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Physique |
Ceci est la page principale du livre de science physique. |
Un effort est entrepris pour classer les livres selon le niveau requis de formation préalable, en particulier en mathématique et en physique. Voir aussi à ce sujet la discussion . |
Avant-propos. |
Les chapitres suivants pourraient être détaillés selon plusieurs niveaux de difficulté et niveaux de mathématique. Un effort sera fait pour proposer des sections interchangeables qui puissent convenir aux programmes des écoles secondaires et universitaires des pays francophones. |
Un des premiers auteurs de ces cours de physique libres en français étant belge, le programme initial suivi sera celui de la Belgique francophone. Son souhait est cependant vif de pouvoir être assez ouvert pour être facilement modulable et adaptable, de telle sorte que des livres adaptés aux différents programmes des pays francophones puissent être simplement composés. Et que des enseignants et élèves de tous ces pays puissent facilement utiliser ces contenus et participer à leurs rédactions. |
En attendant que les différents chapitres soient assez complets pour être véritablement utilisables dans le cadre scolaire, des versions PDF et latex, en licence CC-BY-SA, des différents chapitres de ce cours sont publiées par l'un des auteurs à l'adresse https://www.cvgg.org/wordpress/cours_libre/ . |
Actuellement, ces documents sont plus complets que la version wikilivre. Mais celle-ci progresse et parviendra le plus rapidement possible à un état de maturité suffisant pour qu'elle soit autonome. |
Bonne lecture et merci pour vos contributions et remarques. |
Philosophie/Vocabulaire/Kant |
"A priori". |
1) ce qui est indépendant de toute expérience sensible ; s’oppose à ce qui est donné empiriquement ; 2) ce qui est condition de possibilité de la connaissance (condition de possibilité de l’"a posteriori"). |
Kant ("Critique de la raison pure", Introduction, 2) distingue deux critères de l"'a priori" : |
"A posteriori". |
Ce qui est postérieur à l'expérience, fondé sur l'expérience. |
Chose en soi. |
Réalité inconnaissable que nous devons penser pour comprendre ce qu’est un phénomène : elle se manifeste ou apparaît dans le phénomène, elle en est donc l’origine. |
Concept/catégorie. |
Appartient à l’entendement ; pure forme qui ne peut recevoir de contenu de l’intuition sensible ; acte synthétique ou jugement qui subsume un divers sous une réalité une. |
Table des catégories. |
Liste de tous les concepts originairement purs de la synthèse, que l'entendement renferme "a priori" et qui fait de lui un entendement pur. C'est grâce à eux qu'il peut comprendre quelque chose dans le divers de l'intuition. Les catégories sont des concepts purs de l'entendement qui sont des règles permettant de constituer l'objectivité. |
Bonne volonté. |
Chez Kant, c'est la seule fin absolument bonne, le bien en soi. La volonté soumise à la loi de la seule raison. |
"J'entends par bonne volonté non le simple souhait, mais l'emploi de tous les moyens en notre pouvoir". |
Connaissance transcendantale. |
C’est Kant qui le premier utilise ce terme avec une signification bien précise : une connaissance par laquelle nous parvenons à connaître que et comment certaines représentations (intuitions ou concepts) sont appliquées ou sont possibles exclusivement a priori. |
Dialectique naturelle de la raison. |
Chez Platon, la dialectique est la méthode par laquelle on atteint la réalité : elle est donc une connaissance vraie ; mais chez Aristote, dont Kant s’inspire ici, elle désigne l’art du dialogue, de la confrontation, et, en son sens sophistique, arguties inutiles ; chez Kant, elle va désigner la prétention de la raison pure à dépasser le champ de la phénoménalité, à franchir les limites assignées à notre pouvoir de connaître, à confondre le concept et l’existence, à croire que la logique pure a une portée ontologique ; la raison est ici en perpétuel conflit avec elle-même ; cette dialectique est naturelle à la raison humaine, et donc, à l’humanité |
Dialectique transcendantale. |
Etude des mécanismes qui produisent les erreurs et illusions caractéristiques de la métaphysique. |
Dogmatisme. |
Approche consistant à procéder en métaphysique sans critique préalable de la raison. |
Entendement. |
Faculté par laquelle nous arrivons à unifier des données sensibles venant du monde, par le biais de concepts. L'entendement est ce qui nous permet de connaître un phénomène. |
Espace. |
Forme universelle, a priori et intuitive, des sens externes. Forme pure de la sensibilité nécessaire à la connaissance par les sens. |
Esthétique. |
Théorie des formes spatio-temporelles de la sensibilité qui sont la condition de toute expérience sensible |
Idée (rationnelle). |
Fonction de la raison qui n’a pas d’usage pour la connaissance ; Kant fait une distinction entre l’Idée transcendantale, qui a pour fonction d’unifier les connaissances obtenues par l’entendement, en les systématisant, et l’Idée transcendante qui réifie cette unité, en croyant avoir affaire à un objet réel |
Noumène. |
Réalité intelligible que l’on peut penser, mais pas connaître ; il s’oppose en effet au phénomène sensible |
"Parce que le noumène est humainement inconnaissable, il est parfois assimile a la chose en soi, que Kant oppose également au phénomène. Or, le noumène n'est pas la chose en soi, laquelle est l'objet tel qu'il est en lui même, sans la référence a la connaissance que quiconque -homme ou Dieu- peut en prendre. Le noumène est au contraire un objet de pensée ou de connaissance rationnelle, une essence intelligible, au sens platonicien, même si celle ci est inaccessible a l'esprit humain. C'est pourquoi, chez Kant, ce sont surtout les idées métaphysiques (l'âme, l'univers, Dieu) qui ont une réalité morale." |
Source : La Pratique de la Philosophie, de A à Z, édition 2000 et 2001 |
Phénomène. |
"Chose telle qu’elle apparaît à l’homme, telle que seule l’homme peut la connaître, à travers la structure de son esprit (intuitions pures a priori, catégories)" |
Être de l'entendement pur. Échappant, contrairement à la "chose en soi" - dont il faut soigneusement le distinguer -, à la sensibilité, il est un pur possible, tandis que la chose en soi existe nécessairement bien que nous ne puissions en rien savoir ce qu'elle est. |
Kant dit du noumène qu'il est un concept "limitatif" qui "borne" à la fois les "prétentions de la sensibilité" (à fournir à elle seule toutes les données de la connaissance) et "celles de l'entendement" à étendre le champ de ses connaissances "jusqu'à la chose en soi". |
Réf : Critique de la Raison Pure, Analytique des principes, chapitre III "Du principe de la distinction de tous les objets en phénomènes et en noumènes" (le titre induit en erreur, les "choses en soi" sont en fait "contenues" dans les phénomènes...et les noumènes... sont - s'ils existent - des choses en soi). |
Pure. |
Est lié à la raison. Et n'est pas pure, la source de connaissance qui provient d'autre choses que de la raison. S'applique à toute opération ou faculté de l'esprit ne contenant rien qui appartienne à l'expérience sensible (ex: raison pure) |
Raison. |
Aptitude à penser au-delà de l'expérience, distincte de l'entendement. |
Temps. |
Forme universelle, a priori et intuitive, du sens interne. |
Transcendantal. |
Ce qui rend une connaissance "a priori" possible. |
Enseignement de l'anglais/Infinitif et gérondif |
Construction. |
Infinitif. |
L'infinitif des verbes se construit avec la préposition “to” suivie de la base verbale. |
Remarque : Les verbes modaux ("shall", "may", "can") n'ont aucune forme infinitive, sauf "will", qui peut être utilisé comme un verbe transitif. |
Gérondif. |
On le nomme aussi "nom verbal". |
Il se construit à partir de la base verbale en lui rajoutant le suffixe -ing. |
Lorsque la base verbale est accentuée sur la dernière syllabe et qu'elle finit par une seule consonne, on double la consonne. Cela s'applique notamment aux verbes courts (une seule syllabe). Si la consonne n'était pas doublée, la voyelle précédente deviendrait longue. Par exemple, sans la consonne doublée, on aurait "dig"-> "diging" = /dɪg/->/daigiŋ/, mais avec la consonne doublée, on a "dig" -> "digging" = /dɪg/->/dɪgiŋ/. |
Lorsqu'elle se termine par un "e" non prononcé, on enlève le "e". |
Emploi. |
De manière générale, on peut utiliser l'infinitif anglais partout où l'on peut employer l'infinitif en français. Mais souvent, il serait plus judicieux d'utiliser le gérondif à la place de l'infinitif. |
Exemples : |
"I like to run" et "I like running" (traduits par "J'aime courir") ne sont pas tout à fait équivalentes même si cette différence est de plus en plus "gommée". |
En revanche, ""Running is good" et "To run is good"" (traduits par "Courir, c'est bien") ne sont pas équivalentes. La phrase avec le gérondif a une sonorité plus naturelle, tandis que la phrase avec l'infinitif sonne "raide" et, bien que compréhensible, on ferait mieux de ne pas l'utiliser. |
Le gérondif équivaut au participe présent, donc, nous pouvons utiliser le gérondif partout où il nous est possible d'employer le participe présent en français. Notez bien que l'infinitif ne peut pas être substitué au gérondif dans ce cas. |
Retour Enseignement de l'anglais |
Enseignement de l'anglais/Présent progressif |
Conjugaison. |
Pour tous les verbes to be, le présent progressif se conjugue suivant la formule : |
Emploi. |
Cette explication suffit pour des personnes qui découvrent l'anglais. Il y a des complexités que vous pouvez découvrir au stade du perfectionnement. |
I can't come now, I'm eating. "Je ne peux pas venir maintenant, je suis en train de manger." |
What are you doing in the bathroom? "Qu'es-tu en train de faire dans la salle de bain ?" |
I'm reading a really good book about Italian history. "Je suis en train de lire un très bon livre sur l'histoire italienne." |
Notez que la personne ne lit pas forcément le livre en ce moment même. |
What are you doing this weekend? |
I'm having lunch with Mike on Saturday. |
Subsets and Splits
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