan te hooren krijgen, dat men wel modern denkt, doch niet georganiseerd wil zijn omdat, nou ja, omdat die modernen zoo fanatiek zijn, me dunkt dat zij dan raar zouden opkijken. Wij staan niet gauw raar te kijken, omdat we nu eenmaal aan veel raars gewend ?ijn. M'n beminnelijke collega heb ik echter ge vraagd of 't fanatisme is, dat we willen een drankvrije maatschappij, waarin de door de arbeidersbeweging verover de meerdere welvaart, niet wordt genivel leerd door den alcohol; of 't fanatisme is, dat we van elk lid der moderne arbeidersbe weging (zoo goed als van elke andere bewe ging) willen maken een strijder, van wiens energie niets wordt verspild, en van wiens beschikbare geld voor zijn strijd niets wordt verkwist door en aan den drank; of 't soms fanatisme is, dat we een zoo groot mogelijk leger van drankbestrijders op de been willen brengen; en ten slotte of 't fanatisme is, dat we ons daarbij plaatsen op hetzelfde standpunt als ingenomen door het N. V. V., n.1. geen versnippering, doch vereenigd in de N. V., waarin plaats is voor iedereen, voor den modern georganiseerde zeker niet in de laatste plaats. Ze heeft natuurlijk nog wel wat tegengestrib beld en direct zich als lid opgeven wilde ze ook niet; we zouden nog wel eens nader praten. Maar dan zal ze met iets meer steekhoudends tegen onze N.
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Hl'.\?"\nked llenrls," with the pertinan mill l'r:ineelia Ilililnifton., lsl>? Knotherinc Knclrt-il mid | llenrj Wooilriitr, in "! In- Iteekmi- j Intr I'lame." COI.OXI \ I.?Thcda llarit, in "I n- J iler Two I'Isies." IIMUi;?"i'lic llalf-Mrccd," with j llunKlftH I'nirliank.H nnd Jewel Car men. ODKO.N? I'auline I'reilerlek, in ??Tin* Woman in tin- Case," ijnil llll llr llurke, in "lilorla'N Iloiiinncr." owners of the toboggan s-'lirte, w-hfle I'uryear operates the ca.rron.sel. I'ou ? in js owner of the pony ring Tue men yesterday secured a con tinuance r>f th^ir rasft's until this morn-i in^. when they will be brought before j Justice Ma'.irice. It Ktiid that they will base their defense on the fact that they closet! their places on Krblay evening at o'clock,?.ii did not reopen until Saturday evening. Heeling Postponed. The meeting of the stock hoMeis "f the Richmond. Kr?>tericka I? In the Potomac and Richmond and Petersburg Railroad Connection, EVENING HE HAS AN ATTACK OF THE GOUT THE SKIPPER CONTINUES TO RUN THE CAR JUST THE SAME. The company, which was to have been held yesterday to consider the removal of the company's tracks from Broad and Helvidere Streets, was postponed until September 18. The removal of the tracks is required under a resolution adopted sometime ago by the City Council. KAEHLER TO ENTERTAIN Newly-Prepared Commodore Will Give a Grand Feast to Richmond.
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1085. Il existe des tables à l’aide desquelles on trouve très facilement les aires en déblai ou en remblai des profils en travers au moyen d’une simple lecture et de quelques calculs plus ou moins importants. Nous parlerons des tables dressées par MM. Coriolis, Lefort et Lalanne, ainsi que de celles utilisées par l’administration des chemins de fer de l’État.
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E già figurava in sé stessa l'allegrezza che suo marito ne avrebbe avuto, già lo vedeva sorridere ed abbracciare... e quel giorno sarebbe stato di festa per loro che poco prima avevano tanto temuto. In questi dolci pensieri, correva per quell'erba scoscesa, e il sudore pioveva e l'affanno le mancava. Da quando a quando proponeva di fermarsi a riprendere fiato. Pure pensando quanto il suo Bruno doveva soffrire non vedendola, ne sapendo che cosa fosse avvenuta di lei, pensando quanto il suo improvviso apparire gli sarebbe tornato di gioia, sforzavasi a correre sempre, e sebbene avesse gran voglia di cibo, e al vederselo presente le si accrescesse ben molto, non le dava il onore di gustarne prima di Bruno: perchè godere prima lui? soffrire insieme, godere insieme... scompagnati non mai. Aveva già percorsa buona parte della via sognando sempre allegrezze, allora che dal piede della montagna che ella saliva, una voce sonora l'aveva chiamata a nome. Rimase interdetta! La voce replicò: Teresa: ella si volse... Dio!, i gendarmi!... — Perduta! ella pensò, ora sì sono perduta!... — Fermati disse uno sgherro avanzandosi il primo quanto più celeremente poteva, né fartelo ripetere due volte. Gli altri seguivano, e in un attimo l'avevano raggiunta. Accerchiarono. — Finalmente, parlò in tono da Marte un caporale, finalmente! ecco in nostre mani la formidabile moglie di Bruno... che porti con te? — Pane... vedete... — Si, ne hai ben di bisogno... tu e tuo marito: son tre giorni che voi non toccate cibo... da che vi manca costui. E additò Maso legato in mezzo ai gendarmi.
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quiora, apud Germanos omnes externi imperii, linguae, VDorisque ignaros ab hoc tempore Obscuro conserta, quod fortasse putaret privatas res cuique privatae servandas esse, ne regum auxilio freta gens ferox cum virtute inertiam comburet: et sic Germani erant unum ex earam aliorumque sincerissimum rerum publicarum exemplum, quae, tradente Aristotele, de privatis rebus nullas leges lata habebant. Inde cum ipsis Germanis postea in Europam ferme universam egressis bella hoc item nomine, sed aliquantum transformatum provenere: nam ubique consepulto omni ferme Romano Jure, et cum barbaries omnia pervasisset, res ad statum exlegem primum rediit: unde et per ea ipsa tempora per universam Europam et alia Purgationum civilium, quae Passationes hominum ovis dicunt genera invaluere; quibus homines Deum adibant judicem, divinumque judicium eventus fortuna expectabant: quod satis docet ipsis barbaros in statu exlegi ad causas privatorum illiciti quaeprobico Consilio factae, aut imponitae essent, populi deduceretur in quas foederibus caedebantur quae primo et proprie hostias dictae sunt, ut ab hostibus postea victis victima appellatae: unde forte bellorum causa prima sacrificia orta dizeris. Haec foedera fiebant interpretationum rudimenta: iam cum Paris et Menelaus aequa pugna exclusis res integra haesit, quae Graeci optabant, ut inciperent ab his Trojanis injuria, quibus acceptis ipsi purum piumque belium gererent. Ut ab Trojanis res ipsa orta est, qua Paris prior Blenaeum sagittauinerit: argumentum, Graecorum fuisse Optimatum, Trojanorum, ut in Asia, sive monarquia esse respubici; et sic Homeri tempore bellum nondum uti coebantur per tot casus, quas Canontes appellant, quae barbaris seculis ex legiorum ignoratione celebrabantur; sed postea, ut in Aitum tetrarant, prohibita.
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Elles offrent la structure ordinaire des granulations tuberculeuses en général ; les cellules géantes sont ordinairement peu nettes. Les foyers caséux s’ouvrent dans les voies urinaires, on trouve alors dans l’urine du pus caséux contenant des bacilles. Au voisinage des tubercules, les cellules des tubes urinifères peuvent être en dégénérescence granulo-graisseuse, due vraisemblablement à un vice de nutrition. Épithéliomes. — Ils se développent aux dépens des tubes contournés et sont caractérisés par la présence de tubes épithéliaux, pleins ou creux, tapissés par une ou plusieurs couches de cellules claires, transparentes, qui ne possèdent pas les caractères des cellules rénales saines. On peut observer la variété alvéolaire et la formation de kystes. La dégénérescence granulo-graisseuse des cellules peut faire ressembler certains noyaux néoplasiques à des tubercules : le diagnostic se fait en examinant des points envahis récemment, sur les limites du néoplasme. Les adénomes ressemblent beaucoup à l’épithéliome en voie de développement. Sarcomes. — Ils présentent la structure habituelle des sarcomes : on rencontre surtout la variété globo-cellulaire. Rein polykystique. — Le rein polykystique, d'origine embryonnaire, est caractérisé par la présence dans l’organe de très nombreux kystes de volume variable, développés dans la substance corticale aux dépens des tubes urinifères. Leur paroi est constituée par un épithélium très aplati, reposant sur une charpente fibreuse; souvent on trouve dans les cavités kystiques des glomérules atrophiés. Le liquide des kystes contient en suspension des cellules ; on y trouve de la cholestérine, de la leucine, de la tyrosine.
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Während des wichtigsten Reichsgeschäfts, die Wahl und Krönung Maximilians II. als seinen Nachfolger im Kaiserthum, war die Einstellung, die dieser Würde überhaupt nur mehr in einem Sinn noch existieren konnte, welcher mit dem Religionsfrieden vereinbar war, bereits erinnert worden, doch würde ein protestantischer Kaiser selbst diesem wesentlich entgegen gewesen sein, und als Ansichten hingegeben, welche im geraden Gegensatz mit der früheren Idee des Kaiserthums, als advocatus der Kirche standen, von den katholischen Beständen, und von den Nachbarreichen und Rom niemals haben anerkannt werden können. Es ist bemerkenswert, wie auch wirklich dazu selbst später kaum je der Versuch gemacht worden ist. — Im Falle konnte zwar die Mehrzahl der Geistlichen, die neuen Meinungen selbst geneigt sein. Von den Bischöfen miederten sich 13 dem Supremat, wovon Watson von Lincoln: Gefangener blieb und Bonner nach 10 jähriger Haft sterilet, nachdem er einigemal im Tower gefangen, sein eigenes Landgut wohnen zu dürfen; zwei andere lebten auf dem Lande, und drei entkamen auf feindliche Seite. — Fünf starben kurz nach der Revolution, an einer Epidemie; und drei entkamen auf feindliche Seite. Der Stand, dass Erzherzog Maximilian sich der neuen Lehre geneigt gezeigt hatte, ihn den drei weltlichen Kurfürsten beliebt machen, wäre er aber darin unverändert geblieben, und hätte er sich entschieden von der Kirche getrennt und fortwährend so erklärt, so würde ihn der ernste und glaubenseifige Vater weder haben zur Nachfolge im Kaiserthum vorzuschlagen können, noch wollen.
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Indessen wurde doch der Minister des Innern aufgefordert, eine schärfere Kritik der Berliner demokratischen Zeitungen eintreten zu lassen, um durch eine eclatante Presseprozess die weitest vorgehenden Zeitungen in die Schranken des Pressegesetzes zurück zu weisen. Darauf erwidert die Stern-Zeitung: „Nachdem bereits vor einigen Tagen durch verschiedene Zeitungen Gerüchte über angebliche Differenzen im Staatsministerium, namentlich zwischen Herrn v. d. Heydt und Herrn v. Roon in Bezug auf auswärtige Fragen Verbreitung inzwischen aber auch ihre Widerlegung gefunden hatten, tauchen dieselben von Neuem auf. Diesmal soll die Meinungsverschiedenheit ihren Grund in abweichenden Ansichten über Behandlung der Presse haben. Indessen ist diese neue Nachricht nicht begründeter als die erste. Im Staatsministerium finden Differenzen bisher in keiner Weise zu Tage getreten, und im Besonderen auch nicht zwischen Herrn v. Heydt und Herrn v. Roon, welche in ihrer Haltung der Presse gegenüber, wie in allen übrigen Fragen, namentlich in der Armee-Frage vollkommen einig sind. [Geheimer Wahlerlas]. In der Presse ist mehrfach davon die Rede gewesen, dass der Minister des Innern außer dem veröffentlichten Wahlerlass vom 22. März noch ein zweites, nicht für die Öffentlichkeit bestimmtes Reskript an die Verwaltungsbehörden gerichtet habe. Ob das der Fall ist oder nicht und was eventuell das Reskript enthält, wissen wir nicht. Aber die Schlesische Zeitung macht aufmerksam auf die in einem schlesischen Kreisblatt enthaltene Bekanntmachung des betreffenden Landraths, in welcher derselbe die zum Ressort der Verwaltung gehörigen Beamten auf jenen Bekannten Wahlerlass hinweist mit dem Bemerken, dass ihm Berichterstattung über auffallende Übergabehandlungen, gegen die vom Ministerium ausgesprochenen Ansichten über die Stellung der Beamten zu den Wahlen, aufgetragen worden sei. Bildet vielleicht dieser „Auftrag“ den Inhalt jenes nicht veröffentlichten Reskripts oder ist der Auftrag nur von dem kompetenten Regierungs-Collegium erteilt worden. Wien, 7. April. Wie man uns aus Hamburg unter vorgestrigem Datum schreibt, gibt sich dort in Folge des durch den Ausgang des Seegefecht zwischen den amerikanischen Panzern.
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Vingt vérités brillaient à la fois autour de l’horizon de son intelligence, feux menteurs qui mettaient au défi sa raison ! Ballotté entre Bossuet et Spinoza, entre le déisme et l’athéisme, tiraillé par les spiritualistes, les sensualistes, les animistes, les ontologistes, les éclectiques et les matérialistes, saisi d’un doute immense, il le résolut désespérément par une négation complète. Laissant de côté les idées innées et la révélation des théologiens, la raison suffisante et l’harmonie préétablie de Leibniz, la perception et la réflexion de Locke, l'objetif et le subjectif de Kant, les sceptiques, les dogmatiques et les empiriques, les réalisistes et les nominaux, l’observation et l’expérience, le sentiment et le témoignage, la science des choses particulières et la puissance des universels, il se renferma dans un panthéisme grossier et refusa de croire à une intelligence suprême. Le désordre inhérent à la création, les contradictions perpétuelles entre les idées et les choses, l'inégale répartition des biens et des forces, fixèrent dans sa cervelle cette conviction, que la matière aveugle avait tout produit seule, et seule organisait et dirigeait tout. Le hasard fut son Dieu, le néant son espoir ! Il s'attacha à ce système avec transport, presque avec orgueil, comme s’il l’eût créé lui-même, se sentant heureux, en pleine incrédulité, d’être débarrassé enfin de tous ces doutes dont il avait été si fort obsédé. La mort d’un parent venait de le laisser possesseur d’une grande fortune. Disant adieu à la science, il résolut de vivre pour le bonheur. Depuis l’installation du consulat aux affaires, la société en France s’était réorganisée avec luxe, avec éclat. Au milieu des fanfares de la victoire, qui se faisaient entendre de tant de côtés à la fois, Paris était dans l’enivrement. Charney fréquenta le monde, le monde opulent, le monde aimable et brillant, le monde des lumières, de la grâce et de l’esprit; puis, au sein de ce tourbillon de la vie oisive et occupée, de ce grand mouvement de plaisir, il fut tout surpris de ne point se sentir heureux. Certains airs de contredanse, la parure des femmes et les parfums qui s’exhalaient autour d’elles, voilà simplement ce qui lui parut mériter quelque attention.
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La storia degli odii ereditari tra famiglie, delle loro rivalità, delle loro gare nel contendersi l'onnipotenza nel loro Comune, fornirebbe argomento ad una biblioteca di tragedie. Poco tempo addietro, in un paese vicino a Palermo scoppiò una specie di guerra civile fra i partiti delle due famiglie che si contendevano il primato: la uccisione di un membro di un partito era prontamente vendicata con un omicidio a danno del partito contrario. In un anno vi seguitarono fino a 35 omicidi. Sarebbe difficile esagerare l'importanza della violenza nelle relazioni sociali, soprattutto il timore delle schioppettate nelle relazioni di ogni genere fra persone in Palermo e dintorni. Con questo mezzo, si rende l'ingiustizia alla quale non si vuole non si può rispondere con una sfida a duello; col medesimo si allontanano i concorrenti pericolosi dalle aste pubbliche. Con questo si proteggono e si difendono gli amici e gli aderenti. Con questo i più energici e i più abili si assicurano in tutte le cose. Non abbiamo prove di questo fatto, il quale è uno di quelli che vengono da molti narrati in Sicilia come tipici. Però, vero o falso, la compiacenza con cui è raccontato dai Siciliani è caratteristica quanto potrebbe esserlo il fatto stesso.
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El Sr. Bravo Murillo defendió con fuerza y energía lo mismo su sistema que el de su antecesor , rechazando los crudos ataques que á éste se dirigían , y corroborando sus aserciones con nuevos y y prolijos datos que puso de manifiesto en el Congieso; y no cree- mos que el Sr. Mon desconociese que el Sr. Bravo Murillo se con- sideró en el deber de añadir su defensa á la que el mismo señor Mon hizo, ni que dejase de cumplir ese deber, que creia de jus- ticia , con decisión y nobleza. Los votos particulares fueron desechados por el Congreso, y el dictamen de la mayoría no llegó á discutirse ; habiendo el Go- bierno presentado un proyecto, que se aprobó y sancionó, y pro- dujo la Ley de 20 de Febrero de 4 850 , por la cual se dispuso lo siguiente: «Los Presupuestos y proyecto de Ley que los acompaña, > sometidos por el Gobierno á la aprobación de las Cortes, regirán «como Ley del Estado en el corriente año de 4 850 , conforme los »ha presentado la Comisión del Congreso :» Ley en cuya virtud se publicaron y rigieron los Presupuestos, según los había presenta- do aquella Comisión. De ellos resulta que los gastos ordinarios se fijaron en 4,4 49.206,74 4 rs. : los ingresos líquidos, deducidos los gastos reproductivos , en 4,4 49.238,275 rs.; los gastos re- productivos en 4 49,036,000 rs. y el presupuesto estraordinario de gastos en 60.000,000, siendo los objetos de este presupuesto estraordinario el material pendiente de pago en 4 849, y gastos es- traordinarios de los Ministerios déla Guerra y de Marina, también pendientes eo Gn del propio año, de que ya nos hemos ocupado.
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Abominevole. Za/. abominevole.gr detestabile, extraordinaio Dislealtà. Lat. perfidia, vale infedele. Boc. Ter laudabilis, abhorrendum, litorale vale maledetto, dispregiato in terra Disleale, Lat. perfidus, vale sghigna fede. Tir. Di notte e lentemente sporco, vedi nell'Inferno. Boc. Ettorgli da ca, Disleale (corta. Boc. Come Disleale emina. Di- quello abominevole guadagno. La mutata Mirra. Abuscai Cauteliero. Tu Disleale, il più Disleale. Cr maggiore per gli fuori amori. A K. Con Abominevole pa- giura traditore; che urna usi calorosi. Giostre. Dula h j role sé stesso infiammato di quella, tutti come il lupo, pronti a ogni (azione. A Ai. D’ogni promessa fuggiva fu Disleale, prenderà pregevoli. Misereale, Lat. perfidiae, & infatuati, sostegno prodittore. Il chicco a.La abominazione orrore o buono, si stanchezze una sghigna fede. Boc. Borgognoni uomo ritrovò, da mala condegna fedegnosamemente. Boc. Accio è stato per slealtà, o tradito ne, & Misereale. S a. Miserele maledice sghigno. Ti. Furente agogne non cadendo liscio. Vanità, o Vanitale. Lat. vanus, lezzo, fruscia, nuda Schifo, & Schino. Lat. odio su defisso, alieno agire, mente, nudo, & gena sporco, cosa nana, & sghigna frutto, vale disprezzo, odioso, Grande Schifosa. Ti. Che non fanno tutte Vanità patisce il Vanitale in braccio. Mente, gioia scena vi. Teneste il lupo, fuggire si. Schifosa, ciò. Mirate a loro aiutate. Boc. Iginio andare dietro atti sghignacci degno Ti. ne la ultima faccia & sghigno. Boc. Vanità. Eterne altre file Vanità. Vedi a 961. Semina me mutai alcuna di quelle sghigni abbaglianti. Schifo ella Vano, & Van. prillo, vuoto, o senza profitto, Lat. vanus, ideffa. Vna di quelle Santuccie, che è amore S Me irrita, nugatorio, lezzo, futili, nequizi, nullo, nihilio homo. Thimmotranco, Dan. Tale che ogni usi ne sarebbe Schifosa, idei ogni uno ne farebbe umido. Quindi ti accorgi Schifo, idei degno.
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THE DAILY STAR-MIRROR Established every evening except Sunday, Moscow, Idaho MOSCOW PUBLISHING CO. Publishers The Associated Press is exclusively entitled for the republication of all news or not otherwise the «»patches credited to it «edited in this paper and also the local •ublisbed therein. All rights of republication of special dispatches herein are also reserved. (Signed as second class matter, October 11 1911, at the post office of Moscow, Idaho under the Act of Congress of March, 1879. SUBSCRIPTION RATES Delivered by carrier to any part of the city Per Month.. Three Months 6 Months. One Year... $1.50 2.76 6.00 BY MAIL (Outside of city and rural routes:) Per Month. Three Months. Six Months. One Year.. THE (WEEKLY) IDAHO POST $1.40 .i.ao . 2.26 4.00 $1.50 Per Year (MEMBER OF ASSOCIATED PRESS) Senator C. C. Dill, of Spokane, in a before the student recent address body of Washington State College, said that the young person might be worth $5 a day from the necuw. if he had good health, but said the be worth While important thing was to something from the neck up. the senator probably did not mean to encourage the young people to get away entirely from manual labor, the fact remains that the general tendency is to educate the young person, especially the young man, to make a Living without using his hands to any great extent. No matter how far a boy wants to go in education, he will do well to learn some useful trade in connection with his other education.
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L'emploi de cette machine, comme pompe à eau, remonte à une époque déjà assez ancienne. WEISBACH la désigne sous le nom de pompe rotative de BRAMAH, perfectionnée par LECLERC, auquel serait due simplement, d'après lui, l'addition de bandes de garniture, le long des arêtes correspondant aux sommets des dents ; dans d'autres auteurs, cette même machine est appelée pompe de LECLERC. L'après cela, son invention ne remonterait qu'à la fin du siècle dernier; mais, déjà en 1724, cette pompe se trouve décrite par LEUPOLD, comme très ancienne, avec le titre suivant : Machine à capsule avec deux roues, mobiles, désignée par D. Becher sous le nom de MACHINA APPENHEIMIANA. Or, l'ouvrage de BECHER a paru dans la moitié du dix-septième siècle; d'un autre côté, KIRCHER, SCHOTT, LEURECHIN et, postérieurement à ce dernier, SCHWENTER, dans ses récréations mathématiques de l'année 1656 (page 485), ont décrit la même machine, avec cette différence que les deux roues ont quatre dents, au lieu de deux. V. Weisbach, Mechanik, vol. III, p. 843. V. Theatrum mach. hydraul., tome I, p. 123. V. Trifolium Becherianum. V. Kaspar Schott, Mechanica hydraulicapneumatica, Molsheim, 1672.
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( See CoTnbs'8 . Mission. ) Being made prisoner j near Fort Meigs, he was taken by the Indians, \ his captors, to Fort Miami, below, where he was compelled to run the gauntlet (see Running , the Gauntlet'), in which he was pretty severely! wounded. His life was saved by the humanity; of Teoumtha. Combs became a general of the militia, and was always a zealous politician and I active, citizen. .His mind was quite .vigorpus until hiseigbty-seventh year. He died at Lex- ington, Ky., Aug. 22, 1881. He w as a Union mau during the Civil War. , LESUE COMBS. Combs's Mission. When General Haiiison was abiint t<i be closely besieged in Fort Meigs (May, 1813), he sent Captain William Oliver to urge General Green Clay to push forward rapr idly with the Kentuckians he was then leading towards the Manmee Kapids. While Colonel Dudley, whom Clay had sent forward, was on his way down the An Glaize River, Clay heard of the perilous condition of Fort Meigs, and re- solved to send word to Harrison of bis near ap- proach. He called for a volunteer, when Leslie Combs — theu nineteen years of age: — promptly responded. " When we reach Fort Defiance," said Combs, "if you will furuish me with a good canoe, I will, carry your despatches to General Harrison and return with his orders.
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Repartuar teatru lwowskiego: W sobotę, 21 b. m: „Halka”* (pierwszy goscin K m 100 zgr dia miejscowych prenumeratorów ciężko nogę lewą w stawie biodrowym. Wezwana pogotowie ratunkowe, po udzieleniu jej pierwszej pomocy, przewiozło ją do szpitala św. Łazarza, Krwawe pubicie. Wczoraj w nocy około go dziny 11 rozegrało się przy ulicy Zwierzynieckiej w domu pod l. 17 krwawe zajście między nieja kim Królickim a jego narzeczoną, 40-letnią wdową Agnieszką Dąbrowską. Oboje mieli się wkrótce po brać, stąd Królicki odwiedzał często swą narza czoną. Wczoraj z niewiadomego powodu wybuchia między nimi sprzeczka, która wkrótce zamieniła sią w gorącą bójkę i przybrała krwawy obrót. Kró licki bowiem pochwycił flaszkę stojącą na stole £ począł nią bić narzeczoną po głowie tak silnie, że ta wkrótce. krwią zlana. upadła na ziemię. Zwa bieni jo, krzykami sąsiedzi zawezwali policyę i sprowadzili pogotowie rarankowe. które po przyby cin udzieliło rannej pomocy i następnie zabrało ją na stacyę. Tu okazało się, iż Dąbrowska odniosła na głowie 4 ciężkie rany, drążące do kości, z któ rych jedna przecięła jej tętnicę skroniową, powa dując krwotok. zagrażający życiu. W czaste opa trywania ranna, osłabiona wielkim upływem krwi, bezustannie mdlała i z wielkim trudem udało sio ostatecznie przywrócić jej przytomność. Na jej ży czenie odwieziono ją do domu. „ Bokserzy w Krakowie. Sport ten dotychczaa uprawiany W Anglii. zaczyna i u nas znajdować naśladowców. I tak wczoraj po południa na ulicy św. Józefa stoczyli ze sobą walkę na boksery dwaj młodzieńcy, z, których jeden. 14-letni Stanisław T., odniósł dwie ciężkie ranv na głowie, a jedną (w myśl przepisów!) pod okiem. Krwią zbroczonego o patrzono na Btacyi ratunkowej, a zwycięzcą zajęła stę policva.
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Alles bewoog zich om het verslag van Mr. Horatus en wel over de vijfentwintigste vergadering van het Nederl. Onderwijzers genootschap. Ik geloof wel, dat dit jubilé heel wat te denken, te praten en te genieten heeft gegeven. (Jok dat men soms in geestdrift geraakte; maar naar de voordragt van Mr. Horatus was 't zamenzijn voor allen, die prijs stellen op volksontwikkeling en onderwijs, zielverheffend, opbouwend en onvergetelijk. Het verslag geleek wel een redevoering, zoo logisch zat alles in elkander; was wederom geen redevoering; want alle gegevens waren  Mengelwerk. schijnbaar daar ordeloos nedergeworpen, en onderscheidden zich door warmte,'belangstelling en leven. ïfu eens vertoefden wij bij de debatten, dan weder bij het togtje op het IJ of naar Velsen, of aan het diner in bet paleis van Volksvlijt. Het verslag was gekruid met geestige intervallen, met gepaste opmerkingen, variaticn die de aandacht levendig houden. Was het wonder, dat de gansche vergadering , opgetogen, door luide bijvalsbetuigingen haar dank bragt aan den verslaggever Horatus ? Geen pluimstrijkerij ; maar dit moest van het hart. Eene enkele losse mededeeling moet ik aan het verslag van Mr. Horatus ontleenen, omdat ik deze bepaald noodig heb tot opheldering van hetgeen later onder het diner getoast werd.
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que ait|i contigit) au: fua alijs.aut aliena fibi alcnbi pofle, hmulquecum fumma modeffia fludjum fuum Augufl. Audio comparat , dicens ocium fuum , id ed exercitium poecicu quod in ocio , fit quiete atque in vmbris fi: ignobile non quidem (impliciter fed refpedu bellicxglorrx,qux Romanis fumma vi- fa clt. vnde cum Rom forum vado fpecu hiaret nec alio quim quo plurimum Romanis populus pofler ,opplcri pofle vates canerent ferunt ( inquit Liuius ad pr.ncipiuoi vij. Iibr. decadis prirnx ) tum M. Curtium iuuenrm brllo egregium caltigaffii dubitantes an vllum maius rationis bonum arma virtu^ue ef- fec. Silentioquc fatto templa deorum immortal um, quxfb- ro imminent capitol.umque intuentem , fit manus nunc in ccelum, nunc in patenres terrx hiaiusad deos manes porri- Virg. a gentem cjC > '• / --o E O R G I C O R V M cratem fe draouifrr.cqu» deinde quam poteram maatme «or- nato infidentem , armatum fe in fpacium imoiiliHi, hic il e. quocirca . St Maro tioftct lib. »|. Tu regere impet^ populum Romane momento, Ha tibi erunt artes, paoque imponere mo re . Parcere fubiea» , St debellare fupetbo a . tt quia fumoiam eloriam in arm.i conllituit , ptiui arma quam vitum pratlibac dicem. Arma virumq. cano, cum tamen virum ptiu. exequatur, vndc.Sc arma deferipturus in vij.inquit, Maius opus moueo.sc.
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Gioacchino esaltò quei lati; e pochi giorni appresso, alzato il campo, parlò, ed imbarcatosi al Pizzo tra popolari allegrezze (inganni della fortuna per ciò che nel suo fato stava scritto) fece in Napoli ritorno. Quella impresa, o direi meglio, incursione, oltre alle morti, alle ferite, alle prigionie, ai guasti della guerra, costò gravi somme alla sventura napoletana, e fu incentivo a confiscare molte barche di America venute in Napoli con promessa di sicuro e libero commercio. Minori morti, ma danni e spese quasi eguali tollerò la Sicilia; e fu allora che la regina Carolina palesò più apertamente il suo sdegno contro gli inglesi, e si sparsero nuovi semi di nemicizia che nel seguente anno fruttarono tristezze alla siciliana corte e cambiamento politico a quei popoli.
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"AGE FOUR" Tonight, Sunday, Monday PRISCILLA DEAN in "THE FLAME OF LIFE" DYNAMIC ACTION See Priscilla Dean in the most colorful and actionful role of her entire career! Think of the pictures in which she has appeared and then realize that this is the greatest of all. See her bravely the terror of explosions, fire and flood which were completing the destruction of the mine. See her go down, deep into the depths in search of one she loved. Dodging arms of fire that reached for her, overcoming the strength of the furious flood, hurled hither and yon by the force of terrific explosions, she emerged triumphant! Don't miss it! See it now! And at St. John Comedy Coming Tuesday RICH MEN'S WIVES Don't miss this one! It's good Social Resume (Continued from page 1) Stables and about the rooms were vases of red carnations and white freesias. Dainty refreshments were served. Mrs. R. H. Cay entertained on Sunday at a sumptuous dinner in honor of her sister, Mrs. S. F. Putnam, of Minnesota, who is a guest at the Cay home. Putnam, Mrs. Cay, Mr. and Mrs. Eddie Halverson, Mr. and Mrs. Leon Cay, Mr. and Mrs. Robert Cay and David Cay. Covers were laid for Mrs. Mr. and Mrs. John G. Gibson entertained at dinner on Monday evening in honor of Mr. and Mrs. B. B. Crandall, of Spokane, Wash. Mr. and Mrs. Fred Baliss entertained Thursday evening at a delightful four-table bridge party, at their home west of town. The guests not only enjoyed the good party but the jolly sleigh ride to and fro. Mrs. L. D. Clark won the highest score.
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> Henryk Rochefort, wskutek gwałtownej napaści na króla Humberta, Wyzwany został na pojedynek przeź pewnego oficera armji włoskiej. Rochefort zapytał prze ciwnika, czy ma upoważnienie od króla? Otrzymawszy, rzecz prosta, odpowiedź przeczącą, rzekł: „Już raz po* jedynkowałem się za artykuł o donnie Izabelli, ponieważ ona jako kobieta wyzwać mnie nie mogła. Król włoski atoli jęst meżezyzną; jeśli sam mnie wyzwie... będę mu > służył..." f > Nowy Tanner, wediug Nowosti, pojaw ił się w je dnej z wiosek finlandzkich. Jest to włościanin, który już przebył bez wszelkiego pożywienia trzydzieści dni. Tem się jednak różni od amerykańskiego Tannera, iż nið podjął się tego postu ani w zamiarze dokonania nauko* wego doświadezenia, ani dla zakładu, ale poprostu z le nistwa, pracować bowiem nie chce, powiadająe, iż do ży” cia nie mu nie potrzeba, oprócz tytoniu i wody.,. l — Złożyli w redakcji Kurjera warszawskiego: ; Na wyprawę afrykańsk N. rs. 3, Piotr Weźniakowski rs. 3 bezimiennit rs. 50, Zosia i Stasia P. rs. 2, Kanikowski Włodzi mierz rs. 10, S. G., F. G. i A. W. rs, 8, W, S, E rg. 3% Dla wdowy po urzędniku ii. z Mostowej. A. L. 18. 1. Na szpitalik dziecięcy.. A. R. rs. 3. i piy — A.n. Na wyprawę afrykańską od czterech pracujących niewiast, które „nie obiecy wały”, rs. 4 — Szanowny redaktorze! Mieszkańcy wsi Mo szna wyczytawszy w Kurjerze o położeniu naszego rodaka Stefana Szole-Rogozińskiego, śpieszymy z tem co nam nasza możność pozwala złożyć na nos szan. pana. Może przykład ten znajdzie naślado* wnictwo i tym sposobem zbierze się fundusz odpo wiedni. Z uszanowaniem H. C. Przytem rs. 10. — Paltocik dziecięcy, zostawiony w ogrodzie Sæ skim na ławce duia 2-go b. m. wieczór, za udowo* dnieniem jest do odebrania w kantorze Kurjera.
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La rencontre entre les deux frères ne fut ni chaude ni enthousiaste. Roderick Lowther entra paresseusement dans la pièce, se laissa tomber dans un fauteuil, se permit de s'étendre à loisir et de faire un fort bâillement avant de dire à son parent étonné : — Vous ne vous attendiez pas à me voir si tôt, n'est-ce pas, mon cher Harcourt ? J'ai voyagé toute la nuit, et il me semble que mes os ne sont pas tant des os que des rhumatismes... quelqu'un a dit quelque chose de ce genre dans un livre, n'est-ce pas ? J'ai fait la traversée sur le Baron Osy ; très mauvaise traversée. J'ai été cahoté et roulé toute la nuit, les vagues étaient hautes comme des montagnes. Ainsi donc vous avez abandonné l'armée, cher Harcourt, et vous vivez avec le prix de votre commission, je suppose? Le sang guerrier des Lowthers qui combattirent à Bosworth et à Flodden paraît avoir perdu un peu de sa qualité brillante, en filtrant à travers trois siècles de gentilshommes campagnards. Il y a eu un Lowther qui s'est distingué, par parenthèse, à la sanglante bataille de Malplaquet, et un autre qui s'est trouvé avec le jeune général Wolfe sur les hauteurs de Québec. Mais nous en avons fini avec tout cela de nos jours. On est disposé à la paix, l'on vend son brevet à la première occasion, l'on dérobe sa marche à son frère chéri, et l'on revient chez soi à la sourdine cultiver les bonnes grâces de sa vieille tante. — Voilà ce qui est un mensonge, — répondit Harcourt avec beaucoup de sang-froid. — Je ne l'ai pas vue depuis mon retour. — Pourquoi donc êtes-vous revenu ? — demanda l'autre. — Vous êtes venu pour quelque chose.
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Première contravention délit. Pire que cela encore : objet de reproches mérités et invité à se garer par le conducteur du car, Jacquot insulta ce dernier ; il essaya même de l’atteindre d’un coup de son fouet. Oh ! le méchant. Le tribunal devant lequel il comparait aujourd’hui l’acquitte de ce deuxième et dernier chef d’accusation, jugeant qu’un conducteur de tramway, non assermenté d’ailleurs, n’est pas un agent détenant une portion de l’autorité publique. Par contre, il inflige à Jacquot une amende de 5 fr. pour emploi non justifié de la voie ferrée du car. Contrebande. — A la requête de la Régie sont condamnés pour faits de contrebande : Savin Hordé, de Vaux-les-Amiens, en deux amendes de 600 francs, une autre amende de 200 francs et en six jours de prison. — Arthur Gorller, habitant également Vaux-les Amiens, en deux amendes de 600 francs et en 6 jours de prison. Presse locale Vient de paraître le deuxième numéro de la Défense pédagogique. Prix de l’abonnement : 1 fr. 25 par an. Pour la vente au numéro, s’adresser à M. Sadouillet, libraire-étalagiste, en face du Palais de Justice (rue Robert-de-Luzarches), ou rue Gauthier de-Rumilly, 32. Voici le sommaire de ce second numéro aussi bien compris que le premier: Un Mot Personnel. — Les instituteurs et la Politique. — Remerciements — Monsieur Stal. — Les Promotions au Choix. — Avis. Syndiquons-nous. — Le Concours des Ecoles d’Amiens. — S’Unir et Agir. — Les Déplacements d’office. — Notre Courrier. La Nomination des Instituteurs. Nous engageons les Instituteurs pénétrés de l’esprit laïque et démocratique à s’abonner à cette excellente revue pédagogique, dont le succès s’affirme déjà de la façon la plus encourageante. LONGUE-PAUME Vingt sociétés étaient représentées dimanche à Bray sur Seine, pour le championnat de 3e catégorie de l’U. S. L. P. P. Elles ont été admirablement reçues par la Ville et la Société de paume. Après le vin d’honneur et quelques paroles de bienvenue très applaudies, prononcées par M. François, conseiller général et maire de Bray, les parties ont commencé.
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En los seis meses que allí estuvo, se divertía con frecuencia en el ejercicio de la caza, y las noches se ocupaba en la observación del cielo, y para es- to habia hecho en la azotea del palacio un pcque- fio observatorio, el cual ae conservó hasta el si- glo siguiente, y fué visto por algunos hirtoriado- 1t$ espafioles quo haVtlíin de él. Allí, no boIo ¿bhtemplaba el movimiento y curso do lo8 astros, sino que confereociaba con algunos ÍDtcliga]t<.s en la astronomía, pues habiendo estado siempre en aprecio este estudio entro ellcs, se dedicaron mas i él después que fueroxk excitados con el Google HISTORIA ANTIGUA DE MÉJICO. 109 * •i- f ♦ í^ * ejemplo del gran rey Netahualcoyotl y do su hi- jo y sucesor. Después de seis mesef de esta TÍda privada, volvió á la corte, mandó á su cara Xocotzin que se retirase con sub hijos al palacio llamado Tepic- pan^ y él se encerró en el do su ordinaria resi- dencia, sin dejarle ver mas que de algunos de sus eonfidentes, con el designio de ocultar su muerte, á imitación de su padre. En efecto, no se supo jamás ni el tiempo ni las otras ciroanstanoias da BU muerte. Solamente se sabe que murió en 1516, y que antes de morir mandó á los confi- dentes de quienes se servia que quemasen se- cretamente BU cadáver. De esto provino que el vulgo, y aun algunos nobles, quedasen persuadi- dos que no habia muerto, sino que se habia ido al reino de Amaquemecan, donde tuvieron origen BUS antepasados, como repetidas veces habia di- cho lo quería hacer. Este rey en materia do religión fué del mismo sentimiento que su gran padre Nezahualcoyotl.
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Brisco and Carpenter are both freshmen and Briscoe's speech was declared by many to have been the best of the six delivered. He is a freshman at the university and is working outside of school hours to pay his way through school, yet has a energy and determination to prepare himself for this great effort which was so highly praised. SUX EXPLOSIONS VISIBLE TO THE NAKED EYE TODAY That the present unprecedented cold look at it with the naked eye and see the sun through the dark cloud as if looking through a smoked glass. At intervals there appears to be a great explosion and the clouds disappear and the sun shines with a brightness that is dazzling. Many Moscow people have been watching the phenomenon yesterday and today. Some of the watchers report "sun dogs" plainly visible on either side of the sun, at intervals. Weather is due to planetary disturbances which interfere with the sun is stated by scientists, who predicted that "sun explosions" would occur at this time and until the 17th of December, which will be next Wednesday. Many Moscow people have been watching the sun and have seen explosions occur during yesterday and today. Those who have seen the disturbances say what appears to be dark clouds gather over the face of the sun, darkening it until one can see. Mrs. Oliver Ullery Dead. Mrs. Oliver Ullery, aged 37, of Den ton, Montana, wife of Oliver Ullery, died at Sacred Heart hospital in Spokane Sunday, after a short illness.
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Voici ce qui a donné lieu à ce bruit : Hier matin, à quatre heures quarante-cinq, le commissaire spécial de la gare de Valence a fait arrêter quatre étrangers, trois Espagnols et un Italien, voyageant sans billets. L’un d’eux était porteur d’un rasoir et d’un poignard. Interrogés, ils ont déclaré se rendre à Lyon pour voir le président de la République. Tous les quatre ont été écroués. Départ de Paris Le président de la République a quitté Paris hier matin à sept heures trente, se rendant à Lyon, accompagné par MM. Léon Bourgeois, président du conseil, Mesureur, ministre du commerce, le général Tournaire, Le Hall, chef de la maison civile du président, les officiers de la maison militaire, et M. Noblemaire, directeur de la Compagnie P.-L.-M. M. Félix Faure était arrivé à la gare à sept heures quinze en landau, escorté par un détachement de cuirassiers. Il a été reçu sur le perron de la gare par MM. Cailleaux, président du conseil d’administration, de Nervo, Déjardin-Verdier, Coffinet, Le Vavasséur de Précourt, Girod de l’Ain, administrateurs, et les hauts employés de la Compagnie. Le président s’est rendu dans un salon coquet et décoré où l’attendaient MM. Bourgeois, Doumer, Mesureur, Guieysse, Guyol-Dessaigne, Poirson, directeur de la Sûreté générale, Lépine, préfet de police, Mollard, sous-chef du protocole, etc. C’est dans ce salon que M. Félix Faure a remis la croix de chevalier de la Légion d’honneur à M. Chariot, chef de la division du mouvement, qui appartient depuis quarante-deux ans à la Compagnie. Le départ s’est effectué sans incident. De Paris à Lyon De Paris à Lyon, le train présidentiel s’est arrêté trois fois : à Laroche, où M. Félix Faure a remis la croix de la Légion d'honneur à M. Baillod, un des deux seuls survivants de la Grande-Armée. M. Baillod habite le village de Carisey, arrondissement de Tonnerre; il est âgé de 103 ans et fut réformé comme phtisique après Waterloo. A Dijon, M. Félix Faure a reçu sur le quai de la gare les autorités locales et a permis à la population dijonnaise de contempler quelques instants ses traits sur la place de la Gare; même cérémonie à Chalon-sur-Saône; puis le train présidentiel est arrivé à Lyon à trois heures vingt-cinq. A Lyon A sa descente du wagon, M. Félix Faure a été reçu par le docteur Gaillard, maire de Lyon, M.
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Les Royaumes de Jubo & de Magadechô, ou Magadoxo, sont très-peu connus. Les habitants n'en sont pas noirs, mais seulement basanés. Le commerce y est considérable. On y professe un Mahométanisme très-corrompu. On ne connaît pas non plus la République de Brava : on dit qu'elle est sous la protection des Portugais. Les Arabes font un grand commerce à Aussaguel, en poudre d'or, en ivoire, en encens & en esclaves. Des Îles de l'Afrique. On a vu précédemment la position de ces îles : je vais les reprendre dans le même ordre. 1°. Les îles de l'Océan, à l'Ouest de l'Afrique, sont comme on l'a dit, Madère, dont le nom, en portugais, signifie île des Bois. Elle fut ainsi nommée, parce que quand Jean Gonzalez & Tristan Vaz la découvrirent, après avoir longtemps ignoré quel était l'objet qu'ils apercevaient en mer, ils connurent en s'en approchant que c'était une île couverte d'arbres. Cette découverte est de l'an 1419. On mit le feu à ces arbres pour y pouvoir pénétrer ; ensuite on y planta des cannes à sucre & de la vigne, qui y réussirent à merveille. Mais elle n'est plus si fertile que dans les commencements. Quoique son sucre soit très-estimé, la plus grande culture est surtout en vignes. On y fait quatre Ports de vins ; mais la Malvoisie est l'espèce supérieure. Sa capitale est Funchal. Cette île appartient aux Portugais.
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t+. Pi jttcQtpdidttrj* Mifia offern D€o,verum,proprtum , & proptttatorium facri- fic»um,pro vtyts dcfutiUis. m Imdmlgemutnmt ttum ptefidttmjt Cknjte im lctkfikn /i 7 mfwft » ufum Cbnfiuno f*fnlt wuximt fdUtJtrem , dfrms : rr jai , «■ txjmtmsls thtfdmrt pfint djat mdulgentu , tx fufndbmmdmmtu tfenm Cbnfit & 23. Ommu & fimgmU , fmm de Ftadtt tngtmdh , &de )mfitfitm mmymfmfmhfmfB ts&decUtdtm fmm jLtmfUder & rutftm. 5. DE TRIUM VOTORUM PROFESSIS. »0- lefuitmm eenus Guinrum, (unc rrwu» tancum vulgarium,& cum reliquis S^jJ*" Monjchn conmisrwam^irirM Prs/t^. Hi fePapae,6c fuo Gcneiali,in hmmf S^C. fofmim obltpmt jc 6erorenu Ommmmtmt Jtmmttrne Dtm^ Egt .firrr rnmkxnu^ dtrttm tUA ctnjftcJn tmitfmftwm ,fietm tttmem ftetste m mjfericwtdu ttu mfitutk , & tmfulfm tibi tnfentmmdt defidem% rmtemtmMm [jurdnfmu VtrgmeMdwu , & cmnk tuk cmUft nntrttikjUruu mujtfien tuejfdmftrtdttmjcdfiudttm , & ebediemtum ftr- fttUdmjm StHietdte Jefk t & fTtmuitjjtndcm SHttuttm tmt tmgrtfmrmmmr rttjcm tm ek ftrfttut dtgjtm tmrnu mttttgemdsjuxu tffim Stcutdtu cemfimmitmtt. A tmk ergo tmmenu bonttdte & (Umenttkfer Jefu Cbrtfii fxngutntm, ftf fuffUater ; ut beckn- locdmftum, tm oderem fudrudtm , ddmttttre dtgneru : &mUrgttmesddbtcdefidndn- dum& offntndmm ; fic etuem dd exfUndumgrdtum ubtrierem Urguerm. v : Ad haec adtem voca facienda , (ludiofi ac literaci , biennio probarionis exa- €to ; illiceraci ver6,uno,veidimidio abfoIuto,admitruncur.
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Ce désir de simplicité qui, dans la pierre se borne, parfois, ornementalement, à une simple jonchée de fleurs ou de plantes dégringolantes à l'entour des consoles et des balcons, en bordure des fenêtres et des portes, va jusqu'à supprimer, parfois, les conduites d'eau que d'ingénieux effacements de la pierre ou des sinuosités canalisatrices rendent, à la rigueur, inutiles. Pourtant il ne faudrait rien exagérer et l'écoulement des eaux a singulièrement sali bien des façades, faute d'avoir été simplement régi par la tuyauterie de nos aïeux qui même, sous la Renaissance, trouvèrent dans la nécessité de cette canalisation un prétexte à de la beauté. L'originalité constructive ne peut point logiquement procéder par la négation, et si les architectes précurseurs ont adopté la formule de certains évidements, de certains creux, il serait ridicule de substituer à ces creux, des bosses. La preuve en est que tant d'édifices modernes sont maculés pour avoir voulu lutter avec des reliefs malencontreux contre les intempéries au lieu de s'y dérober. Le souci de la sobriété dans la couleur même qui, par la contradiction des creux et des bosses, ensoleille ou ombre la forme et la décore ainsi, est d'un autre aloi. L'architecture ne peut qu'être rationnelle et ses innovations sont d'autant limitées. Le grès cérame uni ou flammé, participe par sa solidité, en dehors de sa beauté, de ce principe, il laisse loin derrière lui la terre cuite, chère à la Renaissance, dont les gracieux médaillons n'ont pu résister aux intempéries.
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ISpechil lo The Times-Dispatch. NEWCAST NEWS, VA., September J. Benjamin Johnson, Jr., aged twenty-three years, was instantly killed and his two brothers, Marvin and Thomas, were severely shocked and burned when lightning struck the barn at their home near Fox Hill, Elizabeth County, this afternoon. The three young men were at work in a field when the storm came up and sought refuge in the barn. Benjamin was in a horse stall near the center of the structure and his brothers were in the doorway, when the bolt struck. It came straight down through the roof, apparently hitting Benjamin on the head, as a hole the size of half a dollar was found burned in his cap. Marvin and Thomas were knocked a distance of twenty feet and rendered unconscious. The lightning set fire to the barn, but P. F. Johnson, Sr., an uncle of the young men, saw the blaze and reached the scene in time to rescue and take the body of Benjamin from the building and carry the two men's safety. Parnell in Lynchburg Suburb. (Special to The Times-Dispatch) Lynchburg, VA., September Another case of infantile paralysis was reported today in Fairview Heights, a suburb to the south of the city. The child, who is two years old, is thought to have contracted the disease while visiting. Titing on Chandler's Mountain, Campbell County There are several other cases in that suburb, and the graded school there has not yet opened. Just Published De Courcy W. Thomas Mid-Summer Motoring in Europe No. 21 Illustrations, $2.00 Net.
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HEURE UK DE LA QUINZAINE? "Alors, je le dis. Je ne nie pas la réalité de ces histoires. Elles ont leur place dans la vie. Elles sont le mobile de beaucoup d’actes humains, nobles ou bas. Le récit en est acceptable, s’il est court et véridique, et qu’on y met de l’esprit, ou seulement de la bonhomie. Mais quand on les complique volontairement d’invention perverse, et qu’onrafine sur elles avec du beau style, ce sont des saletés, et je le dis encore. D’ailleurs, ne penser, dans la vie, qu’à l’acte sexuel, comme ne savoir, étant auteur dramatique, écrire que là-dessus... Ah ! Messieurs, que vous avez donc l’esprit bien placé ! N’y a-t-il donc plus que cela de possible au théâtre : ou le mensonge, l’excitation à la haine, la basse spéculation patriotique comme dans cette Alsace et quelques pièces du même genre qu’on nous a données récemment, ou les tripotages sexuels où se complaisent ces messieurs? Si, il y a autre chose. Il y a le vrai théâtre, l’étude des mœurs, la peinture des caractères, la satire des tares et des travers humains, ce grand théâtre comique qui nous met en face de nous-mêmes, et, en nous amusant, nous donne sa grande leçon. Seulement, il y faut des idées, le don de l’observation, du véritable esprit, de la finesse, cette franchise qui est une des formes de l’honnêteté, et cette espèce de force que donne l’amour d’un art un peu élevé. Nous ne sommes pas à ce rayon-là en ce moment. Mais voyons un peu le sujet des Roses rouges. Une comédienne retirée après fortune faite, — ce ne fut pas par son seul talent, — Francine, a épousé un romancier déjà plus jeune, encore fort inconnu, et à qui ce bel établissement a permis de percer un peu, Georges Jeannequin. Les deux époux s’adorent. Ils se le répètent tous les jours. C'est une union idéale. Entre parenthèses, il faut entendre ce Jeannequin parler de son art, du livre qu’il a en train, et cette Francine, lisant de ce livre un chapitre terminé, se répandre en phrases admiringes. Si c’est ainsi que cela se passe dans le monde où écrit M. Roland Coolus, on ne doit pas s’embêter. Mais cette belle façade conjugale a un revers.
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RoMiC nihil eximium hocannogelbim , nifi quod Co- lonia Cales dedudtacd.MoaiConralesexerdcu it vtreti- torem creari placuit P. Cornelium RufEmtm , qui moX qua/1 vitio fadu5,magidraia le abdicauit:& quia pcdilen- iiainrecutaed,velutommbuseo vitio conradtis aulpidjs, res ad interregnum rediit,&M. Valerio Cotuino iutene- ge noui confies CKaei funt. ANNVS MVNDI 37«. SEXTAE AETA- ci$,& loip.PctTar.xoy. Dariis, leddoz Pontif.32. Alexandr. 4. Olyinp.CXl. An. 4- Acchoncc A- theais Nicocrace,due Nicontato Vrbn Cond. -420. CoCs. L. Papyrio Curforc^ & Poecilio Libone. ANNVS ANTE CRRISTVM 351. t Hmmtmi Cifttwun xt Jtfjltmtmt viiumMU Tir/jvfK is/iriuM» iim dinn: X. M fmiijm. 1 1 XL ti$ rrt4im» HVnc annum nos quoque llneColC ponendum ceo* fcbamtis,CumHoloandro> Ooemhtio, Sigonio, Gellio,Tcmporario,GordoDio, qui tabulas Capitolinas fequuncnr,inqUibus anno 4x4. VtbisC6aditxCo/r. po- nunrar4..i£miliu5Mamercus,de CPlautiut Dedanus,in coque confulauieorundemTriurophus de Pnuemadbua Iponitunatnifihicannusinfcracurdocideceoruro Confit- lacus in annnm 4X3.non24. vcillx ubuUepolblant. No- nulli umen annum hic vacuum nullum ponunt , qnod nuUumdusintetregni antiquum autorem habeant. Non Liuiuro,nonDiodoram,Don CalEodoniin. Inbisinue- iiio Cnlpin. FunA. Genebratd. priores tamen illos prxm- lenro,qui hxc podetius & diligentius examioariic. Vacuo porrbannoconceiro,nullibiccdiu$, quamhocloco po- nicnr,qaopelbleqciainvtbegrainiMed,omaiaqueaurpi- 'ciavftioconadadeditafunc,vtinquicLiuiuSk itaque ne conlulaiia quidem comitia , qux aulpiCato gerebantur, Videntor eoannohaberipotuillc, led manliflein magi- dTatueordemconfiiles , donec tes^d interregnum redije. Pighius tamen eos, quos adieci confules;, ex Sob'no non’ male colligit, neq; in re,qnz nihil tuebat chronologiam, contentiolum funem trahendum puto.
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Podniósł na mnie załzawione od zimna oczy. — Wcale nie idzie, Ja ide i ide, a interes stoi w miejscy i sie nie chce ruszyć. Dlaczego? Czy szyby nie pękają? Spojrzał na mnie wzrokiem pełnym politowania. — Pan sie pyta, jak dziecko. Czy szyba jest balonik, żeby una sama pękła? Szybe trzeba stłuc. =] nikt nie tłucze? — Kto ma tłuc, kto? Czy u nas można stłuc szybe?... Jak raz pare kilkanaście łobuzy wy szli na ulicę i wytłukli troche szyb, to ich odrazu wsadzili do więzienia, Głośno i z rozgoryczeniem wytarł sobie zziębnięty nos. — U nas jest bardzo trudno żyć, prosze pana, To nie jest kraj dla szklarza, Ja mam kuzyna w Hiszpanii. też szklarz. Tam jest teraz ży ciel On mnie pisze, to ja pg kam z zazdrości! Pan ma poję cie, co tam natłukli szyb? Tam się szyby sypali, jak ulęgałki! A Te ja rozumiem kraj! Albo weź pan taką Japonje. To jest kraj? To jest raj, pro sze panal Co pare miesięcy pan tam masz trzęsienie ziemi! I wszystkie szyby lecą z okien na zbity łeb! Pan rozumie! Tam szklarz sie nie martwi, co bę dzie jutro. Ziemia mamunia go daje robotę. Sie troche potrzę sie i już on ma prace na cały rok. A co u nas? U nas ja sie trzę se, pan się trzęsiesz, ale ziemia | sie nie trzęśnie. | co jej sie dzi wić? Jak marnego łobuza za pare glupich szyb sie sadza do wię zienia, to poco sie ona ma nara Żać?.. Eh! U maas jest bardzo ciężko dla szklarza.., — A bez trzęsienia ziemi — spytałem niema roboty? —— nn DO A AZ A RÓ Z ZZ W ZZOZ ZA RÓ I. mM „ Przecież w kłótniach małżeń skich. rodzinnych tłuką chyba nieraz szyby.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais expiraram. A condicião de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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*62. Of Dreaming. view of the subject, nothing could be more natural than that Brutus should have seen either in a sleeping or waking vi- sion, his evil genius, who declared to him, " I am, Brutus, thine evil genius! but thou shalt see me again near Philippi;" or the dream which Shakspeare puts into the mouth of the Duke of Clarence, during his confinement in prison, when with so much beauty and pathos, he represents him as having felt himself to be drowning during the visions of the night. The anxious and perturbed state of mind in which both these persons must have been at the time, would naturally have given rise to such unpleasant visions. The next phenomenon exhibited in dreaming, which is wor- thy of remark, is, that confused and obscure world into which, on such occasions, we seem to be introduced. The objects and images are, indeed, all such as are taken from those arche- types which are found in this world, but they are transformed, as by the hand of a magician. We seem to be transported into a fairy land, and something' like that which the poets have feigned of the regions below, the place of departed he- roes and sages. Objects are presented which deeply inte- rest and agitate us, but they flit before the mind in quick succession, and are at best but dimly seen as through a mist.
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« On calomnie la vieille Alsace, cette terre des souvenirs glorieux et des sentiments patriotiques; j'y trouverai, j'en suis assuré, des cœurs qui comprendront ma mission et mon dévouement au pays. « Quelques mois, en effet, ne font pas d'un peuple profondément imbu des vertus solides du soldat et du laboureur un peuple ennemi de la religion, de l'ordre et de la propriété. « D'ailleurs, Messieurs, pourquoi aurais-je été mal reçu? « En quoi aurais-je démérité de votre confiance? « Placé par le vote presque unanime de la France à la tête d'un pouvoir légalement restreint, mais immense par l'influence morale de son origine, ai-je été séduit par la pensée, par les conseils d'attaquer une Constitution faite pourtant, personne ne l'ignore, en grande partie contre moi? « Non; j'ai respecté et je respecterai la souveraineté du peuple, même dans ce que son expression peut avoir de faussé ou d'hostile. « Si j'en ai agi ainsi, c'est que le titre que j'ambitionne le plus est celui d'honnête homme. « Je ne connais rien au-dessus du devoir. « Je suis donc heureux, Strasbourgeois, de penser qu'il y a communauté de sentiments entre vous et moi. Comme vous, je veux notre patrie grande, forte, respectée; comme vous, je veux l'Alsace reprenant son ancien rang, redevenant ce qu'elle a été durant tant d'années, l'une des provinces les plus renommées, choisissant les citoyens les plus dignes pour la représenter, et ayant, pour l'illustrer, les guerriers les plus vaillants.
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Co mówią ogłoszenia w dzien nikach sowieckich. — Moskiewska „Prawda* skarżyła się niedawno, że w prasie sowieckiej czyta się prawie wyłącznie ogłoszenia natury ściśle prywatnej, natomiast ogłoszenia o cherakterze gospodarczym są nader rzadkie. Dlaczego tak jest, zbytecz nem byłoby rozwodzić się, ale no tatka ta wywołuje chęć bliższego zainteresowania się treścią ogłoszeń sowieckich. Weźmy dła przykładu wspomniany numer ,Prawdy*. Niejaki Chaim Kacenfel podaje, że od dnia onegdajszego nazywa się już nie Kacenfel lecz Kuropatkin. Jakiś „super bolszewik" informuje, że nowonarodzonemu swemu synowi nadał imię Thilmann, a dwaj starsi jego synowie mają imiona Lenin i Marx. Są dalej ogłoszenia humo rystycznie brzmiące, lecz tragiczne w swej treści: urzędnik poszukuje zasobnego wspólnika do zakupu ubra nia, które noszone byłoby na zmianę, a jakiś robotnik szuka współudzia łowca na zakup podanego rozmiaru butów... Poziom moralności sowiec kiej ilustrują ogłoszenia takiej np. treści: „Przyjąłem nazwisko Zmurow i wyprowadziłem się od rodziców, z którymi zerwalem — [wan Kriu kow*, albo ogłoszenie Iryny Baska kow, która prosi, by Paweł Baska kow nie uważał się odtąd za jej ojea, gdyż „nie podąża on za ideała mi bolszewizmu“. Dymitry Orlow chwali się, że staruszka jego matka, dotąd bogobojna, przystąpiła do bez bozników i „na ulicy opiula duchow nego“. Efim Kirow wyrzeka się żony, bo lekceważąco odezwała się o kolektywach wiejskich. Zaiste, z ogłoszeń tych, zazwyczaj pomijanych przy czytaniu dzienni ków, więcej można nabrać pojęcia o stosunkach sowieckich, niż z orga nizowanych przez „Inturista* podróży. K. GORZUCHOWSKI ж ы» Poleca zegarki szwajcarskich fabryk wyregulowane z gwarancją. Wyroby złote i srebrne, papierośnice, najnowsze fasony. SOLIDNA NAPRAWA. CENY KONKURENCYJNE. Jedwabie liturgiczne i sztandarowe, galony, frendzle, chwasty. Маіегјаіу na sutanny і palia. Płótna lniane i t. p. poleca: M. MAĆKOWIAK i T. ROMAŃCZUK Wilno, ul. Wielka 47 Ceny najniższe. vis-a-vis kościoła św. Kazimierza. Ceny najniższe.
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Leo Brothers Case The case of Leo Brothers company against the Norwich Fire Insurance society of Norwich and London and the New Brunswick Fire Insurance company opened this morning in the before term of the Dictrich-Jf non-fire insurance company of $11,000 on fire insurance policies for life loss, $5000 against the Norwich society and $16,000 insurance. The case against the company was dismissed due to the lack of evidence. Leo Brothers sustained their loss by fire during the fire, which destroyed property of Leo Brothers company at Teeter, Wash. The case against the company was dismissed due to the lack of evidence. Work of Genoa Conference Good Verdict of Lloyd George at Close Genoa—(A.P.)—The Genoa economic conference adjourned. At 1:15 p.m. today, Premier Lloyd George, in a vale dictory speech before the conference today, said that the conference had gathered fine crops, namely, the meeting to be held at the Hague; the non-aggression pact and the reports of the finance, transport and economic commissions which, he said, alone justified holding the conference.
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DU JEU DE PIQUET, IDÉES GÉNÉRALES, DOITS ET RÈGLES DE CE JEU. En 1767, on représenta sur le théâtre de l’hôtel de Guénégaud, une comédie de Thomas Corneille, en cinq actes, intitulée le Triomphe des Dames et dont le ballet du jeu de Piquet était un des intermèdes. Les quatre valets parurent d’abord avec leurs hallebardes pour faire faire place, ensuite les rois arrivèrent successivement, donnant la main aux dames dont la queue de la robe était portée par quatre esclaves. Le premier représentait la paume; le second, le billard; le troisième, les dés; le quatrième, le trictrac, ce qui était suffisamment marqué la primauté du piquet sur ces autres jeux créés beaucoup plus tard ou adoptés moins généralement. Les rois, les dames et les valets, après avoir formé par leurs danses des tierces et des quatorzes, après s’être rangés, tous les noirs d’un côté et les rouges de l’autre, finirent par une contredanse où toutes les couleurs étaient mêlées confusément et sans suite. Je crois que cet intermède n’était pas nouveau et qu’il n’était que l’esquisse d’un grand ballet exécuté à la cour de Charles VII, et sur lequel on eut l’idée du jeu de piquet, comme nous le jouons aujourd'hui ; l’on peut donc conclure que, bien que les cartes eussent été inventées pour la distraction du roi Charles VII, tombé en démence par la frayeur qu’il avait éprouvée dans la forêt du Mans à l’apparition d’un personnage fantastique, je permet d’ajouter que l’origine du jeu de Piquet ne date que de la fin du règne de Charles VII et lors même qu’il habitait Chinon. Combien de personnes jouent tous les jours à ce jeu sans en connaître tout le profond mérite. Je vais tâcher de prouver jusqu’à quel point il est symbolique, allégorique, politique et historique, et qu’il renferme des maximes très importantes sur la guerre et le gouvernement. Le mot pique est un mot latin qui signifie une pièce de monnaie, du bien, des richesses. Les as du piquet ont la primauté même sur les rois pour marquer que l’argent est le nerf de la guerre, et que lorsqu’un roi n’en a pas sa puissance est éphémère. Le trèfle, herbe si commune dans les prairies, signifie qu’un général ne doit jamais camper son armée en des lieux où le fourrage peut lui manquer, et où il serait difficile d’en transporter.
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OFFICERS UNABLE TO GET CLUE TO DESMOND TAYLOR MURDER Official Los Angeles— 7A. PJ—No connected with the William Desmond SPEAKER JOHNSON GUEST OF MOSCOW BLACKFOOT LEADER TO ADDRESS UNIVERSITY AND CHAMBER OF COMMERCE THURSDAY The Hon. Peter G. Johnson of Blackfoot, speaker of the house of representatives at the last session of the state legislature, will be the guest of the University of Idaho and the Moscow chamber of commerce on Thursday, according to announcement Tuesday by Dean Francis A. Thompson of the school of mines, chairman of the university assembly program committee. Mr. Johnson will address the meeting of the chamber of commerce, Thursday noon and the university assembly Thursday morning at 10 o'clock. The regular chamber of commerce luncheon on Wednesday has been postponed until Thursday noon in order that the members of the chamber may have an opportunity to hear Speaker Johnson. The regular University of Idaho assembly on Wednesday morning has also been postponed until Thursday, Thursday classes of the 10 o'clock period will meet on Wednesday at 10 o'clock in order that the regular class work of the university will not be interrupted. At the university assembly J. F. Lewis, formerly with the St. Anthony public schools and now with Ginn and Company, will sing. Speaker Johnson is an eloquent speaker and all Moscow townspeople are invited to hear him at the university assembly. He has been a member of the state legislature several times and at The last session of the legislature served as speaker of the house of representatives. He is an outstanding figure in the republican politics of the state.
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rue Garibnldi.— Oiorgetlo Fomponi, rue Jacqninot.Décès.— Marie Roche, cuve Cliallicr, 79 ans, rue Picot, 10. — Marie Girard, veuve Muller, 79 ans, quartier Suinf-Roch. — Mario Ferbet, •>cuve Seyro, 7«» ans, hospice civil. — Marie mincît, épouse Abeille, 33 ans, cours Lateyette, 76.— Joseph Gaiti, 50 ans, hospice civil.Draguicynan. — Nomination. — M. Bernardini, gardien ordinaire à la maison d’arrêt de Draguignan, est nommé, sur sa demande, en la m me 1 alité A la maison d arrêt de Nîmes. -1 est remplacé par M. 1 prunelle, gardien A la prison de Mende.In vert on. — M. le général Mathis, commandant lo V* corps d'armée, est arrive hier dans notre ville pour inspecter lobabataillons du fils régiment d’infanterie.L» Seyne. — Contri'mfions. — H est rappelé aux contribuables seynois qui so trouvent dans les comblions permettant le dent everrerie de leur voie mobilière, qu il so aire inscrire au secrétariat de la mairie tous les jours, sauf le dimanche, en a ant soin de présenter leur feuille d’impositions.Li s a aires sanglant ■*. — boudin, l'auteur 1 de l’attentat contre noble, dans les terrains 1 vagues de tirôyalllon, in terroir • par M. locommissaire de police et co.ilroutô A l'h priai avec sa victime, a reconnu l’exactitude des laits, i.’élut de Noble est stationnaire; il est impossible de se prononcer encore sur les conséquences de ses blessures, un a pu jusqu’ici retrouver le revolver qui a servi a l'attentat.1 buant A 1 affaire Truc, l’enquête suit son cours ; l’autopsie du cadavre de Bertola a été pratiquée par le médecin légiste. Les obsèques ont eu lieu mardi malin.vols. — De la volaille a été dérobée en Ëen oui, A Prégaillon. dans la propriété de. i igloo. H a été déposé une plainte par M. Gaudemard, pêcheur, A qui il a ôté soustrait, A. a tintdîme, une quarantaine de paniers calé< au fond de la mer. Le ou les aucuis de cet audacieux larcin sont vivement recherchés. , Ob'è tues civ les. — Hier matin, ont eu Heu les obsèques purement civiles de notre regretté camarade Magalon, décédé A l’Age de 41 ans C'est avec lé concours d’une nombreuse suite d amis et de connaissances que cette dernière marque de sympathie e pour le défunt a été donnée ù la famille éplorée.
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"t Is on» vermyde- lyk, Memoires 608 D& THERMOMETER, ven, door kookend Water heet gemsskt, tegenover het getal 8o ftaan blyft, meet men zig verbeclden, dat hetzelve,7o t Glas onveranderl]yk bleef, juiít zoo veelhoogse in de Buis zou ryzen, als het Werktuig van - onze Eeríte Procfneeming , in kookend Wi- ter gedompeld,, het zyne doet daalen: indien. beider Bollen en Buizen wederzyds in gely- ke evenredigheid tot elkander ftonden. Dit Gebrek is onvermydelyk. Het eene fte, dat 'er in te doen ftaat, is dat men or derzoeke, hoe veel of hoe weinig verande- zing het te weeg brenge in de bepaalde mat der evenredigheden, daar de naauwkeurie heid van deezen TLermemeter van afhang: in welke gevallen het een. onvolmsaktheid van merkelyk belang zou kunnen veroirzs* ken, en of'er middelen zyn, om zulks voot- te komen of te verbeteren. De Heer pi REAUMUR beantwoordt in de voorheen aar gehaalde Memorie alle deeze Vrasgítukkes de Aud, breedvoerig: en ik kan, dunkt my ,niet be des $cie»- cet. 1730. p.44 ter doen, dan dat ik den Leezer derwesr wyze; gelyk ik reeds hem derwaarts: gezon* den - [ [ Dg TRERMOoMxTER. 609 jm een omítandig berigt te kry- XIV.LES. les wat 'er tot het vervaardigen rr n Thermometer 5ehoort.. Want, ,.,, dz. oorheen meermaalen gezegd heb, 45:.
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[Phyllida amo ante alias) Significat fibi quoque effir carum Pol lionrm,&cum digrederentur, grauitertuUirc,® prxmcrrore ef- fe collacrymatum, longamijue falutationem dixilTc , vt folet in- ter amicos fieri . Lacrymx, Sc geminatio falucat ionis, ® proba- tio,® epitheton formofi,charitatis funt ligna indubitata . [Tri- fte lupus) Non folum fe amare Mecotnitem aut Pollionem, fed venerari, nihilq. fibi elTe rnllius quam ilius animum alienatum ab fe . [Dulce Catis humor) Si vero nihil etfe illoru,® altoquijs, & conlpcdu iucundius. [Pollio amat noftram) lam aperte fin« figura Pollionem nominat,® grata effe illi fua carmina rullica. O Mufx, Pollioni, qui tam licenter vetita legit, ijique delecta- tur,alite vitulam fuppedicate Veneres , fioe carmine , liue profa. [Pollio,® iplefacit noua carmina)Non deiedatur rullico poe- mate, fed facit ipfe carmen noui gencris,nouiqtie argumcti,quo proflgabit inimicos fuos. ® inuidos impetet cornu, verfuu acu- mine,® fparget pedibus arenam, ad rerrorem aemulorum puluc rem exaiabit,vt tantam ferociam indofti metuam . ® puluis eis obijcuuir ante oculos. Fuit Atinius Pollio vir valde Jodus,® c ui) auis .i ASC.
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Justifié 40 »357 Y»358 75316 2555557 a .1555 PAGE ET m A SARSAO cpt. • ae a5)U ..70 ..CORDOVÉ A S4v? ’• J. 't.cpt.. , a e•1.05 .AVILLANÇE-l 1 X EM ROI R t<?M».. 80;v;5600 fr. — L’b.-. J.juil. fan 30•-i ern. c an LA BOURSE UC 22 AVBI*PRIMES9 0 925 il triage 5095’, 9jôf9ù 5»2 :o o6j •ft 6 25 9 6 685. 68 ) • • 62-J • 62J. 126 ..332 ÏO 320 .675. • 677 50 313 75 313 75(VT *> P rù • ca. ,., ur t..Le marché a battu, c p de j m r. la retraite 5 0(0 <t b te à 1 à 1C3 10 O i voit qu'il y a une qui lutté contre, ‘a ha..;<e d ?. pê'her la réprise des valeurs. Comme Duas ’e fais ns observer hier, la baisse de 9 valeurs parait devenu tout à fait impossible. Le Mobilier royal à 412. I* a «nbn'é à 4 42, et si il ét il c ré 409. Quoique d'un nouveau prix è>. de la démise signé de M Philippart qu se retirerait du Mobilier. Tous et ses bruits n'ont peut-être rien de secret mais ils expliquent la baisse. L’acte test unit jour travaillist; le bleu de brique que nous j avons un cub démontre, aussi les boulangers eux-même ils pourraient émettre de nouvelles actions. On annonçait hier que si le souscription de l'acte annuel des du Mobilier s'ouvrirait lundi prochain, mais à jour aujourd'hui ce n'est plus le cas. La banque à vapeur sur le canal de Bordeaux, M Lit. 71 ans, rue Notre-Dame-de-Lauté. La Banque franco-italienne, 0 t?l ku.de *, Neuhaus h. 83. Mme Soupe. 60 *rv. r e d#*,. >.i Jc.pt ; — ’î. Y urne, v, r..-.iran:n.1 f* 't. 1*>» .16t *. ààm m éliv! 3u *1 J *1,ai t >J .* *1*3 *JL•j >jJ— ..dis*àV 4 «L U;*>4 aIlkJV5ii t ..lu 15 courant, Compte italien, dûment .. sfr's. .dt 2571 25 à~i io..à.. ..Fo:. *i«*r ..dt 10â Mobilier.dt lu4*4ii .. a4 0..4<*)aro ..Mob. t-sp.dtyû12SO .. a1310 ..e .a. e • .Sov. gi-û.Jtlü.... AaA tnohe dt If)hI... combard dt 10âe • •Lvoh....dt10âàOrléans .dt lua...■ iNord .. i‘A....6Su*-z dt .0â710e .à7 5..— Dü-g.dt .u. .. U..., ri.
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The value of the Bible lay not so much in the literal truth of its texts as in their spiritual import ; and by the union of believers with Christ they came to share in the ineffable perfection of the Godhead. There is much that is modern and enlightened in such views, which Gorton seems to some extent to have shared. He certainly set little store by ritual observances and maintained the equal right of laymen with clergymen to preach the gospel. Himself a London clothier, and thanking God that he had not been brought up in " the schools of human learning," he set up as a preacher without ordination, and styled himself "professor of the mysteries of Christ." ^ Some passages in his writings would lead one to suppose that he . cherished that doctrine of pri- vate inspiration which the Puritans especially abhorred. Yet he attacked the doctrifte of the " inner light," as it was held by the Quakers. An atmosphere of Unitarianism per- vades many of his arguments, and now and then we get a [ touch of pantheism. Perhaps he had not an entirely dis- tinct comprehension of his own views, for distinctness in, expression was surely what they lacked.^ But they were 1 Though a craftsman, he .was of gentle blood, no unusual thing in England at that time, and was addressed as " Mr." He seems to have been sufficiently learned to read the Old and New Testaments in the original tongues.
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Harker, Chables G., was born at Swedes- boroogh, N. J., Dec. 2, 1837 ; killed near Eenesaw I Mountain, June 27, 1864. He graduated at West ! Point in 1858, aud in the fall of 1861 was colo- nel of Ohio volunteers. He was made brigadier- general in September, 1863. He did good ser- vice in Tennessee aud Georgia, especially in the battle of Shiloh, the siege of Corinth, the battle of Murfi-eesborough, Chicliamauga, and Mission- aries' Ridge. He commanded a brigade under General Howard in the Georgia campaign, aud distinguished himself at Resaca. Harlem Plains, Battle on. On the morn- ing of Sept. 16, 1776, the British advanced guard, under Colonel Leslie, occupied the rocky heights now at the northern end of the Central Park. His force was composed of British infantry aud Highlanders, with several pieces of artUlery. Descending to Harlem Plains, they were met by some Virginians under Major Leitch, aud Connecticut Rangers under Colonel Knowlton. A desperate conflict ensued. Washington soon reinforced the Americans with some Maryland aud New Euglaud troops, with whom Generals Putuam, Greene, and others took part to en- courage the men. The British were pushed back to the rocky heights, where they were re- iuforced by Germans, when the Americans fell back towards Harlem Heights. In this spirit- ed engagement the Americaus lost abont sixty men, including Major Leitch and Colonel Knowl- ton, who were killed. This afiair made the Brit- ish more cautious.
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And he made Mm a shirt of many colours. The father made Joseph a silk- shirt, and from this shirt came upon him all troubles. From this do our sages (infer and) teach, that it is not lawful to make for one child better clothes than for the others, that there should be no jealousy among them. The word Pasim (in the original), i.e. " many colours,^' points to his troubles. (By Notricon) the letter P is Potiphar ; the letter S stands for Sochrim ; the letter I is Ishmaelites ; and the letter M points to the Midianites ; 1 that is to say, to these Joseph had been sold. And could not speak peaceably with him. Rashi says : The text shows us that the brothers were righteous men, and could not speak with the mouth otherwise than they felt in their heart ; they hated him, and could not speak peaceably unto Imn. 5 And Joseph dreamed a dream., and he told it to his brethren, in the hope that they would not hate him when he told them that he would be a lord, not because of his father's love, but because of the providence of God. The Chizkuni says : The first dream was not true, and there- fore it was not recorded. ' 7 For behold, we were binding sheaves of corn in the field, audio, my sheaf arose, and remained standing upright, but your i.e. a son of the Elders, in other words, a disciple of the wise, hence ^^ clever in the law." ' D^ano ,Di'?Ny»B'* .onniD /"iQ''t2iD=n'Ds. RABBINICAL COMMENTARY. sheaves stood round in a circle and bowed down to my sheaf.
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Mr. and Mrs. Sanders Hosts Mr. and Mrs. Glen Sanders were hosts at an enjoyable affair Thursday evening when they entertained thirty-eight guests at dinner and bridge their home on North Main street. Dinner was served at small tables which were attractively decorated with flowers of golden glow and nasturtiums. The guests were Messrs. and Mesdames Bush, Barton, Hutton, Horner, David, Howard, David, Earl, David, Dee, G. Mix, P. Mix, Wallace, Wilson, C. Edmundson, Burton, L. French, Downing, Griffith, McGowan, Butterfield, P. Thomas of Coeur d'Alene, Miss Brennan, Will Mix, and E. V. Ellington. Afternoon for Miss Stewart Miss Edna Clarke and Miss Alice Costello entertained a few intimate friends of Miss Edna Stewart at the Clarke home Monday afternoon. Six guests were bidden. Light refreshments were served after five o'clock. At Fresco Dinner Miss Ella Woods, who leaves this week for Montana, where she is engaged as teacher of domestic science in the state normal school, was the motif for a charming al fresco dinner at the Clifton country home near the Soldier's home, Wednesday evening. The dinner was arranged by the Alias inez Clifton, Mary Wilson, Martha Hansen, Berdle Ester, Mrs. W. C. Dunbar, and Mrs. Tate. Nasturtiums formed the center piece for the table, which was spread beneath the vines and trees on the east side of the house.—Cap Elkton News. University Club at Boise A cafeteria style picnic lunch, a business meeting of the rehabilitated University of Idaho club and a dance will be the principal features of the gathering of university alumni, undergraduates, and prospective students to be held at Pierce park Thursday evening.
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Himbeck, weiches am 15. August von New York abgegangen war, ist heute um 6 Uhr Abends wohlbehalten hier eingetroffen und wird nach Landung der für England bestimmten Güter und Passagiere die Reise nach Bremen fortsetzen. Dasselbe bringt außer der Post 87 Passagiere und volle Ladung. Sechste. Dampfer. Bremen, 27. August. Das Post-Dampfschiff des norddeutschen Lloyd „Frankfurt“, Kapitän F. v. Bülow, hat heute die zweite diesjährige Reise nach New York via Southampton angetreten. Dasselbe nahm außer der Post 750 Tons Ladung und 297 Passagiere an Vorort Southampton, 27. August. Das Post-Dampfschiff des norddeutschen Lloyd „Ohio“, Kapitän C. Basse, welches am 14. d. M. von Baltimore abging, ist in letzter Nacht um 12 Uhr wohlbehalten hier eingetroffen und hat um 2½ Uhr Morgens die Reise nach Bremen fortgesetzt. Dasselbe überbringt außer der Post 50 Passagiere und (Mitgeteilt durch den General-Agenten & 2. Laporte in Manchester) Familien-Notizen. Verlobt. — Fräulein Auguste Woeste mit Herrn Carl Schütte, Lauenscheider-Mühle bei Hedenfeld und Rahmede bei Lüdenscheid. Vermählt. — Herr Eduard Müller mit Fräulein Anna Wolters, Gerolstein und Hamm. Geboren. — Ein Knabe: Herrn Joh. Jos. Coelsch in Köln, - Carl Jos. Mataré in Oberhausen; = ein Mädchen: Herrn Wild. Gerdes in Altena, - Jul. Gösser in Barmen, = HBock in Rabden, - Otto Koch in Elberfeld, = Ed. Schmidt in Wickrathberg. Gestorben. — Herr Johann Lür, Siegburg; Fritz Schade in Düsseldorf, - Michael Löhrmann in Köln, 21 J., - Peter Hoffschlag in Köln, 33 J., - Peter Florian Goertz in Klein-Geldern, 30 J., - Wild. Pfleger in Saarbrücken, 75 J., - Witwe Anna Pfeiffer geb. Rollmann in Warendorf, 54 J., = Frau Mathilde Mertig geb. Schöpp in Elberfeld, 41 J., = Frau Johanna Meyer geb. Rosenthal in Essen, 25 J., - Witwe Fürmann geb. Borgemeister in Cleve, - Fräulein Emma von Schenck in Aschaffenburg, - Frau Selma Kaulen geb. Hundhausen in Köln, 29 J., - Clotilde Sesiani in Rom. 7 33. Bernard Schmitz, Elise Schmitz, geb. Lessel, Vermählte. Ochtrup, den 28.
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les juges et les jurés ne sont pas infaillibles; mais souvent on est aussi peiné de l'acharnement avec lequel le ministère public poursuit un accusé, que de l'accent de conviction avec lequel un avocat défend un criminel évidemment coupable. Des dépositions mensongères peuvent égarer la justice; la loi punit les faux témoins, mais est-elle rigoureusement appliquée cette loi? Que de faux témoignages n'avons-nous pas vus impunis! Que d'agents de police et de provocations, dont les dénonciations intéressées n'ont pas été poursuivies. A Rome, l'accusateur injuste était noté d'infamie, on lui imprimait la lettre K sur le front, on donnait des gardes à l'accusateur, pour qu'il fût hors d'état de corrompre les juges ou les témoins. On ne s'assure chez nous que du prévenu; du temps de Montesquieu, la peine contre les faux témoins était capitale en France. Il existe encore aujourd'hui contre eux des lois répressives; mais le ministère public est trop indulgent pour ces témoins douteux qui servent l'accusation; s'il se montre sévère, c'est contre ceux qui favorisent l'accusé. Il devrait aussi rendre compte des arrestations arbitraires on verrait alors diminuer le nombre des détentions préventives. La liberté provisoire sans caution (qui donc cautionnerait le pauvre?) devrait être acquise comme aux États-Unis, à tout citoyen français domicilié, s'il n'est prévenu d'un crime emportant peine capitale. J'engagerais seulement, jusqu'à un certain degré, la responsabilité des juges, et j'accorderais à certains prévenus des gardes de police. Tant qu'il n'en sera pas ainsi, les prévenus et les accusés sont ceux qui doivent inspirer le plus d'intérêt, et qu'on doit le plus songer à préserver.
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Si è entrata delle sussistenze è libera, egli ha giusto di uscita lo sia pure. E non è già, quando il prezzo ne è altissimo, in un paese che si possa temere una esportazione di qualche importanza. Ciò nulla meno considerazioni attinte ad un altro ordine di idee potrebbero rendere una tale misura pericolosa. Non è sempre lecito ai governi il fare ciò che è giusto, ciò che è ragionevole. Sono essi costretti a consultare lo stato d’istruzione, il grado di civiltà di un paese. L’Inghilterra con l’entrata libera dei cereali e delle sussistenze in generale ha pure decretata libera l’uscita. Potrebbe il Belgio seguire un simile esempio? Oso sperarlo. Essendoci fatti noi gli apostoli della libertà commerciale con intenzioni che, la mano sulla coscienza, possiamo dire pure e disinteressate, non avendo altra mira che il pubblico bene, ci siamo tirati addosso accuse e contumelie di ogni sorta. Alcuni ci han detto, senza reticenza, voi siete imbecilli: ad una tale sentenza non v’è niente da opporre. Le nostre teorie hanno messo lo spavento nel cuore di altri. Se esse venissero ad essere applicate, ne seguirebbe, secondo loro, un rovescio, una rovina generale. Noi risponderemo a questi, come l’abbiamo più volte ripetuto, che fermi su principi che noi crediamo veri, noi sappiamo, quanto altri, che essi non sono generalmente applicabili ad una società che fu fondata su basi intieremente diverse, se non lentamente, a grado a grado.
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Zebrania na podstawie artykutu tego zwo ływane są wolne od kontroli policyi. Tymcza: sem policya krakowska, która szanowała ten przepis, gdy był austryackim, lekoeważy go i łamie, gdy stał sią obowiązującym w Rzeczy sławny w Polsce, arcybiskup Jerzy przyjął współ pracown ka Aj. Russpress I rozmawiał z tim o zjeździe biskupów, jaki się świeżo odbył w War szawie. Na zjazd przybył również arcybiskup wilerń ski i kowieński, kiskup Kleuteryusz nie mogł jednak wziąć udziaiu w obradnch, ponieważ pre zes ministrów p. Ponikowski, jako minister wyz nań religijnych uważał, że jako przedstawi: '|ciel dycecezyi, należącej do Litwy środkowej, która nie wchodzi jeszcze w skład Rzeczypospo litej poiskiej, arcybiskup Eleuteryusz nie może brać udziału w zjeździe. Arcybiskup Jerzy oświadczył, co następuje Zjazd nie dał żadnych konkretnych wyni: ków, ponieważ stanowisko zajęte przez bis kupów Pantelejmona i Władimira uniemożliwiło podpisanie konkordatu. Odmowę swoją umoty» wowali niemożebnością powzięcia tak ważnej uchwały, bez porozumieniu. się z patryarchą Ti chonem. nia r. 1921 za Nr. 3457/389, w którym Mir nisteryum zaznacza, że „Stowarzyszenie Bada: czy Pisma Świętego" jest stowarzyszeniem re ligijnem, jawnem, przez b. władze rosyjskie na terenie b. Kongresówki tolerowanem, na zie miach zaś Małopolski do rzędu tych stowarzy» szeń religijnych należącem,, którym przysłu gaje prawo odbywania nabożeństwa domowego. (Art. 16. Ust. z 21. grudnia. 1867 Nr. 142 Dz. u. p)“. „Badacze Pisma Swietego“ nie tworzą sekty, ani kościoła, locz stanowią towarzystwo, pospolitej. Podając powyższe fakty do wiadomości PP.
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Sprawa upaństwowienia kolei północnej. Wiedeń. (Tel. wł.) Stały komitet rady kolejowej zebrał się na naradę, celem przy gotowania materjału dla posiedzenia plenar nego. W pierwszym rzędzie na porządku dziennym stoi wniosek p. Baczewskiego o bezzwłoczne wykonanie uchwały z r. 1902 co do upaństwowienia kolei północnej. Wnio sek ten przyjęto i uchwalono przedłożyć wal nemu zgromadzeniu. Reprezentant minister stwa p. Guttmana oświadczył, iż wśród dzi siejszego stanu rzeczy rząd nie będzie mógł dać stanowczej deklaracji. Napad na Lambsdorffa. Wiedeń. (Tel. wł.) Pogłosce e zama chu na hr. Lambsdorffa zaprzeczyła rosyjska agencja telegraficzna. Dziś nadeszło następu jące wyjaśnienie tej sprawy: Oto do Extra blattu telegrafują, że ks. Dołgoruki, ongi pre tendent do tronu bułgarskiego, a znany jako wróg Lambsdorifa, spotkawszy go na ulicy, uderzył go pięścią w kark. Stąd powstała pogłoska o zamachu. Zaprzeczenia rosyjskie. Petersburg. Rosyjska Agencja tele graficzna donosi: Jesteśmy upoważnieni do oświadczenia, że zupełnie fałszywe i pozba wione wszelkiej podstawy jest doniesienie londyńskiego Sfand.rdu, jakoby w Warsza wie stracono 600 politycznych przestępców, a z Moskwy wywieziono potajemnie w nocy 80 trumien ze zwłokami rozstrzelanych osób. Petersburg. Ros. ag. telegr. ozna cza wiadomości zagranicznych dzienników o rzekomym zamachu na ministra spraw zagra nicznych Lambsdorfa za zupełnie bezpod stawne. Napisy czeskie na koszarach. Praga. (Tel. wł.) Ż Budapesztu dono szą tu, iż minister wojny na podstawie pro śby gminy Kutnahora, zarządził umieszczenie napisu czeskiego obok napisu niemieckiego na koszarach w Kutnejhorze O usunięcie krzyżów. Paryż. W senacie sen. Halgax z pra wicy interpelował w Sprawie usunięcia krzy żów z sal sądowych i oświadczył, że jest to bezprawiem i narusza religijne uczucia lu dności katolickiej. Lamarcelles protestuje również prze ciw usunięciu krzyżów z sal sądowych. Minister sprawiedliwości broni tego za' rządzenia. Sen. LasCazes zarzuca ministrowi, że usunął krzyże bez votum parlamentu.
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1 {ftnm quartum modum generidireuertunrar Sedn6valetcoronarecomiptm.i.M?^ ifradite ad paMa; fupnam.0en.tv.Tlduebei ftm glo.vel non cdibenit ftm 1:«goxiiit.£nft IO contrni fetus femineus.? fi» inftrmio: qt t fi Cbdihis vir t>e femina tam; nafcinir. Qm ek be.2tng.in li.t>e t^one cbtiftiono aii.ltoli/ le continere vos vin:q: filius uei virum ibice pu.Tlotiie vos otencre mnlieres:qt ? cbtiftns nans eft et femina. Contendi firafos viri cum dfeminatiibniDditqsecocupii^ns inilft; donilvirileagentes.CA^nuntfefemine e/xSu fnftnrtvugnuMstineeivorotnnoeo tomo doUniuntfaMsibaocerufs?pnrpurifrocon/ , crau.Qerut<|aUtepoTtlem8 0pombat gene luendo 9 uens tales fecerit.? cnmvtnturot/ ■ rstioniiniiftereumviroe^ mulurtotep fm igitur bcatifilma ifi>aria ^qium miifastft bci filius ? bc ea incamams virgo colore in c^fto pctpmtvirgo mentevirgo? voto.tli Ttbieit beans Xpo.in4>paitt.q.rcTii).anu iiq.(^m open perfectionis magis fnni Unda bilia ft et voto celebnnmr;? virgioitas in mo iRUdpMcipotueboiipoUerendeo puenten* fniintvirgtniusdosavotocildMo confo tumentis virorum.Etikpm quare ad femi/ lummiiTbs. diridum quare od vir^nem miiibs eft edfu Itoeiqt ad dbarid virginem oicii cnanaebAa. vbiinq|Mt4>.iyrn. Uirgtaemm;». virgine) coaporevIrgtnfukmquakbeKnbit opofto/i - ' ^'iftini.vtlVtietd men _jv«ine nquenoa vtrnspunopaiutrconmiinnKie ?voKute.Clndecnm virginitas fit virtus feu * eicellenria vfnuris cafittods.? Ipfa p:indpali/ tercdAlHf tn mAe.qni igitur vel que eft vtrgq coy>oreimmunl8.uab aemvenereoditd taroe ft*** mfteconupnsbabcns.f.cog{utionem?t>cii derium liberatum ad perpetridam acmm car nalcm quomodociiq) ;^uts non cceqpaf opus lolc.tamvfnon eft virgo menteifed ftmflis bU/ «I abfoluic vonilTe virginitatem.licd camldi» derlo babuerit ibpcrboc.tam^rolutaata uinino cdmiftt arbitrio.l^oftea ‘i'o aatfisi^ (b Oofepb ^m morem illi‘' temporis.(Kila) eo vonm virginitans em{fti.uouitetg»pae us ibbpdilione ? non abfolDte.licd)liMoplii <eret.lSoftqba) autem boc innotuit bcMtnl te ei efle acceptnmirancabfoltttc voabetwi ftg ab angelo annoncioretur . fl&ilibs d qys bci filius od virginem vt et virgine condpm tur Cbnfttts.ftm iUnd ftiaie ftptimo. ftcavin gocondptct?parietfil{mn:lcilftrt penniiib virgo.? vKabitur nom^dus rmarad.qn«l imcrptttanr nobiieu}bens:iddlbeusb^ nns. Contransmfentire?bicereeft beretioi „ „ fi;ilketg)eiraconccptu8nTiro?mo|i(TtM boloqu{cttmvirgimutcbabctinrernn).Cin/ ina.(C1^itttemconDemcns fblt.febdka debcaJb'^adaifto£bittm.Ii^^ l^nvirgincpioptcrqiia^ Mi9b(<dtnc(n nobis unpkaf»virgtncurbaanmXb^.ib.part09nvii« 4 , /Ca,ri§.@e3iiffdicafiltiMnone CCCXviii / flnti<)ni01mns((tcmnqDieamkoocciirnt vd , inap(j1~S€cnndarTnli|p2(w;trutf> • |(nera$antamba({itjmm{tritinp7indpior(r// naret (i7Zmiof«ilJi^t4 bumanUate. [ monierjhimnim.lTincdlffislonometic;/ i» vo ^Qaarroaincarnationiofinalitarr.
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La Ville, 3 octobre. Veaux. — Amenés, 708; vendus, 881. — 1er allant, 1 fr. 80; 2e qualité, 1 fr 70; 3e qualité, 1 fr. 40. — Prix extrêmes. 90 c. à 2 fr. Vente mauvaise. Les Anglais et la mission Mizon. L’Agence nationale nous communique l'information suivante : « Le bruit s’est répandu dans la soirée qu’une collision serait produite entre la mission du lieutenant Mizon et les agents de la Royal Niger Company. Mettant à exécution les menaces faites il n’y a pas longtemps par M. Henry Morely, les agents de la Compagnie se seraient opposés par la force au passage de la mission française. Un conflit sanglant en serait résulté, conflit sur lequel manquent les détails. C’est une dépêche privée et de source anglaise, par conséquent extrêmement suspecte, qui a apporté cette nouvelle. L’heure tardive ne nous a pas permis de la contrôler, et jusqu’alors notre correspondant de Londres ne nous en a pas donné de continuation. » M. le sous-secrétaire d’État étant actuellement en congé dans l’Alger, nous n’avons pu, de ce côté encore, avoir aucun renseignement. Cette information doit donc être accueillie avec la plus grande réserve. » La nouvelle paraît d’autant moins vraie, fait observer le Journal des Débats, que, suivant l’opinion de lord Abordore lui-même, le lieutenant Mizon serait depuis quelque temps déjà à Yola, c’est-à-dire hors des territoires soumis à la juridiction de la Compagnie du Niger. (Par dépêche de cette après-midi.) Paris, 3 octobre. Au sous-secrétariat des colonies, on n'avait encore dans l’après-midi reçu aucune nouvelle relative à la collision que aurait eue la mission Mizon avec les agents de la Royal Niger Company, mais un télégramme adressé au Temps, confirme en ces termes l’existence des bruits alarmants sur le compte de l’expédition : « Des nouvelles graves arrivent du Niger; l’expédition Mizon serait en danger. » On télégraphie, d’autre part, à Y A genre Haras : « Londres, 3 octobre. » La Compagnie du Niger a reçu des nouvelles d’Akassa, datées du 2 octobre, suivant lesquelles le bruit d’un conflit sur le Nil entre M. Mizon et les agents de la Compagnie est dénué de fondement.
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Whilst thro' and thro' their gladness There thrills the Nightjar's song, And to such old-world madness He croons the whole night long. Bird of the high mid-summer! Silent, and swift, and shy ; Linger awhile, sweet hummer. Beneath our northern sky. For the lands of the South shall hear thee When our nights are long and chill; But my heart will be cold and dreary Till thy song comes over the hill. THE SOU' WESTER Blustering, boisterous wind, that bloweth over the bracken, Rending the knotted oak, and tearing the stalwart pine, Never for one short pause do thy wild coursers slacken. Hurrying, scurrying by, with slashing sting of the brine. Roaring, and rolling along with the force of the full Atlantic, Bending the fern-leaf d beech, and breaking the poplar's pride. Driving the giant chiefs and lords of the forest frantic. Writhing their mighty limbs in tortuous circles wide. On over boulder and crag with a fury that brooks no negation. Bellowing back to the blast, booming aloud to the vale. Now like the sweep of a scythe as it moweth in close serration, Now like the rush of a torrent lash'd white with wintry hail. On over bracken and ling, over bilberry, gorse and heather. Raying their silvery sides in the light of the westering sun. On over bramble and broom, where the tall grasses blow together.
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(Todessturz.) Der von seiner Arbeit heimkehrende Arbeiter Kohlas stürzte rückwärts vom Wagen, auf den er unterwegs gestiegen war. In bewußtlosem Zustande wurde er in das Johannishaus „Bah, wären wir siegreich in Deutschland einge-drungen, so würden die Deutschen in derselben Weise unsere Patrouillen aufgehoben haben. Übrigens, was ist der Zweck dieser Unterredung?" „Ich wünschte von Ihnen Auskunft über den Anführer jener Patrouille." Der Blick Garniers nahm einen lauernden Ausdruck an; er erinnerte sich an die schmachvolle Demütigung, die er im Schloß Monterau erfahren hatte. „Waren Sie mit ihm befreundet?" fragte er. „Dann bedaure ich, Ihnen sagen zu müssen, daß er in jenem Gefecht gefallen ist." „Tot oder verwundet?“ „Tot.“ „Wissen Sie das ganz bestimmt?“ „Jawohl. Die sämtlichen Gefallenen sind noch an demselben Tage neben der Schlucht beerdigt worden. Vielleicht ist es Ihnen angenehm, zu hören, daß die Deutschen ein Grab für sich allein erhielten“. „Ich konnte allerdings diese Rücksicht von der Mordbande nicht erwarten“, erwiderte Hubert und eine Fülle von Verachtung sprach aus dem Blick, mit dem er seinen trotzigen Gegner ansah. „Die Mordbande hätte auch jetzt keine Zeit dafür gefunden“, höhnte Garnier. „Sie marschierte weiter und ist bis auf den letzten Mann gefallen.“ ,Mit Ausnahme des Führers!“ „Der keineswegs durch Feigheit, sondern nur durch einen glücklichen Zufall dem Tode entgangen. Unsere Unterredung ist nun wohl beendet?“ „Gewiß“, erwiderte Hubert, „ich hätte sie wahrscheinlich noch leichter gefordert, wenn es mich nicht gedrängt hätte über das Schicksal meines Freundes Gewißheit zu erhalten. Ich will Ihnen nur noch ein sagen, mein Herr: Unsere Kriegsgesetze können Ihnen nicht recht anhaben, aber unsere Husaren haben Sie erst und die Erbitterung dieser Ludendorff werde sich an Heidenau gebracht, wo er an schwerer Gehirnschütterung starb. Kohlas hinterläßt eine Frau und vier kleine Kinder. Lugen- (Eine minderjährige Brandstifterin) wurde hier als die Schülerin M. ermittelt. Sie hat eingestanden, das Hempelwe Scheunen- und Stallgebäude, das am 26. Juni d. J. abbrannte, vorzutanz weggefeuert zu haben, weil sie grob behandelt worden war. Die Brandstifterin steht im 14. Lebensjahr und sieht ihrer Bestrafung entgegen. Oederan. (Unfall.) Beim Transport eines Stiers wurde der Fleischer Sacher an einen Baum gedrückt und schwer verletzt. — (Grundsteinlegung.) In feierlichem Aktus fand hier die Grundsteinlegung zum neuen Amtsgerichtsgebäude an der Eppendorfer Straße statt. Das Grundstück soll am 1. Oktober 1911 bezogen werden.
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íi pOr muerte de Paulo IV. fue puedo en ” ’ * la filia Pontifical el Cardenal de Medi-. ci ltian Angelo, natural de M ilan, hermano , del Marques de M atiñano, de quien arriba Ce hizo mención. Hizo mucho al cafo para confcguir el Pontificado, auer fido fiempre Imperial , y aficionadifsimo á las colas de Efpaña, como aquel que de todo puto era hcchuta del Emperador. Elqual auia en- grandecido al Marques fu hermano, y fue parce para lcuancarle á la cumbre de la dig- nidad Pontifical. Quiío en íu coronación MUno* ^araark Qüatto.Salio hecha eftarlcc- 1 '* cion la noebe de Nauidad , principio del año de mil y quinientos y fefenca. Alcc- • bo de quatro mefes poco menos , que auia efiado vacante la lgicfia Romana. La pri- mera cofa notable que Pjo hizo , fue pren- der al Cardenal Carlos Garrafa, y ai Duque exeinpiar Pal*ano hermano , por muchos y cnor- dcl c arde raesdchtos que felcsaucriguaron al vno, nal Gana y al otro, y principalmente por lat colas * cfcandalofas queal Papa Paulo fu tioauian hecho hazer. Al Cardenal , hizole dar vn garrote en el Caftilio de Santangcl * y al Duque cortáronle la cabera publicamente en Bancos, y relhruycconic a Marco /ln- tomo Cotona fus bienes. Hi/ofc ella julli- cia en el raes de Mir$o del año de fcícnta y vno. Deuefe tener en memoria, para que aprendan los parienres y priuados de los Principes, á v lar bien del fauor q con ellos tienen* y fe acuerden , que G mal hazen lo > "V vendrán tarde, ó temprano apagar , en fal- tando de por medio el Principe á quien en ganaron con fu mal confe jo. El año úguicn VaiLdo* tc<*c <lu‘n*cntos Y fcícnta y vno, dia lid. ícñaladode San Mateo a veinte y vno de Setiembre Domingo de mañana , dos ho- ras anrcsdeldia, fe encendió vn fuego en lacoftanilU de Valiadolid, tan temblé y efpan tofo, que un podeifc remediar, en ef- pacio de treinta horas arruinó mas de qua- rrocicntas cafas de i.s principales y mas ri- V cas de aquella infigne Villa.
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Le benne s’est maintenir à 6.50 et 7.00 la livre et les volailles à 4 et 1.50 ; les œufs ont subi, sur le samedi pré cédent rine légère augmentation les ameoam de 4.25 à 5 francs la douzaine. I.e marché de 1a. plane Raoul a vu une peliie tendance à la bais se sur les porcs et les porcelets. Place Carnot, le marché aux bestiaux a élé presque nul, une quinzaine de bovins seulement y ayant élé ameGÔNDE-SUR-NOIREAU. — Marché du 27 jan vier. — Benne. 17 tr. le kilo ; œufs, 5.75 la d< uzaine.Oh s'affonne sans f fais au « NouvsHiete » Mna teiia lee hurrtaltv da e/eeÉe.HOUILLES fflARITIBIES W" oor correspondants particuliers) Petite Pêche Dur AKXEiXEZ. — Pêche «lu Oï JaiivrcJ'. Le sprat. — Bateaux sortis et rentrés no. Porssonv I>ar bateau de ti à TCO. Le tout vendu aux nianeyeurx à r.iison de y francs la ea-x-u üc 10 kilos contenant, eou poisema--. La sardine pèche t parmi le sprat. — Bateaux sortis tk), rentrés tk). i’orv-on; * par bateau fie» cento. au moule M, '.outrant au quart i»/n et au kilo -iti poissons. Les mareyeurs on-t pay< 4KM«uw. le -m**)e -» • La grosse raie. — j bateaux sont rentrés et ont vendu var bateau xio aùo a vw francs de raict» et posreaux. La pttue raie. — 2."» bateaux sont rentrés et ont vendu par bateau de 19» à 180 francs de petite.* raies. La langouste. — ti bateaux ont regagné notr* port, avec me iièclie r>ar' bateau île .0 à 37 kilo* de langoustes et de là a ‘20 kilos de -homards. L# prix de langouste^ a érè de li) lianes je kilo et celui île», Inniatr*» de ti francs le kilo. Ces mêmes bateaux avaient de -26 à 30 crus crabes, vendu» de 10 à 90 francs le eent suivant grosseur. La crevette. — ro bateaux de Trebouj, sé livrant à la pèche de Ja crevette sont rentrés avec un* pèche de ti à 8 kitos par bateau. Le prix a varié entre 9 et 9.50 le kit». Le merlan. — Bateaux sortis ci rentrés :u>. Pois sons par bateau fie 150 à y&O, le tout vendu aux mareyeurs à raison dé 18 ù 25 francs le cent sui vant qualité pour les moyens et oe S/0 à 70 francs I le cent ‘pour1 les gros. Poissons titrent.
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Je m'attacherai à donner une description très exacte des moindres variétés, parce qu'une fois ce trésor dispersé, un semblable examen deviendra impossible; et que c'est, du reste, de l'appréciation des moindres nuances que résultent les bonnes classifications. Je tiendrai compte des plus légers détails qui pourront m'aider à mettre chaque pièce à son rang. Avant tout, je rechercherai celle de toutes nos variétés qui offre les caractères les plus anciens. Tous les numismatistes comprendront que la tâche, pour être des plus délicates, n'est pas impossible. Puis je considérerai le type constant et ses accessoires, qui figurent au revers, comme un véritable critérium, parce que les différences que j'y relèverai proviendront à coup sûr des copies successives progressivement dégénérées, copies successives dont la série implique un espace de temps assez considérable. Ce point de vue adopté, j'arrive de prime abord à la constatation de ce fait que la monnaie sur laquelle le type de la chouette athénienne conserve encore, malgré l'usure des siècles, par son relief, par la finesse de ses détails, par la perfection relative de l'exécution, le plus de rapports avec le prototype athénien; sur laquelle aussi la légende du revers semble présenter les caractères les plus purs, et le noun isolé figure bien en place, se trouve en même temps offrir du côté du droit la tête royale du type le plus ancien, tête évidemment arabe, et dont la chevelure, tombant sur le cou en longues tresses minces et droites, est disposée exactement comme celle que nous voyons sur de très anciennes monnaies orientales.
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Marvin vs. Mining Co 402 Massey vs. Westcott 292 Mason vs. Ammon 330 TABLES OF OASES CITED.
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S. 2. Ce que je dis de la vue peut également s'appliquer à toutes les autres sensations fournies par le tact, l'ouïe, l'odorat et le goût, organes externes, se trouvant à la surface du corps humain. Dans ces diverses sensations, isolées ou réunies, le moi se reconnaît et reconnaît quelque chose hors de lui, avec un seul ou plusieurs attributs à la fois; il fait nécessairement le même nombre de reconnaissances intuitives, et l'on peut en tirer le même nombre de conclusions immédiates. S. 3. Mais il est encore d'autres organes, dits internes, parce qu'ils sont formés des parties intérieures du même corps, comme le cerveau et les autres viscères, les nerfs, les muscles, l'estomac, etc. Ils font éprouver à l'homme diverses manières d'être, agréables ou désagréables ils sont l'origine d'un ordre de sensations et de connaissances différentes de celles que fournissent les cinq organes ou sens externes. S. 4. Ces dernières sensations, à leur tour, diffèrent entre elles complètement et totalement je ne vois aucun rapport entre les couleurs et les odeurs. Comment suis-je parvenu à reconnaître la réunion de ces propriétés dans un seul et même objet ? Comment sais-je par exemple, que je vois, touche et sens une seule et même rose? S. 5. J'ai eu toutes ces sensations à la fois ou successivement je me les rappelle, je me les représente voilà deux nouvelles facultés, la MÉMOIRE et l'IMAGINATION. S. 6. Les sensations devenues fixes et distinctes dans mon esprit, j'observe qu'elles sont toutes parties d'un seul et même centre; je conclus qu'elles appartiennent à un seul et même objet.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais expiraram. A condicião de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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But a competent teacher came up, instructed me in the business, and I won the high courage by which to loosen my feet from the rounds and slide safely down. I went home to tell this story with delight, but never repeated the experiment. At the same time — and I think this shows the courage with which our education was carried on — I made my first essays in riding on horseback. My father owned a handsome horse, with which he took our mother and some one of the children out to ride on half-holidays. On some occasions another horse, which was called the " Work- bench" from his quiet habits — white, I recollect — was taken with us, saddled. This was that "we boys " might learn to ride. We were not per- mitted to ride in the streets in town, and father would ride the horse out so far, while my mother drove the chaise. But once in the country the boy mounted, &nd followed the chaise for the afternoon tour. At five years old I was so small that my feet would not reach the stirrups, and I rode with my feet in the straps which sustained the stirrups. All went well till, in South Boston, as we came home, some boys stoned my horse, and A New England Boyhood 31 he ran and I was thrown. I remember repeating the experiment with the same success and failure, and it ended in my poor father having to ride the "Work-bench" home, while I ignominiously re- turned in the chaise as I had started.
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pauvres de famine et de mort : "Je suis en peine, lui dit-il, pour notre compagnie ; mais, en vérité, elle ne me touche point à l'égal des pauvres : nous en serons quittes en allant demander du pain à nos autres maisons, si elles en ont, ou à servir de vicaires dans les paroisses ; mais pour les pauvres, que feront-ils, et où est-ce qu'ils pourront aller? j'avoue que c'est là mon poids et ma douleur. On m'a dit qu'aux champs les pauvres gens disent que tandis qu'ils auront des fruits ils vivront, mais qu'après cela ils n'auront qu'à faire leurs fosses et s'enterrer tout vivants ! O Dieu ! quelle extrémité de misères! et le moyen d'y remédier?" Une autre fois, parlant aux siens sur le sujet des mêmes pauvres, il fit ce raisonnement : "Dieu aime les pauvres, et par conséquent il aime ceux qui aiment les pauvres ; car lorsqu'on aime bien quelqu'un, on a de l'affection pour ses amis et pour ses serviteurs. Or, la petite compagnie de la Mission s'applique avec affection à servir les pauvres, qui sont les bien-aimés de Dieu ; et ainsi nous avons sujet d'espérer que, pour l'amour d'eux, Dieu nous aimera."
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Nous avions tous les deux un portefeuille par intérim , moi à Gand , lui à Paris. Je faisais alors un roman; lui s’occupait de l’histoire : je m’en tiens encore au roman. Je vais parcourir la série des objections présentées à cette tribune. Ces objections sont nombreuses et diverses : pour ne pas m’égarer dans un aussi vaste sujet, je les rangerai sous dtfl'ërens titres. Les orateurs qui ont obtenu la parole lors du vote de l’adresse , ont fait imprimer leurs discours. Hier, en séance publique, quelques-uns des honorables députés ont référé leurs opinions à ces discours mêmes : aujourd’hui on a rappelé une partie des argumens produits dans le comité secret. J’essayerai donc de répondre à ce qui a été dit , imprimé et redit, afin d’embrasser l’ensemble du sujet. Suivant dans leurs objections les orateurs qui siè gent .sur les bancs de l'opposition, j’examinerai , 1° le droit d’intervention, puisque c’est la la base de tous les raisonnemens ; 20 le droit de parler des institutions qui peuvent être utiles a l’Espagne ; 5° le droit des alliances et les transactions de Vérone; et enfin quelques autres objections. Examinons donc d’abord la question de l’inter vention. Un gouvernement a-t-ii le droit d’intervenir dans les affaires intérieures d’un autre gouvernement ? Cette grande question du droit des gens a été réso lue en sens opposés. Ceux qui l’ont rattachëo au droit naturel , tel' que Bacon , Pulfëudorf, Grotius et tous les anciens, ont pensé qu’il est permis de prendre les armes au nom de la société humaine, contre un peuple qui viole les principes sur lesquels repose l’ordre g nerai ; de même que dans un Etat particulier , on pui.it les perturbateurs du repos public. Ceux qui voient la question dans le droit civil , soutiennent au contraire qu’un gouvernement n’a pas le droit d’intervenir dans les ali aires d’un autre gouvernement. Ainsi les premiers placent le droit d’interven tions dans les devoirs, et les derniers dans les in térêts. J’adopte , Messieurs , le principe émané du droit civil ; je me range au parti des politiques moderne» et je dis comme eux : Nul gouvernement n’a le droit d’intervenir dans les allaites intérieures d’un autre gouvernement.
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"Just so Patagonia was labeled a desert for many years; but farms and irrigation works have already rescued great enclaves from the region and millions of head of cattle and a score of million sheep are supported today on only portions of the area. After a few thousand more miles of railway shall have been constructed, a few hundred steam shovels shall have been set to work, and a few million yards of wire fencing shall have been stretched in place, the Patagonian desert will probably go the way of its North American precursor. Darwin Gave Region Black Eye. "It is an interesting fact that the statement of a careful scientist— Charles Darwin—did much to give Patagonia an undeservedly had reputation before the world. Darwin studied chiefly the forbidding desert coast of the lower portion of the country, and his discouraging report was interpreted as applying to the entire country. For decades no one thought it worth while even to explore the hinterland."
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Meosurement of III regard to the measurement of angles, it is clear angles. that an instrument which would admit of an allowance for minutes and seconds, must be of a size incompatible with minute precision. It must always be that large apparatus must be so affected in its weight and temperature as to be impaired in its ac- curacy. The large telescopes of modern times are intended to show us stars otherwise invisible : and no one thinks of using them for purposes of precise measurement. It is generally agreed now that instruments for measuring angles should not be more than ten feet in diameter when we are dealing with an entire circle ; and they are usually not more than six or seven. The wonder then is how we are to estimate angles to a second, as we do every day, with circles whose size would scarcely indicate minutes. It is done by the concurrent use of three methods — the eye-piece, the use of the vernier (so called after its inventor), and the repetition of angles.
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À côté, tu il était descendu, il n'eut pas suivi de la gare par la porte qu'il voulait donner son billet ; il avait suivi la ligne pendant quelque temps, puis s'était dirigé vers le village à travers champs. Après avoir erré jusqu'à quatre heures du matin, il s'était donné une chambre dans une auberge et s'était lavé ; il s'était éloigné à huit heures en laissant derrière lui son paletot couvert de crasse et quelques billets à ordre. Ces objets furent trouvés à dix heures du matin. Le porte-feuille fut également trouvé près de la ligne, mais sans les valeurs qu'il avait contenues. L'assassin retourna à Namur, où il avait pris le troisième billet, et c'est là qu'il fut arrêté, dans une auberge, à quatre heures du soir. Les preuves étaient si accablantes qu'il avoua tout aussitôt son crime. Il est condamné, s'appelle Albert Freund, et Hongrois d'origine et avait servi en dernier lieu comme sommelier à Liège. Mis en présence du cadavre, il s'écria : « C'est moi ! » Il avoua que dans la journée du 2 novembre, se trouvant pauvre, l'idée lui était venue d'assassiner un voyageur richelle. C'est dans ce but qu'il avait acheté un couteau. Il avait vu Kitscber dans un café, puis l'avait vu montrer à quelqu'un une somme de 12 ou 14 florins ; il s'était dit dès lors : Voilà mon but ! Il n'avait pu du billet que pour des stations rapprochées, parce qu'il voulait ménager le peu d'argent qu'il avait, afin de pouvoir, en cas d'insuccès, poursuivre d'autres voyageurs. Sa conduite devait frapper et frappa véritablement le conducteur du train. Le contrôleur l'arrêta ; il répondit qu'il était un voyageur malheureux et que, n'ayant pas trouvé son patron à la première station, il s'était décidé à continuer sa route. Après la station de Namur, Freund avait appliqué son couteau sur la gorge de Kitscber qui dormait, mais sans presser. Kitscber, tout en dormant, avait, d'un mouvement instinctif, repoussé l'instrument. Après une courte pause, ne voyant pas le dormeur se réveiller, Freund avait fait une coupure profonde.
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Enfin, entre six et sept heures du soir, les troupes arrivent à Remilly, gros village du canton de Pange, sur le chemin de fer de Metz à Forbach, après avoir parcouru dans la journée trente-deux kilomètres, sans laisser un homme en arrière. Les bivouacs des divisions d'infanterie sont installés des deux côtés de la route impériale, sur la croupe d'un mouvement de terrain, à droite de la voie ferrée et en arrière de la localité. Les batteries de combat campent dans la plaine, sur les bords de la Nied, dont on a fait sauter le pont du chemin de fer aussitôt après le passage de nos troupes. L'artillerie de réserve et le parc du génie vont jusqu'à Lemud, à cinq kilomètres au-delà. Les hommes, privés de leurs tentes, ont recours aux piquets pour attacher leurs chevaux. La division de cavalerie d'arrière-garde établit à sept heures du soir son bivouac dans une prairie, entre le chemin de fer et la route, à quelques centaines de mètres en avant de Remilly. Le 4e chasseurs à cheval est en première ligne, le 5e en deuxième ; en face, à gauche de la route, la brigade de dragons. Bachelier. Depuis le matin, cette cavalerie n'a vu, à sa suite, que quelques uhlans, maintenus par elle à distance. De son côté, la brigade Lapasset est arrivée à sept heures du soir à Aubecourt, situé à quatre kilomètres du 3e corps, et a campé le long de la voie du chemin de fer. De Forbach, point de départ de la retraite, jusqu'à Remilly, qui est situé à vingt-deux kilomètres de Metz, on a décrit un trois-quarts de cercle.
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Palafoxia Hookeriana unterscheidet sich von der vorhergehenden durch etwas stärkere Blütenköpfe von karminroten oder purpurnen Farben und durch etwas größere Blätter. Sie scheint empfindlicher zu sein und zum Gedeihen einer sorgfältigeren Pflege zu bedürfen, als die Palafoxia texana. Palaua. — Pancratium. PALAVA Cav. — Palaua. Monadelphia Polypandria. — Malvaccae. Namenserklärung. — Nach Dr. Antonio Palau y Verdera, Professor an der Universität zu Madrid. Gattungsmerkmale. — Kelch fünfspaltig. Blumenkrone fünftheilig. Griffel an der Spitze vielspaltig. Karpell einsamig, zu einem Knäuel zusammengedrängt, wie bei der Maulbeere. Palaua flexuosa Mast., Bogenstengelige Palaua. Französisch. — Palauce flexueuse. Englisch. — Flexuous Palaua. Vaterland? — Einjährig. — Stark verzweigt und sehr reich blühend, gegen 10 cm Stengel aufsteigend, sehr zart und gebogen. Blätter an allen Teilen der Pflanze gleich, gestielt, häufig zu zwei und dann mit zwei Blüten in den Blattachüllen; Stengelblätter halb- oder doppeltgefiedert. Blüten auf ziemlich langen, fadenförmigen Stielen, schalenförmig, rosa-lila, auf weißem Grund und in der Mitte mit einem dunklen Auge; Staubgefäße zu einer purpur-rosen rothen Säule vereinigt. Eine reizende Pflanze für Einfasseungen, Blumenbeete und Gruppen. Man sieht sie im März-April im Märbteet und pflanzt sie frühzeitig, als es nur immer die Witterung erlauben will, an einem sonnigen Standort und nicht zu dicht. Die Blütezeit dauert von Mai-Juni bis zu Ende des Sommers. PANCRATIUM L. — Trichterlilie. Hexandria Monogynia. — Amaryllidaceae. Namenserklärung. — Aus dem Griechischen, von pan kraton ganze Kraft, Auspielung auf Heilkräfte, die einigen Pflanzen dieser Gattung zugeschrieben wurden. Gattungsmerkmale. — Scheide vielklappig. Blütenhülle mit einer langen, zarten Röhre, die sich zu einem Trichter erweitert und von da in langes Zipfel ausgeht. Auf der Kronenröhre 12 eine Nectarkrone (Becher, der am Rand gezähnt ist und mit den Zähnen abwechselnd die Staubgefäße trägt. Frucht eine dreifächerige, vielblütige, unterständige Kapselfrucht.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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