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portée en terre, et, selon une coutume du pays, les répondants de la morte, attestateurs de sa vertu, de sa bonté, de sa foi, marchaient devant son cercueil, tête nue. C'étaient le docteur Abraham van Roëlls, le frère de Maaris, Pieter van Ghelders, qui est luthérien, et l'abbé de Boursault. Nous n'étions pas nombreux, derrière ce cercueil d'exilée, et ce fut une marche sinistre, dans le bref crépuscule de l'automne. Mais un peu de soleil dorait encore le cimetière. Dans la chapelle, les cierges étincelaient. L'abbesse, immobile et grave, reçut le corps, et la messe des morts se déroula, dans
portée en terre, et, selon une coutume du pays, les répondants de la morte, attestateurs de sa vertu, de sa bonté, d sa foi, hin devant son euelricc, tête nue. C'étaient le docteur Abraham van Roëlls, l frère de Maaris, Pieter van Ghelders, qui est luthérien, et 'abbé de Boursault. Nous 'étions pas nombreux, drri ce cercueil d'exilée, et ce fut e marche sinistre, dans le bref crépuscule e l'am. Mais un peu de soleil dorait encore le cimetière. Dans la chapelle, les rges étincelaient. 'abbesse, immobile et grave, reçut le corps, et la messe ds tmors se déroula dans
le corps, et la messe des morts se déroula, dans sa gloire funèbre. Ethel priait, comme peut prier une fille qui n'a eu, encore, que l'amour maternel pour remplir son cœur. Je demandai notre maître à tous le repos éternel pour la morte, et pour ceux dont je ne puis détacher mon souvenir. Ceux qui gardent leurs mamans jusqu'à l'âge mûr ne savent point quelle douleur c'est de les perdre au seuil de l'adolescence, et presque dans l'enfance encore. Je me sentis affreusement faible et misérable pendant de longues minutes. Et puis, soudain, derrière les voiles noirs tendus sur les
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Et puis, soudain, derrière les voiles noirs tendus sur les grilles, un chœur de voix féminines s'éleva, qui chantait l'amour divin, le repos éternel, la résurrection dans la céleste lumière. Et les grilles roulèrent silencieusement sur leurs pondages. Huit sœurs pénétrèrent jusqu'à nous le visage si bas dans l'ombre de leurs voiles, que nous n'en pûmes distinguer aucun trait. Elles enlevèrent le cercueil sur leurs épaules, et pénétrèrent dans le chœur grand ouvert. Tous nous étions à genoux sur les dalles. L'orgue chantait, dans le chœur des voix murmurantes. Au-dessus de l'autel, un long Christ agonisait sur sa croix. Sous
Et ps sdua,ion derrière les voiles noirs tendus sur ls grilles, un chœur de voix féminines s'éleva, qui chantait mrula'o divin, le repos éternel, la résurrection dans la céleste lumière. Et les grilles rlèrnt silencieusement sur eus pondages. Huit sœurs pénétrèrent jusqu'à nous le visage si bas dan lombre de leurs voiles, q nous n'en es distinguer aucun trait. Elles enlevèrent le cercueil sr leurs paue, et pénétrèrent dans le chœr grand ouvert. Tous s étions à genoux ur les dalles. Lorgue ca,htatni dans le chœur voix mrmrnts. -dsss de l'autel, un lng Christ agonisait sur sa croix. Ss
de l'autel, un long Christ agonisait sur sa croix. Sous son geste d'accueil et de pardon, la dépouille de Jacqueline traversa les groupes des religieuses agenouillées. Les grilles se refermèrent. Une autre porte s'ouvrit, pour nous permettre d'assister à la fin de la cérémonie. LOCATIONS KON MENSILEES G.aPp' à louer. Boute, 5, rue Jouveaux. Bout, et locaux, Jean, 6, r. St Lazare. Ingénieur civil, 3 pièces. École Technique, abonné P. o. V. U, rue Lafayette. À 1. suite local industriel, 7 a. bail, prox. place Républicaine. S'adresser M. L. D'Estournel, 25, rue du Temple, 25, Paris. Demande à louer usine
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sur ris. occupant. Dame u ag. dispens qq. mil. fr., trouv. ch. nous m. Il 1'ess., gd rijo e circonstances. i conn., spéc., ass. fort. a coud, tr Paresseux aat'.b; Nombreux réf. satisfait. Omnium, 42, rl'Ouest (Métro Montparnasse). Petite industrie, ea app s. cnn. spéc., fc à irige Fondée en Paris de Rock, un fonds de r»ue K.d.g. Ne, 0.025 p. m. Baulaine, négociant 13, rue du Rond. Cie l pauvre morte on mit une dalle nue qui portait seulement ceci Dame Jacqueline de Sba morte en Dieu en la quarantième année de son âge. Ce XVII septembre MDCCLXIX.
la quarantième année de son âge. Ce XVII septembre MDCCLXIX. Priez pour Elle. Alors, j'ai pris Ethel par le bras. 30 septembre, j'ai revu Isaac Blagenpoëls. Il m'a remis une lettre pour Mme Bouillon. Toutes nos mesures sont prises pour le départ. Walsh a chargé son bateau, et demain nous quitterons Amsterdam. J'ai moi-même pris soin d'emporter tout ce qui peut être pour Ethel un souvenir de sa maman. Vous êtes allés, Ethel si touchante dans son pauvre deuil et moi, rendre visite au bon docteur Van. Il nous a reçus avec une gravité affectueuse et une grande tristesse. Il
l quarantième année de son âge. Ce XVII septembre MDCCLXIX. Priez pour l. Alors, jai pris Ethel par le bras 30 septembre, revu Isaac .elpgnësloaB l m'a remis une lettre pour Mme Bouillon. Tt ns mesures nsot prises pour le départ. halWs a chargé sn bt, et demain nous quitterons Amsterdam J'ai m-mêm pris soin d'emporter tout ce pt être pur Ethel un souvenir de sa am Vous êtes allés Ethel s touchante dns son pauvre deuil et m, rendre visite au bon docteur Van. Il ns a reçus avec une gravité affectueuse et une grande trstss. Il
reçus avec une gravité affectueuse et une grande tristesse. Il n'a pas voulu accepter la moindre rétribution pour les soins précieux qu'il a prodigués à Jacqueline. Mais il m'a tenu un langage qui m'a singulièrement troublé. Monsieur des Haudres, avez-vous dit, en reconnaissance du peu d'aide que j'ai apportée à vos parentes, promettez-moi si jamais il est en votre pouvoir de porter secours à un juif injustement vilipendé, malmené, ou méconnu; de le secourir, je le promets, docteur, dis-je. Je vous en donne ma parole de gentilhomme français. Et puisque vous êtes Français, et que, vous vous prévalez de l'être,
reçus avec n gravité efecfueuast t une grnd tristesse Il n'a pas voulu accepter la moindre rétribution pour les soins précieux qu'il a prodigués à Jacqueline. Mais il 'am tn un langage qui m'a singulièrement troublé. Monsieur Haudres, aez dit, en reconnaissance du peu d'aide que j'ai apportée à vos parentes, promettez-moi si jamais il est en votre pouvoir porter secours à un juif injustement vilipendé, malmené, ou méconnu; de le secourir j le poes docteur, dis-je. Je souv en donne ma parole de gentilhomme français. Et q vous êts Français, et que, vous vous prévalez de lêtre
vous êtes Français, et que, vous vous prévalez de l'être, monsieur des Haudres, pour l'amour de Dieu, ne portez pas les armes contre la France - La France, voyez-vous, c'est une mère. Nous n'avons, nous, juifs que des mères. Nous les avons défendues cependant. Ceux de Prague ont lutté contre les Turcs, ceux de Hollande se sont battus contre Louis XIV, ceux d'Angleterre ont combattu avec Cromwell. Ne portez pas les armes contre votre patrie. Je vous en supplie, je vous en conjure. RAIS, monsieur, dis-je. POUR L'AGE Tintes taffetas lavables pour lingerie colorés assortis de 100 mètres 2.500.000 mètres
vous êtes Français t que, vous vous prévlz de l'être, osie sed Haudres, pour l'amour de Dieu, n portez pas les armes o la France - L France, vyz-vs, c'est une mère. Nous n'avons, nous juifs qeu sed mères. Ns les vns défendues cependant. Ceux de Prague nt lutté contre les Turcs, ceux Hollande se sont battus contre Louis XIV, ceux d'ngltrr ont combattu avec Cromwell. Ne portez pas ls armes contre votre .ietpar Je vous en supplie, j vous en conjure RAIS, monsieur, dis-je. OPRU L'AGE Tintes taffetas sllevbaa pour lingerie clrés assortis de 100 mètrs 2.500.000 mètres
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Nous sommes arrivés hier, avec la plus grande peine. Et sans Walsh, nous ne nous serions peut-être pas tirés facilement d'affaire. Mais il me faut noter ici brièvement ce qui nous est advenu durant ce long retour. Nous avions quitté Amsterdam le 1er octobre, à cinq heures du matin. Notre petit bagage embarqué, nous-mêmes, ma pauvre Ethel et moi, prîmes la venue place à bord de la Sainte-Odile. Jusqu'au 16 d'octobre, la situation ne fut guère troublée. Ethel était toute à sa douleur. Elle classait et rangeait les petits souvenirs qui lui viennent de sa mère chérie. Et j'avais soigneusement
Nous sommes arrivés hier, avec la plus grande peine. Et nsas nous ne nsuo serions peut-être pas tirés fclmnt d'ffr. saMi il me faut noter ici brièvement qui ns est advenu durant ce long retour. Nous avions qtté Atedmrsma l 1e tb à cinq heures du matin. Notre petit bagage mbrqé, nous-mêmes, ma pauvre Ethel et moi, prîms la venue lac à bord de la Snt-dl. Jusqu'au 16 'octobre, la situation n fut guère troublée Ethel était toute à sa douleur. Elle classait te rangeait les ptts souvnis qui lui viennent de sa mère chérie. Et 'avais soigneusement
qui lui viennent de sa mère chérie. Et j'avais soigneusement caché, dans un coin de la cale, la lettre de Pitt et les livres sterling, ainsi que tout ce qui aurait pu nous dénoncer. Vêtu selon le conseil de Walsh, en personne du commun, Ethel étant elle-même habillée en jeune fille du peuple, nous n'attirions point l'attention partout où nous passions. Quant à Richelet, intelligent et robuste, il rendait de précieux services à bord, en grand silence, selon sa coutume, car sauf en ce qui concerne mon service, il se dit 'pas lingé, ne me dis pas jour. Le voyage
q lui viennent sa mère eihc.ré Et j'avais sgnsmnt cché, dans un coin de la cale, l lettre de Pitt et les le sterling, ainsi que tout ce qui aurait pu nous dénoncer. Vêtu selon le conseil de Walsh, en personne du commun, Ethel étant e-ême habillée en jeune fille du peuple nous n'attirions point l'attention partout où nous passions. Quant à Richelet, intelligent et robuste, il netarid de précieux services à brd, en grand silence selon sa coutume car sauf en c q concerne mon service, il se dit 'pas lingé, ne me dis pas jour Le voyage
dit 'pas lingé, ne me dis pas jour. Le voyage se poursuivait lentement. Nous avions pris de bons chevaux de balle à la poste d'eau, chaque fois que le vent faisait défaut, et quand la brise soufflait favorablement, nous remontions assez rapidement le courant sous l'étai de notre grande voile carrée. En une seule journée le 10 octobre nous couvrîmes vingt lieues. (A suivre,) Gaston Ch. RICHARD. REPRODUCTION EXACTE OU CERTIFIÉ QUE L'ON VEUT POSSÉDER LES MAISONS VENDANT EXCLUVEMENT LES VÉRITABLES MONNAIES ETRANGERES REÇUES EN DÉPÔT AVEC INTÉRÊT BANQUE FRANÇAISE D'ÉSCOMpte et de CHANGE Bourse MAGENTA. PARIS TEL. NO. HD
dit 'pas lingé ne me dis pas jour. L voyage s poursuivait m Nous avions pris de bons chevaux de bll à la poste d'eau, chaque fois que le vent faisait défaut, et quand l brise soufflait fvrblmnt, nous remontions a rapidement le courant sous l'étai de notre grande voile carrée. n une seule journée le 10 octobre nous couvrîmes vingt lieues. (A suivre,) Gaston Ch. RICHARD. REPRODUCTION EXACTE OU CERTIFIÉ QUE L'ON VEUT POSSÉDER LES MAISONS VNDNT EXCLUVEMENT LES VÉRITABLES MONNAIES ETRANGERES REÇUES EN DÉPÔT AVEC INTÉRÊT BANQUE FRANÇAISE D'ÉSCOMpte et de CHANGE Bourse MAGENTA PRS TEL. NO HD
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QUALITÉ. Demander le catalogue n° 11 expédié franco sur demande affranchie à M. Henri WSILI rue MACHINES À ÉCRIRE À CREDIT LOCATION Demandez catalogue "P" envoyé franco à la MACHINE À ÉCRIRE, 6 bis, rue du 4-Septembre, PARIS CURE D'AUTOMNE Il est un fait reconnu, qu'à l'AUTOMNE comme au printemps, le Sang, dans le corps humain, suit la même marche que la sève chez les plantes, aussi entendez-vous tous les jours dire autour de vous « J'ai le sang lourd. Il est donc de toute nécessité de régulariser la Circulation du Sang, d'où dépendent la vie et la santé. Il
QUALITÉ. Demander le catalogue n 11 expédié franco sur demande ffrnch à M. Henri WLI rue MACHINES ÉCRIRE À CREDIT LOCATION maeDndez catalogue "P" néeyov franco à l MACHINE À ÉCRR, 6 bis, rue du 4-Septembre, PARIS CURE D'AUTOMNE Il est un fait reconnu, qà l'AUTOMNE comme au printemps, e Sang, dans corps humain, suit la memê marche q la sève chez les plantes, aussi entendez-vous tous les jours dire tr de vous « J'ai l sang lourd. Il est donc de toute nécssté de régulariser la Circulation du Sang, d'où eenddpnté l vie e la santé. Il
du Sang, d'où dépendent la vie et la santé. Il faut faire une petite cure de six semaines environ avec la Jouvence de l'Abbé SOURY C'est surtout chez la Femme que cette nécessité devient une loi. En effet, la Femme est exposée à un grand nombre de maladies, depuis l'âge de la Formation jusqu'au Retour d'Âge, et nulle ne doit ignorer que la Jouvence de l'Abbé SOURY, préparée avec des plantes dont les poisons sont rigoureusement exclus, guérit toujours les Maladies intérieures Métrites, Fibromes, mauvaises suites de Couches, Tumeurs, Hémorragies, Leucorrhées et le régularise la circulation du Sang, fait disparaître
du nSg,a d'où dépendent la vie et la santé. Il faut faire une petite cure de semaines environ avec la Jouvence de l'Abbé SOURY C'st surtout chez la Femme que cette nécessité devient une loi. En effet, la Femme est exposée à un grand nombre de maladies, depuis l'âge de la Formation jusqu'au Retour d'Âge, et nulle ne doit ignorer que la Jouvence de l'Abbé SOURY, préparée ave des plantes dont les poisons ot rigoureusement els, guérit toujours les Maladies eeirtréuins Métrites, Fibromes, mvss suites de Couches, Tmrs, Hémorragies, Leucorrhées et le régularise la circulation du Sang, fait disparaître
Leucorrhées et le régularise la circulation du Sang, fait disparaître les Varices, les Étourdissements, les Maladies de l'Estomac, de l'Intestin et des Nerfs. La Jouvence de l'Abbé SOURY les époques douloureuses, en avance ou en retard. Son action bienfaisante contre les différents Malaises et Accidents du RETOUR d'Âge est reconnue et prouvée par les nombreuses lettres élogieuses qui nous parviennent tous les jours. Il est bon de faire chaque jour usage de l'HYGIÉNITINE DES DAMES, La boîte, 4 fr. 40. La Jouvence de l'Abbé SOURY préparée à la Pharmacie Mag. DUMONTIER, à Rouen, se trouve dans toutes les Pharmacies, le
Leucorrhées et e réglrs la circulation du Sang ft disparaître e Varices, les titsmoÉ,sensured les Maladies de 'Estomac, de l'Intestin et des Nrfs. La Jouvence de l'Abbé SOURY les époques douloureuses, en avance ou en retard. noS cation bienfaisante contre les différents Malaises et ccdnts du RETOUR d'Âge est reconnue et prouvée par les nombreuses lettres élogieuses qui nous parviennent tous les u Il est bon de faire chaque jour usage de 'HYGIÉNITINE DES DAMES, La boîte, 4 fr. 40. La Jouvence de lAbbé SOURY prépré à la Pharmacie Mag DMNTR, à Rouen, se trouve dans toutes les Pharmacies, le
DUMONTIER, à Rouen, se trouve dans toutes les Pharmacies, le flacon 6 fr., plus impôt. 0 fr. total • fr. Bien exiger la Véritable JOUVENCE de l'Abbé SOURY qui doit porter le portrait de l'Abbé SOURY et la signature Mag. DUMONTIER en rouge. LE HUIS-CLOS RIVIERRE, 44, rue de Villiers, LEVALLOIS (Seine) ancien théâtre laboratoire. MALADIES SPEZIALES de deux sexes, guéries ou le contrôle d'ET MENS MICROSCOPIQUES et ANALYSES du SANG. de 9 à 4 h., de 15 à 20 h. et dimanche matin. Conseils gratuits par lettres discrètes aux malades trop éloignés. Institut SEROTHERAPIQUE. 96, RIVOLI, PARIS (Ceinture) B
DUMONTIER, à Rouen trouve dans toutes sle Pharmacies, le flacon 6 fr., plus impôt. 0 fr. total • fr. Bien xgr la Véritable JOUVENCE de 'Abbé SOURY qui doit porter le portrait de 'Abbé SOURY et la signature Mg DUMONTIER en rg. LE HUISCLOS RIVIERRE, 44, rue de Villiers, LEVALLOIS (Seine) ancien théâtre laboratoire. MALADIES SPEZIALES de deux ses guéries ou le contrôle d'ET MENS MICROSCOPIQUES et ANALYSES du SANG. de 9 4 h., de à 20 h. et dimanche matin. Conseils gratuits par lettres discrètes aux mlds trop éloignés. Institut SRTHRPQ. 9, RIVOLI, PARIS (Ceinture) B
malades trop éloignés. Institut SEROTHERAPIQUE. 96, RIVOLI, PARIS (Ceinture) B des deux sexes, atteints d'affections spéciales, allez (9 h-19 h) pour Analyse du sang. Cure intense de Néo. Uroculaire. Voir veines ou demander à l'Institut Médical, 55, B. Sébastopol, PARIS (Très discret) (Prix modérés)
malades trop éloignés. nsttt SEROTHERAPIQUE. 96 RVL, PARIS (Ceinture) B ds deux ses atteints d'affections spéciales, allez (9 h-19 h pour nlys du sang. Cr intense de Néo. Uroculaire. Voir veines ou demander à l'Institut Médical, 55 Sébastopol, PRS (Très tr)dcsei (Prix modérés)
Deuxième année DÉCEMBRE 1894 N° 16 Pour les annonces, s'adresser à M. FOUILL, Président de la Société, Professeur au Lycée de Constantine SOMMAIRE 1. Membres nouvellement admis. S. Réunion du comité; — Procès-verbal de la séance du 3 décembre 1894. 3. Recettes et procédés. 4. Avis et communications diverses. 5. Nos illustrations. MEMBRES NOUVELLEMENT ADMIS • MM. BERNARD, sous-inspecteur des Forêts à Constantine, membre adhérent: ECOLAN, directeur de la maison Saint François à Constantine, membre adhérent. GODAR, capitaine d'Artillerie à Setif, membre correspondant. HAUVET, professeur au lycée, membre honoraire, devient membre adhèrent. ROSENTHAL, chef des travaux graphiques du Service géographique
Deuxième nné EBR 1894 N° 16 Pour les annonces, s'adresser à . FOUILL Président de la Société, Professeur au Lycée de Constantine SOMMAIRE 1. Membres nouvellement admis. S. Réunion du comité; — Procès-verbal de la séance du 3 décembre 1894. 3. Recettes e procédés. 4. Avis et communications diverses. 5 Nos illustrations. MEMBRES VELLENT ADMS • MM. ,RBDRNAE sous-inspecteur des Forêts à Constantine, membre adhérent: ECOLAN, directeur de la maison Saint François à Constantine, m adhérent. GODAR, capitaine d'Artillerie à etf ebrmem correspondant. HAUVET, professeur lycée, membre honoraire, devient membre adhèrent. ROSENTHAL, chef des travaux graphiques du Service géographique
membre adhèrent. ROSENTHAL, chef des travaux graphiques du Service géographique à Constantine, membre adhèrent. COMITÉ D'ADMINISTRATION Procès-verbal de la réunion du 3 décembre 1894 Le 3 décembre à 5 heures du soir, le Comité d'administration du Photo-Club, s'est réuni dans le nouveau local de la Société, rue du 17e Léger, n° 19. Étaient présents : MM. Pouill, président ; Rousselot, Lahache, Hémery, Lahiteau, membres, et Amat, secrétaire. S'étaient fait excuser et avaient envoyé leurs pouvoirs : MM. Désjardin et Lepage. L'ordre du jour porte : Correspondance; Distribution du local ; Présentation d'un locataire-concierge ; Installation de l'atelier de pose ;
membre adhèrent. ROSENTHAL, chef des travaux graphiques du Service géographique à Constantine, bre adhèrent. TIÉOCM DADMINISTRATION Procès-l la réunion ud 3 décembre 1498 L 3 décembre à 5 heures du soir, l Comité 'administration du Photo-Club, s'est réuni dans le nouveau local de la Société, rue du 17e ,Lgeré n° 1 Étaient présents : MM. Pouill, président ; Rsslt, Lahache, Hémery, Lahiteau, membres, et Amat, secrétaire. S'étaient fait excuser et avaient envoyé leurs pouvoirs : MM Désjardin et Lepage. L'rdr du jour porte : Correspondance; Distribution du lcl ; Présentation d'un locataire-concierge ; Installation de 'atelier de pose ;
Présentation d'un locataire-concierge ; Installation de l'atelier de pose ; Questions et propositions diverses. M. le Président ouvre la séance. Il communique au Comité : 1* Une lettre de M. Evesque, pharmacien major, membre du comité. M. Evesque nous fait part de sa nomination à l'hôpital militaire de Batna; il désigne M. Lahache pour le remplacer en son absence, et nous donne une liste de futurs adhérents. 2* Une lettre de M. P. Montandon, membre du Photo-Club de Berne, qui demande à échanger des photographies de sites de la Suisse contre des vues d'Algérie. Sa demande sera insérée dans le
Présentation d'un locataire-concierge ; Installation de l'atelier pose ; Questions et propositions diverses. M. le Président vre la séance. Il communique au Comité : 1* Une lettre de M. Evesque, pharmacien major, membre du comité. M. Evesque ns fait part de sa nomination à l'hôpital mltr de Batna; il désigne M. Lahache pour le remplacer en son absence et nous dnn une liste de tur adhérents 2* n lettre de M. P Mntndn, mmbr d Photo-Club de Berne qui demande échanger des photographies de sites de la Suisse contre des vues d'Algérie. Sa demande sera insérée dns l
contre des vues d'Algérie. Sa demande sera insérée dans le Bulletin. 3* Une carte du Photo-Club Oranais, nous remerciant de l'envoi de notre Bulletin et des deux planches qui y étaient jointes. 4* Une lettre du Secrétaire de la rédaction du journal Le Quotidien illustré, 4, faubourg Montmartre, à Paris, demandant aux membres de notre Société des photographies d'actualité. 5* Une lettre de M. Richard, directeur du Comptoir général de photographies, 57, rue Saint-Roch, à Paris, nous annonçant l'envoi gratuit de la Revue trimestrielle du Comptoir. Il adresse également au président du Photo-Club un échantillon des "Stédiks" nouveaux coupe-épreuves ayant
contr des vues d'Algérie. Sa demande sr insérée dans le Bulletin. 3* Une carte du Photo-Club Oranais, nous remerciant de l'envoi de ne Bulletin et des deux planches qui y n jointes. 4* U lettre du Secrétaire d la rédaction du journal Le Quotidien illustré, 4, faubourg Montmartre, à Paris, demandant aux membres de notre Société des photographies d'actualité. 5* n lettre de M. Richard, directeur du Comptoir éé de photographies, 57, rue Saint-Roch, à Paris, nous annonçant l'envoi gratuit de la Revue trimestrielle du Cmpt. Il adresse également au président du Photo-Club un échntlln des "Stédiks" nouveaux coupe-épreuves ayant
président du Photo-Club un échantillon des "Stédiks" nouveaux coupe-épreuves ayant la forme et les dimensions d'une plume à écrire. Ce petit instrument est examiné par le Comité; il paraît très pratiqué. Il est regrettable que l'inventeur n'en ait pas donné le prix. 6* Une lettre du président du Photo-Club de Paris: nous informant qu'une seconde exposition d'art photographique, aura lieu à Paris en 1895. Il nous adresse un certain nombre d'exemplaires du programme de l'exposition. Les membres de notre société qui désireraient prendre connaissance de ce programme, n'auront qu'à en faire la demande à M. Pouill, notre Président. 7* Une
président du Photo-Club un échntlln des "Stédiks" nouveaux coupe-épreuves ayant la frm et les dimensions d'une plume à écrire. Ce petit instrument est min par le Comité; il paraît très pratiqué. l st rtle que l'inventeur n'en ait pas donné le prx. 6* Une etr du président du Photo-Club de Paris: nous informant qu'une seconde exposition d'art photographique, aura lieu à Paris en 1895. Il nous adresse un certain nombre d'exemplaires du programme de l'xosti. Les membres de notre scété qui désireraient prendre connaissance de ce mme, n'rnt q'à en faire la demande à M. Pll, ntr Président. 7* Une
faire la demande à M. Pouill, notre Président. 7* Une lettre de M. Fleury-Hermagis, nous faisant connaître qu'il ne peut accorder aux membres du Photo-Club qu'une remise de 10 % sur les prix de son catalogue. Ce n'est qu'à titre exceptionnel qu'il a fait, il y a quelque temps, une remise de 20 % à un de nos membres. 8 Diverses circulaires et plusieurs catalogues qui seront classés parmi les archives. M. le Président dépose ensuite sur le bureau les publications suivantes qui lui ont été adressées et qui prendront place dans la bibliothèque : Le Bulletin de la Société
faire la demande à M. Pouill, notre Président. 7* Une lettre de .M Fleury-Hermagis, nous faisant connaître q'l ne peut accorder aux membres du Photo-Club quune remise de 10 % sur les prix de son catalogue. Ce n'est qu'à titre exceptionnel quil a ft, il y quelque temps, une remise d 20 % à un de nos membres. 8 Diverses circulaires et plusieurs catalogues qui oretns classés parmi l archives. M. le Président dépose tnuesie sur le bureau les publications suivantes qui lui ont é adressées et qui prendront place dnsa la bibliothèque : Le ln de la Sc
place dans la bibliothèque : Le Bulletin de la Société Hassalaise de Photographie, la Photo-Revue africaine, le Bulletin de la Société française, le Bulletin de la Société photographique de la Gironde, la Photographie, le Bulletin de la Société caenaise de photographie, la Photographie française, l'Indicateur photographique, l'Hélios et le Bolletino dell'associazione artisti di fotografia in Roma. Le Comité aborde ensuite la question du local. Il décide que tout le deuxième étage plus une chambre et une cuisine du premier seront exclusivement affectés au Photo-Club. La pièce du premier étage, servira de magasin pour les produits et les archives y seront
place dans la bibliothèque Le Bulletin de la Société Hassalaise de Photographie, la Photo-Revue africaine, le Bulletin de la cié française, le Bulletin l Société photographique de la Gironde, la Photographie le Bulletin d la Société caenaise de photographie, la goPahhieortp française l'ndctr photographique, l'Héls et le Bolletino dell'associazione artisti di fotografia in Roma Le Comité aborde ensuite la question du local. Il décide que tout le deuxième étage plus une chambre et une cuisine du premier seront exclusivement affectés Photo-Club. La cepèi du premier étage, servir de magasin pour l produits et ls archives y srnt
de magasin pour les produits et les archives y seront déposées, la cuisine servira de laboratoire supplémentaire. Ce laboratoire est déjà installé. Le deuxième étage comprendra un atelier de pose, un laboratoire, un petit salon et une chambre obscure où sera placé l'appareil d'agrandissement et qui pourra servir aussi de laboratoire. Il reste disponible un logement de trois pièces et une cuisine, situés au premier étage. Ce logement sera sous-loué à un prix réduit, afin d'exiger du locataire l'engagement de servir de concierge. À ce sujet, M. le Président propose d'accepter les offres faites par un ouvrier de M. Meuser.
de magasin pour les produits et les archives y noerst déposées, la cuisine servira de laboratoire supplémentaire. Ce laboratoire est déjà installé. Le deuxième étage comprendra un atelier de pose, un laboratoire, un petit salon t une chambre obscure où sera placé l'appareil dagrandissement et qui pourra servir aussi d lbrtr. l es disponible un logement de trois pièces et une cuisine, sts au premier étage. Ce logement sera sous-loué à n prix réduit afin d'exiger du locataire l'engagement de srvr de concierge À ce sujet M. le Président propose d'accepter les offres faites par n ouvrier de M. Msr.
d'accepter les offres faites par un ouvrier de M. Meuser. Cet ouvrier donnerait 25 francs par mois pour le logement, sa femme serait concierge, elle tiendrait le local en bon état de propreté et distribuerait les produits en magasin aux membres de la Société. Le comité, considérant que, des décisions antérieures prises par lui et par la dernière assemblée générale, il résulte que la nouvelle installation a pour but d'avoir un local exclusivement affecté aux membres du Photo-Club, décide de retirer à M. Gondal, l'autorisation provisoire qu'on lui avait donnée, d'occuper une partie disponible du local; il accepte la proposition
d'accepter les offres faites par un ouvrier ed M. Meuser. Cet ouvrier donnerait 25 francs pr ms pour le logement, sa femme serait concierge, e tiendrait le local en bon état de pépoertr et dstrbrt les produits en mgsn aux membres de la Scété. Le comité, considérant q, des décisions antérieures prises par lui et par la dernière assemblée générale, il résulte q la nvll installation a pour but 'avoir un local exclusivement ffcté aux membres d Pht-Clb, décide ed retirer à M. Gondal, l'trisatio provisoire noq'u lui avait donnée, doccuper une partie disponible du local; il cpte la propsition
d'occuper une partie disponible du local; il accepte la proposition qui lui est faite et donne mandat à son président pour traiter dans ce sens. M. Rousselot est ensuite désigné pour diriger la construction de l'atelier de pose. Rendez-vous est pris pour le lendemain, afin de s'entendre avec MM. Cognon frères, successeurs de M. Lahiteau pour préparer un devis. Le Président présente ensuite au Comité deux magnifiques agrandissements 40/50 sur papier Morgan, représentant l'un un sous-bois (cliché de M. le Capitaine Gillol), l'autre des canards près d'un moulin (cliché de M. Rousselot). Ces agrandissements sont destinés à embellir le nouveau
d'occuper une partie disponible du local; il accepte la proposition qui lui est it et donne mntaad à son président pour traiter dans ce sens. M. Rousselot est ensuite désigné pour diriger la construction de l'atelier de pose. Rendez-vous est pris pr le lendemain, afin de s'entendre avec . Cognon frères, successeurs de M. Lahiteau pour préparer un devis. Le Président présente nst au Cmté deux magnifiques agrandissements 40/50 sur papier Morgan, représentant l'un un sous-bois (cliché de . le Capitaine Gillol l'autre des canards près d'n mln (cliché de M. Rsslt). Ces grndssmnts sont dsts embellir le nouveau
M. Rousselot). Ces agrandissements sont destinés à embellir le nouveau local. Il présente encore deux belles épreuves, représentant, l'une le pont naturel du Rhumel pris d'en amont, et l'autre un laboureur arabe. Le Comité félicite leur auteur et décide qu'elles seront jointes à un des prochains numéros du Bulletin. M. Lahache, voulant augmenter le nombre des épreuves documentaires dont le Bulletin a entrepris la publication, offre un certain nombre de photographies représentant divers quartiers de Constantine, il y a une quarantaine d'années. Le Comité remercie M. Lahache. Ces photographies seront reproduites en phototypie et jointes à divers numéros du Bulletin.
M. oRt)ossu.el Ces agrandissements sont destinés à embellir le nouveau lcl. Il prsente encore deux belles épreuves représentant, 'une le pont naturel du Rhumel pris d'en amont, et l'autre un laboureur arabe. Le Comité félicite er auteur et décide qu'elles seront jointes à des prochains numéros du Bulletin. M. Lhch, voulant augmenter le nombre des épreuves documentaires dont le Bulletin a entrepris la publication, offre un certain nombre de phtgrphs représentant divers quartiers de Constantine, il y a une quarantaine d'années. Le Comité remercie M. ha. esC photographies seront reproduites phototypie et njitose à divers numéros du Bulletin.
reproduites en phototypie et jointes à divers numéros du Bulletin. L'ordre du jour étant épuisé et aucune nouvelle proposition n'étant faite, la séance est levée à 6 heures 3/4. M. le capitaine Rech qui remplissait avec un dévouement absolu les importantes mais ingrates fonctions de trésorier du Photo-Club depuis sa fondation a quitté Constantine; sa nouvelle résidence est Sétif. Le comité perd en lui un collaborateur actif, un collègue aimable et obligeant doublé d'un amateur fort distingué. Nous ne l'oublierons pas comme il a promis de ne pas nous oublier depuis qu'il a pris rang parmi nos membres correspondants. À
reproduites en phototypie et jointes à divers numéros du uletin. L'ordre du jour étant épuisé aucune nouvelle proposition n'étant fate a séance st levée heures 34/. M. le capitaine Rech qui remplissait avec un dévouement absolu les importantes mais ingrates fonctions de trésorier du Photo-Club depuis sa fondation a quitté s;nCnoaittne sa nouvelle résidence est éf Le comité perd en lui u collaborateur actif, n collègue aimable et obligeant doublé d'un amateur fort dstngé. Nous en l'blrns pas comme il promis de ne pa nous oublier depuis q'l pris rang parmi nos mmbrs correspondants. À
depuis qu'il a pris rang parmi nos membres correspondants. À bientôt de ses nouvelles. M. le pharmacien-major Evesque, appelé comme chef de service à l'hôpital militaire de Batna vient de nous quitter aussi, après un trop court séjour parmi nous. Mais il reste toujours notre collègue il continuera à collaborer à la rédaction de notre bulletin et la chimie photographique n'y perdra rien. PROCÉDÉS DE VIRAGE M. W. Ridler écrit que depuis plus de huit mois il a fait usage d'un virage composé de : Hyposulfite de soude 453 Acétate de plomb 31.10 Chaux précipitée 31.10 Eau environ 2488 Les
depuis qu'il pris rang parmi nos membres correspondants. bientôt de ses nouvelles M le pharmacien-major Evesque, appelé comme chef de sece à l'hôpital militaire de Batna vient de nous quitter aussi, après un trop court séjour parmi nous. Mais il reste tjrs o collègue i continuera à collaborer à la rio de notre bulletin et la chimie photographique yn' prd rn. PROCÉDÉS DE VIRAGE M W. Ridler écrit qu depuis pls uith mois l a ft usage d'un virage composé de : Hyposulfite de soude 453 Acétate de plomb 31.10 Chaux précipitée 31.10 Eau environ 2488 Les
de plomb 31.10 Chaux précipitée 31.10 Eau environ 2488 Les épreuves sont d'abord lavées dans un bain contenant une certaine quantité de chlorure de soude pour enlever toute acidité en convertissant le nitrate d'argent en chlorure. Il lave ensuite et met dans un bain de virage, il termine par un lavage à l'acide acétique pour enlever toute trace de sel de plomb. Il n'a encore constaté aucune détérioration des épreuves qui sont virées par sulfuration. AVIS & COMMUNICATIONS DIVERSES Le local du Photo-Club, rue du 17e Léger, iv 19 (au-dessous du magasin Monti) est, à partir d'aujourd'hui, Ouvert tous les
de plomb 3.10 hux précipitée 31.10 Eau nvrn 2488 Les épreuves sont d'abord lavées dans un bain cntnnt une certaine qntté e cl d soude pour enlever toute acidité en convertissant le nitrate 'argent en chlorure. Il lave ensuite et met dans un bain de virage, il trmn pr un lavage à l'acide acétique pour enlever toute trace de sel de plomb. Il na encore constaté aucune détérioration des épreuves qui sont virées par sulfuration. VIS COMMUNICATIONS DIVERSES Le local du Pht-Clb, rue du 17e Légr, v 19 audessous du magasin Monti st, à pir 'aujourd'hui, Ouvert tous ls
du magasin Monti) est, à partir d'aujourd'hui, Ouvert tous les jours, de 8 heures du matin à 10 heures du soir, à Messieurs les sociétaires. S'adresser au concierge. L'atelier de pose sera construit dans le courant du mois. M. P. Montandon, à Glockental, près Thun (Suisse), membre du Photo-Club de Berne et du Club-Alpin Suisse, offre d'échanger des vues de la Suisse (cantons de Berne, Valais, Uri et Fribourg) ou des vues de paysages corfiens, contre des vues algériennes, particulièrement de la Kabylie. Les membres du Photo-Club qui désireraient accepter les offres de M. Montandon, devront s'adresser directement à lui.
du magasin Monti) est, à partir 'uudh, Ouvert tous les jours, de 8 heures du matin à 10 heures du soir, à Messieurs les sociétaires S'adresser au concierge. L'tlr de pose sera construit dans le courant du mois. M. P. Montandon, à lena, près Thun (Suisse), membre du Photo-Club de Berne et du Club-Alpin Suisse, offre d'échanger des vues de la Suisse (cantons de Berne, Valais, Uri et Fribourg) ou des vues de paysages corfiens, contre des vues rees prtclèrmnt de la Kabylie. Les membres du Photo-Club qui désireraient accepter ls offres de M. Montandon, devront sresr directement à l.
les offres de M. Montandon, devront s'adresser directement à lui. Le journal Le Quotidien illustré, faubourg Montmartre, à Paris, fait appel aux photographes amateurs pour avoir les photographies d'actualités pouvant faire l'objet d'un récit, d'une information ou d'un article : crimes, accidents, incendies, portraits de personnages célèbres, événements politiques, littéraires, artistiques, scientifiques ou mondains. Les épreuves seront reproduites dans le journal, et 50 exemplaires seront offerts à l'auteur du cliché. Les clichés ou épreuves doivent être envoyés à l'administration du journal par les voies les plus rapides et en port payant. NOS ILLUSTRATIONS DÉPART POUR LA CORVÉE D'EAU L'organisation des
ls offres de M. Montandon, devront s'adresser retmdiecnte à lui Le journal Le Quotidien illustré, faubourg Montmartre, à Prs, fait appel aux hhegoporsatp amateurs pour avoir sle photographies dactualités pouvant faire lobjet d'un récit, e'dnu information ou d article : crimes, ccdnts, incendies, portraits ed personnages célèbres, événements oies littéraires, artistiques, niq ou mondains. Les épreuves seront reproduites dns le a et 50 exemplaires seront offerts à l'auteur d cliché. Les lché ou épreuves doivent être envoyés à l'administration du journal par les voies les plus rapides et en r payant. NOS TRATONS DÉPART POUR LA OÉ D'EAU aatL'nsiirnoog
payant. NOS ILLUSTRATIONS DÉPART POUR LA CORVÉE D'EAU L'organisation des tirailleurs comporte une section de discipline dans laquelle sont incorporés pour un temps plus ou moins long tous les mauvais sujets du département. Ces tirailleurs sont employés à des travaux d'utilité militaire au 3° tirailleurs ; c'est avec la main-d'oeuvre de ces mauvais sujets que ce régiment est arrivé à créer un jardin potager pour la troupe sur le roc de Sidi-M'cid ; mais sur cet emplacement l'eau manque absolument, il faut aller la chercher au pied de la montagne. Notre illustration représente les disciplinaires conduits par leurs gardiens au
pay.tna NOS ILLUSTRATIONS DÉPART POUR LA CORVÉE D'EAU L'organisation des tirailleurs comporte une section de discipline dans laquelle sont incorporés pour un temps ulsp ou moins on tous les mauvais sujets du département. Ces tirailleurs sont employés à des travaux d'tlté militaire au 3° tirailleurs ; c'est avec la main-d'oeuvre de ces mauvais sujets que ce régiment et arrivé à crer n jardin potager pour la toe sr le roc de Sidi-M'cid ; mais sur cet emplacement 'eau manque absolument, il faut aller a chercher au pied d la montagne Notre illustration représente les disciplinaires conduits pra leurs gardiens au
Notre illustration représente les disciplinaires conduits par leurs gardiens au moment du départ pour la corvée d'eau. Ce groupe a été fait avec l'objectif Hermann du Photo-Club par le capitaine Rech, qui a bien voulu nous le laisser en souvenir de son départ. ASPECT DE LA VILLE DE CONSTANTINE EN 1856 La reproduction phototypique que nous offrons aujourd'hui à nos confrères fait partie d'une série de vues photographiques prises à Constantine, vers 1856. L'œuvre est très imparfaite, tant à cause de l'époque éloignée où elle a été entreprise et où les procédés perfectionnés étaient encore inconnus, que par le défaut
Notre illustration représente les dscplnrs conduits apr leurs gardiens au moment du départ pour la core d'. Ce groupe a été fait avec 'objectif Hermann du Po par le pineiatac Rech, qui a bien voulu nous le laisser n souvenir de son épat ASPECT DE LA VILLE ED CONSTANTINE EN 1856 La reproduction phototypique que nous offrons aujourd'hui à o confrères fait partie série de vues photographiques prss Cnstntn, vers 1856. L'œuvre est très paft, tant à cause d l'époque éloignée où elle été entreprise et où les procédés srétpioncenef étnt encore inconnus, que par le défaut
les procédés perfectionnés étaient encore inconnus, que par le défaut de stabilité de l'image ; la reproduction provient en effet d'un positif sur papier albuminé très endommagé. Elle n'en est pas moins fort intéressante parce qu'elle nous retrace la physionomie de notre ville, dix-neuf ans à peine après qu'elle fût tombée en notre pouvoir. Les transformations qu'elle devait subir s'y trouvent déjà en germe, mais en très petit nombre. Dans le fouillis de constructions que nous avons sous les yeux, c'est à peine si nous découvrons deux ou trois bâtiments européens et encore, à part le Magasin à grains, ce
les procédés perfectionnés étaient encore inconnus, euq pr le défaut de stabilité de l'image ; la reproduction provient en effet 'un positif sur papier albuminé très endommagé. Elle n'en est pas moins fort intéressante parce qu'elle nous retrace la pnme d notre le idfenx-u ns à peine après quelle fût tombée en notre pouvoir. Ls orttmiarfnnsoas qu'elle devait subir s'y rnt déjà en germe, mais n tès petit nmbr. Dans le fouillis d constructions que osun avons sous les yeux, c'est à peine si nous découvrons deux trois bâtiments européens et ncr, à part le Mag à grains, ce
européens et encore, à part le Magasin à grains, ce ne sont peut-être que des façades nouvelles d'anciennes maisons indigènes. Mais examinons en détail les diverses parties de cette reproduction, au moins celles du premier plan qui sont les plus distinctes. La vue a été prise du haut du Coudiat : voilà pourquoi nous n'avons qu'une sorte de raccourci du long espace occupé par la place du Marché aux grains actuel, les squares, le parc aux voitures et la place de la Brèche. Au bas de notre planche nous voyons la toiture de l'ancien Marché aux grains qu'approvisionnaient les caravanes
européens e encore, à part le Magasin à grains, ce ne sont peut-être q des façades nouvelles c'ndnesneai maisons indigènes. Mais examinons en détail les diverses parties de cette reproduction, au moins celles du premier plan q sont les slpu distinctes. La vue a été prise du haut du Coudiat : voilà pourquoi nous navons qu'une sorte de raccourci du long espace ccpé par la place du Marché aux grains actuel, les squares, le parc aux voitures et la place de la Brèche u bas de notre planche nous voyons la toiture de l'ancien Marché aux grains qapvinien les caravanes
la toiture de l'ancien Marché aux grains qu'approvisionnaient les caravanes venant du Sud. La maison où se trouvaient le logement et le bureau du collecteur du marché était entourée d'une sorte de parc fermé par la clôture que nous voyons à droite et à gauche du toit, au fond de notre reproduction. Les indigènes y déposaient leurs blés. Sur la gauche, en avant des plantations, est une excavation où Ravoisié, en 1840, vit quelques restes d'un ancien théâtre romain appelé par les arabes Fondouh-er-Roum et dont nous parlons au § XII de notre livre sur Cirta, ses monuments, ses magistrats,
la toiture de l'ancien Marché aux grains qu'approvisionnaient les caravanes venant du Sud. La maison où se trouvaient le lgmnt et le beau du collecteur du marché était entourée d'une sorte de parc fermé par la clôture que nous voyons à droite et à gauche du toit, au fond de ntr reproduction. Les indigènes y déposaient leurs blés. Sur la gauche, en avant des plantations, est une excavation où Ravoisié, en 1840, vit quelques restes u'dn ancien théâtre romain appelé par les arabes Fondouh-er-Roum et dont nous parlons au § XII de notre livre sur Cirta, ses mnmnts, ses magistrats,
XII de notre livre sur Cirta, ses monuments, ses magistrats, son administration, d'après les fouilles et les inscriptions, qui va paraître dans quelques jours. On voit encore, dans notre photogravure, un énorme bloc provenant probablement de cet antique édifice. À droite de cette excavation, sur le bord du chemin est une maisonnette, simple baraquement qui servait de débit, à l'enseigne : « Au Tombeau des Braves ! » C'était en souvenir des tombes creusées tout près de là aux vaillants officiers de notre armée qui étaient morts à l'ennemi, lors de la prise de Constantine, et dont les restes furent
XII ed notre livre rsu Cirta, e monuments, ses magistrats son administration, d'après les fouilles et les iscptin, qui va paraître dans uqsqeuel jours. nO voit encore, dans notre photogravure, n énorme bloc provenant probablement de cet antique édifce À droite de cette excavation, sur le bord du chemin s une maisonnette, simple brqmnt qui servait de débit, à l'enseigne : « Au Tombeau des Braves ! » C'était n souvenir des tombes creusées tout près de là aux vaillants officiers de notre armée qui étaient morts à nei lrs de la prise de Constantine, et dn els restes furent
de la prise de Constantine, et dont les restes furent ensuite transportés à la Casbah, sous le beau monument que le Génie y a fait élever. Le débit était tenu par un ancien soldat de l'armée qui était entrée dans la ville. On l'avait surnommé Quitousse, à cause d'un catharre bruyant qu'il avait contracté dans ses campagnes. Il était, paraît-il, dans un bien triste état. Au-dessus se trouvaient les plantations qui ont formé notre Square de la République ou n° 2, ou encore Square des sénateurs, à cause des longs séjours qu'y font nos sympathiques anciens. Comme on peut le
de la prise de Constantine, et dont les restes furent ensuite transportés à la Casbah, sous le beau monument que le Génie y a fait élever. Le débit était tenu pr n einanc soldat de l'armée q était ntré dans la ville. On l'vt surnommé Quitousse cause d'un catharre bruyant quil avait contracté dans ses campagnes. l était, paraît-il, dans un bien triste état. Au-dessus se trouvaient les plantations qui ont formé o Square de l République ou n° 2, uo encore Square esd sénateurs, à cause des lngs séjours qu'y font nos sympathiques anciens. Cmm on peut le
séjours qu'y font nos sympathiques anciens. Comme on peut le remarquer, il n'y a encore ni bassin central, ni monuments de l'antiquité que l'on conservait alors au dessous de la place Négrier, ni clôtures, ni plates bandes. Au haut de ces plantations on voit une foule nombreuse qui stationne à peu près à l'endroit où se tiennent aujourd'hui les voitures de louage. C'était le marché aux légumes de l'époque. À droite sont les plantations qui ont formé notre Square n° 1 ou des fleurs, à cause des beaux parterres qu'y entretient avec tant de soins le père Sivet. C'est là
séjrs u'y font nos sympathiques anciens. mCmeo on peut le remarquer, il n'y a encore ni bassin central, ni met de l'antiquité que l'on conservait alors au dessous de la place Négrier ni clôtures, ni plates bandes Au haut de ces plantations on voit une foule nombreuse qui stationne à peu près à l'endroit où se nineettn jrd'h les voitures de louage. C'était le marché aux légumes de l'époque. À droite n les plantations qui ont formé notre Square n° 1 ou des flrs, à cause des beaux parterres qu' entretient avec tatn d sns le père Sivet. Cest là
entretient avec tant de soins le père Sivet. C'est là surtout que l'état des choses est embryonnaire. On n'y voit ni allée circulaire, ni parterres, ni le rond-point central où s'élève la statue du maréchal Valence, ni clôtures. C'est une simple pépinière qui ne devait pas être très fréquentée, car au moment où la vue a été prise, elle ne renfermait qu'un monsieur et une dame en crinoline et un indigène au burnous sombre dont un pan plus clair est rejeté sur l'épaule. (A suivre). CM.VARS. Vu pour légalisation de la signature L. POULET, Imprimeur-gérant. Le Maire, SUPPLÉMENT AU N°
entretient avec tant de soins le père Sivet. 'est là surtout qe 'état des choses est embryonnaire. On n oitv ni llé crclr, ni parterres, n le rond-point cntrl où s'élèv la statue du maréchal Vlnc, ni clôtures. C'est une simple pépinière qui ne devait pas être très réeté, cr au mtmone où l vue a été prise, elel ne renfermait n monsieur et une dame en crinoline et ndgèn au burnous sombre dont un pan plus clair s rejeté sur l'épaule. ( suivre). CM.VRS. Vu pour légalisation de la signature L POULET, Imprimeurgérant Le rei,aM SPPLÉMNT AU N°
la signature L. POULET, Imprimeur-gérant. Le Maire, SUPPLÉMENT AU N° 9 DU BULLETIN DU PHOTO-CLUB DE CONSTANTINE AVIS & COMMUNICATIONS DIVERSES Le comité a fait connaître que sur la demande d'un grand nombre de membres actifs et tenant compte en outre de ce que le personnel chargé de délivrer les produits dans les locaux du Photo-Club n'est pas suffisant, ce qui occasionne souvent des mécomptes et des retards il vient d'être pris les dispositions suivantes : Les relations seront reprises avec M. Durand, pharmacien, successeur de M. Pastor qui délivrera aux membres du Photo-Club tous les produits photographiques qui lui
la signature L. POULET, Imprimeur-gérant. Le Maire, SUPPLÉMENT AU N° 9 DU BULLETIN DU PHOTO-CLUB ED CONSTANTINE AVIS & COMMUNICATIONS DIVERSES Le comité a fait connaître que rus la demande du grand bre de ebe is et tenant compte en outre de ce que le prsnnl cagé délivrer les prdts dans les locaux du Photo-Club n'est pas suffisant, ce q occasionne souvent des mécomptes et des retards il vient d'être ps les dispositions suivantes : Les relations seront rprss vc M. Durand, pharmacien, successeur de M. Pstr uqi délivrera aux membres du Photo-Club tous les prdts otohues qui lui
aux membres du Photo-Club tous les produits photographiques qui lui seront demandés. Les prix seront ceux du tarif spécial qui était appliqué aux membres. Tout membre actif pourra donc s'entendre lui-même avec M. Durand, soit pour acheter les produits au comptant, soit pour se faire ouvrir un crédit si M. Durand y consent, mais la société n'aura pas à intervenir dans le règlement. Néanmoins, le comité est tout disposé, pour se conformer aux statuts, à faire des commandes mensuelles pour les membres qui en feraient la demande. Jusqu'ici, ce mode d'opérer a été très peu employé et plusieurs mois se
aux eemmrbs du PhotoClub tous ls produits phtgrphqs qui lui seront demandés. Les prix seront ceux du tarif spécial q était appliqué aux membres. To membre ctf pourra donc s'entendre lui-même avec M Durand, soit pour acheter les pouis au comptant, soit pour se faire ouvrir un crédit si M. Durand cnsnt, ms la ét n'aura pas à ntrvnr dans le règlement. Néanmoins, le comité est tout disposé, pour se conformer aux uatstt,s à faire ds commandes mensuelles pour les membres qui en feraient l demande Jusqu'ici, ce mode d'opérer été très peu employé et plusieurs mois e
d'opérer a été très peu employé et plusieurs mois se sont écoulés sans qu'aucune demande ait été adressée au comité; dans ces conditions, nous croyons que les dispositions que nous venons de prendre seront agréables au plus grand nombre. Nous aurons toujours au Photo-Club les produits se distribuent par unités, tels que plaques, chlorure d'or, cartons, pochettes de papier lumière, etc., et seuls les produits délivrés au siège de la société seront encaissés mensuellement par le trésorier, mais nous engageons MM. les sociétaires, à les payer au comptant à M. Guiglion qui sera autorisé à en recevoir le montant, la
d'opérer a été très peu employé et plsrs mois se sont écoulés sans qu'aucune demande ait été adressée au comité; dns ces conditions, nous croyons que es dispositions que nous venons de prendre seront agréables au plus grand nombre. Nous aurons toujours au Photo-Club les produits se distribuent par unités, tels que plaques, chlorure d'or, cartons, pochettes de papier lumière, etc., et seuls les produits ésélidvr au sg de la société seront encaissés mensuellement par le trésorier, mais nous engageons MM. les sociétaires, à les payer au comptant à M. Guiglion qui sera autorisé à en recevoir le montant, la
Guiglion qui sera autorisé à en recevoir le montant, la mention du paiement devra dans ce cas être inscrite sur le bon établi par l'intéressé. MM. les membres correspondants pourront toujours s'adresser pour leurs demandes de produits, soit au Comité, soit à M. Durand, il leur sera donné satisfaction dans le plus bref délai et au mieux de leurs intérêts. La lanterne à agrandissement est définitivement installée dans une chambre spéciale, mais il n'est plus possible de l'enlever du chariot sur lequel elle a été fixée. L'aménagement du local permet de travailler soit de jour soit de nuit. Nous insérerons
Guiglion qui e autorisé en recevoir le mntnt, la mention du paiement devra dans ce cas être crit sur l bon établi par l'intéressé. MM. les membres correspondants pourront oo s'adresser pour leurs demandes d produits, soit au Comité, soit à M. Durand, leur sera donné satisfaction dans le plus bref délai et au mieux de leurs intérêts. La lanterne à agrandissement est définitivement installée dans une chambre spéciale, mais l n'st plus possible de l'enlever du chariot sur lequel elle a été fixée. 'aménagement du local permet de travailler soit de jr soit de nuit Nous sren
de travailler soit de jour soit de nuit. Nous insérerons dans le prochain numéro les notes qui nous ont été envoyées sur les essais faits avec le papier de M. Liébert dit à la "pyroxiline argentique" et avec le papier "Nikko". Constantine.— Imprimerie L. POULET, 6, rue de France.
de travailler soit de jour soit nuit. Nous insérerons dans le prochain numéro les notes qui nous ont té envoyées sur les esi faits avec le papier de M. Liébert dit à a yrxii argentique" et avec le papier "Nikko". Constantine.— Imprimerie L. POULET, 6 rue de France.
L'UNION SACRÉE POUR LE TRAVAIL Notre collaborateur M. J.-L. Duplan vous a conté comment les Américains ont découvert le double secret des hauts salaires et de la paix sociale. Il vous a dit à quoi est due la prospérité des États-Unis d'Amérique, Là-bas, un ouvrier d'usine ou d'atelier, grâce aux outils qu'il a entre les mains, grâce à son entraînement, grâce aux encouragements qu'il reçoit, « produit en une heure ce qu'un ouvrier français met quatre ou cinq heures à réaliser ». Il gagne quatre ou cinq fois le salaire de l'ouvrier français, et cependant le prix de revient de
L'UNION AE POUR LE TRAVAIL Notre collaborateur M. J.-L. Duplan vous conté comment les Américains ont découvert le double ceerst des hauts salaires et d la paix acelsio. l vous a dit à quoi est due la prospérité des États-Unis d'Amérique, Là-bas, un r d'usine ou d'atelier, grâce aux tls qu'il a entre les mains grâce à son entraînement, grâce aux encouragements qu'il reçoit, « produit en une heure c qu'un ouvrier français met quatre ou cinq heures à réaliser ». Il gagne quatre ou cinq fois e salaire de l'ouvrier français, et cependant le prix de revient de
de l'ouvrier français, et cependant le prix de revient de la plupart des objets manufacturés aux États-Unis est moins élevé que le prix des objets similaires fabriqués en France, où pourtant les salaires sont si bas en valeur absolue. Voilà pourquoi chaque famille ouvrière américaine a son automobile (vingt millions d'automobiles aux États-Unis) et très souvent son poste de T. S. F.; pourquoi (ne négligeons pas ces détails) l'ouvrier américain a pris soin de sa correction extérieure et s'habille en « gentleman » à la sortie de l'atelier; pourquoi, enfin, l'activité commerciale, industrielle, financière atteint de formidables résultats ! À
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l'activité commerciale, industrielle, financière atteint de formidables résultats ! À l'origine de cette prospérité inouïe, il y a, vous l'avez vu, l'efficiency, c'est-à-dire l'organisation scientifique, méthodique et raisonnée du travail. Il y a l'intelligence pratique du patronat et du prolétariat américains. Il y a ce fait capital de la collaboration permanente entre le capital et le travail de ce pays. Une des maximes américaines que MM. Bertran Austin et Francis Lloyd, ces deux auteurs anglais du livre Le Secret des Hauts Salaires », ont rapportées de leur voyage d'enquête, c'est qu'il importe aux employeurs de consacrer toute leur attention au
l'activité commerciale, industrielle cènaieifnr atteint de formidables lurssttéa ! À lorigine de cette prospérité ioïe, il y a, vous l'avez u l'efficiency, c'est-à-dire l'rgnstn scientifique, méthodique et raisonnée du travail. Il y a l'intelligence pratique du patronat et du prolétariat américains. l y a ce fait capital de la collaboration permanente entre le capital t le travail d ce pays. Une des maximes américaines que MM. Bertran Austin et Francis Lloyd, ces deux auteurs anglais du livre Le Secret des Hauts Salaires », ont rpprtés de lr voyage d'enquête, c'est qu'il mote aux employeurs de consacrer toute leur attention au
qu'il importe aux employeurs de consacrer toute leur attention au bien-être des salariés; une autre, qu'il est absurde de limiter l'effort individuel, de mettre un couvercle à l'expansion des énergies et des mérites naturels; une troisième, que l'ouvrier doit être rétribué d'après son mérite et d'après son rendement. MM. Austin et Lloyd invitent leurs lecteurs à retenir cet axiome que l'avancement ne doit être accordé qu'à la capacité. En principe, aucune raison ne s'oppose à ce qu'un ouvrier de la plus modeste catégorie, s'il montre des aptitudes suffisantes, puisse être promu, lorsque l'occasion s'en présente, à une situation plus élevée,
qu'il importe aux employeurs de consacrer toute leur attention au bien-être des slrés; ue autre, qu'il est absurde de limiter l'effort individuel, de mettre un couvercle à l'xpnsn des énergies et des mérites ntrls; une troisième que l'ouvrier doit être rtié d'après son mérite et 'après son rendement MM. t et Lloyd invitent leurs lecteurs à retenir cet axiome l'avancement ne doit être é qu'à la capacité. En principe, cn raison ne s'oppose à ce qu'un ouvrier de la pls modeste catégorie, s'l montre des aptitudes f,atniuesssf pss être promu, lorsque l'occasion s'en présente, une sttn us élevée,
promu, lorsque l'occasion s'en présente, à une situation plus élevée, et le personnel doit être averti que l'avancement ne s'obtient qu'à force d'aptitude, non par intrigues. Bref, les patrons américains se préoccupent de mettre chacun à sa place, d'utiliser les compétences, d'éveiller les initiatives, et ce n'est pas chez eux qu'on trouvera des sujets de premier plan bloqués sur place par un patron soucieux avant tout de s'épargner la peine de renverser, au profit de la valeur individuelle, la hiérarchie qu'avec la collaboration du hasard, ce détestable recruteur, il a arbitrairement établie dans son usine ou dans ses bureaux. Assurément,
promu, losqu l'occasion e présente, à une situation plus éeve et le personnel doit être vartei que l'avancement ne s'obtient qu'à force d'aptitude, non intrigues. Bref les prn américains se préccpnt de mettre chacun à sa place, d'utiliser les éntepscm,eoc d'évllr sle initiatives, et c et pas zhce eux qu'on trouvera des ue de prmr plan bloqués sur place par n patron soucieux van tout de s'éprgnr a peine de renverser, au profit de al valeur individuelle, la hiérarchie qu'avec la collaboration du hasard, ce détestable recruteur, il a arbitrairement établie an so iseun ou dans ses rebuau.x Assurément,
arbitrairement établie dans son usine ou dans ses bureaux. Assurément, pour fixer la juste mesure du salaire, il y a de nombreux points de vue à considérer. On ne doit jamais s'abstraire de celui qui met le salaire en rapport avec les besoins de l'ouvrier chef de famille, mais s'il est un principe sur lequel une démocratie ne doit pas transiger, c'est le principe de justice qui veut que chaque individu soit rémunéré suivant son utilité et compte tenu de l'expérience acquise. Tout patron américain s'emploie à perfectionner ses installations, ses méthodes, en vue du plus grand rendement, générateur de
arbiament établie dans son usine ou dans ses uax Assurément pour ixe l juste mesure du salaire, il y de nombreux points vue à csdérr. On ne odit jms s'bstrr de celui qui met le salaire en rapport avec les besoins de 'ouvrier chef de famille, mais l est un principe sur lequel une démocratie ne doit pas transiger, c'est le principe de justice qui veut que chaque individu soit rémnéré suivant son tlté et ptomec tenu de l'expérience acquise. Tout patron américain s'emploie à rfctne ses nstlltns, ss méthodes, en vue du plus grand rendement, générateur de
ses méthodes, en vue du plus grand rendement, générateur de bien-être; tout ouvrier américain cherche à devenir contremaître. Voilà deux faces de l'efficiency et ce n'est pas hasard si elles sont les moins remarquables. Quelle est, demandera-t-on, la durée de la journée aux États-Unis ? Réponse 9 heures. Il n'y a pas de pays au monde où le processus d'instauration de la journée de 8 heures ait pris un cours plus rapide qu'aux États-Unis. Et cette observation va contre l'argument de ceux qui cherchent à rendre la loi de 8 heures, loi de progrès s'il en fut, responsable intrinsèquement de
ses méthodes, en vue du plus grand rendement, générateur de bien-être; tout vrr américain cherche à devenir contremaître. Voilà deux faces de l'efficiency et ce n'est pas hasard si elles sont les moins remarquables. ul est, demandera-t-on, la édrue de la journée aux États-Unis ? Réponse 9 heures. Il n'y a pas de pays au monde ù le processus 'instauration de l journée de 8 eu ait pris un crs plus rapide qu'aux États-Unis. E cette observation va contre l'argument ceux qiu cherchent à rendre al loi de 8 hrs, loi de progrès s'il en fut, responsable ire de
heures, loi de progrès s'il en fut, responsable intrinsèquement de la crise générale de la production en France. L'ouvrier américain ne travaille que 8 heures; seulement ce sont, grâce à l'efficiency, grâce à la liberté donnée à tous les Stephenson et à tous les Jacquard, 8 heures bien employées. Les Américains se rendent compte que l'ouvrier moderne a peut-être, à l'heure actuelle, plus besoin de cerveau que de force physique. Sa tâche est moins, en effet, suivant une formule très heureuse, « de produire des kilogrammètres que de conduire les machines qui les produisent. » Il est une autre cause
hrs, loi de prgrès s'il n tuf, responsable inrinsut d la crise générale d la odcion en France. L'ouvrier amn ne travaille que 8 heures seulement ce sont, grâce à lefficiency grâce à la liberté donnée à tous les Stephenson et à ts les Jacquard, 8 heures bien employées. Les Américains se rendent compte que l'ouvrier moderne a peut-être, à l'hr actuelle, plus bsoi de crv q de force physique. Sa h est moins, en effet, suivant une formule très heureuse, « de produire des kiogramre que d conduire les machines qui les produisent. Il est une autre case
machines qui les produisent. » Il est une autre cause de la supériorité de l'industrie américaine par rapport à celle de notre Vieux Continent. C'est que, là-bas, de plus en plus, les firmes encouragent leurs salariés à devenir leurs actionnaires, et l'invitation est suivie d'effet. Voilà quelques exemples : Sur 123.759 actionnaires, la grande compagnie Armour, spécialisée dans la fabrication des conserves alimentaires, en compte 56.000 parmi ses ouvriers et employés. 75 des actions du Standard Gaz and Electricity Co sont possédées par le personnel. La Standard Oil a un tiers de son capital social dans les mains de ses
machines qui les prdisnt. » Il st une uerat cause de la supériorité de iternlsudi' américaine par rapport à celle de notre Vieux Continent. C'est que, là-bas, de plus en plus, les firmes encouragent leurs salariés devenir leurs actionnaires, et l'invitation st suivie 'effet. Voilà ulqus exemples : Sur 123.759 actionnaires, la e compagnie Armour, spécialisée dans la fabrication des conserves alimentaires en compte 56.000 parmi ses vir et employés. 7 des ctns du Sandad Gaz Eercty Co onst possédées a le personnel. La raSndtad O un tiers de son capital social dns les mains d ess
tiers de son capital social dans les mains de ses employés. Ainsi les ouvriers américains sont des capitalistes, ils possèdent une parcelle de propriété, une fraction de capital. Conséquence : l'ouvrier se sent maître; il se sent responsable pour sa part de la conduite même des affaires. il sent que ses efforts ne profitent pas seulement à une personne, seulement à la direction, mais que lui-même est un associé, et qu'il doit donner tout son cœur, toutes ses forces pour achever une besogne commencée. Il songe à la fois, quand il travaille, à son salaire et à son coupon. Cette
tiers e son capital social dans les mains d ses employés. Ainsi les vrrs américains sont des capitalistes, ils possèdent une parcelle de propriété, une fraction de capital. Conséquence 'ouvrier se sent maître; il se sent responsable pour sa atpr de la conduite mêe des affaires. i sent que ses efforts n prftnt pas slmnt à une srnenp,eo seulement à la dreon mais que luimême s un associé, et q'l dt donner tout son cœur, toutes ss forces pour haeercv une besogne .ecémenmco Il songe à la fs, quand il travaille, à son salaire t à nso coupon. Cette
il travaille, à son salaire et à son coupon. Cette ascension vers la propriété mobilière explique très bien la désaffection des ouvriers pour la F. A. T. (Fédération Américaine du Travail), qui a vu le nombre de ses adhérents tomber de 4 millions en 1914 à 2.700.000 en 1924. Ce chiffre représente 15 environ de l'ensemble des travailleurs. On comprend combien il est difficile aux adeptes du marxisme en Amérique (il en existe encore) de justifier leur théorie du cloisonnement des classes. Elle reçoit des faits un démenti si net. Chez nous, hélas, les syndicalistes de la C. G. T.
il travaille, à nos salaire son oup. Cette ascension la propriété obre explique très bien la désaffection des ouvriers pour la F. . T (Fédération Américaine du ravail, qui a vu le nombre de ess dhérnts tomber de 4 millions en 1914 à 2.700.000 en 1924. Ce chiffre représente 15 nvrn de l'ensemble ds travailleurs. On comprend combien il st difficile aux adeptes du marxisme en Amérique (il en existe encore) de justifier leur théorie du cloisonnement sde sss. Elle reçoit des faits un démenti si net. ezCh nou, hélas, e syndclsts de la C G. T.
Chez nous, hélas, les syndicalistes de la C. G. T. À plus forte raison ceux de la C. G. T. U., s'entêtent à suivre les fausses directions que les livres leur ont fait prendre. Ils posent en principe que le capital est l'ennemi, que les capitalistes sont des oppresseurs. À ce dogme absurde ils en ajoutent un autre : limiter la production industrielle pour maintenir le salaire au taux arrêté par le statut syndical. Tous proclament à l'envi que le conflit prétendu entre le capital et le travail ne peut être tranché que par l'asservissement du travail ou la nationalisation
Chez nous, hélas, les syndicalistes de l C. G. T. À plus forte raison cx de l C. G. T. U 'etênt à suivre les fausses directions que les livres leur fait prendre. Ils posent en principe que le capital est l'ennemi, que les cptlsts snt des oppresseurs. À ce dogme absurde ils en ajoutent un autre : lmtr la production industrielle pr maintenir le salaire au taux arrêté par le statut syndical. osuT proclament lenvi que le conflit prétendu entre le capital te le ril ne peut être tranché que par l'asservissement du travail ou la nationalisation
être tranché que par l'asservissement du travail ou la nationalisation du capital. Aveugles, aveugles ! Le symbolique Monsieur Ritbles (c'est, vous le savez, depuis la guerre, l'autre surnom de John Bull) commence, lui, à voir clair. Commentant le livre de MM. Austin et Lloyd, M. Philippe Snowden, l'ex-ministre travailliste de Grande-Bretagne, a, dans un discours qui a fait du bruit, convenu qu'il fallait changer la mentalité syndicale, que caractérise l'antagonisme contre les patrons que les ouvriers doivent comprendre qu'ils sont associés dans l'industrie, qu'ils bénéficient de l'extension de celle-ci, qu'ils doivent donc s'efforcer de la rendre plus productive et se
être tranché que par l'asservissement du travail la nationalisation du capital. Aveugles, aveugles ! Le symbolique Monsieur Ritbles (c'est, vous le savez, depuis l guerre, l'autre surnom de John Bull) commence, lui, à voir cr. Commentant le livre de MM. Austin et Lloyd, M Philippe Snowden, n-stelrxime'i travailliste de Grande-Bretagne, a, dans un discours qui a ft du bruit, convenu qu'il fallait changer la mentalité syndicale, que caractérise l'antagonisme contre les patrons que les ouvriers doivent comprendre qu'ils n associés dns l'industrie, qu'ils bénéficient de l'extension de celle-ci, qu'ils doivent don s'efforcer de al rendre plus productive et es
doivent donc s'efforcer de la rendre plus productive et se convaincre que toute dépression les frappe, plus encore que les patrons eux-mêmes. Les Américains, peuple jeune, sont demeurés à certains égards un peuple primitif. Il est des cas où ils n'en prennent pas moins, vis-à-vis de la vieille Europe, figure de donneurs de leçons ! Cette « union sacrée pour le travail », que la jeune Amérique réalise, ne laissons pas dire, ne laissons pas croire qu'elle est impossible en France. Elle est réalisée ou en voie de l'être dans toutes les entreprises groupées sous le signe du catholicisme social.
dvnt donc 'efforcer d la rendre plus productive et s convaincre que toute dépression les frappe, encore q les patrons eux-mêmes. esL mrai ppl je, snt edéuesmr à certains égards u peuple primitif. Il est ds cas où ls n'en prennent pas mns, vis-à-vis de la vieille Europe fgr de donneurs de leçons Ctt « nn sacrée ruop le travail », que l jeune Aueémqri réalise, ne lssns pas dire, ne laissons pas croire qu'elle est impossible en France. Elle est i ou en voie de l'être dans tts les entreprises grpés sous le iegsn du chlice salico.
toutes les entreprises groupées sous le signe du catholicisme social. Elle est possible partout, avec l'ouvrier français, si fin et si ouvert, auquel il ne manque que d'avoir des notions économiques plus saines, que personne ou presque personne ne s'est préoccupé de lui permettre d'acquérir. Eugène LE BRETON. LIRE EN 2e PAGE M. Poincaré devant la Commission des finances. LA FÊTE DES REINES DE CORNOUAILLES (Photo Villard, Quimper.) Au centre, Mlle Marie LE BAS, reine de l'Isole, à gauche. À sa droite, Mlle Louise GUENNEAU, reine de l'Odet. En bas, Mlle Louise PERENNOU, reine du Belon (Riec-sur-Belon), avec ses demoiselles
toutes les entreprises groupées sous le signe du cthlcsm social. Elle est possible attrpo,u avec 'ouvrier français, si fn et si ouvert, auquel li ne manque que d'avoir des notions économiques plus saines, que prsnn ou presque personne n s'est préoccupé de lui permettre d'acquérir. Eugène LE BRETON. LE EN 2e PAGE M. Poincaré dvnt la iCnmoomiss ds finances. LA FÊTE DES REINES DE CORNOUAILLES (Photo Villard, Quimper.) Au centre, Mlle Marie LE BAS, reine de 'Iole, à gauche. sa drt, Mle Louise GUENNEAU, reine de l'Odet. En bas, lMel Louise PERENNOU, reine du Belon (Riec-sur-Belon), avec ses demoiselles
Mlle Louise PERENNOU, reine du Belon (Riec-sur-Belon), avec ses demoiselles d'honneur. SOURIRES = Si les Anglais croient à une guerre prochaine, qu'ils le disent. Mais qu'ils ne nous endorment pas à l'aide de pilules pacifiques dont ils ont le secret, s'ils estiment que nous courons à un nouveau coup de torchon. À la Chambre des Communes, un de ces jours, un député parlera de la guerre aérienne et tout en promenant son auditoire dans les nuages il demandera au gouvernement d'éduquer les civils en prévision des dangers futurs. Les attaques par avions, se proposera-t-il de dire, étant probables, tout anglais
Mlle Louise PERENNOU, reine du Belon Ric-ur-Bln avec ses demoiselles d'honneur. SOURIRES = Si les Anglais croient à une gee pocaie, qu'ils le disent. Mais qu'ils ne nous endorment pas à 'de de les pacifiques dont ils ont le secret, s'ils estiment que nous courons à un nouveau coup de torchon. À la Chambre des Communes, un de ces jours, n député parlera de la guerre aérienne et tout en promenant son dtr dan les nuages l demandera au gouvernement d'éduquer les civils prévision des dngrs fur Les attaques par avions, se proposera-t-il de dire, étant probables, tout anglais
par avions, se proposera-t-il de dire, étant probables, tout anglais sera obligatoirement possesseur d'un masque à gaz. Trois fois par an au moins les habitants du Royaume-Uni défileront dans des chambres spéciales afin de s'y habituer à l'utilisation des appareils antiasphyxiants. Il n'y a pas de quoi rire, je vous assure, en songeant à ces précautions ! Le civil de demain, quel que soit son âge, se tiendra comme le poilu d'hier, sur un qui-vive perpétuel. Il s'exercera à descendre au pas gymnastique dans les caves. Il va par les rues, un masque en bandoulière et un casque sur la
par avions, se proposera-t-il de dire, étant probables, tout anglais sera obligatoirement possesseur d'un masque à gaz Trois fois par n au moins les hbtnts du Royaume-Uni défileront dns dse chambres spéciales a de s'y habituer à l'utilisation des appareils antiasphyxiants. Il n'y a pas de quoi rire, ej vous assure, en songeant ces préctns Le cvl de demain, ql que soit sn âge, se tiendra comme le pl d'hier, u un qui-vive éte l s'exercera à dscndr au pas gymnastique dans les caves. Il va par ls u n masque en bandoulière et casque sur la
rues, un masque en bandoulière et un casque sur la nuque. Aux sifflements des sirènes signalant les avions d'Attila, il relira son testament en se jurant de mourir sans gloire. Quel bel enfer on nous prépare ! Dans le tourbillon des folies et des aventures, voici les Barbares qui avancent sur la fameuse route du Progrès ! Mais John Bull, venant vers nous dans les conférences internationales ne manifeste jamais officiellement la moindre crainte. Il déclare au contraire : "Ach, dormez tranquilles. Le temps est beau. Tous les peuples sont frères." Ouais. Dès que nous avons tourné le dos, il
rues, un masque n bandoulière et un casque sur la nuque. Aux sifflements des sirènes alagninst les avions d'Attila, il relira son testament en se jurant de mourir sans glr. Quel bel nefer on nous prépare ! snDa le tourbillon des folies et des vntrs, ici lse Barbares qui avancent sur la fameuse route d Progrès ! Mais John Bull, venant vrs nous dans ls conférences internationales ne manifeste jamais ffcllmnt la moindre crainte. Il déclare au contraire : "Ach, dormez tranquilles. Le temps est beau. Tous les peuples sont frères." sua.iO Dès que nous avons tourné le dos, il
frères." Ouais. Dès que nous avons tourné le dos, il court essayer son masque à gaz. Sacré John Bull, aurais-tu perdu ton flegme ? Le journal nous commence aujourd'hui notre nouveau feuilleton Tarzan chez les Singes Tous nos lecteurs suivront avec un vif intérêt l'aventure si émouvante, si rare, si humainement et si douloureusement vivante de ce « Petit d'Homme », élevé au milieu des grands anthropoïdes de l'Afrique. Dimanche prochain nous commencerons un nouveau feuilleton LE GOELAND Par Jean BALDE Photo M. Melluit, sous-secrétaire d'État aux Finances des Etats-Unis, faisait notre photo représentant devant la vedette à Dinard et
frères." Ouais. Dès que nous vns tourné le dos, il crt essayer son masque à a. Sacré John Bll, aurais-tu perdu ton flegme ? Le journal nous commence aujourd'hui notre nouveau nteellfoiu Tarzan chez sle Singes Tous nos lecteurs suivront avec un vif intérêt lvtre si ,mtvneoéua si ,arre si humainement et si douloureusement vivante de ce « Petit d'Homme », élevé au milieu des grands anthropoïdes de uq.e'irflA Dmnch prochain nous commencerons un nouveau feuilleton LE GOELAND Par Jean BALDE Photo M. Melluit, sous-secrétaire d'État x Finances des EtatsUnis faisait notre photo représentant devant la vedette à Dinard et
faisait notre photo représentant devant la vedette à Dinard et causant avec une dame. Pour résoudre la crise des loyers Un ingénieux dispositif La maison ambulante Le Havre, 28 juillet. Une énorme automobile qui a l'aspect d'un tank ou d'un submersible parcourt actuellement la Normandie où elle séjourne un peu dans chaque ville. De grands écriteaux fixés sur ses parois latérales apprennent aux curieux qu'il s'agit d'un appartement ambulant que son propriétaire, M. Louvet, a construit lui-même en un an. Cet original logement, monté sans chassis, comporte neuf pièces entières. Il se compose d'une cuisine où se tient le conducteur,
faisait notre photo représentant devant la vtteede à Dinard et caat avec une dame. Pour résoudre l se des loyers Un ingénieux dispositif La maison mblnt Le Havre, 28 juillet. Une énorme automobile q a l'spct d'un tank ou d'un umrib parcourt actuellement la Normandie ù elle séjourne un peu dans chaque ville. De grands écriteaux fxés sur es parois latérales apprennent aux uriu qu'il s'agit d'un pprtmnt ambulant uqe son propriétaire, M. Louvet, construit lui-même n un an. Cet riginl logement, monté sans chassis, comporte uf pièces entières. Il se cmps d'une cuisine où s tient le conducteur,
Il se compose d'une cuisine où se tient le conducteur, d'une chambre à coucher, d'un cabinet de toilette, d'une salle à manger, d'un salon, d'une cuisine, d'un laboratoire, et d'un watercloset. Les pièces sont fort coquettement meublées et très gentiment décorées. Elles reçoivent l'air et la lumière par une série de petits hublots munis de volets légers. Sur le toit, une antenne permet de recevoir les émissions radiotélégraphiques. M. Louvet qui habite son appartement automobile en compagnie de sa femme et de son enfant est très satisfait de son invention. Il roule à 45 kilomètres à l'heure avec la sérénité
Il s compose d'une cuisine où se tient l conducteur, d'une chambre à coucher, dun cabinet de toilette, d'une salle à manger, d'un salon d'une cuisine, d'un laboratoire, et d'un watercloset. Les pièces sont fort cqttmnt meublées et très gentiment cdé.oesré Elles reçoivent l'air et la lumière par n série de s hublots munis de volets légers. Sur le toit une antenne permet de recevoir les émissions radiotélégraphiques. M. Louvet qui hbt son appartement automobile en compagnie de sa femme t de son enfant est très satisfait de son invention Il roule à 45 krleèiotsm à l'heure aec la sérénité
Il roule à 45 kilomètres à l'heure avec la sérénité d'un homme qui n'a pas de terme à payer et qui peut passer devant les hôtels sans avoir besoin d'aller y demander gîte et nourriture. L'OURAGAN DE FLORIDE A FAIT 40 MILLIONS DE DÉGÂTS Miami (Floride), 28 juillet. Les dégâts causés par l'ouragan à Palm Beach sont évalués à 1 million de dollars. Quarante yachts ont coulé sur le lac Worth. L'ouragan se dirige vers le nord de la péninsule. LA CRUE DU DANUBE Belgrade, 28 juillet. La crue du Danube continue dans le département de Ylinscn, inondant les pâturages
Il roule à 45 ltoseimèrk à l'heure avec la sérénté d'un homme qui ' pas de terme à payer et qui peut passer dvnt les hôtls sans avi besoin d'aller y eenmrdda gîte et nourriture. L'OURAGAN DE FLORIDE A FAIT 40 MILOS DE DÉGÂTS Miami (Floride), 28 juillet. dégâts causés par l'ouragan à Plm Beah sont élué à 1 million de dollars. Qar yachts ont coulé sur le lc Worth. L'ouragan se drg vser le nord de l péninsule. LA CRUE DU DANUBE Blgrd, 28 juillet. La crue du Danube continue dans el département de Ylinscn inondant les pâturages
Danube continue dans le département de Ylinscn, inondant les pâturages de la commune de Malou sur une surface de 200 hectares. Un grand nombre de jardins et des cultures de nias ont été détruits. Le Danube continue à grossir en plusieurs endroits, des mesures ont été prises pour sauver les bestiaux se trouvant au pâturage. Le port de Giurgiu sera évacué. Une partie des marchandises a été transportée à Bucarest et une autre partie a été déposée dans les bateaux se trouvant devant le port. LE GROUPE DE SALUT PUBLIC A SON COMITÉ DIRECTEUR M. Morinaud en est le président.
Danube continue dns le département de Ylinscn, inondant les pâturages de la commune de Malou sur une surface de 200 hectae. Un grand nombre de jrdns et des cultures de nias ont été détrts. Le Danube continue à grossir en plusieurs endroits, des mesures ont été prises pour sauver les bestiaux s trouvant au pâturage. Le port de Giurgiu sera évacué. Une prt des marchandises a été trnsprté à Bucarest et une ue partie a été déposée dans bateaux se trvnt devant l .optr LE GROUPE DE SALUT PUBLIC A SON COMITÉ DIRECTEUR M. Mn en est le président.
A SON COMITÉ DIRECTEUR M. Morinaud en est le président. Paris, 28 juillet. En raison de l'impossibilité de réunir dans une même salle au Palais Bourbon, tous les membres de l'intergroupe républicain de salut public au nombre de 60, le comité directeur s'est constitué comprenant 60 membres répartis entre tous les groupes politiques de la Chambre à l'exception des socialistes, des communistes et de l'extrême droite. Ce comité a lui-même nommé un bureau de 9 membres à raison d'un représentant par groupe. Le bureau puis le Comité directeur ont désigné comme président M. Morinaud, député de Constantine, fondateur de l'intergroupe.
SON COMITÉ DIRECTEUR M. Morinaud en est le président. Paris, 28 juillet. n raison de 'impossibilité de réunir dans une même l au Palas Bourbon, tous les membres d l'intergroupe républicain de atuls public au nombre de 60, le comité directeur s'est constitué comprenant 60 membres ra entre tous les groupes politiques de la Cab à xtio des socialistes, des communistes t de 'etêlxemr droite. Ce comité a lui-même nommé un bureau d 9 membres à raison d'n représentant par groupe. Le bureau puis le Comité directeur ont désigné comme président M. Morinaud, député de Constantine, fondateur de l'intergroupe.
comme président M. Morinaud, député de Constantine, fondateur de l'intergroupe. LE « BON JUGE » EST MORT Limoges, 28 juillet. On annonce la mort survenue, dans sa propriété de Saint-Yrieix, où il se était retiré, de M. Jean Magnaud, ancien député de Paris, ancien président du tribunal de Château-Thierry, qui avait, par certains de ses jugements, mérité le surnom de bon juge. Il était âgé de 78 ans. UN ARRÊT DANS LE PROGRÈS DU MAL Paris, 28 juillet. Le projet financier du Gouvernement ne constitue qu'une première étape vers la santé, il serait même, à parler plus juste, un simple
comme président M. oad, député de Constantine, fondateur de l'intergroupe. LE « BON JUGE EST MORT Limoges, 28 juillet. On annonce la mort survenue, dans sa propriété de Saint-Yrieix, où il se était retiré, de M. Jean Magnaud, ancien député de Prs, ancien président trbnl de Chât-Thrry, qui avait, par certains de ses jugements, mérité le surnom de bon juge. Il était âgé d 78 ans. UN AR DANS L PROGRÈS DU LAM Paris, 28 juillet. Le projet financier du Gouvernement ne constitue qu'une première étape vers l santé, il serait même, à parler plus juste, un simple
santé, il serait même, à parler plus juste, un simple arrêt dans les progrès du mal. Ou encore, si l'on veut, c'est un barrage destiné à conjurer la chute de la monnaie en restaurant le crédit intérieur. C'est plus tard, lorsque les mesures prises auront produit leurs effets sur ce crédit même, selon l'espoir de M. Poincaré, que le Gouvernement s'occupera de revaloriser, s'il y a lieu, de stabiliser, en tout cas de soigner la diathèse économique et monétaire du pays. Cette procédure par paliers distingue la manière de M. Poincaré de celle de M. Callaux. Celui-ci, conformément d'ailleurs au
snt, il serait même, à parler plus juste, n simpe arrêt dans les rr du mal. Ou encore, si l'on vt, 'est un barrage destiné à conjurer la chute d la monnaie n restaurant le crédit ntérr. C'est plu tard, lorsque els mesures prises auront produit leurs effets sur ce crédit même, sln l'espoir de M. Poincaré, que le Gouvernement s'occupera e revaloriser, s'il y a le,ui de stabiliser, en totu cas de soigner la diathèse éoome et monétaire du pa. Cette prcédr par plrs distingue la manière e M. Poincaré de celle de . Callaux. Cl-c, conformément d'ailleurs au