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a été nommé secrétaire général des Likelihoods français de l'Inde, en remplacement de M. DEVILLE, affecté à la Réunion. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. TIER (William), secrétaire général de 1ère classe des Colonies, secrétaire général de la Guyane, a été affecté à la Guadeloupe, en remplacement de M. HENRY, pour le Haut-Sénégal et Niger. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. GON (Joseph-Denys), administrateur de 1ère classe des Colonies, a été nommé lieutenant général de 1ère classe et affecté à la Guyane, | a été nommé scrétr général des Likelihoods français e l'Inde, en remplacement de M. DEVILLE, affecté à la Réunion. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. TIER (William), secrétaire général de 1ère clss des Colonies, secrétaire général de la eanGu,y a été ffcté à la Guadeloupe, en remplacement de M. HENRY, pour e Haut-Sénégal et Niger. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur l proposition du Ministre des Colonies, M. GN (Joseph-Denys), administrateur ed 1ère classe des Colonies, a é nm lieutenant général de 1ère classe et affecté à la ,nuyaeG |
lieutenant général de 1ère classe et affecté à la Guyane, en remplacement de M. pour la Guadeloupe. Par décision du Ministre des Colonies du 1er octobre 1910, M. J. SUZANNE (Emmanuel-Marie-Edmond-Pierre), rédacteur stagiaire à l'administration centrale du Ministère des Colonies, a été admis définitivement dans les rangs de rédacteur de 1ère classe, pour compter du 6 septembre 1910, après qu'il a réuni une année de services dans les bureaux du Ministère. Par décret du 14 octobre 1910, Sur la proposition du Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, ont été nommés : Conseiller à la | lieutenant général de 1ère clss et affecté à la Guyane, en rmplcmnt de M. pour la Guadeloupe. Par décision du Ministre des Colonies d 1r tobre 1910, M. J SUZANNE (Emmanuel-Marie-Edmond-Pierre), rédacteur stagiaire à l'administration enra du Ministère des Colonies, a été admis définitivement dans les rangs de rédacteur de 1ère classe, pr cter d 6 sptmbr 1910, après qu'il a réuni une année d services dans les euxarub du Ministère. Par décret du 14 octre 10, Sur la proposition du Ministre des Coi et du Garde des Sceaux, Ministre de l Justice ont été nommés : Conseiller à la |
de la Justice, ont été nommés : Conseiller à la Cour d'appel de l'Inde, M. GNANADIKOTH, juge-président du tribunal de première instance de Chandernagor, en remplacement de M. BONNE, appelé à d'autres fonctions. Juge président du tribunal de première instance de Chandernagor, M. Juge suppléant au tribunal de première instance de Tananarive (Madagascar), en remplacement de M. GNANADIKOTH, conseiller à la Cour d'appel de Pondichéry. Par arrêté du Ministre des Colonies du 15 octobre 1910, M. MARTINOT, ingénieur auxiliaire de 1ère classe des travaux publics des Colonies, a été nommé ingénieur de 3ème classe des travaux publics des Colonies. Par | de la Justice, ont été nommés : Conseiller à a Cour d'appel de l'Inde, M DONA,KTIGNAH juge-président du trbnl de prmèr nsenatci de Chandernagor, en remplacement de M. BONNE, appelé à d'autres fonctions. Juge réipdesnt du trinl de première ste de Chandernagor, M. Juge suppléant au tribunal de première instance de Tananarive (Madagasc) n rmplcmnt de . GNANADIKOTH, conseiller à la Cour d'appel de Pondichéry. Par arrêté du Ministre des Clns du 15 octobre 1910, M. MARTINOT, ingénieur auxiliaire de 1ère classe des travaux publics ds Colonies, a été nommé ingénieur de 3ème classe des travaux uc des Colonies. Par |
ingénieur de 3ème classe des travaux publics des Colonies. Par arrêté du Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, Les élèves brevetés de l'École coloniale dont les noms suivent ont été nommés élèves-administrateurs des Colonies : MM. LOISELEUR DES LONCHAMPS DEVILLE (Alfred-Henry). PALADE (Antoine-Firmin). CARLES (Fernand). LE CAMPION (Ange-François). LEVADAB (Georges-Pierre). HELLIER (François-Antoine). BESSON (Pierre-Charles). NICOL (Yves-Marie). RIDARD (Louis-Eugène). SORDÉS (Georges). Par le même arrêté, ont été nommés : MM. LOISELEUR DES LONCHAMPS DEVILLE, PALADE, CARLES, LE CAMPION, LEVADAB ont été mis à la disposition du gouverneur général de l'Afrique occidentale française. MM. HELLIER, BESSON et RIDARD ont été affectés | ingénieur de 3ème classe des tavau publics des Colonies. Par arrêté du Ministre des oensilCo du 17 octobre 1910, Les élèves brevetés de l'École clonia dont les noms suivent ont été nommés élèvs-dmnstrtrs des Clns : MM. LOISELEUR DS LONCHAMPS DEVILLE (Alfred-Henry). PALADE (Antoine-Firmin). CARLES (Fernand). L CAMPION (Ange-François). LVDB GeorgesPierre HLLR FrançoisAntoine BESSON (Pierre-Charles). COL (Yvs-Mr). RIDARD (Louis-Eugène). SRDÉS (Georges). Par le même érrêat, ont t nommés : MM. LOISELEUR DES HMPS DEVILLE, PALADE, CARLES, LE CAMPION, LEVADAB ont été mis à sposon du ouver général de l'Afrique occidentale française. MM. HELLIER BESSON et RIDARD ont été affectés |
occidentale française. MM. HELLIER, BESSON et RIDARD ont été affectés à Madagascar; MM. NICOL et SORDÉS ont été appelés à accomplir leur stage en Afrique équatoriale française. Par arrêté du Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, M. BOUCHEZ (Auguste-Edmond), administrateur de 3ème classe des Colonies, mis à la disposition de M. le gouverneur général de l'Afrique occidentale française. Par arrêté du Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, MM. NICOLAS (Jean-Henri-Joseph), BOULHAC (Jean-Clément-Christian), OGER (Henri-Joseph), et RICHARD DE CHICOUART (Léon), élèves de l'École coloniale, Ont été nommés élèves-administrateurs des Services civils de l'Inde. Par décret du 18 octobre 1910, | occidentale française. MM. HELLIER, BESSON et RIDARD ont été affectés à Madagascar; MM. NICOL et SORDÉS ont été appelés à accomplir leur stage en Afrique équatoriale française. Par arrêté du Ministre d Colonies du 17 octobre 1910, M CZHOUBE uuEdod administrateur de 3ème clss des Colonies, mis à l disposition de . le gvrnr général de l'Afrique occidentale française. Par arrêté du Ministre des Colonies du 17 octobre 1910, MM. NICOLAS ep-,oennHJ-(riJhse)a BOULHAC (Jean-Clément-Christian), OGER (Henri-Joseph), et RICHARD DE CHICOUART (Léon), élèves de l'École colonal, tnO été nommés élèves-administrateurs des eSsceriv civils de l'Inde. Par décret du 18 octobre 1910, |
Services civils de l'Inde. Par décret du 18 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. ISTHMIEN (Jean-Auguste), administrateur de 3ème classe des Colonies, en retraite, a été nommé administrateur honoraire des Colonies. Par décret du 19 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. TROADEC (Charles) a été nommé pour une période de deux années, membre du Conseil privé de la Nouvelle-Calédonie, en remplacement de M. FABIUS, dont la démission a été acceptée. Par décision du Ministre des Colonies du 24 octobre 1910, M. THOUET (Joseph), ex-caporal au 196e régiment d'infanterie, a été | Services civils ed l'Inde. Par décret du 18 oerctbo 1, Rendu sur la proposition du Ministre des ,oiseClon M. ISTHMIEN (Jean-Auguste), administrateur d 3ème clss des Colonies, en retraite, a été nommé dmnstrtr honoraire ds Colonies. Par décret du 19 octobre 1910, Rendu sur la proposition d Ministre Colonies, M. TRDC (Charles) a été nommé pour une période de deux années membre du Conseil privé de la Nouvelle-Calédonie, en rmplcmnt de M. FABIUS, odtn la démission a été acceptée. Par décision du Ministre des Clns du 24 octobre 0, M. THOUET (Joseph), ex-caporal au 196e régiment d'infanterie, a été |
M. THOUET (Joseph), ex-caporal au 196e régiment d'infanterie, a été mis à la disposition de l'île Saint-Pierre et Miquelon, en qualité de préposé des douanes, en exécution de la loi du 28 mars 1905. Par arrêté du Ministre des Colonies du 29 octobre 1910, Édouard COTELLE, notaire honoraire, a été nommé membre de la Commission des confiscations et coloniales. Par arrêté du Ministre des Colonies du 31 octobre 1910, M. Henri Joseph CHERARD, rédacteur à l'administration centrale, a été nommé secrétaire de la commission des concessions coloniales. Par arrêté du Ministre des Colonies du 31 octobre 1910, M. DURAND DE | M. THOUET (Joseph), ex-caporal 196e régiment d'infanterie, a été mis la disposition de l'île Saint-Pierre et Miquelon, en qualité de préposé des douanes, en exécution de la l du 28 mars 1905 Par arrêté du Ministre des lenoCsio du 29 octobre 1910, Édouard COTELLE, notaire honoraire, a été nommé membre la Commission des confiscations et cole. Par arrêté du Ministre des Colonies 31 octobre 1910 M. Henri Jsph CHERARD, rédacteur à l'administration cntrl, été nommé secrétaire de la commission des concessions coloniales Par rrêté du Ministre des Colonies du 13 octobre 1910, M. DURAND DE |
Ministre des Colonies du 31 octobre 1910, M. DURAND DE SURVILLENT (François-Marie), administrateur adjoint de 3ème classe des Colonies, provenant de Madagascar, a été mis à la disposition de M. le Gouverneur général de l'Afrique occidentale française. Par décret du 25 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, Les pouvoirs conférés à M. SCHENGENANS, membre titulaire du Conseil privé de Cochinchine, par le décret du 6 novembre 1906, ont été renouvelés pour période de quatre ans. Par décret du 29 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux, Ministre de | Ministre des Clns du 31 ctbr 1910 M. DURAND DE SURVILLENT (François-Marie), dmnstrtr adjoint de 3ème classe Colonies, provenant de Madagascar, a été mis à la disposition ed M. le Gouverneur général de l'Afrique occidentale française. Pr décret du 25 octobre 1910, Rnd sur a opsion d Mnstr des Colonies, Les pouvoirs conférés à M. SCHENGENANS, membre titulaire du Conseil privé de Cochinchine, rap le décret du 6 novembre 1906, ont été renouvelés pour période d qtr ans. Par décret ud 29 octobre 1910, Rendu sur al proposition du Ministre des Colonies et du rdaGe de Sceaux, Ministre de |
Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, Ont été nommés: Greffier de la Cour d'appel de la Martinique, M. THERMES, greffier du tribunal de première instance de Fort-de-France, en remplacement de M. PARET, admis à valoir ses droits à la retraite; Greffier du tribunal de première instance de Fort-de-France (Martinique), M. la jeune de paix au Lamentin, en remplacement de M. THERMES, nommé greffier à la Cour d'appel de la Martinique. Par décret du 9 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. DISPAGNE, commis-gréffier à la Cour d'appel de la Martinique, | Ministre des Colonies et du Garde ds Sceaux, Ministre de la Justice, Ont été nommés: Grffr de la Cour d'ppl de la Martinique, M. THERMES, greffier du tribunal de première instance de deFF,rn-ecatro- en remplacement de M. PARET, dms à valoir ses droits à aeirtt;er Greffier du tribunal de première instance de Fort-de-France (Martinique), M. la jeune de paix au Lamentin, en remplacement de M. THERMES, nommé gf à la Cr d'appel de Martinique. Par décret du 9 octobre 1910, Rendu sur la prpstn du Ministre des Colonies, M DISPAGNE, fermésmgiirocf- à la Cour d'appel de la Martinique, |
M. DISPAGNE, commis-gréffier à la Cour d'appel de la Martinique, a été nommé juge de paix au Lamentin (Martinique), en remplacement de M. YOTTE, no greffier du tribunal de 1re instance de Fort-de-France. Par arrêté du Ministre des Colonies du 29 octobre 1910, Ont été promus dans le personnel de l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, pour compter du 1er novembre 1910 : 1° À l’emploi de chef de bureau de 1re classe : M. GLITZ (Émile), chef de bureau de 2e classe. 2° À l’emploi de sous-chef de bureau de 1re classe (pour continuer à être placé en service | .M DISPAGNE, commis-gréffier à al Cour d'appel e la Martinique, a été nommé juge de paix au aent (Martinique), en remplacement de M YOTTE, no greffier du tribunal de 1re aitnensc de Fort-de-France. Par arrêté du Mnstr des Colonies du 29 ctbr 1910, Ont été promus dans le prsl de ’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, pour compter du 1er novembre 1910 : 1° À l’emploi de chf de bue de 1re classe : . GLITZ (Émile), chef de bureau de 2e classe. ° À l’emploi de sous-chef de bureau de 1re classe (pr continuer à être placé n service |
de 1re classe (pour continuer à être placé en service détaché) : Cher (Georges), sous-chef de bureau de 2e classe, en service détaché à l’office colonial. 3° À l’emploi de sous-chef de bureau de 2e classe : M. PARADIS (Eugène), sous-chef de bureau de 3e classe. LE Roux (Alfred), sous-chef de bureau de 3e classe. 4° À l’emploi de rédacteur de 2e classe : M. MLIENOT (Alfred), rédacteur de 2e classe. RICHARD (Henri), rédacteur de 2e classe. DITIEUX (Marcel), rédacteur de 2e classe, hors cadres. 5° À l’emploi de rédacteur de 3e classe : M. DELMARCHÉ (Pierre), rédacteur de 3e | de 1r classe (pour continuer à être lac en service détaché) : e (Georges), sous-chef de bureau de 2e classe, en service détaché à l’office clnl. 3° À lemploi de sous-chef de bureau de 2e classe : M. AIS (Eugène), sous-chef d bre de e3 clss. LE Roux (Alfred), sous-chef de bureau d e3 classe. 4° À l’mpl de rédacteur de 2 classe M. MLIENOT (Alfred), rédacteur d 2e RICHARD (Hnr), rédacteur de 2e class IIDUTEX Marc rédacteur ed 2e sacls,e hors cadres. 5° À l’emploi de rédacteur de 3e classe : . DELMARCHÉ (Pierre), rédacteur de 3e |
de 3e classe : M. DELMARCHÉ (Pierre), rédacteur de 3e classe. DESLARDINS (René), rédacteur de 3e classe. THIBIER (Jean), rédacteur de 3e classe. 6° À l’emploi de rédacteur de 4e classe : M. ELEZ (Georges), rédacteur de 4e classe. CAON (Henri), rédacteur de 4e classe. HALLON (Léon), rédacteur de 4e classe, hors cadres. Stanford (Jean), rédacteur de 4e classe. 7° À l’emploi d’expéditionnaire de 5e classe : M. LEBEL (Jean-Joseph), expéditionnaire de 5e classe. GONIEN (Edouard), expéditionnaire de 5e classe. MENENOT (Louis), expéditionnaire de 5e classe. Par décision du Ministre des Colonies du 29 octobre 1910, MM. MICHEL (Marie-Auguste-Léon), ex-adjudant | de 3e classe : . DELMARCHÉ (Pierre), rédacteur de 3e classe. DESLARDINS (René), rdacréteu d 3e classe. THIBIER (Jn), rédacteur de 3e classe. 6° À ’emploi de rédacteur d 4e aclses : M. ELEZ Georges rédacteur de 4e classe. CAON Henri rédacteur d 4e classe. HALLON (Léon, rédacteur de 4e classe, hors cadres. Stanford (Jn), rédacteur ed 4 classe. 7° À l’emploi d’expéditionnaire de 5e classe : M. LEBEL (JeanJosep expéditionnaire de classe. GONIEN (Edouard), expéditionnaire de 5e classe MENENOT (Louis), expéditionnaire de 5e classe. Pr décision du Ministre des Colonies du 29 roboect 1910, MM. MICHEL (Marie-Auguste-Léon), ex-adjudant |
des Colonies du 29 octobre 1910, MM. MICHEL (Marie-Auguste-Léon), ex-adjudant au 2e régiment de tirailleurs indochinois, à Sidi-Bel-Abbès (Algérie), et JAQUOT (Placide-Albert), ex-sergent au 5e régiment d’infanterie coloniale, Notre-Dame-de-Livaye (Calvados), et GIOTANNELLI (Jean), sergent au 1er régiment de tirailleurs annamites, à Saigon, ont été mis à la disposition du gouverneur général de l’Indo-Chine, pour occuper un emploi de garde principal de 3e classe de la Garde indigène. (Exécution de la loi du 31 mars 1905.) DISPONIBILITÉ. Par décret du 18 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. BADCEL (Émile-Eugène), administrateur adjoint de 1re classe des Colonies, | des Clns du 29 octobre 1910, MM. MICHEL (Marie-Auguste-Léon), exadjudant au 2e régiment de tirailleurs indochinois, à SidiBelAbbès (Algérie), JAQUOT (Placide-Albert), ex-sergent au 5e régiment d’infanterie coloniale, Notre-Dame-de-Livaye (Calvados), t GIOTANNELLI (Jean), sergent au 1er rn de tirailleurs annamites, à Saigon, ont été mis à la disposition du gouverneur éra d l’Indo-Chine, pour occuper un emploi de garde principal de 3e classe de la Garde indigène. (xéctn de la loi du mars 1905.) DISPONIBILITÉ. Par décret d 18 octobre 1910, Rendu sur la proposition du te des Colonies, M. BADCEL (Éml-gèn), administrateur adjoint d 1re classe des Colonies, |
M. BADCEL (Émile-Eugène), administrateur adjoint de 1re classe des Colonies, a été placé, sur sa demande, dans la position de disponibilité sans traitement, pour une durée de deux ans, à compter du 9 octobre 1910. Par arrêté du Ministre des Colonies du 21 octobre 1910, M. PALLO (Charles-Frédéric), surveillant de 3e classe des travaux publics de l’Indo-Chine, a été placé, sur sa demande, dans la position de disponibilité, pour une période d’une année, à compter du 1er juillet 1910. LÉGION D'HONNEUR. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, Et vu la déclaration du | M. BADCEL ei)(lmunegè-,ÉE dmnstrtr adjoint de 1re classe des Colonies, a été placé, sur sa demande, dans la position de disponibilité sans traitement, pour une dué de deux ans, à mp du 9 octobre 1910. Pr rêrtaé du Ministre des Clone ud 21 octobre 1910, M. PALLO (Charles-Frédéric), surveillant de 3e classe des ravu publics de l’Indo-Chine, a été placé, sur s demande, dans la pstn de disponibilité, pour n période d’une année, à p d 1er juillet 1910. LÉGION D'HONNEUR. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la ito du riisnMet des Clns, Et vu la déclaration du |
proposition du Ministre des Colonies, Et vu la déclaration du Conseil de l’Ordre national de la Légion d’honneur du 3 octobre 1910, portant que la nomination faite aux termes dudit arrêté n’a rien de contraire aux lois, décrets et règlements en vigueur, a été pond dans l’Ordre national de la Légion d’honneur : Au grade de chevalier (au titre civil) : M. JOUTEL (Jules-Maxime), chef du matériel à l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies. 31 ans de services. MISES HORS CADRES. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. UBERRY (Albert-Antoine), secrétaire général | ropostio du Ministre des Colonies, Et vu la déclaration d Cnsl de l’Ordre ntioal de la Légion d’honneur du 3 ctbr 1910, portant que la nomination faite aux termes dudit arrêté na rien de contraire aux lois, décrets et èrnetelsgm en vigueur, a été pond dans l’Ordre national de la Légion d’honneur : Au gr de chevalier (au titre civil) : M. JOUTEL (Jules-Maxime), chef du matériel à l’Administration centrale d Gouvernement des Colonies. 31 an d srvcs. MISES HORS CADRES. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des olnies, M. UBERRY (Aben), secrétaire général |
proposition du Ministre des Colonies, M. UBERRY (Albert-Antoine), secrétaire général de 1re classe des Colonies, secrétaire général de la Réunion, a été placé hors cadres et mis à la disposition du gouverneur général de l’Afrique occidentale française, pour être chargé de missions. Par arrêté du Ministre des Colonies du 10 octobre 1910, M. DE TAVIGNY SAINT-ETIENNE (Louis-Joseph), sous-chef de bureau de 3e classe de l’Administration centrale du Ministère des Colonies, hors cadres, a été maintenu dans cette position et mis à la disposition du gouverneur général de Madagascar, Pour compter de la veille du jour de son embarquement pour cette | proposition du Ministre des Colonies, M. UBERRY AlbertAntoine secrétaire général de 1re classe ds Colonies, scrétr général d la Réunion, a été plcé hors cadres et ms à la ipstin du gouverneur général de l’Afrique occidentale française, pour êtr chargé de misn Par arrêté du Ministre des Colonies du 10 robceot 1910, M. DE TAVIGNY SAINT-ETIENNE (Louis-Joseph), souschef de bureau de e3 classe de lAdministration centrale du Ministère des Colonies, hors cadres, a été maintenu dans cette position et mis la disposition du gouverneur général de Madagascar, Pour compter de la veille du jour de son embarquement pour cette |
de la veille du jour de son embarquement pour cette colonie. RÉINTÉGRATION. Par décret du 8 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. BADUEL (Jean-Louis), secrétaire général de 1re classe des Colonies, hors cadres, sorti de la mission du gouverneur général de l’Afrique occidentale française, a été réintégré dans les cadres et affecté au Sénégal, en remplacement de M. GAUDAL, admis à faire valoir ses droits à la retraite. RETRAITES. Par décret du 3 septembre 1910, Rendu sur le rapport du Ministre des Colonies, M. PAUDY (Gabriel-Charles), sous-directeur à l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, a | de la veille du jour de son embarquement pour cette colonie. RÉNTÉGRTN. Pr décret du 8 octobre 1910, Rendu sur l prpstn du Ministre des Colonies, M. BADUEL (Jean-Louis), secrétaire général de 1re classe des Colonies, hors cadres, sorti de la mission du overneur général d l’Afrique occidentale française, a été réintégré nsad les cadres t fct au Sénégal, en remplacement de M. GAUDAL, admis à faire valoir ses droits à la retraite. RETRAITES. Par décret du septembre 1910, Rnd sur le rapport du Ministre des Colonies, M. PAUDY (Gabriel-Charles), sous-directeur à l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, a |
(Gabriel-Charles), sous-directeur à l’Administration centrale du Gouvernement des Colonies, a été admis, sur sa demande et à titre d’ancienneté de service, à faire valoir ses droits à une pension de retraite, pour compter du 1er octobre 1910. Par le même décret, M. GERDRET a été nommé directeur honoraire de l’Administration centrale du Ministère des Colonies. Par décret du 25 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. PASTEUR (Symphorien-Louis), administrateur adjoint de 2e classe des Colonies, a été admis, sur sa demande et à titre d’infirmités contractées au service, à faire valoir ses droits à une pension | (Gabriel-Charles), sousdirecteur l’Administration centrale d Gouvernement des Colonies, a été admis sur sa demande et à ttr d’ncnnté de service, faire valoir ses droits à une pension de ra,reitte pr compter du 1er re 1910 Par le même décret, M. GERDRET a été nommé directeur honoraire ed l’Administration cntae du Ministère des soo.Clien Pr décret du 25 ooebctr 1910, Rednu sur la proposition du Ministre des Colonies, M. PASTEUR (Symphorien-Louis), tdsrintueimraa adjoint de 2e classe des Colonies, a été dms, sur s emnddae et à titre d’infirmités contractées au service, à faire valoir ses droits à une pension |
au service, à faire valoir ses droits à une pension de retraite, pour compter du 14 avril 1910. Par décret du 29 octobre 1910, Rendu sur la proposition du Ministre des Colonies et du Garde des Sceaux Ministre de la Justice, M. PARET, greffier de la Cour d’appel de la Martinique, a été admis à faire valoir ses droits à la retraite, par application de l’article 5, Section 4, de la loi du 9 Juillet 1853. COLLATIONNÉ : Le Chef du bureau des Archives, Etudes coloniales et Publications, P. NICOLAS. CERTIFIÉ CONFORME : Paris, le 31 octobre 1910. Le Directeur | au service, à faire valoir ses droits à une pension de retraite, pour compter d 14 avril 1910. Pr décret 29 ctbr 1910, Rendu sur la proposition d Ministre des Clns et du Garde des xueSac Ministre de la Justice, M. PET,RA greffier de la Cour d’appel de la Martinique a été admis à faire valoir ses droits à la retraite, par application de l’article 5, Section 4, de la loi du 9 Juillet 1853. COLLATIONNÉ Le Chf du euurba des Archives, Etudes coloniales Publications, P. NICOLAS. CERTIFIÉ CONFORME : Paris, le octobre 1910. Directeur |
CERTIFIÉ CONFORME : Paris, le 31 octobre 1910. Le Directeur du Personnel, E. DALMAS. CONDITIONS D’ABONNEMENT ET DE VENTE. On s'abonne à l’Imprimerie nationale, rue Vieille-du-Temple, 87, Paris, selon les conditions suivantes: Paris, 15 francs. Départements, Alsace-Lorraine, 8 et tous pays faisant partie de l’Union postale, 8 francs. Etranger, 2 francs. Tout abonnement est pris pour l’année entière, du 1er janvier au 31 décembre, exclusivement. Toute demande d'abonnement doit être adressée, par lettre au Directeur de l’Imprimerie nationale et accompagnée d’un mandat sur la Poste (mandat d’article d’argent) au nom de l’Agent comptable de l’Imprimerie nationale. Le prix d’un numéro | CERTIFIÉ CONFORME : Paris, le 31 ctbr 1910. Le Directeur du Personnel E. DALMAS. CONDITIONS D’ABONNEMENT ET DE VEE On s'abonne à l’Imprimerie nationale rue Vieille-du-Temple, 87, Paris, selon les conditions suivantes: Paris, 15 francs. partee, Alsace-Lorraine, 8 t tous py faisant partie de l’Union postale, 8 frncs. Etranger, 2 francs. Tt abonnement est pris pour l’année entière, du 1er janvier au 31 décembre, exclusivement. Toute demande d'abonnement doit être drsé par lettre au Directeur de l’mprmr nationale et accompagnée d’un atadmn sur l Poste (mandat ’article dargent au nom de ’Agent comptable de l’Imprimerie nationale. L xirp d’un numéro |
de l’Agent comptable de l’Imprimerie nationale. Le prix d’un numéro acheté isolément est fixé à 1 franc. Les réclamations relatives à l’envoi du Bulletin doivent être adressées au Directeur de l’Imprimerie nationale et accompagnées de la dernière bande imprimée. Les réclamations relatives à la rédaction doivent être adressées au Directeur des Colonies. | de l’Agent comptable de l’Imprimerie nationale. prix d’un numéro acheté isolément est fixé à 1 franc. Les réclamations relatives à ’enoi du Bulletin doivent être adressées au Directeur de l’Imprimerie nationale et accompagnées de la dernière bande imprimée. Les réclamations relatives à la rédaction doivent être sés au Directeur ds Colonies. |
Au lendemain de ma condamnation Pourquoi j'ai pris un avocat ? Ayant jugé subversif mon article sur la grève de l'École Normale, les autorités ont perquisitionné chez moi, le 31 mai 1929. Les agents n'ont pu saisir que quelques vieux brouillons d'articles de journaux, ou trois brochures manuscrites, en quoi je combattais la colonisation, et indiquais à mes compatriotes l'attitude qu'ils devraient adopter vis-à-vis du Gouvernement dominateur, pour ne pas trop choquer dans leur dignité humaine et nationale. Mais j'avoue, maintenant que mon « affaire » est tranchée, que je n'avais nullement l'intention de les faire imprimer. Je sais bien | Au lndmn e m condamnation Pourquoi j'ai pris un avocat ? ynt jugé subversif mon rl sur la grève de lÉcole Normale, les autorités ont perquisitionné echz moi le 31 mai 1929. Les agents n'ont p saisir que qlqs vieux brouillons d'articles de journaux, ou trois brochures manuscrites, en q je combattais la colonisation, et indiquais à mes cmptrts l'tttd 'qlsui devrait adopter -vàsvsii- du Gouvernement dominateur, pour ne pas trop choquer dans leur dignité hmn et nationale. Mais j'avoue, maintenant que mon « affaire » est tranchée, que je n'avais nullement l'intention de les faire rmimrpie. Je sais bn |
n'avais nullement l'intention de les faire imprimer. Je sais bien quelles opinions étaient expressément dans ces manuscrits étaient encore dans le domaine abstrait de la pensée. Mais pouvais-je savoir de quoi je serais accusé ? Lamoignon, devant l'arbitraire, les erreurs, les surprises judiciaires, n'a-t-il pas dit : « Si on m'accusait d'avoir volé les tours de Notre-Dame, je me sauverais à toutes jambes » ? Toujours est-il qu'à moi retour d'une partie de chasse dans les forêts de Baria, j'ai reçu, le 8 juin 1929, un mandat de comparution devant le juge d'instruction de Saigon (ter ministère) pour le 12 | 'avais nullement l'intention de les faire imprimer. Je sais bien quelles opinions étaient expressément dans ces manuscrits étaient encore sand le domaine abstrait de la pensée. Mais pouvais-je savoir ed quoi je ris accusé ? Lamoignon, devant l'arbitraire, les erreurs, les surprises judiciaires, n'a-t-il pas dit : « Si on m'accusait d'avoir volé les tours ed Notre-Dame, je m sauverais à toutes jambes » ? Toujours t-i qu'à moi rtr uedn' partie de chasse dans les ors de Baria, j'ai reçu, le 8 u 1929, un mandat d comparution devant le juge d'instruction de Saigon (ter ministère) pour le 12 |
le juge d'instruction de Saigon (ter ministère) pour le 12 du même mois. La veille de mon départ pour St-Denis, des amis m'ont fait part de leur sympathie. J'ai procuré pour ma femme, un peu maladive, à l'œil de notre médecin. J'attendais donc à une longue prévention. Aussi avais-je pris mes dispositions pour que ma petite famille ne souffre pas trop de ma longue absence. Le lendemain, flanqué d'un ami, je suis rendu à la convocation. Le jugé d'instruction a fait : « Asseyez-vous ! ». À Saigon, j'allai voir M. Dejean, directeur de ce journal. Je lui fis part | el u d'instruction de Sgn (ter ministère) opur el 12 du même mois. La veille de mon départ pour St-Denis, ds smai m'ont fait part de leur sympathie. J'ai procuré pour am eme un peu maladive, à l'œil de notre médecin. J'attendais donc à une longue prévention. s avais-je mes dispositions pour que ma petite famille souffre a trp de ma elongu absence. Le lendemain, flanqué d'un m,ia je suis rendu à la convocation. Le jugé nitnicrs'tuod a fait : « Asseyez-vous ! ». inoS,ga j'allai voir M. Dejean, directeur de c journal lui fis part |
M. Dejean, directeur de ce journal. Je lui fis part du désir de lui avouer que je voulais me voir constituer un avocat. — Ils ont raison, a répondu le Directeur de l'Echo Annamite. — Oui, mais je ne veux pas, moi, que le public dise que je suis un trembleur. Je serais là pour le démentir, au besoin. » Je serais là pour le démentir, au besoin. Quand j'eus quitté Dejean de la Bâtie, j'ai couru remercier un « sire » qui m'avait adressé un télégramme de sympathie, le lendemain de la perquisition dont j'avais été l'objet. — Je | M Dejean, drctr de ce journal. Je lui fis part du désir de lui avouer que voulais me voir constituer un avocat. Ils ont raison, a répnd l Drctr de l'Echo Annamite. — Oui, mais ne veux pas, moi que l public dise que je suis un trembleur Je serais là pour el démntr, au besoin. » Je serais là pour le démentir, au besoin. Qnd jeus quitté Dejean de al Bâtie, j'ai couru remercier u « sire » qui m'avait adressé u télégramme de sympathie, l lendemain de l perquisition d j'avais été l'objet. — Je |
lendemain de la perquisition dont j'avais été l'objet. — Je viens vous remercier de votre télégramme. Je m'excuse de ne vous avoir pas mis au courant de cette « affaire », que j'estimais insignifiante. Le magistrat instructeur m'a convoqué pour demain. Des amis m'ont conseillé de me faire accompagner d'un avocat au cabinet du juge. Pourquoi faire ? Ce n'est pas la peine ! Laissez-vous tranquillement. Je n'attends plus. Mot, que d'être arrêté et emprisonné, je pourrais vous faire quelques mois de prison ? Je ne suis pas d'accord avec cet avis, mais pas Dejean de la Bâtie. Je le | lendemain de l perquisition dont 'avais été l'objet. — Je viens vous remie vtr télégramme. Je m'excuse de ne vous ar pas mis au courant de cette « affaire », que j'estimais insignifiante. Le mr instructeur m'a convoqué pour demain. Des amis m'ont conseillé d me faire accompagner d'un acoatv au cabinet du juge. Pourquoi faire ? Ce n'est pas la pn ! Laissez-vous tranquillement. Je n'ttnds plus. Mot, que d'être arrêté t emprisonné, je pourrais vous faire quelques mois de prison ? J ne suis pas d'accord ac cet avis, mais pas Djn de la Bâtie. Je le |
cet avis, mais pas Dejean de la Bâtie. Je le reverrai à ce magasin. Se retournant chez le Directeur de l'Echo Annamite, il m'a insisté de nouveau : — Vous devez conseiller, avec mes conseils, seulement parer à l'éventualité d'un acte arbitraire, d'un coup de poing. Le cas de Phan Van Truong vous en dit long ! Sans Monio, sans Guermeur, le malheureux serait à l'ombre, à cette heure ! Que cela vous serve d'avertissement. — À Saigon, je constate que Me Galiet, mon avocat, s'est montré ferme. Il me conseille de la même façon. — Votre cas est grave, | cet avis, mais pas Dejean de la eâ.itB Je le reverrai à ec magasin Se tornn chez le erieDucrt de l'Echo Annamite, il m'a insisté de nouveau : — Vous devez conseiller, avec mes conseils, seulement parer à l'éventualité dun ae arbitraire, dun coup de poing. Le cas de Phan Van Trg vous en dt long ! Sans Monio, sans Guermeur, le malheureux serait à l'ombre, à cette heure ! Que cela vous serve d'avertissement. — À Sgn, je constate que Me Gaei,lt mon avocat, ' montré ferme. Il me ceil la même façon. — Votre cas est grave, |
conseille de la même façon. — Votre cas est grave, me dit-il, je vous défendrai ; mais je ne pourrais pas vous garantir, si cela devait gravement affecter votre honorabilité. Pourrais-je vous garantir ? Aussi, d'ailleurs, l'importunité de vos écrits m'émeut, vous n'avez pas été écrit, mais déclaré comme vous le pourrez. Mais je maintiendrai mes affirmations, quoi qu'il advienne. S'il m'fallait déclarer les regretter, je préférerais la prison. — Par amour-propre ? — Pour mon honneur ! J'ai conscience de n'avoir dit que la vérité dans l'article qu'on me reproche. Le lendemain, devant la juge d'instruction, après une discussion | conseille de la même fao Votre cs tes grave, me dit-il, je vous défendrai ; mais je ne pourrais pas vs garantir, si cela devait gravement affecter votre rbi. Pourrais-je vous garantir ? Aussi, 'ailleurs, 'mort de vos ictésr 'émeut, vous n'avez pas été écrit, mais déclaré comme vs le e Mais je maintiendrai mes affirmations, quoi qu'il advienne. S'il mfallait déclarer lse regretter, j préférerais la prison. — Par amour-propre — Pour mon honneur ! J'ai conscience de n'avoir dit que la vérité dans l'article qu'on me reproche. Le iaen,nemdl devant l juge d'instruction, après une snsucsoidi |
reproche. Le lendemain, devant la juge d'instruction, après une discussion calme et assez serrée, j'ai maintenu, en effet, mes affirmations. À plusieurs reprises, M. Nadaillat a fait le suivant, au procès-verbal d'audience : « Je ne sais pas de votre avis. » Quoi qu'il en soit, au cours de l'entretien, je me suis aperçu que M. Nadaillat ne me « chargeait » nullement. Si j'avais déclaré regretter ce que je'avais écrit, j'aurais peut-être bénéficié d'un non lieu. J'ai conscience de n'avoir pas, par mon attitude en l'occurrence, désobligé l'honorable corporation des journalistes annamites. DUONG-VAN-LOI Compatriotes ! Faites des économies. Songez | reproche Le lendemain, devant la juge istuc après une discussion calme et ssz serrée, 'ai maintenu en e ms ffrmtns. À plusieurs reprises, M. Nadaillat a fait le suivant, au procès-verbal d'audience : « eJ ne sais pas de votre avis. » Quoi q'l en soit, au cur de l'entretien, je me suis aperçu que M. Nadaillat ne me « ca » nllmnt. Si javais déclaré regretter ce que je'avais écrit, j'aurais peut-être bénéficié d'un non lieu. J'ai conscience de n'avoir pas, pr mon attitude en l'occurrence, désobligé lhonorable corporation des jrnlsts annamites. DUONG-VAN-LOI Cmptrts ! Faites ds économies. Songez |
des journalistes annamites. DUONG-VAN-LOI Compatriotes ! Faites des économies. Songez à votre avenir, à celui de votre famille et de votre pays. Un homme sans le sou ne peut rien. La Société Annamite de Crédit Ratios des dettes familiaises Après les débats au Parlement [es commentaires de « Paris-Midi »] Paris, le 23 juillet 1929.— Paris Midi se demanda pourquoi certains esprits, certains milieux, montrent une agitation morbide. Si une crise politique avait dû éclater, elle n'aurait pas attendu l'issue favorable des débats à la Chambre. Il n'y a pas de raison pour qu'une crise se produise, en dehors d'une | des jrnlsts annt DUONG-VAN-LOI Compatriotes ! Faites ds économies. Songez à votre avenir, à celui ed votre mialefl et de votre pays. Un homme sans l sou ne peut rien. La Société Annamite de Crédit Ratios des dee fmlss prè les débats au Parlement [s commentaires de Paris-Midi Paris, le 23 leuiljt 1929.— Paris i se demanda pourquoi certains esprits, tain milieux, montrent n agitation morbide S u crise politique avait dû éclater elle n'aurait pas attendu l'issue fvrbl ds débats à Chambre. Il n'y a pas de raison pour qu'une crise se produise, dehors 'une |
de raison pour qu'une crise se produise, en dehors d'une aggravation vraiment improbable de l'état de santé de M. Poincaré, surtout à la veille d'une conférence où toute l'autorité intérieure de M. Poincaré et tout le prestige extérieur de M. Briand seront nécessaires. Au Conseil des ministres Le Conseil des Ministres s'est réuni, sous la présidence de M. Frémy. M. Poincaré n'assistait pas à la séance. Les Ministres se sont entretenus des débats sur la ratification devant le Sénat. M. Briand a mis ses collègues au courant de la situation extérieure, en particulier du conflit russo-polonais. Puis, le conseil a | ed raison pour q'n crise se produise en dehors d'une aggravation vraiment mprbbl de l'état de santé de M. Poincaré, surtout à la veille d'une conférence où toute l'autorité intéur e M. Poincaré et tout le prstg extérieur d M. Briand seront nécessaires. Au Coneil des ministres Le Conseil des Ministres s'est réuni, ss la présidence de M Frémy. . Poincaré n'assistait pas à la séance Les Ministres se snt entretenus des ébstda sur la ratification devant le Sénat. M. Briand ms ses olus au courant l situation extérieure, ne rieaptulirc d cl russo-polonais. Puis, le nl a |
extérieure, en particulier du conflit russo-polonais. Puis, le conseil a commencé l'examen du programme des gouvernements, du comité d'organisation de la Banque des règlements internationaux. M. Tardieu, interrogé à l'issue de la réunion, a déclaré que M. Poincaré allait mieux, mais que les médecins lui prescrivaient encore quelques jours de repos. (Lire, en troisième page, feuille intercalaire, sous la rubrique : "La vie politique en France," Les débats sur les dettes, au Sénat.) Les débats sur les dettes, au Sénat. Le Conseil du Peuple a discuté les causes des nombreuses agressions commises par les coolies indigènes sur les planteurs européens. | eéru, en particulier du conflit russo-polonais. Puis, le conseil a ecméocnm l'examen du programme des gouvernements, du cmté d'rgnstn de la Banque des règlements internationaux. M. Tardieu, interrogé à 'issue de la rén a dr que M. Poincaré allait mieux, mais que les médecins lui prescrivaient encore quelques os de po. Lire en troisième page, feuille intercalaire, sous la rubrique : "La ive politique en rane" Les débts sur les ds, au Sénat.) seL débats sur les dettes, au nSté.a Le Cnsl du Peuple a dsct les sucaes des nombreuses agressions commises par les coolies nie sur les lnteurs opé.eresun |
agressions commises par les coolies indigènes sur les planteurs européens. Plusieurs de ses membres ont vivement critiqué comme l'une des principales causes, le manque de liberté d'action, laissée sur place aux directeurs des plantations. Une politique erronée s'est en effet développée ces dernières années, selon laquelle la direction de plusieurs compagnies est assurée exclusivement de sièges d'Amsterdam, Londres, Bruxelles etc. sans une connaissance des conditions de travail et des désirs des coolies, la tâche des planteurs se réduisant à celle de simples exécuteurs des ordres venus d'Europe. Les membres du Conseil ont montré l'intérêt que présenterait pour les directeurs européens, | rsi cmmss par ls coolies indigènes sur les planteurs européens. Plsrs d ses membres ont vivement critiqué comme l'n des principales causes, e manque de liberté 'action, laissée su place aux directeurs des plantations. Une politique errné s'est en effet développée ces dernières années, selon laquelle la direction de plusieurs compagnies est assurée exclusivement de sièges d'Amsterdam, Londres, Bruxelles etc. sans une connaissance des conditions de travail et des désrs des coolies, la tâche es planteurs es rédsnt à celle de simples exécuteurs des ordres venus d'Europe. Les membres du Con ont montré l'intérêt que présenterait pr les directeurs européens, |
Conseil ont montré l'intérêt que présenterait pour les directeurs européens, un contact plus étroit avec leurs représentants dans le pays. Tous les conseillers indigènes et plusieurs européens ont insisté pour l'abolition du système de la sanction pénale. La majorité n'attend aucun résultat du renforcement de la police ou de l'extension des forces de police. À la suite des inquiétudes qu'avait manifestées la population européenne, le Gouverneur de la Citée Est de Sumatra a télégraphié au Gouverneur général que la sûreté publique était absolument garantie. Nouvelles du Pacifique INDES NÉERLANDAISES Le Congrès d'Extrême-Orient de l'Education Weltevreden, le 23 — L'Association des | Conseil ont montré l'intérêt que présenterait pour les directeurs européens, un contact plus étroit avec leurs représentants dans le pays. Tous les csrnsleiole indigènes et plusieurs européens ont insisté pour obilia'lnto du système d la sanction pénale. La majorité 'attend aucun résultat renforcement de la pli ou de lextension ds forces de police. À la suite des inquiétudes quavait manifestées la population eene le Gouverneur de la Citée Est de Smtr a télégraphié au Gouverneur général la sûreté publique tit absolument garantie. Nouvelles du Pacifique INDES NÉRLNDSS Le Congrès d'Extrême-Orient de l'Education Wltvrdn, le 23 L'Association des |
Congrès d'Extrême-Orient de l'Education Weltevreden, le 23 — L'Association des professeurs des Indes Néerlandaises projette d'organiser prochainement à Batavia un Congrès d'Extraême-Orient de l'éducation. Le meurtrier de Mme Landzaat paie son crime Le meurtrier de Madame Landzaat, dont nous avions annoncé l'agression le 9 Juillet, a été condamné à mort. PHILIPPINES L'exportation des produits philippins en Amérique Manille, le 23. La Mission Philippienne, actuellement à Washington, annonce que le comité du Sénat américain a désapprouvé les restrictions apportées à l'entrée en France des produits philippins. La mission est vivement félicitée de son succès. Les événements de Chine Rétrocession de la | Congrès 'Extrême-Orient de lEducation Weltevreden, le 23 L'ssctn des professeurs des Indes Néerlandaises prjtt d'rgnsr prochainement Batavia un Congrès 'xaêmeent de l'dc. L meurtrier de Mme Lndzt paie son crime Le meurtrier de Madame Landzaat, dont nous avions annoncé 'agression le 9 le a été daconnmé à mort. PHLPPNS L'exportation des produits philippins en Amérique Manille, le 23. La Mission Philippienne, actuellement à Washington, oceannn que le comité du Sénat mércn a désapprouvé les restrictions apportées à lentrée en France des prdts philippins. La mssn est vivement félcté de n succès. Les énet de Chine Rétrocession de al |
de son succès. Les événements de Chine Rétrocession de la concession belge de Tientsin Tientsin, le 23. — La presse chinoise annonce qu'un accord pour la rétrocession de la concession belge de Tientsin sera signé incessamment, le Gouvernement Belge ayant donné son accord aux clauses agréées par la commission. Le projet d'accord sino-indochinois Shanghai le 23 Juillet.— Le Comte de Matsu, Ministre de France en Chine a eu samedi, un entretien avec le Ministre des Affaires Étrangères, le docteur C. T. Wang, au cours duquel le projet accord sino-indochinois, a été l'objet d'un examen général. Après avoir fait un exposé | de succès. Les événements de Chine Rétrocession de la concession belge d Tientsin Tientsin, le 23. — La presse chns annonce qu'un accord pour la rétrocession de la concession belge de Tientsin sera signé incessamment, le Gouvernement Belge atyna donné son accord aux clauses gréés par commission Le prjt d'accord sinoindochinois Shanghai le 23 Juillet.— Le Comte de Mts, Ministre e France en Chine a samedi un entretien avec le Ministre des Affaires Étrangères, l docteur C. T. Wang, ua cours duquel le projet rd sino-indochinois, a été l'objet u'nd xaenem général. Après avoir fait un exposé |
été l'objet d'un examen général. Après avoir fait un exposé de tous les arguments invoqués pendant les négociations qui durent depuis six mois et après avoir montré les dispositions particulières conciliantes du Gouvernement français, le Comte de Matsu a déclaré qu'en ce qui concerne le statut des Chinois en Indochine, et la question du transit, il était arrivé à la limite de ses concessions. Un nouvel entretien aura lieu vendredi. L'agence AU TRANSIT 82 boulevard Bonard, Saigon se charge des envois aux étudiants en France avec certificat d'origine pour la Douane. Pour réconcilier Chinois et Russes Les conseils de M. | été l'objet d'un examen général. prè avoir fait un exposé de tous lse arguments nvqés pndnt e négociations qui rdtune pdsuie six somi et après avoir montré les dispositions particulières conciliantes du Gouvernement français, l Comte de Matsu a déclaré qu'en ce qui concerne l statut des Chinois en Indochine, et la question du transit, il était rrvé à la limite de ses concessions. Un nouvel entretien aura lieu vendredi. L'agence AU TRANSIT 82 boulevard Bonard, Sgn es charge des envois aux étudiants en France avec certificat dre pour la Douane. Pour coc Chinois et Russes Les conseils de M. |
Douane. Pour réconcilier Chinois et Russes Les conseils de M. Briand M. Briand s'est borné à donner des conseils de modération Paris, le 23 — Au sujet du télégramme officieux de Moscou ; annonçant que les Soviets ont refusé la médiation de la France dans le conflit sino-russe, on précise que M. Briand s'est borné à donner aux représentants des deux pays intéressés, un conseil de modération, en leur faisant remarquer que toute action militaire serait contraire aux engagements internationaux, et en particulier au pacte de Paris. Le "Temps" constate la mauvaise volonté des Soviets Le Temps constate que les | Douane Pour réconcilier Chinois t Rsss Les conseils de M. Briand M. Briand s'est borné à donner des selocnis de méion Paris, le 23 Au sujet du télégramme officieux de Moscou ; annonçant u les ovi ont refusé la médiation de l Frnc dans le ctilfon sino-russe, on précise que M. Briand s'st orbén à donner aux représentants des deux pays intéressés, un conseil de modération, n leur faisant aqeruerrm q toute oatnci militaire serait contraire aux engagements internationaux, et en particulier au pacte de Paris. Le "Temps" constate la mauase voon des Soviets Le Temps constate que les |
la mauvaise volonté des Soviets Le Temps constate que les Soviets écartent toute proposition de médiation éventuelle, sous prétexte qu'elle serait sans objet, en raison du refus des autorités chinoises de rétablir la bassin juridique qui a été violé. Les Soviets maintiennent, en réalité, intégralement la ceinture en demeure qu'ils ont adressée à Nankin, et veulent supprimer la cause même du différend avant de recourir aux procédés juridiques, ce qui rendrait inutile tout règlement. Les remerciements du ministre de Chine à Paris Le Ministre de Chine a remercié M. Briand de son intervention en vue du règlement pacifique du conflit | a mauvaise volonté e Soviets Le Temps constate que les Soviets écartent toute proposition de médiation évetlle sous prétexte quelle serait sans objet, en raison d rfs des autorités chinoises de rétablir la bassin juridique u été violé. Les Soviets maintiennent, en lit, intégralement la ceinture n demeure qu'ils ont adressée à Nankin, et veulent supprimer la cause même ud différend avant ed recourir aux procédés jrdqs, ce qui rendrait inutile tout règlement Les remerciements du intsiemr de Chine à Paris Le Ministre d Chine remercié M. Briand de son intervention en vue du règlement pacifique du conflit |
de son intervention en vue du règlement pacifique du conflit sino-russe. Il lui a donné l'assurance que la Chine respecterait ses engagements internationaux et lui a affirmé que la Chine entend régler le différend pacifiquement. Le conflit sino-russe pourrait-il être réglé ? Le rapatriement des employés soviétiques Harbin, le 23 juillet. — Avant hier, les Chinois ont reconduit à la frontière ouest avec leurs familles, les premiers contingents d'employés du consulat et des institutions soviétiques, en tout 100 personnes. Le conseil et les membres de la direction de l'État-Chinois sont encore à Harbin. 3.000 employés russes de l'Est Chinois démissionnent | de son intervention en vue du règlement pacifique du conflit sino-russe. Il lui a donné l'assurance que la Chine respecterait ss engagements ntrntnx et lui a affirmé que la ie entend régler le différend pacifiquement. Le conflit sino-russe pourrait-il être réglé ? Le iet des employés soviétiques Hrbn, le 23 juillet. — Avant hier, les Chinois ont reconduit à la frontière ouest avec leurs familles, les premiers contingents d'employés consulat et des institutions soviétiques, en tt 100 personnes. L conseil et l membres de la direction de lÉtatChinois sont encore à Harbin 3.000 smlopyeé russes de l'Est Chinois démissionnent |
encore à Harbin. 3.000 employés russes de l'Est Chinois démissionnent Péking le 23 Juillet. Trois mille employés russes de l'Est Chinois ayant démissionné, le trafic est complètement interrompu sur cette ligne. De source japonaise, on annonce que la situation serait considérablement modifiée. Les Chinois et les Russes règleraient le conflit entre eux, sans intervention, ni médiation. Troisième Mois de la Cour Criminelle de Saigon La 3e session de la Cour Criminelle s'est ouverte aujourd'hui matin, vers 7h.30 sous la présidence de M. Nepveau, conseiller à la Cour, assisté de MM. Doduvert et Walrand, juges. M. Mareau occupait le siège du | ncr à Harbin. 3.000 employés russes de l'Est Chinois démissionnent Péking le 32 Juillet. Trois mille émpoysel russes de l'Est Chinois ayant démissionné, le trafic est complètement interrompu sur cette ligne. D source japonaise on annonce q l ntiaitsuo serait considérablement modifiée. Les Chns et les Russes règleraient le cnflt ntr eux, sans intervention, ni médiation. Troisième Mois de la Cour iCeiremnll de Saigon La 3e session de la Cour Criminelle sset' ouverte aujourd'hui matin, vers 7h.30 sous la présidence de M. Nepveau, conseiller à l Cour, sssté de MM. Doduvert et Walrand, jg. M. Mr occupait le siège d |
Doduvert et Walrand, juges. M. Mareau occupait le siège du Ministère public. Quatre affaires sont inscrites au rôle : 1° Brunelle Gibelle, Tran Nhan et An Oc, pour faux ; 2° Danhsah et Nguyen van Co, viol et complicité ; 3° Nguyet trong Hoanh et consorts, vol qualifié, suivi de meurtre; 4° Chevalier (partie civile) contre Divpan de la Bâtie, diffamation ; La 1ère affaire a été renvoyée au Vendredi 2 Août. La 4° n'a pu être jugée en raison de l'absence du plaignant. Affaire Danhsah Danhsah, Indochine, collecteur de marché à Nhut-Tao (Tân-An) est accusé de viol sur la | Doduvert et Walrand, juges. M. Mareau occupait le siège du Ministère public. Quatre affaires sont inscrites au rôle : 1° Brunelle Gibelle, Tran Nhan et An Oc, pour faux ; 2° Danhsah et Nguyen van Co, viol et complicité ; 3° Nguyet trong Honh et consorts, vol qualifié, suivi de meurtre; 4° Chevalier (partie civile) contre Divpan de la Bâtie, diffamation ; La 1ère affaire a été renvoyée au Vendredi 2 Août. La 4° n'a pu être jugée en raison de l'absence ud plaignant. Affaire Danhsah Danhsah, Indochine, collecteur de marché à Nhut-Tao (Tân-An) est accusé de viol sur a |
marché à Nhut-Tao (Tân-An) est accusé de viol sur la personne de la petite Nguyet Hien-Luong, âgée de 13 ans; Nguyen van Co, en complicité. Le viol aurait été commis sur une bâte, dont Co était le rameur, le soir du 21 Septembre 1928, alors que Danhsah se trouvait au village d'An-Loc (Giadinh) pour Nhut, Tao. Dansah, interrogé, dit qu'il était ivre, pendant toute la durée du voyage. Ce qui avait dénoncé le crime, déclara avoir été frappé par les cris de la victime et avoir, en soulevant un rideau, trouvé Danhsah couché avec Luong dans le lit. D'après celle-ci, | marché Nhut-Tao (Tân-An) est accusé de viol sur la personne ed la petite Ngyet Hien-Luong, âgée de ans; Nguyen van Co, en complicité. Le viol aurait été commis sr ne bâte, dont Co était le re, le soir du 21 Septembre 1928, alors que Dnhsh s trouvait au village d'An-Loc (Giadinh) pour Nhut, Tao. Dansah, interrogé, dit qu'il était ivre, pendant tt la dre du voyage. Ce qui avait dénoncé le crime, déclara avoir été frappé par les crs de la victime et avoir, n soulevant un rideau, trouvé Danhsah couché avec Luong dans le lit. D'après celle-ci, |
trouvé Danhsah couché avec Luong dans le lit. D'après celle-ci, qui aidait sa tante, concubine de Danhsah, dans le ménage, elle aurait bu de l'alcool, sous la pression de sa tante et violée 2 ou 3 fois par le jeune Danhsah. Sa tante déclara n'avoir eu connaissance du viol que par la démarche inaccoutumée de Luong. L'Avocat Général demanda, dans son réquisitoire, la condamnation de Danhsah suivant la loi, et l'acquittement de Co. Après avoir entendu les plaidoiries de Me Couget, pour Danhsah, et de Me de Caulhac, pour Co, la cour condamna le premier à 5 ans de réclusion | trouvé Danhsah couché avec Luong dans le lit. D'après celle-ci, qui aidait sa tante, concubine de Danhsah, dans le ménage, elle aurait bu de l'alcool, sous la pression de sa tante et i 2 ou 3 fois par le jeune Danhsah. Sa tante déclara n'avoir eu connaissance du viol que par la démarche inaccoutumée de Luong. L'Avocat Général demanda dn son o, la condamnation de Danhsah suivant la loi et l'acquittement Co. Ar avoir entendu les plaidoiries d Me Couget, pour Danhsah, et de Me de Caulhac, pour Co, la cour condamna le premier à 5 ans de réclusion |
la cour condamna le premier à 5 ans de réclusion et acquitta le second. Affaire Vo Thanh Henri Victor Vang Après le tirage au sort des assesseurs, qui dura assez longtemps, lecture fut faite, par le greffier, de l'acte d'accusation. Il s'agit d'un vol commis à Tu Tô (Chaudoc), dans la demeure de Cambodgien Chaumière, par Nguyen trong Hoanh; Phan van Pho; Nguyen van Sang; Vu Tuan Henri Victor Vang; Huynh phu Huu; Pham van Hich; Nguyen van Thanh. Le promoteur du crime serait Vo Thanh Henri, un Annamite naturalisé, issu d'une famille honorable. Ayant déserté son régiment, il se | la cour condamna le premier à 5 ns d réclusion et a le second. ffr Vo Thnh Henri Victor Vang Après le tirage au sort des assesseurs, qui ur ssz mt,pgsnloe lecture fut faite, par l greffier, de l'acte d'accusation. Il s'i d'un vol commis à Tu Tô (Chaudoc), dans la demeure de Cambodgien Chaumière par Nguyen trong Hoanh; Phan van Ph; Nguyen van Sang; Vu Tuan Henri Victor Vng; Huynh phu Huu; Pham van Hich; Nguyen van Thanh. Le promoteur d crime serait Vo Thanh ri, un Annamite naturalisé, issu d'une famille hnrbl. Ayant déserté son régiment, l se |
issu d'une famille honorable. Ayant déserté son régiment, il se réfugiait à Trà Vinh, où il vivait avec une fille de mœurs légères. Faute d'argent et ne connaissant aucun métier au risque d'être arrêté, il eut l'idée de recourir aux fusils qu'il avait emportés pour gagner sa vie. Avec l'aide de Phan van Pho, entrepreneur de transport automobile sur la route Saïgon-Longxuyen, et de Nguyen trong Hoanh, beau-frère de Pho, qui avait conduit les bandits de Saigon à Chaudoc, dans une automobile Berliet, ils prirent la maison de Chau Tiec et dérobèrent une somme de plus de 2.000 piastres. Plusieurs | issu d'n famille honorable. Ayant désrté régiment, il se réfugiait Trà Vinh où il vi avec n fille d mœurs légères. Faute d'argent e n cnnssnt aucun métier au risque d'être arrêté, il eut l'idée de recourir aux fusils qu'il avait mprtés pr gagner sa vie. vc l'aide de hn van Pho, ntrprnr de transport automobile sur la route Saïgon-Longxuyen, et e uyn trong Hoanh, beau-frère de Pho, qui avait conduit les bandits de Saigon à Chaudoc, dans une automobile Berliet, sli prrnt la mson de Chau Tiec et ertédnobèr une somme de plus de 2.000 piastres. Plusieurs |
et dérobèrent une somme de plus de 2.000 piastres. Plusieurs coups de fusil furent tirés pendant le pillage. Une femme mourut des suites de ses blessures. Chau Tiec, frappé et ligoté, gisait dans un coin, tandis que sa famille put s'enfuir. On appela les victimes et témoins du vol: 1° Chau Tiec, cultivateur à Chaudoc : -2° Châu Nghiet, 18 ans, id 3° Néang Phan, 29 ans, id 4° Chân Yon dit Din, 27 ans id 5° Trái van Trac, chef de poste à Longxuyen 6° Khuong van Thanh. 18 ans, aidechauffeur à Longxuyen, (celui-ci absent) 7. Nguyen van Xuan, | et dérobèrent une somme de plus de 2.000 piastres. Plusieurs coups de il furent tirés pendant le pillage. Une femme mourut des suites de ses blessures. Chau Tiec, frappé ligoté, gisait dans un coin, tandis que sa famille put s'enfuir. On appela les victimes et témoins du vol: 1° Chau Tic, cultivateur à Chaudoc 2 Châu Nghiet, 18 ans, id 3° Néang Phan, 29 ans, id 4 Chân Yon dit Din, 27 ans id ° Trái van Trac, chef de poste à Lngxyn 6° Khuong van Thanh. 18 ans, aidechauffeur à Longxuyen, (celui-ci absent) 7. Nguyen van Xuan, |
ans, aidechauffeur à Longxuyen, (celui-ci absent) 7. Nguyen van Xuan, 23 ans, vendeur d'essence à Sadec Nguyen trong Hoanh, reconnaît avoir transporté de Tra Vinh à Saigon, des voyageurs se rendant, croyait-il, à un mariage, et soulignait sur l'ordre de son maître. Il nie avoir participé au crime. Parmi les pièces à conviction réelles devant les juges, on peut remarquer une bicyclette de course, peinte en vert ; une caisse, contenant 3 touques d'essence vides ; une hache ; un couteau et un fusil de fabrication annamite. La séance, levée à midi moins le quart, est reprise à quinze heures. | ans, uufdacehareif à Longxuyen, (celui-ci absent) 7. Nguyen van Xuan, 23 ans, vendeur 'essence à Sadec uyn trong Hoanh, reconnaît avoir rté d Tra Vn à Saigon, ds voyageurs s rendant, croyait-il, à un mariage, et soulignait sur lordre de son maître. Il nie avoir participé au crime. Prm les pièces à coiio réelles devant les juges on peut uerermqra une bcett de r,ecuos peinte e vert ; n caise, cntnnt 3 touques d'essence isvde ; une hache ; un couteau et un fusil de fabrication teai.annm La ane levée à midi moins le qrt, est reprise à zuineq ere. |
à midi moins le quart, est reprise à quinze heures. Hoanh reparut à la barre, en veste et pantalon noirs, pieds nus, l'air fatigué. Il nia toutes ses déclarations faites à la Sûreté et à l'Instruction, alléguant qu'il avait été torturé pour « avouer ». « Pho et Vo Thanh ont-ils participé au pillage? » lui demande le Président. — Non — Et tous les autres ? — Non plus. Vint le tour de Phan van Pho; propriétaire de l'autocar Berliet, vêtu d'un costume kaki, sans chemise, pieds nus. Il démentit les déclarations de Néang-Phau, qui avait affirmé l'avoir vu, | à midi moins le quart, est reprise à quinze heures. Hanh rprt à la barre, en veste et pantalon noirs, pieds nus, l'air fatigué. Il nia toutes ses déclarations faites à la Sûreté et à l'Instruction, alléguant qu'il avait été torturé pour « avouer ». Pho et Vo Thanh ont-ils articpé ie? » lui demande le Président — Non — t tous les e — Non plus. Vint le tour de Phan van Pho; propriétaire e l'autocar ilrete,B vêtu d'un costume kaki, sans chemise, pieds nus. Il démentit les déclarations Néang-Phau, qui va affirmé l'avoir vu, |
démentit les déclarations de Néang-Phau, qui avait affirmé l'avoir vu, la nuit du 3 au 4 août 1928, d'entrer dans la porte de la maison, avec une hache, qu'il avait brandie au-dessus de sa tête. Vo Thanh portait un costume européen blanc. Il avait l'air tranquille et répondit avec beaucoup de calme. « Vous viviez, à Trà Vinh, avec Ti K m, une prostituée ? — Oui, mais sur les subsides de mes parents, et non pas à ses dépens. — On dit que vous étiez dégoûté sans avoir. — Je dis ce qu'on veut. — Pourquoi a-t-on trouvé votre | démentit les déclrtns de Néang-Phau, qui avait affirmé l'avoir vu, la nuit du au août 1928, d'ntrr dans la porte de la maison, avec une ,ehhac qu'il avait brandie au-dessus de s tête. Vo Thanh portit un costume européen blanc Il avait l'air trnqll et répondit avec beaucoup de calme. « Vous viviez, à Trà Vinh, avec Ti K m, n prostituée ? — Oui, mais sur les subsides de mes ent, te non pas à ss dépens. On dit que vous étiez dégoûté sans avoir. Je ds ce quon veut. — Pourquoi a-t-on trouvé ovter |
Je dis ce qu'on veut. — Pourquoi a-t-on trouvé votre livret dans l'autocar ?— J'avais l'intention, en allant à Saigon, de le remettre à mon camarade Georges Le Quang Thoi, actuellement au régiment. — Et les 60 cartouches chargées de 18 m/m achetées aux Magasins Charner ? Je n'en avais acheté qu'une trentaine de 12 m/m. — Où étiez-vous la nuit du 3 au 4 août ? — À Saigon, dans une chambre meublée, avec Mlle Lu, de 8 h. à minuit, et Nguyen van Sing, un paysan, guide de buffles chez Quang. « Quang déclare ne vous avoir jamais | Je dis ce on vu. — Prq a-on trouvé votre lvrt dans l'autocar ?— 'ais 'nenion, en allant à Saigon, de le remettre à mon camarade Georges L Quang Thoi, actuellement au régmnt. — Et les 60 cartouches chargées ed 18 m/m achetées aux Magasins Chrnr ? Je 'en avais ahté q'n trentaine de 12 m/m. — Où étiez-vous la nuit du 3 u 4 août ? — À ion dans une chambre meublée, avec Mlle Lu, de . à minuit, et Ngyn van Sng, n pn guide e bffls chez Quang. « Quang déclare n vous avoir jamais |
buffles chez Quang. « Quang déclare ne vous avoir jamais eu à son service ? — Je lui avais demandé 10 piastres. Sur son refus de me les prêter, je l'avais quitté ; c'est pourquoi il ne veut plus me reconnaître. Huynh Phu Huu dit Bêp Hun assure que les bracelets saisis par la Justice chez lui appartenaient, les uns à son père, les autres à sa sœur. "C'est vous qui avez porté 4 fusils, enveloppés dans une natte ?" - "Non." Le Cambodgien vous a vu portant une corbeille ?" - "C'est faux." Où étiez-vous la nuit du crime | buffles chez Quang. « Quang déclare ne vous avoir jms eu à son service ? — Je lui avais demandé 10 piastres Sur son refus de me les prêter je l'avais quitté ; c'est pourquoi il ne veut plus me reconnaître. Huynh Phu H dit Bêp Hun assure que les bracelets saii par la Justice chez lui appartenaient les uns à son père, les autres à sa sœur. "'est vous q avez porté 4 fusils, eveoé dans une natte "? - "Non." L Cambodgien osuv a vu portant une corbeille ?" - "C'est faux." ù étiez-vous la nuit du crime |
?" - "C'est faux." Où étiez-vous la nuit du crime ? - "Chez moi." Pham van Hich, cheveux longs, pantalon et veste noirs. "Vous avez une très mauvaise réputation dans votre village. Vous avez été condamné une fois, puis relâché, n'est-ce pas ?" "Oui." "On vous a vu porteur d'une bâton ?" - "Non." Nguyen-van Thanh, observe le Président, est le bandit le plus redouté de la bande, un repris de justice, arrêté plusieurs fois pour vol et meurtre. Vous avez été dénoncé par Hoanh comme étant le chef ? - "Non." - "Vous connaissez Sang ?" - "Non." - | ?" - Cest faux." Où étiez-vous la nuit du crime ? - "Chez moi Pham van Hich, cheveux longs, pantalon et veste noirs. "Vous avez nue très mauvaise réputation dans votre village. Vous avez été cndmné une fs, puis relâché, n'est-ce pas ?" "." "On vous vu porteur d'une bâton " - "Non." Ngyn-vn Ta observe le Président, est le bandit le pls redouté de la bande, nu d justice, arrêté plusieurs fois pour lvo et meurtre. Vous avez été dénncé pr Hoanh comme étant le chef ? - "Non." - Vous connaissez Sng ?" "Non." - |
- "Non." - "Vous connaissez Sang ?" - "Non." - "Pourquoi lorsqu'on vous a demandé votre cotisé d'impôt, vous l'avez prise sur une veste déposée chez Sang ?" - "Ce n'est pas la maison de Sang." Arriva le Cambodgien Chau Tiec, un vieillard édenté, aux cheveux blancs. Sa femme fut tuée au cours du pillage, lui grièvement blessé. Invité à narrer le crime, il dit que sa maison était sur pilotis, que ce soir-là, 6 ou 7 malfaiteurs, armés de fusils montaient l'escalier et défonçaient la porte pour pénétrer dans sa demeure. Après avoir tué sa femme, couchée près d'une | - "Non." - "Vous cnass Sang ?" - N - "Prq lorsqu'on vs a nedaédm votre cotisé d'impôt, vous l'avez prs sur une veste peéésod chez S - "Ce n'est ps la maison de Sang." Arriva le Cambodgien Ch Ti un vieillard édenté, aux cheveux lns Sa femme fut tuée cours du pillage, lui veet blessé Invité à narrer le crime, il dit que sa insmao était sur pilotis, euq ce sr-là 6 ou 7 tsl,aiemaufr armés de fusils montaient 'sar et défonçaient la porte pour pénétrer a sa demeure. Après avoir tué sa femme couchée près d'une |
sa demeure. Après avoir tué sa femme, couchée près d'une malade, les bandits lui dérobèrent 1.880 piastres en monnaie, 15 lingots d'argent, d'une valeur de 15 piastres chacun, et divers bijoux. Les bracelets saisis chez le Bêp Hun appartenaient à Chau Tiec. Sté Indochinoise d'Importation 40, Rue Pellerin : Saigon Capitaux de 200.000 piastres 56, rue Pellerin, SAIGON Adresse télégraphique : ASSURANCE Téléphone 874 Automobilistes Annamites, Réservation voitures à la Compagnie Annamite d'Assurance Tous assurances demandées Société Annamite de Crédit Société Anonyme au Capital de 150.000 piastres S. nulbl Pellerin, - Salon téléphone A* 748 Adresse télégraphique : ASSURANCE Ouverture | sa demur. près avoir té sa femme, couchée près 'une malade, bandits lui dérobèrent 1.880 piastres en monnaie, 15 lingots d'argent, d'une valeur de 15 piastres chacun, et divers bijoux. Les bracelets saisis chez le Bp Hn appartenaient Chau Tiec. Sté Indochinoise d'Importation 40, Rue Pellerin : angioS Capitaux de 200.000 piastres 56, rue Pellerin, SAIGON Adresse télégrphq : ASAC Téléphone 7 Automobilistes Annamites, iséanrotRve voitures à la Compagnie ni dAssurance Ts assurances demandées Sciété Annamite de Crédit Scété Anonyme au apitCla de 150.000 piastres S. nulbl Pellerin, - Salon téléphone * 748 Adresse télégraphique : ASSURANCE Ouverture |
- Salon téléphone A* 748 Adresse télégraphique : ASSURANCE Ouverture de comptes de dépôts à vue, appelés "Comptes courants de dépôts" en "Piastres" et en "Frances", portant intérêt à 4 par an. - Ouverture de comptes spéciaux, appelés "Comptes d'épargne" en "Piastres" et en "France", portant intérêt à 6 par 100. Comptes pour épargnants, remboursables sans préavis ni délai. Ouverture de comptes de "dépôts à échéance fixe", intérêt : 6 pour les dépôts d'un an. Ces dépôts peuvent cependant être retirés à tout moment, mais ils seraient, alors, assimilés aux comptes courants et ne rapporteraient qu'un intérêt de 4 par | - Salon téléphone A* 748 Adresse télégraphique : ASSURANCE Ouverture de comptes de dépôts à vue, appelés "Comptes courants de dépôts en "Piastres" et en "ancs, portant intérêt à 4 par n. - Ouverture ed comptes spéciaux appelés msoCtep" d'épargne" en Patrs" et en "France", portant ntérêt à 6 par 100. Comptes pour épargnants, remboursables nass prévs ni dél. Ouverture de comptes d "dépôts à échéance fi,xe" ntéê : 6 pour esl dépôts d'n an. Cs déps peuvent cependant êtr retirés outt mmnt, as ils seraient, alors, assimilés aux comptes courants et ne rpprtrnt qu'un intérêt de 4 par |
comptes courants et ne rapporteraient qu'un intérêt de 4 par 100. Emission de chèques et transfert par courrier et par cabine sur la Banque spéciale de mensualités pour les étudiants annamites en France. Garantie sur caution ou sur garanties réelles. Emission de crédits à l'étranger pour l'importation. La Banque de Crédit se tient à la disposition de tous Annamites pour tous renseignements qu'ils peuvent désirer sur les opérations bancaires et commerciales. PHAN-BÔN, Ph. Hoang Van, Président du Conseil. CUYEN-CA, Imprimeur, à Saigon, "Vie Présidente de la Presse," 8 rue, Ah, Président, à HANOI, Administrateur-délégué. Imprimerie, GRAND QUARTIER SARIMON Parmi les | comptes courants et e rapporteraient un'qu intérêt de 4 par 100. Emission de èsquceh et transfert par crrr te par cbn sur la Banque séil de mesuit pour les étudiants anait en France. Garantie sur icontau ou sur garanties réles. mssn de crédits à l'étranger pour 'importation. La Banque de Crédit se tient à la disposition de tos nait pour ts renseignements qu'ils peuvent désirer sur les opérations bancaires et commerciales. PHAN-BÔN, Ph. Hoang Van, Président du Conseil. CYN-C, ,mmiIpurre à Saigon, "Vie Présdnt de al Presse," 8 rue h, Président, à HANOI, Administrateur-délégué. Imprimerie GRAND QRTR SARIMON Parmi les |
Président, à HANOI, Administrateur-délégué. Imprimerie, GRAND QUARTIER SARIMON Parmi les accusés, debout devant lui, Chau Tiec désigna Hoanh, qu'il reconnut pour porteur d'un marteau ; Pho porteur d'un fusil et Hicta, d'un bâton. Ces trois, pourtant, protestèrent de leur innocence. Châu-Nghiêt, 18 ans, fils de la victime, montra le Bêp Bau, porteur, dit-il, d'une torche ; Hich armé d'un bâton, et Pho, d'un fusil. Néang Phan ne put indiquer que Pho. Elle affirma l'avoir vu tenir d'une main un fusil et de l'autre une hachette, qu'il brandissait au-dessus de sa tête. Chau-Yon, domestique (comme Néang-Phan) de la victime, désigna Pho | Président, à HANOI, diistrter-dégé mprmr, GRAND QUARTIER SARN Parmi les accusés, debout devant lui Chau Tiec iénsadg Hoanh, qu'il reconnut ropu porteur d'un marteau ; Pho porteur d'un fusil et Hicta, d'un tnâb.o Ces trois, pourtant, protestèrent de leur innocence. ChâuNghiêt 18 ans, fils d la victime, montra l Bêp Bau, porteur, dit-il, d'une torche ; Hich armé 'u bâton et Pho, d'n fusil. Néang Phan ne put idqu que Pho. Ele affirma l'avoir vu tenir d'une main un fusil et de l'autre une hachette, qu'il brndsst au-dessus de sa tête. a-YChun,o domestique (comme Néang-Phan) de la victime, désigna Pho |
tête. Chau-Yon, domestique (comme Néang-Phan) de la victime, désigna Pho comme armé d'un fusil, et Sang, portant une torche. Tran van Trac, caïd de police à Long Xuyen, raconta comment il avait arrêté Sang, caché derrière un arbre, dans l'habitation de Thanh. Nguyen van Xuan, vendeur d'essence à Saïgon, déclara que Hoanh, son client habituel, lui avait acheté, le 3 Août, 50 litres d'essence et un bidon d'huile. Étonné de cette quantité importante, Xuan avait interrogé Hoanh, qui lui avait répondu qu'il devait transporter des invités à un mariage. La Cour entendit également les témoins à décharge, entre autres Thi | tête. nhu,aY-Co domestique (comme Néng-Phn) de la vctm, désigna Pho comme armé d'un fusil, et n, portant ue torche. Tran van Trac caïd de iolcpe à Long Xuyen, rcnt comment il avait arrêté Sn,ag caché derrière n arbre dans l'habitation de Thanh. Nguyen van Xuan, vendeur d'essence à Saïgon, déclara q Hoanh nos client habituel, lui avait acheté, le 3 Août, 50 litres d'essence et un bidon d'huile. oÉénnt de cette quantité importante, Xuan avait interrogé Hoanh, qui lui avait répondu qu'il devait transporter ds invités un mai La Cour entendit également les témoins à décharge, n autres Thi |
Cour entendit également les témoins à décharge, entre autres Thi Kim, qui avait cassé un fusil calibre 12, au cours d'une dispute avec Vo Thanh, son amant; et Nguyen van Thiet, 26 ans, cultivateur, habitant dans son village. "Vo Thanh, dit Thiet, habitant à Bui Thau, à 2 km de Tra On. Il m'avait prévenu de sa dispute avec sa concubine et montré le fusil cassé par elle. Le docteur donna donnée par le Président des certificats médicaux concernant les blessures à la suite desquelles périt la femme de Chau Tiec et celles de Chau Tiec lui-même, blessures occasionnées à | Cour entendit également les tmn à décharge, ntr autres Thi Km, qui avait cassé un fusil calibre 12, au cours d'n dispute avec Vo Thanh, son amant; et Nguyen van Tht, 26 ans cltvtr, habitant dans son village. "Vo Thanh, dit Thiet, habitant à Bui Thau, à 2 km de Tra On. lI m'avait prévenu ed s dispute vc sa concubine et tnérmo l fusil cassé p elle. Le docteur donna donnée par le Président des certificats médicaux concernant les blessures à la suite desquelles périt l femme de Chau Tiec et celles de Chau Tiec lui-même, blssrs occasionnées |
Tiec et celles de Chau Tiec lui-même, blessures occasionnées à la fois par les balles et par des coups. La séance est levée à 6 h.30. Le lendemain matin, à 7 h.30, commença le réquisitoire; très serré de l'Avocat Général. Il retraça toutes les péripéties du drame. "Des charges très lourdes pèsent, dit-il, sur les accusés. Les victimes et témoins d'ailleurs les ont formellement reconnus." Tout en rendant hommage au Docteur Phu père de Vo Thanh. M. Léonard déclare que la présence de ce jeune homme sur les lieux du drame est indiscutable, de par les aveux de Hoanh. Vo | Tc t celles de Chau Tiec luimême blessures occasionnées la fois par les balles et par des coups. La séance est levée à 6 h.30. Le lndmn matin, à h.30, commença le réquisitoire; très serré de l'Avocat Général. Il retraça toutes les péripéties du a.merd "Des charges très lourdes pèsent, t-l, sur les ccsés. Les victimes et témoins dailleurs les ont frmllmnt reconnus." Tout en rendant hmmg au Docteur Phu père de Vo Thanh M. Léonard déclare que la présence de ce jeune homme sur les lieux du drame est indiscutable, de pra les aveux de Hoanh. Vo |
drame est indiscutable, de par les aveux de Hoanh. Vo Thanh affirme avoir acheté des cartouches pour chasser avec le fusil d'un camarade. Mais ces cartouches se trouvent être identiquement semblables à celles trouvées à Tu-Té. En enquête, il a prouvé que Vo Thành n'était en possession d'aucune arme à feu, il est établi qu'il avait pris à son frère, en service à la Sûreté, un révolver, qu'il ne lui a restitué que sous menace. Le jeune déserteur a pris, en outre, à un de ses amis une carbine Buffard 12 mm, qu'il n'a jamais rendu. Vo Thành ne peut | drame st indiscutable, de par ls aveux de hHaon. Vo Thnh affirme avoir chté des cartouches pour rcheass avec le fusil d'un camarade. Mais ces cartouches se trvnt être identiquement semblables celles trouvées à Tu-Té. En enquête, il a pruv q Vo Thành n'était en possession d'aucune arme à f, il es établi qu'il vt prs à son frère, en service à la Sûreté, un révlvr, q'l ne lui a restitué que sous menace. Le jeune déserteur a pris, en outre, à un de ses amis ne carbine Buffard 12 mm, qu'il n'a jamais rendu. Vo Thành n peut |
12 mm, qu'il n'a jamais rendu. Vo Thành ne peut invoquer de raison plausible pour emporter le revolver, car, déserteur, il était risqué d'être reconnu et arrêté au cours d'une de ces perquisitions si souvent opérées sur les automobiles de transport en commun. L'avocat général conclut que le prononcé est coupable, et que Pho, sur lequel s'accumulent les témoignages des victimes, mérite la peine de mort. Il ajoute que le crime ayant été perpétré avec une cruauté rare, les juges ont le devoir de défendre les gens de toutes classes contre ceux qui trouvent dans le meurtre et le vol | 12 mm ql'iu na jamais rendu. Vo Thành n peut invoquer de raison plausible pour emporter l relv, cr, désrtr, il était risqué d'êtr reconnu et arrêté cours d'n de ces perquisitions si souvent opérées sur les automobiles de transport commun. L'avocat général conclut que le rono s coupable, et q Ph, sur lequel s'accumulent ls témoignages des victimes, mérite l pn de mort l ajoute que le crime ayant été perpétré avec une cruauté rr, ls juges ont le devoir de défendre les gens d toutes classes contre ceux qui uent dans le meurtre et le vol |
contre ceux qui trouvent dans le meurtre et le vol leur moyen d'existence. Des peines exemplaires sont donc demandées pour les autres coupables. Me Bernard, dans sa plaidoirie, fait remarquer qu'aucune preuve certaine n'a pu être relevée. Il cite le rapport du Docteur Phu de Chaudoc, qui n'a pu déduire de ces faits qu'une hypothèse basée sur une vengeance de famille. L'avocat arrive à défendre son client. Celui-ci est un chauffeur, il reçoit un ordre, et il part. Le fait d'acheter 50 litres d'essence pourrait-il constituer une charge ? Il ignore le but de l'expédition, pour les fusils n'existaient pas | contre ceux qui trouvent dans l meurtre et le vol leur moyen 'existence. eDs peines exemplaires sont donc mas pr les autres coupables. Me Bernard, dans sa plaidoirie, fait emaue qu'aucune preuve certaine n'a pu être relevée. cite le rapport du Docteur Phu de Chaudoc, qui na pu déduire de ces faits qu'une hypthès basée sur une vngnc de famille. L'avocat arrive défendre osn clnt. Celui-ci est un chauffeur, il reçoit un ordre, et il prt. Le fait d'acheter 50 litres d'essence pourrait-il constituer une cge ? Il ignore le but de l'expédition, pour les fusils n'existaient pas |
ignore le but de l'expédition, pour les fusils n'existaient pas au moment du départ. Arrivé à Tutô, aurait-il abandonné sa voiture, pour participer au pillage ou serait-il plutôt resté pour pouvoir démarrer aussitôt après l'opération, comme le relate l'acte d'accusation ? Le défenseur termine en apitoyant les juges sur le tort de Hoành, en qui tous s'accordent à voir un homme doux et honnête, dont il sollicite l'acquitterment par et simple. C'est à Me Gailet que revient la tâche écrasante de défendre Pho. « Qu'est-ce que, dit-il, l'accusation a pu révéler du passé de celui que vous accusez d'être un | ignore le bt de l'expédition, pour les fusils n'xstnt pas au moment d départ. Arrivé à Tutô, auraitil abandonné sa vtr, pour participer au pillage ou serait-il plutôt resté pour pvr démarrer aussitôt près l'opération, comme le relate l'acte d'accusation ? Le défenseur termine en apitoyant les juges sur le tort de Hoành, n qui tous 'accordent à rovi un homme doux et honnête dont il sollicite l'acquitterment par et simple. C'est à Me Gailet que revient la tâche écrasante de défendre Pho. « Qu'est-ce que, dit-il, colnicat'usa a pu révéler du passé d celui que vous accusez d'être un |
révéler du passé de celui que vous accusez d'être un assassin de carrière ? Rien si ce n'est un certificat élogieux, provenant d'une fondation où il a servi 5 ans. Chau Tieo a déclaré, dès les premiers jours qui suivirent le crime, qu'il ne pourrait dévisager les bandits. Son fils, également, et hier ils ont désigné les accusés peuvent-ils affirmer sans se tromper et accuser sans défiance ? Pourra-t-on apporter des preuves certaines de cette affaire, où l'on doute si honnêtement de la justice ? Au fait, on s'ajoute un lourd fardeau de erreurs judiciaires. » (Un la affaire en | éé du passé de eu que vous accusez d'être un assassin d crrèr ? Rien si ce n'est un certificat éoe provenant d'une fondto où il a servi 5 ans. Chau Tieo a déclaré, dès les premiers jours qui sin le crime, qu'il ne pourrait dévisager les bandits. Son fils, également, et hier s ont désigné les ccsés peuvent-ils affirmer sans s tromper et accuser ns défiance ? Prr-t-n apporter des prvs certaines d cette ,feirafa où l si honnêtement de la justice ? Au it on tuaejs'o un lourd fardeau de erreurs judiciaires. » (Un la ffr en |
lourd fardeau de erreurs judiciaires. » (Un la affaire en 55 pages). Banque Franco-Chinoise Pour le Commerce et l'industrie Capital entièrement versé Frs 50.000.000 Fonds de Trésorerie à la disposition de la Banque Franco-Chinoise et la Banque Industrielle de Chine Frs 50.000.000 Réserves Frs 26.303.000 Conseil d'administration : PRÉSIDENT : M. Griolet Président du Conseil d'Administration de la Banque de Paris PRESIDENT : M. Paysan Vice Président du Conseil d'Administration de la Compagnie des Chemins de fer du Tonkin Vice Président : M. Chevalier Directeur de la Banque de Paris et des Pays-Bas. Membres : MM. Audap, Cabenavar, Fursac, Grammont, | oldru fardeau erreurs judiciaires. (Un la are en ) Baunqe Franco-Chinoise Pour le orc et 'nsr aplCati irmnt versé Frs 5000000 Fonds de Trésorerie la disposition de la Banque Franco-Chinoise et la Banque Industrielle de Chine Frs 50.000.000 Résrvs Frs 26.303.000 Conseil d'dmnstrtn : PRÉSIDENT M. rl Président du Cnsl d'Administration de la Banque de Paris NEDTISPRE : M. Paysan Vice Président du Conseil d'Administration de la Compagnie des Chemins de efr du Tonkin Vice Président : M. Chevalier Directeur de l neBqau de Paris et ds ays-a Membres : M.M Audap, Cabenavar, Fursac, Grammont, |
et des Pays-Bas. Membres : MM. Audap, Cabenavar, Fursac, Grammont, Ogier, Oudot, Poirier Regnault, Robert, Salice. Agences France : Paris — Lyon — Marseille Bureau à Londres Chine : Pékin — Shanghai — Hong Kong Indochine : Saigon — Haiphong — Hanoi — Phnom Penh Et Vinh — Bien Hoa — Tourane Voir aussi: Hanoi — Quang Ninh — Thanh Hoa Correspondants sur tous les principaux marchés commerciaux du monde En France : Banque de Paris et des Pays-Bas, Banque Nationale de Crédit, Société Générale pour favoriser le commerce. À Londres : Midland Bank Privée, Banca Commerciale Italiana. À New | et des Pays-Bas. Membres : MM. Audap, rbnveCaa,a Frsc, rmmo, Ogier, Oudot, Prr Regnault, Robert, Salice. Agences France : Paris — Lyon — Marseille Bureau à Londres Chine : Pékin — ahinaSgh — Hong Kong Indochine : Saigon — Haiphong — Hanoi — Phnom Pnh Et Vinh — Bien Hoa — Tourane Voir aussi: Hanoi — Quang ih — Thanh Hoa Correspondants sur tous les prncpx marchés commerciaux du monde En France : Banque Paris e Pys-Bs, Banque Ntnl de Crédit, Société Générale pour favoriser le commerce. À Londres : Midland Bnk Privée, Banca Commerciale Italiana. À New |
Londres : Midland Bank Privée, Banca Commerciale Italiana. À New York : American Exchange Bank, Trust Company, Banca Commerciale Agence de Saigon 9, Quai de Belgique, angle rue Georges Guynemer; Opérations de banque en général. Comptes courants (Comptes chèques) en piastres portant intérêt à 3 % l'an. Savings en Francs remboursables en chèques ou virement sur France portant intérêts à l'an. Un compte à vue, dit Comptes d'Épargne convertibles en Francs ou en piastres (renseignements demandés) Un compte à échéance fixe (taux et renseignements sur demande). Envoi et réception de tout papier de commerce, de traites, chèques, transports télégraphiques, lettres | Londres : Midland nBak Privée, Banca Commerciale Italiana. À New York : American Exchange Bank, Trust Company, Banca cormelmaiCe Agence de Saigon 9, Quai de Belgique, angle rue Georges Guynemer; Opérations de banque en général. Comptes oras (Comptes chèques) en piastres portant intérêt à 3 % l'an. Savings en Francs remboursables en chèques ou virement sur France portant intérêts à l'an. n compte à vue, dit Comtes d'Épargne convertibles en Francs ou en piastres (esignmet demandés) Un compte à échéance fixe (taux et renseignements sur demande). Envoi et réception de tout papier de commerce, d traites, chèques, transports télégraphiques, lettres |
tout papier de commerce, de traites, chèques, transports télégraphiques, lettres de crédit, sur les principales places commerciales du monde. Envoi et exécution d'ordres de Bourse souscriptions sur tous les marchés. Achat et vente de monnaies étrangères. Bureau de change de valeurs de coffres-forts. Chronique de Saigon Dào-xuân-Mai fait la grève de la faim Dao-xuan-Mai, inculpé dans l'affaire de meurtre de la raie Barbier, est en détention préventive depuis plus de trois mois. Il a commencé à faire la grève de la faim, depuis le 14 juillet, pour protester contre les lenteurs de l'instruction. Les obsèques du Docteur Phu Tuoi Les | tout ppr de commerce, de traites, chèques, transports télégraphiques, lettres de tié,drc sur l principales places commerciales du monde. Envoi et exécution dordres de Bourse souscriptions sur tous les marchés. Achat et vente de monnaies étrangères. Bureau de change de valeurs de coffres-forts. Chronique de inagSo Dào-xuân-Mai fait la grève de la Dao-xuan-Mai, inculpé dns l'affaire de meurtre de la raie Barbier, est en détention préventive depuis plus de trois mois. Il a commencé à faire la grève de la faim, depuis le 1 juillet, protester contre les lenters de l'instruction. Les obsèques du Docteur Phu Tuoi Les |
lenteurs de l'instruction. Les obsèques du Docteur Phu Tuoi Les obsèques du Docteur Phu Tuoi, Commandeur de la Légion d'Honneur, primitivement fixées au Samedi 27 juillet, auront lieu seulement le Lundi 20 juillet. Le service funèbre sera célébré non à l'église de Choquart, mais à la Cathédrale de Saigon le lundi matin à sept heures. Un vol important Plainte a été déposée par M. Ta Hao, riziculteur à Baie, y domicilié, de passage à Saigon, rue Pellerin n° 104, contre un inconnu, pour vol d'une somme de 7000p. en billets de banque de 100p. Le contenu d'un bombardement de la | lenteurs de l'instruction. Les obsèques du Docteur Phu Tuoi Les obsèques du octe Phu Tuoi, Commandeur de al Légion d'Honneur, primitivement fixées au Samedi 27 juillet, auront lieu seulement le Lundi 20 juillet. Le service funèbre sera célébré non à l'église d Choquart, mais à la Cthédrl de Saigon le lundi matin à sept r.sheeu Un vol important Plainte a été déposée par M Ta Hao, riziculteur à Be, y domicilié, de passage à oagn,Si rue Pellerin n° 104 contre un inconnu, pour vol d'une somme de 7000p. en billets de banque de 100p. Le contenu d'un bombardement de la |
de banque de 100p. Le contenu d'un bombardement de la chance Quatre pièces de soie, valant £ 20p.00, abandonnées par un Annamite inconnu, ont été restituées à leur propriétaire, le sieur Louis-Martin, agent de la maison Poliet et Frères. Le Conseil de Gouvernement La Commission permanente du Conseil de Gouvernement se réunira au Palais du Gouvernement à Saigon vendredi prochain, 26 juillet à 9 heures. Avis aux conducteurs Par arrêté du Gouverneur de la Cochinchine en date du 23 juillet 1929, l'article 23 de l’arrêté du 26 Mai 1922 réglementant la circulation des automobiles en Cochinchine, est complété comme suit | de bnq de 100p. L contenu d'un bombardement de la chance Qtr pièces de soie, valant £ 20p.00, abandonnées par un Annamite inconnu, ont été restituées à er eiiaéorrp,rpt le sieur Louis-Martin, agent d la maison Poliet et Frères. Le Conseil de Gouvernement L Commission permanente du Conseil de Gvrnmnt se rénr au Palais Gouvernement à Saigon vendredi prochain, 26 juillet à 9 heures. Avis aux conducteurs Par rrêté du Gouverneur de la Cochinchine en date du 23 juillet 1929, l'article 3 de ’étralrê du 26 Mai 1922 réglementant la circulation des automobiles en Cochinchine, est complété comme suit |
la circulation des automobiles en Cochinchine, est complété comme suit : Sur la demande du Président de la Commission d'examen, les candidats à l'obtention du permis de conduire des véhicules automobiles, pourront être soumis à une contre-visite médicale effectuée par un médecin de l’Assistance désigné chaque année par le Gouverneur sur la proposition du Directeur local de la Santé. (Lire la suite en 4e page de cette feuille InterCafé) Hàng Bao-Hla. Assistance Optique N. 72 rue Pellerin, Saïgon Id,use télégraphique - OVE^SEI Si!Q0|l Téléphone s H. 988 Kinh cổ qui Ông qui Bà : Qui vj nào mu6n biét trirâc | l circulation des automobiles en Cochinchine, est complété comme suit Sur l demande du Président de la Commission d'examen, les candidats l'obtention du permis de conduire des véhicules automobiles, pourront être soumis à une contre-visite mldaécei effectuée par un médecin de l’Assistance désigné chq année par le veeu sur la prpstn du Directeur local de la Santé. (Lire la suite en 4e page de ctt feuille InterCafé) Hàng Bao-Hla. Assistance Optique 72 rue Pellerin, Saïgon Id,use télégraphique - V^S i! Téléphone H. 988 Kinh cổ qui Ông qui Bà : Qui vj oàn mu6n biét trirâc |
Ông qui Bà : Qui vj nào mu6n biét trirâc già Wo nhà xe là bao óhiéu thl hày viët tha cho hàng biët mn6n 'dinh c gii xe » là. Bao óhiéu, xe « mây nBva-» và mnfa bào biêm cho chu itO cho chauffeur, cho người ngồi trong xe khôog, Mo k. mây người. : Xia eho hit qui vj té bâo hilot.rdf n&m trurére vérj Hâng khfy. rhitag dtag chung tÔi Unh lia nho. Ky tlll thay cho hâng : Jaoqaes.LÊVVANBtfa Constructions en béton armé Travaux Publics et particuliers Nguyên-van-Sam Anoioa ageat voyageur lacetablais des T. p, | Ông qui Bà : Qui vj nào mu6n biét trirâc già Wo nhà xe là bao óhiéu thl hày viët tha cho hàng biët mn6n 'dinh c gii xe » là. B óhiéu xe mây B»van- và mnfa bào biêm ch uch itO cho chauffeur, cho người ngồi trong xe khôog, Mo k. mây người : Xia eho hit qui v té bâo hilot.rdf n&m trurére vérj Hâg khfy. ighatr dtag cung tÔi nh lia nho Ky tl tha cho â : Jaoqaes.LÊVVANBtfa Constructions n béton armé Travaux Pblcs et particuliers Nguyên-van-Sam Anoioa ageat voyageur lacetablais des T. p, |
et particuliers Nguyên-van-Sam Anoioa ageat voyageur lacetablais des T. p, BNTRBPRfeNBtlR 8 Bureaux : 34, Quai du Cambodge Cholon Etilda, pli et devis sur demande Pour mieux choisir & être mieux notés Adressez-vous A la maison Due., Thinh Chauvin, Directeur-Propriétaire Saïgon, 81, rue Calinat Curiosités Tonkinoises — Objets d’Art — Cuivres Bronzes — Ecailles Ivoires — Services à Opium, etc, etc. Vient d’arriver une magnifique paire de défenses Une visite s’impose Mnnaic 8. :R.! i -. 1 ': Ë TiI HANG RITMJ LIMONADE MO'T ! : : CTA M. TRÄN bAt NGHiA, à TI ClNTHG ! : : Kinh trinh | et particuliers Nguyên-van-Sam Anoioa aaegt voyageur baailtsacel des T p, BNTRBPRfeNBtlR 8 Bureaux 34 Quai du Cambodge Cholon Etilda pli et devis sur demande Pour choisir & être mieux notés -derAozvsusse A la maison Due., Thinh Chauvin, Directeur-Propriétaire Saïgon 81, rue Calinat Curiosités Tonkinoises — Objets d’rt — Cvrs Bronzes — Ecailles Ivoires Services à Opium, etc, etc. Vnt d’arriver une magnifique paire de esféesnd Une visite s’impose Mnnaic 8. :R.! i -. 1 ': Ë TiI HNG RITMJ LIMONADE MO'T : : CTA M. TRÄN bAt NGHiA TI ClNTHG ! : : nihK trinh |
bAt NGHiA, à TI ClNTHG ! : : Kinh trinh cho Quí-vi dáng tiring : : Tòi men lap mot cái hảng lam rieu ngot : SODA, LIMO. : NADE, CITRONNADE, ORANGEADE, GRENADINE, SALÉ PARÈILLE (Xå xi) vân v&n : Cách Làm rat ky cang, non rieu g'u dung tinh-khiêt, mùi thm: tho, dung thât mat-me, khoe-khoan, nên thudc va dftfo trang: kien, bích trong vio tiêu-hóa am fchire, mà không pha bung. 5 : Rieu nay Ikm ra có Quan LUONGY Langsa den thf-ngtaiem grát ky-cang công-nbân cho là thii rtfo'ii tinh-khiêt. : : Trong Le-Châu, ai muðn mua | bt NGHiA, à TI ClNTHG ! : : Kinh trinh ch Q-vi dáng trng : Tòi men lap mot cái hảng lam rieu ngot : SODA, LIMO. : ND, CITRONNADE ORANGEADE, GRENADINE, ALSÉ PARÈILLE (Xå xi) vân v&n : Cách àmL rat ky cang, non rieu g'u dung tinh-khiêt, miù thm: tho, dung thât mat-me, khoe-khoan, nên thudc av dftfo trang kien, bích ro voi tiêu-hóa m fchire, mà không pha bung. 5 : Rieu nay Ikm ra có Quan LUONGY Langsa den thf-ngtaiem rt ky-cang công-nbân cho là thii rtfo'ii tinh-khiêt. : : Trong LeChâu ai mðn mua |
thii rtfo'ii tinh-khiêt. : : Trong Le-Châu, ai muðn mua si ve ban, hay là phải làm : ! Ði-biu trong cac tinh, xin do nci Bón-hiêu mà thang-nghi. « Thuå gla nghe làm rtroni "LIMONADE" thl ve tay ngtftfi ; : N>«' &i Qudc nay tôi là người ĐôngBào mÓ'i chen chøn vào trâñh: thtfcmg, vy xtn nhà an Qui-vi vua giup toi cho mau Tán-Phát, : r £ tfch$m càm chang oung -, : Kinh-ddn ,; S. N h' ,.I" : M. Tr&n-d&t-Nghia W., i в ChiL Hang rirvu LIMONADE Chuter : t : .- J. ESPÉRIQUEUTE TINS | thii rtfo'ii kh-tihnt.iê : Trong LeChâu ai mua si v a, hay là phải làm : ! Ðibiu tron cac tinh, xin do nci Bón-hiêu mà thang-nghi. « Thå gla nghe làm rtroni "LIMONADE" h ve tay fitntgf ; : N>«' &i Qudc nay tôi là người oôàĐgBn mÓ'i chen cø vào trâñh: thtfcmg, vy xtn nhà an -uiiQv vua giup tio cho mau Tán-Phát, : r £ fch$m àcm chang oung -, : Kinh-ddn ,; S. N h' ,.I" : M. m;gpa;tmrh&&aTiNpn-ad- W., i в ChiL Hang rrv LIMONADE Chuter : t .- J. ESPÉRIQUEUTE TINS |
rirvu LIMONADE Chuter : t : .- J. ESPÉRIQUEUTE TINS LIQUEURS SPIRITUEUX 137 A ±51, rue d'Espagne 9A809I1 SPECIALITÉ DE VINS DE TABLE 1 CLAUSSON — BORDEAUX -:," BOURGOGNE BEAUJOLAIS COTE DU RHONE AUÇOR Des vins inégalables À des prix abordables Si vous aimez les vins viands; Si vous aimez fêter vos amis, Si vous aimez enjoliver votre table, adressez-vous faveur aux Tins de la Maison ESPÉRIQUEUTE, ils sont digests de votre côté PRIX COURANT SUR DEMANDES Éditions noigneen pour l'intérieur Troisième session de 1929 de la Cour d’Assises de Saïgon (Suite) Que l'on juge ce qui pèse sur la | rirvu LIMONADE Chuter t : . J. PRIQUEUE TINS LEUQSIRU SPIRITUEUX 137 A ,1±5 reu d'Espagne 98091 SPECIALITÉ DE VINS DE TABLE 1 CLAUSSON — BORDEAUX -:," OBOGRNEUG BEAUJOLAIS COTE DU RHONE AUÇOR Des vins inégalables À des prx abordables Si vous aimez l vins div;nsa Si vous aimez fêter vos amis, vo aimez lver votre table, adressez-vous f aux Tn de la Maison ESPÉRIQUEUTE, ils sont digests de votre côté PRX COURANT U EMNDS Éditions noigneen pour l'néer oieèrsmTi session de 1929 de l rCou d’Assises de Saïgon (Suite) Que l'on juge ce qui pèse sur la |
Saïgon (Suite) Que l'on juge ce qui pèse sur la justice humaine ? Vous avez dit, tout à l’heure, que les juges ont le devoir de défendre la société ; ayant de la défendre, protégez-la ! L'heure où la tête de Pho tomberait serait triste, non seulement pour la justice française, mais encore pour la conscience humaine. Me Béziat prit la défense de Vo, Thanh. Il s’attacha surtout à convaincre les assesseurs de la fragilité de l'accusation. Il insista sur leurs responsabilités, puis combattit une à une les charges. « Le manuel du garde ? L'arme de guerre ? Sarai-il | Sgon (Suite) Que l'on juge ce qui pèse sur la justice humaine ? Vous avez dit, tout à l’heure, que les juges ont le devoir en la société ; ayant de l défendre, protégez-la ! L'heure où la tête de Pho tomberait serait triste, non seulement pour la justice française, mais encore pour la conscience humaine. Me Bézt ri la défense ed Vo, Thanh. Il s’ttch surtout à convaincre les assesseurs de la fragilité de 'accusation. Il iita sur leurs responsabilités, ps combattit une à une ls charges. « Le manuel du garde ? L'arme d guerre ? Siaia-lr |
Le manuel du garde ? L'arme de guerre ? Sarai-il possible que des bandits s’amusent à emporter un manuel pour apprendre à manier leurs armes ? D’autre part, les accusés ne se connaissent pas. En effet, pour pouvoir rendre à son propriétaire le calepin oublié dans l’antichambre, il a dû y inscrire le nom de Vo Thanh, Me Béziat conclut en disant qu’il pressent déjà « le vent de l’acquittement qui balaye tous ces dossiers ». La Présidente posa aux assesseurs 37 questions, d’où Il résulte que la cour est complètement sûre des auteurs du meurtre et que seuls Hoa, | Le manuel du garde ? L'arme de grr ? Sarai-il possible que des bandits s’amusent à emporter un manuel pour apprendre à manier rs armes D’autre part, l accusés ne se cnnssnt pas. En fft, pour pouvoir rndr à propriétaire le calepin oublié dans l’antichambre, il a dû y inscrire le nom e Vo Thanh, Me Bézt conclut en disant qu’il pressent déjà « le vent de l’acquittement qui balaye tous ces dossiers ». La Présidente posa aux ssssrs 37 questions, d’où Il résulte que la cour est complètement sûre des auteurs du meurtre et q seuls Hoa, |
complètement sûre des auteurs du meurtre et que seuls Hoa, Sarg, Vo Thanh et Hica bénéficient des circonstances atténuantes. Après avoir délibéré longuement, la Cour condamne Phan van Pho, Huynh phu Huu, Ngyoieu van Thanh à travaux forcés à perpétuité; Nguyen van Sang, Pham van Hich à 15 ans de travaux forcés; Nguyen Trong Hoanh et Vo Thanh respectivement à 10 et 5 ans de réclusion, Affaire Khong van Cang Khong Van Cang, coolie 29 ans, est accusé d’avoir, le 12 mars 1929, sur la plantation Suzanna, à Bienhoa, donné volontairement des coups, qui ont amené la mort de la | complètement ûsre des auteurs du meurtre et que seuls Hoa, Sarg, Vo Thanh et Hica bénéficient des circonstances atténuantes. Après avoir délibéré longuement, la Cour condamne Phan v Pho, Huynh phu Huu, Ngyoieu van Thanh à trvx forcés à perpétuité; Nguyen van Sang, Pham van Hich à 15 ans de travaux forcés; Nguyen Trong Hoanh t Vo Thanh respectivement à 10 et 5 ans de réclusion, Affaire Khong vn Cang Khong Van Cang, coolie 29 ans est accusé ’avoir, le 12 mars 1929, sur l plantation Suzanna, à Bienhoa, donné volontairement des cps, qui ont amené la mort de la |
volontairement des coups, qui ont amené la mort de la femme Nguyen thi Khoe. Interrogé, Cang déclara qu’il avait administré seulement à sa victime une gifle au visage, à la suite des paroles adressées à elle. Me Loye demanda son acquittement, l’autopsie ayant démontré que la malheureuse était morte d’une rupture de la rate, due plutôt à la force du choc contre le sol qu’à la violence du coup porté. Du reste, elle relevait d’une maladie, et son état de santé était très faible. La Cour Condamne Chang à 2 ans d'emprisonnement, après lui avoir accordé le bénéfice des circonstances | volontairement des coups, qui o amené la mort d la femme Nguyen thi Khoe. Interrogé, Cang déclara qu’il avait administré seulement à sa victime une gifle au visage, à l suite des paroles adressées à elle. Me Loye demanda son acquittement, l’autopsie ayant mtré que la malheureuse it morte d’une rupture de a rate ued plutôt à la force du choc nretco le sol qu’à la violence du pouc porté. Du reste, elle relevait d’une maladie, et son ttaé de santé était très faible. La Cour Condamne Chang à 2 ans d'emprisonnement, prèas lui avoir accordé le bénéfice des circonstances |
ans d'emprisonnement, après lui avoir accordé le bénéfice des circonstances atténuantes. Affaire Nguyen van Sanh Nguyen van Sanh, boy, 17 ans, est accusé d'attentat à la pudeur. Employé chez une gargotière de la rue Sabouram, il avait mission de surveiller une fillette de 6 ans, qui dit-il, avait l'habitude de s'asseoir dans son giron. Or, comme il était atteint de blennoragie et que ses vêtements étaient tachés, la contamination a pu se produire du fait de ce contact. « Avez-vous essayé, lui demanda le Président, d'approcher vos parties génitales de celles de l'enfant ? Non ». La fillette, interrogée, confirma | ans d'emprisonnement, après lui avoir accordé le bénéfice des circonstances atténuantes. Affaire Nguyen vn Snh Nguyen van Sanh, boy 17 ans, est accusé d'attentat à la pudeur. mplyé chez une gargotière de la rue Saourm, il avait mission de surveiller une flltt de 6 ans, qui dit-il, avait l'habitude de i dans son giron. r, comme il était ttetian de blnnrg et que ses vêtements étaient tachés, la contamination a pu se produire du fait de ce cntct. « vz-vs essayé, lui demanda l Président, drcparop'eh vs parties génitales de celles d l'enfant ? Non . La fillette, rroée, confirma |
celles de l'enfant ? Non ». La fillette, interrogée, confirma ces dires et ajouta qu'elle a toujours couché avec sa mère ! Mais les déclarations de celle-ci font accablantes. D'après elle, Sanh aurait emmené sa fille plusieurs fois à l'étage de la maison. Me Loye ne chercha pas à réfuter la culpabilité de Sanh, qu'il admettait comme probable, certaine même. Il attira l'attention des juges sur la minorité de l'inculpé, sur son manque d'éducation. car, tout jeune, il avait été victime du « coup de pied de Vénus » et avait passé 3 mois d'emprisonnement pour voie. « Voulez-vous, Messieurs, | celles d l'enfant ? Non ». La flltt, interrogée, confirma ces dires et ajouta qu'elle a toujours couché avec sa mèr ! Mais les déclarations de celle-ci fnt ccblnts. D'après ll, Sanh aurait emmené sa fille plsrs fois à 'étage de la maison. Me Loye ne chercha pas eférrut la culpabilité ed Sanh, q'l admettait cmm probable, certaine même. l attira l'attention des juges sr l minorité de linculpé sr son manque oidatnécd'u. cr, tout jn, il avait été victime du « coup de pied de Vénus » et vt passé 3 mois d'emprisonnement pour v. « Voulez-vous, Messieurs, |
avait passé 3 mois d'emprisonnement pour voie. « Voulez-vous, Messieurs, ajouta l'avocat, faire de ce malheureux un homme repenti, honnête par votre indulgence, ou un criminel invétéré et endurci, par votre sévérité ?» Les Juges appliquèrent à Sanh le minimum de peine ; 1 an de prison. Arrachart et Rignot partent pour Hankow Shanghai, le 23. Les aviateurs Rignot et Arrachart, actuellement à Nankin, quitteront demain cette ville à destination de Hankow. Nouvelles du Tonkin 700 travailleurs tonkinois aux Nouvelles Hébrides Hanoi, le 23 juillet. — Le vapeur Gia Long a quitté Haiphong ce jour à destination des Nouvelles Hébrides, | avait passé 3 mois d'emprisonnement pour o « Voulez-vous, Messieurs, ajouta lavocat faire de ce malheureux un homme repenti, honnête par votre indulgence, un criminel éériévtn et endurci, par votre sévérité Les Juges appliquèrent à Sanh le minimum de peine ; 1 an de prison. Arrachart t Rignot partent pour Hankow Shanghai, le 23. Les aviateurs Rignot et Arrachart, actuellement à nikan,N uiteron demain cette ville à destination e Hankow. Nouvelles du Tonkin 700 ravl tonkinois aux Noeles Hébrides oi le 23 juillet. — Le vapeur Gia Long a quitté Haiphong ce jour à destination des Nouvelles Hébrides, |
a quitté Haiphong ce jour à destination des Nouvelles Hébrides, emmenant 700 travailleurs tonkinois, engagés pour les exploitations agricoles. L'inspecteur du travail du Tonkin a surveillé leur installation à bord. On note qu'il y avait parmi eux, un certain nombre de travailleurs ayant déjà effectué un premier séjour aux Nouvelles-Hébrides et repartant après avoir demandé à contracter un nouvel engagement. On remarquait aussi des groupes issus des mêmes villages. Chronique des provinces (Suite de la suite 4e page — feuille intercalaire Travinh Une barque coule Deux noyés Le 8 juillet, une barque, montée par cinq personnes, voguait sur le canal | a qtté goiahHnp ce jour à destination des Nouvelles Hébrides, emmenant 700 travailleurs tonkinois, nggés pour les exploitations agricoles. L'eteu du travail du Tonkin a surveillé leur installation à bord. On note qu'il y ava parmi eux, un certain nombre d travailleurs ayant dj effectué un premier séjr aux Nouvelles-Hébrides et repartant après avoir demandé à contracter un v engagement. On remarquait aussi des grps issus des mêmes vllgs. qhnoeriCu des provinces uite de al suite 4e page — feuille tcair Trvnh Ue brq coule Deux os Le 8 juile, ne rqu, montée par cinq personnes, voguait sur le n |
une barque, montée par cinq personnes, voguait sur le canal de Kim Moi (Travinh) lorsque, ayant rencontré une amarre, tendue en travers du cours d'eau, elle coula à l'eau. Deux des occupants : Nguyen T. Tac et son fils, Truong, se noyèrent. De l'enquête ouverte, il résulte que les amarres de la jonque S.V.2675, en stationnement à cet endroit, barraient absolument l'entrée du canal. Le caporal de la jonque, absent, n'a pu, paraît-il, en donner l'explication. Chaudoc Un boy dérobe 2.010 piastres à son maître Un colon, à Chaudoc, M. Bavannan Osman, ayant ouvert son coffre-fort, s'aperçut qu'on lui avait | une barque, montée par cinq personnes, vtogaui sur l canal de Kim Moi Travnh ou ayant rencontré une amarre, tendue en travers du cours d'eau, elle coula à l'eau. Dx des occupants : Nguyen T Tac et son fls, Truong, se noyèrent. De l'enquête ouverte, il résulte que les amarres de la jonque S.V.2675, en stationnement à cet rot barraient absolument l'entrée du canal. Le caporal de la jonque, absent, n'a pu, paraît-il, en donner l'explication. Chaudoc Un boy dérobe .010 piastres à maître Un colon, à Chaudoc, M. Bavannan smn, ayant ouvert son coffre-fort, s'aperçut q'n lui avait |
Bavannan Osman, ayant ouvert son coffre-fort, s'aperçut qu'on lui avait dérobé une somme de 2.010 piastres. Il soupçonna un de ses boys, le Dommé Nguyen van Giat. Celui-ci reconnut, en effet, avoir volé cette somme, avec l'aide de son chauffeur cambodgien. Après s'être emparé du trousseau de clefs de son maître, il fit entrer les deux complices, ouvrit le coffre et emporta le contenu. Le butin fut parragé aussitôt ; Giat garda pour lui 1 000 piastres, en donna autant à Qai, tant qu'il dit que le Cambodgien ne reçut que 10 piastres ! Gat ne put, hélas ! jouir | Bavannan Osman, ayant ouvert son coffre-fort, s'aperçut qu'on lui avait dérobé une somme de 2.010 piastres. Il soupçonna un de ses boys, Dommé Nguyen van Gt. uiicCl-e reconnut, fft, avoir volé cette som avec l'aide de sno chauffeur cambodgien. Après 'rêste emparé du trousseau de lcsfe d son maître, il fit entrer les deux cmplcs, ouvrit le coffre t emporta le contenu. Le butin ut pragé aussitôt ; Giat garda pour lui 1 000 piastres, en donna tnt à Qai, tant qu'il dit que Cambodgien ne reçut que 10 piastres ! Gat put, hélas ! jouir |
que 10 piastres ! Gat ne put, hélas ! jouir de sa fortune enlevée, le lendemain même, par un habile filou. Giat est écroulé. Les recherches faites par la police ont abouti à l'arrestation du Cambodgien. Qui reste introuvable. Avis au propriétaires fonciers Travaux de bornage, délimitation, lotissement, partage de terres. S'adresser à M. Dang-ngoc Hoang, au bureau du journal Montres — Réveils — Pendules Prix modérés «BP» En vente chez Tran-Quang-Nghiêm 200 rue d'Espagne — Saigon Près des Halles Centrales Pour être bien servi CASINOS DEMANDEZ TOUJOURS REINA VICTORIA LES CIGARETTES SUBISSABLES-MÛTURES PRISE boite de 25 ou 50 MOUSTACHES | e 10 piastres Gat ne put hélas ! jouir de s fortune nlvé, le lendemain êm, par n habile fl. Gt est écroulé. Le recherches faites par la police ont abouti à l'arrestation d Cambodgien. Qui reste introuvable Avis au propriétaires fonciers Travaux bornage, délimitation, tiset pat de terres. S'adresser à M. Dang-ngoc Hoang, au aueubr du ouarnlj Mntrs Réveils — Pendules ixPr oédsémr «BP» En vente chez Tran-Quang-Nghiêm 200 rue 'Espagne Saigon Près es Halles Centrales Puor être bien servi CINS DEMANDEZ TOUJOURS REINA VICTORIA LS CIGARETTES SUBISSABLES-MÛTURES PSIER boite de 25 ou 50 MOUSTACHES |
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du Gouvernement et entraînerait les pires aventures. La surprise d'Alger a compromis nullement la pénétration pacifique. Elle n'a présenté qu'un caractère épisodique. La situation de la France au Maroc reste particulièrement bien assise. La France poursuit son idéal, quelles que soient les difficultés de la route. Economiquement, la situation est bonne. Malgré la sécheresse, la récolte est favorable. 96 inculpés de complot contre la sûreté de l'Etat Paris, le 23 — Une importante conférence s'est tenue, dans l'après-midi, au Ministère de la Justice, sous la présidence de M. Barthou. Y assistaient MM. Tardieu, Chappe, le directeur de la Sûreté générale, | du Gouvernement et entraînerait les pires aente La surprise d'Alger a compromis nullement la pénétration pacifique. Elle n' présenté qu'un caractère épisodique. La situation de l Frnc au Maroc reste particulièrement bien assise. La France poursuit son idéal, quelles que soient les difficultés de la route. Economiquement, la taiunisto est bonne. Malgré la sécheresse, l récolte est favorable. 96 inculpés de complot contre l sreté de l'Etat Paris, le 23 — Une importante conférence s'est tenue, dans l'après-midi, au Ministère de la Justice sous la présidence de M. Barthou Y assistaient MM. Tardieu, Chappe, le directeur de la Sûreté générale, |
assistaient MM. Tardieu, Chappe, le directeur de la Sûreté générale, le procureur général, de hauts fonctionnaires de la justice et de la police. Ils ont examiné les questions concernant les préparatifs faits par les communistes en vue de la journée du 1er août, ainsi que les arrestations opérées le 27 juillet dans la banlieue parisienne. A l'issue de la conférence, 96 des personnes arrêtées récemment ont été inculpés de complot contre la sûreté intérieure de l'Etat. MAROC Etablissement d'un câble souterrain Rabat Casablanca Rabat le 23 juillet 1929. — L'établissement d'un câble téléphonique et télégraphique souterrain de Rabat à Casablanca | assistaient MM. Tardieu, Chappe, le drctr de la Sûet générale, le procureur général, de hauts fnctnnrs de la ju t de la pl. Ils ont eaménxi les questions concernant els préparatifs faits arp les suisemonmct en vue ed la journée du 1er ût, ainsi que les arrestations pre le 27 ullet dans la banlieue parisienne. A l'issue de la cnférnc, 96 des personnes arêtes récemment ont été inculpés de comp contre la sûrté intérieure de l'Etat. MAROC Etablissement d'un câble souterrain Rabat Casablanca Rabat le 23 juillet 1929. — L'établissement d'un câble téléphonique et télégraphique souterrain de Rabat à Casablanca |
d'un câble téléphonique et télégraphique souterrain de Rabat à Casablanca a été décidé. Ces importants travaux commenceront prochainement. Un raccord ultérieur est prévu avec le grand câble africain Oran-Tunis. ANGLETERRE John Bull travaillera de moins en moins ! Blackpool. De source autorisée, le Gouvernement aurait l'intention d'introduire la journée de 7 h 30 de travail à la fin de 1929. S. M. George peut s'asseoir et se tenir debout Londres. La santé du roi est satisfaisante. Pour la première fois, depuis sa dernière opération, il est resté une partie de la journée debout ou assis, HOLLANDE Vingt trois nations participent | 'u câbl téléphonique et télégraphique souterrain de Rabat à Casablanca a été décidé. Ces mprtnts travaux commenceront prochainement. Un raccord ultérieur est prévu avec l grand câble africain OranTunis ANGLETERRE John Bull travaillera e moi en moins Blackpool. De source ,oeiséraut el remnt aurait l'intention d'introduire la journée de h 30 de travail à la fi de 1929. S . George peut s'asseoir et se tenir db Londres. La santé du roi est satisfaisante. Pour la première fois, depuis sa dernière opération, il t resté une partie de la journée debout ou assis, HOLLANDE Vingt trois nations participent |
la journée debout ou assis, HOLLANDE Vingt trois nations participent au Congrès de l'Enseignement La Haye, le 23. Le onzième congrès international de l'Enseignement secondaire se déroule actuellement, 23 nations y sont représentées. La question principale inscrite à l'ordre du jour est celle de l'enseignement féminin, pour savoir si il convient de l'organiser de façon qu'il comporte pour les filles les mêmes études que pour les garçons. Tchécoslovaquie Quarante communistes arrêtés, dont le député Harus Prague, le 23. La police a fait, à Prague, une descente dans un faubourg de la ville, où se tenait une conférence organisée par un | la journée debout ou ass HOLLANDE Vingt trois nations participent au Congrès de l'Enseignement La Haye le 23. Le onzième congrès international de l'Enseignement secondaire se déroule actuellement, 23 nations y sont représentées. La question principale inscrite à l'ordre jour est celle de l'enseignement féminin, pour svr si il convient de l'organiser de façon qu'il comporte pour les filles les mêmes études que pour les garçons. Tchécoslovaquie Quarante cmmnsts arrêtés, dont le député Harus Prague, l La police a fait, à Prague, une descente dans un faubourg de la vll, où se titaen n onne organisée par un |
la ville, où se tenait une conférence organisée par un « Comité d'action prolétaire » Quarante personnes ont été arrêtées, notamment le député communiste Harus, et mises à la disposition des autorités judiciaires. Société des Distilleries « Hanh-phe orhan » à Saïgon Avis aux créanciers NOUS avons l'honneur d'informer le public qu'au cours de ces dernières années, comme nos affaires n'allaient pas bien, nous étions obligés de contracter des emprunts, par l'unique intermédiaire de notre représentant. Récemment, en examinant notre situation, nous nous sommes aperçus des désordres financiers survenus dans notre Société et dus à notre Représentant et à notre | la ville, où se tenait une conférence organisée par un « Comité d'action prolétaire » Quarante enes ont été rês notamment le député oemmiuncst Harus, et mises à la disposition des autorités judiciaires. Société d Distilleries « Hanh-phe orhan » à Saïgon Avis aux créanciers NOUS avons l'honneur d'nfrmr le public q'au cours de ces dernières années, comme nos affaires n'allaient pas bien, nous étions obligés de contracter des emprunts, pr l'unique intermédiaire de notre rprésntnt. Récemment, en amn notre situation, nous nous sommes aperçus des désordres financiers srvs dans notre Société et dus à notre Représentant et à notre |
notre Société et dus à notre Représentant et à notre Caissier. Aussi, nous prions instamment ceux qui ont prêté de l'argent à la Société HANH-HUE-THONG, qu'ils soient Annamites, Chinois, Chettys ou banques, de se faire connaître, à partir du 1er Juillet 1929, à notre siège social, à Sadec. Nous leur paierons capital et intérêts ou leur renouvellerons leurs créances en due forme pour les dettes que nous ne pourrions acquitter immédiatement. N.B.-Il va de soi que nous n'assumerons point le paiement de sommes que nos Directeurs et Représentant auraient empruntées pour leur compte personnel ou celui de tierces personnes en | notre Société te dus à notre Représentant et notre Caissier. Aussi, nous prions instamment ceux qui ont prêté de l'argent la Société HANHHUETHONG qu'ils soient Annamites Chinois, Chettys ou banques, de se aie connaître, à partir du 1er Juillet 1929, à notre siège social, à Sadec. Nous lr paierons capital et intérêts ou leur renouvellerons leurs créances en due forme pour les dettes que nous ne pourrions acquitter immédiatement. NBIl va d soi que nous n'assumerons point le paiement de sommes que nos Directeurs et Rprésntnt auraient mprntés pour relu compte personnel ou celui de tierces personnes en |
pour leur compte personnel ou celui de tierces personnes en se servant du cachet de notre Société. Dans ce cas, il serait absolument superflu de se présenter. Les actionnaires de la Société des Distilleries HANH-HUE-THON, à Sadec Tribunal de Commerce de Sadec AVIS Les créanciers du sieur Nguyen van Luu, garagiste à Sadec, admis au bénéfice de la liquidation judiciaire par jugement du Tribunal de commerce de Sadec, en date du 26 juin 1929, enregistré, sont invités à se réunir le vingt-neuvième Juillet 1929, à seize heures, dans la salle de délibération du dit Tribunal, à l'effet de se constituer | pour eur compte personnel celui de tierces personnes en se er du cachet de notre Société Dans ce cas, il serait absolument superflu de s présenter. Les tinair de la Société des stlrie HNH-H-THN, à Sadec Tribunal de Commerce de Sadec IS Les es du iesru Nguyen van Luu, garagiste à Sadec, admis ua bénéfice de la liquidation judiciaire par jugement du Tribunal de cmmrc de Sdc, en date du 26 juin 1929, enregistré, snt invités à s réunir l vingt-neuvième Juillet 1929, à seize hues, dans la salle de délibération d dit Trbnl, l'fft de se constituer |
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