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exemplaires du roman de la Comtesse de Coutaincy, Alvene, furent retrouvés dans la même vente. Un libraire parisien, M. Duchemin, les paya cinq francs, il les a revendus cinq francs. Police Gérard de Coutances Audience du 7 février 1913 SAVIGNY. — Pas responsable. — Le 28 octobre 1912, le Tribunal correctionnel condamnait par défaut le nommé Jean-Baptiste-Alcibiade Asselot, âgé de 65 ans, cultivateur et représentant de commerce à Savigny, à la peine de trois mois de prison et 500 fr. d’amende pour avoir fait au parquet une dénonciation calomnieuse contre ses voisins. Ayant fait opposition à cette décision, Asselot a	exemplaires du rmn de la Comtesse de Ctncy, Alvene, frnt retrouvés dns la mêm vente. Un libraire parisien, M. Duchemin, les py nqci francs, il les a revendus cinq francs Plc Gérard de acCetuosn Audience du 7 février 9 SAVIGNY — Pa responsable. — L 28 octobre 1912, le Tribunal rectonl condamnait pr défaut le nmmé Jean-Baptiste-Alcibiade Asselot âgé de 65 ans, cultivateur et représentant de commerce à Savigny, à la peine de trois ms de rison et 500 fr d’amende pour vr fait au parquet une dénonciation calomnieuse contre ses voisins. Ayant fait opposition cette diin, Asselot a
ses voisins. Ayant fait opposition à cette décision, Asselot a comparu à nouveau devant le Tribunal, qui, en raison des explications bizarres du prévenu, ordonna l’examen mental de ce dernier par le docteur Aubril, médecin expert à Saint-Lô. C’est donc à la suite du rapport du médecin qui conclut à la responsabilité très atténuée du sieur Asselot que le-ci comparait pour la troisième fois devant le tribunal correctionnel. En raison des conclusions du médecin expert, Asselot bénéficia d’un acquittement. Saint Sébastien-de-Croix. — Pris à la pêche. — Le 11 décembre, Auguste Lebreton, âgé de 29 ans, journalier à St-Sébastien-de-Croix, pêchait	ss voisins. Ayant fait opposition à cette décision, Asselot a comparu à nouveau devant le Tribunal, qui, en raison des explications bizarres du prévenu, rdnn l’examen mental de ce dernier rap le docteur Aubril, médecin expert à Snt-Lô. C’est ondc à la suite du rpprt du médecin qui conclut à la responsabilité très tténé du sieur Asselot que le-ci comparait pour la troisième fois devant le tribunal correctionnel. En raison des conclusions d eécnmdi expert lseAsot bénéficia dun acquittement. aintS SébastiendeCroix — Pris à la pêche. — eL 11 décembre, Auguste Lebreton, âgé de 29 ans, journalier à St-Sébastien-de-Croix, pêchait
Auguste Lebreton, âgé de 29 ans, journalier à St-Sébastien-de-Croix, pêchait à l’aide d'engins prohibés, lorsque les gendarmes vinrent le surprendre. Il fut bien obligé de reconnaître qu’il était passible d'un procès-verbal et bien entendu il en fut gratifié d'un en bonne et due forme. Conséquence : 16 fr. d’amende par défaut. Saint-Kémy-des-Landes. — Chasse. — Le 4 février dernier, Eugène Ozouf, âgé de 33 ans, domestique à Saint-Kémy-des-Landes, était occupé à tendre des collets sur la propriété de Mlle Losseau, lorsqu'il fut surpris par le sieur Quelot, garde-paillage, qui s’empara de saisir les engins prohibés, tout en dressant contre Ozouf	Auguste Lebreton, âgé 29 ans, journalier à St-Sébastien-de-Croix, pêchait à l’aide dengins prohibés, lu les gendarmes vinrent le surprendre Il fut bien blgé de reconnaître qu’il était passible d'un procès-verbal et bien entendu il en ftu gratifié d'un en bon t due forme. Conséquence : 61 fr. aende r défaut. Saint-Kémy-des-Landes. — Chasse. — Le 4 février dernier, Eugène Ozouf, âgé de 33 ans dmstq à Saint-Kémy-des-Landes, était oécpuc à tendre des collets sur la prprété de Mlle Losseau, lorsqu'il fut srprs par le sieur Quelot, garde-paillage, qui s’empara de saisir les engins prohibés, tout en dressant contre Ozouf
de saisir les engins prohibés, tout en dressant contre Ozouf un procès-verbal. Le Tribunal condamne le prévenu à 50 fr. d’amende et ordonne la confiscation des engins. Agon. — Disparition d'une bouée. — Il y a plus d’un an, le sieur Lecuir, d’Agon, trouva sur la grève une bouée de sauvetage qu'il confiait à la garde de la douane. La bouée avait été déposée dans le gabion du sieur Daigremont, où Edouard Dudouit. Âgé de 37 ans, pêcheur à Agon, l'avait remarquée. Ce dernier, qui avait besoin d’une seconde bouée pour satisfaire au règlement, demanda au douanier Laiglemon à qui	de saisir les engins prohibés, tout en dressant contre Ozouf nu procès-verbal. L Tribunal condamne l prévn à 50 fr. d’amende et ordonne la confiscation des ngins Agon. — Disparition d'une eu.obé — Il y a plus d’un an sieur Lecuir, dAgon tva sr la grève une bouée de sauvetage qu' confiait à la garde de la douane. La bouée avait été déposée dans le gabion du sieur Daigremont, où Edouard Dudouit. Âgé de 37 ans, pêcheur à Agon, l'avait remarquée. Ce dernier, qui avait besoin d’une seconde buée o satisfaire au règlement, demanda au douanier Laiglemon à qui
pour satisfaire au règlement, demanda au douanier Laiglemon à qui fallait qu’il s’adresser pour en faire l’acquisition. Le douanier répondit qu’il n’en savait rien, mais que la bouée ne valait pas grand chose, au maximum deux francs. Les choses en restèrent là, lorsqu’un matin, en allant chercher son bois près du gabion Daigremont, Dudouit prit la bouée sans autorisation et la porta chez lui où elle fut retrouvée. M. Lupérouzel, avocat du prévenu, soutient qu’il n’y a pas eu vol, tout au moins intention de voler, que la bouée était abandonnée et qu'elle n’aurait profité à personne. Le Tribunal, après	pour satisfaire au t,rlgèemen demanda au douanier Laiglemon à qui fallait q’l sreser pour e faire l’acquisition. L douanier répondit il n’en savait rien, mais que la bouée ne valait pas grand chose, maximum deux francs. Les choses n restèrent là, lorsqu’un mn n allant chercher son bois près du gabion Daigremont, Dudouit prit la bouée sans aran et la porta chez lui où elle fut retrouvée. M. Lupérouzel, avocat ud prévenu, soutient q’l n’y a pas vol, au moins ntntn de vor, que la b était abandonnée et qu'elle n’aurait profité à personne. Le Tribunal, après
abandonnée et qu'elle n’aurait profité à personne. Le Tribunal, après des attendus très indulgents, condamne Dudouit à 5 fr. d’amende avec sursis. Usines. — Un faux chauffeur. — Le 28 janvier, les gendarmes de Coutances arrêtaient sur le parvis Notre-Dame un Individu qui connaissait l’état-civil suivant : Maurice Resemot, 18 ans, chauffeur de bateau, originaire de Guigny Hiers (Alsace-Lorraine). Il déclara qu’étant chauffeur à bord d'un navire à la rade de Saint-Malo, le 19 janvier, à cause des mauvais traitements que lui avait fait subir le capitaine en second. Arrêté sous l'accusation de vagabondage, il fut incarcéré à la prison	abandonnée et qu'elle n’rt profité nr.eeposn Le Tribunal, après d attendus très indulgents cdne Dudouit 5 fr. avec suss. Usines. — Un a chauffeur. — Le 28 janvier, les gendarmes de Coutances arrêtaient su le parvis Notre-Dame n Individu qi connaissait l’état-civil suivant : Mrc Resemot, 18 ans, haufeu de bateau, iair de Guigny Hiers (Alsace-Lorraine). Il déclara qu’étant chauffeur à brd d'un navire à al rade de Saint-Malo, le 19 janvier à cause des mauvais estnaietrtm que lui avait f i l cptn en second. Arrêté sous l'accusation d ,bagagdvaone il fut incarcéré à la prison
sous l'accusation de vagabondage, il fut incarcéré à la prison de Coutances, pendant que le Parquet demandait des renseignements sur Romblay. À l’instruction, ce dernier reconnut n'avoir menti, et déclara n’avoir jamais été chauffeur à bord d'un navire. Il est en outre titulaire de 7 condamnations. Le Tribunal le condamna à 3 mois et 1 jour. Sainte-Eulalie-le-Vrai. — Vagabondage et mendicité. — Pour avoir été trouvé le 20 février dernier en état de vagabondage et de mendicité sur le territoire de cette commune, Jean-Baptiste Lefeuvre, 38 ans, manœuvre, s. d. f., est gratifié de 15 jours de prison. TURPIN. —	sous l'accusation de vagabondage, il fut cncéaréri à la prison de Coutances pendant que le Parquet demandait des renseignements sur Romblay. À l’instruction, c dernier rcnnut n'avoir met te déclara navoir jamais été chauffeur à bord dun navire. Il est en outre titulaire de 7 condamnations. Le Trbnl le condamna à 3 mois et 1 jour. Sainte-Eulalie-le-Vrai. — Vagabondage et mendicité. — Pour avoir été trouvé le 0 fie dernier en état d vagabondage et de mendicité sur le territoire d cette commune, Jean-Baptiste Lefeuvre, 38 ans, mvn,eaœur s. d. f., est gratifié de 1 jours d prsn. TURPIN
f., est gratifié de 15 jours de prison. TURPIN. — Vagabondage et mendicité. — Maurice Turpin, 60 ans, journalier, s. d. f., est prévenu d'avoir été trouvé le 21 février, à Gouville, en état de vagabondage et de mendicité, 6 mois de prison. Manœuvres navales. — La deuxième escadre légère composée des croiseurs cuirassés Gloire, battant pavillon du contre-amiral Favier, du Coupé et de la Marseillaise, des 1er, 2e et 3e escadrilles de contre-torpilleurs, des flottilles de torpilleurs et de sous-marins de Cherbourg a mouillé mercredi soir sur rade. Cette force navale venant des abords de Dieppe et du Havre	,.f est gratifié d 15 jours de prsn. TURPIN. — Vonag et mendicité. Mrc Turpin, 60 ans, rr,onieuajl s. d. f., est prévenu d'avoir été uévtor le 21 février, à Gouville, en état de vagabondage et de mendicité 6 mois de prison. Manœuvres navales. — La deuxième escadre légère composée des croiseurs cuirassés Gloire, battant pvlln du em-ocitarrlna Favier Coupé et de la Marseillaise, eds 1er, 2e et 3e escadrilles de contretorpilleurs des elilltotfs de torpilleurs et de sous-marins de Cebourg a mllé mre soir sur rade Cette orce navale vnnt des rabdos de Dieppe et du Havre
force navale venant des abords de Dieppe et du Havre s’était livrée à des manœuvres combinées avec la première escadrille des sous-marins qui l’avait attaquée, guidée par les escadrilles de contre-torpilleurs et les torpilleurs de Cherbourg. Les trois croiseurs ont repris la mer jeudi matin pour se livrer à des exercices d’attaque des ouvrages de la Place de Cherbourg. Tous ces navires se retrouvent mouillés sur rade aujourd'hui vendredi pour y prendre un peu de repos et permettre de payer la solde des équipages. Est-ce un sabotage?— Mercredi dernier, le bruit se répandait en ville que les fils téléphoniques allant	force navale venant sed ds de Dieppe et du Havre ’éa livrée des manœuvres cbnées avec preèe escadrille sed sous-marins qui l’avait attaquée, guidée r les sadl de contretorpilleurs et les torpilleurs de Chrbrg. Les trois croiseurs ont repris l mer jed ma pour se livrer à des exercices d’attaque ouvrages de la Place d Chrbrg. Tous ces navires se rtrvnt mouillés sur rade aujourd'hui vendredi pour y prendre un peu de repos et permettre d payer la solde dse équipages Est-ce un sabotage?— Mercredi drnr, le brt se répandait n ville que les fls téléphoniques allant
bruit se répandait en ville que les fils téléphoniques allant de la Préfecture Maritime au Nardouet avaient été coupés pendant la nuit. À la Préfecture Maritime on a déclaré que les fils qui ont été coupés sont ceux des clôtures artificielles du Nardouet. Incendie.— Le feu a éclaté mardi soir, vers 8 heures 1/2, au n° 58 de la rue au Blé, et en quelques instants y a brûlé un second étage et des mansardes. L’immeuble portant le n° 58 appartient à la famille Gousin-Gance de la rue de l’Ancien-Quai ; il est loué à Mme de Saint-Denis, débitante, qui	bruit se répandait en ville que les fils téléphoniques allant de la Préfecture Maritime au Nardouet avaient été coupés pendant la nuit. À la Préfecture Maritime on a déclaré que les fils qui ont été coupés snt cx des clôtures artificielles du Nardouet. Incendie.— Le feu a cat mardi soir, vers 8 hre 1/2, au 58 de la rue au Bé,l et en que instants y a brûlé un second étage t des mansardes. L’immeuble portant l n° 58 appatie à la famille Gousin-Gance e la rue de l’Ancien-Quai ; il est lé à Mme de Saint-Denis, débitante, qui
; il est loué à Mme de Saint-Denis, débitante, qui loue elle-même en garni son second étage ; les locataires d’hier étaient quatre marchands ambulants, des « Sidi » suivant l’expression populaire, qui avaient entassé dans leur campement provisoire toutes leurs marchandises et les pacotilles qu’ils débitent le long des routes. L'un d’eux rentrant de tournée vers 8 heures monta à sa chambre pour y déposer son ballot et redescendit presque aussitôt pour manger chez Mme de Saint-Denis. Peu de temps après une jeune fille qui passait rue au Blé vit de la fumée sortir par les fenêtres du 2e	; il est loué à Mme de SaintDenis débitante, qui loue ll-mêm en garni son second étg ; les locataires d’hier étaient quatre marchands ambulants, des « Si » suvat l’expression populaire, qui avaient entassé dans leur campement provisoire toutes leurs marchandises et les pacotilles qu’ils débitent le des routes. L'un d’eux rentrant de tournée vers 8 heures monta à sa chambre pour y rdeépos son ballot et redescendit presque aussitôt pour mngr czhe Mme de Saint-Denis. Peu de temps après une jeune fille qui passait rue au Blé vit de la fumée sotir par les fenêtres du 2e
vit de la fumée sortir par les fenêtres du 2e étage ; elle prévint la patronne du débit que le feu devait être dans l’immeuble. Aussitôt le marchand ambulant escalada l’escalier pour aller au secours de sa marchandise mais quand il pénétra dans sa chambre tout était en feu. M. Guérard qui se trouvait là, enfourna sa bicyclette et s’en alla place Divine prévenir la police ; celle-ci avertit aussitôt le dépôt des pompes et quelques instants après les nomma sous le commandement de M. Saillard et leurs officiers attaquaient vivement l’incendie. Ils furent assez heureux pour pouvoir circonscrire rapidement	vit de la fumée sortir pr les fenêtres du 2 étage el prévint la patronne du débt que le feu devait être dans l’immeuble. Aussitôt le mrchnd ambulant acdaslae l’escalier pr aller au secours de sa marchandise masi quand il pénétra dans sa ce tout était en feu. M Guérard qui se trouvait là, enfourna sa bicyclette te s’en ll place Divine prévenir la police ; celle-ci avertit aussitôt le dépôt des pompes et quelques istat après les nomma sous le cmmndmnt de M. Saillard et leurs ofies attaquaient vivement l’incendie. Ils frnt assez heureux pour pouvoir circonscrire rapidement
vivement l’incendie. Ils furent assez heureux pour pouvoir circonscrire rapidement le feu qui n’a dévasté que le 2e étage et les mansardes; la couverture elle-même a peu souffert. On attribue les causes de l’incendie à une imprudence du « Sidi » qui aura approché un bout de cigarette où une allumette trop près de sa camisolte ; naturellement, les marchandises n’étaient pas assurées ; les marchands ambulants en évaluent la valeur à 2.000 fr., ils prêtent d'ailleurs avoir perdu 2.000 fr. d’argent dans cette affaire. Coup de hache. — Une réquisition a été délivrée à M. le docteur Le Duigou	vivement l’incendie. Ils frnt assez heureux pour pvr ceciirorrnsc rpdmnt le feu qui n’a dévasté que 2 étage et ls mansardes; la couverture elle-même a peu souffert. On attribue les causes de l’incendie à n imprudence du « iSdi » qui aura approché un but de cigarette où n llmtt trop près de sa camisolte ; naturellement, les mrchndss nétaient pas assurées ; ls mns ambulants n évaluent la valeur à .000 fr., ils prêtent d'ailleurs avoir perdu 2.000 fr. ’argent dans cette affaire. Coup de hache. — Une réquisition a été délivrée à M. le reocdtu e Duigou
réquisition a été délivrée à M. le docteur Le Duigou pour donner des soins à Mme Bertrand, demeurant rue des Portes, n° 35, laquelle venait de se couper le bout d’un doigt avec une hache en fendant du bois. Chute à bicyclette. — M. Du frene, soldat au 2e régiment d’artillerie coloniale, s’est présenté au poste pour demander un médecin; il portait des blessures par suite d’une chute à bicyclette à Equeurdreville. M. le docteur Le Duigou l’a fait transporter à l’hôpital maritime. Un beau sauvetage. — Dimanche après-midi, vers 2 h., MM. Ropers, second du steamner Nomadic ; Costa,	réquisition a été délivrée M. le docteur Le Duigou pr donner des soins Mme Bertrand, demeurant rue des Portes, n 35, laquelle venait de se couper le bout d’un dgt avec une hache fendant du bois Chute à bicyclette. — M. Du frene, soldat au 2e régiment d’artillerie coloniale, s’est présenté poste pour demander un médecin; il portait des blessures par suite d’une chute à bicyclette à Equeurdreville el docteur Le Dg ’ fait transporter à l’hôpital maritime. Un beau sauvetage — Dimanche après-midi, vers 2 h., MM. Ropers, second du steamner Nomadic ; Costa,
2 h., MM. Ropers, second du steamner Nomadic ; Costa, chauffeur; Leven, novice ; et Mittois, employé à l'entreprise Hersent, résolurent d'aller faire la pêche dans les rochers de la Digue et ils partirent dans le canot du steamner auquel appartient M. Ropers. Ils avaient dépassé de 400 mètres environ le bout de la grande digue, lorsqu'un coup de vent fit chavirer l’embarcation sous voiles et précipita les quatre hommes à la mer; deux d’entre eux savaient nager, MM. Ropers et Mittois ; les deux autres se seraient infailliblement noyés, sans le sang-froid du second du Nomadic ; M. Ropers	2 h., MM. Ropers, second du steamner Nomadic ; Costa, chauffeur; Leven, novice ; et Mittois, employé à 'entreprise Hersent, résolurent d'aller faire la pêche dans les rochers de la Digue et ils priet dns l canot du steamner auquel appartient M. Ropers. Ils avaient dépassé de 400 mètres environ le bout de la grande digue lorsqu'un cp de vent fit chavirer l’macn sous voiles et précipita les quatre hmms à la mer; d d’entre eux savaient nager, MM. Ropers et Mittois ; les deux autres se seraient infallilent noyés, sans le sang-froid du second du Nomadic ; M. Ropers
sans le sang-froid du second du Nomadic ; M. Ropers put tout d’abord, en plongeant sous le canot, en retirer deux avirons, puis saisissant M. Costa il l’approcha de la quille en l'air, à laquelle déjà s’était accroché M. Mittois. A ce moment le bateau coula pour la deuxième fois, mais Mittois et Costa ne lâchèrent pas prise et réussirent à se maintenir hors de l’eau. Pendant ce temps les lames avaient déjà entraîné le jeune Leven, et le pauvre garçon se sentait couler quand M. Ropers arriva à son secours et lui apporta un aviron pour le soulever. Bientôt	sans le sangfroid du second du Nomadic ; M. Ropers put tout d’abord, en plngnt sous le canot, en retirer deux avirons, puis saisissant M. Costa il l’approcha e la quille n lair à lqll déjà ’était accroché M. Mitis A c moment le bateau coula pour la deuxième fois, mais Mtts et Costa ne lâchèrent aps prise et réussirent à se maintenir hors de l’eau. enaPndt ce temps les lames avaient déjà entraîné le jn Leven, et le pauvre garçon se sentait couler quand M. Ropers arriva à son secours et lui apporta un aviron pour le soulever. Bientôt
secours et lui apporta un aviron pour le soulever. Bientôt les quatre hommes étaient réunis auprès du canot, toujours chaviré, attendant qu’on vint à leur aide. L’aide ne tarda pas à arriver, car la scène avait été aperçue de deux embarcations qui croisaient assez loin de là, dans deux directions différentes. L’une, le Petit Julien était montée par M. Langlois, agent technique en retraite; l’autre la Marie-Jeanne, avait pour patron M. Albert Michel. Les deux canots prirent chacun deux des naufragés et furent assez heureux pour les ramener à terre sains et saufs. Il convient de féliciter tout particulièrement M.	secours et lui aorta un aviron pour le euerovs.l Bientôt les quatre hommes étaient é auprès du canot, toujours chaviré, attendant qu’on vint à leur ie L’aide en aa pas à arriver, car la scène avait été aperçue de deux embarcations u croisaient as loin de là, dans deux directions différentes. L’une, le Petit Julien était née apr M. Langlois agent technique en retraite; l’autre la Marie-Jeanne, avait pour patron M. Albert Michel. Les deux canots p chacun deux esd naufragés et eftnru sz heureux pour les ramener à eetrr sains et saufs. Il cnvnt de féliciter tuot partiuemt M.
sains et saufs. Il convient de féliciter tout particulièrement M. Ropers de sa brillante conduite ; c'est à lui qu'on doit pour partie de ne pas déplorer aujourd'hui un terrible malheur. Arrondissement de VALOGNES ETAT CIVIL DE VALOGNES Naissances. — Du 16 : René-Maurice Rouxel, à la Broix-du-Bois. — Simone-Marie-Ghislaine Lecadet, rue de Poterie. — Du 22 : Antoinette-Eugénie-Marie Lebray, route de St-Sauveur. — Du 25, Placide Félix, hospice. — Du 27, Charles Cosnefroy, rue de Gerville. Mariages. — Du 18: Noël-Charles-Auguste Ruel, chauffeur, et Jeanne-Louise Leroux, femme de chambre. — Du 24 : Pierre-Jules-Émile Coeuret, employé de commerce, et	sains et saufs. Il cnvnt de féliciter ottu particulièrement M. Ropers de sa nerlbtali conduite ; c'est à lui qu'on dt pour partie ne pas déore aujourd'hui un trrbl hur Arrondissement de VALOGNES ETAT CIVIL DE VALOGNES Nssncs. — D 16 : RenéMaurice Rol à la Broix-du-Bois. — Simone-Marie-Ghislaine Lecadet, rue de Poterie. — D 22 : ntntt-gén-Mr La, route de St-Sauveur. — 25, Placide l,iéxF hospice. — Du 27, Cs Cosnefroy, rue de Gerville. Mariages. — Du 18: Noël-Charles-Auguste Rl, chauffeur, et JeanneLouise Leroux, femme de chambre. — Du 24 : err-J-Éle Coeuret lopeéym e commerce, et
— Du 24 : Pierre-Jules-Émile Coeuret, employé de commerce, et Marie Travert, s.p. Décès. — Du 17 : Angèle Delarue, dame religieuse Bénédictine, 44 ans, rue des Capucins. — Georgine Boursier, veuve Brochard, 77 ans, rue des Capucins. — Du 21 : Adolphe Noël, 5 mois, rue de l'Hôtel-Dieu. — Du 22: Marie-Justine-Mélanie Vallognes, veuve Dabnont, 50 ans, rue Alexis-de-Toqueville. VALOGNES. — Accident à la gare. — Mardi dernier, en déchargeant un colis du fourgon à bagages, M. Jouany, conducteur de train a eu deux doigts écrasés entre ce colis et la bordure en fer du fourgon. Le docteur Leneveu,	— Du 24 : Pierre-Jules-Émile Coeuret, employé de commerce, et Marie Travert, sp Décès. — Du 17 : Angèle Delarue, dame religieuse Bénédictine, 44 ans, rue des Capucins. Georgine Boursier, veuve Brochard, 77 ans, rue des Capucins. — Du 21 : Adolphe Noël, 5 mois, rue de l'Hôtel-Dieu. — Du 22: Marie-Justine-Mélanie Vallognes, veuve Dbnnt, 05 ans rue Alexis-de-Toqueville. VALOGNES. — Accident à la gare. — Mardi dernier, en déchargeant un colis du fourgon à bagages, M. Jouany, conducteur de train a eu deux doigts écrasés rteen ce colis et la brdr en fer d fourgon. Le docteur Leneveu,
et la bordure en fer du fourgon. Le docteur Leneveu, médecin de l'Administration a dû pratiquer l'amputation des deux doigts. Le Vélodrome. — Les officiers instructeurs rappellent que le registre d’inscription des élèves et pupilles sera irrévocablement clos le dimanche 2 mars. Matinée enfantine, — Dimanche 2 mars à 4 heures et demie, salle des fêtes, place du Château, aura lieu une matinée enfantine, offerte par l’union sportive. L’entrée est gratuite pour les membres de la Société. Les personnes étrangères à la Société ne seront admises que si elles accompagnent des enfants costumés. BARNEVILLE. — Accident. — En cassant du	et la bordure en fer du fourgon. L docteur Leneveu, médecin de l'Administration a dû pratiquer laaio des deux doigts. Le dVlm.oeoér — Les officiers instructeurs rppllnt e le registre d’inscription des élèves et l sera irrévocablement clos le dimanche 2 mars. Matinée enfantine, — Dimanche 2 mars à heures et demie, salle de fêtes, place du Château, aura lieu une matinée enfantine offerte par lunion sportive. ’entrée est gratuite les mmbrs de l cto.éiéS L personnes étrangères à la ééctoiS ne seront adises que si elles accompagnent des enfants costumés. BRNEVILLE. — Accident En cssnt du
des enfants costumés. BARNEVILLE. — Accident. — En cassant du bois, M. Lecarriey, journalier au bourg, s’est donné un coup de hache qui a déterminé une coupure profonde du pouce de la main gauche. Cette blessure assez grave nécessitera un repos d’une dizaine de jours. PORTBAIL. — Chemin rural. — Le directeur du service des améliorations agricoles au ministère de l’agriculture a, par décision du 14 février, autorisé les études et la formation d'un syndicat en vue de la construction du chemin rural de la Petite Ruguéville. Cylindrage à vapeur. — Le cylindre à vapeur va fonctionner sur le chemin	des enfants costumés. BARNEVILLE. — Accident. — n cassant du bois, M. Lecarriey, journalier au bourg, ’ests donné un coup ed hache qui a déterminé une rucpuoe prfnd du pouce de la main gch. Cette blssr assez grave nécessitera un repos ’une dizaine de jours. PORTBAIL. — Chemin rural. e directeur du srvc des améliorations agricoles au ministère de l’agriculture a, par décision du 14 février, trsé les études e la formation dun syndicat en vue de la construction du chemin rural de l Petite Ruguéville Cylindrage à vapeur. — Le rcidlney à vpr va fonctionner sr le chemin
— Le cylindre à vapeur va fonctionner sur le chemin des Moitiers-d'Allonne à la Haye d’Ectot jusqu’au 3 mars. PORTBAIL. — Accident. — Samedi soir, M. Rebuffet, juge de paix de Barneville, quittait le bourg pour se rendre à la gare et rentrer à Barneville ; comme il craignait de manquer le train, rencontrant rue de la gare M. Fouquet qui conduisait un tombereau, M. Rebuffet pour gagner du temps monta dans le véhicule où à peine installé il tomba à la renverse sur la chaussée. Relevé aussitôt, il reçut les premiers soins du docteur Lefèvre. Cette chute a eu	— Le dre à vpr va fonctionner sur le chemin des Mtrs-d'llnn à la Haye d’Ectot jusqu’au 3 mars. PORTBAIL. — Accident. — Samedi soir, M. Rebuffet, juge d px de Barneville quittait le bourg pour se rendre à la gr te rntrr à Barneville comme il craignait d manquer e train, rencontrant rue de la gare M. Fouquet qui conduisait un tombereau, M. Rebuffet pour gagner du temps monta dans le véhicule où à ne installé il tomba à la renverse sr la chaussée. Relevé aussitôt, il reçut ls premiers soins du docteur Lefèvre. Cette chute eu
les premiers soins du docteur Lefèvre. Cette chute a eu l’effet funeste à M. le juge de paix car le médecin a constaté une fracture de la jambe accompagnée d’une entorse et d’une plaie sans gravité à la nuque. PORTBAIL. — Remonte. — Le comité de remonte se réunira le samedi 8 mars, à 7 heures et demie du matin, place de l’église. CARTERET. — Nécrologie. — M. Breissan, propriétaire au château et maire de Carteret, vient d’avoir la douleur de perdre sa mère qui habitait Paris. SAINT-LO-D’OURVILLE. — Trouvé mort. — Les voisins du sieur Albert Leloyon, voyageur de	les premiers soins du docteur Lefèvre. Cette cht eu l’effet fnst à M. le juge de paix car l médecin a constaté une fracture de la jmb accompagnée d’n entorse t dune plaie sans grvté à la nuque. PORTBAIL. — Remonte. Le comité de remonte se réunira smd 8 mars, à 7 heures t demie du matin, place de ’église. CARTERET. — Nécrologie. — Breissan, propriétaire au chât et maire de Carteret, vient d’avoir la douleur de ped sa mère qui habitait Paris. SNT-L-D’RVLL. — Trouvé mort. — Ls sviosni du sieur Albert Llyn, voyageur de
mort. — Les voisins du sieur Albert Leloyon, voyageur de commerce, le sachant malade, et inquiets de ne pas le voir jeudi matin, forcèrent la porte et trouvèrent le malheureux mort aux pieds de la table. Il était effleuré de papiers à l’entête de la maison qu’il représentait et à peine vêtu. On suppose que pendant la nuit, il aura voulu se lever pour vérifier ses comptes et, frappé de congestion, sera tombé sans pouvoir appeler au secours. Agé de 52 ans, il était célibataire. LES MOITIERS-D’ALLONNE. — Vol. — M. Chappey, propriétaire au village du Petit-Breuil, commune des Moitiers	mort. — Ls voisins du sieur Albert Leloyon, voyageur de cmmrc, l sachant malade, et inquiets de ne aps le voir jeudi matin, forcèrent la porte et trètvenoru le malheureux rtom aux pieds de la table. Il ait fflré de papiers à l’entête de la maison qu’il représentait et à peine vêtu. n suppose que pendant a u,tni il aura lu se lever pour vérfr ses comptes et frappé de congestion, sera tmbé sans pouvoir appeler au secours. Agé de 52 ans, il était célibataire. LES MTRS-D’LLNN. — Vol. — M. Chappey, propriétaire au vle d Ptt-Brl, commune des Moitiers
M. Chappey, propriétaire au village du Petit-Breuil, commune des Moitiers d’Allonne, possède au Verclot une ferme qu'il fait valoir. En son absence et nuitamment des voleurs ont pénétré dans un cellier, après avoir déscellé la porte, et ont fait main basse sur les cordages et plusieurs litres d'eau-de-vie. Brève notice. — Etat civil Naissances. — Du 21 : Louis Cauvin, le Val d'Hue. — Du 23 : N... Rouitte, route de Carteret. Tirage de la tombola. — Nous rappelons que le tirage de la tombola organisée au profit de la fanfare municipale aura lieu le dimanche 13 avril, à 2	M. Chappey, propriétaire au village du Petit-Breuil, commune eds Moitiers d’Allonne, possède au Verclot une ferme qu'il fa valoir. En son absence te nuitamment des voleurs ont pénétré dans un reillec, après avoir déscellé la porte, et ont fait main basse les cordages et plusieurs litres d'-e.u-edviea Brève ot — Etat civil Naissances — D 21 : Louis Cvn, le Vl d'Hue. — Du 23 : N ettiRo,u reout de Carteret. Tirage de la tombola. — Nous rappelons que le irage de la tombola organisée au profit de l fanfare municipale aua lieu le hmdcneai 13 avril, à 2
fanfare municipale aura lieu le dimanche 13 avril, à 2 heures du soir, dans la salle des fêtes. Accident du travail. — Le sieur Gosselin, menuisier, en démolissant un vieux plancher, reçut dans l’oeil droit un éclat de bois que le docteur dut extraire. Chute. — M. Locquet, inspecteur d’assurances, en passant un fossé près du Neuf-Clos, fit une chute dans laquelle il se fractura le coude gauche. Foire Mi-Carême. — La foire Mi-Carême qui est une des belles foires de notre contrée aura lieu lundi prochain 3 mars avec montre la veille. Espérons que le beau temps favorisera cette	fanfare municipale au l le dimanche 13 avril, à 2 heures du sr, dans la salle des fêtes. Accident du trvl. — L sieur Gosselin, menuisier, en démolissant n vieux plancher, reçut dans l’oeil doitr un éclat de bois que e docteur dut extraire. Chute. — M. Locquet, inspecteur d’assurances, en passant un fossé près du Neuf-Clos, fit n chute dans laquelle il se fractura le cd gauche. Foire Mi-Carême. — La foire Mi-Carême qui est une des belles foires de notre contrée ura lieu lundi prochain 3 mars avec on la veille. sprns q le beau temps favorisera cette
montre la veille. Espérons que le beau temps favorisera cette foire et que vendeurs et acheteurs viendront en grand nombre. Chute de bicyclette. — Dimanche dernier un cycliste qui passait dans la cour du Château avança à l’allure, buta sur un énorme chien; l’animal hurla de douleur, mais en fut quitte à meilleur compte que l’imprudent qui alla se jeter contre le mur où il se contusionna fortement à la face. L’ETANG-BERTRAND. — Suite mortelle d’un accident. — Le jeune Riquier, âgé de 15 ans, qui reçut, voilà environ trois semaines, dans la figure la décharge d’une carabine-fusil dont il	mntr la ielev.l Espérons que le abeu temps favorisera cette fr et que veneus et acheteurs viendront en grand nombre. Chute de bicyclette. — Dimanche dernier un cycliste qui passait dans la cour du Château avança à l’allure, buta sur un énrm chien; l’animal hurla de douleur, saim en fut quitte à meilleur compte que l’imprudent qui alla se jeter contre le mur ù il se contusionna fortement à la face. L’ETANG-BERTRAND. — Suite mrte d’un accident. — Le jeune Riquier, âgé de 15 ans, qui reçut, voilà trois semaines, an l figure la déage d’une crbn-fsl dont il
semaines, dans la figure la décharge d’une carabine-fusil dont il était porteur, est décédé mardi dernier. La blessure, qui paraissait peu grave et qui était en bonne voie de guérison, détermina le tétanos et le malheureux jeune homme fut enlevé à l’affection des siens en quelques heures. MONTECOEUR. — Victime du devoir, — Vendredi, vers cinq heures du soir, un négociant de Montcoeur, entendant des craquements se produire parmi les caissons installés dans sa boutique pour l'exposition de ses marchandises demanda du secours. Sur les lieux arrivèrent plusieurs personnes et parmi eux M. Léon Lecomte, lieutenant de la compagnie des	semaines, dans la fi la décharge ’une carabine-fusil dont l était porteur, est décédé mardi eri La blessure, qui paraissait e grave et qui était en bonne v de guérison, détermina le tétanos et le malheureux eu memoh fut enlevé à l’affection des siens en quelques heures. MONTECOEUR. — icme du devoir, — Vendredi, vers cq heures du soir u négociant d Montcoeur, entendant ds craquements se produire parmi les caissons inallés dans sa boutique pour l'exposition de ses marchandises demanda du secours. Sur les lieux arrivèrent plusieurs personnes et parmi eux M. Léon Lecomte, lieutenant de cmagi des
parmi eux M. Léon Lecomte, lieutenant de la compagnie des sapeurs-pompiers, qui s’empressa de diriger les secours. On alla quérir des chevrons pour soutenir les étagères qui menaçaient de tomber, mais trop tard, les planches cédèrent et toutes les marchandises, carafes d’huile, boites de conserves vinrent s’effondrer sur notre concitoyen qui préparait l’étayage. Il a été sérieusement blessé à la tête et aux reins. M. Mirey, pharmacien, lui prodigua ses soins. Espérons que la guérison sera prompte et félicitons-le de sa courageuse intervention. LE HAM. — Déraillement. — Deux wagons du train de la ligne de Montebourg à Barfélix ont	parmi eux M. Léon Lecomte, lieutenant de la compagnie des sapeurspompiers qui s’empressa de diriger les secours. On ll quérir des chevrons pou soutenir les étagères qui menaçaient de tomber, mais trop tard, les alpcnhes cédèrent et toutes les marchandises, carafes d’huile, boites de conserves vinrent s’effondrer sur notre concitoyen qui préparait létayage Il a été sérieusement blessé à la tte et aux reins. M. Mirey, pharmacien, lui prodigua e soins. Espérons que la guérison sera prompte et félicitons-le de sa courageuse intervention. LE HAM. — Déraillement. — Deux wagons u train de la ligne de Montebourg à Barfélix ont
du train de la ligne de Montebourg à Barfélix ont déraillé en gare du Ham, dimanche soir, vers 4 heures et ont encombré la voie. Il a fallu près de deux heures pour remettre la circulation de sorte que le train a subi un retard assez long. Il n’y a pas eu d’accidents de personnes. FRESVILLE. — Vol. — Dans la nuit du samedi à dimanche, M. Pierre Douard, domestique chez M. Yver, au Boisney, entendit les chiens aboyer vers deux heures. Il se leva, fit le tour de la maison et ne remarquant rien d’anormal se recoucha. Lundi matin,	du train d la ligne de Montebourg à Brfélx ont déraillé e gare u Ham, dimanche soir, vers 4 heures et ont mb la voie. l a fallu près de dx heures pour etmetrer la circulation de sorte que l trn subi un rtrd assez long. Il n’y ps eu d’accidents de personnes. FRESVILLE. — Vol. — ansD la t du samedi à dimanche, M. Prr Douard, domestique chez M Y, au Boisney, entendit les chiens eboyar vers deux heures. Il se leva, ft le de la maison et ne remarquant rien d’anormal se reca Lundi matin,
maison et ne remarquant rien d’anormal se recoucha. Lundi matin, le patron constatait la disparition de 6 kilos de viande (bœuf et veau), accrochés dans un garde-manger, édifié sur piliers de maçonnerie, dans un bosquet à 20 mètres de la maison. LES GUELOGNES. — Superstition. — Un poissonnier, voyant un membre de sa famille atteint d’une maladie d’intestins, n’hésita pas à venir solliciter une jeune bonne de Montebourg (septième fille de sa famille) pour venir toucher le malade et, comme par miracle, le guérir. On accorde, dit-on, ce pouvoir à ces personnes-là. Or, le poissonnier avait mandaté la mère de	maison e ne remarquant iern d’anormal se recoucha. Lundi le paron constatait la disparition de 6 kilos de vde (bœf t veau), accrochés dans un garde-manger, dé sur piliers de oerie, dans un bosquet à 20 mètres de la msn. LES LOS. Superstition. — Un poissonnier, voyant n membre de sa famille atteint d’une maladie d’intestins, nhésita pas à venir solliciter une jn n de Monr (septième fille de sa famille) pour venir toucher e malade et, ce par miracle, l guérir. On accorde, dit-on, e pouvoir à ces personnes-là. Or, le poissonnier avait mndté la mère de
ces personnes-là. Or, le poissonnier avait mandaté la mère de la jeune bonne, mais les patrons, plus sensés, ne voulaient pas la laisser partir. Bruit, discussions, intervention de la mère, qui n’hésita pas, sous la promesse d’une bonne récompense, à faire perdre la place de sa fille. Finalement, la guérison ne s’est pas opérée et l’enfant est sans place. PICAUVILLE. — Incendie. — M. Hérault fut informé vendredi soir, par un voisin, qu’une étable bâtie dans un de ses champs pour abriter ses bestiaux, venait de brûler. Le voisin, aidé de quelques autres personnes du village, avait éteint le feu	ces personnes-là. Or, le poissonnier avait mndté la mère de la jeune bonne, mais les patrons, plus sensés, n voulaient ps la laisser partir. Bruit, discussions, intervention de la mère, qui nhésita ps, sous la promesse d’une onn récompense, à faire perdre la clpea de sa fille. Fnlmnt, la guérison ne s’est pas opérée enft est sans place. PICAUVILLE — Incendie M Hérlt fut informé vendredi soir, par un voisin, qu’une étable bâtie dans un de ses chmps pour abriter ses bestiaux, vai de brûlr. Le ,insvio aidé de quelques autres personnes du le, iaavt éteint le feu
de quelques autres personnes du village, avait éteint le feu qu’il croyait dû à l’imprudence d’enfants qui avaient rôdé par là dans la journée. L’enquête a révélé que l’un de ces enfants, Maurin Léon, dit Pérette, 10 ans, avait volé des allumettes dans une boulangerie et allumé le feu dans l’étable avec du foin, de la paille et du menu bois. Les dégâts peu considérables, 30 à 40 francs, ne sont pas couverts par l’assurance. Quettehou. — État-Civil Décès. — Du 24, Marie Gallis, 8 ans, village du Vieux Presbytère. ANNEVILLE-EN-SAINTS. — Vol de fagots. — Rentrant du marché vendredi	de quelques autres prsnns du village, avait éteint le feu qu’il croyait dû à l’imprudence d’nfnts qui avaient rôdé par là dans la jrné. ’nuêt a révélé que lun ces enfants, Maurin Léon, dit Pérette, 10 ans, avait volé des allumettes dans une boulangerie t allumé le feu dans l’étbl avec du foin, de la paille et du menu bois. Les dégâts peu considérables 0 à 40 francs, ne sont pas couverts par l’assurance. Quettehou. — État-Civil Décès. — Du 24, Marie Gallis, 8 ans, village du Vieux Presbytère. ANNEVILLE-EN-SAINTS. — Vol de fagots. — Rentrant du marché vendredi
ANNEVILLE-EN-SAINTS. — Vol de fagots. — Rentrant du marché vendredi soir, M. Lefèvre, bourrelier au Petit-Vicel, fut informé qu'une ménagère avait été vue emporter des bourrées de fagots dans son champ. Il alla voir et constata qu’il lui en manquait en effet une certaine quantité, évaluée trois francs. Il a prié la gendarmerie de bien vouloir faire une enquête pour faire cesser, s’il se peut, les déprédations de la ménagère. Arrondissement d'Avranches ETAT-CIVIL D’AVRANCHES Naissances. — Charlotte-Angèle-Marie Lépine, Boulevard de l’Est. — Auguste-Gustave-Marie Chrétienne, Boulevard du Sud. — André-Paul-François Hamel, rue Quatre-Œufs. Décès — Jeanne-Anne Bamoule, veuve James, sans profession,	ANNEVILLE-EN-SAINTS. — Vol de fagots. — Rentrant du marché vendredi soir, M. Lefèvre, bouie au Petit-Vicel, fut informé qu'une ménagère avait été vue emporter des bourrées de fagots dans son champ. Il a voir et cnstt qu’il lui n manquait en effet une certaine quantité, évaluée trois francs. Il a pré l gndrmr de inbe vouloir airfe une enquête faire cesser, s’l se pt, déprédations de la ménagère. Arrondissement d'Avranches ETAT-CIVIL D’AVRANCHES Naissances — CharlotteAngèleMarie Lépine, Boulevard de l’Est. — Auguste-Gustave-Marie htnne Boulevard du S — André-Paul-François Hamel, rue Quatre-Œufs. Décès — Jnn-nn Bamoule, veuve James, sans profession,
rue Quatre-Œufs. Décès — Jeanne-Anne Bamoule, veuve James, sans profession, 87 ans, rue des Bouchers. — Aimée-Bathilde-Charlotte Pouët, sans profession, 70 ans, rue de Lille. Séance du Mémoire d'Avranches et de Morvilliers. — La première réunion annuelle a eu lieu dans la salle des enquêtes du Tribunal d'Avranches. Etaient présents : MM. Dausse, Mauduit, Descoqs, Guéroult, Lebel, Lanos, Oberlin, Gibert, Jourdan, Desvoyes, Louvel, Lelièvre. Après avoir procédé au dépouillement de la correspondance, on a proclamé, selon les noms de nouveaux titulaires : MM. Potier de la Hors et Bellion, et d’un membre correspondant, M. le chanoine Bassebœuf, archiviste diocésain d’Angers	rue Quatre-Œufs. éès — Jeanne-Anne Bamoule, vv ae, sans profession, 87 ans, ru des Bouchers. — Aimée-Bathilde-Charlotte uë sans rofo 70 ans, rue de Li. Séance du Mémoire d'Avranches et de Mrvllrs. La première réunion nnll a eu lieu dans la salle des tnêueqse ud Tribunal d'Avranches. Etaient présnts : MM. Dausse, Mauduit, Descoqs, Guéroult Lebel, Lanos, Oberlin, Gibert, Jourdan, Desvoyes, Lou Lelièvre. Après avoir procédé au dépilemt de la crenac on proclamé, selon les noms de nouveaux titulaires MM. Potier de la Hors et Bellion, et dun membre correspondant, M. chanoine Bssbœf, archiviste diocésain d’Angers
d’un membre correspondant, M. le chanoine Bassebœuf, archiviste diocésain d’Angers et auteur d’un ouvrage très complet sur le Mont Saint-Michel. Puis on a passé à la lecture des différents travaux inscrits au programme : 1° La reconstruction des églises de l'Avranches au XVIIIe siècle, par M. Descoqs ; 2° Poésie, par M. Desvoyes ; 3° Protestation d’Ambroise Provost, conseiller et premier avocat du roi à Avranches, contre la suppression du Parlement de Rouen, par M. A. Le Grin ; 4° Études sur les œuvres poétiques de M. Paul Bouvattier, par M. E. Dausse ; 5° Les armoiries du Mont Saint-Michel,	d’un mebmre correspondant, M. e chanoine Bassebœuf, archiviste diocésain Ange et auteur d’n vrg très complet sur le Mnt Saint-Michel. on a passé à la lecture des différents trvx cs programme : 1° L reconstruction des églises d l'vrnchs au XV siècle, rap M. Dso ; 2° Poésie, par . Desvye 3° Protestation d’mbrs Prvos, conseiller t premier v d ori à Avranches, ncroet al suppression du Parlement de Rue par M. A. Le Gri ; 4° Étds sr les œuvres poétiques de M. Paul Bouvattier, par M. E. Dausse 5° e armoiries du Mont Saint-Michel,
M. E. Dausse ; 5° Les armoiries du Mont Saint-Michel, par M. le chanoine Bassebœuf ; 6° La chanson du patron Régnier, par M. A. Le Grin. Important arrêt du Conseil d’État Noire, confrère, M. Alfred Marie, rédacteur en chef de l'Avranchin, élu conseiller municipal en mai 1912, avait vu invalider son élection par un arrêté du Conseil de préfecture en date du 11 juin 1912. Il en appela au Conseil d’État et celui-ci vient de lui donner raison par un arrêt dont les motifs sont très importants à retenir. Il en résulte, en effet, qu'un électeur ou un candidat	M. . Dausse ; 5° Les armoiries du Mont Saint-Michel, par . le chanoine Bassebœuf ; 6° La chnsn du patron Régnier, par M. . Le Grin. Iarntmopt arrêt du Conseil dÉtat Noire, cnfrèr, M. Alfred Marie, rédacteur en cehf ed ranchin, élu conseiller municipal en mai 1912, avait vu invalider sn élctn par un aéêtrr du Conseil de préfecture en d du 11 juin 1912. Il en appela au el d’État t celui-ci vient de lui dnnr raison par un arrêt dont les mtfs sont très importants à retenir. l en résulte, en fft, qu'un ou un candidat
Il en résulte, en effet, qu'un électeur ou un candidat a le droit de modifier une liste et de distribuer des bulletins portant cette liste retouchée, à condition qu'il ait clairement expliqué son but. L'arrêt du Conseil d'État estime, en somme, que les électeurs sont assez intelligents pour se reconnaître dans les diverses manœuvres qui leur sont soumises. Il n’admet pas que des listes intangibles puissent abriter les opinions. Il fait confiance au corps électoral ; il le suppose instruit par les circulaires, les journaux et les affiches. Voici l’arrêté en question : REPARLIQUE FRANÇAISE Au nom du peuple Français,	Il en résulte, en effet, n électeur ou n candidat a le droit de modifier une liste t de disiber des bulletins portant cette iselt retouchée, à condition qu'il ait clairement expliqué son but. 'arrêt du leoCins d'État estime, en somme, e les électeurs sont assez intelligents pour se recnatr dans ls diverses manœuvres qui lr sont soumises. l n’dmt pas q des listes ntngbls puissent abriter les opinions. Il fait confiance u crps électoral ; il le suppose nstrt pr les circulaires, ls journaux et les affiches. cVoii l’arrêté e question RPRLQ FRANÇAISE Au nom du peuple Frnçs,
en question : REPARLIQUE FRANÇAISE Au nom du peuple Français, Le Conseil d’État statuant au Contentieux (Section spéciale du Contentieux, 3e sous-section). Vu la requête présentée par le sieur Marie Alfred, électeur dans la commune d'Avranches. Ce tendant à ce qu’il plaise au Conseil annuler un arrêté en date du 11 juin 1912, par lequel le Conseil de préfecture du département de la Manche, statuant sur les protestations formées par les sieurs Crimail et autres contre les opérations électorales auxquelles il a été procédé le 4 mai 1912, dans la commune d’Avranches, pour le renouvellement du Conseil municipal, a annulé	en question : REPARLIQUE FRANÇAISE nm du peuple Français, Le Conseil dt statuant au Contentieux (Section spéciale d Contentieux, 3e sous-section). Vu la requête présentée par le sieur Marie Alfred, électeur dans la commune d'Avranches. Ce tendant à ce qu’il plaise Conseil nnlr un arrêté en date du 11 juin 1912, par lequel le Conseil de préfecture du département de la Manche, statuant sur les protestations formées par les sieurs Crimail et autres contre les opérations écra auxquelles li a été procédé le 4 i 1912, dans la mncmoeu d’vrnchs, pour l renouvellement du Conseil municipal, a annulé
commune d’Avranches, pour le renouvellement du Conseil municipal, a annulé son élection ; Ouï M. Pinot, auditeur, en son rapport ; Ouï M. Le Soudier, avocat du sieur Marie et M. Mornard, avocat des sieurs Chevrel, Crimail et autres, en leurs observations ; Ouï M. J.M. Roussel, auditeur, commissaire adjoint du Gouvernement, en ses conclusions ; Considérant que si, sans le consentement des candidats de la liste du sieur Chevrel, le sieur Marie a, l’avant-veille du scrutin, adressé à tous les électeurs de la commune d’Avranches des bulletins présentant certains caractères d’analogie avec ceux de la liste du sieur Chevrel	commune d’Avranches, pour le renouvellement du Cnsl municipal, a annulé son iloécetn ; Ouï M. Pinot, dtr, en son rapport ; Ouï M. Le Soudier, avocat ud sieur Marie et M. r,nMardo vct des sieurs Chevrel, Crimail et trs, en leurs observations Ouï M. J.M. Roussel, auditeur, commissaire adjoint du Gouvernement, en ses conclusions ; Considérant que si, sans le consentement des candidats de la liste du sieur Chevrel, le sieur Marie a, l’avant-veille du scrtin adressé à tous les électeurs de la commune d’Avranches des bulletins présentant certains caractères d’analogie avec ceux de la liste du sieur Chevrel