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figure avec du vitriol. — Il n’avait pas de papiers sur lui ? Aucun papier. C'était un homme robuste, jeune encore, pauvrement vêtu ; il avait la barbe et les cheveux longs. — De longs cheveux, une grande barbe!... murmura Céline. — On suppose, poursuivit le boucher, que c’était un mendiant ou un évadé de quelque prison, et qu’il s’est donné la mort pour échapper au malheur de vivre. — De longs cheveux, une grande barbe!... murmura encore la jeune femme. Elle, sans prévenir son mari, elle sortit de la ferme et courut chez sa mère. — La nuit dernière, | figure avec du vitriol. Il n’vt pas de rs sr lui ? Aucun papier. C'était un homme robuste, ne encore, pauvrement vêtu l avait la barbe et les cheveux longs — De ons cheveux, une grande barbe!... murmura Céline On u, ousturviip le bchr, que c’étai un mendiant ou un dévéa de quelque prison, et quil sest donné la mort pour échapper au malheur de vvr. — De longs cheveux, une grande brb!... murmura enre a jeune femme. Elle, sans prévenir son mari, elle srtt de l ferme et courut chez sa mère. — L nt dernière, |
ferme et courut chez sa mère. — La nuit dernière, près de Montigny, un homme s’est suicidé, lui dit-elle. On a trouvé son corps ce matin. Pour ne pas être reconnu, il s’était défiguré avec du vitriol. Madame Cordier devint très pâle : elle avait attendu Etienne toute la nuit ; elle comprit tout. — Ma mère, continua Céline, trop vivement émue pour s’apercevoir du trouble de la vieille femme, cet homme, ce malheureux est celui qui, hier matin, ici a embrassé mes enfants... — Quelle idée ! balbutia madame Cordier. Le suicidé a de longs cheveux, une longue barbe... | frm et crt chez sa mère. — La nuit dernière, près de Montigny, un homme s’est suicidé, lui ditelle On a trouvé son corps ce matin. Pour ne pas être reconnu, il s’était ufdrégéi avec du vitriol. Mdm Cordier devint très pâle : elle avait tedu Etienne toute la nuit ; elle comprit tout. — Ma mère, continua Céline, vivement émue pour s’apercevoir trouble de la vieille femme, cet homme, ec malheureux est celui qui, hier matin, ici a embrassé mes enfants — Qee idée ! balbutia madame Cordier. Le suicidé a de longs cheveux une longue barbe |
Cordier. Le suicidé a de longs cheveux, une longue barbe... — Tous les hommes peuvent être ainsi, répondit la vieille mère ; ils n'ont qu’à laisser pousser leurs cheveux et leur barbe. Ma mère, reprit Céline de plus en plus agitée, tout à l’heure, quand on a parlé de ce malheureux, je ne sais ce qui s’est passé en moi ; j'ai pensé à Etienne ! — À Etienne ! Le pauvre enfant est mort en Prusse, lui, il y a longtemps. — Vous avez raison, ma mère. Ah! je suis folle ! Elle se laissa tomber sur un siège | Cordier Le suicidé a de longs chvx, une longue barbe... — Tous les hommes peuvent être ai rpond la vieille mère ; ils n'ont qu’ laisser eusospr leurs cheveux et leur barbe. Ma mère, reprit Céline de plus en plus agitée, tu à lheure quand on a parlé de malheureux, je ne sais ce qui st passé en moi ; j' pensé Etienne ! — À Etienne eL pauvre nfant est mort n Prusse, lui, il y a longtemps. — Vous avez raison, ma mre Ah! je suis folle ! Elle se laissa tm sur un siège |
suis folle ! Elle se laissa tomber sur un siège et se mit à sangloter... Madame Cordier se disait : — Dans mon cœur, seule, jusqu’à mon dernier jour, je porterai une seconde fois le deuil. Cet article de la Post, ainsi que le langage pessimiste des autres journaux, semble être plutôt le résultat d’une conspiration fomentée par les spéculateurs éprouvés par la débâcle financière de l'autre jour et qui ne demanderaient qu’à se rattraper en amenant une débâcle semblable à la Bourse de Paris. La Gazette de la Croix, autre journal ministériel, répudie aujourd’hui les rumeurs alarmantes non vive | suis folle Elle es lss tomber sur un ig et se mit à nloer.. me Crdr se di : — Dans mon cœur, seule, jusqu’à mon enir jour, j porterai une seconde fois le deuil Ce article de la Post, ainsi que l langage mipeesstsi des autres jrnx, semble être plô le résultat d’une cniai fomentée les spéculateurs éprouvés par la débâcle financière de l'autre jour et qui ne demanderaient qu’ se rattraper en amenant une débâcle smblbl à la Bourse d Paris. La Gazette de l Croix, autre journal ministériel, ui aujourd’hui les rumeurs alarmantes non vive |
autre journal ministériel, répudie aujourd’hui les rumeurs alarmantes non vive et si légèrement propagées par son confrère; mais en étudiant elle-même la question, celle pauvre Gazelle ne voit l’avenir qu’à travers de gros nuages noirs. Décidément, c’est une épidémie. Les journaux de la Pologne allemande n’ont pas voulu laisser passer l’occasion de dire leur moi : « Les autres journaux, se sont-ils dit, annoncent que le pape va avoir la France, l’Autriche et l'Italie pour alliés, donnons-lui nous autres la Russie ; et les voilà annonçant depuis deux jours qu'un modus vivendi vient enfin d’être arrêté entre le Vatican et | autre journal ministériel, répudie ujourd’h les rumeurs alarmantes non vive et si légèrement pgée n confrère; mais en étudiant ll-mêm la question celle pauvre Gele ne voit ’avenir qu’à travers de gros ngs noirs. Décidément, c’est une épidémie. seL journaux de la Pologne allemande n’ont vlu laisser passer l’occasion de dire leur m : Ls autres xaurojn,u s sont-ils dit, nnncnt que le pape va avoir la France, l’Autriche et l'Iaie pour alliés, donnonslui nous autres la Russie ; et les voilà annoçn depuis dx jours qu'un modus vivendi vient en d’être arrêté entre le Vatican et |
modus vivendi vient enfin d’être arrêté entre le Vatican et le czar. L’empereur Alexandre aurait, d’après eux, permis aux évêques catholiques romains de Pologne de retourner dans leurs diocèses, excepté seulement l’évêque Felinski, qui reste en Russie. Le cardinal polonais a également reçu, ajoutent-ils, la permission de reprendre sa correspondance directe avec le pape, à condition que le gouvernement russe examinera cette correspondance avant de la laisser partir. Bulletin Financier Bourse du 12 avril 1875. 8 h. — Cote officielle. 5 0|0102 30 baisse 0,25. 3 0|0 03 35 0,20. Notre marché semble avoir pris à tâche de tromper toutes | modus vivendi vnt enfin d’être arrêté entre le Vatican et czar. Lempereur Alexandre aurait, d’après eux permis aux évêques catholiques rmns de Pologne de retourner dans les diocèses, excepté seulement l’évêque Felinski, qui re en Russie. Le cardinal polonais a également reçu, ajoutent-ils, la pmoseinsri de reprendre sa correspondance directe avec l pape, à condition que le gouvernement russe xmnr cette correspondance avant de la laisser partir. Bulletin Financier Bourse du 12 avril 1875. 8 h. — Cote officielle. 5 0|0102 30 baisse 0,25. 3 0|0 03 35 0,20. Notre marché semble avoir isrp à tâche de tromper tts |
Notre marché semble avoir pris à tâche de tromper toutes les combinaisons. La bonne tenue des cours pendant la majeure partie de la bourse laissait prévoir une reprise pour la clôture. C’est une baisse qui a prévalu encore une fois, sans raison apparente. On a chuchoté bien des choses; on a parlé d’un emprunt, puis on l’a démenti, en s’appuyant sur des correspondances étrangères. Nous préférons croire que la situation de place est la seule cause de cet affaisement des cours. Le Italien a été très mauvais ainsi que le Suez dont les actions ferment à 095, sur des bruits | Notre marché semble avoir pris à tâche de tromper toutes les combinaisons La bonne tenue des cours pnan la majeure partie de la bourse laissait prévoir n reprise pour al clôture C’st une baisse prévalu encore une fois, sans rsn apparente. On a chuchoté bien des choses; on parlé d’un mprnt, puis on l’a démenti, s’appuyant sur des correspondances étrangères. Nous préférons croire que a situation de place est la seule cause de ct affaisement des cours. L Italien a été èrts mauvais ainsi que le Suez dont les actions ferment à 095, sur d bruits |
Suez dont les actions ferment à 095, sur des bruits d'insécurité du canal. Toutes les valeurs étrangères ont eu à éprouver le contrecoup de cette baisse. On a cherché, surtout, à écraser les cours des valeurs espagnoles sans motif connu. Le mobilier espagnol est demandé à 12° 5, le nord d’Espagne à 90O ; Nous estimons que ces bas cours ne subsisteront pas longtemps. Une reprise est immédiate surtout quand on sait les avantages qui vont être faits aux porteurs de ces titres. Il est après demain que le comptoir d’escompte ouvre ses guichets à la souscription de 23,000 actions | Suez dnt les actions ferment à 095, sur des bruits dsécurié ud canal. Toutes les valeurs étrangères ont eu éprouver contrecoup de cette baisse. On a cherché, surtout, à écraser les cours des valeurs espagnoles sans motif connu. Le mobilier spgnl est demandé à 12° 5, le nord d’Espagne à 90O ; Nous estimons que ces bas cours ne subsisteront pas longtemps. Une reprise est immédiate surtout quand on sait les avantages iqu vont t faits aux porteurs de ces titres. l est rè demain que le comptoir d’escompte ouvre ses guichets la souscription de 23,000 actions |
d’escompte ouvre ses guichets à la souscription de 23,000 actions des chemins de fer de Bône Guelma. Nous avons dit que ces titres devaient être considérés comme équivalant à des obligations puisque ils jouissent d’une garantie d’intérêt de 6 O/0 et d’une prime de remboursement de 100 fr. La garantie du parlement de Constantine est aussi solide que celle du gouvernement. L’action de Bône à Guelma est donc à la place de premier ordre. CHRONIQUE RÉGIONALE Voici le résultat des élections complémentaires pour le conseil municipal de Tarbes : MM. Carrère, notaire, 1528 Duffau-Paulhac, propriétaire, 1518 Daube, avocat, 1500 Pujo, | d’escompte ouvre ses guichets à la souscription de 23,000 actions des chemins de efr de Bôn Guelma. Nous on dit que ces titres eaint ê considérés comme équivalant à des obligations puisque ls jouissent d’une garantie d’intérêt de 6 O/0 et d’une prime de remboursement de 100 fr. La garantie du parlement de Constantine est aussi solide que celle du gouvernement. L’action de Bône à Guelma est donc à la place de premier ordre. CHRONIQUE RÉGIONALE Voici le résultat s élections complémentaires pour le conseil mncpl de sbrTae : MM. Carrère, notaire, 15 Duffau-Paulhac, propriétaire, 1518 Daube, vct, 1500 Pujo, |
Carrère, notaire, 1528 Duffau-Paulhac, propriétaire, 1518 Daube, avocat, 1500 Pujo, pharmacien, 1505 Poueydebat, négociant, 1502 Dabes, architecte, 1501 Gazenave, avocat, 1500 Caton, architecte, 1498 Buron-Bordères, négociant, 1490 Darrieux, avocat, 1588 Lasbennes, avoué, 1484 Ffogé, propriétaire, 1478 Bornant, médecin, 1478 Ducasse, capitaine en retraite, 1489 Lacube, marchand de bois 1409 Prêts, rentier, 1458 Roses, propriétaire, 1447 Les nouveaux élus appartiennent à l’opposition publicienne. Il y a quelque temps le parquet était accueilli de nombreuses plaintes de divers négociants de Tarbes, Pau, Bayonne, Mont-de-Bart, des caisses contre Dours de 15 à 20 francs payés au chemin de fer un. Ces caisses, contenant | Carrère, notaire, 1528 Duffau-Paulhac, propriétaire, 1518 Daube, avocat, 1500 Pujo, pharmacien, 1505 Poueydebat négociant, 1502 Dabes, architecte, 1501 Gazenave, avocat, 1500 Caton, architecte, 1498 Buron-Bordères, négociant, 1490 Darrieux, avocat, 1588 Lasbennes, vé, 1484 Ffogé, propriétaire, 1478 Bornant, médecin, 47 Ducasse, capitaine en rtait 1489 Lacube, marchand de bois 1409 Prêts, rentier, 1458 Roses, propriétaire, 1447 Les nouveaux élus appartiennent à l’opposition publicienne. Il y a qlq temps el parquet était aclli de nombreuses etniplas de divers négociants de Tarbes, Pau, one Mont-de-Bart, des caisses contre Dours de 15 à 0 frncs syépa ua chemin de fer un. Ces caisses, cntnnt |
francs payés au chemin de fer un. Ces caisses, contenant du vin ou d’autres marchandises, étaient expédiées par un certain habitant de Tarbes, opérateur de ces escroqueries. Il fabriquait une caisse qu’il remplissait comme on a dit plus haut, la faisait porter à la gare des marchandises et l'expédiait comme contenant de vins fins ou de pruneaux à un négociant quelconque d’une ville voisine. Au chemin de fer il se faisait remettre par la compagnie une somme de 15 à 20 fr., qu’on lui donnait sans hésiter, car le négociant destinataire devait, pour prendre livraison, rembourser à la compagnie les | fan payés au chemin de fer un. Ces caisses, contenant du vin ou d’autres marchandises, étaient expédiées par un certain habitant de Tarbes, opérateur de ces escroqueries. Il fabriquait une eassci qu’il remplissait comm on a dt pl haut, la fst porter à la gare des marchandises et l'expédiait comme contenant de vins fins de pruneaux à un négociant quelconque ’une ville voisine. Au chemin de e il se faisait remettre par la cmpgn une somme 15 à 20 fr., qu’on lui donnait sans éier, car el négociant destinataire dvt, pour prendre livraison, rmbrsr à la cmpgn les |
destinataire devait, pour prendre livraison, rembourser à la compagnie les débours faits par elle. Une lettre d'avis arrivait toujours aux destinataires presque en même temps que la prétendue marchandise. On a donc arrêté le principal auteur de ces escroqueries ainsi qu'un autre jeune homme de dix-huit ans, employé dans la même maison de commerce. Ces précoces fugitifs ont été écroués. On nous écrit de Bagnères de Bigorre : « L'arrondissement du Bagnères de Bigorre vient de fournir un affreux exemple de fanatisme religieux. » Dans le village d’Ilheu, une servante, âgée de vingt-deux ans, Jeanne Devèze, s'était promulguée le martyre | destinataire devait, pour prendre lvrsn, rembourser à a compagnie les débours itfas par elle. Ue lettre d'avis arrivait toujours aux destinataires presque en même tmps ueq la pre marchandise. On a donc arrêté le pripal auteur de cs escroqueries ainsi qu'un autre jeune homme de dix-huit ans, employé dans la mêm maison de commerce. e précoces fugitifs ont é écroués. On nous écrit d Bagnères de Bigorre : « L'arrondissement du Bagnères d orgriBe vient de oi un affreux exemple de meaaintfs rlgx. » D l village d’Ilheu, une servante, eâgé d vingt-deux ns, Jeanne Dvèz, sétait prmlgé l atre |
âgée de vingt-deux ans, Jeanne Devèze, s'était promulguée le martyre pour gagner plus simplement le ciel. Elle a tenu parole. Mercredi dernier, elle chaufait son four à une haute température et se jeta dedans. Le bruit et l'odeur de la chair brûlée attirèrent bientôt des voisins qui ne retirèrent du four qu’un affreux cadavre. » NOUVELLES LOCALES CONSEIL GÉNÉRAL DES BASSES-PYRÉNÉES. Séance du 8 Avril 1875. PRÉSIDENCE DE M. DAGUENET, DÉPUTÉ. Compte-rendu analytique. Lecture et adoption du procès-verbal de la précédente séance. Dépôt au Préfet et renvoi à la deuxième commission d'un vœu exprimé par le conseil municipal de Saint-Jean-de-Luz | â de vingt-deux ans, Jeanne Devèze, s'était promulguée le martyre pour ggnr pls simplement le ciel. Elle a utne parole. Mercredi dnie ll chaufait son four à une haute température et se jeta dedans. Le bruit et l'odeur de la chair brûlée attirèrent bientôt des voisins qui ne retirèrent du four quun affreux cadavre. » NVLLS LOCALES CNSEIL GÉNÉRAL DES BASSES-PYRÉNÉES. Séance du 8 Avril 1875 PRÉSDNC DE M. DAGUENET, DÉPUTÉ. Compte-rendu analytique. Lecture et adoption du procès-verbal de l précédente séance. Dépôt au Préfet et renvoi à la deuxième commission d'un vœu exprimé par le conseil municipal de Saint-Jean-de-Luz |
commission d'un vœu exprimé par le conseil municipal de Saint-Jean-de-Luz pour que le Gouvernement accorde une subvention supplémentaire de trois cent mille francs aux travaux de défense de la rade de Saint-Jean-de-Luz. Lecture et adoption d’un rapport de la Hurispe concernant la caisse départementale des retraites. Lecture et adoption d’un rapport de M. de Garro concernant deux vœux émis par le conseil d’arrondissement de Mauleon. Le premier relatif au casernement de la brigade de gendarmerie de Saint-Palais, le second à la surveillance des bohémiens. Lecture et adoption d’un rapport de M. Naudet sur le casernement de la brigade de gendarmerie | commission u vœu exprimé par le conseil municipal de Saint-Jean-de-Luz pour que le Gouvernement accorde une tnubiensvo supplémentaire de trois cent mille francs aux travaux de défense de la rd de Saint-Jean-de-Luz. Lecture et adoption d’un rapport de la Hurispe cocnn la caisse dpmentl des retraites. Lecture et adoption rapport de M. d Garro concernant deux vœux smié par le conseil d’arrondissement de Mauleon. Le premier relatif au casernement de la brigade de gendarmerie de Saint-Palais, le second à la surveillance des bohémiens. Ltue t adoption d’un rapport d M. Naudet sur le casernement de al brigade de gendarmerie |
M. Naudet sur le casernement de la brigade de gendarmerie de Saint-Palais. Lecture et adoption de six rapports présentés par M. suivants : 1° Projet de rectification du chemin d’intérêt commun n° 79 de Garos à la route de Morlaas ; 2° Projet de rectification du chemin d’intérêt commun n° 05 de Gestas à Orthez ; 3° Construction d’une lacune sur le chemin d’intérêt commun n° 53 de Bardos à Hasparren ; 4° Projet de rectification, aux abords du pont de la Jetée, du chemin d’intérêt commun n° 41 d’Issole à Pont-Sur-Gironde ; 5° Demande de déclassement du chemin d’intérêt | M. aud sur l casernement de la brigade dreie de Saint-Palais. Lecture et adoption de six rapports présens par M. suivants : 1° Projet de rectification du chemin d’intérêt cmmn n° 79 d Gsrao à l route de Morlaas ; Projet de rectification du chemin d’intérêt commun n° 05 de Gestas à Orthez ; 3° Construction d’une lacune sur le chemin d’intérêt commun n° 53 de Bardos à Hsprrn ; 4° Projet de rectification a abords du pont de la Jetée, ud chemin d’intérêt commun n° 41 ’Issole à Pont-Sur-Gironde ; 5° Demande de déclassement du chemin d’intérêt |
à Pont-Sur-Gironde ; 5° Demande de déclassement du chemin d’intérêt commun n°68 d’Abidos à Sauvelade et de classement, dans le réseau subventionné de la commune de Lasport, de la partie de ce chemin comprise sur le territoire de ladite commune ; 6° Projet de rectification du chemin de grande communication n° 3 à l’entrée de Nay. Lecture d’un rapport, présenté par M. Fondere, sur la répartition entre les chemins vicinaux ordinaires de la suite au département sur les fonds de l'Etat et de la subvention accordée aux mêmes chemins sur les fonds du département. M. La Caze dit qu’on s’est | à Pont-Sur-Gironde ; 5° Demande de déclassement du chemin d’intérêt commun n°68 d’Abidos à Sauvelade de lssmn dans el rse subventionné d la cmmn de Lasport, de la prte de e chemin comprise sur le territoire de ladite commune ; 6° Projet de rectification du chemin de grande communication n° 3 à l’entrée de Nay. Lecture dun rapport, présenté par M. Fondere, sur la répartition entre les chemins vicinaux ordinaires de la st au département sur es fonds de l'Etat et de la subvention accordée ax mêmes chmns sur les fonds du t.eaeprénmtd M. La Caze di qu’on ’est |
les fonds du département. M. La Caze dit qu’on s’est demandé si les communes pauvres avaient seules droit aux subventions de l’Etat et du département ou si toutes les communes pouvaient y prétendre, en raison des sacrifices consentis par elles. C’est cette dernière opinion qui a prévalu dans la deuxième commission parce qu’il a été reconnu qu’il y avait eu des engagements pris vis-à-vis des communes sans égard à la richesse ou à la pauvreté de leurs budgets; qu’on les avait poussées à voter des emprunts, des centimes extraordinaires en leur promettant le concours de l’Etat et du département; que, | les fonds du département. M. La Caze dit qu’on s’est demandé si les communes pauvres avaient seules droit x subventions de l’Etat et d département ou si toutes les communes pouvaient y prétendre, en snraio des sacrifices consentis par elles. C’est cette dernière opinion qui a dns la deuxième commission parce qu’il a été reconnu qiul’ y avait eu des engagements pris vis-à-vis des communes sans égard à la richesse ou à la pauvreté de leurs budgets; qu’on s vt pssés à voter des emprunts, des centimes extraordinaires en promettant le cncrs de l’Etat et du département; que |
leur promettant le concours de l’Etat et du département; que, par conséquent, on n’était plus libre aujourd'hui de restreindre les subventions aux communes pauvres. M. Desnelon dit qu’on avait posé la question de savoir si on pourrait accorder des subventions aux communes pauvres qui n’auraient pas fait de sacrifices pour l'amélioration de leur vicinalité et qu’on avait décidé de leur accorder quelque secours sur un fonds qui serait mis en réserve à cette intention. Adoption des conclusions du rapport. Lecture et adoption d’un rapport de M. Pomier sur la répartition de la septième annuité des subventions accordées par l’Etat aux | leur promettant e concours e ’Etat et du département; que, par conséquent on n’étt plus libre aujourd'hui de rstrndr les subventions aux cmmns pauvres. M. Desnelon dit qu’on avait posé la question de svr si on pourrait ccrdr des subventions communes pauvres qui n’auraient ps fait de sacrifices pour 'amélioration de eurl vicinalité et qu’on avait décidé de leur accorder equulqe secours sur un fonds qui serait mis en réserve à ete intention. Adoption des conclusions d rapport. Lecture et adoption d’un rapport de M. Pomier sur la répartition de a septième annuité des subventions accordées par l’Etat aux |
de la septième annuité des subventions accordées par l’Etat aux chemins d’intérêt commun. Rapport de M. de Larralde sur les routes nationales. M. Sarraffille remercie M. le Préfet des vives réclamations qu’il a adressées à l'administration supérieure au sujet de la route n° 134. Il prie le Conseil d’intercéder auprès du gouvernement pour l’amélioration de cette route, dont l'importance ne tient pas seulement aux événements d'Espagne, mais qui est en tous temps un des seuls points de passage toujours praticables entre la France et l'Espagne. Les essais infructueux ont été faits pour établir des passages permanents sur plusieurs points des | de la septième annuité des subventions accordées par l’Etat aux chemins d’intérêt commun. Rapport de M. de Larralde sur les routes tioals. Srrffll remercie . le Préfet des vives réclamations qu’il a adressées l'administration supéiure au sujet de la route n° 134. Il prie le Conseil d’intercéder auprès du gouvernement pr lamélioration de cette route, dont l'importance ne tient ps seueet aux événements d'Espagne, mais qui est en tous temps un des seuls points d passage toujours praticables entre la France et l'Espagne. Les asiess infructueux ont été fat pour établir de passages penns sur ierssupul points des |
faits pour établir des passages permanents sur plusieurs points des Pyrénées, la préférence déclarée pour la vallée d'Aspe dans les études d’un chemin de fer transpyrénéen, la création récente d’un service postal par Ossé-Prytanees prouvent l’importance du passage par Somport. La route 134 est en projet depuis 1804. aujourd'hui, faute de ressources, elle est extrêmement dégradée. M. Sarraffille demande donc au Conseil de renouveler un vœu, émis déjà plusieurs fois, pour que la route 134 reçoive de plus larges subventions de l'Etat, et non pas seulement dans l’intérêt de la vallée d'Aspe, mais dans celui d’Orthez, Pau et du Midi | faits pour établir des pssgs permanents sr plusieurs points des Pyrénées la préférence déclarée pour la vallée d'Aspe dans ls études d’n cei de fer enspnéryatér,n la création récente d’n service postal par Osé-rne prvnt imtanc du passage par Somport. La route 134 est en projet depuis 1804. aujourd'hui, faute de rssouc, elle est extrêmement dégradée. M Sarraffille demande donc au Conseil de renouveler un vœu, émis déjà plusieurs fois, pr que la ro 134 reçoive de plus larges suvenons de l'Etat, et non pas seulement dans lri’ténêt de la vallée 'e, mais dans celui d’Orthez, uPa et du Midi |
vallée d'Aspe, mais dans celui d’Orthez, Pau et du Midi de la France, qui ont besoin que cette communication reste libre avec l'Espagne. Ce n’est pas, du reste, des sommes qu'on demande ; une somme de trois cent mille francs environ suffirait. M. Sarraffille prie le Conseil d'émettre un vœu dont il donne lecture et qui accentue peut-être un peu plus celui proposé par la commission l'urgence de la situation. Il prie également Messieurs les députés d'appliquer d'une démarche collective auprès de M. le Ministre des Travaux publics. M. La Caze croit que la deuxième commission peut accepter la proposition | vallée d'Aspe, mais dans cl d’Orthez, Pau et du Midi de la France, qui ont besoin que cette communication reste libre avec l'Epage. Ce n’es pas, du reste, de sommes qu'on demande ; une somme de trois cent limle francs environ sffirait M. Sarraffille prie e Conseil 'émtr n vœu dont il dnn lecture et qui acntue peut-être un peu plus cl proposé par la commission l'urgence de la sttn. Il prie également Messieurs les députés d'appliquer d'une démarche collective auprès de M. le Ministre des Travaux publics. M. La Caze croit que la deuxième commission peut ccptr la proposition |
Caze croit que la deuxième commission peut accepter la proposition de M. Sarraffille. Il est constant que les réclamations qu’elle énonce s'imposent avec un caractère d'une nécessité de premier ordre. Certains points de la route 134 sont presque impraticables, le passage de Sarrance entre autres. Le Gouvernement a fait souvent à cet égard des promesses qu'il n'a pas encore réalisées. M. La Caze pense que la delegation des Basses-Pyrénées doit intervenir auprès de M. le Ministre des Travaux publics et estime que cette demande sera d’autant plus efficace que ses membres et lui auront reçu pour la faire un mandat | Caze croit que la deuxième commission peut accepter la proposition de M. Sarraffille. Il est constant que les réclatis qu’elle énonce 'imposent avec n caractère d'une nécssté de premier ordre. Certains points de la route 134 sont presque imratices le passage de Sarrance entre autres. eL Gouvernement a fait souvent à cet égard des promesses qu'il n pas encore réalisées. M. La Caze pense que la delegation s Basses-Pyrénées toid intervenir auprès de M. le Ministre ds Travaux publics et time que cette demande sera d’autant plus efficace q ss membres et lui auront reçu pour la reafi un mandat |
membres et lui auront reçu pour la faire un mandat spécial du Conseil général. Le Président croit, aussi que la députation doit intervenir mais il n’ose espérer un résultat très satisfaisant de cette démarche, le ministère des Travaux publics opposant une résistance absolue à toutes les demandes de rectifications sur les routes nationales par suite de la suppression des crédits nécessaires à ces travaux. Le Préfet dit que si les ponts et chaussées refusent des rectifications, c’est que la commission du budget ne leur accorde pas les crédits sans lesquels on ne peut en exécuter aucune. M. Desmazes constate que | membres et l auront reçu pr la faire un mndt spécial du ne général Le Président croit aussi que la députation doit intervenir mais li n’ose espérer un résultat très satisfaisant de cette démarche, le minsèr des Travaux publics opposant n résistance absolue à toutes les demandes de rectifications sr les routes nationales par suite d la suppression des crédits nécessaires à cs travaux. eL rPtéef dit que si les ponts et chssés refusent des rectifications, c’est que la commission du budget leur accorde pas les crédits sans lesquels on ne peut en exécuter aucune. M. Desmazes constate uqe |
on ne peut en exécuter aucune. M. Desmazes constate que les crédits pour l’entretien des routes nationales ont été augmentés cette année, et que la subvention pour des courses de chevaux brochés au pesage a été remplacée par une subvention pour des véhicules automobiles. Il rappelle que dans la commune d'Orcières, Carmaux a été révoqué en vertu de l'article 13 de son contrat de travail. La commission et ne désespère pas du succès, qui devrait avoir le caractère d’une amélioration. Marcassus Désidait au moment protection momentanée, eu égard aux événements de la guerre, jugeait l’arrivée de Laterrade donnait libre circulation | on ne peut en exécuter aucune. M. Desmazes constate que les crédits pour lentretien des routes tioae ont été gmntés ctt année, et equ la subvention ourp des crss de evhxauc brchés au pesae téé remplacée par une subvention pour des véhicules automobiles. Il rappelle que a la oue d'Orcières, Carmaux a été révoqué en vertu de l'article 13 de son contrat de travail. La commission et désespère pas du succès, qui devrait avoir l ar d’n amélioration. Marcassus Désidait au moment protection momentanée, eu égard x événements de al guerre, jugeait l’arrivée de Laterrade donnait libre circulation |
de la guerre, jugeait l’arrivée de Laterrade donnait libre circulation appartenant aux riverains en vertu du traité international de 1850. JOURNÉE M. le Préfet répond que l’état de guerre régnant temporairement, l'état de protection momentanée, eu égard aux événements de la guerre, il jugeait l’arrivée de Laterrade donnait libre circulation appartenant aux riverains en vertu du traité international de 1850. Le Keïpi à M. de Vanteaux, a eu facilement raison par laquelle chaque état surveille les bâtiments de sa nationalité. Dans les circonstances actuelles, les barrières doivent être levées par la convention consulaire de 1802. Le Képi à M. de | de la guerre, jugeait l’arrivée d Laterrade donnait libre circulation appartenant aux riverains en vertu du traité international de 1850. JOURNÉE M. le Pf répond que l’état de guerre régnant temporairement, létat de protection momentanée, eu égard aux ééeents de la guerre, il jugeait l’arrivée de Laterrade donnait lbr rulain rataapnntep aux riverains en vertu du traité international de 1850. Le Keïpi à M. de Vanteaux, a eu cimn raison laquelle chaque état surveille les bâtiments de sa nationalité. Dans les circonstances actuelles, les barrières doivent être levées par la convention consulaire de 1802. Le à M. de |
la convention consulaire de 1802. Le Képi à M. de Vanteaux, a eu facilement raison par laquelle chaque état surveille les bâtiments de sa nationalité. Les cérémonies nationales n’ont pas été malgré la distance qu’un garantir notre droit de libre circulation par la prérogative d'exercice pour Aurore, aucun effort ne courait l’attention dans les eaux de la Bidassoa d’un stationnaire. Pour les 1.000 fr. attribués au second, français et par la délivrance aux patrons des barques, les vainqueurs chevaux engagés dans le prix des français de permis qui leur sont d’ailleurs peu onéreux (l'Elégalité se sont présentés au poteau, reconnaissants, | la convention consulaire de 1802. eL Kép M de Vanteaux, a eu cment raison par laquelle chaque état surveille les bâtiments de sa nationalité. Les méciosreén nationales n’ont ps été malgré l distance qu’un garantir ntr droit de libre circulation par la prérogative 'x pour rr, aucun ffrt ne courait ’attention dans l eaux de la Bidassoa d’un stationnaire Pour les 1.000 fr. attribués au second, français t r la délivrance aux anosprt des barques les vainqueurs chvx engagés dans le prix des français de permis qui lur sont dailleurs peu nérx (l'Elégalité se sont présentés au poteau, reconnaissants, |
d’ailleurs peu onéreux (l'Elégalité se sont présentés au poteau, reconnaissants, puisqu’ils ne coûtent que 40 centimes. Ex-Habitué, a dignement représenté la province. M. Larralde voudrait que ces permis fussent déduction du prix du Midi. Il a battu Solo, second, de dix livres par les autorités locales et non par l’administration de la marine, dont la protection peut n’être que momentanée. Le Tournament pendant les courses du printemps n’en faisaient pas un adversaire bien redoutable. M.le Préfet dit qu’une commission internationale avait été chargée, en 1873, du règlement de toutes ces difficultés, mais qu’elle n’a pu fonctionner parce que l'Espagne n’a | d’ailleurs peu onéreux (l'Elégalité se sont présentés au poteau, reconnaissants, puisqu’ils ne coûtent que 40 centimes. Ex-Habitué, a dignement représenté la province. M. Larralde urtvoadi que ces permis fussent dédctn du prix du Midi. Il a battu Solo, seco de dix livres par e autorités locales et non par l’dmnstrtn de la marine, dont la cton peut n’être que momentanée. Le Tournament pndnt les courses du printemps n’en faisaient ps un adversaire bien redoutable. M.le Préfet dit qu’une commission internationale avait é chrgé, en 1873, du règlement de toutes ces difficultés, mais qu’elle n’a pu fonctionner parce que lEspagne n’a |
difficultés, mais qu’elle n’a pu fonctionner parce que l'Espagne n’a jamais envoyé ses délégués. Il ne semble, par ailleurs, que le glissement d’ailleurs aucun effort pour obtenir, en toute justice à nos nationaux. Les conclusions du rapport de M. de Luppé sont adoptées. La séance est levée à midi 14. Le Président, Le Secrétaire, A. DAQUENET, A. DE CASTARÈDE Le 12: Louis Paul Lacuas, fils de Jean-Pierre Lacuas, maçon, et de Marie Quésques. — Jules-M. Lagrèze, conseiller de préfecture de l’Hôtel de Castéra, fils de Simon Castéra, marchand bourreau, a été nommé sous-préfet de l’arrondissement de Pau et de Marie | difficultés, mais qu’elle n’a pu fonctionner parce que l'Espagne n’a jamais nvyé ses délégués. Il ne semble, pr ailleurs, que le glissement d’ailleurs aucun effort pour obtenir, en toute justice à nos nationaux. Les conclusions du rapport de . de Luppé snt adoptées. La séance est levée à midi 14. Le Président, Le Secrétaire, . DAQUENET, A. DE CASTARÈDE Le 2 Louis Paul Lacuas, fils de Jn-Prr Lacuas, maçon, et de Marie Quésques. — Jules-M. Lagrèze, conseiller d préfecture de l’Hôtel de Castéra, fils de Simon Castéra, marchand bourreau, a été nommé éefs-rtsuop de l’arrondissement de Pau et de Marie |
été nommé sous-préfet de l’arrondissement de Pau et de Marie Ortet. Le 13: Jules-Pierre de Baume-les-Dames (Doubs). Benaben-Portarrieu, fils de Pierre Benaben, Portarrieu, boulanger, et de Marie-Anne Cazaban, par décret ministériel du 30 mars 1875, nommé votre compatriote M. Coussirat-Lapouble, capitaine au 30e régiment d’infanterie de ligne, est nommé lieutenant commandant de la 1ère brigade d'infanterie de Bearn, vacant par l'organisation, dans le corps dont il fait partie. Décret Le 10: Jean Borde, menuisier ébéniste, né à Orthez, 60 ans. Le 11: Dominique Théas, prêtre, aide major de 1re classe au 18e régiment d'infanterie de ligne, né à Orthez, 52 | été nommé sous-préfet de l’arrondissement de Pau et Marie Ortet. Le 13: Jules-Pierre de Baume-les-Dames (Doubs). Benaben-Portarrieu, fils d Prr Benaben, Portarrieu, blngr, de Marie-Anne Cazaban, par décret ministériel ud 30 mars 1875, nommé votre compatriote M. Coussirat-Lapouble, capitaine au 30e régiment d’infanterie de ligne, est nommé lieutenant commandant de la 1ère brigade d'infanterie de Bearn, vacant par 'organisation, dans le corps dont il fait partie. Décret Le 10 Jean Borde, menuisier ébéniste, né à Orthez, 60 ans. Le 11: Dominique Théas, prêtre, aide major de 1re classe a 18e régiment d'infanterie de ligne, né à Orthez, 52 |
au 18e régiment d'infanterie de ligne, né à Orthez, 52 ans. Pierre Balein, soldat d’infanterie de ligne, passe au 18e régiment de charpentier, né à Géronce, 60 ans. Jean d’artillerie. Ducournau, maître d’hôtel, né à Bascous (Landes), 64 ans. Gracieuse Casenave, sans profession, célibataire, née à Pau, 73 ans. Jules-Étienne Casamay, né à Pau, 42 ans. Concours de 1875 Le préfet a l'honneur de rappeler aux candidats à l'examem (2e division), avant le 1er mai prochain, d'adresser à M. E. CONSTANS, 6, rue Montpensier, de 9 à 11 heures. Le Bureau de l'Observatoire de la Bourse de "BULLETIN METEOROLOGIQUE" a | au 18e régiment d'infanterie de ligne, né à Orthez, 52 ans. Pr Bln, soldat d’infanterie de lg passe au 18e régiment de charpentier, né à cGornée, 60 ans. Jean dartillerie Ducournau mîetar d’hôtel, né à Bascous (Landes), 64 ans. Gracieuse Casenave, sans profession, célibataire, né à Pau, 73 ans. -utnsnilÉeeeJ Casamay, né à Pau, 42 ans. Concours de 1875 Le péfe a l'honneur de pel aux candidats à 'examem (2e division), avant el 1er mai prochain, 'adresser à M. E. NSCOA,TSN 6, rue Montpensier, d 9 à heures. Le Bureau de l'Observatoire de la Bourse de "BULLETIN MTRLGQ" a |
Bureau de l'Observatoire de la Bourse de "BULLETIN METEOROLOGIQUE" a la diligence de prévenir le public que les examens pour l'emploi d'adjudicateur-adjoint des poids et mesures, 9 heures Midi 3 heures le 31 mai, Pau, clair. 12 avril. Pluie, 9° pluie, 9° Les conditions à remplir pour être admis à ce concours, seront communiquées aux intéressés, à la préfecture (2e division), dans les sous-préfectures, et dans toutes les mairies. Société de secours mutuels pour les femmes de la ville de Pau RÉOUVERTURE DU GRAND HOTEL D’ANGLETERRE Dimanche dernier, a eu lieu à la mairie, la réunion du comité qui s’était | Bureau de l'Observatoire de la Bourse de "BULLETIN METEOROLOGIQUE" a l diligence de év le public que ls semaxen oupr l'emploi d'adjudicateur-adjoint des poids et mesures heures Midi 3 heures le 31 mai, Pau, clair. 12 avril. Pl, 9° lie 9° Les conditions à remplir pour être amis à ce cncrs, seront communiquées ax intéressés, à la préfecture (2e dvsn), dans ls souspréfectures et dans toutes les mairies. Société de secours mutuels pour les femmes de la ville de Pau RÉOUVERTURE DU GRND HOTEL ANER Dimanche dernier, a eu lieu à l iiraem, la réunion du comité qui s’était |
lieu à la mairie, la réunion du comité qui s’était chargé d’essayer de réaliser la pensée de M. Tourasse, au sujet de la "Société des Promenades et la Saison Thermale". Pour les Promenades et la Saison Thermale, s'adresser à l'Hôtel de Ville, 6, rue de la République. Le Bureau a été composé de la manière suivante: Présidente : Mme de Montpezat. Vice-présidente : Mme Terrier. Secrétaire : Mme Sers. Une grave question, celle des chemins de fer départementaux, agite, passionne, depuis quelques mois, la presse. Le comité a désigné pour médecin, M. Le Dr Cuq Parisienne, qui a bien voulu | lieu à la mairie, la réunion du comité qui s’était chargé d’essayer de réaliser la pensée de M Tourasse, au sujet de la "Société dse Promenades et la Saison Thermale Pour les Promenades et la Saison mle s'adresser à l'Hôtel de Ville, 6 rue de la République. Le Bureau a été composé de la manière suivante: stdeiPnéer : Mme de Montpezat. rsidtnV-epeciée : Mme Terrier Secrétaire : Mme Sers. Une grave question celle des chemins de fer déprtmntx, agite, sspen,aino dps quelques mois, la presse. Le comité a dgné pour médcn, M. Le Dr Cuq Parisienne, qui a bien voulu |
médecin, M. Le Dr Cuq Parisienne, qui a bien voulu accepter ces fonctions. Questions d’hommes et questions de principes. La Société est d’ores et déjà en mesure de distinguer, séparer et, au lieu de rester à discuter sur le seul terrain naturel, possible après les statuts qui vont être imprimés, celui de l'intérêt général, on s’est jeté corps et à l'abri des personnalités. On a visé un homme cité de son admission, et cet homme devenu la tête de turc sur laquelle le Comité engage vivement les personnes qui veulent frapper à coups redoublés. Le Comité engage vivement les personnes | médecin, M. Le Dr Cuq Parisienne, qui a bn oul accepter ces fontions Questions d’hommes et qstns de principes. La cét est d’ores et déjà ne msr de distinguer, séparer et, au lieu de rester à discuter sur le seul terrain naturel, pssbl après les statuts qui vont êtr imprimés, celui de l'intérêt générl, on ’est jeté corps et l'abri ds personnalités. On a visé un homme cité de son admission, et cet homme devenu la tête de turc usr le le Comité engage vvmnt les personnes qui veulent frapper à coups redoublés. Le Comité ngg vivement les personnes |
frapper à coups redoublés. Le Comité engage vivement les personnes qui veulent faire partie de la société à présenter placées dehors de la sphère où s'agitent leur demande, soit à Mme de Montpezat, rue des Pitolins, soit à Mme Lerrier, rue Henri IV, numéro 16, 1er étage, soit à Mme Ch. Viguerie, rue Beau de Sevigne, 21, 2e étage. Il rappelle que la cotisation est de 9 francs par mois, pour les sociétaires honoraires, et de 75 francs par mois, pour les sociétaires participants, adopterons un terme moyen qui consistera à réserver notre opinion jusqu’après l’examen approfondi des raisons invoquées | frapper à coups redoublés. Le Comité engage vivement les personnes qui vlnt faire partie d la société à présenter placées dehors de la sphère où sagitent leur demande, soit à Mme ed Montpezat, rue des Pitolins, sot à Mme err ue Henri IV, numéro 16, 1er étage, soit Mm Ch. Viguerie, r Buae ed Sevigne, 21 2e étage. Il rappelle que la cotisation est de 9 francs par mois, pour s sociétaires honoraires, e de 75 francs par mois, pour les sociétaires prtt, adopterons un terme moyen qui consistera à réserver ornet opinion jusquaprès ’examen approfondi des nsoisra invoquées |
à réserver notre opinion jusqu’après l’examen approfondi des raisons invoquées dans les deux camps. Notre attitude sera celle d’une neutre armée, disposée à donner son appui, au droit et à la justice pour les protéger contre la force. Nous sommes heureux d’apprendre à nos lecteurs que le Conseil général des Landes, les conseils municipaux de Capbreton, d’Ondres, de La République et du Tarnos ont émis des avis très favorables au sujet de la concession sollicitée par M. Mainsonde de Roques d’un canal maritime entre Bayonne et Capbreton. La vérité est partout, sauf dans l’exagération et les sophismes. Dégager la vérité | à réserver notre opinion jusqu’après l’examen approfondi des raisons éqeuisonv dns e deux camps. Notre attitude sera celle d’une reuent armée disposée à donner son appui, au drt et à la justice pour les protéger contre la force. Nous sommes hrx nedrap’pdre à nos lecteurs ueq le Conseil général des Landes, les conseils mncpx d Capbreton, d’O de L République et du Tarnos ont séim de avis très fvrbls au sujet de al oessi sollicitée par . Mainsonde de Roques d’un cnl maritime ete Bayonne et Capbreton. La vérité es partout, ausf dans leaéran et les sophismes. Dégager la vérité |
partout, sauf dans l’exagération et les sophismes. Dégager la vérité des sophismes dont les uns et les autres ont pu l’en envelopper ; la rendre frappante et visible pour tous les yeux, tel est le but que doit se donner l’écrivain ami de son pays, désireux de sa splendeur, fier de sa supériorité sur les autres nations. La Chambre de commerce de Bayonne ne s’est dans les faits encore prononcée. La journée de splendeur, fière de sa supériorité sur les autres nations. Les hommes de Barre, Legonidec, Lamothe de Linde, comte de Lévellandement maritime, en somme une équipe si brillante, | partout, sauf dans l’exagération et les sophismes. Dégager la vérité des sphsms dont les uns et les autres ont pu l’en envelopper ; la rendre frappante et visible pr tous les yeux, lte est le but que doit se donner l’écrivain ami d son pays désireux de sa splendeur, fier de sa supériorité sur les autres nations. La hCbrmae de cmmrc de Bayonne ne s’est dans les faits encore prononcée. La journée de splendeur, fière de sa périié sur les ut nations. Les hommes d Barre, Legonidec Lamothe de Linde, e de Lévellandement maritime, en somme une équipe si brillante, |
comte de Lévellandement maritime, en somme une équipe si brillante, est-elle avec l’insulte et la menace que l’Angleterre a facilement battu ses concurrentes en toutes les améliorations possibles et imaginables. Quant à la suite des compagnies pour la création des lignes, et la remise en état celles-ci, une compagnie générale d’exploitation possible, s’il nous est démontré que et seulement que nous devons défendre et protéger est mieux servi par ce système là que par l'autre, nous n’hésiterons pas à combattre le monopole et à nous rallier à ses adversaires. Donc sur les bases de l'intérêt général que nous allons nous | comte de Lévellandement mrtm, ne somme une équipe si brillante, est-elle vc ’insulte et la menace que l’Angleterre a facilement battu sse concurrentes en toutes les améliorations possibles et imaginables. uaQtn à la st des compagnies pour la création ds lignes, et la remise en état celles-ci, une compagnie générale d’exploitation soi,elpbs s’il nosu est démontré q t metuslnee q unos devons défendre et protéger st mieux servi par système à que par l'autre, nous ’hésiterons pas à combattre le mnpl et à nous rallier à sse deraires oDcn sur les bases d l'ntérêt général que nous allons nous |
sur les bases de l'intérêt général que nous allons nous placer pour, à notre tour, intervenir dans la discussion ouverte à propos des chemins de fer. (À suivre.) Correspondance des Institutions de crédit. (Extraits). Le 10 avril 1875. La lutte est engagée entre les grandes et les petites compagnies ; entre les grandes compagnies qui mettent à remplir leurs obligations une astuce incroyable et les petites Compagnies qui offrent à compléter le réseau des voies ferrées et tiennent leur engagement depuis la création de l'industrie. Le Journal des Débats a ouvert le feu contre M. Philibert qui, dans sa pose, | sur les bases de l'intérêt général qe nous allons nous placer pour, à notre tour, intervenir dans la discussion ouverte à propos des chemins ed fer. (À suivre.) Correspondance des Institutions de crédt. (trait Le 10 avril 1875. La lutte est eg entre les grandes et les ptts compagnies ; entre les grandes compagnies qui mettent à remplir leurs obligations une astuce ncoabrliey es titspee Compagnies qui offrent à compléter le réseau des voies rréeefs tiennent leur engagement depuis la création de l'industrie. Le Journal des Débats a ouvert le feu contre M. Philibert iuq, dans sa pose, |
ouvert le feu contre M. Philibert qui, dans sa pose, représente évidemment l'intérêt des départements ; contre M. Philibert, champion, résolu et énergique des petites Compagnies ; il a accusé la Compagnie du Nord-Est, dans laquelle figure ce dernier, de ne pas avoir accompli ses obligations dans le délai prescrit. M. Philibert s'est fait à cette accusation une éloquente et victorieuse réponse, il a prouvé qu’elle était loin d’être conforme à la réalité des faits en fournissant quelques détails statistiques sur la situation des travaux de la Compagnie du Nord-Est. Il a établi que presque partout, malgré deux années de | ouvert le feu contre M. ber qui, dans sa pose, représente évidemment l'intérêt des départements ; contre M. Philibert, champion, résolu et énergique des petites Compagnies ; il a accusé la Compagnie du Nord-Est, dans laquelle figure c dernier, de ne pas avoir accompli ses obligations dans le délai prescrit. M. Philibert s'est ft à cette aon une éloquente et victorieuse réponse, il a prouvé qu’elle était loin dêtre conforme à la réalité des faits en fournissant quelques détails statistiques sur la situation des trvx de la Compagnie du Nord-Est. Il a établi que presque partout, malgré deux années d |
Il a établi que presque partout, malgré deux années de guerre, cette Compagnie est en avance sur les délais des cahiers des charges, et que si pour quelques kilomètres elle est en retard de quelques mois 18, le fait ne lui est pas imputable, qu'il est dû uniquement aux lenteurs administratives des approbations des plans et à la situation du pays en 1870-71, — deux cas de force majeure auxquels, comme le dit spirituellement M. Philibert, la Compagnie n'est pas responsable. En est-il de même des grandes Compagnies ? Non, M. Philibert en donne une preuve irrécusable en ce qui | Il a établi que presque partout, mlgré deux années de guerre, cette ompag est en ace sur les délais des cahiers des chrgs, et que si pr quelques kilomètres elle est en retard de quelques mois 18, le fait ne lui est pas imputable, qu'il est û uniquement aux lntrs administratives des approbations des plans et à la tiaonstui du pays en 1870-71, — deux cas de force majeure auxquels, le dit spirituellement . Phlbrt, la Cmpgn n'est pas responsable. En est-il de même des res Cmpgns Non, M. hibrt en enodn n preuve ircbe en ce qui |
M. Philibert en donne une preuve irrécusable en ce qui touche plus particulièrement la Compagnie du Nord. Que voyons-nous en effet ? Dix-sept de ses tronçons ont été livrés après des retards qui varient entre 2 mois et 7 ans. Les 40 kilomètres de Boulogne à Crepy-en-Forêt ont été construits en dix années. Les 23 kilomètres de Crépisy à Senlis ont été en plus de neuf années avec un retard de quatorze mois. En vérité, une Compagnie qui met si peu d'empressement à tenir ses engagements est-elle bien venue à reprocher au Nord-Est d’oublier les siens, alors qu’il est établi | M. Philibert en donne une r irrécusable en ce qui touche plus particulièrement la Compagnie du Nord. Que voyns-nu en effet ? Dix-sept de ses tronçons ont été livrés près des retards qui varient entre 2 mois t 7 ans. Les 40 kilomètres de Boulogne à Crpy-n-Frêt nt été cnsruits n dix nnés. Les 23 kilomètres de Crépisy à Senlis ont été en plus de neuf années avec un retard de quatorze m n vérité, n Compagnie ui met si peu d'empressement à tenir ses engagements est-elle bien venue à reprocher au Nord-Est d’oublier les siens, ar qu’il est établi |
reprocher au Nord-Est d’oublier les siens, alors qu’il est établi que ce dernier dans le plus grand nombre des cas, a été le scrupuleux observateur des promesses faites et a même été sur de là des engagements pris par lui. On est en droit de s'étonner qu'un journal sérieux et autorisé ait cru devoir formuler un tel reproche avant de s’être rendu compte de la situation. Aussi qu’est-il arrivé ? C’est qu’au lieu de servir le Nord-Est, il lui a fourni l’occasion de multiples opérations. Au lieu de profiter de la grande Compagnie du Nord, l'accusation s'est retournée contre elle | hrrpoecer rdoN-stE d’oublier les siens, alors qu’il est étbl que ce dernier dans le plus grnd nombre des cas, a été l scrupuleux observateur des promesses faites et a même été sur de là des nm pris par lui On est e droit de 'étonner qu'un journal sérieux te autorisé ait cru r formuler nu tel reproche avant d s’être rendu compte de la sttn. Aussi qu’est-il arrivé ? ’tCse qu’au ie de servir el Nord-Est, il lui a fourni l’occasion de mulipls opérations. Au lieu de pr de l grande Compagnie du Nord, l'accusation s retournée contre elle |
la grande Compagnie du Nord, l'accusation s'est retournée contre elle et M. Philippart ne peut que s’applaudir de l’occasion qui lui a été maladroitement fournie d'intervenir victorieusement dans ce débat. Sa lettre est un document vraiment précieux ; elle édifiera les départements sur leurs vérités intérêts et leur montrera où sont, au point de vue de la prompte exécution de leurs voies ferrées, leurs adversaires ou leurs véritables amis, ceux sur lesquels ils peuvent absolument compter. Il ne faut pas perdre de vue que la France est loin d’occuper, en ce qui touche l’étendue et l’importance de son réseau de | la grande Compagnie d Nord, l'ccstn s'st retournée contre elle et M. Philippart ne peut que s’applaudir de l’ccsn qui l a été maladroitement fournie d'intervenir iereteovniutscm dans ce débat Sa lettre est un document vraiment précieux ; elle édifiera les départements sur leurs vérités intérêts et leur montrera où sont, point de vue de la prompte exétion de leurs voies ferrées, leurs adversaires ou leurs véritables amis, ceux sur lesquels ils peuvent bslmnt compter. Il ne fut pas perdre de vue que la Frn est loin d’occuper, en ce q touche létendue et l’importance de son réseau de |
ce qui touche l’étendue et l’importance de son réseau de chemins de fer, la place à laquelle elle donne droit son immense puissance de production ; que ses moyens de transport ne sont nullement en proportion avec son activité industrielle et commerciale ; que c'est un instrument de richesse, un levier d'une force incalculable qui manque, et que les grandes Compagnies lui auraient déjà donné si elles l'eussent voulu et qu'elles ne lui donneront pas, si les petites Compagnies, aidées par les sympathies locales, ne les obligent à montrer moins d’inertie, à mieux servir les intérêts du pays. LAROCHE. DERNIERES | ce qui oche l’étendue et l’importance de son rés de chemins de fer, la place à laquelle elle donne droit son immense puissance de odi ; que ses moyens de transport ne sont nullement en proportion avec son activité industrielle et commerciale ; que c'est un instrument de richesse, un levier d'une force incalculable qui mnq, et que les grandes Compagnies lui auraient déjà donné i elles l'eussent voulu et qu'elles ne lui oernt pas, si les petites Compagnies aidées par les sympathies locales, ne les obligent à montrer moins d’inertie, à mieux servir les intérêts du pays. LAROCHE. DERNIERES |
d’inertie, à mieux servir les intérêts du pays. LAROCHE. DERNIERES NOUVELLES L’agence Havas communique aux journaux la note suivante : « La presse s’occupe d'une prétendue circulaire de M. Buffet aux préfets. Quelques journaux vent jusqu’à citer des passages de cette circulaire. M. Buffet n’a adressé aux préfets aucune circulaire ayant un caractère de politique générale. L’on peut donc considérer comme apocryphes les passages cités de cette circulaire. M. le vice-président du Conseil s’est entretenu, dans ces derniers temps, avec les préfets qu’il avait mandés à Paris. Il a eu maintes occasions de leur donner véritablement des instructions sur la | ’inertie, mieux servir ls ité pays. LAROCHE. DERNIERES NOUVELLES L’agence Havas communique aux journaux la no suivante : « La presse ouccsp’e d'n prétendue circulaire de M. Buffet aux préfets. Quelques journaux vent jusqu’à citer des passages de cette circulaire. M. Buffet n’a adressé aux prée aucune circulaire ayant un crctèr de politique générale. L’on peut donc considérer om apocryphes les passages cités de cette circulaire. M. le vice-président du Conseil s’est entretenu dans ces errs temps, avec les préfets qu’il avait mandés à Paris Il a eu maintes occasions de leur donner véritablement des istctos sur la |
maintes occasions de leur donner véritablement des instructions sur la politique du cabinet et sur la signification qu'il convient d'attribuer au vote des lois constitutionnelles. » — On croit que dans le prochain conseil des ministres, on décidera de nouvelles mutations préfectorales. On parle aussi d’un mouvement qui aurait lieu dans la magistrature. — On dit qu’il ne serait pas impossible qu’à la rentrée, le vice-président du Conseil fit à la tribune de l'Assemblée nationale, une courte déclaration orale pour mettre un terme aux ambiguités que l’esprit de parti veut voir dans le mot de « révision » inscrit dans | maintes occasions de leur donner véritablement des instructions sur la pltq du cabinet et sur la signification q'l convn d'attribuer au vote des lois cnstttnnlls. » — On croit que dans le prochain conseil des ministres, on décidera de nouvelles mutations préfectorales. On parle aussi d’un mouvement qui aurait lieu dans la magistrature. — On dit quil ne serait asp iosse qu’à la enr le vice-président du Cnsi fit à la tribune de l'Assemblée nationale, une courte déclaration orale pour mettre un terme aux ambiguités que l’st de parti veut voir dans le mot de « révision » inscrit dans |
voir dans le mot de « révision » inscrit dans la constitution. DÉPÊCHES Journal de l'indépendant. Paris, 13 avril, 4 h. 10 soir. M. Blanche, avocat général à la Cour de cassation est mort dans la matinée. On assure que l’épiscopat allemand a envoyé au Pape un rapport sur la situation de l'Église allemande. Dans le conseil des ministres de la matinée la question des élections partielles a été abordée. Néanmoins elle n’a pas été tranchée. La conversation du patriarche de Venise avec l'empereur d'Autriche est démentie. Bruxelles. — Le ministre des affaires étrangères a été interpellé sur l'échange du | voir dn le mot de « révision » inscrit da l constitution. DÉPÊCHES Journal de l'in. Pai 13 vrl, 4 h. 10 soir. M. Blanche, avocat général à la Cour de cassation est mort dans la matinée. On assure que l’épiscopat allemand a envoyé au Pape n rapport sur l situation de l'Église allemande Dans le conseil des ministres de la matinée la question des élections parl a éé abordée. Néanmoins elle na pas été tranchée. La conversation d patriarche de Venise avec l'empereur 'Aucidehrt est démnt. Bruxelles. — Le ministre de affaires étrangères a été interpellé sur léchange du |
ministre des affaires étrangères a été interpellé sur l'échange du nota allemande. Il a déclaré que les notes envoyées à la Belgique ne contiennent aucun motif modificatif du changement dans la constitution. Paris, le 13 avril, 6 h. 35 du matin. Une dépêche de Constantin du 13 dit matin. L'Église catholique de Liverpool a été inaugurée par Monseigneur Manning qui a attaqué sévèrement le gouvernement anglais en lui reprochant de restreindre les libertés de l'Église. L'INDEPENDANT PÔ NOUVELLES DIVERSES Un incident d’une extrême gravité s'est produit mercredi à la chambre de appel de police correctionnelle de Rennes. Sur l’appel en | ministre des affaires étrangères a été interpellé sr l'échange du nota allemande. Il a déclaré que ls notes envoyées à la Belgique ne contiennent aucun motif modificatif du changement dans la constitution. Paris, le 13 avril, 6 h. 35 du matin. Une dépêche de Constantin du 13 dit matin. L'Église catholique de Liverpool a été inaugurée par Monseigneur Manning qui a attaqué svèeme le gouvernement anglais en lui reprochant de restreindre les libertés de 'isÉle.lg LINDEPENDANT PÔ NOUVELLES DIVERSES Un incident d’une extrême gravité s'est produit mercredi à a chambre de ape de police correctionnelle de Rennes. Sur l’appel en |
de appel de police correctionnelle de Rennes. Sur l’appel en révision du ministère public d’un jugement rendu par le tribunal de Côteaulin, condamnant le nommé Bron (Jules Victor) à deux ans de prison et cinq ans de surveillance, pour abus de confiance et escroquerie, la cour venait d’infirmer le jugement du tribunal de Coutéaulin. Le tribunal de Coutéaulin venait de condamner le prévenu à quatre ans de prison et cinq ans de surveillance, lorsque celui-ci, furieux, s’arma d’une pierre énorme qu’il avait eu dissimulée sous ses vêtements et la lança contre l’avocat-général, M. Montaubin. Le projectile n’atteignit pas l’honorable magistrat. | de ppl de pe correctionnelle de Rennes Sur l’appel en révision du ministère public d’un jugement rnd par le tribunal d Côteaulin, condamnant le nommé Bron (Jules Victor) à deux ans de prison et cinq ns de surveillance pour bs de confiance e scrqr, la cour venait d’infirmer le jugement du tribunal de Coutéaulin. Le tribunal de Coutéaulin vnt de condamner le prévenu à quatre ans d prison t cinq ans de surveillance, rsqu celui-ci, furieux, s’arma d’une pierre énrm qu’il avait eu dissimulée sous ses vêtements t la lança contre l’avocat-général, M. Montaubin. Le projectile n’atteignit pas lhonorable magistrat. |
contre l’avocat-général, M. Montaubin. Le projectile n’atteignit pas l’honorable magistrat. Puis alors d’un redoublement de fureur, le prévenu saisit fébreusement l’encrier du greffier, qui se trouvait à sa portée, et le lança dans la même direction. M. Montaubin, cette fois encore, ne fut pas atteint, mais l’encrier s’étant brisé contre l’encoignure de la fenêtre, la robe de M. Montaubin fut émaillée d’éclaboussures. L’émotion était au comble dans la salle. L’un des conseillers, M. d’Amphenet, s’élança alors sur le prévenu, qu’il parvint à contenir avec l’aide des agents de la force publique. Tout ceci n’avait duré qu’un instant. La cour reprit | ntr l’avocat-général, M. Montaubin. Le projectile n’ttii pas l’honorable mgstrt. Puis alors d’un redoublement de fureur, l prévenu saisit fébreusement l’encrier du greffier, qui se trouvait à sa portée, et le lança dans la même direction. M. Montaubin, cette soif encore, ne fut pas atteint, mais l’encrier s’étant brisé contre l’encoignure de la fenêtre, la robe de M. Montaubin fut émaillée d’éclaboussures. L’émtn était au comble dans la salle L’un des conseillers, M. d’Amphenet, s’élança alors sur le prévenu q’l parvint à contenir avec l’d des agents de la force publique. Tout ceci n’vt duré qu’un instant. La cour reprit |
publique. Tout ceci n’avait duré qu’un instant. La cour reprit immédiatement séance pour juger l’incident, et condamna ce démoniaque à huit ans de prison, cinq ans de surveillance et à la privation de ses droits civils, peines qui ne se confondront pas avec celles précédemment énoncées. Éviter les "coquernes" CHOCOLAT WENIEB Exiger le véritable IM Crédit foncier de France Emission de 480 fr. d’obligations communales de 500 fr. 5 0/0, remboursables en 50 ans par voie de tirage au sort. Emission au pair d’obligations communales à 5 0/0 pour une échéance de 10 ans et à 4 1/2 0/0 pour | .qiuepblu Tout ceci n’avait duré qu’un instant. L cour reprit immédiatement séance pour juger icen et condamna ce démoniaque à huit ans de prison, cinq ans de ivnsalceerlu et à la privation de ses droits civils, peines qui ne se confondront asp avec celles précédemment énoncées. Éviter les "cqrns" CT WENIEB Exiger le véritable IM Crédit foncier de France Emission de 480 fr dobligations communales de 500 fr. 5 /,00 remboursables en 50 ans pa v de tirage au sort. Emission au pair d’obligations communales à 5 r une échéance de 10 ans et à 4 1/2 0/0 pour |
échéance de 10 ans et à 4 1/2 0/0 pour une échéance de 5 ans à moins de 10 ans. On souscrit à Paris, au Crédit Foncier de France, rue Neuve des Capucines, n° 19, dans les départements, aux recettes des finances, chez MM. les notaires et chez tous les correspondants du Crédit Foncier. On peut, chez les mémos intermédiaire, se procurer, au cours des obligations communales 5 0/0 rapportant 15 fr. et remboursables à 300 fr. Contre les rhumes, grippe, maux de gorge, le Mélilot et le Pétite de poitrine de Delangle possèdent une efficacité certaine. — Dépôts dans | échéance d 10 ans et à 4 1/2 0/0 pour une échéance de 5 ans à moins d 10 ans. On sscrt à Paris, au Cdt Foncier de France, rue Neuve des Capucines, n° 19, dans les dte aux ertceste des finances, chez MM. les notaires et chez tous les correspondants du Crédit Foncier On peut, chez esl mémos intermédiaire, se rcer, au cours des obligations communales 5 0/0 rapportant 15 fr. et ebusl à 300 fr. Contre les rhumes, grpp, maux de gorge, le Mélilot et le Pétite de poitrine d Delangle pssden une efficacité certaine. — Dépôts dans |
poitrine de Delangle possèdent une efficacité certaine. — Dépôts dans les Pharmacies. SAISON DE PRINTEMPS LAS personnes qui ont l'habitude de ne purger au printemps, celles qui craignent le retour de maladies chroniques ou d'être incommodées par le flegme (apoplexie), la bile ou les humeurs, trouveront dans le Chlorolite de Debray un purgatif agréable et efficace. Il se vend dans les Pharmacies. (Exiger sur chaque boite la signature Debray, car il y a des contrefaçons.) SOCIÉTÉ DES EAUX MINERALES CAVARN A. SOUBERBIELLE ET C* Société en commandite Capital social 1,800,000 fr. PAYSMENTS D'INTERETS ET DIVIDENDE chez M. LACAY, banquier à | poitrin ed Delangle possèdent une efficacité certaine. — Dpô dns els Pharmacies. SAISON DE PRINTEMPS LAS personnes qui ont l'habitude de ne purger au prinmp celles qui craignent le retour maladies chroniques ou d'être incommodées rap le flegme (apoplexie), la bl ou les humeurs, tnrtoevour dans le lrl d Dbry un purgatif agréable et efficc. Il s vend dans sle ema.chPsria (Exiger sur chaque boite la signature Debray car il y a des contrefaçons.) SOCIÉTÉ DES AUEX MINERALES CAVARN A. SOUBERBIELLE ET C* Scété en commandite Capital social 1,800,000 fr. PAYSMENTS D'INTERETS TE EEIDIVDDN chez M. LACAY, banquier à |
fr. PAYSMENTS D'INTERETS ET DIVIDENDE chez M. LACAY, banquier à Tarbes ACTIONS Intérêts du deuxième semestre 1874, payables le 1er avril 1875, • 1/2 du capital versé. Dividende acquis au deuxième versement, 4 fr. par action. OUI, 1/4 D'ACTION Coupon semestriel payable le 15 avril 1875 5 fr. V c. SOMMAIRE DU NUMÉRO 15 DE LA REVUE L'ART. TEXTE. — Les Marbres de Milet, offerts au Louvre par MM. de Rothschild, par Louis Ménard. — L'Exposition des Beaux-Arts pendant la Révolution, par Eugène Despois. — Italie Parallaxie — Quelques remarques sur l'art en Russie, par Pedro Rioux-Maillant — Une Exposition | fr. PAYSMENTS D'INTERETS ET DIINEDDVE chez M. LACAY banquier à Tarbes ACTIONS Intérêts du euxième semestre 1874, payables le 1er avril 175 12 du capital vrsé. Dividende au deuxième versement, 4 fr. par action. OUI, 14/ D'ACTION Coupon semestriel payable le 15 avril 1875 5 fr. V c. SMMR DU NMÉR 15 DE L REVUE L'ART. TEXTE. — Les Marbres d Milet, offerts au e par M.M de Rothschild, par Louis Ménard. — L'Exposition des au-BxetrsA pendant la Révolution, par Eugène Dpoi. — Italie Palaxe — Quelques remarques sur l'rt n Russie, par Pedro Rioux-Maillant — Une Exposition |
sur l'art en Russie, par Pedro Rioux-Maillant — Une Exposition de tapisseries, par P.-T. Riano. — L'affaire Van de Kerkhove (Correction, dance particulière de l’Art). — Chronique extraordinaire, — La Souscription au monument de Corot — Exposition des dessins de Millet. Société des Amis des Arts de Pau. De l'Aube. — Huitième annuelle des délégués des sociétés savantes. — Chronique de l’hôtel Drouot. — Notre eau-forte. GRAVURES — Planche hors texte : Un quai à Amsterdam, eau-forte de Gustave Lebon, d’après le tableau d'Adriaan Van de Velde et de Jules Van Der Heyden. — Gravures dans le texte : Les | sur l'art en Russie, par Pedro Rioux-Maillant — Une Exposition de tapisseries, par P.-T. oa.Rin — L'affaire Van de Kerkhove (Correction, dance riule de l’Art). — Chrnq extraordinaire, — La Souscription au u de Corot — Exposition des dessins de Millet. Société des Amis des Arts de Pau. De l'Aube. — Huitième annuelle des délégués des sociétés vt — Chronique de l’hôtel Drouot Notre eau-forte. GRVRS — Planche hors tete : U quai à Amsterdam eau-forte de Gustave Lebon, d’après le tableau d'rian Van de Velde e de Jules Van Der Heyden. — Gravures dans le tee : Les |
Van Der Heyden. — Gravures dans le texte : Les Fouilles d'Hérondas, par M. Guiaud, d’après le dessin de M. A. Thomas, gravure de K. Burgun — Chapiteau d'ordre du temple d'Apollon, à Milet. — L’un des pierres du temple d'Apollon, à Milet. — Bases de deux colonnes du temple d'Apollon à Milet. Bouclier attribué à Benvenuto Cellini (Armeria Reale de Turin) gravure de Meaulé. — Armeria Reale de Turin gravure de Mesulé. Pentacle Targe, travail du XVIe siècle (Armeria Reale de Turin), dessin de E. Bocourt, gravure de L. Chapon. — Égide de Vatikan. ANNONCES JUDICIAIRES, COMMERCIALES ET AVIS | Van Der Heyden. — Gravures dans le tetex : Les Fouilles d'Hérondas, rap M. Guiaud, d’après le einsds de . A Thomas, gravure de K. Burgun — Chapiteau d'ordre du temple d'Apollon, Milet. — L’un ds prrs du temple d'Apollon, à Milet. — Bases d deux colonnes d temple d'Apollon à Milet. Bouclier attribué à Bvnu Cellini (Armeria Reale de Turin) gravure de Meaulé. — Armeria Reale d Trn gravure de .Méluse Pentacle Trge travail du siècle Armeria Reale de Turin), dessin de E. Bocourt, gravure de L. Chapon. — egidÉ de Vatikan ANNONCES JUDICIAIRES, COMMERCIALES ET VS |
Chapon. — Égide de Vatikan. ANNONCES JUDICIAIRES, COMMERCIALES ET AVIS DIVERS VENTE AUX ENCHÈRES APRÈS FAILLITE. Le Jeudi 15 Avril courant, à deux heures de relevée et jours suivants s’il y a lieu, rue Porteneuve, n° 49 il sera procédé à la vente aux enchères publiques, des marchandises, matériel et divers objets mobiliers, provenant de la faillite veuve RONAT, épouse Durand. Le prix sera payé comptant et cinq pour cent en sus L’huissier chargé de la vente, LACOUDURE, huissier. Etude de M. FLECHAT, notaire à Pau. RUE DES CORDELIERS, N° 15. À VENDRE ENSEMBLE OU SÉPARÉMENT 1° Deux Maisons avec | Chapon. — Égide de Vatikan. ANNONCES JUCAIRE COMMERCIALES ET AVIS DVRS VENTE AUX ENCHÈRES APRÈS FAILLITE. Le Jd 15 Avril crnt, à deux heures de relevée et jours suivants s’il y lieu, rue Porteneuve, n° 49 il sera rocd à la vente aux enchères publiques, des marchandises, matériel et divers bjts mobiliers, provenant de la faillite veuve RONAT, éps Durand Le pi sera payé comptant et cinq pour cent en sus rsisihu’Le chargé de la vente, LACOUDURE, huissier. Etude de M. FLECHAT, notaire à Pau. RUE DES CORDELIERS, N° 15. À VENDRE ENSEMBLE OU SÉPARÉMENT 1° Deux Maisons avec |
15. À VENDRE ENSEMBLE OU SÉPARÉMENT 1° Deux Maisons avec écurie, remise et jardin en un tenant, sises rue Binado. 2° Une autre Maison avec hangar, cour et jardin située rue Sedze. S’adresser à Me PLÉCHAT, notaire. À VENDRE DEUX MAISONS ET DÉPENDANCES Rue Serviez. Revenu net 18,300 fr. Prix : 200,000 fr. S’adresser à Maître PLÉCHAT, notaire. À VENDRE AUX ENCHÈRES. En l’étude et par le ministère de M. PLÉCHAT, notaire à Pau, 15, rue des Cordeliers. Le Samedi 1er Mai 1875, à 11 heures du matin, une jolie propriété située à Pau, route de Bordeaux, à 500 mètres | 1. VNDR ENSEMBLE OU SÉPARÉMENT 1° Deux Maisons cvae écurie, remise et jdi en un tenant, sises Binado. 2° Une autre onMsai avec hangar, cour et jardin située rue Sedze. S’adresser à Me PLÉCHT, notaire. À VNDR DEUX MAISONS ET DÉPENDANCES Rue Serviez. Revenu net 18,300 fr. Prix : 200,000 fr. Sadresser à Maître PLÉCHAT, notaire. À VENDRE AUX ENHÈ. En l’étude et par le ministère de M. PLÉCHAT, notaire à Pau, 15, rue des Cordeliers. Le Samedi 1er Mai 1875, à 11 heures du matin, une jolie propriété située à Pau, route de Bordeaux, à 500 mètres |
propriété située à Pau, route de Bordeaux, à 500 mètres du Boulevard du Nord, composée : 1° D’une maison d’habitation ; 2° D’un bâtiment dont le rez-de-chaussée sert de remise avec 11 boxes, et le premier de logement, le tout récemment construit et parfaitement aménagé pour un sportif ; 3° D’une vaste cour ; 4° D’un grand jardin potager clos de murs ; S’adresser à Maître PLÉCHAT, dépositaire du cahier des charges. À VENDRE PETITE VILLA Dans le beau quartier Trespoey. Prix 4,000 fr. S’adresser à M. LAFORGUE, notaire à Pau, rue Nouvelle Halle, 6. À VENDRE MAISON JETAUBIN Rue | propriété située à u, route de Bordeaux, à 500 mètres du Boulevard du Nord, composée : 1° Dune maison d’habitation ; 2° Dun bâtiment dont le rez-de-chaussée srt de remise avec 11 boxes, et le premier de logement, le tt récemment rcuonitst et prftmnt aménagé pur un sportif ; 3° ’une vaste cour ; 4° D’un grand jardin otag clos de rums ; S’adresser à Maître PLÉCHAT, dépositaire du cahier des raghsec. À VNDR PETITE VILLA Dans le beau quartier Trespoey. Prix 4,000 fr. S’adresser M. LAFORGUE, notaire à Pau, rue Nouvelle Halle, 6. À VNDR MAISON JETAUBIN Rue |
Pau, rue Nouvelle Halle, 6. À VENDRE MAISON JETAUBIN Rue Perle-Veuve, n° 28 S’adresser à Maître LAFORGUE, notaire à Pau. À VENDRE DE GRÉ À GRÉ En Bloc ou par parcelles Celle propriété entourant le couvent de Sarrance, connue sous le nom de Camou. — S’adresser pour les renseignements à Maître LASSALLE, notaire à Bedeau, ou à MM. COURS frères, sur les lieux, et à M. REY, n° sire à Oloron. À vendre ou à affermer: L’ancienne Papeterie de Gurmençon à ( quatre kilomètres d’Oloron. — Grandes bâtiments. — Grande chute d’eau. — Site agréable. À GELoS Une exploitation et | au,P rue Nouvelle Halle, . À VNDR MAISON JETAUBIN uRe Perle-Veuve, n° 28 S’adresser à Maître LEFO,URGA notaire à Pau. À VENDRE DE GRÉ À GRÉ Bloc ou par parcelles Celle prprété ntrnt le couvent de Sarrance, connue sous le nom de — S’adresser pour les renseignements à Maître LASSALLE, notaire à Bedeau ou à MM. COURS frères, sur les lieux, et à M. REY, n° sire à Oloron. À vre ou à affermer: L’ancienne etapiPeer de Gurmençon à ( quatre kilomètres d’Oloron. — Grandes bâtiments. — Grande chute d’eau. — St agréable. À GELoS n expoittn et |
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ville, ayant vue sur la Grotte de Lourdes; elle consiste en vastes bâtiments, écuries, remises et terres nature de labourable, pré et bois, le tout en un tenant de contenance d’environ 24 hectares. Vue splendide sur la vallée de Lourdes et les Pyrénées. S’adresser à Maître HAURE, notaire à Pau. COMMUNE D'EAUX-BONNES. Le 15 avril prochain, il sera procédé durant cette, par le Maire d’Eaux-Bonnes, en la salle de la Mairie, avec l'assistance de deux membres du Conseil municipal et du receveur de la commune, à l’adjudication du bail à ferme de sept boutiques situées sous la chaussée de la | ville, ayant vue sur la Grotte de Lourdes; elle consiste en vastes bâtiments, écuries, remises et terres nature de labourable, pré et bois, le tout en un ta de cntnnc ’evio 24 hectares. Vue splendide sr la vallée de Lourdes et les Pyrénées. S’adresser à Maître HAURE notaire à Pau. COMMUNE D'X-BNNS. Le 15 arl r il sera éédrcpo durant cette, pr le Maire d’Eaux-Bonnes, en a salle de l Mairie, avec l'assistance de deux membres du Conseil municipal et du receveur de la commune, à l’adjudication du bail à ferme de sept btqs situées sous la chaussée de la |
ferme de sept boutiques situées sous la chaussée de la Promenade Horizontale et de quatorze chalets et étalages situés sur la même Promenade. Chacun de ces magasins sera adjugé séparément au plus offrant et dernier enchirleur, à l’extinction des feux, pour trois années consécutives expirant le 31 décembre 1877, sur la mise à prix : 1° Pour chaque boutique, 140 fr. 2° Pour chaque chalet... 120 3° Pour chaque étalage.. 75 L’adjudicataire devra fournir, séance tenante, une caution reconnue solvable. Il peut se procurer, à la mairie d'Eaux-Bonnes, tous autres renseignements nécessaires d’ici au jour de l’adjudication. Eaux-Bonnes, le 4 | ferme de sept boutiques situées suos la chaussée de la Promenade Horizontale et de quao clt et étalages iés sur la même Prmnd. Chacun de e magasins reas adjugé séparément au pls offrant et dernier enchirleur, à l’extinction e feux, pour trois années consécutives expirant le 31 décembre 1877, sur la mesi à prix : 1° Pour chaque boutique 140 fr. 2° Pour chaque chalet... 120 3° Pour chaque étalage.. 75 L’adjudicataire devra fournir, séance tenante, une caution reconnue solvable. Il peut se procurer, à la mairie d'Eaux-Bonnes, tous taerus renseignements sscéeisrean d’ici jour de l’adjudication. Eaux-Bonnes, le 4 |
renseignements nécessaires d’ici au jour de l’adjudication. Eaux-Bonnes, le 4 avril 1875. Le Maire, Le GUY DE LAVILLE. À VENDRE DE VILLA À EAU MOBILIER DE SALON ET UNE BIBLIOTHÈQUE S'adresser rue Tran, n° 7. À LOUER APPARTEMENTS situés rue Préfecture, numéro 11. S'adresser 18, Avenue Porte-Neuve. À LOUER À Eaux-Bonnes LE GRAND CAFÉ ET CERCLE DES ÉTRANGERS, pouvant faire une salle pour bals et soirées, de 23 mètres sur 12 mètres, sans enlever le Café; une partie peut être transformée en Restaurant. S'adresser pour la location, à M. PACAUT, 83, rue du Lycée, à Pau. À VENDRE EN BLOC | renseignements nécessaires d’c au jour de l’adjudication. uBne le 4 avril 875 L Mr, Le GUY DE LAVILLE. À VENDRE D VILLA À EAU EMBRLOII ED SALON ET UNE BIBLIOTHÈQUE S'adresser rue Tran, n° 7. À OR APPARTEMENTS situés r Préfecture, numéro 11. S'adresser 18, Avenue Porte-Neuve. À LOUER À Eaux-Bonnes LE GRAND CAFÉ ET CERCLE DS ÉTRANGERS pvnt faire une salle pour bals et srés, de 23 mètres sur 12 mètres, sans enlever le Cé une partie peut être transformée en Restaurant. 'adresser pour la location, à M. PCT, 83, rue du Lycée, à Pau. VENDRE EN BLC |
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Cinq Centimes Directeur ERNEST VAUGHT ABONNEMENTS Sis Trois Un mois moi Sorts . i . . '! 1 'I . 'i ao » 10 # 5 . DEPARTEMENTS ET ALGÉRIE. 24 T 12 » G » PÉTRIT NU BRÉVIOK POSTAL 85 * 18 » 10 ? POUR LA RÉDACTION : O-bedear à M. A. BERTHIER Secrétaire de la Rédaction Adresse télégraphique : AURÔRE-PARIS L'AURORE Littéraire, Artistique, Sociale Directeur ERNEST VAUGHT LES ANNONCES SONT RÉCEPTIONNÉES : 142, Rue Montmartre AUX BUREAUX DU JOURNAL Les manuscrits non insérés ne sont pas rendus. ADRESSER LETTRES ET MANDATS : M. A. BOUIT, Administratif Téléphone | Cnq Centimes Directeur TSRNEE VAUGHT ABONNEMENTS Sis Trois Un mois moi Sorts i . . '! 1 'I . ' ao » 10 # 5 . DEPARTEMENTS ET ALGÉRIE. 24 T 12 » G » PÉTRIT N BRÉVIOK POSTAL 85 * 18 » 10 ? U LA RÉDACTION O-bedear M. A. BERTHIER Secrétaire d la Rédaction Adresse télégraphique : AURÔRE-PARIS L'AURORE Littéraire, Artistique, Sociale Directeur ERNEST VAUGHT LES ANNONCES SONT RÉCEPTIONNÉES : 142, Rue Montmartre AUX BUREAUX DU JOUA Les manuscrits non insérés ne sont pas ns.urde ADRESSER LETTRES T MANDATS . A. BOUIT, Administratif Téléphone |
ADRESSER LETTRES ET MANDATS : M. A. BOUIT, Administratif Téléphone : 102-BB Millerand à Lille Belle Manifestation L'ACCIDENT DE L'EXPOSITION À bas!... Et maintenant, n'est-ce pas? avant tout, à bas les conseils de guerre! à bas la justice militaire! à bas les juges militaires! Il est stupéfiant de voir l'inertie de ce malheureux peuple que nous sommes, en présence d'événements qui auraient provoqué partout ailleurs une révolution dans les mœurs et dans les lois. Depuis deux ans, il est apparu au grand jour que l'armée prétorienne, issue de l'ancienne féodalité terrienne ou de la nouvelle féodalité financière, est l'instrument du | ADRESSER LETTRES ET AAS : M. A BOUIT, Administratif Téléphone : 102-BB lenrlMadi à Lille Belle Manifestation L'ACCIDENT DE T'IEISXOONPL À bas!... Et maintenant, n'est-ce pas? avant tout, à bas les conseils de guerre! à bas la justice militaire! à bas les juges militaires! Il st stupéfiant de voir l'inertie de ce malheureux peuple que nous sommes, en présence d'événements qui auraient provoqué partout ailleurs une révolution dans les mœurs t dans le lois. Depuis deux ans, il est apparu au grand jour que l'armée prétorienne, se de l'ncnn féodalité err ou de l nouvelle fédlté financière, est l'instrument du |
terrienne ou de la nouvelle féodalité financière, est l'instrument du complot clérical et césarien contre la France moderne. On fait là-dessus des livres, des brochures, des articles, des harangues. Cependant, comme si rien n'était arrivé, les congrégations introduisent dans les Écoles militaires encore des centaines de leurs pupilles, fils de Coblentz, enthousiastes du faux et de la trahison, nourris dans la haine du peuple, futurs Boisdorffes, futurs Esterhazys, futurs Merciers, prêts à tous les crimes contre la patrie, et demain chefs de notre armée. Depuis deux ans, l'infamie de la justice militaire et des juges militaires s'est révélée dans toute | terrienne ou de la nouvelle féodalité financière, est l'instrument du complot clérical et césrn contre la France mdrn. On fait là-dessus des livres, des brochures, des rtces, des r.aungshae Cependant, comme si rien n'était arrivé, les congrégations introduisent dans les Écoles militaires ncr des centaines de leurs pupilles, fils de Clzoent,b enthousiastes du faux e de la tin, nourris dans al haine du peuple, futurs Boisdorffes, futurs rzsahEes,ty futurs Merciers, prêts à tous les crimes contre la patrie, et demain chefs de notre armée. Depuis eux ans, l'infamie de la justice militaire et des juges militaires s'est révélée dans toute |
justice militaire et des juges militaires s'est révélée dans toute son horreur. Dans une seule cause, les chefs militaires ont accumulé tout ce que leur dépravation morale et leur bassesse intellectuelle pouvaient leur suggérer de forfaits. On a vu les innocents condamnés par ordre, et les scélérats absous par ordre. On a vu la collusion cynique des pires gredins avec les généraux les plus empanachés, leurs complices. Le faux, sans cesse le faux, le parjure, le faux témoignage, la subornation ou l'intimidation des témoins, la lâche servilité des juges livrant leur conscience à la première menace de représailles comme à | justice militaire e des juges militaires s'est révélée dans toute son horreur. Dans une seule cause, les chefs militaires ont accumulé tout ce que leur dépravation morale et leur bassesse nlule pouvaient leur suggérer de forfaits. On a vu les innocents condamnés par ordre, et les scélérats absous par ordre. On a vu la collusion cynique des pires gredins avec les généraux les plus empanachés, leurs cmplcs. Le faux, sans cesse le fx, le parjure, le faux témoignage, la subornation ou l'intimidation des témoins, la lâche servilité des juges livrant leur conscience la première mnc d représailles comme à |
leur conscience à la première menace de représailles comme à la première promesse d'avancement, l'ignorance imbécile de ceux qui gardaient peut-être quelque lueur d'honnêteté mais qui se vantaient impudemment « de ne pas savoir le droit, de ne pas connaître la loi », toute cette atroce comédie de justice jouée par d'atroces bandits a soulevé la conscience de l'humanité. Et pendant deux ans, et depuis l'interruption du drame, la justice militaire n'a pas cessé de fonctionner sur toute l'étendue du territoire français. Imperturbablement, le même d'Ormescheville, le même Ravary, le même Carrière, qui ont été la risée et l'horreur du | leur cnscnc à la première menace de représailles comme à la première prmss d'avancement, l'ignorance imbécile de ceux qui gardaient peut-être quee lureu d'honnêteté mais qui se vantaient mpdmmnt de ne as savoir le droit, de ne pas connaître la loi », toute cette atroce comédie ed justice jouée par datroces bandits slvé la conscience de l'humanité. t pendant deux ans, et depuis l'interruption du drame, a justice militaire ' pas cessé de fonctionner sur tot l'étendue du territoire français. Imperturbablement, le même d'Ormescheville, le même Ravary, le même Carrière, qui ont été la risée t l'horreur du |
même Carrière, qui ont été la risée et l'horreur du monde, et tous les d'Ormeschevilles, les Ravarys, les Carrières de l'armée, avec tous les Maurois et tous les Jouaists, ont continué, continuent d'envoyer de pauvres enfants innocents aux cachots, aux bagnes, aux supplices, à la mort. Oui, l'infâme justice militaire, les juges militaires déshonorés et disqualifiés, les bourreaux qui ont donné à l'humanité entière une nausée de dégoût continuent de faire des victimes. Ils en font tous les jours. Tous les jours, ils torturent ou ils tuent des enfants innocents. Même ils assassinent les condamnés à qui le Président de | même Carrière, qui ont été l risée et l'horreur du monde e tous les d'Ormeschevilles, les Rvrys, les Crrèrs de l'armée, avec ts l Maurois tous ls Jouaists, ont continué continuent d'envoyer de pauvres enfants innocents aux cchts, aux se,ngab x supplices à la mort. Oui, linfâme justice militaire, les gjseu militaires déshonorés et disqualifiés, les bourreaux uqi ont dnéno à l'humanité entière une nausée ed dégoût continuent de fr des victimes. Ils en fnt tous les jours. Tous les jours, ils torturent ou ls tuent des nfnts innocents Même ils assassinent ls onns à qui le Président de |
Même ils assassinent les condamnés à qui le Président de la République a fait grâce. Ils se vengent ainsi du soufflet que la grâce immédiate de Dreyfus leur appliqua sur la face, ils jettent en défi à Sa Démocratie hébétée des cadavres de soldats. Cela va-t-il durer ? Avant toute expérience, la seule existence de la justice militaire était une monstruosité. En déclarant les officiers déchus du droit de citoyens qu'il conserve aux plus humbles des autres fonctionnaires, le législateur affichait son mépris à leur égard ; il déclarait qu'un pauvre cantonnier peut garder la liberté de sa conscience contre | Même ils assassinent le cndmnés à qui le Président de la République a fait grâce. Ils se vengent ainsi du soufflet que la râce immédiate de Dreyfus erul appliqua sur la face, ils jettent en défi à Sa Démocratie hébétée des cadavres e soldats. Cela va-t-il durer ? Avant toute expérience, la lesue existence de la justice militaire était une monstruosité. En déclarant les ffcrs déchus du droit de ctyns qu'il conserve aux pls humbles des autres fonctionnaires, le égsltr affichait son ép à lr égard ; il déclrait qu'un pauvre cantonnier peut garder la liberté de sa conscience contre |
pauvre cantonnier peut garder la liberté de sa conscience contre l'autorité des chefs, mais qu'un fonctionnaire militaire ne peut pas. Et c'est à la conscience suspecte de ces hommes légalement dégradés qu'on livrait l'honneur, la vie des autres hommes! M. Alphonse Humbert, le forçat de l'Éclair et de l'Etat-Major, écrivait naguère dans l'Intransigeant (31 janvier 1883) : Des juges soldats ne sauraient être que bien dynamiquement des juges justes. Ils vont seuls par tradition, par habitude d'esprit, à la limite extrême de la loi, côté de la sévérité, bien entendu. Et c'est pourquoi il conviendrait, ainsi tout en conservant une | pauvre cantonnier peut garder la liberté de sa conscience contre l'autorité des chefs, mais q'n fonctionnaire militaire ne peut pas. Et c'est à la cnscnc suspecte de ces hommes légalement dégradés qu'on livrait l'honneur, la vi des ure hommes! M. Alphonse Humbert, e oatfçr de l'Éclair et de l'Etat-Major, écrivait naguère dans l'Intransigeant (31 jnvr 1883) : De juges ts sauraient être que bien dynmqmnt des e justes. Ils vont seuls par tradition, par habitude d'sprt, à a limite extrême de la i,ol côté de la sévérité, n entendu. Et 't pourquoi il cnvndrt, ainsi tout en conservant une |
Et c'est pourquoi il conviendrait, ainsi tout en conservant une armée, nous voulons rester des civilisés, de mettre un frein à cette ardeur de répression qui va souvent, et bien inutilement, jusqu'à la plus odieuse férocité. L'argument des chefs prétoriens et de leurs acolytes, en faveur de la justice militaire, est la nécessité de sauvegarder la discipline, « qui fait la force principale des armées ». Les chefs incarnent la Discipline : ils frappent sans merci au nom de la Discipline... Leur impudence est prodigieuse. Ils donnent eux-mêmes l'exemple quotidien de l'indiscipline. Ils conspirent, se révoltent, outragent le pouvoir civil, | Et s pourquoi l conviendrait, ainsi outt en conservant une armée, voulons rester des civilisés, de mettre un frein à cette ardeur de répression qui va souvent, et bien inutilement, jusqu'à la plus odieuse férocité. L'argument des chefs prétoriens et de lrs acolytes, en faveur de la justice militaire, est la nécessité de sauvegarder al dscpln, « qui fait la force rnc des armées .» Les hes incarnent la Discipline : ils frappent sans merci au nmo de la Discipline... Leur impudence st prodigieuse. Ils donnent eux-mêmes elpxeem'l utd de 'nspne. Ils conspirent, se révltnt, outragent le pouvoir civil, |
de l'indiscipline. Ils conspirent, se révoltent, outragent le pouvoir civil, bravent la Nation ; Roget complote avec Dérouille regorgement des Parisiens; de Négrier organise la rébellion dans quatre corps d'armée ; Gonse, général, encourage Henry à insulter Picquart, son supérieur ; Boisdeffre et Gonse s'entendent avec Esterhazy pour faire chanter le chef de l'État; l'État-Major lance le hussard pour assassiner Picquart, son supérieur ; tous les Hardschmidt, les Metzinger, les Hervé, les Julliart, cent autres, injurient et menacent les ministres, le Parlement, la Nation ; Chanoine trahit, Chamin trahit, Deloye trahit ; les capitaines assassins du Soudan assassinent leur colonel | de l'indiscipline. Ils cire se révoltent, outragent l pouvoir civil, bravent la Ntin Reogt complote avec Dérll regorgement des Parisiens; de Négrier organise la rébellion dans quatre corps d'arm ; Gonse, général, encourage Henry à insulter Pcqrt, sn supérieur ; fr et ns s'entendent avec Esterha pour faire chanter le chef de l'Étt; l'État-Major lance le hussard pour assassiner Picquart, son supérieur ; tous les aircdts,Hdhm les Metzinger les Hervé els Julliart, cent trs, injurient et menacent les ministres, le Parlement, la Nation ; Chanoine trahit, Chamin trahit, Deloye trahit ; les capitaines assassins du Sdn asssnnt leur l |
trahit ; les capitaines assassins du Soudan assassinent leur colonel ; le colonel Kerdrain, du complice d'Esterhazy au conseil d'enquête, et de Roget à l'emploi des presses de son régiment d'immodes publications contre le peuple. Finalement, les obscènes officiers du 32° de ligne vont, en corps, lever la patte sur le Président de la République, non pas pour arroser M. Loubet, mais pour faire le plus sale outrage à la République, à la Nation. Et ces gens-là parlent de discipline, torturent, souillent, tuent des enfants au nom de la discipline ! Écoutez M. Alphonse Humbert (Éclair) : Les torts des | trahit ; les capitaines assassins du Soudan assassinent leur colonel ; le colonel Kerdrain, d complice dEsterhazy au conseil d'êe, et de Roget à l'emploi des presses de son régiment 'immodes pbiaton contre le epl Finalement, les obscènes fc du 32° de ligne vont, en corps, lvr la patte sr le Péide de la République, non pas pour arroser M. Lbt, mais po faire l plus sale outrage à la République, à la Nation Et ces gens-là parlent de discipline, torturent, souillent, ten des enfants au nom de la discipline ! Écoutez M. Alphonse Humbert (acl)riÉ : Les torts des |
! Écoutez M. Alphonse Humbert (Éclair) : Les torts des soldats, nous les connaîtrons toujours : on les mettra toujours sous nos yeux, plutôt grossis qu'atténués. Les torts des chefs, comment les connaîtrions-nous ? Qui les constaterait ? Le conseil de guerre ne consent jamais à les voir. Et il pousse ce refus de faire justice aux inférieurs jusqu'au cynisme le plus révoltant. Écoutez toujours M. Alphonse Humbert : Il ne faut plus nous parler de "justice militaire". Le mot est impropre. Le pouvoir qui frappe si impitoyablement les subordonnés sans jamais réprimer, même de la peine la plus légère, | ! Écoutez M. Alphonse ert (Éclair) : Ls torts des soldats, nous les connaîtrons toujours : on les mettra toujours sous nos yeux, plutôt grossis qu'atténués. Les torts des chefs, comment les connaîtrions-nous ? Qui les constaterait ? Le conseil de guerre ne consent jms à les voir. Et il sesopu ce refus de faire justice aux inférieurs jusqu'au cynisme le u révoltant. etczÉuo toujours M. Aponse Humbert : Il ne au plus nous parler de "justice militaire". Le mot est impropre. Le pouvoir qui frappe si mptyblmnt les subordonnés sns jamais réprimer, même de la peine la plus ,élgère |
sans jamais réprimer, même de la peine la plus légère, les actes les plus criminels des chefs, ce pouvoir-là ne mérite à aucun degré le titre de justice. Il n'y a rien en lui qui corresponde à une idée de droit. Pas plus qu'à une idée d'intérêt social, d'ailleurs. Donc, à bas les conseils de guerre ! Ce cri devrait jaillir de la poitrine de toutes les mères qui peuvent craindre pour leurs fils Biribi ou le poteau ; de toutes les femmes qui peuvent craindre pour leur mari un Mercier, un Maurel et le Diable. Mais qu'attendre des mères, | sans jamais réprimer mêm de la peine la ls légère, les actes les plus crmnls des chefs, ce pouvoir-là n mérite à aucun degré le titre de justice. Il n'y a rien en lui qui corresponde à une idée de droit. Pas plus qu'à une idée d'intérêt social, dailleurs Dnc, à bas les conseils de guerre ! Ce cri devrait jaillir de la poitrine de toutes sle mèrs q peuvent craindre pour leurs fils Biribi ou le poteau ; de toutes les femmes qui neetpuv craindre pour leur mari un Mercier, un Maurel et le Diable. Mais qu'attendre sde mères, |
Mercier, un Maurel et le Diable. Mais qu'attendre des mères, puisque les sept mille mères dont Mercier a tué les fils pour ses pots-de-vin sont restées muettes ? qu'attendre des femmes, quand on voit toutes les veuves de colonels assassinés tomber aux bras des assassins de leur mari ? Urbain Gohier. L'HISTOIRE SELON ARTHUR Nous avons relevé l'autre jour l'absurde note du Gaulois, qui faisait de l'ex-lieutenant Chalamon de Bernardy, né en 1875, le fils de Bernardy de Sigoyer, mort, disait la feuille d'Arthur, "brûlé vif dans un tonneau de pétrole par les communards". Cette avenir d'un sous-Meyer se doublait | Mercier, un Maurel et le Diable. Mais q'ttndr ds mères, piqsueu les sept mille mrèes otnd Mercier a tué l fils o ss pots-de-vin sont restées mtts ? quttende des fmsmee, quand on voi toutes les vvs d colonels assassinés r x bras des assassins de leur mari Urbain Gohier. LHISTOIRE SELON ARTHUR Nous avons rlvé l'autre jour bdlau'res note du Gaulois, qui faisait de l'ex-lieutenant Claon d Bernardy, né en 1875, le fils de Bernardy de Sigoyer, mort disait la fll 'tur, rûlé vif dans un tonneau de pétrole par les munards. Cette avenir ' ss-Myr se doublait |
pétrole par les communards". Cette avenir d'un sous-Meyer se doublait d'une odieuse calomnie. Il suffit, pour le prouver, de relire l'Histoire de la Commune (Convulsions de Paris), tome II, page 177, de Maxime Du Camp, peu suspect, comme on le sait, de partialité et même de justice envers les insurgés. La voici : On a dit que le marquis de Sigoyer, saisi vivant par les insurgés, avait subi un jugement dérisoire, qu'on lui avait coupé les mains qui avaient tiré sur le peuple, puis qu'on l'avait attaché à la grille de la colonne de Juillet, qu'on avait versé sur lui | pétrole par ls commund. Cette vnr d'un sous-Meyer se doublait d'une odieuse calomnie. l suffit, pour le prouver, de relire sroeltiH'i de la Commune (Convulsions de Paris), tome II, page 177, de Mxm Du Cmp, peu suspect, comme on le sait, d rli et même de justice nvrs les nsrgés. La voici : On a d que le marquis de Sigoyer, saisi vivant par les insurgés, avait subi un jugement dérisoire, qu'on lui avait coupé ls ns q avaient tiré sur le peuple, puis qu'on l'avita tcahtaé à la grille de la colonne de Juillet, qu'on avait versé sur lui |
de la colonne de Juillet, qu'on avait versé sur lui un seau de pétrole et qu'on l'avait brûlé. Ces cruautés ne furent point commises et les soldats de la Commune n'ont pas à se les reprocher. Le commandant Sigoyer a été assommé d'un coup de fusil, son cadavre est resté là où il a été frappé ; les débris d'une maison enflammée l'ont couvert, lui ont carbonisé les mains, la partie droite du corps, et l'ont mutilé de telle sorte que l'on a pu jusqu'à un certain point croire qu'il avait été supplicié. Il m'a été possible de reconstituer les | de la colonne de Juillet, qu'on avait versé sur lui un seau de pétrole et qu'on l'avait brûlé. Ces cruautés ne furent point commises t les soldats de la Commune 'ont pas à s les reprocher. Le commandant Sigoyer a été assommé d'un coup fusil, son cadavre est resté là où il a été frappé les débris d'une maison enflammée l'ont cvrt, lui ont cabié les mains, prt droite d corps, e l'ont mutilé de telle orte que l'on a pu jusqu'à un crtn point croire qu'il avait téé supplicié. Il m'a été pssib de reconstituer les |
avait été supplicié. Il m'a été possible de reconstituer les faits en réunissant des indices qui sont presque des preuves... Des indices ? Des preuves ? Aux yeux du vide-cuvette de l'État-Major, est-ce que cela vaut un beau mensonge utile ? Orphelinats et Ouvriers HUITIÈME ARTICLE UN ENFANT DISPARU Il y a deux ans environ, un ouvrier de Ménilmontant, M. Chaussefon, 11, rue Houdart, restait veuve avec trois enfants, deux garçons et une fillette. Il fit des démarches pour placer ses orphelins aux Pupilles de la Seine. Mais, avant qu'il eût reçu une réponse, on travailla d'un autre côté. Un | avait été supplicié. Il m'a été possible de reconstituer les faits en réunissant des indices qui sont presque sde preuves... Des iies ? Des preuves ? x yeux d vide-cuvette de l'État-Major, este que a vaut un beau soe utile ? relnts et Ouvriers HUITIÈME ARTICLE UN AT DISPARU Il y a dx san environ, un orurive de Ménilmontant, M. h,sunasoeCf 11, rue Hdrt, restait u avec trois enfants, deux garçons et une fillette. Il fit des démarches pour placer ses orphelins aux Pupilles de la Seine. Mais, atanv qu'il û reçu ue réponse, on travailla d'un autre é Un |
eût reçu une réponse, on travailla d'un autre côté. Un prêtre, directeur de l'Œuvre des enfants pauvres et orphelins de Paris, 74, rue de l'Abbé-Groult, à Vaugirard, réussit à se faire confier les trois petits. La fillette fut placée à Paris, je crois, et les deux garçons envoyés au loin, l'un à Dijon, l'autre à D., à six kilomètres de cette ville. À peine étaient-ils partis que le père reçut un avis l'informant qu'ils étaient admis aux Pupilles de la Seine. Il regrette profondément, aujourd'hui, de n'avoir pas eu la patience d'attendre cette réponse. Depuis quatre mois, en effet, l'un | eût une réponse, on travailla dun autre côté. Un prêtre, directeur de u'rlevŒ des nat pvrs et orphelins de Paris, 74, rue ed l'Abbé-Groult, à Vaugirard, réussit à se re confier les trois petits. La fillette f placée à Paris, je crois et les deux garçons envoyés au loin l'un à Dijon, eualtr' à D., à sx kilomètres d cette il. À pie étaientils partis que epèr reçut un avis l'informant qu'ils étaient admis aux Pupilles de la Seine. Il regrette prfndémnt, aujourd'hui, de n'avoir ps eu la patience d'ttndr cette répns. Depuis quatre mois, en effet, l'un |
patience d'attendre cette réponse. Depuis quatre mois, en effet, l'un de ses enfants, celui qui était à D., est perdu. Au mois de juin dernier, M. Chaussefon reçut de la supérieure de D., une lettre où il était dit que son fils avait disparu "à la suite d'une altercation avec ses camarades. On ajoutait qu'il aurait probablement été embauché par quelque fermier, sur sa bonne mine" ! Et c'était tout. Quinze jours après la disparition de l'enfant, la police n'était pas informée par les religieuses, le parquet n'était pas prévenu. Ce fut le père qui dut porter plainte et qui | neaticep 'attendre cette réponse. Depuis quatre mois, en effet, l'un de ses enfants, luice qui à D., est .prude Au mois de juin dernier, M usef reçut de la peue de ., une lettre où il était dit que son fils avait disparu la suite d'une teati avec ses camarades On jtt qu'il aurait probablement été embauché par quelque fermier sur s bonne mine" ! t c'était tout. Quinze jrs après l dar de l'enfant, la police n'était ps informée par es religieuses, le parquet n'i pas prévenu. Ce fut le père qui dut porter plainte et q |
Ce fut le père qui dut porter plainte et qui fit écrire car il ne sait pas tenir une plume au procureur de la République à Dijon. Au bout de quelque temps, il fut invité à passer chez le commissaire de police de son quartier "pour affaire lui concernant", Le commissaire lui lut une lettre qu'il refusa de lui donner ensuite et qu'il garda. Le procureur de Dijon y disait qu'il avait fait procéder à une enquête qui n'avait abouti à aucun résultat. Il notait, cependant, que les camarades du petit Chaussefon, interrogés, avaient déclaré n'avoir eu aucune altercation avec | C fut le père q utd porter ain et qui fit écrire car il en sait pas tenir une plume au procureur de la République à ijn Au bout de quelque temps, il fut invité à passer chez le cmmssr de plc ed son quartier "ur affaire lui cernnt" L commissaire lui u une etre qu'il rfusa de lui donner ensuite et qu'il garda. Le procureur de Dijon y disait qu'il avait fait prédr à un enquête qui n'avait abouti à aucun résultat Il notait, cependant, que les camarades du petit Chaussefon, interrogés, avaient déclaré n'vr eu cn altercation v |
petit Chaussefon, interrogés, avaient déclaré n'avoir eu aucune altercation avec lui et non le voir partir. Du couvent, diverses lettres et cartes postales arrivaient, toutes rassurantes, et priant toujours le père de ne pas s'inquiéter. Et puis, on lui faisait grâce des trente francs par mois qu'il avait coutume de payer ; on ne lui demandait plus d'argent. Mais le pauvre homme voulait son enfant. Il crut qu'il ferait bien de s'adresser au ministère de l'intérieur. Il écrivit trois lettres, qui lui furent toutes trois renvoyées, sans un mot de réponse. Dans la troisième, il avait mis un timbre de | petit Chaussefon, interrogés, avaient déclaré n'avoir eu aucune altercation avec lui et non le voir partir. Du couvent diverses lettres et cartes postales arrivaient, toutes rassurantes, et priant o le père de ne pas s'inquiéter. Et puis, on lui faisait grâce des trente francs par mois qu'il avait co de payer ; on ne lui demandait plus d'argent. iMas l pauvre homme voulait sn enfant. Il crut qu'il ferait bien de s'adresser au ministère de l'intérieur. Il écrvt trois lettres, qui lui furent toutes trois evéeynros, sans un mot de réponse. Dns la troisième, il avait mis un timbre de |
réponse. Dans la troisième, il avait mis un timbre de trois sous, pensant qu'il avait eu tort de n'en pas mettre dans les deux autres. Le ministre, qui est un honnête homme évidemment, n'a pas gardé le timbre; mais l'histoire de son temps perdu ne l'a pas ému le moins du monde. Le pauvre père n'y comprenait rien et se désolait de plus en plus. "Ecoute", lui dit un camarade, "c'est peut-être que tu écris au ministre sur du trop petit papier. Ça le choque, cet homme! Tu devrais un peu respecter les convenances." Chaussefoin, il y a eu hier | réponse. Dans la trsèm, il aait mis un timbre de trois ss, pensant qu'il avait eu tort de n'en pas mttr dans les deux autres. Le ministre, qui e un nthneoê homme évidemment, ' pa gardé l timbre mais l'histoire de so mp perdu ne l'a pas ému le moins d monde. Le pauvre père ' comprenait rien et se désolait de plus en plus. Ec","etou lui di un camarade, "set'c peut-être que t écris au ministre sur du trop ptt ppr. a le ,cuqhoe cet homme! Tu devrais un peu respecter les convenances." Chaussefoin, il y a eu hier |
peu respecter les convenances." Chaussefoin, il y a eu hier quinze jours, alla donc acheter une belle feuille de papier ministre, et fit écrire à M. Waldeck-Rousseau une quatrième lettre, très humble et très suppliante. Celle-là n'a pas encore été retournée. Mais on n'y a pas plus répondu qu'aux précédentes. Que pense M. Waldeck-Rousseau des bonnes sœurs de D., et des gents de son propre entourage, si soucieux d'étouffer une affaire, pour ne pas créer d'ennuis à ces saintes femmes? B. Guinaudeau. NIQÊ Nationalistes Grandes manœuvres avec cadres des forces nationalistes! Les patriotes par excellence se sont mis sur le | peu respecter les convenances." Chaussefoin, l y eu hier quinze jours, alla donc acheter une belle eillfue de papier ministre, et ft écrire à M. Wldck-Rss une quatrième lettre, très humble t très suppliante. Cee n'a pas encore été retournée. Ms n n'y a lus répondu qu'aux précédentes. Que pense M Waldeck-Rousseau des bonnes sœurs de D., et des gents de son propre ntrg, si soucieux d'étouffer n affaire, pour ne pas créer d'ennuis à ces saintes femmes? B. iau. NIQÊ Nationalistes Grandes manœuvres avec cadres des forces nationalistes! Les patriotes par xcllnc se sont mis sur le |
nationalistes! Les patriotes par excellence se sont mis sur le pied de guerre. Ils ont passé la revue de leurs effectifs à Albi et à Saumur. Dans la première de ces villes, il s'agissait de faire amende honorable pour une manifestation républicaine qui y a eu lieu et pour une phrase que Jaurès n'a pas prononcée. Dans la seconde, c'est Quesnay de Beaurepaire en personne qui recevait, sous la forme d'un banquet par souscription, la récompense de sa belle campagne, de l'inoubliable ronde qu'il fit jadis, en compagnie du greffier Ménard et des gens de service, dans la buvette et | nationalistes! Les patriotes par eellee se sont mis sur le pied de grr. Ils ont passé la revue de leurs effectifs à lb et à Saumur Dans la première de ces villes, i s'agissait de fr amende honorable pour une manifestation éuicin qui y a eu lieu et pur une phrase qu Jaurès n' pas prononcée. Dans la seconde, c'st Quesnay d Brpr en personne q recevait, sous l forme d'un banquet par souscription, la récompense de sa belle cmpgn, de l'nblbl ronde qu'il fit jadis, en compagnie du greffier Ménard et des gens de service, dans la buvette et |
Ménard et des gens de service, dans la buvette et les water-closets de la Cour de cassation, de la visite que lui rendit Karl et de l'inénarrable défilé de louches, d'aigrissants, de boyaux, de rastaquôres dont il recueillit les faux témoignages pour en orner son fameux dossier. À Saumur, comme à Albi, on a célébré les gloires du nationalisme. On y a bu tout haut ou tout bas, ouvertement ou hypocritement à la santé des généraux faussaires ou factieux, des conseils de guerre jugeant par ordre, des officiers rebelles à la loi, de la presse immonde, des conspirateurs royalistes et | Ménard et des gens de service, dans l buvette et les waterclosets d la Cr de cassation de la visite qu l rendit Karl et e l'inénarrable déflé de louches, d'aigrissants, boyaux, de rastaquôres dont li recueillit ls faux témoignages pour en rnr son fameux dossier. À Saumur, comme à Albi, on a célébré les gloires d nationalisme. On y a bu tout ht ou tout bs, ouvertement ou hypcrtmnt à la snté s généraux faussaires ou factieux, ds conseils de guerre jugeant par ordre, des officiers rebelles à la loi, de l presse immonde, des tpceuisanosrr royalistes et |
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