Search is not available for this dataset
input
stringlengths 1
16.6k
| output
stringlengths 1
16.6k
|
---|---|
Mukerjee..... » 2 » Chorotte Kumar Chattérjee » 2 » Narane Chondor Nal » 4 » Joguine Chondor Raé ...., » » 42 Phonibhouchone Mukerjee » 4 » Nobocoumar Chaterjee » 2 » — 284 — MM. fts.Fs.C* Dobèndronaue Mukerjee...,....-...,-.. ;., » 2 » Cfioltoprochonne Miikerjeë;... ; 2 » $ Chidéchor Bhottochaf jee". *... ; ^.. » 1 ». Mohadèbe Banerjee. ,■ *....-■.;.... > 4 * Kostolat Banerjee ;..... d.., » 4 » Botlokosto Mukerjee ...... 4 » * Pannalal Banerjee .,...;....„.,.,& * » Norendronatte Banerjee.. *... ; .4 » * Chottiche Chondor Chocrobotty 4 » * Û'tol Bohary Sïrcar | Mkrj..... 2 » Chorotte Kmr Chattérjee » 2 » Narane Chondor Nal » » Joguine Chondor Raé ...., » » 42 Phonibhouchone Mukerjee » 4 » Nbcmr Chtrj » — 284 — MM. fts.Fs.C* Dobèndronaue Mukerjee...,....-...,-.. ;., 2 » Cnoooihtlcpnofer Miikerjeë;... ; 2 » $ Chidéchor Bhottochaf jee". *... ; ^.. » 1 ». Mhdèb Banerjee. ,■ *....-■.;.... > 4 * Kostolat Bnrj ;..... d.., » 4 » Botlokosto Mukerjee .. » Pannalal Banerjee .,...;....„.,.,& * » Norendronatte Bnrj.. *... ; 4 * Chottiche Chondor Chocrobotty 4 » * l'Ûot Bohary Sïrcar |
* Chottiche Chondor Chocrobotty 4 » * Û'tol Bohary Sïrcar .-;.,....» 2 » Suboche Chondor Mukerjee 4 4 » Jogenclronatle Mukerjee » 2 . »" Chontoche Kumar Khan........^........ » 2 » Horis Cho.idor Banerjee...., w 4 » Kodarnatte Khan , ,-.... Satis Chandra Set 4 Chorolochondor Laha 4 Holin Chorone Laha 4 Nital Chorone Dhara 4 Gougaronne Chaha 4 Joguendronalh Chotto 4 Manager de Cinématographe 35 Total à reporter pour l'Établissement de— Chandernagor 8,524 0 4 fr Récapitulation. Souscriptions recueillies jusqu'à ce jour, Rs. Fs. G, Établissement de Pondichéry 43,253 7 5 — de Karikal 47,040 7 4 — de | * Chottiche Chondor Chocrobotty » * Û'tol Bohary car .-;.,....» 2 » Suboche Chondor Mukerjee 4 4 » egraoclltJneno Mukerjee » 2 . »" Chontoche Kumar Khan........^........ » 2 » Horis Choidor Banerjee...., w 4 » Kdrntt Khan Satis Chandra Set Chorolochondor Laha 4 Holin Chorone Laha 4 Nital Chorone Dhara 4 Gougaronne Chaha 4 Joguendronalh Chotto 4 Manager de Cinématographe 35 Total à reporter pour l'Établissement de— Chandernagor 8,524 0 fr Récapitulation. Souscriptions recueillies jusqu'à ce jour, Rs. s.F G, Établissement de Pondichéry 43253 7 5 — de Karikal 47,040 4 — de |
7 5 — de Karikal 47,040 7 4 — de Chandernagor 8,524 0 4 fr — de Mahé 897 6 Or — de Yanaon 2,429 0 48 Total à reporter 72,524 6 1 DÉPARTS DES COURRIERS Mois d'avril 1915. Jours, dates, heures, lieux de destination et routes. Pour la France et les îles sure Samedis 27, 28, 29 " 18 heures 1/2 (poste français). Pour Maurice, la Réunion, Madagascar. Jeudis 28, 29, 30 Pour Mayotte, Nossi-Bé, les Comores. Vias Bombay, à sept heures 1/2 (poste français). Samedis 3, 10, 17, 24 Pour Maurice, la Réunion et Madagascar. Via Danushkodi, à | 7 5 — de Karikal 47,040 7 4 — de Chandernagor 824 0 fr — de Mahé 897 6 rO — de Yanaon 2,429 0 Total à reporter 72,524 6 1 AS DES CURRE Mois d'vrl 1915. Jours, dates, heures lieux de dtasoneniit et routes. Pour la France et les îles sure Samedis 27, 28, 29 " 18 es 1/2 (poste i.sn)farça Pour Maurice la Réunion, Madagascar. Jui 28, 29, 3 Pour Mayotte, Nossi-Bé, les Comores. Vias Bombay à spt heures / (poste français). Smds 3, 10, 17, 24 Pr Maurice l Réunion et Magr. aiV Dnshkd, à |
24 Pour Maurice, la Réunion et Madagascar. Via Danushkodi, à sept heures 1/2 (poste français). Jeudis 8, 15, 22, 29 Pour Djibouti, Port-Saïd et Aden. Via Danushkodi, à sept heures 1/2 (poste français). Pour Colombo, Penang, Singapour, Batavia, la Cochinchine, le Tonkin, la Chine, l'Australie, la Nouvelle-Calédonie et Tahiti. Via Danushkodi, à sept heures 1/2 (poste français). Pour la France et les autres contrées de l'Europe, pour Pointe de Galle, Colombo, Singapore, Batavia, la Cochinchine, le Tonkin, la Chine, la Nouvelle-Calédonie, Aden, l'Égypte, Maurice, la Réunion, Madagascar, Mayotte, Nossi-Bé, les Comores, Obock, l'Amérique et la Colonie du Cap. À l'heure | 24 Pour Maurice, la Réunion et Madagascar. Via Danushkodi, sept heures 1/2 (poste français). Jeudis 8, 15, 22 92 Pour Djibouti, Port-Saïd et Aden. Via Danushkodi, s hrs 1/2 (poste français). Pour Colombo, Penang, Singapour, Batavia, la Cochinchine, le Tonkin, la Chine, l'Australie, la Nvll-Clédn et Tahiti. Via Danushkodi, à sept heures / (poste français). Pour la France et les autres contrées de 'Europe, pour Pointe d Galle, Colombo, Singapore Batavia, la Cochinchine, le Tonkin, la Chine, la Nouvelle-Calédonie, e, l'Égypte, Maurice, la Réunion, Maascar Mayotte, Nss-Bé, les Comores, bck, Amrue et la Colonie du Cap. À l'heure |
Comores, Obock, l'Amérique et la Colonie du Cap. À l'heure du départ du "Dupleix" (poste français). Il peut aussi être expédié à cette date les courriers à destination de l'Australie, de la Nouvelle-Calédonie et de Tahiti. Les bagages déclarés seuls peuvent être expédiés à cette destination. ANNONCES LEGALES ET JUDICIAIRES RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. Liberté.— Égalité.— Fraternité. AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS. DE PAR LA LOI ET LA JUSTICE. ETUDE DE Mr RASSOU, conseil agréé près les tribunaux et la Cour d'appel de Pondichéry, y demeurant, rue Ponnou-tamby La Porte, N° 35. VENTE SUR SAISIE IMMOBILIÈRE A l'audience des criées du tribunal | Comores bck, l'Amérique et la Colonie du Cap. À l'heure du départ du "Dplex" (poste français). Il peut aussi etêr expédié à cette date les courriers à destination de l'Australie, d la Nouvelle-Calédonie et de Tahiti. Les bagages déclarés seuls peuvent être iedxséép à ctt destination. ANNONCES LEGLEAS ET JUDICIAIRES RÉPUBLIQUE FRANÇAISE. Liberté.— Égalité.— Fraternité. AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS DE PR LA LOI ET L JUSTICE. EE DE Mr RASSOU, conseil agréé près ls tribunaux et la Cour d'appel de Pondichéry, y dmrnt, rue Ponnou-tamby La Porte, N° 35 VENTE SUR SIE IMMOBILIÈRE A luinc des criées du tribunal |
VENTE SUR SAISIE IMMOBILIÈRE A l'audience des criées du tribunal de première instance de Pondichéry, le mardi vingt avril mil neuf cent quinze; à quinze heures. Premier lot. Un magasin, N° 49, bâti en briques, couvert en tuiles, sis à Pondichéry, rue Du Pleix, au sud de la dite rue, à l'est de la maison de Sattanada Douressamy Poullé, au nord des maisons de Rangaretty et Velayouda Comarassamy Naïker et à l'ouest de celle de Souprayapoullé. Ce magasin est en bon état et il est à la jouissance de la partie saisie dame Valliammalé, veuve et héritière du défunt Candassamy | VENTE SUR SAISIE IMMOBILIÈRE A l'audience des cés du tribunal de première instance de Pondichéry, le mdi vingt avril mil neuf cent ine à quinze heures. Prmr lt. Un magasin, N 49, bâti en briques couvert en tuiles, sis à Pondichéry, rue Du Plx, au sud de la dit rue, à l'est e la msn d ndattaSaa Douressamy Pl, au nord des maisons d Rangaretty et Velayouda Comarassamy Naïker e à l'ouest cll de oépyllp.oauruaS Ce magasin est en bon état et est à l jouissance de partie saisie dame Valliammalé, vv et héritière u défunt Candassamy |
partie saisie dame Valliammalé, veuve et héritière du défunt Candassamy Poullé, celui-ci fils de feu Varadarassou Poullé, de caste yadaval, sans profession, demeurant à Pondichéry, rue Sainte-Thérèse. Mise à prix : cinq roupies. Deuxième lot. Un magasin, N° 86, bâti en briques, partie argamassée, sis à Pondichéry, rue Nida Rajanayar, au nord de la dite rue, à l'ouest de la maison de Douressamy Modéliar, au sud de celle de Vénou Poullé et à l'est de celle de Sinnas. Ce magasin est un peu en mauvais état et il est à la jouissance de la partie saisie. Mise à prix : | partie saieis dame aimm vv et héritière d défunt Candassamy Poullé, celui-ci fils de feu Varadarassou Poullé, de caste yadaval, sans profession, demeurant à Pondichéry, r Sainte-Thérèse. Mise à prx : cinq roupies. Deuxième lot. n magasin, N 86, bâti en briques, atrpie argamassée, sis à Pondichéry, rue Nd Rajanayar, au nord de l dt rue, à l'ouest de la maison de Douressamy Modéliar, au sud de celle d Vénou Poullé t à l'est de elle de Sinnas. Ce magasin est un peu en mauvais état et il est à la jouissance d la partie saisie. sieM à prx : |
la jouissance de la partie saisie. Mise à prix : cinq roupies. Troisième lot. Un mané, vide, N° 10, sis à Pondichéry, rue du Petit canal, au nord de la dite rue, à l'ouest de la maison d'Aroumougapoullé, au sud de celle de la partie saisie et à l'est de celle d'Ellammalie. Ce mané est inhabité; Mise à prix : cinq roupies. Quatrième lot: Une maison, N° 13, bâtie en briques et couverte en tuiles, sise à Pondichéry, rue Sainte-Thérèse, au sud de la dite rue, à l'est de la maison de la partie saisie, au nord de celle d'Aroumougapoullé | la jouissance de l prt saisie. Mise à prix cinq roupies. Troisième . Un mané, vide, N° 10, sis à Pondichéry rue du Petit canal, au nord de al dt rue à l'ouest de la maison d'Aroumougapoullé, au sud de celle de la partie saisie et à l'est de celle d'Ellammalie. Ce mané est inhabité; Mise à prix : cinq rps. Quatrième lot: Une maison, N 13, bâtie en us et couverte en tuiles, sise à Pondichéry rue Sainte-Thérèse, au sd de la dite rue, à l'est de la maison de al partie saisie, au nord de celle d'Aroumougapoullé |
maison de la partie saisie, au nord de celle d'Aroumougapoullé et du mané de la partie saisie, à l'ouest de celle du poursuivant sieur Louis Si-Gnanapragassamy Modéliar. Cette maison est en bon état et elle est occupée par Souppourattinapoullé, parent de la partie saisie. Mise à prix : cinq roupies. Cinquième lot. Une maison, N° 12, bâtie en briques, partie argamassée et partie couverte en tuiles, sise à Pondichéry, rue Sainte-Thérèse, au nord de la dite rue, à l'est de la maison de la succession de Devanayagapoullé, au sud du jardin de la maison de la succession d'Ambou Appassamy Poullé | maison de la partie saisie, au nord de celle d'Aroumougapoullé t du mané de la partie saisie, à l'ouest de celle du poursuivant sieur Lsiou Si-Gnanapragassamy Modéliar. Cette maison est en bon état et elle es occupée par Souppourattinapoullé anptre de la partie a Mise à prix : nicq roupies. Cinquième lot. Une maison, N° 12, bâtie en briques, partie argamassée et partie couverte en tuiles, se à Pondichéry, rue Sainte-Thérèse, au nord de la dt rue à l'est de la maison de la ucesin de Devanayagapoullé, au du jardin de la maison de la sccssn d'Ambou Appassamy Poullé |
jardin de la maison de la succession d'Ambou Appassamy Poullé et à l'ouest de la maison d'Antoine Zilan. Cette maison est en bon état et est occupée par la partie saisie. Mise à prix : cinq roupies. Sixième lot. Une maison, N° 21, bâtie en briques et couverte en tuiles, sise à Pondichéry, rue Sainte-Thérèse, au sud de la dite rue, à l'est de la maison d'Ayemperouma Modéliar, à l'ouest de celle de Savérimouttounaïker et au nord de celle de la partie saisie. Cette maison est en bon état et est occupée par Manicapoullé, parent de la partie saisie. Mise | jardin de la maison de la sccssn d'Ambou Appassamy Poullé et à l'ouest de la maison d'Antoine Zilan. Cette maison est en bon état et st occupée par la partie saisie. Mise à prix : cinq rps. Sixième lot. n maison, N° 21, bâtie en briques et couverte en ie sise à chd,éPoryin rue SainteThérèse au ud de la dite rue, à l'est de la maison 'Ayemperouma Modéliar l'ouest de celle de Savérimouttounaïker et ua nord de celle de l partie i.asesi Cette maison est en bon éta et est eéocpuc par Manicapoullé, parent de prt saisie. Mise |
est occupée par Manicapoullé, parent de la partie saisie. Mise à prix : cinq roupies. Septième lot. Une maison, N° 15, bâtie en briques et couverte en tuiles, sise à Pondichéry, rue Sainte-Thérèse, au sud de la dite rue, à l'est de la maison de Mourougassamy Odear, au nord de celle de Rattinapoullé et à l'ouest de celle de la partie saisie. Cette maison est en bon état et est occupée par Roucoumaniammaïe, parente de la partie saisie. Mise à prix : cinq roupies. Huitième lot Une maison, N° 24, bâtie en briques, partie argamassée et partie couverte en tuiles, | est occupée par aipulé, parent de la partie saisie. Mise à prix : cinq rps. tèm lot. Une maison, N° 15, bâtie en briques et couverte en tuiles, sise à Pondichéry, rue Sainte-Thérèse, au sud de la dite reu, à l'est de la maison de Mrgssmy Odear, au nord de celle de Rattinapoullé t à l'ouest de cll de la partie i. Cette maison est en bon état et est occupée par Roucoumaniammaïe, prnt de la partie saisie. Ms à prx : cinq roupies miièteuH lot Une maison, N° 24, bâtie en briques, partie argamassée et partie couverte en tuiles, |
bâtie en briques, partie argamassée et partie couverte en tuiles, sise à Pondichéry, rue Sainte-Thérèse, au nord de la dite rue, à l'ouest de la maison au nom collectif de Sinnadorai et consorts, au sud du jardin dit Pappanetottam et à l'est de la maison du poursuivant Louis Si-Gnanapragassamy Modéliar. Cette maison est en bon état et est occupée par Sinouvassapoullé, parent de la partie saisie. Mise à prix : cinq roupies. Neuvième lot. Une maison, N° 443, bâtie en briques et couverte en tuiles, sise à Villenour, commune du même nom, rue Péroumalcovil, au nord de la dite rue, | bât en briques, partie argamassée et partie couverte en es sise nichér rue SainteThérèse au nord de la dite rue, à l'ouest ed la maison au onm collectif de Sinnadorai et consorts, au sud du jardin dit Pappanetottam et à l'est de la n u poursuivant Louis Si-Gnanapragassamy Mdélr. Cette maison est en bon état et est occupée par Sinouvassapoullé, parent de la pi saisie. Mise à prix : cinq roupies. Neuvième lot. Une maison, N° 443 bâtie en briques et couverte en tuiles, sise à Villenour, cmu ud même nom, rue Péroumalcovil, au nord de la dite rue, |
même nom, rue Péroumalcovil, au nord de la dite rue, au sud des terrains de Maléamodéliar, à l'est de la maison de Covindassamynaïdou et à l'ouest du mané d'habitation de Périassamypoullé. Il existe dans le jardin de cette maison un jeune porc et deux mourounguiers. Cette maison est en bon état et est occupée par Araïammalie, parente de la partie saisie. Mise à prix: cinq roupies. Dixième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 382 du plan cadastral, correspondant au N° 290. du païmache, troisième classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une | même nom, rue Péroumalcovil, au nord d la dite rue, au sud des terrains de Maléamodéliar, l'est de la maison de Covindassamynaïdou et à l'ouest du mané d'habitation de Périassamypoullé. Il existe dans le jardin de cette maison un jeune prc et deux mourounguiers. Cette maison est en bon état et est occupée par mriaemïaalA, prnt d la partie saisie. Mise à prix: cinq irsuo.ep Dixième lot. Une prcll de terre à nelly, N° 82 d plan cadatal, correspondant au N° 290. du païmache, troisième classe, double récolte, soumise au régime des eaux ud grand étang d'Oussoudou, contenant une |
au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de neuf ares quarante-cinq centiares, soit dix-huit coujis huit seizièmes, taxés à une roupie trois cent soixante et un millièmes et immatriculée au folio 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamy poullé, défunt mari de la partie saisie; Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord et à l'ouest par le canal d'irrigation, au sud par la parcelle de terre à nelly, N° 381, de Sangararetly et à l'est par celles, N° 383 et 385, de Yaradappachetty. Il y existe un | au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une tu de neuf ares quarante-cinq centiares, soit dix-huit coujis huit seizièmes, taxés à une roupie tos cent iotsenxa et un millièmes et immatriculée au folio 77 de la matrice al au nom du dit uef Candassamy poullé, défunt mari de la partie saisie; Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour est bornée au nord et à 'ouest par le canal d'rrgtion, au su par la parcelle de trr à nelly, N 381, de narely et l'est par celles, N° 383 et 385, de Yaradappachetty. Il y exste un |
N° 383 et 385, de Yaradappachetty. Il y existe un porc. La superficie de la dite parcelle, N° 382, vérifiée, suivant le plan cadastral est exacte. Mise à prix: cinq roupies. Onzième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 394, du plan cadastral correspondant au N° 290. du païmache, troisième classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue d'un are quarante centiares, soit deux coujis dix seizièmes, taxés à cent quatre-vingt-treize millièmes et immatriculée au dit folio 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au | N° 383 t 385, de Yaradappachetty. Il y existe un porc. La superficie d la dite parcelle, N° 382, rifié, suivant el plan catr est exacte. Mise à prix: cinq roupies. Onzième lt. Une parcelle de te à nelly, N° 394, du plna cadastral correspondant au N° 20 du païmache, troisième classe, double récolte, soumise au régime des eaux du gran étang d'Oussoudou, contenant une étendue d'un are quarante centiares, soit eux coujis dix seizièmes, txs à cent quatre-vingt-treize millièmes et aticue au dit folio 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Csplé Laquelle parcelle, sise au |
au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord, à l'ouest, au sud et à l'est par le canal d'irrigation. La superficie de la dite parcelle, N° 394, vérifiée, suivant le plan cadastral est exacte. Mise à prix : cinq roupies. Douzième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 398 du plan cadastral, correspondant aux Nos 294, 328, 286, 296, 297, 295, 325, 326, 327 et 554 du païmache, deuxième classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue d'un hectare quatre-vingt-dix-neuf ares, quarante | a nom du dit fu Candassamypoullé Laquelle parcelle, e au dit lieu d Villenour, est bornée nord, loest, au sud et l'est par le canal d'irrigation. La superficie de la dite prcll, N° 394, vérfé, suivant le pn cdstrl est exacte. Mise à prix : cnq roupies. Douzième lot. enU parcelle e terre à nelly, N° 398 du plan cadastral, correspondant aux Ns 294, 328, 286, 296, 297, 295, 325, 326, 327 t 554 du païmache, deuxième classe, double réclt, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue d'un hectare quatre-vingt-dix-neuf ares, quarante |
étang d'Oussoudou, contenant une étendue d'un hectare quatre-vingt-dix-neuf ares, quarante centiares, soit trois canys, quarante-deux coujis dix seizièmes, taxés à trente-deux roupies, quatre-vingt-quinze millièmes, et immatriculée au dit folio 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord, à l'est et au sud par le canal d'irrigation et à l'ouest par la parcelle de terre à nelly, N° 399 2/2, de Yengadakichenappachetty et par celle, N° 399 1/2, de Varadappachetty. Il y existe quarante-six cocotiers et deux vélins. La superficie de la dite parcelle, N° 398, | étang d'Oussoudou, contenant une uteeénd d'un hectare quatre-vingt-dix-neuf ares, quarante centiares, soit trois canys, quarante-deux coujis ixd seizièmes, taxés à trente-deux roupies, quatrevingtquinze millièmes, et immatriculée au dt folio 77 la matrice cadastrale au nm du dit feu Cndssmypllé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord, à l'est et au sud par le canal d'irrigation et à l'ouest par la parcelle de terre à nelly, N° 399 2/2, de Yengadakichenappachetty et par celle, N° 399 1/2, de Varadappachetty. lI y existe quarante-six cocotiers et deux vélins. La superficie de la dt parcelle, N° 398, |
deux vélins. La superficie de la dite parcelle, N° 398, vérifiée suivant le plan cadastral est exacte. Mise à prix: cinq roupies. Treizième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 400 du plan cadastral, correspondant au N° 317 du païmache, deuxième classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de seize ares trente centiares, soit trente coujis sept seizièmes, taxés à deux roupies huit cent cinquante-deux millièmes et immatriculée au dit folio 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour est | deux vélns. La per de la dite parcelle, N° 9 vérifiée svnt le plan cadastral est exacte. Ms à prix: cinq roupies Treizième lot. Une parcelle d à nelly, °N 400 du plan cadastral, correspondant au N° 317 du pïmch, deuxième classe, dub tr,oeclé soie au régime des eaux du grand étang dusodu, contenant une étendue d ze ersa trente centiares, soit trente coujis sept seizièmes, taxés à deux rps huit cent cnunt-u millièmes et immatriculée au dt folio 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, ss au dit lieu e Villenour ets |
Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour est bornée au nord par la parcelle de terre à nelly, N° 438 1/2, de Ramassamy poullé et consorts, à l'ouest par celle, N° 439, de Kichenassamy chetty, au sud par le canal d'irrigation et à l'est par celle, N° 399 2/2, de Yengadakichenappachetty et par celle, N° 401, de Narayanachavoundin. Il y existe sept cocotiers. La superficie de la dite parcelle, N° 400, vérifiée suivant le plan cadastral est exacte. Mise à prix: cinq roupies. Quatorzième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 496 du plan cadastrale, correspondant au | Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sis au dit lieu de Villenour est bornée au nord par la parcelle d terre nelly, N° 438 1/2, de Ramassamy poullé et consorts, à l'ouest par ee, N° 439, de Kichenassamy chetty, au sdu par le canal dirrigation et à l'est par celle, N° 399 2/2, de Yengadakichenappachetty et par celle N° 401, de Narayanachavoundin Il existe sept cocotiers. La superficie de la dite parcelle, N° 400, vérifiée suivant le plan cadastral est exacte Mise à prix: cinq rps. Quatorzième lot. Une parcelle de terre à nelly, N 649 du plan cdstrl, roan au |
terre à nelly, N° 496 du plan cadastrale, correspondant au N° 522 du païmache, deuxième classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de cinquante-sept ares, soit un cany six coujis huit seizièmes, taxés à neuf roupies neuf cent soixante-quinze millièmes et immatriculée au dit folio 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord, par le canal d'irrigation, à l'est par la parcelle de terre à nelly, N° 497, de Salla Ramouchetty, à l'ouest par celle, N° 495, | terre à nlly, N° 496 du plan cadastrale, correspondant au ° 522 du païmache, deuxième classe, double récolte isomuse au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de cinquante-sept ares, soit un cny six coujis huit ezième, taxés à neuf roupies neuf cent soixante-quinze millièmes et immatriculée au dit folio 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé Laquelle parcelle, sise au dit lieu de illeno, est bornée au nord, par le canal d'irrigation, à l'est par la parcelle de terre à nelly, N 497, de Salla Ramouchetty, à l'ouest par celle, ° 495, |
497, de Salla Ramouchetty, à l'ouest par celle, N° 495, de Sabbabadychetty et au sud par celle, N° 494, de Devanayagachetty et consorts. La superficie de la dite parcelle, N° 496, vérifiée suivant le plan cadastral est exacte. Mise à prix: cinq roupies. Quinzième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 501 du plan cadastral, correspondant aux N° 508, 556 et 557 du païmache, deuxième classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de soixante-quinze ares soixante-dix centiares, soit un cany quarante et un coujis sept seizièmes, taxés à treize roupies deux | 497, de Sll Ramouchetty, l'ouest par celle, ° 495, de Sbbbdychtty t au sud par cll, N° 494, de Devanayagachetty et ons La superficie de la d parcelle, N° 496, vérifiée suivant l pln cadastral e xct. Mse à prix: cinq roupies. Quinzième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 501 du plan at,cdlsaar correspondant aux N° 508 556 et 557 du ch deuxièm classe, double récolte, soumise au rgime des eaux du grand étgan d'Oussoudou, cntnnt une étnd de soixante-quinze ares soixante-dix centiares, soit un cany quarante et u coujis sept seizièmes, taxés à treize roupies deux |
et un coujis sept seizièmes, taxés à treize roupies deux cent quarante-sept millièmes et immatriculée au dit folio 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord, par la parcelle de terre à nelly, N° 500, d'Ayalaounaiker et par celle, N° 499, "Sannadoumaniom", appartenant à Venguidasé Chayer et consorts et par le canal d'irrigation, à l'ouest par celle, N° 497, de Salla-Ramouchetty, au sud par la même parcelle, N° 497 et par celle, N° 509 1/3, de Tiroucamy poullé et consorts et à l'est par celle, | et un coujis sept seizièmes, taxés à treize roupies deux cent quarante-sept millièmes et immatriculée au tdi foli 7 de la matrice cadastrale ua nom d dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour st bornée au nord, par l parcelle de trr à nelly, N° 500, d'Ayalaounaiker et par cll, N° 499, Sannadoumaniom appartenant à Venguidasé Chayer t onors et par le canal d'irrigation, à l'ouest par celle, N° 497 de Salla-Ramouchetty, au sud par l même parcelle ° 497 et par celle, ° 509 1/3, de Tiroucamy poullé te consorts et à sl'te par ,celel |
de Tiroucamy poullé et consorts et à l'est par celle, N° 510, de Sandirassègaracouroukal; et par celle, N° 512, de Sinnassamynaïker. La superficie de la dite parcelle, N°501, vérifiée suivant le plan cadastral est exacte. Mise à prix: cinq roupies. Seizième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 533 du plan cadastral, correspondant au N° 268 du païmache, deuxième classe, doublé récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de trente-quatre ares, soit soixante-trois coujis neuf seizièmes, taxés, à cinq roupies neuf cent cinquante millièmes et immatriculée au dit folio 77 de la matrice | de Tiroucamy pllé et consorts et à 'est par celle, N° 510 de Sandirassègaracouroukal; et par celle, ° 512, de Sinnassamynaïker. La sprfc de la dite parcelle, N°501, vérifiée suivant le plan cadastral est exacte. Mise à prix: cinq roupies. Seizième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 533 du plan cdstrl, correspondant au N° 268 du païmache, deuxième classe, doublé récolte, soumise régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, otnat une étnd de ret-qur rs,ae st sxn- coujis neuf seizièmes, taxés, à cinq uiropse neuf cent cinquante millièmes et immatriculée au dit folio 77 e la matrice |
millièmes et immatriculée au dit folio 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord, à l'ouest et au sud par le canal d'irrigation et à l'est par la parcelle de terre à nelly, N° 532, de Parassouramapoullé. La superficie de la dite parcelle, N° 533, vérifiée suivant le plan cadastral, est exacte. Mise à prix : cinq roupies. Dix-septième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 569 du plan cadastral, correspondant au N° 150 du païmache, deuxième classe, double récolte, soumise au régime des | millièmes et immatriculée au d folio 77 de la matrice catre nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dt lieu Villenour, est bornée a nord, à l'ouest et au sud par le canal d'irrigation et à l'est par la prcll de terre à nelly, N° 532, de Pasourpoulé La superficie de la dite parcelle, N° 533, vérifiée uit le plan t,adlsraca est exacte. Mise à prix cinq roupies. Dix-septième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 569 plan cadastral correspondant au N° 10 du pïmch, deuxième classe, double récolte ms au régime des |
du païmache, deuxième classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de vingt-sept ares cinquante centiares, soit cinquante-un coujis six seizièmes, taxés à quatre roupies huit cent treize millièmes et immatriculée au dit F° 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé; Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord et à l'est par la parcelle de terre à nelly, N° 570, de Ratlinavelouchetty, au sud, par la pagode de Péroumaicovil, et par le mané d'habitation et à l'ouest par le canal d'irrigation et par celle, | du païmache, èuemdexi classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de vingt-sept ares cinquante centiares, soit cinquante-un coujis six zè taxés à quatre ipusore huit cent treize millièmes et immatriculée au dit F° 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé Laquelle parcelle, sise au dit liue de Villenour, est bornée au nord et à l'est par la cepralel de terre à ell N° 570, de Ratlinavelouchetty, au sud, pa la pagode de Péroumaicovil, et par le mané d'habitation et à l'ouest par le canal d'irrigation et par celle, |
et à l'ouest par le canal d'irrigation et par celle, N° 566, de Maléamodéliar. Il y existe un vélin. La superficie de la dite parcelle, N° 569, vérifiée suivant le plan cadastral, est exacte. Mise à prix: cinq roupies. Dix-huitième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 639 du plan cadastral, correspondant aux N° 114, 115 et 116 du païmache, première classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de cinquante-trois ares quatre-vingts centiares, soit un cany neuf seizièmes coujis, taxés à onze roupies quatre cent trente-deux millièmes et immatriculée au dit | et à l'ouest par le canal d'irrigation et par cll, N° 6, de Maléamodéliar. Il y existe un vélin. La superficie de la dite parcelle, N° 569, vérifiée suivant le plan dasrl est exacte. Mise à prix: cinq ruie. Dix-huitième lot. Une parcelle de e à nelly, N° 936 du plan cdstrl, correspondant x N° 114, 115 et 116 du païmache, première classe, dbl récolte, sms au régime des eaux du grnd étang dOussoudou contenant une éenu de cinquante-trois ares quatrevingts centiares, soit un cany neuf seizièmes coujis, taxés à onze roupies qtr cent trentedeux millièmes et eamlrciiuémt au dit |
onze roupies quatre cent trente-deux millièmes et immatriculée au dit F° 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé; Laquelle parcelle, sise audit lieu de Villenour, est bornée au nord et à l'est par le canal d'irrigation, au sud par la parcelle de terre à nelly, N° 648, d'Oppaour Abbayechetty et à l'ouest par celle, N° 629, de Soupourayâpoullé. La superficie de la dite parcelle, N° 11639, vérifiée suivant le plan cadastrale est exacte. Mise à prix : cinq roupies. Dix-neuvième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 649 du plan cadastral, correspondant au N° 84 | onze roupies quatre cent trente-deux millièmes et immatriculée au dit °F 77 de la mtrc cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé; Laquelle parcelle, sise audit lieu de Villenour, est bornée au rdno et l'est r le canal d'irrigation, au sud pr la parcelle de terre à nelly, N° 648, d'Oppaour bbychtty et à l'ouest par celle, N° 629, de Soupourayâpoullé. La superficie de la dite ae, N 11639, vérfé suivant le n cadastrale est .tacexe Mise prix : cinq roupies. Dx-vèm lot. Une parcelle de trr à nelly, N° 649 du plan cadastral, correspondant au °N 84 |
nelly, N° 649 du plan cadastral, correspondant au N° 84 du païmache, première classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de vingt-deux ares trente centiares, soit quarante-un coujis onze seizièmes, taxés à quatre roupies sept cent trente-neuf millièmes et immatriculée au dit F° 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord par la parcelle de terre à nelly, N° 646, de Couttiannapoullé et par les manèges d'habitation, à l'ouest par la ruelle, au sud par le manège | nlly, N° 649 du pln cadastral, crpnt au N° 84 du païmache, prmèr cs, double récolte, soumise au régime des uexa du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue d vingt-deux rs trnt centiares, soit qrnt-n coujis onze seizièmes, txés à qtr roupies sept cent trente-neuf millièmes e immatriculée au dit F° 77 de la matrice cadastrale au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise i lieu de Villenour, est bornée au nord par la parcelle de terre à nely N° 646, de outapoulé et par les manèges d'habitation, 'es par la ruelle, au sud par le manège |
à l'ouest par la ruelle, au sud par le manège d'habitation et par celle de terre à nelly, N° 650, de Sivalingapoullé et à l'est par le canal d'irrigation. La superficie de la dite parcelle, N° 649, vérifiée suivant le plan cadastral est exacte. Mise à prix : cinq roupies. Vingtième lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 651 du plan cadastral, correspondant au N° 84 du païmache, première classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de dix ares, quatre-vingts centiares, soit vingt coujis, trois seizièmes, taxés à deux roupies, deux | à l'ouest par la ruelle, au sud par le manège d'habitation t par celle de terre à nelly, N° 650, de Sivalingapoullé t à l'est par l canal 'irrigation. La superficie de la dite parcelle, N° 649, vérifiée suivant le plan cadastral est exacte. Mise à prx : cinq roupies. Vingtième lot. Une parcelle de trr à nelly, N° 6 du plan cadastral, correspondant au N° 84 du païmache, première classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang 'Oussoudou, cneant une étendue de dix ares, quatre-vingts centiares soit vingt coujis, trois seizièmes, taxés à deux roupies, deux |
soit vingt coujis, trois seizièmes, taxés à deux roupies, deux cent quatre-vingt-quinze millièmes et immatriculée au dit F° 77 de la matrice cadastrale, au nom du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise audit lieu de Villenour, est bornée au nord par la parcelle de terre à nelly, N° 653, de Couttiannapoullé et consorts, à l'est par celle, N° 652, de Pavadépoullé, au sud par celle, N° 661, de Couppatchyatnmalle et à l'ouest par le canal d'irrigation. La superficie de la dite parcelle, N° 651, vérifiée suivant le plan cadastrale est exacte. Mise à prix : cinq roupies. Et vingt-unième et | soit vingt coujis, trois seizièmes, taxés à dxue rps, dx cent quatre-vingt-quinze millièmes et immatriculée au dit ° 77 de la matrice cadastrale, au nm du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise audit lieu de Vllnr, est bornée ua nord p la parcelle de teerr nelly, N° , de Couttiannapoullé et consorts, à 'est par celle, N° 652, de Pavadépoullé, au sud par celle, N° 661, de Couppatchyatnmalle et à l'ouest par le canal d'irrigation. La superficie de la dite parcelle, N° 651, vérifiée suivant le plan cdstrl est exacte. Mise à prix : cinq roupies. Et vingt-unième et |
exacte. Mise à prix : cinq roupies. Et vingt-unième et dernier lot. Une parcelle de terre à nelly, N° 24 du plan cadastral, correspondant aux Nos 601 et 602 du païmache, deuxième classe, double récolte, soumise au régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de quatre-vingt et un ares, soit un cany cinquante et un coujis six seizièmes, taxés à quatorze roupies cent soixante-quinze millièmes et immatriculée au F° 513 de la matrice cadastrale au nom de la dite dame Valliammalle, veuve et héritière du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est | exacte. à prix : cinq ope. Et vingt-unième et dernier lot. n parcelle de terre à nelly, N° 24 du plan cadastral, correspondant aux Nos 601 t 602 du païmache, deuxième lasse, double récolte, soumise régime des eaux du grand étang d'Oussoudou, contenant une étendue de quatre-vingt et n ares, soit n cany cinquante et un ujs ix ièse,meszi taxés à quatorze roupies cent soixante-quinze millièmes et immatriculée au F° 513 de la matrice cadastrale au nom de l dite dame Valliammalle, veuve et héritière du dit feu Candassamypoullé. Laquelle parcle, sise ua dt lieu de Villenour, est |
Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord par la parcelle de terre à nelly, N° 23, de Sittan-Sinnayechetty, représentant de la pagode de Sinouvassapéroumai, par celle, N° 22, de Salla Ramouchetty et par celle, N° 21, de Rattinachetty, à l'est par celle, N°15, de Sababadypoullé, au sud par celle N° 25 «Sannadoumaniam» appartenant à Vingadasséchayer et consorts et à l'ouest par le canal d'irrigation. La superficie de la dite parcelle, N° 24, vérifiée suivant le plan cadastral est exacte. Mise à prix : cinq roupies. Lesdits immeubles ont été saisis à la requête du | Candassamypoullé. Laquelle parcelle, sise au dit lieu de Villenour, est bornée au nord par la ac de terre à ney N° 23, de Siannnacet, représentant de a pgd de iusarmi, par celle, N° 22, de Sla Ramouchetty et pr celle, N° 21, de Rattinachetty, à l'est par cell, °1 de Sababadypoullé, au sud pr celle N° 25 «Sannadoumaniam» pprtnnt à Vingadasséchayer et consorts t l'ouest par le canal d'irrigation. La sprfc e la di clraelep, N° 24, vérifiée svnt le plan cdstrl est exacte. Mise prix : cinq roupies ssiLedt immeubles ont été saisis la requête du |
roupies. Lesdits immeubles ont été saisis à la requête du sieur Louis Si. Gnanapragassamodéliar, fils de feu Sinnayamodéliar, de caste vellaja, rentier, demeurant à Pondichéry, rue de Madras, sur la dame Valliammalle, veuve et héritière de feu Candassamypoullé, celui-ci fils de feu Varadiarasseupoullé, de caste yadava, sans profession, demeurant à la dite ville, rue Sainte-Thérèse, par procès-verbal en date des trente décembre mil neuf cent quatorze, deux, quatre, six, huit, neuf; quinze, seize, dix-huit, dix-neuf vingt-un, vingt-deux, vingt-trois vingt-cinq janvier mil neuf cent quinze, dénoncé le vingt-six du même mois de janvier et transcrit au bureau de la conservation des | roupies. Lesdits immeubles ont été saisis à l requête du sieur Louis S. Gnanapragassamodéliar fils d f Sinnayamodéliar, de cst vellaja, rentier, demeurant à Pondichéry, rue de Madras, sur la dame Vllmmll, veuve et héritière de feu Candassamypoullé, cl-c fils de feu Varadiarasseupoullé, de cst ydv, sans profession, demeurant à la i ville, rue Snt-Thérès, par procès-verbal en date des trente décembre mli neuf cet quatorze deux, quatre x, huit, neuf; quinze, seize, dix-huit, -ndeiufx vig-un vingt-deux, vingt-trois vingtcinq janvier mil enuf cnt quinze, dénoncé le vingt-six du même mois de janvier t transcrit au rubuae de la conservation des |
de janvier et transcrit au bureau de la conservation des hypothèques de cette ville le premier février suivant Reg. Yol. 76, Fol. 69, N° 84. Il est, en outre, déclaré que tous ceux du chef desquels il pourrait être pris inscription pour raison d'hypothèques légales devront requérir cette inscription avant la transcription du jugement d'adjudication. Pour plus amples renseignements, voir le cahier des charges déposé au greffe du dit tribunal, ou s'adresser au conseil agréé soussigné poursuivant la vente. Pondichéry, le 22 mars 1915. Pour annonce : P. RASSOU. AVIS. Le public est prévenu que la vente de l'immeuble consistant | de janvier et cartsnrti au bureau de la conservation des hypothèques e ct ville le premier février suivant Reg. Yol. 76, F 69, N° 84. Il est, en re,uot déclaré que tous eux du chef esqul il prrt tr pris inscription pour raison d'hypothèques légales devront rqérr ctt inscription avant la transcription d jugement d'djdctn. Pour plus mpls reseies voir el aher des charges déposé greffe du dit tribunal s'adresser conseil agréé ouig poursuivant la vente. Pondichéry, el 22 mars 1915. Pour annonce P. RASSOU. AVIS. Le public est pve que la vente de l'immeuble consistant |
Le public est prévenu que la vente de l'immeuble consistant en une maison, sise à Pondichéry; rue Dupleix, N° 51, saisie sur la dame Manicattammalle, fille de Tandayoudapoullé et veuve de Barthasarâdipoullé, de caste vellaja, sans profession, demeurant à Pondichéry, rue d'AnandaRanga poullé, à la requête du sieur Mourougassami poullé, fils de feu Appassamipoullé, de caste vellaja, propriétaire, demeurant à Sarum, commune d'Oulgaret, annoncée au Journal officiel N° 50 du mardi quinze décembre mil neuf cent quinze, fixée au mardi douze janvier mil neuf cent quinze et remise sur la demande expresse de la partie saisie qui a promis de | Le public est prévenu que la vente de l'immeuble consistant n son sise à Pondichéry; rue Dupleix, N° 51, ss su la da Manicattammalle, fille de Tandayoudapoullé et veuve e Barthasarâdipoullé, de caste vellaja, sans profession ednatmeru à Pondichéry, rue d'nndRng pllé, à la requête du sieur Mourougassami poullé, fils de feu Appassamipoullé, de caste vellaja, rrae,érpoptii dmrnt à Sarum, commune d'Oulgaret, annoncée au Journal officiel N 50 d mardi quinze décembre mil neuf cent qin fixée au mardi de janvier mil neuf cent quinze et remise sur la aendmde expree de la prt saisie qui a promis de |
demande expresse de la partie saisie qui a promis de désintéresser le dit poursuivant en principal intérêts et frais de poursuites et qui ne l'a point fait jusqu'à ce jour, aura lieu le mardi six avril mil neuf cent quinze, à quinze heures, à l'audience des criées du tribunal de première instance de Pondichéry, séant au palais de justice, rue Law de Lauriston. Pondichéry, le 25 mars 1915. Pour avis : N. VINAYAGAM. AVIS. Le public est prévenu qu'il sera procédé, le dimanche 4 avril 1915, à 15 heures, à la plaine de Kija-Parikalpeth, commune de Bahour, sur les pieds | dmnd expresse de al partie isasie u promis de désintéresser le dit poursuivant principal intérêts et frais d poursuites et ui ne l'a point fait jusqu'à ce jour, raua lieu le mardi six avril mil neuf cent qune, à quinze heures, à l'audience des criées tribunal de première instance de Pondichéry, séant au palais de justice, rue w de Lauriston. Pondichéry, l 25 mars 1915. Pour avis : N. VINAYAGAM. AVIS. Le public est prévenu uilq' sr procédé, le dimanche 4 avril 1915, à 15 heures, à la plaine de Kija-Parikalpeth, commune de Bahour, sur les pes |
la plaine de Kija-Parikalpeth, commune de Bahour, sur les pieds du terrain ànelly, appelé Poudourettyvarénandjé, situé au sud du terrain de la dame Mangattayammalle, au nord de celui des sieurs Ayassamyhadar et consorts, à l'est de celui de la dame Coullatchy et à l'ouest du canal d'irrigation, par le ministère de l'huissier soussigné à la vente, au plus offrant et dernier enchérisseur, d'un assemblage de briques cuites valant environ six cents roupies; lequel amas de briques cuites a été saisie exécutée au préjudice du sieur Ramakichenar, fils du feu sieur Latchoumanarettiar, de caste vellala, propriétaire, demeurant à Kija-Parikalpeth, commune de | la plaine de Kija-Parikalpeth, omeunmc de Bahour, sur les pieds terrain ànelly, appelé Poudourettyvarénandjé, situé au sud du terrain de la dame Mangattayammalle, au nord de celui sieurs Ayassamyhadar et consorts, à l'est de celui de la dame Coullatchy et à l'ouest du canal dirrigation par le ministère de l'huissier soussigné à la vente, ua pls offrant et dernier enchérisseur, d'un assemblage de briques cuites valant nvrn six cents roupies; lequel ms de briques cuites a t ss exécutée au préjudice du sieur Ramakichenar, du fu sieur Latchoumanarettiar, de caste vlll, poprér dmrnt à Kj-Prklpth, commune de |
Latchoumanarettiar, de caste vellala, propriétaire, demeurant à Kija-Parikalpeth, commune de Bahour, la dite vente aura lieu aux poursuites et diligences du sieur Candappaassary, fils du feu sieur Mouttiaassary, de caste camalu, charpentier, demeurant à Bahour, commune du même nom; lequel est créancier du même sieur Ramakichenarettiar, pour les frais et dépens relatifs à l'instance venue par jugement contradictoirement rendu le vingt-quatre octobre mil neuf cent treize, par le tribunal civil de première instance de Pondichéry. Le prix de vente doit être, de suite, versé au comptant et en espèces métalliques ayant cours entre les mains de l'officier vendeur, sous peine | Latchoumanarettiar, de ast vellala, propriétaire, demeurant Ki-ilpet, commune d Bahour, la dite vente aura lieu aux poursuites et diligences du sieur Candappaassary, fils du f sieur Mouttiaassary, de caste camalu, charpentier demeurant à aor commune du même nm; lequel est créancier du même sieur Ramakichenarettiar, pour les frais et dépens relatifs à l'instance venue par jgmnt contradictoirement rd le vingt-quatre octobre mil neuf cent treize, par le trbnl civil de preère instance de Pondichéry. Le prix de vente doit être, de suite, versé au comptant n espèces métalliques yt cours entre les mains ed lofficier vendeur, sosu peine |
ayant cours entre les mains de l'officier vendeur, sous peine de folle-enchère; l'amas de briques cuites mis aux enchères demeurera, à partir du moment de l'adjudication, aux risques et périls de l'acquéreur et devra être enlevé, par ce dernier, dans le délai d'une semaine, au plus tard. Pondichéry, le 29 mars 1915. L'huissier, N. RADJAMANICAM. VENTE A L'ENCAN ET AU COMPTANT. Le dimanche 4 avril 1915, à huit heures du matin. A la requête de Monsieur le Directeur du Mont-de-Piété, le commissaire-priseur vendra à l'encan et au comptant, en la salle du domaine, sise rue Dumas, divers bijoux en or, | ayant crs eetnr les mains de l'officier vendeur, sous ein de folle-enchère; 'amas de briques cuites mis aux enchères demeurera, à partir du moment de l'adjudication, aux risques e périls d lacquéreur et vrdae être enlevé, pr ce dernier, ds le délai ud'en semaine, au plu tard. Pondichéry, e 29 mars 1915. L'huissier, N. RADJAMANICAM VENTE A L'ENCAN ET AU COMPTANT. Le dimanche 4 avril 1915, à huit heures du matin. A la reuête de Mnsr le Directeur d Mont-de-Piété, le commissaire-priseur d à nan et au comptant, en la salle du domaine, sise rue ums, divers bijoux en or, |
salle du domaine, sise rue Dumas, divers bijoux en or, en argent et montés de pierres précieuses. Le commissaire-priseur, M. EMILE APPAVOU. VENTE A L'ENCAN ET AU COMPTANT. Le dimanche 18 avril 1915, à huit heures et demie du matin, A la requête de Monsieur le Directeur de la Banque de l'Indo-Chine, le commissaire-priseur vendra à l'encan et au comptant, dans les bureaux de la dite Banque, sise rue Mahé de la Bourdonnais, divers bijoux en or et en argent y annexés et non retirés dans les délais. Le commissaire-priseur, EMILE APPAVOU. | salle du domaine, sise rue Dumas, divers bjx en or en argent et montés e rrs précieuses. Le cmmssr-prsr, . EMILE O VENTE A LENCAN ET AU CMPN. Le dmnch 18 avril 1915, à huit heures et demie du matin, A la requête de nreMsuio le Directeur de la Banque de l'Indo-Chine, le commissaire-priseur vendra l'encan et au comptant dans les bureaux d la dt Bn sise rue Mahé de la Bourdonnais, divers bjx en or et en argent y annexés e non retirés dans es délais. Le commissaire-priseur, EMILE APPAVOU. |
EMILE APPAVOU. | EMILE APPAVOU. |
TRIBUN LIBRE Les deux méthodes après l'armistice Au lendemain de l'armistice, deux méthodes s'offraient à la Nation. L'une était d'économie et de travail. La guerre avait détruit d'innombrables richesses et multiplié les signes monétaires correspondant à ces richesses détruites : double motif de déséquilibre. Le réajustement pouvait se faire en répartissant à ceux qui les possédaient les billets de banque en surnombre et en obligeant chacun à faire un effort intensif. Les moyens ? Un impôt sur la nouvelle richesse ou la taxe sur les bénéfices de guerre était la discrète amorce ; la participation du Trésor à toutes les | TRIBUN LIBRE Les deux méthodes après l'armistice lendemain de l'armistice, deux méthodes s'offraient à la Na 'une était d'économie t de travail. guerre avait détruit bmnldisreonba' richesses et mltplé ls signes monétaires correspondant à ces rchess détruites : double motif e déséquilibre. Le réajustement pouvait se faire en répartissant à ceux qui sle possédaient les billets d ue en surnombre et en blgnt chacun à faire un effort intensif. Les moyens ? Un impôt sur la nouvelle richesse ou la taxe sur les bénéfices uer aétit la discrète amorce ; la participation du Trésor à toutes les |
discrète amorce ; la participation du Trésor à toutes les plus-values mobilières et immobilières, ce qui aurait fait pendant à la fixité du taux des loyers, par suite de la législation de exception qui les régit ; l'emploi des sommes ainsi perçues à la reconstitution des régions dévastées, en calculant les indemnités suivant la valeur réelle, d'après les principes des réquisitions ; la suppression farouche de toute dépense inutile et des fonctions superflues ; la réduction progressive du taux des emprunts, si l'emprunt était quand même nécessaire ; la limitation des frais généraux dans toutes les entreprises ; l'abaissement des | discrète amorce la participation d Trésor à toutes les plusvalues mobilières et immobilières, ce q aurait fait pndnt à la fixité du taux des loyers, pr suite de l lgio de exception qi les régit lemoi des sommes ainsi perçues à la rcnstttn des régions dévastées, en calculant les indemnités suivant l vlr réelle, d'après les principes des réquisitions ; la ruisnepposs orafeuhc de eottu dépense inutile et des fonctions superflues ; la réduction progressive du taux des emprunts, s l'emprunt était quand même aie ; l limitation des frais généraux dans toutes les entreprises ; l'abaissement e |
des frais généraux dans toutes les entreprises ; l'abaissement des salaires, contre quoi nul n'aurait pu protester puisque la guerre avait favorisé la main-d'œuvre des usines. Par des moyens analogues ou différents, c'est ce que fit l'Angleterre avec une volonté systématique qui force l'admiration. Les conséquences ? Il n'y aurait pas eu d'inflation, puisque les billets de banque auraient servi automatiquement et directement à refaire la richesse détruite, raison de leur valeur réelle ; la vie n'aurait subi qu'une hausse modérée résultant uniquement de la rareté des marchandises et non de l'artificielle augmentation des signes monétaires ; la répartition se | des frais généraux dans toutes les entreprises ; l'abaissement des salaires, contre quoi nul n'aurait pu protester uuispeq a guerre avait favorisé la main-d'œuvre des usines. Par ds moyens analogues dfférnts, ec'st ce que fit l'Angleterre avec une vlnté yeamustqsité q force adti. Les conséquences ? Il n'y aurait pas eu d'inflation, puisque ls billets de banque rnt servi automatiquement et directement à rfr la richesse détruite, raison de leur valeur réelle ; l vie nt'aruia subi qun hausse modérée tanruslté uniquement de la rareté des arhdises et non ed l'artificielle augmentation des signes monétaires ; la répartition se |
de l'artificielle augmentation des signes monétaires ; la répartition se serait faite suivant l'ordre des besoins économiques, en commençant par les immeubles : l'industrie se serait rétablie progressivement, sans à-coups, suivant le développement de la consommation et l'ouverture des débouchés ; les crises auraient été conjurées ; les fruits du travail auraient été définitivement acquis. Dans le même temps, on aurait pris à l'Allemagne, et, au besoin, de force, toutes les prestations en nature dont elle disposait dans des stocks abondants ; et l'industrie française n'en aurait pas souffert, puisqu'elle était dans une période d'organisation nécessité par le passage des | de lartificielle augmentation des signes monétaires ; la rpiin se srt faite suivant l'ordre ds besoins économiques, en commençant par les immeubles : l'ndstr se serait rétablie prssi, sans à-coups, suivant le développement de l consommation et l'vrtr des débouchés ; les crises auraient été conjurées le fruits travail auraient été définitivement acquis. Dans le même tmps, on aurait pris à l'Allemagne, et au besoin, force, euotst les prestations en nature dont elle disposait dns des stocks abondants ; et l'industrie française n'en aurait pas souffert, puisqu'elle était dans une période d'organisation nécessité pr le passage des |
était dans une période d'organisation nécessité par le passage des fabrications de guerre aux fabrications de paix, et qu'elle était incapable de répondre aux demandes des régions libérées. L'autre méthode était d'insouciance. On proclamait à l'envi que le "Boche paierait", et ce futur dispensait de regarder les réalités présentes. Le chef du gouvernement fixait les Directives de la reconstitution et calmait les impatiences des sinistrés en ces termes lapidaires : "Qu'on leur donne de l'argent et qu'ils nous donnent la paix." Dès lors, l'argent ne compta plus. On ne mesura plus les possibilités du Trésor ni celles de l'épargne. Ce | étt dans une pérd 'organisation nécessité par le passage des fabrications d guerre aux fabrications de paix, et qu'elle était balaicepn de répondre aux demandes des régns libérées. 'eaturL heoédtm était d'nscnc. On proclamait à l'envi q le Boce paierait", et ce futur dspnst d regarder les réalités présnts. Le chef du gouvernement fixait le Directives de la reconstitution et calmait les impatiences sinistrés en termes lapidaires : "Qu'on leur donne de 'argent et qu'ils nous donnent la "xpia. Dès lors, largent ne compta s. O ne mesura plus les possibilités du Trésor ni selelc de eé'a.nprgl Ce |
plus les possibilités du Trésor ni celles de l'épargne. Ce fut l'inflation. Pour donner une apparence de raison à ces libéralités, on paya cher des meubles à ceux qui n'avaient pas de maisons pour les abriter. On créa le Crédit National, dont la constitution même devait augmenter les dépenses improductives et développer les méthodes artificielles. Les emprunts suivirent les emprunts et l'on recourut, pour leur placement, à une surenchère de taux d'émission, à une débauche de commissions dont les souscripteurs eux-mêmes prirent peur. Et cette exagération des moyens de crédit, auxquels il faut ajouter les bons de cession, provoquaient de | sulp les possibilités du Trésor ni celles de lépargne Ce fut l'inflation. Pour donner n apparence de rsn à ces libéralités, on paya chr des meubles à ceux qui n'avaient pas de misos pr les abriter. On créa le Crédit National, dont la constitution meêm devait augmenter les dépenses mpdcis et développer ls méthodes artificielles. Les emprunts suivirent s emprunts et l'on recourut, o leur plcmnt, à une surenchère d tx 'émission, à une euécabhd e commissions dont les souscripteurs exm prirent peur. Et cette exagération des moyens de crédit, auxquels il faut ajouter les bons de cession, provoquaient de |
auxquels il faut ajouter les bons de cession, provoquaient de nouveaux enrichissements sans cause, d'ailleurs moins élevés que ceux produits par les fabrications de guerre. L'industrie, qui commençait à se rétablir, était victime d'une illusion de prospérité ; elle développait à l'excès ses moyens de production sans ongler assez à ses débouchés ; ses frais généraux croissaient sans correspondre à un volume réel de ventes, mais seulement à des prix artificiellement majorés ; on se disputa une main-d'œuvre, rarissime, et les salaires, au lieu de diminuer, ne faisaient que s'augmenter sous la pression illogique et dangereuse des ouvriers eux-mêmes, qui | auxquels il faut ajouter les bons de cession provoquaient de nouveaux enrichissements snas cause, d'ailleurs o élevés que ceux produits par esl fabrications de guerre. Lindustrie qui cmmnçt à se rtabli, était vicie d'une illusion de prospérité elle développait l'excès ses moyens de production sans ongler assez à ses débouchés ; ss frais généraux croissaient sans correspondre à u volume réel de ventes, mis seulement à des prix ailltimertefcnie majorés ; n se disputa une maindœuvre rarissime, et les salaires, au lieu de dmnr, faisaient que s'augmenter sous la peon illogique et dangereuse des iersovru euxmêmes qui |
sous la pression illogique et dangereuse des ouvriers eux-mêmes, qui ne s'apercevaient pas que tôt ou tard, sous une forme ou sous l'autre, il faudrait payer la diminution des heures de travail et l'excès des avantages obtenus. Ce fut la "vague de paresse" Et l'on aboutit ainsi à la crise de 1920, dont les traces douloureuses n'ont pas encore disparues et qui ruina bien des fortunes récentes. C'est dans ces conditions que M. Poincaré prit le pouvoir. Il serait injuste de lui tenir rigueur d'erreurs dont il n'a pu qu'accepter la succession, et dont chaque citoyen porte la responsabilité. On | sous la son illogique et dangereuse des uvs x-mêms, qui ne s'apercevaient pas que tôt ou tard, sous une forme ou sous l'autre, il faudrait payer la diminution des heures de travail et l'excès des vnage obtenus. Ce fut la "vague de paresse" Et 'lon aboutit ainsi à la rs de 1920, dont esl traces douloureuses n'ont pas encore disparues qui nirau bien d frtns récentes C'est ns s conditions que M. Poincaré trpi le pouvoir. Il srt injuste de lui tenir rigueur d'rrrs dnt il n'a pu qu'accepter la succession, t dont chaque teoincy porte al responsabilité. On |
la succession, et dont chaque citoyen porte la responsabilité. On a cru trop vite à une prospérité rapide. Nul ne demandait, en 1919, une élévation des impôts, si ce n'est ceux qui se refusaient à les payer. Il n'est point d'ouvriers qui offrirent à leurs patrons une diminution de salaires pour combattre la hausse des prix. En matière économique, d'ailleurs, on ne revient pas en arrière. Il est impossible de supprimer les conséquences lointaines d'un acte accompli. Dans le cadre des lois, sous un régime fiscal donné, l'initiative de chacun, suivant les nécessités ou les convenances, cherche à s'adapter. Et | l succession, et dont chaque citoyen porte la responsabilité. On a cru tp vite à une prospérité rapide. Nul ne demandait, en 1919 n élévation des impôts, si ce n'est ceux qui se afteresinu à les payer. Il n'est point douvriers qui offrirent à leurs patrons une diminution de salaires pour combattre a hausse des prx. En matière économique, d'llrs, on ne revient pas en arrière. Il est impossible de uimer les conséquences lointaines d'un acte accompli. Dans le cadre eds lois sous un rgimée fiscal dno,én l'initiative de chacun, suivant les nécessités ou les cnvnncs, cherche à s'adapter. Et |
suivant les nécessités ou les convenances, cherche à s'adapter. Et cette adaptation transforme les problèmes. Le nombre des billets de banque n'ayant pas été diminué dès le lendemain de l'armistice, et les appels au crédit s'étant faits plus vite que ne se reconstituait la richesse, le prix des choses a augmenté dans une proportion analogue à celle de l'inflation. Pas d'illusions à avoir, ces prix ne diminueront que lorsque la production française aura dépassé celle de 1913 et aura donné une base réelle aux signes monétaires en circulation. Il n'y a plus rien à tenter d'immédiat à l'intérieur pour améliorer | suivant les nécessités les cnvnncs, cherche à s'adapter. Et cette adaptation tsore les problèmes. Le nombre es billets de bnq n'ayant s éét muidiné dès le lendemain de 'armistice, et les appels au crédit s'étant fts plus vite que n se reconstituait la richesse le prx des choses a augmenté dans une proportion analogue à celle de l'inflation. Pas 'illusions à avoir, ces prix ne diinon que lrsq la production raçais aura dépassé celle de 9113 et aua donné une base réelle aux signes monétaires en circulation. Il l rien à tenter 'immédiat à l'intérieur pour améliorer |
a plus rien à tenter d'immédiat à l'intérieur pour améliorer la situation, si ce n'est l'économie rigoureuse et le maintien d'un juste équilibre. Un seul espoir : le paiement en espèces des réparations par les Allemands. Une seule ressource : le travail, pour produire davantage et pour mettre en valeur toutes les richesses nationales et coloniales. Oublions le passé, et regardons l'avenir ! Camille BOUCHÉ. EDITORIAL Et puis, on recommence. Des discussions commencent, se poursuivront et recommenceront sur le fameux rapport des experts. C'est le propre du monstrueux traité de paix de Versailles. On en discute toujours, mais on ne | a pls rien à tenter d'immédiat à l'intérieur pour améliorer l situation, si c n'est l'économie rigoureuse et le maintien nud' jst équilibre. Un e espoir : le paiement en espèces des réparations par les Allemands. Une seule ressource : le travail, pour produire davantage et pr mettre en valeur toutes les richesses nationales et coloniales. Oublions le passé, et rgrdns l'avenir ! Camille BOUCHÉ. EDITORIAL Et puis, on recommence. Des discussions commencent se poursuivront et recommenceront sr le fameux rapport des experts. C'est le opr du monstrueux traité de paix de Versailles. n en discute toujours, mais on ne |
paix de Versailles. On en discute toujours, mais on ne l'exécute jamais. Les divergences de vues et de desseins entre alliés ont permis à l'ancien « Ennemi commun » de prolonger et de fortifier sa résistance. Si nous n'occupions pas la Ruhr, nous pourrions faire notre deuil des réparations. Trop longtemps encouragée par la politique anglaise, l'Allemagne s'est beaucoup plus préoccupée d'éluder ses engagements que de les tenir. Non seulement elle n'est pas disposée à réparer son crime d'agression, mais elle incline à en préparer la récidive. Cependant, nos pacifistes idéologues s'en vont répétant : « Il faut poursuivre l'exercice | paix de Vrslls. n en discute tjrs, mais n ne l'xéct jamais. Les divergences de vues et e dssns entre alliés ont permis à l'ancien « Ennemi commun » de prolonger et de fortifier sa résistance. Si nous n'occupions pas la Ruhr, nous pourrions faire notre deuil des réparations. Trop longtemps encouragée par la lt anglaise, l'Allemagne sest beaucoup plus prcup d'éluder ss engagements que de les tenir. Non seulement elle t'nse pas disposée à réparer son crime 'agression, iasm elle incline en préparer la cidiv. Cpndnt, nos pacifistes idéologues s'en vont répétant : « Il ft prsvr 'eecreilxc |
idéologues s'en vont répétant : « Il faut poursuivre l'exercice de notre droit aux réparations en accord avec nos alliés. Nous n'avons pas suffisamment cherché à établir cet accord et à trouver une solution internationale des réparations ! ». Mille pardons ! Nous avons cherché; nous nous sommes laissés entraîner de conférences en conférences. Nous avons accordé des atermoiements. Nous avons fait des concessions. Nous avons accepté des réductions. En pure perte. Il faut avoir le courage de parler franc. Depuis l'armistice nous sommes en présence d'une Allemagne qui ne veut pas accepter sa défaite, et aux côtés d'alliés qui | idéologues e vo répétant : « Il faut poursuivre l'exercice ed enotr droit aux réparations en acc avec o alliés. Nous n'avons pas suffisamment cherché à établir cet accord et à trouver une solution internationale des réparations ! ». Mille prdns ! Nous avons hé nous nous sommes laissés etranr de conférences n conférences. Nous avons accordé des atermoiements. Nous avons fait des concessions. soNu avons accepté ds réductions. En pure perte. Il faut avoir le courage de parler franc. Depuis 'armistice nous sommes en présence d'une Allemagne qui ne veut pas accepter sa défaite, et aux côtés d'alliés qui |
veut pas accepter sa défaite, et aux côtés d'alliés qui ne désirent pas que la France soit grandie par sa victoire. La France ne cherche que la réparation de ses ruines dans le présent et sa sécurité dans l'avenir. D'aucuns parmi ses alliés cherchent à contrebalancer l'influence de la France en Occident par une Allemagne unitaire et forte. La politique traditionnelle de l'Angleterre peut varier dans la forme et dans les moyens selon l'étiquette des partis au pouvoir, elle demeure immuable dans son essence et dans ses desseins. Elle ne peut donc juger et résoudre le problème des réparations et | veut pas accepter sa défaite, et aux côt d'alliés q ne rnt pas que a France st andi pr sa victoire. La France ne chrch que la réprtn de ses ruines dans le présnt et sa sécurité dans l'avenir. D'aucuns parmi ss alliés cherchent à contrebalancer l'influence de la France en Ocie par une llmgn unitaire et forte La politique traditionnelle de l'Angleterre peut varier sadn la forme et dans les myns selon l'étiquette des partis au pouvoir, ll demeure immuable ans son essence et dans ses desseins. Elle ne peut donc juger et résoudre le problème des réparations et |
peut donc juger et résoudre le problème des réparations et l'établissement durable de la paix avec les mêmes arguments et du même point de vue que la France. Il faut prendre notre parti de divergences qui ne sont pas de notre fait, et que tous les sophismes du monde ne sauraient effacer. — Causons toujours, dit l'autre. — Si vous voulez. Mais conservons nos gages, et disons à notre tour : « Nous maintiendrons ! ». Edmond du MESNIL. Chacun doit se présenter avec son drapeau et ne pas chercher, pour égarer l'opinion, à en dissimuler les vraies couleurs sous | peut dnc jgr résoudre le problème des réparations et l'étblssmnt durable de la paix avec les mêmes arguments et du même pnt de vue que la France. Il faut prendre notre parti d divergences qui ne sont pas de notre fait, et que tous les sophismes du monde ne sauraient effacer. Causons toujours, dit l'autre. — Si os voulez. Mais conservons nos gages, t disons à notre tr « Nous mntndrns ! ». Edmond ENI Chacun doit se présenter avec son drapeau et ne pas chercher, pour égarer l'opinion, à en dissimuler les vraies couleurs sous |
pour égarer l'opinion, à en dissimuler les vraies couleurs sous les plis de celui des autres. M. Raoul PERET. Président de la Chambre. M. Vautour de l'Hôtel de Ville Les locataires des Entrepôts parisiens, pour la plupart membres du commerce des vins en gros, protestent à bon droit contre la volte-face du Conseil municipal. Celui, le 19 novembre 1923, s'élevait contre le vote du Sénat, qui aurait permis aux propriétaires de majorer leurs loyers de cent pour cent. Et, trois mois après, le 16 février 1924, le même Conseil votait une augmentation du tarif des locations des Entrepôts — augmentation | pour égarer l'opinion, à en dissimuler les vraies couleurs sous les plis de cl sde autres. M. Raoul PRT. Président de la Chambre. M. Vautour de l'Hôtel de Ville Les locataires des Entrepôts parisiens, pour la plupart membres du cmmrc des vins en gros, proetn à bon droit contre la volte-face du Conseil municipal Celui, le 19 novembre 1923, s'élevait contre le vote du Sénat, qui aurait prms aux propriétaires de maor leurs loyers de cent pour cent. Et, trois ms après, l 16 février 1924, le même Conseil t une augmentation du tarif des lctns ds Entrepôts — augena |
une augmentation du tarif des locations des Entrepôts — augmentation qui n'atteint pas moins de 300 %. Les belles déclarations de novembre n'étaient que pour la galerie. Mais le Conseil ayant besoin d'argent pour payer toutes ses prodigalités ruineuses, n'hésite pas à se rattraper par des exagérations de loyer qui ne sauraient être autorisées chez aucun propriétaire. Les électeurs parisiens s'en souviendront, car on finit toujours par se retrouver. Le jour des élections. Sauvons l'arrondissement ! Un des fidèles lecteurs du « Rappel » a écrit à notre directeur : Monsieur le directeur.. Lecteur assidu du Rappel, j'ai lu avec | u aumett du tari des locations des Entrepôts — augmentation qui n'atteint ps moins de 300 Les blls dlt de novembre nétaient que pour la galerie. Mais le Conseil ayant besoin d'argent pour payer toutes se prodigalités ruineuses, n'hésite pas à se rattraper pr des exagérations de loyer qui ne suanreiat être autorisées chez aucun prér.teraiopi Les électeurs parisiens s'en souviendront, car on finit toujours par se retrouver Le jour des élctns. Sauvons l'arrondissement Un des fdèls lecteurs du Rappel » a r ntr directeur : Monsieur le directeur.. reucLte assidu du Rappel, j'ai lu avec |
Monsieur le directeur.. Lecteur assidu du Rappel, j'ai lu avec attention les articles que vous avez publiés contre le scrutin aussi immoral qu'incohérent qui nous est imposé. Comme vous et comme la presque unanimité des électeurs, je souhaite le plus prochain retour au scrutin d'arrondissement. Mais ce retour n'est réalisable que si l'arrondissement est conservé comme unité politique et administrative, et même judiciaire et financière. Or, l'arrondissement, vous ne l'ignorez pas, est gravement menacé dans son existence par les mesures de réformes envisagées par le gouvernement sous la forme des décrets-lois. Plus spécialement, la suppression évolutuelle du sous-préfet, organe qui | Monsieur le directeur.. Lecteur assidu du Rappel, j'ai lu avec attn les articles que vous avez publiés contre le scrutin aussi mm qu'incohérent qui nous est imposé. Comme vous et comme la presque unanimité des électeurs, je souhaite le pls prochain au scrutin d'arrondissement. as ce retour n'est réalisable euq si l'arrondissement est conservé comme unité oeiplutiq t administrative, et même iire et fnncèr. Or, l'rrndssmnt, vous en l'gnrz pas, est re menacé dans son existence par les mesures de réformes envisagées par el gouvernement os la forme des décrets-lois. l spécialement la suppression évolutuelle d sous-préfet, organe qui |
décrets-lois. Plus spécialement, la suppression évolutuelle du sous-préfet, organe qui personnifie l'arrondissement, rendrait franchement impossible, si elle était réalisée, le rétablissement du vieux scrutin uninominal que nous souhaitons tous. Je n'entreprendrai pas ici la défense du sous-préfet et du rôle utile qu'il joue. Ancien maire moi-même, j'ai vu par expérience qu'aucun bureau de préfecture ne peut suppléer aux conseils toujours courtois et bienveillants qu'on trouve auprès du sous-préfet, et j'estime inconcevable que le gouvernement songe à supprimer le seul organe qui lui sert de liaison avec la masse des administrés comme avec les personnalités politiques locales qui ont tant d'action | décrets-lois. Plus spaemn l suppression étl d sous-préfet, organe qui personnifie l'arrondissement, rendrait franchement impossible, si elle était réalisée, le rétablissement du vieux scrutin uninominal que nous souhaitons tous. Je nentreprendrai pas ici a défense u sous-préfet et du rôle utile qu'il joue. Ancien maire mêe j' vu par expérience qu'aucun bureau de préfctr ne peut suppléer aux il toujours courtois te bienveillants qu'on trouve auprès du sous-préfet, et jestime ncncvbl que le gouvernement sng à supprimer le seul organe qui lui sert de liaison avec la mss d dtrés comme avec ls personnalités politiques locales qui nt tant d'action |
comme avec les personnalités politiques locales qui ont tant d'action sur l'opinion. Ce que je veux marquer ici, c'est que, le sous-préfet une fois supprimé, l'unité politique de l'arrondissement s'effritera, les cantons se replieront arbitrairement sur tel ou tel centre, les élus locaux perdront tout contact entre eux et avec l'administration, par suite d'une centralisation excessive, et les ennemis du scrutin uninominal en profiteront pour déclarer que son rétablissement est devenu impossible. Qu'en pensent les partisans du scrutin d'arrondissement, dont vous êtes, monsieur, avec tant d'autorité ? Si mes craintes vous paraissent fondées, je vous demande, dans un de vos | comme avec personnalités politiques locales qui ont ta d'action sur l'opinion. Ce que je veux mrqr c, c'est que, le sous-préfet une fois supprimé, l'unité plue de l'rrndssmnt s'ffrtr, ls cantons se replieront arbitrairement sur tel ou tel centre, les élus locaux perdront tt caotctn entre eux et avec l'administration, pr suite d'une centralisation excessive, et les enes du scrutin uninominal en profiteront pour déclarer que son rétablissement st devenu blsmeopsii. Qu'en pnsnt les partisans du scrtn d'arrondissement, dont vous êtes, monsieur, avec tant d'autorité ? S mes craintes vous pasnt fondées, je vous demande, dans un de vos |
vous paraissent fondées, je vous demande, dans un de vos prochains journaux, de jeter, aussi discrètement que vous le jugerez, mais avec force, le premier cri d'alarme. Tous les amis du scrutin d'arrondissement, et, en même temps la quasi-unanimité de vos lecteurs de province, que préoccupe la menace de décapitation de nos petites villes, vous approuveront de répondre à leurs aspirations profondes. Veuillez agréer, monsieur, l'assurance de ma respectueuse considération. Rien de plus judicieux que ces observations sur lesquelles notre directeur se propose de revenir. La ville monstre New-York a 6.000.000 d'habitants New-York, 28 avril. — La population de New-York | vous paraissent fondées, je svuo demande dans un de vs prochains journaux, de jeter, aussi discrètement vous le jugerez, mais avec force, le premier cri 'alarme. Ts les amis du scrutin dne'nrs,eaotdsirm et, ne même temps la quasiunanimité de vos lecteurs de pice que préoccupe la menace de décapitation de ns petites villes, vous approuveront de répondre leurs aspirations profondes. Veuillez grér, mnsr, lssunc de ma respectueuse considération. Rien de plus jdcx que ce observations sur lesquelles notre directeur se opose de revenir La ville monstre New-York a 6.000.000 d'habitants Nw-Yrk, 2 avril. — La population de New-York |
6.000.000 d'habitants New-York, 28 avril. — La population de New-York a augmenté de près de 500.000 habitants depuis 1920, suivant les statistiques du bureau de recensement. Elle était de 6.016.000 habitants au 1er juillet 1923. Les transports et le 1er Mai On nous annonce, pour le premier mai, une grève de vingt-quatre heures des transports parisiens. Non seulement les taxis ne rouleront pas ce jour-là, mais les autobus et les tramways suivront le mouvement, ou plutôt l'arrêt du mouvement. Que le Nord-Sud et le Métro leur emboitent le pas — en ne marchant point — et les Parisiens iront à | .0.0 'habitants New-York, 28 avril. — La population e New-York a augmenté de près 500.000 habitants depuis 1920, suivant les statistiques du bureau de recensement. ll était de 6.016.000 habitants au 1er jllt 1923. Les transports t le 1r Mai On ns annonce, or le premier mai, une grève de vingt-quatre heures des transports parisiens Non seulement les taxis ne rouleront pas ce o-urlàj, mais les autobus et les tramways sotunivr le mouvement, ou plutôt larrêt du mouvement. Que le Nord-Sud et le Métro leur emboitent le pas en ne marchant point — et ls Parisiens iront à |
en ne marchant point — et les Parisiens iront à pied ce jour-là. Que les chauffeurs de taxis qui considèrent leur client, généralement bourgeois, comme un ennemi de classe, fassent grève pour se montrer la « force prolétarienne », c'est leur droit. Comme ce sera, le 2 mai, le droit du client bourgeois, brimé la veille, de faire la grève du pourboire. Chacun son tour. Mais que les employés d'autobus et de tramways manifestent le 1er mai en molestant leurs semblables, ouvriers ou employés, clients habituels des sociétés de transport en commun, en les empêchant de vaquer à leurs affaires, | en ne marchant pnt — et les Prsns iront à pied ce jour-là. Que les chauffeurs de taxis uqi considèrent leur client, rtgnmeleééan bourgeois, comme un ennemi de classe, fassent grève pour se montrer la « frc prolétarienne », c'est leur droit. Comme ce sera, le 2 mai, le droit du client bourgeois brimé a veille, d fr la grèv du pourboire. Chacun sn tour. Mais que les oés d'autobus et de ytaamrsw manifestent le 1er mai en molestant leurs semblables, ouvriers ou employés, clients habituels des sociétés de transport en commun, en les empêchant de vaquer à leurs affaires, |
en commun, en les empêchant de vaquer à leurs affaires, voilà qui est au premier chef illogique. Mais allez donc demander de la logique à des gens qui pour célébrer le travail, ont imaginé de se croiser les bras. EN DEUXIEME PAGE : La fantastique randonnée de l'aviateur Peltier de Poissy Une victime des Conseils de guerre On a beau s'appeler Dieu, on n'a pas toujours à se jouer de la justice des hommes. Edouard Dieu, qui comparaissait hier matin devant le tribunal de Dijon pour avoir voyagé sans billet, est un exemple vivant de cette vérité. Bachelier ès lettres | en commun, en les empêchant de vaquer à leurs affaires, voilà qui est au pi chef llgq. iMsa allez donc demander de a logique à des gens qui pour célébrr le travail, ont imaginé de se crsr ls bras N DEUXIEME PAGE La atastiq randonnée de l'aviateur Peltier de Poissy Une victime des Conseils de uer On a beau s'appeler Dieu on n'a pas toujours à se jouer d la ju des msohme. Edouard Dieu, qui cmprsst hier matin devant le tribunal de Dijon pour avoir voyagé ssna ,etllbi est un exemple vivant de cet vérité. Bachelr ès lettres |
est un exemple vivant de cette vérité. Bachelier ès lettres et ès sciences, il faisait son service militaire quand, pour s'être disputé avec son caporal, il fut condamné à 3 ans de prison par un conseil de guerre. Désespéré, il voulut s'asphyxier dans sa cellule. Mais il ne réussit qu'à mettre le feu à son lit de camp et fut, cette fois, condamné à mort, pour meurtre volontaire, par un deuxième conseil de guerre. Cependant, gracié puis libéré, il était entré comme clerc chez un huissier de Lyon. Au bout de 28 mois de service, son patron était si content | est un exemple vvat d ctt vérité. Bachelier ès lettres et ès sciences, l faisait son service iliaire quand, pour 'être dspté avec son caporal, il fut condamné à 3 ans de prsn par n conseil de guerre. Désespéré, il voulut s'asphyxier dans sa .euclell Mais il ne réussit qu'à mettre le feu à son lit de camp et fut, cette fois, condamné à mot, pour meurtre volontaire, par un deuxième conseil de guerre. Cependant, gracié ps ir il était entré comme clrc chz un huissier de Lyon. Au bout de 28 mois de service, n patron étit si content |
de 28 mois de service, son patron était si content de lui, qu'il voulut le faire bénéficier de la loi qui permet aux huissiers de faire assermenter leurs clercs. A la seule idée de ce « bénéfice », qui allait l'obliger à exhiber son casier judiciaire, Dieu s'affola et partit sans billet pour Dijon où il fut arrêté. Tout en lui infligeant pour la forme 25 francs d'amende, le président du Tribunal lui a promis qu'il allait s'occuper de lui et lui trouver une situation. Mais n'est-elle pas navrante, l'histoire de cet infortuné, victime des conseils de guerre, et n'est-elle | de 28 mois de service, son ptrn était si content de l, qu'il voulut le faire bénéficier de la oli qui permet aux huissiers faire assermenter leurs clrcs. A la seule idée de e bénéfice », qui allait l'obliger à exhiber son casier judiciaire Dieu s'affola et partit sns billet pour in où il fut arrêté. Tout en lui infligeant pour la forme 25 francs damende le président du Tribunal lui a promis q'l allait s'ccpr de u et lui trouver une situation. Mais st-ele pas navrante, eltirsoih' de ct infortuné, victime des conseils de guerre, et n'st-ll |
de cet infortuné, victime des conseils de guerre, et n'est-elle pas le meilleur argument en faveur de la réforme de la justice militaire ? Un certain nombre de nos lecteurs nous font observer que la publication fragmentaire de nos statistiques électorales qui les intéressent vivement menace de se poursuivre jusqu'au lendemain des élections. Or, ils seraient heureux d'avoir dès maintenant des statistiques complètes. Pour leur donner satisfaction, nous arrêtons à partir d'aujourd'hui la publication de ces statistiques, et nous encarterons, dans le courant de cette semaine, dans notre numéro, un supplément contenant une statistique complète de toutes les circonscriptions (Seine, | de cet nfrtné, victime des conseils de guerre, et n'est-elle pas le meilleur argument e faveur de la réforme de la justice militaire ? Un certain nombre de nos lecteurs nous font observer que la publication fragmentaire de nos statistiques électorales qui les intéressent vivement menace de se poursuivre jsq' lendemain des élections. Or, ils seraient heureux d'avoir dès maintenant des statistiques complètes. Pour leur donner satisfaction, nous arrêtons partir d'aujourd'hui la publication de ces statistiques, et nous encarterons, dans le crnt de cette semaine, dans notre nmér, un supplément contenant une statistique complète de toutes les crcnscrptns (Seine, |
supplément contenant une statistique complète de toutes les circonscriptions (Seine, départements, colonies). LES RÉPARATIONS — Hé ! mère Germania, qu'attendez-vous pour payer ? Le résultat de vos kamikazes électorales, galopin ! POUR LE RÉGLEMENT DES RÉPARATIONS Les entretiens franco-belges sur les Réparations M. Poincaré a conféré hier avec MM. Theunis et Hymans La conversation se poursuivra par la voie diplomatique L'impression qui semble se dégager des conversations franco-belges d'hier au Quai d'Orsay, est plutôt optimiste. Le communiqué officiel souligne que les entretiens se sont déroulés dans un esprit de « confiance amicale » et se termine par l'espoir que l'on | supplément contenant une statistique complète de toutes sle circonscriptions (Seine, départements, soco.elni) LES RÉPRTNS — Hé ! mère Germania, qu'attendez-vous pour a L résultat de vs kamikazes électorales, glpn ! POUR L RÉGLEMENT DES RÉPRTNS Les entretiens franco-belges sur ls Réparations M Poincaré a conféré hr avec MM. Thns t Hymans L conversation s poursuivra par la voie diplomatique L'impression qui semble se dégager des conversations franco-belges d'hier au Quai yr'asd,O st plutôt optimiste Le communiqué fiflcioe oline que les entretiens se snt dérlés dans un esprit ed « confiance amicale » et se trin par l'espoir que l'on |
confiance amicale » et se termine par l'espoir que l'on arrivera « le plus promptement possible, à un règlement général ». Il est vrai qu'il ne s'agissait que de « conversations préalables » à l'examen et à l'application des mesures politiques qui sont du ressort des gouvernements. L'accord ne semble pas être parfait, jusqu'ici, sur tous les points, entre Londres et Paris. Mais la visite des ministres belges en France a déjà permis de constater que les points de vue, quoique divergents, ne seraient sans doute pas irréductibles. Il y a toujours opposition entre nous et l'Angleterre sur les modifications | confiance amicale » et se termine l'espoir que l'on arrivera le plus promptement possible, un règlement général ». Il est vrai qu'il ne s'agissait que de « conversations préalables » à lexamen et à l'application des mesures pltqs qui sont du ressort des gouvernements. Laccord ne semble pas être parfait, jusqu'ici, sur tous les points entre Londres et Mais la visite des ministres belges en France a déjà permis de constater que les points de vue, quoique divergents, ne seraient sans doute pas rrédctbls. Il y a toujours opposition entre nous et l'Angleterre sur les modifications |
a toujours opposition entre nous et l'Angleterre sur les modifications à apporter au régime économique de la Ruhr, Le chancelier Marx, qui le sait, a eu beau jeu de proclamer à Dusseldorf que l'Allemagne ne mettrait à exécution le plan des experts qu'après avoir été « réintégrée dans ses droits souverains sur les territoires occupés ». Se ralliera-t-on à la formule de Bruxelles, qui consisterait à adopter un programme de démobilisation économique par étapes ? M. MacDonald répondra. Quant aux sanctions éventuelles, en cas de nouveau manquement, Londres nous laisserait les mains libres pour reprendre notre mainmise économique sur la | a toujours opposition entre nous et l'Angleterre sur les mdfctns à apporter au régime économique de la Ruhr, Le cclir Marx, qui le sait, a eu beau jeu d proclamer à Dusseldorf que l'Allemagne ne mettrait à exécution le plan des experts qu'après avoir été « réintégrée dans ses droits souverains sur les territoires occupés ». eS ralliera-t-on à la formule de Bruxelles, q consisterait à dptr un programme de démobilisation économique par étapes M. MacDonald répondra. Quant aux snctns éventuelles, en cas de uaeuvon manquement, Londres nous lssrt les mains libres pour reprendre notre mainmise économique sur la |
les mains libres pour reprendre notre mainmise économique sur la Ruhr. Illusoire consolation, puisque, une fois ces rouages économiques remis à l'Allemagne, il serait extrêmement difficile pour nous d'en reprendre le contrôle. Des dettes interalliées et du montant total de la dette allemande, il a été question aussi au Quai d'Orsay, sous forme d'échange de vues. Mais n'oublions pas qu'il ne s'agit encore que de « conversations préalables » à une conversation beaucoup plus ample des gouvernements intéressés entre eux. Ceci, pas avant les élections allemandes et françaises. G. PEYTAVIE DE FAUGERES. au Quai d'Orsay MM. Theunis et Hymans, qu'accompagnait | les mains libres pour reprendre notre mainmise économique sur la Ruhr. lsir consolation, puisque, une fois ces rouages économiques resim à l'Allemagne, il serait extrêmement difficile pour nous d'en reprendre le contrôle. Des dettes interalliées et du montant total de la dette allemande, il a été question aussi au Quai d'Orsay, ss forme déchange de s.uve Mais n'oublions pas u ne 'agit encore que de « conversations préalables » à une conversation beaucoup plus ample des nmtneevroesgu intéressés entre eux. Ceci, s avant les élections allemandes et françaises. G. PEYTAVIE DE FAUGERES. au Q d'rsy MM. Theunis et Hymans, qu'accompagnait |
DE FAUGERES. au Quai d'Orsay MM. Theunis et Hymans, qu'accompagnait le baron de Gairfeller d'Hestroy, ambassadeur de Belgique à Paris, ont eu hier matin avec M. Poincaré un premier entretien qui a duré plus de deux heures. Arrivés à 10 heures au Quai d'Orsay, le président du conseil et le ministre des affaires étrangères de Belgique ont examiné avec le président du Conseil français les divers problèmes posés par le rapport des experts, qui sont de la compétence des gouvernements. A midi 15, les ministres belges sont rentrés à leur hôtel. Ils revenaient peu après au Quai d'Orsay, où M. | DE FAUGERES. au Quai dr MM. Theunis et Hymans, qu'accompagnait le baron de Grfllr 'Hestroy, mbssdr de Belgique à Prs, ont eu hier matin avec Poincaré un premier entretien uqi a déur plus d deux heures. rrvés à 10 heures Quai d'rsy, le président du conseil et le ministre des affaires étrangères de Begiq ont examiné avec le président du Conseil français les divers problèmes psés par le rapport des experts, sont de la compétence des gouvernements. A midi 15, les instr belges sont rentrés leur hôtel. Ils revenaient peu après au Quai dOrsay o M. |
hôtel. Ils revenaient peu après au Quai d'Orsay, où M. Poincaré les avait priés à déjeuner à 1 heure. La conférence a repris dans l'après-midi, à 15 heures, mais aux interlocuteurs du matin s'étaient joints : MM. Tirard, président de la haute commission interalliée des pays rhénans; le maréchal Foch, MM. Barthou et Mauclère, délégués de la France à la C.D.R.; MM. Delacroix et Gutt, délégués de la Belgique à la Commission des réparations; M. Terlinden, chef de cabinet de M. Theunis; M. Perretti de la Rocca, directeur des affaires étrangères au Quai d'Orsay. C'est à 17 h. 15 que | hôtel. Ils revenaient peu après au Quai dsay, où M. Poincaré les avait priés à déjeuner à 1 heure. La cnférnc a repris dns m-pis,aièrl'd à 15 heures, mais aux interlocuteurs d mtn s'ient joints : MM. Tirard, résent de la haute commission interalliée des pays rhénns; le maréchal , MM. Barthou et Mauclère, délégués de la France à la C.D.R.; MM Delacroix et Gutt, délégés de la Belgique à la Commission des réparations; M. Terlinden, chef de cabinet de M. ;uiTensh . Perretti de la Rocca, directeur des affaires étrangères Qi d'Orsay. C'est 17 15 que |
étrangères au Quai d'Orsay. C'est à 17 h. 15 que la conversation s'est terminée. MM. Barthou et le maréchal Foch sont sortis les premiers. MM. Hymans et Theunis ont quitté ensuite le Quai d'Orsay avec leurs collaborateurs et sont rentrés à leur hôtel. Ils sont repartis pour Bruxelles à 18 heures, et se rendront à Londres vendredi. « Tout est parfait, ont-ils déclaré. Les échanges de vues entre Paris et Bruxelles se continueront par la voie des ambassadeurs, afin que l'application du plan des experts, en ce qui concerne les gouvernements, se fasse dans les meilleures conditions d'accord. » LE | étrangères Quai d'Orsay. C'est 17 h. 15 que la cnvrstn s'est terminée. MM. Brho et le maréchal Foch sont sortis les premiers. MM. Hymans et Theunis on quitté ensuite le Quai d'Orsay avec leurs collaborateurs et sont rentrés à elru hôtel. Ils sont atierprs pour Brxlls à 18 heures, et se rendront à Ldrsone vendredi. « Tout est parfait, ont-ils déaé Lse échanges de vues nte r et Brel s cntnrnt par la voie des ambassadeurs, afin que l'coipanptali du plan des experts, en ce qui concerne les gouvernements, se fasse dans les meilleures conditions d'accord. » LE |
gouvernements, se fasse dans les meilleures conditions d'accord. » LE COMMUNIQUE OFFICIEL Le ministère des affaires étrangères publie le communiqué suivant : Les ministres belges et français ont procédé, dans un sentiment de confiance amicale, à un échange de vues préalable, sur les bases différentes problèmes qui se posent à propos du rapport des experts et qui relèvent de la compétence du gouvernement. Ils comptent poursuivre ces conversations pour arriver, le plus rapidement possible, d'accord avec les alliés, à un règlement général. ; LES POURPARLER FINANCIERS Londres, 28 avril — On croit savoir que M. J. Pierpont-Morgan, au cours de | uvenets se fasse dans les mllrs conditions d'accord. » LE COMMUNIQUE OFFICIEL Le ministère des saffarie étrangères publie le cmmnqé suivant : Les stes belges et français ont éocdr,pé dans un sentiment de confiance amicale, un échng de vues préalable, rsu les bs différentes problèmes qui se posent à propos du rapport ds experts et qui relèvent e la compétence du gouvernement. Ils comptent poursuivre ces eatn pour arriver, le s rapidement possible d'accord e les alliés, à un rgemn né ; LES POURPARLER FNNCRS Londres, 28 avril — On croit savoir que .J Pierpont-Morgan, au cours de |
On croit savoir que M. J. Pierpont-Morgan, au cours de son séjour à Londres, prendra part à une conférence financière internationale, à propos de l'emprunt de 800 millions de marks or suggéré dans le rapport des experts comme la première mesure à prendre pour la stabilisation de la monnaie allemande. POUR RAISONS DE SANTE Démission du général Diaz ministre de la guerre d'Italie Rome, 28 avril. — Le général Diaz, ministre de la guerre, a donné sa démission pour raisons de santé. Il est remplacé dans son poste par le général di Giorgio. Le général Diaz, vainqueur du Piave et | On croit savoir que M. . Pierpont-Morgan, au crs son séjour à d prendra part à une conférence financière internationale, à propos de l'emprunt de 800 millions d marks or suggéré dans l rapport des experts comme la première msr à prendre pour la stabilisation de la monnaie llmnd. PR RAISONS DE SANTE Démission du général Diaz ministre la guerre dItalie Rome, 82 avril. — Le général Diaz, ministre de la guerre, a donné sa démission pour raisons de santé Il est remplacé dans sn poste a le général Giorgio. Le générl Diaz, vainqueur du Piave et |
général di Giorgio. Le général Diaz, vainqueur du Piave et de Vittorio Veneto, passait pour avoir favorisé l'arrivée au pouvoir du fascisme. Il en fut d'ailleurs récompensé par le portefeuille de la guerre dans le cabinet de Mussolini en octobre 1922. Le successeur Le nouveau ministre de la guerre, le général de Giorgio, est né à Païenne en 1867. Sorti de l'École de guerre, il s'est distingué au cours de la campagne de 1895-96, comme capitaine d'état-major, et il a participé brillamment à la campagne de Libye comme colonel. Durant la guerre mondiale, le général commandait un corps d'armée et, | général di Giorgio. Le général Diaz, vainqueur du Piave et de ittro Veneto, passait pour avoir v l'arrivée au pouvoir du fascisme. Il e fut slru'adeli rpéosnemcé par le portefeuille de la guerre dns le cabinet ed Mussolini en octobre 122 L successeur Le nouveau mnstr ed la guerre, le général de Giorgio, est né à Païenne en 16 Sorti de lÉcole de guerre, il s'est distingué au cours e la cane de 51,-9689 comme ait d'état-major, et il a prtcpé brllmmnt à la campagne de Libye comme coloe. Durant la guerre monial, général commandait n corps d'armée et, |
la guerre mondiale, le général commandait un corps d'armée et, lorsqu'en 1917, l'armée italienne dut battre en retraite sur Livenza, le général de Giorgio protégea efficacement la retraite, liant son nom à d'héroïques faits d'armes. Le général de Giorgio appartient au Parlement depuis 1913. Il y a impérialisme et impérialisme L'Humanité a publié hier matin, à propos du 1er mai, un appel de l'Internationale communiste aux travailleurs du monde. Parmi les généralités assez nébuleuses de ce document moscovite, une phrase très nette se détache pourtant en vigueur sur le gris de l'ensemble. C'est celle qui a trait à la France | la guerre mondiale, le général commandait n corps d'armée et, lorsqu'en 1917, larmée italienne dut battre en retraite sur Livenza, l général d Giorgio protégea efficacement la retraite, liant son nom à d'héroïques faits d'armes. Le général de Giorgio appartient au Parlement depuis 1913. Il y périlisme et impérialisme L'Hmnté publié hier matin, à propos du r1e mai, un appel ed l'Internationale communiste aux travailleurs du monde. Parmi les généralités assez nébuleuses de ce document moscovite, une phrase très nette se étche o en vigueur u le gris de l'ensemble. C'st celle qui a trait à la France |
de l'ensemble. C'est celle qui a trait à la France : « La France de Millerand et de Poincaré, la France du comité des forges, étrangle l'Allemagne vaincue. Elle tend à continuer partout l'œuvre de destruction, de corruption et de violence de l'impérialisme. » Voilà au moins qui est clair et franc. Quand la Russie soviétique trahissait la France alliée au profit de l'Allemagne et, par sa défection, faisait durer la boucherie au moins un an de plus, elle ne tendait pas, elle, à « continuer l'œuvre de destruction et de violence de l'impérialisme ». Parce qu'il s'agissait de l'impérialisme | e l'ensemble. Cest celle qui a trait à l France : « La France de Millerand et d ncré la France du comité des forges, étrangle Alee vaincue. Elle tend à continuer partout l'œuvre destruction, ed rcntopioru et de violence de l'impérialisme. » Voilà au moins qui est ai et franc. Quand la sueisR soviétique trahissait la France alliée profit de lAllemagne et, par sa défection faisait durer la boucherie au moins un an de plus, elle ne tndt pas, elle, à « continuer l'œuvre de destruction et de violence de 'impérialisme ». Parce quil s'agissait de l'mpérlsm |
de violence de l'impérialisme ». Parce qu'il s'agissait de l'impérialisme allemand. Si, grâce à la trahison russe, l'Allemagne avait vaincu la France et lui avait imposé sa paix, l'étranglement de la France par l'Allemagne, eût sans doute été considéré comme œuvre pie par Moscou. Mais la France n'a pas été vaincue et elle essaie de se faire payer son dû. Voilà qui paraît intolérable et criminel aux moscovites, lesquels ont adopté comme principe qu'on ne doit point payer ses dettes. EN DERNIÈRE HEURE: déclaration de M. Mac Donald EN SEINE-ET-OISE Quand les Républicains savent s'unir La force des communistes n'est | d vlnc de miilmlaispré'e ». Parce qu'il 'agissait de l'impérialisme llmnd. Si, c à la trison russe, l'Allemagne vt vaincu al France et lui avait imposé sa px, létranglement e la France par l'Allemagne, eût sans doute été considéré comme œuvre pie par Moscou. Mais la France ' pas été vaincue et le essaie de se faire yr son dû. Voilà qui paraît inlérabl et criminel aux mscvts, lesquels ont adopté pcie qu'on n doit onpit payer ses dettes EN DRNÈR HEURE: déclaration d M. Mac Donald EN SEINE-ET-OISE Quand les Répblcns savent s'unir L force des communistes n'est |
Quand les Républicains savent s'unir La force des communistes n'est faite que de la division des républicains. Si l'union et la discipline républicaines étaient observées, tous les efforts des révolutionnaires se trouveraient vains, et leurs gains électoraux réduits en exacte proportion de leur nombre dans le pays. Nous en trouvons une preuve éclatante dans l'élection au conseil général de Seine-et-Oise, qui a eu lieu dimanche. Ainsi que nous l'avions annoncé il s'agissait de pourvoir à l'élection d'un conseiller général pour le canton de Maisonsaffitte, récemment créé Le candidat de l'Union des républicains était M. Jules Rein, le très distingué et | Qnd ls Républicains savent s'unir La force des cmmnsts nest faite que de la division s républicains. i lunion et la discipline républicaines étaient observées, tous les ffrts des révolutionnaires se trvrnt vains, et leurs gains électoraux réduits en exacte proportion de e eornbm dans le pays. Nous n trouvons une preuve éclatante dans l'élection au conseil général de Seine-et-Oise, qui a lieu ache Ainsi que nous l'avions nnncé il s'agissait de pourvoir à l'élection dun conseiller général pour l canton de Maisonsaffitte, récemment créé Le candidat l'Union des républicains était M. Jules R le très distingué et |
des républicains était M. Jules Rein, le très distingué et sympathique maire de Mesnil-le-Roi. Le parti communiste lui opposait M. Lesion. Sur 3.540 votants M. Jules Rein a été élu par 2.703 voix; et M. Lesfen en a obtenu 840. C'est-à-dire que sur ce point de Seine-et-Oise où les républicains ont su être unis, les communistes n'ont pas recueilli un cinquième des suffrages exprimés. Et dire qu'il en serait ainsi dans tout le département de Seine-et-Oise, si partout les républicains avaient su comprendre et faire leur devoir. Au lieu que leurs divisions et leurs querelles risquent d'attribuer un ou deux | des républicains était M. Jules Rein, le très distingué et sympathique maire de Mesnil-le-Roi. Le parti communiste lui opoat M. Lesion. Sur 3.540 votants M. Jules n a été élu par 2.703 voix; et M. Lesfen en a btenu 840. C'est-à-dire que sur ce point de Seine-et-Oise où sel républicains ont su être unis, les esmnsucmito n'ont pas recueilli un cinquième des suffrages exprimés. Et dire qu'il en serait ainsi dans tout le département de Seine-et-Oise, partout les républicains avaient su comprendre et faire leur devoir. Au lieu que leurs divisions et leurs querelles risquent d'attribuer un u deux |
leurs divisions et leurs querelles risquent d'attribuer un ou deux sièges aux communistes dans la prochaine Chambre. Mort de M. Marius Richard C'est avec une profonde affliction que nous apprenons la mort de notre excellent confrère M. Marius Richard, directeur du Petit Provençal. M. Marius Richard avait été, la semaine dernière si grièvement blessé dans un accident d'automobile que, depuis plusieurs jours, on désespérait de le sauver. L'événement, hélas ! a confirmé ces pronostics pessimistes. M. Marius Richard meurt à l'âge de 55 ans. Entré dans la presse comme correspondant à Marseille de la Dépêche de Toulouse ; puis chef | leurs divisions et leurs querelles risquent attibue un o deux sièges aux communistes dans la prochaine Chambre. Mort de M. Marius Richard C'est avec une profonde affliction q ns apprenons la mort de notre excellent èr M. rius Richard, directeur du Petit Provençal. M. Marius Richard avait été, l semaine dernière si grièvement blessé dans n accident d'automobile que, depuis useiplsur jours, on désspért de le sauver. L'événement, hélas ! a confirmé ces pronostics pessimistes. M. Marius Richard meurt à 'âge de 55 ans. Entré dans la presse comme correspondant Marseille de la Dépêche de Toulouse ; puis |
à Marseille de la Dépêche de Toulouse ; puis chef de la rédaction parisienne du Petit Provençal ; enfin directeur du même journal à Marseille, M. Marius Richard était non seulement un journaliste de talent, mais un technicien de premier ordre; il avait écrit sur l'Outillage National, sur le Régime minier, sur la Navigation intérieure, des ouvrages qui font autorité en ces matières. Nous garderons surtout, ici, le souvenir de son aménité, de sa parfaite courtoisie; nous nous rappellerons toujours l'aimable accueil qu'il nous réserva en octobre 1922, quand le Rappel eut à tirer, à Marseille, des éditions spéciales et | Marseille de la Dépêche de Toulouse ; puis chef d la rédaction parisienne d Ptt Provençal ; nfn directeur du même journal à Marseille, M. Marius Ria était non seulement un journaliste de talent, mais un technicien d premier ordre; l avait écrit sur Otlu'alglie National, sur le Régime mnr, sur la Navigation intérieure, des ouvrages qui font autorité en sec matières. Nous garderons surtout, ici, le souvenir de son aménité, de sa parfaite courtoisie; nous ns rappellerons jo 'aimable accueil qu'il nous réserva en octobre 1922, quand le Rppl eut à tirer, à Marseille, des éditions spéciales et |
Rappel eut à tirer, à Marseille, des éditions spéciales et la façon toute confraternelle dont il nous aida dans notre tâche. Marius Richard était de ceux qui honorent notre profession. Sa perte n'en sera que plus cruellement ressentie par tous ceux qui l'ont connu et qui l'ont aimé. Hommage à Paul Deschanel « Les Amis de Paul Deschanel » se sont réunis hier matin, au cimetière Montparnasse, et ont déposé de superbes couronnes rouges sur la tombe de l'ancien président de la République. De nombreuses personnes étaient venues s'associer à cet hommage à la mémoire de Paul Deschanel. Au premier | Rappel eut à tirer à Marseille, des édtns spéciales et la façon toute confraternelle dont il nous aida dans notre âhe. Marius Richard ti de ceux qui hnrnt notre profession. Sa perte n'en sera que plus clet ressentie par tous ceux qui l'ont connu et qui l'ont aimé. Hmage à Paul Deschanel « Les Amis e Paul Deschanel » se sont réunis hier matin, a cimetière Montparnasse, et ont déposé d superbes couronnes rouges u la tombe de l'ancien président de la République. De nombreuses personnes tait venues s'scir cet hommage à la mémoire de Paul Deschanel. Au premier |
cet hommage à la mémoire de Paul Deschanel. Au premier rang de l'assistance, on remarquait Mme veuve Paul Deschanel; sa fille et ses deux fils; MM. Charlier, chef de cabinet du ministre de l'intérieur; Auguste Gauvain, Fernand Laudet, Delatour, Morizot-Thibaut, de l'Institut; Lépine, ancien préfet de police; le général Pénelon; René Malliavin; Humbert, etc. M. Auguste Gauvain, membre de l'Institut, a prononcé le discours suivant: « Voilà, deux ans que le président Deschanel a été enlevé brusquement à sa famille, à ses amis et à son pays. Mais le temps qui ensevelit tant de choses dans l'oubli grandit plutôt sa | cet hommage à la mémoire de P Deschanel. Au prmr rang de l'assistance, on rmrqt Mme veuve Pl Deschanel; sa fille et ses deux fils; MM. Charlier, chef de cabinet du ministre de lintérieur Auguste Gauvain, Fernand Ldt, Delatour, Morizot-Thibaut, de l'Institut; Lépine, ancien préfet de police; el général Pénelon; René Malliavin; Humbert, etc. M gst Gauvain, membre de l'Institut, a prononcé le discours suivant: « Voilà, deux ans que le président Deschanel a été enlevé brusquement à sa famille, à ss amis et à son pays. Mais le temps qui ensevelit tant de chss dans l'oubli grandit plutôt sa |
qui ensevelit tant de choses dans l'oubli grandit plutôt sa mémoire. Libéré des polémiques quotidiennes qui déforment si souvent les physionomies, Paul Deschanel apparaît maintenant, dans le recul du passé, tel qu'il aurait souhaité d'être vu. Les exhortations et les avertissements qu'il a prodigués durant sa vie à ses contemporains reviennent à chaque instant à l'esprit des survivants qui les ont entendus et des jeunes disciples qui vont y chercher des enseignements. Il a été tellement mêlé pendant 35 ans à la politique, il était tellement imprégné de tout ce qui a formé le génie français, que son nom monte | qui ensevelit tant de oeschs dans l'bl gradt plutôt s mémoire. Lir des iosqéuelmp quotidiennes qui déforment si svnt les physionomies, Palu Deschanel apparaît maintenant, dans le recul du passé, tl qu'il rt souhaité d'être vu. Le exhortations et les avertissements qu'il prodigués durant sa vie à ses contemporains reviennent à chaque instant l'sprt des survivants qui le nt entendus te ds jns disciples qui ovnt chercher des enseignements. Il t tellement mêlé pendant 35 ans à la politique, il était tellement imprégné de tout ce qui a frmé l génie français, que sn nom mnt |
qui a formé le génie français, que son nom monte naturellement à toute occasion aux lèvres des hommes qui furent les témoins de ses longs efforts pour le relèvement de la patrie et, plus tard, pour la consolidation de la victoire. Il est comme incorporé dans l'histoire de France. Le monument qui va lui être élevé à Nogent-le-Rotrou ne perpétuera pas seulement son souvenir parmi les populations qu'il ama tant et qui lui furent si fidèlement attachées. Il sera le symbole, dans le marbre et le bronze, d'un patriotisme qui eut autant de fermeté que d'éclat. « Au contraire de | qu a formé le génie français, que son nom monte naturellement à toute occasion aux lèvres des hommes qui furent les témoins de ss los efforts por le relèvement d la patrie et, plus tard, pour la consolidation de la victoire. l est coemm incorporé dans l'histoire de France. Le monument qui va lui être élevé à Nogent-le-Rotrou ne perpétuera pas slmnt son souvenir parmi les populations qu'il ama ta et qui lui furent si fiden attachées. Il sera le symbole, dans le marbre et le bronze, d'un patriotisme qui eut autant de fermeté que d'éca « contraire ed |
eut autant de fermeté que d'éclat. « Au contraire de Gambetta qui mourut trop tôt pour recevoir de son vivant, une fois éteintes les préventions et les rancœurs, les hommages de ses anciens adversaires, Paul Deschanel a recueilli dans la seconde moitié de son existence les suprêmes consécrations que décernent les hommes dans un État libre. Mais, pour jeune encore à une haute fonction qui l'obligeait à se tenir au-dessus des partis, puis, frappé prématurément par le destin à un moment où l'on espérait beaucoup de lui, il n'a pas eu l'occasion de donner sa pleine mesure d'homme de gouvernement. | eut autant de tfeemér que d'éclat. « u contraire de Gambetta qui mourut trop tô pour recevoir de son ,vavtin une fois éteintes les préventions et les rancœurs, les hommages de ses anciens adversaires, Plua Deschanel recueilli dans l seconde moitié d son existence les suprêmes consécrations que décernent les hommes dans un Étt libre. Mais, pour jeune oneerc à une haute fonction qui l'obligeait à e tnr au-dessus des partis, puis, frappé prématurément par le destin un moment ù l'on espérait beaucoup e lui, il n'a pas l'occasion de dner sa pleine mesure d'homme de gouvernement. |
eu l'occasion de donner sa pleine mesure d'homme de gouvernement. C'est dans ses écrits surtout qu'il faut chercher les doctrines et les exemples qu'il aurait désiré faire passer dans les faits. Cependant, ses écrits qui, parfois, ont été des actes, constituent eux aussi un monument où les générations successives pourront puiser de fécondes leçons. Plus on les revoit, plus on y retrouve le vrai visage de la France. La vivacité de l'imagination et la solidité de la raison, l'ardeur du tempérament et le goût de la réflexion, la générosité du cœur et la spéculation philosophique, la clairvoyance intuitive et l'exactitude | eu lccson d donner sa pleine mesure d'homme de gouvernement. C'est dns ses écrits srtt q' faut hcrreehc les doctrines et les xee quil aurait désiré faire passer dans les faits. Cependant, ses r qui, parfois, ont été des actes, constituent eux aussi un monument où les générations successives pourront psr de fécondes leçons. Plus on les revoit, plus on y retrouve e vrai visage de la France. La vivacité de l'imagination et la solidité de l raison, l'ardeur du rttemanméep t l goût de la réflexion, la générosité du cœur et la spéculation eh,qiohiplpuos la clairvoyance nttv et l'ctd |
cœur et la spéculation philosophique, la clairvoyance intuitive et l'exactitude de l'observation, l'élan vers le mieux et la recherche du bien, réalisaient en Paul Deschanel un équilibre où nous nous plaisons à reconnaître les qualités traditionnelles de notre race. « C'est pourquoi, Les Amis de Paul Deschanel sont certains de se renouveler à mesure que disparaîtront ceux qui ont eu le privilège de le connaître personnellement. Ceux d'aujourd'hui lui adressent en ce triste anniversaire un nouveau témoignage de leur reconnaissance et de leur admiration, et l'assurance que son souvenir leur est toujours présent. Que son ombre, qu'on sent ici toute | cœur t la spéculation philosophique, la clairvoyance intuitive et l'xcttd de l'bsrvtn, l'élan vers le mieux et la cechhreer du bien, réalisaient en Paul Deschanel un équilibre où nous ns plsns à reconnaître les qltés traditionnelles de notre race. « Cest pourquoi, Les Amis de Paul Deschanel sont certains de se renouveler à mesure que disparaîtront ceux qui ont eu le privilège de le connaître personnellement. Ceux d'aujourd'hui lui adressent en ce triste anniversaire un nouveau témoignage de leur reconnaissance et de leur admiration, et l'assurance que son svnr leur st toujours présent. Que son ombre, u'o sent ici toute |
est toujours présent. Que son ombre, qu'on sent ici toute proche, et que sa famille dont nous partageons l'affliction, ne ressentent nulle inquiétude sur les sentiments des vivants et sur le jugement de l'avenir! Paul Deschanel reste, en France, à travers toutes les vicissitudes, le guide vers lequel aimeront à se tourner les fidèles du culte de la justice et de la patrie. » Les Jeux Olympiques Les Américains à Paris Une quinzaine de joueurs américains sont arrivés hier soir à Paris, et ont été reçus au Comité Olympique Français. Le mauvais temps ne rendant pas le séjour au Village | est toujours présent. Q son ombre, quon sent ici toute proche, et que sa famille dont nous partageons l'affliction, ne ressentent nulle nqétd sur les sentiments des via t sur le jumnt de l'avenir! ualP Deschanel reste, en France, à travers toutes les vicissitudes, le guide vers lequel aimeront à s trnr les fidèles du clt de la justice t de la patrie. » Les Jeux Olympiques Les Américains à Paris Une qneinauiz de joueurs américains snt arrivés hier soir à Paris et ont été reçus au Comité Olympique Français. Le mauvais temps ne rendant pas le séjour au Village |
Le mauvais temps ne rendant pas le séjour au Village Olympique très agréable, le Comité a décidé de les loger dans un hôtel du centre de Paris, où viendront les rejoindre les autres membres de la sélection jeudi prochain, à leur arrivée d'Angleterre. La participation chinoise et hindoue Le Comité Olympique a reçu les engagements de la Chine et des Indes pour le Tournoi de Tennis. La Chine s'engage pour les simples et doubles messieurs. La Pâque juive est marquée en Tunisie par une sanglante bagarre Des maisons israélites sont prises d'assaut il y a de nombreux blessés Tunis, 28 | Le mauvais temps ne rendant s le séjour au Village Olympique très agréable, le Comité a décidé de les loger dans un hôtel du centre de Paris, où viendront les rejoindre les autres membres de la nséclioet jeudi prochain, à leur arrivée 'Angleterre. La participation chinoise et hindoue Le Comité Olympique a reçu les engagements d al Chine et des Indes pour le Tournoi ed Tennis. La Chine s'engage pour e simples et doubles messieurs. La Pâque juive est mrqé en Tunisie par une gnanltsae bagarre Des maion israélites sont prises d'assaut il y a de nombreux blessés Tns, 28 |
prises d'assaut il y a de nombreux blessés Tunis, 28 avril. — Hier soir, à 21 heures, à Ariana, gros bourg de la banlieue immédiate de Tunis, un militaire indigène ayant quitté un café sans payer sa consommation fut poursuivi jusqu'au tramway par le garçon. De jeunes Israélites et indigènes prirent parti pour et contre le garçon et la querelle dégénéra en sanglante bagarre. Une foule de 6.000 personnes se rassembla bientôt autour des combattants. Les indigènes prirent d'assaut plusieurs maisons israélites. Les trois principaux cafés de la localité furent saccagés, leurs caisses volées, et leurs propriétaires maltraités. Une rôtisserie | prises d'assaut l y a ed nombreux blessés Tunis, 28 avril. — Hier soir, à 21 heures, à Ariana, gros bourg de la banlieue mmédt de Tunis, un militaire indigène ayant quitté un afé sans payer sa consommation poursuivi jusqu'au tramway r le gon De jeunes Iaites et indigènes inrrpet parti pour et contre le garçon et la querelle dégénéra en sanglante bagarre. Une foule de .000 personnes s rassembla bientôt autour des combattants. esL indigènes prirent dassaut plusieurs maisons israélites. Les trois principaux cafés de la localité furent saccagés, leurs caisses volées, et leurs propriétaires maltraités. Une rôtisserie |
saccagés, leurs caisses volées, et leurs propriétaires maltraités. Une rôtisserie fut incendiée ; un officier de la garde beykal, en civil, fut pris pour un israélite, assailli et frappé par une bande d'indigènes qui craignaient : « Tuez-le ! » Il y a de nombreux blessés, et quelques-uns le sont grièvement. Des renforts de police sont partis immédiatement de Tunis -sur Ariana. On sait que les Juifs célébraient hier, dimanche, leur grande fête de Pâque. Leurs femmes, parées de leurs plus beaux bijoux et vêtues de somptueuses toilettes se promenaient dans les rues. Les indigènes de leur côté sont en | saccagés, leurs caisses volées, et leurs propriétaires maltraités. neU rôtisserie fut iedi ; un officier de la garde beykal, en cvl, fut pris pour un israélite, assailli et frappé par une bande d'indigènes u craignaient : « Tuez-le ! » y a de nombreux blssés, et quelques-uns le ont grièvement. Des renforts de olpiec sont partis immédiatement de Tunis sur Ariana. On sait que les Juifs célébraient hier, dimanche, leur grande fête d Pâque. Leurs fm,smee parées de leurs plus beaux bijoux et vêtues de smptss toilettes se promenaient dans les u Les indigènes de leur côté sont en |
dans les rues. Les indigènes de leur côté sont en période de ramadan. Les esprits sont fort excités. Les autorités ont pris des mesures sévères et ouvert une enquête. Les autos qui tuent Digne, 28 avril. — M. Reymond, président du comité départemental des mutilés, parti hier de Digne pour une tournée de conférences, a été happé dans la soirée par une automobile près de Château-Arnoux. M. Reymond est décédé ce matin à la clinique de Digne où il avait été transporté après l'accident. Beauvais, 28 avril. — Les habitants de la Chapelle-aux-Pots s'étaient rassemblés hier pour assister au passage | dans les rues. Les indigènes de leur côté sont en période de adn.mara Les esprits sont fort excités. Les autorités ont pris des mesures sévères et ouvert n qê Les autos iqu tuent Digne 28 vrl. — M. Rymnd, président du comité départemental des mutilés, parti hier de Digne pour n tournée de conférences, a été happé dans soirée par une aomob près de Château-Arnoux. M. Reymond est déd ce matin à la clinique d Dgn où il avait été transporté aps l'accident. ,ieaavuBs 28 ialvr. — Les habitants de la Chapelle-aux-Pots s'étaient rassemblés hier pour sse au passage |
de la Chapelle-aux-Pots s'étaient rassemblés hier pour assister au passage d'une course cycliste. Mme Thuillier, âgée de 70 ans, ayant voulu traverser la chaussée au moment du passage d'une automobile, a été happée par l'avant de la voiture et projetée à terre. Relevée par des témoins de l'accident, elle a expirée peu après. Rennes, 28 avril. — M. Jean Leho, âgé de 26 ans, fils de M. Leho, vice-président de la Chambre de Commerce et président de la foire-exposition de Rennes, revenait en automobile de Biarritz avec son frère et un ami quand un gros chien est venu, près de | de la Chapelle-aux-Pots s'étaient rassemblés hier pour assister au passage d'une course cycliste. Mme Thuillier, âgée de 70 ans, ayant voulu traverser la chaussée au moment du pssg d'une automobile, a été happée par l'avant l vtr et projetée à terre. Relevée par des témoins de ccd, elle a expirée e après. Rennes 28 ril — M Jean Lh, âgé de 26 as fls de M. Leho, vice-président de la Chmbr de Commerce et président de la foire-exposition de Rennes revenait en tmbl de Biarritz avec son frère et un am quand un gros chien est nvu,e près de |
un ami quand un gros chien est venu, près de Thourie, se jeter sous la voiture qui a capoté. M. Jean Leho a été tué et son frère légèrement blessé. L'autre voyageur est indemne. À L'INSTRUCTION M. Léon Daudet dépose une plainte contre le « Libertaire » M. Léon Daudet, député de Paris, s'est rendu, hier, au cabinet de M. Guépet, doyen des juges d'instruction pour se constituer partie civile et déposer une plainte en menaces de mort contre le « Libertaire », à raison d'un article paru dans le numéro du 23 avril dernier du journal anarchiste qui commentait | un ami quand un gros chien tes venu, près Thourie se jeter ss la voiture qui a capoté. M. Jean Leho a été tué et son frère légèrement bls L'autre voyageur est indemne. À L'INSTRUCTION M Lén Daudet dépose neu plainte cntr le « Libertaire » .M Léon Daudet, député de Paris, s'est rendu, hier, ua cabinet de M. Guépet, doyen des juges d'instruction pour se cnsttr partie civile t déposer une plainte en menaces de or contre « Libertaire », à rso d'un rtcl pr dans le nmér du 23 avril derie du journal anarchiste qui commentait |
numéro du 23 avril dernier du journal anarchiste qui commentait l'agression dont avait été victime, à Malakoff, le libertaire Henri Faure. C'est vraisemblablement M. Barnaud, juge d'instruction que le parquet a chargé d'informer sur cette nouvelle plainte. Le prix des places à la Comédie-Française M. Henry de Jouvenel, ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, vient d'homologuer le nouveau tarif des places de la Comédie-Française ; en voici le détail : Avant-scène des premières loges : 28 francs; Avant-scènes des deuxièmes loges : 14 fr. ; Baignoires : 18 francs ; Fauteuils d'orchestre : 25 francs ; Fauteuils de balcon | numéro du 23 avril dernier du journal anarchiste q commentait lr'geanossi dont avait été victime, à Malakoff, le libertaire Henri Faure. C'est vraisemblablement M. Barnaud, juge d'instruction que le ue a chrgé d'nfrmr u eectt nouvelle plainte. Le prix des places à la Comédie-Française M. ery de Jouvenel, ministre d l'instruction publique et des beaux-arts, vient o'uhdogreoml le nouveau rfati des places de la Comédie-Française ; en vc le détail : Avant-scène ds premières loges : 28 francs; Avant-scènes des deuxièmes loges : 14 fr. ; Baignoires : 18 francs ; Fauteuils 'orchestre : 25 francs Fauteuils de balcon |
Subsets and Splits
No community queries yet
The top public SQL queries from the community will appear here once available.