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Sens de variation de ku.
Soient les fonctions suivantes :
Allemand/Grammaire/Alphabet
Lettres latines.
L'alphabet allemand est presque identique à celui du français de base (c'est-à-dire sans les accents, cédilles et autres diacritiques qui sont uniquement utilisés dans les mots d'origine étrangère comme "Café" par exemple). Il s'agit donc d’un alphabet latin. L'ordre est également identique.
Seule une lettre supplémentaire existe en allemand, nous la verrons plus loin.
Écoutez l'alphabet lu en allemand :
Lettres infléchies.
Les voyelles "a", "o" et "u" peuvent être surmontées d’un signe (apparenté au tréma) qui indique une prononciation différente de celle de la voyelle de base correspondante : il y a inflexion de la prononciation ("Umlaut" en allemand) et les voyelles sont dites infléchies.
Autres digrammes.
La prononciation de l'allemand peut parfois être compliquée, en particulier lorsqu'une prononciation approximative peut changer le sens de la phrase.
Cependant, retenez bien que toutes les lettres de l'alphabet participent à la prononciation.
Lettre spéciale.
L'allemand comporte une lettre spéciale dans son alphabet, le eszett (également appelée "scharfes S") : (ß)
Le eszett provient de la ligature du "s" long (ſ) et d’un "s" simple. C’est une lettre qui a autrefois aussi été utilisée en français pour la transcription de manuscrits.
Prononcé dans un mot, le eszett équivaut à un double "s" bref et sifflant.
En Suisse, ce caractère a été officiellement supprimé au milieu du : il est désormais systématiquement remplacé par un double s, "ss".
Il est possible de le taper sur un clavier qui n'en dispose pas en maintenant Alt enfoncé puis en tapant 225, le eszett apparait lorsque Alt est relâché (sous Windows). Sur Mac, il suffit de taper Alt et S en même temps.
Allemand/Grammaire/Genres et nombres
Le genre des noms.
La langue allemande connait au singulier trois genres:
Au pluriel, les trois genres sont confondus.
Il existe de ce fait quatre formes de base pour l’article défini:
"Comparaison" : le français ne connait que deux genres (masculin, féminin), mais le pluriel fait la différence, sinon pour l'article, du moins pour les pronoms et les adjectifs.
Pour ce qui ne relève pas d’une règle simple et courante, il est préférable d'apprendre systématiquement par cœur chaque mot avec son article défini.
Il faut noter par ailleurs que tous les noms, qu’ils soient propres ou communs, s'écrivent systématiquement avec une initiale majuscule.
Orgue/Histoire
Des premières machines à vent au grand orgue symphonique du XXe siècle, il ne fait aucun doute que cet instrument connaît une longue évolution. Du jamais vu dans l'histoire de l'organologie ! Pourtant, dès le XVIe siècle, toutes les connaissances étaient déjà présentes.
Premiers instruments.
Au IIIe siècle à Alexandrie en Egypte, Ktesibios (ou Ctésibios) invente un instrument, l'hydraule présentant une pression stable apportant un vent important à des tuyaux à anches très bruyant. Il semblerait que certains de ces instruments étaient munis d'un mécanisme permettant un fonctionnement automatique seulement aucune source ne le prouve.
Les modèles romains possédaient trois rangées de tuyaux actionnées par des registres et et des touches. Deux pompent amenaient l'air. Pour équilibrer la pression, l'eau baisse dans la cuve intérieur (donc augmente dans la cuve extérieur) puis remonte créant ainsi une pression constante d'air.
L'instrument étant très fort et puissant, il était employé dans les amphithéâtres pouvant couvrir le bruit de la foule. Il existerait également un instrument plus discret sur le même principe utilisant des tuyaux flutés. Il aurait été employé lors de banquet.
Au VIIIe-IXe siècle, l'empereur byzantin Constantin V offre un orgue hydraulique à Pépin le Bref et Charlemagne sous le nom d'organum (A noter que le terme organum s'applique également à une forme primitive de polyphonie vocale durant le moyen-âge).
Du petit vers le grand orgue.
L'orgue portatif.
Les premiers orgues d'église étaient à Aix-la-Chapelle (812), Strasbourg (IXe s.) et Winchester (Xe s.). Mais il faut attendre le XIIe s. pour voir les premiers orgues portatifs utilisés pour la liturgie. Il peut être porté, le clavier à la main droite et le soufflet à la main gauche, mais grandit rapidement et nécessite une personne pour actionner les soufflets. Il est donc possible d'utiliser le clavier à deux mains. Sa fonction principale est d'accompagner le chant.
Nota Bene : Il n'était pas autoriser d'utiliser un instrument sur le plain-chant, seul l'orgue et le serpent (ancêtre du tuba) parvinrent.
L'orgue positif.
A force de grandir, il n'était plus possible de laisser l'instrument sur une table et devint vite plus lourd, dans un meuble et fixe au lieu. Pour des questions d'acoustique et de préservation, il sera le plus souvent installé sur une petite tribune. Soutenant toujours le chant, l'ajout de registrations et l'augmentation de l'amplitude du clavier permettra le début de premières oeuvres purement instrumentales. Il apparaît au XIIe s. et verra son apogée au XVes. Il est souvent munis d'un clavier et rarement d'un pédalier d'une octave au moins. Il contient quelques registrations plutôt à bouche et sera utilisé dans la musique baroque comme basse continue avec le clavecin.
Le grand-orgue.
En parallèle se développe sur les tribunes des Instruments démesurés avec des tuyaux jouant une octave voir deux en dessous (16' et 32'), et d'autre jouant les harmonique de sa fondamentale (8'). C'est le début de la fourniture (ou le plein-jeu) pouvant atteindre 10 voir 50 tuyaux pour une touche. Ces instruments demande une quantité d'air importante et requiert plusieurs soufflets donc plusieurs souffleurs.
Anecdote: Les souffleurs étaient souvent des sans-abris et alcooliques trouvés sur la voie publique. Ainsi, plusieurs "cadavres" de bouteille on été retrouvé au niveau des soufflets dans les très vieux orgues.
Les claviers modernes n'existaient pas. Ceux-ci ressemblaient a des palettes larges actionnées soit par les poing ou par les pieds. Ce système est proche des carillons.
Peux après, le positif et le grand-orgue occupe la même tribune et les claviers sont réunis pour être joué que par un seul organiste. Les différents plans sonores se précisent et encore aujourd'hui ces dénominations sont restés.
L'orgue baroque.
Au XVIIe s., les facteurs commença à décorer richement les buffets et à multiplier les jeux spéciaux tels que le cornet V, le chalumeau, etc. Des spécificités et des caractéristiques liées à des régions vont apparaître.
En Allemagne du Nord, Arp Schnitger (1648-1719) amène l'orgue du nord à son apogée (Norddeutsche Orgelschule),de même avec Gottfried Silbermann (1683-1753) en Allemagne du centre. L'école de l'Allemagne méridionale s'inspire de l'orgue italien mais on distingue trois familles, les Gabler, les Riepp et les Holzhey. A savoir que l'école du nord et centrale sont associés à la fois protestante tandis que l'école méridionale est resté catholique.
En France, nous pouvons citer François-Henri Clicquot (1732-1790).
Bien sûr, chaque école ont leurs différences et chacune sera étudiée ultérieurement.
Allemand/Grammaire/Interrogatifs
Interrogatifs en plusieurs éléments.
"wie" se combine avec un certain nombre d'adjectifs de mesure, voire de qualité :
Des prépositions peuvent précéder le mot interrogatif lui-même:
Interrogatifs prépositionnels.
Certains verbes ou adjectifs appelés à régime ou prépositionnels réagissent avec un complément prépositionnel tel que: an, für, um, auf, über...
Les traductions des prépositions dépendent du verbe employé et la réponse doit reprendre le verbe et la préposition.
Les questions se forment avec:
Wo + r (seulement si la prochaine lettre est une voyelle)+ préposition
Quelques exemples
Notez que dans les deux premières phrases, le complément est le même, mais le cas est différent (accusatif pour le premier et datif au second).
Structure de l'atome
Langage C++/Introduction
Préambule :.
Ce cours est pour le moment destiné à donner les clefs permettant l'apprentissage des bases du langage C++. Ce cours n'a pour le moment pas vocation à faire de vous des développeurs de haut vol mais simplement vous apprendre à utiliser le langage C++ de manière efficace à des fins d'aide de travail avec l'outil informatique.
Je m'efforcerai dans ce cours d’être précis, concis et pédagogique. Si d'aventure vous ne compreniez pas un point du cours, je m'efforcerai de répondre à vos questions.
Avant de commencer vous pouvez, si vous le désirez, consulter ce lien qui vous permettra d’en apprendre un peu plus sur l'histoire du C++
Introduction :.
Des Chiffres et des BITs.
Dans un ordinateur les données sont représentées par des ensembles de cases mémoires. Ces cases mémoires, appelées "BIT" (de l'anglais Binary-digIT), ne peuvent prendre que 2 valeurs. Soit la valeur 0, soit la valeur 1. Pour représenter des nombres plus grands que 0 ou 1 nous devons rajouter des rangs de bits.
Voici, pour exemple, la représentation binaire des nombres décimaux de 0 à 9 :
Il existe une formule mathématique qui permet de connaître le nombre de valeurs possibles qu'un ensemble de n bit(s) peut prendre :
nombre_de_valeurs_possibles = formula_1
Il existe une formule mathématique permettant de connaître le nombre maximal que l’on peut représenter avec un ensemble de n bit(s) :
nombre_maximal_representable = formula_2
Il existe une formule qui permet de convertir n’importe quel nombre binaire en nombre décimal :