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rjust', 'rpartition', 'rsplit', 'rstrip', 'split', 'splitlines', 'startswith', ' |
strip', 'swapcase', 'title', 'translate', 'upper', 'zfill'] |
On peut donc exécuter toutes ces méthodes avec un texte, ex : |
»> "textes".capitalize() # Met la première lettre en majuscule |
'Textes' |
Arithmétique/Divisibilité et congruences dans Z |
Soient formula_1, formula_2 et formula_3 trois entiers (relatifs). |
Congruences. |
La relation de congruence ne ressemble pas aux relations habituelles, en effet les relations que nous utilisons depuis que nous faisons des mathématiques (=, <, > …) comparent deux nombres alors que la relation de congruence compare les restes des deux nombres étudiés. |
Soit formula_4 un entier strictement positif. |
Les notations changent d’un ouvrage à l'autre mais désignent toutes la même chose : |
Arithmétique/PGCD |
Diviseurs communs à deux entiers naturels. |
Deux entiers naturels non tous deux nuls ont toujours un nombre fini de diviseurs et donc de diviseurs communs (dont –1 et 1). Il existe donc un diviseur commun à ces deux nombres plus grand que les autres. |
Conséquence : formula_1. |
Algorithme d'Euclide. |
Soient formula_2 et formula_3 deux entiers naturels tels que formula_4. |
Ceci fournit une définition alternative du PGCD. |
Propriétés du PGCD. |
Conséquence : si formula_5 est un entier naturel non nul, diviseur commun à formula_2 et formula_3, alors formula_8. |
Arithmétique/Nombres premiers |
Définition. |
Les dix premiers nombres premiers sont 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23 et 29. |
Critère de primalité. |
"Application :" tant que formula_1, on tente la division de formula_2 par formula_3. |
Lemme d'Euclide. |
Le lemme suivant est un corollaire immédiat du théorème de Gauss. |
Décomposition en facteurs premiers. |
On peut choisir par exemple le plus petit facteur premier dans la décomposition de formula_2 ou remarquer, plus directement que le plus petit entier strictement supérieur à formula_4 divisant formula_2 est premier. |
Application au calcul de PGCD. |
Une alternative à l'algorithme d'Euclide pour calculer le PGCD de deux entiers formula_8 est, si l'on connait leurs décompositions respectives, de former le produit de tous les nombres premiers formula_9 intervenant dans ces deux décompositions, élevé chacun à une certaine puissance : l'exposant de formula_9 dans formula_11 est le plus petit des deux exposants de formula_9 dans formula_13 et dans formula_14. |
Lien externe. |
https://oeis.org/A000040 : liste des premiers nombres premiers et leurs propriétés (en anglais) |
Arithmétique/Théorèmes de Bézout et Gauss |
Identité de Bézout. |
L'identité de Bézout est aussi appelée "Petit théorème de Bézout". |
Théorème de Bézout. |
Ce théorème est un cas particulier de l'identité de Bézout. |
Théorème de Gauss. |
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Cours de mathématiques de lycée (France) |
Logique (sciences de l'ingénieur)/Exercices/TD1 |
Définitions. |
Un état logique est représenté par une valeur binaire (ou booléenne) qui peut prendre deux valeurs souvent notées : {0,1}, {vrai, faux}, {true, false}. On utilisera {0,1} dans la suite de ce TD. |
Une variable booléenne (ou variable logique) est une grandeur représentée par un symbole pouvant prendre des valeurs booléennes. |
Une fonction logique est une fonction d’une ou plusieurs variables booléennes. Cette fonction sera représentée par un dessin ou en langage de description matérielle VHDL (VHDL) comme ci-dessous : |
Cette fonction comporte deux entrées a et b et une sortie y. |
Représentation. |
Comment savoir ce que fait une fonction booléenne ? Tout simplement en énumérant toutes les possibilités sur les entrées et en regardant la sortie correspondante : c’est ce que l’on appelle une table de vérité. |
Avec cette table on connaît parfaitement la fonction F. Voici un exemple : |
Chaque fonction booléenne peut être écrite sous forme algébrique à l'aide de trois opérateurs, le complément (noté / ou avec une barre au-dessus formula_1), le ET (noté .) et le OU (noté +). Le principe est le suivant : on cherche les 1 dans la partie sortie de la table de vérité et à chaque 1 trouvé correspond un terme trouvé à l'aide de la partie entrée de cette même table. Chacun des termes est alors séparé par un OU (+). Les termes sont des ET entre les variables (complémentées si elles sont à 0 et non complémentées si elles sont à 1. Dans l'exemple ci-dessus, il y a un seul 1 dans la partie sortie, donc un seul terme formé par a . b car il y a un 1 pour chacune des variables. |
Fonctions élémentaires. |
Les fonctions élémentaires de la logique sont déjà présentées ici : |
Remarque : dans la référence ci-dessus certaines fonctions sont appelées NON-OU et NON-ET alors que nous avons tendance à les appeler OU-NON et ET-NON. Il est bon de garder à l'esprit les deux appellations avec en plus l'appellation anglaise correspondante : NOR et NAND. |
Exercices. |
Exercice 1. |
On appellera dans toute la suite de ce cours "fonction identité" le complément de la fonction ou exclusif. On rappelle la table de vérité du ou exclusif : |
La fonction identité est appelée ainsi car elle vaut 1 dès que les entrées sont identiques. |
Établir la table de vérité de la fonction identité. |
Établir les équations algébriques du OU EXCLUSIF et de la fonction identité. |
Exercice 2. |
Compléter le tableau suivant. Pour la partie ET on cherchera des fonctions sous la forme de ET (comme /a . b par exemple). Pour la partie OU on cherchera des fonctions sous la forme de OU (comme a + /b par exemple) |
Pour trouver l'équivalent d’après /F on procède ainsi : on part de F, on cherche la fonction qui correspond à son complément et on la complémente encore une fois. Cela permet de passer de l'écriture en ET à l'écriture en OU (et inversement) avec des règles que l’on appellera plus tard règles de De Morgan. |
Subsets and Splits
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