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Rédacteur en Chef, Rue de France, 9 (Maison Monti) Téléphone 0-85. L'Echo du Soir est désigné pour l’insertion des annonces légales et judiciaires. On s’abonne dans tous les bureaux de poste sans augmentation de prix Tout ce qui concerne l'Administration devra être adressé à MM. Jules CARBONNEL & P. POMPEANI, Imprimerie Centrale, Place Bélisaire et Rue Cahoreau, pa! — Téléphone 0-86. blés, il ne faudra pas s’attendre à autre chose. Henry LEDUFL « parce que le défunt n’avait pas qualité pour rédiger son acte de décès, » Remarquez la nuance : « n’avait pas qualité ! » C’est bien administratif.
Rédacteur en Chef, Rue de France, 9 (Maison Monti) Téléphone 0-85. L'Echo du Soir est désigné pour l’insertion des annonces légales t judiciaires. On s’bnn dns tous les bureaux de poste sans augmentation de prix Tout c qui nrenccoe l'Administration devra être adressé à MM. Jules CARBONNEL & . POMPEANI Imprimerie Centrale, alcPe Bélisaire et Rue Cahoreau, pa! — Téléphone 0-86. blés, il ne faudra s’attendre à autre chose. Henry LEDUFL « parce que le défunt n’avait pas qualité pour rédiger o acte ed décès, » Reaz la nunaec : « n’avait ps alit ! » C’est bien administratif.
: « n’avait pas qualité ! » C’est bien administratif. Il y a longtemps qu’on a dit et écrit que les français sont des sots, qui aiment bien se payer de mots. La Chambre, qu’un souffle de pudibonderie traverse de temps en temps voulut montrer que cette opinion n’est que trop justifiée et, encouragée par M. Dubief, ministre de l’Intérieur, elle a réprouvé la candidature officielle. C’est puérile et ce serait insensé, si cela pouvait avoir quelque importance. C’est surtout très mal connaître les hommes en général, les Français en particulier et les politiciens plus spécialement encore. Les élections, sauf
: ’avait pas qualité ! » C’est bien administratif. Il y a longtemps quon a d et écrit que es français sont des sots, qui eaitmn bien se payer de mots. La Chambre, q’n souffle de pdbndr traverse de temps n temps voulut montrer q ctt iin ’est que trop justifiée et, encouragée pr M. Dubief, ministre de l’Intérieur, elle réprouvé la uctdraeiadn officielle. C’est puérile et ce serait insensé, si cela pouvait avoir quelque importance. C’st utu très mal connaître les hommes en général, les Français en particulier et les politiciens spul spécialement encore Ls éolscin,et sauf
particulier et les politiciens plus spécialement encore. Les élections, sauf de très rares exceptions, se font sur la question de parti : qu’il s’agisse du parti modéré, du parti radical ou du parti socialiste, depuis M. Méline jusqu’à MM. Bourgeois et Brisson, la faction qui détient le pouvoir au moment de la consultation du suffrage universel est obligée de lutter, de soutenir énergiquement tous ses candidats, si elle ne veut que les rênes du gouvernement lui échappent. C’est le struggle for life de la politique et, dans l’ardeur de la lutte, les notions d’équité, de justice se dissipent si bien
particulier et les politiciens spécialement encore. Les élections, sauf de très rares xcptns, es font sur l question de parti : qu’il s’gss du parti modéré, u parti radical ou du parti socialiste, depuis M. Méln jusqu’à MM. Bourgeois t Brisson, l faction qui détient le pouvoir au moment de la consultation du suffrage universel est obligée d lutter, de soutenir énergiquement tous ses candidats, si elle veut que les êes du gouvernement lui échappent. C’est le strggl for life ed la politique et, dans l’ardeur de la lutte, les notions d’équité, de justice se dissipent si bn
lutte, les notions d’équité, de justice se dissipent si bien qu’il n’y a plus place que pour la violence et l’arbitraire. En se défendant, on est fatalement amené à se servir de toutes les armes qu’on trouve sous sa main. Si l’on se place au point de vue purement spéculatif, le gouvernement ne doit se composer que d’hommes planant au-dessus des querelles de partis. Mais ce n’est là qu’une théorie, que nul ne peut appliquer, s’il ne veut pas être débarqué par les meilleurs de ses soutiens de la veille. En politique, l’impartialité c’est le suicide. Confiez au plus ponctuel
lutte, ls notions d’équité, de justice se sitnipdse si bien q’l n’y plus place que pour la violence et l’arbitraire. En se défendant, on est ftnt mné à se servir de toutes les armes qu’on trouve sous sa main. Si l’on se place point e vue purement spéculatif, le gurnment ne doit se composer que ’hommes planant au-dessus des querelles de partis. Mais ce n’est là qu’une thér, que nul ne peut appliquer, s’il ne veut pas être débarqué par les meilleurs de ses soutiens de la veille. En iiol,qtupe limpartialité ’est le suicide. Confiez au plus pe
En politique, l’impartialité c’est le suicide. Confiez au plus ponctuel de nos Pandores une bonne carabine chargée à douze coups avec mission de la remettre à une personne déterminée et défense expresse de s’en servir, quoi qu’il arrive. Que des brigands attaquent en route le scrupuleux Pandore et celui-ci oubliera la consigne pour ne songer qu’à se défendre. Nos hommes politiques sont loin d’avoir des principes aussi fermes et vous voudriez qu’ayant tout en mains pour attaquer et se défendre, ils supportent l’inaction et acceptent la défaite, qui serait alors fatale. Non, qui veut faire l’ange, fait la bête. Tant
En pltq, l’impartialité c’est le scd. Confiez au ls ponctuel de nos Pandores une bonne carabine chargée à dz coups avec mission de la remettre à une personne dtemié et défns expresse de ’n servir quoi qu’il arrive. Que ds dagbrisn attaquent otrue le scrupuleux nrPaedo t celui-ci oubliera la consigne pr ne songer qu’à se défendre. Nos hommes politiques sont loin d’avoir des principes aussi fermes et vous voudriez qu’ayant tout en mis pour attaquer t se défendre, ils supportent l’nio et epet la déft, qui serait alors fatale. Non, qui veut fr l’ange, ft la bête. Tnt
fatale. Non, qui veut faire l’ange, fait la bête. Tant que les hommes seront gouvernés par leurs souvenirs, le « Cri de Paris » conte une anecdote qui témoigne d’une vraie bonté chez le nouveau président. M. Frirêres était garde des sceaux, et en cette qualité, il présida à certain soir le banquet annuel des notaires, car pour être notaire, on n’en aime pas moins à banqueter, surtout sous la présidence d’un ministre. Ayant, au cours du repas, eu l’occasion de glisser la main dans la poche de son gilet, M. Frirêres, sans y prendre garde, fit tomber quelque chose
fatale. Non, q veut fr l’ange, fait la bête. Tant que les hommes seront gouvernés par lrsue souvenirs, le Cri de aris » conte une anecdote qui témgn d’une vraie bonté chez le nouveau président. M. Frirêres était garde des sceaux, et en cette qualité, il présida à certain soir le bnqt annuel des notaires, cr pour être notaire, on n’en aime pas moins à banqueter, surtout sous a présidence ’un ministre. Ayant, au cours du repas, eu l’ccsn de glssr la main dans la poche de son gilet, M. Frirêres, sans y prendre garde, fit tomber quelque chose
M. Frirêres, sans y prendre garde, fit tomber quelque chose qui roula sur le sol. Son voisin, qui était alors un des plus hauts fonctionnaires de Paris, et qui, après avoir été quelque temps député, vient d’être nommé sénateur, s’aperçut du fait et, se penchant à l’oreille de M. Frirêres, lui dit : — Monsieur le ministre, je crois que vous avez laissé tomber une pièce de quarante sous. M. Frirêres fit un geste insouciant, puis, avisant le garçon qui passait près de lui et qui le servait fort discrètement, il lui souffla : — Quand je me lèverai, vous
M. Frrêrs, sans y prendre garde, fi tomber quelque chose qui roula sur le sl.o o vsn, qui était alors un des ts fonctionnaires de Paris, et qui, après voir été quelque temps député, vient d’être onmém sénateur, ’aperçut du fait et, es penchant à l’oreille de . Frirêres, li dit — eironMsu le rst,inime je crois que vous avez laissé tomber une pièce de quarante sous M. Frirêres t un geste insouciant, ps, avisant le garçon qui passait près de lui et qui le servait fort discrètement, il lui souffla : — Qnd je lèverai, usvo
il lui souffla : — Quand je me lèverai, vous trouverez à ma place une pièce de deux francs; ne la laissez pas perdre. Mais, pendant la suite du banquet, M. Frirêres réfléchit qu’il ne mettait d’habitude dans la poche du gilet où il avait fouillé que la monnaie de billon, que, par conséquent, il n’avait pu en faire tomber la moindre pièce d’argent, et que le garçon aurait une déception cruelle; et, soudain, le haut fonctionnaire le vit mettre la main dans l’autre poche de son gilet, la poche à l'argent, en tirer une pièce de deux francs et,
i lui sufa : — Quand je m lèverai, vous trouverez à ma place une pièce de dxeu francs; ne la laissez pas perdre. Mais, pendant la suite du banquet, M. Frirêres réfléchit qu’il ne mettait d’habitude dns la poche du gilet où il avait fouillé que la mnn de billon, que, arp cnséqnt, il n’vt pu en faire tomber la moindre pie d’argent, et que le garçon aurait une déception cele; et, soudain, l haut fonctionnaire le vt mttr la main dans l’autre poche de son gilet, la poche à 'argent, en tirer une pèc de xeud francs et
à l'argent, en tirer une pièce de deux francs et, en doucement, la laisser glisser le long de son corps, jusqu’à terre, afin que le domestique trouvât bien l’aubaine promise... n imbécile. Au retour de la cérémonie des Jardies, un assistant racontait une anecdote qui remonte à la prime jeunesse de Gambetta. Le futur homme d’État était alors attaché en qualité de deuxième ou troisième secrétaire à un avocat marseillais. Un client, venu exposer une affaire et demander conseil, ne rencontrant pas le cher maître », s’entretient avec Gambetta. Celui-ci prend feu et flammes, déclare la cause excellente, jure qu’elle
à l'argent, en tirer une pièce de deux francs et, en doucement, a laisser glisser le long de son corps, jusqu’à terre, afin que le domestique trouvât bn l’aubaine promise... n imbécile. Au retour d a cérémn des Jrds, un assistant racontait une ncdt qui remonte à l prime euss de Gambetta. Le futur homme ’État était raslo attaché en qualité de deuxième ou troisième secrétaire à un avocat marseillais. U client, venu exposer une ffr et demander conseil, ne rencontrant pas le cher maître », s’entretient vc Gambetta. Celui-ci prend feu t flammes, déclare la cs cllnte, jure qu’elle
prend feu et flammes, déclare la cause excellente, jure qu’elle est gagnée d’avance. La plaignante se retire enchantée. Le lendemain, il revient et, plus heureux, est introduit chez le « patron ». — Hum ! fait celui-ci, votre affaire ne se présente pas bien, — Comment ! exclame l’autre. Mais votre secrétaire se dit certain de la victoire ! — Peut-être Gambetta ?... C’est un petit imbécile. Ainsi engagé, le procès fut perdu. N’empêche que le jugement de l’avocat — son jugement sur Gambetta — a été révisé depuis lors par l’histoire. e mort qui écrit. Vous connaissez sans doute
prend uef te flammes, déclare la cause excellente, jure qu’elle est gagnée d’avance. L plaignante se eerirt tahcée.nen L lendemain, il revient et, plus heureux, est ntrdt chez le « patron ». — Hum ! fait celui-ci, votre affaire ne se présente pas in — Comment exclame l’autre. Mais votre secrétaire se dit certain de vctr ! — Peut-être abet ?... C’st un petit iméci Ainsi engagé, le procès fut perdu. N’empêche que le emet de l’avocat — sn jugement sur Gmbtt — téé révisé depuis lors ar l’histoire. mort uiq écrit connaissez sans doute
par l’histoire. e mort qui écrit. Vous connaissez sans doute l’histoire du maire d’une petite commune de France qui avait, lui-même, signé son acte de décès sur les registres de l’état civil. Oui, lui-même et voici comment : Comme il devait s’absenter, il avait apposé sa signature à l’avance sur plusieurs feuilles du registre de l’état civil. Le soir même il mourait. Force fut à l’employé d’inscrire son décès à la suite, c'est-à-dire sur une page que le défunt avait déjà signée. Il vient d’arriver plus forte épreuve en Hongrie. Stephan Thuranyi, secrétaire de mairie et chef de l’état-civil dans
par l’histoire. e mort qui écrit. Vous nae ans doute l’histoire du maire d’une petite cmmn de France qui avait luimême signé son acte de décès sur les registres de l’état civil. Oui, lui-même et voici mmnocte : Cmm il devait ’bseeras,tn il avait apposé sa signature à l’avance sur plusieurs feuilles d registre de l’étt civil. Le soir même il mourait. Force fut à l’employé d’inscrire son décès la suite, c'est-à-dire sur une page que le défunt avait déjà signe Il it d’arriver plus forte épreuve en Hongrie. Stephan Trnyi secrétaire de mairie et chef de l’état-civil dans
Stephan Thuranyi, secrétaire de mairie et chef de l’état-civil dans la commune de Kerepes, a été trouvé, à sa table de travail, la tête percée d’une balle. Le registre des décès était grand ouvert devant lui ; il avait rédigé lui-même son acte : Stephan Thuranyi, « mort d’un coup de pistolet », et il avait signé : « Chef de l’état civil ». L’administration n’a pu souffrir un pareil scandale. Le ministre de l’intérieur a fait annuler le procès verbal. La peine de mort. Les partisans de la peine de mort sont encore nombreux. Qu’ils lisent attentivement le compte
Sthan Thuranyi, secrétaire de mairie et chef de ’état-civil dans la commune de Kerepes a été trouvé, à sa table ed travail, la têt percée d’une balle. Le registre des décès était grnd ouvert devant lui il avait rédigé l-mêm sn acte : tpn Thuranyi, « mort dun cp de pistolet », et il avait ngési : « Chef de ’éat civil . L’administration n’a pu souffrir un prl ande Le ministre de l’intérieur fait annuler le procès verbal. La peine de mort. Lse partisans de la pne de mort sont encore nombreux. Qu’ils lisent attentivement le compte
de mort sont encore nombreux. Qu’ils lisent attentivement le compte rendu de l’exécution capitale sur laquelle les dépêches de Nouméa nous donnent quelques renseignements : Le bourreau fait son entrée dans sa profession. Et présence de toutes les autorités — c'est comme une grande première au théâtre — il pousse le moribond sur la planche à bascule. La tête se place dans le trou ; le couteau tombe ; il enlève une partie du cerveau. Le bourreau s’énerve ; il fait remonter le couteau, pendant que la tête s’agite et que le sang jaillit de tous côtés. La foule anxieuse
de mort sont ce nombreux. lQ’usi lisent attentivement le compte rendu de l’exécution capitale sr laquelle les dépêches de Nouméa ns donnent quelques etrseimnesngne : Le bourreau fait son entrée dans sa profession. E présence de stoute le autorités — c'est comme une grande première au théâtre — il pousse le moribond sur la planche à bascule. La tête s place dans le tr ; l couteau tombe ; il enlève une partie du cerveau. Le brr s’énerve ; il fait rmntr el couteau, ednpant que la tête s’agite et que le sang jaillit de tous côtés. La foule anxieuse
que le sang jaillit de tous côtés. La foule anxieuse suit le spectacle avec intérêt. Le couteau retombe ; il charcute un peu la tête, qui se secoue lamentablement. Le public se passionne. La guillotine se détraque et la répare. Le patient souffre horriblement. Enfin, quand la réparation est terminée, on achève de le tuer. Une scène de cette nature ne suffit-elle pas à condamner la peine de mort ? « Mot de la nuit. Le cocher du roi de Prusse l’ayant versé, le roi entra dans une colère épouvantable : « Eh bien ! dit le cocher sans s’émouvoir,
que le sang jaillit de tous ôté La foule anxieuse suit l pa avec intérêt. Le couteau retombe ; il charcute nu peu la tête, qui se secoue lamentablement. Le public se passionne. La guillotine se détraque et la répare. Le patient sffr horriblement. Enfin, quand la réparation est terminée, on achève d le tr. Uen è de cette nature ne suffit-elle pas à condamner la pn de mort « Mot de la nuit. Le cocher du oir ed Prusse l’ayant versé, le roi entra dans une colère épouvantable : « h bien ! dit le cocher sans s’émouvoir,
: « Eh bien ! dit le cocher sans s’émouvoir, c’est un malheur ! » Et vous, n’avez-vous jamais perdu une bataille ? » ACADEMIE ET CONGREGATION Êtes-vous au courant des mésaventures du Père Scheil ? C’est un excellent Dominicain qui est candidat à la chaire d’Assyriologie du Collège de France, vacante par suite de la mort de l’illustre M. Oppert. Vous me répondrez peut-être que vous n’y voyez pas d’inconvénient et que l’Assyriologie vous laisse froid. Je reconnais sans peine que l’affaire est évidemment beaucoup plus intéressante pour le bon Père, à qui elle permettrait d’emanger pour 18 060
« Eh bien ! dit le cocher sans s’émouvoir, c’est un malheur ! » tE vous n’avez-vous jamais perdu une bataille ? » ACADEMIE ET CONGREGATION Êtes-vous au courant des mésaventures du Père Scheil ? C’est un excellent Dominicain qui st candidat à l chaire d’Assyriologie du Collège de France vacante rap suite de la mort d l’illustre M. Oppert. Vous me répondrez peut-être que vous ny voyez pas d’inconvénient et que l’ssyrlg vous laisse froid. reconnais sans peine equ l’affaire st évdmmnt beaucoup l intéressante le bn Père, à qui elle permettrait d’emanger pour 18 060
bon Père, à qui elle permettrait d’emanger pour 18 060 francs au budget de cette cugueuse de République. Mais pour nous, qui ne nous occupons pas d’Assyriologie, la question se présente sous une forme plus haute et plus générale. Elle est qu’un léger incident, mais il est caractéristique, de la lutte que les moines de tout froc continuent à poursuivre contre l’esprit de la république, j'allais dire contre la République elle-même. Et c’est pourquoi je vous demande la permission de vous conter brièvement cette petite histoire : Donc, M. Oppert étant mort, les professeurs du Collège de France, puis l’Académie
bon Pre, à qui elle permettrait d’emanger pour 8 060 francs au budget de cette cugueuse de République. Mais pour nous, qui ne nous occupons pas d’Assyriologie, la utin se présente sous une forme plus haute et plus générale. Elle est u’n léger incident, mais il est caractéristique, de la lutte que les moines de tout froc continuent à poursuivre contre l’esprit de la république, j'allais dire contre la République elle-même. Et cest pourquoi je vous demande la permission de vs conter brièvement cette petite histoire : ocD,n M. pprt étant mort, les professeurs du Collège de France, ps l’Académie
étant mort, les professeurs du Collège de France, puis l’Académie des inscriptions et belles lettres, se réunirent à l’effet de désigner un successeur à proposer au choix du ministre. Ainsi le veut la tradition, je vous ferai remarquer, en passant, que je suis de ceux qui estiment cette « tradition » assez bizarre et quelque peu surannée, car chacun des professeurs en question représente une sommité scientifique dans la partie dont il est chargé, leur incompétence est généralement absolue dans les autres matières. Ainsi, actuellement, une assemblée de latinistes, hellénistes, physiciens, chimistes, mathématiciens, etc., est invitée à porter un jugement
étant mort, les professeurs du Collège de France, puis l’Académie des inscriptions et belles lettres, se réunirent à l’effet de ésger un successeur à proposer au choix du ministre. Ainsi le veut la tradition, je vous ferai remarquer, en passant, que je suis de ceux qui estiment eectt « tradition » assez bizarre t quelque peu surannée, car chcn des professeurs en snuoteiq représente une sommité sceifique dans la partie dont il est chargé, leur incompétence est généralement absolue dans les trs matières. Ainsi, ctllmnt, une assemblée de tsl,esniait hellénistes physiciens, chimistes, mathématiciens, etc., est invitée à porter un jugement
physiciens, chimistes, mathématiciens, etc., est invitée à porter un jugement sur l’Assyriologie, où la compétence de ses membres est tout simplement égale à zéro — Mais laissons là la « tradition » — j’arrive au fait. La docte assemblée se trouva en présence de trois candidats. L’un avait une soutane, les deux autres n’en avaient pas. Naturellement l’Institut jeta son dévolu sur la soutane. Cependant il y avait un certain M. Fossey, agrégé et docteur ès-lettres, ancien élève de l’Ecole Normale supérieure et de l’Ecole d’Athènes qui a passé plusieurs années en Syrie et qui a écrit une demi-douzaine d’ouvrages
physicis chimistes, mathématiciens, ce.,t est invitée à porter un jugement sur l’Assyriologie, où la compétence de ses membres est ttou smplmnt égale à zér — Ms oslnisas là la « tradition » j’rrv au fait La docte assemblée se trouva en présence de trois candidats. Lu avait une soutane, le u autres n’en avaient pas. ltartmneeuleN l’Institut jeta son dévolu sur la soutane. Cpnaendte il y itvaa n certain M. F agégé et docteur ès-lettres, ancien élève de l’Ecole Normale suue et de l’Ecole d’Athènes qui a passé plsrs années en Syrie et qui écrit une demi-douzaine d’ouvrages
années en Syrie et qui a écrit une demi-douzaine d’ouvrages luvers tellement estimés par les assyriologues. Mais notre Académie ne s'embarassa pas pour si peu ! Et elle choisit d’emblée le Révérend Père, célèbre surtout par des fausses traductions, au moyen desquelles il essaie de confirmer le texte de la Bible, à laquelle il a entrepris de donner une valeur historique. Cela lui a d’ailleurs valu quelques avatars fameux, en particular celui qui lui fut récemment infligé par un savant anglais, M. King, qui établit d’une manière irréfutable les erreurs du P. Scheil, et osa traiter les traductions de «
nnés n Syrie et qui a écrit un demi-douzaine rae luvers tellement estimés par les ssyrog Mais ntr Académie n emaas pas pour si peu ! Et elle choisit d’emblée le Révérend Père, célèbre srtt par des fausses traductions, moyen dsqlls il essaie de confirmer le texte d la Bible, laquelle l a entrepris de donner une valeur historique. Cela lui a d’ailleurs valu lsuueeqq avatars fameux, en particular celui uiq lui fut récemment infligé par un savant anglais, M. ing qui établit d’une manière irréfutable els rrrs d P. Scheil et osa traiter les traductions d «
du P. Scheil, et osa traiter les traductions de « fantaisies dominicaines », Au demeurant, M. Oppert lui-même, le seul professeur du collège de France, comptant (nîl’espèce, appréciait ainsi l’œuvre du R.Père : « Les travaux du P. Scheil sont d’un imposteur ou d’un ignorant », Voilà assurément une belle préface à une candidature de successeur ! Mais encore une fois, M. Oppert est mort, et il est assez naturel, n’est-ce pas, que ses anciens collègues, qui ne savent pas un mot d’assyrien, ne lui demandent pas son avis, et même qu’ils soient d’un avis diamétralement opposé. Mais ce qu’il
du P. Scheil, et osa traiter les traductions d « fantaisies dominicaines », Au demeurant, M. Oppert lui-même, le seul professeur du collège de France, comptant (nîl’espèce, appréciait ainsi l’œuvre du R.Père : « Les travaux du P. Scheil sont d’un imposteur ou d’un ignorant » Voilà assurément une belle préface à candidature de successeur ! Mais encore une fois, M Oppert ets mort, et il est assez ntrl, ’est-ce pas, que ses anciens collègues, qui ne savent pas un mot d’assyrien, ne lui demandent pas son avis, et mêm qu’ils oint d’un avis diamétralement opposé. Mais ce q’l
même qu’ils soient d’un avis diamétralement opposé. Mais ce qu’il y a de plus amusant, c’est que c’est au nom du libéralisme que l’académie prétend légitimer son choix. Car il paraît que le libéralisme exige que l’on confie une chaire du collège de France à un dominicain. Voilà un monsieur qui n’a pas le droit d’écrire une ligne qui ne soit préalablement approuvée par le général des dominicains. Il a juré de rester le fils de Saint-Dominique, dont le rôle « libéral » dans l’Inquisition est trop connu pour que nous ayons besoin de le rappeler ici. Cela donne une
même q’ls soient d’un avis diamétralement opposé Mais c qu’il y a de plus amusant, c’st que c’est au nom du libéralisme que ’académie prétend légitimer son choix. Car il paraît que le libéralisme exige que ’ confie eun chaire du collège de France à un dominicain. Voilà un monsieur qui n’a pas le droit d’écrr une ligne qui ne st prélblmnt approuvée par le général des dominicains. l a jré de rester le fils de Snt-Dmnq, dont e ôe « aléiblr » nasd l’Inquisition est trop cnn pour que nous ayons besoin d l rappeler ici. Cela donne une
nous ayons besoin de le rappeler ici. Cela donne une belle idée de l’impartialité historique de son fils « intégral » surtout dans une matière qui touche de si près à l’exégèse biblique. Oui, c’est sous couvert de « libéralisme » (dans le sens romain) que l’on nous propose d’enlever le collège de France, avec des cambrioleurs de textes anciens ! Il fallait s’y attendre. Ah ! vous prétendez interdire aux ecclésiastiques l’enseignement primaire, secondaire, et même supérieur ! Attendez un peu ! On va vous coller un moine — et un sérieux ! au collège de France ! Et
nous yns besoin de le rappeler ici. Cl donne uen belle idée de l’impartialité historique de son fils « intégral tut dans une rmtaèei qui touh de si près l’xégès biblique. , c’est sous couvert de « libéralisme » (dans le sens ra) que l’on nous propose d’enlever le collège d Frnc, avec des cambrioleurs de tsxete cin ! Il fallait sy attendre. h ! vous prétendez interdire x eciiqes l’enseignement primaire, secondaire, et même supérieur ! Attendez un p ! n va vous coller un n — te un sérieux ! au collège de France ! Et
et un sérieux ! au collège de France ! Et même, comme l’a spirituellement fait remarquer G. Téry, il n’y a qu’une chose à regretter, c’est que l’on ne puisse pas les introniser solennellement dans la chaire de Renan. Voilà le dernier moyen inventé par les « libéraux » de l’Académie pour la terreur de l’université. Il consiste à congréganiser le collège de France. Et il se trouve des républicains, à commencer par Clémenceau, qui poussent le sectarisme jusqu’à ne pas approuver le procédé ! Et ils ont le mauvais goût de prétendre que si on a ôté la parole
t un sérieux ! au collège de France ! Et même, comme l’a spirituellement fait erreqrmau G Téry, il n’y qn’ueu chose à regretter, c’est q l’on ne puisse p les introniser onelemen nsda l chair de Renan Voilà le i moyen nniéevt apr les « lib » de l’Académie pour la terreur de luniversité Il nse à congréganiser le collège de France. Et il es trouve ds républicains, à commencer apr lenceu uqi us le sectarisme jusqu’à ne pas approuver le procédé ! Et ils ont le mauvais goût de prétndr q si on a ôté la parole
goût de prétendre que si on a ôté la parole aux moines fanatiques qui prêchaient un peu partout la croisade contre la République, ce n’est pas pour les inviter à recommencer leurs sermons dans les chaires du Collège de France ! Et ils ont l’impertinence d’affirmer que les Révérends Pères, même Dominicains, ne sont pas les mieux qualifiés pour laïciser notre enseignement supérieur ! L’affaire en est levée. Il appartient au ministre de l’Instruction Publique de tirer les conclusions. Mais que dites-vous de la manœuvre dominicaine ? Vraiment ces gens-là ne doutent de rien ! Leurs prétentions sont illimitées comme
goût de prétndr que si on ôté la parole aux moines fanatiques qui prêchaient un peu partout la croisade cntr la République, ce n’est pas pour les inviter à recommencer leurs sermons dans les ershica du Collège de France ! Et ils ont l’impertinence d’affirmer que les Révérends ,èsePr même Dominicains n sont pas les mieux qualifiés pour laïciser notre enseignement supérieur ! L’affaire en est levée. Il appartient au ministre de l’Instruction Publique de teirr les conclusions. Mais que dites-vous d la manœuvre dominicaine ? Vraiment gens-là ne doutent de rien ! Leurs prétntns sont illimitées comme
ne doutent de rien ! Leurs prétentions sont illimitées comme leurs appétits sont insatiables. Ils demandent toujours, et si on leur refuse, ils crient à la persécution. Ils ne se tiennent jamais pour battus. On les chasse par la porte. Ils essaient de rentrer par la fenêtre et pour s’installer aux premières loges, s’il vous plaît ! Le gouvernement les laissera-t-il faire ? Il y a quelque temps que la presse républicaine, appuyée par nombre d’universitaires, et non des moindres, tels MM Aulard, Biran, Louis Havet, etc, a posé la question. Nous attendons la réponse du ministre. Nous rappelons cependant
ne doutent de rien ! Leurs préentos sont illimitées comme leurs appétits sont insatiables. Ils demandent toujours, et si no leur refuse, ils crient à la persécution Ils ne tiennent ma pour ts. On les chss par a porte. Ils staenise de rentrer par la fenêtre et pour s’installer aux premières lgs, s’il vous plaît ! Le gouvernement les laissera-t-il faire ? Il y a quelque temps que la presse républicaine, appuyée par nombre d’nvrstrs, et non des moindres, tels MM Aulard, Biran, Louis Havet, etc, a posé l qstn. Nous attendons la répns du ministre. ous rappelons cependant
question. Nous attendons la réponse du ministre. Nous rappelons cependant que ce n’est pas la première fois qu’un pareil fait se produit. Il y a deux ans, le Collège de France proposa l’abbé Chabot comme professeur d’arménien. Malgré la mobilisation de toute la Congrégation — pardon, de l’Académie — M. Chaumier refusa de faire cette nomination. Nous espérons que l’espit laïcateur de M. Bienvenu Martin, radical, ne sera pas inférieur à celui de M. Chaumier. DIOGÈNE. N. D. L. R. — L’article de notre correspondant était écrit, quand nous apprîmes l’échec du R. P. Scheil ; c’est M Charles Fossy
qstn. Nous attendons la réponse du ministre. Nous rappelons cependant que ce n’est pas la première fois qu’un pareil fait s produit. Il y a deux ans, le Collège de nce proposa l’abbé Chabot comme professeur d’am. Malgré la mobilisation de toute la Congrégation — pardon, de l’Académie — M. Chaumier refusa de fe cette nomination. Nous espérons q l’espit lïctr de M. Bienvenu Martin, radical, ne sera pas inférieur à celui de M. Chmr. DIOGÈNE. N. D. L. R. — L’article de notre correspondant étt écrit quand nous apprîmes l’échec d R. P. Schl ; c’est M Charles Fossy
l’échec du R. P. Scheil ; c’est M Charles Fossy qui succède à M. Oupert à la chaire d'apothéiologie. Nous sommes heureux — et notre correspondant partagera notre plaisir — de ce choix qui donne satisfaction à l’esprit républicain. LES ESPAGNOLS L'Espagne est très en vue en ce moment, au moins géographiquement, à cause de la conférence d'Algesiras, qui est, comme on sait, au centre d'une très grosse affaire européenne. Mais autre chose encore, dans la péninsule ibérique, mérite l’attention : c’est le vieux drame douloureux des destinées intérieures de l’Espagne qui continue. Il est dit que ce noble et
l’échc du R. P. Scheil ; c’est M Chrls Fossy qui sccèd M. teOupr à la air d'apothéiologie. Nous sommes heureux — et treon correspondant partagera notre plaisir — d ce choix qui donne satisfaction à l’esprit pbli LES ESPAGNOLS L'spgn est très en v ce moment, au moins géographiquement, à cause de la conférence d'Algesiras, qui est, comme on sait, au centre d'une très grosse affaire n.eoeuenrép Mais autre chose encore, dns la péninsule ibérique, mérite l’attention c’est le vieux drm doueux des destinées intérieures de lEspagne qui continue. Il est tdi que ce noble t
l’Espagne qui continue. Il est dit que ce noble et infortuné pays sera toujours, toujours, la proie de l’inquisition ou du pronunciamento. L'Espagne n’a pas le choix. Elle est toujours l’esclave du soldat ou du moine. Et bien à tort j’emploie la disjonctive; en réalité, la tyrannie du soldat et celle du moine, en Espagne, c’est la même chose, c’est le même fait, sous une face différente, issu de la même mentalité atavique, dérivant de la même fatalité historique. Aujourd’hui, c’est le militarisme proprement dit qui tient la corde et qui est en scène de l’autre côté des Pyrénées... Mais
l’Espagne qui continue. Il est dit que ce noble et infortuné pays sera toujours, toujrs la i de l’inquisition ou du pronunciamento. L'Espagne ’ le choix. Elle est toujours l’esclave du soldat ou u moine. E bien à tort j’emploie la disjonctive; en réalité, la tyran du soldat et cll du ie en Espagne, cest la même chose, c’est le même fait, sous une face différente is de la même laménteti atavique, dérivant de la même ftlté historique. Aujourdhui c’est le mliais proprement dit qui tient l corde et qui st en scène de atr côté des Pyrénées Mais
qui est en scène de l’autre côté des Pyrénées... Mais toutes les sympathies cléricales lui sont acquises; on peut en être certain. Les émeutes de Barcelone sont le prétexte, certainement plus encore que la cause, du déchaînement des colères prétoriennes. Les généraux veulent mettre la main sur les quelques garanties données à l’esprit civil et à la liberté par la Constitution actuelle ; ils veulent reprendre au pays ce qui lui reste du peu de réformes conquises au prix de tant de révolutions. Invoquant la nécessité de réprimer les attaques contre l’armée et la patrie, les nationalistes espagnols, j’entends les
qui st en scèn ed l’autre côté es Pyrénées... Mais toutes les sympths cléricales lui snt acquises; on pt en être certain. Les émeutes de Barcelone sont le prétexte certainement pls ncr que la cause, du déchaînement des cors prétrnns. Les généraux veulent mettre la main sur les quelques gaani données à l’esprit civil et à liberté par la Constitution actuelle ; ils vlnt reprendre au pays ce qui lui reste du peu de réformes conquises au prix de tant de révolutions. Invoquant a nécessité de réprimer lse attaques onrcte l’armée et la patrie les nationalistes espagnols, j’entends les
contre l’armée et la patrie, les nationalistes espagnols, j’entends les nationalistes à grand plumage, se sont mis en tête d'enlever aux tribunaux civils la connaissance des délits de presse pour la transférer aux conseils de guerre... simplement. Les généraux espagnols veulent Ça ne se colle pas encore tout à fait. L’élément civil a des pudeurs et des révoltes que ne connurent pas M. Méline et ses amis quand le sabre essaya chez nous, de s’insurger contre la justice, de supprimer les garanties de la loi et d’étouffer le droit de la défense. Le chef actuel du ministère, M. Moret, a
contre l’armée et la te ls ontes spgnls, j’entends les nationalistes grand p, se o mis en tête d'enlever aux tribunaux cvls la conisnc des délits ed pesrse urpo la transférer ax conseils de re.. simplement. Ls généraux espagnols veulent Ça se colle pas encore tout à fait. L’élément civil a des pudeurs et des révoltes que ne connurent pas M Méline et ses amis quand le sabre essaya chz nous, ’insurger contre al justice, de supprimer les grnts de loi et eu’frétdof e droit de la éfse e chf actuel du ministère, M. Moret, a
la défense. Le chef actuel du ministère, M. Moret, a refusé de se prêter au coup d’État contre la presse, qui, selon toute apparence, si l’on n’y met bon ordre et promptement, deviendra le coup d’État proprement dit. Il a saisi les Cortès du différend entre les deux pouvoirs. Le geste est relativement énergique mais cela ne veut pas dire, malheureusement, que force restera à la loi civile, à la loi libérale. Déjà l’on s’apprête à faire des concessions importantes à l’armée : un nouveau projet s’élabore, visant les attaques contre « l’armée et la patrie », qui rendra la
la défense. Le chef actuel du ministère, M. Moret, refusé de se prêter au coup d’État contre a presse, qui selon toute apparence, si l’on n’y m bon ordre et promptement, deviendra le coup d’État prprmnt dit. Il a saisi ls Crtès du eéfnfdird entre les dx pouvoirs. Le geste est relativement énergique mais cela ne veut pas dire, malheureusement, q force restera à l loi civile, à la loi libérale. Déjà l’on apr à des concessions minpteoatrs l’armée : un nouveau projet r’eéla,bos visant les ttqs contre « l’armée t la patrie », qui rendra la
contre « l’armée et la patrie », qui rendra la répression plus rapide et plus sévère ; les libéraux consentent à l’adjonction d’un rapporteur militaire aux membres ordinaires des tribunaux... et les grands chefs ne sont pas encore contents. L’attitude prise à Barcelone par le général Lucque — successeur non atténué, plutôt aggravé, de Weyler — commence à donner de sérieuses inquiétudes ; il a des airs qui font penser aux débuts de Prim. On craint le retour de l’éternel fléau : le pronunciamento. Voilà où en est l’Espagne. Voilà où nous en serions nous-mêmes si l’énergie républicaine n'avait pas
contre « l’armée et l patrie », qui rendra la répression plus rapide et plus sévère e libéraux consentent à l’adjonction d’un rapporteur militaire aux membres ordinaires des trbnx... et les grands chefs ne snt asp encore cntnts. L’attitude prise à arclo par le général Lucque — successeur nn atténué, pltôt aggravé, de Weyler — commence à donner de sérss inquiétudes ; il a ds rais qui font penser aux débts de Prim. n craint le retour de l’éternel fléau : le pronunciamento. Voilà ù en est l’Espagne. Voilà où nous en osmême si l’énergie répblcn n'avait pas
où nous en serions nous-mêmes si l’énergie républicaine n'avait pas à temps repris le dessus et muselé les passions césariennes ! Voilà où nous en serions, si nous avions laissé plus longtemps le pouvoir aux maires des dégénérés et des trembleurs, qui, à force de tergiversations et de reculements, sont devenus des transfuges et des renégats. CYRANO, Une Œuvre Intéressante CRÉATION d’un Dûment longtemps, on s’est occupé chez nous de la création d’une station estivale qui, en mettant un frein à l’écoulement des algériens se produisant périodiquement et contre lequel on protestait énergiquement, permettrait de rendre aux malades leurs forces
où nous en serions nousmêmes si l’énergie républicaine n'avait pas à ems repris l dessus t muselé les passions césariennes ! Voilà où ns en serions, si nous vns laissé plus longtemps le pouvoir x maires ds dégénérés et des rl,bstemuer qui, à force de tergiversations et de reculements, sont devenus des transfuges et des renégats. CYRANO, Ue Œuvre Intéressante CRÉATION dun Dûment longtemps, on s’est occupé chez nous de la création ’une sttn estivale qui en mettant frein l’écoulement des algériens es prian périodiquement te contre lequel on protestait énergiquement, permettrait de rendre aux malades leurs forces
on protestait énergiquement, permettrait de rendre aux malades leurs forces disparues. Soit que l’on n’ait pas trouvé jusque-là d’endroit propice, soit désintéressément d’une question qui semblait une utopie, la campagne poursuivie n’avait pas eu de résultats ; chaque année, à l’approche de l’été, les Compagnies Transatlantiques emmenaient vers les rives françaises une grande quantité de gens, malades ou non, allant demander à la Métropole l’asile ou la facilité des soins. Aujourd’hui, la question semble être résolue. Grâce à l'initiative de personnalités dévouées à une œuvre particulièrement intéressante, l'exode des malades donnant l’été leur touche à la fin. Dans une brochure,
on protestait énergiquement permettrait rndr aux malades leurs fres sur.asdiep Soit que lon n’ait pas trouvé jusque-là d’endroit propice soit désintéressément du question qui semblait une utopie, campagne poursuivie n’avait pas de résultats ; chaque année, à l’approche e l’été, les Cmpgns anatntqu emmenaient vers les rives françaises une grande quantité de gens, malades ou non, allant demander à la Métropole l’asile ou la facilité des soins. Aujourd’hui, la neusqtoi semble résolue. Grâce à inititive de personnalités dévouées à enu œuvre particulièrement intéressante, l'exode des mlds donnant l’été leur touche l fin. Dans n brochure,
donnant l’été leur touche à la fin. Dans une brochure, conçue dans un très grand esprit, le sympathique inspecteur des Enfants Assistés, le Docteur Purrey, prouve d’une façon absolument décisive qu’on peut trouver dans nos départements ce que nos concitoyens vont chercher en France ; il montre l'utilité des sanatoria et les services qu’ils rendent en Algérie ; et cela ne coûte d’aucun tant plus intéressant à étudier, du « Docteur Purrey, que si une solution pratique est trouvée, on aura fait une œuvre charitabile et humanitaire. Non pas seulement en évitant des voyages pénibles aux gens capables de les
donnant ’t leur touche à la fin. Dans une rchre, conçue nsad un très grand esprit, le sympathique inspecteur eds Enntfas Assistés, le Docteur Prry, prouve d’une façon absolument décisive qu’on peut trouver dans nos départements ce que nos tcyoenincos vont chercher e France ; il montre l'utilité des ania et les services qu’ils rendent en Algérie ; et cela ne octeû du tant plus intéressant à étudier, du « Docteur Purrey, que si une solution pratique est trouvée, n aura fait une œvr charitabile et humanitaire. Non pas seulement en évitant des voyages pénibles aux gens apbs d les
en évitant des voyages pénibles aux gens capables de les payer ; mais aussi, mais surtout, en donnant les éléments nécessaires au rétablissement de leur santé à une foule de gens ou pas fortunés qui, ne pouvant aller en France, se trouvent condamnés à la maladie, faute d’un sanatorium algérien. « C’est donc une œuvre essentiellement démocratique que celle de la découverte et de la mise à la disposition du public d'une station convenable, permettant de supporter les grandes chaleurs sans être anéanti, pouvant servir de lieu de convalescence et remettre des forces à ceux qui les ont déjà perdues.
en évitant des gyovesa pénbls aux gens capables de les payer ; mais aussi, mais stut, en dnnnt les éléments nécssrs au rétablissement de leur santé à une fl de gens ou pas fortunés qui, ne pvnt aller en France, se trouvent condamnés à la maladie, te dun sntrm algérien « C’st donc une œuvre essentiellement démocratique que celle de la décvrt et de la mise al disposition du public ud'en station coenal permettant de supporter ls grandes chaleurs sans être anéanti, pouvant srvr de lieu de convalescence et remettre des forces à cxue q les ont déjà perdues.
remettre des forces à ceux qui les ont déjà perdues. » Après une très savante analyse des moyens d’action et des conditions climatiques des lieux, marins ou terrestres où l’atmosphère maritime accomplit une véritable régénération physique chez les anémiés, rachitiques, tuberculeux ou autres — et sans une montagne, où l’action n’est pas moins énergique, le Docteur Purrey, envisage la question de savoir si nous n’avons pas la facilité en Algérie, de créer des Sanatoria : répondant par l'affirmative, il montre qu’en Algérie, ou plutôt dans le département d'Oran, il existe un centre qui réunit la double condition de maritime et
remettre des forces à ceux qui les nt déjà perdues. » Après une très savante analyse des moyens d’action et des conditions climatiques des lieux, marins ou terrestres ù l’atmosphère imtaremi accomplit une véritable régénération phyiue chez les anémiés, raciue, tuberculeux ou autres — et sans une montagne, ùo l’action n’est a mns énergique, le Docteur Purrey, envisage la uetio de r si nous ’onnsav pas la facilité en Algérie, d créer des Sanatoria : répondant par l'affirmative, il montre qu’en Algérie, ou plutôt dans le département d'Oran, il existe un cntr q réunit l double condition ed maritime et
un centre qui réunit la double condition de maritime et de montagne, c’est Bugeaud. Bugeaud, station située à 15 kilomètres de Bougie, par son sol essentiellement permeable, par l’air rendu plus pur, « par le rideau des forêts qui l'entourent et qui est un véritable filtre atmosphérique » par l’absence de bruit, de boue et de mouillage, réalise souverainement les conditions exigées ; de plus l’expérience a montré que : « L’impaludisme est merveilleusement guéri par le séjour à Bugeaud. Il n’y a pas de malarias parmi les habitants de la contrée. Ceux qui y vivent du dehors voient, sans
un centre qui réunit l obl cndtn de maritime et de mntgn, c’est Bugeaud. Bugeaud, sttn située à 15 kilomètres de Bougie, par son sol essentiellement permeable, pr l’air rendu plus pur, « apr le rideau des forêts qui l'entourent et qui est un véritable filtre atmosphérique par l’asnce de bruit, de boue t de mouillage, réalise souverainement les conditions xgés ; de plus l’pérnc a montré q L’impaludisme est merveilleusement guéri par le séjour à Bugeaud. Il n’y a pas de malarias parmi les habitants e la contrée. C qui y vivent du dhrs voient, sans
la contrée. Ceux qui y vivent du dehors voient, sans médication spéciale, leurs accès de fièvre disparaître, l’appétit, la digestion se rétablir, le foie, la rate diminuer de volume et la force, la santé remplacer la cachexie. Ces résultats sont dus à la fois à l’action stimulante et tonique du climat et à l’absence complète des poisons telluriques, en raison de la perméabilité du sol. Les affections gastro-intestinales se font rapidement améliorées et guéries par le séjour à Bugeaud. La dysenterie, accompagnée ou non de giStocolitie, s'identifie et s'apaisé rapidement sous l'influence de l'activité fonctionnelle nouvelle, une surabondance de vie,
al contrée. Ceux qui y iet du dehors oient, san médication spéciale, leurs accès de fièvre disparaître, l’appétit, la digestion se rétablir, le oi la rate diminuer de levmou et la force, la stnéa remplacer l cchx. Ces résultats sont dus à la fois à l’action stimulante et tonique du climat l’absence complète des poisons tllrqs, e raison de la perméabilité du sol. Ls affections gastro-intestinales s font rapidement améliorées et guéries pr le orjués à Bgd. La dysenterie accompagnée ou non de giStocolitie, s'dntf et s'apaisé apiden sous l'influence de lactivité ntell nouvelle une surabondance de vie,
sous l'influence de l'activité fonctionnelle nouvelle, une surabondance de vie, qui le séjour dans ce milieu favorisé procure à tous les organes. « Ceci est une révolution des fonctions du tube digestif obligé de fournir plus de besoins d'organisme dont le fonctionnement, c’est-à-dire la dépense en nourriture, est considérément augmentée. Toutes les anémies y sont également guéries. Malgré les brouillards qui, quelquefois, montent de la mer jusqu'à Bigeaud, la goutte et le rhumatisme sont rapidement améliorés dès cette station, ce qu'explicient facilement la surabondance des fonctions, la perfection des combustions et du dédoublement des substances quinaires qui, au lieu de
sous l'influence de l'activité fonctionnelle unoe,levl une surabondance de vie, q le séjour dans ce milieu favorisé procure à tous les organes. « Ceci est une révolution des fonctions du tube digestif obligé de fournir ps de bsns d'organisme dont le fonctionnement, c’est-à-dire la dépense en nourriture, est considérément augmentée. Toutes les anémies y sont également guéries. Malgré les brouillards q, quelquefois, tenomtn de la mr jusqu'à Bigeaud, la goutte et le rhumatisme sont rapidement améliorés dès cette station, ce qu'explicient facilement la surabondance des fnctns, la perfection des combustions et d dédblmnt des sa quinaires qui, au lieu de
et du dédoublement des substances quinaires qui, au lieu de s'arrêter au stade urique, se transforment complètement en urée et s'éliminent normalement. Des dégénérés de tout ordre, les prétuberculeux sont aussi susceptibles d'éprouver les bienfaits du climat de Bugeaud. En un mois, les principales affections, celles où l'organisme a besoin d'être stimulé, et pour ainsi dire revivifié, sont susceptibles d'être améliorées à Bigaud. Tel est le travail d'un très vif intérêt édifié à notre sympathique ami, le Dr Purrey; nous l'en félicitons très sincèrement, car à côté de MM. P. Pontié, Verrier, Pat Riot et de ceux qui se sont
et du dédoublement des substances quinaires qui, lieu de s'arrêter au stade urique, se transforment cmplètmnt en urée et s'éliminent normalement. Des dégénérés de tout ordre, les prétuberculeux sont scptbl d'éprouver les bienfaits du climat de Bugeaud. En un mois, les principales affections, celles où l'organisme a besoin d'être stimulé, et pour ainsi dire revivifié, sont susceptibles d'être améliorées Bigaud. Tel est le travail d'un très vif intérêt édifié à notre sympathique ami, le Dr Purrey; nous 'len félicitons tè sincèrement, car à côté de MM. P. Pontié, Verrier, taP Riot et de ceux qui sont
Pontié, Verrier, Pat Riot et de ceux qui se sont consacrés à une œuvre aussi humanitaire et aussi scientifique, il aura contribué pour une très large part à faire entrevoir la nécessité qui existe à créer le sanatorium demandé et à diminuer l'exode qui chaque année envoie les Algériens émigrer en France. Les pouvoirs publics déjà saisis du projet de création, n'hésiteront certainement pas à donner un encouragement à cette œuvre, en autorisant la création de la fondation projetée et destinée à procurer les fonds nécessaires. Avec M. le Dr Purrey, nous faisons auprès du public un appel chaleureux en
Pontié, Verrier, Pat Riot et de ceux qui se sont nsacrscéo à une œuvre ssaui humanitaire et aussi scientifique, l aura contribué pour une très egarl prt à fr entrevoir la nécessité qui existe erérc le sanatorium demandé t à diminuer l'exode qui chaque année envoie les Algériens émigrer en France. Les pouvoirs blic déjà saisis du projet de création, nhésiteront certainement pas à donner un encouragement à cette œvr, en autorisant la création de la fondation projetée et destinée à procurer les fonds nécessaires. Avec M. le Dr Purr nous faisons auprès du public un appel chaleureux en
Purrey, nous faisons auprès du public un appel chaleureux en faveur de celle œuvre ; car chacun aura à son tour de contribuer à une œuvre particulièrement humanitaire. MENUS PROPOS Depuis notre mère Ève, la femme — ne vous récriez pas, mesdames — a la souveraine de l'homme ; quand en tête elles se mettent une idée, lorsque la fantaisie les prend de se mêler d'une chose, rien ne les arrête dans leur course folle vers le but qu'elles se proposent. C'est ainsi que depuis quelque temps se manifeste chez nos belles madames, une ardeur enthousiaste à combattre pour la
Purrey, nous faisons auprès d public un appel chaleureux en faveur de celle œuvre ; car chacun aura à son tour de contribuer à une œuvre particulièrement humanitaire. MENUS PROPOS Depuis notre mère Ève, la femme — ne vous récriez pas, msdms — a la souveraine de l'homme ; quand en tête elles se mettent une idée, lorsque la fantaisie les prend de se mêler d'une chose rn ne les rrêt dns leur course folle vers le b quelles s proposent. Cest ainsi que depuis uqquele tep se manifeste ch nos belles madames, une ardeur enthousiaste à combattre pour la
nos belles madames, une ardeur enthousiaste à combattre pour la « bonne cause » et là où leurs maris ont fait fiasco, elles espèrent réussir. Je parle des dames de l'aristocratie qui se sont allées à déplorer le régime et les institutions sous lequel elles ont le malheur de vivre ; elles se sont organisées en associations et en ligues de toutes sortes dont le principal objet propose à leurs ensembles la restauration du trône et de l'empire. Les ligues, les syndicats et les associations y ont quelque peu échoué dans leur but, voilà pourquoi elles se sont mises dans
nos belles madames, ue ardeur enthousiaste à combattre pour la « bonne cause » et là où leurs maris ont fait fiasco, elles espèrent réussir. Je larep des dames de l'aristocratie qui se sont allées à déplorer le régime t les institutions sous lequel elles ont le malheur de vivre ; elles se sont organisées en associations et en ligues de uetsot sortes dont le prncpl objet prps à leurs ensembles la restauration du trône et de l'empire. Les ligues, les syndicats et les associations y ont quelque peu échoué dans leur but, vi pourquoi elles se sont ss dans
dans leur but, voilà pourquoi elles se sont mises dans l'esprit la fibre des confédérations ; et ces féministes en jupons ne sont comme les appellent un certaines, qu'âmes courageuses, s'élancent partout et ailleurs pour propager la bonne parole aux masses que laissent indifférentes les discours des esprits plus élevés. Le souci patriotique que les bonnes âmes cherchent à infuser dans cette indifférence calculée. Mais rien n'arrête toutefois de leur espoir ; les tenaces, elles continuent à jouer un rôle politique et, ridicule, et toujours vaillantes s'en vont devoir détruire l'opposition et réveiller les passions. Outre qu'elles marchant à rencontre
dans leur bt, ovàli pourquoi elles se sont mises dans l'esprit la fbr des confédérations ; et ces féministes en jupons ne sont comme les appellent un certaines, qu'âmes courageuses, s'élancent partout et ailleurs pour propager la bonne parole aux masses que laissent ndfférnts les discours des esprits plus élevés. Le souci patriotique q les bonnes âms cherchent à infuser dans cette indifférence calculée. Mais rien n'arrête ttfs de leur espoir ; les tncs, elles continuent à jouer un rôle politique et, ridicule, et toujours vaillantes s'en vont vdreio détruire lopposition t réveiller les passions. Oruet qu'elles marchant netcreorn
l'opposition et réveiller les passions. Outre qu'elles marchant à rencontre du but qu'elles poursuivent, cette action parallèle à leurs maris, qu'elles engagent, a pour effet immédiat de ruiner la seconde et à vouloir concourir au même résultat, elles risquent fort de le compromettre définitivement. Faut-il alors s'alarmer de ce mouvement féminin. Faut-il, comme certaines, craindre une révolution décisive sur l'esprit des masses et un revirement de conquête ? Je ne crois pas ; lâchons-les caresser leurs chimères très doucement et, devant l'insignifiance et la vanité de leurs efforts, elles finiront bien par être désabusées. Elles comprendront probablement que leur place
l'opposition et réveiller sle passions. Our qu'elles marchant à rencontre d t qu'elles poursuivent ctt action parallèle à leurs ar qu'elles nggnt, a pour effet immédiat de ruiner la scnd et à vouloir concourir au même résultat, elles risquent fort de le compromettre définitivement. Faut-il rs s'alarmer ce mouvement féminin. Faut-il, comme crtns, craindre une révolution décisive sur l'esprit ds masses et un revirement de conquête ? Je ne crois pas ; lâchons-les caresser leurs chimères très doucement et, vatedn l'insignifiance et al vanité de lrs efforts, elles finiront bien a rtêe désabusées. Elles comprendront probablement que leur place
bien par être désabusées. Elles comprendront probablement que leur place n'est pas là, mais comme on l'a souvent répété, au foyer familial. Mais voilà, le comprendront-elles jamais ? XXX. A la Préfecture Nos meilleurs vœux de bienvenue à M. Doussard, nouvel attaché au cabinet de notre préfet M. Plantié. Matinée dansante La société de la Crèche organise pour le 11 février prochain une matinée dansante. C'est la première d'une série de matinées très agréables les unes que les autres et nous sommes persuadés que toutes obtiendront le succès légitimé auquel elles ont droit. Nous en reparlerons. Un départ Le talentueux
bien par être désabusées. Elles comprendront probablement que leur place n'est pas là, mais comme on l' souvent répété, au fyr fmaillai. Mais voilà, l comprendront-elles jamais ? XXX. A la Préfecture Nos meilleurs vœux de bienvenue à M. Doussard, nouvel attaché au cbinet ed notre préfet M. Plati. Matinée dansante L société de l Crèche organise rpuo le 11 février prchn une matinée dansante. C'est la première d'une série de matinées très agréables les unes que ls autres et nous sommes persuadés que tosetu nedornttiob le succès légitimé a elles ont droit. Nous en reparlerons. Un départ Le utlxeteuna
elles ont droit. Nous en reparlerons. Un départ Le talentueux modeleur Boulanger, dont les œuvres ont fait l'adhésion de nos concitoyens, quitte Constance et transporte ses pénates à Bône. En regrettant le départ de ce sympathique artiste, nous pouvons lui assurer qu'il trouvera chez nos voisins des admirateurs sincères et passionnés de son beau talent. Nous voulons espérer aussi que son départ n'est pas définitif et qu'il voudra bien se souvenir que sur le rocher il trouvera toujours le même accueil cordial et actuel avec lequel il a été reçu. Université Populaire Mercredi, 31 janvier, à 8 heures et demie
elles ont droit Nous ne reparlerons Un départ Le enue mu Boulanger, dont les œuvres ont fait l'adhésion de nos cotoyens quitte Constance et transporte ses nas à Bône. En regrettant le départ de ce sympathique artiste, nous pouvons lui assurer uq'li trouvera chez ons vsns des admirateurs sincères et passionnés de son beau talent. Nous voulons espérer aussi equ sn départ n'est pas définitif et q'l voudra bien se souvenir que r e rocher l trouvera toujours l même accueil cordial et actuel avec lequel il a été ç.eru Université Pplr Mcrei 31 janvier, à 8 rhseeu et demie
Université Populaire Mercredi, 31 janvier, à 8 heures et demie du soir, "Promenade Archéologique en Grèce" Conférence avec 28 projections lumineuses par M. Lubac, professeur au lycée Mercredi, 7 février, notre sympathique secrétaire général donnera aux membres de l'Université Populaire la conférence d'Édouard Pailleron, acteur dramatique. Certains membres de la société interpréteront cette comédie. — Nous rappelons que c'est "présque" demain lundi, à 8 1/2 du soir que M. Buchez sera pour son premier cours de sémantique. Cela qu'il n'a pu commencer mardi dernier à cause du mauvais temps. Son cours de métagraphie élémentaire aura lieu tous les vendredis. La
Université Populaire Mercredi, 31 janvier, à heures et demie du soir, "Promenade Archéologique en Grèce" Conférence avec 28 projections lumineuses par M Lubac, professeur au lycée Mercredi, 7 février, ntr sympathique secrétaire général donnera aux membres de l'Université Populaire l conférence d'Édouard Pailleron, acteur dramatique. Certains memrs de la scété interpréteront cette comédie. — Nous rappelons que c'est "présque" demain lundi, à 8 1/2 du soir que M. Buchez sera pour son premier cours de sémantique. Cela qu'il na pu commencer mardi dernier à cause du mauvais temps. Son cours de métagraphie élémentaire aura lieu tous les vendredis. La
cours de métagraphie élémentaire aura lieu tous les vendredis. La première leçon sera faite le 2 février prochain. — Nous rappelons aux élèves de l'Université Populaire que les cours de coupe professés par M. Chimot, de la Feuilleton de l'Encyclique au soir. — 32 — L'ESPION INDIEN par C. DE CENDREY DEUXIÈME PARTIE "EXPLICATION DU SIGNAL" — Tu aurais bien fait cependant d'en tenir compte, répartit brusquement le chercheur de pistes. Si nous nous repentirons, dit Jenkins en secouant la tête. Je ne leur ai pas dit qu'ils doivent s'attaquer à une vengeance. — A quoi donc ? — A
cours de métagraphie élémentaire aura lieu tu les vendredis. La première leçon sea faite le 2 février prochain. — Nous rappelons aux élèves de l'Université Populaire qeu les crs de oup professés par M. Chimot, de la Feuilleton de l'Encyclique au soir. — 32 — L'ESPION INDIEN pra C. DE DEY DEUXIÈME PRTE "EXPLICATION DU SGNL" — Tu aurais bien fait cependant d'en tenir compte, répartit brsqmnt le chercheur de pistes. Si nous nous repentirons, dit Jenkins en secouant a tête. J n leur pas d qu'ils doivent s'attaquer à une vngnc. — A quoi donc ? — A
à une vengeance. — A quoi donc ? — A la mort la plus cruelle. — Comment t'y prendras-tu pour arriver là ? — Comment ? En soulevant les indiens je dirai à Smith Girty ce qu'ils m'ont fait, et nous dirigerons tous les deux une expédition contre eux. Dingle s'arrêta de ne pas éclater de rire et il s'appuya contre un arbre pour donner cours à son hilarité. « Pourquoi ris-tu ? demanda Jenkins en colère. — Soulever les indiens... raconter cela à Girty... conduire une expédition. Ô comme c'est bien sûr ! ou tout trop pour Jenkins. En
à une ngae. — A quoi dnc ? — A la mort la plus crll. — Comment t'y ndrs-tu pour arriver là ? — Comment ? En soulevant les indiens je dirai à Smith Girty c qu'ils m'ont fait, et nous dirigerons tous les deux une expédition contre eux. Dingle s'arrêta de n pas éclater de rire et il s'appuya contre un arbre pr donner cours à son hilarité. « ouqu rs-t ? dmnd Jenkins en colère. — Soulever les indiens... rcne cela à G.y.ir.t conduire une expédition. Ô cemom c'est bn sûr ! ou ottu trop pour Jenkins. En
c'est bien sûr ! ou tout trop pour Jenkins. En parlant ainsi, l'éclaireur s'assit glisser son dos le long de l'arbre, et s'étendant par terre, il se vida non sans contrainte et silencieusement à sa gaieté. C'était bien sérieux, ment que Jenkins avait fait des menaces à Merdant et qu'il informait Dingle sans, voyant que celui-ci s'en moquait, il se repentit aussitôt de lui en avoir parlé. « C'était pour rire, Dingle, dit-il ; je voulais t'amuser un peu. Allons, relève-toi, pas de folie. Comment es-tu venu me trouver ici ? » Dingle devint immédiatement sérieux, il se leva et
c'est bien sûr ! ou tout trop pour Jenkins. En parlant ainsi, l'éclaireur s'assit glisser son os le long de l'arbre, et s'étendant par trr, l se vida non sans contan silencieusement à sa g.tieaé C'était bien sérieux, ment que Jenkins avait fait es menaces à Merdant et qu'il informait Dingle sans, voyant que celui-ci s'en moquait, il se rpntt aussitôt de lui en avoir parlé. « C'était pour rire, Dingle, dit-il ; je voulais t'amuser un peu. Allons, relève-toi, pas de fleoi. Come es-tu venu me trouver ici ? » Dingle dvnt immédiatement sérieux, il se leva et
? » Dingle devint immédiatement sérieux, il se leva et dit à Jenkins : « J'ai entendu la nuit dernière quelqu'un crier : « À l'assassin ! » J'ai soupçonné qui ce pouvait être — C’était moi, répartit Jenkins tout déconcerté. Je voulais les effrayer dans le but que... j'ai entendu crier, je te le répète, et j’ai reconnu ta voix ; j’ai cru que les sauvages t’avaient écharpé. Il m’a semblé alors qu’il était inutile de m’approcher, ni de faire savoir que j’étais dans les environs jusqu’à ce que j’aie apprécié l'état des choses. J’ai attendu conséquemment le jour,
? » Dingle devint immédiatement sérieux, il se leva et dit Jenkins J'ai entendu la nuit dernière quelqu'un crier : « À l'assassin ! » J'ai soupçonné q ce aoptivu être — tat’éCi moi, répartit Jenkins tout déconcerté. Je vls les effrayer dans le but que j'ai ntnd crier, je te le éte et j’ai reconnu ta voix ; ’ai c equ ls sauvages t’avaient écharpé. Il m’ semblé alors ’i était inutile de apphe, ni de fr svr que j’étais dans sle environs j’à ce que j’aie apprécié l'état des choses. J’ attendu conséquemment le jr,
j’aie apprécié l'état des choses. J’ai attendu conséquemment le jour, et alors je me suis promené vers toi. Comment es-tu arrivé dans ces parages ? — Je venais de là-bas. répondit Dingle d'un ton grave. — Comment cela va-t-il se passer là ? — Mal... mal... répondit l'éclaireur en balançant lentement la tête de droite à gauche, et en fixant ses yeux sur la terre d’un air pensif. — Est-ce que les Shawnees ont repris leurs armes ? — Non seulement les Shawnees, mais aussi les Delawares, les Wyandots, les Mingos, et les Miamis, et mon opinion est que c’est
jaie pprécé l'état sde choses. J’ai attendu conséquemment le jour, et alors je me suis promené vers toi. Comment uste- arrivé dns ces parages — Je venais de là-bas. répondit Dingle d'un ton grv. — Comment cela -la-vit se psaesr là ? — Mal... ml... répondit l'éclrr en balançant lentement la tête de droite à gauche et en fixant ses yeux sur la terre d’un air pensif. — Est-ce que ls Shawnees ont repris leurs armes ? — Non seulement le Shawnees, mais aussi les Delawares, les Wyo, ls Mingos, et les Miamis, et mon opinion est q c’est
Mingos, et les Miamis, et mon opinion est que c’est un grand bonheur pour toi d’avoir été déposé sur ce rivage. Les deux bateaux n’arriveront jamais à Pittsburg ! » Jenkins ouvrit des yeux effrayés, et à la fureur qui l’animait contre ses compagnons succéda un vif sentiment de commisération pour eux. Il se persuada qu'il aurait le courage de tout endurer pour détourner le coup qui semblait suscieux au désastre de leur tête. « Peut-on faire quelque chose pour leur venir en aide ? demanda-t-il. À ces mots, le dernier se détourna et s'enfonça dans la forêt, en suivant
Mingos, e les Miamis, et m opinion est euq c’est n grand bonheur pour toi davoir été déposé sur ce rivage. Les deux bateaux n’arriveront jamais à Pittsburg ! » Jenkins ouvrit de yeux effrayés, et à l fureur qui l’animait contre ses compagnons succéda un vf sentiment de commisération pr eux. Il se persuada qu'il aurait el courage de tt endurer pour détourner le coup qui semblait sue au désastre d leur tête. « Peut-on fr quelque chs pour leur venir en aide ? demanda-t-il. À cs mots, le dernier s détourna et s'nfnç dans la frêt, en suivant
dernier se détourna et s'enfonça dans la forêt, en suivant la direction qui menait à la rivière. Il allait si vite que Jenkins fut obligé de sauter par-dessus les ronces et les épines, et de prendre une allure qui tenait le milieu entre la marche et la course, pour ne pas rester en arrière. Notre intention n’est pas de fatiguer le lecteur de détails et de lui raconter minutieusement comment les deux amis arrivèrent à découvrir le lieu où étaient leurs camarades. La prodigieuse agilité de Dingle ne fut pas inférieure à la tâche qu’il s'était imposée. Lorsque le bateau
dernier se détourna et s'enfonça dans la forêt, suivant la direction qui menait à la rivière. l allait si vite q Jenkins fut big de etrsau suser-adps ls ronces et l épines, et de prendre une allure qui tenait le milieu nt la marche et la course, pour ne pas rester arrière. Notre intention n’est pas de fatiguer le lecteur de détails et de l rcntr minutieusement comment les deux amis arrivèrent à découvrir le i où étaient leurs camarades La prodigieuse glté de Dingle ne ft pas inférieure à l tâche qu’il s'était imposée. Lorsque le te
inférieure à la tâche qu’il s'était imposée. Lorsque le bateau dont nous vous suivons la course s'engagea dans le petit courant d’eau, lui et Jenkins étaient sur la rive, et ils distinguèrent nettement le bruit des avirons, avec les précautions prises par les rameurs pour ne pas être entendus. L’éclaireur fit plusieurs fois sur le point de les appeler ; il en fut empêché par sa prudence accoutumée. Il essaya le suivre mais la nature du terrain fut un obstacle, et, quand les voyageurs descendirent à terre, il perdit entièrement leurs traces. Il soupçonnait bien que les deux bateaux avaient
inférieure à la tâche qu’il s'étt imposée. Lorsque le bateau dont nous vous suivons la crs s'engagea dans le petit crn d’eau, l et Jnkns ient sur la rive, et ils distinguèrent een le bruit des avirons, ave les précautions prises par les rameurs pour ne pas être ntnds. Léclaireur fit plusieurs fois sur le pnt de les appeler ; il en fut empêché par sa prudence accoutumée. Il essaya le suivre mais la nature du terrain utf un obstacle, ,te quand les evuraygos descendirent à trr, il rdepti entièrement ler traces. Il souni bien equ les deux bxauaet avaient
leurs traces. Il soupçonnait bien que les deux bateaux avaient dû se séparer dans les ténèbres. Persuadé que l’un traverserait la rivière pour chercher l'autre, il se jeta à la nage avec Jenkins et visita plusieurs îlots qui s’élevaient au milieu des eaux. Il vit alors qu’aucun bateau ne pourrait passer sans qu'il s'en aperçût, pendant que s’il était resté à terre, c’eût été tout autrement. Les deux hommes restèrent toute la nuit sur ces îlots, sans rien apprendre touchant leurs amis. Jenkins, à la fin, aperçut la lueur d’un feu à travers le bois, Dingle atteignit aussitôt la côte
leurs traces. Il soupçonnait bien que les deux bateaux avaient dû es séparer dans les ténèbres. esé que l’un eteastrvrrai la rivière puro chercher l'autre, il se jeta à la nage avec enkin et visita plusieurs îlots qui s’élevaient au milieu des eaux. Il vit lrs qu’aucun t ne pourrait passer sans qu'il s'en aperçût, pendant que s’il était resté à terre, c’eût été tout ertaetmnu. Les deux hommes restèrent toute la nuit sur es îlots, sans rien apprendre touchant leurs amis. Jenkins, à la fin, aperçut la lueur d’un feu à travers e bois, Dingle atteignit sstôt la côte
feu à travers le bois, Dingle atteignit aussitôt la côte à la nage et fit une reconnaissance. Ainsi que le lecteur le devine, sans doute c’était le feu du bivouac des indiens, vus par Hickman et son compagnon. Après s’être assuré de ce que ce pouvait être, Dingle repartit, jetant Jenkins sur les îlots et attendit que le matin fut venu pour tenter quelque chose. Ils virent sous le ciel de la rivière le grand canot rempli d'indiens, et ils se virent avec bonheur que c’était lui qu’ils avaient pris pour le bateau de leurs amis. Ils pouvaient alors se
fu à travers le bois, Dingle atteignit aussitôt la côte à nage et fit une reconnaissance. Ainsi que lecteur le devine, sans doute tci’aét le feu du bivouac des indiens, vus par Hickman et son coano. Après s’être assuré de ce que ce pouvait être, Dngl repartit, jetant Jenkins sur les îlots et attendit que le matin fut venu pour tenter quelque chose. Ils virent sous le cl de la rivière le grand canot rempli d'indiens, et ls se virent avec bonheur que c’était ui qu’ils avaient pris pour le bateau de leurs i. Ils pouvaient alors se
pour le bateau de leurs amis. Ils pouvaient alors se trouver dans une telle situation ; aussi crurent-ils ne pouvoir leur position jusqu'au jour. Ce matin que, dès que les blancs s’apercevraient de l'erreur qu’ils avaient commise, ils enverraient quelqu’un des leurs pour reconnaître leur situation, Dingle songea à trouver un moyen d’attirer leur attention. Il serait retourné à terre s’il n’avait été certain que le rivage était surveillé par bien des yeux perçants ; et qu’il ne manquerait pas d’être aperçu ; Les éclaireurs envoyés par leurs amis, se scrutaient, pensa-t-il, les îlots, et il adopta le moyen dont
pour l bateau de leurs amis. Ils pouvaient alors se trouver dans une telle situation ; aussi crurent-ils ne pouvoir leur position jusqu'au jour. Ce matin que, dès qu les blancs sapercevraient de l'erreur qu’ils avaient commise, ils enverraient quelqu’un des leurs pour reconnaître leur situation Dingle songea à trouver un moyen d’attirer leur attention. Il serait retourné à terre s’il n’avait été cri que le rivage était surveillé par bien des x perçants ; et qu’il ne manquerait pas d’êtr aperçu ; Les éclaireurs envoyés par leurs amis, se scrutaient, pensa-t-il, les îlots, et il adopta le moyen dont
scrutaient, pensa-t-il, les îlots, et il adopta le moyen dont il a été fait mention. Il fixa un morceau de son vêtement au bout de sa carabine, qu’il tint élevée à la main, pendant que Jenkins le suivait, la face contre terre, promenaient sur le rivage un regard d'aigle, et cherchaient à voir si le signal avait frappé quelqu’un. Si Mordaunt l’avait aperçu, il l’aurait compris de suite, car Dingle lui en avaient fait usage auparavant ; mais Mordaunt ne le vit pas, et, comme nous l’avons dit, si Hickman et son compagnon l’observèrent, ils n’en comprirent pas la signification.
scrutaient, pensa-t-il, les s et il adopta le moyen dont il été fait mention. Il fixa un morceau de son vêtement au bout de sa carabine, qu’il tint élevée à la main, pendant que Jenkins le suivait, la face contre terre, prmnnt sur le rivage un regard d'aigle, et cherchaient à voir si le signal avai frappé uln. Si Mordaunt l’avait arçu, il ’aurait cri d suite, car Dingle lui en avaient fait usa auparavant ; ai Mordaunt ne le vit s et, comme o l’avons d, si Hickman et son compagnon l’observèrent, ils n’en comprirent a la sgnfctn.
et son compagnon l’observèrent, ils n’en comprirent pas la signification. Peu de temps après le massacre, Dingle, sans se soucier des conséquences de sa démarche, se jeta dans la rivière et nagea vers le rivage. Jenkins le suivit, mais, près de la côte, il s’écria qu'une crame venait le prendre. Dingle lui répondit qu’il reviendrait le soir à son secours, si la crise ne l’avait quitté alors, et il continua de nager. CHAMPAGNE BINET P. BINS Agent pour le départ de Constantine M. BRESSIER 7, Rue du Barde L'Académie nationale de maîtres tailleurs de Paris, a lieu tous les lundis
t sn compagnon l’bsrvèrnt, ils nen iopnmrcert pas la signic Peu de temps après l massacre, Dingle, sans se soucier des conséquences de sa démrch, se jt dans la rivière et nagea vers le rivage. Jenkins l suivit, mais, près de la côte, il sécria qu'une crame venait le prendre. Dingle lui répondit qu’il reviendrait le soir son secours, si la crise ne l’avait quitté alors, et il continua de nager. CAPAGNE BINET P. BINS Agn pour le départ de otai M. BRESSIER 7, Rue du Barde L'Académie nationale de maîtres tailleurs de Paris, a lieu tous ls lundis
de maîtres tailleurs de Paris, a lieu tous les lundis de 2 heures à 4 heures du soir dans le local des conférences de l’Université Populaire. Programme des études : 1° Étude de mesurage d’après l’ancienne méthode. — 2° Tracé du corsage. — 3° Assemblage du corsage. Étude d’essayage et rédaction des études ci-dessus par les élèves qui feront elles-mêmes leur corsage et l'essaieront à chaque cours. Nous publierons ultérieurement la seconde partie des études. Les inscriptions sont reçues par M. Dauvet, à la Mairie, M. Stiern. Nous apprenons que notre ami M. Stiern, que la mort de son père
e maîtres tailleurs de Paris, a lieu tous les lundis de 2 heures à 4 heures du soir dans le local d conférences de l’Université Populaire. Programme des études : 1° ed msrg daprès anci méthode. — 2° Tra du corsage. — 3° Assemblage du corsage Étude d’essayage et rédaction des études -esu par les élèves qui feront elles-mêmes leur corsage et l'essaieront à chaque crs. Nous publierons ltérrmnt la seconde partie des étds. Les inscriptions sont reçues par Dvt, à al Mairie, M. Stiern. o apprenons que notre ami M. Stiern, que la mort de son père
notre ami M. Stiern, que la mort de son père a brusquement rappelé en France, ne retournera plus parmi nous, mais ira remplir à Amiens les fonctions de Chef de Cabinet du Préfet de la Somme. Le chef-adjoint de M. Plantier, jeune homme intelligent et actif, avait su se créer à Constantine, par son extrême obligeance et son affabilité, de nombreuses relations sympathiques que l’avancement rapide dont il vient d’être l’objet provoque de nombreux regrets. Espérons que les hasards d’une carrière administrative, qui sera sûrement brillante, ramèneront un jour M. Stiern à Constantine. Décoration M. Marchis, frère du sympathique maire
notre ami . Stiern, que mort de son père brusquement rappelé en France, ne retournera plus parmi nous, mais ira remplir à Amiens les fonctions de Chef d Cabinet du Préfet de a o.Smem Le chef-adjoint de M. Plantier, jeune homme ntllgnt et ctf, avait su se créer à Constantine, par son extrême obligeance et son affabilité, de nombreuses relations sympathiques que l’avancement rapide dont il vient d’être l’objet provoque de ex regrets. Espérons que les hasards ’une carrière administrative, qui ser etûnmres brillante, ramèneront un jour . Stiern à Constantine. éoto M. Marchis frère du sympthq maire
Stiern à Constantine. Décoration M. Marchis, frère du sympathique maire de Bône et chef adjoint du cabinet de M Thomson, vient d’être fait chevalier de la Légion d’honneur. C’est une juste récompense de bons et loyaux services dont nous félicitons notre ami M. Marchis. LIBRAIRIE PAPETERIE ROUBILLE 1, Place d’Orléans, en face de la Poste GRAND FIGE D'ARTS POSTALES ILLUSTRÉES, FANTAISIES & VUES Dernières Nouveautés Au Théâtre Ce soir, à la demande générale, reprise de SAMSON ET DALILA, musique de Saint-Georges. Nous sommes certains que les fidèles iront en foule entendre une seconde fois le chef-d’œuvre de grand compositeur que
Stiern à Constantine. Décoration M. Mrchs, frère du sympathique maire de Bône et chef adjoint du cabine de M Thomson, vnt d’être fait chevalier de la Légion d’honneur. ’est une juste récompense de on et lyx services dont nous félicitons notre ami rh. LIBRAIRIE PAPETERIE ROIE , Place d’Orléans, en face de la Poste GRAND FIGE D'ARTS POSTALES ILLUSTRÉES, FANTAISIES & VUES Dernières Nouveautés Théâtr eC soir, à a dmnd générl, reprise de SAMSON T DALILA, musique de Saint-Georges. Nous sommes certains que les fidèles rnt ne oe ntndr une seconde fois el chef-’œuvre de grand compositeur que
entendre une seconde fois le chef-d’œuvre de grand compositeur que nos artistes interprètent avec un remarquable talent. Comme nous l’avons déjà dit, la mise en scène soignée bien encadrée par les décors que notre sympathique concitoyen Debat a brossée de main de mettre, Porche-theatre qui, sous l’habile direction de M. Géo Moreau est arrivé à donner un aperçu à peu près exact de cette musique si savante, tout en un mot contribue à faire ressortir avec beaucoup de brio cette grande œuvre. Une indiscrétion nous permet d’annoncer pour le courant du mois prochain, l’interprétation du chef-d’œuvre de Wagner, « Lohengrin
entendre ue seconde fois le -eerhv’œucdf de grand compositeur que nos artistes interprètent avec un remarquable talent. Comme nous l’avons déjà dit, la mise e scène soignée iebn encadrée par les décors que notre sympathique concitoyen Debat a brossée de main mettre, Porche-theatre qui, sous ’habile direction de M. Géo Moreau est arrivé à donner un aperçu à peu près exact de cette musique si savante, tout en un mot contribue à ae ressortir avec beaucoup d brio cette grande œuvre Une indiscrétion us permet d’annoncer pour le courant d mois prochain, l’interprétation du chef-d’œuvre de Wagner, « Lohengrin
du mois prochain, l’interprétation du chef-d’œuvre de Wagner, « Lohengrin ». C’est la première fois que le théâtre de Constantine aborde un ouvrage d’une telle puissance et nous sommes heureux de féliciter M. Moreau, chef d’orchestre — au bénéfice duquel cette pièce sera jouée ainsi que le sympathique directeur M. Euryal — d’avoir eu l’idée de nous en donner à primeur. La « Pensée Libre » Les membres adhérents sont priés d’assister à la réunion du gonoclave qui aura lieu samedi 27 janvier à 8 heures et demie du soir, au local habituel, 92, rue Nationale. Ordre du Jour Compte-rendu
du mois prochain, l’interprétation du chef-d’œuvre de Wagner, « Lohengrin C’est a première fois que le théâtre de Constantine aborde un ouvrage d’n telle puissance et nous sommes heureux de féliciter M. Moreau, chef d’orchestre — au bénéfice duquel cette pièce sera uée ainsi q le sympathique directeur M. Euryal — davoir eu l’idée de nous en donner primeur. La « Pensée Libre » Les membres adhérents sont priés daste à la réunion du gonoclave qui ara lieu samedi 27 janvier à 8 heures et demie du soir, au local habituel, 92, rue Nationale Ordre du Jour Compte-rendu
au local habituel, 92, rue Nationale. Ordre du Jour Compte-rendu de la fête du 13 janvier. Conférence du citoyen Damare, sur « Morale et Religion ». Syndicat de la Presse Les Membres du Syndicat de la Presse sont priés de vouloir bien assister à la réunion qui aura lieu ce soir, à 5 h. 1/2, au local du Syndicat. Ordre du jour : Questions diverses. Certaines de ces questions présentant un très grand intérêt, les syndiqués sont invités à ne pas manquer à cette réunion. Une veine de... Il y a une Providence pour les ivrognes ; le nommé Maouar
au local hbtl, , rue Nationale. Ordre du Jour Compte-rendu de la fête du 13 janvier. Conférence du citoyen amrae,D sur « Moale et Religion ». Syndicat d l Presse Les Mmbrs d Syndicat de l Presse sont priés de vouloir bien assister à la réunion q aura lieu c sr, à h. 1/2, local du Syndicat Ordre du jour : Questions diverses. Certaines de ces questions pren un très grand intérêt, les dis sont invités à ne pas manquer à cete nérouin. n veine de... Il y a une roven pour les ivrognes le nommé Maouar
a une Providence pour les ivrognes ; le nommé Maouar Bakacem ben Amar, demeurant boulevard de l’Ouest, après avoir fêté plus que dignement la divine bouteille, rentrait chez lui, non sans peine. Dans la gitanne de sa maison, mis soudain en gaieté, il piquait des entrechats très suggestifs quand il perdit l’équilibre et tomba dans la cour, d’une hauteur de 6 mètres environ. Il fut assez heureux, pour ne se faire aucun mal ; il se releva, peut-être dégrisé, et s’en fut tranquement se coucher. En simple police Les sieurs Kettfi, Chorif ben Rabiu, Akrout Areski ben Abdallah et Touami
a enu Prvdnc les vgn ; le nommé Maouar Bakacem ben Amar, demeurant boulevard de l’Ouest, après avoir fêté plus que dignement la divine bouteille, rentrait chez lui, n sans peine Dans la gitanne de sa maison, m soudain en é il piquait des entrechats très suggestifs quand il perdit l’équilibre et tomba dans la cour, d’une haer de 6 mètres environ. Il ft as heureux pour ne es faire aucun mal ; l se releva, peut-être dégrsé, et s’en fut tranquement se coucher. En smpl po Les srs Kettfi, Chrf ben Rabiu, Akrout Areski ben Abdallah t Touami
Kettfi, Chorif ben Rabiu, Akrout Areski ben Abdallah et Touami Saïd ben Mezine, traduits devant cette juridiction pour défaut de permis de voyage, ont été condamnés à deux jours de prison chacun. Pharmacies ouvertes Le dimanche 28 janvier 1906, à partir de midi : M. Attali, rue de France ; Kanoui, rue Nationale. Un voleur Le nommé Bendada Mohamed Saïd ben Hocine, originaire des Souktas, au contraire de ses coreligionnaires est convaincu des bienfaits de la civilisation; tout comme les européens, il veut avoir dans son gilet une montre, et pour ce faire se rendait hier chez M. Sirand, horloger.
Kettfi, Chorif ben Rabiu, Akrout Areski ben Abdallah t Touami Saïd ben Mezine, traduits devant cette juridiction pour défaut de permis de voyage, ont été condamnés à deux jours de prison chacun Pharmacies ouvertes Le dimanche 28 janvier 1906, à atr de midi : .M Attali, rue de France ; Kanoui, rue Naoe n voleur Le mm eda Mohamed Saïd ben Hocine, originaire ds Souktas, au contraire de ses coreligionnaires est convaincu des bienfaits de la civilisation; tt cmmeo les européens, l veut avoir dans son gilet une mt et pour ce faire se rendait hier chez M. Sirand, horloger.
pour ce faire se rendait hier chez M. Sirand, horloger. Mais voilà, ses ressources étaient trop précaires pour satisfaire son désir ; cependant, la dextérité de ses doigts suppléant au défaut d’argent et froidement Bendada choisissait une des plus belles montres et se l’appropriait. Comme bien l’on pense, cette mainmise ne fut point du goût de M. Sirand qui s'empressa de confier l’indigne aux soins des agents. Feu de cheminée Un feu de cheminée s’est déclaré dans un appartement d’un immeuble de la rue de la Tour. Les dégâts sont insignifiants. Bonne occasion à "Vendre" UN AUTOMOBILE DON BOUTON 6
ur ce faire se rendait hier zhce .M Sirand, horloger. Mais voilà, ses ressources étnt trop précaires pr satisfaire son désir cependant, la dextérité de ses doigts suppléant au défaut d’argent et froidement Bendada choisissait une des pls belles montres et se l’appropriait. Comme bien l’on pense, tetce mainmise n fut point du goût de M Sirand qui s'empressa de confier lindigne aux sinso des agents. Feu de cheminée Un feu de cheminée s’est dar dans un appartement d’un mmbl de la rue de la Tour. Les dégâts sont insignifiants. onenB occasion "Vendre" UN AUTOMOBILE DON BOUTON 6
insignifiants. Bonne occasion à "Vendre" UN AUTOMOBILE DON BOUTON 6 chevaux, en excellent état de marche. Adressez-vous au bureau du journal UN MONSIEUR SE DONNERA à tous ceux qui sont atteints d’une maladie de la peau, dermatites; eczémas, boutons, démangeaisons, bronchites chroniques, maladies de la poitrine, de l’estomac et de la vessie, de rhumatismes, un moyen infaillible de se guérir promptement, ainsi qu’il l’a été radicalement lui-même après avoir souffert et essayé en vain tous les remèdes préconisés. Cette offre, dont on appréciera le but humanitaire, est la conséquence d’un vœu. Écrire par lettre ou carte postale à M.VINCENT, 8,
insignifiants. oneBn occasion à "Vendre" N AUTOMOBILE DON BOUTON 6 chvx, en excellent état e marche. Adressezvous au bureau du journal UN MONSIEUR SE DONNERA à tous ceux qui nsto atteints d’une maladie de la peau dermatites; eczémas, boutons, démangeaisons, bronchites chroniques, maladies de al poitrine, de l’estomac et de la vss, de rhumatismes, un moyen infaillible de se guérir mtnmptp,reoe ainsi qu’il l’a été radicalement lui-même après avoir souffert et ssyé en vain ts les rmèds préconisés. Ctt offre, notd on appréciera le but humanitaire, est la cnséqnc un vœu. Écrire rap lettre ou carte postale à .VINCENT, 8,
vœu. Écrire par lettre ou carte postale à M.VINCENT, 8, place Victor Hugo, à Grenoble, qui répondra gratis et franco par courrier et enverra les indications demandées. Maladies des Yeux, Oreilles, Nas, Gorge. OPHTALMIE Chirurgien Spécialiste de la Faculté de Paris. Consultations de 1 heure à 4 heures, 2, RUE NOUVELLE, 2 TOURCOING 1906 ÉCONOMIES INDUSTRIELLES. Grande Epicerie Centrale AU BON MARCHÉ. Vins et Spiritueux. Denrées Coloniales. Conserves de choix. Grande et demi-gros. Succursale au Marché Couvert. E. AUDOLY, Rue Cahoreau, Angle rue du Trésor, ancien local de l’Epicerie de M. Courbet. CONSTANTINE. Demandez le Catalogue général Institution de Garçons.
vœu. icrÉre par lettre ou raetc postale .VINCENT, 8, place Victor gu,oH à Grenoble qui répondra gratis et franco par courrier et enverra les indications demandées Maladies des Yeux, rlls, Nas, Gorge. OPHTALMIE Chirurgien Spécialiste de l Faculté de Paris. Consultations de 1 hr à 4 heures, 2, RUE NOUVELLE, 2 TOURCOING 1906 ÉCONOMIES LLIRUSEET.DSIN Grande eirieEcp Centrale AU BON MARCHÉ. Vins et Spiritueux. Denrées Coloniales. Conserves de choix. Grande et demi-gros. Succursale au Marché ouvt. . AUDOLY, Rue Cahoreau, Angle rue du Trésr, ancien local de l’Epicerie de M. Courbet CONSTANTINE Demandez le Catalogue général Institution de Garçons.
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CONSTANTINE Chambres à coucher, Salles à manger. Salons et Bureaux tous styles. Sièges et Tapisserie, Grand choix d’Objets d’Art, Porcelaines, Faïences, Cristaux, Verrerie. Carpets en Moquette et linoléums. — Dépôt des Lits et Sommiers anglais de la Maison NATTER Feuilleton par l'Echo du soir. — 50 — LES par M. E. BRADDON XIX Le château de Maclemond — Laissez-là parler, dit-il; ses injures les plus cruelles ne peuvent m’atteindre. Et n’oubliez pas, ajouta-t-il sévèrement en s’adressant aux trois infirmières, n’oubliez pas que je veux que vous la traitiez avec la plus grande douceur. Les deux médecins haussèrent les épaules. L’habitude
CONSTANTINE Chambres à coucher, Slls à manger Salons et Bureaux tous tselsy. Sièges et iearsesipT, Grand chx d’Objets d’rt, Porcelaines, Faïences, Cristaux, Vrrr. Carpets en Moutt et linoléums. — Dépôt des Lits et Sommiers anglais de la Maison NATTER Feuilleton par lEcho du soir. — 50 — LES pr M. E. BRDDN XIX Le château de Maclemond — Laissez-là parler, dt-l; ses injures les plus cruelles ne peuvent m’ttndr. tE noubliez pas, ajouta-t-il sévèrmnt en s’adressant aux trois infirmières, ’oubliez pas que je veux que vous la traitiez avec la plus grande douceur. Les dx séneimcd haussèrent sle épaules. L’habitude
plus grande douceur. Les deux médecins haussèrent les épaules. L’habitude avait émoussé leurs sentiments comme ceux des trois infirmières et ils considéraient cette pénible tâche sans la moindre émotion. — Un peu d’énergie est parfois nécessaire dit alors l’un des médecins; car ne l’oubliez pas, plus tôt la lutte cesse, mieux cela vaut pour la malade. Ces femmes ont beaucoup d’expérience et connaissent leur devoir. Vous pouvez, en toute sécurité, confier lady Edith à leurs soins. Robert Merton s’éloigna du médecin en gémissant et rentra dans la bibliothèque, la coupable qu'eût été la leviction de sa femme, quoique son cœur
plus grande douceur. Les deux médecins re les épaules L’habitude avait émssé leurs sntmnts ecomm ceux des toirs infirmières te ils considéraient cette pénible thâec sans la moindre émt. — Un peu dénr est aoipfrs nécessaire dit roals l’un des médecins; car ne l’oubliez pas plus tôt lutte cesse, ux cela ut pour la eamadl. Ces femmes ont eap éc’perdxeien e connaissent leur devoir. Vous pouvez, e toute sécurité, confier lady Edith à leurs soins. oetrbR Merton ’ogliséan du médecin en gémssnt et rentra dans la bibliothèque, la coupable qu'eût été la leviction ed sa femme, quoique son cœur
qu'eût été la leviction de sa femme, quoique son cœur en eût été brisé, et son bonheur à jamais détruit. Il ne pouvait voir ce qu'elle souffrait sans éprouver une douleur plus amère encore qu’elle ressentait. — Oh! Edith!... Edith! s’écria-t-il après avoir refermé la porte derrière lui, et lorsqu’il se trouva seul dans son appartement; pourquoi m’avez-vous été si perfide et si cruelle?... Pourquoi m’avez-vous forcé à prendre des mesures qui me font horreur et que je ne continue que dans le seul espoir qu’elles vous amèneront au repentir. Pendant ce temps la voiture de Robert Merton roulait rapidement
qu'eût été al leviction de sa femme, quoique son rcœu en eût été brisé, et son bonheur à jamais détruit. Il ne pouvait vr ce qu'elle souffrait sans éprouver une douleur plus amère encore q’ll ressentait h! Edith!... Edith! s’écria-t-il après avoir refermé la porte eeèrrrdi lui, et lorsquil se trouva seul dans son aprent pourquoi mavezvous été s perfide et si cu. Pourquoi m’avez-vous forcé à prendre des msr qui m fn horreur et que je ne continue que dans le seul espoir qu’elles vous amèneront au repentir. Pendant ce temps la voiture ed Robert tnMore roulait apidmet
Pendant ce temps la voiture de Robert Merton roulait rapidement à travers les rues désertes pour se rendre à la gare du Nord. Merton avait confié à son intendant l’organisation du voyage. Cet homme était parti en avant et attendait à la gare pour recevoir sa maîtresse et les infirmières. On évita ainsi tout retard par ces dispositions et l'on conduisit lady Edith directement de sa voiture au compartiment préparé pour elle. Merton s’assit à la droite de sa malade, une des infirmières se mit à sa gauche l’autre prit place en face de lady Edith. Si bien que de
Paetdnn ce temps l voiture de Robert Merton roulait rapidement à travers les rues désertes pour se rendre à la gare du Nord. Merton avait confié à son intendant ’organisation du vyg. Cet om était apirt en avant et attendait à la gare pour recevoir sa maîtresse et les infirmières n évita ainsi tt retard par ces dispositions et l'on conduisit lady Edith directement de s voiture au compartiment préparé pour elle. Merton s’assit à la droite de s malade, une des nfrmèrs s mit à a gauche l’autre prit place en face de lay Edith. Si bien que e
place en face de lady Edith. Si bien que de quelque côté que se portât le regard de la malheureuse jeune femme, il rencontrait toujours les yeux vigilants de l’une ou l’autre de ses trois gardes. Si l’esprit de lady Edith n’avait pas été exclusivement absorbé par ses propres malheurs et si les infirmières eussent pas été occupées à exercer une surveillance incessante sur sa personne, les unes ou les autres auraient remarqué que, depuis le moment où elle était entrée dans la voiture, un homme s’était assis derrière elle. Un homme roulant derrière une voiture n’avait peut-être rien en
place en face de lady Edith. Si bien que de quelque côté que se portât le regard de la uluemeresah jeune femme, il rencontrait toujours les yeux vigilants de l’une ou l’autre d ses trois gardes. Si l’sprt de lady Edith n’avait pas été exclusivement absorbé par ses propres malheu et les infirmières eussent pas été occupées à exercer une surveillance incessante sur s personne, les unes ou les autres auraient remarqué que, depuis le moment où elle était entrée dans la voiture, n homme s’était assis derrière elle. Un hmm roulant derrière une voiture n’avait peut-être rien en
Un homme roulant derrière une voiture n’avait peut-être rien en soi de fort étrange. Mais à cette heure inusitée et va l’aspect désert des rues, cela semblait assez extraordinaire, surtout si l’on songeait que ce flic attendait à l’extrémité d’Oxford Street qui touche au Parc et qu’ion que la voiture dans laquelle se trouvait lady Edith Merton tourna le coin, le cocher du fiacre se lança immédiatement à sa poursuite et ne s’arrêta qu’à la gare. L’express qui emmenait lady Edith Merton vers l’Ecosse marchait avec une rapidité vertigineuse. Le sifflet de la machine, quand elle s’élançait, avec des cris
Un hmm roulant deerèrri une voiture n’avait peut-être rien en oi de fort étrange. Mais à cette hr inusitée et v l’apct désert des rues, cela semblait assez extraordinaire, utsrout si l’on songeait que ce flic attendait l’extrémité rdfO’oxd Street qui touche au Parc et qu’ion que al voiture dans laquelle se touvait lady Edith Merton tourna le coin, le cocher du fiacre se lança immédiatement à sa poursuite et ne s’arêa qu’à la gare. L’express qui emmenait lady Edith Merton ves l’Ecosse marchait avec une rapidité vertigineuse. Le sifflet de la machine, quand elle s’élançait, avec des cris
sifflet de la machine, quand elle s’élançait, avec des cris perçants aux entrées des tunnels, trouvait seul le silence de la nuit. Une lampe éclairait le compartiment et à la faible lueur qu’elle répandait, lady Edith apercevait les physionomies dures et inflexibles des trois infirmières. La machine allait toujours à travers la nuit sans étoiles jusqu'à ce qu’une pâle aurore grise commençât à poindre le ciel et à pénétrer par les portières avec des lueurs blafardes. Il faisait grand jour, mais un temps froid et humide, quand les voyageurs s’arrêtèrent à Calais. Marthe conduisit lady Edith dans la gare d’attente,
sifflet ed la machine, quand elle nçai’slt,aé avec des cris peants aux entrées des tunnels, trouvait seul le silence e la nu. Une lampe éclairait le compartiment et à la faible lueur quelle rai lady Edith apercevait physnms dures et iexs des trois infirmières. La machine allait tjrs à taer la nuit sa étoiles jusqu'à ce qu’une pâl aurore grise commençât à poindre le ciel et pénétrer par les portières avec des lueurs blafardes. Il faisait argnd jour, mais un temps froid et humide, quand les voyageurs s’rrêtèrnt à Calais. Marthe conduisit lady Edith dans la gr d’attente,
à Calais. Marthe conduisit lady Edith dans la gare d’attente, où elle lui apporta une tasse de café et quelques biscuits. Mais la malheureuse jeune femme refusa de manger. — On pourra me priver de toute arme, murmura-t-elle, on pourra me tenir à l'écart, m’entourer de tous côtés de barreaux de fer, mais on ne pourra pas me forcer à vivre. Elle ne savait pas que les femmes aux soins desquelles on l’avait confiée ne se seraient fait aucun scrupule de la introduire de force de la nourriture dans le gosier, si elles l’avaient jugé nécessaire. Comme elle traversait le
à Calais. Marthe uicdnoits lady E dn la gare d’attente, où elle lui apporta une tasse de café et quelques biscuits. Mais la malheureuse jeune femme refusa de manger. — On pourra me priver de toute arme, murmura-t-elle, on pourra me etinr à l'écart, m’entourer de tous côtés de barreaux de fer, mais on ne pourra pas me forcer à vivre. ll ne savait pas que les femmes x soins dequlles on l’avait confiée ne se seraient fait aucun scrupule d la introduire de force de la nurrur dans l gosier, si elles l’avaient jugé nécessaire Comme lele traversait le
gosier, si elles l’avaient jugé nécessaire. Comme elle traversait le quai pour retourner dans son wagon, un homme qui semblait appartenir à l’administration du chemin de fer, s’approcha aussitôt vers le petit groupe. C’était un employé du télégraphe. — Madame, dit-il en s’adressant à lady Edith qu’il reconnut à la richesse de sa toilette pour une personne qu’il cherchait à l’honneur de pareil, j’ai l’honneur de parler à lady Edith Merton ? Un frémissement de joie courut dans les veines de la jeune femme en entendant prononcer son nom d’une façon si inattendue. Ses amis étaient-ils donc près d’elle et
gosier, si es l’avaient jugé nécessaire. Comme elle trvrst le quai pour retourner dans son wagon, un homme qui semblait appartenir à l’administration du chemin de fer, ’approcha sstô vers le petit groupe. C’était un employé du télégraphe. — Madame, dit-il en s’adressant à lady Edith qu’il reconnut à la richesse de sa toilette pour une personne qu’il cherchait à l’honneur de pareil, aij’ l’honneur de parler à lady Edith Merton Un frémissement de joie crt dans les sevien la jeune fem en entendant prononcer son nom d’une façon si inattendue Ses amis étaient-ils donc près d’elle t
façon si inattendue. Ses amis étaient-ils donc près d’elle et se préparaient à la délivrer ? — Oui, s’écria-t-elle vivement, avant qu’une de ses gardiennes eût pu ouvrir la bouche : je suis lady Edith Merton. — Nous avons une dépêche pour votre seigneurie. Nous savions par quel train il fallait vous attendre car la dépêche nous en informait. Voulez-vous être assez bonne pour rentrer au bureau ? Toujours suivie par les infirmières, lady Edith pénétra dans le bureau derrière l’employé qui, sur la demande de celui-ci, signa son nom sur un registre, il lui remit la dépêche. Elle ne
façon si inattendue. Ses amis étaient-ils donc près d’elle et se préparaient la délivrer ? — Oui, ’écria--elle vivement, avant qu’une de ses gardiennes eût pu ouvrir la bouche : j suis lady Merton. — Nous avons n dépêche pour votre seigneurie. Ns svns par quel train il fallait vous attendre car l dépêche nous en informait. Voulez-vous être assez bonne pour rentrer au br ? Toujours suivie par les infirmières, lady Edith pénétra dans le br derrière l’employé qui, sur la demande de celui-ci, signa son nom sur un registre, il lui remit dépêche. Elle ne
sur un registre, il lui remit la dépêche. Elle ne l’ouvrit pas avant d’être montée dans son compartiment ; alors d’une main tremblante elle déchira l’enveloppe : et vit ce qu'elle contenait. La dépêche ne renfermait qu’un seul mot : Espoir. Elle roula le papier dans sa main avant qu’aucune des infirmières assise à ses côtés eût le temps de lire par-dessus de son épaule et le fourrant dans son corsage elle ferma les yeux comme si elle dormait. Ce sommeil n’était que simulé, on put l’imposer, pour cacher la violente émotion qui s’était emparée d’elle. « Espoir » disait
sur nu registre, il lui remit la dépêche. ll e lvrit pas avant d’être éomten dans son compartiment ; r d’n main tremblante elle déchira l’enveloppe : et vit ce qu'elle cntnt. La dépêche ne renfermait qu sl mot : spr. le roula el papier dans sa main avant acu des infirmières assise à ses côtés eût el temps de lire pr-dsss de sn plaeué le ura dans so seragco elle ferma yeux comme si elle drmt. Ce sommeil n’était euq simulé, on put l’imposer, pour cacher la violente émotion qui s’était emparée d’elle. « Espoir disait
violente émotion qui s’était emparée d’elle. « Espoir » disait la dépêche. Y avait-il donc en réalité lieu d’espérer ? Un moment auparavant, dans l'amertume de son désespoir, la coupable avait souhaité la mort ; maintenant son âme orgueilleuse frémissait à l’espérance que, en dépit de tout, elle pourrait échapper au juste châtiment mérité par sa criminelle tentative et triompher de son mari. — Espoir !... murmura-t-elle en elle-même. Oui... oui, j’espère. Elle ne croyait qu’une seule personne capable de lui avoir envoyé cette dépêche. C’était lord Willoughby. — Lionel, pensait-elle, mon noble et généreux Lionel, il a appris mes
violente émotion qui a’téits pré d’elle. « Espoir » disait la dépêch. Y avait-il donc en réalité lieu d’espérer ? Un moment auparavant, dans l'amertume de son désespoir, la coupable avait souhaité a mort ; maintenant nso âme orgueilleuse frémissait à l’espérance que en dépit de tout, elle pourrait échapper jue châtiment mérité par sa criminelle tentative et triompher d son mari. — Espoir !... murmuratelle en elle-même. Oui... , jespère Elle ne croyait qu’une se personne cae de lui avoir envoyé cette dépêche. C’était lord Willoughby. — Lionel, pensait-elle, mon noble et généreux Lionel l a appris m
pensait-elle, mon noble et généreux Lionel, il a appris mes tourments et veut me délivrer. L'alarme était médiate quand le train dans lequel voyageait lady Edith s’arrêta à une petite gare perdue dans les montagnes de l’Ecosse. (Suivre). (DÉPOSÉ) PEINTURE LAQUÉE La meilleure et la plus avantageuse des peintures brillantes Brillant analogue à la porcelaine 60 nuances dont deux Ors et un argent pour l'Intérieur et l'extérieur Facile à employer. Couvre de 8 à 10 mètres carrés par kilo. En vente à CONSTANTINE chez les principaux Droguistes, Marchands de Couleurs et Quincaillers. Renseignements et vente en gros : M. DETOURBE,
pensait-elle, mon nbl et généreux Lionel, il a appris mes tourments et veut me élive L'alarme était médiate quand l train dans lequel voyagat lady Edith s’arrêta une ptt gare perdue ds les montagnes de l’Ecosse. (Suivre). (DÉPOSÉ) PEINTURE LAQUÉE La meilleure et la plus avantageuse ds itrs billts Brillant nlg la porcelaine 0 nuances dont deux Ors et un argent uorp l'Intérieur et l'extérieur Facile employer. Couvre de 8 à 10 t carrés par kilo. En vente à CNSTNTN chez les principaux Droguistes, Marchands de Couleurs et Quincaillers. Renseignements et vente en gros : M. DETOURBE,
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Vendredi 9 heures soir COMPAGNIE TOUJACHE LANGUEDOC, ALGERIE, ITALIE, TUNIS A MAROC SERVICE POSTAL FRANÇAIS Agence de Philippeville ITINÉRAIRES. Arrivée à Philippeville : de Marseille direct, Départ de Philippeville : pour Marseille direct Lundi à midi. Service Commercial, Période d'été Départ de Philippeville : Pour Marseille direct Dimanche 11 h. matin PRIX DES PLACES: 1ère classe couchette et nourriture 95 fr., 2ème classe — 65 fr. de Philippeville à Marseille. 3ème classe 28 fr. (sans nourriture) 14 fr. Plus 1 fr. par passager pour droits de péage. Une réduction de 10 % est accordée, sur les billets d’aller et retour,
Vendredi 9 hrs soir COMPAGNIE OUA LNGDC, LAEEG,IR ITALIE, TUNIS A MAROC SERVICE PTL FRANÇAIS Agence de hilipeile ITINÉRAIRES. vierrAé à Philippeville : de Marseille direct, Départ de Philippeville : pour Marseille direct Lundi à midi. Service Commercial Période d'été Départ de iipevile : Pr Meille direct Dimanche 11 h. matin PRIX DES PLACES: 1ère classe cchtt et trineroruu 9 fr., 2ème classe — 65 r. de Philippeville à Marseille 3ème classe 8 fr. (sans nourriture) 14 fr. Plus fr. par passager pour droits de péage. Une réduction de 10 % est accordée, sur les billets d’aller et retour,
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de Luxe et de Travail POUR TOUS GENRES M.ils sont réputés pour la modicité de leurs prix En raison de l’extension de ses affaires, le propriétaire du Chat Botté a transféré ses magasins mêmes rue et maison, dans un local plus vaste. Expédition à l’Inférieur Percé à 8 en * sur intérêt. Long terme. Discrétion Intérêt 4 pour cent. Société industrielle, 83 rue Lafayette. Paris (25) Ne pas confondre "...n," * U.'J‘LU "J 1 J L»» 1 » AVIS Mourir nr H A MOU BEN H A DJ AHMED OUI AB « l'honneur d’informer le public que par acte sous
de Lx et de a POUR TOUS GENRES M.ils sont réputés pour l modicité de leurs prix En raison de l’extension de ses affaires, le prie d Cht Bott a transféré ses magasins mêmes rue et maison, dans un local pls vaste. Expédition à l’Inférieur Percé à 8 en * sur intérêt Long terme. Discrétion ntérêt 4 pour cetn. Société industrielle, 83 rue Lafayette. Paris (25) Ne pas confondre "...n," * U.'J‘LU "J J L»» 1 » AVIS Mourir nr H A MOU BEN H A DJ AHMED OUI AB « l'honneur d’mr le public qe par acte sous
AB « l'honneur d’informer le public que par acte sous pli noir en date du 19 janvier 1906, il a acquis de Monsieur NASSER BEN HADJ BRAHIM BOUDA AS le fonds du magasin de tissus que le dernier exploitait rue Courbes n° 133. Les oppositions seront reçues entre les mains de l'acquéreur AVIS MM, HADJ Brahim BEN BAKIR et Fils, commerçants à Constantine, place des Galettes, ont l’honneur d’informer le public que par acte sous seing privé en date du 21 janvier 1906 ils ont acquis de Monsieur OMAR BEN AHMED ATFAOUI le magasin de tissus que ce dernier exploitait
AB « l'honneur dinformer le iuplcb ue par acte sous pli noir en date du 19 janvier 1906, il a aqi de usMoerni NASSER BEN AHJD BRAHIM BOUDA AS le fonds du magasin de tissus que le dernier exploitait rue Courbes n 133. Les oppositions seront reçues entre les mains de l'acquéreur AVIS MM, HADJ Brahim BEN BKR et Fils, omns à Constantine, place des Galettes, n ’honneur ’informer le public que par acte sous seg prvé n date du 21 janvier 1906 ils ont acquis de Monseur MR BN AHMED ATFAOUI le magasin de tissus que ce dernier exploitait
AHMED ATFAOUI le magasin de tissus que ce dernier exploitait à Jemmapes. Les oppositions seront reçues pendant un délai de 10 jours chez M. Fell Ben Slimane, 6, rue Nationale, à Constantine, AVIS M. KASSEM EL HADJ Aissat Behker informe le public que par acte sous seing privé en date du 18 Janvier 1906 il a acquis de Monsieur NASSER ben HADJ BRAHIM BOUDA AS le fonds du magasin de tissus que ce dernier exploitait à St Arnaud. Les oppositions seront reçues entre les mains de l’acquéreur. TRIBUNAL DE COMMERCE DE CONSTANTINE. Extrait D’un jugement en date du vingt-six janvier
M ATFAOUI le magasin de tissus que ce dernier exploitait à Jmmps. Les ppiins seront reçues pendant un ladéi de 10 jours chez M. Fll Ben Slimane, , rue Nationale, à neointn,Cast AVIS M. KASSEM EL HADJ Aissat Behker informe le public que par acte sous seing prv en date du 18 Janvier 1906 il a acquis de Monsieur NASSER ben HADJ BRHM BOUDA AS le fonds du magasin de stsuis que ce dernier exploitait à St rnd. Les oppositions seront reçues entre les mains de l’acquéreur. TRIBUNAL COMMERCE DE CONSTANTINE. Extrait D’un jugement en date du vsin-tgxi janvier
DE CONSTANTINE. Extrait D’un jugement en date du vingt-six janvier 1906, Il appert que le tribunal de commerce de Constantine a déclaré en état de faillite dont l’ouverture est provisoirement fixée au douze janvier courant, le sieur Mohamed Sassi ben Moussa, commerçant, demeurant à Constantine. Le même jugement ordonne l’apposition des scellés partout où besoin sera et accorde au failli un sauf-conduit provisoire. Puis nomme M. Pouill magistrat du siège, juge commissaire, et M. Réjou, syndic provisoire. Le Greffier y A. VALLE. Bureau des Domaines DE CONSTANTINE AVIS Le MARDI 30 JANVIER 1906 à 9 h du matin, sur la
DE CONSTANTINE. Extrait D’un jugement e date du vingt-six janvier 196 l appert que le tribunal de re de Constantine a déclaré en état de faillite dont l’ouverture est provisoirement fxé au ze janvier urn le sieur Mohamed Sassi ben Moussa, commerçant, demeurant à Cnstntn. Le même jgmnt ordonne lapposition des scellés partout ù besoin sera t accorde au failli u sf-cndt provisoire. Puis nomme M. Pouill magistrat du sèg, juge commissaire, et M. Réj, syndic provisoire. Le Greffier y A. VALLE. ueu des Domaines DE CONSTANTINE AVIS Le MARD 30 JANIER 1906 à 9 h d matin, sur la
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