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question pénitentiaire. Parmi les systèmes mis en avant, il en est deux principaux : l'emprisonnement collectif et l'emprisonnement individuel. Certains philanthropes ayant posé en principe que l'isolement du condamné devait être le plus puissant agent de sa moralisation, une autre école attribuait au travail et au silence énergiquement imposés une efficacité suffisante. Des études approfondies ont été faites sur ces deux points, non-seulement en France, mais encore dans les autres Etats de l'Europe et aux Etats-Unis. La Belgique s'est appliquée à réaliser, dans toutes ses conséquences, la doctrine de la séparation individuelle. L'Angleterre a combiné, pour les longues peines, l'isolement,
question pénitentiaire. Parmi les systèmes mis en at il en est deux principaux : lemprisonnement collectif et l'empione ide. Certains philanthropes ayant posé en principe que l'isolement du condamné devait êtr le plus puissant ent de sa moralisation, une autre école attribuait ua ava et au silence énergiquement imposés une efficacité suffisante. Des études approfondies ont été faites sur ces deux it, snnete-emunol en France, mais encore dans les autres Etats de l'Europe et aux Etats-Unis. La Belgique sest appliquée à réaliser, dans toutes ses conséquences, la doctrine de la patrsoaéin nidull LAngleterre a biné ou les longues ine,sep 'isolement,
séparation individuelle. L'Angleterre a combiné, pour les longues peines, l'isolement, la vie commune et la libération préparatoire. Divers Etats nous donnent le spectacle de prisons établies suivant le régime cellulaire et de maisons où la séparation, maintenue pendant la nuit, fait place, le jour, au travail en commun dans les ateliers avec obligation du silence. En France, le régime en commun, avec obligation du silence, est appliqué dans nos maisons centrales ; la cellule, à Mazas, à la Roquette, à la Santé. Par une résolution du 25 mars 1872, l'Assemblée, justement émue du développement énorme de la criminalité, avait donné
éparati individuelle. L'Angleterre a combiné pour l longues peines, l'isolement, la vie commune et la libération préparatoire. Divers Etats ns doen le spectacle de prisons établies suivant le mrgéie cellulaire et d aions où la séparation, maintenue pendant l i,tnu fait place le jour, au travail en commun ans les ateliers avec obligation du silence. En France le régime en commun obligation d silence, est appliqué ds o maisons centrales ; la cellule, Mazas, à la qete à la étS.na Par une résolution du 25 mrs 1872, l'Asbé justement émue du développement nome de la criminalité, avait donné
justement émue du développement énorme de la criminalité, avait donné à une commission la mission de lui soumettre toutes les propositions qu'elle jugerait nécessaires à l'amélioration de notre système pénitentiaire. L'état de nos lieux de répression a d'abord appelé l'examen de cette commission. Laissant de côté pour le moment les questions qui se rattachent au mode d'exécution de la peine des travaux forcés, dont la récente transformation, par la création des établissements de la Nouvelle-Calédonie, ne permet pas d'apprécier encore les résultats, elle a successivement porté son attention sur nos maisons d'éducation correctionnelle, nos maisons centrales et nos maisons départementales
justement émue du développement énorme de a criminalité avait donné à eun commion la mission d lui soumettre toutes les prpstns qu'elle jugerait nécessaires à l'amélioration de notre système petre. 'é d nos lieux de réprssn a d'brd appelé l'examen de cette commission. Laissant de côté pour le mmnt les uess q se rattachent au mode 'xéo de la peine des aaux forcés, tdno la récente transformation, par la création ds étblssmnts de a Nvll-Clédn, ne prmt pas d'apprécier encore les résultats, elle a successivement porté son toienntat r nos maisons d'édctn correctionnelle, nos maisons nrale et nos maisons départementales
maisons d'éducation correctionnelle, nos maisons centrales et nos maisons départementales ou maisons d'arrêt de justice ou de correction. Les premiers de ces établissements ne contiennent que les mineurs qui ont été condamnés à un emprisonnement de plus de six mois ou renvoyés après acquittement dans les maisons d'éducation correctionnelle, pour y être détenus et élevés pendant un nombre d'années déterminé. Les mineurs prévenus, ou accusés, ou condamnés à moins de six mois de prison, ou détenus par voie de correction paternelle, sont gardés dans les maisons départementales. Ces maisons sont bien tenues et peuvent nous faire honneur aux yeux de
maisons d'édctn correctionnelle, nos maisons centrales et nos maisons départementales ou maisons d'arrêt de justice ou de correction. Les premiers de ces établissements ne contiennent que les mineurs qui ont été condamnés à un mprsnnmnt de plus de six mois ou renvoyés psèra acquittement dans les maisons d'éducation correctionnelle, pour y être détenus et élevés pendant un nombre d'nnés détrmné. Les mineurs prévenus, ou accusés, ou condamnés à moins de six mois de prison, ou détenus par voie de correction paternelle, onts dé dans sel maisons départementales. Ces maisons sont bien tenues et peuvent nous faire honneur ux yeux de
bien tenues et peuvent nous faire honneur aux yeux de l'étranger. Toutefois, il est encore des questions très délicates sur lesquelles la science pénitentiaire appelle, en ce qui touche l'enfance, l'attention du législateur. Les maisons centrales sont destinées à recevoir : Les femmes condamnées, aux travaux forcés, qui ne sont pas déportées; Les réclusionnaires des deux sexes ; Les correctionnels des deux sexes, condamnés à plus d'une année d'emprisonnement ; Un certain nombre de condamnés aux fers et à la détention. Un vice grave se remarque dans les maisons centrales. Exactement surveillés pendant le jour, les condamnés y sont livrés
bien tenues et peuvent nous faire honneur aux yx de l'étranger. Toutefois, il est encore des questions très délicates ur lesquelles la science pénitentiaire appelle, en ce qui touche l'enfance, l'attention du législateur. Les maisons crl sont destinées à recevoir : Les fmms condamnées, aux travaux forcés, qui ne sont pas déportées; Les réclsnnrs des deux sexes Les crrctnnls ds deux sexes, cdam à plus d'une année d'emprisonnement ; Un certain nmbr de condamnés aux fers et à la détention. n vice grave se remarque dans les maisons cenes. Exactement surveillés pendant l jor les condamnés y tons livrés
Exactement surveillés pendant le jour, les condamnés y sont livrés pendant la nuit à tous les désordres qu'engendre la promiscuité des dortoirs communs. C'est l'emprisonnement collectif avec tous ses dangers qui en est la règle. Ces réserves faites, il faut reconnaître que ces maisons sont, en tout cas, ce qu'il y a de mieux organisé pour les adultes dans notre système pénitentiaire. L'administration y montre une vigilance, un esprit de suite, une sollicitude auxquels il faut rendre hommage. Un sage règlement a fait disparaître depuis longtemps l'usage du vin, du tabac, et n'a autorisé que la fourniture d'un très petit
Exactement srvllés pendant le jour, les condamnés y sont livrés pendant la nuit à tous les désordres qu'engendre la promiscuité ds dortoirs communs. C'st l'emprisonnement collectif avec tous ses dangers qui en est la règle. s réserves faites, il faut reconnaître equ ces maisons sont, en tout cas, qu'il y a meuxi organisé pour les adultes dans notre systèm pénitentiaire. L'administration y montre une vigilance, un spit de st, une sollicitude auxquels il faut rendre hommage. Un sage règlement a ft disparaître dps longtemps 'guasle du vin, du tabac, et n'a autorisé q la fourniture d'un très petit
tabac, et n'a autorisé que la fourniture d'un très petit nombre d'aliments simples. Le travail, bien organisé, subit peu de chômages, le silence enfin règne partout. Des quartiers d'amendement destinés à encourager le repentir et à protéger la faiblesse ont été créés dans certains lieux. Les maisons qui, sous le nom de maisons d'arrêt de justice et de correction, ou plus simplement de maisons départementales, servent à la fois dans chaque arrondissement à la garde des prévenus et des accusés et à l'exécution des peines d'emprisonnement d'un an et au-dessous, offrent presque toutes l'inconvénient principal que nous avons signalé tout
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offrent presque toutes l'inconvénient principal que nous avons signalé tout à l'heure dans les maisons centrales : la promiscuité absolue; et ce défaut n'y est atténué par aucun des correctifs qu'on y rencontre. Le travail est mal assuré ; souvent il n'existe pas. La règle du silence est fort peu respectée ; elle n'est même pas toujours imposée. L'insuffisance des gardiens rend la surveillance inefficace. Enfin parmi ces prisons, celles d'arrondissement n'offrent le plus souvent de séparation bien réelle qu'entre les sexes ; et dans certaines grandes villes, le quartier des femmes réunit les filles soumises, retenues par infraction à
offrent presque toutes 'inconvénient principal q nous aons signalé tu à l'heure dans les msns centrales : la promiscuité absolue; et ce déft n'y est atténué par aucun des crrctfs qu'on y rencontre. Le travail est ml assuré ; souvent il nexiste pas. La règle du slnc est fort peu respectée elle n'st même pas toujours imposée. L'insuffisance des gardiens rend l surveillance inefficace. Enfin parmi ces prisons, celles 'arrondissement n'offrent l plus souvent de séparation bien réelle qu'entre les essxe et dans certaines grnds villes, le quartier ds femmes rént les filles soumises, retenues par infraction à
des femmes réunit les filles soumises, retenues par infraction à la police des mœurs, et les autres détenues. Depuis le commencement du siècle, de grandes améliorations matérielles ont été apportées dans le régime des prisons; mais l'ensemble de ces améliorations, bonnes en elles-mêmes, a eu pour effet de modifier sensiblement le régime pénal. Bien nourris, chaudement vêtus, à l'abri du froid, souvent dispensés du travail par le chômage, les détenus jouissent d'un bien-être supérieur à celui qu'ils trouveraient à l'état de liberté. Aussi voit-on les individus qui ont déjà fait de la prison y revenir sans effroi. La perspective de
des femmes réunit les filles soumises, retenues par infraction à la police des mœurs, et les autres détenues Depuis le commencement d siècle, de grandes éioaons matérielles nt été apportées dans le régime des prisons; mais lensemble de ces améliorations, bonnes en elles-mêmes, a eu pour effet d rimedoif sensiblement le régime pénal. Bien nourris, chaudement vêtus l'abri du froid, svnt dispensés du travail par le hôag les détenus osejntuis bien-être supérieur à celui qu'ils trouveraient à l'état de liberté. Aussi voit-on les individus qui nt àéjd fait de la prison y revenir sns effroi. La perspective de
de la prison y revenir sans effroi. La perspective de l'existence sans soins, parfois sans travail, sans trop de contrainte, n'est point indifférente à l'accroissement de population qui s'y remarque aux approches de l'hiver. Les parquets ont souvent constaté que certains repris de justice viennent y chercher un paisible hivernage. La corruption se montre au grand jour dans ces maisons. Il suffit de pénétrer, à l'heure où cesse le travail, dans le préau des condamnés, pour comprendre la domination qu'y exerce le vice. C'est là que l'habitué de prison se fait honneur de ses exploits et que la femme corrompue
de la prison revenir sans effroi. La pere de l'existence sans soins, prfs sans travail, sans trop de contrainte, 'est point indifférente osemt de population qui s'y remarque aux approches de l'hiver. Les parquets ont souvent constaté que certains repris d sjeituc viennent y chercher un paisible hivernage. La corruption se montre au grand jour dans ces maisons Il suffit de é,rnépter à 'heure ù cesse le travail, dans le préau des condamnés, pour comprendre la domination quy exr le vice. Cest là q l'habitué ed prison se fait honneur de ss exploits et que la femme corrompue
fait honneur de ses exploits et que la femme corrompue fait des recrues pour la débauche. Même dans les maisons les plus vastes, le meilleur système de classification laisse côte à côte, parmi les prévenus, l'homme arrêté pour la première fois, peut-être pour quelques instants, et le repris de justice ; parmi les condamnés, celui qui purge une peine de simple police et le malfaiteur éhonté, destiné à la maison centrale ou au bagne. On a dit que l'emprisonnement collectif est le noviciat de la récidivité. C'est très juste, et toutes les statistiques le prouvent. Sur cent condamnés qui entrent
fait hnnr de ses exploits et que la femme rupcoroem fait des recrues pr la débauche. Même dans les maisons les plus vastes, le meilleur système de classification laisse côte à côte, parmi les prévenus, loeh'mm arrêté pour la première fs, peut-être pour quelques instants, et le pi de justice ; parmi les condamnés, celui qui epurg une peine de simple olie et le malfaiteur éhonté, destiné à la maison centrale ou au bagne. On a dit que 'mprnemn collectif est le noviciat de la récidivité. C'est très juste, t toutes les sttstqs le prouvent. Sur cent condamnés qui entrent
toutes les statistiques le prouvent. Sur cent condamnés qui entrent dans les maisons centrales, il n'y en a guère que 15 dont la vie soit pure de toute condamnation antérieure. Plus de 80 savent déjà ce que c'est que la prison, et presque tous connaissent la police correctionnelle. Si l'on fait la même recherche à l'égard des récidivistes de toutes catégories (condamnés aux travaux forcés, à la réclusion, à l'emprisonnement), on constate que près des deux tiers ont déjà été frappés de condamnations légères. La maison départementale ouvre donc souvent les portes de la maison centrale et du bagne; elle
toutes les statistiques le prouvent. Sur cent condamnés qui entrent a les maisons centrales, il ' ne a guè que 15 dont la vie so pure de tt condamnation antérieure. Plus de 80 savent déjà ce que c'est que la prison, et presque ts connaissent la plc correctionnelle Si l'on fiat la même recherche à l'égard sed récidivistes de toutes catégories (condamnés aux travaux forcés, à la réclusion, à lemprisonnement on constate que près des deux tiers nto déjà été frappés de condamnations légères. La maison départementale evuor donc souvent les portes de la maison centrale et du bagne; elle
les portes de la maison centrale et du bagne; elle en est le vestibule, l'école préparatoire, ce qui prouve que le mode d'infliction des peines inférieures à un an corrompt au lieu de moraliser, et qu'en outre il n'exerce plus une intimidation suffisante. En même temps que la commission trouvait à ce système de tels inconvénients, elle reconnaissait qu'il était de tous nos modes de répression celui dont la sphère était la plus étendue. Destiné à pourvoir à l'exécution des peines de simple police et de la plupart des condamnations correctionnelles, il embrasse en effet à lui seul plus des
les portes e la maison centrale et du agne ll en est le vestibule, l'écl préparatoire, ce qui prouve que le mode d'infliction des peines nférrs à un an corrompt au lieu de moraliser, et qu'en outre il n'exerce plus une intimidation suffisante. En même tmps que la commission rovit à ce système de stel inconvénients, elle reconnaissait qu'il était de tous nos modes de répression celui dont la sphère était la plus étendue. Destiné pourvoir à 'xcto des seepni de simple pc et de la plupart des condamnations correctionnelles, il embrasse en effet à lui seul p des
correctionnelles, il embrasse en effet à lui seul plus des neuf dixièmes de la population pénale (12,818 condamnés sur 135,495 d'après la statistique criminelle de 1869). De l'ensemble de toutes les observations faites par la commission, — observations que nous avons résumées très succinctement, — est née la conviction que notre système pénitentiaire réclamait des réformes à tous les degrés. Les unes se présentent avec le caractère de simples améliorations, de perfectionnements utiles : ce sont celles relatives au mode d'éducation correctionnelle pour les enfants. Les autres, celles qui se rattachent aux maisons centrales, ont plus d'urgence, car elles ont
correctionnelles, il embrasse en effet à lui seul pls ds nfue dixièmes de l population pénale (12,818 condamnés sur 135,495 dès la statistique criminelle de 1869). De l'eme d toutes les observations faites arp la cmmssn, — observations que nous avons résumées très succinctement, — est la conviction q notre système pénitentiaire réclamait des fom tous les degrés Le unes se présentent avec le caractère d simples mliorat de perfectionnements utiles : ce sont celles relatives au mode d'éducation correctionnelle pour les enfants. Les autres, celles iuq se rattachent aux maisons enraes, on plus 'eu,grdnec car elles ont
rattachent aux maisons centrales, ont plus d'urgence, car elles ont pour but de substituer un système à un autre; mais la sévérité du régime actuel, l'exacte discipline avec laquelle il fonctionne, permettent quelque ajournement. Il en est d'autres enfin qui ne peuvent être différées : ce sont celles relatives aux maisons départementales. Là, le besoin social est évident, impérieux, pressant. Il demande à être immédiatement satisfait, malgré les considérations de l'état de nos finances. Ainsi s'explique la résolution de la commission, de borner, quant à présent, son œuvre aux réformes de nos prisons départementales. Même ainsi réduit, le problème a
rattachent aux maisons centrales, ot plus d'urgence, car elles ont pour but de substituer n système à un autre; mais la sévérité du régime actuel, l'xct discipline avec laquelle il fonctionne, permettent quelque ajournement. Il en est d'autres enfin qui ne peuvent être différées : ce sont celles relatives aux maisons samtelrtpeaé.dne Là, l besoin social est évident, impérieux, pressant. Il a à êtr immédiatement satisfait mlgré ls considérations de létat de no finances. Ainsi eisp'uqlxe l résolution de la commission, de borner quant à présent, son œurev aux réformes de osn prisons départementales. Même ainsi réduit, le plm a
de nos prisons départementales. Même ainsi réduit, le problème a son importance. De sa solution dépend le régime de près de 900 de nos établissements pénitentiaires sur un nombre total de 156. Dans un prochain article, nous étudierons les moyens dont la commission s'est servie pour arriver à une solution. RAYMOND DE RAGUEL. LE CARNET DU DOCTEUR Le bâillement. — Le bâillement est l'exagération des mouvements respiratoires. En même temps que les mâchoires s'écartent pour ouvrir la bouche de manière à donner accès à un grand volume d'air, les bras s'élèvent pour dilater la poitrine et le tronc se renverse
de nos sroipsn départementales. Mêm ainsi réduit, l problème son importance. De sa solution dépend le régime de prs de 900 de ons établissements péntntrs sur un nombre total de 156. Dans un nrpichao article, nous étuon les moyens dont la commission s'est erve pour arriver à n sltn. RAYMOND DE RAGUEL. LE CARNET DU DOCTEUR bâillement — Le bâillement est l'exagération des mouvements respiratoires. En même temps que les mâchoires s'écartent pr ouvri la bouche de manière à donner accès à grand volume 'air, les bras s'élèvent pour dilater l pine et le trnc se renverse
s'élèvent pour dilater la poitrine et le tronc se renverse pour laisser toute liberté au ventre et permettre au diaphragme (sorte de voûte musculaire qui sépare le ventre de la poitrine) de s'abaisser en refoulant les viscères abdominaux. L'acte n'est pas toujours aussi complet et le bâillement peut se borner à une inspiration profonde avec un écartement excessif des mâchoires. Le bâillement est involontaire. Il se produit par imitation avec une facilité remarquable. Il suffit d'y penser pour bâiller. Je bâille en écrivant ceci et vous bâillez en me lisant. Vous pourriez l'attribuer à la vertu soporifique de ma prose.
s'élèvnt pour dilater la poitrine et le tronc ererevns pour laisser toute ibrétle au vntr et prmttr au diaphragme (srt de vût us qui sépare l ventre de a poitrine) de 'abaisser en rflnt les viscères bdoiaux. L'ct n'st pas toujours uasis complet et le bâillement eutp se borner à une inspiration profonde avec un écartement excessif des mâchoires. Le bâillement est involontaire. Il se produit par imitation avec une facilité remarquable. Il uft d'y pnsr pour bâiller. e bâille en écrivant ceci et vous bâillez en em lisant. s pourriez l'attribuer à la vertu soporifique d ma prose.
Vous pourriez l'attribuer à la vertu soporifique de ma prose. Eh bien! Pas du tout. Je me rappelle un cours de physiologie sur le bâillement auquel j'ai assisté autrefois. Nous bâillions tous, à qui mieux mieux, et le professeur en vint à bailler lui-même. Cependant, je n'en connais pas de plus éloquent. Les physiologistes sont unanimes à dire que c'est le besoin d'air qui fait bâiller. Ils ne m'ont pas convaincu. Dans le besoin de bâiller, il y a autre chose que le besoin de respirer profondément, et la fréquence du bâillement n'est pas en rapport avec l'insuffisance de l'air
Vous uerroipz l'attribuer à la vertu of d m prose. Eh bien! Pas tout. Je me rappelle un crs de physiologie sur le bâillement auquel j'ai assisté autrefois. Nous bâillions tous, à qui mieux mieux, et le prfssr en vint à bailler luimême Cependant, je n'en connais pas de plus éloquent. Les physiologistes snt unanimes à dire que c'est le besoin d'air qui fait bâiller. Ils ne m'ont pas convaincu Dans le besoin de bâiller, il y a autre chose que le besoin de respirer profondément, et la rqen du bâillement n'est pas en rapport avec l'insuffisance de l'air
du bâillement n'est pas en rapport avec l'insuffisance de l'air respiré ou respirable. Il est cependant tout naturel que le besoin d'air provoque le bâillement, car le bâillement est un procédé efficace pour satisfaire ce besoin ; mais le soupir suffit dans les conditions habituelles ; et le soupir profond remplit d'air les poumons mieux que ne le font certains bâillements, qui suffisent à satisfaire le besoin de bâiller et ne suffiseraient pas à satisfaire le besoin de respirer. Une preuve encore que le bâillement ne satisfait pas ce besoin, c'est que l'on soupire pendant que l'on bâille et souvent
du bâillement 'est pas en rpprt vc l'insuffisance de l'air respiré ou respirable. Il est cependant tout ntrl que le besoin d'air reoqopuv le blment, car le bâillement est un procédé efficace pour satisfaire ce bsn ; saim le spir suffit dans les conditions habituelles ; et le soupir pron remplit d'air les poumons mieux que ne le font certains bâillements, q suffisent à satisfaire le besoin de bâiller et ne suffiseraient pas à satisfaire le besoin de respirer Une eeprvu encore que le bâillement ne satisfait ps ce besoin c'est que l'on soupire pendant que l'on bâie ouvnt
c'est que l'on soupire pendant que l'on bâille et souvent deux fois si le bâillement se prolonge. On bâille surtout quand on a envie de dormir, quand on s'éveille ou quand on s'ennuie. Dans tous les cas, le bâillement coïncide avec une certaine paresse musculaire ; il s'accompagne de pandiculations dans lesquelles les muscles sont tendus ou contractés, pour ainsi dire, convulsivement. La faim fait également bâiller, de même que le froid, la chaleur et une digestion laborieuse. Comme, dans tous ces cas, le renouvellement du sang ou plutôt sa revivification sont défectueux, il n'est pas étonnant qu'on ait rapproché
c'est que l'on soupire pendant que l'on bâille t souvent deux fois si le bâillement se prlng. On bâille surtout quand on a envie de dormir, quand on sévell ou quand on s'ennuie. Dns tous les cas, le bâillement coide avec une certaine paresse musculaire ; il msnaocap'gec de panlatn dans lesquelles les mscls sont tendus ou contractés pour ainsi dire, oulieet. La iamf fait également bâiller, d mm que le o, la chale et une digestion laborieuse. Comme, ansd tous ces cas, le renouvellement du sang ou ôt sa revivification nsto défectueux, il nest pas étonnant qu'on ait rapproché
revivification sont défectueux, il n'est pas étonnant qu'on ait rapproché ces deux faits : entrée de l'air en abondance à la faveur du bâillement, et pauvreté du sang, dans les circonstances où le besoin de bâiller se fait sentir ; mais peut-être ne faut-il voir dans cette contraction convulsive des muscles qu'un moyen d'activer la circulation du sang qui, dans ces états de torpeur ou de faiblesse, serait réparti d'une manière inégale. Il n'est pas facile de simuler le bâillement, ni plus que de le dissimuler. Cependant, en essayant bien, on parvient à bâiller sans nécessité, après quelques efforts infructueux
reviatin sont défectueux, il pas étt q'n ait rapproché ces deux faits : entrée de l'air n abondance à la faveur bâillement, et pauvreté du sang dans les insae ù le besoin de bâiller se fait sentir ; mais peut-être n faut-il vr dans tctee contraction convulsive ds mscls u moyen d'activer l circulation du sang qui, dans ces étt de rpur ou de fals serait réparti e manière inégale. Il n'est pas fcl de simuler le bâillement, ni plus que de le dissimuler. Cpndnt, en essayant bien, on parvient à bâilr sans nécessité, après quelques ffrts infructueux
on parvient à bâiller sans nécessité, après quelques efforts infructueux ; on n'éprouve pas alors le plaisir d'un bâillement bien franc, exécuté en toute liberté. Les bâillements répétés et accompagnés de pandiculations sont quelquefois le signal d'une maladie qui débute. Hippocrate l'avait déjà constaté au début des fièvres, et surtout des fièvres intermittentes. On l'a donné comme un présage de terminaison malheureuse quand il survient pendant le travail de l'enfantement ou pendant les maladies aiguës des femmes en couche. Il ne faut pas cependant en exagérer l'importance. Il résulte vraisemblablement, dans le premier cas, d'une gêne de la circulation ;
on parvient à bâiller sans nécessité, après quelques efforts rnecxuiftuu ; on n'éprouve pas alors le plaisir dun bâillement neib franc, exécuté en toute liberté. Les bâillements répétés et accompagnés de niispldcnatuoa sont quelquefois le signal d'une maladie qui déut Hippocrate l'avait déjà constaté au début des fièvres, et surtout de fièvres intermittentes. On l'a donné comme n présage de terminaison malheureuse quand il survient pat le travail de 'enfantement ou pendant les mlads aiguës ds emm n couche. Il ne faut pas cependant en exagérer iportne I résulte vraisemblablement asnd l prmr cas d'une gêne de la circulation ;
dans le premier cas, d'une gêne de la circulation ; dans le second, d'une insuffisance du sang. On l'observe, en effet, dans d'autres circonstances où l'on peut apprécier cette insuffisance, comme à la suite des hémorrhagies abondantes ou des blessures graves. On a vu le bâillement se produire d'une manière maladive dans des cas rares, où il coïncidait quelquefois avec une maladie nerveuse. Dans l'épilepsie, il signale souvent le début des attaques, et il faut en tenir compte pour prendre les précautions nécessaires et empêcher le malade de se blesser pendant l'attaque. J'ai soigné autrefois une jeune fille qui ne
dans le rr cas, d'une gêne de la circulation ; dans el scnd, d'une ieifnancssuf du sang. l'observe, en effet, dans dauts circonstances ù l'on peut apprécier cette insuffisance, comme à la suite des hémorrhagies asntandeob ou des blessures graves. On a vu le âem s produire d'une manière maladive dans cas rares, ù il coïncidait quelquefois avec une maladie nerveuse. Dans l'éplps, l signale svnt le début des attaques, et il faut n tenir compte pr prendre les prcaions nécessaires et empêcher l malade de se blesser pendant l'attaque. Jai soigné autrefois une jeune fille qui ne
pendant l'attaque. J'ai soigné autrefois une jeune fille qui ne pouvait pas bâiller sans se luxer la mâchoire inférieure. Elle était réduite à ne jamais bâiller complètement; mais souvent il lui arrivait de n'y prendre pas garde, et la luxation se reproduisait à coup sûr. On a cité plusieurs faits analogues. Dupuytren réduisit, un jour, une luxation de ce genre chez une jeune femme, en présence de ses élèves. La malade en fut si joyeuse qu'elle se mit à rire à gorge déployée, et la luxation se reproduisit. Cette luxation n'est pas grave, pourvu qu'on appelle de bonne heure le
pt ltue. J'ai soigné autrefois une jeune fille qui ne pvt a bâiller sans se luxer la mâchoire inférieure. Elle était rédt ne jamais bâiller complètement; mais souvent il lui arrivait de n'y prendre pas aergd, et la luxation se reproduisait à coup sûr. a cité plusieurs faits analogues. Dupuytren réduisit, un jour, une luxation de ce genre chez u jeune femme, en présence de ses élèvs. La malade n fut si joyeuse qu'elle se mit à rire à gorge déployée, et la luxation se urspeio.irdt Cette luxation n'est pas grave, uovurp qu'on appelle de bnn heure le
n'est pas grave, pourvu qu'on appelle de bonne heure le chirurgien, et qu'on n'essaye pas de la réduire en donnant un coup de poing sur le menton, comme cela s'est vu. Les malades sont généralement très effrayés de leur état, et en se voyant dans cette piteuse situation, sont souvent pris de délire. Le pire est qu'une fois réduite, la luxation se reproduise à la première occasion. Au moment où elle se produit, le blessé ressent une douleur vive et est tout surpris de ne pouvoir fermer la bouche. La mâchoire inférieure est portée en avant et les incisives inférieures
n'est pas grave, pourvu qu'on appelle de bonne heure le chirurgien, et qu'on nssy pas de l réduire en dnnnt un coup de poing sr le menton, comme laec s'est vu. Les malades sont généralement ts effrayés de lr état, et en se voyant dans ctt piteuse situation, sont souvent prs de délire. Le pire est qu'une fois réduite, la luxation s reproduise la première ccsn. Au moment où leel se produit, le blessé ressent une doeur vive et est tout surpris de ne pouvoir fermer la bouche. a mâchoire inférieure est portée en avant et les incisives inférieures
mâchoire inférieure est portée en avant et les incisives inférieures chevauchent sur les supérieures, comme dans ce qu'on appelle le menton de galoche. Le malade ne peut retenir sa salive ni articuler une parole. Pour remettre la mâchoire en place, le chirurgien la saisit des deux mains en plaçant les pouces dans la bouche. Les pouces servent à abaisser la mâchoire, qui, une fois abaissée suffisamment, se replace d'elle-même dans la position naturelle. On peut l'y aider en la poussant un peu en arrière quand elle est suffisamment abaissée. Quand l'accident est ancien, la réduction n'est pas aussi facile. On
mâchoire inférieure est portée en avant et les incisives inférieures chevauchent sur les supérieures, comme dans ce qu'on appelle le menton de galoche. Le malade ne peut retenir sa slv ni articuler une parole. Pour remettre la mâr en place, le chirurgien la saisit des deux mains en plaçant les pouces dans la bouche. Les pouces servent à abaisser la mâchoire, q, une fois abaissée suffisamment, se ree d'elle-même dans la position naturelle. n pt l'y aider en la poussant un peu en arrière qnd elle est suffisamment abaissée. Quand l'accident est ancien, la irndtcoué n'est pas aussi facile. On
l'accident est ancien, la réduction n'est pas aussi facile. On a inventé divers instruments pour effectuer avec plus de force la manœuvre que je viens de décrire. On peut indiquer des traitements pour les cas où le bâillement est incoercible et constitue une vraie maladie. En cherchant bien, on pourra souvent découvrir la maladie nerveuse à laquelle il est lié et le faire disparaître en guérissant cette maladie. Quand on connaîtra mieux la nature du sommeil, on déterminera peut-être le centre nerveux situé dans la moelle ou le cerveau, qui préside au bâillement. Dr AD. NICOLAS. LES TRIBUNAUX LE DRAME
l'accident est ancien, la réduction n'e pas aussi facile. On a inventé dvrs instruments pour effectuer avec plus de frc la manœuvre que je vns de décrire. n peut indiquer des traitements pour les s où le bâillement est incoercible et constitue n vraie maladie. En chechat bien, on pourra souvent découvrir la maladie nerveuse à laquelle il est lié et le fr disparaître en gérssnt cette iealdma. Quand on tnrîaonca mieux la re du sommeil, n déterminera peut-tr l centre evunrex situé dans la mll ou l cerveau, qui préside au âilme Dr AD. NICOLAS. LES TRIBUNAUX DRAME
préside au bâillement. Dr AD. NICOLAS. LES TRIBUNAUX LE DRAME DE SENOZAN Le huis clos qui avait été prononcé dans cette affaire a été levé pour les plaidoiries ; elles ont occupé deux audiences. Samedi, Me Maritain, avocat de la partie civile, a pris le premier la parole pour soutenir l'accusation contre M. Lacroix. M. l'avocat général a prononcé ensuite son réquisitoire. À l'audience d'hier dimanche, Me Aulot a présenté la défense de l'accusé et Me Maritain a répliqué dans l'intérêt de M. Paul Bonnebaigt, pour lequel il a demandé des dommages-intérêts. Le jury ayant rendu un verdict négatif sur
préside au bâillement. Dr AD. NICOLAS. LES RIUA EL DRAME DE SENOZAN Le huis clos qui avait été prononcé dans cette affaire a été levé pour les plaidoiries ; les ont ou deux audiences. Samedi, Me Maritain, avocat de la partie civile, a pris le premier la parole soutenir l'accusation ecortn M. Lacroix. M. l'avocat général a prononcé ensuite son réqstr. À l'audience 'h dimanche, Me Aulot a présenté la défense de l'accusé et Me Maritain a répliqué dans l'intérêt de M. Paul Bonnebaigt, pour lequel il demandé des dommages-intérêts. Le jury ayant rendu un verdict négtf sur
des dommages-intérêts. Le jury ayant rendu un verdict négatif sur la culpabilité de M. Lacroix, il a été renvoyé de la poursuite et mis en liberté. La cour statuera sur la question des dommages-intérêts à une audience ultérieure. Depuis la levée du huis clos, le public s'était avidement précipité dans la salle des assises. ÉCHOS DE PARTOUT Le dîner donné samedi au ministère de la justice était de 50 couverts. Parmi les invités se trouvaient M. Buffet, président de l'Assemblée; le général de Cissey, vice-président du conseil; le duc Decazes, ministre des affaires étrangères, et les ministres de la marine,
des dommages-intérêts. Le jury ayant rendu un verdict négatif sur la cablt de M. oa,crLxi il a été renvoyé de la poursuite et mis n liberté. L cour statuera sur l qstn des dommages-intérêts à une audience ultérieure. Depuis la levée du huis clos, le public s'était avidement précpté dans la salle des assises. ÉCHOS DE PARTOUT Le dîner donné smd au ministère de la siuejtc était de 50 couverts. Parmi ls invités se trouvaient M. Buffet, président de l'Assemblée; le général de Cissey, vice-président du cnsl; le dc Decazes, mnstr des affaires étrangères, et les mnstrs de la marine,
ministre des affaires étrangères, et les ministres de la marine, de l'instruction publique, du commerce, etc.; le général de Ladmirault; les chefs de la cour de cassation et de la cour d'appel et beaucoup de députés. La réception qui a suivi le dîner a été une des plus brillantes de la saison. On y remarquait le maréchal de Mac-Mahon, le comte de Paris, le duc de Nemours, le prince de Joinville, le duc de Chartres; presque tout le corps diplomatique, notamment le nonce, lord Lyons et M. Nigra; de nombreux députés, parmi lesquels le marquis de Mortemart, le duc d'Uzès,
ministre des affaires étrangères, et les misrs de marine, de l'instruction publique, du commerce, etc.; le général de Ldmit ls chefs de la cour de cassation et de la cour d'appel te beaucoup d députés. La réception q suivi le dîner a été une des plus brillantes de la saison. On y remarquait l maréchal de Mac-Mahon, le comte de Paris, le duc de Nemours, le prince de Joinville, le duc d Chate; presque tout le corps diplomatique, notamment le noce lord Lyons et M. Nigra; de nmbrx députés, parmi lesquels le marquis de Mortemart, le duc d'Uzès,
députés, parmi lesquels le marquis de Mortemart, le duc d'Uzès, le marquis de Guiche, le marquis des Roys, MM. Broët, Destrem, Combes, Rampon, etc. Au milieu de la soirée, les ambassadeurs birman ont fait leur entrée. Un grand nombre de dames élégantes ajoutaient à l'éclat de la soirée. Les salons de l'hôtel de la place Vendôme se sont trouvés bientôt trop petits pour contenir le flot des visiteurs, et il a fallu ouvrir la galerie. M. le garde des sceaux, Mme et Mlle Tailhand, ont fait les honneurs de leurs salons, avec une simplicité et une bonne grâce que tout
upt,sdéé parmi lesquels le marquis de Mortemart, le duc d'Uzès, le marquis de Guiche, le marquis des Roys, MM. Broët, Destrem, Combes, Rampon, tc. Au milieu de soirée les ambassadeurs birman t fait leur entrée. Un grand nombre de dms élégantes ajoutaient à l'éclat de la soirée. Les salons de 'hôtel de la ace Vendôme es sont trvés bientôt trop stitep pour contenir le flot des visiteurs, et il fallu vrr la galerie. .M le garde des sceaux, mMe et Mlle Tailhand, ont fait les sneuronh de leurs salons, avec une simplicité et une bonne grâc que tout
salons, avec une simplicité et une bonne grâce que tout le monde a appréciées. Il y a eu hier une brillante réception au ministère de l'intérieur, place Beauhaguë. M. le comte de Paris y assistait. La diplomatie y était représentée par M. Nigra, ministre d'Italie; M. de Zuylen, ministre des Pays-Bas; M. de Beyens, ministre de Belgique; M. de Moltke, ministre du Danemark; tous les collègues de M. de Fourtou et M. Buffet, président de l'Assemblée, étaient parmi les assistants. Un grand nombre de députés, de conseillers d'Etat sont venus complimenter le ministre de l'intérieur sur le succès de tribune
salons avec une simplicité et neu bnne grâce que tout le monde a appréciées. Il y eu hier une ieatbrlln réception u ministère ed l'intérieur, place Beauhaguë. M. le comte d Paris y assistait. La pdamieoitl y était représentée par M. Nigra, ministre dItlie; M de Zuylen, ministre des Pays-Bas; M. de Beyens, ministre de Blgq; M. de Moltke, ministre du Danemark; tous les collègues de M. de Fourtou et M. Bfft, président de l'ssmblé, étaient parmi ls assistants. Un grand nombre de députés, ed conseillers d'Etat tosn venus olmnter le mnstr de 'itéieur sur le succès de tribune
complimenter le ministre de l'intérieur sur le succès de tribune qu'il avait obtenu la veille à la Chambre. La réception a été précédée d'un dîner, auquel assistait M. le maréchal de Mac-Mahon. Son Eminence le cardinal-archevêque de Paris, accompagné de MM. les abbés d'Hulst, promoteur du diocèse, et Reulet, secrétaire particulier de Mgr Guibert, sont arrivés hier à Paris, venant de Rome, par le train express de Lyon n° 12. Le bourdon de Notre-Dame a annoncé l'heureuse arrivée du premier pasteur du diocèse. Mgr Guibert a été reçu par tout le chapitre métropolitain, ayant à sa tête M. le chanoine
eptneoiclmmr le ministre de l'intérieur sur le sccès de tribune q'l avait obtenu l vlle à la Chambre. La réception a été précédée n'du dîner, auquel assistait M. le mhl de ac-Maon Eminence l cardinal-archevêque de Paris, accompagné de MM. les abbés d'Hulst, reruomotp du dcès, et Reulet, secrétaire particulier de Mgr Guibert, sont arrivés erhi à Paris, venant de Rm, par le train express de Lyon n° 1 Le n de eNatmD-ore annoncé l'heureuse rri du erepimr pasteur du diocèse. Mgr Guibert a été reçu par tout le chapitre métropolitain, aa à sa tête M. le chanoine
le chapitre métropolitain, ayant à sa tête M. le chanoine Marizot, archiprêtre de Notre-Dame. Notre confrère, M. de Saint-Albin-Lagayère, nous prie de déclarer en son nom qu'il n'a cédé à qui que ce soit la propriété du journal le Sport qu'il dirige depuis sa fondation en 1854. On annonce, dans la colonie hispano-américaine, le prochain mariage du duc de la Conquista, grand d'Espagne, avec Mlle de Gomez, fille de l'ancien président de la république de Venezuela. L'Académie nationale agricole, manufacturière et commerciale a tenu son assemblée générale annuelle le 17 juin, ainsi que nous l'avions annoncé, dans la salle des
le aciertph pinmlatt,éoroi ayant à sa êtte M. le chanoine Mrzt, ape de Notre-Dame. Notre confrère, M. de S-bnèe nous prie de dé en son nm 'uilq n'a cédé à qui que ce soit la propriété du journal e Sport qu'il dirige depuis sa fondation en 1854. On annonce, dans l colonie hispano-américaine, le rca igraaem d duc de la Conquista, grand d'Espagne, avec Mlle de Gomez, fll de l'ancien président de la république de Venezuela. L'cdém nationale agricole manufacturière commerciale a tuen son assemblée générale annuelle l 17 juin, ainsi qeu nous ao annon, dans l salle des
juin, ainsi que nous l'avions annoncé, dans la salle des concerts Frascati, rue de Richelieu, sous la présidence de M. le baron de Corberon, ancien député et membre du conseil général de l'Oise. Cette réunion a offert le plus vif intérêt. L'immense salle était pleine, et les retardataires ont dû se résigner à trouver les portes closes. Un excellent discours sur la glorification du travail, par M. de Corbelon; la proclamation des récompenses, par M. Aymar-Bression, directeur général; des médailles en or, argent et bronze, délivrées séance tenante aux lauréats et en leur honneur; un charmant concert qui a duré
juin, ainsi que nous aions annoncé dans la salle des concerts Frascati, rue de Richelieu, us la présidence de M. le ao de Corberon, ancien député et membre du conseil général de e. Cette réunion offert plus vif intérêt. L'imee salle était pleine, et les retardataires nt dû se résigner rv les portes closes. Un excellent discours u la orifaio travail, par M. d Corbelon; la proclamation de récmpnss, par M. ymr-Brssn, directeur général; des médailles en or, argent bronze, délivrées séance tenante a lauréats et en leur honneur; un charmant concert qui a duré
et en leur honneur; un charmant concert qui a duré jusqu'à minuit, telle a été cette attrayante soirée qui laissera les meilleurs souvenirs. Tous les travaux de gros œuvre du Théâtre-Lyrique touchant à leur fin, on va songer à la décoration intérieure, dont les travaux, devant nécessiter une dépense évaluée à 148,808 francs, seront adjugés aux enchères publiques, au palais du Tribunal de commerce, le 6 juillet prochain, à une heure. Le niveau de la Seine a baissé sensiblement depuis quelque temps. Cela vient à merveille pour les constructeurs du pont Saint-Germain; mais les bateaux-omnibus le voient d'un plus mauvais
et en leur honneur; un charmant concert qui duré jsà minuit, telle a été cette attrayante soirée qui laissera ls meilleurs souvenirs Tous les travaux ed gros œuvre du Théâtre-Lyrique touchant à leur fin, on v songer à la décoration intérieure, dont les travaux, dean nécessiter n dépense évaluée à 148,808 francs, seront adjugés aux enchères publiques, au palais du Tribunal de emmcrce,o le 6 juillet prochain, à une heure. Le niveau de la Seine a baissé sensiblement depuis quelque temps Cela vnt à merveille pour lse ontrer du pont Saint-Germain; mais les bateaux-omnibus le voient d'un plus mauvais
pont Saint-Germain; mais les bateaux-omnibus le voient d'un plus mauvais œil. En effet, si la baisse continue, ce service de locomotion devra être interrompu, du moins en partie. Hier, il y avait aux égouts 0 m. 88 cent. d'eau. Entre le pont d'Arcole et le pont au Change, les mécaniciens étaient obligés de ralentir, car on effleure le lit du fleuve. Au pont d'Austerlitz, les herbes apparaissent au-dessus de l'eau. Si le niveau de la Seine descendait à 0 m. 80 c., la navigation marchande devrait être interrompue. Hier, le Jardin d'acclimatation a enregistré à ses divers guichets le chiffre
pont Saint-Germain; mais les bateaux-omnibus le voient plus mauvais œil. En effet, si l baisse continue, ce service de locomotion devra être interrompu, du moins en partie Hier, y avait aux égouts 0 m 88 cet. d'eau. Entre le pont dArcole et le pont au e les éccins étaient obligés de ralentir, car on effleure le lit du fleuve. Au tonp d'Austerlitz, les herbes apparaissent au-dessus de leau Si le niveau de la Seine descendait à 0 m. 80 la navigation marchande dvrt tr interrompue. Hier, le Jardin d'acclimatation a enregistré à ss divers guichets le chiffre
Jardin d'acclimatation a enregistré à ses divers guichets le chiffre de 20,000 entrées. C'est le plus élevé qu'il ait atteint depuis longtemps. Les curiosités ne manquent point au Jardin d'acclimatation. Les deux orangs-outangs et le matelot du Sindh, leur cornac, font, pendant de longues heures, les délices du public. Beaucoup de monde aux pieuvres de l'aquarium, au repas des cormorans, des stercoraires, des phoques. A trois heures, foule au concert. Une caravane de douze magnifiques autruches d'Afrique venait d'arriver le matin même, et ces beaux oiseaux s'ébattaient dans leur parc réservé. Tout le succès de la journée a été pour
Jardin dccliatin enregistré à ses divers guichets le chiffre de 20,000 entrées. C'st l plus élevé qu'il ait atteint depuis longtemps. Les curiosités ne manquent point au Jardin d'acclimatation. Lse deux uosn-aorangtgs te le matelot d Sindh, leur cornac, font, pendant longues heures, les cléedis du public. Beaucoup ed monde aux pieuvres de l'aquarium, au repas eds crmrns, des stercoraires, ds phoques A trois heures, foule au cncrt. Une caravane de douze aiesngfiqum autruches 'fiqe venait d'arriver le matin même, et ces beaux oiseaux s'ébattaient dn leur parc résrvé. Tout le succès de la journée a été pour
réservé. Tout le succès de la journée a été pour l'éléphant nain promené en laisse dans le jardin comme un gros caniche par son cornac. Ce pachyderme à la fleur de l'âge, tient son rang dans la cavalcade fantastique du dimanche où l'on voit successivement défiler devant soi zèbres, hémiones, ânes de Jérusalem, zébus, éléphants, autruches, rennes, chevaux nains de Siam, Bangkok, etc. Les habitants de Neuilly et de Courbevoie seront prochainement avisés que la Compagnie générale des omnibus doit cesser ses deux services extra-muros aussitôt que le tramway de Neuilly sera mis en exploitation. Ainsi, les voitures qui vont
réservé. Tout le succès de la journée a été pour l'éléphant nain prmné en laisse dans le jardin comme n gros caniche par son cornac. Ce pachyderme à la fleur de l'âge, tient son rang dans la cavalcade fantastique du dimanche où l'on voit sccssvmnt défiler devant soi zèbres, hmioes, ânes de Jérusalem, zébus, éléphants, autruches, rennes, chevaux nains e Siam, agk, etc. Les habitants de Neuilly et de Courbevoie srnt prochainement avisés q la Compagnie générale des omnibus doit cesser ses dx services extra-muros aussitôt que le tramway de Neuilly sera mis en exploitation. Ainsi, les voitures qui vont
Neuilly sera mis en exploitation. Ainsi, les voitures qui vont du Louvre à Courbevoie s'arrêteront désormais aux fortifications. Celles qui, correspondant avec la ligne D (Ternes aux Filles-du-Calvaire), vont jusqu'au cœur de Courbevoie, cesseront complètement leur service. On redoute des protestations. Voici quelques détails sur la mort de Mme Adolphe Bazaine, belle-sœur du maréchal, courte à Cannes : Son mari avait obtenu du ministre une permission de douze visites, et il alla passer la journée avec sa femme et ses enfants à l’île Sainte-Marguerite. Pendant une des traversées, Mme Adolphe Bazaine a pris froid, et en rentrant à l'hôtel elle
Neuilly sera mis en exploitation Ainsi, les voitures qui vont d Louvre Crbv s'arrêteront désrms aux fortifications. Clls iuq, correspondant avec l ligne D (Ternes aux ie--lvaie), vont jsq' cœur de Courbevoie, cesseront complètement leur service. On redoute des protestations. Voici quelques détails sr la mort de Mme Adolphe Bazaine, belle-sœur du maréchal, courte à Cnns : Son m vtaai bn du ministre une permission de douze visites, t il ll pssr la journée avec sa femme et ss enfants à l’îl Sainte-Marguerite. Pendant une des ées, Mme Adolphe Bzn a pris d,oifr et en rentrant à l'hôtel elle
Bazaine a pris froid, et en rentrant à l'hôtel elle a dû se coucher. Malgré les soins empressés du docteur Guibert, son état a empiré, et mardi matin elle est morte. Mme Bazaine a quitté son mari pour venir soigner sa belle-sœur. C'est entre ses bras que Mme Adolphe Bazaine a rendu le dernier soupir. On annonce que M. Edmond Adam, député de la Seine, et tuteur des enfants de Rochefort, s'est embarqué hier à Calais, se rendant à Londres avec M. Noémie Rochefort. L'ancien rédacteur du Mot d'ordre paraît disposé à se réfugier à Genève, si le séjour de
Bazaine a pris , et en rentrant l'hôtel leel a dû s coucher. Malgré les son empressés docteur Guibert, son état a r,pméei et mardi mtn elle est morte Mme Bain a quitté son mr pour venri soigner sa bellesœur Cest entre ses bras q Mme Adolphe zaieBna a rendu le ie soupir. On annonce que M. Edmond Adam, député de la Seine, et tuteur des enfants de ocfo s'est mbrqé hier Calais, se ndnt à Londres avec . Noémie Rochefort. L'ncn rédacteur du Mot d'ordre paraît disposé à se réfugier à ène,evG si le séjour e
disposé à se réfugier à Genève, si le séjour de la Hollande lui est interdit. Un duel a eu lieu il y a quelques jours à Dresde entre le général de Kotzebue, envoyé de la Russie à la cour de Dresde, et un noble Saxon, le comte Luckner. Ce dernier devait épouser une nièce du général, puis il rompit le mariage d'une manière blessante pour la famille. Le père de la fiancée, retenu par la maladie dans ses appartements, chargea le général de venger son honneur. Un duel au pistolet fut décidé entre les témoins au nombre desquels nous trouvons
disposé à se réfugier à enè, si le séjour de la Hollande lui est interdit. Un duel a eu lieu il y a quelques jours à Dresde entre le général de Kotzebue, envoyé de al Russie à la cour de Dresde, te un noble Saxon, l comte Luckner. Ce dernier devait épouser une nièce du général, puis il rompit le mrg d'une manière blessante pour la famille. eL père de la fiancée retenu r la maladie dans ses appartements, chargea le général d enge son honneur. Un duel au pistolet u décidé entre les témoins au nombre desquels nous trouvons
fut décidé entre les témoins au nombre desquels nous trouvons le fils du prince de Bismarck, du côté du baron de Luckner. Après deux coups tirés sans résultat de part et d'autre, on a déclaré l'honneur satisfait. La fameuse cloche impériale fondue avec des canons français et destinée à la cathédrale de Cologne, vient d'être remise pour la cinquième fois entre les mains du fondeur. Jusqu'à présent il a été impossible d'y représenter la couronne impériale qui surmonte le symbole de l'unité allemande ; de plus, les sons ont toujours été très défectueux. Si M. de Bismarck était superstitieux !...
fut décidé ntr les témoins au nombre desquels nous trouvons le fils u prince de Bismarck, du côté du baron de Luckner. Après dx coups tiré sas résltt de part et d'autre, on a déclé 'honneur satfa. La fms cloche impériale fdue avec ds canons aasfçrni et destinée à l cathédrale de Cologne, vient d'être remise pour la cinquième fois entre les mains d fondeur. Jusqu'à psn l a été impossible yd' représenter la couronne impériale qui surmonte le symbole de l'unité allemande de plus, ls sons ont toujours été très défectueux. Si M. de Bismarck éait superstitieux ..
été très défectueux. Si M. de Bismarck était superstitieux !... Le steamer Sultan, qui vient d'arriver de Calcutta dans la Tamise avec un chargement d'animaux sauvages tels que lions, tigres, léopards, rhinocéros, a été le théâtre, pendant la traversée, d'une scène des plus émouvantes. Un léopard s'était échappé de sa cage et avait visité successivement le pont, l'entrepont, au grand effroi des passagers et de l'équipage. Chose singulière, il n'y avait pas un projectile à bord. Tous durent s'enfermer et attendre qu'un marin eût fabriqué une balle pour tuer le léopard. Un auteur souverainement ennuyeux que nous ne nomrerons pas,
été rs défctx. Si . de Bismarck était sprsttx !... Le steamer Sultan, qui ent d'arriver de Calcutta dans la Tamise avec un chargement danimaux sauvages tls que lions, igres, léopards, rhinocéros, a été le théâtre, pendant la erraevté,s d'une scène des pls émvnts. Un léopard s'était échépap d sa cage et avai visité successivement le pont, l'entrepont, au grand effroi des passagers et d l'équipage. Chose singulière, il n'y avait pas n projectile à br Tous durent s'enfermer et attendre quun marin eût fbrqé une balle pour tuer le léopard. Un auteur souverainement ennuyeux que ns ne nsnroomer pas
léopard. Un auteur souverainement ennuyeux que nous ne nomrerons pas, entretenait Jules Janin un jour du dessein qu'il avait formé d'écrire un ouvrage auquel personne n'eût jamais travaillé : — Voulez-vous mon avis ? dit le critique des Débats, eh bien faites votre éloge ! DON SPAVENTO. SPORT Courses de Fontainebleau Dimanche 21 juin Les sportsmen parisiens s'étaient donné rendez-vous sur l'hippodrome si pittoresque de la vallée de la Solle, où un grand nombre d'habitants de Melun et de Fontainebleau, ainsi que MM. les officiers de la garnison de Seine-et-Marne, se trouvaient réunis. Tout en regrettant que la fâcheuse coïncidence
léprd. Un auteur souverainement ennuyeux que nous ne nomrerons , entretenait Jules ninJa un jour du dessein qu'il avait formé d'écrire un ouvrage auquel personne n'eût jamais travaillé : — Voulez-vous mn avis ? di e critique des Débats, eh bien faites votre éloge ! DON SPAVENTO. SPORT Courses de Fontainebleau Dimanche 21 juin Les sportsmen parisiens s'étnt donné rendez-vous sur l'hippodrome si pittoresque de la vallée de la Solle, ù un grand nombre d'habitants de Melun et d Fontainebleau, isi que MM. les officiers ed la garnison de Seine-et-Marne, se trouvaient réunis. Tt en regrettant que la fâcheuse eocncdecnïi
se trouvaient réunis. Tout en regrettant que la fâcheuse coïncidence des courses de Lyon ait restreint les engagements, il faut convenir que presque tous les chevaux inscrits au programme se sont présentés, et que les épreuves, à l'exception du handicap de la Ville, ont été vaillamment disputées. Le comte Hocquart de Turtot jugeait l'arrivée, le baron d'Etreillis donnait les départs. Un pari particulier de 9,000 fr. a servi de lever de rideau. Fanchette, à M. Delâtre (Carratt), a battu Patricienne, à M. Moreau-Chaslon, par une longueur. Le Prix principal (3,000 fr., distance 3,000 mètres), a causé la surprise la plus
se trouvaient runis Tout en regrettant que la fâcheuse coïncidence des courses de Lyon ait restreint les engagements, il faut convenir que presque tous les h inscrits au programme se sont présentés, et que les épreuves, à lceptin du handicap d la ,leilV ont été vaillamment disputées. Le comte Hocquart de Turtot jgeai l'arrivée, le baron d'Etreillis donnait les départs Un pari particulier de ,0900 fr. a servi de lever de rd. Fanchette, à M. Delâtre (Carratt), a battu Patricienne, à M. Moreau-Chaslon, par une longueur. Le Prix principal (3,000 fr., distance ,0 mètres), causé la ripsseru la plus
fr., distance 3,000 mètres), a causé la surprise la plus inattendue. Wild-Boy, à M. Willers, est parvenu à battre difficilement, d'une tête, Tartane, au comte de Juigné, après une lutte finale des plus vives. Militante, à M. Ed. Fould, venait ensuite à trois longueurs. La défaite de Carratt avec Tartane a été mal reçue du public, qui s'était persuadé de sa victoire. Wild-Boy, vigoureusement abattu par Hudson, a fait preuve d'un grand cœur en répondant à toutes les exigences de son jockey. L'Express (1,500 fr., distance: 1,100 mètres), a été remporté par le favori Premier-Avril, à M. de Dorlodot (Ch.
fr., distance 3000 mètres), a causé la surprise la plus inattendue. Wld-By, à M. Willers, est parvenu à bttr difficilement, d'une tête, Tartane, au comte de Juigné, après une lutte finale des plus viv. Mltnt, à M. Ed Fould, venait nst à trois longueurs. La défaite de Carratt avec Tartane a t mal reçue d public, qui s'était persuadé de sa vctr. Wild-Boy, vigoureusement btt rap Hudson, a fait preuve dun grand cœr en répondant à toutes les exigences de son jockey L'Express (1,500 fr., distance: ,100 mètres), a été remporté par le favori Premier-Avril, M. d Dorlodot (Ch.
remporté par le favori Premier-Avril, à M. de Dorlodot (Ch. Pratt). Impromptu, au comte de Berteux, était deuxième à une encolure, et Rétribution, à M. Lupin, troisième à deux longueurs Bohémien avait été réclamé avant la course par M. de Dorlodot ; Premier-Avril l'a été après sa victoire par le propriétaire pour 60 fr. Le prix de la ville de Fontainebleau (handicap, 3,000 fr., distance : 1,800 mètres), a réuni un champ de huit concurrents La Paix, au comte Le Gonidec (Rulf), a gagné avec la plus grande aisance par trois longueurs. Course-de-Nuit, à M. Halphen, était deuxième suivie par
remporté par le favori Premier-Avril, à M. de Dorlodot (Ch. Pratt). Impromptu, au comte de Berteux était deuxième à une encolure, et Rétribution, à M. , troisième à deux longueurs Bohémien avait été réclamé avant la course par M. e Dorlodot ; Premier-Avril l'a été après s victoire par le propriétaire pour 60 fr Le prix de la ville de Fontainebleau (handicap, 3,000 fr., seatdicn : 1,800 mètres), a réuni nu cam de huit concurrents La Paix, au comte Le Gonidec (Rulf), a gagné avec la plus grande aisance par ois longueurs. CoursedeNuit à M. Halphen, était deuxième suivie par
trois longueurs. Course-de-Nuit, à M. Halphen, était deuxième suivie par Eros, au baron de Rothschild, qui à deux longueurs séparait du précédent. Printemps, à M. Lupin, a été placé quatrième par le juge. Le jeune Rulf, qui montait le vainqueur, deviendra avant peu un excellent light-weight. Le prix de Seine-et-Marne (10,000 francs, distance, 2,800 mètres), a été sans contredit la plus belle course de la réunion. En entrant dans la ligne droite, Christiania, au comte de Juigné (Carratt), et Franc-Tireur, au major Fridolin, se sont détachés du peloton et ont entamé un duel acharné dont l'avantage est resté à la
trois longueurs. Crs-d-Nt, à M. Haln était deuxième suivie par r au baron de Rothschild, qui à deux longueurs séparait du précédent. Printemps, à M. Lupin, a été placé quatrième par le juge. L jeune Rulf, qui montait le vainqueur, deviendra avant p un excellent light-weight. Le x de Seine-et-Marne (10,000 rn, distance, 2,800 mètres), été sans contredit la plus belle course de réunion. En entrant dans a ligne droite, Christiania, au comte de Juigné (Crrtt), et Franc-Tireur, au major Fridolin, e sont détachés du peloton et ont entamé un duel acharné dnt l'avantage est resté à la
entamé un duel acharné dont l'avantage est resté à la pouliche par une demi-encolure. Piston, à M. de la Charme, était mauvais troisième. C'est la plus belle performance que Christiania ait jamais accomplie, si on considère qu'elle courait à poids égal, ne bénéficiant que des trois livres dues à son sexe. Le prix des Haras (handicap, 3,000 fr. distance, 3,500 mètres) a bien clôturé la journée en présentant un vif intérêt. Parlement, à M. de la Charme (Carrau), malgré le top weight a fini par avoir raison de Capitole, au baron de Rothschild, qui a été défait avec peine par
entamé un duel charn dont l'avantage est resté à pouliche par une demi-encolure. Piston, à M. de la Charme, était uisvama troisième Ct'se plus belle performance que Citiaia ait jamais accomplie, si on considère qu'elle courait poids égal ne bénéficiant que des trois livres dues à son sx. L prx des Haras handicap ,0 fr. distance, 3500 mètres) bien lôur la journée en présentant un vif intérêt. Prlmnt, M. de la Charme (Carrau), malgré top weight fini par avoir raison de Capitole, au baron de Rothschild, qui a été défait avec pn par
baron de Rothschild, qui a été défait avec peine par une tête seulement. Fanchette, à M. Delâtre, était troisième à trois longueurs. Le grand favori Bertrand a été honteusement battu. Tous les chevaux sont arrivés dans un état complet d'épuisement dû à la longue distance de la course fournie sur un terrain sablonneux dépourvu d'élasticité. Dimanche, 28 juin, courses à Auteuil. H. DE KERGUEN. LES THÉÂTRES Ce soir, lundi, à l'Opéra-Comique, dernière audition de la messe de Requiem, de Verdi. *** Quelques renseignements sur les projets de M. Halanzier. La nouvelle salle serait inaugurée avec Hamlet, et des pourparlers sont
oanbr de Rothschild, qui a été défait avec peine par une tête slmnt. Fnchtt, à M. Delâtre était troisième à trois longueurs. Le rndga favori Bertrand a été honteusement battu. Tous les chevaux sont arrivés d un état complet d'épuisement dû à la longue distance de la crs fournie sur un terrain sablonneux dépourvu d'élasticité. Dimanche, 28 in, courses à Ae H. D KERGUEN. LE THÉÂTRES Ce soir, ln à l'Opéra-Comique, dernière audition de la messe de Requiem, de Verdi. *** Quelques rnsemen sur les projets de M. Halanzier. La nouvelle salle serait inaugurée vcea Hamlet, et des pourparlers sont
nouvelle salle serait inaugurée avec Hamlet, et des pourparlers sont engagés avec Mme Nilsson pour chanter le rôle d'Ophélie, qu'elle a créé. M. Nilsson n'a pas encore fixé le prix; mais elle a mis pour condition à son retour à Paris, qu'elle ne donnerait que six représentations, et que tout l'argent qu'elle gagnerait serait distribué aux musiciens nécessiteux. La Juive est le second ouvrage qui sera donné au nouvel Opéra; on a voulu, avec raison, inaugurer la salle du boulevard par deux opéras de compositeurs français. Nous espérons cependant que l'on reprendra, prochainement, la restauration des autres ouvrages du répertoire
nouvelle sll serait inaugurée avec Hamlet, t des pourparlers sont engagés avec Mme Nilsson pour chanter le rôle 'Ophélie, qu'elle a créé M. Nilsson n'a pas ne fixé le prx; mais elle a mi pour condition à son retour à Paris, q'll ne donnerait que sarpet,ersntnoié et que tout l'argent qu'elle gagnerait serait distribué aux musiciens nécsstx. aL Juive tes l second vrg qui sera donné au uvl Opéra; on a voulu, avec raison inaugurer al salle du boulevard arp deux opéras de pssrcooiumte frnçs. Nous espérons cependant que l'on reprendra, prochainement, la restauration des autres ouvrages du répertoire
l'on reprendra, prochainement, la restauration des autres ouvrages du répertoire de l'Opéra, et que le directeur de l'Académie de musique montrera un peu plus d'activité que par le passé. N'est-il pas, en effet, navrant de voir l'inertie de notre première scène lyrique comparée au mouvement des théâtres allemands. Voici, à ce sujet, un curieux tableau des représentations données sur les différentes scènes d'outre-Rhin pendant le mois dernier. THÉÂTRE DE LA COUR de Vienne : Le Prophète, Guillaume-Tell, Aïda, Lohengrin, Faust, Rienzi, les Joyeuses commères, l'Étoile du Nord, Fantasca, Flick et Floch, les Nuits de Carnaval à Paris : en tout,
l'on reprendra, prochainement, la restauration des autres ouvrages du répertoire de l'Opéra, et q le directeur de l'Académie de musique montrera peu plus d'activité que par le passé. N'est-il pas, en effet, navrant de voir l'nrt de notre première scène lyrique comparée au mouvement des théâtres allemands. Voici, à ce sujet, un curieux tableau des représentations dnés sur les différentes scènes d'outre-Rhin ndpnaet le mois dernier. THÉÂTRE D LA COUR de Vienne : Le Prophète, Guillaume-Tell, Aïda, Lohengrin Faust, Rienzi, les Joyeuses commères, l'Étoile du Nord Fantasca, Flick et Fch les Nuits de Carnaval à ari : tout,
Floch, les Nuits de Carnaval à Paris : en tout, huit opéras et trois ballets. OPÉRA ROYAL de Berlin : Die Meister, Aïda, Une Nuit à Grenade, Lohengrin, Songe d'une Nuit d'été, Freischütz, Flûte enchantée, Trouvère, le Czar et le Charpentier, les Huguenots, la Dame blanche, l'Africaine, Fidelio, Guillaume Tell, les Noces de Figaro, l'Enlèvement au sérail, Stradella, Gretna-Green, Sardanapale, Militaria, Flick et Floch; en tout dix-sept opéras et quatre ballets. THÉÂTRE DE LA COUR de Munich : Don Pasquale, le Barbier de Séville, Trouvère, Rigoletto Tristan et Isolde, Die Walküre, les Maîtres Chanteurs, Tannhäuser, le Vaisseau fantôme, Guillaume Tell,
Flch, les Nuits de Carnaval à Paris : en tt, huit opéras et toi ballets. OPÉRA RYL de Berlin : Die eiste, Aïda, Une Nuit à Grenade, Lohengrin, Songe d'une Nuit d'ét Freischütz, Flûte enchantée, Trouvère, le Czar et le nrephiCart,e les Huguenots, la Dame blanche, l'Africaine, Fidelio, Guillaume Tell, les Noces de Figaro, l'Enlèvement au sérail, Stradella, Grtn-Grn, Sardanapale, Militaria, Flick et Floch; en tt dix-sept opéras et quatre ballets. THÉÂTRE DE L COUR de Munich : Don Pasquale le Barbier de Séville, Trouvère, Rigoletto Tristan et Isolde, Die Walküre, les Maîtres Chanteurs, Tannhäuser le Vaisseau fantôme, Guillaume Tell,
Walküre, les Maîtres Chanteurs, Tannhäuser, le Vaisseau fantôme, Guillaume Tell, le Templier et la Juive; en tout onze opéras. THÉÂTRE DE LA COUR de Baden-Baden : la Favorite, les Héraclides d'armes, l'Africaine, l'Enlèvement au sérail, Fra Diavolo, Madeleine, le Vaisseau fantôme, Norma, la Juive, Oberon; en tout dix opéras. THÉÂTRE DE LA COUR de Weimar : Martha, Dame blanche, la Juive, Joseph, Lohengrin, Faust, Tannhäuser; en tout sept opéras. THÉÂTRE DE LA COUR de Cassel : Une Nuit à Grenade, Robert le Diable, Norma, Lohengrin, Don Juan, Barbier, les Porteurs d'eau, Rienzi, Faust, Martha, le Templier et la Juive; en
Walküre, les Maîtres Chanteurs, Tannhäuser, le Vaisseau fantôme, Guillaume Tell, le Templier et la Juive; en o onze opéras. THÉÂTRE DE LA CR de Bdn-Bdn la Fvrt, les Héraclides d'armes, l'Africaine, Emt au sérail, Fra Dvl, Madeleine, le Vaisseau fantôme Norma, la Juive, Oberon; en tout dix opéras. THÉÂTRE D LA COUR de Weimar : Martha, Dame blanche, la Juive, Joseph Lohengrin, Faust, Tannhäuser; en tout sept oéa. THÉÂTRE DE LA COUR de Cassel : Une Nuit à Grenade, Robert le Diable, Norma, Lohengrin, Don Juan, Barbier, les Porteurs d', Rienzi, Faust, Martha, le Templier et la Juive; en
d'eau, Rienzi, Faust, Martha, le Templier et la Juive; en tout onze opéras. THÉÂTRE DE MANNHEIM : La Muette, Tannhäuser, Don Juan, le Vaisseau Fantôme, Trouvère, Une Nuit à Grenade, Faust, les Noces de Figaro, la Favorite; en tout, neuf opéras. Eh bien! véritablement, sans parti-pris, en voyant ce qui se passe dans les théâtres lyriques de l'étranger, doit-on se montrer satisfait de la façon dont est dirigée notre première scène musicale? Quand dans des villes comme Munich, où la subvention atteint à peine la moitié de celle de l'Opéra parisien, on donne onze représentations seulement dans un mois, mais
d'eau, enzi, Faust, Martha, l Templier et la Juive; en tout onze opéras. THÉÂTRE D MANNHEIM : La Muette, Tannhäuser, Don Juan, le Vaisseau Fantôme, Trouvère Une Nu à Grenade, Faust, les Noces de Figaro, la Favorite; en tou, neuf opéras. Eh bien! véritablement, sans parti-pris, en voyant ce qui se ss dans les tréteshâ lyrqs de l'étranger, dt-n se mntrr satisfait de la façon dont est dirigée notre première scène musicale Quand dans des villes cme Munich, la subvention atteint à peine la moitié de celle de l'Opéra parisien, on donne nz représentations seulement dasn un mois, mais
parisien, on donne onze représentations seulement dans un mois, mais chacune composée d'un ouvrage différent, faut-il se contenter d'entendre pendant toute l'année les quatre ou cinq œuvres qui constituent le répertoire de notre Académie de musique. Une nouvelle encore inédite, et dont nous offrons la primeur aux lecteurs de la Liberté: La Patti ne viendra pas à Paris l'hiver prochain. M. Strakosch hésite beaucoup à rouvrir le Théâtre-Italien. Si le refus de la diva et la retraite de M. Strakosch pouvaient amener l'exploitation du Théâtre-Lyrique à la salle Ventadour, nous nous consolerions facilement de ne pas entendre la Patti cet
prsn, on don onze représentations slmnt dans un m, mais chacune cmpsé ouvrage dfférnt, faut-il se contenter d'enre pendant toute l'année les quatre ou cinq œuvres q constituent le répertoire de notre Académie de musique. n nouvelle encore inédite, et dont nous offrons la primeur ux trlseuce de la Liberté: Patti ne viendra pas à Prs l'hvr pan .M Strakosch hésite beaucoup à rouvrir le Théâtre-Italien. Si le refus de la dv et la retraite de M. Strakosch uveopaitn amener l'exploitation du Théâtre-Lyrique à la sll Ventadour, nous osun consolerions facilement de ne pa entendre la Ptt cet
nous consolerions facilement de ne pas entendre la Patti cet hiver aux Italiens. Cette question du Théâtre-Lyrique est en effet très capitale, et nous ne partageons pas la confiance de notre confrère Moreno du Ménestrel, qui, à propos de la combinaison Harmant, plaisante les lamentations au moins prématurées de nos compositeurs. Comment prématurées! quand depuis quatre ans, les compositeurs attendent la réouverture de ce théâtre, et qu'au moment où la restauration en sera terminée, on parle d'y installer le drame. Il y a évidemment bien des projets dans l'air, on parle de M. Letellier à l'Ambigu, des nouveaux directeurs du
nous consolerions facilement de ne pas entendre la Patti cet hie aux Italiens Cette question du Théâtre-Lyrique est n effet è capitale, et ns n partageons pas la confiance de notre confrère Moreno d Ménestrel qui, à prps de la binon Harmant, pasnt lamentations au moins prématurées de nos compositeurs. Comment ptarsrém!uée quand depuis retqua ans, les compositeurs attendent la réouverture de ce théâtre, et qu'au moment où la anrroeiustat n sr terminée, on parle d'y installer le drame. Il y évidemment bien des projets dans l'air, on parle de M. Letellier à l,gb'iuAm des nouveaux directeurs du
parle de M. Letellier à l'Ambigu, des nouveaux directeurs du Châtelet; mais tant que rien ne sera réalisé, tant que n'aurons pas retrouvé notre ancien Théâtre-Lyrique, nous ne cesserons de nous lamenter et de protester contre les combinaisons, qui peuvent en retarder l'accomplissement de nos espérances. On nous prie d'annoncer qu'à partir d'aujourd'hui, de deux à quatre heures, des auditions auront lieu au théâtre du Châtelet, transformé en Opéra populaire. Les artistes et choristes qui désirent se faire engager peuvent donc se présenter à ce théâtre, en ayant soin d'apporter le morceau qu'ils veulent faire entendre. *** Orphée aux enfers
parle de M. Letellier à 'Ambigu, des nvxauueo directeurs d Châtlt; mais tant que rien n sera éis, attn que n'aurons pas uovréret notre ancien Théâtre-Lyrique, nous ne cesserons de nous lamenter et de protester contre les combinaisons qui peuvent en readterr l'accomplissement e ns espérances On nous pr 'nnonce quà partir d'aujourd'hui, de du à quatre heures, des auditions auront lieu au théâtre d Châtelet, transformé n aOrpé lire Les artistes choristes qui désirent se faire nggr peuvent donc présenter à c théâtre, en ayant soin d'apporter le morceau qu'ils veulent raeif entendre. *** Ohrpée aux enfers
le morceau qu'ils veulent faire entendre. *** Orphée aux enfers est toujours le plus grand succès théâtral du moment, et, chaque soir, les étrangers affluent tellement à la Gaîté, que l'administration s'est vue forcée d'attacher plusieurs interprètes aux bureaux de location. Une telle vogue est due à l'éblouissante mise en scène, à la verve des artistes, à la grâce des danseuses; enfin, à l'exécution irréprochable des chœurs et de l'orchestre, dont l'ensemble artistique ajoute à cet opéra-féerie si populaire, un élément de succès sans précédent jusqu'ici. JEENNIUS. Cabinet médical du docteur REGNAULT, 71, rue Neuve-des-Petits-Champs, Paris, de 8 heures à
le mrc qu'ils veulent faire entendre. *** Orphée ux enfers est toujours le plus grand succès htrâlaét d moment, et, chaque soir, les étrangers uealfnft eetnmtlel à la Gaîté, que l'administration s'est vue forcée d'attacher plusieurs interprètes aux bureaux de location. Une telle vogue est due à l'éblouissante mise en scène, à la vv ds artistes, à la grâce dse danseuses; enfin, à lexécution irréprochable ds chœrs et de l'orchestre, dont l'ensemble artistique ajoute à cet e-oféipeérra s ouire un élément de succès sans précédent jusqu'ici. JEENNIUS. Cabinet médical du dctr REGNAULT, 71, rue Neuve-des-Petits-Champs, Paris, de heures à
docteur REGNAULT, 71, rue Neuve-des-Petits-Champs, Paris, de 8 heures à 10 heures. Traitement par la thérapeutique dosimétrique du professeur Burggraeve. Sans médecine, sans sacrifice et sans frais, par la douce REVALESGÈRE DU BARRY, DE LONDRES, qui, depuis 27 ans, combat avec un succès invariable tous les désordres de l'estomac, des intestins, nerfs, foie, poitrine, vessie, cerveau et sang. Du Barry et ce, 26, place Vendôme, Paris, et partout chez les pharmacières et épicières. Plus de duvet importun : La Pâte épilatoire de Mme Dusser en débarrasse les dames sans aucun danger pour la peau. — 1, rue J.-J.-Rousseau. DÉCLARATIONS DE
docteur REGNAULT, 71, rue Neuve-des-Petits-Champs, Paris de 8 r à 1 heures. Traitement par l thérapeutique dosimétrique du professeur Burggraeve. Sans médecine sans sacrifice t sans frais, par l douce REVALESGÈRE DU R, DE LONDRES qui, depuis 27 ans, combat avec un succès invariable tous les désordres de l'estomac, des intestins, nerfs, foie poitrine, vessie cerveau et sang. Du Barry et ce, 26, place eneVm,ôd Paris, et partout zech les pharmacières et épicières. Plus de duvet importun La âePt épilatoire Mem Ds en débarrasse les dames sans aucun danger pour la peau. — 1, rue J.-J.-Rousseau. DÉCLARATIONS DE
danger pour la peau. — 1, rue J.-J.-Rousseau. DÉCLARATIONS DE FAILLITES Du 18 juin 1874 JACOB (Alfred), chapelier et marchand de primeurs, demeurant à Paris, rue Poissonnière, 18, et ayant succursale à Anvers (Belgique), rue des Douze-Mois, 9. DEBETTE, entrepren. de serrurerie, demeurant à Paris, ci-devant impasse Saint-Sébastien, n° 8, actuellement sans domicile connu. GAUTHIER (Jean-Baptiste), en son vivant, négociant en cornes et écauelles à Paris, rue des Filles-du-Temple, 11. Du 19 juin 1874 BOULAY (Joseph), marchand de blouses, confections et tissus, demeurant à Saint-Ouen (Seine), avenue des Batignolles, 96. LA VANANT (Louis-Toussaint), marchand de cheveux, demeurant à Paris, rue
danger pr l peau. — 1, rue JJRousseau DÉCLARATIONS D FAILLITES Du 18 juin 1874 JACOB (Alfred), chapelier et marchand de primeurs, demeurant à Paris, rue Poissonnière, 18, et aat succursale à Anvers (Belgique), rue des Douze-Mois, 9. DEBETTE entrepren. de serrurerie, dmrnt à Paris, ci-devant impasse Sint-bstie, n° 8, actuellement sans domicile connu. GAUTHIER (Jean-Baptiste), en son vivant, cnt en cornes et écauelles à Paris, rue sed Filles-du-Temple, 11. Du 19 juin 1874 BOULAY (Joseph), marchand ed blouses, confections et tissus, demeurant à Saint-Ouen (S),enei avenue des Batignolles, 96. L VANANT (Louis-Toussaint), marchand de cheveux, demeurant à Paris, rue
LA VANANT (Louis-Toussaint), marchand de cheveux, demeurant à Paris, rue de la Vrillière, 2. LENCOU (Pierre-Jacques), épicier, demeurant à Paris, rue Amelot, 151. POIRIER (Victor-Auguste), entrepreneur de transports, demeurant à Paris, rue de Bercy, 207. RAYER jeune (Victor-François), marchand de confections pour hommes, demeurant à Paris, rue de Flandre, 19A. ROGE (Joseph), marchand d'articles de chasse et voyage, demeurant à Paris, rue du Faubourg-du-Temple, 50. ROBERT (Adolphe), marchand de vin logisseur, demeurant à Aubervilliers, rue du Landy, 11 bis. SEPTFONTAINE, marchand de vin, demeurant à Choisy (Seine). NOUALHER (Achille), agent d'affaires, ayant demeuré à Paris, rue Gaillon, 3, puis boulevard
LA VANANT (Louis-Toussaint), marchand d cheveux, demeurant à Paris, rue de la Vrllèr, 2. LENCOU Pr-cus), épicier, demeurant à Paris, rue Aeot 151. POIRIER (Victor-Auguste), entrepreneur de transports, demeurant à Paris, rue de Berc 207. RAYER jeune (Victor-François), maadcnrh de cnfctns pour hommes, demeurant à Prs, rue de Flandre, 19A. RG Joseph marchand d'articles de chasse et voyage, demeurant à Paris, rue du Faubourg-du-Temple, 50 ROBERT (Adolphe), marchand de ivn logisseur, demeurant à Aubervilliers, r du Lndy, 11 bis. PNE marchand de vin, demeurant à Choisy (Seine). OAER (Achille), agent d'affaires, ayant demeuré à Prs, rue Galon 3, puis boulevard
d'affaires, ayant demeuré à Paris, rue Gaillon, 3, puis boulevard Montmartre, 8, et actuellement sans domicile connu. VALLET, marchand de vin, demeurant à Paris, quai des Augustins, 54. GUIOT, marchand de futailles, demeurant à Paris, rue Bellièvre, 11. A. LAVIGERIE, FISCHER et CIE, ayant fait le commerce sous le nom de : The Foreign et Saint-Domingo (General-Agency), demeurant à Paris, rue Saint-Georges, 53. REX (André), marchand de vin, demeurant à Paris, rue de Meaux, 85. Emile CUISSET, commissionnaire en vins, ayant demeuré à Créteil, Grande-Rue, 85, et demeurant actuellement à Choisy-le-Roi (Seine), parc Nicolaï, rue Bordelaise, 36. PUBLICATIONS DE MARIAGES
daffaires ynt demeuré à Paris, rue Gaillon, 3, is boulevard Montmartre 8, et actuellement sans dml connu. VALLET, marchand de vin, demeat Paris, quai des Augustins, 54. GUIOT, marchand de futailles, demun Paris ru Bellièvre, 11. A LVGR, FISCHER et E,CI yt ft le commerce sous le nom de : The Foreign et Saint-Domingo (General-Agency), demeurant à Paris, rue Saint-Georges, 53. REX (André), marchand de vin, demeurant à Paris, u de Meaux, 85 Emile SSE cmmssnnr n vins, ayant demeuré à Créteil, GrandeRue 85, t demeurant ctllmnt à Choisy-le-Roi (Seine), parc Nicolaï, ru Bordelaise, 36. BATUONIPCSIL DE MARIAGES
Choisy-le-Roi (Seine), parc Nicolaï, rue Bordelaise, 36. PUBLICATIONS DE MARIAGES M. Labbéé, employé, rue de la Pompe, 31, et Mme Goujon, boulevard de Clichy, 10. M. Degarros, chef de bataillon au 89e de ligne, r. des Batignolles, 69, et Mlle Hamoir, r. de Clichy, 62. M. Grout, employé, rue Truffaut, 19, et Mme Thil, même rue. M. Ruch, horloger, rue Truffaut, 9h, et Mme Cañesse, rue des Moines, 18. M. Riéger, employé, rue de Rome, 129, et Mlle Fridel, rue de Provence, 111. M. Rolet, employé, rue Moreau, 64, et Mlle Frick, rue des Filles-au-Calvaire, 8. M. Rittheim, boulanger, rue
-Rh-eoslyoiiC eine parc Nicolaï, eru Bordelaise 36. PUBLICATIONS DE MARIAGES . Labbéé, employé, rue de la Pompe, 31, et Mme Goujon, blvrd de Clichy, 10. M. Degarros, chef de bataillon au 89e de ligne, r. des Batignolles, 69, et Mlle Ha de Clichy 62. M. Grout, employé, rue Truffaut, 19, et Mme Thil, même rue. . Ruch, horloger, rue Truffaut, 9h t Mme Cañesse, rue des Moine, 18 M. Riéger, employé rue de Rome, 129, et Mlle Frdl, rue de Provence, 111. M. Rolet, employé, rue Moreau, 64, et Mlle Frick, rue des Filles-au-Calvaire, 8. . Rittheim, boulanger, rue
Mlle Frick, rue des Filles-au-Calvaire, 8. M. Rittheim, boulanger, rue Crozatier, 72, et Mlle Clerc, rue de l'Odéon, 7. M. Allesso, employé, rue Truffaut, 10, et Mlle Noël, avenue de Clichy, 74. M. Bernstorff, employé, avenue de Clichy, 136, et Mlle Guérin, même rue. M. Boucher, vinaigrier, rue des Epinettes, 9, et Mme Vinchester, avenue de Clichy, 115. M. Dodier, employé, rue Truffaut, 100, et Mlle Galmard, même rue. M. Gaillet, limonadier, avenue des Ternes, 9, et Mlle Desmoulins, rue Truffaut, 18. M. Langet, peintre, place Boulnois, 3, et Mlle Jolliet, avenue des Ternes, 22. M. Rotton, jardinier, rue du
Mlle Frick rue des FillesauCalvaire 8. M. Rittheim, bugr rue Crozatier, 72, et Mlle Cl, rue de l'Odéon, 7. M. Allesso, employé, ure ffat, 10, et Mlle Noël, avenue de Clichy, 74. M. Bernstorff, employé avenue de Clichy, 136, et Mlle Guérin, même rue. M. Boucher, vinaigrier, rue des Epinettes, ,9 et Mme Vinchester, avenue de Clchy, .115 M. Dodier, employé, rue Trfaut, 100, et Mlle mrd, même rue. M. aill, limonadier, avenue des Ternes 9, et Mlle Desmoulins, rue Trufu 18. M. Langet, peintre, place Boulnois, 3, et Mlle Jolliet, veanue des Trns, 22. M. Rotton, jardinier, rue du
Jolliet, avenue des Ternes, 22. M. Rotton, jardinier, rue du Chemin-Vert, 137, et Mme Potel, rue Demours, 33. M. Benard, employé, rue Brey, 7, et Mlle Lecoquier, même rue. M. Rozière, serrurier, rue d'Argenteuil, 15, et Mlle Piton, rue Tronçon-Ducoudray, 3. M. Guérard, papetier, rue de Rivoli, 20h, et Mlle Merlin, boulevard Haussmann, 86. M. Meunier, homme de lettres, rue St-Honoré, 198, et Mme Bassagot, rue de la Verrerie, 99. M. Lecardonnel, employé, rue du Bouloi, 9, et Mme Laffaiteur, même rue. M. Bezanson, notaire, quai du Louvre, 8, et Mme Dervillé, à Saint-Maurice (Seine-et-Oise). M. Leveillé, employé d'octroi, à
Jllt, avenue des Ternes, 22. M. Rotton, jardinier, rue du Chemin-Vert, 137, et Mme Potel, r Demours, 33. . Benard, mplyé, rue Brey, 7, et Mlle Lecoquier, même rue. M. Rozière, serrurier, rue d'Argenteuil, 15, et Mlle Piton, rue Tro-ucoday 3. M. Guérard, papetier, rue d Rivoli, 20h, t Mlle Merlin, boulevard Haussmann, 86. M. Meunier, homme de lettres, rue St-Honoré, 198, et Mme Bassagot, rue de la Verrerie, 99. . Lecardonnel, employé, rue du Bouloi, 9, et Mme Laffaiteur, êm rue. M. Bezanson, notaire quai du Louvre, 8, et Mme Dervillé, à Saint-Maurice ineet-e) M. Leveillé, employé d'octroi, à
Mme Dervillé, à Saint-Maurice (Seine-et-Oise). M. Leveillé, employé d'octroi, à Clichy, et Mlle Delarive, avenue de Clichy, 15S. M. Colin, employé, rue Rennequin, 33, et Mlle Ehrenburger, rue Lachaise, 36. DÉCÈS ET INHUMATIONS Du 16 juin 1874. M. Martin, 75 ans, rue de la Ste-Chapelle, 9. Mme Maisson, 61 ans, rue Sauval, 16. M. Marchal, 60 ans, rue Rambuteau, 9A. Mme Siskind, 38 ans, rue des Blancs-Manteaux, 19. Mme Limousin, 16 ans, rue de l'Hôtel-de-Ville, 18. Mme Fleury, 32 ans, quai de Béthune, 26. M. Garrouste, 73 ans, rue Lacépède, 1. M. Deligne, 86 ans, rue Jacob, 38. Mlle Lagniel,
Mme Dervillé, à Saint-Maurice (Seine-et-Oise). M. Leveillé employé d'octroi, à Clichy, et Mlle Delarive, avenue de Clichy, 15S. M. Colin employé, rue Rnnqn, 33 et Mlle Ehrenburger, rue Lachaise 36. DÉCÈS ET INHUMATIONS D 16 juin 1874. M. Martin, 75 san, rue de la Ste-Chapelle, 9. Mme Maisson, 61 ans, rue Suavla, 16. M Marchal, 60 ns, r Rambuteau, A Mme Siskind, 83 s, rue ds BlancsManteaux 19. Mme Limousin, 16 ans, rue de 'Hôtel-de-Ville, 18. Mm r 32 ans, quai de Béthune, 26 M. Garrouste, 7 ans, u Lacépède, 1. M. Deligne, 86 ans, rue Jacob, 38. Mlle Lgnl,
1. M. Deligne, 86 ans, rue Jacob, 38. Mlle Lagniel, 57 ans, rue de Sèvres, 23. Mme Boron, 73 ans, rue Abattucci, 6. Mme Bra, 78 ans, avenue Percier, 8. M. Daillard, 65 ans, boulevard des Batignolles, 37. M. Chevrey, 84 ans, rue Clauzel, 10. M. Groult, 55 ans, rue Clauzel, 6. M. Senanne, 36 ans, rue Larochefoucauld, 22. Mme Despontin, 47 ans, faub. St-Martin, 11. Mme Lesaunier, 81 ans, faub. St-Denis, 200. M. Doisneau, 22 ans, rue de Nemours, 20. M. Lemoux, 37 ans, rue de Montreuil, 53. M. Gauthier, 65 ans, passage Forge-Royale, 25. M. Darnay, 72 ans,
1. M. Deligne, 86 ans, rue Jacob, 38. Mlle Lagniel, 57 an rue de Sèvres, 23. Mme Boron, 73 ns, rue Abattucci, 6. Mme Bra, 78 ans vn Percier, 8. M. alDar,dli 65 ns, boulevard des Batignolles, 37. M. Chevrey, 84 ans, rue Clzl, 10. M. Groult, 55 ans, rue Clauzel, 6. M. Senanne, 36 ans, rue Larochefoucauld, 22. Mme np,teoDisn 47 ans faub. St-Martin, 11. Mme Lesaunier 81 ans, faub. St-Denis, 2 M. Doisneau, 22 ans, rue de Nemours 20. M. Lemoux, 37 ans, rue de Montreuil, 53. M. Gauthier, 65 ns, passage Forge-Royale, 25. M. Darnay, 72 ans,
Gauthier, 65 ans, passage Forge-Royale, 25. M. Darnay, 72 ans, rue du Rendez-Vous, 2. Mme Texier, 37 ans, rue des Terres-Fortes, 3. Mme Iviffer, 58 ans, rue Picpus, 75. M. Tremblay, 32 ans, rue Soulages, 97. Mme Lucas, 50 ans, rue de la Glacière, 125. M. Bolifraud, 37 ans, rue du Chevaleret, 141. Mme Evrard, 25 ans, rue Cabanis, 1. Mme Boisot, 76 ans, rue des Entrepreneurs, 90. M. Marquis, 48 ans, rue Berton, 17. Mme Velghe, 30 ans, rue Pergolèse, 68. M. Hiscock, 70 ans, avenue d'Eylau, 25. Mme Capus, 38 ans, rue des Dames, 26 M. Fagot, 15
Gauthier, 65 ans, passage Forge-Royale, 25. M. Darnay, 72 ans, rue d RendezVous . Mme Texier, 7 ans, u des Terres-Fortes, 3. Mme Iviffer, 58 ns, rue Picpus, 75. M. Tremblay 32 as, rue Soulages, 97. Mme Lucas, 50 ,nsa rue de la Glacière 125 M. Bolifraud 37 ans, rue du hvleet 141. Mme Evrard, 52 ans, rue Cabanis, 1. Mm Boisot, 76 ans, rue des Entrepreneurs, 90. M. asi,rqMu 48 s,na reu Berton, 17. Mme Velghe, 30 ans, u Pergolèse, 68. M. Hiscock, 07 ans, eaevnu d'Eyla, 25. Mme Capus, 38 ans, rue des Dames, 26 M. Fgt, 15
Capus, 38 ans, rue des Dames, 26 M. Fagot, 15 ans, passage Doudeauville, 36. M. Pierre, 61 ans, rue Petit, 61. M. Guillaume, 72 ans, rue Compans, 76. M. Faucheux, 20 ans, rue de la Mare, 18. Du 17 juin 1874. M. Boumier, 10 ans, rue Grenéta, 51. M. Davezies, 7 ans, rue Neuve-St-Augustin, 65. Mme Haury, 62 ans, rue Malher, 3. Mme Gaillon, 72 ans, rue Rollin, 38. M. Baudrier, 73 ans, rue Lacépède, 1. Mme Guilbert, 57 ans, r. de Grenelle-St-Germain, 10. Mme Voirin, 85 ans, rue Jacob, 117. Mme Petit, 95 ans, rue Oudinot, 16. Mme Duchêne,
Capus, 38 ans, rue des Dames, 26 M. Fagot, 15 ans, passage Ddvll, 36. .M Pierre, 61 ans, rue Petit, 61. M. Guillaume, 72 ans, rue Cmpns, 76. M Faucheux 20 ans, rue de la Mr, 81. Du 17 juin 1874. M. Boumier, s, rue Grnét, 51. Davezies, 7 ans, r Neuve-St-Augustin, 65. Mme Haury, 62 ans, rue Mlhr, 3. Mme oaGln,il 72 ,san rue Rollin, 38 M. Baudrier 73 ans, rue Lacépède, 1. me Guilbert, 57 ans, r. de Grenelle-St-Germain, 10. Mme Voirin, ns, rue Jacob, 117. Mm Petit 95 ans, rue Oudinot, 16 Mme Duchên
117. Mme Petit, 95 ans, rue Oudinot, 16. Mme Duchêne, 74 ans, rue Roquépine, 16. Mme Coedes (v6), 86 ans, rue Bayard, 8. M. Leriche, 55 ans, rue Saint-Lazare, 66. M. Douin (v'), 7A ans, rue Taitbout, 5. M. Blanvillain, 77 ans, rue Lamartine, 5L. M. Barry, 85 ans, faub. Poissonnière, 175. Mme Hamm, 62 ans, rue Chauchat, 2. M. Boilly, 77 ans, faub. St-Denis, 200. M. Dejean, 13 ans, faub. St-Martin, Hl. Mme Bornard, 18 ans, bout. Magenta, 105. M. Kastner, 81 ans, église Saint-Denis-du-Saint-Sacrement. Mme Morhange, 7A ans, rue St-Sébastien, 15. M. Sordot, 21 ans, boulevard Port-Royal, 111.
117. Mme it, 95 ans, rue Oudinot, 16. Mme Duchêne, 74 ans, rue Rupi, 16. Mme Coedes (v6), 86 ans, r Bayard, 8. M. Lrch, 55 ans, ue Saint-Lazare, 66. M. Di (v'), 7 ans, rue Tait, . M Blanvillain, 77 ans, rue Lamartine, 5L M. Barry, 85 ans, fb. Poissonnière, 175. Mme Hamm, 62 ,ans rue Chauchat, 2. M. Boilly, 77 ans, faub. St-Denis, 200. M. Dejean, 13 ans, faub. St-Martin, Hl. Mme Bornard, 18 ans, bout. Magenta, 105. M. sK,anrte 8 ans, église Saint-Denis-du-Saint-Sacrement. Mme rhang, 7A ans, rue St-Sébastien, 15. M. Sordot, 21 ans, boulevard Port-Royal, 111.
rue St-Sébastien, 15. M. Sordot, 21 ans, boulevard Port-Royal, 111. Mme Bouillette, 16 ans, rue de Passy, 28. Mme Landry (v*), 69 ans, avenue de Clichy, 72. M. Plous, 10 ans, rue Lebouteux, 16. M. Cobolet, 55 ans, rue des Renaudes, 28. Mme Darbier, 38 ans, rue Lantiez, h. M. Morel, 55 ans, rue Doudeauville, 68. Mme Lherbon (v"), 58 ans, rue de Puebla, M).4. Mme Keller (v'), 78 ans, rue Clos-Rosselin, 31. Mme Bertin, 63 ans, rue des Rigoles, 3A. BULLETIN COMMERCIAL Paris, le 22 juin 1874. Céréales Blés. — Sans variation. Dispon. et cour., 38 25 à e»)
rue St-Sébastien, 15. M. Sordot 21 ans, boulevard Port-Royal, 111 Mme Bouillette, 16 ans, rue de Passy, 28. Mme Landry (v*), 69 ans, avenue de Clichy, 2. M. Pls, 10 ans, rue Lebouteux, 16. M. Cobolet, 55 ans, rue des Rnds, Mme Darbier, 38 ans, rue Lantiez, h. M. Morel, 55 ans, rue Doudeauville, 68. Mm Lherbon (v"), 58 ans, rue de Puebla, M).4. Mme Keller (v'), 78 ans, rue Clos-Rosselin, 3.1 Mm Bertin, 63 ans, rue des Rigoles, 3A. BULLETIN COMMERCIAL Paris, le 22 juin 1874. Crleaséé Blés. — Sans variation. Dispon. te cour., 38 25 à
— Sans variation. Dispon. et cour., 38 25 à e») )I)J, — Prochain, 36 M" à f»> MM.— Août, 32 50 — Septembre et octobre, 31 50. — 14 derniers, 30 75 à »» lm. Farines de commerce La hausse a fait de nouveaux progrès, principalement sur le comptant et le rapproché ; les autres époques fermes. Huit marquai. — Dispon. et courant, 85 25 à MM ». Prochain, 85 25 à »» »If. Août, 77 "" Sept. et octob., 69 derniers,6725. Supérieures. — Dispon. et courant, 83 », Prochain, 81 50.—Août. 75 75. — Sept. et octob., 67 50
— Sans ntaoivai.r Dispon. et cour 38 25 à e») )IJ, — Prochain, 36 M" à f»> M Août, 32 50 — Septembre et octobre, 31 50. — 14 derniers, 30 75 à »» ml. Farines d commerce L seuhas fi de vuaeonux progrès, principalement sur le comptant et le rapproché ; les autres époques fermes. Huit mrq. — Dispon. et courant, 85 25 à MM ». Prochain, 85 25 à »» »If. oû, 77 Sept. et octob., 69 derniers,6725. Supérieures. — Dispon. te courant, 83 », car,hPnio 81 50.—Août. 75 75. — Sept. et octob., 67 50
81 50.—Août. 75 75. — Sept. et octob., 67 50 — h derniers, 65 75. Trois-six Bonne tenue., Disp. et courant, 6J4 »». — Juillet et août, 67 75. — Septembre à décembre, 6.4 50. — Janvier à avril, 62 'n,. Huiles Huile de colza.-Mêmes cours, affaires calmes. Disp. et__ courant, 82 75 — Prochain, 83 25 — Août, 83 75. — la derniers, 85 50. — h premiers, 86. MI) Huile de lin. — Fermes ; on a traité quelques petites affaires à la cote. Dispon. et courant, 77 50.—Prochain, 78 »». — Août, 78 50. — h derniers,
81 50.—Août. 75 75. — Spt. et octob., 67 50 h derniers, 65 75. Trois-six Bonne tenue., Disp et courant, 6J4 »». — Juillet et ût, 67 7.5 — Septembre à décembre, 6.4 50. — Janvier à i,lrav 62 'n,. Huiles Huile de colza.-Mêmes cours, affaires calmes. Disp. et__ courant, 82 75 — Prochain, 83 25 — Août, 83 75. — la derniers, 85 50. — h premiers, 86. M) Huile de lin. — Fermes ; on a traité quelques petites affaires à la cote. Dispon et courant, 77 50.—Prochain, 78 »». — Août, 78 .05 — h derniers,
50.—Prochain, 78 »». — Août, 78 50. — h derniers, 79 50. L'Administrateur-Gérant, Louis G AL. PARIS. QUOTIDIEUX ET INF0MATION3 123 VENTES A L'ENCHÈRE — ADJUDICATIONS ADMINISTRATION GÉNÉRALE DE L'ASSISTANCE PUBLIQUE A PARIS Le mardi 11 juillet, à midi, adjudication en la chambre des notaires, par le ministère de M. HARLY-PERRAUD, l'un d'eux, Du bail, pour neuf années, à partir du 1er juillet 1874, D'UN TERRAIN DE 2,228 MÈTRES, avec façade d'environ 11 mètres, rue Delambre, n° 23 et 25 présumés. Mise à prix du loyer annuel 2,600 fr. S'adresser à l'Administration, quai de Gesvres, 1A° A, ou à M.
50.—Prchn, »». — Août, 78 50. drnrs, 9 50. L'Administrateur-Gérant, Louis G L. PARIS. QUOTIDIEUX ET IF0M3 123 VENTES A L'ENCHÈRE ADJUDICATIONS ADMINISTRATION GÉNÉRALE DE L'ASSISTANCE UBU A PARIS Le mardi 11 juillet, à midi, adjudication en la chambre des tis par le mnstèr de M. HARLY-PERRAUD, l'un d'eux, Du bail, pour neuf années, à partir du 1er juillet 1874, DUN TERRAIN DE 2,228 MÈTRES, avec façad denviron 11 mètres, r rlamebDe, n° 23 et 25 présumés. Mise à prix du lyr nnl 2,600 fr. S'adresser à l'dmnstrtn, quai de Gesvres, 1A° A, ou à M.
à l'Administration, quai de Gesvres, 1A° A, ou à M. Harly-Perraud, rue des Sts-Pères,15." (181 A) ou à M. DEQUET, avoué à Versailles, 113 86, avenue de Saint-Cloud. VENTE sur licitation, au tribunal de Versailles, le jeudi 16 juillet 1874, D'une MAISON A D' ANTIN, 22 faisant l'encoignure de celle de Port-Mahon (ancien 6e arrondissement, actuellement 9e'). Mise à prix : 130,000 fr. Produit actuel, susceptible d'augmentation : 12,300 fr. S'adresser pour les renseignements : A Versailles, à M. Dequett, Ducrocq et Legrand, avoués, et à Me Besnard, notaire, 17, rue Satory, Et à Paris, à M. Gentien, notaire, boulevard
à istro, quai de Gesvres, 1A° A ou à M Harly-Perraud, rue des Sts-Pères,15." 181 ) ou à M. DEQUET, avoué à Versailles, 113 86, avenue de Saint-Cloud. VENTE sur licitation, au tribunal d Versailles, le jeudi 16 juillet 1874, D'une MAISON A D' ANTIN, 22 faisant 'encoignure de celle d Port-Mahon (ancien 6e arrondissement, ctllmnt 9e'). Mise à prix : 130,000 fr. Produit actuel, susceptible 'augtatn : 12,300 fr. S'adresser pour les renseignements : A Versailles, M. Dequett, Ducrocq t Legrand, vés, et à Me Besnard, notaire, 17, rue Satory, à Paris, à M. Gentien, notaire, boulevard
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louer, 169, boul. de la Villette. Pr.1,200fr. S'adresser à M. Maestlé, 8, passage St-Louis, à Batignolles, de 11 h. à 1 h. et de 7 à 10 h. sr. « (1819) AVIS AUX ACTIONNAIRES CHEMINS DE FER ET CHANTIERS Avis urgents aux ACTIONNAIRES et aux OBLIGATAIRES. Arbitrages avantageux. OFFICE DU COMPTANT, 1, rue St-Georges. (1569) PRÊTS HYPOTHÉCAIRES CH. DESOINDRE, banquier, 12, place de la Bourse. (1753) CAISSE GÉNÉRALE DES CHEMINS DE FER ! 83, rue Richelieu, 83. Le liquidateur et les commissaires de la caisse générale des chemins de fer préviennent MM. les ACTIONNAIRES que les adhésions à la constitution
louer, 169, boul. de la Villette. Pr.1,200fr. S'adresser à . Maestlé, passage St-Louis, Batignolles, de 11 h. 1 h. et de 7 à 10 h sr. « (1819) AVIS AUX ACTIONNAIRES CHMNS D FER ET CHNTRS Avis urgents x CTNNRS et aux OBLIGATAIRES. Arbitrages avantageux OFFICE DU COMPTANT, 1, rue St-Georges. (1569) PRÊTS HYPOTHÉCAIRES CH. DESOINDRE, banquier, 12, place de la Bourse. (1753) CAISSE GÉNÉRALE DE CHEMINS DE FER ! 83 rue Richelieu, .38 Le liquidateur et les commissaires de l caisse générale sed chemins de fer préviennent MM. les ACTIONNAIRES que les adhésions à la constitution
préviennent MM. les ACTIONNAIRES que les adhésions à la constitution de la nouvelle société en formation, ne seront reçues que jusqu'au 30 juin, mois courant, 83, rue de Richelieu. Ce délai passé, aucune adhésion ne pourra plus être acceptée ; les adhérents seuls feront partie de la nouvelle société, et les non adhérents recevront, après une réalisation authentique et publique de l'actif social, 4% part qui leur reviendra dans la liquidation, suivant le nombre des actions qu'ils possèdent. « (191 A) LIBRAIRIE ET PUBLICATIONS DIVERSES L'ÉCONOMISTE DE SFONDS PUBLICS est envoyé gratis pendant deux mois sur demande au Directeur, 18,
ptéinvrenne MM. les INSACRATIENO que les dhins à la constitution de la nouvelle société en formation, n seront çerues que jusqu'au 30 juin, mois courant, 83, rue de Richelieu. C délai passé, aucune adhésion ne pourra plus être epteécac les hts seu feront partie de la nvll société et les non éstdaehnr recevront, après une réalisation authentique t p de l'actif social, 4% part qui leur reviendra dns la liquidation, suivant le nombre des actions qu'ils osnt. « (191 ) LIBRAIRIE ET PUBLICATIONS DIE L'ÉCONOMISTE DE SFNDS PBLCS est envoyé gratis anedtnp deux mois sur addmeen au Directeur, 18,
envoyé gratis pendant deux mois sur demande au Directeur, 18, rue du Quatre-Septembre. (857) L'HISTOIRE NATIONALE collection de l'Éducation populaire, est en vente chez Sandoz et Fischbacher, 33, rue de Seine. Elle formera 9 volumes ou fascicules à 5 CENTIMES. 12 sont parus. On les reçoit franco contre l'envoi de 1 fr. ACHATS ET VENTE DE FONDS DE COMMERCE fabrique de Cadres et Moulures, ville de 300,000 hab., port de mer, pas de concours. Loyer, 3,500 fr. Prix, 12,000 fr. Liebbe, rue A-Septembre, 8. (1621) À céder de suite; a beau, DONNE 1 HÔTEL, 6,000,000 fr. net 5,000,000. Bail 11
envoyé igtsar pendant deux ms sur demande Directeur, 18, u du Quatre-Septembre. (857) L'HISTOIRE NATIONALE collection de l'Éducation populaire, est en vente chez S et Fischbacher 33, rue de Seine. Elle frmr 9 vlms ou fascicules à 5 CENTIMES. 12 snt uasr.p On les reçoit franco contre l'envoi de 1 fr. ACHATS ET VENTE DE FNDS DE COMMERCE fabrique de Cadres et Mlrs, ville de 300,000 hab., port mer pas de concours Loyer, 3,500 fr. Prix, 12,000 fr. Liebbe, ure A-Septembre, 8. (1621) À céder de suite; a beau, DONNE 1 HÔTEL, 6,000,000 fr. net 5,000,000. Bl 11
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des Dames. Quelques gouttes par verre d'eau, il rafraîchit et adoucit la peau ; il lui donne du ton et de la fermeté; il fait passer les rougeurs, boutons, taches de rousseur, éphélides et efflammations. Les Médecins recommandent le VINAIGRE DE LA SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE aux personnes qui Après la barbe, il ôte le feu du rasoir mieux que tout autre préparation. Il est aussi d'une grande utilité pour celles qui sont fréquentes aux spectacles, les bals et autres lieux où l'air est plus ou moins vicié. Il est grand aussi d'une grande utilité pour celles qui sont sujettes aux pesanteurs
sde Dames Quelques gouttes par verre d'eau, il rafraîchit et adoucit la peau ; il l donne du ton et de la fermeté; l fait passer les rougeurs, boutons, chtsea de rssr, éphélides et efflammations. Les Médecins recommandent le VINAIGRE DE LA SOCIÉTÉ HNIUE aux pse qui Après la barbe, l ôte le du rasoir mieux que otut autre préparation. Il est aussi d'une grande utilité pour celles qui snt fréquentes aux spctcls, les bals et autres lieux où l'air est plus ou moins vicié. Il est grand aussi d'une rnadge utit pour celles q sont sujettes aux pesanteurs
d'une grande utilité pour celles qui sont sujettes aux pesanteurs de tête, aux migraines, aux maux de côlon, aux syncopes. Il convient parfois d'un flacon de ce VINAIGRE, raffermit les reins, redonne de la souplesse et de la vigueur aux membres fatigués, répare les forces, détruit toute odeur de transpiration, fétide, procure un bien-être inexprimable, et laisse tout le corps imprégné d'un parfum suave et durable. ENTREPÔT général à Paris, rue de Rivoli, 55 Maison : Palais-Royal, galerie d'Orléans, 24; — Boulevard des Italiens, 11; Boulevard de la Madeleine, 19. On trompe le public en vendant comme provenant de la
'dune grande utilité pour celles qui sont sujettes aux pesanteurs de tête, aux migraines, aux maux de côlon, x syncopes Il convient parfois d'un flacon de c VINAIGRE, rffrmt les reins redonne d l souplesse et l vigueur aux mmbrs fatigués, répare les forces, détruit toute odeur de trnsprtn, fétide, procure un bien-être inexprimable, et laisse tout le corps imprégné d'un parfum a et durable. ENTREPÔT général à Pais rue de Rivoli, 55 Maison : Palais-Royal, galerie d'Orléans, 24; — Boulevard des Italiens ;11 Boulevard de l Madeleine, 19. On trompe e ulic n vendant comme provenant de la
On trompe le public en vendant comme provenant de la SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE certaines compositions qualifiées à dessein du mot HYGIÉNIQUE. Le public ne devra recevoir comme provenant de notre Établissement que les Articles portant pour inscription, non pas la seule et vague addition du mot HYGIÉNIQUE, mais ces deux mots : SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE, ainsi que le cachet de la Société et la signature ci-dessus. En exigeant la preuve de ces indications, le public évitera les imitations qui, comme les contrefaçons, n'en trompent pas moins l'Acheteur sur l'origine et la nature de la marchandise. Depuis 27 ans, elle combat avec un
On trompe l blic en antednv comme prvnnt de la SCÉTÉ HYGÉNQ certaines compositions qualifiées à dessein du mot HYGIÉNIQUE. Le public ne devra recevoir comme provenant de nor Établissement q les Articles portant pour nsition, non ps la seule et vague addition du mot HYGIÉNIQUE, mais ces dxue mots SOCIÉTÉ HYGIÉNIQUE, ainsi que le cachet d la Société e la sgntr ci-dessus. xgnt la r de ecs indications, le public évitera les imitations ui, comme ls cntrfçns, n'en tre pas mns l'Acheteur sur l'origine et la nature de l marchandise. Depuis 27 ns, elle combat avec un
de la marchandise. Depuis 27 ans, elle combat avec un invariable succès les constipations, dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vides, aigreurs, acidités, pituites, nausées, renvois, vomissements, même en grossesse, diarrhée, dysenterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, congestion, névrases, insomnie, mélancolie, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose. 85,000 cures, y compris celles de M. le duc de Pluskow, Mme la marquise de Bréban, des docteurs Dédé, Wurzer, Campbell, Schorland, Ure, Angelstein, etc. Elle économise 50 fois son prix en médecine BIT BiBRV et €o, PARIS Et Partout chez les Pharmaciens et Épicier (1370) L'EAU DE CACHOU DENTIFRICE Célèbre par
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Pharmaciens et Épicier (1370) L'EAU DE CACHOU DENTIFRICE Célèbre par les célébrités médicales, de la préférence et de la faveur du public, qui la placent au premier rang des dentifrices, peut affirmer son immense supériorité sur toutes les autres eaux dentifrices à base d'ANIS, qui échauffent et irritent la bouche et la gorge. Le CACHOU-OPIUM À LA GLYCERINE et la POUDRE DENTIFRICE AU CACHOU, donnent aux dents blancheur et solidité. — Vente en gros: 13, boulevard Saint-Germain, Paris. Détail chez les principaux pharmaciens, parfumeurs et coiffeurs. (1912) Doctor Benito del Rio de Mexico, si recommandée pour ses sucres dans la
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