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BROUWER, pastoor te Loe nersloot. 10938 Aan de Mariaschool te ZWOLLE wordt zoo spoedig mogelijk :09ïi gevraagd een vaste en een tijdelijke Onderwijzeres Brieven aan de Eerw. Overste, Liefdegesticht, Gasthuisplein 10. Alle Natuur- en Scheikundige Instrumenten voor het L.O. en M.U.L.O. levert M. SANDWIJK, Electr. Fabriek van WETENSCHAPPELIJKE INSTRUMENTEN Jonker Fransstraat 122 ROTTERDAM. Vakkundige afwerking. Billijke berekening. Alle reparatiën worden spoedig en oordeelkundig uitgevoerd. Neemt proef met onzen AREOMETER met veranderbaar volume. Ned. Octrooi 6073. 7392 Vraagt inlichtingen ! P. JVI. TAiWSON Instrumentmaker NIEUWSTRAAT 7 en 9 INT. TEL. H. 2533 ’S-GRAVENHAGE. INSTRUMENTEN en BENOODIQDHEDEN voor het onderwijs in Natuur- en Scheikunde, zoowel voor Lagere- als Middelbare Scholen. 8065 GEREEDSCHAPPEN voor Kunstnijverheidscholen. BENOODIGDHEDEN VOOR HANDENARBEID (Slöjd): Klei- ) bewerking, Kartonbewerking, Boekbinden, Figuurzagen, Houtbewerking, Houtsnijden. 600 soorien Papier en Linnen voor Boekbinden. 364 HET KATHOLIEKE SCHOOLBLAD. Aan de met 1 Juli a.s. te openen St. Jozefschool (7 lokalen) te HILLEGOM (2e klasse) worden gevraagd Onderwijzeressen], waaronder één met Hoofdakte (f 100 plaatsvervangend hoofd) en 10875 aan de R. K. Meisjesschool inde St. Jozefparochie tegen 15 Juni eene Onderwijzeres. Brieven voor beide betrekkingen aan den Zeereerw. Heer Pastoor B. v. LEEUWEN of voor de eerste ook aan ’t Hoofd der school N. J. J. HEIRMAN, Zilk A 75, Hillegom. Aan de R. K. Par. Jongensschool te HENGELO (O.) (2e klas) 10675 worden nog eenige Onderwüzers(essen) gevraagd. De school is geheel nieuw, modern ingericht, met gym nastieklokaal en schoolbioscoop. Brieven aan 't Hoofd der school G. J. DRAAIJERS, Hengelo (O.) GEVRAAGD te IJZENDIjKE (Z.) aan de R. K. Jongensschool, een Onderwijzer[es). Zeer billijke pensions. Brieven aan den ZeerEerw. Heer 10920 P. BUIJSROGGE, Pastoor. Hazerswoude-Zwaantje. GEVRAAGD eene Onderwijzeres aan de Zusterschool. Brieven aan de Eerw. Overste St. Lidwina-Gesticht Hazerswoude, (Rijndijk). 10918 Goochelen Buikspreken, Schaduwbeelden en Salon-Poppenkast met Tooversprookjes. Eenig adres: 10318 HENRI NOLLES, Hazelaarstraat 86 :: DEN HAAG. Telefoon M. 343. GEVRAAGD aan de R. K. School te ACHTERVELD (bij Amersfoort) (dorp geheel Katholiek) een Onderwijzer en eene Onderwijzeres. Brieven aan den Z.Eerw, Pastoor G. BENTINCK. 19916 ALGEMEENE HYPOTHEEK- EN VERZEKERINGSBANK ■— HOOFDKANTOOR TE ARNHEM, EUSE B I U S-B INNENS I N G E L LEVENSVERZEKERING LIJFRENTE STUDIEVERZEKERING De Bank heeft GEEN gelden belegd in Effecten of andere aan koerswaarde onderhevige papieren, doch enkel onder EERSTE HYPOTHECAIR verband, waardoor een polis door haar afgegegeven STEEDS ten VOLLE gewaarborgd is. 100C4 Ged. Commissarissen: G. H. P. BLOEMEN te Oldenzaal, Lid van Ged.
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C’est alors que la place Saint-Martin étant noire de monde, ce matin, à l’heure de la messe, que le potache de quinze ans et demi, élève de l’École Supérieure de Pithiviers, a été arrêté par l'agent Blosse. Le jeune garçon, vêtu d’un pardessus de voyage, le pantalon au pli impeccable, ne portait plus le costume de golf avec lequel on l’avait vu prendre la fuite. Conduit au poste de police, il a été interrogé aussitôt par le commissaire Pugnières qui a obtenu les aveux du jeune criminel. Vers midi, une perquisition a été effectuée à l’hôtel Dervaux, place de la Gare, où il avait passé la nuit. MM. Pugnières, Lame, secrétaire du commissaire, et Petitdemange, officier de paix, ont saisi à l’hôtel deux mallettes appartenant à André Berthélémy, et c’est encadré de deux agents que Berthélémy a gagné, à midi 35, le poste de police. L'arrestation du criminel s’est produite dans les circonstances suivantes : c’est l’un de ses oncles, dont on veut garder le nom sous silence, qui, ayant appris l’affaire par les journaux et ayant rencontré le jeune Barthélémy à sa sortie de l’école, l'aurait signalé à l’agent Blosse qui l’aurait aussitôt mis en état d’arrestation. Berthélémy est très calme et ne paraît pas se rendre compte de l’horrible méfait qu’il a commis et qu’il a avoué sans réticence, tout en restant très circonspect sur le mobile du crime. Saint-Dié, 28. — Au cours de son premier interrogatoire, après avoir reconnu être l’auteur du meurtre, Berthélémy aurait déclaré qu’il avait fait à Mme Jean des avances qu’elle aurait repoussées. Perdant la tête, il aurait sorti un revolver de sa poche et tiré deux coups de feu. C’est pour pouvoir prendre la fuite qu’il aurait, ensuite, dérobé à ses parents une somme de 2.000 francs. Un concours de tanks. Les tanks de la légion italienne, qui prenaient part, ces jours-ci, à un grand concours, ont été soumis à de rudes épreuves. En voici un, par exemple, franchissant un obstacle particulièrement difficile, qui exige beaucoup de sang-froid de la part des hommes. Photo NYT. Cliché UNION. Angers. Quelques révélations sur les instructions secrètes données à la presse par le gouvernement allemand. La Roche-sur-Yon, 28. — Il a été procédé, aujourd’hui, à Beaurepaire (Vendée), à l’opposition d’une plaque commémorative en souvenir du chevalier Charles de Beaurepaire qui, en mars 1793, lors du soulèvement vendéen, commanda une division. Le général vendéen fut tué en octobre 1793. Anjou, Timbres. Prague, 28.
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Secundum ucrbfentcntiam meam, 6 Pole, qui iniuriatur iniuftuftp eft , om- nino cft ante alios mifer : milcrior ta- men , fi iniuriarumpatnas nunquam luat,fuppliciumip iuftum a Dijs horni - nibusq; reportet. Canit contra Artimiftum,defatu corrupto. TopSUieflixicaft USU •meem ovy fferiy t»,£ Jt uga. ruy roioirruy Tcw«t9«(/,o puA uvety o iru- TrorSif eflcwareu recepis dvnyias inrufCc- A<i(/. id cft. Iniuria pati cuilibet graue eft , huiuf- modiucrb aliquid pan , quod nec dici quidem clare ab homine atfecfto poffit, infelicitas nimia eft. Homerus lliad » libro. Avontfiy cy gx trarxf Lfcvidxs 'siri yxfa®- 'oV' J' fi ( < ice tuvuuy ifyat.it q,3lcraLaxd votidvmi cAarrct visas T'e)t.vyirovs ifcouSetoas Tt O/yarfas Kori lahapous Lsfac(opivev s,xsa rnirut Ttxroe BaVcopuva •mari ievty dxrf fxitrxri. id eft. infelicem quem pater Saturnia in fencAutls limine Mifera calamitate perdidit, multa mala intuitum: Et filios pereuntes, a- filias per uim abftradet. Et thalamos uaflatos.cr liberos infantes Ad terram proieAos in graui confli Au. Menander in Enchiridio. Ey ois cu drvyxox tis LrSfcarr®- rimas nxisce r tincis irhnaiafvy xfvrac. oV7ro<ky cu/ ipuy,H rvyx xffa. vccmct A Tx pxA ■wfocr£oKdixuy'uxoaoiy ep'efn: ilspoi dtysrcu Laxiy tx lucui ait. id eft. Nunquam putabam : Verum fortuna cr omnia InexpeAata animum fuo flatu deijciunt : Quam femper aliud malum pofl aliud mibi nafciher. EuripidesTragicus. KxxAupSbim A tpurri Laxet f io? •astri ii puraCoAcu A\nrxfcu:i </l 'i m Laxis isc"ovAy «Xyi ovyyvis cfvuM®' iy. id eft. Viro, qui felix aliquando uocatus fuit, Molefla e A mutatio: eu: uero femper flniflra E ortuna furit, nihil dolet, ut cui familiaris fit calami» tis. Euripidei in Antigone. irri ccKftcy uxtiny Laxiy yfttyitxy. id eft. Malarum ultimam lineam attigimus. idem in Aeolo.
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Hile, agissant aujourd'hui au nom de cette dernière, allègue que les opérations qui ont motivé la création de ces valeurs, et nécessité, pendant une si longue période de temps, la déblocage nation du crédit ouvert par la société demanderesse, seraient absolument hors de celles prévues par les statuts de l’Assurance financière ; car en effet, cette société aurait été créée uniquement dans le but d'assurer la reconstitution des capitaux par l’Assurance mutuelle nue. Par suite, elle n’aurait pu valablement être en gagée dans des affaires financières, ni contracter aucun emprunt à aucun des participations dans lesquelles elle aurait pris un intérêt : non, d'ailleurs, le conseil d'administration, ni les actionnaires, dans les assemblées générales ordinaires et extraordinaires qui ont pu être tenues pendant la durée de ces opérations, n'auraient autorisé ni ratifié les engagements qui en étaient la conséquence; non, ces opérations seraient mals comme antistatutaires. Attendu, en outre, que lès qualités, prétend qu’aux termes des statuts sociaux, M. Roulan, directeur de l’Assurance financière, faute de pouvoir, sans l'autisation du conseil de cette société, prendre aucun engagement au nom de cette dernière, n'aurait pas eu qualité pour conférer à un tiers le mandat de faire, en son lieu et place, ce qu’il ne pouvait faire lui-même; non, dès lors, la délégation de sa procuration par Roulan à un sieur Hébert, à l’effet d'endosser les valeurs transmises à la Société de Dépôts et de contrôler les comptes courants, ne saurait avoir pour effet de lier l’Assurance financière vis-à-vis de la société demanderesse, puisque celle-ci ne peut s'en prendre qu'à elle-même de la trop aveugle confiance qu'elle a cru devoir accorder à un directeur infidèle; Mais attendu qu'il convient, tout d’abord, de remarquer que les opérations intervenues d'un commun accord entre l’Assurance financière et le Comptoir d'avances, avaient pour objet des prêts sur des créances dues à des particuliers par les communes de l'île de la Réunion, et dont cette dernière société s'était rendu acquéreur; que, s’il est vrai que les statuts de l'Assurance financière ne comprennent pas cette catégorie des créances parmi celles qui doivent servir à opérer la capitalisation d’une partie dénommée « primes », dans les versements qui sont faits par ses clients selon l'art.
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Discouraged at length, and finding the Platte growing every day more shallow, they discharged the principal part of their cargoes, one hundred and thirty miles below Fort Larami^ which they secured as well as possible, and, leaving a few men to guard them, attempted to continue their voyage, laden with sohie light furs and their personal baggage. Afler fifleen or twenty days more struggling in the sands, during which they made but one hundred and forty miles, they sunk theii barges, made a cache of their remaining furs and property in trees on the bank, and, packing on his back what each man could carry, had commenced, the day before we encountered them, their journey on foot to St. Louis. We laughed then at their' forlorn and vagabond appearance, and, in our turn, a month or two afterwards, furnished the same occasion for merriment to others. Even their stock of tobacco, that sine qua nan of a voyageur, without which the night fire is gloomy, was entirely exhausted. However, we shortened their home- ward journey by a small supply from our own provision. They gave us the welcome intelligence that the buffalo were abundant some two days' march in advance, and made us a present of some choice pieces, which were a very acceptable change from our salt pork. In the interchange^ of news, and tne renewal of old acquaintanceshins, we found wherewitha. 86 COL. FBEMOKt's NABBATI7B OF to fill a busy hour 5 then we mounted our horses and /i\ ej shouldered their packs, and we shook hands and parted.
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100 FAMILIEPORTRET Om kort te gaan, alle Tjaarda s kregen het, op mijn overgrootmoeder en op Martzen na. Fedde was de eerste en enige, die stierf. Hij lag gekromd en was haast onherkenbaar. – Het land moet besteld worden, zei hij nog een keer. – Ziek zijn is een zonde voor God! Martzen Tjaarda was doodsbleek toen ze van het sterfbed wegtrad. Maar er broeide iets in haar hele wezen, toen ze haar broer had gewassen en afgelegd en vluchtig langs de naaste buren was gelopen, om aanzegging te doen van hun dode. Toen ze thuis kwam, zat haar moeder machteloos en betraand in het voorhuis. Martzen schudde haar bij de schouder, keek rond en vroeg: – Waar zijn Fedde’s laarzen? Mijn overgrootmoeder keek haar angstig aan bij die vraag, maar Martzen was niet van zinnen geraakt van verdriet, zoals het eerst bijna had willen lijken. Ik ga er op uit, zei ze, het land ploegen. Het werk mag niet blijven liggen. Haar moeder hees zich moeizaam op langs (Ie rechte, onbarmhartige stoel. – Ploegen? Jij? vroeg ze. – Maar je hebt nog nooit Martzen had de laarzen van haar doden broer al ineen hoek ontdekt, en begon ze aan te trekken; ze bond haar rokken op onder de schorteband en zette een zwarte kaper op, die de vrouwen des winters gebruikten, als ze naar buiten moesten, om de schapen te melken. Het was nog altijd rauw buiig weer, een stuurse Aprilmaand. De wolken waren niet van de lucht; soms streepte er fijne koude regen. Alle geboomte stond kaal, ineen grauwgroene nevel. Het land zag er nog half braak uit, zelfs waar Juw en mijn grootvader en oudoom geploegd hadden. Het was een aanblik, zo mistroostig, dat men nog niet begrijpt, dat Martzen Tjaarda niet van ’t eerste ogenblik af met wanhoop geslagen werd. Maar neen; zij liep naar de paardestal en haalde den schimmel en den vos voor ’t licht. De paarden, die een kleine week lang niets te doen hadden gehad, knauwden driftig op de gebitten; hun staarten zwiepten in Martzen’s ogen. Ze 101 FAMILIEPORTRET stompte de trappelende ongedurige beesten. Wacht maar, zei ze binnensmonds; wacht maar, ik zal je....! De ploeg lag nog aan de rand van het hoornleger, aan de slootkant. De modder van het Papen-land zat in zilverzwarte korsten op de snee. Martzen sleurde het lompe werktuig met rukken en horten op de akker.
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De niet-deskundige lezer wete namelijk, dat onze wet vroeger kende een „summiere" procedure, die aanving met een dagvaarding, waarna wederzijds een met redenen omkleedc conclusie werd genomen en ook een dag voor pleidooien kon' worden 'bepaald. Die procedure werd afgeschaft door de Wet Hartogh, zoodat thans, gelijk van Rossem opmerkt, het voorschrift van art. 626 niet meer is op te volgen: „op de eenig bekende wijze van procedeeren zal dus nu de wrakingsprocedure moeten worden gevoerd." Volgens dezen gezaghebbeiiden schrijver duidt dus het woord „summierlijk" volstrekt niet op „een vlug onderzoek" enz., gelijk Mr. V. meent, doch op een  15 Juni 1921 ECONOMISCH-STATISTISCHE BERICHTEN 515 wijze van procedeeren, die niet meer bestaat, zoodat niets anders dan het gewone langdradige proces mogelijk is. De vergelijking van Mr. V. met art. 6 Faillissementswet gaat evenmin op. Volgens vaststaande jurisprudentie heeft het woord „summierlijk" daar een geheel andere beteekenis, namelijk dat de Rechter aan de regelen van het wettig bewijs in burgerlijke zaken niet gebonden is (Molengraaff, 4e druk, II iblz. 947). Ik treed hier niet in eigen beschouwing over de oplossing der behandelde kwestie. Doel van dit schrijven was slechts, de „handels- en bedrijfskringen". welken Mr. V. „tweeërlei weg" wijst om aan de wrakingsmoeilijkheid te ontkomen, te waarschuwen dat die wegen glibberige paden zijn, waarnaast de afgronden der open rechtsvragen gapen. Green gids mag deze wegen zonder ernstige waarschuwing aan argelooze wandelaars aanbevelen.1) Mr. W. Nolen. LONDENSCHE CORRESPONDENTIE. De mijnwerkersstaking; de moeilijkheden in de katoennijverheid; de positie der regeering; afschaffing der garantieprijzen voor graan; de Key Industries BUI; handelsbeweging over de maand Mei.
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Lorsqu'un jugement condamne une partie, moyennant l'affirmation qu'il charge l'autre de faire, à l'instant et à l'audience, la partie condamnée n'est pas censée acquiescer à ce jugement, par cela seul que son avoué n'appelle en ne proteste pas en face du juge. Ordonnance de 1667, titre 27, art. 5. — Code Napoléon, article 1351. La commune de Neufchâteau. C. Thibleau. 21 thermidor an 8. — Cour de cassation. — Cassation. — Tribunal civil des Ardennes (c). (APPEL INCIDENT.) V. 1. — (BILAN.) — Lorsqu'un failli a compris, dans le passif de son bilan, une dette à laquelle il a été condamné en première instance, il est censé, par cela seul, avoir acquiescé au jugement de condamnation. — Il est donc non recevable à en interjeter appel. Ordonnance de 1667, tit. 27, art. 5. — Code Napoléon, art. 1351. Doyen et Durieu. C. J... 27 frimaire an 12. — Cour d'appel séant à Paris (d). (COMPARUTION.) Le créancier surenchérisseur qui se présente à l'ordre et demande à être colloqué sous toutes réserves, n'est pas censé acquiescer au jugement qui a déclaré nulle sa surenchère. Ord. de 1667, tit. 27, art. 5. C. N., art. 1351, ANAL. Gittard. C. Fontaine. 28 novembre 1809. — Cour de cassation. Rejet. — Cour d'appel séant à Paris (a). V. 23.
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M. de Waxheim en partit, et à peine arrivé à Paris, se rendit chez l'envoyé de son souverain, lui fit le récit qu'on vient de lire, et le termina par le serment de tirer une vengeance éclatante de M. de Choiseul. Le comte de Westermann, homme réfléchi et qui savait que ce premier ministre, l'être le plus orgueilleux qui existât, et qui régnait alors sous le nom de son maître, était capable de tout pour venger son amour propre justement humilié, engagea son parent à retourner à Hesse-Cassel, en se contentant de mépriser l'infâme procédure de M. de Choiseul à l'égard de la baronne. Mais à vingt-trois ans, c'était l'âge de M. de Waxheim, les conseils de la prudence ne sont pas toujours ceux qu'on suit. Loin de quitter la capitale, comme le lui avait dit M. de Choiseul, il lui écrivit une lettre mesurée dans les expressions, mais dans laquelle il lui annonçait qu'il ne quitterait la France qu'après avoir obtenu de lui une audience très-particulière et surtout la plus prochaine possible. La réponse fut une lettre de cachet, qui, dans les vingt-quatre heures, relégua le baron aux îles Sainte-Marguerite.
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DÉLAI DE GRÂCE, moratoire, en matière de lettre de change, 210-212. Voyez SOBIS. DÉLITS, 86-88. DISPACHE, 229-230. DISPENSES DE TÉMOIGNAGE, 170-171. DIVORCE, 116-123. DOMICILE. Voyez Loi DU DOMICILE. DOMICILE DU FAILLI (commercial, civil), 230-231. DOMICILE MATRIMONIAL, 109-116. DOMICILE SOCIAL. Voyez SIÈGE SOCIAL. DONATION, 71. DROIT ABSOLU, ordre public, intérêt social, 59, 118, 119, 124, 127, 136. DROITS CIVILS OU PRIVÉS, ET DROITS CIVIQUES OU POLITIQUES 38-41. DROITS DES AUTEURS D'OUEUVRES LITTÉRAIRES, ARTISTIQUES, INDUSTRIELLES, 88-89. DROIT DE BRIS, DE NAUFRAGE, D'ÉPAVE, DE VARECH, 221. DROIT DE SAUVETAGE OU SALVAGE, 221-225. DROIT ÉTRANGER. Voyez APPLICATION DES LOIS ÉTRANGÈRES. DROITS RÉELS, 90-98. Dans la faillite, 244. DROIT ROMAIN, 6-7. EFFETS ET SUITES DES CONVENTIONS, 79-82. EFFETS DU MARIAGE QUANT AUX BIENS. Voyez RÉGIME MATRIMONIAL. ÉMANCIPATION, 127. EMPHYTÉOSE. Voyez DROITS RÉELS. ENFANT NATUREL. Voyez LÉGITIMATION, LÉGITIMITÉ, RECONNAISSANCE. ÉPAVES MARITIMES, 221. ETAT ET CAPACITÉ, 45-59. ÉTRANGERS, 38-42. Contestations entre étrangers, 158. Étranger défendeur, 151. Créanciers étrangers dans la faillite, 233, 243-244. EXÉCUTION DES JUGEMENTS ÉTRANGÈRS. Voyez JUGEMENTS ÉTRANGÈRS, DÉCLARATION DE FAILLITE. EXÉCUTION DES OBLIGATIONS, 73-75. EXÉCUTION PAR CÉDÉ, 171. EXPLOITS, notifications et significations, 159-165. FAILLITE, 231-245. FILIATION, 124-125. FOND DE PROCURATION, 192-195. FOR. Voyez Loi DU FOR. FOR COMPÉTENT, tribunal compétent. Voyez COMPÉTENCE. FOR DE LA SITUATION, Forum rei sitae, 150-151. FORCE EXÉCUTOIRE DES JUGEMENTS ÉTRANGÈRS. Voyez JUGEMENTS ÉTRANGÈRS. FORCE PROBANTE DES ACTES, 171. FORCE PROBANTE DES LIVRES DE COMMERCE; voyez LIVRES DE COMMERCE.
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From a letter to The Literary Digest In long lines they are waiting at the American food-kitchens. Will the food be there for them? Will they be burned away? There are no happy, healthy faces in those long lines—not one. You have seen rags and barefooted children, but never so many little boys and girls literally dressed in tatters. Soon it will be very cold, and for those bare little feet and legs and arms there is nothing at home to put on. In immediate response the following editorial was published in The Literary Digest of October 30th: "A 1< HEN two thousand years ago, to save all mankind, his mere coming seemed to interfere with the material interests of a few people of that period, notably King Herod, who promptly decided to dispose of this "interloper," and sent forth his soldiers with orders to slay all the children of two years old and under. Thus was consummated the most atrocious crime against innocent childhood ever committed up to that time. It has come down to us through all the ages in song and story, and master painters have pictured it on marvelous canvases. JESUS CHRIST CAME upon the earth, nearly "Hollow faces and shrunken bodies are so common that their real condition does not become evident until we inquire more closely, and then we find that most of them are from one to five years back in their growth. Children of eight years old have not reached the normal size of two and a half. They are just learning to stand alone."
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As 7 years old, 7 years old, gentle for 9 years old, 1 year old, Good Free Lunch Will Be Served At Noon Terms of Sale—All sums of $20.00 and under, Cash; over that amount one year's time will be given on approved Bankable Notes bearing 8 percent Interest. B. C. PAINTER, Owner CHAS. E. WALKS, Auctioneer J. G. VENNIGERHOLZ, Clerk member come way. There are many ex-service men attending the state university here and it is the desire of the officers of the local post to meet those men, and make them fool, That they are a part of the post, and participate in the many activities to be held this winter. "Chow" and mokes will be coming up immediately following a brief business meeting.
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Richter A. G. Wanderer W. 171,00 hat zwan. v. 33 F. Iov, 25 Hlo, 31 45 4 Meiningen Com. u. Privatb. 109,25 409,00 u 120 e i oe v Ge T do. do. 34 Folge II. Hoc. 10 (commonal - Obl. Em. XIV 94,50 D. B. u. Disc. - G. 110,50 110,060 1. G. Farben. 178,75 178,25 Leipz. Br. Rieb. 82,00 81,75 A. Biebeck M. 1120. ass. Gelsenk. - 6Pr. Lds Rent. - Bank 98, 12 98, 00 514. Mein. Hyp. - Bk Liqui - Di. Effekt. Bank 37,00 80, 50 — Feldmühle. 148, 00 149, 00 Leopoldsgrube 134, 00 Roddergrube. S 22 Anl. - Ausl. - Schein 19, 37 119, 37 n 1. 57 101, vo [ 102, 00 147, 50 Guill. 141, 87 141,90 m Sr. —. z. 43 v. - i Liqu. - Pfandbriefe. Bk. Brl. 93,87, 7 tor. - 77 Lindner, sche hre elte e Z. 130, 00 Tingel Seht - R W. A. G. 162, 00 140, 87 159, 73 Deutsche Schutz - 4 Pr. Zir. Bod. H. Pl. 27 95,00 Dresdner Bank 108, 00 108, 50 127, 37 Froebein Z. - Lingner - Werk. Wrede, - e gebietsanleihe 10, 05 An Pr. do. do. 1928, 00 Hall. Bankv. 88, 00 87, 75 410, 00 Löw. - Brauerei 99,00 100, 00 Sachs. - W. 7 G. - Mitteldeutsche v 4i Pr. Zir. Bd. H. K. 27. 23 90, 00 Hamb. Hyp. - B. 94, 00 94, 00 W. 1is, 25 Geisenkirch. B. - Salzdetmühle K. 196,00 105, 50 Maschh. 133,50 Ldbk. - Anl. 29. - 1 Pr. Zur u. Pfdbr. BK. Hann. Bodenkr. - L. G. Chemie v. - 1122, 00 119, 50 Magd. Allg. Gas 70,75 72, 00 Sangerhausen Mech. 119, 72 Deutsche J - H. P. Em. 1. - 97, 00 Meckl. Sir.
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Warenverzeichnis: Medizinisches Verbandmaterial, als Binden zu chirurgischen Verbänden aus Gaze, Mull, Cambric, Flannelette, etc., Gipsbinden, Verbandstoffe, Watten, Spann, Pergamentpapier, chirurgische Nadeln und andere medizinischen Verbandzwecken dienende Mittel. Nr. 27 950. K. 3040. Klasse 38. Adamas Klassse 26d. 3 e Herstellung von Zigaretten und geschnittene Rauchtabak. Enverzeichnis: Zigaretten, geschnittene Rauchtabak und Zigarettenhülsen. Der Anmeldung ist eine Beschreibung beigefügt. Klassse 34. Nr. 27 952. G. 1858. F 8 Eingetragen für Emil Großer, Dresden-N., Luhbeckpl. 4, zufolge Anmeldung vom 30. 7. 97 am 4. 12. 97. Geschäftsbetrieb: Fabrikation und Vertrieb chemisch-technischer Artikel. Warenverzeichnis: Reinigungsmittel für Bierleitungen, Metall-, Glas-, Holzgegenstände und Waschmittel für Wäsche. Nr. 27953. M. 1380. Klassse 16 b. IAV ers forschende Eingetragen für M. & W. Müller, Berlin, Waldemarstraße 29, zufolge Anmeldung vom 20. 2 96 am 4. 12. 97. Geschäftsbetrieb: Kornbranntweinbrennerei. Warenverzeichnis: Nordhäuser Kornbranntwein. Der Anmeldung ist eine Beschreibung beigefügt. Nr. 27 954. St. 961. Klassse 16 b. Joh. Bapt. Sturm Eingetragen für Joh. Bapt. Sturm, Rüdesheim a. Rh., zufolge Anmeldung vom 28. 10. 97 am 4. 12. 97. Geschäftsbetrieb: Gewinnung und Vertrieb von Wein. Warenverzeichnis: Wein. Der Anmeldung ist eine Beschreibung beigefügt. Klassse 16 b. — U a Eingetragen für Reinhold Schmutzler & Co., Gesellschaft m. b. H., Köln, zufolge Anmeldung vom 10. 9. 97 am 4. 12 97. Geschäftsbetrieb: Fabrikation und Vertrieb von Liqueuren und Spirituosen. Warenverzeichnis: Liqueure und Spirituosen. Nr. 27 956. St. 954. Klassse 16 d. 0 STURM Eingetragen für Joh. Bapt. Sturm, Rüdesheim a. Rh., zufolge Anmeldung vom 20. 10. 97 am 4. 12. 97. Geschäftsbetrieb: Herstellung und Vertrieb von Wein. Warenverzeichnis: Wein. Der Anmeldung ist eine Beschreibung beigefügt. Nr. 27 957. K. 2772. Klassse 16 b. Eingetragen für Julius Krafft Söhne, Neu-Stadt a. Hdt., zufolge Anmeldung vom 26. 4. 97 am 4. 12. 97. Geschäftsbetrieb: Weinhandlung. Warenverzeichnis: Flaschenwein. Nr. 27958. H. 3572. Klassse 34. 0 „ 646 „Molin Eingetragen für J. L. W. Helberg, Blankenesse b. Hamburg, zufolge Anmeldung vom 18. 10. 97 am 4. 12. 97. Geschäftsbetrieb: Herstellung und Vertrieb nachgenannter Waren. Warenverzeichnis: Pomaden, Kopfwasser, Seifen, Parfümerien, Toilettenmittel, kosmetische Präparate aller Art (für Haut, Haar, Bart, Gesicht, Hände), Putzvaseline. Nr. 27959. F. 1866. Klassse 34. f 8 1 0 1 7 Eingetragen für Johann Maria Farina Dr. E. Meitzen am Dom, Köln, zufolge Anmeldung vom 20 2. 97 / 10. 6.
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O précio da imitação cega que n'uma época levou muita gente a suppôr que o futuro economico da não estava na creação artificial de industrias manufactureías, seres rachiticos brotando n'um torrão ingrato, é o mesmo que hoje faz crer a muita gente que na multiplicação dos bancos, na facilidade de obter dinheiro emprestado para com egual facilidade o gastar o aventurar, fallindo mais tarde, consiste o pro-gresso economico do paiz. À grande industria exportadora e o consequente pauperismo, a especulação bancaria e as crises e ruinas consequentes, são de certo condições necessarias de certas nações; mas são a mesmo tempo modos de ser economicos anormaes, a que todas as nações deveriam fugir, em vez de os provocar e favorecer, desde que o estudo mostrasse que a natureza não as fadara para taes emprezas. À riqueza apparente e enganadora e o desvio dos capitales da applicação natural, traduz-se para lego em perdas e ruinas de toda a ordem.
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Il mio guardo era freddo, indifferente; ma nel fondo della mia anima io gridavo: Oh! aspettate... già io non durerò a lungo. Non vedete? il mio capo è canuto, si piega da sé solo verso la terra del sepolcro, dove in breve dormirà per sempre. Oh! abbiate compassione, e, per questi pochi giorni che ancora mi rimangono, lasciatemi vivere circondata da questi dolci ricordi, da questi sacri pegni d'affetto! Questo spogliare una vecchia cadente per adornare la fronte baldanzosa dei giovani; questo cacciarela dalle sue stanze, dalle sue abitudini, da tutto ciò che le fu caro per far luogo alla generazione che sorge, è bene un barbaro costume! Non basta dunque la mano del tempo che ad una ad una ci spegne tutte le gioie della vita? Quando la scena è cangiata, quando non viviamo più che nel nostro passato, allora viene l'uomo, ci strappa da tutti gli oggetti a cui eravamo affezionati, ci toglie tutte le nostre memorie, e ci intimma che l'ora della partenza è suonata, e che ormai su questa terra noi siamo di troppo! 14 detto 1842. PREROTE "14 detto 1842."
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BRUNET, du Loroux-Bottereau, est l’ANTANTES qui aura lieu demain, vendredi, heures, au Loroux-Bottereau. BULLETINE statistique de Nantes. Actuel, juillet. — Aline-Maria-Charlotte Mallet, lingère, 15 ans, rue Menou, 1.— Pierre-Cyrille Bourdet, gendarme en retraite, 70 ans, à la Moutonnerie. — Léon Bru, 1 an, rue des Hauts-Pavés, 42. — Leger Durif, manoeuvre, 28 ans, Prairie-au-Duc. — Henri-Joseph-Baptiste-Elie Vermeille, propriétaire, 61 ans, rue Drnazzy, 11. — Hospices, 2. Pour toute la chronique : Ev. Mangin. des conditions réservées. Il est descendu du haut de la Loire à Nantes, pendant le mois de juin : 3 bateaux à vapeur remorqueurs, 33 bateaux remorqués, 217 bateaux ordinaires à voiles et 31 bateaux vides. Les bateaux chargés ont introduit : 361 tonneaux houille, 57 ton. métaux, 180 ton. poterie, 97 ton. vin et vinaigre, 1489 ton. bois de toutes espèces, 4371 ton. matériaux, 457 ton. céréales, 271 ton. engrais, 11 ton. chanvre, 421 ton. terre engrais 100 ton. marne, 21 ton. vin fûts vides, 177 ton. marchandises diverses. Nous lisons également dans le Publiateur : Un suicide, entouré de circonstances mystérieuses a été découvert à Napoléon, dans la soirée du 30 juin dernier. Plusieurs personnes étant allées se baigner à la fosse Ste-Catherine, trouvèrent dans un étang, sur le bord de la rivière, un couteau et une serviette. Présentant ni un malheur, elles opérèrent des recherches, et ne tardèrent pas à trouver le corps d’un homme flottant sur l’eau, qu’elles s'empressèrent de retirer, et reconnurent le sieur R propriétaire, dont les deux pieds étaient liés par devant. Puis les vêtements, on trouva des lettres, l’une adressée à M. le maire de notre ville, et l’autre à M. le procureur impérial. Dans l’une de ces lettres, M. le ... priait qu’on le portât à l'hospice. On se perd en conjectures sur les causes de cet acte de désespoir. BULLETIN MÉTÉOROLOGIQUE DE NANTES. Aujourd’hui, le 2 juin. Baromètre : 0,70-1 diamètres. Thermomètre centigrade : 15 degrés. Vents E.-N.-K. Etat du ciel : nuageux couvert, vent. Demain, le 3 juillet 1868. Jour de la lune, 13. Lever du soleil : 4 heures T. Coucher du soleil : 7 heures 56. Déclinaison du soleil : 22° 55’. Pleine lune, le matin, à 5 heures 07’, le soir à 5 heures 27. Hauteur de la marée, 3,75.
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Zur Coburger Stadt Hab betete Zeitanzeige, aus Trifft sich feit lange gehabt. 9Ein in dem Leben Jahreswechsel, tet bei Dichselbst immer wieder mit einigem Haben, die Zufriedenheit zufrieden. Zufriedenheit ortlangt. (Zu mehr j. 8. die zahlreiche Suffragan einer hübschen Frau: ,.Zit gamilie Sonnetenpfosten ihr Hartefestigung, mit Ihrer Einwilligung. Carlo bet hatte sie mit hierigen Gedanken beisammen, »e((bt frühstück eine bescheiden Ernährung genossen, »e((bt frühstück ein bescheiden Ernährung genossen, ba« nunmehr ihren hervorragenden Fürsten Würde. An wahrhaftig, übet diese ige trügliche zu einer Äste, noch ber Änderung Feigheit litt fäst bei neuen Schatten gemeinschaftlich hat. — Donnerstag brängte Heil. Die 93. Heilige der (lafsstiftenden Dreifaltigkeit steht in benennenden Monaten, monet, mit nächste Monat schmettert, der Verwannt bleibt. Du Heiligen Vater hat fünfzig (Leben geführt, gilt nicht ausgedehnt genug befüllt wurden, und jetzt mit betauen Bemerkungen bis Sonntag nicht ausgedehnt. - Später die 15. Heilige der Salwengirthe unter ben Einsicht und Gottes 1 nun letzten Gnadenerweis mit schmerzigen Bergleiten überwunden »ieberhalt fest in seiner Gestalt überall, eine Gruß (Heiligen Beidigung bei römischen Generals, traurig in der Tat der Sicherheit in Stolperfälle, jene (Gefahr) tief in der Begeisterung von einem anderen entfernt hatten, zusammen zu trinken, sich um Wahrheit aus. ferner die Gifte, Komödie zu strecken, m blossomende Weltchaft (Geisterwelt). Die Frage war, barstt, mit der traurigen Erkenntnis zu vernetzen, mit großem Einsatz bei Ereignis, glitt sie gar bei den folgenden Streitigkeiten, nach dem Flehen ein ruhiger Schatten, eine folgsame Sortie; wenn in der hohen Tiefen Öffentlichkeit zu lesen. Unsere Niederlage es Dörfer überwunden nach den Gedanken, und scheint die Unsichtbarkeit, Interesse voran zu feinen, und übermenschliche Zubehör erhält zu Toben. — Zu den Gefallenen gehört bei den jährigen Garnisonen geboren hat, nach dem Künstlerwerden angezeigt. Starrkrampf, wobei unterlegen alle Künstler unter bem inhaltreichen Streben und dem Selbstbehelf unsrer Stadt in Leben, ben Silber performativ war. Der späte Schnitt und das späte Singen der Sänger erlängerten die gelungensten Serbinungen biefest geben mehr als lange der Gedanke gebracht ist, da die Dichte gottebnilt das Signal zu bereiten äusserungen gibt, der seine Liebe schenkt u. f. m. — In den lebenden tagen erregte ein Schnittfall Die 2. Verwandten. Sinne grau aus gehabt, etlichen Gebeten gebetet per Sofort ansonsten ein Gefallen in.
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Hens, fat, 2 to 4 lbs. Rabbits, live, 2 to 4 lbs. 19c 14c .8c We are in the market for desirable farm loans at current rates The Moscow State Bank invitations were extended by telegraph to the following governors Carey of Wyoming, Hart of Washington, Dixon of Montana, Davis of Idaho, and Stephens of California. The governor was urged to call such a conference at a general meeting in Portland several weeks ago, when the drug evil was given attention by public officials from all parts of the state and by superintendents of the several state institutions. Pass Irish Free State Bill London—(A. P.)—The bill establishing the Irish Free State passed the second reading in the house of commons today, after an amendment offered by Captain Charles Craig, leader of the Ulster Unionists, for altering the boundary commission provisions of the Anglo-Irish treaty, had been defeated by a vote of 302 to 60.
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(c) It shall be lawful for any executor, administrator, trustee, or other person duly authorized to take charge or possession of 29 450 FIDUCIARIES ACT— Section 58 (c) the personal estate of any decedent, or for any guardian or other legal representative of the estate of a minor, acting under letters testamentary or of administration, or other authority, granted by or under the laws of any other state, territory or possession of the United States of America, or of any foreign country, to assign and transfer, and to receive the dividends or interest of, any public debt or loan of the Commonwealth of Pennsylvania, or of any county, city, borough, township or school district thereof, or any stocks or bonds of any corporation incorporated under the laws of this commonwealth, standing in the name of, or belonging to, the decedent, minor or cestui que trust, or any mortgage debt or indenture of mortgage held by, or belonging to, the decedent, minor or cestui que trust, upon real estate situate within this commonwealth, and to enter or cause to be entered satisfaction upon the record of such indenture of mortgage.
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Gossfeio parce qu’il cherchait, par tous les moyens possibles, à m’acculer à la faillite. Je lui dois 3,000 fr. que Je n’ai pas pu lui verser ces jours-ci, comme je le devais, par suite du mauvais état de mes affaires. Malgré mes prières, il s’est refusé à prendre des arrangements avec mol, et m’a menacé de me traîner en Justice. J’ai alors perdu la tête, et J'ai fait feu sur lui; Je ne regrette rien. »Le fils du blessé, entendu ensuite, « déclaré au magistrat instructeur :. * demie devait 3.200 fr. à moa hère. demislongtemps. Au lieu de rembourser cette somme — ce qut lui était possible — il a préféré essayer de le tuer. C’est un misérable qui ne mérite pas qu'on ait pitié do lui. »Dans l'après-midi, M. Veruez a été dirigé sur le dépôt.Les Journaux du JourLES DÉSASTRES DE 1870 M. de Prossensé (Humanité) revient sur le discours de M. Chaumié à la séance tlo vendredi â« Voilà qui est entendu : la France en 1870 n’a pas succombé sous l’impéritie scélérate des généraux de cour et de coup d’Etat; elle n'a pas été écrasée par les fautes et les crimes du césarisée, do ce régime de honte, qui, nar trois fois, en moins d’un siècle, a livré le paye à l’étranger, et qui, en échange des libertés confisquées ot du droit violé, n’a su donner à la nation asservie qu’une aviso insuffisante et mai commandée, un état-major démoralisé et incapable; un maître à la fois brutal et débile, sans force contre l’ennemi du dehors, sans merci contre leu franchises du peuple. La vérité. c’est M. Gauthier (de Clagny). nationaliste notoire, wiki l'a enfin proclamée aux acclamations d’une majorité patriote, où M. Hi'uoi, tout frétillant d’aise, coudoyait des bonapartistes impénitents et des douméristes à la curée... Et si je n'accuse pas M.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais expiraram. A condicião de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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But it be much harder. State Bank Examiner Hay, of Washington state, urges farmers to sell at least enough of their wheat to pay their pressing debts. He states that the vast sum of $28,718,000 had been loaned by Washington state and national banks to finance the wheat crop, when the last call for reports was made, and he suggests that the farmers should dispose of enough wheat to pay at least a large portion of what they borrowed from the banks. While there is no question that the depression of prices is due to manipulation and gambling, little short of actual robbery, and that much of the wheat has cost the producer more than he can get for it now, that cuts no figure with the fact that it may still go lower and a farmer is in poor circumstances to speculate in wheat at $1.40 to $1.60 per bushel. Mr. Hay, in a statement just made public said; "There is no question about the banks having done their duty. It is now the duty of the borrower to meet his obligations at maturity in order that liquidation may be commenced at once." While everyone sympathizes with the farmer who is "getting the worst of it" from the wheat gamblers, there is grave danger in holding wheat too long when the tendency of the price of all farm products is downward. Wheat has declined about 75 cents a bushel in the past six weeks. Corn has declined even more and other products proportionately. Few believe the prices of these products will advance again, soon.
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Mais ces raisons que nous supposons exister, nul ne les connaît dans le public, et peut-être serait-il bon que le public eût une certaine part dans la confidence. Si nous ne pouvons songer à critiquer le choix de l'emplacement tant que l’on ne saura point quoi, pourquoi les administrateurs des hospices à fixer leurs préférences, il est cependant permis de croire que le problème hospitalier à résoudre ne comporte pas une solution unique et imaginer une combinaison autre, meilleure peut-être, équivalente probablement. Dans tous les cas, le jour où l'examen de l'affaire du remplacement de la Charité devrait porter uniquement sur le point spécial de remplacement à choisir ou, mieux, des conditions à réaliser par un emplacement convenable pour un pareil établissement, nous aurions peut-être à présenter certaines observations sur le principe et à montrer, qu’à notre humble avis, le local adopté n'est pas absolument satisfaisant. Cela pourra venir quand on connaîtra les raisons invoquées en faveur de la campagne latente, et si ces raisons sont bonnes on peut être assuré que le public sera facile à convaincre. Des réformes hospitalières telles que celle du déplacement d’un hospice important, ne s'opèrent pas sans de grands frais. C’est une dépense assez grosse que celle de l'achat du terrain nécessaire, de la construction et de l'installation d'un hospice pour une population considérable. Les administrateurs de nos hôpitaux se sont certainement inquiétés des côtés et moyens. Nous voulons croire qu'ils sont assurés de ce côté d’une réussite appuyée sur des bases solides. Cependant si nous consultons les précédents, si l'on prend la peine de rechercher quelle est la situation budgétaire de nos hôpitaux, il est permis d’avoir quelques doutes, et nous demandons la permission d’examiner très brièvement ce côté spécial de la question. En l’état actuel, nos hospices et hôpitaux ne sont pas riches; leurs revenus propres sont constamment insuffisants; les dons et legs ne s'illustrent guère, et si l'on ne comptait toujours sur le crédit voté chaque année pour combler les insuffisances, il y aurait chaque année un déficit sérieux. D’après le dernier exercice connu par le compte rendu de l'administration hospitalière, ce déficit passe 50.000 fr.
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W. Porta od dłuższego już czasu zaniepokojoną jest wypadkami serbskiemi. Widzi ona to namacal| nie, że król Milan abdykując, pomylił się w swoich rachubach i poglądach na przyszłość Serbji. W razie urzeczy wistnienia EEEE OEB TESTY NA się całndniech. |. Mrzeczy wietniEniA pogiszanej.. dziś już coraz śmielej PP: EUREKA GRON EE RD] Passy, Frank, Lemonnier, < szczególnie | w ręki | zaś kobieta-adwokat, naturalnie amerykanka, pani Belva A. Lockwood. Rozmaite kobiety widywałem, | alem kobiety-adwokata nigdy w życiu nie widział, ani słyszał. Wielka też była ciekawość, która mnie pociągnęła i na godzin trzy dystrakcję mi sprawiła. Pani Belva przedstawiła się, jako okaz wcale po nętny. Jest to niewiasta drugiej młodości, szykowna, wrostu średniego, oblicza o rysach regularnych, oczu wyrazistych i mowna. Mowa z ust jej, jako woda, płynęła, słodko i śpiewnie, ale monotonnie trochę. rganom głosowym kobiecym brak siły, otrzebnej przy zwrotach oratorskich, wymagających nacisku. Gdzie mężczyzna grzmi, tam kobieta piszczy i siły szukać musi nie w głosie, ale w argumentach. Męż „czyzna nieraz głupstwa najostatniejsze prawi w spo sób porywający słuchaczy; kobieta, jak się zdaje, te go dokazać nie potrafi. Wrażenie takie wyniosłem z kongresu po mowie pani Belvy, która, ponieważ mówiła po angielsku, byłaby z pewnością uśpiłą słuchaczy, po angielsku nie rozumiejących, gdyby mowa jej dłużej nad kwa drans trwała. Ci zaś, co rozumieli, słuchali jej z. zajęciem dla treści, ułożonej umiejętnie i foremnie.
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Quod non Elyjtum uiji tot M arce diebus, J.jfquia concurfus hominum odi,iflofq } tumultus Simiolofqi canefq, iflos, laudare beatis A t<p, ajjentari quis melli efljpfe mifeBus H ac nun$ diduucumpraceptore feucro * \ LIB. IUI* 78 An quia confutui , an Genius quia nojlcr ahhorrelt At curfu/x animi officio contendimus ultro Si quando nojirampofcit bonus ufus ofellam » Atqui inquis ,ncf cis ,de te Llyfius quid auebati Atqui inquam fcio perbelle ,mea M ujica certe Lxoptabatunqu* namiquee ex artibus una efii N omuerum ancilla atqifcdiffcqua,qu ce folet aures Mulcere Harmonjjs,atqj olim me quoq, mulfit Qchego ducc } cui tantum tribuere C amoenet, Concentu uocum,quantum aut in carmine Homero 3 Andino aut uati } aut Lauree in amore tetrarchae * Vro facinus } nunc yjlomachorjufsif ualere « Quafaflum ratione ergo l Ji forte requiris , Accipe, nam ueram cupio tibi reddere caufam • N* Lacedaemonia ut M acedo, feriare rcpulfa* Q u* dele flabat quoniam, tam dulciter aures Qutq, tenebat „qu<e bilem fedabat amaram.
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-Dites-leur que l'on ne croit pas deux fois aux calomniateurs confondus et aux traîtres démasqués; dites-leur qu'on connaît la perfide politique de ces chefs de faction, qui, de tout temps, eurent pour système de couvrir leurs propres forfaits en les imputant aux patriotes; à qui il ne reste aujourd'hui d'autre ressource que de faire oublier leurs anciennes impostures par des impostures nouvelles; qui ne peuvent se faire absoudre d'avoir voulu déchirer la République qu'en la déchirant en effet. Ajoutez que la liberté indépendante, et de la sotte crédulité des uns, et de la basse méchanceté des autres et des écarts de l'imagination d'un homme, et de la profonde perfidie de tel autre, triomphera des derniers efforts d'une faction distinguée de toutes celles qui l'ont devancée uniquement par l'extrême lâcheté avec laquelle elle épuise le plus vil de tous les moyens, celui du mensonge et de la calomnie. Mais il s'agit d'avancer d'un demi-siècle la félicité du monde et d'assurer celle de nos enfants et la nôtre; il s'agit de cimenter la République au moment où elle étend ses limites; si nous voulons parvenir à ce but, unissons-nous pour défendre la tranquillité publique contre les troubles que les intrigants nous suscitent, la liberté contre les conspirations qu'ils renouvellent, l'esprit public contre les écrits pernicieux dont ils travaillent sans cesse à l'empoisonner. Au reste, soyez sûrs que nous sommes toujours les Jacobins de 1789, les Jacobins du 4 août, les Jacobins des non moins sacrés où le tyran fut jugé, où la mort du tyran enfanta la République. Si vous en doutez, venez voir, venez observer les Jacobins et leurs adversaires. Venez jurer une nouvelle alliance contre les tyrans et contre les intrigants et dès ce moment tous les ennemis de la liberté pâliront devant vous, comme ils pâlissaient devant les fédérés qu'ils avaient eux-mêmes appelés contre nous. Cette adresse avait été rédigée par Robespierre. A peine avait-on fait trêve un instant aux émotions des derniers jours de février, que des nouvelles fâcheuses arrivées de l'armée le 3 et le 4 mars ébranlèrent de nouveau Paris.
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Un coin de notre belle promenade de l’Arquebuse est dans un état lamentable : six arbres, plusieurs fois centenaires, d’une hauteur de plus de trente mètres, ont été arrachés pour aller s’abattre près des sapins du parc de Mme Bertucat, voisin de la promenade. Sur toutes les routes aboutissant à notre ville, on signale également beaucoup d’arbres arrachés ou brisés, les obstruant complètement. Le service de la voirie s’occupe activement de déblayer les voies. Jusqu’alors, nous n’avons heureusement aucun accident de personne à signaler. L’ouragan s’est apaisé dans la nuit. BEUREY-BEAUGUAY. — Depuis jeudi, un vent excessivement violent souffle en tempête dans notre vallée. Bien des toits en chimine ont été emportés ; des tuiles ont été cassées. OUSSEY-LE-BOIS. — Depuis trois Jours, une véritable tempête de vent et de pluie sévit sur la contrée. Le vent, soufflant en véritables rafales, a enlevé les tuiles de la couverture de certaines maisons. Bon nombre de tas de perches à houblon ont été culbutés et les perches brisées. Il serait à désirer que ces temps humides malsains prennent fin pour faire place à la gelée et à une bonne couche de neige. MARCILLY-OGNY. — Pendant la tempête qui a sévi sur notre région avec tant de violence mercredi et Jeudi, plusieurs cheminées ont été renversées et plusieurs bâtiments très endommagés. Sur la montagne, la bergerie appartenant à Mlle M... a été presque toute découverte par la bourrasque. MARSANNAY-LE-BOIS. — Une tempête d’une violence extrême s’est déchaînée, vendredi après-midi et la nuit, sur toute notre contrée. Plusieurs maisons ont été rendues ouvertes en partie par le vent et des cheminées culbutées ; nombreuses sont les piles de perches renversées. Sur la ligne de chemin de fer de Dijon à Longuyon, qui borde notre territoire sur une longueur indéfinie, les poteaux télégraphiques ont été renversés et ils auraient obstrué la circulation des trains si les gardes-barrières, à partir de minuit, n’avaient débarrassé les voies. SOMBERNON. — L’ouragan qui s’est déchaîné depuis deux jours sur Sombernon et la région continue avec la même violence aujourd'hui sur nos hauteurs. Jusque-là, nombreuses sont les girouettes, les tuiles qui dégringolent des toits ; les vitres qui abandonnent les fenêtres par suite des courants d’air occasionnés en ouvrant les portes. Pas d’accidents de personnes à signaler. L’hiver s’annonce à grand bruit, cette année.
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Blakett (1813) reconnut que l’adhé rence des roues sur les rails est parfaitement suffi sante. Cette idée se répandit de suite, et moins d’un an après (1814) une locomotive réellement pratique sortait des ateliers de George et Robert Stephenson, à Newcastle. George Stephenson naquit en 1781. Son père était chauffeur; à 14 ans, il prit le même métier, étudia sa machine, fut chargé de la conduire (il avait 17 ans), apprit à lire à 18 ans, se maria, et Robert Stephenson naquit en 1803. Pour donner à son fils une instruction étendue, George passait ses nuits à raccommoder des montres, afin de pouvoir payer les leçons de Robert. Son mérite fut bientôt reconnu, et à l’âge de 30 ans, il fut nommé (1811) ingénieur directeur d’une houillère. Il s’occupa de locomotives, construisit (1814) sa locomotive à chaîne sans fin, où les trois roues étaient motrices, puis sa locomotive à bielle d’accouplement. De 1819 à 1822, il fit le chemin de fer des houillères de Hetton, où le moteur était tantôt des machines fixes, tantôt des chevaux, tantôt des locomotives, selon les conditions de pente du tracé. De 1821 "à 1825, il construisit avec son fils Ro bert, dans les mêmes conditions, le chemin de fer de Darlington à Stockton, le premier qui ait été ouvert aux voyageurs. Il inventa bien des choses nouvelles alors dans un chemin de fer, viaducs, souterrains, passages à niveau, etc. Robert partit pour l’Amérique afin de s’occuper de mines et de fortifier sa santé. Il revint pour le concours du chemin de fer de Liverpool à Man chester. On verra, à propos de ce concours, comment la brillante invention d’un ingénieur français, M.Marc Seguin permit de faire marcher les locomotives, qui précédemment n’avaient qu’une vitesse de 8 à 10 kilomètres à l’heure, avec la vitesse énorme que nous leur connaissons aujourd’hui. Ces explications étaient accompagnées de dé monstrations sur des dessins graphiques qui fai saient toucher et de l’œil et du doigt tous les dé tails de cette intéressante machine; sur tous les visages se lisaient l’expression du contentement qu’éprouve l’esprit satisfait. Les applaudissements qui ont couvert les der nières paroles de l’orateur ont dû lui prouver qu’il avait été pleinement compris. * * *. M.
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104,60, sächsisch - schlesische Aktien 112,50, Landrentenbriefe 101,00, Dresdner 187b 104,50, Länderbriefer 3th dH große 103,00, Mansfelder Gewerkschaft von 1867 101,00, do. V. 1874/79 99,75, do. V. 1882 99,75, do. v. 1883 97,75, österr. Bank- und StaatSNotena 168,25. Prioritäten. Leipzig-Dresden 1866—72 104,50, Aussig-Dresen Boldt 103,50, böhmische Nordbahn 1882 103,75, Böhmische 1882 104,00, do preuß. 4 1h Konsol 105,00 do 8dh do Konsol 104,10, do. 3 1h Konsol 99,75, österr. Silberrente —, do. Böldrente 103,40, ungar. Goldrente 4 1h 103,75, do. Kronenrente 98,80, 4'L dH ungarische E.-B.-Lini 106,10, russ. Anleihe von Rußland nach der Rechtschreibung der Zeit: Kredit 843HH, Diskonto 222,50, Staatbahn —. Wien, 15. Juni. (Schlußkurse der offiziellen Börse.) Österreichische Papierrente 101,35, österr Silberrente 101,35, österr. Goldrente 123,10, ungar. 4 1h Böldrente 123,50, ungar. Kronenrente 99,40, Böhmische 1875,00, Lombardisten 112,00, Staatseisenbahnaktien 441,75, Nordbahn 3705, Nordwestbahn 296,50, Elbethal 299,50, Kreditaktien 408,50, Anglo-Austrian Bank 172,75, Länderbank 284,80, Union Bank 344,20, Wiener Bankverein 167,90, ungarische Kreditaktien 490,00, Alp Mont- Akt. 98,30, Napoleon's D'or 54,46, Marknoten 59,46, Türkenlose 84,40. Gedruckt. Teile, 14 Juni. (Schlußkurse) 8 1h amortisierte Rente 101,20, 3 1h Rente 102,70, Italien 1h Rente 89,12 dH, 4 1h Ungar. Goldrente 104,37, 4 dH Russen von 1889 102,40, 3 1h Russen von 1891 98,20, 4 1h umf. Ägypter 104,60, 4 1h spanische äußere Anleihe 67 dH, konv. Türken 2b,90, türkische Lose 158,10, 4 1h türkische Prioritäten-Obligation 90 495,00, franz. Staatbahn 936,25, lombardische Eisenbahnaktien 241,25, Banque ottomane 780,00, Banque de Paris 815,00, De Beers 538,00, Crédit foncier 905,00, Huanchaca-A. 184,00, Meridional-A. 643,00, Rio Tintoaktien 419,30, Suezkanalaktien 8295,00, Crédit Lyonnais 818,00, Banque de France 3590,00, Tabak der Ottomanen 491,25, Wechsel auf deutschen Plätzen (3M.) 122,50, Wechsel auf London k. 25,19, Theken auf London 25,20, Wechsel Amsterdam k. 205,87, Wechsel Wien k. 205,62, Wechsel Platzdiskont St. Petersburg, 14 Juni Deutsche Straßenbahn 4- 1/2dH — 11h, Kette behauptet, Sächsisch-Böhm. Dampfbootfahrt 4- 2/2, Baubanken: gegen 1/2 matte Politik gierig durch, dafür, folglich weiterer Kredit sich in politischer Weise schwächen, der Druck zu machen, trauen die gegen, Geldbeschaffung dieser Dampfboot Verfügung lichen.
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reaches for locket fastened on to chain about her neck and tug gently. Bertha Bonn asks and the Silent Menace slips out of her tent Bertha, puzzled, goes out from her tent Scene: Outside tent, other tents in picture. Bertha roines out, looking anxious about to find her disturber. Silent Menace suddenly appears at her side, grapples with her in an attempt to wrench chain from about her neck. Bertha cries for help. Silent Menace snatches chain and drops it as a squad of guards and others come running on. Nurse comes out. Silent Menace flees. Bertha tells them of incident. All except nurse go off to hunt Silent Menace. I hear comes up, nurse tells her or theft. Pearl hunts about and discovers locket. She is examining it, and turns to find Adams at her side. Adams demands locket, but Bertha comes back and claims it. Bryant also comes into picture and says it is his. Pearl perplexed, slowly turns away and moves into tent. The rest follow, disputing violently. Scene: Inside tent, as per Scene to, pearl. Bertha, Adams, nurse and soldiers come in. Stand under arc lamp. Show foreground of tent pule. Farewell set. Foreground of Bertha, Brent and Adams still disputing. Dare comes in. stops and stares at locket held by Pearl, recognizing it as the one given to Payne, he demands It. Pearl wonderedingly reaches out her hand to give a lock to her father as the tent begins to collapse. Scene U? Outside tent.
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C’est alors que l’Exécutif que préside Angelica Balabanoff a prononcé, à la veille du Congrès, l’exclusion de deux fédérations et d’une centaine de militants choisis au petit bonheur. C’est là un fait sans précédent dans l’histoire du mouvement socialiste italien et, peut-être, dans l’histoire du mouvement mondial. Chez nous, une tradition constante veut que, lorsqu’un Congrès est convoqué, il soit seul juge des éventuelles exclusions à prononcer. Ce principe aurait été sans doute confirmé par le Congrès. Mais l’exécutif, voulant interdire la porte du Congrès aux délégués qu’il avait arbitrairement exclus et dont les sections avaient refusé de ratifier l’expulsion, celui-ci n’a pas eu lieu à la salle fixée. La majorité s’est alors réunie dans une salle du café Rivoire. La vérification des mandats a permis de constater la faillite complète du coup de force qu’avait tenté l’Exécutif. Après un débat approfondi du rapport que j’avais présenté, le Congrès a voté à l’unanimité (sauf la fraction communiste qui a déclaré quitter le Parti et adhérer à la 3e Internationale) la résolution suivante : « Le vingt-deuxième congrès du Parti Socialiste Italien (deuxième de l’exil), réuni à Grenoble les 16 et 17 mars 1930, adresse son salut solidaire aux travailleurs italiens et à tous ceux qui en Italie se battent contre la dictature fasciste. « Il s'incline devant toutes les victimes du fascisme, devant ceux qui sont tombés dans la bataille et dont le souvenir sera impérissable et le sacrifice sera vengé, devant les prisonniers que l’action du prolétariat doit arracher aux geôliers fascistes. « Le Congrès après avoir entendu les rapports sur les problèmes : de l’unité socialiste, de la Concentration antifasciste en Italie, de la lutte internationale contre le fascisme, affirme et délibère : « Sur l'unité socialiste. — Que la division actuelle des forces socialistes en Italie profite exclusivement au fascisme et à la bourgeoisie ; que l’unité est le premier devoir des socialistes et la condition préalable de la renaissance du mouvement ouvrier en Italie; que réformisme et maximalisme ne représentent que deux aspects également périmés de la lutte de classe dans la phase de la conquête des libertés publiques et dans la période de la lutte pour le pouvoir qui a suivi la guerre ; que le « Partito Socialista Italiano » et le « Partito Socialista dei Lavoratori ».
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L'histoire de Lacédémone est remplie de traits semblables qui prouvent la sublimité de la législation de Lycurgue, et que cette nation dût ses vertus et ses succès à ce grand homme. LÂCHETÉ PUNIE, Le courage des Romains, dans les premiers temps de la république, leur faisait regarder et punir comme des crimes ces fausses craintes que la lâcheté inspire. Metellus, trésorier des guerres, et quelques chevaliers, après la défaite de Cannes, ne se croyant pas en sûreté dans Rome, résolurent de quitter l'Italie, et de chercher dans quelqu'autre contrée une retraite que le vainqueur ne pût découvrir. On leur fit un crime de cette timide précaution, et les censeurs Attilius, Regulus et P. Furius Philus, ne les croyant pas assez punis par une amende à laquelle ils furent condamnés, leur ôterent encore ignominieusement les chevaux que la république leur avait donnés. Ce furent ces mêmes censeurs qui renvoyèrent liés et enchaînés les Romains que Hannibal avait relâchés sur leur parole, pour venir solliciter à Rome l'échange des prisonniers, et qui, sur la résolution que prit le sénat de n'y point consentir, voulurent demeurer dans la ville, craignant le sort que leur préparait le général Carthaginois. Dans ce temps (dit l'historien qui nous a fourni ce trait) Rome regardait comme un égal déshonneur de craindre ou de tromper ses ennemis. LADISLAS condamné à mort.
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La foule parlementaire; elle était si peu hostile, qu'il n'y avait pas moyen de ne point parlementer. Le résultat de cette parlementation fut que l'on permettrait aux députés de parler à messieurs Péthion et Robespierre. Voyez-vous grandir la popularité de nouveaux noms au fur et à mesure que baisse celle des Duport, des Lâmot, des Barnave, des Lafayette et des Bailly? Les députés, au nombre de six, parurent pour l'Assemblée bien accompagnés. Robespierre et Péthion, prévenus, coururent les recevoir au passage des Feuillants. Il était trop tard, le vote était porté! Les deux membres de l'Assemblée, qui n'étaient point favorables à ce vote, n'en rendirent probablement pas compte aux députés du peuple de manière à le leur faire doucement avaler. Aussi ces députés revinrent-ils furieux vers ceux qui les avaient envoyés. Le peuple avait perdu la partie avec le plus beau jeu que la fortune eût jamais mis entre les mains d'un peuple. Par cela même il était en colère : il se répandit dans la ville et commença par faire fermer les théâtres. Les théâtres fermés, ainsi que le disait un de nos amis en 1830, c'est le drapeau noir sur Paris. L'Opéra avait garnison, il résista. Lafayette, avec ses quatre mille fusils et ses mille piques, ne demandait pas mieux que de réprimer cette émeute naissante. L'autorité municipale lui refusa des ordres. Jusque-là, la reine avait été tenue au courant des événements, mais les rapports s'étaient arrêtés là, leur suite s'était perdue dans la nuit moins sombre qu'eux. Barnave, qu'elle attendait avec tant d'impatience, devait lui dire ce qui s'était passé dans la journée du 15. Tout le monde, du reste, sentait l'approche de quelque événement suprême.
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Elegante Sommertaschen, praktische Stadltaschen, Geldhörschen, muScheintaschen in großer Auswahl! Koffer - Fischer, Große Steinstraße 12. Donnerstag, 6. Juni 1940 und an Mösl. Zimmer, möbliert, frei. Robert - i Ring 3, III. links, Schlafzimmer, saubere Friedrichstraße 63, 63 Bahnnähe, groß. Wohnung: nm, Sofort wieder lieferbar sind die allzeit bewährten und für jede Hausfrau unentbehrlichen Wasch- und Wüstenmaschinen „Spertal Meise“, geschliffen – Große Ersparnisse an Seife, Kohle, Wäsche, Zeit. und unseren Auszeigen - Kunden! Wir bitten unsere Anzeigenkunden, uns die Texte möglichst schon am Vortage des Erscheinungstages aufzugeben, spätestens aber am Erscheinungstag bis 9 Uhr. Sonnabends bis 9 Uhr. Für die nach dieser Zeit eingehe, voraussichtlich kann die Gewähr für die Aufnahme am gleichen Tage nicht übernommen werden. Wir bitten unsere Anzeigenkunden um Beachtung unserer Annahme-Periode. Anzeigen-Abteilung der Hallischen Nachrichten. Voraussetzungen: Schlafzimmer, sauber, wenn sofort (0. Neisel, Waschmaschine, wohuseinhalten, Halle. Schreibtisch, Telefon-Vertretung, eingefach, Prophete. Telefon 295 31, in ruhigen, sauberen Haus - halt an Herrn zu vermieten - Schlafzimmer, Zimmer, Zimmer, Ausstattung sauber, sofort zu sauber, ehrten 1 oder immer. Einige, sofort zu ver. vermieten. Weiden-Platz der SA. 12, mieten Ziegler, - möbliert, frei. „Iplan 2, III. I. links. Pfälzerstraße 20, Fürstilierstraße 13. Ein Vorzeige zur Kohlenbevorratung an Lesingstraße 36, I. Angehörige von Einberufenen und Rückgeführten, die „Familienunterhalt“, immer beziehen. Möbliert, in sehr schönen Hausen, sozial. Den in Halle wohnhaften Empfängern von Familiarunterhalt, die nicht in der Lage sind, den Unterkunftsbetrag von 2002 H. zur Bezahlung des Kohlenvorrats für den Winter 1940 erforderlichen Geldbetrag alsbald nach der Schüler Lieferung aus eigenen Mitteln anzureichen, wird finden freundliche auf Antrag ein Vorhinein, einen Merkschein - 1. Antragsberechtigt sind Familienunterhaltsempfänger, die jung, 15. 6. möbliert, eventuell zu Verpflichtung, der Vorschuss, le. lunt. T. bis 3. Immobilien, separiert, Hauptpost gesucht. Ulrich-Haus, junges, 2. Auto, Zimmer benutzung.
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Uit dit alles volgt, zoo besluit de heer Liesse, dat de toekomst der maatschappij niet zoo geheimzinnig is als sommigen gelooven. De economische organisatie, zooals deze voortvloeit uit de beginselen van de wetenschap welke haar bestudeert, is DE NEDERLANDSCHE NIJVERHEID.
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Prosjekt. Roy. Soc. Vol 48, p. 455. Aftaleferat im Journal antropologisk Institutt Vol XX, p. 880. — 40) Girod, P. et P. Gantier, Dégagement d'os squelettiques humains contemporains des éruptions volcaniques quaternaires du volcan de Gravere (Pyrénées de Béarn). Comptes rendus de l'Académie des Sciences, 12, 1155-1157. — 41) Grünert, R., V. et tels, einer anthropologischen Untersuchung ihrer Verbrecher in den baltischen Rigas Westschelde. Z. beschreibt anatomischer Gippen, ssudebnoj in praktischeskoj meditsino. Februar. (Russisch.) — 48) Bartmann, B. Über Fettsteifungsfähigkeit beim Menschen und bei vielen Saugetieren, sowie über die Fettdrüsen der Ziegen und Kamele. Verhandlungen der Berliner Anthropologischen Gesellschaft, 30. Mai, S. 470-474. — 42) Berivo, G., Coloration différente des dents yeux. Bulletin de la Société d'anthropologie de Paris, 1890, p. 531. — 43) Houze, RepONSE à la lettre ouverte de Prof. Benedikt. Bulletin de la Société de Médecine Belgique, 1890. — 44) Leon, N., Anomalies et mutilations ethniques du système dentaire chez les Inuit précolombiens. Revue d'Anthropologie, 1890. — 45) Manotier, Étude sur la longueur de la tibia et l'atititude humaine de l'âge paléolithique. Bulletin de la Société d'Anthropologie de Paris, 1890, p. 285. — 46) Mingazzini, Über die osteologische Bedeutung der verschiedenen Formen der Spirale pyriformis. Archiv für Anthropologie, Vol XX, No. 3, Taf. VI, S. 171—180. — 47) Mortillet, G. de, Formation des variétés, albions et gaologies. Bulletin de la Société d'Anthropologie de Paris, 1880, p. 570. — 48) Montillot, M., Sur la décomposition vertebrate de l'élément ossuaire de mammifères, anthropéronean et diluvien et sur l'existence d'un nouveau mammifère fossilifère dans le Hainault. Annales de la Société Royale Malacologique de Belgique, 24, Bulletin de Séance, S. LH- LVII. — 49) Niemoyer, H., Ein Fall von periodischem Pigmentwechsel beim Menschen. Monatshefte für praktische Medizin, 1889.
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Ernest Moullé, chef de cabinet du ministre de l’intérieur; ceux de la mariée, son frère, M. Gaston Lard, avoué à Yvilleanche (Rhône), et Al. Octave Morgon, propriétaire à Thoissey (Ain). LA CULTURE Sur ma tête le ciel tend son bleu pavillon : je vais à travers champs, partout, cherchant la rime, Comme un enfant curieux pourchasse un papillon... En vain pour mon sonnet, tout le jour je m’escrime Chaque arbre est un orchestre ou chante l’oisillon ! Je passe indifférent, et, sans m’en faire un crime, La fleurette sourit sur le bord du sillon ; Mais c’est en vain, les vers seuls aujourd’hui font prime. Mais le mot de la fin, le dernier bouquet, éclair... La chute du poème se fait toujours attendre. L’alouette chantait ; j’allais sur l’herbe tendre, Sans écouter ses chants, tout droit, le nez en l’air ; Le soleil se manque à mon pied et je fais la culbute : Eh ! voilà le bouquet, j’avais trouvé ma chute ! Dimanche 7 mars, de 2 à 3 heures, place de Beaucaire. — Lundi dernier ont eu lieu les obsèques de M. Joseph Lépine, maire de cette commune. Sur sa tombe, M. Chambard, conseiller général, a prononcé un discours. Saint-Gengoux-le-Fer. — Le cirque Pinder, composé de 100 personnes, 100 chevaux, 35 voitures, sera de passage à St-Gengoux, le 2 avril. Bulletin Météorologique. — Les électeurs sont convoqués pour le dimanche 21 avril, à Foligny d’éliminer deux conseillers municipaux, en remplacement de M. Al. Laly, maire, et Alarmerai, adjoint. CAPSULES "ASSOCIÉS" contre BRONCHITES petites douleurs dans la poitrine... à chaque tenant et partout. Douine.— Nous avons communiqué vos lettres à la personne qui a fait insérer l’annonce. VI E "RELÉGIE" Insérations n° 1 éditées par les éditions chroniques, 29 mars 1895. Jeudi 28 mars : matin midi soir... baromètre 747... Température -47 +10 -8. Température maximale 30. Température minimale + 7. Vent Ouest. Pluie, Ce matin 29 mars Hauter baromètre 748. Température minimale -37. Vent Sud. CRIE DE LA SOIE 29 mars. heures matin. Saint-Albain. 2: 90; montée horaire, 1 centimètre. Gray, 3:09; montée horaire, 1 cent.
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Nach vielen Vorarbeiten ließ der Altertumsverein durch Geometer Denzel eine Karte zeichnen, auf der der Verlauf der Ehinger Stadtmauer endlich einmal genau ersichtlich ist. Für die Arbeit gebührt allen Beteiligten für ihre bewusste Heimatpflege besonderer Dank. — Hätte bisher gefertigten Pläne und Materialien liegen in der am nächsten Montag stattfindenden Jahresversammlung des Altertumsvereins auf. Sie wird für jeden Heimatfreund im übrigen noch viel Wissenswertes bringen. Ein Lehrgang bei Reichsbund-Lehrer Engelhard Mit 29 Teilnehmern aus dem Verein für Leibesübungen und den Vertretern der Formationen hatte der vom Reichsbund für Leibesübungen am Mittwoch in der Stadthalle festgelegte der Weiß Ferdl kennt, genug. Um ihn gruppierten sich u.a. Trude Hesterberg, Friedl Sandner, Vicky Werkmeister, Else Reval, Hilde Sessack, Oskar Sima, Kurt Vespermann. Weiß Ferdl hat sich hier selbst eine Rolle auf den Leib geschichten voll natürlicher Komik und gesunden Humors. Als Beifilm wird neben der Wochenzeitung ein Kulturfilm „Bezwungene Fluten" gezeigt. Der Kreisleiter hat einen feinen, sorgfältigen Organisationsapparat zur Verfügung. Zunächst steht ihm zur Seite die Kreisleitung, die Empfang, Regulierungen und Anordnungen von der Gau- zu. Lauf der Mauer fast lückenlos festgestellt zu haben. Nur die Strecke zwischen Finanzamt und Stadtkanzle bleibt, die besonderen Verhältnisse dieses Hoheitsgebiets. Die Folgen der jahrzehntelangen Landflucht ist ein fühlbarer Mangel an Arbeitskräften auf dem Lande. Der deutsche Bauer, der im Vierjahresplan eine noch größere Ausgabe zu erfüllen hat, ist nicht mehr in der Lage, seiner Pflicht ganz nachzukommen, wenn nicht die deutsche Jugend die Notwendigkeit und den Wert der Landarbeit begreift und in freiwillingem Einsatz ihre jungen Kräfte dem deutschen Boden zur Sicherung der Ernährung unseres Volkes bereitstellt. Viele Mädchen, auch auf dem Lande, hielten sich zu gut, Landarbeit zu verrichten. In der Stadt, im Büro, dort glaubten sie mehr, Krankenpflegekurs der NS-Frauenschaft. Die von der NS-Frauenschaft in die Wege geleiteten Kurse erfreuen sich in unserem Kreise immer größerer Beliebtheit, haben doch unsere Frauen erkannt, wie gründlich sie über die jeweiligen Gebiete unterrichtet werden und wie gut sie die neuerworbenen Kenntnisse in ihrem Haushalt nutzen können. Im Laufe des Aprils haben wir nun Gelegenheit, uns an einem Kurs für Gesundheits- und Krankenpflege zu beteiligen. Wir bitten, sich rechtzeitig bei Frau Leimer zur Teilnahme anzumelden. Ehrgeiz alte Stadtmauer ist festgestellt. Da ist z.
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Piu' spesso il biancone riposa, sopra banchi di mare cinereo oscuro, le quali sono più o meno ricche di fossili (zool. fossile pag. 242 e seg.). In qualche luogo esse alterano con vari strati di lignite che contiene essa stessa, varie specie di conchiglie (Vago de Paradiso nel Veronese). Queste conchiglie sono del pari le marne che alle sponde del Cegalo. Lo seguirò con le interruzioni che egli dà in un brano di lettera del Sig. Curiosità che sarebbe troppo lunga cosa, e forse non soddisfacente per il Signore de Zigolo, giacché a stringer tutto in poco, Curlooi non col venga che il solo Mancane possa figurare come base della formazione cretacea, né consente che la calcaria alternata formi parte del terreno giurassico. Neanche tengo conto sulle dottrine sfoggiate dall'autore circa le cause probabili che possono aver prodotto la profondità delle specie, giacché non farei se non ripetere ciò che io stesso ho pubblicato nella Zoologia fossile e negli annali scientifici di Bologna.
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of metre, so well adapted to the genius ot the English language, and in which, independently of the drama, so many important composi- tions were afterwards to be written. The versification of Gascoignc in this work, though somewhat harsh and monotonous, is dignified and regular ; and the poem evinces close observation of life and a lofty tone of morality. His career was a very active one ; he figured on the bril- liant stage of the court, took part in a campaign in Holland against the Spaniards, and has commemorated some of the unfortunate inci- dents of this expedition in a poem in seven-lined stanzas, entitled The Fruits of Way ; and many of his minor compositions are well deserv- ing of perusal. He was an example of a type of literary men which abounded in England at that period, in which the active and contem- plative life were harmoniously combined, and which brought the acqui- sitions of the study to bear upon the interests of real life. Nearly contemporary with this poet was George Turbervile (1530-1594), whose writings exhibit a less vigorous invention than those of Gascoigne. He very frequently employed a peculiar modifica- tion of the old English ballad stanza which was extremely fashionable at this period. The modification consists in the third line, instead of being of equal length to the first, viz. of six syllables, containing eight. It must not, however, be understood from this that Turbervile did not employ a great variety of other metrical arrangements. The majority of his writings consist of love epistles, epitaphs, and compli- mentary verses.
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Tertio, Curatis non competit ut tales funt pradicare, confeffare, extrfmam-unFhonem dare, fepulturas dare , decimas recipere , fundatur tn hoc quod Curati non funt de injht ti- tione Chnjh ii Ecclefta primaria , fed per Dyonifium Papam fuerunt ordinari. Item quia fiat Curatos ejfe qui non erant Sacerdotes, Item quia locus Parcchmlts non efl ille quem eligit Dominus, ii caten fecundum figuram antiqua Legis, ahoqutn deberes illic come- di, Hc. Quarto , fratribus competit principalius vel effentialtus pradicare H confefficnes audi- re quam Curatis. Fundatu! ; quia fratribus competit ex regula , H hoc e fi principalius vel effentialtus , quam ex ftatuto Djoxtfit. Item quia flat quod non fint , nem quia hac aul tornas , agnofee vultum pecoris tui , non intelhgitur de confeffione. Quinto, Curatis habentibus fuffktentcr aliunde, non licet rcctp&e decimas ad ufum proprium , imo facrileglum committerent. * Qua propofitiones feu ditia pluries per deputatos ejufdem Facultatis diligenter exami- nata judicabantur ejfe reparanda , profer tim cum Dominus Rellor ii multi de Vniverfi- tate talem reparationem requtfiiffent in prefentia ditia facultatis. Tandem Profatus Dominus Cancellarius ex matura (i dilidenti ac concordi deliberatione Magfirorum di- tia Facultatis, tam Regentium, quam non Regentium, ii tam Saculanum , quam Reli- gioforum prahabitd , condufir , quod proditius frater foannes de Gorello ordinis Fratrum : ‘Minorum , qui tunc ii ahds auditus fuerat ad longum , (i cujus intentio fata fuerat , qui etiam fubnuferat fe ditia Facultati Theologia , diceret tn die aula fua ante receptus- nem Bireti fub hac forma.
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und Kaiserl. Hoflieferant in Zürich. Muster! Verkaufs-Anzeige umgehend. Briefe kosten 20 kr. Porto nach der Schweiz. „Gerücht, der 70jährige, hier in der ganzen Gegend beträgt (ganz Seide) Mk. 1,90 Pf. per Meter und geachtete katholische Lehrer Runte von hier bis 14,65 Z. (in 16 verschiedenen) seit Dienstag = Nachmittag, wo er zur Ruhr gegangen in einzelnen Rosten und ganzen Stücken, um arztlicher Vorschrift gemäß zu baden, spurlos verschwunden. Man suchte die Ruhr ab und fand schließlich bei Geisecke im Gebüsch die Kleider des Verschwundenen mit Kamm, Seife und Handtuch am Ufer. Gestern soll auch die völlig entkleidete Leiche des Vermißten bei Eggenstein aus der Ruhr gezogen sein. Der Verunglückte, der sich für sein hohes Alter noch einer seltenen Rüstigkeit erfreute, was schon daraus erhellt, dass er noch immer eine starke Schulklasse an der hiesigen katholischen Volksschule mit bestem Erfolge unterrichtete, ist beim Baden jedenfalls in Tiefwasser geraten oder der Strömung zu nahe gekommen und hat so seinen Tod gefunden. Der Unglücksfall findet in weitesten Kreisen das lebhafteste Bedauern. Unna, 23. September. [Plötzlicher Tod. — Eine milchgebende Kuh, sowie Schränke, Tische, Stühle, Kommoden und sonstiges entbehrliches Haus- und Küchengerät, (11637 öffentlich meistbietend gegen baar bezw. gegen Credit verkaufen. Kirchhorne, den 20. Sept. 1885. Brügmann — Ein Cylinderbüreau w. Mang. a Raum bill. zu verk. 1. Kampstr. 37. im Königreich Preußen genehmigt! 11644 Nürnberger Loose à 1 MI. Der Hauptgewinn i. W. 20000 Mk. 11 Loose für 10 Ml — Porto und Liste 20 Wiederverkäufer höchste Provision. Ludwig Müller & Co., Bankgeschäft, Nürnberg. Kartoffeln. Für Mühlhäuser Kartoffeln wird noch ein dauernder Abnehmer gesucht, jetziger Preis ab hier 11 Thaler à 24 Centner. Herm. Franke, Aschersleben, Johannisthor 22. Dortmund, 22. Sept. 1885. — Dass die Handwerker-Versammlung, wie es hieß, durch Sozialdemokraten oder richtiger gesagt, durch Handwerks-Gesellen gestört wurde, wer trägt das woy.
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Perché, avendo visto come le poche che correvano fossero di senso e di copia fallaci, indussero Roberto Olivetano, pratico di greco e d'ebraico, a voltarla in francese. Ed egli l'eseguì in un anno: e "ho fatto il meglio che potetti, ho lavorato e approfondito il più che seppi nella viva miniera della pura verità per traire l'offerta che vi reco, a decorazione del santo tempio di Dio. Dicono mi vergogno, come la vedova del Vangelo, d'avere portato innanzi a voi due soli quattrini, che sono tutta la mia sostanza. Altri verranno appresso, che potranno meglio riparare il cammino, e far più piano la via". Una colletta per farla stampare fruttò millecinquecento scudi d'oro, e nella prefazione all'edizione del 4535 diceasi alla nascente chiesa di Francia: "A te, povera chiesuola, è diretto questo tesoro da un povero popolo, tuo Cantu'. Gli Eret. del., III. 23 DISC. LI. PERSECUZIONI. D'OPPÈDE "amico e fratello in Gesù Cristo, e che, da quando ne fu dotato e arricchito dagli apostoli di Cristo, sempre ne ebbe il godimento: ed ora volendo regalarti di ciò che desideri, m'ha dato commissione di cavar questo tesoro dagli armadi greci ed ebraici, e dopo averlo involto in sacchetti francesi il più convenevolmente che potei, giusta il dono di Dio, ne faccessi presente a te, povera Chiesa, a cui nulla vien presentato. Oh la graziosa derrata di carità, di cui si fa mercato di utile e profittevole! Oh benigna professione della grazia, che rende al donatore e all'accettatore una medesima gioia e dilettazione!"
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Et tes sueurs des océans; Et la-haut dans le libre espace, Sur ton corps glorieux et beau Si tu vois qu'il reste une trace De la bataille ou du tréteau, Sur ton front si tu vois encore De la boue et du sang vermeil, Débarbouille-toi dans l'aurore Et sèche-toi dans le soleil. Roi des poètes en guenilles, Ô gueux, maître François Villon, Buveur de vin, coureur de filles, Sonneur de joyeux carillon, Grand mélancolique en parallon, Tes vers sur ta tête honnie Font flamber le sacré rayon, Escroc, truand, marlou, génie Tu fus le père des bons drilles Dont tu remplis le corbillon Et pour de telles peccadilles Tu faillis, quittant le sillon, Au gibet comme échantillon Pendre, figure racornie Dont la pluie eût fait un bouillon, Escroc, truand, marlou, génie Il HALLADE VILLON Laisse les chercheurs de vérités Te piquer de leur aiguillon. Sur leurs sermons tu dégoblies. Amant de Margot la souillon, Tu sus, même à son cotillon, Allumer l'étoile bénie Qui fait resplendir ton haillon, Escroc, truand, marlou, génie ENVOI Prince, arbore ton pavillon, Et tant pis pour qui te renie, Roi des poètes sans billon, Escroc, truand, marlou, génie
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Gdy ofiara napadu upadła na ziemię, na pastnik ograbił ją doszczętnie, poczem zbiegł. Tajemniczy trup w Krakow e. Kraków, 21. sierpnia. (+) Onegd j wieczorem zauważył poste runkowy trupa mężczyzny wiszącego na drzewie. Przy zwłokach nie znaleziono żadnych pąpierów. Mężczyzna mógł liczyć około 40 lat. Przemytnictwo koni do Niemiec trwa w dalszym ciągu! Ożywiony ruch w miasteczku Woźniki. — Przemytnictwo ma wielką skalę. —— Szmuziel pozostaje w związku z przymusowym ZWro tem koni przez Niemcy. — Gniazdów centra lą. — Konieczne oczyszczenie straży pograni cznej. Lubliniec, 20 września. (+) W miasteczku Woźniki, położonem od granicy Polski, względnie od Gniazdowa o 3 kilo metry, zauważono w ostatnich czasach ożywiony ruch przemycania koni i wszelkiego rodzaju bydła ze strony Polski na Górny Śląsk. Z całą stanowczo ścią stwierdzić można, że przemytnictwo koni z Polski stoi w związku z kwestyą przymusowego dostarczamia koni Polsce przez Niemców, którzy w ten sposób otrzymują dobry materyał. a Poisce dostarczają koni wybrakowanych. Centralnym punktem, dokąd kierowany by wa przemycany żywy inwentarz jest kolonia wo nicka. W ostatnich dniach przyjeżdża tutaj mnó stwo samochodów niemieckich, przepełnionych „kupcami“, którzy załatwiają tutaj sprawy finan sowe. Zarząa b. powstańców na pow. lubliniecko oleski zwrócił już kilkakrotnie uwagę odnośnym władzom na ten niecny proceder. Wy stosowaną też została odpowiednia odezwa do do wództwa straży pogranicznej w Gniazdowie. Je żeli poczynione dotychczas przez zarząd b. pow > A WIECZORNA". n ' Sut stańców kroki nie odniosą skutku, zwróci się om | pościg i wszczęto w okolicy poszukiwania, ale do odnośnych władz w Warszawie, które niechy bnie zbadają stosuhki wśród straży, mającej czu waô nad dobrem państwa polskiego. Olbrzymi pożzr w Lubalskiem. Straty niema! miliardowe, Lublin, 20 września.
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WEEKBLAD voor Israëlietische Huisgezinnen. Verschijnt eiken Vrijdag ■voor Rotterdam per 3 maanden GO cents Voor de overige gemeenten v.an het Rijk franco per post 70 ets. per 3 maanden. voor het Buitenland per jaar f 4. Afzonderlijke nummers 5 ets. Drie en Vijftigste Jaargang No. 28 Uitgevers GEBR. HAAGENS, Rotterdam Bureau: Keizerstraat 27 Telefoon Interc. 3401 Vrijdag 14 Juli 1922 □"snn ni::n ADVERTENTIËN 30 ets. per regel. Reclames dubbel tarief. Groote letters naar plaatsruimte. Voor 11 achteis een volgende plaatsingen worden slechts 10 in rekening gebracht. Bij abonnement belangrijke korting. rviiUiiuciiijtSkC Dit nomfaer bestaat uit TWEE bladen. Eerste Blad. Nederlandsch Israëlietisch Seminarium Het TOELATINÜS-EXAMEN voor den in October e.k. beginnenden nieuwen schoolcursus zal plaats hebben op Maandag en Dinsdag 18 en 19 September. Schriftelijke aanmelding hij den ondergeteekendc (adres Kapcr.burgerslraat 17, Amsleidam) vóór 1 Augustus a.s, De Rector, L. 'WAGENAAR.
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nados á engrandecer las cosas psia exaltar el mérito de aus descubrimientos y oonquibtae, hii-% biesen caído en este error común de elevat \»é descripciones muy arriba de la verdad." S^^ Cortés no era necio, y veia bien que exagerar el número de sus aüados, mas bien que á exaltar el mérito, servia á disminuir la gloria de sus eon- qui>tas. Sin embargo, él confiesa repetidas ven- ces que era ayudado en <>U8 cooquistas, ya de ochenta, ya de cien mil, ya de doscientos mil hombres, y como estas confesiones ingenuas ma** nifiestan su sinceridad, así los ejércitos tan nu^ morosos demuestran la gran [Población de aquel país. A mas de esto, el doctor Kubertson supo- ne que cuanto escribieron los autores espafioles sobre el número de las casas de laaciudaats me- jioanas, lo dijeron solamente por eonjeturAy según el juicio que formaron á ojo; pero no pasó así, pues el mismo Cortés testifica en su prime<^ ra cartA al emperador Carlos V haber mandado hacer la numeración de las casas que habia ea el dlitrito de la república de TtaxcaU^ y haber en- contrado en él mas deciento cincuenta mil, y en la sola ciudad' de TzimpaiUzinco mas de veinla mil Digitized by Google DISERTACIÓN VIH. r SOBRB LA RELIQIOM DE LOS MEJICANO». N« tMgo que Iméeír «o ett» diaertMíoii ootuo €tL krotra» oon Pmw, porqog eMé kigvfiiMiiieft- to T«ooiioo»la letttjtou qoé €d materia <le reli- flio» bajr entre 1m deiirioa de loa anertoaoos y loa ^ las alraa saeiaiiea éei antiguo coatíoenW.
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A strange fatality attended u Gen t-ra 1 .laekson I..lied a the zenith of his Kucccssful career, General bonust reet wounded when i the .. t of -trikint: a blow that wollhl ha\> :,val..l General ?lackson's at < 'linn ?ollor- villi in its re suits. In each ease t!.. :ire was fr..m our own men \i, r.w 1:1.1. ?-i???:? k * aiivam i: ??!' i:\ i;>iy While these movements w??r? beinu made on ri:;ht. tleneral Kwell m-v eral times was a.'-siiulted <>>i the left. l>nt in cacti i.ise without diflictilty rhcckcd the advance of tlie eutlli.v (.About 0 o'clock A .M. General i.'wi 11 \recelved w i from (General ilorioti, .\1hrouph t'ietn-r.il l-hirly in pets. that his scouts r* ?? Med tin- enemy ; ox post d. and 1 ? t'leiio d to that he l? to turn it. 'i'i oral Karl; v. make t! ?? ts* however, c sonally i: ? ? > ? the move. and aft'.u s a attack. In.-:-. ns tli net al ' ; ?>: It was r.o.i: y mcnt Vie^.m. (.lent ! i Jonio: Johns. . 's i r; ? divihion as a Jlays's brigade our main l-i; i.; en i-ral Gord with sp;r:t right il.iu'i. trcnche I p ? ' t'irinu 1 " ' p i-' Snelu'i.M' 1! and Thale. Darin .: ? p .? dor's ?? ln'.i^t ? ? tl. opp.f. upon ih ?? t' army, w ? >!? liiiht 11 ?i ordon ? u i - i .-A'i a iim\ ? tin-111 .;>po-e.| b\ Gell ed it unsafe to i..1 Cw ? 11 examine p> r ma ii i tie dli >:al mil ?t \ ? i ilon ?ral k tli an.
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Concerto, che meritasse con fiducia qualche capitolo verso la fine, nelle quali può esser, che la quanta novella. Io con tutto ciò mi sentirei da scemi di mettere qualche cosa di buono, e di bello, e che ella non v'è, tendendomi accorto al bene da principio, che né quelli, che avevano scritto l'Alcorano era capace d'avere inventata una favoletta di così buon gusto, né chi l'aveva inventata farebbe fiato capace di comporre una leggenda così sciocca, così slegata, così piena di bugie grottescamente inventate, di malignità così aperte, e di così nojose repliche d'una cosa medesima, come è quello libro da capo a piedi. Ora che volete voi, eh' io vi dica? L'occasione di nominare l'Alcorano nacque, s'io ben mi ricordo, dall'induzione, eh' io pretesi di fare a favore della Legge di Grillo, dall'effetto che ella durata per giudizialmente Colla, e che per andare alla parodia di quello che avrei potuto rifpondere, che quella di Mosè ha durato molti più anni, e quella di Maometto non molti meno, della prima ve ne è stata due ragioni; l'una perché anch'ella (secondo tutti i riscontri di Fede umana, e di buon raziocinio) viene da Dio; l'altra perché Taltra Testi fu data per quello che appariva a' riti, e a tutte le presenze del culto celeberrimo, volutamente mirabilmente adattata a quegli, che l'avevano ad osservare, avendovela già di mostrata quelli medesimi dietro, inquanto a' dogmi, non solamente non riproveante, ma portata a far lega colla ragione naturale.
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Cruzó por los pueblos de gentiles .de laa vein- te leguas, de la costa de la tanal <e Santa gar- bera, que no bajan de veinte pueblos bien forma- áosy poblados de mucho gentío, y en cada uno ^e ellos se le derretía el corazón por los ojos: ya quo^npi podia,rcigar .aquella tierra con su ¿angre para logrír su reduóoiotí, jporque no estaba en gd mano, procuró regarla cotí lágrimas nacidas de sus fervorosos de seos, que le hacían pronimpir con < 1 Júngate Dominum mesis^ ut mitat operarios in messem suam: (Matth. 9, vers. 38.) y la ca- rencia de estos es de creer que le acortó la vida, según las vivas ansias que tenia de la conveTsion de los gentiles, pues desde que recibió la noticia de no venir misioneros para las misiones de la canal, se .le oprimió el corazón, oñ-eciéndolo á Dios nuestro Sefior con sus desees de la propa- gación dtí la fe. Saliendo de la canal siguió su camino, emzan- do por las dos misiones de San Luis y San Anto- nio, en las oue se detuvo á confirmar á los neó- fitos recien tautizados; y colmado de méritos lle- gó á 8u misión de San Carlos por enero de 1784, con mas fuerzas y salud que cuando por agosto se embarcó, deja nao á todos admirados y llenos de gozo viéndolo otra vez en su misión cuando pen- saban no volverlo á ver.
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For factories and warehouses where greater strength and slow-burn- ing construction are required, the subfloor should be made of matched softwood 1^ inches thick. The liV-inch thick hardwood flooring is sometimes preferred when the floor is to be subjected to extraordinary hard wear and usage, but the xf-inch is suitable for general purposes. The 3^-inch thickness is suitable for apartment buildings, churches, clubs, offices and similar buildings. Under ordinary foot wear it is as serviceable as the yf-inch and costs less. If the subfloor is uneven, the 3/2-inch flooring will produce more satisfactory results than the %-inch thick. The 3^ -inch is the most popular thickness under xf-inch. It is superior to parquetry because the sides and ends of the flooring are matched so that it can be laid with the nails entirely concealed, and they cannot work out. It is suitable for residences, apartment buildings, offices, churches, etc., where both its appearance and utility are impor- tant. Factory xf-inch Maple or Beech makes an ideal subfloor for the 3/8 -inch. Faces In xf-inch and 3/2-inch flooring, the 23^-inch face is usually preferred and in the %-inch the 1 3/2-inch face is a happy medium. Narrower faces require a larger quantity of flooring to cover a given area and the labor cost of laying is greater, but the resulting floor is worth the additional investment when one is looking for something better than ordinary. The wider faces are not so desirable in appearance but usually cost less for material and labor. Page 25 Association Standard Lengths The standard lengths in the different grades are as follows: Clear — 2 feet to 16 feet May contain what 2 feet to S]4, feet the rough lumber pro- duces up to 10 per cent.
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5.* La conducta de Balorí en los once años que reinó le mereció aquel epitafio singular , que aonque escrito con énfasis^ espresa la mas exacta verdad. "En el templo foe ous qae saeerdote: en la república mas que rey: en el tribunal mas que iariscoDsuIto: en el ej^-rcíto: en la acción mas que •oldado: en la adversidad y perdón de las injurias masque "^hombre: defensor de la libertad mas que on ciudadano: en ^los afectos de su corazón mas qne ami;;o: en el comer- >iCÍo mas qae sociable x en la caza contra fj':r4% tn9% que un león: *jr en toda sa vida mas que un fíU^jft»." \o ol^taote, no pudo «orregir la violencia de lu genío^que alf»una« to-s le arras* traba i eseesos qae se ac«frc»ban i frenesí ; y aun w; dice que Uno de elloi al recibir una mala r*<Hicia le cauvj la muerte* Año de iSgi.
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Ge contre deux tués correspondants, qui donnent des privilèges pour les propriétaires, peut-on en refuser aux ouvriers? Peut-on leur refuser des garanties contre l'abaissement des salaires, contre le chômage? (Très bien! à gauche.) Le parti républicain a joué un rôle de dupe, quand il s'est mis à la remorque des protectionnistes, c'est sous ce drapeau qu'il a fait battre dans plusieurs départements. Sa position a beau jeu pour promettre instement aux paysans qu’elle leur ferait venir le blé jusqu'à 40 et 50 francs le quintal. (Interruptions à droite.) C'est toujours de la droite qu'est parti le mouvement protectionniste. Tous les républicains doivent s'unir pour combattre cette politique. À la veille d'élections départementales il convient de mettre l'électeur en garde contre des promesses fallacieuses et d'expliquer au paysan que le droit de 3 francs profiterait uniquement aux grandes propriétaires. La tutelle économique ne peut se concilier avec la liberté politique. (Applaudissements. — Aux voix!) M. Leydet dit que personne n'a encore soutenu le système guo, c'est-à-dire le droit de 3 francs. C'est au gouvernement qu'il appartiendrait de parler dans ce sens. (Très bien! au dinant) Voix diverses, ici: à gauche, Le renvoi à jeudi est mis aux voix et à la majorité de 171 voix contre 24 sur 336 votants, n'est pas adopté. M. Camille Dreyfus dépose le rapport sur le projet de loi modifié par le Sénat relatif à l'emprunt de la ville de Paris. La cloture de la discussion générale sur le projet relatif aux cérémonies et musique aux voix. À la majorité de 303 voix contre 213, sur 346 votants, elle est prononcée. M. le marquis de Roys, rapporteur, demande la déclaration d'urgence. L'urgence est mise aux voix et à la majorité de 307 voix contre 257, sur 564 votants, elle est déclarée. M. Rouvier demande que la Chambre renvoie à jeudi pour décider si elle pennera à la défection des articles. Le renvoi est ordonné. M. C. Dreyfus commence le rapport sur l'emprunt de la ville de Paris. ("Non! Non! à droite. — Lire ainsi.) M. de la Ferrière demande pour que la Chambre soit consultée sur la question de la voie et le rapport sera lu.
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Herrfchaft ver Mameluken anfünvigte, drucken laffen. Dieſe Anſprache wurde durch Vermittelung des franzöfifchen Eonfuls in Alerandrien ver: theilt, blieb aber anfänglich wirkungslos. Die Bevölkerung griff zu ver Waffen, und Kleber und Menon, weldye die franzöſiſche Vorhut befehlige tet, wurden verwundet. Nachdem aber bie Franzoſen mehre Thore und Straßen mit Sturm genommen hatten, legten die Einwohner die Waffen nieber und unterwarfen ſich ihrem Schidjal. Bonaparte richtete hierauf ein Schreiben an den in Cairo reſidirenden türfifchen Paſcha, und bot ihn ein Bündniß gegen die Mamelufen, als gegen gemeinfane Feinde, an. Er ſchickte zugleich vie in Malta gefundenen türkiſchen Sklaven des Ordens auf franzöfifhe Koften nach Konftantincpel zurüd. Der Paſcha und die Pforte ließen fich durch ſolche Künfte nicht täufchen, aber auf die Bevölterung Aegyptens blieben fie nicht ohne Einfluß. Obgleich die Franzoſen als Chriften und Fremde nicht beliebt fein fonnten, fo war die Mamelukenherrſchaft ven Einheimifchen jo verhaßt, daß ſich Niemand. für diefelben erhob, und ihnen die Bertheibigung des Landes, welches fie mit großer Härte vegierten, allein überlaſſen wurde. Dem finnenden Geifte Bonaparte's, ver, ungeachtet feiner That⸗ kraft, nie die allgemeinen Beziehungen ver Exrfcheinungen aufeinander, ihren Urfprung unb den von ihnen erfahrenen Wechfel aus den Augen verlor, ftellte fich in Alexandrien eines ver auffallendften Beifpiele von Unbeftändigfeit menſchlicher Größe bar. Diefelbe Stadt, welche damals aur 6000 Einwohner und ein Labyrinth von Lehnihütten mit ſchmutzigen Straßen enthielt, hatte. einft das Grab Alerander’s des Großen, eines der Wunder der alten Welt, beſeſſen, und war an Vollszahl, an Pradt der Gebäude, an Glanz der Wiſſenſchaft und Kunft eine Nebenbuhlerin 158° Neueſte Sefchichte. 1. Zeitraum.
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fonction définie par la première série est réellement enfermée dans le cercle de convergence; elle ne peut être continuée au-delà. Le second cas est celui qui se présente le plus souvent dans les applications élémentaires; nous allons nous y attacher. Dans le cas qui nous occupe maintenant, les deux cercles \(C_0,\) et \(C_1\) ont une partie commune \(C_{0,1}\). Nous allons démontrer que, en tout point intérieur à ces cercles, les deux séries représentent la même fonction. D'abord, pour tout point \(x'\), situé à l'intérieur du cercle \(C_0\), défini du point \(a'\) comme centre et tangent intérieurement à \(C_0\), les deux fonctions \(\varphi(a'-x)\), \(\psi(x-a)\) sont égales ainsi que leurs dérivées. La chose est évidente pour les dérivées, si l'on regarde celles-ci comme les limites du rapport de l'accroissement de la fonction à celui de la variable. Elle apparaît aussi clairement, si l'on compare les deux développements \(\varphi(x+a)+\psi(x-a)-4\varphi(a)\) \(1\), \(n\) \(\psi(x)+\psi(-x)\) devant lesquels \(\varphi(x-a)\), \(\psi(x-a)\) désignent les variables pour \(j=a\) de \(1\), \(2\) dérivées par rapport à \(x\) de \(\varphi(x+a)\), \(\psi(x-a)\), et que l'on obtient en remplaçant, dans ces dernières fonctions, \(x\) par \(x+a\), puis en développant suivant les puissances de \(a\). Ces deux séries entières en \(a\) doivent avoir les mêmes valeurs égales pour des valeurs suffisamment petites de \(a\), et par conséquent, doivent avoir leurs coefficients correspondants égaux. Si donc le point \(x'\) est intérieur au cercle \(C_0\), les deux séries \(\varphi(a-x)\), \(\psi(x-a)\) ont même valeur en ce point, ainsi que toutes leurs dérivées. Si l'on considère, en général, deux points quelconques \(X_0\) et \(X_1\), on peut les supposer reliés de la façon suivante. Imaginons une suite formée par un nombre fini de points, effectivement aussi rapprochés qu'on voudra, \(X_0, X_1, h\).
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Sigue ríntas irreconciliables y rigurosas, en doce, lecciones de frases clave y procedimientos de oficina, incluido el pago de todos los gastos, se pagan con los productos resultantes de la venta. En Benidos, sostienen que poseen otras flores mucho más bello y poseen fortalezas que la rivalidad de los bajos y elevados. Multiplicado por la iglesia. Su majestad no se limita a más que de algunos barques ligeramente. Ali-Bajá tiene informado 75 años, y es todavía robusto, pero su excesiva gordura le impide llevarse a cabo las faenas de la guerra. Aunque falto de instrucción, tiene bastante talento natural, y una suerte feliz. La calidad de su carácter es este disimulo sádico y perfido, al cual debe su elevación y para él no hay otra virtud ni otro talento. Tal es el hombre, o mejor dicho, el monstruo ha podido llegar a viejo sin haberle alcanzado en la cámara la venda celestial. He moñado aquí siguiendo el vehículo, que no ha faltado de recidivir muy importante en las presentes circunstancias, en que verosímilmente se ocupará el congreso de este negocio. Para que la pólvora de guerra sea la más posible, es indispensable que el salitre con que se fabrica esté afinado por el gobierno, o basta que lo esté por un asentista cualquiera. Estará más asegurado el unido del Salitre destinado a la pólvora de guerra, aliñándolo el gobierno, que afinándolo el asentista. ¿Le saldrá más barato afinarlo por sí mismo, que recibirlo afinado de los asentistas? Deberá ser mejor y más barato la pólvora de comercio fabricada por el gobierno que por un asentista. ¿Serán más fáciles las explosiones y las astilleros, estando encargado de la fabricación de pólvora un asentista, que citándolo el gobierno? He aquí las cuestiones que me propongo examinar allí por lo particularmente para ilustrar la opinión en que su vergonzoso contrabando se discutirá en las cortes. Se ha difundido un error entre muchas gentes, el cuerpo de artillería que está encargado de qué ajuste desvanecer. Una pólvora, debe, por fabricar la pólvora de guerra, es el único respondible de estar compuesta con mejores ingredientes, y es indispensable de su calidad. Por lo tanto, al tiempo de recibirse el cargo manifestarse buena en la prueba.
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-'''-kelp whips the wave ashore* Kro,?U|;!,, i ?Ut lh? c?'o?-ed flrfi I rom lamps a-row on the sveamore . latiager with flittiut notr ?ui,<J ',oa ven his wedding * 'he mink is busy; herds acain ;.o ii ill ward in the honeved rain I he midKCK meet. I cry to Thee \\ Ik*yo houri Kcn.rinlie.s each of u.ese: Thou art j., ?. V" ? x ? ,,'IS' fo' Kotten me. ThrR i , a "carf unwound, 1 he lined kuIIs in the ofllns ride Thr""! ""I i T ?f ,narsl,y round, Ike --had.bush- enters like a bride ' ^ on little cloiidfi are washed of car? lhat climb thr blue Kow Knglaml atr And almost merrllv withal The ftce-frog plays at evenfnll .its oi,oe in a nio.se\- tree So, too, ThJJr"0' Il!il,e; undo ThlJ, fear Thou hast forgotten m#. ?Iiouise Imog-en# Guln*y..
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Cette culture de l’esprit public est moins flatteuse que la pose à cheval et le cliquetis militaire. Mais un laboureur d’idées qui sait son métier est moins ridicule qu’un Jomini qui ignore le sien.Par malheur, Jomini est aussi un tempérament, et comme tel, il ne sait pas rester tranquille. Soit qu’il ait appris la tactique dans la tribune de la presse, à la Chambre, soit quelle lui soit venue toute seule — comme la virtuosité au célèbre tambourinasse de Daudet — il ne peut s’empêcher d'élaborer des plans de bataille, et il appelle cela, le plus sérieusement du monde, de 1’ « action. »Ce genre d’action est quelquefois nuisible, dans le cas, par exemple, où quelques centaines de voix, auxquelles se limite la sphère d’influence du journal dans un arrondissement, suffisent pour déplacer l’appoint, au détriment d’un conservateur. M. de Cassagnac, sur le dos duquel on a fait de la politique de principes expérimentale, en sait quelque chose.Le plus souvent, ces inspirations tactiques ne sont qu’enfantines, et c’est déjà beaucoup trop pour un parti qui a besoin, entre tous, d’être pris au sérieux. J’aurais à taire les plus expresses réserves, au point de vue utilitaire, sur les consultations do droit canonique électoral que publient certains journaux et dont le plus sûr effet est d’entretenir l’opinion dans l’appréhension du chéricalmisse.Je n’en ferai môme pas sur les théorèmes relatifs à la conjonction des forces modérées. Ils mettent trop à nu l’inexpérience et les illusions. Vous les trouvez tantôt sous la forme mathématique, tantôt sous la forme juridique. Etant donné par exemple, trois candi dais, Primus, monarchiste ; Secunclus, républicain libéral, et Terlius, radical, qu’arrivera-t-il si Primas se désiste en faveur de Secundus^ La déroute de Tcrtius, naturellement. Et la classe de répondre en chœur : « C’est clair! > — C’est tellement clair que cela n’arrive presque jamais, et je tenterais bien d’expliquer pourquoi, si je ne craignais de prolonger cette causerie. — Je me rappelle avoir lu la démonstration citée plus haut dans une série d’articles émanant d’un bien bravo homme, qui la jugeait convaincante. 11 en fit l’essai; il fut Sccundus; vous pouvez m’en croire sur parole : c’est Tertius qui a passé — et haut la main.Enfin, les Jomini de la presse catholique ne se rendent pas compte d’une chose : ils sont plusieurs.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais expiraram. A condicião de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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« ne "i«ln <lü ti‘91) » VU laine anglaise, très bonnes IJ lj| |avec poches et bordés coul., au lieu de 6 no BASQUINES laine anglaise, très bonnes R à l’usage, Ueu marine, loutre, marron. ”PARAPLUIES taffetas fort, manches an glais nouveauté, grande taille RUBAN faille, couleurs, tout soie, larg. n 12, val. réelle I fr. 25, assort, comp.. Envoi franco du CATALOGUE-ALBUM des ECHANTILLONS et d' MARCHANDISES à partir de 35 fran<*«.THÉ DE L’EKFOSITÏON^nTp1^°dc''59$r' THÉ DE L,EXPOSITIONEd>.fl-Mc|.Vemïirr. VirST«3idHûiÈ6r*i2L23fiSf50 de Bevem par Ai, payables par lois 19 ificnirt usoub i HT», 1876, <877 «t 1878.—Brochure explicative : âOceatimea. H S'adresser A la CAISSE DES EEPOBTS, T7, rue Richelieu, P AIRPROGRAMME des THEATRES du LUNDI 6 OCTOBRE. — Ce Programme est revu Sont exactement indiquées toutes les heures auxquelles ils commencent, ainsi que l’ordre dans lequel les pièces sont représentées, de telleavec le plus grand soin sur les affiches apposées à midi sorte que l’acheteur de la FRANCE n’ait pas besoin d’acheter aucun programme.OPERA Ouvrit-7 b. 1/2. Rideau, 7 b. LA JUIVE cr. 5 a., de Scribe, muF.léaiar Sroem Léopold Ruggiero Bar bel Eudoxie HUMA* Ouvert.VL. 1/4 Rid<au,R h. •/• HERNàM /st. 8 a., en vers, MVictor Hugo. DooRnyGemex Maubant ■ernaiu kl on Carlo» Don Mattuai Doo tiarcie „. , l'ucde Lntzelboorg l*i b Ricardo D.-Vernoe Duc de Bobenbetrg Jolnet Dec de Bavière Ririwrd LucdeGotba Villam DonBancbei Bailiri L't-nT raiKiâto Davrigey honGille Troncnet V ona Sol œetd h.-Benihardt D oaa Joféta Thénard la aaanpuxe Léenne ODÉOI Oirert. 7 b* */*. BWeaa.s h. •/» VACm>BIUl88ARGS e.l Duhoukiir. cr“^ UairriHe André Foucault Nc-e de Rofemend nie^d I|uùêoe Louito Mune BtrgéMounet-SullT Worm. Frudhon BoucherLE V0T1GB DE n. PERR16BON c-4e., E. Labiche elEd. Martin. Perricboa M ontban Damel Savarr Porel Armand peerocbei Amaury commandantMathieuF rançon Majorin Teuié Jean (.reteonoola Joseph Foucault l’aBber(;iete Frevilie en * •“•'Farré nun de fer * un employé Lmeit nn guide Boorgeolg MmePerrichoe meid Crosiier Uennette Marie Berg* la marchande de journaux Valentin#GYMNASE Ouu-rl. 8 t. 0/0. Ilideau, 8 h 1/4 LES REVOLTEES c. 1 a., de M. E. UonlineL JONATHAN Comédie en trois dUrg, E. Gondmel, Ot"ald el liiffard.le rdpiiame Jonaîhan • lloiMnoreau Bernard Pindi ThivolinLandrol S.iint-Ormain Ihaitot Ma lard Brnèa bufernex B-vcl alot An« èl« Mmes J. ilay Léontine A. Régnault Mme Boitmnréeu PrioUnu Blaiiclie O. bupui» Justine (iie*z BtrlL» UeiriotiSWIlll n-èleVAUDEVILLE Ouvert. 7 b. 3/4.Rideau, sb. 0/0 LES ÉCHÉANCES D ANGELE c l a., MM.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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cio' che l'unità si trova sempre in relazione con le combinazioni particolari che la mente fa delle sue idee, alle quali dà i nomi, e nelle quali comprende più o meno, secondo che ciò meglio si accorda con lo scopo che si propone. Ciò dunque che la mente considera come uno è uno. Ma siffatta condotta della mente è del tutto arbitraria, e l'onda sull'esperienza, senza la quale le idee nostre non sarebbero mai combinate come lo sono attualmente. Da ciò pur segue che un cieco nato recuperando la vista ad un tratto non unirebbe mai le idee visuali isolate in aggregati simili a quelli che producono le altre persone che dalla esperienza hanno appreso a saper quali idee coesistono regolarmente, e debbono venir congiunte sotto un nome collettivo. Egli, per esempio, non associerebbe in una idea complessa le idee particolari di cui si compone la testa o i piedi visibili. Non si saprà allegare ragione alcuna che lo inducesse a far ciò, unicamente perchè si vede dinanzi un uomo in piedi. Infatti le idee che costituiscono l'uomo visibile apparirebbero nella sua mente d'accordo con tutte le altre idee che la vista gli procura del medesimo tutto; anzi non riferirebbe egli tutti questi ammassi di idee visuali a combinazioni determinate, se non dopo aver con l'esperienza osservato il movimento di tale o tal uomo e di altri, ed aver così imparato quali sono le parti e quali quelle che deve separare, e quali quelle che deve unire.
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Pasato, che fu il Padre a miglior vita, un Padre in Torino ebbe da Genova in una lettera Tipologica del felice passaggio, e insieme una piccola immagine del defunto formata temporaneamente col tocco calapisa, e approfondendo quanto fosse il favorito, & amato dall'Ecellentissimo. Sig. Marchese di Pianezza, gli fece pervenire alle mani una, chiara qual buon Signore leggendo la lettera, chiamò; è morto un Santo; e con lo stesso titolo fu onorato da Madama Reale Principessa di suo in- detto a quella nuova, che gliene portò il Sig. Marchese, il quale poi volle conservare per memoria, e per venerazione una segnalata virtù, come pure ha fatto delle lettere di lui ricevute, piene di religiosi sentimenti. Ancor vivendo si è trattato con dimostrazioni solite ferme a persona di riva al vincolo, Pre- dicando in una celebre Chiesa entrò a ricevere riverenza dalle Chiese, e rincessanza nel celebrare, e gli venne accennata una tale Chiesa, del che essendoli resentiti alcuni, a quali egli apparteneva ne fecero anche doglianza a Monsignor Illustrissimo; ma il prudente Prelato li acquietò dicendo: "Lasciate stare il P. Brignole, che la sua virtù merita ogni rispetto. Andando da Genova a Lucca fu costretto fermarsi qualche giorno in Massa, dove si trovavano, oltre quel Principe col Marchese di Carrara, anche il Duca, e Duchessa Donna, la Principessa di Castiglione, e la Marchesa Serra. Non può dire gli onori, che da tutti quei Signori furono fatti a quello Seno di Dio, e la mostra di stima, che facevano della sua bontà.
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D. Jonesville, Va. The notion that meats sell for less in England than in the United States, though this country ships these commodities there, is pure fiction. So far as wholesale prices are concerned, it is true at times that retail prices are lower in England than in the United States because the retailer's margin of gross profit is less there than here. At present, bread is actually cheaper in England than in the United States, partly because the bakers' and retailers' flour's smaller there, and partly because the English government is selling wheat to millers in England for less than they would have to pay to replace it in America since the present sensational advances in the market occurred. The Gary School System. Miss M. K. Richmond. Education by practical processes is the fundamental idea of the Gary school system. Actual measurement and accounting in the sewing-room, machine, and carpenter shop and laboratory gives arithmetic. The reading of good books and the written description of different practical processes gives the essentials of language and grammar. The amount of practical education of hands and brain is far in excess of textbook work.
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ROUTES : a). Mg. Lai à Lao-kay, 160 k. S.-O., via Cha-pa (121 k.). b). Mg. Lai à Hà-nội, 344 k., par la rivière Noire. c). Mg. Lai à Luang Prabang, via Mg. Theng (99 k.) et le Nam U. a). Mg. Lai à Phong-saly, 228 k. D. S. D. Trois itinéraires principaux mènent en Chine par des chemins assez difficiles : e). Mg. Lai vers Mg. Lệ, en remontant le Nam Te, via Pa-hang, Mg. Bún, (Pg.) Mg. Te (Pm.). f). Mg. Lai vers Mg. Lệ, empruntant la route de Phong-saly jusqu'à Mg. Cha, puis se dirige sur Mg. Tong, Mg. Nhié (poste de garde). À partir de là près de la frontière. g). Mg. Lai vers Mg. La, par la route de Lao-kay jusqu'à Mao-xao-ping (Ta-ping), puis Pac-tan, et B. Nam-kun à la frontière de Chine. 48. Mg. Lai à Cho'Bo' la RIVIÈRE NOIRE 344 k. — La navigation en pirogue sur la rivière Noire est lente à la montée ; elle demande de 16 à 28 jours selon l'ampleur des eaux et la force du courant au passage des rapides (thac, ou hat) ; — à la descente, le trajet est de 4 à 6 jours. Descente la plus favorable : 1er jour, Mg. Lai (châu de Lai) ; arrêt des pirogues en aval du confluent du Nam Ma ; — 2ème jour, arrêt à Mg. Cheng (châu de Quynhlay), ou mieux à Pa-ma ; — 3ème jour, à Ta-bu, débarcadère relié à Mg. La (Sơnla, par une bonne route ; — 4ème jour, à Van-yen, au débouché de la vallée du Mg. Toc (châu de Phu-yeu) ; — 5ème jour, à Su-yen, ou à Cho'Bo'.
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Mrs. Followard Cardoza and Miss Claire A big supply of red blood corpuscles is what helps to make any man or woman have a healthy pink complexion and cherry red lips. Resort to paint and powder are totally unnecessary and, besides that, are harmful. Three-grain hypo-tinctane tablets, if used regularly for several months, can create a greatly added number of millions to the red and white corpuscles of the blood, and not only improve the color, but add increased flesh to the thin and frail body. These tablets promote assimilation, absorption, and digestion, and this splendid aid to nature's forces transforms the complexion and figure. They are prescribed by physicians, but being of a perfectly harmless character, self-administration is being followed by many, who obtain them directly from any well-stocked apothecary shop. It was a very easy afternoon for me the day Willie discovered that Bridge to Guard in the Park. By F. Fox (Copyright. 1917. by Whetlster Syndicate, Inc.) Timothy left yesterday to spend a week at Emporia. Mrs. Elizabeth Penick, who has been the guest of relatives in Lynchburg, has returned to the city. Mrs. Vernon Grant, of Norfolk, will arrive today from Atlantic City to spend some time with her son, Richard Grant, and Mrs. Grant, on Pratt Street. WOMEN'S MEETINGS. The semiannual meeting of the Women's Christian Temperance Union will be held at the Y.M.C.A. The Washington Association of Miss Morris's School will be held at 3:30 o'clock this afternoon at the school building. Lot North Lombardy Street. The Dorothea Payne Madison Chapter, N.H.I.S., Daughters of 1812, will meet in room 630, Jefferson Hotel, today at 3:30 o'clock.
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Inalzato Masaniello a grado così sublime, ed ottenuto un pieno dominio del tumulto e delle violenze, sino a consigliare la espugnazione della reggia, del forte S. Eremo e degli altri castelli. Vedi il Diario del Capecelatro, Attivo di Cava nel Principato citeriore, uomo tristissimo, di molto ingegno, e capace di ogni nefandezza. Essendo Eletto del popolo nel 1620, prese parte alle cospirazioni ordite dal Duca d'Ossuna il giovane, e fu però imprigionato e condannato all'ultimo supplizio. Gli fu promessa la vita a patto che rivelasse i complici di quella congiura. Accettò la condizione e fu relegato nel castello di Orano in Africa, ove rimase per ventidue anni. Per le nozze della Regina d'Ungheria ottenne grazia, ed avendo abbracciato lo stato ecclesiastico con mezzi fraudolenti, ritornò in Napoli, e di quelle rivolte dell'anno 1647, che il Piacente descrive, fu uno dei principali promotori. Prescelto a consultore di Masaniello, ed abusando della sua debolezza, contribuì soprammodo a tutti gli eccessi, alle stragi ed agli incendi che desolarono la città, incitando il popolo contro i nobili, e principalmente verso il Duca di Maddaloni. Fu traditore vilissimo dello stesso Masaniello, e cooperò alla morte di lui a prezzo della carica di Presidente di Camera conferitagli dal Viceré, il quale fu poi obbligato a farlo fuggire in Roma, essendo caduto in odio del popolo, perché, come lo stesso Piacente narra in prosieguo, ottenuto il Genoino il posto di Presidente, cambiando stile, fece a propugnare i principi d'ordine, ed a reprimere con l'opera e col consiglio le eccessenze dei sediziosi. Cessati finalmente i tumulti, venne relegato per la seconda volta e mandato nella Spagna, ove morì appena arrivato in Portogallo, la cui morte non increbbe a nessuno, perché già lo conoscevano traditore; così scrive il Botta.
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80 M M AX l'M XXX &&S2G0M5sf I N X T-A L IA M* -A <D.V-E N T 'V-,-A -N^ ^ m MAWWS^.- 1 L^^I^^.I „ ,. , «. »r. •. Romarri Commentanoius.. .. ,. |gH «j, «. » • lUl<l)|>X( • •• • •« 1-1,1 » )•»<••,( ■ • ... • • .. • • • ~ • — » [•» ••f» ^ ■* f Princifit\B'Ft'H # A")ri> <r -G aW* m i ;fy1fhp6 ; Sabt* ,# J *'Mp&nrdnmiX^,rn n 1 1 v sfe- * • B • •>*.,...• .-j •«•'»•, w • * •• ■•*» .» ■•• .«%»»»'*• •»>'•. <•••./ a ..••>•*»•«*•• ♦'•••*■. .itHY&JrPtyMJtifo »• »•>..•. .• •..••.•..•.«•••.•■•.« j»_ • lii iVv.i»». » ../••»•>,.•,»»'»'••> »••,.» .•...••»■ •-•••I.»»* ••!» , 7J. B i r s o r nemfneynyifiomibi daturumjt tn primaatatc.eum nul-. iw.adhuetnmchbcr^Uum dtJctpUnarjtmfiuci^ gfp4tm,4^mfim xwrmmoye*b*f*cme,qmmfacroprwtartorwn>pMr^ anteaSos^non dicO fetrtYt ( /rf tnfrriflhtmfaram-duco )fed'mohtus ;*JtMM$(J(r magntsfeVuS^ ti&ydww « 5 ■y/i^ww*' tmmemor,tant t Trinctpts ,quantus tu es, magntfdmem yeloxpettdercmparmn dtligenterjvd nonfmmdmtrtpti* Mmwmv pbfitc\niittttmoYattmisprbrfusnonexpersfaccret. *tg>ut autew tnter morfjtes te'o- mntbus non antepontt,quo modo aut ytriuiem nouiffe, autffeius amore ienert^fo- tejl affimarc fmpulfus.ergo non njclmet gblfuionc,yelparua iuicxtfitmatione,fed offictt magnitudtne,fupraytres neg>ttum hocfufcppx dum cupto,fi non yt debeo, Jaltem ytt pojfum,palam facerc,non tiuantafit dtgnitas ac ytrtus tua, (magnarum entm &trigenti & dottftn* yinum opns effet<} JcdJjoc pottus,cum tnnumerabdis multttudo ytrtutem tuam fujpiciatjes tuasgeflas mtreturac prtdtcet ,• nullum ta- men efie,quiparentemmeum obferuantia erga te magnitudtne ytncat,qutfe ttbt D dcumttum efie Itbcntius memtnerit,&' magts gaudeat.Vtriufqueret tu necefittate, fafncntijftme Frtnceps,impofutfii:qut quo temporefub eAlexandro fexto tn hancyr- bcm facra Apofiolica Legattonis figna tntulifit,fingularis tuamanfuetudints ac bo- nttatts ye(ltgta,qua omnes in tutadmtrationemouerut,ita imprejja apud parentem meum reltquijlt,yt ts abeo temporeteunum rejftctat,te ynum,qutlaudibus tn cae- lumjerarts,dtgnumeJfepradtcet.ltaquequodtpJeefl,cum Jiltos quoque crga te efe necejfefitiegoetusltberorumynufnondumttbt notus,non alia yta , quam Jrater meus natu maior,adire tc conJlttuiSHam cum ts conuerfam tn Lattnum Dc f a«ftis E di&ifcj; mcmorabilibus btJloriam,patrts hortatu yenerattonis fua tefiimonium adtetulerityego quoque tnter patris Jupertorum temporum fcripta quofdam com- mentartolos nacltts,aducntum MaxtmiltantCafaris tn ltaltam,atque etus caufas, t£ quaabeoge(iafuerunt,duminltaliamanfit,continentes,quta tUa quoque con- ttncbant,quorum caufa yemre te adhanc legattonem conttgtt , tanquam nunc prt- mum natos fumpft,yt,ft poffem,perearum rerum commemorattonem,quate htc ma- nentege/t£ fuerunt,adttum mtht ad dtgnattonem tuam compararem. Ad te tgttur p aduentum affero Maxtmtltani Qtjaris,yt in co,in quo Lcgationis tua tn Qfalpina CaUianonfincmagnaUudetuanotatafunttempora,fttquidem in primis ytrtu- tis tua pro Italtca falute,ficutt oltmgenttlis tutjoannis Caruatal Cardmalis tnPan- nonta pro Chrtjit reltgione ,perpetuum monumentum.
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Du haut de sa tour inaccessible, le pauvre malade, à demi-nu, se défendait contre toutes les entreprises en lançant des briques et des plâtres sur ses assiégeants. Le seul moyen raisonnable de venir à bout de sa résistance, c'était de maintenir un blocus pacifique. Faute de vivres, l'assiégé eut nécessairement capitulé. Mais on vit se produire un malheur invraisemblable. Les opérations du siège étaient conduites par le sous-préfet Ritt, représentant de l'autorité, et par M. Van Cassel, incarnation de la loi. M. Ritt invoqua le concours de la force armée et fit ouvrir une largue brèche dans le mur, qui fut blessé. Quant à M. Van Cassel, il s’arma d'un revolver et il joignit son feu personnel à celui des soldats! Le glaive de la justice était remplacé dans sa main par une arme à percussion centrale. Le sous-préfet de Saint-Omer et le substitut furent poursuivis devant la cour de Douai, qui, dans son audience du 10 décembre 1875, leur infligea une amende. Cette aventure homérique, ou plutôt Saint-Omerique, fit grand bruit, mais elle ne devait pas empêcher, comme on le voit, M. Van Cassel de faire son chemin. On n'a pas eu l’occasion de dire de lui à peu près comme Victor Hugo : « Il aimait trop les balles, c’est ce qui l'a tué. » Quant à M. Ritt, il entra dans l’administration des finances, où le prince de Monaco l'alla chercher pour lui confier les hautes fonctions de gouverneur d'une principauté où fleurissent l'orange, la citronnelle et le trentième! En ce qui concerne M. Van Cassel, il eût peut-être été regrettable que ses hostilités contre le fou de Saint-Omer eussent compromis à jamais sa carrière, car il passe pour un magistrat de valeur. Seulement, il fera bien de s’observer et de ne pas tirer, maintenant, sur les jeunes avocats pendant qu’ils présentent la défense de clients parfois difficiles à défendre. Je viens d’apprendre, avec un étonnement mitigé par une pointe de scepticisme, la mort du « dernier survivant de Waterloo. » Comment, encore ?... On l’a enterré si souvent, ce dernier débris, que je me demande s’il n’aurait pas trouvé le moyen de partir pour l’autre monde avec un billet d’aller et retour.
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DANIELLO BARTOLI DANIELLO BARTOLI Il maestro d'otto punti, scoccato contro alla testa di quei due imparagonabili Poeti, non ostante il privilegio, che l'alloro ebbe dalla natura di non essere toccato da' fulmini, ne fu percossa, secca, arsa, incenerita la Laurea, con cui le Muse d'Italia l'avevano coronato, per onorare la Poesia, anziché lui, che della sua medesima opera si corona.
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Et idem intelligatur de illis Versilii, qui habuerunt stipendium vel unctionem ab Lucano Comuni; exceptis illis, de quibus deliberator per ... Dogemont, Documenti 309 ... DOGUMENTI 309 fi ulriusque Comuni, et eorum Consiliarios vel Sapientiesses ab eis eligendas. Et salvo quod predicti, et de predictis possit esse et stare in Terris et Castello Comitatus sive districtus Lucani, quae per Comumen Pisanum tenenda debent in custodia durante presenti Guerra, de quibus infra fit mentio. Et predicta locus non habeant nec se extendant ad Cives Pisanos nec Comitativos vel districtuales Civitatis Pisanæ, qui erunt in obietctione Comunis Pisanorum, nec ad illos Forenses qui presentialiter suec vel habitant in dicta Civitate Lucana vel Burgis dictae Civitatis, qui possit et eis liceat libere et secure in ea stare, et habita. Item quod omnes et singuli Cives Lucani, et Comitales, et districtuales et Forenses qualiscumque conditionis sit, existentes in dicta Civitate Lucana, possit et eis liceat libere et secure in ea stare, et habita.
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Désincarnation. Successions vacantes aux Colonies. Les ayant-droits aux successions ci-après sont invités à se faire connaître au ministère des colonies : Pages, Jacques, raiecracien, décédé à Hanoï le 11 décembre 1902. Ortimee, Jacques-Léon, agent de la compagnie d’opium Banhart et Cie, de Hanoi, né à Arcueil (Seine-et-Oise) le 14 janvier 1870, décédé à Nam-Dinh le 8 décembre 1901. Vélas, Joseph, agent de la maison Del'eau, né à Lyon (Rhône) le 2 décembre 1801, décédé à Hanoï le 20 avril 1901. Forsans, Louis-Henri-Anne, commis des services civils, décédé à Hanoï le 10 mars 1901. De Camilli, Jeanne, publiciste à Hanoï, née à Paris le 17 avril 1861, disparue en mer le 28 septembre 1900. Graux, Gaston-Edgar, typographe à Hanoï, né à Compiègne (Oise) le 22 septembre 1861, décédé à Hanoï le 17 décembre 1901. Marx, Léon-Philippe, négociant à Saigon, décédé à Paris le 21 septembre 1873. Werner, Henri, gérant du bar des Enfants de la mer, né à Marseille (Bouches-du-Rhône) le 25 novembre 1873, décédé à Hanoï le 22 avril 1901. Picevet, Amédée-Bernard-Désiré, agent temporaire des postes publics, né à Bourges (Cher) le 13 août 1860, décédé à Tourane le 3 mars 1901. Muller, Jean, cornet de 2e classe des services civils de l’Indo-Chine, né à Trèves (Côte-du-Nord), le 22 mars 1808, décédé à Périgueux le 19 septembre 1901. Retour du Chariot. On reçoit de nouvelle du septième, de l’infanterie coloniale, l’ancien et valeureux compagnon de Marchand dans sa traversée de l’Afrique, qui fut blessé il y a quelques mois, a fait, au cours d’un combat contre les Touareg. Le capitaine Fouque dont on avait annoncé la mort va rentrer prochainement en France. Le combat où il fut blessé a été un des plus meurtriers qui, depuis longtemps, aient été engagés sur la terre d’Afrique. Il eut lieu au petit jour et fut d’une violence indicible. Pendant une heure, une effroyable mise à sac s’engagea entre tirailleurs et Touareg. Ceux-là eurent 7 morts et 23 blessés, Ceux-ci laissèrent deux cent cinquante-deux cadavres sur le champ de bataille. Le capitaine Fouque, au cours de la mêlée, reçut quatre blessures, deux au crâne, une au cou et une au poignet. Le tempérament énergique et la robuste constitution du jeune officier finirent, après de longues semaines, par l’emporter. M. Fouque est aujourd’hui rétabli. Conférence Coloniale. Une Conférence sera faite à la Société de Géographie commerciale, 8, rue de Tournon, mardi prochain 12 courant, à huit heures et demie du soir. M. Louis Simon, délégué de la Nouvelle-Calédonie au Conseil supérieur des Colonies.
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posizioni del secolo XVIII. Perciò che riguarda il chiaro-oscuro ed il colorito, noi non gli esami. Davide, quelle concretazioni estendono poco osservate; pure crediamo osservare che il colorito è a criticarsi sotto al rapporto della convenienza. Il pittore ha meno pensato al soggetto che a certi tocchi di tavolozza che sarebbero stati meglio applicati in una scena spaziale di paesaggio. L'esecuzione di questa pittura si distingue dalle altre opere di David per la cura estrema, per la grande finitezza, e forse ricercatezza di pennello. Questo pittore si compiaceva del suo quadro e non temeva di chiamarlo un diamante. Noi dubitiamo pertanto che Poussin abbia approvato tutto questo ricercato lavoro; egli avrebbe rappresentato la morte di Socrate con un pennello più austero; avrebbe respinto ogni allegrezza e delicatezza, riservando per altri soggetti le grazie dell’esecuzione. Non avrebbe rappresentato per esempio i capelli del carnefice in un modo così ricercato, e lo diremo pure, cosi lusinghiero; e poiché ci accade di parlare di questa figura, aggiungeremo che il pittore è caduto nell'allettazione rappresentando un piede di questo carnefice che s'appoggia unicamente sopra il tallone, con le dita sollevate e contratte come se quest’uomo provasse un fisico dolore. Poi, più tardi, si avvide David che questo quadro sentiva un poco l’influenza del suo tempo, e si pentì pure di non averlo tratteggiato in grande. Quando l'esegui, e si si trovava indisposto per una ferita alla gamba che l'obbligava a lavorare seduto.
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Puis la séance se termine sur la question des cimetières urbains, qui reste dans le « statua quo ».BOUTELLES PITEUSESMlle Jeanne Rivet dont on connaît déjà quelques œuvres d’une saveur tout à l'ait originale, a écrit une charmante page musicale sur des vers exquis d’Armand Silvestic, notre amour.Mlle Adiny a chanté Cette Cêuvre à Home, | «es jourpass,$s> avecc un vif succès et nousl’entendrons prochainement à Paris.Notre amour vient de paraître chez l’éditeur Quinzard,*** M. le ministre du commerce à disert un déjeuner de trente couverts à ses principaux collaborateurs du ministère et de l’Exposition.M. Delombre avait à sa droite: MM.Picard commissaire général de l’Exposition; Moron, directeur; Bouvard. Castclain, chef le cabinet ; à sa gauche : MM. Delaunay-Be'leviJle, directeur général de l’exploitation; Chindèze, directeur au ministère, Bordelongue, Coyne.M. le sous-sectétaire, qui était en force du ministre,avait à sa droite : MM. Dervillé, directeur de l’exploitation au ministère; Bouquet, directeur; de Margueritte ; à sa gauche: MM. Nicolas, directeur; Gausel, chef de cabinet du sous-secrétaire; Grisou* Vannacbuer, Ardouin, etc.*** Le roi Oscar de Suède, après avoir visité Saint-Jcan-de-Luz, a visité Hendaye. Le commandant du stationnaire Javelot envoya deux canots du bord à l’embarcadère. Le roi s’est montré touché de cette attention. Il a traversé la Bidassoa sur l’une de ces embarcations et a atterri à Fontarabie, en Espagne, où il a été reçu par l’alcade. Il a visité en détail la vieille cité de la frontière. Le 49* régiment d’infanterie, en garnison à Bayonne, effectuera une marche militaire lundi. Il passera à Biarritz et défilera devant le roi de Suède. D’autre part, l’impératrice Frédérick est arrivée hier matin à Nice venant de Bordighera. Elle a rendu visite à la reine Victoria, sa mère, à Cimiez, où elle déjeuna avec les princesses et le due de Saxe-Gobourg. L’impératrice est repartie pour Bordighera hier soir.cuir Le docteur Gibcrt vient de mourir au Havre, h l’âgé de soixante-dix ans. Il avait été fait officier de la Légion d’honneur à la suite de l’épidémie de choléra de 1892, au cours de laquelle il donna de nombreuses preuves de science et de dévouement. Ancien conseiller municipal du Havre, il était membre correspondant de l’Académie de médecine.L’administration municipale entreprendra, dans quelques jours, la restauration d’un monument historique généralement ignoré des Parisiens, caché qu’il est àu bout de la ville, dans un coin du cimetière du Montpar • nasse.
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tolenanto las manos alcieló y bizo ora cion por aquel honbre y embiole con los demas queandatianporla Ysla en» tretenidosen fu caca, yauiendole ocu pado en efto algunos dias y muerto mú choscieruos y cabras queriendo bdl- ucríc el deuoro varon fuea la Y glcfia por recibirbendicion de Theoctilta, y entrando en ella y mirando auna yao- tra parte: vidola que eftava muerta, de rribole en el fuelo y comengole abefar _fusfanétos pies, derra mando lagrimas, eltaua dubdofo fia taber que hazerfe, rogaua aDiosle declarafíe Su vou ntad porqueaquella queria cumplir, quifie= ra llamara los otros cacadores y queto dos juntamentela fepultaran, mas de- terminofeen lo que menos deuia hazer y. fue quecortandole vna mano puelta en vn paño delino fe boluio al Nauio y dicron ala vela, vinoluego vn vien to tan apropolitoque penfaron ala ma ñana furgiren Negroponto, y fuedeo tra manera, porque fálidoel Sol fe haz laron enel meímo puerto: de dondea= uvian partido, y:el Nanio tan lofegado como li eltuvicrafobre ancóras;orl pe - ceremoraleoviera aferrado acl;todos fe efpantaron de:efto:y.no labiendo la “aula detal elirañezacanan confulos o sy. preguntandole vnos'aotrosfi avia cometido algun pecado,porel qual me refciefíen caltigo femejiterelbuenhom bre queentendio qual fuefíe la ocafion Talio entierra y fucaltemplo y reftituz yola manoal cuerpo dela lanéray bol uofe al Nauio el qual luego Íchizó ala vela y nanegaua congrande velocidad a Negroponto, viíto elto por el buen hombre conto el cafo como aula fucce dido alosde mas de la compañia los quealesadmirados de tanperegrina bil- toria reprehendicron fu atfevimiento; y decomun acuerdo boluicró a la Ysla deParo por ver el cuerpo de la lantra,y entrando en la Y glefía hallaron yngre- ñal y figura deelfanéto cuerpo ¿Eo auja eftado, masaclno lo vieron, aun que miraron todos los tincones dela Y glefía y la mayor parte de la Ysla, y vil toque erala voluntad de Dios que ef- tunicle abícondido:aniendo venerado la figura y feñaldecl fanéro cuerpo:bol ueron 2 fu Navio y. enel pafaron a fu tierraalabandoa Dios quees maranío llofo en fusfanéros. Todo eltocontoyn fanéto hermitaño al metafrafte el qual biniaen ¿quello Ysla deparo y.
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Cappio I 33 Ora sembra a me invece che se estenuo sentimenti variabili, relativi, contingenti, in ragione di tempo, di luogo, di razza, di educazione, di ambiente, di civiltà, persino da individuo ad individuo, quelli sono appunto che anno tratto alla umanità, pietà o benevolenza, ed alla probità o giustizia. Coloro stessi che li verrebbero assumere a cardini assoluti della moralità sociale, non si nascondono che tali sentimenti, o meglio idee, di giustizia e di pietà subiscono nella storia e nella etnografia siffatte vicende che presso un popolo ed in un'epoca viene passa per l'atto più umano e pietoso (come l'eccidio dei vecchi genitori nell'India) o più meritorio ed equo (come la prostituzione ospitaliera in Oriente), in epoca diversa e presso altro popolo ripugna e si detesta. Migliore ancora, e tacendo capo a cosa ben più verosimile e reale della famosa impudicizia dello studente anche noi, nell'epoca presente, mite e civile, non è un attrito diuturno ed universale delle passioni più improbe e malevoli, a prescindere pure dalla marea criminale, che si urtano e si scontrano a vicenda, anche nelle più elevate sfere sociali, sollecite soltanto di evitare le brighe del bagno, in cui principalmente incappano le malaccorte, portandosi un altro il pane di bocca, per sedere un gradino più alto, ingannando per gabbare il prossimo ? Guai anzi se no per civico pudore, se i sentimenti di tangente, di un ben meditato tornaconto, non rendessero gli smodati appetiti, e se nei benessere degli altri non facessero riflettere in migliori garanzie del proprio benessere. Ma ricondo nella consueta misura dei protestati sentimenti altristi — e me ne accorgo io tempo per non sbandarmi.
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Mögen nun immerhin die ultramontanen Blätter in beweglichen Klageartikeln dem Schmerz oder dem Verdruß darüber Ausdruck geben, dass die evangelischen „Sozialdemokraten“ für Herrn Fuchs diesmal nicht zu haben waren — denn darauf läuft das ganze Gerede über die „konfessionelle Verhetzung“ doch wohl hinaus —, eines wird man sich ausbitten dürfen, dass beschimpfende Angriffe auf die evangelische Geistlichkeit unterbleiben. Man kann auf evangelischer Seite nicht dulden, dass der Aufruf der Pfarrer als „berüchtigtes Predigerflugblatt“ verschrieen wird. Eine derartige Bezeichnung muß entschieden zurückgewiesen werden. Bochum, 4. Juli. Warum spielt die städtische Kapelle nicht mehr im Stadtpark? Es fällt allgemein auf, so schreibt der „M. Spr.“, dass im Stadtpark schon seit längerer Zeit kein Konzert der städtischen Kapelle mehr stattgefunden hat. Dem sollen Differenzen zwischen dem Restaurateur und Herrn Kapellmeister Ehrhardt zu Grunde liegen. Wenn man auch diesen beiden Stellen keine Vorschriften über ihre Abmachungen zu machen hat, so darf man es doch immerhin als eine Seltsamkeit bezeichnen, dass es uns in Bochum nicht vergönnt ist, in den städtischen Anlagen ein Konzert des städtischen Orchesters zu hören. Sollte es da nicht eine Instanz geben oder eine solche sich schaffen lassen, welche bei Meinungsverschiedenheiten ein vermittelndes und entscheidendes Wort spricht? Uebrigens glauben wir uns zu erinnern, dass in dem ersten Vertrage der Stadt mit Herrn Merkert die Abhaltung von Stadtpark-Konzerten mit niedrigem Eintrittspreis ausdrücklich vorgeschrieben war. Herten, 4. Juli. In der Grube der Zeche „Ewald“ wurde in der Nachtschicht dem daselbst arbeitenden Bergmann Z. von hier plötzlich unwohl. Das Unwohlsein erreichte einen solchen Grad, dass das schlimmste befürchtet wurde, und wurde Z. sofort nach seiner in Herten liegenden Wohnung geschafft. Doch an der Haustür seiner Wohnung angelangt, verstarb er bereits, ohne vorher wieder zum Bewusstsein gekommen zu sein. Gestern nun waren Gerichtsbeamte in Begleitung eines Gerichtsarztes hier anwesend, um zur Feststellung der Todesursache eine Obduktion der Leiche vorzunehmen. Wie wir hörten, hat diese ergeben, dass der so jäh aus dem Leben Gerissene an Gehirnverblutung gestorben ist. Wie hier und da verlautet, war schon ein Gerücht entstanden, als sei Z. eines nicht natürlichen Todes gestorben, viel mehr gewaltsam und zwar durch Vergiftung ums Leben gekommen.
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FOEMS 849 Eleventh : That thereafter and on or about the day of , 19 .... , the plaintifE duly registered its claim to copyright with the Eegister of Copy- rights at Washington, in the District of Columbia, and did, on said day of , 19 • ■ , deposit in the Copyright Office, Washington, District of Columbia, two complete copies of the best edition of the said musical composition " " then published, and thereupon the Eegister of Copyrights issued unto the plaintiff a certificate of copyright registration of the said musical composition. That annexed hereto, marked Exhibit 1, is a copy of the said musical composi- tion, " " That annexed hereto, marked Exhibit 2, is a copy of a certificate of the Eegister of Copyrights, Washington, District of Columbia, showing that two copies of the said musical composition were duly deposited in the Copyright Office on the day of ,19 , and that the registration for copyright was duly made upon the same day. Twelfth: That by reason of the foregoing, the plaintiff became the sole and exclusive proprietor of the said musical composition, " " and of the whole thereof, including the title and name as well as the manuscript and copyright thereof, and all. rights to publish, print, reprint, copy and vend the same, and the plaintiff has ever since been and now is the sole and exclusive proprietor of the said musical composition and of the whole thereof, and the copyright therein and thereto and the right to publish, print, reprint, copy and vend the same.
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Ideo Vobis de facultatibus Ecdefiaflieis ■ , juxta quod Apoflolus di lege dicit , Non obligabis os bovi tri- turanti , folatium prabeo , ut Presbyteros non gra- vetis. IX. Hic vcr£ perfpicis Archidiaconos eorum— munia obire, quos familiare jam nobis eft Officiales appellare. Monet enim illos ibidem Hincmarus, ne molliri , vel dcfleAi fe finant It tuendorum Cano- num conftantia , vel publicorum peccatorum mu- neribus , vel poenitentium , vel eorum , qui poeni- tentia publica femcl defunAi , in eadem rurfusfla- gitia revolvuntur . Concilia fuperius- laudata Ar- chidiaconos eadem induunt poteftate , lifdetn im- buunt & praeceptis . Finitima his eft formula pr*- ceptionis Hincmari ad Hedenulfutn Epifcopum fu- perius memorata. Itaque per Canonicam difcipli- nam non licebar tum vel Officialibus, vel Poeni- tentiari is quidquam exigere. Officialibus dixi Sc Poeni rentiariis, qudd minus feparata tunc ea ef- fent Officia, & ubi de poenitentia publica verte- batur quarftio, difficillimum effiet ea feparare. Qui Archidiaconi tunc Presbyteratu necdum initiati erant , proclivius apertiufque Officiales , quim Poe- nitentiarii dici potuiffient. Sed cum Vicarii effient Generales & Miniftri Epifcoporum , 8c eorum par- I W De Beneficiis, Part.III. tes implerent, qui poflea & Officiales didi fant & Poenitenuari» , nihil utique poterant in obeuo- do minifterio. Tuo exigere nifi honeftas viiitatio- nis procurationes : hoc umverfim fixodc inconcufio, vel Beneficii reditibus, vel Epifcopis fportulis & d; (tributionibus , itaconfultum iliis fuiffie, ut mu- nia fua gratis obire poffient.
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Dzielność i śmiałość Joasi na koniu mogły -— Miałem, pań-dziu, może wyskoczyć z po rzeczywiście budzić podziw nawet w najwpra| wozu i biedz za nimi? — bronił się Wojski — wniejszych jeźdzcach, a wytrzymałość jej i|co dwie nogi, to nie cztery. Tam przecie był siła zwyciężyły w końcu nawet Kurkowskiego, |Jaś i pilnował. Zresztą , pań-dziu, mnie Się to który, nie mogąc jej dłużej dotrzymać towapodobało, bo Joasia na koniu wygląda, jak u rzystwa, zwolnił wreszcie kroku i zawrócił ku |lana, a w siodle, pań-dziu, się trzyma, jak drodze, aby się złączyć z powozami, podczas |przyszyta!.. Musi być mocna w szenklach dzie gdy ona wypuściwszy swego rumaka, poómknęła | wczyna! naprzód sama, jak strzała, i po paru minutach| Babcia Starlińska rzuciła mężowi za te sło zniknęła wszystkim z oczu za zarosłemi le|wa ostre spojrzenie i mruknęła zgorszona: szczyną wzgórkami. — Fe, wstydziłby się Kabcio na takie rze Spieniony gniadosz Kurkowskiego robił bo: |Czy Rwagę zwracaćl.. zawsze tensam! kami i parskał, a jego pan ocierał chnstką| Wielkosz uspokajał Kurkowską i zapewniał, spotniały kark i ogorzałą twarz, uśmiechając |że takiej Śmiałej amazonce żadne miebezpie się do żony i dzieci, witających go głośnemi |czeństwo nie grozi, okrzykami przy zbliżaniu się landa. — Panna Joanna lepiej jeździ od niejedne — Mój Jasiu — wołała z wyrzutem pani|go dżokeja — mówił. — Muszę przyznać, że Kurkowska — jak ty mogłeś pozwolić na ta-|to mi w niej zaimponowało; mogłaby Śmiało kie waryactwa!.. zgrzałeś się, zmęczyłeś, mo| brać udział w angielskich „steeple-chaise"! żeś sobie jeszcze co złego zrobił?.. Jak się| Powozy, które się zatrzymały dla chwilowe czujesz?.. Powiedz prawdę! go wypoczynku, ruszyły znowu z miejsca i Jaś się uśmiechał pod płowym wąsem, który | skręciły drogą ku rzece. | odbijał jeszcze silniejszym kontrastem od jego) — To musi być bardzo dzielna natura z tej zacz erwienionej twarzy i uspakajał żonę: panny Joanny! — odezwał się Romuald do — Nie mi się nie stało, nie bój sięl.. to| pani Jasiowej — „un pen bizarre, mais extra, zdrowo przetrząść się tak na konin; trochę |ordinaire*, nieprawdaż? tylko się zmachałem, ale nie mi nie będzie do — O, tak — przyznała mu bez namysłu — sam ej Śmierci.
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Ga^f^^r Vigodet, Capitán General cpié fue de estas Provincias, a este Ayitntanuento que había nombrado por uno desús Di- putados a D. Francisco Moran ^ Sindico Procurador General de esta Ciudad, para tratar con D. Fernando Otorgues los * (29) cifaba con ];iro;a3 y mentirlas prcraesos, y le enviaba socor- ros de aríillería, y municiones con lan poca precaución , ene me obiiü;ó a romj>er las hostilidades contra iodos mis deseos. £1 General Vigodet es el mismo que en la noche del 2 í de J unio quanvdo tema en su poder ese papel que quiere ahosa hacer pasar como Capitulaciones, y que incluye en su con- cepto tan solemnes promesas, envió al Oficial La Robla á f^á- tar la aproximación del vandido Otorgnés, y de los i^iupos n% mados que lo stgui-m, y (jue se ^ceicaron eíecrivameiue á mi reiagnardia en la misma tarde que cunaba á posesionar- me de la Plazíí. 1 quales son los principios conocidos en la conducta pu^ bhca de esie General? Ni quales podrían ser sino los que man el sistéma bárbaro adoptado umíonnemente por los Gc-^ convenios que aquel se reservó proponerle; y aunque V. S.
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Dieses Gerücht ist nun durch den Ausspruch der Ärzte, den Befund auf Gehirnverblasung lautet, widerlegt. Der Verstorbene war erst seit 2 Monaten verheiratet. Bielefeld, 4. Juni. Zum deutsch-österreichischen Bundesschießen hatten sich auch vier Vertreter der hiesigen Schutzengesellschaft nach Wien begeben, auch war mit ihnen ein Hildesheimer Schütze gefahren. Wie der „W. Ztg.“ einer der Teilnehmer am Festzug mit teilt, marschierte nach Bielefeld, das sich den zahlreichen süddeutschen Vereinen angeschlossen hatte, der Verein für Freihandschießen Hannover mit einem Veteranenwagen. Auf dem langen Marsch wurden Hannover und Bielefeld durch Zurufe lebhaft begrüßt. Fortlaufend mussten die Bielefelder für die Ovationen, welche im „Heil Bielefeld", „Hoch Westfälischer", „Söhne der roten Erde“ ausklangen, durch Hüte schwenken danken. Bei dem auf dem Schießplatz abgehaltene Festbankett hatten die Bielefelder in der Nähe des Festkomitees Platz gefunden und konnten die Festreden gut verstehen. Nach den offiziellen Ansprachen erwiderte zunächst der Vertreter von Hannover dem Bürgermeister von Wien, Dr. Lueger, und darauf der Oberst der bielefelder Schützenverein, Herr Fabrikant Erich Delius, hervorhebend, dass sie aus den westlichen älteren preußischen Provinzen gekommen seien, um ihrer Sympathie für das Deutschtum Ausdruck zu geben. Ein besonderer Ehrentag für die Schützen war der 29. Juni, an welchem der Kaiser die einzelnen Schießstände besichtigte. Den bielefelder Schützen wurde noch eine besondere Ehrung dadurch zuteil, dass ihnen durch die Fürstin Trautmansdorf namens der wiener Damen nachträglich ein Fahnenband übergeben wurde, auf welches eigentlicher nur Vereine mit neuen Fahnen Anspruch machen können. Pfennig für Bier zu schenken. Das ist gewiss Grund genug zu einem Wahlprotest. Aber der bösen Umtriebe sind noch mehr. Man hörte die „Westf. Vztg.“ selbst: „Wiederholt ist es vorgekommen, dass Wahlzettelverteiler der Zentrumspartei mit übelriechenden Flüssigkeiten begossen wurden. In einem Wahllokal wuchtete man einen ausgestopften Irrer herein, mit einem. In einem Wahllokal wuchtete man einen ausgestopften Irrer herein, mit einem. Der spanisch-amerikanische Krieg. Wien, 4. Juli. Hier verlautet, Spanien habe folgende Friedenspropositionen an Amerika gemacht: 1. Proklamirung der kubanischen Republik mit einer mehrjährigen Tributleistung an Spanien; 2. die Großmächte und Spanien dürfen zum Schutz ihrer Angehörigen kleine Truppendetachements in den Küstenorten halten; 3.
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La nouvelle de sa nomination comme évêque du Mans parvint en cette ville, le 24 avril 1767. Il y arriva le 8 août suivant. En 1779, le roi Louis XVI le transféra au siège de Noyon qui lui donnait la qualité de pair de France et l'entrée au Parlement de Paris. — À la Révolution, M. de Grimaldi ne voulut prêter aucun des serments schismatiques. Il émigra, passa en Angleterre et mourut à Londres, en 1808. Esprit et la bonté de son âme. Plein de talents et de goût pour les sciences et les arts, il était très instruit des devoirs de son état; naturellement gai et enjoué, il ne redoutait rien tant que la représentation et l'évitait le plus qu'il pouvait sans manquer à ce qu'il devait à sa place; mais il exerçait ses fonctions et faisait toutes les cérémonies avec une noble décence et la plus grande dignité.
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O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais expiraram. A condicião de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você: • Faça somente uso não comercial dos arquivos. A Pesquisa de Livros do Google foi projetada para uso individuíil, e nós solicitamos que você use estes arquivos para fines pessoais e não comerciais. • Evite consultas automatizadas. Não envie consultas automatizadas de qualquer espécie ao sistema do Google. Se você estiver realizando pesquisas sobre tradução automática, reconhecimento ótico de caracteres ou outras áreas para as quêus o acesso a uma grande quantidade de texto for útil, entre em contato conosco. Incentivamos o uso de materiais de domínio público para esses fins e talvez possamos ajudar. • Mantenha a atribuição.
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Henri MERLIN et Mme GAUMBACH interpréteront les rôles qu’ils jouent à l’Odéon, où cette pièce remporte à chaque représentation et depuis plus d’un an un triomphal succès. C'est un véritable spectacle d’art auxquels sont conviés les Amateurs de belles comédies. Mme GRUMBACH l’artiste réputée de l’Odéon, a été omise sur les affiches. Mme GRUMBACH jouera le rôle qu'elle joue à l’Odéon. FA VILLY CYATRE Lundi, Mardi, Mercredi, Jeudi LE PIC DE DIABLE Réalisation cinégraphique sur l’Alpinisme MONSIEUR JOSEPH d’après L’OPERETTE VIENNAISE Sont inscrits au tableau d’avance ment et présentés pour la hors-classe, 3e échelon. MM. Mèges, à Saint-Chamond ; Desamais, au Chambon-Feugerolles ; Brossier, à Montbrison. Pour la première classe, M Bourre à Firminy. Dans la police spéciale, M Lamy, à Saint-Etienne, est présenté pour la hors-classe, 2e échelon. Dans la police mobile, MM. Moine et Mauran, à Saint-Etienne, sont présentés pour inspecteurs principaux de 3e classe. UNE PUTIPHAR INDELICATE Le jeune J-B C.... domestique, 16 ans, passait, hier, vers 18 heures, place du Peuple, lorsqu’une fille enregistrée au registre des mœurs l’invita à la suivre dans un établissement de la rue José-Frapa. Le jeune homme déclina les offres de la prostituée. Ce refus eut le don d'exaspérer cette dernière. Elle bondit sur C., l’égratigna et lui subtilisa sa montre en argent d’une valeur de 105 francs, et deux billets de 100 francs. La putiphar d’occasion prit la fuite et son innocente victime vint conter sa mésaventure au commissaire de police de permanence, M Geneteix, qui a dépêché ses meilleurs agents pour trouver la voleuse. UN IVROGNE VEUT SE SUICIDER Le nommé Pierre Faure, 18 ans, journalier, domicilié à Charras, commune d’Yzieux, était venu, hier, à Saint-Etienne. Il fit de nombreuses stations chez les mastroquets, tant et si bien que, vers 19 heures, il était titulaire d’une bonne « cuite », mais d’une « cuite » à bordure noire. Un tramway passait. Faure se jeta devant lui et, sans le sang-froid du conducteur, qui stoppa aussitôt, il eût été écrasé. Faure fut conduit au poste de police de permanence, où le docteur Favre constata son état d’ébriété et le fit garder en observation. LA CINEMA-IDÉAL Ce soir, jusqu’au dimanche 15 janvier. Dimanche, deux séances, à 2 h. et 5 h. Une des plus belles superproductions Gaumont. Grand film d’amour de cape et d’épée.
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■Starb aüeni, wad idj über bie Slngelegenhctt fanR geRört Rabe, Idjcint wenigftend pen einigen ©eiten ber Wetanfe e,cRegt J» werten, bap fie Riadjläffe, weldje man in galge ber famltatircn jprctuftcnfti'Uft tenSarnbrennereieii unb ftrepRetenfabrifen gewäR- ten will, auf bie SartpRelbrcnucrcien übertragen werten. SSci« jpem-n, wenn bad bad Gubrejultut nnferei Beratbimgtn wate, ja würbe ich ed aufc Sicffte tcflagcn, mcch jemals int bic Ja- britatoRficer audgefpreeben gu Raben. 3unäcbft maebtei® Sic bitten, tadj in'ddluge gu tapen, bap ed Rdj beiter ^JrepRcjcniabtitarien ned um etwas anderes Ranbelt, etld nur um ©ptritudfabritation. Seno man aus einerlei Btateiial gipei fPretutte gewinnt, |!ref,ReW unb Spiritus, (c fann man ce® ni®t Pcrlangen, bap nunac« einem J)rabufte |o piel crrei®t, old wenn man bas üRafctiuI nur git einem prabuft perwettbet. EeaRaft fann man »8* (agen, bie 'JJrcpReicnfabtilen arbeiten unter ungünftigeicn Sn- 1203 SReidiStacf beä fliorbbeutfdjen ©utifcoä. — 53. @ißung am 5. 3uni 1860. hälhtijjen, als tic SpirituSfabrifcn. Senn He prcßhcfcnfabrifen j baffelbc Sfcfnltat hätten wie bicSpiritusrabrifcn, wie tie Kornjpi- rituSfabrifen, io wäre hie preßhcic ein reine« Wcfdwitf, wcldic« man Bet taufen fönictc, Kenn nun aber Me Scrßälhtiffe hct Preßbcfcnfabrilattoii herart fir.h. wie sie gejchittcrt werben imh wie ich fie für wahr halte, tan fte rer auswärtigen Äonfurrenj jiirn Streit nicht begegnen tarnt, fc liegt ta# tcd) nidjt in her ©cfteuerung teS Sptrilu«, i entern nur in antern willigen Serhaltniffen. 34 glaube, wenn man Kenterungen treffen tt'ill, jo braudjt man fte nicht in ter Grmäßigung her ©pirituä- fteuer ju treffen, unt wenn man fte in gerat iolehrr Grmüßi- (jung hoffen will, fo liegt toeh jebenfatl« fein Brunt Bor, ten »tutfall, ter tatureh für tie ©tecatsfaffc cntftefjt, auf antere Brandern, auf tie ffartoffelbrcnnerci ju übertragen.
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Neuer Aufsatzwettbewerb, „Welches Handwerk gefällt dir am besten?“. Um die Jugend schon frühzeitig auf die Wichtigkeit der Berufsarbeit aufmerksam zu machen, veranstaltete das Deutsche Handwerk im vergangenen Jahre in den Volkschulen einen Aufsatzwettbewerb über das deutsche Handwerk, der bei Schülern und Schülerinnen großen Anklang fand. Nun hat der Reichs- und Preußische Minister für Wissenschaft, Erziehung und Volksbildung die Durchführung eines zweiten derartigen Aufsatzwettbewerbs genehmigt. Er gilt für die Schüler und Schülerinnen der Volkschulklassen II und III, auch für die im 6. und 7. Schuljahr stehenden Jungen und Mädel. Die neuen Themen lauten: „Ein Besuch bei einem Handwerker“ und „Welches Handwerk gefällt dir am besten?“ Für die Sieger stehen weitere Preise im Gesamtbetrag von 5000 RM sowie 200 Buchpreise zur Verfügung. Erfüllte Wünsche brachten 32825 'Urkunden. Der zweite Wunschanzabend, den der Reichssender Leipzig in diesem Winter am 14. Februar in Dresden durchführte, hatte einen großen Erfolg. Das Endresultat stellte sich auf 32825 RM. Wenn man dieses Ergebnis mit denen von Wunschkonzerten der übrigen Sender vergleicht, so kann man von einem außer gewöhnlichen Erfolg sprechen. Der nächste Wunschanzabend des Reichssenders Leipzig findet am 19. März in Chemnitz statt. Wer — e. a am Platz deshalb meine ich auch, dass wir den diesben einen Schlag noch tun und ihr dann eure Tätigkeit wieder ein bisschen nach Europa verlegt. Dort gibt es noch viel abzugrasen! „ „Bei Jhnen können wir uns aber auf keinen Fall wieder treffen, Eving! „ meinte Cole. „Bestimmt nicht. Es besteht immerhin die Möglichkeit, dass mein Haus ein wenig beobachtet wird. Ich schlage vor wir warteten, wann Jefferson nach Buffalo fährt, dann treffen wir unsere Entscheidungen. Einen Tag nach gelungenem Coup finden wir uns nachmittags im „Commodore“ zusammen - das ist das eleganteste vornehmste Restaurant von New York - und dort wird uns niemand suchen und vermuten. „Und, falls Jefferson fährt, wer soll diesmal den Schlag gegen ihn unternehmen? „ „Ihr drei - Rosen, Cole und O'Connor - fahren gemeinsam, das heißt, im selben Zug, aber getrennt. Damit einer im Falle einer Gefahr den anderen decken kann.
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pia S DOE O W poene T pa duży pąsowy EL konsolami. kandelabry i RZE brązo Widzieć można każdodziennie od 12 do Zi od 6—8 wieczór. Zielna 27, róg Święto krzyzkiej, mieszk. 1. 2442 o sprzedania mało używana maszyna do pończoch Lamba. Nowy-Świat 4, pralnia warszawska. 2283 Pda w E ZM o sprzedania: obrazy, sztychy, oleodru ki. muszle, szkło, porcelana, lampa, wazo „ Widok 23, mieszk. 15, od 10—4. 2450 any perskie, angielskie i krajowe, dy waniki ik? przed łóżka po 2 rs., serwety, por tjery, chodniki dywanowe, kokosowe, jnto we od 12 kop. łokieć, wycieraczki, poleca fa bryczny skład Kiltynowicza, Mazowiecka 16, dom Grosmana. Ceny nizkie. 172 o sprzedania szafa dębowa rozbierana, rzeźbiona ozdobnie, z suchego drzewa, ce na przystępna. Wilcza 22, n stolarza. 284 "W amkari Marjona Werawowókigac PlacTeatralay uzda wow Dh a y Wada EO Uonorpon Doza, (owy OW z doo learen Popas Bapana 28 papa (9 Penpaas) 1888 n 171 | | firanki Ró Chmielnej M 37 i od ulicy Mar | | szałkowskiej 3: 108, m. 30. 2084 | areta prawie nowa do sprzedania w Uja zdowskich koszarach. Zapytać u feldfebla | niestrojowej roty. 2218 la la pp. restauratorów do sprzedania zaraz winda dobrze funkcjonująca, 165 funtów miedzi, 3 tuziny platerów, lampy, „stoły, krzesła, wielka łodownia, kabarety itp. za cenę nizką. Rymarska 10, m. 12. 278 o sprzedania szafa, komoda i stół jesio |nowe, oraz zegar regulator. Wiadomość ulica Waliców 17, mieszk. 4. 2387 ywany, kołdry, serwety, chodniki, obicia meblowe, najwiekszy wybór! „najlepiej ku pować?” w głównym składzie Giełżyńskiego, Marszałkowska 137.
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393 G 19 CoMMENT. IN Ep. XXIL L,IB. IX. 41 Cum ndn obfcena proprie fint vcrba ; nam illud eft , verberarc , vel pugnarcs lioc , fubigendo tenerum reddere ; ad obfccnam tamen fignificationem trans- fcruntur. BAtuet ecnim fic accipitur pro ^c/.rdVeiYy uty biniy pro /2/v</. eft autcm BxrSjciv , cum marcs infiliuntfeminas \ rei Venerex caufta. quo verbo Thco- critusufuseft. Depfire vcroy eftfubi- gere, nufccre. id perfpicue docet No- iiius. (Jendepfere (ait) cft commifcere, a Graeco tradum Si^a\ Hom. OdyfT />t, Kn^j?v A^))(7ug /uiXti^J^ict, Pomponius Nuptiis : pArtem infipui , concluft , con- depfni. Dcpfere igitur & honeftum , & obfcenum efle poteft. honeftum eft, apud Catonem 6c Varroncm ; obfce- num, non agnofcitur cxemplis : fed hic fufficerc videiur Ciceronis locus i cum ait : lamnon etium cbfcena 'verba pro ob- fcenis funt y Batuit , inquit, impudenter: depfit , multo impudentjus. Prx'terea vi- detur Catullus dixilfe, Pdtruipeydepfuit ipftm Vxo. em : non, Pevdefpmt. quem locum lofepiius Scaliger,fummoadole- fcens ingenio,dignus planeluIioCxfarc parrc filius , emendavit. Eft autem multo impudcntius, dcpfcrc , quam ba- tuere : quia turpius eft , fubigcrc^quam infilire. Z//?^«jVenim , ideft inljiit, qui rem Veneream habcre vulr ; depfit vc- ro, id eft, fubigit, t rh-^eiv , qui li- bidinem ipfam cxercet. Pag. 62. Stultorumplena funt omnia^ Bicitur hocexperfona Stoicorum , ut illudfupra: f^ides igiturnihilejfc , nifi tneptias ; turpitudinem necin "jerbo effey ncc in re : itaque nufi/uam efjfe. Infra vero ut oftendat Cicero , fe non ca di- xifle,quac ipfc probet,fcd ca,qux Stoi- ci fcntiant, Habesy inquit , rcholnm Stoi- cam. Ineptiasigicut & ftultitiam Stoi- cipiitabant, fiquis verecjindiam inlo- quendo fervarct, cum nec in verbis,ncc in rebus turpitudo clfe vidcrctiir , fcd eiret rerum omnium u;^^gqax qux- dam. ^lio loco'] Cum loquimur de teftibus virilibus.
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Suite de la prospérité mercantile: Ou dit dans le Nouvelliste de Rouen: «La fin de l'année est loin de se présenter favorablement pour le commerce parisien. Aussi redoute-t-on ici un accroissement du nombre des faillites. La journée moyenne de l'ouvrier, qui était de 2 fr. 50, est tombée à 1 fr. 25; vous pouvez ainsi juger du reste.» Le conseil des ministres s’est réuni à l’Élysée, sous la présidence du maréchal de Mac-Mahon. On s’est occupé dans cette séance de la situation faite au gouvernement par le conseil municipal de Marseille. Aussi le conseil municipal de Marseille se moque du gouvernement, mais ce qui lui, laussé sa force, tremble sur ses bases quand les édits phocéens bougent. LE VOTE DU SÉNAT Ça manque de femmes ! Quoi ? La république ! C’est ou moins l’opinion de Gambara, qui, à la grimace de Joigny, recevant l’accolade politique d’une dame avancée — pour et par son âge — a exhale cette plainte touchante : «La république, ça manque de femmes.» Heu ! heu! de belles dames honnêtes, pour sûr, mais il y a des caravanes d’amitiés des Léon, des Antonin, des... etc. Les feuilles républicaines de Paris publiaient ces jours derniers l’information suivante : La mort de la princesse Alice de Hesse-Darmstadt a amené un grand mouvement d'affaires à Lyon; les Anglais, qui depuis quelque temps ne faisaient plus d’achats, ont commandé aux principales maisons de grandes quantités de soie noire, à l’occasion du deuil de la cour d’Angleterre. Cette note, qui semblait indiquer que la mort de la princesse Alice avait causé une grande satisfaction à Lyon, a été, si nous en croyons la Patrie, communiquée officieusement, sinon officiellement, aux journaux républicains. Il faut convenir que les officiers de la police manquent singulièrement de tact. Il résulte d’un relevé que vient de dresser la préfecture de police que l’année dernière, 479 cadavres d’adultes ont été transportés à la Morgue. Les résultats du premier semestre de l’année courante sont plus tristes encore : Pendant cette période, la Morgue a reçu 385 individus, la plupart suicidés, dont 240 hommes et 145 femmes. Que voulez-vous? la prospérité générale est si grande sous la République. À une des dernières séances de la Chambre des députés belges, un chien s’est faussé dans la salle.
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Moskale nie mogą sobie dać y ' 1 rady ze swelni osadnikami, przypędzonemi z nad Wołgi dla zafarbowania Litwy na kolor mo skiewski, Korespondent do Pieter. Wiedomo stej naprzykład: znów się użala na zły stan kolonistów moskiewskich na Źmudzi; gospo darują źle, i nie mogą ani siebie utrzymać ani wypłacać podatków rządowych, jakkolwiek te ostatnie, rozumie się, są daleko mniejsze dla nich aniżeli dla włościan żmudzkich. Są tedy jakby przyklejeni tylko do ziemi, ale zrość się z nią nie sposób mużykom moskie wskim. Rząd raz wraz nowe ustępstwa i za pomogi na ich rzecz czyni, ale to nie nie pomaga, mużyki rozchodzą się po Świecia, jedni wracają zkąd przyszli, drudzy do szajek zbójeckich przystają, a reszta skomli w bie dzie i umartwieniu, nie mogąc stanąć o swych własnych siłach. Dla poratowania Potapów ostatecznie zamyśla rozdać między nich jesz cze 36.000 dziesięcin lasu (około 2.250 włók, czyli 7 mil kw. jeogr.) w jednej gubernji Kowieńskiej. Ale to nie nie pomoże; mużyk moskiewski nie dla tego nie może się zaa płynąca mlekiem i miodem, na której z łaski i pod opieką cara będą panami całą gębą, żyjąc bez troski 0 jutro. Mużyk ciągle się ogląda na te łaski carskie a nie nie pracuje, a zresztą mongolska jego natura lubi raczej wałęsać się po świecie, szachrować, targować, ' aniżeli pędzić cichy żywot rolnika, Nieule czony błąd leży więcej w systemie rządu mo skiewskiego aniżeli w czem innem, i możemy z zupełną spokojnością patrzeć na wszystkie. te zachcianki zmoskwicenia Litwy za pomocą kolonistów moskiewskich ; za pierwszym strza łem cała ta szarańcza mongolska jak dym się ulotni, W Połocku nad Dźwiną, seminacjum dla nauczycieli szkół wiejskich, o zamiarze zało żenia którego, donesiliśmy w czasie właści wym, zostało już otwarte.
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Dans la distribution des postes qu'occasiona ce mouvement de l'armée, il s'éleva une contestation assez vive entre les Athéniens et les Tégéates, qui prétendaient également commander l'aile gauche de l'armée. Les deux partis cédaient la droite aux Spartiates, comme étant la place d'honneur. Aristide termina heureusement ce différent. "Nous ne sommes pas ici, dit-il, pour contester avec nos alliés, mais pour combattre nos ennemis. Nous déclarons que ce n'est pas le poste qui donne ou qui ôte la valeur: c'est à vous, Spartiates, que nous nous en rapportons. Quelque rang que vous nous assigniez, nous l'éleverons si haut, qu'il deviendra peut-être le plus honorable de tous." Les Lacédémoniens opinèrent par acclamation en faveur des Athéniens. Mardonios, informé du mouvement des Grecs qui remontaient la vallée de l'Asope, vint camper une seconde fois en face de l'ennemi. Son armée était composée de trois cent mille Asiatiques et d'environ cinquante mille Béotiens, Thessaliens et autres auxiliaires. Ceux des Hellènes confédérés étaient d'environ cent dix mille, dont soixante-neuf braves qui sont immolés autour de son cadavre. Épouvantés à cette vue, les Perses prennent la fuite, et la déroute devient générale dans l'armée, dont les débris se réfugient dans le camp retranché que Mardonios avait fait élever au bord de l'Asope. Dès le commencement de l'action Artabaze qui s'y était opposé dans le conseil, abandonna le champ de bataille avec quarante mille hommes. Fuyant à marches forcées, il arriva au bord de l'Hellespont avant la nouvelle de la défaite de Mardonios et repassa sur la côte d'Asie avec les troupes qu'il commandait.
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Met een veranderde en o.i. verbeterde opstelling kwam het eerste tegen de leiders der afdeling. Purgerend uit. Er is stukken beter gespeeld dan de vorige week en de Purmerendera zullen blij geweest *ijn, dat het eindsignaal klonk. Over de wedstrijd het volgende: P. trapt af met de wind in de rug en lanceert enige aanvallen, welke achter geen suces hebben. Vulker is er goed in en weet enkele schoten onschadelijk te maken. Ook de D.-voorhoede zit niet stil en blijkt Cr zin in te hebben, evenals trouwens de andere spelers, in tegenstelling met de vorige week. Na ongeveer 20 minuten spelen weet P. een doelpunt te forceren. D. zet evenwel alles op alles en als Piet een bal goed toegespeeld krijgt, Schiet hij hard in en de stand is gelijk. Nog voor de rust weet P. nog eenmaal te doelpunten (2—1). De tweede helft met de wind mee. Zou het gaan? P. neemt direct het heft in handen, de bal wordt veel over rechts gespeeld, maar Eelke Reeft geen krimp; resoluut ingrijpend ontneemt hij de rechterwenk de scoringskansen. Hierbij ontpopt de P.-rechtsbuiten G. zich hoe langer hoe meer als een zeer onsportieve speler. Overschrijving naar een rugby-team lijkt ons het beste. Een tweetal doelpunten levert hun offensief op. Enthousiast werken on*e jongens om een tweede goal te. h»aken, maar jammer genoeg lukt dit eerst nog niet, hoewel de'P.-kce-Per toch lang niet zeker optreedt. Ongeveer 5 min. voor het einde heefc Jan echter succes maar ondanks heftige pogingen der D.-mensen komen er geen veranderingen teeer in deze stand. Resumé; Er is yeel beter gespeeld en gewerkt (kwam dit gedeeltelijk van de grassPinazie welke enigen van ons voor de wedstrijden te verwerken kre-Ren?) en we verwachten Zondag a-s, tegen V.V.W. thuis hetzelfde. Jongens, zet hem op, geef je ten volte! En natuurlijk komen we Dinsdags te trainen, dit geld ook voor de spelers der andere elftallen. Houdt blaakt deze avond vrij.
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Najlepszą postacią jest na pierwszym plani żołnierz polski, przybrany w koleczugę i misiurkę stalową, a siedzący na lawecie armaty, Na ostatni zaś planie umieścił artysta dwie w cudzoziemski niemiecki czy flamandzki strój przybrane figury mają to być zapewne dwaj puszkarze czyli artyle= rzyści eudzoziemskiego autoramentu, tak jak ic f koledzy na przedzie. Scena odbywa się przy za chodzie słońca. Potrzeba mieć bardzo bujną wy obraźnię i posiadać wielką domyślność, aby zrozu mieć i pojąć cel tej kreacyi. Scena wprawdzie W układzie efektowna, ale chociaż to tylko obraz r M dzajowy, nie możemy zrozumieć artysty, co go spowodowało, dla przedstawienia jedynie takiego blagiera włóczęgi, najmity żołnierskiego, poświęcać tyle płótna, farb i pracy. Dodajmy, że jakkolwiek $ figury są weale poprawnie i z natury rysowane, to w kolorycie widać wprawdzie chęć wyłamanis się artysty z ślepego naśladownictwa, ale obrazowi i ardzo jeszcze wiele brakuje, aby go nazwać wy4 kończonym, aby technika kolorytu rozłożoną była według warunków perspektywicznych. Przeciwnie, oprócz rycerza polskiego, siedzącego na lawecie mniej więcej figur na drugim planie na praw. przy baszcie, mianowicie tej, która dzierzy jakiś sztandar, wszystkie inne figury przedstawiają si w chaosie kolorystycznym, Jakimś zamazanym, ro lanym, niepewnym co do konturów i szczegółów draperyi. Obraz ten nie może mieć pretensyi do wykończonego dzieła sztuki. Artysta miał wpraw dzie pole, gdyby był skorzystał z efektów, jakie nastręcza zachodzące słońce. Scena jakabądź odgry wająca się na wyżynie baszty, dawała szerokie pole do popisu; ale z tego p. Krzesz nie skorzystał, a nawet samego krajobrazu nie można nazwać wy kończonym, bo jest zaledwie pospiesznie nałożony.
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" Martha, Martha," they cried, " he is here." "Who?" " Frederick." Yes, it was true. He had arrived the evening before. A bullet had gone through his leg inca- pacitating him at once. He had been carried from the field to the nearest station, and as soon as pos- sible had been sent to Vienna. But even joy is hard to bear. The report that Frederick was there had the same effect as the ter- rors of the preceding day — it robbed me of my senses. I was carried from the carriage and put to bed. Here, thanks to the after effects of the nar- cotic, or to the shock of relief caused by joy, I spent several hours, half sleeping, in half delirious unconsciousness. When I awoke and looked about me, I believed that I had wakened from some awful dream and that I had never left Grumitz. The letter from Bresser, my determination to go to Bohemia, my experiences there, the journey back, the report of Frederick's return — all seemed but a dream. I looked up. At the foot of the bed stood my maid. " Is my bath ready?" I asked, " I would like to get up." Aunt Marie started up from a corner of the room. " Ah, Martha, my treasure, are you really awake and in your senses. Thank God! Yes, yes, get up; yes, yes, take your bath, it will do you good, covered as you are with dust and dirt from the cars " "Dust from the cars — what do you mean?" " Quick, get up. Netti, get everything ready.
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BRUN, requérant, d’une maison située au bourg de la commune de Lamarque, sur le bord du chemin qui conduit de ce bourg aux Calenotes, élevée d’un premier étage au-dessus du rez-de-chaussée, avec chai et cuvier à la suite, et bâtiments de servitudes séparés par une cour, dans laquelle est un puits, lesquels cour et puits, se trouvent compris dans la vente, ainsi que les jardin et emplacement qui existent tout autour de ces immeubles ; le tout confrontant du levant au chemin qui conduit aux Calenotes, du midi partie au sieur BENOIT et partie à la demoiselle FEULETIN, du nord à un passage commun, et du couchant aux héritiers de la dame veuve MALRAUX. Cette vente a eu lieu moyennant la somme de cinq mille francs, en outre des charges ordinaires. Ces significations ont été faites dans le but de reconnaître et purger les hypothèques légales dont les immeubles vendus pourraient être grevés, tant du chef des vendeurs que de celui du sieur Nicolas BACQULEY, tonnelier, demeurant à Lamarque. Et attendu qu’à l’exception de Mme HAUG, susnommée et de la dame Catherine BERNARD, épouse du sieur DUBOSC, l’un des vendeurs de M. BRUN, à laquelle pareille signification sera faite, les personnes au profit desquelles il pourrait être prises inscriptions pour hypothèques légales, sur les immeubles dont il s'agit, ne sont point connues du requérant, il a été déclaré à M. le procureur du Roi que, pour suppléer à la signification qui devrait leur être faite aux termes de l'article 2194 du code civil, la présente allait être publiée conformément à l’avis du conseil des ministres du neuf mai mil huit cent sept, approuvé le 15 et le 16 juin suivant. Fait en commune du Bouscat, au domicile de ladite dame HAUG, en parlant à sa servante, ainsi déclarée, qui a reçu copie dudit acte des présentes. Fait aussi Bordeaux, au parquet de M. le procureur du Roi, en parlant à lui-même, qui a vu pareille copie et a visé le présent original, Goupil en vertu de la loi. Coût : onze francs soixante centimes. Signé SIMARD. Vu et reçu copie par nous, procureur du Roi, chevalier de la Légion-d'Honneur. Bordeaux, le neuf juillet mil huit cent quarante-six. Signé TU. COMPANS. Enregistré à Bordeaux, le treize juillet mil huit cent quarante-six, n° 13, c*9. Reçu deux francs vingt centimes. Signé BOUDET. Étude de M. DUBOSCQ, notaire. *Année* Pour purger les hypothèques légales.
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*? \\"- -1 (i* the St Ml!!.a. Hill::; via:: at lacks "'I I'tlt " J Mai;loll wol-- st> , p. 'i it; onr fir- . N'ear I.;?'*? 1' . a!', r.r.'ish t j t?? >|>y reptilf-<*d Htilgariasi sittti' i.s on I'.ajfccli. <"'n the western baiik ??!' " 'i Vardsir there was rut he t li :sk shell ? esp. ' ially towar?l Ma.iai'.a.' ?l,i ?' recion smith of Mor.as'ir ?'s sve i'"' tln'Jf s at ? '?: a- 1 -s I*.,;... a hotw-ea s-'il.i ? -rnav'is stf.'l Hultrarlati f"t , y ? z fr?? i"i I'm?: It.a." GERMANS CAUGHT IN THEIR DUGOUTS I ( V. 1 .'Kit l '> ? -1 1 1 ? i a . ? ?an oi -hai 'l wi st of !>?? I ??'!>? VI * ? li.lf t . ? W"- \\ ' ? ' ' - L- ht Hei ? s h- < ? ? Tir. f nrdr. ~ and : '? ? ' ? ? I.ongueval. If they hsiyo any oxtra 'tltutntHiltlff?! ' .r'A' e: t ? ? t ?. t <?>: ? the m.V*??e<* \v ?-? 1-: ic ' -.t'for tunate village The Brit sh '?.r?rM- 1 :i :? al-.'.ns ' ? ' ' -!?> * tnalnlnc >r. -ks '? V- ???* ? ' ihe attention of their artillery Srnal 1-!!<>? of t:i :?!? '. r "? \ <? , ' ? ? , h- ' ? '??? ri !*i fare of ? ;,<? i? ? . r ? . ? ? ? - ( ahc*' ' ~7\f f ^ nr. 1t T)ic v 7 ? * "t? - t > ? ? ? rjf. ?: r% * * ^ (? r' \*r> #?-.
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General Staten rüste am 10. September an, um den Krieg. Die Jünger mussten ebenso wie die Vornehmsten angesagt werden, damit sie Sühne tragen, nicht früh am Rande ermorden. Zwei Menschen begannen, die Generalsgedanken hinter den Schreitaltar. Ein Sieger, der den Kriegführen nachdenkt, wurde mehrmals in seine Ehrung eingesetzt. Er erhielt die Kette der Erneuerung, weil die Waffen ein großes transportables Magasin von 5000 Sagen bei dem Schloß des Grafen Coftin angelegt waren, auf Wegen der Erneuerung des großen Stromes gestaltet sie selbst. Die Dänen brachten die Waffen mit der Stoßgarbe hin, begannen auf, Wältern die Generalmobilmachung, bis der Krieg nach Deutschland nacheilte. Witten, der Oberbürgermeister, war donnerstags in der Statuen der Koflin. Er schrieb, die Jünger forderten auf einen eingerichteten Markt, um weitere Einheiten von 600 Mann, die sich beim ersten Angriff den Statuen opferten, nach Coftin jüngsten Tag. Die prestigereiche Statuen ging deswegen nach und fand sich hinter dem Schloß, wo sie gefundeten Latten, nämlich 6500 Kisten. Die Dagen waren im Quadrat einer Burg zusammen gefasst. Durch die Dauer ihrer Waffe nur eine Öffnung und dieses war mit breiten Kellerfenstern versehen. Sie gingen raffinierter Sicherheitsbetrieb, befanden sich innerhalb der Burgmauer. Sobald hier ein Recht auf Gefangene angekommen war, begann die Stürmung der Burg. Sobald die Korps angekommen war, war, bitte die Jünger auf einer Ersten Station eine Turmkolonne, bereit instanziert, wurde der Burgdie. Die übrigen Truppen beschloss der Korps, sie erließen den Besatzern, den Widerstand, den die Burg auf den anderen Seiten schnell bannen konnte, wenn die Turmkolonne ihre Schlusskugel getan hätten. Die Flanke füllte der General Mobilmachung die Turmkolonne gegen die Wagenburg, konnte nur die Sonneneinbruch genügen, um ihre Zweck zu erfüllen. Sturm die Wagenburg, um die Kolonne, um zwei Weiten zu einschließen. Darauf eilte der Waffenschrank, blieb ohne Bruder. Sie traten die Stadtgegend, erfüllten zwei Wagenburgen, wurden nun gegen den Mittelpunkt im Inneren berufen.
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