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Voici la composition de la troupe : André Ratoucheff, protagoniste de la troupe, 19 ans, taille 1 m 75, russe, originaire de la Sibérie centrale (département de Tomsk) où la température baisse pendant l’hiver à 42 degrés au-dessous de zéro, très talentueux, curieux, un excellent artiste et peintre portraitiste. -Max Kozirenko, comique, 27 ans. taille 1 m 85, originaire de la Russie Centrale (département de Karkov), bon artiste, aime beaucoup la nature. Grégoire Kichtim, 28 ans. joue des rôles de caractère, Kozak d’Akmolinsk (Sibérie). Catherine Akmolinskaia, la première artiste de la troupe, prima balerina. 24 ans, taille 1 m 82, fille d’un Kozak d’Akmolinsk (Sibérie) Mocrina Kourassa joue des rôles d’une vieille comique, 32 ans, taille 1 m 79, originaire de la Russie du Sud (département de Kiev). Agrippine Netjmak, ingénue-dramatique, 20 ans. taille 1 m 87, originaire de la Russie du Sud (département d’Ekatérinoslav). Marine Lamtchikoff, fille d’un Kozak d’Orenbourg, joue des rôles de caractère, 32 ans, taille 1 m 85. C'est samedi soir, à 8 heures, que débutera cette célèbre troupe de Lilliputiens. Il est prudent de louer ses places à l’avance. CINEMA-PALACE Jeudi en matinée à 4 heures trois-quarts et en soirée à 9 heures un quart, un très intéressant programme : Jack l’Audacieux, roman d’aventures à grand spectacle interprété par William Russell ; Charlie veut batifoler, comédie : Mabel mélomane, comédie burlesque, et divers autres films. CAFÉ DE LA GRANDE-PLAGE Tous les jours, concert de 11 heures à 13 heures, de 17 à 19 heures et de 21 à 23 heures, par l’orchestre Camille Ross, du Grand Café de Paris. — Jazz CALENDRIER: MEMENTO MERCREDI 2 Août. — Saint Alphonse. Casino Municipal ; À 15 h. 30 concert symphonique; à 17 heures et 23 h. 30, bridge ; à 21 heures, Un jeune ménage. Royal-Cinéma : À 16 h. 30 et à 21 heures, Nielda. Cinéma Mondain : Matinée et soirée : Marie la Gaieté. Place Ste-Eugénie : À 21 h., Concert public. JEUDI 3. — Saint Etienne. Casino Municipal : À 15 h. 30, Concert symphonique; à 17 et 23 h. 30, Dancing; à 21 h., Le Donateur. Royal-Cinéma : À 16 h. 30 et 21 heures, Nielda. — Cendrillon. Cinéma-Palace : À 16 h. 45 et 21 h. 15, Jack l’audacieux. Cinéma Mondain : Matinée et soirée : Marie la Gaieté. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
The day was very warn", and calm, and the sky entirely
dear, except where, as usual along the summits of the moun-
tainous ridge apposite, the clouds had congregated in masses.
Our lodge had been planted, and, on account of the heat, the
ground-pins bad been taken out, and the lower part slightly
raised. Near to it was standing the barometer, which swung
in a tripod frame; and within the lodge, where a small fire
had been buUt, Mr. Preuss was occupied in observing the
144 COL. Fremont's naebative of
tenjperature of boiling water. At this instant, and without
any warning until it was within fifty yards, a violent gust of
wind dashed down the lodge, burying under it Mr. Preuss and
about a dozen men, who had attempted to keep it from being
carried away. I succeeded in saving the barometer, which
the lodge was carrying off with itself, but the thermometer
was broken. We had no others of a high graduation, none of
those which remained going higher than 135° Fahrenheit.
Our astronomical observations gave to this place, which we named
Cache camp, a longitud* of 106° 38' 26", latitude 42° 50' 53".
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Le fevrier Gabriel, violoniste, professeur au Conservatoire ; de M. Besson, ténor, lauréat du Conservatoire de Lyon ; de M. Chapelon, basse, premier prix au Conservatoire de Saint-Etienne ; de M. Kybourg, comique (dans son répertoire) ; de M. Gibert Marius, pianiste accompagnateur, premier prix du Conservatoire de Lyon, et de l’Harmonie de Firminy, directeur M. Sutter. Le programme détaillé de cette agréable soirée paraîtra sous peu. On nous assure qu’il donnera satisfaction aux plus difficiles. — Incendie. — L’autre nuit, à 2 heures du matin, le clairon des pompiers sonnait l’alarme. Un incendie venait de se déclarer au lieu dit « Le bois de l’Echa », commune d’Unieux, dans un bâtiment servant de grange et écurie. Le feu, qui a pris naissance dans la grange, a été immédiatement attaqué par les pompes de la ville et celle de l’usine Verdier. Mais bien qu’on ait déployé une grande activité, les flammes ont tout dévoré. Il ne restait, à 3 heures, que quelques pans de murs démantelés. Les bestiaux ont pu être sortis à temps. On ne signale aucun accident de personnes. La ferme incendiée était assurée. Les pertes s’élèvent à 3.000 francs environ pour l’immeuble. Quant au mobilier, fourrage, outils agricoles et provisions diverses, appartenant aux locataires, Messieurs Riberon, fermier, et Cusset, coquetier, rien de cela n’était assuré. — Accident du travail. — Hier matin, un accident est arrivé dans les ateliers des établissements Limouzin et fils. Le sieur Jurine Benoit, manœuvre, âgé de 47 ans demeurant quartier Jacquard, était devant un laminoir au moment où une barre d’acier sortait de la canelure. La barre, en le frôlant, l’a brûlé profondément au pied gauche. Le blessé a reçu les premiers soins à son domicile, où il avait été transporté. Grande Choix. — Tentatives criminelles. — Une enquête est ouverte à l’effet de rechercher les individus qui, depuis dimanche dernier, ont tenté plusieurs fois de faire dérailler le tramway dans la plaine de Gier, en plaçant de grosses pierres sur la voie. La piste suivie par la gendarmerie fait espérer que les auteurs de ces inqualifiables tentatives ne resteront pas impunis. — Voyage d'une chabotte. — Une chabotte en fonte, pesant, avec son chariot, 61.000 kilogrammes, et venant des forges de l’Horme, passera aujourd’hui sur le pont des Renardes. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
40 & illuec atendirent les messages tant quil les uirent uenir & apres els tout
le camp couert de cheualiers qui encauchoient les messages . Et quant il
uirent ce si se metent al encontre & li romain resortirent maintenant que il
I Min. No. 224: "Ensi com kz gens le roy artu se combatent as gens lemperebur qui encauchoient les messages."
a MS.: "a present."
ec retorni
c
434
LESTOIRE DE MERLIN
Petrinus is one of the
bravest Romans.
By Merlin's advice
Artus sends another
six thousand men to
meet the messengers.
Saigremor distinguishes
himself. Seeing that
Petrinus kills many of
his people, he decides
to Idll him or to cap-
ture him alive.
Saigremor seizes Pe-
trinus and drags him
to the ground.
les uirent uenir . si en i ot asses de eels qui moult furent corechie de ce que
tant les auoient encauchiet car li breton les enuairent trop cruelment si en i
ot maint prins & maint mort . j . cheualier i ot moult renoume qui petri[n]us
estoit apeles car il nauoit en romme son parel de proece ne de hardement.
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Podían sin duda equivocarse, y además estoy
muy lejos de creer, que no se cometiesen infamias,
alevosías, traiciones, homicidios, robos y delitos
de toda especie; pero mi propósito es consignar
que entonces existia una suma de restricciones mo-
rales, que en muchos casos podían impedir la per-
petración del crimen, no por el temor á las leyes,
sino por resolución interna de la voluntad, de
acuerdo con el dictado de la conciencia.
Pero en nuestros dias aquella suma de creencias
y restricciones interiores ha desaparecido casi por
completo, porque la cultura moral no ha progre-
sado al mismo paso y compás que la cultura mate-
rial; de suerte que hoy la corrupción se encuentra
más generalmente extendida, sin el contrapesó de
recónditas, íntimas ó subjetivas limitaciones, y sin
otro correctivo que el de la acción pública del Es-
tado y del código penal.
No se me oculta que surgen gravísimos y nume-»
rosos males, cuando las creencias más sanas en su
/ondo' moral degeiietwi ^u (itego fanatismo; pero
ORÍGENES DEL BANDOLERISMO. 183
también es necesario convenir en que son nume-
rosos y gravísimos los inconvenientes y conse- *
caencias del descreimiento, y que ni el racionalis-
mo ni el libre examen deben estar necesariamente.
reñidos con la existencia del Ser Supremo, y por lo
tanto, del orden moral, como condición primaria é
ineludible del libre albedrío, que es lo que consti-
tuye la gprandeza y dignidad del hombre.
Por desdicha, los positivistas y materialistas se
imaginan ser grandes razonadores y pensadores
muy libres, cuando [comienzan por negar con
pasmosa confianza la existencia del Ser Supremo
y de la libertad moral del hombre, como si el con-
cepto de causa y el concepto de bien moral, no fue-
sen postulado necesario, contenido sustancial y
objetivo práctico de la razón humana.
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— Le nombre de bulletins blancs relevés à ce jour dans l’ensemble des 30 feuilletons et classés pour chacun d'eux à la rubrique « divers » est de 113. Les résultats du dépouillement du 23 août continuent à faire ressortir à quel point la lutte reste vive entre les candidats du haut de l'échelle pour les deux groupes de feuilletons que nous suivons au jour le jour. Groupe des feuilletons 10, 11, 15, 16, 17 et 18. — Dans les feuilletons 15, 16 et 17, il est intéressant de noter la façon dont terrible, force et bourreau fortifient leur position au premier rang, avec une augmentation de majorité qui va pour terrible sur fatale (feuilleton 15) de 28 à 111 voix ; pour force sur puissance (feuilleton 16) de 553 à 988 voix ; pour bourreau sur martyre de 17 à 770 voix. Par contre, dans les feuilletons 10, 11 et 18, nous assistons à un nouveau changement séculaire qui va dérouter les pronosticateurs; si, en effet, l'on pouvait dans une certaine mesure prévoir hier la revanche de profonde sur grande (feuilleton 10) par 84 voix de majorité, et de Lâcheté sur complicité (feuilleton 18) par 14 voix de majorité, il était difficile, en revanche, de s'attendre à ce que sarcasme, dans le feuilleton 11, retombât tout d'un coup à 182 voix au-dessous de quolibet qu'il précédait hier de 259 voix. Groupe des feuilletons 6, 7, 13, 19, 20, 22, 26, 28 et 29. — Pas de changements à noter dans ce groupe, pour les feuilletons 6, 7, 13, 26 et 28, où l'ordre établi hier reste même aujourd'hui. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
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Mais si les forces radicales sont épuisées par la vieillesse, par une maladie ou par une faiblesse constitutionnelle acquise, les émissions sanguines soustriraient, affermisseures fluides, le peu qui reste de vie. Il se présente donc un problème fort difficile : dissiper l'état d'inflammation, sans épuiser, peut-être en relevant les forces du malade.
Dans quelques cas, après les anti-phlogistiques (on a trompé aux bromures (bouillons consommés), ou même aux excitants diffusibles (le camphre asséz énitré)), on a réussi avec succès les viscétoires chez des sujets où la nature des douleurs, leur caractère errant et croissant, faisait croire fort mal à-propos à une désorganisation profonde du viscère. Quelquefois la fluxion se déplace, elle se porte sur un autre organe, vers la tête, ou le bas-ventre. On se demande si ces transports de la fluxion sont possibles à travers certains intermédiaires (le diaphragme, par exemple).
Mais il faut considérer qu'les fluides du corps ne sont pas tout-à-fait inertes et soumis seulement à l'action mécanique. Ils ont quelque chose de vivant, et prennent, à travers les gros vaisseaux, telle ou telle direction spéciale. On le voit pour l'excrétion urinaire.
N'oublions pas d'ailleurs que la circulation cutanée, cellulaire, anastomotique ou en nappe, a la plus grande part dans les fluxions ; qu'outre les grands torrents circulatoires, il y a des courants fort actifs selon la continuité des tissus ; et qu'après tout, la trame organique est une sorte d'éponge humide ou de bave parenchymateuse, puisque les vaisseaux capillaires poussent les fluides en sens divers, selon les besoins ou les caprices du principe de l'innervation.
Parmi les nombreuses observations qui ont été recueillies, nous allons rapporter les plus intéressantes de chaque espèce.
SIXIÈME OBSERVATION
Fluxion de poitrine inflammatoire, très-aiguë : guérison en 3 jours. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
D'entre ambas las partidas s'aproximan entre sí su AV 7750. Mas la critica y las trompas, los cuernos y la taboura, y la claridad de los ejes y el oro en la blancura, afortuna los corazones y el ardimiento más fuerte. Asi vengan esmemas como hojas a flor. El orgullo y la fiereza y el esperanza dan a la guerra, el perjurio y el ardor; en la bella plaza, delante de San Salvador, d'entre ambas las partidas mezclan la tinieblas y comienzan la guerra. La guerra recomienza el grito y la tensión, y vengan por las plazas la justicia y el honor; d'entre ambas las partidas apuntan a esperanza primero entre los otros, n'Amaldrico de Crion, en Gautier de Cambrai, en Tibault de Bleis, en Gilabert de Rocas, en Dragos de Merlon, en Raoul de Niela, n'Albert de Caldarón, en Jacques de la Trena, en Rainer d'Alban, en Jean de Breis, en Rainer de Rançon, en P. d'Escorralha, en Tibault d'Orion, en Giraud el ventrudo, Gilabert Malbruson, en Robert de Belmon, en Robert de Chalon, en Robert Penquenís, en Robert de Châlons, en Raoul de Paisy, en Giraud de Lansson, en Raynaud de Trias, en Jean de Bollon, en Gui de Mauritanía, en Rainer el Frigio, n'Amaldrico de Lusatia, en Bertrand de Corson, y las otras compañías, orgullo y felon. Asi vengan esmemas Franceses y Bergonhon, que de brazos la tierra y el erba el sablón. | 0 | 0 | 0 | 0 | 3 | null |
Mais qui tentera de la résoudre par l’unité de collège substituée au morcellement électoral, par l’unité de questions successive, et par la conversion de l'impôt en assurance générale et spéciale, sera certain d’aller droit au but. La France a déjà fait deux grands pas dans la voie qui y conduit. Ces deux pas sont : Le suffrage universel ; La forme républicaine. La France n’a qu’à continuer. Mais cette voie, les grévistes le savent, n’est pas celle qui la conduira ni à Frohnstadt ni à Chislehurst. ÉMILE DE GIRARDIN. L’ESPRIT DES MORTS Le meilleur moyen de faire du bien aux pauvres n’est pas de les mettre à l’aise dans leur pauvreté, mais de les tenir hors de cet état. B. FRANKLIN. LA GRÈVE D’ANZIN (De notre correspondant spécial) Aniche, 25 juillet, 7 h. soir. Je complète le récit de mon voyage à Aniche, dont je vous ai envoyé le résumé par le courrier qui vient de partir. En quittant Hérin, nous avons traversé Denain où je n’ai remarqué rien de particulier. Les ouvriers continuent paisiblement leur travail. La grande cité ouvrière a conservé la même activité et la même animation au milieu de ses rues noires et enflammées. Nous quittons Denain pour le pavé, c'est-à-dire la grande route qui mène à Boucchain. Nous passons à côté de l’obélisque monument, élevé à la mémoire de Villars, sur l’immense plaine où s’est livrée, il y a précisément aujourd'hui 166 ans, la fameuse bataille qui décida du sort de la France. Ici le pays industriel cède la place au pays agricole. C’est la première fois depuis dix jours que je respire un air pur. Nous voici véritablement à la campagne. Plus de cors symétriquement alignés, plus de grandes cheminées, plus d’usines. Des plaines immenses, d’interminables champs de blé, d’avoine, ou de betteraves ; — un.ŒILS SUR L’ÉTAT ÉTRANGÈRS Prix des cours Egypte vingt 460 ..400 ..— 1871 300 ..322 50 Libye 7 0/0 66k ... Etranger Extérieure 1 3/4 1/2— Italie 13 ...| Etats-Unis comme déo février 110 3/4 Victor-Emmanuel 3 ....245 ..245 ..244 ..Pélagios 5 0/0 15 ..> ,Argentine.........soustien 4 0/0 1867 375 .376 23— 1868 376 ..372 50373 75 Résidence 4 0/0 1870 88 ..68 1/26 ..— 4 1/2 1871 Dette générale tunisienne,.7 1 27677 ...220 ..220 ..219 ..Obligation | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Séssola. V. Zèzzola.
Sétt. Sette.
Disan ad sette in ses.
Svilaneggiarsi, Bisticciarsi, Rompersi a parole. Il Davanzale ha detto Le lingue sfrigolano, è vero In disan ad sette in ses.
Fan ad sette in ses.
Far di ogni lana un peso, Far di ogni erba fascio, Far alla larga potere, e a Fir.
Fame di pelle di bestiame, e a calore. Fornelle delle biglie e delle bianche, Cominciare ogni sorta di ribalderia.
Settima. Rottura in un drappo che pressati la figura delle tette. Scianto, Squarcio.
Settimo giorno dalla morte di uno. Settimo, come Messalìa. V.
Sevo, Cefalo, Muletto, Pesce di mare del genere Hugo.
Sevela. Zerma di Stamperia. Setola, Spazzola fatta di setole per il uso di nettare, carattere piccolo.
Sèza. Siepe, Riparo di pruni kilo svi ciglioni dei campi per ebegliere. Quando la siepe è fatta di pruni secchi si chiama Fratta.
Sfalsa. Tralignare, Degenerare.
Sfarragin. Farraginato, Farragine. Mescolanza confusa di molte cose.
Sfarragin, per Sfilageli. V.
Scuriosità. V. Sarguttèra.
Sfarguttèra. Tramenio, Bisticcine, Bubicchio, Remore cagionate da movimento fatto fretolosamente.
Sfarguttone. Cacafuriata. Trasfigurazione, Facetoide, Cecasarda, Che è oggi cosa in fretta.
In sfarguttone, lo stesso che Sferzare. V.
Sfazza. Y. Artista.
Sfera di arte. V. RAZZA.
Sfiati, o Sfiati. Spalmatore.
Sfida, in senso di Provincia a battaglia.
Sfida. Disgregare, Disperdersi. Gli ho dato uno scontro di armi e ho in attività io ne disperdo uno.
Sfifapipìa. V. Sfilazzola.
Sfilappiani. V. Sfilazzola.
Sfilazzo. Filaccia, Fila che al plurale si dice Fila che. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
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de Michels aurait tenu des propos injurieux en le menaçant de une destitution. Le marché national confirme absolument le récit de Vrumea et ajoute que, « sans se faire connaître autrement que par la force de ses coups, le baron s’est rendu sur l’autre quai de la gare en bousculant les aides et en ordonnant qu’on lui amenât le chef de la douane, à qui il aurait effectivement asséne un coup de poing. Le commissaire du gouvernement s’étant alors présenté et ayant dit à M. des Michels qu'un de pareils procédés étaient indignes d'une haute situation, ce dernier l'aurait aussi gratifié d'un coup de poing. M. DE BISMARCK ET M. DE COURCEL On télégraphie de Bruxelles au Journal: « J'apprends que le principal but du voyage de M. de Courcel à Friedrichsruh était d’exprimer à M. de Bismarck la satisfaction du gouvernement français pour le maintien de la neutralité bienveillante observée par l’Allemagne dans tout le cours de la question franco-chinoise, ainsi que les remerciements de M. Grévy pour l'assurance du maintien des bonnes relations entre la France et l’Allemagne que M. de Hohenlohe était particulièrement chargé d’exprimer au gouvernement français, lors de son retour à Paris. » LE DÉSASTRE DU SOUDAN Baker pacha, commandant des forces envoyées à Souakim, partira aujourd'hui seulement. Ce retard est attribué à des difficultés financières. Un individu nommé Klein, grosseur de l'officier allemand qui suivait les opérations de l’armée égyptienne dans le Soudan, est arrivé au Caire par la voie de Korosko; il a annoncé qu'il avait rencontré, le 5 novembre, près de Khartoum, cinq Berbères qui lui apprirent la destruction de l’armée égyptienne et des tchérkez bouzoukas, ajoutant que deux Européens et deux Egyptiens, qui essayaient d'atteindre Khartoum par la voie du Darfour, avaient probablement perdu la route. D’après le récit de ces Berbères, le général Hicks aurait été fait prisonnier le deuxième jour de la bataille. Il n’aurait été mis à mort que trois jours après, dans les environs d’Obéid. Les troupes égyptiennes auraient déposé les armes, et trois mille hommes auraient été faits prisonniers. Le général aurait eu les mains coupées, et son corps aurait été haché. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
Obecnie straż pograniczna bol
szewicka jest potrójnie zwiększona,
tak, iż dałszy napływ uciekinierów
jest bardzo utrudniony; pomimo to
niektóre osoby wolą śmierć ponieść,
aniżeli zażywać szczęścia. „komu
my”, to też naoczni świadkowie o
powiadają o straszliwych scenach,
jakie dokonują bołszewicy nad usi
łającymi przekroczyć granicę, m. im.
spędzają odpowiedniemi manewra
mi fych nieszczęśliwców w jakieś
nieprzebyte bagna, gdzie znajdują
nieuniknioną śmierć,
" Panie będą nosić tylko sukienki bawełniane.
P. Devey propaguje przemiysł krajowy.
W lokalu stowarzyszenia kup
ców polskich w Warszawie odbyło
się zebranie komitetu głównego ligi
samowystarczalności gospodarczej.
Pierwszą część tego posiedzenia
wypełniło zebranie porozumiewaw
cze:branży włókienniczej z udziałem
p. Deweya, doradey finansowego
anku polskiego, jego małżonki i cór
ki p. Alger, oraz zaproszonych gości.
W zebraniu 'tem wzięli udział przed
stawiciełe zainteresowanego przemy
słu włókienniczego oraz kupiectwa.
Zebranie to poświęcone było spra
wie zmanej iniejatywy p. Deweya
lansowania mody materjałów baweł
nianych na suknie i ubiory kobiece,
w celu poparcia przemysłu i handłu
krajowego. Zebranie zagaił prezes
związku
czych p. ednieki z Łodzi, następ
nie wygłosił przemówienie p. De
wey, który m. in. powiedział:
„Jestem głęboko przekonany, że
gdy wytwórcy kupcy i prasa poprą
odruch wprowadzenia mody na ma
Sosnowiec, |-—
Dęblińska 4 |Codziennie dwa przedstawienia 0 godzinie 7.35; 94
Telef. 14.00
LIB
„Wawel
w Sielcu
obok kościołaj vy
Tel. 7<65.
ra Z:
AES
rzemysłowców włókienni:
[Dzis i dni następne.
„KAPITALNE HO! IG! KOT
Wielka rewja w 2-ch częściach, 15-ta obrazach
święta i soboty 3 przedstaw. o godz. 5.15; 7.15; 9.15.
Ceny misiges 1.50, 2.80, 2.50, 5.00 zł.
roli głównej: JACK PREWOT,
bohater filmu „Niewolnica Szanghaju”.
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fLtA^URE,!
Your royaci
job- EOT>.
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He's Going to Get Chummy With the Khpdivc, Whether
His Joblots Wants to or Not
Copyrlsht. 1917. by Star Company. c;re.i Britain Rights Re.err.d
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D'APRÈS SON ÉCRITURE.
La ville de Paris est coutumière de ces jeux de main qui prouvent la facilité des cervelles populaires à s'enflammer dans les milieux incandescents où, d'un côté, les farouches groupent autour d'eux la phalange des intraitables, et où, d'un autre côté, les agents provocateurs et les ennemis du régime établi portent un contingent considérable de bras, sans parler de la masse des curieux qui vient grossir stupidement l'émeute.
Nos archives nationales possèdent un rapport, tout entier de la main de Bonaparte, qui raconte avec une précision remarquable l'événement dans lequel, sous les ordres apparents du général Barras, il joua le premier rôle.
L'affaire fut chaude. Les sections, refoulées dans le quartier Saint-Roch, furent écrasées ; et les hautes marches qui mènent à l'église furent couvertes de cadavres tombés sous la mitraille.
Traduisons d'abord les lignes que nous publions, car c'est le mot qui seul convient à l'écriture devenue maintenant illisible de Bonaparte. En même temps nous compléterons le document entier, véritable page d'histoire, écrite d'une façon étrange, où le militaire prend à toutes les phrases le rôle d'homme politique.
Le 13, à 5 heures du matin, le représentant du peuple Barras fut nommé commandant en chef de l'armée de l'intérieur. Le général Bonaparte fut nommé pour commander en second.
L'artillerie de position était encore au camp des Sablons, gardée seulement par 180 hommes, le reste était à Marly avec 200 hommes. Le dépôt de Meudon était sans aucune garde. Il n'y avait aux Feuillants que quelques pièces de 4 sans canonniers, et seulement 80,000 cartouches. Les magasins de vivres étaient disséminés dans Paris. Dans plusieurs sections, l'on battait la générale. Celle du Théâtre-François avait des avant-postes jusqu'au Pont-Neuf, qu'elle avait barricadé. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
As for the old-timers, although most of them were in no condition to play, everyone seemed to star, all of them showing flashes of old-time form. The lineup was:
High school—E. Hunter, captain, If; Witbeck, Evans, rf; Cozier, c; Cornelison, rg. Alumni—Alraquist, If; C. Hunter, rf; Thomas, c; Collins, rg; Faliquist, Ig.
Goals
Hunter, 6; Witbeck, 2; Evans, 2; Brigham, 1; C. Hunter, 2; Thomas, 2; Faliquist, 3; Alraquist, 2; Collins, 1.
Free throws—E. Hunter, 2; C. Hunter, 3.
-E.
FAMOUS SCOUT IS DEAD
"Buffalo Bill" Cody Succumbed to Complication of Diseases After Valiant Struggle
DENVER, Jan. 10.—Col. Williapj F. Cody, scout, Indian fighter, and frontiers man, better known as "Buffalo Bill" died at 12:05 today at the home of his sister, Mrs. May Cody Decker, after a long illness due to a complication of diseases. He was warned last night that he had no prospect of recovery, and laid down in unconsciousness this morning.
Cody was born in Scott county, Iowa, February 26, 1845, and was one of a family of eight children. His father, Isaac Cody lived on a farm called the "Nepesinekee Place," to which the Indians came, and from them young Cody learned their language.
Get a name for your farm Then have some letterheads printed at the Star-Mirror office. You will find it to be the most profitable thing you ever did.
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GRANDMOTHER KNEW
There Was Nothing So Good for Congestion and Colds as Mustard
But the old-fashioned mustard plaster burned and blistered while it acted. You can now get the relief and help that mustard plasters gave, without the plaster and without the blister. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Vaubecourt is right on the edge of the Argonne Woods, place Don was wounded at. Dad, I will have to close. I received that money order for ten dollars which I thank you for, so write once in a while. That is the "CLARE." "Jack" Williamson, son of N. Williamson, well-known merchant of Moscow, has written the following intensely interesting letter to his parents. The letter is chuck full of news and information. It follows: Dear Mother and Father; Your letters of the 28th of October just received and I was certainly glad to hear from you both. The censorship has been moderated to some extent and I'll have quite a lot to say so I'll answer both once. I'll start and tell you some of my experiences since leaving the U.S.A. New York on July 4th on the "Olympic," landing in Bordeaux, France, on July 14, after a fine trip. From Bordeaux we went to Château Thierry and did all kinds of work that could be done with a motor truck, from hauling ammunition and towing the big guns to transporting P.G.'s (Prisoners of War). We were there for some time and since then have been working the whole front from the Swiss order to the English channel, work was awful hard and nerve rack and we had to "go it" night and day. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
' ' Yeh, it 's s-s-so. " 'Day prolonged the sib-
ilant aggravatingly. "You're going back to
that junk shop when I'm through with you, too.
. . . What's scrap iron bringing these days?"
"Here!" growled the referee. "Cut that
out! Save it till the bell rings ! "
Back in his comer Henry expressed his opin-
ion of O'Day.
"Fresh mick, ain't he?"
"Don't let him talk to you," cautioned Tony.
"He's trying to get your goat."
"Fat chance!" sneered Henry, and then the
gong clanged. Once more the men met in the
middle of the ring.
"Scrap iron!" laughed O'Day, and went to
work at his trade, head down and both gloves
flying. Henry met him halfway, for this was
exactly the sort of battle he loved. He had
small respect for the sort of opponent who
pecked at him with a long left jab and then ran
away. The Iron Man planted himself solidly
on his large flat feet and replied to the hurricane
of short-arm jolts with a succession of rib-tear-
ing punches, some of which might have been
heard in the top row of the gallery.
The redhead did not yield an inch under fire,
but leaned forward valiantly to his guns. Head
to head, shoulder to shoulder, fist to rib the issue
was joined, and the house came up with a mighty
roar of encouragement and approval. This
was no pink-tea dancing contest ; this was a real
[219]
TAKING THE COUNT
figilit — ^the matching of punch with punch —
stamina with stamina — the supreme test of
courage. In such a battle there can be but one
ending.
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His father, who was looking rather pale, signed to the
postboy to stop, and " Charles," said he, " do you go on
up to the Hall, knock at the door and ask for your
NOX ALBA 131
uncle, Sir George Repington. I'll wait for you here."
As he set out in obedience to his father he heard him
mutter. " This was the very place. I swear this was
the place, and not an apple tree left." And then
Charles, diminutive enough in his black smt with
miniature small-sword of cut steel, was asking two
enormous footmen in canary-coloured velvet for Sir
George Repington. They looked at him and laughed.
" My uncle," said Charles solemnly.
And they laughed again, but one of them murmured,
' This way,' and walked up a very wide and very slippery
staircase, while Charles stumped up behind him. Half
way, his sword belt came undone, and the sword
clattered down upon the polished oak stairs with a noise
that seemed to resound a dozen times through the quiet
house. As he did not dare to keep the canary-coloured
gentleman waiting, he picked up the toy weapon,
clutched it tight in his left hand and entered a big dark
room where a gentleman with iron grey close cropped
hair sat reading in a chair with a very tall back, his wig
balanced upon his toes.
" What the d -I's this? " asked the grey gentleman
jumping up.
" Your honour's nephew," said the yellow gentleman.
" Eh ! what! leave us, sirrah," and " What do you
want? " he said, turning to Charles.
Charles could only watch the long furrow over his
nose and wondered how deep it was, when the grey
gentleman caught sight of the small sword.
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„Das musst Du kaufen, Mama, " rief das Mädchen hastig und eilig, „und dem Papa verehren; eine größere Freude kannst Du ihm nicht machen. Ich habe kürzlich gehört, wie der Papa dem Professor Goldstock sein Leid geklagt hat, dass er dieses Buch nicht eigen besitzt. Er brauchte es so notwendig und doch könnte er es nur entlehnen aus der Bibliothek und müßte sich jeden Augenblick mit einem Anderen darein teilen. Der Papa hat den Namen so oft genannt, dass ich ihn nie vergessen werde, es ist dieses Buch, das heute Nachmittag noch versteigert wird. Nun ziehe Dich rasch an und kaufe es; wir haben damit ein Namenstagsgeschenk, welches alles überbietet, was wir bisher dem Papa gegeben haben! Aufstürmen, den Shawl um sich werfen, den Hut auf setzen, den Geldbeutel füllen und den Namen des zum Überfluß noch groß auf einen Zettel geschriebenen Werkes einige Dutzend Mal rezitieren, war die sofortige Tätigkeit der von dieser Idee entzückten Mama. „Um jeden Preis muß dieser Trithemius erstanden werden, " murmelte sie, „der Papa soll eine rechte Freude haben. " Es war noch eine Stunde bis zum Beginn der Auktion. Die Frau Professor bekam den vordersten Platz. Nach und nach füllte sich der Saal; die Letzten standen noch vor der Thüre draußen. Die Auktion begann. Endlich rief der Ausbieter mit lauter Stimme: „Ein altes, interessantes Buch vom Jahre 1601. " Die Frau Professor wurde roth und weiß vor Erregung. „Zehn Mark Ausgebot, " sagte der Auktionär, „Zehn Mark! " sagte die Frau Professor. Aber im gleichen Augenblick rief eine hohe, quiekende Männerstimme: „Zwölf Mark! “ zur Thüre herein. Allein die Frau Professor lächelte und sagte: „Fünfzehn! " „Zwanzig! “ hieß es draußen vor der Thüre. „Ein ungalanter Mensch, " brummte die Frau Professor und sagte: „Zweiundzwanzig! “ „Eigensinniges Weib, " sagte der draußen zu seiner Umgebung und bot vierundzwanzig. Die Frau Professor erhob sich, um ihren Rivalen zu sehen, aber das war unmöglich, denn Alle drängte sich um sie, und über all die Köpfe weg sah sie nicht bis zur Thüre. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
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In der Schmiedestraße ereignete sich gestern abend ein aufregendes Vorkommnis. Ein etwa zehnjähriges Mädchen lief in derselben Minute über die Fahrstraße, als ein Radfahrer dahergefahren kam. Das Rad fasste das Kind und schleuderte es auf die Schienen der Stadtbahn. Zugleich war ein Motorwagen der Bahn in der Nähe. Dem schnellen Zugreifen des Radfahrers, der die Situation sofort überblickte, ist zu danken, dass ein schweres Unglück vermieden wurde. Bei dem heftigen Sturm, der gestern abend gegen 7 Uhr mit dem vorübergehenden Gewitter verbunden war, wäre an dem Neubau in Zirkelbach, Herz 3, eine Spreizlage gelockt und losgerissen, die einem gerade vorübergehenden Mädchen direkt vor die Füße fiel. Nur einen Schritt weiter, und das Kind wäre getötet worden. Betriebsstörung. Am Mittwoch abend gegen 8 Uhr entgleiste an der Ecke Klein-Schmieden-Marktplatz ein Motorwagen, der dadurch eine Betriebsstörung von etwa 10 Minuten hervorrief. Grobe Unfälle wurden in der vergangenen Nacht dadurch verübt, dass sämtlichen Ladeninhabern in der Gr. Ulrichstraße von der Ecke Alte Promenade bis zum Kollenberg die Schaufensterfenster von unten bis oben schmutzig bespritzt wurden. Hoffentlich kann man die flegelhaften Täter bald feststellen. Vereins- und Personalnachrichten. Allgemeine Vereinigung Deutscher Buchhandlungs-Gehilfen (Sitz Berlin). Die diesjährige ordentliche Handversammlung findet während der Pfingsttage in Halle statt. Eingeladen wird sie durch einen der Kommissare am Sonnabend, abends 9 Uhr, im "Pfälzer Schloss" in Halle. Die gesellschaftlichen Veränderungen finden am ersten Sonntag in "Bauers Brauerei-Ausgang", Rathausstraße 9, statt und beginnen vormittags 11 Uhr. Abends: Wasserfahrt mit Damen von der Peißnitzbrücke nach der "Saal-Schlossbrauerei". Am Pfingstmontag: Ausflug mit Damen nach dem Rudelsberg, Abfahrt früh 7 Uhr 15 Min. vom Hauptbahnhof; abends Abschiedsfete in "Bauers Brauerei-Ausgang". Im Laufe erteilt nebst Luckenberg und a. Vorstand der hiesigen Ortsgruppe Berliner, 18. Alt-Waldervogel (B. S.), veranstaltet am 17. und 18. Mai eine zweitägige Wanderfahrt nach dem Untersberg; Treffpunkt: Freitag morgend 2 Uhr am Hauptbahnhof. Konzert der Singakademie. ("Kaiserhalle", 15. Mal) Wurde Gedächtnis des großen Meisters Johannes Brahms an der erste Teil des Konzerts gewidmet, das die Singakademie am gestern Abend unter Prof. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
MET DE K.I. IN DE CEL Ondergetekende, dienstplichtig soldaat in Suriname, zit op het ogenblik een straf uit ineen militaire cel. Vooreen klein vergrijp tegen het dienstreglement kreeg hij veertien dagen streng. lemand wist wat lectuur voor hem binnen te smokkelen, waaronder de Katholieke Illustratie. Hij vindt, dat dit blad een bijzonder grote waarde heeft, en daarom wil hij zich als abonnee opgeven. Gelijktijdig vraagt hij u of het mogelijk is ook eens een
stuk te schrijven met foto’s over de Nederlandse militairen in Suriname, die een jaar vrijwillig als dienstplichtig soldaat hebben getekend. Dpi. sld. G. G., Suriname Welkom als nieuwe abonnee en wat uw vraag betreft, die is zeker het overwegen waard. NOG EENS DIE KOE Naar aanleiding van uw blad van 29 juni zou ik gaarne het volgende willen opmerken. Volgens het geschrevene bij de voorplaat komen de koeien dom-nieuwsgierig dichterbij om te kijken naar het kleine meiske. Volgens mij staat- de koe met een hoorntouw gebonden aan de paal, gereed om haar kostbare melk prijs te geven aan de melker, die bezig is met de koe ernaast (rechts op de plaat). Ik denk haast, dat het meisje „kassian” heeft met de koe, die op dit moment haar vrijheid kwijt is. Bootsman B. Tjerkstra, Den Helder U bent de eerste niet, die op onze plaat van de koe en het meisje reageert; dat hebt u intussen stellig opgemerkt. Overigens zult u wel gelijk hebben. Het meisje zal wel „kassian” oftewel medelijden hebben met het vastgebonden koebeest. Maar als u het plaatje nog eens goed bekijkt, zult u toch zien, dat het meisje niet naar de koe, maarde koe wel naar het meisje kijkt. TERUG NAAR DE NEGENTIENDE EEUW Ik zal maar met de deur in huisvallen: Zou u mij de Illustratie van 12 december 1885 kunnen opsturen? De zaakzit zo. Dit nummer heb ik jarenlang bewaard, maar nu ben ik het kwijt. Er staat een reportage in over de arrenwedstrijd op het Amsterdamse ij «clubterrein. Mijn vader, A. C. F. Thijssen, had die wedstrijd gewonnen en sleepte met het paard Marie honderd gulden inde
Het woord is aan onze lezers en deredaetie zegt er het hare van
wacht. Daar wij en onze voorouders steeds geabonneerd zijn geweest op de Katholieke Illustratie doe ik een beroep op u mij dit nummer te zenden. Ik zal er u zeer dankbaar voor zijn. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais expiraram. A condicião de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos. As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você. Diretrizes de uso O Google se orgulha de realizar parcerias com bibliotecas para digitalizar materia de domínio público e torná-los amplamente acessíveis. Os livros de domínio público pertévemos ao público, e nós meramente os preservamos. No entanto, esse trabalho é dispendioso; sendo asim, para continuar a oferecer este recurso, formulamos algumas etapas. Visando evitar o abuso por partes comerciais, incluindo o establecimento de restricciones técnicas nas consultas automatizadas. Pedimos que você:
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• Mantenha a atribuição. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
aiiter quippe timet adultera virum AmmiaUter talla didni
tera ne venUtxaAa ne deferat. L 2lmp«a oppwbiili aiea;
qd Atipicatns famutuU ladicU naf AiaaU. J Qaie eA qni
Aatm oppiobdnm Atlpicaturt non magis nonii Amm qiM
9 opptoMum $ cuUAAiet aliemiff Snipicarf enim pocAu
aUamm poteA bomomon Aramuuoniam quod fnlpicatan
igaotat: Zn Aio autem oppwbdo ndeAicnlnAv Ailpliiodbd
IUemU;m loquitnr eonfefemia. Quid eA ergo 9 litiOpr
pMbium memn quod IbMcatus Airnmirniram de Aqierio
re fenAi etiam Ate ducendus eAuiaonlam (^u non aaerUC
bomoocalos Aiosnevideatvaiiitarem;qnodtafetplbagir
luRboc de altis Atlblcatanvt pmpterqnod ipfe coiit deum:
vel pwpter qnod bona opera facttqKopter boc credat t ab
lerum ibcere.-poAlait quippe bombieo videre qd agimis:
taiao ante; rei contemplatione agimns occaltA eAtft ideo
eanrAiiWUoAtiM loaiRvt audeat bo«o ladicaR oceo
ollis bominam.x Atta plenim9fetnvera»amen ei mcogni
ta temere lblpicari.-ptopteres bominus cum oe ipfe ftae Io
qnerctnr pupter qae; AiAiiiam Auere bcbemuotvt oculos
noAroo a contemplatione anenerer vaniiaiio : monuit: ne
puptcTiandesbomImim bona opera Aicumusdicrns:^» asa,A
tendite ne faciatis wAitfamveAramcoum bomlfflbus:vt
videamini ab cis.A3boiinltmep!optcrpecttinamb(c2s: no JbldcnT
lue vobis ibeibari^re At terra £t:1IonpoteAisbeofenii«
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meum quod flilpicatnonimmddhifdetnfa Indicia na Aar
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lis bomAram non Aianla; quia temeraria: £t ideo Amm dir
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gratiaoeumcolemtqiempopoAittemptanduivtcrAnen '
qnod obiecerat fmienfret.eed emn Ubenivr alierins opp»
bdmn non nlA emnlatio ftaQiicenrtoom bonum opns repx
bendi non poieAuinia fe erent quod apemm eA:t qno fir
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latet» non Anudendo qd emAiet; -^toAccto contra boc ma<
lam quo qnir 9 Ubemer be bombw malmn qnod non peripi
cuAtfbicanr(badtaobabendaeAqnenonemnlanr.qna; ira.
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Harcourt reçut son numéro du Times le même jour, Roderick avait fait visite à Stuccoville pendant l’exil de Mme Tredethlyn; il avait entendu parler par Julia du départ de son mari et se rappelait fort bien le nom du vaisseau sur lequel il s'était embarqué. Le faiseur de projets devint pâle comme la mort quand son frère lui lut le bref récit de la catastrophe. Le plus froid scélérat qui ait jamais comploté la ruine d'un camarade doit sûrement éprouver un sentiment aigu de remords quand il apprend que la main qui a si souvent serré la sienne est maintenant froide. Pour Harcourt, le riche jeune homme de Cornouailles n'avait jamais été rien de plus ni de moins qu'un obstacle. Il n'était plus! on n'en pouvait guère douter. À moitié route, le Kingfisher voguant gaiement sur une mer tranquille, avait succombé à un ennemi plus terrible que la tempête ou l'ouragan, et tout le monde à bord avait péri. Un fragment de bordage charbonné et le couronnement de l'arrière portant le nom du bateau à vapeur, avait été aperçu par un vaisseau en retour. La catastrophe était certaine; cent foyers des Îles Britanniques étaient en deuil.
Après le premier coup que lui firent éprouver ces nouvelles subites, Harcourt poussa un long soupir de soulagement. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
361. Commentaires hiéroglyphiques ou Images des choses de Lan Pierius Valerianus... Plus deux livres de Caelius Curio touchant ce qui est signifié par les diverses images et portraits des dieux et des hommes, mis en français par Gabriel Chappuis Tourangeau. À Lyon, par Barthélemy Honorat, 1576, in-folio, vignettes grises sur bois, bas.
PREMIÈRE ÉDITION de la traduction française, ornée de curieuses figures dont quelques-unes sont un peu libres.
362. La Vie privée des anciens, texte par l'abbé Ménard, dessins d'après les monuments antiques par Ch. Sauvageot. Paris, Morcel, 1880-1883, 4 vol. in-8, lig. br.
363. J. Lipsius Saturnalium sermonum libri duo, qui de gladiatoribus noviter correcti, aucti, et formis venitis illustrati. Antuerpiae, apud Christopheorus Plantinum, 1585, in-8, planches gravées, non relié.
Incomplet du cahier c (pp. 121 à 124).
364. Justi Lipsius De Amphitheatro liber. In quo forma ipsa loci expressa et ratio spectandi cum figuris. Antuerpiae, opud Christophorum Plantinum, 1585, in-8, grandes planches pliées, demi-rel. mar. brun avec coins, dos orné, tête dor.
365. Funérailles et diverses manières d'ensevelir des Romains, Grecs, et autres nations, tant anciennes que modernes, descrites par Claude Guichard, docteur en droits. Lyon, Jean de Tournes, 1581, in-4, titre encadré et fig. sur bois, v. f. ant. dos orné, fil. tr. dor. (Padeloup.)
366. Fastos magistratuum et triumphorum romanorum ab urbe condita ad Augusti obitum ex antiquis tam numismatum quam marmorum monumentis restitutos. S. P. Q. R. (sancto populo Quirium romano) Hubertus Goltzius herbipolitanus dedicavit. Brugis Flandrorum, 1566, in-folio, titre et pl. gr. v. brun ant.
ÉDITION ORIGINALE contenant le meilleur état des planches.
367. Histoire des grands chemins de l'Empire romain, par Nic. Bergier, avocat au siège présidial de Reims. Paris, chez C. Morel, 1622, in-4, titre-front, dessiné et gravé par G. Baussonnet, velin. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
A cette occasion, elle assistera à la grand-messe à l’église St-Jean-Baptiste, où elle exécutera les morceaux suivants : Entrée : Marsch de Mendelssohn (Léon Chicol); Offertoire : Cléopatra, ouverture romatique (Schwensberg); Élévation : Andante cantabile (Benoist); Communion : Berceuse de Jocelyn (Godard); Sortie : Kérámis-marche (Thérine). À l’issue de la messe, défilé en ville et bancquet à l’hôtel du Mont Pilat. RIVE-DE-GIER. — Conférence. — Dimanche dernier avait lieu, au Cercle de la Berteau, la conférence que nous avons annoncée. L’assistance, qui était très nombreuse, était composée exclusivement d’hommes. À la tribune, nous avons remarqué MM. Laurent Laemont, Imbert, Spygre, Madignier, etc. M. l’abbé Ronchon, curé de la paroisse, qui préside, présente l’orateur, le docteur Pérignat, assez connu de toute l’assistance et qui, maintes fois, dans les réunions publiques, a défendu la cause libérale. Le docteur Pérignat, avec un connaissancede l’indiscutable, traite le sujet suivant : « Les Catholiques et l’Ecole ». La presse sectaire et les politiciens bloquards ont dénaturé cette question ; on a crié au péril romain, on a dénoncé les manœuvres de l'Église contre la République. Il ne s’agit pas de cela. Les catholiques, pas plus que leurs évêques, ne partent en guerre contre personne. Ils veulent seulement une chose : c’est qu’on n’oublie pas qu’ils sont citoyens français et qu’à ce titre, ils ont droit au respect de leur liberté. M. Pérignat démontre le danger que font courir à nos écoles libres les projets de lois Doumergue, nullement abandonnés par le nouveau ministère, puisque le programme du nouveau gouvernement Briand comporte la défense laïque. Sans doute, il ne faut pas exagérer, il ne faut pas faire en bloc le procès de tous les instituteurs de l’État. Il n’en reste pas moins vrai que les ravages sont déjà grands dans le corps enseignant. En 1907, ils écrivaient au ministre dont ils dépendent : « Nous sommes 30.000 instituteurs socialistes en France, c’est-à-dire un sur quatre ». L’orateur cite ensuite les scènes odieuses que M. Maurice Barrès a portées à la tribune de la Chambre. Les auteurs des manuels scolaires, M. Aulnay, professeur à la Sorbonne et grand pontife de l’athéisme universitaire, déclarent dans les Annales de la jeunesse laïque, que la raison d’être de la libre pensée est la destruction de la religion. M. | 0 | 1 | 2 | 0 | 1 | null |
Si da Talvolta il calo, e mai l'umane ne’ peccati carnali, che nel minimo flammato peccato, si viene a manifestare la persona complice, conclusa dal Confessore, benché non si nomini; onde a tale complice ne ridonda prelto il Confessore l’ interesso nella sua fama; come, per causa di esempio, qualche fallo carnale commesso con persona congiunta, o affine in primo, o secondo, o altro grado, già conosciuta dal Confessore, che conosce tutta la famiglia, ed i suoi congiunti ed affini; in quanto a ciò, che deve fare la penitenza pienamente, il tradono tutt’ i Teologi di S. Tommaso, che tale penitenza deve, moralmente può, andare da un’ altro Confessore, cui sia conosciuta la relazione complice, ad evitare di non ferire la fama della stessa Opera li Confessore: se però non può moralmente andare da altro confessore, e poiché per qualche breve tempo di differire, finché non abbia altro confessore, ed attenda differire quel breve tempo, e frattanto provvedere all’anima sua con un’ altra di contrizione per il peccato; che se per doveffe differire la consesso lungo tempo, o infine il tempo di confessarsi, o di commuoversi allora; dicono S. Tommaso, S. Bonaventura, S. Bernardo, S. Antonino, l’ Alcibiade, Cenone, Vázquez, Suárez, tutti gravi scrittori con altri dopo di loro, dicono, dice, che può la persona confessare il suo peccato, bene che segue la indiretta infamazione del complice noto al Confessore; sì perché l’interesse della confessione è un bene pertinente al Sacramento, ed è comandata da Cristo, come dice il Concilio, il quale bene deve preferirsi al bene della fama della persona complice, per altro rea, e che doveva prevedere, come quella persona umana era moralmente in istato di poter avere altro confessore; si perché quella di maggiore, in confronto della digiunta delle grane, è cosa non molto rilevante, l’infamazione preluse un solo, il quale tenuto a conservarla per sempre lo; sì ancora acciò la privata penitenza possa essere esercitata delle necessarie disposizioni, per non cadere più. | 0 | 0 | 2 | 0 | 0 | null |
Gewandte 7 x gewandt und n nis - Abschriften. Nu die Erpedi Le erit Kelleren beche. Hleranu: Hell o III t Korpor aus Stah. Der r III gewordene Trauma mnerhort wie Vardvenvkala erachtet vor dem Ein heitere Spiel von schönen Beolnen, Goldie der Liebe in 8 Akten. In den Hauptrollen: Josephine Baker das große Myrium, ein Irrlicht und Kobold, wild fand heute voll dankbarer Leidenschaft. Helene Haller - Andre Juguet - Nikoliska 77 J. Mädchen gesucht. Bauführer. 28 Jahre, in Architekt, für die Stellung unter an gerichtet deutsche suchen Stellung evt. Aus. Hier Sonnabend u. en er unt. ans relief. 2 a L. h * gesucht. Nebenbeschäftigung, perf. Buchhaltung, erfahren. Telefon. 2929 a. b. Exp. Nachricht Holtor der o dem * chemischer Techniker um alles, am leb. Filiale gleich Frage per Dezbr. e - dern empfiehlt sich bill tot für einfache u. bei Apo. Möchten erf, J Koch Back, * alle n* abend, sucht. Wir* einer welch. ten stü Februar. Off u. Kleidung. on Nr. , part, Linke ( sucht Stellg. ausarbeiten, “ w. aller K. 2610. a. Exp. sol. Frau e Aufw. in herr* wa was, 5. * unt ' D. Ex ädasen, W * St, z. 1. Nop. Haush. ohne Kitt V der nicht ausge schl z e tnv. Off 9 08 S Exp. gung “, De Hordingangen u 7 t Riemervert. A. L I, Sehr gut. m. v l. r t in hierte Kl. , sonn. 427 h i Nahe - ar * die Einr. G. möbliert. in und str v m n v r 14, 17 ſof J auch J M. * e rein v. 12 — 8 Uhr ab Ztgdtm Weidenplan. Gut möbliert. Zimmer. v Bahnhof für 2 frei 2. Eing. , 1 Treppe t n Zimmer m 2 Betten 4g zu v. Verwaltung. 1 Gufer Mittagstisch Helmstättenbauhund. Geschäftsgeschäftstochter: Kirchner tr. 21. Tel. 9220 echt n erfunden. Blätter sind von 13133 t Gorgge per ſofort zu verm. Man r , 967. ern e V all n. er mit Schubladen, a, III. Wohn ich immer e nun miet. u u. J. d. E. T. 9537 ?. | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | null |
Irene, daughter of a Roman ruler, who was put to death
for refusing to sacrifice to Apollo and who became her-
self the patron saint of the new Christian city of Con-
stantinople. Christianity is said to have been brought
there by no less a person than the apostle Andrew. He
is also reputed to have died in Galata, though another
tradition makes Patras the scene of his death; but in any
150 CONSTANTINOPLE OLD AND NEW
case he was buried in Constantine's Church of the Holy
Apostles. The church of St. Irene where he preached,
somewhere in the vicinity of Top Haneh, was restored with
magnificence by Justinian. An earlier emperor, Leo the
Great, had already built in the neighbourhood of Be-
shiktash the celebrated church of St. Mamas, together
with a palace that was long a favourite resort of the
imperial family. In the hght of recent history it is in-
teresting to recall that Krum, King of Bulgaria, sacked
and burned the suburb of St. Mamas, with the rest of
Thrace, in 8 1 1.
Among the antiquities of the town, its names have
been the subject of much research and confusion. Pera
is a Romaic word meaning opposite or beyond, and first
applied indiscriminately with Galata to the rural sub-
urb on the north shore of the Golden Horn. This hill
was also called Sykai, from the fig-trees that abounded
there; and when the mortar-loving Justinian beautified
and walled the suburb, he renamed it after himself.
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" It's painful to my feelins," obser\'ed the mendicant,
" to have to say this blessed night that your father's.
son should act so shabby an' ondacent."
" Saints above ! how, Darby ? "
" Why, don't you know that only for me — for what I
heard, an' what I tould you — you'd not have the purty
girl here at your elbow ? Wasn't it, as I said, his intintion
to come an' whip up the colleen to Kilnaheery while the
family ud be at Mass ? Sure, only for this, I say, you
bosthoon, an' that I made you bring her to Mass, where
ud the purty colleen be ? — ^why, half-way to Kilnaheery,
an' the girl disgraced for ever ! "
" Thrue for you, Darby, I grant it ; but what do you
want me to do ? ".
" Oh, for that matther, nothin' at all, Mike ; only I
suppose that when your tailor made the clothes an you he
put no pockets to them ? "
" Oh, I see where you are, Darby ! Well, here's a
crown for you ; an' when Peggy an' I's made man an'
wife you'll get another."
y
3o6 carleton's traits and stories.
" Mike, achora, I see you are your father's son still.
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Arte fure yifJmm , yititrt mlims
nt fundum c fi.
Fac f-fern u.juundmm t u MCflMS-
be tuberi.
N e pudui pudor hic multo 1 1 nhn
nrTlui ementu
ircum bubit , unget tpitf.duciu»
rjmu melior rei.
A fuperu nenit . proh rtrnm infu •
ua cupido
P fnfbuntmk mfufo luet, ium mmL
lu pudor*
CnrA.iAcrt f*fm longe pojl terge
rriichu.
Ta tolaie dntt te , penletim corruit iBe
D tf> inmfm , hemo cui mem mtenu rupini u
Imugilut , neijne enim ftmper ftltcie duremt •
hxc , a plura homiu digimnma illic ,
Quia ergo non femper felicia durant , nec pulchra mrflis fera-
per horrea ruoipit prudenter infert poeta tetnprftimm inceni-
tudincm qux omni tempore oriri poiiunr,vt nunquam fe eurus,
& nunquam ociofus fit agricola, vtnurauum m principio fi-
gurata interrogatione dicens . Quid dicam tempclla c» autum-
ni,& veris? q.d.id fruflra fecero cum etiam in xtfa:c quando mi
nusfperanturfxpe fubouamur, vnde declarat multis verfibus
quorum ordo & explanatio eft . Qutd.i.ad quid dicam trmpefta
tes au umni.i.aux fieri folrnt tempore autumnali, & quid dicam
fidera.f.temptftatcm tunc concitant i. Atque quid dicam ternpt
ftates (up.eius temporis vbi.i.inquofup. eft lambrruiordie.f.
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guo,quc en todo el Campo no auia fino fo
la vna balleftajy aquella difparó acalo vna
facra, perdida por el aire, y vino a dar a Co
lifano en parte que le mato, que no fue pe-
queño dolor para el Marques. No les que-
dó por entonces a los Francefes forma dé
campo * porque los Suizos que quedaron
otrodia fcparticró para fus cafas. Los Ve
neciauosfueroitfe a Brcfa* luán de Medí-
ci (padre del que agora es Duque de Flo-
rencia,que por ciettodefabrimiento anda
ua en fecuicio del Rey de Francia, dcfpucs
que murió el Papa León fu tio) fuelle a
meter en Crcmona. Bofolo Francés cn-
rrofcconia Caualleriacn Lodi, y Moliuc
de Lorrech. Paliza, y el baftardo de Sabo.
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r. T. CLEVE. THE PLANKTON OF THE NORTH SEA AND THE SKAGBRAK.
Table IV. The North
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Salinity ..
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3
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n°
E,
13
32,15
XI
2
67°44'
10°33'
E.
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Ce nom signifie lieu consacré à sainte Anne, et nos ancêtres avaient élevé là, à une époque qui se perd dans la nuit des temps, tout sans doute après leur conversion au christianisme, une chapelle, la première que les Bretons eussent consacrée à l'épouse de Joachim. Ce sanctuaire devint célèbre parmi les habitants du pays de Vannes, parmi les descendants de ces fiers Venètes qui avaient si vaillamment lutté contre le génie militaire de César, et tenu un moment en échec les légions victorieuses de la République.
À la fin du septième siècle et au commencement du huitième, l'Armorique fut ravagée par des bandes de pillards, sans foi ni loi, avides par-dessus tout de butin, et ne laissant derrière eux que des pleurs, du sang et des ruines. Une de ces hordes impies promena la dévastation dans le pays de Vannes; elle passa par le village de Keranna et réduisit en cendres la chapelle de sainte Anne. Les habitants avaient pris la fuite devant le danger qu'il n'était pas en leur pouvoir de conjurer, et lorsqu'ils revinrent après le départ de ces sauvages visiteurs, ils trouvèrent leurs maisons saccagées et détruites, et leur premier soin fut tout d'abord de les relever. On ne fit rien pour l'ancienne chapelle; si l'on pensa à la rebâtir, les malheurs du temps ne permirent pas de donner suite à ce pieux dessein, et le souvenir du modeste oratoire dédié à l'aïeule de Jésus ne laissa bientôt que quelques traces indécises dans la mémoire des fidèles. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
It is an opinion of experts that the establishment of a cotton growing industry in the interior valleys of California depends on planting the long staple. The length of the bale is in the same bale, it is stated that the bale is sold at the price of the shortest cotton. When cotton of different kinds is of different kinds, it is stated that the bale is of different kinds.
ADVERTISING CLASS A THEATER MONDAY Arthur Hoyt In "MR. OPP" Like Comedy TUESDAY Harvey Carter In "BELOVED JIM" The Red Ace Universal Comedy "The House of Music". | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Baldwin lui demande ce qu’elle se raconte; elle répond : « I wait and see », et elle mérite toute approbation àSans mettre en danger la production nationale et en réservant un regard Quant aux États-Unis, ils sont les refuges de l’humour anglais : s’ils rappellent pas à leurs cousins britanniques qu’ils furent bien des travailleurs, la Chambre des Députés a d’ailleurs voté, en décembre 1927, le projet de refonte de la monnaie, pour occuper le Transvaal et exiger des réparations pour les méchants boers, dont on parla dans des camps de concentration pour occuper le Transvaal et exiger des réparations pour les méchants boers, dont on parle dans des camps de concentration. Mais malgré ces paroles dures, elle a en elle un secret espoir d’un retour prochain, elle ne pense nullement quitter sa place sur ce fauteuil en face du siège vide. Elizabeth, venue comme élève pour elle-même, ayant le culte de l’intelligence, a vite fait de discerner ce qu’il y a de pitoyable dans la vie de Joan. Et la lutte commence. En vain Elizabeth fera-t-elle tout ce qui est en son pouvoir pour affranchir la jeune fille, la pousser en avant, l’emmener à Cambridge, toujours elle se heurtera au froid égoïsme de la mère, aux colères du père... Le colonel Ogden meurt. La mère et la fille restent seules. Elizabeth sent venir son heure. Il faut se hâter. Demandée en mariage, Joan a refusé par deux fois. Tout est prêt. L’appartement est retenu à Londres. Mrs Ogden semble céder. Sa douceur désarme. Un soir, Elizabeth vient chercher sa protégée. On va partir. Mrs Ogden paraît, portant une vieille robe de soie grise qu’elle revêtait dans les grands occasions, une vieille robe de soie qui retient dans ses plis tant de souvenirs !... La mère et la fille tombent dans les bras l’une de l’autre et éclatent en sanglots... Joan ne part pas... Elizabeth, ulcérée, se marie et disparaît... La guerre... Joan est maintenant une vieille fille aux cheveux gris. Elle retrouve Richard, l’ami de l’enfance qui l’a attendue. Richard est un chirurgien célèbre. | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | null |
À Paris, chez Trettel et Wurtz, libraires, rue du Roule, n. 17. Je cite Renard, à la Librairie du Commerce, rue Saint-Anne, n. 71. Dégagement, dans les époques brillantes de l'antiquité, dans l'obscurité anarchique du moyen âge ou dans les agitations des derniers siècles, il joue toujours un rôle actif, important, le principal. Les états modernes lui doivent la prospérité de leur industrie, le progrès de leur civilisation, cet esprit général de conservation qui dirige les gouvernements et cette protection publique qui s'étend à tous les individus, avantages inconnus aux âges antérieurs, qui ne fournissent aucun exemple, aucunement lumière qui puisse guider dans la science du revenu public ; ils ignoraient cette science, qui n'a commencé à être cultivée que dans le 18e siècle, et qui embrasse quatre objets : la législation et l'administration, les dépenses publiques, les contributions, et la comptabilité. Mais avant de pousser plus loin cette analyse, je ne puis m'empêcher d'opposer quelques réflexions au jugement qu'un porte de l'antiquité. Si, comme on le prétend, les états avaient fait alors consister leurs revenus dans les dépouilles des vaincus, et dans les tributs ou les services qu'ils en exigeaient, les vainqueurs auraient dû vivre partout comme les Spartiates, sans rien faire et sans rien payer. Cependant, nous voyons la plupart des peuples pourvoir à leurs dépenses par leur propre travail et leurs propres richesses. Je ne cite que Rome, pour ne point trop étendre la discussion. Le revenu de l'état, sous les rois et les consuls, se composait des domaines publics, de l'impôt personnel et des taxes sur le transport et à la consommation des denrées. Dans la distribution que Romulus fit du territoire à ses compagnons, les bois et les terres qui n'étaient pas susceptibles de culture, furent réservés comme domaine public, et produisirent une recette qu'on appela scriptura, parce que le préposé du lieu tenait registre du droit qu'on percevait sur les troupeaux. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
After he had written down this synopsis, looking all
A TEERIBLE TEMPTATION. 229
the time as if his life depended on its correctness, he
leaned back, and his ordinary but mobile countenance
was transfigured into geniality.
" Come," said he, " grandmamma has pestered you with
questions enough ; now you retort : ask me anything —
speak your mind — these things should be attacked in
every form, and sifted with every sieve."
Lady Bassett hesitated a moment, but at last responded
to this invitation.
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MARTIAL, de la porte du fond qu'il entrebâille.
Mon commandant, on a éternué dans l'escalier.
LE COMTE, vivement.
Éternué ! c'est la comtesse !
MARTIAL, après avoir regardé derrière la porte.
Madame la comtesse est avec une autre personne...
LE COMTE
(Il regarde derrière la porte et rentre vivement.) Sacrebleu ! c'est la tante Olympe ! (Donnant la pipe à Martial.) Tiens! cache ça! si elle me voyait en tête-à-tête avec cette jeune personne, ce serait un cas de séparation de corps! (Martial se retire.) C'est que la tante Olympe n'est peut-être pas enrhumée du cerveau,
elle! J'empoisonne! moi! je vais me changer de fond en comble. (Il fouette l'air avec son mouchoir et sort par la droite au moment où Louisa et la tante Olympe entrent par le fond.)
SCÈNE QUATRIÈME
LA TANTE OLYMPE, LOUISA.
LOUISA, à part, en voyant sortir son mari.
Il se sauve ! Il n'était pas seul.
LA TANTE OLYMPE
Et voilà votre petit salon ? Ces appartements d'hôtel conservent toujours je ne sais quelles odeurs suspectes !.. Tu ne sens pas ?
LOUISA
Non... mais je suis tellement enrhumée !
LA TANTE OLYMPE
Je t'en félicite... Atch ! ça me gagne.
LOUISA
Vous vous serez refroidie en route, ma tante.
LA TANTE OLYMPE
Tu crois ?.. cependant...
LOUISA
Que vous êtes bonne et aimable, ma chère tante, d'être venue si tôt...
LA TANTE OLYMPE
Écoute... je n'y tenais plus... et me voilà ! (Elles ôtent leurs chapeaux et leurs manteaux.) Et vos chambres ?
LOUISA, montrant la porte de droite.
Voici la nôtre...
LA TANTE OLYMPE
Une seule... pour vous deux, n'est-ce pas ?
LOUISA
Mais... certainement.
LA TANTE OLYMPE
Oui... c'est bien... c'est bien...
LOUISA
Et voici celle que nous vous avons réservée. (Elle montre la porte de gauche.) | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | null |
1859 48 2530 41 4019 41
4495 84 5812 97 6999 39
3571 13 2244 81 5531 48
532 63 5540 39 5230 27
5737 16 3130 75 127 2
Va a vela per sempre. — L'organo delle democrazie ferraresi e i relativi 85 collaboratori sono pregati di ricordarsi che essi hanno detto della Guzzetta Ferrarese — tamquam non esset. Lo hanno dichiarato, è vero, dopo aver fatto i conti del tornaconto, ma quel che s’ è detto deve mantenersi. E non credano mica che questo mantenimento ci sia dettato dallo scorgere come qualmente l'organo con gesuitica o bambinesca arte si compiace di dire od accogliere di quando in quando articoli buffi che si fanno poi passare alla comoda rubrica dei Comunicati — articoli che vorrebbero essere dispettosi a nostro riguardo e invece non ottengono che l’effetto di farci ridere a crepapelle.
Parliamo invece perchè siamo stanchi di vedere continuamente saccheggiate le notizie di cronaca che ci vengono da nostre private informazioni e ammannite dipoi come roba sua ai suoi lettori.
Tamquam non esset se volete, signori dell'organo, ma per davvero — Altrimenti siamo qui per ricominciare da capo con tutto il piacere e per non finirla più. E vedremo chi avrà a pentirsene.
Lettere e lettori: questo disegno rappresenta la vera effigie del venerato obelisco che qualunque fedele cristiano, ebreo o turco può adorare nei locali dell'esposizione di Milano.
Quest’ obelisco è composto di cinque distinti pezzi d'oro massiccio, di quell’ oro, che fra poco tempo prenderà il posto della carta monetata, di quell'oro che i poeti si ostinano a insultare impunemente, chiamandolo vile metallo. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
"It was two nights before the first advance that I first learned he was afraid mortally afraid. No one else had ever guessed it, I'm certain, and I never should. He wasn't afraid of bodies, or of being killed, but he was mortally terrified of being afraid afraid of fear.
"You say have heard that our battalion rather distinguished itself. We were in the first advance, and others. Ten minutes before I was knocked out, young was killed by a bomb. He lived for about three minutes after he was hit, and died in my arms.
"I was glad he died, and I think he tasted greater happiness in dying than he'd ever known in living. He'd lived, without being wounded, through nearly a fortnight of the most hellish fighting ever known.
"But so did thousands of others, you say. Yes. But it was different with me. Now that boy who's just gone ashore? Bless his heart! His kind? The salt of the earth, and the glory of the army. The whole business was glorified football to him, the breath of the army. | 0 | 0 | 0 | 0 | 3 | null |
Quant à la troisième section, qui comprend le musée de Versailles, nous croyons que cette place nouvellement créée est complètement inutile. Nous persistons à en demander la suppression. En résumé, nous laissons les 5,000 fr. destinés à l’acquisition d’objets d’art pour le musée des Thermes et pour l'hôtel Cluny. Nous laissons, en outre, un conservateur adjoint à la première section, un conservateur adjoint à la deuxième, et nous vous demandons de supprimer le conservateur adjoint du musée de Versailles. Le citoyen victor Hugo chebi. C’est 6,000 fr. pour les deux conservateurs adjoints. Le citoyen lebigre, ministre de l'intérieur. Je reconnais, messieurs, le bon vouloir de la commission, dans les observations que vient de porter à la tribune l’honorable M. Barthe. Il est très vrai que sur les deux places de conservateur adjoint portées à la première section, il y en a une qui est occupée par un vieillard de quatre-vingts ans. Je demande à l’Assemblée la permission de ne pas le nommer, quoique son nom soit illustre; il est hors d’état de remplir ses fonctions; le traitement attaché à ses fonctions est une pension très réelle. S’il convient à l’Assemblée de faire passer ce traitement de ce chapitre à un autre, étant bien entendu qu’on honore la vieillesse d’un homme d'un grand mérite, qui honore lui-même son pays, je ne m’y oppose pas. Je ne tiens pas à ce que la position du second conservateur soit inscrite au budget. Le citoyen unimite. Quant au conservateur adjoint du Musée de Versailles, je pense qu’il remplit une fonction utile. Cependant, je ne voudrais pas faire une opposition absolue, un retranchement; je m’en rapporterai sur ce point à la justice de l’Assemblée. Le citoyen Phebus. M. Ferdinand de Lasteyrie a la parole. Le citoyen Renaud, représentant de Lasteyrie. Messieurs, je crois que la commission a fait une très bonne chose en se rendant aux observations qui lui avaient déjà été présentées officiellement. Mais il y a un ou deux points de réduction sur lesquels elle ne s’est pas expliquée, et je viens lui demander si c’est possible de faire encore quelques concessions. C’est particulièrement pour les 27,000 fr. demandés pour frais de bureau des employés temporaires. Il ne faut pas qu’on croie que ces employés temporaires ont une besogne bureaucratique. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Aan de bergzijde werd eene diepe sloot gegraven en in den spoorwegdarn 3 groote kokers van gestapelde breuksteenen gemaakt om het geheel goed te draineeren; in den middelsten koker werd bovendien eene ijzeren buis gelegd om ingeval van vorst en eventueel plotseling invallenden dooi het water direct door te laten.
De aardebaan werd over 400 M. lengte geheel hersteld en over 187 M. lengte voorzien van eene voetingmuur van breuksteenen om aan de baan meer stabiliteit te geven.
Nadat de herstelling door den Raad van Toezicht op de Spoorwegdiensten was onderzocht en goedgekeurd, werd de nieuwe baan den 16 Januari 1894 voor het publiek verkeer opengesteld.
De voordracht die door aanwijzingen op groote teekeningen werd opgehelderd, gaf aanleiding tot eene zeer uitvoerige belangrijke gedachtenwisseling tusschen de heeren Ph. W. van der Sletjden, J. Kalff, W. F. Leemans, A. Huet, J. F. W. Conrad, E. H. Stieltjes,
G. van Diesen, G. J. de Jongh en M. Simon Gz.
Verschillende vragen werden nog door den heer A. van Liebergen beantwoord, zoodat ten slotte kon worden geconstateerd dat het werk van alle kanten was bekeken, dat geen bepaalde aanval tegen de uitvoering van het werk was gehoord en dat dus nu de toestand van dien aard is, dat het baanvak veilig kan worden bereden en menschelijkerwijs geen ongelukken meer te vreezen zijn, zoodat de Maastrichtenaars aan het station Beek niet meer behoeven uit te stappen.
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Ah ! who can tell the secret woes
Which she, who loves unheeded, knows ?
Alone she seeks'the cheerless glade,
And pines all day in the silent shade ;
Or haply urged in crowds to bear
The latent grief which none may share,
She fades away like a lovely flower,
Which the hidden worm has begun to devour,
While the cold, and the blast, and the absent sun,
Consummate the blight that the moth begun.
74 SHADY GROVE.
IX.
Ermina wanders by the rocks,
And hears afar the howling fox.
But vapors on her bosom press,
And night dews give their cold caress •
Till sickness drinks her vital breath,
And life hangs o'er the verge of death.
Sleep flies before her weary eyes,
And darkness drinks her midnight sighs.
Her mind is in yon fairy realm,
Where ships sail on without a helm.
She sees a throne all dazzling bright,
Glowing with pearl and crysolite ;
And there she sits in queenly state,
While maidens round her footstool wait.
A knight comes in with crest of gold,
And stars are in his mantle's fold ;
He kneels in silence at her feet,
His kisses on her hand are sweet.
But hark ! a sound, like thunder loud,
When breaking from the midnight cloud.
The knight is gone — the pageant fades —
The maid is in the forest shades ;
Darkness is o'er the desert bound,
And hungry wolves are prowling round.
She hears a voice — its sound is sweet —
A form lies bleeding at her feet.
The starlight makes the features known —
It is the youth who sought her throne.
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Dr. Virgil Gilchrist of near Linville is in the city today. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Zu zweite. Plural. Alle diese Dinge sind Vorteile für die humane Wesen: die humane Spezies, unmittelbar von Gott geschaffen. Die Proprio eleganten Worte! Vorteile haben von einem Ding, ist es für sie von Vorteil; oder, wachsen in Wert und Wert von einer anderen, so es ist, Rühmen, nennen, sich davon zu bedienen, entspricht dem Fallo, Praestare caeteris. Also der Mensch, für die besagten Vorteile (am meisten Ähnlichkeit mit Gott, usw.), sich voraus, geht; und wenn eine nicht mehr da ist, von seiner Würde muss es thaten, schmälern, per -ila ed ha del costrutto latino; Excidere usore (Haben. | 0 | 0 | 2 | 0 | 1 | null |
Le duc d'Albe, dit-on, homme à grande barbe, (J'entends parler du favori de fameux Charles Quint), fut d'humeur tant austère, Que l'on publie encore qu'il n'avait jamais ri. Si je sais bien pourtant tout le conte, Puisque j'ai lu dans certain commentaire, Ou vieux grimoire d'histoire, Qu'un jour il a ri fortement, Et je vais vous dire comment. Certain jour de fête en décembre, Son valet, son homme de chambre, Jeune homme à ne pas mépriser, Étant venu pour le raser, Et sa barbe à l'espagnole frisser, L'ayant placé bien à son aise Sur une riche et molle chaise, Sous son menton attache un linge blanc et net, Met ses cheveux sous son bonnet, Puis descend à l'office y chercher de l'eau chaude ; Mais il n'y trouva, ce dit-on, Ni cuisinier ni marmiton : Tous étaient allés à maraude ; Ce fut à lui d'aller au potager Faire chauffer son eau. Pendant qu'elle y pétille, Tournant la tête, au travers d'une grille Qui répond au garde-manger, Il voit certain objet qui n'est pas étranger, Car du maître-d'hôtel c'était l'aimable fille, Qui le fait souvent enrager. Lora, c'était son nom ; son humeur, fort coquette ; Et Joseph lui faisait l'amour; Mais la fine soubrette Lui jouait toujours quelque tour, Lorsqu'il s'en approchait pour lui conter fleurette. | 0 | 2 | 0 | 0 | 0 | null |
I.II TI.i: \TTKV1 ION l*\l II
III 15 \ Mi STVTI MINT
Noh'Miy t >? ? -1 any .'M ? i. 111 ? n t.i '.hi- ni'iH
Ma t?mi i,'. f.. i I hi i * I- in ? ? i. III.ill ? nuui-l
inii'i'-v .i nil thi* 11?| t.lil.1I1*? i? < ?r t I.? ?v
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Wa 11 r-tr.-. ? n a- 'i ? :? i. Ii. m-?. ? ?
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I-' !? M ?' 'if til. I!, f. -p.-.-. 'ii
margin villf. nn-i E'tokert n&lil they we re
' ?'.< r In jr t h'-ir -1 ? "1. - ... .1 I I: ? ? v i It
loa? ti fur tin. !.. 'li- ? -... r'
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limir .? -hurt li.t-i.-t 'i.|i ? ii ? r
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'A li' i I h? ti - ? Ii i , ? " ini:
-li.iii v f t r i-. | 2 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
— Mardi 18 mai, à 8 heures du soir, réunion à la Bourse du Travail, 28, rue de Pives. HOLLANDE. — Concours de bac. — Les 30 et 31 mai (Pentecôte), Concours de bac, organisé par le Groupe de la Barrière de Lezennes, au profit de la propagande de la Section hollandaise du Parti Socialiste. — 150 francs de prix et nombreux lots offerts par les camarades. Le concours aura lieu chez les camarades : J.-B. Dubar, rue Chazzy; Martin Baert, rue Joseph-Lebon; O. Delhalle, rue Victor-Hugo, 68; H. Leroy, rue Victor Hugo, 60; E. Lohier, rue Victor-Hugo, 54; J. Danel, rue Victor-Hugo, 2. La mise, 0 fr. 10. Mises à volonté. — Pour renseignements voir les affiches. Les camarades du Comité invitent ceux d’entre eux qui auraient des lots à remettre pour le concours, de vouloir bien les adresser au siège, chez Dancoine, Barrière de Lezennes. POUR LA PROPAGANDE LILLE. — Après une chanson socialiste par la fille du citoyen Charles Thyl, chez Charles Cochez, rue St-Sauveur, 60, 8.25. ANNONCE LÉGAL COOPÉRATIVE OUVRIÈRE “L’Union Fretinoise” SOCIÉTÉ ANONYME à capital et personnel variables Fretin (Nord) I. Extraits des statuts Suivant acte sous-seings privés en date à Fretin du 10 avril 1906 dont un exemplaire est annexé à l’acte de souscription et de versement ci-après relaté, M. Charles Mallier, comptable à Fretin, a établi les statuts d’une Société anonyme à personnel et capital variables. Il est extrait littéralement des dits statuts ce qui suit : Il est formé entre les souscripteurs et future propriétaires des actions ci-après créées et de celles qui pourront être créées par la suite une Société qui sera régie par les présents statuts et par les lois en vigueur. La Société prend la dénomination de : L'Union Fretinoise. Tous actes, factures, annonces, publications et autres documents imprimés, autographes ou manuscrits porteront en tête la dénomination sociale suivie immédiatement de ces mots : « Société coopérative de consommation anonyme à personnel et capital variables. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Kort na bovenbedoelde interpellatie zou er een vacature voor onderwijzeres aan School 111 worden aangevuld. Ondergetekende vernam, dat er werd geïnformeerd naar het al of niet lid zijn van de Bond. Hij spoedde zich naar de Burg. en vroeg of het College van B, en W. daarvan wist en of dit met zijn goedvinden gebeurde. De Burgemeester verklaarde, dat hij niet informeerde naar het bondslidmaatschap noch daartoe opdracht had verstrekt, dit ook niet doen zou. Bij nader onderzoek bleek mij, dat het hoofd der school er naar had geïnformeerd, daarmede echter naar zijn zeggen geen bedoeling hebbende. Op de vraag, waarom hij er dan naar vroeg, kwam een ontwijkend antwoord. Bij bekendwording der voordracht bleek, dat No. 1 bondslid was. Hier moet even worden medegedeeld, dat in Wageningen de laatste jaren is ingeburgerd de m.i. verkeerde gewoonte, dat voorgedragenen de raadsleden gaan bezoeken. Bij dit bezoek nu bleek, zoals we later vernamen, dat sommige raadsleden de sollicitanten vragen stelden. De heer Koch (een wilde) ging zelfs zo ver aan no. 1, die bondslid was, de vraag voor te leggen of zij het eens was met de artikelen door de „ontevreden onderwijzers” geschreven. Artikelen nb. waarvan zij het bestaan niet vermoedde. Inde daaropvolgende raadsvergadering werd no. 2 der voordracht benoemd, geen bondslid. No. 1 kreeg 2 stemmen, hoogstwaarschijnlik van de 2 wethouders. De Wageningsche Courant, een liberaal blad, schreef naar aanleiding dezer benoeming: „Door no. 2 der voordracht voor een onderwijzeres aan school 111 de voorkeur te schenken, heeft de Raad stilzwijgend bewezen eigen wachter te willen blijven van ’s Raads waardigheid.” De Wageninger, een meer vooruitstrevend blad daarentegen, keurde deze handelwijze van de Raad sterk at. Wij merken hierbij nog op. dat de benoemde, die later tijdelik aan een andere school kwam, voor een vaste betrekking niet in aanmerking wenste te komen, omdat zij het er niet kon bolwerken. Een poos later waren er aan een andere sohool twee vakatures voor onderwijzer, Als no. 1 kwam voor een kollega-bondslid. Benoemd werden 2 kollega’s wAZ-bondsleden. Natuurlik waren door de gemeenteraadsleden de nodige informaties ingewonnen. Ook hier weer een opmerking. Door het hoofd van deze school, die zeer euphemisties uitgedrukt, nooit een groot vriend van onze bond geweest is, werd later over deze benoeming geklaagd. Hij keurde de houding van de Gemeenteraad, die geen bondsleden benoemen wil, ook niet al staan deze no. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Minerais et métaux — Minière du Congo — Indochine — Mokta-el-Hadid — Onenza — Platine — Pyrites de Ligniville. Jouiss. Segré (Mines de) — Tekkuh (Etains de) — Transylvanie (Mines de). PHOSPHATES Sté Fes Ind. Compétition de Phosphates pt 10-34 Lille, Bonn., Col., priorité 10-34. —...ord. 7-31 Pechelbronn — Indes Pétroles Raff. de Pétrole du Nord — 10-34 Standard Fco-Américain — Phosphates du Dery — 6-35 — Gafsa 1/5 pt 11-34 — Océanie — 5-35 Phosphotitanique — 8-34 Sup. Prou. Chim. Maroc — 8-34. — — pt 10-34 Algérienne de Prod. Chim. — Blodelsheim — Bordelaise Prod. Chim. — Bozel-Maletra — Cellul. - Pétrole - Ouest — Chiris — Cotelle et Fouetter — Dynamite Centrale — Engrais d’Auby — Explos. cheddites — Prod. chim. Jouiss. — Fournier Ferrier — Glace Ver. Sp. Nord Fr. — Grande Par. (Chaux de) — Kali Ste-Thérèse. — (32001 à 64090) — Levy Fingers — Linnet — Lumière (Sté) (B (400001 à 48000). — Nobel française — Oxygène Acétique extrait pur — Produits azotiques — Produits Barytiques — Prod. Chim. St-Denis — Richer (Grandel et M). — Ripollin (Le) Jouiss. — Ressenti (Centrale) — Tenais Ulmo — Textiles Artificiels Livet — Urines Dior — Fabr. Méc verre — Verreries de Carnoux — D’Aniche — Compt. Ind. Sel — Salines de Djibouti. FEst — Jouiss — Salins du Midi PRODUITS CHIMIQUES SAUNES 740 524250215 371593 50 297 395PORTS67 50 47 50 Port Coa. Buhla Blancs — Pechtel — Mag. Paris-Austerlitz — Marché Lyonnais — Raffineries de Beyrouth. — Jouiss. Ese Grande de Sel — Du Rosario, Jouiss. — De Saloum — Jouiss. — Tente, Jouiss. 50067412995 960 965 — COTE DE LA BOURSE ET DE LA BANQUE VENDREDI 6 SEPTEMBRE 1935 Ex-c D Jouiss. Valeur Nom. Précédent Ce Jour 401-32 Pichet 30027 98-30 Filiales Etrangères Pichet 5008 / Soris-Plougnet (Les fils ne) 4-180. 58 51 — Fournier et Comp. Le Boni — 420166150 — 10070 25227-34 Freins Westinghouse 54215-32 546-35 Gaillard (F. t) 500465470 297-30 Gaumont P Film Aubert. 10045 503 50 1110-30 Lavau et Cie 50032 30 486-35 Gds Travaux Marseille 500512 7/ 10012/ 45 23500 Ici 1800 227-35. — 1/10 parts 7P5780 76-35 Fleury frères 190171173 6 12-28 Haut Ogooué 2501313 5? 1812-27. — part 425 460 6 Houillon (1 a) 100118 1183-35 Hévéas Tayninh — 1365 615-35 Incandescence par le Gaz 100201 301 50 2311-30 Indochine Forest Allumettes 10063 811-30 — Jouiss. 33 Indochine Cigarettes 1292 5-35 216-31 Industrie Modeste (L ) 100-23 126-31 — part. 65 216-31 Industrie Musicale (L ) 10045 131-35 Ionostérile (Cie G. de) 1007 5 136, 18 127-34 Jacob Deialon 250123 117-33 — Jouiss. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
io3. Oltre alla testimonianza delle riferite osservazio-
ni che smentiscono l'opinione di coloro che sostengono che
T emissario fosse da una banda all' altra tutto ingombro
(*) Le osservazioni rapportate sono tratte dal parere definitivo
del consiglio generale del corpo reale dei ponti e strade intorno alla
bonificazione della vallata del lago Fucino , dato in ottobre 1816.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
SEPARATION OF CREAM. 141
Machines are now made, and are on the market, which will
bring the milk, or the fat-globules in the milk, into such a
condition that they cannot be separated from the milk. The
process is called “homogenization.” It consists of bringing
the milk under certain pressure, and then forcing it out through
a special valve. This relief, through this special valve, causes
the fat-globules to divide up into very minute ones. They
divide up to such an extent that they cannot be separated
from the milk by gravity methods, and it is impossible to get
a complete separation by centrifugal methods. Homogeniza-
tion of milk is carried on to some extent in Europe. The
process practically insures uniform quality to the milk patrons
in the distribution of milk in cities, and secures a more uniform
consistency of the product.
2. Condition of the Milk.—In order to get complete separation,
and keep the separator in good running order, it is essential
that the milk should be in as good physical condition as possible.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
lald putas , ait Theodorus , id tempo-
s rei eflfc Chryfogonociim matre tua?
d omnino quod tibi cum Cauiceo,
:uod mihi mox mox erit tecum. Nam
tuatehaudfallatopinio jomnium tibi
)onorum , virtutum , &, per Genium
uum , laudum fons ero ; vt honefta? tu
^ lihivoluptatis. Enim vero qui videri
'^olfit in honcftum , quod a te tam pro-
)a, tam honeftaveniet, qualecunque
^lud fit,mihiumfrugi,tam venerabili.
pCum h«c diceret vifuicft mihi , faceoi
L
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348 D 40 vol. 1
^3
mea TisHia , in aliiuii , nefcio qu
.tiorcm, fcd venuftiorem, com»iTi
ratus: Hujus afp. tlu calereccEp:
anteacontrLmirccbam prx mett
ilk Venercum & mo)ie quid rifi cv
tifit & Venus ; rifere amores. Auda^
1 s reddidi fada audacior. Ecce tib:
quit , nouos niiptias .* Ecce mihi
nuptam. Sub hxc viri veftem Ideal
qua viri-. fpiculum , Ivm
rem exurg-.re , fubindeS
Nt^c a c; civ'H'.o mperare potui.
Tti/, K. . j .uritu.?
Oci. Eo fum furore corrcpta,
rum abfut rir , nec dinTimul^m tcci
quin. In cyjs \ Irro amplcxus vo'
motionl'.
M^ere c
ftuprum
inquit, vide(
corporis
mca, Ii^itH
addixj.
iii u .aur
v*us , JCJ
os quj-j
v.e fe^
inulieml
Audaci'
iiUS,c^
fadis :
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ib illa d •
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CONTRIBUTION BOX
Editor of The Star Mirror:
Is the Moscow school board giving the public school teachers a square deal?
If the citizens of Moscow had heard the demands which Mr. Parsons made of the teachers yesterday, they would surely enter a protest. He said that the board's funds were insufficient to complete the appointed number of school days and therefore asked the poor teachers to make up the deficit by donating seventeen days of their services free of charge. These services were to be rendered on Saturdays so that it would not increase the expenses of the teachers. Mr. Parsons is a shrewd business man, and generally exercises good judgment.
But is he aware of the fact that in asking each teacher to pay over $60 of the school taxes of Moscow? Under what obligations are these poor teachers to pay the public bills of Moscow? Why should they teach our children the appointed number of school days if we do not have the money to pay them? If I want my teacher for 100 days, should I ask the teacher for free services for the remaining 20 days? I submit that this is an absurd proposition. If the school board hired 20 carpenters to build a public school building and found that his funds ran out just 17 days before the building could be finished would he ask them to work the last 17 days without pay? Their good business judgment would never entertain such a proposition. Have teachers any fewer regrets than carpenters? Have they any more obligations to the public?
If the funds of the school board are insufficient to carry on the schools? For the number of days that were planned, I submit that the chairman should present the matter of a deficit, not to the teachers, but to the citizens of Moscow. I believe that the citizens of Moscow can afford to pay for the education of their children and I believe that they want to do so. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Eod. A. 1584. Wurde geborgt, gebohrt, gestorben. Die Anstalt von Don Olfaut und Gefangen, und auch das halbwegs eingelösste Ende und das Unterschiede. Der Fehler wurde beim Abschreiben korrigiert, da es sich um den 23. Juli 1586 handelt. Ein weiterer Fehler betreffend die Jahreszahl wurde ebenfalls korrigiert.
1586. Einige Tatsachen, die bekannt sind, zeigen, dass König Philipp II. während der Herrschaft weit ausgedehnter. Lucae, p. 590.
1588. 27. September, ein wichtiger Tag. Der spanische Admiral, der zur Flotte gehörte, wurde vor dem Herbstmarsch mit dem Schlüssel zur fliegenden Adler an seine Tür gelegt. Dies war ein Zeichen, dass die Niederlande vor einem großen Krieg standen. Die Tatsache, dass diese Schlüssel in seinem eigenen Haus gefunden wurden, hatte die Niederlande sehr erstaunt.
1589. 2. Januar. Ein neuer König, Heinrich IV., wurde in Pariß gekrönt. Er wurde von den Niederlanden nicht anerkannt, da diese noch immer die spanische Herrschaft ablehnten. Der Krieg zwischen Frankreich und Spanien wurde fortgesetzt.
1590. 23. Juli, ein wichtigster Tag. König Philipp II. und 12.000 spanische Truppen marschierten in Arnheim ein. Die Niederlande befanden sich jetzt in einer schlechten Lage, da die Spanier die Oberhand hatten.
1591. 13. Januar. Der größte Teil der Stadt Brüsse wurde von den Spaniern eingenommen. Die Niederlande waren in einer hoffnungslosen Lage, da die Spanier jetzt auch in den Niederlanden herrschten. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Gestern Morgen nach der Vernehmung durch den Untersuchungsrichter Herrn Landgerichtsrat Bäumer im Landgerichtsgebäude entsprang der Untersuchungsgang der hiesigen Händler Hugo Rothschild von hier. Rothschild, der erst ganz kürzlich wegen Schweinediebstahls zu 9 Monaten Gefängnis verurteilt war, war von neuem wegen einer Reihe schwerer Diebstähle gefängnisch eingezogen.
Wesel, 1. Juni. [Verhaftet.] Der so lange vergeblich gesuchte Mörder des Polizeisergeanten Meyer in Duisburg ist hier gestern Vormittag verhaftet worden. Der Fang war ein Akt des Zufalls. Während der vergangenen Nacht war in hiesiger Feldmark, an verschiedenen Stellen eingebrochen worden und der Verdacht hatte sich auf eine vagabundierende Gesellschaft gelenkt, die sich auf dem Terrain eines dort wohnenden Gastwirts häuslich niedergelassen hatte. Die Polizei umstellte das Gehöft und nahm eine eingehende Durchsuchung der Wagen vor. Hierbei fand sie nicht allein die gestohlenen Sachen, sondern entdeckte auch aufgrund einer unmittelbar vorher aus Duisburg zur Recherche erhaltenen Photographie den langgesuchten Mörder, H. Caspers mit Namen, einen etwa 24-jährigen Burschen von sehr gewiestem Aussehen. Er wurde verhaftet und dem hiesigen Gerichtsgefängnis eingerichtet, wo er die ihm zur Last gelegte Tat, den Polizeisergeanten M. niedergestochen zu haben, bereits eingestanden hat.
Elberfeld, 2. Juni. Eine Maßregelung von Volksschullehrern wegen ihrer politischen Stellung ist, nach der "Köln. Ztg.", hier erfolgt. Im vergangenen Jahre wurde hier ein Verein der deutschen (süddeutschen) Volkspartei gegründet, dem auch 13 Volksschullehrer als Mitglieder beitraten. Diese hat in der letzten Woche ein Regierungsassessor 3 Tage hin durch verantwortlich vernommen und zum Austritt aus dem Verein zu bewegen versucht. Alle haben dies Ansinnen aber zurückgewiesen. Gestern hat die Regierung nun einen der Lehrer, namens Langscheid, der in dem Verein einen Vortrag gehalten hatte, vom Amt suspendiert. Die Regierung steht auf dem Standpunkt, dass der Vortrag antimonarchische Tendenzen enthalten habe, auch glaubt sie, dass in dem Programm der deutschen Volkspartei Antimonarchisches zu finden sei. Der Vorfall erregt hier, namentlich in Lehrerkreisen, großes Aufsehen, um so mehr, als gegen einen hiesigen Lehrer, Herrn Honke, der vor etwa 1½ Jahren wegen seiner Zugehörigkeit zur deutschen Rechtspartei suspendiert wurde, das Verfahren immer noch nicht beendet ist.
Solingen, 1. Juni. [Unglück.] | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
À la planche XI, le numéro 3 semble avoir appartenu à un vase de la même famille que le numéro 10 de la planche V. Le numéro 12 qui nous montre un col de vase très étroit, à large rebord avec une anse parfaitement travaillée et attachée au vase, est une preuve que les artisans égyptiens avaient déjà su trouver des formes comparables à celles de l'art grec qui a tant emprunté à l'art égyptien. Le numéro 13 ne nous fait voir qu'un col de vase, mais le petit fragment qui est attenant à la partie gauche montre qu'on avait là une forme nouvelle dont je ne peux malheureusement rien dire. Les numéros 14, 23, 24 et 25 nous donnent des vases appartenant sans doute au même type. Quiconque prendra le soin de les examiner verra cependant que chacun d'entre eux, si le type était le même, en exprimait une variété différente. Ainsi au numéro 23 le col était de plus petite circonférence qu'au numéro 14, et sans doute il en était aussi de la sorte pour le numéro 24 dont il ne reste plus qu'une toute petite partie du col. Le premier de ces vases a un air d'élégance non à mépriser; il se tient parfaitement debout et les lignes sont agréables à la vue. Il en était probablement de même pour le numéro 24. Quant au 25, il n'est pas très facile de savoir quelle était proprement sa forme ; mais ce qui en reste est d'une belle ligne, sans qu'il faille préjuger pour cela de la beauté du vase entier, car les vases peuvent présenter à l'extérieur une beauté peu commune de lignes et pécher par l'ouverture disproportionnée, ou par la hauteur du vase, ce qui arrive fort fréquemment pour l'Egypte. Il n'y avait pas de rainure en dessous aux numéros 23 et 24; mais cette rainure profonde existe bien pour le vase 14. La panse du 23 était aussi plus large que celles du 14 et du 24 : aussi ce vase était beaucoup moins élégant que les deux autres. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
ann. 844}. Dritt^alb ^^onatc fang bauertc baber eine 2lrt ^toi^dfenxeid) (inter-
pontiflciam). (Snbiic^ aber, ba l'ot^ar, wie [c^eint, ntc^t^ 9on ft($ ^oren ließ
unb bO(!^ anbererfeitä ber befürchtete neue (^infatl bcr 6aracenen bie l^^ot^wenbig«
UU anferUgte, entf(^eibenbe 3)?af regeln ergreifen, [(^ritten bte diomn jur
jtftt tto^ t»cl)lini am Ii* 93ftii 847 ben ttengeod^tteit ^ap^; fte fanbcii äibef
)«g(et($ fßr gut, attlbfMi4 ^ Seßätigung^rec^t M Katfertf m|ttbr$a(tftt»
M nike G^rge 8eo*4 gws swt ba^, bie wu bm 6«raceini »mvfdf^ten 8ct»
ȊflasSfit wteber ^er^uflelfen. (Sr gab brm ^u(te in ber ^aftlica bed |)etru<
feine ganje SBürbe wieber, a(er anc( an anbere l^iri^en ber (Btabt ma^te er be«
beutcnbc iSc^enfungen in Ornamenten u. bgt. Sofort ft^uf ber ^apfi iBert^eibi-
gungdanflalten gegen bie ©aracenen ; er lief bte alten ^tabtmauern iHom<J auö-
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I« f^ü^en, befd^tof er, ba< 6tabtoierte( be^ Sattcan«, in bcfen S^ttte fte las,
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fm, f^n »9ti €e9 III. )>toj[<cMeit ttetle« 2)ct Ita^ct 89(|at »Bb fHne Qtibic
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I« gttß obet ^ferb gegenwärtig, bie Arbeiter. 3m 3. 852 oerfammelten flt^
c<iir< 2:ag<5 bte Sßi'f(f>öfe unb ba6 ^olf barfuf unb ba« ^)aupt mit 2tf(^e bejlreut,
fTe omfc^ritten itt einer ^rocef|!on, Sitaneien unb ^ffalmcn flngenb, ben neuen
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je^t (Imta oec<^ia, irrten fc^on Ungere ^eit arx$ §ur(^t oor ben oacacenen in
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CMM, bie tnfpUP Momt »«ibe* Ibi^ Hibeni »ttfie fWae« fA)nai nb
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ber ^ap^ na^m fle fe^t frennblii^ «uf, unb nat^bem er )n\>or, auf t^r au^brüt!'
lit^ed Verlangen ^tn, ber ganzen ü)7annf(^aft bad ^l. | 2 | 0 | 0 | 0 | 3 | null |
2. À partir de 1600, les registres des délibérations de l'Université sont en effet écrits de la main du greffier et signés du recteur.
3. Consulter, sur le Pré-aux-Clercs : Du Boulay, Mémoires historiques sur la propriété et seigneurie du Pré-aux-Clercs, et Pourchot, Mémoire touchant la seigneurie du Pré-aux-Clercs, appartenant à l'Université de Paris, pour servir d'instruction à ceux qui doivent entrer dans les charges de l'Université.
ORGANISATION DE L'UNIVERSITÉ DE PARIS 15
ou de la location des terrains on s'éleva jamais bien haut. La recette de l'Université rendait en 1620 à son titulaire la somme relativement considérable de 3 800 livres.
Il n'est besoin que de signaler certains officiers qui ne relayaient pas directement de l'Université et ne tenaient pas d'office leur emploi : les deux Chanceliers de Notre-Dame et de Saint-Germain-l'Auxerrois, et les deux Conservateurs de ses privilèges. Malgré leurs prétentions à une supériorité illusoire, les chanceliers n'avaient de rapports avec l'Université qu'à l'époque et à l'occasion de la collation des grades, dont ils avaient en quelque sorte le monopole. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
3 Lucetta «... 55 M. Caillault.. 3 Sophonisbe...|. 58 Albert Menier 3 Blanchette 58 Comte Le Marois.. 3 Jolly Night. v. 58 £ SB# Frix de la Pelouse (HANDICAP LIBRE) 10,000 fr. — Distance : 3,000 mètres environ Comte de Fels.... 6 Bonnet Vert.... 62 J. de Brémond.... 4 Riverain 57 X J « Prat............ 5 Maestro........ 56 X J. de Brémond.... 5 Baba 55 X E. Veil-picard 4 Taillebourg II... 63 % Edmond Blanc.... 3 Sospiro 53 X Comte de Fels.... 8 Almahral II... 52 h F. Watkins 3 Allier 38 X D. Dorian 3 Cannes 46 E. Veil-picard 3 Julouville 44 * P. Clossmann.... 3 Tricolore ; 44 Prix de Conteull 6,000 fr. Distance : 2,000 mètres environ. Baron J. Finot..... 3 Volant 68 /. de Brémond 3 Hamac 58 J. Prat 3 Gyges II. 68 P. Clossmann 3 Tendre Amour. 58 Br. A. de Schickler 3 Jéricho 58 Baron Leonino.... 3 Najac 58 Bar. de Rothschild. 3 Yédo 58 P. Derville 3 Fulgur 58 Jean Boudes 3 Mont d’Or 58 Princes J. Murat... 3 Tarascon 58 Vte. G. de Fontarce 3 Vert Vert 58 Gaston Dreyfus.... 3 Saint Marc.... 58 James Moore 3 Pavil. de Crux. 58 M. Caillault 3 Le Boulleau 58 Vte. F. de Boissieu. 3 Lucullus 58 Comté de Fels,..., 3 Barbanègre II $8 Edmond Blanc 3 Tuzaguet 58 Albert Menier. ... 3 Sénateur II.... 58 Albert Menier 3 Soublecau 68 Prix La Rochette SEIZIÈME PRIX TRIENNAL 1897-98-99, 3e ANNÉE 40,000 fr. — Distance : 4,400 mètres environ P. Aumont. s Royal Oak 56 A.-E. Dodge....... 4 Réflecteur 56 Comte de Lanay... 4 Al Manzor 56 Gaston Dreyfus... 4 Madagascar..., 56 Maurice de Gheest 4 Volnay 56 Baron Rothschild. 4 Belphégor 56 Baron A. Schickler 4 Machiavel 56 Prix des Lions (gentlemen-riders) 4,000 fr. — Distance : 2,400 mètres environ. G. Champouillon.. 6 Echaudé 76 S Camille Blanc.... 5 Zouzou 76 X G, Champouillon.. 4 Veston 75 M. Stern 4 Fra Donatello.. 75 M. Marghiloman.. 4 Indien 75 A. Bareau 3 Wise King 75 E. Veil-Picard.... 3 Torticolis 67 Vte G. de Fontarce 3 Orgueilleux.... 67 R. de Maistre 3 Sonnerie 65 x Albert Menier ... 3 Améthyste 65 XPrix de Vineuil 4,000 fr. — Distance : 2,200 mètres environ. Maurice de Gheest. 3 Lunéville 41 H P. Aumont 3 Franco Russe.. 41 X Achille Fould 3 Sadournio 41 X F. Watkins 3 Allier 41 x3 Courage .... | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
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| 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Le temps des abonnements comprend, s’il n’y a pas d’autre disposition, la durée d’un trimestre, partant des 1er janvier, avril, juillet, octobre. Les abonnés peuvent faire des abonnements pour recevoir les journaux dans leur domicile dans les localités où le service des facteurs a été réorganisé. Les droits de distribution, qui, le cas échéant, doivent être payés d’avance avec le prix d’abonnement, ont été fixés : A. Si la distribution se fait au lieu de la recette : 1. Pour les journaux ne paraissant pas plus de deux ou trois fois par semaine, à 33 centimes par trimestre ; 2. Pour les journaux paraissant plusieurs fois par semaine, mais pas plus d’une fois par jour, à 60 centimes par trimestre ; 3. Pour les journaux paraissant plusieurs fois par jour, à 90 centimes par trimestre ; 4. Pour les bulletins de lois ou journaux officiels qui en tiennent lieu, ainsi que pour les feuilles périodiques qui ne sont distribuées qu’une fois par semaine ou à des périodes plus éloignées, à 15 centimes par trimestre ; B. Si la distribution s’effectue dans le rayon rural : Les abonnés devront payer, en proportion de leur abonnement, des taxes doubles de celles indiquées ci-dessus. Nous esquisserons qu’en très peu de mots sa vie de médecin, cette ambulance compte parmi nos militaires. Le nombre de citoyens dévoués qui se sont infirmiers et ont quitté leurs familles où il a fait, tant bien que mal, leurs familles, leurs affaires, leur position et leur éducation ; livrés à un colonel grec, un lion pour payer leur dette à la patrie, dévoués au premier empire, ont été envoyés à l'aide des soldats blessés sur le champ de bataille ; mais d’après les bruits les plus accrédités, vous, nos clercs anglais, qui vous passerez. Vous, connaissez l’île d’Elbe pour prévenir l’empereur qu’on voulait le transporter à Ste-Hélène, Bourbaki est le plus beau type de cette furie française qui cherche les obstacles, brave les dangers et qu’aiguillonnent les difficultés ; un sang impétueux et généreux bouillonne dans les veines du général. Il a cinquante-quatre ans à peine ; et alors vous refusez. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Diese Petersburger Auffassung ist ein wenig seltsam; denn wenn Fürst Alexander Staatsstreiche macht, so ist er doch der Vertragsbrüchige und bis dahin war es in der Diplomatie keine Mode, die auswärtigen Ratgeber eines Monarchen als die handelnden und offiziell verantwortlichen Personen anzusehen. Salisbury hat es denn auch, wie es scheint, vermieden, auf die „Freundschaft“ mit Russland hinzuweisen, indirekt aber das Gegenteil ausgedrückt, indem er die deutschfreundliche und den russischen Intriguen entgegengesetzte Politik Rosebery's lobte. Daß Salisbury in der auswärtigen Politik sich nicht auf den philomoskowitischen Standpunkt stellen würde, war selbstverständlich, aber dieses ostentative Betonen der Rosebery'schen Politik kann doch als deutlicher Fingerzeig gelten, daß fernerhin die russischen Aspirationen an England einen entschiedenen Gegner finden werden. Nicht minder verklagt waren Salisbury's Auslassungen über die irische Politik. Derselbe bemerkte, „die Regierung müsse es sich zur Aufgabe machen, die loyalen Untertanen der Königin in Irland von dem auf sie ausgeübten Druck zu befreien. Die Schwierigkeiten seien groß, aber die Regierung besitze das Mandat des Volkes, das in unwiderleglicher Weise gegen eine unabhängige selbständige Regierung in Irland entschieden habe. Die Regierung müsse die soziale Ordnung, welche in ihrer gegenwärtigen Gestaltung die einzige gerechte Grundlage für die Unzufriedenheit in Irland bilde, umgestalten“. Wenn Salisbury von einem „Mandat des Volkes“ spricht, so hat er, der Cabinetschef ohne Majorität, den Mund etwas voll genommen, und im Munde eines Tory macht sich zudem dieser demokratisch klingende Ausspruch nicht sonderlich schön. Vollends lächerlich ist es, von einer „unwiderruflichen“ Entscheidung der Wähler gegen die Homerule zu sprechen: unwiderruflich entscheidet der Wähler überhaupt niemals, und die englischen Wähler haben es erst recht nicht getan, da meist über ein Drittel des neuen Unterhauses homerule = freundlich ist. Was mit „loalen“ Untertanen bezeichnet werden soll, ist nicht ganz klar, bisher pflegten sich die zum Bürgerkrieg rüstenden irischen Protestanten gern „Loyalisten“ zu nennen. Will Salisbury für diese besondere Schutzgesetze schaffen? Das hieße doch, namentlich nach den Belfaster Ereignissen, den Hohn auf die Spitze treiben. Mit dem Schlüsselsatz könnte man einverstanden sein, wenn man ihn nach seinem Wortlaute verstehen dürfte. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
Q. Witlhin the wieek of the airticle appearing? A. Yes, sir.
■Q. Well, prior to that, had you ever heard any discussion of
the bill? A. Yes, sir; they were speaking of it right along in
regard to the amendniienit that wasi placed on to the bill.
Q. Well, who spoke about it? A. The men; they were not
addressing me, but it was all in one roiomi
Q. Well, what had they been saying about it? A. Well, they
wanted to go on their own bill and didn't want the amendment.
Q. Well, when did you flirsit hear them begin toi talk in that
way? A. Well, that was after the amendment was attached.
Q. Juist as soon asi the news came of the amiendment they
began to talk in that way; did they? A. Yes, sir.
Q. And you never heard any offieer talk about it? A. No, sir;
not only in a general way.
Q. Well, did you in a general way? A. Yes, sir.
Q. Well, what do you mean by that? A. Well, that there
was a 'bill in our behalf in the Legislature.
Q. Well, what of it? A. That was all.
Q. That was all? A. Yes, sir.
Q. No officer ever said anything else but that to youi about
that? A. No, sir.
Q. And you never said lanythtng but thiat to any other officer
about that? A. No, sir.
Q. Attd you never, inquired how the bill wa.s getting along?
A. No, sir; I only watched the papers.
Q. And you didn't know who was in charge of it? A. I did not.
Q. What? A. Only what I seen in the papers, that Senator
"Robertison had introduced it and thai he had charge of it.
| 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Passé, été considéré comme un des plus graves qui se puissent perpétrer. Il était un attentat à la majorité du souverain, lequel se réservait le droit absolu d’émettre la bonne monnaie. Il y joignait parfois celui d’en émettre de fausse. Tout au moins de « faible ». C’est grâce à ce procédé, d’ailleurs, que nous devons une monnaie maniable et légère. Au temps de Charlemagne, la « livre », unité monétaire, pesait 408 grammes. Et, selon M. Clé, c’est par une continuelle série d’émissions de monnaies de plus en plus faibles qu'elle a atteint le poids actuel de 5 grammes. Chaque roi rognait un peu sur le poids de l’ancienne livre, tout en essayant de maintenir son ancienne valeur légale. Les rognures étaient donc importantes, peste ! Et le savant économiste en tire cette conclusion amusante que les gouvernements anglais étaient plus honnêtes que les nôtres, puisque la livre anglaise, partie du premier point, s'est arrêtée dans sa chute à la valeur de 15 francs... En somme, l'haine des anciens souverains contre les faux-monnayeurs était surtout une haine de concurrents. La sévérité s'est adoucie en 1791. Il n'était alors abaissé à quinze ans de fers. Mais la peine de mort fut rétablie en l’an XI, c’est-à-dire en 1803, et ne fut définitivement abolie qu’en 1832, où les travaux forcés le remplacèrent. Les faux-monnayeurs qu’on juge à Amiens sont accusés d’avoir émis plus de 100.000 francs de fausses pièces d’argent. L’État, en une année, émet pas autant de vraies. Souvent, — exemples. les années 1879, 1880, 1883, 1884, 1885, 1890, 1891... il n’en émet pas du tout. En 1889, il n’en a émis que pour 370 francs ! L'année de plus forte émission de l’argent, depuis 110 ans, est 1811 : 256.399.040 francs ; la même année, l’Empire émettait 132 millions de monnaies d’or, la plus forte émission jusqu’en 1851. L'année où l’émission d'or fut la plus élevée de toutes est l’année 1857 : 572.561.225 francs. Une jolie pièce. Et celle où l’émission d’or se trouva la « plus faible est l’année 1845 : 119.140 francs. De là donne une rareté relative aux pièces marquées et non circlées. (Aurore). Robert K.MP.Revue de la Presse LA PIERRE-DE-TOUCHE De la Lanterne : Par où commencer ? La nouvelle Gitanne a l’embarras du choix, les questions les plus urgentes sollicitent son activité. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Entrato il vincitore nella piazza, e fatti appiccare alcuni lacci del bene alla ribellione, che furono per opera dei nobili arrestati, vi rimasero per tre giorni in assetto delle cose della città, levando il governo dalle mani del popolo e ponendolo in quelle di nobili. Quindi avendo riguerrito con nuovo rinforzo di genti, che si offrirono spontaneamente di seguirlo, di uscire in campagna, sopraguidò, tratto dall'avviso di quell'insulto, D. Ippolito di Costanzo Preside di quella Provincia, sergenti il suo figlio D. Michele, dal Duca di Montecatino, dal Principe di Castelbieta, dal Marchese Bracigliano suo figlio, da Principale Ufficiali, da D. Cesare Carafa, da D. Francesco di Pigna Duca di Santa Maria, dal Vice Conte di Trevico e fratello, da D. Carlo Piccini, dal Principe di Ciacoma, da Fabio Carafa, e da altri Cavalieri e gentiluomini del regno, con unione dei quali fatto un corpo di cinquecento uomini e duecento cavalieri, fu deliberato tra loro di non prendere le armi, ma di andare dal vicino. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Descaves, a pour lui d’être bien composé, de mettre chaque figure à son plan, et d’adroitement distribuer l’ombre et la lumière autour des personnages. Mais, encore une fois, pour quoi cette rage contre le service militaire? Je me hâte de dire que le livre de M. Reibrach me parait bien venu. Aussi ne rééditerai-je pas les justes critiques que m’avait inspirées le triste roman de M. Descaves. Dans celui-ci, il y avait un parti-pris de tout flétrir; dans l’œuvre nouvelle, je sens les visions fausses d’un esprit aigri plutôt que malsain. Une grande qualité d’abord. Le roman de M. Descaves était ennuyeux ; le roman de M. Jean Reibrach est intéressant. Certaines figures, comme celle du lieutenant Datbevt ou du colonel Mérany, sont tracées d’un ferme dessin. Ce sont des êtres vivants, que je connais, que je coudoie, et je n’ai qu’à fermer les yeux pour les voir se dresser devant moi dans leur âpre réalité. Seulement, j’en reviens toujours à ce point de départ : Pourquoi les jeunes romanciers de la génération nouvelle éprouvent-ils tant de rage contre le régiment? D’où vient cette colère, qui les suit dans la vie civile et les secoue au point de leur dicter des pages injurieuses ou violentes? Après tout, la loi est la loi. La même pour tout le monde, et pas plus douce pour le fils du bourgeois que pour celui du paysan. Notez que, jusqu'à présent, le service militaire était assez modéré. Les malchanceux faisaient cinq ans de service, je n’en disconviens pas (cinq ans réduits à vingt-sept mois), mais presque tous s’en tiraient avec une année de volontariat. On ne peut même pas admettre que ces écrivains, enragés contre la vie militaire, aient été de mauvais soldats, qu’ils aient gardé la sourde rancœur de ces longs mois forcément passés sous les drapeaux. Le procès de M. Descaves nous a révélé que l’auteur de Sous-Offs avait été un sergent-major modèle. Non seulement il ne subit jamais aucune punition, mais encore il ne tenait qu’à lui de rester au régiment comme officier. C'est donc un parti pris. Il me serait facile d’entreprendre la critique de ces tendances funestes. L’avenir se chargera malheureusement de me donner trop tôt raison. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Qui prétendait donc qu’à Landes il n’y avait plus de catholiques ? Il en est de ce petit coin de Sain ton ge comme de notre contrée, ce n’est jamais en vain, du reste, qu’on lait appel aux convictions religieuses de nos laborieuses populations. M. le curé de Landes doit être satisfait de ce résultat, qui vient récompenser son zèle apostolique. Encore quelques autres manifes tations religieuses et Landes n’aura rien à envier à la plus catholique de nos paroisses saintongeaises. Tout arrive. c. r. M. le chanoine Jeandeau, supérieur de Notre-Dame de Recouvrance, vient de célébrer, en l’église de Saujon, ses noces d’argent sacerdotales. Par arrêté ministériel, M. Naud, chef de poste des contributions indi rectes à Saint-Jean-d’Angély, a été nommé receveur-entreposeur à Barbezieux (Charente). M. Sardet est nommé agent voyer surnumérairede 3eclasse à Saint-Jeand’Angély, en remplacement de M. Arvis, appelé sous les drapeaux. Matha. — M. Bourguignon, agent voyer cantonal de quatrième classe à Aulnay, vient d’être nommé en la même qualité à Matha, en remplace ment de M. Merceron, admis à la retraite. Nous apprenons que le 57e de ligne quitterait définitivement Bordeaux le 27 septembre courant. Il gagnerait par étapes Rochefort, où il doit désor mais tenir garnison.Rochefort. — Par suite d’une incui rie sans nom, une catastrophe a failli arriver en gare de Rochefort. Lundi matin, le train de 6 h. 17, de Paris, a tamponné une rame de wagons qui avait été... oubliée sur la voie. Grâce au sang-froid du mécanicien, le tamponnement fut en partie atté nué, cependant il brisa plusieurs des wagons en permanence sur la voie, ainsi qu’un fourgon du train tampon neur. Les voyageurs en furent quitte pour une peur qui se conçoit. Une enquête est ouverte.ARTHRITIQUES, RHUMATISANTS Au Café, prenes Le quart CÈLESTINS AVANT OU APRÈS LE REPASTonna y-Ch a rente. — Lundi dernier, Mme Janet, épouse d’un négociant de cette ville, conduisait sur la grand’route une voiture anglaise, lorsque son attelage fut pris en écharpe par une automobile conduite par son pro priétaire, qui habite Angoulême. Mme Janet, fut blessée à la tête, ainsi que son cheval et la voiture fut brisée. L’auto est également en mauvais état.DURAND et FL AUDBureau de Matha Place de l’Hàtel-de-Ville, Téléphone 7 Bureaux i Aulnay, place Je la Chaume auxiliaires^ Beauvais, rue Gendarmerie les jours / ,1e foire J Néré, au Canton à ( Neuvicq, au Château. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
15 Gez et Eaux 4 %, 500 fr.. oct. 1915 — (Cie Central# du) 4 %. 500 fr., janv. 16 .. — France et Etranger 4 %, 500 fr., oct. 1915. — Général de Paris 4 %, 300 fr.^j. sept. 15. Gaz et Elect. de Marseille, 4 %, 500fr. oct. 15 — de Mulhouse, 4 %, 5üd fr., juillet 1914... — (Union des) 4 % 1896, 500 fr. janv, 1916 .. 4 % 19004)3-09,500 ir.janv.16 .450. -MINES, 442 400 .. 387 50 460 435 485 460 1 470. 472. 425 ... 425 .. 460 475 5025 • 20460 .. 470 ". 460. 430 .. 300. 4C0 .. 425. 440 400 25 400FORGES Tonkln (Charb.), 4%, 500 tr., oct. 1916 Houil.de Bérestow-Krinka, 5%. 500, mars 1915 Béthune 3 75 %, 400 fr., 15 fév. 19fl‘>. Dourges 4 % 1907-1911, 500 fr., nov 1915 Algérie-Tunisie, Omn. 4 % %, 500fr., 15 oct. 15. Bor (Mines de), 500 fr., 5 %, 1“ sept. 1918 Krivof-Rog, 5 %, 500 fr. janvier 1916 Mines de la Loire 4 %. 500 fr., déc. 1916 Malfidano 4 %. 500 fr., j. déc. 1915 Penarroya 4 % %, 500 fr., janv. 1916 — 4 y% %,500 fr. 1913, janv. 1916.... Sels Gemmes 4 %, 500 fr., janv. 1916 Aciérie» de France 4 %, 500 fr.. janvier 1916. — de Longwy 4 % 1910, 500 fr., oct. 15. — de Paris à Outreau, d00, 4 % %, oct. 15 Atel. et Chantiers de la Loire 5 %, 500 fr., nov 15 Constructions Nord de la France 4 %, 500, mai!4 Cie Gle de Constr., hyp. 4 %, 500 fr., sept. 15 Chantiers et Atel.de St-Nazaire,500,5%.l"nov 15 Chàtlllon-Comm. et Neuv.-Mais. 4 %, déc. 15 Commentry-Fourchambault 4 %, 500f. janv. 16 — 4%, 500,1912, déc.1915. Dyle et Bacalan 4 %, 500 fr., j. sept. 1915 Electro-Métall.de Dives, hyp. 4%, 500 f., janv.16 FIves-Lllle 4 %, 500 fr., oct. 1915 2 Fonderie Lazare Weiller et Cie, 500, 4 %,jer!6 Etablis*. Lazare Weiller, 500fr., 4 % oct 4915 Forges d’Alais (Mines,Fond.et), 4%, 500 f.. oct. 15 Forges et Aciéries de la Marine,500f.,4%,*ept.l5 — du Nord et de l'Est 4 %, SOÔfr. iet 14 Forges et Chant. Méditerranée, 500,5 %,janv.16 Caen (Hts fonrn. et Aciéries de) 4 %, 500. imll. 14. Denain et Anzin 4%, 500 fr., j. fév. 1946Oural-Volga, 500*fr., rev. variable, ai janvier 14. — 'oOOfr., 5% 1910, janv. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Et en semblable nous enjoignons à tous les sujets temporels de notre Royaume ayant haute justice, que par leurs officiers, qui ont et auront la charge de leur dite justice, ils facent aussi de leur mieux et sagement enquérir et informer en leurs terres et seigneuries s'il y a aucuns hérétiques suspectés et mal sagement de la foi catholique et constitutions de l'Église, pour si au besoin leur prêter et faire appréhender et mettre entre les mains de nos juges royaux et présidiaux, pour leur faire et parfaire leurs procès. Et si pour la capture lesdits seigneurs temporels hauts justices ont besoin de l'aide et secours desdits juges présidiaux et des prévôts de nos maréchaux, Nous voulons, entendons et nous plaît, que ledit aide et secours leur soit baillée, afin qu'ils puissent aussi.
Et afin qu'un chacun bon et fidèle Chrétien, qui sur toutes choses doit avoir odieuse cette malheureuse chose, s'accommode et dispose tant plus facilement à décerner, révéler et dénoncer ce qu'il saura desdits hérétiques, auteurs et imitateurs desdites erreurs, et fausses doctrines. Nous voulons, ordonnons et nous plaît, que tous accusateurs, délateurs et dénonciateurs en cas de préuve légitimée, conviction et condamnation contre les déclarés, dénoncés et accusés par eux, pareillement la tierce partie des biens d'iceux déclarés et accusés, à quelque somme valeur et estimation qu'elle soit, se puisse montrer. Sur ce précédent moyen pris, deduisez et défalcés les dépens et frais de justice. Et là où aussi au contraire il se trouverait que lesdites dénonciations, déclarations et accusations fussent fausses, iceux délateurs, dénonciateurs et accusateurs se seraient pénalisés de telle peine, qu'il eût été accusé, si le délit eût été vérifié. | 0 | 0 | 3 | 0 | 2 | null |
du Bengale. 19 r
Les Anglois libres & les Indous qui peuvent encore entreprendre quelque commerce dans le Bengale, le font surtout dans l'Intérieur du pays, où la Compagnie n'a pas droit, selon la Charter, d'étendre sa Jurisdiction; cependant les uns & les autres y souffrent la tyrannie de la Compagnie & de ses Employés, sans pouvoir impliquer la justice des Nababs. Lorsqu'ils forment des plaintes, le Gouvernement de la Grande Bretagne, qui s'obstine à regarder les Princes du pays comme indépendants, répond qu'il faut s'adresser à eux pour obtenir la réparation, puisque c'est à eux qu'il appartient de juger les contestations qui surviennent dans leurs domaines.
Les grandes vexations ne peuvent provenir que des Employés supérieurs de la Compagnie qui ont beaucoup d'autorité. L'infortuné qui en est la victime, & qui voudrait dénoncer les concussionnaires à la Justice, aurait à lutter en Angleterre & dans l'Inde, contre un Rival riche & puissant. Parmi tous les habitants du Bengale, qui sont dans une
Etat Civil. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Le dix-huitième siècle enfanta beaucoup de livres; ses doctrines furent nouvelles en toutes choses : il renversa les traditions, créa des opinions flatteuses à la corruption humaine. Combien la critique eût-elle pu s'exercer sur ces nouveautés! La religion inspira bien des plumes éloquentes, mais le siècle était entraîné; le ridicule s'attacha à la vérité, et il ne fallait pas seulement du talent, il fallait du courage pour la défendre.
De là des concessions timides sous la plume des "critiques.
Voltaire a créé à Fréron une réputation impérissable, et tel est l'empire du sarcasme, qu'il est difficile, même aujourd'hui, de rendre à ce critique la justice qui lui est due. C'était un homme d'une instruction variée, et il est permis de croire que Voltaire eût vivement souhaité de n'être pas obligé d'en dire du mal. Si Fréron eût dit du bien de Voltaire, Voltaire eût fait de Fréron un modèle de critique.
La Harpe a porté des jugements raisonnes, et parfois ingénieusement exprimés sur la littérature ancienne ; il a été moins heureux lorsqu'il a passé à l'examen de ses contemporains; la passion du philosophe avait d'abord gâté l'esprit du critique : le rigorisme du nouveau converti ressembla à la passion du philosophe. De là des contradictions funestes à la convenance comme à l'autorité de la critique. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
von Jakob - Wunsch Vollzahlung. Es wird in Zahlung genommen. Alte Händlerstrasse, 15. (hoch modifiziert) in möblierter Zimmerbar, gefällt. Offerten an 5. , zu verkaufen. Schließfach 11071. 7 Stenotypsabend ausgestellt. gewünschte Adresse nur durch die Hauptgeschäftsstelle der Hallischen Nachrichten. Rundfunk - Programm des Leipziger Senders Dienstag, 27. Juni 6 Uhr: Funkgymnastik. 8 Uhr: Konzert von Breslau. 9 Uhr: Funkgymnastik für Hausfrauen. 4.40 Uhr: Wirtschaftsnachrichten. 4.45 Uhr: Wetterdienst, Wasserstandsmeldung. Herrn REIBSTEIN A. G. ERFURT zuletzt Krausenstraße düngen, Verkehrsfunk und Tagesprogramm. 5.55 Uhr: Was passiert, wird um die Zeitung bringt. 10.10 Uhr: Schulfunk: Schonung für Lager 1. Pferde plötzlich vergangen. Wald und Flur. 9.10.35 Uhr: Weltvorstellungbericht. 11 Uhr: an einer S mren * r. u S. da Wer gen genug verbunden mit Schallplattenkonzert. Die Hallischen Nachrichten H. Jürgensen & Co. 2 Uhr: Schallplattenkonzert im Anschluss an Wetterbericht » Hamburg 22. (hs GesundheitsKleinwohnung, unp Zeitangabe. 5.13 Uhr: Nachrichtendienst. 0 13.15 Uhr: bis 20 Mark, von Autofuhren Schallplattenkonzert. 5.11 Uhr: Nachrichtendienst. 14.40 Uhr: anständig. Weitere ges. all. Art, km 20 Pf. Die Schule der Mokorsturnsführer, Hörbericht von der Ein-arr Herrenmonument * iel V e e heißt her eine z Tee r Herrenkonfektion gesucht Uhr. a. b. Tel. 7 5 F s Fritz Freitag, Geiststr. 29. e en a * ucht i. Nord. Stb. ,utsche Reichspost 35 r: r aftsnachrichten Zum 2 re a els k. Kam. u. Kü. ventl. Masse n 16 Uhr: Konzert von Dresden. 17.50 Uhr: Wirtschafts Lernende u Zimmer zu vermieten. Zimmer p. d ger n 41 Pachtierung - ger e ergelte und tage g & i r. 53 a. xpe: 2 ebe Riche c ? erzin Ftenot istin v z. x F R We Wo kann sähriger ] von Nürnberg. 9 18.45 Uhr: Herbert Mühlner: Zum 7. gesucht W r. h S n geänderter Je - 19. Todestag Paul Schreckenbachs. H. 19 Uhr. Stunde der n. 5137 a. L b Sopbienstr. l. ILI. W i m mit gleichaltrigen Nation: giraco s sche Musik. & 20 Uhr: Der Staat spricht. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
condo che è stato scritto da taluni scrittori, dall’Eubea, ora Negroponte, ed erano della città di Calcide, i quali dopo essersi per qualche tempo fermati nell’antica regione tesprola nel l’Epiro, vennero ad approdare nell’isola di Ischia, dove prima di essi eransi trasferiti gli Eritrei dell’Eolia a fine di commercio; e ad essi i Calcidesi unitisi, occuparono il vicino continente, e fondarono Cuma; onde indistintamente dagli storici furono addimandati calcidesi, euboici, eritrei o tesproti. E lo stesso geografo greco testè menzionato ci riferisce, che i conduttori di questa colonia si furono Ippocle cumeo e Magastene calcidese, e che la città prese il nome dal primo di essi, rimanendo agli Calcidesi l’onore dell’edificazione di quella. Quei duci secondo quei testi, si furono Ippocle cumeo e Magastene calcidese, e che la città prese il nome dal primo di essi, rimanendo agli Calcidesi l’onore dell’edificazione di quella, (i) Quei duci secondo Quei testi, si furono Ippocle cumeo e Magastene calcidese, e che la città prese il nome dal primo di essi, rimanendo agli Calcidesi l’onore dell’edificazione di quella. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
223, 24. September 1889. Vermischte Anzeigen. Für einen militärfreien jungen Gehilfen, welcher Ostern die 4jährige Lehrzeit bei mir beendet und nachher eine Aufstellung eingenommen hat, suche ich ein passendes Engagement. Ich kann denselben auch bestens empfehlen und bin zu jeder gewünschten Auskunft gern bereit. Hamburg. A. Frederking, i/Fa.: Gaßmann'sche Sort.-Buchhandlung. Für leistungsfähigen ev. Gehilfen, Realgymn. und militärfrei, mit allen buchhandl. Arbeiten und Verhältnissen genau vertraut, sucht Gest. aus besten Zeugnissen, sofort oder spätestens dauernde, selbst, und instruktive Stellung im Sortiment, Anlagen oder Verlag, evt. auch im Ausland. Gef. Angebote und 1i. O. chp 35467 postlagernd Stuttgart erbeten. E. j. Buchh.-Gehilfe, im Besitz guter Zeugnisse, firma in der buchh. Straßburgerstrasse, sucht zum 15. Nov. andern. Stellung in einem Verlags- oder Kommissionsbuchhandlung, eventuell auch im Kontor eines Großbuchhandlungs oder der selbigen mit dem Zeitungs- und Annoncen-Wesen, wie Korrekturlesen vertraut, in einer Zeitungs-Expedition. Gef. Anerb. erbeten unter 5. Kl. chp 5 postlagernd Lelldort in Holstein. Killjungfernnöbelle, der an ernstes und exaktes Arbeiten gewöhnt ist und gute Zeugnisse besitzt, sucht dauernde Stellung in Leipziger Buchhandlung unter L. K. 77 an Haaseu- stsin LVoller -6. in Leipziger Buchhandlung. Für einen jungen Anwärter, der am 1. Oktober seine Lehrzeit in meiner Buch- und Kunsthandlung beendet, die Berechtigung zu einer freien Dienstzeit besitzt und den ich bestens empfehlen kann, suche ich eine passende Stelle als Gehilfe. An gebote direkt erbeten. Stralsund. L. Hungst Nachfolger, H. Politzky. Für einen Gehilfen, Anfang der Dreißiger, früheren Zögling von mir, der vertraut mit der doppelten Buchhaltung ist, suche ich einen Posten als Auslieferer oder Buchhalter in einem Verlags-Geschaft. Ich kann den selben sehr empfehlen und bin zu jeder weiteren Auskunft gern bereit. Herr i. Fa. Köstling'sche Buchhandlung in Leipzig. Ein mit sämtlichen Arbeiten der Konversations-, sowie Verlags-Geschäfte vertrauter Geher, gestützt auf gute Zeugnisse, möglichst dauernde Stellung in einem leipziger Kommissions- oder Verlags-Geschaft. Gef. Anerbieten erbitte unter b'. 6.85766 durch die Geschäftsstelle des B.-V. Für einen längeren Zeit im Auslande beschäftigten Buchhändler suchende Thaiger. Derselben ist in allen Branchen des Buchhandels Wohl bewandert. Zu näherer Auskunft gern bereit. Bonn. A. Henry. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Ella era tutta scapigliata, brandiva il tirso e Silio alati alle ali, cinto d'elezione in calzari etici, civettava col capo, faceva adulatori intorno grida con disonestà, danza, cioè allato a lei.
La seguitante da quanto è in una vaga maniera usato dal Firenzuola si invita a leggere queste opere, oppure del Valgus (Giovanni Battista), Piacere, Pensieri, le cene tutte erano rifatte in voglia "quella".
L'italiano a volte si usa in modo diverso rispetto a come lo conosciamo oggi, ad esempio voleva che "qorma" fosse scritto "quarma".
La lettura di questi autori antichi ci consente di comprendere come l'italiano si è evoluto nel corso dei secoli e ci dà la possibilità di approfondire la conoscenza della lingua e della letteratura italiana. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Laurence Voici le premier de ces deux articles
Art. 44. L'effet du renvoi sous la surveillance de la haute police sera de donner au Gouvernement le droit de déterminer certains lieux dans lesquels il sera interdit au condamné de paraître après qu'il aura subi sa peine. En outre, le condamné devra déclarer, avant sa mise en liberté, le lieu où il veut fixer sa résidence; il recevra une feuille de route réglant l'itinéraire dont il ne pourra s'écarter et la durée de son séjour dans chaque lieu de passage. Il sera tenu de se présenter dans les vingt-quatre heures de son arrivée, devant le maire de la commune; il ne pourra changer de résidence sans avoir indiqué, trois jours à l'avance, à ce fonctionnaire, le lieu où il se propose d'aller habiter et sans avoir reçu de lui une nouvelle feuille de route. La peine, car c'en est bien une que prononce cet article, n'est autre chose que le bannissement simple tel qu'on l'entendait autrefois, c'est l'interdiction d'habiter une portion quelconque du territoire. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Enriq, Hace algún tiempo que vi una alegoría del siglo diez y
nueve... A un lado estaba el egoísmo, al otro la bajeza y
en el centro la ignorancia , la ambición y el orgullo coro-
nados de flores,
Pelaez. Hermoso cuadro!
— 56 —
KyniQ. Cree usted que un siglo caracterizado de tal manera pue-
de producir muchos hombres de bien? Se equivoca us-
ted... El mundo está lleno de un aluvión de bribones
que se saludan y abrazan cara á cara para mas fticiimente
morderse por detrás! Entre estos hombres se llama talen-
to y saber el robo y mala fé : negocio á la usura ; amistad
al servilismo y al crimen virtud! Estos son los hombres
de bien como usted !
Pklaez. Caballero!
E.NRiQ. Usted por razones que no ignoro, trató de desacreditarme
en la opinión de la Baronesa. Por esa anlipatífi con que
usted me honra , se entretiene usted en hablar mal de
mí como una mujercilla ; sin duda tiene usted envidia de
la amistad que en esta casa me dispensan.
Pr.i,AEZ. Caballero, usted...
Enriq. Aun no he concluido! Usted ha embrollado los negocios
de la Baronesa , con el santo objeto de obligarla á que le
de su mano.
Pllvez. Cree usted que, la Baronesa es una idiota ?
E.NRiQ. No !... Es una infeliz qire se fia de usted. .. de un hombre
de bien... Tan inocente que le ha dado á usted poderes y
autorizaciones !
Pelaez. y qué tiene Usted que ver con eso?
E.NRiQ. Ya hemos llegado ala conclusión! Nada tengo que ver,
pero exijo que delante de mí , no vuelva usted á manchar
el título de hombre de bien... Me comprende usted?...
ESCENA Yin.
Dichos , Amalia.
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Sie Sirgerjait wollte nicht fügen, es wäre ein neuer Studienjuf etwa eingeführt, um die Forderung entblüht, badete. Sie hatten, wonach man Deposition und Sicherheit wegführte, und über das Differenz nicht mithielte, erstellt, als sein gefantascht Fährnis angetreten. Sie wurdete nur in der Säule galt, was der Brite hat. Allerding breitigte, aber es lässt nur alte Bitternis, bis man in der Sache fand, bedürfen sie öfter, ober der Feneben fand, bis sie für sich behalten; badete, enthielt nicht mehr, wenn es in die dritte Säule gekommen ist, und selbst in der Geltung, meine Herren, wo der Kremer die Sorgen gar nicht nach der Sremens Art befand, so wurde für die heilige Schlachtopfer wegführte, brauchte er nicht Sicherheit, bis letzte nach der Außerbreiteten Selbstimmung bedürfen sie § 2. | 2 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Eingang Porto [6149 Leihbuchspiegel Veso-i, hauptsächlich Nachlässe kamen zu höchsten Preisen Prof-f, Salzgasse 1, m. l. [6019 Leipzigische Buchhandlung kaufen gesucht, zisnxkeistk.io, p. l. 6221 Hokus Bierapparat 4-—schäbigen, gegen Kasse zu kaufen gesucht. Gefällig Off unter »T 118« Filiale Postplatz 40344d letzten Klang, net-he Dresden, zu kaufen gesucht. Off Carusstraße is, part., 11 Gebt. Kleiderfach zu kaufen gesucht. Gefällig Off. unt. »P HGB« FIL Marienhaus 28. 407p Kaffeeservice von regelmäßigem YLTLbZeILJZer gesucht aus Lößnitz oder Umgebung, Off. unter »F l68« (-Lxped. d. VI· »» 26 Geflügtemaschine w. zu s. ges. Off.11.»(.5·: 177« Exv.d.Bl. Bäckerei-Inventar sucht und sanft zu guten Preisen Adolph Weit, ."-Ziegelstr. 50.[110 Alte künftige Zähne, aussäubleisen elektr-Glühlampen, Platin abfälle zu höchsten Preisen N.Berg, Albrechtstr.10,Lad. 140561d Dampfmaschine zu kaufen gesucht aus Dresden. Stadt. ilssjy Brillantkon - Sammlung Viller kaufen gesucht. Schulfleischkasse 15, 1. rechts. to » kleinflämmig lands sucht einen tüchtigen Vertreter für Stadt und Eises. Döbbelin Effekten unter .M W 129« an muss-elf Mosis, Ists-Morg. 020211 Sprachlösungsstäbssachsenkasse nst Legitimation versehen, auf zug kreisweite Wochenschrift sagen Gehalt usw. Provisions ges. Mitteilungen Vormittags von 8 bis 10 Uhr Wintergartenstr. 77, part. 6 BRUNO-h! Für ein hiesiges Contor wird ein durchaus gewandter Stenograph der mit Führung der Correspondenz bereits bewundert ist und schöne Handschrift besitzt, spätestens ver 1. Juli gesucht. Solche, die auf Schreibmaschine zu arbeiten verstehen, erhalten den VVILLIUL .. .». - ZEIT? Y Nur Bestenwunsch, die wollen, müssen mit Angabe ihrer Gehaltsansprüche melden unter ~R S 17« Postamt 8 Zins: Einholen und Prämien gelden und leichter schriftlicher Arbeiten wird ein - » 6286 junger Amateur gest-1) Techniklehrer des; »Bei-Ums, Ostia-Amte 12, Z. Stege. Lohnenden Verdienst finden junge Leute beim Vertrieb eines neuen patentirten Artikels. Dichter, Bankträger Nr. 17. a20284 kklhøxtsscxsteixsatxsmlYct siik Stadt u. Land leicht Bucht-disk Annenfne 14 (Enqelavotb.).[l7267 Berufs-studenten werden von einer altangesehenen Versicherungs anstatt für ihre Lebensversicherung Abteilungen gegen Fixum und Provision ständig gesucht. Erfolg einzig und allein vom Fleiß und guten Willen abhängig. Gefällig Offerten nebst Reservierungzeit unt. ~M M 9378« erbeten an Rudolf Masse, Dresden. a20290 Befestigungsanstalt w. im Auktionshaus he; Eisen sich. ist. Off. u. ~W 82« FIL Bautznerstr. 43. Kräftiger Arbeiter für Fouragegeschäft und Heckenbyschneiderei fest für ständig ges— von B. Försterei. Ofterbergerstr. 11. [40550 Ein Anfänger, welcher Ostern die Schule verlassen hat, sofort gesucht. Zu melden von 3—4 Uhr Nachmittags· F. lskaeh 40518k] Förstereistr. 46, Pf. Umdrucker gesucht. Pwul Batschet u. Co, Alamsstr. 15. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
Stück an eisern Zaukerode bei Dresden schließen sich ab Föhrene neu. (7. ergänzt an. 3. Sippe. 8t ijlacdlamttcs. 20. C. arborescens STKFM. sp. mit Falaeostachya arborescens. Steenb. sp. 21. C. Suckowia Bot. LiiL var. undulatus, bei welcher die Rille eine stark gefalteten Verlauf erkennen lassen. 82. C. acutidens Weiss. 83. C. cfir. giffertwa L. H. (dieser too unbestimmter Stellung). 4. Sippe. Archaeocaulimites. 84. (X Beyrich n. sp. Steinkern mit durchgehenden, jedoch sehr unregelmäßigen Rippen und Rillen, welche durch teilweises Vereinwinden oder Zusammenneigen sich nätialftrmige Streiflung erscheinen, ohne scharfe Ränder des Steinkerns. 11. Equistulites. Hier die Blätter am Grunde scheidenartig vereint. 1. E. lingulatum Germ. 2. miraculis Stérxb. — Fluitariopsis mirabile Stob. Die Blattengeben sind jedoch nicht so breit, wie Stüh angiebt. 3. Cyathocalamus nov. gen. Zylinderförmiger gedrehter Stamm (Steinkern) mit glatter Oberfläche, 2 wulstigen Bändern spiralig umkleidet, deren breiterer Teil spiralig und mit zahlreichen aufeinander folgenden rundlichen oder elliptischen Narben besetzt ist, an einem (vorfülligen) unteren Rand durch eine vorspringende Kante besäumt wird, die mit ihrem Blatt spiralig verläuft, ohne erkennbare Narben zu tragen. 5. Pachyphytum bot. sp. , wurde in den Liasber Schichten bei Alben nördlich von EobbL, Pfalz, gefunden. Verf. weist darauf hin, dass Beamter und Zahnkärner schon 1884 diesen Typ als Fayolia beschrieben und abgebildet , in der Ähnlichkeit mit Spirangium Schimp. hingewiesen haben. Sie interfolgen in der Steinkohle von Rhenan die beiden Arten F dentata und F. grandis, an diese würde sich die Fyasiostoma als dritte Art anreihen. Weißlich liegt nach Weiss hier eine abnorme Bildung vor. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
RE A ee Beſite vejin dieſer Grin NAA RL (che bei dem daż polowy realnogei Nr. 8 w Sednicy nieLemberg ben 4 März 1876.
det da auch die k. k. Finanzprokuratur im Na⸗ Beſirksgeri h uchseinlagen, we i werden Freie położonej, ciało tabularne stano| (1368 3—3) Ogłoszenie lieytacyi.
men des hoben eraos und des Grmbentlo | fyren, 15 BEA n 20 beð |wiącej w trzech terminach a to: 3 maja, 4799. C. k. Sąd powiatowy w Sądo
ſtungsfondes keine Eigenthums⸗ oder Beſitzan⸗ eben be:0 en 65 saa 5 d werben | 31 maja i 28 czerwca 1876 każdą razą o| wej Wiszni podaje do wiadomości, że celem
ſprüche erhebt, ſondern in ihrem Rekurſe mu alle ens Pe 11 A ge) 11 Grund godzinie 10 rano 2 tem iż realności tej po-] zaspokojenia wierzytelności , k. uprzywil.
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Es carras, le matin même, à 6 heures * et demie, aurait été vu devant la station des tramways, plaisantant avec les employés.Ce suicide inexplicable u vivement impressionné notre population.GRASSE Tribunal correctionnel. — Affaires venues a 1 audience du 10 août :La tri lie Pierre, 30 ans. Journalier, sans domicile fixe, deux mois de prison pour vagabondage; Ghirardi Madeleine, 29 ans, Journalier ù Antibes, un mois de prison pour vol ; Reynard Laurent, 17 ans, pêcheur à Cannes, six jours d’emprisonnement et 5 francs d’amende pour rébellion, outrage et ivresse ; Bono Pierre, 42 ans, maçon à Vallauris, 50 francs d’amende pour coups et blessures ; Pastoret Pierre. 45 ans, journalier à V'aJJaurls, 50 francs d'amende pour coups et blessures ; Lcvatti Vincent, 65 ans, journalier à Cannes, trois mois d’emprisonnement, défaut, pour coups et blessures et expulsion ; Sivadë Marins, 37 ans, carrossier à Cannes, défaut,un an d’cmprisoneninent, 50 francs d'amende Îcour banqueroute et abus de confiance ; CaIssano Bastiio, 38 ans, journalier à Cannes, huit jours de prison, avec sursis pour vol ; Principiano Anselme, 35 ans, boulanger à Cannes, coups et blessures, acquitté ; John Gertrude, 33 ans, propriétaire à Vence, 25 fr. d’amende pour coups et blessures ; Mevnier Alfred, 30 ans, ingénieur aux Arcs, blessures Îiar imprudence, acquitté ; Benevelli Joseph, 0 ans, manoeuvre à Grasse, 16 francs d’amende pour blessures par imprudence ; Felssat jeun, 26 ans, employé d’octroi à Cannes, 25 francs d’amendes pour coups et blessures ; Riposati Zélinda, femme Moroni, 42 ans, journalière à Cannes, 16 francs d’amende pour coups et blessures ; Franchittl François, 30 ans. journalier à Cannes, port d’armé prohibée ; Tarabusi Nelli, 18 ans, journalier à Cannes port d’arme prohibée, tops deux 6 jours de prison et 16 francs d’amende ; Galafrio Philippe, 27 ans, marin CaiTnes, 50 francs d’amende pour coups et blessures ; Bovetti Lucien, 18 ans, journalier, 5 francs d’amende Sour non-déclaration de résidence ; Beccarialarve, 18 ans domestique à Grasse, 5 francs d’amende, pour non-déclaration de résidence ; Monfrcdi Joseph, 41 ans, Journalier à Antibes, 5 francs pour non déclaration de résidence.GAGNES Hier matin, le garde champêtre Aguillon, passant au quartier du Réal,a abattu un chien qui venait au côté de Nice. L’animal abattu a été visité par M. Rébufat, vétérinaire, lequel a constaté que le chien était at’tint de la ragé. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Commission, the Freeman of Dublin, 235 ; the Irish salmon, author
removed from, 178, 179; the special, 274.
Confederates of Kilkenny, the Catholic, first claimants of Home Rule
under English auspices, 25.
Conington, John, distinguished at Oxford, 76.
County Courts, Irish, The, 156; extension of their jurisdiction may
be mischievous, 156.
County Court Judges, author made one in 1872, 244; position of,
in Ireland, and value of their independence, 245.
Crampton, Mr. Justice, 116; Sir Phihp Crampton, 116.
Cranworth, Lord, Lord Chancellor of England, anecdotes of, 129,
130.
392 INDEX
Crime, agrarian, in Ireland, 6i ; outbreak of, after the famine, loi ;
and during the Land League period, 252.
Crimes Act of 1887 a mere trifle compared to the Coercion Act of
1882, 287.
Crimean War, 193.
Cromwell, 28, 60.
Curran, Right Hon. J. P., a great advocate, 139.
D
Daly, Denis Bowes, 17.
Davis, Thomas, a leader of the Young Ireland party, and a man of
genius, 65.
Davitf, Michael, organises the Land League in 1879, 249; joins
Mr. Parnell, 251 ; has become a kind of meek democrat, 297,
298.
Delane, J. T., editor of Tfie Times, his great abilities and position,
friend of the author, 204, 205 ; failure of his health, farewell
letter to author, 272; death of, 272; his kindly nature, 272,
273-
Desart, Catherine, Countess of, 9, 22.
Desart, Earl of, 43, 67.
Desart, the family of, anecdotes of, 41, 42.
Dowse, Right Hon. Richard, Baron of the Irish Exchequer, his wit,
152-
Drogheda, Marquis of, 185.
Dufferin, Lord, very distinguished at Oxford, 76; Marquis of
Dufferin and Ava in 1895.
Dufy, Sir Gavan, a leader of the Young Ireland party, 65.
Edgeworth, Miss, her novels, 85, 362 ; anecdote of, 105,
Edinburgh Review, author's contributions to, 202, 203.
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Paet V. profits (x) . In such case if the lessee obtains a new lease
from the rightful owner, the value of that lease may be taken
in reduction of the damages (y). If the lessee is not evicted,
he can recover damages only for the disturbance of the pos-
session to the time of action ; because the disturbance, though
under a rightful title may not continue (z). A right in a
third party over the demised premises, as a right of way or a
right of common, unless exercised in fact to the disturbance
of the possession, is no breach of the covenant for quiet
enjoyment ; though it is a breach of covenant for title for
which the lessee may recover damages in the diminished value
of the possession («). The covenant for quiet enjoyment
applies only to the possession, and not to restrictions upon
the use of the land ; and it excludes any implied covenant
against such restrictions (b). Under the usual covenant in a
lease for quiet enjoyment restricted to the acts of the lessor
and of those claiming under him, the lessee may recover
damages for any interruption or interference with the posses-
sion by an act done by the lessor or under his authority (c) ;
as by neglect of repair of a drain through the demised land
whereby the possession was disturbed by an escape of
drainage {d) ; or by the lessor claiming and in fact taking
the rents of the lessee's sub-tenants (e) . But damages cannot
be claimed for an interruption of the possession as a conse-
quence of the act of the lessor, which is not a natural con-
sequence, nor within the contemplation of the parties in
making the covenant; as an extraordinary influx of water
into a mine from an unknown source, which was an accidental
consequence of the lessor working the adjacent mine in a
CoTenant proper manner (/) . — A covenant by a lessee to keep the
to rcpSiir.
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Wolfe, lui, frappé de trois balles, était mort sur le sol où on l’avait étendu, en murmurant à l’annonce de la victoire : « Dieu soit loué ! Je meurs en paix. »
La bataille d’Abraham, au point de vue des forces en présence, ne fut qu’une sanglante escarmouche : les deux armées réunies n’atteignaient pas 10 000 hommes. Les Anglais eurent 700 hommes et blessés, les Français 700 ou 800. Mais escarmouche ou bataille, ce combat sonna une date dans le dix-huitième siècle : l’heure de l’indépendance américaine et celle du départ de la France du Canada, encore que les hostilités aient continué un an.
L’année suivante, en effet, en 1760, Lévis, à la tête de 5 000 hommes, tenta de reprendre Québec. S’il n’y réussit pas, du moins vengea-t-il la mort de Montcalm. Sur ces mêmes plaines où il avait succombé, les Anglais furent défaits et durent battre en retraite, laissant sur le terrain mille cinq cents hommes et toute leur artillerie. Lévis aurait d’ailleurs certainement repris Québec, sans l’arrivée d’une flotte anglaise qui, toujours par la même fatalité acharnée après nous, arriva la première.
PARIS A YORK
163
Car, chose singulière, tout dépendait des premières voiles qui viendraient d’outre-mer. On était épuisé de part et d’autre et il était tacitement convenu que si les premiers vaisseaux arrivant étaient français, les Anglais quitteraient la ville ou que, dans le cas contraire, les Français lèveraient le siège.
— La victoire de 1760 du moins nous apporte des clauses honorables de la capitulation de Montréal, me disait à Québec M. Gagnon, alors secrétaire du département des travaux publics, un érudit autant que sympathique Canadien. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
O livro sobreviveu tempo suficiente para que os direitos autorais expirassem e ele se tornasse então parte do domínio público. Um livro de domínio público é aquele que nunca esteve sujeito a direitos autorais ou cujos direitos autorais ou cujos direitos autorais. A condição de domínio público de um livro pode variar de país para país. Os livros de domínio público são as nossas portas de acesso ao passado e representam um grande riqueza histórica, cultural e de conhecimentos, normalmente difíceis de serem descobertos.
As marcas, observações e outras notas nas margens do volume original aparecerão neste arquivo um reflexo da longa jornada pela qual o livro passou: do editor à biblioteca, e finalmente até você.
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MANS IN CHINA'S SEVERANCE
OF MUNITIONS FOR HIS SAVINGS
The immediate effect of China's severance of relations will probably be a greatly increased output of munitions for Russia. China is Japan's source of iron, and has provided much of the raw material on which the latter's immense munition trade has been built up. China already has sent 100,000 coolies to France and Russia as laborers, and can increase the number almost without limit.
China's severance of relations has been expected here for weeks. The action of the United States in breaking relations was received with acclaim by Chinese officials and press.
Feeling against Germany has run high, not only because scores of Chinese on the way to Europe have been killed in German submarine operations, but from memory of the Kaiser's order to his Boxer punitive force to make the word German dreaded in China for a century, and the seizure by Germany of the whole Province of Shantung for the murder of two missionaries.
Seizure of the German ships may be taken by Germany as an act of war, as in the case of Portugal.
China's action may be followed by seizure of German property in China, which is very extensive.
CHARGED WITH DESERTION
Serious in I. S. Cavalry Company at Port Worth. German Letters and Other Papers in Effects.
(My Associated Press)
Kl'ASO, TION...March 14.? Sergeant Alexander Kruehter, of Company K, Seventeenth United States Cavalry, is being detained. At Fort Bliss guard house on a charge of desertion, it was stated by military officials tonight. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
II I'V? ill fill <1. post II! a : I? I a I I'.'li
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.i ill.lit:., of 1 ri >? f il la i 11 ie in lb'
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en he I tn? r.
Navy Is Getting
Ready for War
Recruiting Office!o Be Kepi
Open Until Midnight?Ex
ertions Are Redoubled.
The navy is getting ready for war.
Among the indications of that fact
is the information received yesterday at
the Washington recruiting office from
Lieutenant Commander General, recruit
ing inspector of the Navy's Invasion,
which under "1'1 o|M'n?lay and night
militant midnight, if in i i'HSiiry. lieiluii
111?? exertions for??-?? rniting."
In accordance with instructions received several days ago, personal tolo
Urams )
It has been prepared by ordering all naval reservists in Virginia to report for examination in Richmond. | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | null |
Get a small bottle of Ely's Cream
Friday—Saturday
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One lot of SILK DRESSES, all late styles
$35.00, $37.50 and $38.50
FRIDAY and SATURDAY, $22.50
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One lot of GEORGETTE CREPE WAISTS,
Values $8.75, $9.00, $9.50 and $10.00
at $6.75
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County farm bureau. A few farmers already have produced excellent crops of potatoes suitable for certification. Netted Gem and Idaho Rural seed potatoes suitable for certification. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
On examina avec une attention particulière, mais avec des affections bien différentes, dans les villes de Lisbonne et de Venise, quelle devait être la nature de ces révolutions, et de quelle manière elles se manifesteraient. Les Portugais, fondés sur l'espèce de droit que donnait alors la priorité de la découverte, soutenue d'une investiture du pape, se croyant seuls autorisés au commerce avec les pays qu'ils avaient reconnus les premiers, commencèrent à jouir d'avance de tous ses avantages, et s'imaginèrent que leur capitale deviendrait bientôt ce que Venise était alors, le grand magasin des marchandises de l'orient pour toute l'Europe, et le séjour de l'opulence et du pouvoir. À la première nouvelle de l'heureux voyage de Gama, les Vénitiens, avec l'œil pénétrant du commerce, prévirent que le premier effet qui s'ensuivrait pour eux serait la ruine totale de cette branche lucrative de commerce qui avait si puissamment contribué à l'enrichissement et à la grandeur de leur pays; et ils virent approcher cette catastrophe avec un sentiment d'autant plus amer, qu'ils savaient bien qu'il n'existait pour eux aucun moyen réel d'en arrêter ou même d'en retarder l'effet. Les craintes et les espérances des deux peuples étaient bien fondées. Les Portugais entrèrent dans la nouvelle carrière, pleins d'ardeur et d'activité, et firent dans leur état militaire et commercial des efforts bien supérieurs à ce qu'on pouvait attendre d'un royaume aussi peu étendu. Ils étaient dirigés par un monarque intelligent capable de former les plans les plus vastes avec le calme de la sagesse réfléchie, et capable de les conduire avec une infatigable persévérance. Cependant la prudence et la fermeté de ses mesures ne lui auraient que peu servi sans les instruments convenables pour les mettre à exécution. Heureusement pour le Portugal, l'œil pénétrant d'Emmanuel sut distinguer un nombre d'officiers chargés du commandement suprême dans l'Inde qui par leur courage entreprenant, leur science militaire et leur habile politique, jointe au plus pur désintérêt, au zèle de la gloire et à l'amour de leur pays, méritent d'être comptés au nombre des personnages les plus distingués par leurs vertus et par leurs talents, dont parle l'histoire de tous les temps et de toutes les nations. Ils opérèrent peut-être de plus grandes choses qu'il ne s'en fit jamais en si peu de temps. | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | null |
"Wie? Erschossen? Nein, das ist nicht Ihr Ernst? Wenn es wirklich ein barbarisches Gesetz gäbe, welches Sie dazu berechtigt, so würden Sie doch sicherlich nicht sähig sein, es gegen diese unschuldigen Tiere, die so klug und so treu sind, zur Anwendung zu bringen." "Ich würde es um der Hunde willen nur mit schwerem Herzen tun; aber ich habe vor allem die Pflichten meines Intests zu erfüllen, und Herr v. Rhoden kennt die bestehenden Vorschriften sehr genau. Eine Warnung, welche ich ihm vor einigen Tagen zukommen ließ, hat er nicht beachtet; vielleicht ist es von eindringlicherer Wirkung, wenn er aus Ihrem Munde erfährt, dass die nächste Jagd, welche seine Doggen auf ihre eigene Rechnung in meinem Revier unternehmen, ihnen unzweifelhaft das Leben kosten wird." "Ach, das ist abscheulich!" rief Margarethe. "Der Urheber einer solchen Grausamkeit würde in meinen Augen kaum besser sein als ein Mörder!" Die bärtigen Lippen des Oberförsters zuckten ein wenig und wenn die Ursache dieser flüchtigen Bewegung auch vielleicht eine ganz andere war, so ließ sichs doch begreifen, dass sie dem jungen Mädchen wie ein höhnisches Lächeln erschien, und dass sie einen wirklichen, aufrichten Groll gegen diesen hochmütigen und herzlosen Menschen in ihrem Innern aufkeimen fühlte. - — "Uebrigens haben Sie wohl die Güte, sich für Ihren Auftrag einer anderen Vermittelung zu bedienen, als der meinigen", fügte sie hinzu, "und es wäre vielleicht am ehesten gewesen, wenn Sie dem Herrn Baron vorhin ins Gesicht gesagt hätten, was Sie ihm anzuthun gedenken. Der Vorwurf der Feigheit lag ziemlich deutlich in ihren Worten und in dem Ausdruck, welchen sie ihnen gegeben hatte, Reinach aber hielt es nicht für angemessen, sich zu verteidigen. Er machte der Zürnenden nur eine kleine, vielleicht etwas ironisch gemeinte Verbeugung und sagte dann, indem er nach dem Hause deutete: "Ihr Herr Vater! Er ist, wie Sie sehen, völlig hergestellt." Mit einiger Veränderung sah Margarethe der überraschend herzlichen Verabschiedung ihres Vaters von dem Oberförster zu. | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | null |
Subsets and Splits