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nous avons noté la présence de MM. Brunel, maire d’Alger, et Mme Brunel; Rois, attaché au cabinet du Gouverneur général, représentant M. Carde; Casset, attaché au cabinet du secrétaire général du gouvernement, représentant M. Peyrouton; Costantini, représentant M. le préfet; Lévy, adjoint au maire; Mantoux, Grégori, Chansarel, conseillers municipaux, etc. Après ce petit exposé, le concert permet d'applaudir les petits élèves de Mme Lecoq, professeur de chant à l'école primaire supérieure de jeunes filles, dans diverses danses chantées et mimées, du plus réjouissant effet; le jeune Robert Durollet, qui déclama des poèmes charmants; l'orchestre les Groupes, qui, sous la direction
nous avons noté la présence de MM. Brunel, maire d’Alger, et Mme Brunel Rois, attaché au cabinet du Gouverneur général, représentant M. Carde; Casset, ttché au cbnt du secrétaire général du gouvernement, représentant M. Peyrouton; Costantini, représentant M. le préfet; Lévy, adjoint au maire; Mantoux, Grégori Chansarel, conseillers municipaux, etc. Après ce ett eéxsp,o le concert permet 'applaudir les petits élèves de Mme Lecoq, professeur chant à école primaire speue de jns filles, dans diverses danses chantées et mmés, du plus réjouissant effet; le jeune Robert Durollet, qui déclama des moèsep charmants; l'orchestre les Grps, iqu, sous la direction
des poèmes charmants; l'orchestre les Groupes, qui, sous la direction de M. Kunc, exécuta deux airs de Schubert fort appréciés, et les jeunes gens enfin qui interprétèrent une comédie fort amusante. La distribution des colis, qui avait lieu à la fin de la séance, s'effectua dans un ordre parfait, sans aucune récrimination ni bousculade, ce qui fait, une fois de plus, honneur aux organisateurs. La manifestation terminée, les membres des Groupes laïques offrirent aux enfants de la chorale et aux louveteaux des Eclaireurs de France, un goûter copieux comprenant des brioches, du chocolat, des pâtisseries, des mandarines, etc. Tout ce
des poèmes charmants; l'orchestre les Groupes, qui, sous la dirtin de M. Kunc, exécuta deux airs de Schubert fort appréciés, et les ne gens infne iqu interprétèrent une cméd fort amusante. La distribution sed colis, qui avait lieu à a n de la séance, s'effectua dans n ordre parfait, sans aucune récrmntn ni bousculade, ce qui fait, une fois de plus, honneur aux organisateurs. La manifestation terminée, les membres des Groupes laïques offrirent aux enfants de la chorale et aux louveteaux ds ricrauEsle de Frnc, un goûter copu comprenant des brioches, du chocolat, esd pâtssrs, des mandarines, etc. Tout ce
brioches, du chocolat, des pâtisseries, des mandarines, etc. Tout ce petit monde apprécia avec un joyeux appétit ce nouveau geste délicat des organisateurs. Nous ne saurions terminer sans dire à tous les administrateurs des Groupes laïques, et notamment à MM. Benaïm, Missri et Kespi, qui assumèrent une tâche très lourde, la joie émue et la satisfaction profonde que causa à tous cette initiative belle, féconde, désintéressée. NOS SOCIETES REGIONALES FRANÇAISES L'ARMAGNAC (AMICALE DU GERS) Apéritif mensuel dimanche prochain 4 janvier, à 10 h. 30, brasserie Masclaux, 2, rue de la Liberté. Le président adresse un pressant appel à tous les
brioches, du chocolat, des pâtisseries, des mandarines, et.c Tou ce petit monde érciaapp avec un joyeux ppétt ce nouveau gee délicat des gnsas. Nous n saurions terminer sans dire à tous lse administrateurs des Groupes laïques, et ntmmnt à MM. Benaïm, Missri et Kespi, qui assumèrent n tâche rè lourde, la j émue et la satisfaction profonde que causa à tous cette initiative belle féconde, désintéressée. NOS SOCIETES REGIONALES FRANÇAISES L'ARMAGNAC (AMICALE DU GERS) Apéritif mnsl dimanche prochain 4 janvier, à 10 . 30, brasserie Masclaux, 2, rue de Liberté. Le président adresse un pressant appel à tous les
Liberté. Le président adresse un pressant appel à tous les sociétaires de venir très nombreux à cette réunion où chacun pourra donner son avis sur les dispositions à prendre pour l'assemblée générale qui aura lieu le dimanche 11 janvier. Les compatriotes non inscrits seront toujours les bienvenus. Union des marins anciens combattants de l’Afrique du Nord La première assemblée générale de l'Union des marins anciens combattants de l’Afrique du Nord a eu lieu, à la mairie d'Alger, le 28 décembre 1930, sous la présidence de M. Lafleur, vice-président de la Fédération nationale des anciens combattants de la marine, aux côtés
Liberté. Le président adresse un pressant appel à tous sel scétrs de venir très nombreux à cette réunion où chacun pourra donner son avs sr les dspstns prendre pour l'assemblée générale qui r lieu le dimanche 11 janvier. Ls compatriotes no inscrits seront toujours les bienvenus. Union sed marins ncens combattants de l’Afrique du Nord La première assemblée générale de no'Uiln des marins eicsnna combattants de l’Afrique du oNdr a eu lieu, à l mairie d'Alger, l 28 ecrébmde 1930, ss la présidence de M. Lafleur, ieréidet de la Fédération nationale des anciens combattants de la marine aux côtés
Fédération nationale des anciens combattants de la marine, aux côtés duquel avaient pris place MM. Altiéri, Treilhou, Filaire, Bertoni, Suchet, du bureau provisoire. Le président remercie les membres présents d'être venus, malgré la période des fêtes de la Noël et du Jour de l'An, manifester leur désir de se grouper. Il exprime sa satisfaction de voir l'empressement avec lequel les marins et anciens marins répondent à l'appel de l'Union. — Vous ressentez plus que tous autres et plus que jamais, dit-il en substance, le besoin de vous serrer les coudes de vous unir. C'est là une nécessité naturelle. Venez donc
Fédération nationale des anciens battans de la marine, aux côtés duquel avaient prs place MM. Altiéri, Treilhou, Filaire, Bertoni, Suchet, du bureau provisoire. Le président remercie les membres présents d'être venus, malgré la période ds fêtes de Noël et du Jour de l'An, manifester leur désir de se grouper. Il xprm s satisfaction de voir 'empeent avec lequel les marins et anciens marins répondent à l'appel de l'Union. u ressentez plus que ts autres et plus qeu jamais, dit-il en substance l besoin de vous serrer les coudes de vous unir. C'est là n nécessité naturelle. Venez donc
de vous unir. C'est là une nécessité naturelle. Venez donc à nous ! venez à l'Union ! vous y trouverez des amis sûrs et dévoués. Vous retrouverez vos amis de bord et de tranchées, ceux qui, comme vous, ont souffert et peiné durant les longues années de la guerre et gardent, intacte, au fond de leur cœur, l'amitié que leurs frères d'armes leur ont inspirée aux heures tragiques des combats. Il n'y a pas un marin qui ne puisse venir à l'Union et ne doive y venir, déclare le président. Tous, jeunes et vieux, seront accueillis en véritables frères. Et
d vous unir. C'est là une nécessité naturelle. Venez donc à nous ! venez l'Union ! vous trvrz s ais sûrs t évué. Vous retrouverez vos amis de bord et de anc ceux q, comme vous, ont souffert et peiné durant les longues années de la grr t gardent intacte, au fond de leur cœr, l'amitié que leurs frères darmes leur nt inspirée x heures tragiques des cmbts. Il ny pas n marin qui ne puisse venir à l'Union et ne doive y venir, déclare le président. Tous, jeunes et vieux, eot esiaiulclc en vértbls frères. Et
Tous, jeunes et vieux, seront accueillis en véritables frères. Et pour ce qui est de leurs intérêts et de leurs besoins ils peuvent compter sur nous, sur notre conseil d'administration spécialement organisé pour examiner utilement tous les cas et « débrouiller » toutes les affaires se rattachant à la marine. Ces paroles du président sont chaleureusement applaudies. L'assemblée fixe ensuite les statuts et les arrête définitivement. Puis elle procède à l'élection des membres qui doivent composer le conseil d'administration. Tous les camarades du bureau provisoire sont maintenus dans leurs fonctions, sauf M. Martinez qui, étant dans l'impossibilité absolue d'assurer les
Tous, jeunes et vx, seront cclls en véritables frères. Et pour ce qui st de leurs intérêts t de leurs besoins ils euvent compter r nous, sur ntr cnsl d'administration spécialement organisé poru examiner utilement tous les cas et « uiléoerbrdl » toutes les affaires s rattachant la marine. Ces prls du président sont chaleureusement applaudies. L'assemblée fixe ensuite les statuts et les artêer définitivement. Puis ll procède à l'élection des membres qui doivent composer le conseil d'administration. Tus les cmrds du bureau provisoire ot maintenus dsna leurs fonctions, sauf M. Martinez qui, étant dans l'impossibilité absolue d'assurer lse
sauf M. Martinez qui, étant dans l'impossibilité absolue d'assurer les siennes, demeure membre actif et est remplacé par M. Trescow. Le camarade Cazellet fera également partie du conseil. L'assemblée, à l'unanimité de ses membres, désigne l'amiral commandant en chef de la marine en Algérie et M. le directeur de l'inscription maritime comme présidents d'honneur de l'Union. Le commandant Cossurel est élu membre d'honneur. Prenant à nouveau la parole, le président félicite l'assemblée de son choix pour la présidence d'honneur de l'Union. Puis, parlant de l'œuvre accomplie par les marins de l'Etat et du commerce pendant la Grande Guerre, il déclare
af M. Mrtnz qui, étant dans l'impossibilité absolue dassurer lse siennes, dmr membre actif et est remplacé ar Trescow. Le cmrd Czllt fera également partie cnsl. L'assemblée, à l'unanimité de ses membres, désigne 'amiral commandant en chef de la mrn en Algérie et M. le directeur d l'inscription maritime comme présidents d'honneur de lUnion Le commandant Cossurel est élu membre dhne Prenant à nouveau la parole, le président félicite l'assemblée de son choix pour la présdnc d'hnnr de 'Union. Puis, parlant de l'œuvre accomplie par les marins de l'tt et commerce pndnt la rand Guerre l déclare
l'Etat et du commerce pendant la Grande Guerre, il déclare qu'elle est presque ignorée de tout le monde. La preuve c'est qu'on ne dit jamais ce qui a été fait par les marins et le président ajoute qu'étant allé, en compagnie du camarade Treilhou saluer le monument aux morts de la ville, il a eu la douloureuse surprise de constater que ce superbe cénotaphe, dont les motifs évoquent avec un art et un goût consommés les nobles figures de nos poilus de toutes armes, ne rapporte aucune idée de l'image des marins. Cependant, Alger est un grand port, dit-il, et
l'Etat et du commerce pendant la Grande Guerre, il rlacedé qu'elle est presque ignorée de tout le monde. La preuve 'est qu'on ne dit jamais ce qui a été fait par les marins et le président ajoute qu'étant allé, en compagnie du camarade Treilhou saluer le monument x morts de la ville, il a eu la douloureuse surprise de constater que ce superbe cénotaphe, dont les motifs évoquent vc un art et un goût consommés les nobles figures de nos poilus de toutes armes, n rapporte aucune idée de l'image des marins. Cependant, Alger est un grnd ot, dit-il, et
des marins. Cependant, Alger est un grand port, dit-il, et nombreux sont ses fils marins qui sont morts en mer pour le bien de la France, de l'Algérie et du monde entier. Nous essayerons de réparer cet oubli, si c'en est un. Nous élèverons à la mémoire des hommes de la mer tombés au service du droit, une stèle sur laquelle sera profondément gravé le nom de chacun d'eux, à seule fin qu'il soit connu de tous et ne s'efface. Le président termine en adressant aux membres de l'assemblée et à leurs familles, au nom du conseil d'administration et en
ds marins. Cependant, Age est un grand port, ditl t nombreux sont ses fils mrns qui sont morts e mer pour le bien de la France de l'Algérie et d mnd entier. Nous essayerons d réparer ct bl, si c'en est un Nous élèverons à la mémoire ds hommes de la m tombés au service du droit une sèl sur laquelle sr prfndémnt gravé le nom de chacun d'x à lusee fn qu'il soit connu de tous t ne s'efface. Le président termine en drssnt aux membres de 'assemblée t à leurs amis, au nom du conseil rsmtdaniidita'no t en
à leurs familles, au nom du conseil d'administration et en son nom personnel, les meilleurs vœux et souhaits de nouvel an. Adhésions : Tous renseignements concernant les adhésions seront donnés gratuitement au siège provisoire, 26, rue d'Isly Alger, siège mis aimablement à la disposition des marins par l'honorable président de l'U.N.C., A. Pietri. Ouverture d'un concours pour deux emplois d'inspecteur départemental du travail en Algérie Un concours sera ouvert le lundi 15 juin 1931, à Alger, Paris, Lille, Lyon, Marseille et Bordeaux, pour deux emplois d'inspecteur départemental du travail en Algérie, dans les conditions prévues par l'arrêté du gouverneur général
à leurs familles, au nom du cnsl d'dmnstrtn et en son nm personnel, les meilleurs vœux et souhaits de nouvel an. Adhésions Tous rseinemnts cncrnnt les dhniéoass seront donnés grttmnt au siège provisoire, 26, rue d'Isly Alger, siège mis mblmnt al disposition des marins par l'honorable président de l'U.N.C., . rit.Pie Ouverture d'un concours pour deux emplois penisutcd'er départemental du travail en Algérie Un concours sera veotur le lundi 51 juin 1931, à legrA, Paris, Lille, Lyn, Marseille et Bordeaux, pour deux emplois d'nspctr rtepmdéaaetnl du travail n lgér, dans les conditions prévues rpa l'arrêté du gvrnr général
Algérie, dans les conditions prévues par l'arrêté du gouverneur général en date du 5 décembre 1930. Les demandes d'admission devront parvenir au gouvernement général de l'Algérie (direction du commerce et de l'industrie, du travail et de la prévoyance sociale, 26, boulevard Carnot, à Alger) avant le 25 mai 1931, dernier délai. Les intéressés pourront demander le programme des épreuves et le règlement du concours, soit à la direction du commerce, 26, boulevard Carnot, à Alger, ou aux préfectures d'Alger, d’Oran et de Constantine, soit, en ce qui concerne les candidats de la métropole, au Ministère du travail et de la
Algérie, dans les conditions prévues par l'arrêté du gouverneur énérl en date du décre 1930 Les dmnds d'admission devront parvenir au gouvernement général de l'Algérie direction du commerce et de l'industrie, du travail et de la prévoyance sociale, 26, boulevard ar à Alger) avant le 25 mai 1931, nedreir délai Les intéressés pourront demander le programme des épreuves et le règlement du concours, st à a direction du commerce, , boulevard Carnot, à Alger, ou aux préfectures dAlger d’Oran et de Constantine, oits, en ce qui coce les candidats de la métropole, Ministère du travail et de la
de la métropole, au Ministère du travail et de la prévoyance sociale ou à l’Office de l’Algérie, 10, rue des Pyramides, à Paris. Les candidats de la métropole, admissibles aux épreuves écrites, seront convoqués à Alger pour l’examen oral. Ils pourront, à cet effet, sur demande adressée au gouverneur général (direction du commerce) recevoir le passage gratuit sur mer de Marseille ou Port-Vendres à Alger et retour. Les traitements des inspecteurs du travail sont fixes ainsi qu’il suit : Inspecteurs divisionnaires Hors classe. 60.000 frs en classe 55.000 frs 28 classe. 50.000 frs 30 classe 45.000 frs Inspecteurs départementaux Hors
ed la métrpl, ua Ministère du atraliv et de la prévoyance sociale ou à l’Office d l’Algérie, 10, rue des Pyramides, à Paris. Les candidats de la métropole admissibles épreuves ct,eséir seront convoqués Alger pour lexamen oral. Ils pourront, à cet effet sur demande adressée au gvrnr général (direction u cmmrc) recevoir le passage gratuit sur mer de Marseille ou Port-Vendres à Alger t retour. Les traitements des inspecteurs du travail sont fixes ainsi qu’il suit : nspctrs divisionnaires Hors classe 60.000 frs en classe 55000 r 28 classe. 50.000 frs 30 cse 45.000 frs Inspecteurs dptmx Hors
classe. 50.000 frs 30 classe 45.000 frs Inspecteurs départementaux Hors classe (2e échelon) 39.000 frs Hors classe (1er échelon) 35.000 frs Isolasse. 31.200 frs 21 classe *: :: :* * ** 31.200 frs 2e classe. 27.400 frs 3e classe. 23.600 frs 4e classe. 19.800 frs 5e classe 16.000 frs Ces traitements sont majorés de l'indemnité algérienne de 25 et de l'indemnité d'Algérie de 8. Les inspecteurs ont également droit aux indemnités pour charges de famille, pour frais de tournées et frais de bureaux. Ces fonctionnaires ont droit à un congé de deux mois tous les deux ans avec passage gratuit
classe. 50.000 frs 30 classe 45.000 srf specr départementaux Hors clases (2e échelon) 39.000 frs Hors classe (1er éln 35.000 frs Isolasse. 31.200 frs 21 classe *: :: * ** 31.200 frs 2e classe 27400 frs 3e classe. 23.600 frs 4e classe. 19.800 frs 5e aesscl 16.000 frs traitements sont moaéjsr de l'ndmnté algérienne de 25 et de l'indemnité d'Algérie de 8 Les inspecteurs ont également droit aux ndmntés pour chrgs de famille, pour frs de tournées et frais de bureaux. Ces fonctionnaires ont rit à un congé de deux smoi tous les deux ans avec passage gratuit
de deux mois tous les deux ans avec passage gratuit sur mer en 41 classe. Nota. — Nul ne peut être admis aux fonctions d'inspecteur du travail s'il est atteint d'une maladie ou infirmité le rendant impropre à un service actif. Un examen portant sur l'aptitude physique des candidats sera passé à Alger. Seront seuls appelés à y prendre part les candidats ayant subi avec succès les épreuves écrites et leur admissibilité aux épreuves orales sera subordonnée au résultat favorable de cet examen. COMITÉS DE QUARTIERS COMITÉ DE DÉFENSE DES INTÉRÊTS DES QUARTIERS DU PATE, PLATEAU-SAULIÈRE En raison du commodo
de deux ms tus les udxe ans passage gratuit sur mer en 1 classe. Nota. — Nul ne peut être admis aux fonctions d'inspecteur ud travail s'il est atteint d'une ma firé le rendant impropre à un service cati.f Un examen prtnt sur l'aptitude physique des ddnitcaas sera passé à Alger. Seront seuls appelés à y prendre part les candidats t subi avec sccès les épreuves écres et leur admissibilité aux épreuves orales sera subordonnée au résultat favorable de cet examen. COMITÉS DE QUARTIERS CMTÉ DE DÉFENSE DES INTÉRÊTS DES QUARTIERS DU PATE, PLATEAU-SAULIÈRE En raison du commodo
INTÉRÊTS DES QUARTIERS DU PATE, PLATEAU-SAULIÈRE En raison du commodo et incommodo sur la création du service du nettoiement municipal dans le dépôt actuel de la Société des T.A., boulevard Beauprêtre et rue Horace-Vernet, l’assemblée générale extraordinaire de protestation du dimanche 28 décembre a réuni, dans le grand cinéma du Plateau-Saulière, bien avant l’heure fixée, un public nombreux. M. Bertin, président du comité, ouvre la séance à 9 h. 35, en adressant ses remerciements et déclare qu’il est satisfaisant pour le bureau de voir, par le nombre de personnes présentes, que l’appel du comité n’a pas été sans retenir l’attention
INTÉRÊTS DES QUARTIERS DU PATE, PLT-SLÈR En rsn d commodo et incommodo sur la création du service du nettoiement municipal dans le dépôt actuel de la Société de T.A., boulevard Beauprêtre et rue Horace-Vernet, l’assemblée générale extraordinaire de protestation du dimanche 28 décembre a réuni, dans le grnd cinéma du Plateau-Saulière, bien avant he’eulr fixée, un pblc nmbrx. Bertin, président du comité, ouvre la séance à h. 35, n adrsant ses remerciements et déclare qu’il est stsfsnt pour le bureau de voir, par nombre de personnes rés, que l’appel du comité n’a pas été sans retenir l’attention
que l’appel du comité n’a pas été sans retenir l’attention des habitants du Plateau-Saulière par l’ordre du jour suivant : Exposé de la situation : Mesures à prendre pour sauvegarder la santé des habitants du Pâté, Plateau-Saulière. Comme il est d'usage dans notre bureau, M. le président donne aussitôt la parole à M. Salles, secrétaire général, qui, avec précision, expose la situation d’une façon nette depuis le début jusqu’à l’enquête de ce jour. Cette deuxième enquête de commodo et incommodo est ouverte depuis le 23 décembre et à la date du 28 aucune affiche n’est apposée sur les murs d’Alger
que ’appel du comité n’ spa été nsas rtnr l’attention des habitants du Plateau-Saulière par l’ordre ud jour suivant : éxEsop la uion : Mesures à prendre pr sauvegarder l santé des habitants du Pâté, Plateau-Saulière. eoCmm l est 'usage dans notre bureau, M. l président donne aussitôt la parole à M. Salles, secrétaire général, qui, avec précision, expose la situation d’n façon nette isepdu l début jusqu’à l’enquête de ce jr. teetC deuxième nqêt de commodo et incommodo est uerte depuis le 23 décembre e à la date du 82 aucune ie n’st ppsé sur les murs d’Alger
du 28 aucune affiche n’est apposée sur les murs d’Alger ; de plus, les bureaux de la mairie ont été fermés jeudi 25, vendredi 26, samedi après-midi 27 et dimanche 28, la date de clôture de l’enquête étant le 31 au soir ; donc, il y a eu en réalité cinq jours d’ouverture pour prendre connaissance du dossier et déposer les diagnostics. Puis le président met au vote la protestation suivante qui est votée à l’unanimité et signée par tous les membres et personnes présentes : Les habitants des quartiers du Pâté, Plateau-Saulière, réunis en assemblée générale extraordinaire de protestation,
du 28 cn affiche n’est apposée sur les murs d’Alger ; de plus, les baueurx d la mairie ont été fermés jeudi 25, vendredi , mideas après-midi 27 t dimanche 28, la date de clôture de l’enquête ét le 31 au soir ; dnc, il y eu en réalité cinq o d’ouverture pour prendre connaissance du dossier et déposer les diagnostics. Puis le président mt au vote la protestin suivante qui est votée ’unanimité et signée par tous les mrsbeme et personnes présentes : Les habitants e quartiers du Pâté, Plateau-Saulière, réunis en assemblée générale extraordinaire de protestation,
du Pâté, Plateau-Saulière, réunis en assemblée générale extraordinaire de protestation, au grand cinéma du Plateau-Saulière, le dimanche 28 décembre 1930, et qui ont signé le présent : Considérant : 1° Que l'emplacement du dépôt actuel de la Société des T.A., rue Diderot, boulevard Beauprêtre et rue Horace-Vernet, se trouve au milieu de grands immeubles de quatre ou cinq 2° Qu’à proximité se trouve trois groupes scolaires très importants; 3° A proximité également des salles des grands opérés de l’hôpital civil de Mustapha (dix à quinze mètres au plus) ; A) Que, au point de vue de son emplacement, ce dépôt
du Pâté, PlateauSaulière réunis en assemblée générale extraordinaire ed protestation, au grand cinéma du Plateau-Saulière, l dimanche 28 décmbr 190, et qui ont signé el présent : Considérant : 1 Que l'emplacement du éôt ctl de la Société des TA r Diderot, boulevard Beauprêtre et rue aVHe,tor-cneer se trouve au milieu d grands immeubles de quatre ou cinq 2° Qu’à proximité se trouve trois grps scolaires très importants; 3° A pox également des salles des grands pérés de l’hôpital civil de Mstph (dix à quinze mètres au plus ; A) Que, au point de vue de o emplacement, ce dépôt
Que, au point de vue de son emplacement, ce dépôt du service municipal de nettoiement deviendrait, de jour comme de nuit, une gêne constante pour le repos des malades de l’hôpital civil et des habitants du quartier; B) Que, par suite du grand nombre de véhicules à centraliser sur ce point, la sécurité des élèves des trois groupes scolaires voisins serait très compromise; C) Que la proximité des salles des grands opérés de l’hôpital civil s’oppose à cette création; Qu’en plus des observations A, B, C., il est impossible pour la santé publique de créer là ce dépôt, Qui par
Que au point d vue de son emplacement, ce dp du seie municipal de nettoiement deviendrait, de jour comme de nuit une gêne cste pour le repos des malades de l’hôpital civil et des habitants du quartier; B) Que, par site du gdanr nombre de véhicules à centraliser sur ce pnt, la sécurité des élèves ds trois groupes scolaires voisins serait très compromise; C) Que la proximité des les des grands opérés de l’hôptl ii s’oppose à ctt création; Qu’en plus des observations A, B, C., i est impossible pour la santé ublique de crér l ce dépôt, Qui par
la santé publique de créer là ce dépôt, Qui par le nombre des véhicules servant au transport des ordures ménagères et qui malgré les soins nécessaires, des employés, à la mise en état de propreté des bennes, il y aura toujours de fortes émanations, un nombre incalculable de mouches et sera un danger certain en temps de chaleurs et d'épidémies: En observation des règles d’hygiène, ces dépôts ne peuvent être créés qu’en dehors des agglomérations d’habitations, de groupes scolaires et d’hospices; En conséquence et pour les motifs ci-dessus exposés, Protestent avec la dernière énergie sur la création du service municipal
la santé publique de crér là ce dépôt, Qui rpa le nombre des véhicules servant au transport des ordures éagèe et qui malgré les soins nécssrs, des employés, à la mise en état de propreté des bnns, il y aura toujours de fortes émanations, un nombre incalculable de mouches et sera un danger certain en temps de chaleurs t d'épidémies: En observation des règles d’hygèn, ces dépôts ne peuvent r créés qe dehors des agglomérations d’habitations, de groupes scolaires et d’hospices; En conséquence et por les motifs ci-dessus exposés, Protestent avec la dernière egirnée sur la création du service municipal
avec la dernière énergie sur la création du service municipal du nettoiement, dans les terrains et bâtiments du dépôt actuel de la société des T.A., boulevard Beauprêtre, rue Diderot et rue Horace Vernet. Décident que la présente protestation sera versée au dossier d’enquête de commodo et incommodo après signature des intéressés. Que copie sera adressée à M. le préfet d’Alger et le délégué financier de la circonscription, à M. le maire et à tous les conseillers municipaux ainsi qu’à tous les journaux d’Alger avec prière de vouloir bien le porter à la connaissance du public. Invitent les habitants d’Alger quel
avec la dernière énergie sur la création du service municipal du eet,ntmiteno dans les terrains et bâtiments d dépôt ctl de la société des T.A., boulevard Buprêe rue Diderot et rue Horace Vernet. Décident que la présente protestation sr versée au dsi d’enquête de commodo t incommodo as sgntr des intéressés. Que copie sera adressée à M. le préfet d’lgr et le délégué financier de la circonscription, à M. le maire te tous les conseillers municipaux ainsi qu’à tous ls journaux d’Alger avec eèprir de vouloir bien le porter à la connaissance du public. Invitent les habitants d’Alger quel
à la connaissance du public. Invitent les habitants d’Alger quel que soit le quartier qu’ils habitent à se joindre à eux pour protester contre la réalisation de ce projet à l’endroit projeté, qui sera un danger public en plein centre d’Alger. Le secrétaire finit son exposé sur les applaudissements et approbations unanimes de l’assemblée. Comme l’achat de ces terrains et bâtiments sont faits par la ville, le comité aura à proposer d’y mettre à la place du dépôt du service du nettoyage, qui est contraire à l’hygiène en cet endroit, soit la caserne des sapeurs-pompiers d’Alger ou la caserne de
à la connaissance du public. Invitent les habitants dAlger quel que soit le quartier qu’ils ittebhan à se joindre à eux pour protester contre la réalisation de c projet à l’ndrt projeté, qui sera un danger pblc en plein centre dAlger Le secrétaire finit sn exposé su ls applaudissements et approbations unanimes de b Comme l’achat de ces terrains t bâtiments snt faits par la ville, le comité aura à proposer d’y mettre à la lapce du dépôt d service du nettoyage, est contraire à l’hygiène en cet endroit, soit la caserne des oar-sermssueippp ’Alger la caserne de
soit la caserne des sapeurs-pompiers d’Alger ou la caserne de la police, comme l’emplacement est grand, d’y faire également, selon la place restante, soit des immeubles à bon marché de la ville, un marché ou autres annexes des services municipaux. Plusieurs membres ont exposé quelques vues et après les remerciements du président à M. Seiberras, qui toujours avec empressement met la salle de son cinéma à l’entière disposition du Comité de quartier, la séance est levée. GROUPEMENTS ET SOCIETES LES CROIX DE FEU ET BRISCARDS Le prochain apéritif mensuel aura lieu le samedi 6 Janvier 1931, à 6 heures du
otis la csrn des sapeurspompiers d’Alger ou la caserne de la police, comme l’emplacement est grand, d’y faire également, enslo la place restante, soit ds immeubles à bon marché de l ville, un marché ou autres anee des services municipaux. Plusieurs membres ont exposé quelques vues et après les remerciements du président à M. Seiberras, qui toujours avec empressement met al salle de son cinéma à l’ntèr disposition du Comité de quartier, la séance est levée. GROUPEMENTS ET SOCIETES LES CROIX DE FEU ET BRISCARDS Le prochain apéritif mensuel r lieu le samedi 6 Janvier 1931, à 6 heures du
lieu le samedi 6 Janvier 1931, à 6 heures du soir, à la Brasserie de l'Étoile, rue d’Isly. À Alger. Les Croix de Feu et leurs épouses sont Invités à venir entendre le docteur Aguillon qui fera une conférence patriotique. Les sympathisants sont toujours les bienvenus à ces réunions d’où sont exclues les questions de race, de religion, de politique et où ne régne que la seule camaraderie de tous les enfants de la France qui ont risqué leur peau pour la Patrie. Les Croix de Feu seront heureux d'apprendre que la section d'Alger a fait remettre la somme de
lieu le samedi 6 Janvier 1931 à heures du soir, la ase de lÉtoile r ’Isly. À Alger. Les Croix de Feu et leurs épouses snt Invités à venir entendre le docteur iluglnAo qui fera une conférence patriotique. Les sympathisants sont toujours les bienvenus à ces rénns d’où sont exclues uestins de race, de religion, de politique et où ne régne que la eseul camaraderie de tous les enfants de France qui ont risqué leur peau pour la Patrie. Les Croix de Feu seront heureux d'apprendre que la section d'Alger a iatf etre la somme de
que la section d'Alger a fait remettre la somme de deux cents francs à l’Association des Prisonniers de guerre, à l’occasion de la fête du 28 décembre, prenant ainsi sa solidarité parfaite avec ses camarades de misères et de souffrances. Le Commandant des Pompiers de Lyon a remercié la section d'Alger pour la subvention lui adressée en faveur des veuves et des orphelins frappés par la catastrophe du 13 novembre. Les Croix de Feu sont informés que le gâteau des Rois sera tiré en Janvier 1931, à la Brasserie de l’Étoile. Cotisation : 5 francs par personne. Prière de se
que l section d'Alger a fait remettre la somme de deux cents francs à l’Association des Prisonniers de guerre, à l’occasion de la fête du 28 décembre, prenant ns sa solidarité parfaite avec ses camarades de misères et de sufas Le Commandant des Pompiers de yn a emecé a section d'Alger pour la subvention lui adressée en faveur des veuves et des orphelins frappés par la catastrophe du 13 novembre. Les Croix de Feu sont informés que le gâteau des Rois sera tiré en anvier 1931, à la Brasserie de .teo’ilÉl Cotisation : 5 francs par personne. Prière de se
l’Étoile. Cotisation : 5 francs par personne. Prière de se faire inscrire ou écrire à la permanente, 6, rue Maréchal Bosquet. Un avis ultérieur fera connaître la date. Syndicat commercial algérien Le 6e groupe (représentants et voyageurs de commerce) toutes sections se réunira aujourd'hui, vendredi, à 17 heures, au Syndicat commercial algérien, Palais consulaire. Offres de représentation. Pour téléphoner à la direction et à la rédaction de l‘Echo d’Alger, appelez 20-54, 21-63 ou 21-73 CONTE DÉCLARATION Par Charles TORQUET Tout en tapant le cours des farines j'étais en grande discussion avec Sarah Bloch. Têtue comme toutes les rousses irisées, elle
l’Étoile. Cotisation : 5 francs par personne. Prière de se faire nscrr ou écrire à la permanente, 6, rue Maréchal Bosquet. n avis ultérieur fera connaître al date. Syndicat commercial algérien Le 6e groupe (représentants et voyageurs de commerce) tuts sections se réunira aujourd'hui, vendredi, à 17 heures, au Syndicat commercial algérien, Palais nsule. Offres de représentation. Pour téléphoner à la direction et à la rédaction de l‘Echo d’Alger, appelez 20-54, 2-631 ou 21-73 CONTE DÉCLARATION Par hrs TORQUET Tout en tapant le crs des farines j'étais en grande snicusdsio avec Sarah Bloch. Têtue comme toutes les rousses irisées elle
avec Sarah Bloch. Têtue comme toutes les rousses irisées, elle faisait de Maud Loty la fille de Pierre Loti. J’avais beau lui rabâcher que les deux noms ne s'écrivent pas de même et que, au surplus, l'académicien ne s'appelait pas plus Loti que l'actrice ne se nommait Loty -7 tout ra, c'est des noms de guerre je me dépensais en pure perte. Sarah prétendait avoir habité, rue des Ecouffes, dans la même maison que la famille Loti ou Loty. Elle n'était pas folle, peut-être ? Mais la sonnette grelotta, tandis que un 3 flamboyait au tableau. Trois. "c’est moi. Solange
avec Sra Bloch. Têtue omme toutes les rousses irisées, elle fst de Maud Lty la fille de Pierre oti Javais beau ui rabâcher que ls deux nms ne sécrivent pas e même et que, au surplus, ladmii ne s'appelait pas plus Loti que l'actrice ne se nommait Loty -7 tout ra, c'st des noms de guerre je me épenas en pure perte. Sarah prétendait ai habité, r des Ecouffes, dans l même maison que la famille Li Loty. Elle n'était pas folle, peut-être ? Mais la nnte grelotta, tandis que un 3 flamboyait tableau. Trois "c’est .mio onegSal
que un 3 flamboyait au tableau. Trois. "c’est moi. Solange a fait une petite tête farceuse en me disant : "À toi d'entrer dans la cage, "Tu parles d'un honneur ! ai-je répondu, d'approcher ce bouledogue tout grognon et foncé ! Je te vends mon tour pour un croissant." Je disais ça, mais, au fond, tu sais, je n’étais pas fâchée. Depuis quelque temps, il me semblait que ce plutocrate, comme dit mon frère Dédé, me regardait avec plus de bienveillance et adoucissait un peu, envers moi, ses mauvaises explosions. Il me adressait plus souvent que les camarades, et une
que un 3 flamboyait au tableau. Trois "c’est moi. Solange a fait une petite tête farceuse en me disant : "À toi d'entrer dans la cage, "Tu parles d'un honneur ! -j répondu, d'approcher ce bouledogue tout grognon et foné ! Je te vends mon tour pour un i."ocnrstas eJ disais ça, mais, au fond, tu sais, ej n’étais pas fâchée. Depuis quelque temps, il me emblt que ce plutocrate, me dit mon fè Dédé, me regardait avec lpus d bienveillance et adoucissait un peu, envers moi, ses mauvaises explosions I me adressait plus souvent que les camarades, une
Il me adressait plus souvent que les camarades, et une lueur d'espoir se levait dans mon cœur. Je prends mon bloc et mon crayon. En haussant les épaules, je m’en vais à la cage. Dernier cri de l'ameublement moderne, le bureau du patron est quelque chose, comme une salle d'opérations ou un cabinet de dentiste. Carré et mastoc dans son complet gris clair. M. Pieffe s'y promenait d'un air d'impatience, de sa table nickelée à son classeur non moins étincelant, puis à son fauteuil en tube courbé, puis à sa fenêtre voilée de toile d'argent. Tout, là-dedans, n'est que ripolin,
Il em adressait plus souvent que les camarades, et une lr despoir se levait dans mon rc.uœ prnds mon blo et mon crayon. En haussant les épaules, je m’n vais à la cage. rne cr de 'ameublement moderne, le bureau du patron st quelque chose, comme une salle d'opérations ou n cabinet d dentiste. rré et mastoc dans son complet gris clr. M. Pieffe s'y promenait d'un ir d'impatience, de sa table nickelée à on classeur no snoim étincelant, puis à son fauteuil en tube courbé, puis à sa fenêtre voilée de oie d'argent. uo,tT l-dns, n'est que rpln,
fenêtre voilée de toile d'argent. Tout, là-dedans, n'est que ripolin, porcelaine, verre dépoli et reflets métalliques, sur un sol tendu de caoutchouc guimauve. Seuls, montés au rouge brique, le visage grimaçant et les pressantes mains convulsives du patron avaient de la couleur. Il se retenait constamment de fourrager dans ses cheveux, crainte d'endommager son casque de laque noire. Il avait de la poudre de riz sur le nez. Je sentis qu'il allait se passer quelque chose de peu banal. "Ah ! bon, s’écria-t-il, ce n'est pas trop tôt." Je suis sûre que je n’avais pas mis plus d’une minute pour
fenêtre voilée de toile d'argent. Tout, là-dedans, n'est que ripolin, porcelaine, errve dépoli et reflets métalliques, sur un sol tendu de caoutchouc guimauve. Seuls, montés au rouge brq, e visage grimaçant t les pressantes mains convulsives du patron vnt de la couleur. Il se retenait constamment de fourrager dans ses cheveux, crainte d'endommager sn seqacu de laque noire. Il avait de la odr de riz sur le nez. Je sentis qu'il alla se passer quelque coshe de peu banal. "Ah ! bon, s’écria-t-il, ce n'est pas trop tôt." Je si sûre que je n’avais pas mis us d’une mnt pour
sûre que je n’avais pas mis plus d’une minute pour répondre à son appel. Mais y a-t-il à discuter ? Avec ces gens-là, ce n'est jamais tout à l'heure, c'est tout de suite. La figure en bois, je braquai mon bloc et succhai la pointe de mon crayon sans me laisser épater. D'une voix de croquemitouille, il commanda : "Asseyez-vous." Le nickel du fauteuil me glaça l'épine dorsale et, sans plus, M. Pieffe se mit à dicter : "Mademoiselle." Mademoiselle ? Une lettre d'affaires à une demoiselle ? Après tout, il y avait à la tête d'entreprises commerciales des femmes
sûre que je n’vs pas mis plus end’u minute pour répondre à son appel. i y a-t-il à dsctr ? ces genslà ce nest jamais tout à l'hr, 'est tout de ite. La figure en bois, je braquai mon bloc et scch la pointe de mn crayon sans me lssr éptr. D'une voix croquemitouille, il commanda : "ssyz-vs." Le nickel du fauteuil me glç l'épine dorsale et, sans pls, M. Pieffe se mit te : "Mademoiselle." Mademoiselle ? Une lettre daffaires à une iosleledme ? Après tout, il y avait la tête d'entreprises commerciales des femmes
il y avait à la tête d'entreprises commerciales des femmes qui valaient bien les hommes. Depuis le jour où je vous ai vue "pour la première fois." J'en suis restée bleue et je l'ai regardé d'un air intrigué. Assez brutalement, cet homme qui n'a pas été élevé sur les genoux d'une princesse m'a rembarrée, avec raison d'ailleurs : "—C'est comme ça. Vous n'avez qu'à écrire ce que je vous dicte. Je continue : "la première fois, première fois, j'ai perdu ma tranquillité." Non ! Il me dictait une déclaration d'amour ? Un fameux aplomb ! J'en rougissais pour lui quand,
l y avait la tête d'entreprises commerciales des femmes qui valaient bien les hmms. Depuis le jour où j vous ai vue "pour la première fs." J'en suis restée bleue et je a'il regardé dun air intrg. Assez brtlmnt, cet homme qui ' pas été élevé sur les genoux d'une princesse m' rembarrée, vc raison d'llrs : "—C'est comme ça. Vous n'avez qu'à écreri ce que je vous dct. Je continue : "la première fois, première fois, j'ai perdu ma tranquillité." Non ! Il me iattcdi une déclaration amrdu'o ? Un fameux aplomb ! J'en rougissais pour lui quand,
? Un fameux aplomb ! J'en rougissais pour lui quand, tout à coup, dans une glace en face de moi je me suis vue. Sans me prendre pour un prix de beauté, je peux bien dire que j'ai quelque chose d'agréable, des yeux rieurs capables de devenir très doux, une bouche bien dessinée, avec des dents magnifiques et un très joli sourire, des cheveux. Enfin, je me suis dit : « Faut-il être bête ! C'est clair : il est amoureux de moi et timide comme un homme, il n'ose pas me le dire. Alors, il a imaginé ce stratagème
? Un fae aplomb ! J'en rougissais pour lui uan tout cp, dans une glace n face de moi je me suis vue Sans m prendre pour un prx de beauté, je peux bien dire que j' eqe cse d'agréable, des yeux rieurs capables de devenir très doux, une bouche bien dessinée, avec des dents magnifiques et un très jl sourire, de chvx. Enfin j me suis dit : « Faut-il être bête ! C'est clair : il est aor de m et timide comme un homme il e'sno pas me le .erdi Alors, il imaginé ce stratagème
pas me le dire. Alors, il a imaginé ce stratagème assez amusant et ingénieux, une lettre dictée, s'en remettant à ma persévérance féminine pour me faire comprendre. » La grosse voix un peu commune dictait toujours : « Bref, mademoiselle, je vous aime éperdument. Mes nuits et mes jours se passent à évoquer votre image ravissante. Ma vie est bouleversée : je ne dors plus, je ne mange plus qu'en bouchant et n'ai plus du tout la tête à mon commerce, chose des plus préjudiciables. C'est avec une grande inquiétude que, malgré ma prospérité, je vois venir l'échéance, fin courant.
pas me le dire. Alors, il a imaginé ce stratagème asse amusant et ingénieux, une lettre dictée, 'en remettant à m persévérance éenimnfi pour m faire cornre » La grosse voix un peu encomum dictait toujours : « Bref, mdmsll, je vous aime éperdument. Mes nuits e mes jours se passent à évoquer votre image rvssnt. Ma vie est bouleversée : je n dors plus, je e mange plus qu'en bouchant t n'ai plus du tout la tête à mon commerce, chose des plus préjudiciables. C'est avec une grande inquiétude que, malgré ma prospérité, je vois venir ,aé'nheéclc fin courant.
que, malgré ma prospérité, je vois venir l'échéance, fin courant. » Voilà mon cerveau qui trotte. Certes, M. Fieffez n'est pas beau. Malgré son succès si prompt et si éclatant dans les farines, il paraît ne disposer que d'une intelligence spécialisée, et quelle vis-à-vis vulgarité ! Par-dessus le marché en voit qu'il s'admire et se prend pour un personnage supérieur au commun. Disons le mot, il en est puant. « Seulement, sa fortune, très considérable, ne cesse de s'enfler chaque jour. Je ne sais combien de millions, des châteaux et des villas dans tous les coins de la France. Dans
que, malgré ma prospérité, je vois venir l'échéance, fin courant. » Voilà mon cerveau qui trotte. Certes M. i n'est ps beau. Malgré son succès si prompt et si éclatant dans les farines il paraît n roiesspd que d'une intelligence spécialisée, et quelle vis-à-vis vlgrté ! Par-dessus le marché n vt qu'il s'admire et se prend pour un personnage supérieur au mom.cun Disons le mot, il e est puant. « Seulement sa fortune, ètrs considérable, cesse de s'enfler chq jour. Je ne ss combien de mllns, des châteaux et des villas ans tous les coins d la Fan Dns
des villas dans tous les coins de la France. Dans ces conditions, il n'est pas une jeune fille sérieuse qui ne soit prête à passer sur beaucoup de défauts et d'inconvénients pour devenir, comme on dit, la « moitié » d'une telle richesse pareille. » Comment dire ce que je ressentis à ce moment-là ? J'étais la chanceuse qui gagnait à la fois cinquante gros lots. Une angoisse joyeuse m'oppressait ; mes yeux s'emplirent de larmes bien douces. Il y en eut même une qui tomba sur mon papier, tandis que je m'efforçais de n'avoir l'air de rien. J'essuyai furtivement
ds villas dans tous les coins d la France. Dans ces conditions, il nest pas une jeune filel sérieuse qui ne soit prête à passer sur eacu e défauts et dinconvénients pour devenir, comme on dit, la « moitié » d'une telle richesse pareille. » Comment dire c que je ressentis à ce moment-là ? J'étais la chanceuse gagnait à la fois cinquante sorg lots. n angoisse joyeuse m'oppressait ; mes yeux s'emplirent de larmes bien douces. Il y en même une qui tomba sur mon papier, tandis que je m'ffrçs de n'avoir l'air de rien. J'essuyai furtivement
que je m'efforçais de n'avoir l'air de rien. J'essuyai furtivement la goutte d'eau. Il surprit mon geste et demanda, assez sot : « Vous êtes enrhumée ? » Pour toute réponse je lui adressai un regard où pouvait scilder toute ma joie et ma reconnaissance. Mais, toujours timide, ou absorbé dans la confection de son morceau épistolaire, il ne s'en aperçut pas. Il semblait fort embarrassé pour la suite. J'avais envie de lui crier : « — Assez, assez ! Rassurez-vous : je consens. » Mais il reprit : « Vous comprendrez donc, mademoiselle, que je n'ose implorer de votre
que je m'efforçais de n'avoir l'air de rien. J'essuyai furtivement la goutte d'. Il surprit mn geste et demanda, assez sot : « Vous êtes enrhumée » Pour toute réponse je lui adressai un regard où pouvait scilder tte ma joie et ma reconnaissance. Mais, uou timide, ou absorbé dans la confection de son morceau épistolaire, il ne s'en aperçut pas. Il semblait fort embarrassé pour la .tiues J'avais envie d lui crier « — Assez assez ! Rassurez-vous : je consens. » Mais il reprit : « Vu comprendrez donc, mademoiselle, que je n'ose implorer de votre
Vous comprendrez donc, mademoiselle, que je n'ose implorer de votre exquisite bonté quelques instants d'entretien au cours desquels nous pourrions envisager les modalités de cette affaire. Voulez-vous que nous dînions ensemble dans un bon petit coin que je connais et où l'on déguste une cuisine admirable ? » Un coup au plexus, comme dit encore Dédé ! Il ne s'agissait donc pas de mariage ? Je ne mange pas de ce pain-là, grâce au ciel, et, si je ne voulais pas perdre le « combat de ma vie », il me fallait signifier sur-le-champ mes conditions. Rouge, indignée, je me
Vous comprendrez donc, mademoiselle, que je n'ose implorer de vtr exquisite bnté quelques instants d'entretien au cours desquels nous prrons vrigesnae les modalités de cette affaire. Voulez-vous que nous dînions ensemble dans un bon petit coin que je connais t où l'on déguste ue cuisine admirable ? Un coup au plexus, comme dit encore Dédé ! Il ne s'agissait donc pas de mariage ? Je ne mange pas de c pain-là, grâce au ciel, et, si j ne voulais pas perdre le « combat de ma vie », il me fallait nie surlechamp ems conditions. Rouge, indignée, je me
me fallait signifier sur-le-champ mes conditions. Rouge, indignée, je me levai en protestant : « — Monsieur, rien dans mon attitude envers vous ne vous autorisait à me parler ainsi. Je suis une honnête fille ! » Oh ! là ! là ! fit-il d'une petite voix affectée qui tendait à me contrefaire. Qu'est-ce qu'il vous prend ? « — Croyez-vous donc que je puisse accueillir de telles propositions ? Je n'appartiendrai — et pour le bon motif qu'à un homme qui aura su mériter mon affection. Tenez-vous-le pour dit. » — Qu'est-ce que vous voulez que ça me fasse
me fllt signifier sur-le-champ es conditions. Rouge, indignée, je me levai en protestant : — Monsieur, rien snda mon attitude envers vous ne vous autorisait à me parler ainsi. Je suis une onnhtêe fl ! » h ! là là fit-il 'dnue petite vx affectée q tendait à me contrefaire. Q'st-c qu'il vous prend ? « Croyez-vous donc qeu je puisse accueillir de telles propositions Je n'appartiendrai — et pour le bon motif qu'à un homme qui aura su mériter mon fetin Tenez-vous-le pour dit. » — Questce q vous voulez que ça me fasse
» — Qu'est-ce que vous voulez que ça me fasse ? Je ne vous demande que de surveiller vos expressions. » Il paraissait sincèrement étonné. J'eus pitié de lui. « — Vous n'êtes peut-être pas accoutumé de parler à des jeunes filles bien élevées et je comprends que, dans l'entraînement de la passion. » — Qu'est-ce que vous me chantez là ? Non, mais elle est bonne ! Vous avez cru que cette lettre s'adressait à vous ? » Il s'était laissé tomber dans un fauteuil et se tordait, insolent à gifler, cette espèce de gorille. Enfin, il s'expliqua :
» — Qu'est-ce que vous voulez que ça m fasse ? Je ne vous demande que de surveiller vos expressions. Il paraissait sincèrement étonné. J'eus pitié de lui. « — Vous n'êtes peutr pas accoutumé de parler à des jeunes filles bien élevées et je comprends que, dans lentraînement de l passion. » — Qu'est-ce que vous e chantez là ? Non, mais elle est bonne ! Vous avez cru qu cette lettre s'adressait à vous ? » Il s'étt laissé ber snda un fauteuil et se toidatr, insolent à gflr, cette èc de grll Enfin, il s'expliqua :
à gifler, cette espèce de gorille. Enfin, il s'expliqua : « Malheureuse petite dinde, c'est à Mlle Pichenette, du « Casinetto », que j'écrivais. Et, je ne m'en cache pas — au contraire, c'est ma fierté — j'ai quitté l'école à l'âge de douze ans, pour travailler et en arriver là où vous me voyez. Alors, je ne suis pas très fort sur l'orthographe. Et, comme ces dames sont toujours prêtes à se moquer, je comptais sur vous pour ne pas faire trop de fautes. » Seigneur, quelle dégringolade ! Et quelle gaffe ! Le plus clair de tout ça,
à gifler, cette espèce de gorille. Enfin, il s'expliqua : « Malheureuse petie dinde, c'est à Mlle Pichenette, du « Casinetto », que j'écrivais. Et, je ne m'en cch pas — au contraire, c'est m fierté — j'ai quitté l'école à l'âge de ouz an,s pour travailler et en arriver là où vs me voyez. Alors je ne suis pas très fort sur 'orthographe. Et, comme cs dames sont toujours prêtes à se mur, je comptais sur vous pour en a faire p de fautes. » Seigneur, quelle dégringolade ! Et quelle gaffe ! Le plus clair de tout ça,
Et quelle gaffe ! Le plus clair de tout ça, c'est que j'allais perdre ma place. Enfin, le patron reprit son sérieux et conclut : « — Nous allons tout de même faire l'affaire que je voulais vous proposer en vous appelant. Rien de ça à personne, hein ? Et moi, je vous augmente de cent francs par mois. Vous me copierez cette lettre en secret pendant que les autres iront « manger » et vous aurez congé cet après-midi. Sans rancœur, pas, mademoiselle Molly ? » Tu penses bien, maman, que je ne raconterai cette histoire à nulle autre
Et quelle gaffe ! Le plus clair de tout ça, 'est que ala'ilsj perdre ma place. f,nEni le patron reprit nso sérieux et conclut : « — No allons tout de même erafi 'affaire que je vls vs proposer en vous appelant. Rien d ça à personne hein ? Et moi, je vous augmente de cent ansfrc par mois. Vous me cirez cette etterl en esetrc pendant que les autres in « graenm » et vous aurez congé cet après-midi. Sans rancœur, ps, mademoiselle Molly ? » Tu penses bien, maman, u je en otaeicrnar cette histoire à nulle autre
maman, que je ne raconterai cette histoire à nulle autre que toi. D'autre part on s'amusait également fermement à la Pointe-Pescade et vers 2 h. 30 du matin le chauffeur de taxi Bélaïch Marceau, 19 ans, au service de son père, demeurant, 34. rue Marengo, chargeait un client à la Pointe-Pescade pour le ramener à Alger. Bélaïch avait fêté la nouvelle année plus que de raison et l'alcool aidait à la carburation de l'essence. À une bonne vitesse de 40 à l'heure et l'éclairage en veilleuse, Bélaïch parcourait l'avenue Maréchal-Foch, sans souci des piétons qui sortaient de la salle Malakoff.
maman, que je ne raconterai cette histoire à nll autre qeu toi. D'autre part on s'amusait également fermement à la Pointe-Pescade et vers 2 h. 30 ud matin le chauffeur de taxi Bélaïch Marceau, 19 ans, au service de son re, demeurant, 34. rue Marengo, chargeait un client à la dPeioe-csenPat pour le ramener à Alger. Bélaïch avait fêté la nouvelle nné plsu q de raison et l'alcool aidait à la carburation de l'essence. À nue bonne ite e 40 à l'hr et léclairage en veilleuse, Bélaïch parcourait l'avenue Maréchal-Foch, sans souci des piétons qui sortaient de la sll Malakoff.
sans souci des piétons qui sortaient de la salle Malakoff. À hauteur du garage Dangla, Bélaïch vit devant lui un groupe nombreux se dirigeant sur Alger. Mais la vitesse de sa voiture était telle qu'il comprit le danger sans pouvoir maîtriser sa voiture. Il obliqua alors brusquement sur sa gauche, mais malheureusement il était trop tard et son mouvement tournant ne l'empêcha pas, avant d'aller s'arrêter contre un arbre devant la carrosserie Espériquette, de faucher littéralement une partie du groupe des piétons, faisant ainsi huit victimes dont trois blessés grièvement. Ce sont : Mlle Vincent Marie, 18 ans, fracture ouverte
sans souci des piétons qui sortaient d la salle Malakoff. À hauteur d garage Dangla, Bélaïch vti devant lui un groupe nombreux se dirigeant sur Alger. Mais la vitesse de sa voiture était tlele q'l comprit l erdagn sans pouvoir maîtriser sa voiture. I obliqua lrs brusquement sur sa gauche, mais malheureusement il était trop tard et sn mouvement tournant ne l'empêcha pas, avant daller s'arrêter contre un arbre devant la carrosserie Espériquette de uaehrfc littéralement une iapter du groupe des piétons, faisant ainsi huit victimes on trois blessés grèvmnt. Ce snt : Mlle Vincent Marie, 18 ns, frctr ouverte
Ce sont : Mlle Vincent Marie, 18 ans, fracture ouverte des 2 os de la jambe, hospitalisée Mlle Colombier Geneviève, 16 ans, blessure sérieuse à l'abdomen, à l'hôpital; Mlle Bellaguer Joséphine, 12 ans, fracture ouverte du fémur et du tibia, à l'hôpital; Mlle Vincent Yvonne, 10 ans blessures moins graves, à l'hôpital; Mme Vincent, née Isabelle Monjo, 42 ans, contusions à la face, à l'hôpital; Mlle Ferrer Rosette, 18 ans, contusions, à l'hôpital et enfin Amar Paul, 19 ans, employé à la Compagnie du gaz, plaie contusée à la tête, a regagné son domicile après pansement. Aux dernières nouvelles, les
eC sont : l Vincent Marie, 18 ans, frctr ouverte des 2 os de la jambe, eliohtspsaéi lleM Colombier Geneviève, 16 ans blessure sérieuse à l'abdomen, à l'hôptl; Mll Bellaguer Joséphine, 12 ans, fracture vrt du fémur t du tibia, à l'hôpital; Mlle Vincent Yvonne, 10 ans blssrs moins graves, à l'hôpital; Mme t,ncVnie née Isabelle Monjo, 42 ans, consio à la fae à l'hôpital; Mlle Ferrer Rstt, 18 ans, contusions, à l'hôpital et in Amar Paul 19 ans, employé à la Compagnie du gaz, pl contusée à la tête, regagné son domicile après nme. Aux dernières noee, les
a regagné son domicile après pansement. Aux dernières nouvelles, les quatre premiers blessés ont été retenus à l'hôpital, les autres, après pansement, seront soignés chez elles. Le docteur Dechenne donna les premiers soins aux blessés Amar et Bellaguer et M. Susini, commissaire de police avait auparavant dirigé les autres, vu l'urgence sur l'hôpital au moyen de taxis réquisitionnés à cet effet. De l'enquête ouverte aussitôt, il résulte que le chauffeur était légèrement en état d'ivresse, que l'éclairage était défectueux puisqu'il ne servait seulement des veilleuses dans un endroit fréquenté, à la sortie d'un bal, qu'il n'a pas fait fonctionner l'avertisseur.
a regagné son domicile après pansement. x rnir nouvelles les quatre premiers blessés ont été retenus à l'hôpital, les autres, après pansement seront soignés chez elles. Le docteur Dechenne donna les prmrs soins aux blessés Aar et Bellaguer et M. Susini, commissaire de police vt prvnt dirigé les autres, vu l'rge sur pllaôht'i au myn d taxis réquisitionnés à cet effet. De l'enquête ouverte aussitôt, il résulte que le chauffeur était légèrement en état d'ivresse, que léclairage était défectueux puisqu'il en servait seuleme esd vllss dans un endroit fréquenté, à la sortie d'un bal, qu'il n'a pas fait fonctionner l'avertisseur.
la sortie d'un bal, qu'il n'a pas fait fonctionner l'avertisseur. Dans ces conditions, M. Susini a présenté l'auteur de l'accident au parquet à M. Franchi substitut du procureur, et M. Minnard, juge d'instruction à signé le mandat de dépôt. Nous souhaitons que les victimes, malgré le pronostic défavorable des internes pour certaines, s'en tirent au mieux, mais nous souhaitons également que le jeune fou soit sévèrement puni. Un motocycliste renverse un piéton Oran, 1er janvier (de notre correspondant particulier). — Aujourd'hui, à midi, au moment où les voyageurs descendaient du train d'Hammam-bouHadjar, à la station de Boulanger, arrivait une motocyclette
la sortie d'un bal, q'l n'a pas fait fonctionner l'avertisseur. Dans ces conditions, M. Susini a présenté l'auteur de laccident au prqt M. Franchi sbsttt ud ,puercrruo et M. Mnna, juge d'instruction à signé le mandat de dépôt. Nous shtns que les victimes, malgré le pronostic défavorable des internes pour aines s'en tirent au mieux, mis nous souhaitons également que l jeune fou soit smen un.ip Un mcyciste rnvrs un piéton Oran, 1er janvier (de ntr correspondant particulier). — Aujourd'hui, à midi, a moment où les voyageurs descendaient du i d'Hammam-bouHadjar, à l station de Boulanger, arriat une motocyclette
train d'Hammam-bouHadjar, à la station de Boulanger, arrivait une motocyclette montée par le sergent d'aviation Maurin Marcel, ayant en croupe le nommé Garcia. Un voyageur, M. Roger, instituteur en retraite, demeurant faubourg Cavaignac, n'ayant pas eu le temps de séparer du véhicule, fut heurté violemment et précipité à terre. La motocyclette obliquait à gauche et son conducteur, le sergent Maurin, alla donner de la tête contre le trottoir et son camarade Garcia était jeté à terre. M. Roger a été transporté à l'hôpital civil dans le coma. Le sergent, conduit à l'hôpital militaire, a subi l'opération de la trépanation. L'état
train d'Hammam-bouHadjar, à la station de Boulanger, arrivait une motocyclette montée par le sergent d'aviation Maurin Marcel, ayant en croupe le nommé Garcia. U voyageur, M. Roger, instituteur en retraite, demeurant faubourg Cavaignac, n'ayant pas eu le temps de séparer du véhicule, fut hrté vlmn et précipité à tere. La motocyclette obliquait à gc t son conducteur, le srgnt Mar alla donner d la tête contre le trottoir et son camarade Garcia était jeté à terre. M. Rgr a été transporté à l'hôpital civil dans le coma. Le sergent, conduit à l'hôpital militaire a subi l'opération de la trépanation. L'état
à l'hôpital militaire, a subi l'opération de la trépanation. L'état des deux blessés est grave. M. André, commissaire de police de la permanence, s'est transporté sur les lieux pour ouvrir une enquête. Au Ministère de l'air Paris, 1er janvier. — Le Ministère de l'air communique la note suivante : M. Louis Couhé, ancien secrétaire général du Ministère de l'air, est délégué dans les fonctions d'inspecteur général de l'aviation civile. DERNIÈRE HEURE LES ÉVÉNEMENTS À L'ÉTRANGER En Grande-Bretagne Les mineurs gallois ont cessé le travail Londres, 1er janvier. En dépit de l'intervention gouvernementale de la dernière heure, et d'une entrevue entre
lhôpital militaire, sui lopération de la aré.otpanint L'état des deux blessés est grave . André, commissaire de police de la permanence, s'est transporté sur les lieux pour ouvrir uen enquête. Au Ministère de l'air Paris, 1er jnvr. — Le Ministère de l'air communique la note suivante : M. u Couhé, ce scrétr général du Ministère de lair est délégué dans les fonctions d'inspecteur ral d 'aviation cvl. DERNIÈRE HEURE LS ÉVÉNEMENTS À T'GENRLRAÉ En Grande-Bretagne Les mineurs gallois ont cessé l travail Londres, 1er janvier. En édpti de l'intervention gouvernementale de la dernière heure, et d'une entrevue entre
l'intervention gouvernementale de la dernière heure, et d'une entrevue entre Sir Alfred Faulkner, secrétaire permanent au département des mines et le président de l'Association des propriétaires des mines du Sud du Pays de Galles, il n'a pas été possible d'arriver à un accord entre patrons et ouvriers mineurs gallois qui ont cessé le travail ce matin. La grève affecte 90,000 mineurs qui sont affiliés à la Fédération minière sur les 150.000 employés dans les mines du Pays de Galles. Le conseil d'arbitrage ne devant se réunir que samedi prochain, les ouvriers affiliés à la Fédération nationale chômeront donc forcément pendant
l'intervention gouvernementale de dernière heure, et d'une entrevue ntr Sir Alfred Faulkner, secrétaire permanent au épatn des mines et le président de Asocai des propriétaires eds mines du udS du Pays de Galles, il n'a ps été possible drirare'v à un accord entre patrons et ouvriers mineurs gallois q not cessé le travail c matin. La grè affecte 0,0009 mnrs qui on affiliés à la Fédértn minière sur ls 150.000 mpé dans les mines du Pays de Galles. Le conseil d'arbitrage ne devant se réunir que samedi prha, les ouvriers affiliés à la Frotidanéé ntnl chômeront donc forcément pendant
ouvriers affiliés à la Fédération nationale chômeront donc forcément pendant quelques jours quelque soit le résultat à intervenir d'ici la fin de la semaine. En Allemagne Un manifeste du chancelier Bruning Berlin, 1er janvier. — Toute la presse publie un manifeste du chancelier Bruning à l'occasion du nouvel an. Ce manifeste rappelle les difficultés de toute sorte qui ont marqué l'année écoulée et fait allusion aux différents mouvements politiques. De semblables mouvements étaient à prévoir, écrit le chancelier, ils se passent quelque temps après l'événement d'un nouvel ordre de choses politiques parce que les adversaires se retrouvent avec ceux qui
ouvriers affiliés à la éFotdiaénr nationale chômeront donc frcémnt pendant quelques jours quelque si le résultat à intervenir d'ici la fin de la smn. En Allemagne Un manifeste du haelir Bruning Berlin, 1er janvier. — Toute la presse publie un manifeste du chnclr Brnng à l'occasion du nouvel an. Ce manifeste rappelle les difficultés de toute sorte qui ont mrqé l'année écoulée te ft allusion aux différents mouvements politiques. De semblables mouvements étaient à prévr, écrit le chancelier ils etnsaps quelque temps après l'événement dun nouvel ordre de choses politiques parce ue lse adversaires se retrouvent avec ceux qui
politiques parce que les adversaires se retrouvent avec ceux qui ont été déçus. Ces agitations intérieures trouvèrent des aliments extérieurs dans le trouble de la politique générale dans le monde, dans l'aversion des puissances d'aboutir à une politique créatrice favorisant la civilisation et la question du désarmement dans les obligations allemandes de réparation ainsi que dans la situation à l'est. En Italie M. Mussolini parle de paix Rome, 1er janvier. — Dans une interview accordée à un représentant de la presse étrangère, M. Mussolini a protesté contre l'interprétation donnée à des extraits de ses discours dans le courant de l'année
politiques parce que les adversaires se retrouvent avec ceux qui ont été déçus. Ces agitations intérieures trouvèrent des aliments extérieurs dans le trouble de la politique générale dans le monde, das l'vrsn des puissances daboutir une politique créatrice favorisant la cvlstn et la question du saem dans ls obligations allemandes de réparation ns que as la situation à l'est. En Italie . Mussolini parle de paix Rome, 1er janvier. — Dans n interview accordée à un réea l presse rare M. Mussolini a protesté contre linterprétation donnée à des extraits de ses discours dans le courant de na'leén
des extraits de ses discours dans le courant de l'année 1930 et le montrant comme animé de sentiments belliqueux : il a dit notamment : « Je ne ferai jamais la guerre à moins d'être pris d'abord à la gorge. L'Etat des affaires internationales est très tendu en Europe, il faut en chercher la cause dans la grande disparité des armements qui existe entre les différentes nations européennes. Je sais que la nation française d'elle-même n'est pas agressive, mais l'hégémonie militaire qu'elle a établie maintient chacun en état de fermentation. En outre de la réduction des armements, la révision des
ds extraits de ses discours ndsa le courant de l'année 1930 et le montrant comme animé de sentiments belliqueux : il a dit notamment : « Je n ferai s l guerre moins 'r pris d'abord à l gorge L'Etat des affaires internationales est très tendu en Europe l faut en chercher la cause dans la grande disparité des armements qui existe entre les différentes nations européennes. Je sais q a nation française d'elle-même n'est pas agressive, mais l'hégémonie ilt qu'elle établie maintient chacun en état de fermentation. En outre de al réduction des armmts, la révision des
En outre de la réduction des armements, la révision des traités de paix est nécessaire pour rétablir le sentiment de sécurité. « Il y a des absurdités territoriales à éclaircir, il y a des injustices morales, comme la mutilation de la Hongrie à réparer. « Nous autres, Italiens, nous sommes forcés d'armer parce que nos voisins insistent pour amonceler les armements. Mais nos préparatifs militaires n'ont d'autre but que de protéger nos solides frontières naturelles. » En Egypte Les négociants demandent le retour à la constitution de 1923 Le Caire, 1er janvier. — La cour d'assises vient de condamner à
En outre de réduction des armements, la révision des traités de paix est éesi pour rt le sentiment de sécurité. « Il y a des absurdités territoriales à éclaircir, il y a des injustices morales, comme la mutilation de la Hongrie à réparer. « Nous autres, Italiens, nous sommes forcés d'armer parce que nos voisins insistent pour amonceler les armements. Mais nos préparatifs militaires 'n d'autre que de prtégr ns solides frontières naturelles. » En Ep Les négociants demandent le retour à la constitution de 1923 Le Caire, 1er janvier. — La cour asss'isde vient ed condamner à
1er janvier. — La cour d'assises vient de condamner à six jours de prison Famhy Effendi et Khidarï, propriétaires du journal « El Ghabib » poursuivis à la suite de la publication de certains articles accusant les réactionnaires d'avoir renversé la constitution de 1923. La cour d'assises a condamné, d'autre part, Abbas Effendi El Akkad, auteur des dits articles, inculpé de lèse majesté à neuf mois de prison. Plusieurs pétitions en faveur du retour à la constitution de 1923 dont une portant la signature de quatre cents négociants, ont été soumises au roi Fouad. A Cuba Des chefs de l'opposition
1er janvier. — L cour d'assises n de rdamonnec à six jours de prison Famhy Effendi et Khidarï, propriétaires du journal « El Ghabib » poursuivis la suite de la publication de certains articles accusant les séitnacneaoirr ardv'oi renversé la constitution de 1923. La cour d'assises a cdamné, d'autre pat Abbas ffdniEe El Akkad, auteur des dits articles, inculpé de lèse majesté à neuf mi de prison. Plusieurs pétitions en faveur du retour à la constitution de 1923 dont une portant la signature de quatre cnets négociants, ont été soumises au roi Fouad. A Cuba Des chefs de l'opposition
soumises au roi Fouad. A Cuba Des chefs de l'opposition sont arrêtés La Havane, 1er janvier. — Le gouvernement cubain a fait arrêter dix-sept chefs des partis d'opposition et fait saisir huit cents livres de dynamite destinée à la fabrication de bombes. Quinze des chefs politiques arrêtés appartenaient au parti nationaliste et ont été arrêtés au domicile même du parti dans la demeure de M. Menocal, ancien président. Six professeurs d'Université et M. de Rivero, directeur du « Diario de la Marina » sont également poursuivis pour propagande séditieuse et conspiration contre le gouvernement. En Birmanie Les rebelles auraient subi
soumises au roi Fa.dou A Cuba Des sehcf de l'opposition sont rt La Havane, 1er janvier. — Le gvrnmnt cubain a fait arrêter dix-sept chefs des partis d'opposition et fait ssr huit cents livres de dynamite destinée à la fabrication de bombes. Quinze des chefs ilipqotseu arrêtés appartenaient au parti nationaliste et ont été arrêtés au domicile mmêe du parti dans la demeure de M. Menocal, ancien président Six professeurs d'Université et M. de Rivero, directeur du Di de a Marina » sont également poursuivis pour propagande séditieuse et conspiration contre le gouvernement. En Birmanie Ls rblls auraient subi
conspiration contre le gouvernement. En Birmanie Les rebelles auraient subi une lourde défaite Rangoon, 1er janvier. — Des informations dont on n'a pas officiellement confirmation annoncent qu'une rencontre a eu lieu, dans la région de Pashegyaw, entre les troupes indiennes et les rebelles. Ces derniers ont subi de lourdes pertes. Par ailleurs, une dépêche de Tharrawaddy signale que la situation n'inspire plus aucune inquiétude. On s'attend à ce que tous les rebelles soient entièrement dispersés d'ici quelques jours. Ceux-ci auraient eu plus de cent tués au cours de l'engagement de mardi avec les troupes indiennes. Dans l'Inde Echauffourées Bombay, 1er
conspiration cntr el gouvernement. En Brmn Les rebelles auraient subi une lourde défaite Rangoon, 1er janvier. — Des informations dont on n'a pas otlcmfnieeielf confirmation nnncnt qu'une rencontre a eu lieu, dans la région de Pashegyaw, entre les prstoeu indiennes et les rebelles Ces derniers nto subi de lourdes pertes. Par eialsul,r une dépêche de Tharrawaddy signale que la situation ninspire plus aucune inquiétude. On s'attend à ce que tous les rebelles soient entièrement dispersés d'ici quelques jours. Ceux-ci auraient plus de n ués au cours de l'engagement de mardi avec les troupes indiennes. Dans l'Inde Echauffourées Bombay, 1r
mardi avec les troupes indiennes. Dans l'Inde Echauffourées Bombay, 1er janvier. — Les manifestations du jour de l'indépendance ont pris sur divers points de la ville une tournure menaçante. La police a dû faire feu plusieurs fois sur la foule blessant ainsi une douzaine de personnes blessées par des coups de bâton distribués par les agents indigènes. En Pologne Un traité commercial anglo-polonais Varsovie, 1er janvier. — M. Venizelos recevant les représentants de la presse a démenti les rumeurs selon lesquelles il serait venu en Pologne pour négocier une alliance militaire avec ce pays et a déclaré qu'il s'occupait à
ri avec les troupes indiennes. Dans l'Inde Echauffourées Bmby, 1er janvier. — Les manifestations du jour de l'indépendance ont pris sur divers points de la ville une tournure menaçante. La police a dû faire feu plusieurs fois sur la fl blessant ainsi une dzn de personnes blessées par des coups de bâton distribués pr les agents indigènes. En Pologne Un traité commercial anglo-polonais Varsovie, 1er janvier. — M. Venizelos recevant les représentants de la presse démenti les rumeurs selon lesquelles l serait venu en Pologne pr négocier une alliance militaire avec ce pays et a déclaré qu'il 'occupait à
militaire avec ce pays et a déclaré qu'il s'occupait à conclure un traité commercial. Sur la question de la révision des traités de paix, M. Venizelos a déclaré que les traités en vigueur ne constituent pas l'idéal et leur modification serait dangereuse pour la paix et d'autre part ne pourrait pas être un remède à la crise économique mondiale qui constitue maintenant un problème d'actualité. En Turquie La loi martiale à Menemen Ankara, 1er janvier. — Le groupe parlementaire du parti du peuple a décidé la proclamation de la loi martiale à Menemen uniquement en vue d'assurer le jugement commun
mltr ave ce pays te a déclaré qu'il s'occupait à conclure n traité commercial. Sur la qstn de la révision des traités de paix, M. Venizelos déclaré que les traités en vigueur ne constituent pas l'idéal t leur modification sea dangereuse pour l paix et aue part ne pourrait pas êtr n remède à la crise économique mndl q cnstt maintenant un problème dactualité En Turquie a loi martiale à Menemen Ankara, 1er janvier. — L groupe parlementaire d pat du peuple a décidé l proclamation de la loi martiale à Menemen uniquement en v dassurer le jugement commun
martiale à Menemen uniquement en vue d'assurer le jugement commun des militaires et des civils inculpés dans cette affaire. — Le gouvernement s'est prononcé nettement contre la manière forte, il élabore un projet applicable aux cas exceptionnels. — Les étudiants et les professeurs de l'Université de Stamboul ont tenu une réunion au cours de laquelle ils ont blâmé le gouvernement réactionnaire de Menemen. Des discours affirmant leur attachement à la révolution ont été prononcés. Des réunions analogues ont eu lieu dans plusieurs villes. En Hongrie Le comte Bethlen projette la création d'un bloc économique Budapest, 10 janvier. — Le journal
martiale à Menemen niqueme en vue d'assurer jugement commun des militaires et des civils inculpés dans cette affaire. — Le gvrnmnt 'est prnncé nettement contre la manière forte, l élabore un proje applicable au cas exceptionnels. — Les étdnts t les professeurs de l'Université d Stamboul ont tenu une réunion au cours de laquelle ls ont blâmé gouvernement réactionnaire Mnmn. discours ffrmnt leur attachement à l révolution ont été prononcés. e ruin analogues ont eu lieu dans plusieurs villes. En Hngr L cmt Bethlen peteorjt la création d'un bloc économique Budapest 10 janvier. — Le journal
création d'un bloc économique Budapest, 10 janvier. — Le journal « La Az Est » annonce que le comte Bethlen prépare actuellement un projet de collaboration et d'échanges économiques avec l'Autriche, l'Allemagne et l'Italie. Ce projet de loi prévoit l'intensification des échanges entre ces pays et aurait déjà été accepté par l'Allemagne et serait prochainement soumis au gouvernement autrichien. Les milieux économiques estiment d'ailleurs que ce dernier donnerait son approbation. Ce plan permettrait à la Hongrie de trouver un débouché pour ses produits agricoles qui remplaçerait celui de Tchécoslovaquie qu'elle a perdu récemment à la suite de la rupture des
création bloc économique Budapest, 10 janvier. — Le journal « La Az Est » nnc que le comte Bethlen pepréar actuellement un prjt de collaboration et d'échanges économiques avec l'Autriche, gelAea'nllm et l'Italie. Ce projet ed loi prévoit l'ntnsfctn des écge entre ces pays et rt déjà été ccpté par l'Allemagne et serait prochainement su au gouvernement autrichien. Les milieux économiques d'ailleurs ue ce dernier donnerait sn approbation. Ce plan permettrait à la He trouver un débouché pour ses produits agricoles qui remplaçerait celui de Tchécslvq qu'elle perdu récmmnt à st de la rupture des
a perdu récemment à la suite de la rupture des pourparlers engagés en vue du renouvellement du traité commercial Hongro-Tchécoslovaque. Au Nicaragua Au sujet des fusiliers marins américains attaqués par des bandits Washington, 1er janvier. — On mande de Managua (Nicaragua) au département de la marine que des fusiliers marins américains, qui réparaient les lignes téléphoniques, ont été attaqués par des bandits dans la région montagneuse du Nicaragua. Après une fusillade qui a duré plus de deux heures les bandits ont été repoussés. Onze d'entre eux ont été tués et plusieurs blessés. Les fusiliers marins ont perdu huit hommes et
a perdu récemment à la st de la rupture des pourparlers engagés vue du vlemet du traité commercial Hongro-Tchécoslovaque. Au Ncrg Au sujet des fusiliers marins américains attaqués rap des di Washington, r janvier. — On mande de Magu (Nicaragua) au département de la marine u des fusiliers marins améis qui réparaient les lignes téléphoniques, ont téé attaqués par eds bandits dsna la région montagneuse du Nicaragua. Après une fusillade qui a ur plus de dx heures les bndts ont été repoussés. Onze d'entre e ont été tués et plusieurs blessés. Les fusiliers marins ont uderp huit hmms t
plusieurs blessés. Les fusiliers marins ont perdu huit hommes et deux autres ont été grièvement blessés. La tempête en France et à l'Étranger En France Paris, 1er janvier. La tempête violente qui s'est déchaînée mercredi sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique ainsi que sur plusieurs points du territoire continue à souffler aujourd'hui dans diverses régions. Dans plusieurs ports, on est inquiet au sujet des bateaux qui n'ont pas rejoint leur mouillage. Le cargo grec « Théodoros-Bulgàris » qui avait déjà été victime de la tragique tempête de septembre de l'année dernière s'est échoué au large de l'île
plusieurs blessés. Les fusiliers mrns ont perdu huit hommes et du autres ont éét grièvement blessés. La tempête en France et à l'Étranger En France Paris, 1er janvier. La tempête violente qui s'est déchaînée mercredi sur ls côtes de la Manche et de l'Atlantique ainsi que sr plusieurs points du terioire continue à souffler aujourdhui dans diverses régns. Dans plusieurs ports, on tse inquiet sujet des ateu qui n'ont ps rejoint urle mouillage. Le cargo « ThéosBulà » qui avait déjà t victime de la traiq tmpêt de septembre 'année dernière s'est échoué au large de l'île
septembre de l'année dernière s'est échoué au large de l'île d'Ouessant. On est sans nouvelle de l'équipage. A Dieppe, le paquebot de Newhaven est arrivé avec un long retard. Dans la Vienne et dans la région de Reims, pendant toute la journée, le vent a soufflé avec rage accompagné de trombes d'eau. Une trombe de grêle s'est abattue sur la région de Sainte-Menehould entraînant une baisse de la température. Le niveau de l'Aisne a fortement monté depuis 24 heures, la rivière sort déjà de son lit sur certains points. Dans la Sarthe et la Basse-Vilaine, une pluie torrentielle a en
septembre d l'nné drnèr s'st échoué au large de l'île 'Ouessant. On est sans nouvelle de l'équipage. A Dieppe, le paquebot Newhaven est arrivé avec un long retard Dans la Vienne et dans la région de seim,R pendant toute journée, le vent a sfflé avec rage accompagné d ts 'eau. Une tbrmoe de grêle 'est abattue sur la région d Sint-eneou entraînant une as de la température. Le niveau de l'Aisne a emrtofetn monté depuis 24 heures l rivière t déjà de son lit sur certains points. Dans la Sr et la Basse-Vilaine, une pluie torrentielle a en
la Sarthe et la Basse-Vilaine, une pluie torrentielle a en partie détruit les récoltes de l'année ainsi qu'un grand nombre d'arbres fruitiers. De Langres on signale qu'il pleut et que durant tout le mois de décembre on n'a vu briller le soleil que pendant 14 heures seulement. A l'Etranger De Pologne, on annonce que par suite d'une baisse subite de température, la Baltique a gelé aux abords de Gdynia sur une étendue de 20 à 30 mètres. En Bessarabie et en Bukovine, le thermomètre est descendu jusqu'à 19° sous zero et la neige tombe en abondance gênant le trafic ferroviaire.
la Srth et la Basse-Vilaine, une pluie torrentielle a en partie détruit les réclts de 'année ainsi qu'un grand nombre darbres fruitiers. De Langres on ignae qu'il etulp et que durant tout le oims d décembre on n'a vu briller le e que pndnt 14 heures seulement. A l'Etranger D Pologne, on annonce que par suite dune basse subite de température, la Baltique glé aux abords de Gdynia sur une étendue de 20 à 30 mètres. En Bessarabie et en Bkvn, le thermomètre est descd jsq'à 19° sous zero et la neige tombe en abondance gênant le trafic ferroviaire.
et la neige tombe en abondance gênant le trafic ferroviaire. En Italie, c'est une secousse sismique qui a ébranlé la province d'Avellino faisant s'écrouler quelques maisons. DANS L'ARMEE SERVICE DE SANTE (Réserve) Affectations Les pharmaciens sous-lieutenants de réserve ci-après désignés reçoivent les affectations suivantes : A la région de Paris : Guin, du 19e corps d'armée. A la 18e région : Lafargue, du 19e corps d'armée. Légion d'honneur (Suite) CHEVALIERS Intendance Lieutenant d'administration Bastelica, troupes de Tunisie ; capitaine d'administration Marguet, troupes du Maroc. Service de santé Les médecins capitaines Cheyron, Lacrèzé, troupes du Maroc ; Hurdille, 19e région ;
et la neige tombe en abondance gênant le trafic ereivriaf.ro En Italie, c'est une scss sismique qui a ébranlé la province d'Avellino faisant e'lruoscér quelques maisons DANS LARMEE SERVICE D EASTN (Réserve) Affectations Les pharmaciens sous-lieutenants de réserve ci-après désignés reçoivent ls affectations suivantes : A la régn de Paris : Guin, du 19e corps d'rmé. A la 18e région : Lafargue, du 19e corps d'armée. Légion d'hnnr (St) CHEVALIERS Intendance Lieutenant d'administration Bastelica, troupes de Tunisie capitaine d'administration Marguet, troupes du Maroc. Service de santé Les médecins capitaines Cheyron, Lacrèzé, troupes du Maroc ; Hrdll, 19e ron ;
Cheyron, Lacrèzé, troupes du Maroc ; Hurdille, 19e région ; Loustric, hôpital Maillot, Alger ; Julienne, troupes du Maroc ; lieutenant d'administration Lauzun, hôpitaux du 19e corps d'armée ; capitaine d'administration Feltin, division d'Oran; les lieutenants d'administration Marre, Garsiglia, troupes du Maroc. Etat-major de l'armée Le lieutenant Gaillard, état-major de la division de Constantine. Interprètes Les lieutenants Lesur, Berthon, affaires indigènes du Maroc. Infanterie coloniale Lieutenant Louvrière, 15e sénégalais, adjudant-chef Verdier, 13e sénégalais. Artillerie coloniale Capitaine Aima ; lieutenant Cauchon, au Maroc. Chefs indigènes d'Afrique du Nord Algérie : Djedid ben El Hadj, caïd, tribu Gueraridj (annexe de Géryville); Si
Cheyron, Lacrèzé, troupes du Mrc ; udle, 19e ignoré ; Loustric, hôpital Maillot, lgr ; Julienne, tseorup du Maroc ; lieutenant dmnisrao Lzn, ôptux du 19e corps d'armée ; capitaine d'administration Feltin, dsin d'Oran; les lieutenants d'administration Marre, Garsiglia, troupes du Maroc. tt-mjr de l'armée Le lieutenant Gllrd, état-major de la dvsn de Constantine. Interprètes Ls ieuents Lesur, Berthon, affaires indigènes du Maroc nInterfaie coloniale Lieutenant vrère 15e égaais, adjudant-chef Verdier, 13 sénégalais. Artillerie coloniale Capitaine Aima ; lieutenant Cauchon, au Maroc. Chefs indigènes d'Afrique du Nord Algérie : Djedid ben El Hadj, caïd, tribu Gjirdeura (annexe de Géryville); Si
ben El Hadj, caïd, tribu Gueraridj (annexe de Géryville); Si Messaoud, cheikh de Sidi-Okba ; Sâad ben Abdallah, caïd des Oulad Aissa (annexe de Djelfa) ; Cheikh ben Abdallah, caïd, tribu Beni-Ounif ; Si Ahmed ben Mohamed Tidjani, chef des Zaouïa Tidjania, de Tamellalt ; Si Ba Amara, caïd, tribu de Melika (annexe de Ghardaïa). Maroc : Miloudi ben Mohamed, caïd, Mia-Tabor, police de Tanger. Dans la magistrature Paris, 1er janvier. Est nommé vice-président du tribunal de première instance de Casablanca, sur sa demande, M. Néron, président du tribunal de première instance de Philippeville, en remplacement de M. Sanviti, nommé
ben El Hadj, ïdc,a tribu Gueraridj (annexe de Géryville); Si Messaoud cheikh de SidiOkba ; Sâad ben Abdallah, caïd des Oulad Aissa (annexe de Djelfa) ; Cheikh ben Abdallah, caïd, tribu Beni-Ounif ; Si Ahmed ben Mohamed Tidjani, chef des Zaouïa Tidjania, de Tamellalt ; Si Ba Amara, caïd, tribu de Melika annexe d Ghardaïa Maroc : Miloudi ben Mohamed, caïd, Mia-Tabor, pli de Tanger. Dans la magistrature s 1er janvier. Est mmoné vice-président du tribunal de première instance de Csblnc, sr sa demande, M. Néron, présdnt du tribunal de première instance de Phlppvll, ne emlem de M. nvSta,ii nommé
première instance de Philippeville, en remplacement de M. Sanviti, nommé président de chambre à la cour d'appel de Rabat; L'état de santé du maréchal Joffre (SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE) LA SOIRÉE A la fin de l'après-midi M. Millerand est venu prendre des nouvelles du maréchal puis, à partir de 20 heures les visiteurs se firent plus rares. En sortant de la clinique les docteurs Boulin et Fontaine ont déclaré que le maréchal respirait toujours mais que c'était la première fois qu'il restait aussi longtemps dans le coma. A 21 heures M. Barthou est venu s'entretenir avec Mme Joffre. Un
première instance de Philippeville, en alenmcptmere de Sanviti, nomé président de chambre à la cour d'appel de Rabat; L'étt d santé du mhl Joffre (SUITE DE LA PREMIÈRE PAG) LA SOIRÉE A la fin de l'après-midi M. Millerand est venu prendre des nouvelles du arhémcla puis à partir de 02 hrs les visiteurs se firent plus rares En srtnt de la clinique les docteurs Boulin et Fntn ont déclaré q le mrlahéca respirait toujours mais que c'était la première fois quil restait ss longtemps dans l coma A 21 heures . Barthou est venu s'entretenir avec Mme Jffr. Un
heures M. Barthou est venu s'entretenir avec Mme Joffre. Un peu plus tard le colonel Desmaze a communiqué le bulletin suivant : «Etat sans changement. Signé professeur Leriche,». M. Barthou interrogé quelques instants après a déclaré que l'état du malade était stationnaire. Physiquement dit-il le maréchal change d'heure en heure. Est-il dans le coma ? A-t-on demandé au ministre de la guerre. Il est plutôt en état de somnolence a répondu M. Barthou, de temps à autre il s'agite, mais l'état reste très grave. Presque en même temps que M. Barthou, le professeur Jean Louis Faure quitta le chevet du
hrs M. Barthou est venu s'entretenir avec Mme Joffre. Un p plus tard le n Desmaze a communiqué le bulletin suivant «Etat sans changement. Signé professeur Lrch,». M. Barthou interrogé quelques instants près a déclaré que l'état du malade étt stationnaire. Physiquement dit-il l maréchal change d'heure en ere. Est-il dans le coma ? Aton demandé au ministre de la guerre. est plutôt ne état de somnolence a répondu M. Barthou, de temps à autre il 'agite, mais l'état reste très grave. Presque en même temps que M. Barthou, le professeur Jean Louis Fr quitta le chevet u
Barthou, le professeur Jean Louis Faure quitta le chevet du maréchal. Questionné le professeur a confirmé les déclarations de M. Barthou. — Depuis 15 heures, a-t-il dit, il n'y a aucun changement. Il a confirmé que le maréchal était non dans le coma mais plutôt en somnolence. Quelques minutes plus tard la clinique fut fermée. Le professeur Leriche, les docteurs Fontaine et Boulin sont restés auprès du malade. DERNIÈRE HEURE SPORTIVE Guerra-Dinale sont vainqueurs au vélodrome d'hiver Paris, 1er janvier. — Les fidèles du vélodrome d'Hiver sont venus en grand nombre assister au grand prix du Nouvel an, la course
Barthou, le professeur Jean Faure quitta le ve du maréchal. ieuQtonsén le professeur a confirmé les déclarations de M. Barthou. — Depuis 15 hrs, a-t-il dit, il n'y a aucun changement. Il a confirmé que le maréchal était non dans le coma mais plutôt en somnolence Quelques minutes plus tard la clinique fut fermée Le professeur Leriche les docteurs Fontaine et Boulin sont restés auprès d malade. DERNIÈRE HEURE SPORTIVE Guerra-Dinale snt vainqueurs au vélodrome d'hiver Paris, 1er janvier. — Les fidèles du véldrm i sont venus en grand nombre assister au grand prix du Nouvel an, la course
nombre assister au grand prix du Nouvel an, la course à l'américaine sur 3 heures. Les quinze équipes prennent le départ à 14 h. 45. Van Massenhove remplace Benoist Faure et fait équipe avec le Suisse Haas. Une course individuelle réservée aux amateurs servait de lever de rideau à l'américaine. Cette individuelle fut gagnée par Mercier devant Gelliez et Coudret. Dès le départ de l'américaine des échappées se succèdent, mais elles sont vite annihilées par les équipes italiennes qui se montrent très combatives. Les 10 kilomètres sont couverts en 12' 56" 2/5. On fait disputer les premières séries de sprints
nombre assister au grand ri du Nouvel an, la course à l'américaine sur 3 heures. Les qnz équipes prennent le départ à 14 h. 45. Van Massenhove remplace Benoist Faure et fait équipe vc le Suisse saa.H Une course individuelle éésvrree aux amateurs servait de lever de rideau à lmainéi'ec.ar Ctete ndvdll fut gagnée par Mercier devant Gelliez et Coudret. Dès le départ de l'américaine des échappées se succèdent ms elles snt vite annihilées par les équipes italiennes qui se montrent très mae. Ls 10 kilomètres sont couverts en 12' 6"5 2/5. On fait disputer les premières séries de sprints
56" 2/5. On fait disputer les premières séries de sprints et alors que Boucheron vient d'enlever le premier, Henri-Pierre Drouaux se dédoublent facilement, les 20 km. en 25' 36". 4/5. La course continue à être très animée et les 30 km. sont atteints en 36' 26". Les 40 km. sont couverts par Raynaud-Dayen, 51' 3". Lorsque commence la seconde série de sprints, on annonce que trois équipes sont en tête : Raynaud-Dayen, Guerra-Dinale et Faudet-Boucheron. Dans une heure, 46 kms 625 sont parcourus. Bir-da-Linari, Guerra-Dinale, Letourneur-Marcillac se distinguent en prenant des tours. Les 60 kilomètres en 1 heure 17'23". Le
56" 2/5. On fait dsptr les premières séries de sprints et alors que Boucheron vient d'enlever le premier, Henri-Pierre Drouaux se dédoublent facilement, ls 20 km. en 25' 36". 4/5. La urs continue à être très animée et les 30 km. nost atteints en 36' 26". Les 40 km sont couverts par Raynaud-Dayen, 51' 3". Lorsque mce la seconde série de sprints, on annonce que trois équipes sont en etêt Raynaud-Dayen, -GaniauererlD et Faudet-Boucheron. Dans une heure, 46 kms 625 sont parcourus Bir-da-Linari, Guerra-Dinale, Letourneur-Marcillac se distinguent n prenant des trs. Les 60 kilomètres en 1 heure 17'23". Le
des tours. Les 60 kilomètres en 1 heure 17'23". Le classement est le suivant : 1. Guerra-Dinale. 12 points ; à un tour, 2. Faudet-Boucheron, 8 points ; 3. Binda Linari, 7 points; 4. Raynaud-Dayen, 3 points. Les 80 kilomètres sont couverts par une équipe italienne en 1 heure 4"12" En 2 heures, Guerra-Dinale ont parcouru 91 kilom. 720. Les sprints sont gagnés par Linari, Cordier, Linari, Choury et Fabre. Les 100 milles sont couverts en 2 heures 10'36" ^/5 (record) : 1. Guerra-Dinale, 37 points ; 2. à un tour, Choury-Fabre, 6 points ; à trois tours, 3. Raynaud-Dayen,
des tours. Les ilmtrs n 1 heure 17'23". Le clssmnt est le svnt : 1. Guerra-Dinale. 12 points ; à un tour, 2. Faudet-Boucheron, 8 points ; . Binda Linari, 7 points; 4. Raynaud-Dayen, points. Les 80 kilomètres sont couverts par une équipe italienne en 1 heure 4"12" E 2 heures, Guerra-Dinale ont parcouru 91 io 720. Les sprints sont gagnés pr Linari, Cordier, Linari, Choury et F. Les 100 milles sont couverts en 2 heures 10'36" ^/ record : 1 Guerra-Dinale, 37 n ; 2. à un tour, Chry-Fbr, points ; à trois tous 3. RaynaudDayen
tour, Choury-Fabre, 6 points ; à trois tours, 3. Raynaud-Dayen, 10 points ; 4. Faudet-Boucheron, Letourneur-Marcillac, 9 points ; à quatre tours, Coupry-Cordier, Binda-Linari, Foucault-Merviél, Henri Pierre-Drouaut. Guerra-Dinale augmentèrent encore jusqu'à la fin leur avance pour terminer avec trois tours. La dernière série de sprints, composée de neuf sprints, fut remportée par Boucheron, Cordier, Dinale, Guerra, Hournon, Faucaux, Boucheron, Lemoine Coupry. 1 Thierbach et Merviel firent une chute sans gravité ; le public ovationna les vainqueurs au cours de ces différents sprints. CYCLISME LES SIX JOURS DE BRUXELLES Bruxelles, 1er janvier. Classification de la course des six jours après 22
tour, Choury-Fabre, points ; trois tours, 3. Raynaud-Dayen, 10 pnts ; 4. Faudet-Boucheron, Letourneur-Marcillac, 9 points ; à quatre tours Coupry-Cordier, Bnd-Lnr, Foucault-Merviél, Henri PierreDrouaut Guerra-Dinale ugrent encore jusqu'à la fin leur avance pour terminer avec trs urs. La dernière r de sprints, composée d neuf sprints, fut remportée par Boucheron, Cordier, Dinale, Guerra, Hournon, Faucaux, oocne,rhBu Lemoine Coupry. Thierbach et evil firent une chute sans gravité ; le ilbpcu ovationna vainqueurs au cours de ecs différents sprints. CCIS LES SIX JRS DE BRUXELLES Bruxelles, 1er janvier. Classification de la crs des six jours après 22
janvier. Classification de la course des six jours après 22 heures le 1er janvier : 1. Van SlembruckVan Hevel, 114 points; 2. Miller-Henri Aerts, 111 points; 3. Van Hout-Braspennink, 92 points; 3 équipes suivent à un tour, 4 à 2 tours, 2 à 3 tours, une à 6 tours, une à 10 tours, une à 11 tours. Au Comité exécutif de la Confédération internationale des étudiants Chamonix; 1er janvier. — Le comité exécutif de la confédération internationale des étudiants a continué aujourd'hui sous la présidence de M. Paul Saurin (France), la discussion du rapport de l'office des voyages de Londres.
janvier. Classification de la cours des six jours après 2 heures le 1er janvier : 1. Van SlembruckVan Hevel, 114 points; 2 Miller-Henri Aerts, 111 points; 3. Van Hout-Braspennink, 92 pnts; 3 p suivent à n tour, 4 à 2 tours, 2 3 tours, ue à 6 tu une à 10 tours une à 11 tours. Au Comité exécutif d la Confédération internationale e étudiants Chamonix 1er janvier. — Le comité exécutif d la confédération internationale des étudiants a continué aujourd'hui sous la encisdréep de M. Paul Saurin (France), la discussion du rapport d l'office des voyages de Lonres
la discussion du rapport de l'office des voyages de Londres. Les itinéraires des caravanes d'étudiants américains et sud-africains en Europe ont été arrêtés et deux colonies de vacances seront établies en Autriche et en Roumanie. Les premières mesures ont d'autre part été prises pour le grand congrès annuel de la confédération qui se tiendra en août prochain à Bucarest. Enfin les rencontres universitaires internationales de sports d'hiver ont été envisagées pour Chamonix l'année prochaine. Des malfaiteurs arrachent, à une femme, un sac à main et s'enfuient Marseille, 1er janvier (de notre correspondant particulier). — Des malfaiteurs en automobile ont assailli,
la discussion du rapport de l'office des voyages de Londres. Les itinéraires des caravanes d'étudiants américains et sud-africains en Europe ont été arrêtés et deux clns de vacances seront établies en Autriche et en Roumanie. Les premières eessurm ont d'tr part été prises pour le grnd congrès annuel de la confédération qui se tiendra en août prochain Bucarest. Enfin les rencontres uivas internationales de sports 'ervidh ont été envisagées pour Chamonix l'année prochaine. Des malfaiteurs arrachent, à une femme nu sac à main et 'enfuient Marseille, 1er janvier (de notre corespnant rlieiuc)rpta. — Des malfaiteurs en tmbl ont assailli,
notre correspondant particulier). — Des malfaiteurs en automobile ont assailli, la nuit dernière, rue Jean-Martin, François Volpino 56 ans et sa femme qui rentraient chez eux. Ils ont arraché le sac à main de Mme Volpino. Ce sac à main contenait 1.800 francs et des bijoux. Après avoir commis leur méfait les malfaiteurs ont abandonné rue Sainte-Cécile la voiture qu'ils avaient dérobée quelques heures auparavant à M. André Collot, rue Sénac. Une auto amphibie a été détruite dans l'incendie de Mouvaux Lille, 1er janvier. — L'incendie qui s'est déclaré dans le garage de M. Alphonse Liétard, à Mouvaux, a fait
notre correspondant particulier). — Des malfaiteurs en automobile ont assailli, la nuit drnèr, rue Jean-Martin, François Volpino 56 ans et sa femme qui rentraient chez eux. Ils ont aracé le sc main de Mme Vlpno. Ce asc à main contenait 10 francs et des xiob.uj spArè avoir commis leur méfait ls malfaiteurs ont abandonné rue Sainte-Cécile la voiture quils avaient dérobée quelques heures prvnt à M. André Collot, rue Sénac. eUn t amphibie a été rit dans lined de Mouvaux Lille, 1er janvier. — L'incendie qui s'est déclré dans le gaag d M. Alphonse Liétard Mvx, fait
le garage de M. Alphonse Liétard, à Mouvaux, a fait connaître l'existence d'une auto amphibie que M. Liétard, avec le concours de Georges Panier et de M. Julien Lestrade de Croix avaient construite en grand secret. Cette auto amphibie longue de 10 mètres 50 et large de 2 mètres 50, était munie de deux moteurs à l'avant et comportait un grand nombre de places. Selon l'inventeur l'appareil était presque terminé et des démonstrations allaient être faites. La construction de cet engin avait été tenue secrète et se poursuivait depuis 2 ans. Jusqu'ici plus de 200.000 francs avaient déjà été dépensés
le garage de M. Alphonse Liétard, à Mouvaux, a ft connaître l'existence d'n t amphibie que M. Liétard avec le concours de Georges Panier et de .M Julien Lestrade de Croix avaient construite en grand scrt. Cette auto amphibie longue de 10 mètrs 50 et lrg de 2 mètres 50 était n de deux moteurs à l'vnt et comportait un grand nombre de places Sn l'inventeur l'appareil était presque terminé et ds démonstrations allaient être faites. La construction de cet gi été tenue secrète et s poursuivait depuis 2 ans. Jusqu'ici plus d 200.000 francs avaient déjà été dépnsés
ans. Jusqu'ici plus de 200.000 francs avaient déjà été dépensés pour la construction de l'appareil. NOUVELLES BREVES France. — Yahya Khan Chargoëzlou ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts de Perse, est arrivé à Paris. — Le général de division Aimone Pelegrin, ancien commandant du 12e corps d'armée, grand officier de la Légion d'honneur, est décédé à Paris. — L'agha Khan, arrivé il y a quelques jours à Paris, souffre d'un léger refroidissement. — Le garde-côtes « Gracieuse » captura cette nuit le chalutier italien Bucdari qui pêchait dans les eaux territoriales françaises. — On a volé à Nice, dans
ans. Jusqu'ici plus de 200.000 francs vnt d été dépnsés pour la construction de l'appareil. UVS BV Fane. — Yahya Khan Chargoëzlou ministre de l’Instruction publique et des BeauxArts de Perse est arrivé à Paris — Le général de division Aine Pelegrin, ancien cmmndnt du 12e corps darmée grand officier de la Légion dhonneur est décédé à i — L'agha Khan, arrivé il y a quelques jours à Paris, sffr d'un léger refroidissement. — Le garde-côtes « Grcs » captura cette it le chalutier italien Bucdari qui pêchait ndsa les eaux territoriales françaises. — a volé à Nice, dans
eaux territoriales françaises. — On a volé à Nice, dans un casino, un billet de banque et un chèque de 150.000 francs appartenant à deux clients de l'établissement. — Le directeur-propriétaire de la Banque de commerce de Pont-Audemer, atteint de dépression nerveuse, s'est suicidé. — Sur la proposition du ministre de la Guerre, des distinctions ont été accordées à un certain nombre de militaires dont la conduite fut particulièrement remarquée lors des incidents de Yen Bai. — Un train de marchandises venant de Caen a déraillé ce matin près de la gare des Batignolles, provoquant des retards sur les lignes
eaux trrtrls françaises. — On a volé à Nice, dans un casino, un betill de banque et u chèque de 150.000 francs appartenant à deux clients de l'établissement. — Le directeur-propriétaire de a Bnq de commerce de Pnt-dmr, tttanie de prssion nerveuse, s'st suicidé. Sur la proposition du ministre de la ur des istnct ont été dceésorca à un tai nmbr de militaires dont la conduite fut particulièrement remarquée lors sed ncdnts nYe Bai. — Un train de marchandises venant de Caen a déraillé ce matin près de la gr des toes provoquant des reas sur les lignes
la gare des Batignolles, provoquant des retards sur les lignes de la banlieue. — Un vœu tendant à empêcher la réouverture du Casino d'Enghien a été déposé au conseil municipal de Paris. — A Belleville, une jeune fille a tenté de tuer sa mère à coups de marteau pour la soustraire à la misère. — Les obsèques de M. Henri Guernay, directeur honoraire au Ministère des finances, ancien censeur de la Banque du Maroc, ont été célébrées ce matin en l'église Saint-Charles de Monceau. — Le sculpteur Ernest Dubois, grand prix de Rome, est décédé à Paris. — Le conseil
la gare des Batignolles rovn des retards sur le eigsln de l banlieue. — Un vœu tendant à empêcher la réouverture du Casino d'Enghien été déposé au conseil luiancmip de Paris. — A Belleville, une jeune fille a tnté de tuer sa mère à puosc de marteau pour la soustraire à la misère. Les obsèques de M. ri Guernay directeur honoraire au Ministère des finace ncn censeur de la Banque d Maroc, ont é célébrées ce ain en l'église Saint-Charles de Mnc. — Le sculpteur Ernest Dubois, grand prix de Rome est décédé à Paris. Le conseil
prix de Rome, est décédé à Paris. — Le conseil municipal de Reims a félicité son président, Paul Marchandeau, député-maire, de son entrée dans le gouvernement comme sous-secrétaire d'Etat à la présidence du Conseil. — La commission départementale de la Meuse adresse ses vœux à M. Raymond Poincaré. — Le capitaine Devaux a fait, dans la salle parisienne du Musée social, une conférence très suivie sur la Mauritanie. — Les employés communaux mécontents de leurs salaires, ont manifesté devant la mairie de Grenoble. — Parmi la promotion dans la marine on remarque celle au grade de capitaine de frégate de
prix de Rm est cdéédé à Paris. — Le conseil municipal de Reims a félcté son présdnt, Pul Marchandeau, député-maire, de son entrée dans e gouvernement cmm sous-secrétaire d'Etat à la présidence du Conseil. — La commission départementale de la Ms adresse ses vœux à M. Raymond Poincaré. — capitaine Devaux a fait, dans la salle parisienne d Musée social, une conférence tè suivie sur la Mauritanie. — Les mplyés nomuxcaum mécontents d leurs salaires, ont iésamenft devant la mr de Grenoble. — armi la rmoton dans marine on remarque celle au grade de capitaine de frgate de
on remarque celle au grade de capitaine de frégate de F. Brusq qui débuta dans la flotte comme simple matelot à dix-neuf ans et fut le hardi commandant d'un sous-marin pendant la guerre. — L’Aéro-Club de France vient de confirmer à l’Aéro-Club de la Grande-Bretagne l'engagement d'un appareil français pour la coupe Schneider. — Une bouteille de gaz toxique s'est débouchée chez un ferrailleur à Choisy. Un ouvrier a été gravement incommodé. Allemagne. — En Saxe, 300.000 ouvriers du textile seront congédiés à la date du 28 février 1931. Argentine. — Un décret prescrit la mobilisation du fonds de conversion
on rmrq celle au grade de capitaine de frégt de F. Brusq qui débuta dans la flotte comme simple matelot à dix-neuf ans et fut le hardi commandant d'un ous-mai pendant la guerre. — L’Aéro-Club de France vient confirmer à l’Aéro-Club d l Grande-Bretagne l'egen d'un appareil français pour la coupe Schneider. — Une bouteille de gaz toxique s'est débouchée hcze un ferrailleur à Choisy. Un vrr a été gravement ncmmdé. Allemagne. — En Saxe, 300.000 ouvriers d textile seront iédnéogcs à la date ud 28 février 1931. Argentine. — Un décret prescrit la mobilisation du fonds de conversion
— Un décret prescrit la mobilisation du fonds de conversion de l'or, pour opérations de change à l'étranger. Canada. — Six enfants ont été brûlés vifs dans l'incendie de l'appartement d'un commerçant de Québec. Etats-Unis. — A l'occasion du nouvel an, M. Hoover a publié une proclamation mettant en application le traité naval de Londres. — Le bulletin journalier du mouvement de l'or dans les réserves du Trésor annonce qu'il a été importé 3.000.000 de dollars du Canada et 1.650.000 dollars de Cuba. — M. Hugh Wallace, ancien ambassadeur en France, est décédé à Washington. Grande-Bretagne. — Un bidon d'essence
— Un décret prescrit la mblstn du fods de conversion d lor upro opérations de change 'étranger. Canada. — S nfats ont éé brûlés vifs dans 'incendie de l'appartement d'n crant de be.éQcu EtatsUnis — A losin du nouvel an, M. Hoover a publié une proclamation mettant en application le traité naval d Lndrs. — Le bulletin journalier du toeemunmv e l'or dans les réserves du Trésor annonce qu'il a été importé 3000000 de dollars du Caa et 1.650.000 dollars de Cuba. M. Hgh Wllc, acin ambassadeur en France, est d à Washington. rae-Btn. — Un bidon sce
France, est décédé à Washington. Grande-Bretagne. — Un bidon d'essence a fait explosion à Derry-York, communiquant le feu à un immeuble. Trois personnes ont été brûlées vives. Le haut commissaire de l'Etat libre d'Irlande a déposé dans la matinée au Foreign Office l'instrument de ratification du traité naval par l'Etat libre d'Irlande. — M. William Winterborne, inventeur du système de la roue libre pour bicyclette, est décédé à Isleworth. — Londres possède, à partir d'aujourd'hui, 300 nouveaux agents à motocyclette chargés de faire respecter le règlement de circulation. — Les statistiques de trésorerie révèlent un déficit de 180.600 francs. 487
France, est décédé à Washington. Grande-Bretagne. — Un bidon d'essence fait explosion à Derry-York, communiquant le feu à un mmeubl. Trs prsnns ont été brûlées vives. Le ht commissaire de l'Etat libre d'Irlande déposé dans la matinée Foreign Offe l'instrument de ratification du traité naval par lEtat libre d'Irlande. — M. William Winterborne, inventeur du système d la roue libre pr bicyclette, est décé à Isleworth. — Londres possède, à partir d'jrd'h, 300 nouveaux agents à motocyclette chargés de faire respecter le règlement de circulation. — Les statistiques de trésorerie révèlent un défct de 180.600 francs. 487
statistiques de trésorerie révèlent un déficit de 180.600 francs. 487 de livres sterling pour les neuf mois se terminant au 31 décembre. — Le comte de Savigny s'est suicidé dans une chambre d'hôtel à Londres. Guatemala. — Le président Orellana a démissionné. Le docteur Reina Andrado a été élu à sa place. Italie. — L'aviateur Barnard, accompagné de lord Lovelace, ont quitté Rome pour Catane. Lithuanie. — Le gouvernement a décidé d'augmenter considérablement les droits de douane à partir d'aujourd'hui. Pays-Bas. — On a arrêté à Rotterdam un individu qui tentait de vendre un bâton de maréchal de l'empire, volé
statistiques de trésorerie révèlent un déficit de 1860 francs. 487 d livres sterling pour les ne mois se terminant au 31 décembre. — Le comte de Savigny s'est suicidé dans une chambre d'hôtel à Londres. Guatemala. Le prsden en a démissionné. Le docteur Reina Andrado a été élu à sa ecp.al Italie. — L'aviateur Barnard, accompagné de lord Lovelace, nt quitté Rome pour ate nie Le gouvernement a décidé daugmenter considérablement les droits douane partir 'aujourd'hui. -PasaB.ys — n rrêté à Rotterdam un dv qui tentait de devenr un bâton de maréchal de l'empire, oé
tentait de vendre un bâton de maréchal de l'empire, volé dans un château de Plougastel, en Bretagne. Roumanie. — Un secrétaire de la légation de France à Budapest s'est battu en duel contre un industriel hongrois. Trois balles ont été échangées sans résultat. Tchécoslovaquie. — Le docteur Ladislav Syllaba, membre correspondant de la Société neurologique de Paris, est décédé à Prague. Concourant pour la Coupe des sphères de l'Aéro-Club de France, l'aéronaute lillois, Debruycker, parti samedi de Bully Grenay à bord d'un ballon 1.200 mètres cubes, a atterri dimanche à Elsch (Tchécoslovaquie) à plus de 700 kilomètres de son point
tentait ed vendre un bâtn de maréchal de l'empire, vl dans un château de Plougastel, en Bretagne Rmn. — Un erée de l éaion de rFneca à Budapest s'est battu en dl contre n ndusrel hongrois. T balles ont été échangées sans résultat Tchécoslovaquie Le docteur Ladislav Syllaba, membre rdnrcspnooate de la Société neurologique de Paris, st décédé à Prague. Concourant pour la Coupe ds sphères de l'ér-Clb de France l'aéronaute lillois, Debruycker, parti samedi de Bully Grenay à bord d'un ballon 1200 mètrs cubes, a atterri dimanche à Elsch (Tchécoslovaquie) à plus d 700 kilomètres de son tponi
Elsch (Tchécoslovaquie) à plus de 700 kilomètres de son point de départ. U.R.S.S. — Mme Kroupskaia, veuve de Lénine, vient de protester auprès du comité central du parti communiste contre les mauvais traitements infligés à Rykoff par Staline. REVUE DES JOURNAUX PARAISSANT AUJOURD'HUI, VENDREDI A PARIS (Editions de 5 heures du matin) M. MUSSOLINI ET LA PAIX LA GAUCHE (Georges Ponsot) M. Bénito a dit au « Daily Mail » : « Je ne ferai jamais la guerre, à moins qu'on ne me saisisse à la gorge. » Voilà un excellent propos en ce nouvel an. Que Bénito soit béni
Elsch (Tchécoslovaquie) plus de 700 klmètrs de son pnt de déprt. U.R.S.S. — Mme kp,Koaiausr veuve de Lénine, vient de protester auprès du comité central du parti cmunite contre les mauvais traitements lgs à Rykoff par Staline. REVUE DES AOUJNRXU PARAISSANT AUJOURD'HUI, VENDREDI PARIS (Editions de 5 heures du matin) M. MUSSOLINI ET LA PAIX LA GCH (Georges Ponsot) M. Bént a dit au « Daily Mail » : « Je ne ferai jamais la eg,rreu à moins 'nqou ne me saisisse à la grg.oe » Voilà un excellent propos en ce nouvel an. Que Bénito st bé
excellent propos en ce nouvel an. Que Bénito soit béni ! Mieux, M. Mussolini prendra l'initiative d'une campagne vigoureuse en faveur de la paix mondiale. Il évoque ses souvenirs de simple soldat ; il a vu toutes les atrocités, il fut témoin de cette effroyable tuerie de quatre-vingts hommes mis en pièces sous ses yeux par une seule bombe autrichienne ; il aperçoit encore ces jambes et ces bras arrachés ; il sent le sang jaillissant de toutes parts. IMAGES TOMBOUCTOU Il y a dix-sept ans vivait encore, à Tombouctou, un vieux nègre qui, vingt années auparavant, avait vu arriver
excellent propos en ce nouvel .na Que Bénito soit bén ! Mxieu, M. Msi prendra linitiative d'une campagne vigoureuse en faveur de l aix mondiale. Il évoque ses souvenirs de simple soa ; l a vu toutes les atrocités, il ft témoin de cette effroyable tuerie de quatre-vingts hommes mis en pics s ses yeux rap une seule bombe autrichienne ; il aperçoit encore ces jambes et ces bras arrachés ; il sent le sang aisst de toutes parts. IMAGES TOMBOUCTOU Il y a sep ans vivait encore, à Tcob,toumou un vieux nègre qui, vingt années auparavant, avait vu rrvr
un vieux nègre qui, vingt années auparavant, avait vu arriver les Français dans sa ville fauve et ruineuse. Ces conquérants étaient des libérateurs, car les Tombouctiens, citadins voués à la molesse, subissaient la tyrannie des Touaregs vifs. Le vieux nègre, accroupi dans le sable au seuil de sa maison de « t'oube », évoquait lentement ses souvenirs incertains et citait les noms de Joffre et de Bonnier. Le Vainqueur de la Marne portait alors quatre galons aux manches. C'était un « terrassier », comme disent parfois les militaires de leurs camarades du génie. S'il avait été de ceux qui, pour
n vieux nègre qui, vingt années auparavant, aavit v arriver les Français dns sa ville fauve et ruineuse. Ces cnqérnts étaient ds libérateurs, car les Tombouctiens, cniadsit voués à la molesse, subissaient la tyrannie des Trgs vifs. Le vieux nègr, accroupi dans le lesba seuil de sa maison de « t'b », évoquait enlnmteet ses souvenirs incertains et citait les noms de Joffre et de Bonnier. Le Vainqueur de la Marne portait alors quatre galons aux manches. Cétait un terrassier , comme disent parfois sel militaires de leurs camarades du génie. Si'l avait été de ceux qui, pour
camarades du génie. S'il avait été de ceux qui, pour notre plaisir et notre édification, aiment à raconter leurs campagnes, il aurait pu nous laisser un pittoresque tableau de la Tombouctou pauvre et peureuse où il pénétra le 12 février 1894. Mais c'était un taciturne qui laissait s'écrire l'histoire. Avec patience, avec sang-froid, il accomplit là-bas son pénible devoir. Il vengea nos morts, soumit des chefs rebelles et rendit un peu de sécurité à la gent loqueteuse qui vivait depuis longtemps dans la panique. On a trop « romanisé » les annales modernes de Tombouctou, en accolant à ce nom
camarades du génie. S'il vt été de ceux qui, pour notre plsr et notre édification, aiment à raconter leurs campagnes, il aurait pu nous laisser un pittoresque tableau de la Tombouctou pauvre et peureuse où il pénétra le 12 février 1894. Mais é un taciturne qui laissait s'écrire l'hstr. Avec patience, avec gfi il accomplit là-bas sn pénible devoir Il vengea nos morts, soumit des chfs rebelles et rendit u peu de sécurité à la gent loqueteuse qui vivait depu longtemps dans la panique. On a trop romanisé » les annales modernes de Tombouctou, en accolant ce omn
les annales modernes de Tombouctou, en accolant à ce nom l'épithète de mystérieuse. Toutes les villes brûlées par le soleil ont leur mystère qui est l'ombre des huttes et des pans de mur. La poussière, à Tombouctou, étouffe le bruit des pas ; aux heures trop chaudes, on y somnole: tout est silencieux et désert : signe de paresse, de fatigue, et non point de conspiration. Avant Bonnier et Joffre, les Touareg alertes « tombaient » souvent sur cette inertie. Ils enfonçaient des portes à peine fermées, frappaient quelques dormeurs sans défense, emportaient des grains et des calebasses, puis retournaient
les annales dsonmeer de Tombouctou, en accolant à ce nom l'épithète de mystérieuse. Tt les l brûlées pr le soleil ont leur mystère qui est l'ombre des huttes et sed pans de mur. La poussière, à Tombouctou, étouffe l bt des ps ; aux heures trop chaudes, on y somnole: tout s slncx et désert : signe d ,eepsars d a,ifetgu et non point d conspiration. Avant Bonnier et Joffre, les Touareg alertes « tombaient » et sur cette inertie. Ils enfonçaient des portes à peine fermées, frappaient quelques dormeurs sans défense emportaient des grains et des calebasses, puis retournaient
sans défense, emportaient des grains et des calebasses, puis retournaient à leur solitudes où leurs habitudes étaient à peu près celles de leurs chameaux. Tyrans et victimes partageaient la même indigence; mais les uns avaient pour idéal de bouger à peine quand les autres tenaient le remuement pour la mieux choisie des joies. Le Tombouctien avait supporté ces injures et il en rappelait l'époque honteuse sans colère. Les lambeaux d'étoffe qui lui servaient de vêtements, les pillards l'en avaient dépouillé. Aussi les moins démunis de ses frères allaient-ils presque nus, et ils cachaient leur réserve de mil dans la terre.
sans fesnée,d emportaient des grains et des calebasses, puis retournaient leur solitudes où leurs habitudes étaient à peu psrè celles de lrs chameaux. Tyrans et victimes partageaient la même indigence; mais les uns avaient pour idéal de bouger à peine quand ls autres tenaient l remuement pour la mx choisie des os Le Tombouctien avait supporté ces injures et il n rappelait l'époque honteuse sans colère. Les lambeaux dtée'fof qui lui servaient de vêtements, les pillards n avaient dépouillé. Aussi les moins démunis de ses frères alntliial-se quperes nus, et i cachaient leur réserve de ml dans l terre.
et ils cachaient leur réserve de mil dans la terre. C'est un usage aussi ancien que l'humanité en désordre, et l'on dit que les paysans russes le pratiquent encore volontiers de nos jours. Bonnier et Joffre étant venus, les Touareg retinrent leur insolence; les Tombouctiens se reprirent à commercer. Car Tombouctou est un marché. On n'y travaille pas; on y vend du plaisir, du sel de Taoudeni et de menus objets qu'on sente la cruauté. Tombouctou a en vérité deux mystères : l'ombre et la subsistance de ses habitants. Le grand privilège de cette race apathique est de pouvoir vivre
et ils cachaient leur réserve de mil dans la terre C'est un usage ss ancien que l'humanité en désordre, et o tid q les paysans rsss el pratiquent encore vlntrs de son jours. Bonnier et Joffre étant venus, les Touareg retinrent leur insolence; les Tombouctiens reprirent à ercr. Car Tombouctou est un mrh On n'y travaille pas; on y vend du plaisir, du sel de Taoudeni et de mns objets qu'on sente la cruauté. Tombouctou a en vérité deux mysrs : l'mbr et la sbsstnc de s habitts. Le grnd privilège de cette race apathique est ed vouoirp vivre
grand privilège de cette race apathique est de pouvoir vivre sans rien faire et elle en jouit imperturbablement. Jadis, aux âges glorieux où la cité enfermait, dit-on, cent mille êtres humains, c'était une capitale magnifique que les Arabes et les Askia avaient policée à leur façon. Depuis lors, les Tombouctiens sont tous nobles, et leur noblesse les oblige à regarder couler la vie sans la troubler d'aucun effort. Marché de bêtes et d'esclaves, Tombouctou était surtout un marché d'amour. Les caravaniers, leurs marchandises échangées, versaient tous leurs profits entre les mains des belles et oubliaient dans ces bonnes sombres les
grand privilège e cette race atiq est de ruipvoo vivre sans rien faire et elle en jouit imperturbablement Jadis, x âges glorieux où la itéc enfermait, dit-on, cent mille êtres humains, c'était une capitale magnifique que les Arabes et les Askia avaient policée à leur façon. Depuis lors, les Tombouctiens sont tous nobles, et leur noblesse les oblige à regarder couler a vie sans la troubler 'aucun effort. Marché de bêts et d'esclaves, Tombouctou éa surtout un marché d'mr. Ls ravanrs leurs marchandises échangées, vrsnt tous lrs profits entre ls mains d belles et uben dns ces bonnes sombres les
mains des belles et oubliaient dans ces bonnes sombres les privations et les dangers du désert. De toutes les légendes, celle-là est sans doute la plus vraisemblable. S'il n'y a plus guère de caravaniers sur les marchés de Tombouctou, la prostitution s'y est conservée comme un rite. Les prêtresses de l'hospitalité y formaient encore avant 1914 des castes distinctes qui se jalousaient tout en se ménageant. De la terrasse de sa case, l'étranger ce passage voyait défiler le cortège des Touarègues hâves, puis celui des négresses à collier; enfin apparaissaient les musulmanes parjures que les Arabes méprisent et chérissent en
mains belles et oubliaient as ces bonnes sombres les privations et les dags d désrt. De euotts les légendes, cellelà est ans doute la plus vrsmblbl. Sil n plus guère de caravaniers sr les marchés de Tombouctou, la prostitution ' t conservée comme un rite. Les prêtresses d l'hospitalité y formaient enre avant 1 des castes distinctes qui s asait tout en se ménageant De la terrasse de sa cs, l'étranger ce passage voyait défiler le cortège de Touarègues hâves, puis celui des négresses à cllr; enfin apparaissaient les mslmns parjures q ls rabe méprisent et chérissent en
les musulmanes parjures que les Arabes méprisent et chérissent en secret. L'exercice de cet art profane et condamnable est plus qu'aucun autre désintéressé. La misère par toutes ces intentions de débordements. Cette impudeur n'est plus qu'un geste symbolique, et l'on serait tenté de croire que les Tombouctiennes ne célèbrent encore le simulacre du culte végétal que par respect de la tradition et pour ne pas déroger. Tombouctou, centre historique, peut-être stratégique, est une ville morte. Les maisons écroulées ne s'y relèvent pas. La renaissance du Soudan que l'influence française a suscitée, se manifeste ailleurs. C'est au-delà, et en deçà de
les musulmanes parjre que les raAebs méprisent et chérissent en secret. L'exercice de cet art profane et condamnable est pls quaucun désntérssé. La misère pr toutes ces esntotnini de débrdmnts. Cette impudeur n'st plus qu'un geste symbolique, t l'on serait tenté de coire que les Tombouctiennes n célèbrent encore le simulacre du culte végétal que par respect de la trdtn t pr ne ps déroger. omto centre historique, peutêtre strtégq, st une ville morte. Les msns écroulées ne y relèvent pas. La renaissance du Soudan que l'influence française a suscitée, se manifeste ailleurs. 'st à,eulad- et en deçà de
suscitée, se manifeste ailleurs. C'est au-delà, et en deçà de Tombouctou qu'on cultive la terre, qu'on essaye d'être industrieux et ingénieux. Tombouctou n'est plus qu'une image, l'image de l'Afrique nigérienne, rude, sordide, fataliste, cruelle et voluptueuse, où l'on ne connaissait du monde que le Maroc par les marchands, les guerriers et les marabouts qui, arrivés du nord pour la subjuguer, se laissaient désarmer par son charme paresseux, ivre de ses odeurs charnelles. Mais d'autres maîtres survinrent, dont fut le « Père Joffre » qui restèrent insensibles à cette magie ensorcelante. Qui ne voulurent pas être les Hercules des noires Omphales
suscitée, se manifeste ailleurs C'est au-delà, et en à de Tombouctou qu'on cultive la terre, qu'on essaye 'être industrieux t ingénieux. Tombouctou n'est plus qu'une mg, l'a de l'Afrique nigérienne, rude, sordide, fataliste, cruelle et voluptueuse, où l'on ne connaissait du monde que e Maroc par les mrchnds, les guerriers et les marabouts qui, arrivés du nord pour la subjuguer se laissaient désarmer r son charme prssx, ivre de ses odeurs charnelles. Mais d'autres maîtres survinrent, dont tuf le « Père Joffre » qui restèrent insensibles à ettec magie ensorcelante. Qui ne voulurent pas être les Hercules des noires Omphales