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formula_54 Une matrice identité (3x3)
Lorsqu'on multiplie une matrice par la matrice identité on revient à la matrice de départ. formula_55
Matrice symétrique et anti-symétrique.
formula_57
formula_59
Matrices orthogonales.
M est une matrice orthogonale si
formula_60
Le déterminant d'une matrice orthogonale est toujours 1 ou -1.
Matrices idempotentes.
Ces matrices ont la propriété suivante:
formula_61
Matrices nilpotentes.
Une matrice formula_19 est dite nilpotente si:
formula_63
Le déterminant d'une matrice nilpotente vaut 0.
Addition de matrices.
A + B = C où A, B et C sont des matrices carrées (3,3).
formula_64 +
formula_65 =
formula_66
On additionne les éléments de même position dans chaque matrice.
On ne peut additionner que des matrices de même dimension.
Pour deux matrices ("n","p"), l'addition matricielle se définit ainsi:
formula_67
Multiplication de matrices.
Propriétés de la multiplication des matrices.
formula_68
On ne peut multiplier deux matrices entre elles que si le nombre de colonnes de celle de gauche est égale au nombre de lignes de celle de droite. D'autre part, le produit de deux matrices n'est pas commutatif :
formula_69
Pour des matrices formula_70 , la multiplication matricielle se définit ainsi:
formula_71
Elément neutre.
Si formula_72, alors formula_73 est élément neutre à droite
Si formula_74, alors formula_75 est élément neutre à gauche
Translinguisme/Par expression/Merci
Tableau présentant au travers du vocabulaire de la salutation un échantillon des langues et des écritures du monde.
Voir aussi : Dire bonjour dans le monde, w:Nombres dans le monde, Dire miaou dans le monde
Enseignement de l'anglais
Comment progresser ?
Une fois que vous avez acquis les bases de la grammaire anglaise et un peu de vocabulaire, certaines pratiques (auxquelles on ne pense pas toujours) peuvent vous aider à progresser rapidement.
La lecture de textes simples ou simplifiés est un bon moyen d'acquérir de l'aisance tout en se faisant plaisir. La collection Penguin Readers propose par exemple des textes classiques ou modernes réécrits et classés selon le niveau de difficulté et la richesse du vocabulaire. D'autres éditeurs proposent ce type de livres. Vous trouverez aussi de nombreux sites web avec des cours et fiches de vocabulaire gratuits, comme anglaisfacile.com ou anglaiscours.fr
On peut également lire des œuvres réputées pour la jeunesse, ou des nouvelles d'auteurs dont le style est relativement abordable, comme Somerset Maugham ou Roald Dahl. Cela demande cependant déjà un bon vocabulaire. Vous pouvez également vous concentrer sur un type de textes plus spécifiques, comme des articles de revues, de journaux, mais aussi des disciplines intellectuelles dont le vocabulaire est restreint à l'objet d'étude et pour lesquelles le style est secondaire (il est donc plus simple). Par exemple, de nombreux textes de philosophie contemporaine en anglais sont assez faciles à lire.
Une méthode efficace pour acquérir le vocabulaire essentiel une bonne fois pour toute est tout simplement d'apprendre par cœur les 2000 mots les plus fréquents en anglais. Ces 2000 mots permettent de comprendre près de 80 pour cent d'un texte de difficulté moyenne. 5000 mots permettent d'atteindre près de 90 pour cent de compréhension. Cette méthode vous permet de cibler vos effort et donc de progresser plus vite. Vous trouverez des listes de ce genre sur le Wikitionary anglophone.
Les logiciels de Répétition espacée comme Anki (logiciel libre) permettent une mémorisation rapide et durable de ces listes de vocabulaire. Des listes de vocabulaire sont disponibles à la page de listes en Anglais
Pour une liste plus complète de mots, il existe un projet Wikimédia de dictionnaire :
S'initier au boulier en 10 leçons/Leçon 7bis
Division de 57 683 par 157
Pour diviser 57 683 par 157, on écrit d'abord les deux nombres :
En rouge figurent les colonnes actives pour le calcul suivant.
La division de 57 683 par 157 a pour quotient 367 et pour reste 64
S'initier au boulier en 10 leçons/Leçon 7(cas 1)
Division de 358 par 7 avec 3 chiffres après la virgule
Le chiffre écrit en gras est celui des unités.
Le quotient par défaut est donc 51,142
S'initier au boulier en 10 leçons/Leçon 8
Leçon 8 - Exercices de divisions
Dans les exercices qui suivent, certaines étapes de calculs sont fournies.On peut alors mieux percevoir les modifications progressives des colonnes réservées à l'écriture du quotient et à l'écriture des restes successifs.
Divisions par un nombre à 2 chiffres.
Dans certains exemples, des approximations par défaut du quotient et l'ajustement qui s'ensuit ont été volontairement laissées pour montrer la souplesse du calcul avec boulier par rapport au calcul à la main.
Boîte à jeux/La bataille corse
But du jeu.
Obtenir toutes les cartes
Matériel.
Un jeu de tarot suffit.
Règles.
Les cartes sont distribuées en nombre égal à chaque joueur qui ne peuvent "pas" les regarder. Le solde éventuel est posé en un tas, face visible au centre de la table.
Les cartes spéciales sont l'as, le roi, la dame, le valet et l'excuse.
Le jeu se déroule par batailles. Le joueur suivant le donneur commence la première bataille.
Chaque bataille se compose de deux phases:
La première, où chaque joueur pose à son tour la carte supérieure de son paquet sur la pile. Il ne peut pas la voir avant les autres joueurs.
La seconde qui commence dès lors qu'une carte spéciale a été posée. Le joueur suivant doit alors se défendre. Il dispose d'un nombre variable d'essais selon la carte spéciale qui a été jouée: 4 pour un as, 3 pour un roi, 2 pour une dame et un seul pour un valet. Il pose une première carte, toujours sans la voir avant les autres au sommet de la pile. Si c'est une carte spéciale, il a réussi sa défense et c'est au joueur suivant de défendre contre cette nouvelle carte spéciale. Sinon, il pose une deuxième carte, voire une troisième ou une quatrième selon le nombre d'essais qui lui étaient accordés.
Lorsqu'une attaque réussi, c'est-à-dire lorsque le défendant épuise tous ses essais sans sortir une carte spéciale, le dernier attaquant (qui précède donc le défenseur battu) remporte la bataille et place tout le tas de cartes à la fin de son paquet, face cachée et entame une nouvelle bataille.
Si un joueur épuise son propre paquet sans réussir sa défense ni utiliser tous ses essais, l'attaque continue avec le joueur suivant qui doit donc se défendre sur le nombre d'essais restants.
Une règle complémentaire permet de conserver de l'intérêt au jeu, même pour les joueurs dépouillés de la totalité de leurs cartes. En effet, dès la première carte posée (sur le solde éventuel), n'importe quel joueur peut frapper le tas du plat de la main lorsque la carte posée est de même nombre (ou figure) que celle immédiatement en-dessous, ce qui lui permet de remporter le tas de cartes.
Le joueur qui frappe à mauvais escient doit donner une carte du sommet de son paquet à chacun des autres joueurs. Si il ne peut le faire, il est contraint de ne plus frapper pendant un certain temps (30 secondes par exemple).