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Glycogénolyse.
Seul le Glc est capable de passer la membrane cytoplasmique, G1P ou G6P sont incapables de sortir de la cellule.
La glucose phosphatase n'existe que dans le foie. Dans le muscle il y a aussi une réserve de glycogène.
La glycolyse.
S'effectue dans toutes les cellules sauf les adipocytes (utilisent les acides gras) et le foie (utilise les acides aminés).
Cet ensemble de réactions s'effectue dans le cytosol.
Glycolyse s'effectuant en milieu ANAEROBIE ( absence d'oxygène) .
Devenir des 2 molécules de pyruvate.
Deux devenir différents suivant la situation anaérobie (O2) ou aérobie (O2).
définition:la glycolyse est la séquence de réactions enzymatiques conduisant à la transformation, dans le cytosol,du glucose en pyruvate stratégie chimique : phosphorylation du glycose et conversion d'intermédiaires phosphorylés en composés à haut potentiel de transfert de groupements phosphate et transfert de groupements phosphate conduisant à la synthèse d'ATP.
La chaîne respiratoire.
Les coenzymes sont dans la matrice mitochondriale. La chaîne respiratoire va permettre de régénérer les coenzymes réduits.
Ces réactions d'oxydoréduction s'effectuent au niveau de la membrane interne de la mitochondrie et à l'aide d'enzymes et de coenzymes à savoir des enzymes de transport de protons (H+) du transporteur réduit (NAD ou FAD) du O2 et d'autre part des enzymes de couplage énergétique le tout constitue la chaîne respiratoire.
But de la chaîne respiratoire : faire passer des protons et des électrons d'un potentiel le plus électronégatif vers un potentiel le plus électropositif.
Les protons libérés dans l'espace inter membranaire par le CoEQ ressortent vers la matrice de la mitochondrie via un complexe F0/F1.
F0 = canal protéique à protons
F1 = complexe ATP/synthétase
Le transfert des 2 protons au travers de F0 permet de faire fonctionner F1 et donc de fabriquer une molécule d'ATP
dans l'espace inter-membranaire, H+ rencontre O2 qui le capte pour former de l'eau.
Cycle de Krebs.
Dans la matrice de la mitochondrie
Métabolisme des acides aminés.
Devenir des protéines alimentaires.
Alimentation ⇒ protéines alimentaires (végétales et animales) ⇒ acides aminés (par l'action de protéases)
Acides aminés non-indispensables, indispensables (Tryptophane, Lysine, Leucine, Isoleucine, Valine, Thréonine, Méthionine, Phénylalanine), acides aminés pseudo indispensables (Arginine, Histidine).
Le "turn-over" des protéines tissulaires est de 1 à 2% ("par jour ? information lacunaire à ce niveau"). C'est à dire que 1 à 2% des protéines tissulaires sont dégradés en acides aminés. 75% des acides aminés obtenus servent à synthétiser d'autres protéines. Le reste est soit dégradé sous forme de déchets (urée), soit on en fait des glucides ou des corps cétoniques. Ce qui signifie que la perte nette journalière en protéines est de 30/40g. Pertes en azote de 5 à 7g/jour.
Il n'y a pas de stockage d'acides aminés.
Bilan de N : équilibre : entrées = sorties
Mais parfois ce bilan peut être positif Entrée > Sortie
Ou bien peut être négatif Entrée < Sortie
Catabolisme des acides aminés.
Réaction de transamination.
réaction de transfert de la fonction amine
Attention à gauche: le deuxième acide est un acide cétonique
Devenir de l'ammoniac.
Cycle de l'urée : consomme 4 molécules d'ATP par molécule d'urée synthétisée
Cette voie est consommatrice d'ATP : l'organisme doit dépenser de l'énergie pour ce processus de détoxication.
Bilan énergétique : - 4 ATP / molécule d'urée synthétisée.
Le métabolisme des lipides.
Acides Gras : entrent dans un cycle de β-oxydation au niveau de la matrice mitochondriale
β-oxydation des acides gras (matrice mitochondriale), les réactions se font en chaîne et on l'appelle "hélice de Lynen".
Bilan : pour un acide gras en C18 (18/2=9 ; 9-1=8; 8 tours d'hélice)
pour un C24 : 12-1= 197 ATP
eg : lorsque l'on mange une religieuse au chocolat et que l'on ne dépense pas ce sucre par un footing, le glucose ne se dirige pas vers le Cycle de Krebs mais vers les Acides Gras. Il y a conservation d'un peu de sucre pour fabriquer du glycérol (glycérol + 3 acides gras = triglycéride).
La transformation du glucose en acides gras + glycérol = triglycéride s'appelle la lipogenèse (a lieu dans le foie et les tissus adipeux).
Biochimie
La biochimie est la science étudiant les réactions chimiques ayant lieu au sein des cellules.
Enseignement de l'anglais/Faux amis
Langue des signes française
La langue des signes française (LSF) est une langue gestuelle qui est
utilisée par certains sourds et/ou muets et malentendants en France.
Ce site est une collection des ressources pour l'apprentissage de la langue des
signes française.
Vous trouverez sur les pages suivantes des outils pour vous aider à comprendre et progresser en LSF :
La grammaire en LSF.
Prérequis pour comprendre la structure et le fonctionnement de la LSF.
/Leçons/.
Organisées par niveau (du "niveau 1" au "niveau 20") : une progression pour apprendre la LSF pas à pas.
Le vocabulaire.
Des signes en photos ou vidéos pour enrichir son expression en LSF (classer ordre alphabétique, par thèmes ou par Configuration).
/Exercices/.
Des exercices sous formes de vidéos pour s'entraîner à signer !! Bien que pour progresser nous ne pouvons que vous conseiller de pratiquer avec des amis sourds... :-)
Pour en savoir plus....
Où apprendre la LSF.
Institut Des Jeunes Sourds, Jarville La Malgrange, 2, rue Joseph Piroux.
Tribologie/Généralités
Bibliographie.
La liste des ouvrages de référence est très longue, vous la trouverez ici et l'on vous expliquera aussi pourquoi il est de plus en plus difficile d'obtenir des informations fiables dans ce domaine.
Introduction.
Un peu d'histoire et de vocabulaire.
« "Frote ses dois, frote ses mains" », écrit (avec l'orthographe de l'époque) le poète Gautier d'Arras au . L'origine du verbe frotter se perd dans la nuit des temps.
Il est étrange que les mots frotter, frottement, frotteur, friction, soient utilisés dans le langage courant aussi souvent et avec des sens aussi divers, dans des expressions comme :
Les phénomènes de frottement, d'usure, et tous ceux qui leur sont liés, ont été de tous temps mis à profit et étudiés à diverses fins. Le vocabulaire a beaucoup évolué au fil des époques, faisant écho aux évolutions des techniques industrielles et des théories scientifiques. Lydie Mariac, auteur du gros livre "Introduction à l'étude du frottement", a fait sur ce sujet une étude lexicographique particulièrement intéressante.
Le mot tribologie, construit à partir des racines grecques "tribo" ("τριβειν", "tribein", frotter) et "logos" ("λογος", "logos", discours, étude), a été proposé en 1968 par G. Salomon pour désigner la science qui étudie les phénomènes susceptibles de se produire lorsque deux corps en contact sont animés de mouvements relatifs. Il recouvre, entre autres, tous les domaines du frottement proprement dit, de l'usure et de la lubrification.
Les problèmes tribologiques ne sont pas nouveaux et de tous temps les hommes ont cherché et trouvé des solutions pour les résoudre. Les civilisations antiques ont mis au point des mécanismes élaborés pour réaliser des tours de potiers, des gonds de portes ou des roues de chars. Les gravures des tombes de Saqqara montrent un « tribologue » égyptien en train de lubrifier la piste sur laquelle on fait glisser une statue.
Les ingénieurs militaires romains ont largement utilisé les principes de la tribologie pour construire des machines de guerre et des fortifications. Dans des bateaux de guerre trouvés dans le lac Nemi, près de Rome, on a découvert des billes de bronze et des rouleaux utilisés pour faciliter le mouvement de plateformes tournantes.
Pendant la Renaissance, Léonard de Vinci (1452-1519), qui fut tout à la fois peintre, sculpteur, ingénieur et bien d'autres choses encore, découvrit que la force tangentielle due au frottement est proportionnelle à la charge normale qui s'exerce sur les contacts. Ses carnets de notes montrent un grand nombre de dessins d'éléments de machines très semblables à ceux qui sont en usage aujourd'hui.
Dans son "Thresor de la langue francoyse", publié à Paris en 1616, J. Nicot rapproche le mot frottement du latin "affrictus" et le verbe frotter de "fricare". Le "Dictionnaire de l'Académie françoise", en 1694, définit le frottement comme "la collision de deux choses qui se frottent". Plus tard, en 1878, la notion de collision disparaît au profit d'"action de frotter", "action de deux choses qui se frottent". En 1932, les références à la mécanique se font beaucoup plus précises et l'on parle de "frottement doux", de "frottement de pivotement", etc.
Les inventions de John Harrison (1693-1776) dans le domaine des chronomètres de marine montrent une très bonne compréhension des phénomènes tribologiques. Il savait très bien que les huiles utilisées à son époque ne pouvaient pas garder très longtemps leurs propriétés, et que celles-ci variaient également en fonction des conditions climatiques. La meilleure manière de résoudre un problème étant finalement de le supprimer, il construisit ainsi des horloges capables de fonctionner sans aucune lubrification.
Vue d'ensemble.
La tribologie s'intéresse à l'étude et à l'interprétation scientifique des faits expérimentaux, mais elle a également un but très concret dans tous les domaines qui touchent à la technologie : rechercher et codifier les méthodes qui permettent de donner un « bon comportement » aux contacts mécaniques, sachant que les organes qui constituent les machines « lâchent » aujourd'hui bien plus souvent par leurs surfaces que par leur volume. La connaissance de la tribologie est devenue une nécessité pour de multiples raisons :
Ce sujet d'une rare universalité nous conduira à explorer de très nombreux aspects des sciences et des techniques, le frottement et l'adhérence, bien sûr, mais aussi :