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pièce suivant grosseur. Paille, 30 à 35 francs les 1000 kilos. Artichauts, 130 à 15 francs les 100 kilos. Pommes de terre, 68 à 72 les kilos; oignons, 50 à 60 les 100 kilos; échalotes, 70 à 80 les 100 kilos. Bœuf et vache de première qualité, au détail, 9 à 11 francs le kilo; veau au détail, 10 à 11 francs le kilo; porc, au détail, 13 à 14 francs le kilo. Marché bien approvisionné, notamment en beurre. Légère hausse sur les œufs. PLOUAY, juillet. Seigle, 40 francs; avoine, sarrasin, son 100 francs. Beurre, 12 francs; œufs, 5 francs la douzaine. Veau, 5 à 6 francs; porc, 8.5 à 8.50; poulets, 14 à 15 francs la couple. Paille, 110 à 120 francs les kilos; foin, 70 francs. Cidre, 40 francs la barrique. Bon marché avec cependant de l'indécision dans les transactions. CHOISY. Juillet. On cite aux 100 kilos farine, blé 150 à 230, seigle, 110; sarrasin, 160; avoine, 130 à 150; orge, 135 à 180; son, 108 à 119. Paille, 30 à 40 francs les 500 kilos; foin, 40 francs. Cours fermes. Bœufs, amenés de 3 à 4.1 francs le kilo; vaches, amenées 31, de 3.5 à 3.8 francs le kilo; veaux, amenés 30, de 2.6 à 2.75 francs le kilo; porcs gras, amenés de 8.5 à 8.5 francs le kilo; porcs maigres, amenés de 6 à 350 francs; porcs de lait, amenés 90 à 105 francs la pièce. Cour. sensiblement les mêmes que ceux du marché précédent. Beurre, en gros, 19 francs le kilo en détail, 15 à 16 francs le kilo œufs, à 7 francs la douzaine. Hausse sur les œufs d'un franc par douzaine. Sans changement sur le beurre. Ciro, 140 à 150 francs la barrique; cidre en sucrage. Tout petit marché pour ce qui concerne normalement. CHANVREY. Juillet. Farine les 100 kilos à 60 froment, farine 110 à 150; sarrasin, 100: Pas de cours pour les fourrages. Lait, le kilo sur pied à vache 4 à 4.25; veau, 5 à 6; mouton, 6 à 6.5 francs; porc, 8 francs. Beurre le kilo en détail 15.50
pièce suivant grosseur. Paille, 30 à 35 francs les 0 kls. Artichauts, 130 à 15 francs les 100 kls. Pommes de terre 68 à 72 ls kilos; ogns 5 60 les 100 kilos; échalotes, 70 à 80 les 100 kilos. Bœuf t veach de première qlté, au détail, 9 à 11 francs le kilo; veau au détl, 10 à 11 francs le ikol; porc, détail 13 14 francs le kilo Marché bien aproisné, notamment en beurre. Légère hausse sur les œufs. PLOUAY jllt. Seigle, 40 francs; avoine, sarrasin, son 100 francs. Beurre 12 francs; œufs, 5 francs la douzaine Veau, 5 à 6 francs; rc, 8.5 à .50; poulets, 14 à 15 francs la couple. Paille, à 120 francs kilos; foin, 70 francs. de 40 francs la barrique. Bon mrché avec cependant de l'indécision dans ls asacn. CHOISY. Juillet. n cite aux 100 ilo farine, blé 150 à 230, seigle 110 sarrasin, 160; avoine, 130 à 150; orge, 135 à 180; sn, 108 à 119. Paille, 30 à 40 francs les 500 kilos; foin 40 francs. Crs fermes. Bœufs, amenés de à 4.1 francs le kilo; vaches, amenées 31, de 3.5 à 3.8 francs l kilo; veaux, amenés 30, de . à 2.75 anc le oikl; porcs gras, amenés de 8.5 . rans le kilo; ocspr maigres, mnés d 6 à 350 francs; porcs d lat, amenés 90 à 051 frncs la pc. Cour. snsblmnt les e que ceux du marché pécnt. Beurre, en gros, 19 francs le kilo en détail, 15 à 16 francs l kilo œufs, à 7 frncs la douzaine. Hss sur les œufs d'un franc par dzn. nasS changement sur le beurre. o, 140 à 150 francs la barrique; re en sucrage. Tout petit marché pour ce qui concerne normalement. CHANVREY. Juillet. Farine les 100 kilos à 60 froment, farine 110 à 150; sarrasin, 100: as de cours pour les fourrages. Lait, le kilo sur pied à vache 4 à 4.25; veau, 5 à 6; mouton, 6 à 6.5 frncs; porc, 8 francs. eu le kilo en détail 15.50
le kilo; veaux, amenés 30, de 2.6 à 2.75 francs le kilo; porcs gras, amenés de 8.5 à 8.5 francs le kilo; porcs maigres, amenés de 6 à 350 francs; porcs de lait, amenés 90 à 105 francs la pièce. Cour. sensiblement les mêmes que ceux du marché précédent. Beurre, en gros, 19 francs le kilo en détail, 15 à 16 francs le kilo œufs, à 7 francs la douzaine. Hausse sur les œufs d'un franc par douzaine. Sans changement sur le beurre. Ciro, 140 à 150 francs la barrique; cidre en sucrage. Tout petit marché pour ce qui concerne normalement. CHANVREY. Juillet. Farine les 100 kilos à 60 froment, farine 110 à 150; sarrasin, 100: Pas de cours pour les fourrages. Lait, le kilo sur pied à vache 4 à 4.25; veau, 5 à 6; mouton, 6 à 6.5 francs; porc, 8 francs. Beurre le kilo en détail 15.50 à 16 francs; œufs la douzaine 6 à 7 francs; poulets la couple 30 à 60 francs. Peu de monde à cette foire et peu de transactions en raison des travaux des champs à cette époque. STE-RADEGNADES-NOYERS, Juillet. Tendance ferme sur toutes les denrées. On cote au kilo Poulets de 9 à 12 vivants canards de 15 à 17 la paire œufs de 4 à 5 la douzaine Beurre 16 francs le kilo viande de porc de 10 à 20.5 francs le kilo foin de 15 à 25 francs les kilos prix entre particuliers. PORTORSAY, juillet. Farine, 1ère qualité, 315 à 318 les kilos: blé, 100 à sarrasin, 100 à avoine, à orge, 118 à son, à 100; paille, à foin, 450 à 500. L'ossun (orge et blé noir) et rémoulards à pain taxés, 2.70 le kilo. Tendance aux échanges de blé très réduits; une baisse est à noter en raison du cours des changes; la prochaine récolte s'annonce assez bonne. Tendance stable sur le son, la demande devenant plus active tendance à la baisse sur les avoines, dont la récolte commencée sera sans facilité. Bœufs, le kilo; vaches, 3.00 le kilo; veaux, à 4.75 le kilo; porcs gras, à
le kl; veaux, amenés 30, de 2.6 à 2.75 francs le kilo; porcs gras, amenés de 8.5 à 8.5 rcnsaf le kilo porcs grmei,as amenés de 6 à 350 frncs; porcs de lait, amenés 90 à 105 francs la pièce. Cour. snsblmnt les mêmes que eucx du hmaécr précédent Beue, en gros, 19 francs le kl en détail 15 16 francs le kilo œufs, à 7 francs la douzaine. Hausse sur les œufs d'un franc par douzaine. Sans changement sur le beurre. Cr, 140 à 150 frncs l barrique; cidre en scrge Tt petit marché pour ce qui concerne normalement. CVRY. Juillet. Farine les 100 kls à 60 eftmon,r farine 110 à 150; sarrasin, 100: Pas de rocus pour ls fourrages. Lait, le kilo sur pied à vache 4 à 2 veau, 5 à 6; mouton, 6 à 6.5 francs; porc, 8 francs. Beurre le kilo en détail 5 à 16 francs; œufs la douzaine 6 à 7 francs; poulets la cpl 30 à 06 rs. Peu de monde cette foire et e de transactions e raison des travaux des cams à cette époque. STE-RADEGNADES-NOYERS, Juillet. Tendance ferme sur toutes les denrées. On cote kl Poulets de 9 12 vivants canards de 1 à 17 la paire œufs de 4 à la dzn Beurre 16 francs le kilo viande de porc de 10 à 20.5 francs le kilo foin de 15 à 25 francs les kilos prix entre particuliers. PORTORSAY, juillet. Farine, 1ère qualité, 315 à 318 les ko:lsi blé, 100 à sarrasin, 100 à avoine, à orge, 18 à son à 100; pll, à foin, 450 à . L'ossun (orge et blé noir) et rémoulards à ain taxés, .70 le kl. Tendance aux hanges de blé très réduits; une baisse est à noter en raison cours des he; la prochaine tocelér s'annonce ssz bonne. Tendance stable sur le son, la demande devenant plus active tendance à aisse sur les avoines, dont la réclt commencée sr sans facilité. Bœufs, le kilo; vaches, .00 le kilo; veaux, à 4.75 le kilo; porcs gras, à
9 à 12 vivants canards de 15 à 17 la paire œufs de 4 à 5 la douzaine Beurre 16 francs le kilo viande de porc de 10 à 20.5 francs le kilo foin de 15 à 25 francs les kilos prix entre particuliers. PORTORSAY, juillet. Farine, 1ère qualité, 315 à 318 les kilos: blé, 100 à sarrasin, 100 à avoine, à orge, 118 à son, à 100; paille, à foin, 450 à 500. L'ossun (orge et blé noir) et rémoulards à pain taxés, 2.70 le kilo. Tendance aux échanges de blé très réduits; une baisse est à noter en raison du cours des changes; la prochaine récolte s'annonce assez bonne. Tendance stable sur le son, la demande devenant plus active tendance à la baisse sur les avoines, dont la récolte commencée sera sans facilité. Bœufs, le kilo; vaches, 3.00 le kilo; veaux, à 4.75 le kilo; porcs gras, à 4.50 le kilo; porcs maigres amenés, une vingtaine vendus de 300 fr. pièce, soit 80 à 4.50 le kilo; porcs de lait amenés. 31 cadets vendus de 260 fr. pièce. Agneau pré-salé, spécialité des grèves du Mont Saint-Michel, âge de 3 mois, 6.00 le kilo; porc au poids de viande, 10.60 à 11.70. Tendance ferme pour le bétail de très belle qualité, bien racé. Mouvement de baisse pour les sujets médiocres. Le veau reste d'un prix abordable, le porc au détail vaut 8 fr. la livre. L'agneau pré-salé très demandé se maintient à un cours élevé; au détail, les bons morceaux sont avantageux, mais se suivent les porcelets, de 10 à 13 fr. par tête; petits, 150 à 160. beaux sujets, de 55 à 60 livres, 230 à 250, soit 11.50 à la livre. Beurre en gros, 15 à 15.50 le kilo; en détail, 15.75 fr. œufs, 6.75 à 7 la douzaine. Tendance ferme pour les beurres de très belle qualité, augmenté quelquefois de 0.50 par douzaine d'œufs; offres insuffisantes en raison de la saison touristique et balnéaire. Oies de marais, 11 fr. de basse-cour, 20 à 22 la pièce; dindes de 4 à 5, 50 fr. pièce, canards de
à 12 vivants canards de 15 à 17 la paire œufs de 4 à 5 la douzaine Beurre 16 francs le kilo viande de por de 10 à 20.5 francs le kilo foin de 15 à 25 francs les kilos prix entre particuliers. PRTRSY, jllt. Farine, 1ère qualité, 315 à 318 les o blé, 100 à sarrasin, 100 à avoine, à orge 118 à so,n à 100; paille, à foin, 450 à 500. 'ossun (orge et blé noir) e rémoulards à pain taxés, 2.70 le kilo. Tdanc aux échanges de bé è réduits; une baisse est à noter en raison du cours ds changes; la prochaine récolte s'annonce assez bonne Tendance stable sur le sn, la demande devenant plus active tendance à la baisse sur les avoines, dont la récolte commencée sr sans facilité. Bœufs, kilo; vaches, 3.00 le kilo; veaux, à 475 le kilo; prcs gras, à 4.50 le kilo; porcs maigres amenés, un vingtaine vnds d 300 fr. pièce, soit 80 à 4.50 le kilo; porcs de lait amenés. 31 cadets vendus d 260 f.r pèc. Agneau pré-salé, spécialité des grèves du Mont Saint-Michel, âge de 3 mois, 6.00 le kilo; porc au pods d viande, 10.60 à 11.70. Tendance ferme pour le bétail d très belle qualité, bien racé. Mouvement de baisse pour les sujets médiocres. Le veau reste d'n prix abordable, le porc au détl vaut 8 fr. la livre. L'agneau pré-salé très demandé se ainien à un cours élevé; au détail, les bons morceaux snt avantageux, mais se suivent les porcelets, d 10 à 13 fr. par tête petits, 150 à 160. beaux sujets, de 55 à 60 livres, 230 à 250, tosi 11.50 à la livre. Beurre en gros, 5 à 15.50 le kilo; en détail, 1575 fr. œufs, 6.75 à 7 la dzn. Tendance ferme pour les beurres de très belle qualité, augmenté quelquefois de 0.50 par douzaine d'œf; offres insuffisantes en raison de la saison touristique et balnéaire. Oies de marais, 11 fr. de basse-cour, à 22 la pièce; dindes de 4 à 5, 50 fr. pièce, canards de
10.60 à 11.70. Tendance ferme pour le bétail de très belle qualité, bien racé. Mouvement de baisse pour les sujets médiocres. Le veau reste d'un prix abordable, le porc au détail vaut 8 fr. la livre. L'agneau pré-salé très demandé se maintient à un cours élevé; au détail, les bons morceaux sont avantageux, mais se suivent les porcelets, de 10 à 13 fr. par tête; petits, 150 à 160. beaux sujets, de 55 à 60 livres, 230 à 250, soit 11.50 à la livre. Beurre en gros, 15 à 15.50 le kilo; en détail, 15.75 fr. œufs, 6.75 à 7 la douzaine. Tendance ferme pour les beurres de très belle qualité, augmenté quelquefois de 0.50 par douzaine d'œufs; offres insuffisantes en raison de la saison touristique et balnéaire. Oies de marais, 11 fr. de basse-cour, 20 à 22 la pièce; dindes de 4 à 5, 50 fr. pièce, canards de marais, 12 à 14 pièce; de basse-cour, 18 pièce; poulets, poulettes, 12 à 14 pièce; gras, 18 à 20. Apports insuffisants, très demandés pour les plages voisines; les poulets se vendent à prix disputé et souvent à des cours extraordinaires. Grande quantité de canards; ceux qui proviennent des marais environnants ont besoin pour se meilleurs d'un séjour d'une huitaine de jours à la basse-cour, avec une alimentation spéciale pour les engraisser. Pommes de terre, 2 fr. le kilo; les kilos. Cidre, de 6 à 8 fr. la barrique: pour distillation, 7 le degré. Pommes à cidre, de 5 à 6 les 1.000 kilos. Les vieux cidres marquent une tendance à la baisse, la récolte sera moyenne dans plusieurs endroits. Les échanges actuels de pommes et cidre portent sur les petites quantités. Marché moyen. Les cultivateurs n'ont pas séjourné au marché. Tendance ferme pour les très bons porcs et porcelets. HONNÊTAIRE. Juillet. Farine qualité, les 100 kilos, 300 à 310; blé, 270 à 280: froment, 217 à 230: méteil, 150 à 170; pommes de terre vieilles, 50 à 60; la farine, les 100 kilos, 170 à 175; paille, 130 à 140. Lait, le kilo sur pied, 4 à 4.10: vache, 5
10.60 à 11.70. Tendance ferme pour le bétail de très belle qualité, bien rcé. Mouvement de baisse pour ls sujets médcrs. L veau reets dnu' prix abordable, le prc au détail vaut 8 fr. la livre. L'agneau pré-salé très demandé se maintient un cours élevé; au é, les bos ocea sont avantageux, mais se suivent porcelets, de 10 à 31 fr. par tête; petits, 150 160. ba sujets, e 55 à 60 livres, 230 à 2, soit 11.50 à la livre. Beurre en gros, 15 à 15.50 le kilo; en détail, 15.75 fr. œufs, 6.75 à 7 la douzaine. Tendance rmeef pour les es de très bele qualité, augmenté quelquefois de 0.50 par dzn d'œufs; offres insuffisantes en raison de la nsaiso touristique et balnéaire. Oies marais, 11 fr. de scor 20 à 22 al ièce; dindes de 4 à 5, 50 fr. pièce canards de marais, 12 à 14 pièce; de basse-cour, pièce; poulets, poulettes, 12 à 14 pièce; gras, 18 à 0 Apports insuffisants, très demandés pour les plages isnes;vio les plts vendent à pri disputé et souvent à des cours extraordinaires. rndaGe quantité de canards; ceux qui proviennent des marais nvrnnnts ont besoin pr se meilleurs dun séjour d huitaine de jours à la basse-cour, avec n alimentation spéciale pour les engraisser. Pommes de trr, 2 fr. e kilo; les kilos. Cidre, de 6 à 8 fr. la barrique: pr distillation, 7 le degré. Pommes à cidre, de à 6 les 1.000 kilos. L vieux cires marquent une tendance à la baisse, la récolte sera moyenne dns plusieurs endroits Les échanges actuels de pommes et cidre portent sur es petites quantités. Marché moyen. Ls cultivateurs 'ont ps séjourné au marché Tendance ferme pour les très bons porcs et porcelets. HONNÊTAIRE. Juillet. Farine qualité, les 100 kilos, 300 à 310; blé, 270 à 280: froment, 217 à 230: méteil, 150 à 0; pommes de terre vieilles, 50 à 60; la frn, les 100 kilos, 170 à 175; paille 130 à 140. Lait, le kilo sur e, 4 à 4.10: vache 5
ont besoin pour se meilleurs d'un séjour d'une huitaine de jours à la basse-cour, avec une alimentation spéciale pour les engraisser. Pommes de terre, 2 fr. le kilo; les kilos. Cidre, de 6 à 8 fr. la barrique: pour distillation, 7 le degré. Pommes à cidre, de 5 à 6 les 1.000 kilos. Les vieux cidres marquent une tendance à la baisse, la récolte sera moyenne dans plusieurs endroits. Les échanges actuels de pommes et cidre portent sur les petites quantités. Marché moyen. Les cultivateurs n'ont pas séjourné au marché. Tendance ferme pour les très bons porcs et porcelets. HONNÊTAIRE. Juillet. Farine qualité, les 100 kilos, 300 à 310; blé, 270 à 280: froment, 217 à 230: méteil, 150 à 170; pommes de terre vieilles, 50 à 60; la farine, les 100 kilos, 170 à 175; paille, 130 à 140. Lait, le kilo sur pied, 4 à 4.10: vache, 5 à 5.50: veau, 4.75 à 5.50: mouton, 7 à 9; porc, 8.50 à 9. Beurre, le kilo en gros, 12 à 13 et en détail, 13 à 14: œufs, la douzaine, 5.50. Cidre, la barrique, 180 à 190. Les légumes et planter sont en hausse, ayant eu des pluies touristiques. Les haricots, petits pois, salades, choux et artichauts sont en bon état. HEBART-SUR-SARTHE. 7 Juillet. On cote aux 100 kilos blé, 130 à 135 orge de mouton, 130; de brasserie, 100. Seigle, 100. Porcs de lait, amenés, 59, vendus de 320 à 370 la pièce. Beurre en gros, de 13 à 11.50 le kilo; œufs, de 7.50 à 8.50 la douzaine. Chanvre, 700 à 800 les 100 kilos. HOUDE, juillet 1923. Vache, amenée 5 à 6, vendue à 320 à 2.60 la livre; veau, amenés 9 à 11, vendus à cours de 1.40 à 2.60 la livre; moutons amenés 1, vendu à cours de 1.40 à 2.30 fr. la livre; porcs de lait, amenés 10 à 12, vendus 1/4, prix moyen 120 à 100 francs la pièce; porcs moyens, amenés 11 à 13, vendus à prix moyen 1.30 à 1.50 fr. la pièce. Beurre, de 1 franc la livre: œufs,
ont obnise pour se meilleurs dun séjour d'une htainiue jours à la basse-cour, avec une alimentation spéciale pour les engraisser. Pommes de terre, 2 fr. le kilo; les kilos. Cidre, ed 6 à 8 fr. la barrique: pour distillation, 7 le degré Pommes cidre, de 5 à 6 les 1.000 kilos. Les vieux cidres mquet une tendance à la s,aebsi la récolte sera moyenne dans plusieurs endroits. Les échanges actuels de pommes et cidre portent sur les petites qnttés. Marché moyen. L cultivateurs n'ont pas séjour u marché. ednnTcae ferme pour les très bons porcs et porcelets. HONNÊTAIRE. Juillet. n qualité, les 100 kilos, 300 à 310; blé, 270 à 280: froment, à 230: méteil, 150 à 170; pommes de terre vieilles, 05 à 60; la farine, les 100 kilos, 170 à 175; paille, 130 à 140. Lait, le kilo sur pied, 4 à 4.10: vache, 5 à 5.50: veau, 4.75 à 5.50: mouton, 7 à 9; porc, 0 à 9. Beurre, le kilo en gros, 12 à 13 et en détail, 13 à 14: œufs, la douzaine, 5.50. d,ireC la barrique, 180 à 190. Les légumes et pat sont en hausse, ayant e des pluies trstqs. Les haricots, petits pois, salades, choux te artichauts sont en bon état. HEBART-SUR-SARTHE. 7 Juillet. On cote ax 100 kilos blé, 130 à 135 orge de mouton, 130; de brasserie, 100. Seigle, 100. Porcs de lait, amenés, 59, vendus de 320 à 370 la pièce. Beurre en gros, de 13 à 11.50 le kilo; œufs, de 7.50 8.50 la douzaine. Chanvre, 700 à 800 les 100 kilos. HOUDE, juillet 1923. Vache, amenée 5 à 6, vendue à 320 à 2.60 la livre; veau, amenés 9 à 11, vendus à cours de 1.40 2.60 la livre; moutons mnés 1, vendu à uorsc de 14 à 2.30 fr. la livre; porcs d lt, amenés 10 à 12, vendus 1/4, prix moyen 120 à 100 francs la pièce; porcs moyens, mnés 11 13, vendus à prix moyen 1.30 à 1.50 fr. la pièce. Beurre, de 1 franc la livre: uœ,fs
Les haricots, petits pois, salades, choux et artichauts sont en bon état. HEBART-SUR-SARTHE. 7 Juillet. On cote aux 100 kilos blé, 130 à 135 orge de mouton, 130; de brasserie, 100. Seigle, 100. Porcs de lait, amenés, 59, vendus de 320 à 370 la pièce. Beurre en gros, de 13 à 11.50 le kilo; œufs, de 7.50 à 8.50 la douzaine. Chanvre, 700 à 800 les 100 kilos. HOUDE, juillet 1923. Vache, amenée 5 à 6, vendue à 320 à 2.60 la livre; veau, amenés 9 à 11, vendus à cours de 1.40 à 2.60 la livre; moutons amenés 1, vendu à cours de 1.40 à 2.30 fr. la livre; porcs de lait, amenés 10 à 12, vendus 1/4, prix moyen 120 à 100 francs la pièce; porcs moyens, amenés 11 à 13, vendus à prix moyen 1.30 à 1.50 fr. la pièce. Beurre, de 1 franc la livre: œufs, de 3 fr. à la douzaine. L'ensemble du marché fut bon en tout sauf pour les veaux, il a plu un peu dans la matinée et c'est le temps qui a fait venir les veaux. Les vaches ne comptent pas. Les veaux assez nombreux pour les besoins se sont vendus assez bien au début, mais l'effet de la chaleur est devenu plus fort et plus tôt. Les quelques veaux qui ont été faits de relevé étaient des cultivateurs qui avaient peur d'avoir douter de trouver plus chez eux qu'ils ne trouvaient au marché et qui ont préféré les ramener qu'à laisser moins cher. Les porcs de lait et les moyens n'étaient pas nombreux, mais la demande n'était pas forte, la nourriture n'est encore venue pour engraisser les animaux la vente fut lente et difficile, sans changement dans les cours habituels. On cote aux 100 kilos farine 1ère qualité, 320; blé, 285 à 300; seigle, 150; sarrasin, 100 à 110; avoine, 110 à 140; orge, 100; son, 100; paille, 100 à 120; foin, 120 à 130. Pommes de terre, 100 à 150 les 100 kilos. Cidre, 100 à 160 la barrique. MORTAGNE, juillet. Beurre, le kilo, 13 à 14 fr.; œufs,
Les haricots, ptts pois, slds, choux et artichauts sont en bon état. HBRT-SR-SRTH. 7 Juillet. On coe aux 100 kilos blé, 130 à 135 orge de moto, ;130 de brasserie, 100. Seigle, 100 Porcs de , eés, 59 vendus de 320 à 370 la pièce. Beurre en gros, de 13 à 11.50 le kilo; œufs, de 7 à 8.50 la douzaine. Cvr 700 à 800 les 100 kilos. HOUDE, juillet 1923. Vache, amenée 5 à , vendue à 320 2.60 la livre; veau, amenés 9 à 11, vdus à cours de 1.40 à .60 la livre; moutons amenés 1, vendu à cours de 1.40 à 2.30 fr. la livre; porcs de lait, amenés 10 à 12 venu 1/4, prix moyen 120 à 100 francs la pièce porcs moyens amenés 1 à 13, vendus à prix oe .130 à 1.50 fr. la pièce Beurre, de franc la livre œufs, de 3 fr. la douzaine. L'ensemble du marché fut bon en tout sauf pour les veaux, il a plu un peu dans la matinée et le tmps q a fait revin les veaux. Les vaches ne comptent pas. Les eux assez nombreux pour les besoins se sont vendus ssz bien au début, mais l'effet de la chaleur est devenu plus fort et sulp tôt Les quelques veaux qui ont été faits de relevé étaient des cultivateurs qui avaient peur d'avoir douter de trvr plus chez eux qu'ils ne trvnt au marché et qui ont préféré les ramener qu'à laisser mon cher. Les orcsp de lait et les moyens n'étaient pas nombreux, mais la demande n'était pas forte, la nourriture n'est encore vn pour engraisser sle max la vente fut lente et difficile, sns changement dans l rusoc habituels On cote aux 100 kilos farine 1ère qualité, 320; b, 285 à 300; il, 150; sarrasin, 100 à 110; avoine, 110 à 140 orge, 100 son, 100; paille, 100 à 120; foin, 120 à 130. Pommes de terre, 100 à 150 les 100 kilos. Cdr, 100 à 160 la barrique. MRTGN, juillet. Beurre, le kilo, 13 14 f; œufs
assez bien au début, mais l'effet de la chaleur est devenu plus fort et plus tôt. Les quelques veaux qui ont été faits de relevé étaient des cultivateurs qui avaient peur d'avoir douter de trouver plus chez eux qu'ils ne trouvaient au marché et qui ont préféré les ramener qu'à laisser moins cher. Les porcs de lait et les moyens n'étaient pas nombreux, mais la demande n'était pas forte, la nourriture n'est encore venue pour engraisser les animaux la vente fut lente et difficile, sans changement dans les cours habituels. On cote aux 100 kilos farine 1ère qualité, 320; blé, 285 à 300; seigle, 150; sarrasin, 100 à 110; avoine, 110 à 140; orge, 100; son, 100; paille, 100 à 120; foin, 120 à 130. Pommes de terre, 100 à 150 les 100 kilos. Cidre, 100 à 160 la barrique. MORTAGNE, juillet. Beurre, le kilo, 13 à 14 fr.; œufs, la douzaine, 5 à 6; poulets, la couple, 28 à 33. LES ARTICHAUTS Saint-Pierre-sur-Dives, 28 Juillet. Les artichauts ont été cotés de 110 fr. les 100 kilos. Peu d'arrivages. LES OIGNONS ET ÉCHALOTES Saint-Pierre-sur-Dives, juillet. Les oignons se vendent de 70 à 75 fr. les 100 kilos et les échalotes de 70 à 76 fr. Par la chaleur, employez la Poudre Dynodor, aseptique, inoffensive, désodorante. Elle favorise la transpiration. Prix 6,50 fr. En gros. Écrivez Dynodor, Paris. VIENT DE PARAITRE 6e ÉDITION de la Vraie France par G. G. BEAUMONT AUGOUARD La lumière dans les ténèbres de l'Afrique Car. 10 fr. Broché 9 fr. CHEZ TOUS LES LIBRAIRES Ménagères exigez le Savon GRAPPE d'OR | LA MARQUE DE MARSEILLE | ÉDITIONS JULES RALLANNOIE Toutes les jeunes piles 75, rue Drouot - auvent et doivent lire LE BILLARD que toutes les jeunes Piles peuvent lire, édité par la maison, le et 1. 15) vent et double consacrée • 83 1" Août GIN MORIAUO LA ROSE EFFEUILLÉE ou UN MIRACLE DE SAINTE THÉRÈSE de l'Enfant Jésus MB, le 8 Juillet Le marché est assez ferme sur un certain nombre de valeurs à chance qui trouvent un élément de hausse dans la tension
ssz bi au début, mais l'effet de l chaleur est devenu plus fort et plus tôt. Les quelques veaux qui ont été faits de rlvé étaient des cultivateurs qui avaient peur d'avoir douter de trouver plus chez eux u'il ne trouvaient au mrché et qui ont rfr les ramener qu'à laisser moins cher. Ls porcs de i et les moyens n'étaient ps nmbe, mais la emn n'était pas forte, la nrrtr n'est encore venue engraisser ls animaux la vente ft lente et difficile, sans changement dans les cours itls On cote aux 100 kilos farine 1ère qualité, 320; blé, 285 à 300; ge, 150; sarrasin, 100 à 0; avoine, 110 à 140; orge, 100; son, 100; paille, 100 à 120; foin, 120 à 130. Pommes de terre, 100 à 5 les 100 kos Cidre, 100 à 160 la barrique. MORTAGNE, juillet. Beurre, le kilo, 13 à 14 fr.; œufs, l douzaine, à 6; poulets, a couple 28 à 33. LES ARTICHAUTS Saint-Pierre-sur-Dives, 28 Juillet. Les artichauts nt été cotés de 110 fr. les 100 kilos. Peu d'arrivages. LES OIGNONS ET ÉCHALOTES Saint-Pierre-sur-Dives, juillet. Les oingnso se vendent de 70 à 75 fr. les 100 kilos et les échalotes de 70 76 fr. Par la chaleur, employez la Poudre Dynodor aseptique, nofens, désdrnt. Elle fvrs la transpiration Prix 6,50 fr. n gros. Écrivez Dynodor, Paris. VENT DE PARAITRE 6e NTIÉOID de la Vraie France par .G G. BEAUMONT AUGOUARD La lumière dans les tè de l'Afrique Car. 10 fr. Broché 9 fr. CHEZ TOUS LES LIBRAIRES Ménagères exigez le Savon GRAPPE d'OR | LA MRE DE MARSEILLE | ÉDITIONS JULES RALLANNOIE Toutes les jeunes piles 75, rue Drouot - auvent et doivent lire LE BILLARD que toutes les jeunes Piles pe lr, édité par la maison, el et 1. 15) vent t double consacrée 38 1" Août GN MORIAUO LA SORE EFUEÉEIFLL UN MIRACLE DE SAINTE THÉRÈSE de 'Enfant Jésus MB, le 8 Juillet L marché est asez ferme rsu un certain nombre e valeurs à chance uiq trvnt un élément d hausse dans la ietnsno
de 70 à 76 fr. Par la chaleur, employez la Poudre Dynodor, aseptique, inoffensive, désodorante. Elle favorise la transpiration. Prix 6,50 fr. En gros. Écrivez Dynodor, Paris. VIENT DE PARAITRE 6e ÉDITION de la Vraie France par G. G. BEAUMONT AUGOUARD La lumière dans les ténèbres de l'Afrique Car. 10 fr. Broché 9 fr. CHEZ TOUS LES LIBRAIRES Ménagères exigez le Savon GRAPPE d'OR | LA MARQUE DE MARSEILLE | ÉDITIONS JULES RALLANNOIE Toutes les jeunes piles 75, rue Drouot - auvent et doivent lire LE BILLARD que toutes les jeunes Piles peuvent lire, édité par la maison, le et 1. 15) vent et double consacrée • 83 1" Août GIN MORIAUO LA ROSE EFFEUILLÉE ou UN MIRACLE DE SAINTE THÉRÈSE de l'Enfant Jésus MB, le 8 Juillet Le marché est assez ferme sur un certain nombre de valeurs à chance qui trouvent un élément de hausse dans la tension des devises étrangères. C'est ainsi que le Suez, qui terminait hier à 7600, s'inscrit en clôture à 8075; le Suédois tient de à l'hausse de la De Beers à 3930. La Royale Dutch fait un bond de 59500 à Le compartiment des mines d'or est également fermé et la majorité des titres inscrivent en plus-value substantielle. Aux valeurs de cuivre, la Tanganyika est ferme bénéficiant d'un courant d'achats suivis. Remarquons la très bonne tenue du groupe des caoutchoucs, la Paleang et les Terres rongo progressent sensiblement. Aux pétroles, la Shell varie peu; on réactionne sur la Conspern. La Silva marque le pas, de même que la Matapotaka. Aux fonds d'Etat étrangers, les Russes et les Ottomans sont en procréation. Au groupe automobile, on est ferme sur les Automobiles Peugeot à 750. MARCHÉ DES CHANGES 133 15 sous, 110 pair, le franc vaut donc 0, 123. Termes ODD par BANQUE DE PARIS. 1105 Il CREDIT ALGERIEN 1420 1425 Il COMPTE COMPTABLE 1101 n ORIENT LYONNais 1555 n 6000 ORIENTAL 925 Il RENTE PONTE 4655 1000 Il SUBI AMTA-PC 1 f "TROPICAIIN 1000 735 WAGON". 1500 1300 75 ORLEANS. PAR BELIN 5000 1EREMONT 'LLOT 1 concours actuels 85 TOUBRON HOUSTON 120 Il
de 70 à 76 fr. Par la chlr, employez l Poudre Dynodor, aseptique, inoffensive, désodorante. Elle favorise la trnsprtn. Prix 6,50 fr En ro.gs Écrivez D,orydno Paris. VIENT E PARAITRE 6e ÉDITION de la Vraie Frnc par G G. BEAUMONT RDAAUUOG La lumière dans les ténèbres de l'Afrique Car. 10 fr. Broché 9 fr EZCH TS LES LIBRAIRES Ménagères exigez le Savon GRAPPE d'OR | LA MARQUE DE MARSEILLE | ÉDITIONS JULES RALLANNOIE ue les jeunes piles 75, rue Drouot - tneuva et doivent lire LE BILLARD qu toutes ls jeunes Piles peuvent lr, édité arp la maison, le et 1. 15) vet et double consacrée • 83 1" Août GIN MORA LA RSE EFFEUILLÉE N MRCL DE SAINTE THÉRÈSE de l'Enfant s MB, le Juillet Le marché est sse efmre sur un certain nmbr de valeurs à chance qui trouvent un élément d hausse dns la tension e dvss étrangères. C'est ainsi que le Suez, qui terminait hier à 7600, 'inscrit en clôture à 8075; le Séds tient de à l'hss de la De Beers à 3930. L Royale tuhDc fa un bond de 59500 à Le compartiment des mines d'or est également frmé t al majorité des titres inscrivent en plusvalue substantielle. uxA valeurs de cuivre, la Tanganyika st ferme bénéficiant d'un curt d'chts suivis. Rmrqns a très bonne tenue d groupe des caoutchoucs, la Paleang et le reTser rongo progressent sensiblement. Aux pétroles, la Sel varie peu; on réactionne sur la Conspern. La la marque le pas, de êemm que la Matapotaka. Aux fonds d'Etat étrangers, les Russes et ls Ottomans sont en procréation uA grp auml on est ferme sur les Automobiles Peugeot à 7. MRCHÉ DES CHANGES 133 15 sous, 1 pair, l rncaf vaut donc 0, 123. Termes ODD par BANQUE DE PARIS. 1501 Il CREDIT ALGERIEN 4 1425 Il COMPTE COMPTABLE 1101 n TIRNOE LYNNs 1555 n 6000 RNTL 92 Il RENTE PONTE 4655 1000 Il SUBI AMTA-PC f "TROPICAIIN 735 WGN". 1500 1300 75 ORLEANS. PAR BELIN 5000 1EREMONT 'LLOT 1 concours actuels 8 TOUBRON HOUSTON 120 Il
des titres inscrivent en plus-value substantielle. Aux valeurs de cuivre, la Tanganyika est ferme bénéficiant d'un courant d'achats suivis. Remarquons la très bonne tenue du groupe des caoutchoucs, la Paleang et les Terres rongo progressent sensiblement. Aux pétroles, la Shell varie peu; on réactionne sur la Conspern. La Silva marque le pas, de même que la Matapotaka. Aux fonds d'Etat étrangers, les Russes et les Ottomans sont en procréation. Au groupe automobile, on est ferme sur les Automobiles Peugeot à 750. MARCHÉ DES CHANGES 133 15 sous, 110 pair, le franc vaut donc 0, 123. Termes ODD par BANQUE DE PARIS. 1105 Il CREDIT ALGERIEN 1420 1425 Il COMPTE COMPTABLE 1101 n ORIENT LYONNais 1555 n 6000 ORIENTAL 925 Il RENTE PONTE 4655 1000 Il SUBI AMTA-PC 1 f "TROPICAIIN 1000 735 WAGON". 1500 1300 75 ORLEANS. PAR BELIN 5000 1EREMONT 'LLOT 1 concours actuels 85 TOUBRON HOUSTON 120 Il FERRETT. DU HAVRE. 270 1000 COBR. BRAS 1 3 1000 CHMAN 1 3 1000 1500 Il VOITURES PARIS CAOUTCHOUC. IN-WI EN 2J25 PARIS-DENAIN 500 583 500 RAMLAISE OU. 2465 1 5 1 OR M 2 5 26 1 5 14 65 TUBO UNIFICHE 116 60 119 100 TUBO 6 x 76 77 OEDIT PONTE. SOUVEIl NITRATE RAILWAY. 1785 Il CENTRAL MINING 3405 Il RIO-TINTO 7600 Il AZOTE NORVÉGIEN 1 LAUTARO NITRATE 773 1 790 ORIENTAL CARPET. 702 il 719 Il SUCRE D'ÉGYPTE. ORD. 1 970 1 TABACS OTTOMANS 795 1 885 1 Comptant 1 FONDS GARANTIS PAR L'ÉTAT 3 5, PERPÉTUEL M 1 49 26 1 1915-1918. 63 261 52 60 1 71 51 70 70 62 951 61 28 1 1916 OR 98 1 96 75 6 19 2 447 1 2 1919 A LOTS. 1 302 im 1 Vingt 1 2 1993 2 LOTS-345 350 OENOLOGIE 75, 1 72 8 LOIRE 8 19 1 Obligations 156 1 160 1 D 1 19 236 1 6 1 4 1 1 D 1 CONSTRUIR 1883 216 1 216 ol COMMUNALES 1906 210 1 206 1 CONSTRUIR 1909 130 1 130 1 COMMUNALITES 1912 115 1 113 1 CONSTRUIR 3 1
ds titres inscrivent n plus-value substantielle. Axu vlrs d cvr, la Tanganyika t ferme bénéficiant dun courant d'achats suivis. enuarsmqRo la très bonne tenue du groupe des caoutchoucs, la Paleang et les Terres rng progressent sensiblement. A pétroles, la Shell vr peu; n réactionne sur la Conspern. La Silva marque le pas, de même que la Matapotaka. A fonds d'Etat étrangers, les Russes et les ttmns sont ne proiéar.tnco Au groupe tmbl, on st ferme su les Automobiles Peugeot à 750. MARCHÉ DS CHNGS 133 15 sous, 110 pair, le franc vaut dnco 0, 123. Termes ODD par BANQUE DE AI. 1105 Il CREDIT ALGERIEN 1420 1425 Il COMPTE COMPTABLE 1101 n ORIENT LYONNais 1555 n 6000 ORIENTAL 925 Il RENTE PONTE 4655 1000 Il SB AMTA-PC f "TROPICAIIN 1000 735 WAGON". 1500 1300 75 EAS PAR BELIN 0500 1EREMONT 'LLOT concours actuels 85 TOUBRON HOUSTON Il FERRETT. DU HAVRE. 270 1000 CBR. RA 1000 CHMAN 1 1000 1500 Il VOITURES PARIS CAOUTCHOUC. IN-WI EN 2J25 N-ISPIADARNE 500 583 500 RMLS OU. 2465 5 1 RO M 2 5 26 5 14 65 TUBO HCFIEIUN 116 60 119 10 TUBO 6 x 76 77 OEDIT PONTE. SOUVEIl NITRATE RAILWAY. 1785 Il NALCTER MINING 3405 Il RIO-TINTO 0067 Il AZOTE NOÉVENRIG 1 LAUTARO NITRATE 73 1 790 ORIENTAL CRPT. 702 l 719 Il CURES 'ÉG. ORD. 1 970 1 ABACS OTO 975 1 885 Comptant 1 FNDS GARANTIS PAR LÉTAT 3 5, PERPÉTUEL M 1 49 26 1 1915-1918. 63 261 52 60 1 71 51 70 70 62 951 61 28 1 1916 OR 98 1 96 75 6 19 447 1 2 1919 A LS. 1 302 im 1 Vingt 2 1993 2 LOTS-345 350 OENOLOGIE 75, 1 8 LOIRE 8 19 1 angOltbiois 156 160 1 D 1 19 236 1 6 1 1 D 1 CONSTRUIR 1883 216 216 lo COMMUNALES 9106 210 1 206 1 CONSTRUIR 1909 130 1 130 1 COMMUNALITES 192 115 1 113 1 CONSTRUIR 3 1
76 77 OEDIT PONTE. SOUVEIl NITRATE RAILWAY. 1785 Il CENTRAL MINING 3405 Il RIO-TINTO 7600 Il AZOTE NORVÉGIEN 1 LAUTARO NITRATE 773 1 790 ORIENTAL CARPET. 702 il 719 Il SUCRE D'ÉGYPTE. ORD. 1 970 1 TABACS OTTOMANS 795 1 885 1 Comptant 1 FONDS GARANTIS PAR L'ÉTAT 3 5, PERPÉTUEL M 1 49 26 1 1915-1918. 63 261 52 60 1 71 51 70 70 62 951 61 28 1 1916 OR 98 1 96 75 6 19 2 447 1 2 1919 A LOTS. 1 302 im 1 Vingt 1 2 1993 2 LOTS-345 350 OENOLOGIE 75, 1 72 8 LOIRE 8 19 1 Obligations 156 1 160 1 D 1 19 236 1 6 1 4 1 1 D 1 CONSTRUIR 1883 216 1 216 ol COMMUNALES 1906 210 1 206 1 CONSTRUIR 1909 130 1 130 1 COMMUNALITES 1912 115 1 113 1 CONSTRUIR 3 1 2 239 1 248 1 EMPRÉT 1 1/2 1 330 1 330 1 OUEST 1 ANCIEN. 1 234 LYON 3 F A 212 MIDI S 1 ORLEANS CI., N. 1 255 BORDEAUX 3 K ANC 216 501 1 OUEST ANCIEN 1 220 1 OISTRES G 1 1 H METAUX 6 1 1 S 4 EN MAUGIS. 1 1 1 OARMUX 385 385 1 SAINT COBAIN 1 1 D 1 PU MER 6 1 299 1 298 1 OIS. FRANC 397 1 409 1 A MAR. B 1 1 1 Actions BANQUE DE FRANCE.. 13000 à OR COM. DE FRANCE.. MO OR FRAUDULEUX MAHOMMET. CREDIT 1 1 540 1 EST 1 LYON 1 1050 1 miel 1060 1 1000 1 NORD 1 1365 ORLEANS 1 1 OUEST 1 1 AIR 2800 1 2800 1 CABLES TÉLÉGRAPHI 660 1 820 1 EL CAZ OU NORD 1 1 336 1 TRANSATLANTIQUE 1 20 1 1 communiqué 1000 chine 1 1 1 CROIX FONCIERE COLON. 1 1 1 EN'-INDE INDUSTR 1 1 1 ACIER DE LANCY 1000 1 998 1 AN OR MICHELVILLE 770 1 730 PARIS. OUTRE-MER 1 1 1 CH et AT St.NAZAIRE 1 1 1 1/ 1 CHANTIER-CONSTRUCT. 1 1 1
76 77 DT PT SOUVEIl NITRATE RAILWAY. 1785 Il TRCAENL MINING 3405 Il RIO-TINTO 7600 Il AZOTE NORVÉGIEN 1 LAUTARO NITRATE 773 1 790 ORIENTAL CRPT. 702 l 719 Il SUCRE D'ÉGYPTE. ORD. 1 970 1 TABACS OTTOMANS 795 1 885 1 Comptant 1 FONDS GRNTS PR 'AÉTLT 3 5, PERPÉTUEL M 1 49 62 1 1915-1918. 63 261 52 60 1 71 51 70 70 62 951 61 28 1 1916 OR 98 1 96 75 6 19 2 447 1 2 1919 LOTS. 1 302 im 1 Vingt 1 2 9319 2 LOTS-345 350 OENOLOGIE 7,5 1 72 8 LOIRE 8 19 1 Obligations 156 1 10 1 D 1 19 236 1 6 1 4 1 D 1 CONSTRUIR 1883 216 1 216 ol COMMUNALES 1906 210 1 206 1 CONSTRUIR 1909 10 1 130 1 COMMUNALITES 9211 115 1 113 1 CONSTRUIR 3 2 239 1 248 EMPRÉT 1 1/2 1 330 1 330 1 OUEST 1 ANCIEN. 1 234 LYON 3 F A 212 M S ORLEANS C., N 1 2 BORDEAUX 3 K ANC 216 501 1 ST ANCIEN 1 220 1 OISTRES G 1 1 H MTX 6 1 1 S 4 EN MAUGIS. 1 1 1 RMX 385 385 1 SAINT COBAIN 1 1 D 1 PU MER 6 299 1 298 1 OIS. FRANC 397 1 409 1 A MAR. B 1 1 1 Actions BANQUE DE FRNC.. 13000 à R COM. DE FRANCE.. MO OR FRAUDULEUX MAHOMMET. CREDIT 1 540 1 EST 1 LYON 1 1050 1 mie 1060 0 NRD 1 1365 ORLEANS 1 1 OUEST 1 1 AIR 2800 1 2800 1 CABLES TÉLÉGRPH 660 1 820 1 EL CAZ OU NORD 1 1 336 1 TRANSATLANTIQUE 20 1 communiqué 1000 chine 1 1 1 CXOIR FONCIERE COLON 1 1 1 EN'-INDE INDUSTR 1 1 1 CR DE CNAYL 1000 1 998 1 AN OR MICHELVILLE 770 1 730 ISRAP. OUTRE-MER 1 1 1 CH et AT St.NAZAIRE 1 1 1/ 1 CHNTR-CNSTRCT. 1 1
1 1 S 4 EN MAUGIS. 1 1 1 OARMUX 385 385 1 SAINT COBAIN 1 1 D 1 PU MER 6 1 299 1 298 1 OIS. FRANC 397 1 409 1 A MAR. B 1 1 1 Actions BANQUE DE FRANCE.. 13000 à OR COM. DE FRANCE.. MO OR FRAUDULEUX MAHOMMET. CREDIT 1 1 540 1 EST 1 LYON 1 1050 1 miel 1060 1 1000 1 NORD 1 1365 ORLEANS 1 1 OUEST 1 1 AIR 2800 1 2800 1 CABLES TÉLÉGRAPHI 660 1 820 1 EL CAZ OU NORD 1 1 336 1 TRANSATLANTIQUE 1 20 1 1 communiqué 1000 chine 1 1 1 CROIX FONCIERE COLON. 1 1 1 EN'-INDE INDUSTR 1 1 1 ACIER DE LANCY 1000 1 998 1 AN OR MICHELVILLE 770 1 730 PARIS. OUTRE-MER 1 1 1 CH et AT St.NAZAIRE 1 1 1 1/ 1 CHANTIER-CONSTRUCT. 1 1 1 COMM -FOURNOBAMB. 1 1 1 Aires MARINE 1 1 1 650 DRMBIN ANZIN 1 1 800 1 HOUILLÈRES DE LA MAIURICE 1500 CHALCO ou TONKIN 146500 1 15000 ANTIM 1500 1 14701) 1 CANVIN 1 1 VICEROY.NB et NUITS. 711 1 MOKTA EL HADID 1 1 1 1 SAINT-NAZAIRE 1 1 1 SUCRE BRÉSILIENNES 1 1 1 CIMENTS FRANÇAIS 1 5300 1 POLIÉT et CHAUSSON 1 1 1 ACENSSE HAVAS 1700 1 1 CHAPAR 1 FORCES FRANÇAIS B COMPTEURS A GAZ. 1 1 740 GALÉRIES LAFAVETTE 1 1 326 BECAUER 845 1 1 PARIS-MARSEILLE H 1 1 109 1 Fonds étrangers BUENOS-AIRES 4 ♦ 1909 2450 1 CHINE 4 ♦ OR 1 1 1 CYPRUS UNIFIÉE 674 1 700 1 ITALIEN 3 1/2 87 1 101 d 1 JAPONAIS 1 1 1 540 MAROC 5 2460 1 2570 1 MEXIQUE 4 OR 1904 225 4 OR 1910 1 1 220 1 SERBIE 5 1913 1 1 B B DOUANES OTTOM. 1 1 1 MARCHE EN BANQUE BALAI 1 1 850 1. 912 CAOUTCHOUCS 673 689 303 50 498 331 MINES 634 671 399 405 308 CULTURE 1092 292 290 478 505 598 579 MALACCA 730 740 255 232 91 333
1 1 S 4 EN MAUGIS. 1 1 1 OARMUX 385 385 1 SAINT COBAIN 1 1 D 1 PU MER 6 1 299 1 298 1 OIS. FRANC 397 1 409 1 A MAR. B 1 1 1 tocAsni BANQUE DE FRANCE.. 13000 à OR COM. DE FRANCE.. MO FRAUDULEUX MAHOMMET. CREDIT 1 1 540 1 EST 1 LYON 1 1050 1 miel 1060 1 1000 1 DNRO 1 1365 ORLEANS 1 1 OUEST 1 1 AIR 2800 1 2800 1 CABLES TÉLÉGRAPHI 660 1 820 EL CZA OU NORD 1 1 336 1 TRNSTLNTQ 1 20 1 communiqué 1000 chine 1 1 1 CROIX FONCIERE COLON. 1 1 1 EN'-INDE INDUSTR 1 1 1 ACIER DE LANCY 0 1 998 1 AN OR MICHELVILLE 770 730 PARIS. OTER 1 1 1 CH et AT St.NAZAIRE 1 1 1 1/ 1 CHANTIER-CONSTRUCT. 1 1 1 COMM FOURNOBAMB 1 1 1 Aires MARINE 1 1 1 650 DMBIN NZN 1 1 800 1 HOUILLÈRES DE LA MAIURICE 1500 CHALCO ou TNKIN 146500 1 15000 ANTIM 0105 1 14701) CANVIN 1 1 VICEROYNB et NUITS 711 1 MOKTA EL HADID 1 1 1 1 SAITNAARE 1 1 1 SUCRE BRÉSILIENNES 1 1 1 CMNTS FRANÇAIS 1 5300 1 PLÉT et CHAUSSON 1 1 1 ACENSSE HAVAS 17 1 1 CHAPAR 1 FORCES ASÇINRFA B COMPTEURS A GAZ. 1 1 074 GALÉRIES LAFAVETTE 1 1 326 BECAUER 845 1 1 PARIS-MARSEILLE H 1 1 109 1 Fonds étrangers BUENOS-AIRES 4 ♦ 1909 2450 1 ENHCI 4 ♦ OR 1 1 1 CYPRUS UNIFIÉE 7 1 700 1 ITALIEN 3 1/2 87 1 101 d 1 JAPONAIS 1 1 1 540 MAROC 5 2460 1 2570 1 MEXIQUE 4 1904 225 4 OR 1910 1 1 220 SERBIE 5 1913 1 1 B B DOUANES OTTOM. 1 1 1 MARCHE EN BANQUE BALAI 1 850 1. 912 CAOUTCHOUCS 673 689 303 5 498 331 MINES 634 671 399 405 308 CULTURE 1092 292 290 478 505 598 579 MALACCA 730 740 255 23 91 333
1 1 SUCRE BRÉSILIENNES 1 1 1 CIMENTS FRANÇAIS 1 5300 1 POLIÉT et CHAUSSON 1 1 1 ACENSSE HAVAS 1700 1 1 CHAPAR 1 FORCES FRANÇAIS B COMPTEURS A GAZ. 1 1 740 GALÉRIES LAFAVETTE 1 1 326 BECAUER 845 1 1 PARIS-MARSEILLE H 1 1 109 1 Fonds étrangers BUENOS-AIRES 4 ♦ 1909 2450 1 CHINE 4 ♦ OR 1 1 1 CYPRUS UNIFIÉE 674 1 700 1 ITALIEN 3 1/2 87 1 101 d 1 JAPONAIS 1 1 1 540 MAROC 5 2460 1 2570 1 MEXIQUE 4 OR 1904 225 4 OR 1910 1 1 220 1 SERBIE 5 1913 1 1 B B DOUANES OTTOM. 1 1 1 MARCHE EN BANQUE BALAI 1 1 850 1. 912 CAOUTCHOUCS 673 689 303 50 498 331 MINES 634 671 399 405 308 CULTURE 1092 292 290 478 505 598 579 MALACCA 730 740 255 232 91 333 NORTH 74 50 74 PHOSPHATE 65 201 58 TABACS ORIENT 539 542 TUBES 160 Comptant BRUAY 4095 UNION ESPAGNOLE PARTS 550 3150 3125 MONACO ROYAL ETABLISSEMENT L'OUEST-CAPITALISATION Société anonyme au capital de 100 millions de francs (Entreprise soumise au contrôle de l'État). Siège social à Rennes, 11, quai Lamennais (il. C. I. Rennes "J G B). La Société a pour objet l'amélioration en cours de plusieurs ses ensembles titres chacun de 100 francs de rente payable 10 francs par mois pendant 10 ans, remboursable en 10 ans, nu par trimestre mensuels garantis à la reprise de 1 titre sur 12 par an émis à l'origine. Titres de 100 francs de rente payable 30 francs par mois pendant 10 ans, remboursable en 10 ans, nu par trimestre mensuels garantis à la reprise de 1 titre, sur par an émis à l'origine. Titres de 50 francs de rente payable 10 francs par mois pendant 10 ans, remboursable en 10 ans, garantis à la reprise de 1 titre, sur par an émis à l'origine. Les tirages publics ont lieu le deuxième Jeudi de chaque mois (ou la veille si le jour est férié) au Crédit Lyonnais au moyen de billets. Le prochain tirage
1 1 SUCRE BRÉSILIENNES 1 1 1 CIMENTS FRANÇAIS 5300 1 POLIÉT et CHAUSSON 1 1 1 ACENSSE HVS 1700 1 1 CHAPAR 1 ERSOCF FRANÇAIS B COMPTEURS A GAZ. 1 1 740 GALÉRIES LAFAVETTE 1 1 BECAUER 845 1 1 PARIS-MARSEILLE H 1 1 109 1 Fonds étrangers BUENOS-AIRES 4 ♦ 1909 2450 1 CHINE 4 OR 1 1 1 CYPRUS UNIFIÉE 674 1 700 1 ITALIEN 3 1/2 87 1 101 d 1 JAPONAIS 1 1 1 540 MAROC 5 2460 1 2570 1 MEXIQUE 4 OR 9 225 4 OR 1910 1 1 220 1 SERBIE 5 1913 1 B B DOUANES OTTOM. 1 1 1 MARCHE EN BANQUE BALAI 1 1 850 1. 912 AOCHOUCS 673 689 303 50 498 331 MINES 634 671 399 405 308 CULTURE 1092 292 478 505 598 579 MALACCA 730 740 255 232 91 333 NORTH 74 50 74 PHOSPHATE 65 201 58 TABACS ORIENT 539 4 TUBES 160 Comptant BRUAY 4095 UNION ESPAGNOLE PRTS 550 3150 3125 MONACO ROYAL ETABLISSEMENT L'OUEST-CAPITALISATION Société anonyme u capital de 100 millions de francs (Entreprise soumise au contrôle de l'État). Siège social à Rennes, 11, quai Lamennais (il. C. I. Rennes "J G B). La Société a pu objet l'amélioration en cours de plusieurs ses ensembles itrtse chacun 100 francs de rente payable 10 francs par mois pndnt 10 ans, remboursable e 10 ans, nu apr trmest mensuels garantis à l reprise de 1 titre sur 12 par an émis à l'origine. Titres de 100 francs de rente payable 30 francs par mois pendant 10 ans, rmoae en 10 ans nu pr trimestre mensuels garantis à la reprise de titre, sur pa an émis à l'origine. i d 50 francs de rente aaelbyp 10 francs par mois pendant 10 ans, remboursable en 10 ans, garantis la reprise de 1 titre, sur par an émis l'origine. Les tirages publics ont lieu le deuxième Jeudi d qhecau mois o(u la veille si le jour et férié au Crédit Lyonnais au moyen d b. Le prochain tirage
C. I. Rennes "J G B). La Société a pour objet l'amélioration en cours de plusieurs ses ensembles titres chacun de 100 francs de rente payable 10 francs par mois pendant 10 ans, remboursable en 10 ans, nu par trimestre mensuels garantis à la reprise de 1 titre sur 12 par an émis à l'origine. Titres de 100 francs de rente payable 30 francs par mois pendant 10 ans, remboursable en 10 ans, nu par trimestre mensuels garantis à la reprise de 1 titre, sur par an émis à l'origine. Titres de 50 francs de rente payable 10 francs par mois pendant 10 ans, remboursable en 10 ans, garantis à la reprise de 1 titre, sur par an émis à l'origine. Les tirages publics ont lieu le deuxième Jeudi de chaque mois (ou la veille si le jour est férié) au Crédit Lyonnais au moyen de billets. Le prochain tirage aura lieu le 4 août, les titres à jour de paiement seront remboursés pour leur valeur entière et, réduits par suite, le montant des versements y participant pour la valeur réduite. Pour tout renseignement, s'adresser à la Banque de l'Ouest et dans toutes ses agences. INFORMATIONS P. T. T. Sont promus Chef de bureau central télégraphique de 1er classe à Mulhouse M. Lahourgette, inspecteur Ailler. Receveur de 1er classe Argentan M. Barbey, contrôleur général au Mans. Receveur de 1er classe Coudekerque (Nord) M. Fleury, receveur de 1er classe Quentemille (Morbihan). Receveurs de 1er classe Montet (Allier) Mlle Arrouy, receveuse de 1er classe à Dreux (Eure), Ducey (Manche) Mlle Poultiquen, receveuse de 1er classe Port-Launay (Finistère). Sont nommés receveurs de 1er classe à Carentoir (Finistère) Mme Harran, dame employée à Landerneau (Finistère); à Crognac (Finistère) Mlle Le Calanche, dame employée à Redon; à Chaulage (Indre-et-Loire) Mme Moreau, dame employée à Nantes; à Saint-Samson-de-Bonfossé (Manche) Mlle Montagne, dame employée à Rennes; à La Chasse d'Eau (Nord) M. Caslel, nommé à Paris R.P. Receveurs ou receveuses de 1er classe Saint-Jon (C.-du-N.) Mlle Corbel, réceptionnaire à Lanrelas (C.-du-N.); Arthon-en-Retz (Loire-Inf.) Mlle Paulier, Nantes (Vendée); Bretteville-l'Orgueil (Calvados) Mme Picard, Saint-Cré sur Elle (Manche); Vivier-sur-Mer (O.-et-V.)
C. I. Rennes "J G B). La Société a ou objet l'amélioration en crs de plusieurs ses ensembles titres chcn de 100 francs de rente payable 10 francs par mois pnan 10 ns, remboursable en 10 ans, nu par trimestre mensuels garantis à la reprise de 1 ttr sur 12 pr an émis à l'origine. isetTr de 100 francs de nte payable 30 francs par mois pendant 10 ans, remboursable en 10 ans, nu par trimestre mensuels garantis à la rprs de 1 titre, sur par an émis à l'origine. Titres d 50 francs de e pybl 10 francs par mois pendant 10 ns, remboursable en 10 ans, garantis à la reprise de titre, sur par an émis à l'origine. Les tirages publics ont lieu le deuxième Jeudi d chaque mois (ou al le si le jour est férié) ua Crédit Lynns au moyen d billets. Le prchn tirage uraa lieu le 4 août, les titres à jour de paiement seront remboursés pour leur valeur entière et, réduits par suite, l montant des versements y participant pour la valeur réduite. r tout renseignement, s'adresser à la Banque de l'Ouest et dans toutes ses agences. INFORMATIONS P. T T. Sont promus Chef de bureau central télégraphique d 1e classe à Mulhouse M. Lahourgette, inspecteur Ailler. Receveur de 1er salces Argentan M. Barbey, onôer général au Mans. Receveur de 1er clss Coudekerque (Nord) M. Flry, receveur de 1er classe Quentemille (Morbihan). Receveurs de 1r classe Montet (Allier) Mlle Arrouy, receveuse de 1er classe à Dreux (E Ducey (Manche) Mle Poultiquen, receveuse de 1er classe Port-Launay (Finistère). Sont nommés receveurs de 1er classe à Carentoir (Finistère) Mme Harran, dame employée à Landerneau (Finistère); à Crognac (Finistère) Mlle Le Clnch, dame employée Redon; à Chaulage (Indre-et-Loire) Mme Moreau, dame employée à Nantes; à SaintSamsondeBonfossé (Manche) Mlle Montagne, dame employée à Rennes; à La Chasse uaE'd (Nord) M. Caslel, nmmé à Paris R.P. Receveurs ou receveuses de 1er classe Saint-Jon dN) Mlle Corbel, réceptionnaire à Lanrelas (C.-du-N.); A-tneRnrteoh-z (Loire-Inf.) Mlle Paulier, Nantes (Vendée); Bretteville-'Orgueil (Calvados) Mme Picard, Saint-Cré sur ll (Manche); Vivier-sur-Mer (.-t-V.)
promus Chef de bureau central télégraphique de 1er classe à Mulhouse M. Lahourgette, inspecteur Ailler. Receveur de 1er classe Argentan M. Barbey, contrôleur général au Mans. Receveur de 1er classe Coudekerque (Nord) M. Fleury, receveur de 1er classe Quentemille (Morbihan). Receveurs de 1er classe Montet (Allier) Mlle Arrouy, receveuse de 1er classe à Dreux (Eure), Ducey (Manche) Mlle Poultiquen, receveuse de 1er classe Port-Launay (Finistère). Sont nommés receveurs de 1er classe à Carentoir (Finistère) Mme Harran, dame employée à Landerneau (Finistère); à Crognac (Finistère) Mlle Le Calanche, dame employée à Redon; à Chaulage (Indre-et-Loire) Mme Moreau, dame employée à Nantes; à Saint-Samson-de-Bonfossé (Manche) Mlle Montagne, dame employée à Rennes; à La Chasse d'Eau (Nord) M. Caslel, nommé à Paris R.P. Receveurs ou receveuses de 1er classe Saint-Jon (C.-du-N.) Mlle Corbel, réceptionnaire à Lanrelas (C.-du-N.); Arthon-en-Retz (Loire-Inf.) Mlle Paulier, Nantes (Vendée); Bretteville-l'Orgueil (Calvados) Mme Picard, Saint-Cré sur Elle (Manche); Vivier-sur-Mer (O.-et-V.) Mme Mouche, Genies (Manche); Marigny (Manche) M. Leroux, receveur à Orgny (Aisne); Anville (Manche) Mlle LeHarc, receveuse à Saint Malo-de-la-Lande (Manche). Le Temps plus fait Aujourd'hui 28 juillet Ste Marthe Soleil. Levant: 5 h. coucher 8 h. 35. Lune. Lever: 7 h. 17; couchant 10 h. 35. La dépression d'Islande se creuse en Ecosse, Irlande, relève du golfe de Gènes en Pénjeault et en Hongrie. LA hausse atteint +18 Norvège, +7 Danoemark, +4 Alsace. A Paris 75. maximum 773 unité. Manche moindre, Espagne, minimum 75 Islande. Les vents sont modérés de nord-ouest, Manche et Bretagne nord faibles, Océan nord-ouest forts, Méditerranée. Les maxima de la mer ont été à Paris et Brest, Bourges, Lyon, Le Havre, Bordeaux, Toulon, Perpignan, Marseille, Nantes, Chartres, Orléans, Dijon, Argentan, Cherbourg, Metz, Nancy, Strasbourg, Belfort, Bèarn, Beauvais. Minima de 8 à Paris, Argentan, Chartres, Bordeaux 9, Dijon 10, Lyon 15, Toulon 8, Perpignan 17, Nice 7, Metz, Strasbourg et Belfort 6, Orléans 9, Beauvais 8. Pluies des 21 heures à 7 heures, le 8e 1 mm. à Paris. Le navire Argentan, Lyon, Marseille, Toulouse, Chartres, Calais, Rouen, Beauvais. Ce matin, pluie à Rennes, beau et nuageux ailleurs. MATIN Cherbourg 11 h. 10, le 10 h.
promus Chef d bureau central télégraphique de 1er classe Mulhouse M. Lahourgette, inspecteur Ailler. Receveur de 1er classe Argentan . Barbey, contrôleur général Mans. Receveur e 1er classe Coudekerque (Nord) M. Feuy, receveur de 1er classe Quentemille Morbihan Receveurs de 1er casse Montet (Allier) Mll Arrouy, evuereesc de 1er classe à Dreux (Eure), Ducey Manche Mlle Poultiquen, receveuse de 1er classe Port-Launay (Finistère). Sont nommés rcvrs de er lsscae à Carentoir (Finistère) Mme Hrrn, dame mplyé à Landerneau (Finistère); à Crognac (Finistère) Mlle Le Calanche dame employée à Redon; à Chaulage (Indre-et-Loire) Mme Moreau, dame employée à Nantes; Snt-Smsn-d-Bnfssé (Manche) Mll Montagne, dame employée à Rennes; La eahssC d' (Nord) M. elCal,s nommé à Paris RP Receveurs uo receveuses de 1e classe Saint-Jon (C.-du-N.) Mlle Corbel, réceptionnaire à Lanrelas (C.-du-N.); Arthon-en-Retz (Loire-Inf.) Mlle Paulier, Nantes (Vendée); Brttvll-l'rgl (Calvados) Mme Picard, SanC sur Elle (Manche); Vivier-sur-Mer (.-t-V.) Mme Mouche Genies (Manche); niagyrM (Manche) M Leroux, receveur à Orgny (sn); Anville (Manche) Mlle LeHarc, receveuse à Saint Malo-de-la-Lande (Manche). Le Temps plus fait Aujourd'hui 28 juillet St Mrth Soleil. Levant: 5 h. coucher 8 . 35. Lune. e:evrL 7 h. 17; couchant 10 h. 35. La dépression d'Islande se creuse en Ecosse, Irlande, relève du golfe de Gènes en Pénjeault et en gre. LA hausse atteint +18 Norvège, +7 Danoemark, +4 Alsace. A Paris 75. maximum 773 unité Manche moindre, peEgas,n minimum 75 se Les stnve sont modérés de nord-ouest, Manche et Bretagne nord faibles, Océan nord-ouest forts Méditerranée. Les xa de la mer ont été à Paris et Brest, Bourges, Lyon, Le Havre, Bordeaux, Toulon, Perpignan, Marseille, Nantes Chartres, Orléans, Dijon, Argentan, Cherbourg, Metz, Nancy, Strasbourg, Belfort, Bèrn, Bv Minima de 8 à Paris, Argentan, Chartres, Bordeaux 9, ion 10, Lyon 15, Toulon 8, Perpignan 17, Nice 7, Metz, Strasbourg et Belfort 6, Orléans 9, Baus 8. Pls des 21 heures à 7 heures, le 8e 1 mm. à Paris. Le navire Argentan Lyon, Marseille, ose, Chartres, Clais Rouen, Beauvais. Ce matin, pluie à Rennes, beau et ngx ailleurs. MTN Cherbourg 11 . 10, le 10 .
se creuse en Ecosse, Irlande, relève du golfe de Gènes en Pénjeault et en Hongrie. LA hausse atteint +18 Norvège, +7 Danoemark, +4 Alsace. A Paris 75. maximum 773 unité. Manche moindre, Espagne, minimum 75 Islande. Les vents sont modérés de nord-ouest, Manche et Bretagne nord faibles, Océan nord-ouest forts, Méditerranée. Les maxima de la mer ont été à Paris et Brest, Bourges, Lyon, Le Havre, Bordeaux, Toulon, Perpignan, Marseille, Nantes, Chartres, Orléans, Dijon, Argentan, Cherbourg, Metz, Nancy, Strasbourg, Belfort, Bèarn, Beauvais. Minima de 8 à Paris, Argentan, Chartres, Bordeaux 9, Dijon 10, Lyon 15, Toulon 8, Perpignan 17, Nice 7, Metz, Strasbourg et Belfort 6, Orléans 9, Beauvais 8. Pluies des 21 heures à 7 heures, le 8e 1 mm. à Paris. Le navire Argentan, Lyon, Marseille, Toulouse, Chartres, Calais, Rouen, Beauvais. Ce matin, pluie à Rennes, beau et nuageux ailleurs. MATIN Cherbourg 11 h. 10, le 10 h. W 9 h. 30 Il 9 h. 9 Il. le Brest 7 h. 30, 7 Il. 7 h. 10 Nanquin Il Il. 49 10 h. 03 h. La 7 Etude de Mlle E. VILLALON, notaire à Angers, successeur de M. E. BARILLET. PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE en l'étude, le lundi 9 août 1948, à 14 heures, la FERME DE LA DENILIÈRE située communes de Braincère et de la Chauferieaudouin, d'une superficie de 18 ha 50. Pour tout renseignement, s'adresser à Mlle VILLALON. Etude de Me JAN, notaire à Montliac. A VENDRE DE GRANDS LOTS au bourg de Montliac LA MAISON, ancienne poste, avec dépendances et Jardin clos, occupée par M. Poidevin. UNA MAISON, avec cuisine et fournil, et Jardin derrière, occupée par M. Crusson, boulanger. Pour renseignements, s'adresser à Me JAN, notaire. Touraine. Propriété 4 p. 7. part. étal. 3J.tKxi L. BERTHAILOT. 5, pl. du Palais, TOURS en totalité ou par lots, PROPRIÉTÉ près Lorient, vue splendide sur rivière Le Blavet. Pour tous renseignements, s'adresser A MEYEROMAR, notaire à Pont-Saint-Martin, ou à M. BINEAU, notaire à Kérountchek Lanester. Etude de M. PEAN DE PONTILLY, notaire à Pont-Aven à PONT-AVEN, sur la rivière, près du quai LA VILLA TAL-DOUR commodément meublée, Jardin,
se creuse en css, adlIn,re relève du golf ed Gènes en Pénjeault et en Hongrie. LA hausse atit +18 Norvège, +7 Danoemark +4 Alsace A Paris 75. maximum 773 unité. Manche moindre, Espagne, minimum 75 Islande. Les vents sont mdérés d nord-ouest, Manche et Bretagne nord faibles, Océan nord-ouest forts, Méditerranée. Les maxima de la mer ont téé à Paris et Brest Bourges, Lyon, Le Havre, Bordeaux Toulon, Perpignan, s Nantes, Chartres, Orléans, Dijon, Argentan, Chr Metz, Nancy, Strasbourg, Belfort, Bèarn, Beauvais. Minima de 8 à rPsai, Argentan, Chartres, Brdx 9, Dijon 10, Lyon 15, Toulon 8, Perpignan 17, Nice 7 Mt, asbrutgroS t Belfort 6, Orléans 9, Beauvais 8. Pluies des 12 heures à 7 heures, 8 1 mm. à Paris. Le navire Argentan, Lyon, Marseille, Toulouse, Chartres, Calais Rouen, Beauvais. C matin, e Rennes, beau t nuageux ailleurs. MATIN Cbrguehro 11 h. 10, le 10 h. W 9 h. 30 Il 9 h. 9 Il. le Brest 7 h. 30, 7 Il. 7 h. 10 Nanquin Il Il. 49 10 h. 03 h. La 7 Etude de Mlle E. LALLO,INV notaire à Angers, successeur de E. BRLLT. PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE en 'étude, le lundi 9 août 1948, à 14 heures, la FERME DE AL DENILIÈRE située communes de Braincère et de la Chauferieaudouin, d'une superficie de 18 ha 50. Pour tout renseignement, s'adresser à Mlle VILLALON. Etude de Me JAN, ntr à Montliac. A VNDR DE GRANDS LOTS au bourg de Montliac LA MAISON, ancienne poste, vcae déenanc t Jardin clos, occupée par M. Poidevin. UNA MAISON, avec isn t fournil et Jardin erè occupée par M Crusson, blngr. uPor renseignements s'adresser à JAN, ntai Touraine. Propriété 4 p. 7. part étal. 3J.tKxi L. BERTHAILOT. 5, pl d Pls, TOURS en totalité ou par lots, OITPRÉRPÉ près Lorient, vue splendide sur rivière L Blavet. Pour tous renseignements, s'adresser A E notaire Pont-Saint-Martin, ou à M. BINEAU notaire à Kunc Lanester. Etude de M. PN D PONTILLY, notaire à Pont-Aven à PONT-AVEN, sur rivière, psrè du quai LA VILLA TAL-DOUR commodément meublée, Jardin,
août 1948, à 14 heures, la FERME DE LA DENILIÈRE située communes de Braincère et de la Chauferieaudouin, d'une superficie de 18 ha 50. Pour tout renseignement, s'adresser à Mlle VILLALON. Etude de Me JAN, notaire à Montliac. A VENDRE DE GRANDS LOTS au bourg de Montliac LA MAISON, ancienne poste, avec dépendances et Jardin clos, occupée par M. Poidevin. UNA MAISON, avec cuisine et fournil, et Jardin derrière, occupée par M. Crusson, boulanger. Pour renseignements, s'adresser à Me JAN, notaire. Touraine. Propriété 4 p. 7. part. étal. 3J.tKxi L. BERTHAILOT. 5, pl. du Palais, TOURS en totalité ou par lots, PROPRIÉTÉ près Lorient, vue splendide sur rivière Le Blavet. Pour tous renseignements, s'adresser A MEYEROMAR, notaire à Pont-Saint-Martin, ou à M. BINEAU, notaire à Kérountchek Lanester. Etude de M. PEAN DE PONTILLY, notaire à Pont-Aven à PONT-AVEN, sur la rivière, près du quai LA VILLA TAL-DOUR commodément meublée, Jardin, garage, dépendances. Eau, électricité. Libre le suite. A VENDRE CANOT, voiture, motocyclette. Pour tous renseignements, s'adresser au notaire. Etude de M. Ch. ROQUET, notaire à St-Servan-sur-Mer, rue Ville-l'Epine, as. A VENDRE A L'AMIABLE A St-SERVAN-SUR-MER, rue Dauphin. Splendide sur la mer. Pour tous renseignements, s'adresser au notaire. Touraine Prop. près bourg p. garage 50 ar. Jardin v. R. électr. au possible int. établis. grand Jardin, dans bourg important, facilités commerces. Limitrophe. Ecr. Agence HAVA. NANTES. Étude de la LERETOUTURE à Pornic. ADJUDICATION VOLONTAIRE À l'Etude, le 29 août à 10 h, 30. D'UN PAVILLON S'agissant formant rez-de-chaussée, 1er et 9e étage avec logement de gardien. Puits, Château d'eau, jardin, 771 m2, M. à p. fr. Facilité de traiter avant l'adjudication BELLE PROPRIÉTÉ AGRICOLE ET D'ELEVAGE à vendre dans le Sud-Ouest, 110 hectares toutes cultures dont un tiers en fourrages, château ancien de 5 pièces, électricité, vastes écuries et matériels agricoles. Importants revenus. Prix C.0191 fr S'ad. SOL. ingénieur. Étude de M' JAN, notaire à Nantes. À Vendre par Adjudication à l'HOTEL JAGU à Nantes. Le DIMANCHE 8 AOÛT 1918, 11 heures. Commune de Nantes. 1* UNE MAISON, au bourg, avec dépendances et jardin. Occupée par M. Ma.hot. 2e UN PREMIDI,
août 1948, 14 heures, la FERME DE L DENILIÈRE située cmmns de Braincère et de la Chauferieaudouin, d'une superficie de 18 ha 50. Pour tout renseignement, s'adresser à Mlle ILAL. td de Me JAN, ta à Montliac. VENDRE DE GRANDS LOT au bourg de Montliac L MISON, ancienne poste, cvae dépendances e Jardin clos, occupée par M. Pdvn. UNA MSN, avc cuisine et fournil et Jardin derrière, occupée par M. Crusson, or Pour rnsgnmnts, s'adresser à Me J,AN notaire. Touraine. Propriété p. 7. prt. étal. 3J.tKxi L BERTHAILOT. 5, pl. du Palais, TOURS en totalité ou par lots, PROPRIÉTÉ près Lrnt, u splendide sur rivière Le Blavet. Pour tous rnsgnmnts, s'adresser MEYEROMAR, notaire à Pont-Saint-Martin, ou à M. BINEAU, notaire Kérountchek Lanester. Etude M. ENPA DE PNTLLY, notaire à Pont-Aven PONT-AVEN, sur la rivière, près du quai LA VILLA TAL-DOUR commodément ebmé,uel Jardin, garage, dépendances. Eau, électricité. Lbr le suite. A VENDRE CANOT, voiture, mtcycltt. Pour tous renseignements, s'adresser au notaire. Etude de M. Ch. ROQUET, notaire à r--r,ean-vrMueStSs rue Ville-'Epine, as. A VENDRE A L'IABE A St-SRVN-SR-MR, rue Dauphin. Splendide la mer. Pour ts renseignements, s'adresser au notaire Touraine Prop. près brg . garage 50 ar. Jardin v. R électr. au possible int. établis. grand Jardin, dans bourg important, facilités commerces. Limitrophe Ecr. Agence HAVA. NANTES. Étude de la LETUTR à Pornic. ADJUDICATION VOLONTAIRE À l'Etude, le 29 ûtao à 10 h, 30. DUN PAVILLON S'agissant formant rez-de-chaussée, 1er et 9e étage avec logement de gardien. Puits, Château d'eau, jardin, 771 m2 M. à p. fr. Facilité de traiter avant l'adjudication BELLE PROPRIÉTÉ AGRICOLE T D'ELEVAGE à vendre dans Sud-Ouest, 0 hectares toutes lseuruct dont un tiers n frrgs, château ancien de 5 pièces, électricité, vastes écuries et mtérls agricoles. Importants revenus. Prix C0191 fr S'ad. SOL ingénieur. Étude de M' JAN, notaire à Nantes. À Vendre par Adjudication à lHOTEL JAGU à Nnts. Le DMNCH 8 AOÛT 1918, 11 heures. Commune de Nantes 1* UNE ION au bourg, avec dépendances et jardin. Occupée par M. Ma.hot. 2e UN PREMIDI,
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de luxe, substitution de produits sanitaires. Écrire avec références à Herve Stevens, 16, boulevard Gand; bons salaires, pensions faciles, travail assuré. PASTOUREAU. Crânière, Huet-Lesage, COL. Appointements. • p témoins indispensables. Loisirs tr. • ér. Ecr. Établissements. À Lyon, SORTIS. VO L'Ouest-Est. St-Brieuc. À VENDRE MOTEUR à partir de CV. Etat neuf, avec gazogène à charbon de bois, pouvant convenir pour bateau. 10.000 francs. DURU. 21, avenue de Paris, SYMphorien (Indre-et-Loire). MACNINE réparateur à jour de Bateaux de loisirs. Demandez UTTI BATEAUX À VENDRE AMBOUR. Courtier, Baleine-d'Olonne. Hôtel des Dents. Bijoux jusqu'à 30% de la dent. Bill. 8.000 fr. le carat chez bijoutier de Paris passage à Saint-Malo. Bar Maritime, place Dug.Trouin (face s.-préfect.). SAMEDI 31 JUILLET, de 9 h. à 6 h. LOCOMOBILE NASSIVET Bonne occasion à vendre car changement de matériel. MAILLARD Ernest, LE HINRLE (Côtes-du-Nord). Consultations pensionnaires 11 jours complets. Mme OUIN. 6, r. Ph.-de-Ghérald. Paris (XV). MACHINES À TRICOTER toutes longueurs et largeurs. PRIX DE FABRIQUE Travail assuré. Catalogue Apprentiss. gratuit. LA LABORIEUSE. 10, quai d'Orléans NANTES. ÉPARGNE M. rue St-Melaine RENNES PAPIERS PEINTS Prix de fabrique album ou échantillon en communication. LA DÉCORATION MODERNE. 9, rue Grammont. PARIS À VENDRE CUIVRE 30 mètres. Prix avantageux. PORCHER, rue Plantagenet, ANGERS. ACHETER BATEAU 14 à 18 pieds, à RAS voile, misaine ou cotre. A. LAMOTTE, Carnac (Morbihan). ON DEMANDE. À ACHETER UN MOTEUR soit de essence ou à préférence horizontal. Ni. LEROÏ, Bonneval. par le SAP (Orne). Tél. 1. 73555. Lait très doux, frais en lait, CHEVRE À VENDRE. S'adresser AGENCE HAVAS. RENNES. 51H) REPARATIONS électriques, Transformateurs et tous Appareils électriques par nos Ouvriers Spécialistes. Moteurs Electriques ARMOR 71, Rue de Bretagne RENNES. Bonne et veau, une vache jersey, cidre, lots et peu de matériel agricole. LE CHÂTELIER. route de Bazouges. CHATEAU-GONTIER. 31.356 MATÉRIEL DE MOULIN À vendre d'occasion 1 filtre zag-zag Howes, 3 trieurs Daverlo. 1 colonne Howes, 1 tarare, 1 aspirateur. 1 brosse à blé Daverlo. 1 comprimeur Daverlo, 9 broyeurs 500x190 Daverlo. 1 plansichters Daverlo. S'adr. M. F. JAMET, ingénieur-constructeur. Hennecy. À vendre chiennes loup, 3 mois. Issues croisement berger allemand et mallonais, Montbron Kervégan
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LA LIBERTÉ Prix du Numéro à Paris : 10 Centimes Mardi 23 Juin 1874 PRIX DU NUMÉRO : — Départements : M. LES ABONNÉS - Les Manuscrits ne seront pas renvoyés ÉDITORIAL : PARIS, 123, RUE MONTMARTRE. Directeur politique : LEONCE DÉTROYAL Mardi 23 Juin 1874 BANQUES, MM. Ch. Lagrange, Cerf et Cie, 40 FR. PAR AN. 24 FB. PAR. SEMESTRE. 13 FR. PAR TRIMESTRE, BUREAUX : PARIS, 146, RUE MONTMARTRE. Administrateur-Gérant : LOUIS GAL Nous commencerons demain mardi la publication du roman de M. Camille BIAS: L'Orphelin d'Arcueil LES TÉLÉGRAMMES DE LA NUIT ET DU MATIN France Perpignan, 21 juin. Le Bulletin officiel de l'état-major de don Alphonse donne des détails sur le combat de Gandesa. Il dit que les forces des colonnes républicaines s'élevaient à 7,000 hommes, 8 canons et une nombreuse cavalerie. L'infant don Alphonse, à la tête de 800 hommes, attaqua une position, et environ 5,170 carlistes le secondèrent dans cette attaque. Les troupes républicaines, obligées de rester dans Gandesa, ont subi des pertes qui ne sont pas exactement connues. Les carlistes ont perdu 30 morts et 93 blessés, parmi lesquels deux officiers supérieurs. Les zouaves carlistes se sont signalés. Les divisions carlistes de renfort, couvertes par le mouvement du prince, purent arriver à destination. Les infants don François et don Albert ont combattu sous les ordres de don Alphonse. Espagne Madrid, 20 juin. Les chemins autour d'Estella sont impraticables pour l'artillerie. De là la suspension momentanée des opérations. Madrid, 21 juin, soir. À l'ouverture de l'Exposition nationale, le maréchal Serrano a prononcé un discours dans lequel il a déclaré que la seule politique du gouvernement est de pacifier le pays, car, avec la paix, le pays pourra se constituer librement. Santander, 21 juin, soir. Des renforts et des vivres passent continuellement ici, à destination de l'armée du Nord. Les dispositions pour l'attaque ne sont pas encore complètement terminées; le maréchal Concha avance dans la direction de Lerín; il doit quitter Lodosa demain. Angleterre Manchester, 21 juin, soir. Une grande démonstration a eu lieu hier en faveur des ouvriers agricoles en grève. Des membres des différentes
L LBRTÉ Prix du Numéro à Paris : 10 Centimes Mardi 23 Juin 1874 PRIX D NUMÉRO : — Déprtmnts : M. LES ABONNÉS Les Manuscrits ne seront pas renvoyés ÉDITORIAL : PARIS, 123, RUE MONTMARTRE. Directeur politique : LEONCE DÉTROYAL Mardi 23 Jn 1874 BANQUES, MM Ch. Lgrane Cerf et Cie, 40 FR. PAR AN. 24 FB. PAR. SEMESTRE. 13 FR. PAR TRIMESTRE, BUREAUX : PARIS, 146, RUE MONTMARTRE. Administrateur-Gérant : LOUIS GAL Nous commencerons demain mardi publication du roman de . ame BIAS: L'Orphelin d'Arcueil LES TÉLÉGRAMMES DE LA NUIT ET DU MATIN France eign 21 juin. Le Bulletin officiel de l'état-major de don Alphonse donne des détails rsu le combat de Gandesa. Il dit que les forces des colonnes républicaines s'élevaient à 7,000 hommes 8 canons et une nombreuse cavalerie. L'infant don Alphonse, à la tête de 800 hommes, attaqua une position, et environ 5,170 carlistes le secondèrent dans cette attaque. Les spetruo u,éianrpclbeis obligées de rester dans Gandesa, ont subi des pertes qui ne sont pas exactement cnns. Les carlistes ont perdu 30 mrts et 93 blessés parmi lesquels deux officiers supérieurs. Ls zouaves carlistes se sont signalés. Les divisions carlistes de enrt, couvertes par le mouvement du prince, purent arriver à destination. Les infants don François et don Albert ont combattu sous les ordres de don Alphonse. Espagne Madrid, 20 juin. Les chemins autour d'Estella sont impraticables pour 'tille. De là la suspension momentanée des opérations. Madrid, 21 juin, oi. À loerre de 'Exposition nationale, le maréchal Serrano a prononcé un discours dans lql il a déclaré que l seule politique du gouvernement st de pacifier le pays, car, avec la paix, le pays pourra se constituer librement. Santander, 12 juin, soir. Des renforts et des vivres passent continuellement ici, à destination d l'armée d Nord. Ls dispositions pour l'attaque ne sont pas encore complètement terminées; le maréchal Concha avance dns la direction de Lerín; il doit quitter Lodosa demain. Angleterre Manchester, 21 inuj, soir. Une grande démonstration a eu lieu hier en faveur des ouvriers agricoles en grève. Des membres des différentes
par le mouvement du prince, purent arriver à destination. Les infants don François et don Albert ont combattu sous les ordres de don Alphonse. Espagne Madrid, 20 juin. Les chemins autour d'Estella sont impraticables pour l'artillerie. De là la suspension momentanée des opérations. Madrid, 21 juin, soir. À l'ouverture de l'Exposition nationale, le maréchal Serrano a prononcé un discours dans lequel il a déclaré que la seule politique du gouvernement est de pacifier le pays, car, avec la paix, le pays pourra se constituer librement. Santander, 21 juin, soir. Des renforts et des vivres passent continuellement ici, à destination de l'armée du Nord. Les dispositions pour l'attaque ne sont pas encore complètement terminées; le maréchal Concha avance dans la direction de Lerín; il doit quitter Lodosa demain. Angleterre Manchester, 21 juin, soir. Une grande démonstration a eu lieu hier en faveur des ouvriers agricoles en grève. Des membres des différentes associations ouvrières, au nombre d'environ 20.000, se sont rendus au jardin dit Pomona gardens; ils y ont tenu un meeting, dans lequel des résolutions ont été formulées et des souscriptions ont été faites. Irlande Dublin, 21 juin, soir. Une lettre pastorale du cardinal Cullen a été lue aujourd'hui dans les églises; elle déplore les outrages dont le pape est l'objet et démontre que le césarisme veut remplacer l'Evangile comme guide des consciences, afin d'ébranler la religion et de rendre le catholicisme impossible. Italie Rome, 21 juin. Le pape a reçu aujourd'hui quelques autres membres du corps diplomatique. La direction du Trésor a accepté les demandes du comité des bond holders, de Londres, relativement à l'affidavit, mais en y faisant quelques modifications. On attend la réponse du comité. Rome, 21 juin, soir. Ce soir, après le Te Deum chanté à Saint-Pierre à l'occasion du 28e anniversaire de l'avénement du pape, quelques centaines d'assistants ayant aperçu le saint-père à une fenêtre du Vatican, ont commencé à agiter leurs mouchoirs. Plusieurs d'entre eux, que l'on suppose être des anciens gendarmes pontificaux, se sont mis à crier : Vive le pape roi ! L'un d'eux a été sifflé par la foule et arrêté. Cinq
par le mouvement du prince, purent arriver à destination. L infants don François et don Albert ont combattu sous les ordres de don Alphonse. Espagne Madrid, 20 juin Les chemins autour d'Estella sont impraticables pour l'artillerie. De là la suspension momentanée sed opérations. Madrid, 21 ju, soir. louverture de l'Exposition nationale, le maréchal Serrano a prononcé un discours dans lequel l a déclaré que la seule politique du gouvernement est de pacifier le pays, car, avec la paix, le pays pourra se constituer librement. Santander, 21 juin, soir. Des renforts et des vivres asn continuellement c, à dtnao de l'armée du Nord. Les dispositions pour laqettu'a ne sont pas encore complètement terminées; l maréchal Concha avance dans la direction de Lerín; il doit rutqtei Lodosa demain. Angleterre Manchester, 12 jn, soir. Une grande démonstration a eu l hier en faveur esd errsuivo agricoles en grève. Des membres des différentes associations ouvrières, au nombre d'environ 20.000, se sont rendus au jardin dit Pm gardens; ils y nt tenu un meeting dans lequel des résolutions ont été frmlés et ds souscriptions ont été fts. Irlande Dublin, 21 juin, soir. ne lettre pstrl du cardinal Cullen a été lue aujourd'hui dans les églises; elle déplore les outrages dont le pape est l'objet et démontre que le césarisme veut remplacer l'Evangile comme guide des cnscncs, afin d'ébranler l rlgn et de rendre le catholicisme impossible. Italie Rome, 21 juin. Le pape a reçu aujourd'hui quelques asretu membres du corps diplomatique La drctn du Trésor a accepté les demandes du comité des bond holders, de Londres, relativement à l'affidavit, mais en y faisant quelques modifications. On attend la rp du comité. Rome, 21 juin, soir. e soir, après le Te Deum chanté Saint-Pierre à l'occasion du 28e anniversaire de l'avénement du pape, quelques centaines d'assistants ayant aperçu le saint-père à une fenêtre du Vatican, ont commencé à agiter leurs mouchoirs. Plusieurs dentre eux, que l'on suppose êtr des ncns gendarmes pontificaux, se sont mis à crier : Vive le pape roi ! L'n d'eux a été sifflé par la foule et arétê.r Cinq
églises; elle déplore les outrages dont le pape est l'objet et démontre que le césarisme veut remplacer l'Evangile comme guide des consciences, afin d'ébranler la religion et de rendre le catholicisme impossible. Italie Rome, 21 juin. Le pape a reçu aujourd'hui quelques autres membres du corps diplomatique. La direction du Trésor a accepté les demandes du comité des bond holders, de Londres, relativement à l'affidavit, mais en y faisant quelques modifications. On attend la réponse du comité. Rome, 21 juin, soir. Ce soir, après le Te Deum chanté à Saint-Pierre à l'occasion du 28e anniversaire de l'avénement du pape, quelques centaines d'assistants ayant aperçu le saint-père à une fenêtre du Vatican, ont commencé à agiter leurs mouchoirs. Plusieurs d'entre eux, que l'on suppose être des anciens gendarmes pontificaux, se sont mis à crier : Vive le pape roi ! L'un d'eux a été sifflé par la foule et arrêté. Cinq ou six autres arrestations ont eu lieu. La foule s'est dispersée paisiblement. Les bersaglieri sont venus occuper la place, qu'ils ont fait évacuer. Le pape, aussitôt qu'il s'est aperçu de la démonstration dont il était l'objet, s'est retiré de la fenêtre. (Agence Havas.) PARIS, LUNDI 22 JUIN 1874 LE BULLETIN POLITIQUE Dans sa dernière séance la commission chargée d'examiner les pièces concernant la condamnation prononcée contre M. Ranc a décidé à l'unanimité que le député du Rhône devait être considéré comme étant deçu de son mandat. L'Assemblée aura toujours à se prononcer sur un point de difficile interprétation. La majorité de la commission estime que le délai légal laissé au Gouvernement pour procéder à de nouvelles élections devrait courir du jour où la déchéance aura été prononcée; la minorité pense au contraire que la déchéance date du 18 octobre 1873, jour où eut lieu l'exécution en effigie du jugement par contumace. On comprend l'importance de ce débat qui, s'il était vire dans un sens favorable à la minorité de la commission, obligerait le ministère à convoquer d'urgence les électeurs lyonnais. Nous avons maintenant sous les yeux le projet de convention internationale concernant les lois et les coutumes de la guerre,
églises; ll déplore les outrages dont le pape est l'objet te démontre que l smcaesréi veut rmplcr 'Evangile comme guide des consciences, afin 'ébranler la religion et d rendre le catholicisme impossible. Italie Rome 21 juin. Le pape a reçu aujourd'hui qeeuqsul autres emb du corps diplomatique. La direction du Trésor a accepté les demes ud comité des bond holders, de Londres, relativement à l'affidavit, mais en y faisant uue modifications On attend la réponse du comité. Rm, 21 juin, soir. Ce soir, après le Te Deum chanté à Saint-Pierre à l'occasion du 28e anniversaire de l'avénement du pape, quelques centaines d'assistants ayant prç le snt-pèr à une fenêtre du Vatican, ont commencé à agiter e mouchoirs. Plusieurs d'entre eux, que l'on suppose êr des anciens gendarmes pontificaux, se sont mis à crier : Vive e appe roi ! L'un d'eux a été sifflé par la foule et arrêté. C ou si autres arrestations ont eu lieu. La foule s'est dispersée mleatii.psebn Les bersaglieri snt venus occuper l place, qu'ils ont fait évacuer Le pp, aussiôt quil 'ests aperçu de la dmoratin dont l étt l'objet, s'est e de la fnêtr. (Agence Hvs.) PARIS, LND 22 JUIN 1874 L BLIN POLITIQUE Dans sa dernière séance la commission chargée d'examiner les pièces cnernan la condamnation prononcée rcnoet M Ranc a décidé à lnnimié que le épté du Rhône dvt être considéré comme étant deçu de son mada. L'Assemblée aura toujours à se prononcer sur un point difficile interprétation. La majorité de la cmmssn estime que l délai légal laissé au Gouvernement pu procéder à de nouvelles élections dvrt courir du jour où la déchéance aura été prononcée; la minorité pense au contraire que la déchéance date du 18 octobre 1873, jour où t lieu l'exécution en effigie du jugement par contumace On comprend l'importance de e débat qui, 'il était vire dns un sens favorable à la minorité de la commission, blgrt le ministère convoquer d'urgence les électeurs i soNu avons maintenant sous les exuy le projet de convention internationale concernant les lois et les coutumes de a guerre,
POLITIQUE Dans sa dernière séance la commission chargée d'examiner les pièces concernant la condamnation prononcée contre M. Ranc a décidé à l'unanimité que le député du Rhône devait être considéré comme étant deçu de son mandat. L'Assemblée aura toujours à se prononcer sur un point de difficile interprétation. La majorité de la commission estime que le délai légal laissé au Gouvernement pour procéder à de nouvelles élections devrait courir du jour où la déchéance aura été prononcée; la minorité pense au contraire que la déchéance date du 18 octobre 1873, jour où eut lieu l'exécution en effigie du jugement par contumace. On comprend l'importance de ce débat qui, s'il était vire dans un sens favorable à la minorité de la commission, obligerait le ministère à convoquer d'urgence les électeurs lyonnais. Nous avons maintenant sous les yeux le projet de convention internationale concernant les lois et les coutumes de la guerre, que le gouvernement russe doit soumettre au prochain congrès de Bruxelles. Nous ne croyons pas utile d'en donner, à quant à présent, le texte. Qu'il nous suffise de dire qu'il s'occupe de régler les droits des belligérants entre eux, de déterminer les moyens licites ou illicites de nuire à l'ennemi, de codifier en quelque sorte les principes universellement admis par Grotius, Puffendorf, Vatel, Bluntschli, et par tous les auteurs qui se sont occupés de législation internationale. La seconde partie est consacrée aux droits et aux obligations des belligérants envers les particuliers, aux réquisitions et contributions. C'est la partie vraiment neuve du projet. Nous verrons pour notre part avec infiniment de plaisir les règles édictées dans ce projet recevoir des grandes puissances ou de leurs représentants une consécration définitive. Mais il importe de ne pas perdre de vue les difficultés que rencontreront, dans l'application, et surtout au point de vue pénal, les dispositions que le congrès aura votées. Nous avons vu dans la dernière guerre la manière dont on s'est conformé à la convention de Genève; nous ne nous osons espérer que la convention de Bruxelles sera mieux respectée. Néanmoins, on aurait tort de contester l'importance de l'initiative prise par le
POLITIQUE Dans sa dernière séance la commission chargée d'examiner les pièces concernant la condamnation prononcée contre M. Ranc a décidé à 'uialtnéimn que l député du Rhône evai être considéré comme étant deçu de son da. L'Assemblée aura toujours se prononcer sur un point d difficile interprétation. La majorité de l commission estime que l délai légl laissé au Gouvernement pour procéder à de nouvelles élections devrait courir du jour où la déchéance aura été prononcée; la minorité pense au rire que la déchéance date d 18 obre 1873, jour où t lieu l'exécution en effigie d jugement par contumace On comprend meotlcaip'nr d ce débat qui, s'il était vire dans n sens favorable à la minorité de la ,oimscmosni obligerait le ministère à convoquer recn'edug les électeurs lyonnais. Nous avons maintenant sous les yeux le prjt de convention internationale cncrnnt les lois et les coutumes de la guerre, que le gouvernement russe doit au crphniao congrès de Bruxelles. Nous ne croyons pas utile d'en ne à quant à prése, le texte. Qu'il nous suffise de dire qu'il s'occupe de réglr les droits des srlnegéialtb entre eux, d déterminer e moyens lcts llcts de nuire à l'ennemi, de cdfr en quelque sorte l principes universellement admis par Grotius, Puffendorf, Vtl, Bluntschli, et par tous les auteurs qui se sont occupés d législation internationale. La seconde prieat est consacrée x droits et aux obligations ds belligérants envers ls particuliers, aux réqstns et contributions. C'est partie vraiment neuve du projet. Nous vrroens pour notre part veac infiniment de plaisir les règles édictées dans ce projet recevoir des radsnge puissances ou de leurs représentants une consécration définitive. Mais il importe de ne psa perdre de vue les fult que rencontreront, dans l'pplctn, et surtout au point de vue pénal, les dispositions que le congrès ar votées Nus avons vu dans la dernière guerre la manière dont on s'est conformé à la convention de Genève; nous ne nous oss espérer que la convention de Bruxelles sera mieux respectée. Néanmoins on aurait tort de et l'importance de l'initiative prise par le
de codifier en quelque sorte les principes universellement admis par Grotius, Puffendorf, Vatel, Bluntschli, et par tous les auteurs qui se sont occupés de législation internationale. La seconde partie est consacrée aux droits et aux obligations des belligérants envers les particuliers, aux réquisitions et contributions. C'est la partie vraiment neuve du projet. Nous verrons pour notre part avec infiniment de plaisir les règles édictées dans ce projet recevoir des grandes puissances ou de leurs représentants une consécration définitive. Mais il importe de ne pas perdre de vue les difficultés que rencontreront, dans l'application, et surtout au point de vue pénal, les dispositions que le congrès aura votées. Nous avons vu dans la dernière guerre la manière dont on s'est conformé à la convention de Genève; nous ne nous osons espérer que la convention de Bruxelles sera mieux respectée. Néanmoins, on aurait tort de contester l'importance de l'initiative prise par le gouvernement russe et de ne pas la considérer comme un pas immense fait par les grandes puissances pour arriver à la codification du droit international. On sait qu'à la suite du vote émis par le Parlement bavarois au sujet de la requête du comte Fugger, MM. les ministres Schleichner et Lutz, mandés auprès du roi, lui ont exposé la situation que cette décision créait à la Bavière. La Tribune, le Berlin, nous apporte aujourd'hui un résumé de la réponse du roi de Bavière à ces ministres, et nous y trouvons une nouvelle preuve d'antagonisme entre les gouvernements bavarois et prussien. Après avoir dit qu'il appréciait toute l'importance de l'incident Fugger, le roi de Bavière aurait déclaré qu'il lui était impossible de s'associer à la politique qui se ouvrait du nom de « mouvement libérale ». La Bavière, en sa qualité d'Etat allemand, satisfera à ses obligations fédérales, mais « elle ne doit pas se laisser traîner à la renonciation » d'un parti qui doit sa naissance à un courant d'idées dont les tendances et le but ne sont rien moins que libéraux. Le roi estimerait d'ailleurs que le moment est venu pour le gouvernement bavarois de ne laisser planer aucune
de codifier en quelque sorte les principes universellement admis par Grotius, Puffendorf, Vatel, Bluntschli, t par tous les auteurs q se sont occupés d législation internationale. La ncoeesd partie est cnscré x droits et aux obligations ds belligérants envers les particuliers, aux réquisitions et ontrtion. C'est la partie vraiment neuve du projet. Nous ros pour notre part avec inmn de plaisir les règles édictées dans ce projet recevoir des grandes puissances ou de leurs atpsnrréneets une iorsaénocctn éntiv. Mais il mprt ne pas perdre de vue les difficultés q rencontreront, dans 'application, et surtout au pnt de pénal, les dispositions que le congrès aura votées. Nous vns vu dan la dernière guerre la manière dont on s'est conformé à l invencnoot de Genève; nous ne nous osons espérer que la convention de Bruxelles sr m respectée. Néanmoins on aurait tort d contester l'importance de l'initiative prs par le gouvernement russe et de ne pas la considérer comme un pas immesne fait par les grandes puissances pour arriver à la codification du droit tetnl On sait qu'à la suite du vote émis par le Prlmnt bavarois au sujet de la requête du comte Fugger, .MM les ministres Schleichner et Lutz, mandés auprès d rio, lu ont poséxe la situation que cette décision créait la Bavière. L Tribune, le Berlin, nous apporte aujourd'hui un résumé de la réponse du roi de Bavière ces mnre t nou y trouvons neu nouvelle preuve d'antagonisme entre les gouvernements bavarois et prsn Après avoir dit q'l apprat toute l'importance de l'incident Fugger, le roi de Bavière aurait déclaré qu'il l était impossible d s'associer la politique qui s ouvrait u o de « oment libérale ». La Bvi n sa qlté d'Etat allemand, satisfera à ses obligations fédérales, mais « ll ne doit pas se laisser traîner la renonciation » d'un parti qui doit sa naissance à un courant d'idées dont les tndncs et le but ne sont rien moins que lbérx. Le roi estimerait d'ailleurs que le moment est venu pour le gouvernement aiabrovs de laisser planer aucune
Lutz, mandés auprès du roi, lui ont exposé la situation que cette décision créait à la Bavière. La Tribune, le Berlin, nous apporte aujourd'hui un résumé de la réponse du roi de Bavière à ces ministres, et nous y trouvons une nouvelle preuve d'antagonisme entre les gouvernements bavarois et prussien. Après avoir dit qu'il appréciait toute l'importance de l'incident Fugger, le roi de Bavière aurait déclaré qu'il lui était impossible de s'associer à la politique qui se ouvrait du nom de « mouvement libérale ». La Bavière, en sa qualité d'Etat allemand, satisfera à ses obligations fédérales, mais « elle ne doit pas se laisser traîner à la renonciation » d'un parti qui doit sa naissance à un courant d'idées dont les tendances et le but ne sont rien moins que libéraux. Le roi estimerait d'ailleurs que le moment est venu pour le gouvernement bavarois de ne laisser planer aucune équivoque sur sa politique et d'agir avec vigueur. Tout en demeurant ce qu'il a toujours été, « prince allemand », le roi est fermement décidé à s'opposer à une agitation d'où naîtrait « fatalement » une Allemagne pour laquelle il n'aurait certainement jamais tiré l'épée », attendu que pour souhaiter son avènement, il lui faudrait cesser d'être un Bavarois. QUESTION DU JOUR LA MÉDIOCRATIE Il faut bon gré mal gré vivre avec le suffrage universel ; l'expérience de ces derniers jours est décisive : les efforts de certains groupes de l'Assemblée tendant à mutiler, à restreindre le suffrage universel, sous prétexte de l'organiser, ont échoué. Pour gouverner en France, il faut avant toute chose maintenir le suffrage universel dans son intégrité ; cela est tellement vrai que le comte de Chambord, refusant obstinément de transiger sur la question du drapeau, a déclaré accepter le suffrage universel « loyalement pratiqué ». Tous les partis sont unanimes à considérer que le suffrage universel est désormais la base du droit public en France, la source de tout pouvoir, de toute autorité. En admettant que cette doctrine ait quelque chose de trop absolu en théorie, discuter est inutile : chaque époque est en proie
u, mandés rès du roi, lui ont exposé l situation que cette décision créait à la Bavière. La Tribune, le Berlin, nous apporte aujourd'hui un résumé de la réponse du roi Bavière à ces ministres, et nous y trouvons uen nouvelle preuve d'antagonisme entre les gouvernements bavarois et prussien. Après avoir dit qu'il appréciait toute l'importance de l'incident Fugger, le roi de Bavière aurait déclaré qu'il lui était impossible e s'associer à la tqieioplu qui se ouvrait du nom de « mouvement libérale ». L Bavière, en sa qualité d'Etat allemand, satisfera à ses obligations fédérales, mais « elle ne doit ps s laisser traîner à la renonciation » d'un parti qui doit sa naissance à un courant d'idées dont les tendances et le but n sont rien moins que libéraux. Le roi estimerait d'ailleurs que le moment st venu pour le gouvernement bavarois de ne lais planer aucune équivoque sur sa politique et d'agir vec vigueur. Tout en demeurant ce qu'il a toujours été, prince allemand », le roi est fermement décidé s'opposer à une agitation d'où nîtrt fatalement » une Allemagne pour lqll il n'aurait certainement jamais tiré lépée attendu q pour shtr sn avènement, il lui faudrait cesser dêtre un Bars QUESTION DU JOUR LA ÉIOCA Il faut bon gré mal gré vivre avec le suffrage universel ; l'expérience de cs derniers jours est décisive : les efforts de certains groupes d l'Assemblée tendant à mutiler, à restreindre le suffrage universel, sous prétexte de loanis otn échoué. Pour gouverner en France, il faut avant toute chose maintenir le suffrage universel dans son intégrité ; cela est tellement vrai que le comte de Chambord, rsn obstinément de transiger sur la question du drapeau, a déclaré ccptr l suffrage universel « loyalement pratiqué ». Tous les partis sont unanimes à considérer que le suffrage universel est désrms la base du droit public en France, la source de tout pouvoir, de toute autorité. admettant que cette doctrine i quelque chose de trop al en théorie, discuter est inutile : chaque époque en proie
son avènement, il lui faudrait cesser d'être un Bavarois. QUESTION DU JOUR LA MÉDIOCRATIE Il faut bon gré mal gré vivre avec le suffrage universel ; l'expérience de ces derniers jours est décisive : les efforts de certains groupes de l'Assemblée tendant à mutiler, à restreindre le suffrage universel, sous prétexte de l'organiser, ont échoué. Pour gouverner en France, il faut avant toute chose maintenir le suffrage universel dans son intégrité ; cela est tellement vrai que le comte de Chambord, refusant obstinément de transiger sur la question du drapeau, a déclaré accepter le suffrage universel « loyalement pratiqué ». Tous les partis sont unanimes à considérer que le suffrage universel est désormais la base du droit public en France, la source de tout pouvoir, de toute autorité. En admettant que cette doctrine ait quelque chose de trop absolu en théorie, discuter est inutile : chaque époque est en proie à une idée vraie ou fausse qu'il faut accepter et qui s'impose, contre laquelle on ne peut rien, qu'on ne saurait entamer par des dissertations savantes ou ingénieuses ; tous les à priori sont impuissants à combattre la doctrine du suffrage universel. Seule l'expérience dira si l'opinion publique a fait fausse route ; mais jusque-là le suffrage universel s'impose comme la pierre d'angle de tous les gouvernements, non-seulement en France, mais dans tous les pays où le peuple ne se confond pas avec la plèbe, où les travailleurs repoussent comme une injure l'épithète de prolétaires. En Italie, le suffrage universel est encore à l'état de desideratum : le corps électoral se recrute au moyen d'électeurs à 100 francs ; à ces censitaires, il faut adjoindre certaines capacités : fonctionnaires, professeurs, employés, militaires retraités, etc., etc. Il paraît que ces notables sont arrivés à constituer ce qu'on pourrait appeler la médiocratie. A ce propos, les journaux italiens se sont fort émus d'une lettre du sénateur marquis Alfieri, prédisant à la royauté constitutionnelle du roi Victor-Emmanuel qu'elle sera emportée en quatre ou cinq jours, comme la monarchie de juillet. Cette prophétie, émanant d'un sénateur allié à la famille du comte de Cavour,
son avènement, il lui faudrait cesser d'être un Bavarois. QUESTION DU JOUR LA MÉDIOCRATIE Il faut bon gré mal rgé vivre avec le suffrage universel ; l'expérience de ces derniers jours est décisive : l seffotr de certains goupes de l'Assemblée tendant à mutiler, à restreindre le suffrage nvrsl, sous prétexte de l'organiser, ont échoué. Pour gouverner en Frnc, il faut avant toute chose maintenir le suffrage universel dans sn intégrité ; cela est tllmnt vrai que le comte de Chambord, refusant obstinément de transiger sur la question du drapeau, a déclaré accepter le suffrage universel « loyalement pratiqué ». Tous les partis sont unanimes à considérer que l suffrage nvrsl est désormais la base du droit public en France, la source de tout pouvoir, de toute autorité. En admettant q cette doctrine ait qlq chose de trop absolu en théorie, discuter est inutile : chaque époque e en pr à une idée vraie ou fausse quil faut accepter et qui s'mps, contre laquelle on n peut rien, quon ne saurait entamer par des dissertations savantes ou ingénieuses ; tous les à priori sont impuissants à combattre la doctrine du suffrage universel. Seule l'expérience dira si l'opinion pui a fait fausse route ; mais jusque-là le suffrage universel smiosep' cme la pierre d'angle de tous les gouvernements, non-seulement en France mais dans tous les pays ù le peuple ne se confond pas c la plèbe, où ls travailleurs repoussent comme une injure l'épithète de prolétaires. En Italie, le suffrage universel est encore à 'a de desideratum : le corps relltcéoa se recrute au moyen d'électeurs 100 francs ; à ces censitaires, il faut adjoindre certaines capacités : fonctionnaires, professeurs, employés, militaires rtr etc., etc. Il pat que ces notables sont arrivés à constituer ce qu'on pourrait appeler la médiocratie. A ce propos, les journaux italiens se sont fort émus dune lettre du sénateur marquis Alfieri, prédisant à l royauté constitutionnelle du ori Victor-Emmanuel qu'elle sera emportée en quatre ou cinq sjr,ou comme la monarchie de juillet. Cette prophétie, émanant d'un sntur allié à la famille du comte de Cavour,
fausse route ; mais jusque-là le suffrage universel s'impose comme la pierre d'angle de tous les gouvernements, non-seulement en France, mais dans tous les pays où le peuple ne se confond pas avec la plèbe, où les travailleurs repoussent comme une injure l'épithète de prolétaires. En Italie, le suffrage universel est encore à l'état de desideratum : le corps électoral se recrute au moyen d'électeurs à 100 francs ; à ces censitaires, il faut adjoindre certaines capacités : fonctionnaires, professeurs, employés, militaires retraités, etc., etc. Il paraît que ces notables sont arrivés à constituer ce qu'on pourrait appeler la médiocratie. A ce propos, les journaux italiens se sont fort émus d'une lettre du sénateur marquis Alfieri, prédisant à la royauté constitutionnelle du roi Victor-Emmanuel qu'elle sera emportée en quatre ou cinq jours, comme la monarchie de juillet. Cette prophétie, émanant d'un sénateur allié à la famille du comte de Cavour, et tout dévoué à la politique conservatrice, provoque de la part des journaux italiens des polémiques assez vives. Le marquis Alfieri est tout étonné du bruit qui s'est fait à propos de sa lettre ; il s'est hâté de déclarer que cette « boutade » toute confidentielle n'était pas destinée à la publicité ; mais, en dépit de ses efforts, les vérités que contient cette lettre ont causé une émotion profonde en Italie. Le marquis Alfieri, que nous connaissons de longue date et qui pourrait dire comme Massimo d'Azeglio : « L'oppart l'a dit : je ne suis d'aucun parti », est un esprit distingué ; son isolement l'a éloigné des affaires, des grandes charges publiques, mais il a su conquérir à ce prix une situation très enviable, celle de diseur de vérités, de ces vérités qui préoccupent tous les esprits dès qu'un homme autorisé les met en lumière. A ce titre, la lettre du marquis Alfieri, dont notre correspondant d'Italie a déjà reproduit quelques extraits, doit être reproduite in extenso : « Florence, 29 mai. » Nul moins que moi ne s'étonne de la fin ridicule et sans gloire de la Chambre actuelle. J'espère peu de celle qui sera
fausse route ; ms jusque-là l s universel s'impose comme la pierre d'angle de tous les gouvernements, non-seulement e France, mais dans tous les pays où le peuple ne se confond pas avec la plèb, où les travailleurs purneosets comme une injure l'épithète d prolétaires. En Italie, l suffrage ivs est encore à 'état de desideratum : le corps électoral se recrute au moyen d'électeurs à 100 francs ces censitaires, il ft adjoindre searnicte capacités : fonctionnaires, professeurs employés, militaires retraités, etc., etc. Il paraît que ces notables snt arrivés constituer ce quon pourrait appeler la médiocratie. A c pr, les journaux italiens se onts fort émus dune lttr du sénateur marquis Alfieri, prédsnt la royauté constitutionnelle du roi aVietromucmEl-n qu'elle sera emportée en quatre ou cinq jours, cme la mnrch de jllt. Cette prophétie, émnnt d'un sénateur allié à al famille u cmt de Cavour, et tout dévoué à la politique conservatrice, provoque de la part des journaux italiens des polémiques assez vives. Le marquis Afi est tout étonné du bruit qui s'est fait propos d sa lettre il s'est hâté de déclarer e cet « boutade toute confidentielle n'était pas destinée à la publicité ; mais, en dépit d ses efforts, les vérités que contient cette lettre ont causé une émotion profonde en Italie. Le marquis Alfieri, que nous connaissons de longue date et qui pourrait dire comme Massimo d'Azeglio : « L'oppart l' dit : je ne suis d'aucun parti », est un esprit dstngé ; son isolement ' éloigné des ie, des grandes charges publiques, mais il su rr à ce prix une situation très enviable, celle de diseur de svérié,t de esc vérités q ocpet utso les esprits dès qu'un homme autorisé les met en lumière. ce titre, la lettre du marquis Alfieri, dnt notre orreon d'Italie a déjà reproduit quelques txasert,i doit être reproduite in extenso : Florence, 29 mai. » Nul moins que moi ne s'étonne d la fin ridicule et nssa gloire de la Chambre ctll. J'espère peu de celle qui sera
à la publicité ; mais, en dépit de ses efforts, les vérités que contient cette lettre ont causé une émotion profonde en Italie. Le marquis Alfieri, que nous connaissons de longue date et qui pourrait dire comme Massimo d'Azeglio : « L'oppart l'a dit : je ne suis d'aucun parti », est un esprit distingué ; son isolement l'a éloigné des affaires, des grandes charges publiques, mais il a su conquérir à ce prix une situation très enviable, celle de diseur de vérités, de ces vérités qui préoccupent tous les esprits dès qu'un homme autorisé les met en lumière. A ce titre, la lettre du marquis Alfieri, dont notre correspondant d'Italie a déjà reproduit quelques extraits, doit être reproduite in extenso : « Florence, 29 mai. » Nul moins que moi ne s'étonne de la fin ridicule et sans gloire de la Chambre actuelle. J'espère peu de celle qui sera élue l'automne prochain. Le gouvernement italien est, par raison de ses lois, aussi bien que par son histoire, un gouvernement de caste ; et cette caste, c'est-à-dire la petite bourgeoisie, manque d'intelligence politique ; elle est soupçonneuse, envieuse, égoïste. Une moitié de cette bourgeoisie va à la Chambre pour faire les intérêts de l'autre moitié, vit du budget qu'elle gaspille sous toutes les formes possibles (appointements, pensions, travaux publics, secours et protection à l'industrie et aux spéculations). C'est la propriété foncière et le peuple qui payent tout et qui travaillent. Nous en sommes ainsi arrivés à former une espèce de démocratie et de socialisme d'entre-deux qui durera Dieu sait combien et nous mènera Dieu sait où. » La classe gouvernante en Italie n'a de pensée que pour ses propres intérêts matériels, et son ambition ne se soutient que parce que le pouvoir est le moyen de servir ces intérêts. Elle n'a qu'une seule passion : la haine des prêtres et la jalousie des nobles. Cette pensée, cette passion ne peuvent rien produire d'utile pour le pays en général; rien de grand, rien de fécond, pour le progrès moral et politique de la nation. Je ne vois aucun danger qui menace
à la publicité ; mais, en dépit de ses efforts, les téésivr que contient cette lettre ot causé n to profonde en Italie. Le qi lfr, que nous connaissons de longue date et qui pourrait dire comme Massimo d'Azeglio : L'oppart ' dit : je ne susi daucun parti est un esprit distingué ; son isolement l'a éloigné des affaires, des grandes har publiques mais il a su conquérir ce prix une situation très enviable, celle de diseur d vérités, de ces vrtés qui préoccupent tous les er dès qu'un homme autorisé les met n rielèum. A ce titre, la lettre d mr Alfieri, dont notre correspondant d'Italie déjà reproduit quelques extraits, doit être reproduite in extenso : « Florence, 29 mai. » Nul moins que moi ne sétonne de la fin ridicule et san gloire de la Chambre actuelle. J'spèr peu celle iuq sera élue l'automne prochain. Le gouvernement italien par raison de ses aussi bien que par son histoire, un gouvernement de case ; et cette caste, c'est-à-dire la petite bourgeoisie, manque d'ntllgnc politique ; elle st soupçonneuse, envieuse, égoïste. Une moitié de cette bourgeoisie va à la Chambre pour faire les intérêts de l'autre moitié, vit du budget qu'elle gaspille sous toutes les formes possibles (appointements, peios travaux pblcs, secours et protection à l'industrie t aux a.utnocpiés)sl C'est la propriété foncière et le peuple qui payent tout et qui travaillent. Nous en sommes ainsi arrivés à frmr une espèce de démocratie t de socialisme d'entre-deux qui drr Dieu sait combien et nous mènera Dieu sait où. » La classe gouvernante en Italie n'a de nse que pr ses propres intérêts matériels, et son ambition ne se soutient que parce que le pouvoir st le o de servir ces ntérêts. Elle n'a qu'une seule passion la hiaen des prêtres et la jalousie des nobles Cette pnsé, cette passion ne peuvent rien produire 'utile pour e pay en général; rien de grnd, rien de fécond, pour le progrès ol et politique de la nation Je ne vois aucun danger qui enac
les intérêts de l'autre moitié, vit du budget qu'elle gaspille sous toutes les formes possibles (appointements, pensions, travaux publics, secours et protection à l'industrie et aux spéculations). C'est la propriété foncière et le peuple qui payent tout et qui travaillent. Nous en sommes ainsi arrivés à former une espèce de démocratie et de socialisme d'entre-deux qui durera Dieu sait combien et nous mènera Dieu sait où. » La classe gouvernante en Italie n'a de pensée que pour ses propres intérêts matériels, et son ambition ne se soutient que parce que le pouvoir est le moyen de servir ces intérêts. Elle n'a qu'une seule passion : la haine des prêtres et la jalousie des nobles. Cette pensée, cette passion ne peuvent rien produire d'utile pour le pays en général; rien de grand, rien de fécond, pour le progrès moral et politique de la nation. Je ne vois aucun danger qui menace l'existence de l'Italie soit à l'intérieur, soit à l'extérieur. L'Italie vivra, comme dans un campement, quinze ans, vingt ans, jusqu'à ce que les idées subversives et les utopies de révolution sociale aient pénétré dans le peuple et s'y soient répandues. Le dérangement des finances et l'avidité de la classe moyenne ne tarderont pas à aggraver, sous tous les rapports, la condition des prolétaires, et ces prolétaires mêmes seront bientôt gagnés par la préoccupation exclusive du bien-être. Alors arrivera la catastrophe. On a vu en France la médiocratie de 1830 vivre et gouverner pendant dix-huit ans; puis, en moins de cinq jours, en 1848, l'édifice a croulé de fond en comble. Ce sont là de tristes prédictions, et je suis haché de les faire; mais je vois trop bien que les choses sont sur cette pente fatale. Les faits ne confirment que trop mes prédictions. Marquis ALFIERI, Sénateur du royaume. Cette lettre, quoi qu'on fasse pour en atténuer la portée, n'est pas une « boutade ». Ce n'est pas dans un accès d'humeur que son auteur l'a adressée à l'un des radicaux les plus connus de l'Italie pour ses opinions extrêmes; c'est la vérité mise à nu par un homme que
les intérêts ed l'autre mté, vt du budget qu'elle gaspille sous toutes les formes possibles (appointements, pensions, travaux publics, secours et protection à 'industrie et aux spéculations). C'st la propriété foncière et le peuple qui payent tout et qui travaillent. o en sommes ainsi arrivés à former n espèce de démocratie et de socialisme d'entre-deux qui durera Dieu sait combien et nous mènera Dieu sait où. » La classe gouvernante en Italie n'a de pensée que pour ses propres intérêts matériels, et son ambition n s uiottnes qeu prc que le pouvoir est le moyen de servir ces ntérêts. Ell n'a qu'une seule passion : la haine des rêe t la jalousie des nobles Cette pensée, cette ssi ne peuvent rn produire li'deut u le pays en génl rien de grand, rien de fond pour le prgrès moral et politique de la nation. Je ne vois aucun danger qui menace l'existence de l'Italie soit à l'ntérr, soit à lextérieur i'latIeL vivra, comme dans un campement, quinze ans, vingt ans, jusqu'à ce que les dés subversives et ls utopies de révolution sociale aient pénétré dans le ppl et sy soient répandues. Le déant des finances et l'vdté de la clss moyenne ne tarderont pas à aggraver, ou tous les rapports, la condition des prolétaires, et ces prolétaires mêmes srnt bntôt gagnés par la préoccupation exclusive du bien-être. Alors arrivera la ctstrph. On a vu en France l éiora 1830 ivver et gvrnr pendant dix-huit ans; i, en s de cinq jours, en 1848, l'édifice a rl de fond n comble. Ce sont là de trsts prédictions, et je suis haché de ls faire; ms oisv trp bien que les chss sont sur cette pnt fatale. Les ait ne confirment que trop mes prédictions. Marquis ALFIERI, nérteSau d royaume. Cette lettre, quoi quon fsesa pour en atée la portée, n' pas une « boutade ». e n'est ps dans un accès dhumeur que son auteur l' drssé à l'un des rdcx les plus connus de 'Italie pou ses opinions extrêmes; c'est la vérité mise à n apr un homme que
ne tarderont pas à aggraver, sous tous les rapports, la condition des prolétaires, et ces prolétaires mêmes seront bientôt gagnés par la préoccupation exclusive du bien-être. Alors arrivera la catastrophe. On a vu en France la médiocratie de 1830 vivre et gouverner pendant dix-huit ans; puis, en moins de cinq jours, en 1848, l'édifice a croulé de fond en comble. Ce sont là de tristes prédictions, et je suis haché de les faire; mais je vois trop bien que les choses sont sur cette pente fatale. Les faits ne confirment que trop mes prédictions. Marquis ALFIERI, Sénateur du royaume. Cette lettre, quoi qu'on fasse pour en atténuer la portée, n'est pas une « boutade ». Ce n'est pas dans un accès d'humeur que son auteur l'a adressée à l'un des radicaux les plus connus de l'Italie pour ses opinions extrêmes; c'est la vérité mise à nu par un homme que les petits incidents de la politique ne sauraient passionner, et qui, en dépit de l'optimisme général, signale les écueils au milieu du chemin. La médiocratie dont parle le marquis Alfieri a, depuis dix années, accablé la France d'impôts intolérables: impôt sur la nature, impôt sur le sel, impôts de toute nature sur les denrées de première nécessité, douanes, octrois, tout depuis dix années porte l'empreinte de ce gouvernement de la médiocratie. Qui, en France, oserait proposer d'établir un impôt sur la culture comme en Italie, où l'on paie le sel trois fois plus cher qu'en France. Après avoir accablé le peuple d'impôts, le gouvernement de la médiocratie affiche hautement la prétention de repousser ceux qui atteignent directement la bourgeoisie censitaire. La Chambre sera dissoute, mais les journaux italiens et notre correspondant de Rome assurent que les élections nouvelles ne modifieront en rien la situation, et que gouverner sera tout aussi impossible. Que faut-il en conclure, sinon que la médiocratie a fait son temps, et que le suffrage universel s'impose comme la seule soupape de sûreté capable de prévenir ces explosions soudaines qui emportent en quelques jours les dynasties les mieux assises. JULES DE PRÉCY. L'abondance des matières nous oblige à
tarderont psa aggraver, sous tous les rapports, la condition des prolétaires et ces prolétaires êm nrtsoe bientôt gagnés par la préoccupation eclusi du .en-ebrêit Alors arrivera la casophe. On a vu en France la médiocratie e 1830 vivre et gouverner pendant dix-huit ans; i, en moins de cinq jours, en 1848, l'édifice a croulé de fond en cmbl. Ce sont là de tristes prédctns, et je suis haché de ls faire; mais je vois trop bien que les choes sont su cette pente fatale. Les faits ne cnfrmnt que tpro mes rédios. Marquis ALFIERI, Sénateur du royaume Cette lettre, quoi qu'on fasse pour en tténr la portée, n'est pas une « boutade Ce n'st pas dans un ccès d'hmr que o auteur l'a adressée l'un de radicaux les plus connus de l'Italie pour ses opinions extrêmes; c'est la vérité mise à n par un homme que les petits incidents de a politique sauraient pssin, et i en dépit de l'optimisme général, signale les écueils au milieu du chemin. La médiri dont parle le marquis Aeirifl a, depuis xid années accablé la France d'mpôts its impôt sru la nature impôt rsu le sel impôts d toute uaetrn sur les denrées de première nécessité, douanes, octrois, tt depuis dix années porte l'empreinte d ce gouvernement de l médiocratie. Qui, en France, oserait proposer d'établir un ôt sur l cltr comme en Italie, où 'on paie le sl trois fois plus cher q'n France. Après avoir ccblé le peuple d'mpôts, le gouvernement d l médiocratie affiche hautement la prétention de repousser c qui atteignent directement la bourgeoisie censitaire. La Chambre sera dissoute, mais les journaux italiens et ntr correspondant de Rome assurent que les élections nouvelles ne modifieront en rn la situation et u gouverner sera tout aussi impossible. ueQ faut-il en cnclr, sinon que la datociéreim a fait son temps, t equ l suffrage unese s'impose oemcm la seule soupape de sûreté capable de prévenir ces explosions soudaines qui emportent en quelques jours les dynasties les mieux assises. JULE DE PRÉCY. L'abondance des matières nous oblige
nature sur les denrées de première nécessité, douanes, octrois, tout depuis dix années porte l'empreinte de ce gouvernement de la médiocratie. Qui, en France, oserait proposer d'établir un impôt sur la culture comme en Italie, où l'on paie le sel trois fois plus cher qu'en France. Après avoir accablé le peuple d'impôts, le gouvernement de la médiocratie affiche hautement la prétention de repousser ceux qui atteignent directement la bourgeoisie censitaire. La Chambre sera dissoute, mais les journaux italiens et notre correspondant de Rome assurent que les élections nouvelles ne modifieront en rien la situation, et que gouverner sera tout aussi impossible. Que faut-il en conclure, sinon que la médiocratie a fait son temps, et que le suffrage universel s'impose comme la seule soupape de sûreté capable de prévenir ces explosions soudaines qui emportent en quelques jours les dynasties les mieux assises. JULES DE PRÉCY. L'abondance des matières nous oblige à remettre à demain notre réponse à la Gazette de France. — L. D. La commission des Trente doit se réunir aujourd'hui pour délibérer à nouveau sur les propositions de MM. Casimir Périer et Lambert de Sainte-Croix, renvoyées à son examen. Il serait difficile, quant à présent, de dire quel sort la commission réserve à la proposition de MM. Casimir Périer et Lambert de Sainte-Croix; mais il paraît probable que devant la Chambre cette proposition sera repoussée à une majorité de quelques voix. Quant à la proposition de M. Lambert de Sainte-Croix, elle ne nous paraît pas davantage appelée à rallier une majorité. L'extrême droite, qui la considère comme un projet d'organisation de Septennat impersonnel, tel que le proposait le ministère de Broglie, persistera dans sa première ligne de conduite. Les paroles prononcées par M. Lucien Brun, au sein même de la commission, sont du reste bien faites pour dissiper tous les doutes: « Persuadés, a-t-il dit, que la monarchie peut seule, non-seulement sauver la France dans l'avenir, mais la préserver même à l'heure présente des effroyables périls qui la menacent, mes amis se réservent d'apporter au moment qui leur paraîtra convenable et de défendre avec toute l'énergie dont ils sont
nature sur les denrées de première nécessité, douanes, octrois, tuot depuis dix années porte l'empreinte de ce gouvernement de la médiocratie. Qui, en France, oserait proposer d'établir un impôt sur la culture comme en Italie, où on paie le sel trois fois plus cher qu'en France. Après avoir accablé le peuple d'impôts, le gouvernement de la médiocratie affiche hautement la prétention ed repousser ceux qui atteignent directement la bourgeoisie censitaire. La Chambre sera dissoute, mais les journaux itaen et notre correspondant de Rome assurent que s élections nouvelles ne modifieront en rien la situation et euq gouverner sera tout aussi impossible. Que faut-il en conclure, sinon que la médiocratie a fait son temps, et que le surge universel s'impose comme la seule soupape d sûreté capable de prévenir ces explosions soudaines qui mprtnt en lq jours les dynasties les mieux assises. JULES DE PRÉCY. 'abondance des matières nous oblige à remettre à demain tr réponse à la Gazette de France. — L. D L commission ds Trente doit se réunir aujourd'hui o délibérer à nouveau sur les propositions de MM. Casimir Périer et Lambert de Snt-Crx, renvoyées à son examen. Il serait difficile, quant à présent, de dire quel sort la commission réserve à la prpstn de MM. Casimir Périer et Lambert de Sainte-Croix; mais il paraît pabloebr que dvnt la Chambre cette proposition sera rpssé une majorité de quelques voix Quant à la proposition de .M Lambert de SainteCroix ll ne nous prît pas davantage appelée à rallier une méajroit. Lm droite, qui la considère comme un projet d'organisation de Septennat mprsnnl, tl que le proposait l minsère de Broglie, persistera dans sa première ligne de conduite. Les paroles oe par . Lucien Brun, au sein même de la commission, sont du reste bien fts pour dissiper tous les doutes: « Persuadés a-i dit, que la monarchie peut seule, nn-slmnt sauver la France dans l'avenir, mais la préserver même à l'heure présente des effroyables périls qui la menacent, mes amis se réservent d'apporter au moment qui lr paraîtra convenable et de défendre avec toute l'énergie dont ils sont
la commission réserve à la proposition de MM. Casimir Périer et Lambert de Sainte-Croix; mais il paraît probable que devant la Chambre cette proposition sera repoussée à une majorité de quelques voix. Quant à la proposition de M. Lambert de Sainte-Croix, elle ne nous paraît pas davantage appelée à rallier une majorité. L'extrême droite, qui la considère comme un projet d'organisation de Septennat impersonnel, tel que le proposait le ministère de Broglie, persistera dans sa première ligne de conduite. Les paroles prononcées par M. Lucien Brun, au sein même de la commission, sont du reste bien faites pour dissiper tous les doutes: « Persuadés, a-t-il dit, que la monarchie peut seule, non-seulement sauver la France dans l'avenir, mais la préserver même à l'heure présente des effroyables périls qui la menacent, mes amis se réservent d'apporter au moment qui leur paraîtra convenable et de défendre avec toute l'énergie dont ils sont capables cette solution dans les débats solennels qui vont s'ouvrir. » Ils ne s'associeront à aucun projet qui en serait directement ou indirectement la négation. » « Quoi qu'il arrive, a-t-il dit dans une autre circonstance, nous nous en tiendrons à la monarchie, et nous écarterons toute proposition contraire, si mesurée qu'elle soit dans ses termes, si équivoque qu'elle soit dans son esprit. » Ces paroles sont trop conformes à l'esprit qui anime le groupe dont M. Lucien Brun est un des membres les plus considérables, pour que nous ne croyions pas dès à présent à l'échec du projet de M. Lambert de Sainte-Croix. Que sortira-t-il dès lors de la rivalité de ces propositions, qui toutes trois seront vraisemblablement repoussées, sinon l'impuissance de l'Assemblée et la nécessité d'une prochaine dissolution? On s'occupe beaucoup en ce moment d'une correspondance adressée de Paris au Times, et contenant sur l'échec de la fusion monarchique des détails rétrospectifs qui ne sont pas sans intérêt. Ainsi le correspondant du Times attribue à l'influence personnelle de M. le duc d'Audiflet-Pasquier l'échec de la fusion; d'autre part, le même correspondant consacre au maréchal de Mac-Mahon un paragraphe que nous croyons devoir reproduire, en laissant à son auteur
commission réserve al proposition de MM. Casimir rréPei et Lambert de Sainte-Croix; mais il paraît probable que devant la Chambre cette proposition sera repoussée à une majorité de quelques voix. Qnt à l proposition d mber de Sainte-Croix, elle nous paraît pas davantage appelée à rallier une majorité. 'extrême droite, qui la considère comme un projet 'organisation de Septennat impersonnel, tel q le proposait le ministère de Broglie, persistera dans sa première ligne de cndt. Les prls prononcées par . Lucien , au sein mêm de la commission, sont du reste bn faites pu dissiper tous ls doutes: « Pead -t-l dit, uqe la monarchie peut eu seuement sauver la France dans l'rn,vaie mis la préserver même à l'heu présente des effroyables périls qui la menacent, amis se réservent d'apporter moment qui leur paraîtra cnvnbl et e défendre avec oute l'énergie dont ils sont capables cette i dans les débats solennels qui vont s'ouvrir. » sIl ne s'associeront à aucun projet qui en serait directement ou indirectement la négation. » « Quoi qu'il ari, a-t-il dit dans une autre circonstance, nous uosn en tiendrons à l monarchie, et ousn écarterons toute proposition contraire, si msré qu'elle soit dans ses termes, si vq qu'elle soit dans sn esprit. » Ces prls sont trop conformes l'esprit qui anime e groupe dont . Lucien Brun est un des membres les plus considérables, ou que ns ne croyions ps dès à présent à l'échec du projet de M. Lambert de Sainte-Croix. Que sortira-t-il dès lors de la rvlté de ces propositions, qiu toutes trois soetnr vraisemblablement repoussées, sinon l'impuissance de l'Assemblée et la nécssté d'une prochaine dissolution? n 'c beaucoup en ce moment dne correspondance adressée de Paris au Times, et contenant sur l'échec d la un monarchique des détails rétrospectifs qui ne otsn ps sans intérêt. insiA el correspondant du Tie ttrb l'influence personnelle de M. le dc let-Pasqier l'échc de la fusion; d'autre part, le même correspondant consacre au maréchal de Mac-Mahon un paragraphe que ns croyons devoir reproduire, n laissant à son euuatr
mesurée qu'elle soit dans ses termes, si équivoque qu'elle soit dans son esprit. » Ces paroles sont trop conformes à l'esprit qui anime le groupe dont M. Lucien Brun est un des membres les plus considérables, pour que nous ne croyions pas dès à présent à l'échec du projet de M. Lambert de Sainte-Croix. Que sortira-t-il dès lors de la rivalité de ces propositions, qui toutes trois seront vraisemblablement repoussées, sinon l'impuissance de l'Assemblée et la nécessité d'une prochaine dissolution? On s'occupe beaucoup en ce moment d'une correspondance adressée de Paris au Times, et contenant sur l'échec de la fusion monarchique des détails rétrospectifs qui ne sont pas sans intérêt. Ainsi le correspondant du Times attribue à l'influence personnelle de M. le duc d'Audiflet-Pasquier l'échec de la fusion; d'autre part, le même correspondant consacre au maréchal de Mac-Mahon un paragraphe que nous croyons devoir reproduire, en laissant à son auteur la responsabilité de ses assertions. « Pour ma part, aurait dit le maréchal de Mac-Mahon au duc d'Audiflet-Pasquier, qui essayait de le sonder en vue d'une restauration prochaine de la monarchie, je dois me tenir à l'écart des arrangements que les partis peuvent faire. Appelé par l'Assemblée dans une circonstance critique pour aider le pays, défendre l'ordre et faire respecter les décisions de l'Assemblée, mes fonctions sont limitées à cela: je maintiendrai l'ordre, et quelles que soient les décisions prises par l'Assemblée, je les ferai respecter. Je ferai cependant une exception. Il est question de substituer le drapeau blanc au drapeau tricolore. » Sur ce point, je dois vous donner mon avis. Si le drapeau blanc était déployé en face du drapeau tricolore, si le drapeau blanc flottait à une fenêtre et le drapeau tricolore à une autre, les chassepots partiraient d'eux-mêmes et je ne pourrais plus répondre de l'ordre dans les rues ni de la discipline dans l'armée. Le duc d'Audiffred-Pasquier sortit profondément ému de cette entrevue avec le maréchal. Il aurait été disposé à répéter au comité la déclaration solennelle du maréchal, mais il ne pensait pas qu'il eût le droit de le faire, et pourtant il lui
mesurée qu'elle soit dans ses termes, si équivoque qu'elle soit dans sn sprt. » Ces paroles sont trp conformes à l'esprit ui anime le grp dont M. Lucien Brun est nu des membres les plus consde, pour que nous ne croyions ps dès à présent à l'échec du projet de M. Lt de Sainte-Croix. Que sortira-t-il dès lors de la rivalité de ces propositions, qi toutes trois seront vraisemblablement repoussées, sinon l'impuissance de l'Assemblée et la nécessité d'une prochaine diouton? n s'occupe beaucoup n ce moment 'une creoorannpdesc adressée de Paris au Tms, et cntnnt sur l'échec de la fusion monarchique des détails rétrospectifs qui ne snt pas sans nét Ainsi le correspondant du Times turbitea à l'nflnc soel de M. l duc d'Audiflet-Pasquier l'échec de la noiu;sf d'autre part, le mêm potodnersncra consacre au maréchal de Mac-Mahon un arrape que nous croyons devoir reproduire, en laissant à son auteur la responsabilité ed ses assertions. « Pour ma part, tairau dit le maréchal de Mc-n au duc d'Audiflet-Pasquier, qui essayait de le sonder en vue d'une restauration prochaine de la monarchie, je dois me tenir à des rrngmnts que les partis peuvent airef. Appelé par l'Assemblée dans une circonstance tiu pour aider le pays, feerddén l'ordre et fr repet les décisions de 'elé, mes fnctns sont limitées à cela je maintiendrai l'ordre, et quelles que soit les décisions prises par l'Assemblée, je ls ferai respecter. Je ferai cependant n exception. l est question ed substituer l drapeau blanc au drapeau tricolore. » Sr ce point, je dois vous donner mon avis. Si l drapeau blanc était déployé en face du apuedra tricolore, s le drapeau blanc flottait à une fenêtre et l drapeau tricolore à enu u,rtea s chassepots partiraient d'eux-mêmes et ej ne pourrais plus répondre de l'ordre dans les rues ni de la discipline snad l'armée. Le c 'Audiffred-Pasquier sortit profondément ém cette re avec le maréchal Il rt été sdésipo à répéter au com la déclrtn solennelle du maréchal mais il ne pnst pas q'l eût le droit de l faire, et pourtant l lui
critique pour aider le pays, défendre l'ordre et faire respecter les décisions de l'Assemblée, mes fonctions sont limitées à cela: je maintiendrai l'ordre, et quelles que soient les décisions prises par l'Assemblée, je les ferai respecter. Je ferai cependant une exception. Il est question de substituer le drapeau blanc au drapeau tricolore. » Sur ce point, je dois vous donner mon avis. Si le drapeau blanc était déployé en face du drapeau tricolore, si le drapeau blanc flottait à une fenêtre et le drapeau tricolore à une autre, les chassepots partiraient d'eux-mêmes et je ne pourrais plus répondre de l'ordre dans les rues ni de la discipline dans l'armée. Le duc d'Audiffred-Pasquier sortit profondément ému de cette entrevue avec le maréchal. Il aurait été disposé à répéter au comité la déclaration solennelle du maréchal, mais il ne pensait pas qu'il eût le droit de le faire, et pourtant il lui semblait impossible de ne pas communiquer à ses collègues une si importante et si décisive opinion. M. le duc d'Audiffred-Pasquier, dont nous avions indûment annoncé le départ pour les eaux, a dû quitter Paris ce matin, assez souffrant, pour se rendre dans le département de l'Orne. Les médecins lui ont ordonné le repos le plus complet. Les nouvelles de M. de Goulard, qui avait reçu, comme on sait, les derniers sacrements, sont meilleures et on commence à espérer que l'honorable député pourra se rétablir. L'état du malade est encore cependant fort grave. Le bulletin porte ce matin : « Nuit plus calme ; légère amélioration. » On lit dans le Soir : « C'est par erreur que quelques-uns de nos confrères ont annoncé que M. Delahaye, juge chargé de l'instruction relative à la pièce lue à la tribune par M. Girard, s'était dessaisi du dossier en faveur de M. le préfet de police. » Outre que cette marche serait absolument contraire aux règles de la procédure criminelle, nous savons pertinemment que l'instruction n'est pas encore terminée. » Il résulte cependant des faits établis à ce jour, que les partisans de l'appel au peuple seraient restés absolument étrangers à la confection
critique pour aider le pays, défendre 'ordre et faire respecter les décisions de 'Assemblée, mes fonctions otns lmtés à le:ac je maintiendrai l'ordre, et quelles que soient les décisions prises par l'Assemblée, je les ferai respecter. Je ferai cependant une exception. Il st question de substituer le drapeau blanc drp tricolore » Sur ce point, je dois vous donner mon avis. Si le drapeau blanc était déployé en face du drapeau tricolore, si le drapeau blanc flottait à une fenêtre et le drapeau tricolore à n autre, les chassepots partiraient euêm et je en pourrais plus répondre de l'ordre dans ls es ni de la discipline dns l'rmé. Le duc d'Audiffred-Pasquier sortit profondément ému de cette entrevue avec l chmara.lé l rt été disposé à répéter au comité la déclrtn solennelle du mréchl, mais il ne pensait pas qu'il eût le droit de le faire, et uran il l semblait impossible de ne pas communiquer à ses collègues une si importante et si décisive opinion. M. l cud 'Audiffred-Pasquier, dont nous vns indûment nnacoén le départ pour les eaux a dû ui Paris ce mtn, assez souffrant, pour es rendre dns le déprtmnt d l'Orne. Les médecins l ont ordonné le repos le plus complet. Les nouvelles de . de Goulard, q vai reçu, comme on sait, les derniers sacrements, sont meilleures et n commence à espérer que l'honorable député pourra e rétablir. L'étt du malade encore cpndnt frt grave. L bulletin porte c matin : « Nt plus clm légère amélioration. » On lit dns le S : « Cest par erreur que qlqs-ns de os confrères nt annoncé equ M. Delahaye, uge chargé de l'instruction rltv à la pièce lue la trbn par M. Girard, 'tait ei d dossier en faveur de M. l préfet de plc. » Outre que ctt marche serait absolument contraire aux règles de la roédur crmnll, nous svns pertinemment u l'instruction n'est pas encore terminée. » Il résulte cependant des faits établis à ce jour, que les partisans de l'appel au peuple seraient restés absolument étrangers à la confection
ordonné le repos le plus complet. Les nouvelles de M. de Goulard, qui avait reçu, comme on sait, les derniers sacrements, sont meilleures et on commence à espérer que l'honorable député pourra se rétablir. L'état du malade est encore cependant fort grave. Le bulletin porte ce matin : « Nuit plus calme ; légère amélioration. » On lit dans le Soir : « C'est par erreur que quelques-uns de nos confrères ont annoncé que M. Delahaye, juge chargé de l'instruction relative à la pièce lue à la tribune par M. Girard, s'était dessaisi du dossier en faveur de M. le préfet de police. » Outre que cette marche serait absolument contraire aux règles de la procédure criminelle, nous savons pertinemment que l'instruction n'est pas encore terminée. » Il résulte cependant des faits établis à ce jour, que les partisans de l'appel au peuple seraient restés absolument étrangers à la confection et à la publication de cette pièce. » Nous ajouterons qu'aucun exemplaire de cette fameuse pièce n'a pu être trouvé dans le département de la Nièvre, où, au dire des radicaux, elle aurait été répandue à profusion. » D'après les nouvelles que nous recevons de Viroflay, Mgr l'évêque d'Orléans va de mieux en mieux, et il y a tout lieu d'espérer que l'éminent prélat pourra, dans peu de jours, reprendre le cours de ses occupations ordinaires. On nous télégraphie de Lyon, 21 juin : « Un orage épouvantable a éclaté aujourd'hui pendant les courses. Des grêlons gros comme des noix sont tombés pendant un quart d'heure. Les vitres de la ville ont été brisées en partie. On signale de nombreux accidents. » NOUVELLE-CALÉDONIE L'évasion de Rochefort. — Situation du pénitencier par rapport à Nouméa. — Le rapport du gouverneur. — Modifications qu'il propose à l'état actuel. — Conclusion. Ce que nous disions il y a quelques jours du rapport de M. le gouverneur de la Nouvelle-Calédonie était bien exact. Depuis lors nous avons eu connaissance des passages les plus importants de ce document ; de nouveaux renseignements nous sont parvenus sur l'évasion de Rochefort, confirmant du reste l'opinion que nous
rdnné le repos le plus complet. Les nouvelles de M. de Goulard, qui avait reçu, comme on sait, les enie sacrements, sont meilleures et on commence à espérer que l'honorable député pourra rétablir. L'état du malade est encore cependant fort grave. eL bulletin porte ce matin : « it plus calme ; légère romln.aiéatio On lit dans le Soir : « C'e par erreur que qlqs-ns de nos confrères nt annoncé que M. lha, juge chargé de l'instruction relative à l pièce l à la reinbut par M Girard, s'était dessaisi du se en faveur de M. le préfet de police. tr q cette marche tearsi absolument contraire aux règles de la procédure criminelle, nous savons pertinemment equ l'instruction n'est ps encore trmné. » Il lrsueét cependant des faits établis à ce jour, que les ptins e l'appel au peuple seraient restés absolument étrangers à l nfeion et à la publication d cette pièce. » Nous ajouterons qu'aucun xmplr de cette fameu pice n'a pu être trov dans le département d la Nièvre, où, au ire des radicaux, elle aurait été enrpadué à profusion. » aDpsr'è les nouvelles que nous recevons de Viroflay, Mr l'évêque dOla va ed mieux en mieux, et il tt lieu d'espérer que léminent prélat pourra, dans peu de jours, reprendre el cours de s occupations derin.sirao On nous télégraphie de Lyon, 21 juin : « Un orage épouvantable éclaté aujourd'hui pendant les courses. Des grêlons gros comme des nx sont tombés pendant n quart d'heure. Ls vitres de la ville ont été brisées en partie. On sgnl de urobmnex is » NOUVELLE-CALÉDONIE L'évasion de Rochefort. — Situation du pénitencier par rapport à Nouméa. — Le rapport du gouverneur. — Modifications qu'il propose à 'éatlt auel — Conclusion. Ce que nous disions il y a quelques jrs du rapport d M. le gouverneur de la Nouvelle-Calédonie était bien exact. Dps lors nous avons eu connaissance des passages les plus importants de ce document ; de nouveaux renseignements us sont prvns sur 'évasion de Rochefort, confirmant du reste l'oino que nous
de mieux en mieux, et il y a tout lieu d'espérer que l'éminent prélat pourra, dans peu de jours, reprendre le cours de ses occupations ordinaires. On nous télégraphie de Lyon, 21 juin : « Un orage épouvantable a éclaté aujourd'hui pendant les courses. Des grêlons gros comme des noix sont tombés pendant un quart d'heure. Les vitres de la ville ont été brisées en partie. On signale de nombreux accidents. » NOUVELLE-CALÉDONIE L'évasion de Rochefort. — Situation du pénitencier par rapport à Nouméa. — Le rapport du gouverneur. — Modifications qu'il propose à l'état actuel. — Conclusion. Ce que nous disions il y a quelques jours du rapport de M. le gouverneur de la Nouvelle-Calédonie était bien exact. Depuis lors nous avons eu connaissance des passages les plus importants de ce document ; de nouveaux renseignements nous sont parvenus sur l'évasion de Rochefort, confirmant du reste l'opinion que nous avions émise. Sans vouloir devancer la décision de la commission d'enquête, nous croyons cependant pouvoir éclaircir bien des points encore obscurs et discuter les pensées qu'inspirent ce rapport, que nous sommes loin d'approuver. M. le gouverneur veut avant tout dégager sa responsabilité ; c'est là l'idée dominante dans cette longue lettre qu'il a écrite au ministre. BOURSE DU 22 JUIN Cours Premier Plus Dernier Prochain Dernier Haussissement Se BOURSE DU JUIN précédent cours haut cours OBLIGATIONS clôture, cours se se 3 % en cr. 59 30 •• 59 40 ..59 50 .. 59 40 Départ. de la Seine. 218 75 320 ...1 25 ... ' " " Jouissance janvier. 59 35 .. 59 40 59 47 1/2 .. 59 40 Ville, 500-60 437 50 435 2 50 L 1/2 °/o IFt1 8625 8625 •• •• 8625 ~ 1865 467 50 466 25 125 *17*'4 *' " 7> n Jouissance septembre. M .... 1869 302 25 304 75 .2 50 .... in " " 5 % en cr. 95 07 •• 95 23 35 .. 95 25 1871 276 .. 277 ...1 Le 1er novembre.. 31 95 17 ^ 95 25 ..93 35 95 27 7/ 1871 1/4.... 70 .. 71
de mieux en mx, et il y a tout lieu d'espérer q léminent prélat pourra, da peu d jours, reprendre el cours de ses ccptns ordinaires. On nous télégraphie d Lyon, 21 juin : « Un orage épouvantable a éclaté aujourd'hui pendant les courses. Ds grêlns gros comme ds noix sont tombés pendant n qrt d'heure. Les vitres l ville ont été brisées en partie. On signale de nombreux accidents. » NOUVELLECALÉDONIE L'évasion de Rohot. — attniuioS du pénitencier par rapport à Nouméa. — Le rapport du gouverneur. — Modifications qu'il propose à l'état actuel. — Conclusion. Ce que nous disions il y a quelques jours du rapport de M. e gouverneur de al Nouvelle-Calédonie étt bien exact. Depuis rosl nous o eu connaissance des passages les sulp importants de c document ; d nouveaux renseignements nous sont parvenus sr sion de Rochefort, cnt du rst l'opinion que nuos vns émise. Sans vouloir devancer la décision de la comiion d'enquête, nous croyons epant pouvoir éclaircir bin des points encore cbuossr e discuter les eée q'nsprnt ce rapport, que nous sommes ln d'approuver. M le gueneu veut avant tout dégager sa responsabilité ; est là l'dé dominante dans etetc longue lettre qu'il a écrite au ministre. BOURSE 22 JN Cours Prmr Plus Dernier Prochain Dernier Husent Se BRS DU UNIJ précédent ur haut cous OBLIGATIONS clôture, cours es % en cr. 59 30 •• 59 40 ..59 50 .. 59 40 Dar d la Seine. 218 57 320 .1 52 ... ' " " Jouissance janvier. 59 3 .. 59 40 59 47 .. 59 40 V,llei 500-60 437 50 435 50 L 1 °/o 1 8625 8625 •• •• 8625 1865 467 50 466 25 125 *17*' *' " > n Jouissance septembre. M .... 1869 302 25 304 75 .2 50 .... in 5 % en cr. 95 07 •• 59 23 53 .. 5 25 1871 2 277 ..1 Le 1er novembre.. 31 95 17 ^ 95 25 ..93 35 95 27 /7 1871 14 70 .. 71
lettre qu'il a écrite au ministre. BOURSE DU 22 JUIN Cours Premier Plus Dernier Prochain Dernier Haussissement Se BOURSE DU JUIN précédent cours haut cours OBLIGATIONS clôture, cours se se 3 % en cr. 59 30 •• 59 40 ..59 50 .. 59 40 Départ. de la Seine. 218 75 320 ...1 25 ... ' " " Jouissance janvier. 59 35 .. 59 40 59 47 1/2 .. 59 40 Ville, 500-60 437 50 435 2 50 L 1/2 °/o IFt1 8625 8625 •• •• 8625 ~ 1865 467 50 466 25 125 *17*'4 *' " 7> n Jouissance septembre. M .... 1869 302 25 304 75 .2 50 .... in " " 5 % en cr. 95 07 •• 95 23 35 .. 95 25 1871 276 .. 277 ...1 Le 1er novembre.. 31 95 17 ^ 95 25 ..93 35 95 27 7/ 1871 1/4.... 70 .. 71 1 25 .... i Emprunt Morgan cpt 516 25 516 25 517 50 Bons de liquidation. 473 470 3 'i " •* L J. août-octobre *4 516 25 •/ 500 fr. 4 %.. 458 75 .3 75 ! .. 1 20 .... OBLIG. DU LÉNDON cpt 450.. 451 25 451 25 .s 104 %.. 88 87 . BANQUE DE FRANCE..... cpt 3770 .. 3770 3770 .. g ) 500 fr. 3 %.. 432!! 431 25 !. ! ! 75 ô '•A' Mander-juillet.... M 3755.. 3760.. 3765 -. £( 10" 3 %.. 85.. 85 •• •• ? g? BANQUE DE PARIS cpt 1125 .. 1125 50 1130 50 .T: j 500 fr. 4 %.. 437 .. 438 75 .1 25 " " 1 „ j. août-février dl 1113 75 1115 1112 50 S/Comm., 3 %.. 334 351 ........ CRÉDIT LYONNais. ; cpt 663 75 Nord 292 25 50 <2;; " " 10 j. janvier-juillet.... 660 .. 670 !. 070 .. Nord-Est .. ! !. 264 ? 265 '1 " " DÉPÔTS ET COMPT. COTÉ cpt 551 25 Orléans 2!H.. 291 . 'J " " r ■ mal novembre : ï?.vv Orléans à Châlons. 233 75 228 75 . 5 ^ .
lettre qu'il a écrite au ministre. BOURSE DU 22 JUIN Cours Premier lus eerirnD Prchn Dernier Haussissement Se BOURSE UD JUIN précédent cours haut cours OBLIGATIONS clôture cours se s 3 % en cr. 59 30 •• 59 40 ..59 50 .. 59 40 Départ. de l Seine. 281 75 320 1... 2 ... ' " Jouissance janvier. 59 35 .. 59 40 59 47 / .. 59 40 Ville, 500-60 437 50 435 2 50 L / °/o IFt1 8625 8625 •• •• 8625 ~ 1865 467 0 466 25 125 174 " 7> Jouissance sptmbr. M .... 1869 302 25 043 75 .2 50 .... in " " en cr. 95 07 •• 95 23 35 .. 95 25 1871 2 .. 277 ...1 Le 1er novembre.. 31 95 17 ^ 95 25 .3.9 35 95 27 7/ 1871 1/4.... 70 .. 71 1 25 .... i Emprunt Morgan cpt 516 25 516 25 517 05 Bons de liquidation. 473 470 3 ' •* L J. août-octobre *4 516 •/ 500 fr 4 %.. 458 75 .3 75 ! .. 20 .... OBLIG. DU LÉNDON 450.. 451 25 451 25 .s 104 88 87 . BANQUE DE FRANCE..... cpt 3770 .. 3770 3770 .. g ) 500 fr. 3 %.. 432!! 3 25 !. 75 ô '•A' Mander-juillet.... M 3755.. . 765 -. £( 10 3 %.. 85.. 85 •• •• ? g? BANQUE DE PARIS cpt 1125 .. 1125 50 1130 50 .T: j 50 fr. 4 .. 437 .. 438 75 .1 25 " " „ j. août-février dl 1113 75 1115 1112 50 S/Comm., 3 %.. 34 351 ........ CRÉDIT LYONNais. ; cpt 663 75 Nord 292 25 5 <2;; " " 10 j jner-le.. 660 .. 670 !. 070 .. Nord-Est .. !. 264 ? 265 '1 " " DÉPÔTS ET COM. TOCÉ cpt 551 5 Orléans 2!H.. 291 . 'J " " r ■ mal novembre : ï?.vv Orléans à Châlons. 233 75 228 75 . 5 ^ .
25 .s 104 %.. 88 87 . BANQUE DE FRANCE..... cpt 3770 .. 3770 3770 .. g ) 500 fr. 3 %.. 432!! 431 25 !. ! ! 75 ô '•A' Mander-juillet.... M 3755.. 3760.. 3765 -. £( 10" 3 %.. 85.. 85 •• •• ? g? BANQUE DE PARIS cpt 1125 .. 1125 50 1130 50 .T: j 500 fr. 4 %.. 437 .. 438 75 .1 25 " " 1 „ j. août-février dl 1113 75 1115 1112 50 S/Comm., 3 %.. 334 351 ........ CRÉDIT LYONNais. ; cpt 663 75 Nord 292 25 50 <2;; " " 10 j. janvier-juillet.... 660 .. 670 !. 070 .. Nord-Est .. ! !. 264 ? 265 '1 " " DÉPÔTS ET COMPT. COTÉ cpt 551 25 Orléans 2!H.. 291 . 'J " " r ■ mal novembre : ï?.vv Orléans à Châlons. 233 75 228 75 . 5 ^ . q ,'A CRÉDIT MOBILIER libéré cpt 267 50 265 ....... 270 .. Orléans à Tours (sud) 917 50 218 .. 50 ra 10 c J; J,.novembre:-juillet... 31 267 50 260 565 .. Grand-Central 290 .. 250 .. SOCIÉTÉ GENERALE cpt 525 .. 527 50 527 50 Lyon-Genève, gar.. 395.. 290 avril-octobre 31 525 .. 526 25 527 50 Lyon 286 .. 287 COMPTOIR D'ESCOMPTE, cpt 560 .. 557 50 555 .. Paris-Lyon-Méditerranée 300 .. 298 août-février.... 31 568 75 Ouest... 286 . 286 BANQUE FRANCO-ÉGYPT. cpt 456 25 Vendée 255 255 50 Midi 457 50 395 août-février 31 458 75 458 73 460.. Lille à Béthune.... 238 75 NORD.................. cpt 1055 .. 1058 75 Tabacs italiens.... 497 50 janvier-Juillet.... 31 1060.. 1060 .. 1060 .. Victor-Emmanuel.. cpt 500 .. 502 50 1863 95 novembre.... , . , 501 25 505.. Lombardie-S.-Autriche. 249 50 PARIS-LYON-MEDITERRANÉE cpt 861 25 867 50 868 75 nouvelles.. 244 50 mai-novembre 31 862 50 863 73 867 50 Autrichiennes 316 25 MIDI............. cpt 620 .. 620 620 .. nouvelles... 306 50 OUEST................. avril-octobre..... cpt 523 75 532 50 531 25 RONAIE SUEZ 3 75 CH. DES DEUX-CENTRES cpt 343 75 347 50 347 50 Sagasinne-Pampelune 255
25 .s 104 88 87 . BANQUE DE FRANCE..... cpt 3770 .. 3770 3770 .. ) 500 fr. 3 %.. 432!! 431 25 !. ! ! 75 ô '•A' Mander-juillet.... M 3755.. 3760.. 3765 -. £( 10" 3 %.. 85.. 85 •• •• ? g? BANQUE DE PARIS cpt 1125 .. 1125 50 1130 50 .T: 500 fr. 4 %.. 437 .. 438 75 .1 25 " " 1 „ j. août-février dl 1131 75 1115 1112 50 SComm 3 %.. 334 351 ........ CÉI LYONNais ; cpt 663 75 Nord 292 25 50 <2;; " " 10 j. janvier-juillet.... 660 .. 670 !. 070 .. Nord-Est .. ! !. 264 ? 265 '1 " " DÉPÔTS ET COMPT. COTÉ cpt 551 25 Orléans 2H 291 . 'J " r ■ ml novembre : ï?.vv Orléans à Châlons. 233 75 228 75 . 5 ^ . ,' CRÉDIT MOBILIER lbéré cpt 267 0 265 ....... 270 .. Orléans à Tours (sud) 917 50 218 .. 50 ra 10 c J; J,.novembre:-juillet... 31 267 50 260 565 .. GrandCentral 290 .. 250 SOCIÉTÉ GENERALE cpt 525 .. 527 50 527 50 Lyon-Genève, gar.. 395.. 90 avril-octobre 31 525 .. 526 25 527 50 Lyon 286 .. 287 COMPTOIR D'ESCOMPTE, cpt 560 .. 557 50 555 .. Paris-Lyon-Méditerranée 300 298 août-février.... 1 568 75 Ouest... 286 . 286 BANQUE FRANCOÉGYPT cpt 456 25 Vndé 255 255 50 Miid 457 50 395 août-février 31 4 75 458 73 460.. i à Béthune.... 238 75 NORD.................. cpt 1055 .. 1058 75 Tabacs italiens.... 497 50 janvier-Juillet.... 31 1060.. 1060 .. 1060 .. Victor-Emmanuel.. cpt 500 .. 502 50 1863 95 novembre.... . , 1 25 505.. Lombardie-S.-Autriche. 249 50 PARIS-LYON-MEDITERRANÉE cp 861 25 867 50 868 75 nlle. 244 50 mai-novembre 31 862 50 863 73 87 50 Autrichiennes 316 25 MIDI............. cpt 620 .. 620 620 .. .e.snvule.lo 306 50 OUEST................. avril-octobre..... ct 523 75 532 50 531 25 RONAIE SUEZ 3 75 CH. DES DEUX-CENTRES cpt 343 75 347 50 347 50 Sagasinne-Pampelune 255
avril-octobre 31 525 .. 526 25 527 50 Lyon 286 .. 287 COMPTOIR D'ESCOMPTE, cpt 560 .. 557 50 555 .. Paris-Lyon-Méditerranée 300 .. 298 août-février.... 31 568 75 Ouest... 286 . 286 BANQUE FRANCO-ÉGYPT. cpt 456 25 Vendée 255 255 50 Midi 457 50 395 août-février 31 458 75 458 73 460.. Lille à Béthune.... 238 75 NORD.................. cpt 1055 .. 1058 75 Tabacs italiens.... 497 50 janvier-Juillet.... 31 1060.. 1060 .. 1060 .. Victor-Emmanuel.. cpt 500 .. 502 50 1863 95 novembre.... , . , 501 25 505.. Lombardie-S.-Autriche. 249 50 PARIS-LYON-MEDITERRANÉE cpt 861 25 867 50 868 75 nouvelles.. 244 50 mai-novembre 31 862 50 863 73 867 50 Autrichiennes 316 25 MIDI............. cpt 620 .. 620 620 .. nouvelles... 306 50 OUEST................. avril-octobre..... cpt 523 75 532 50 531 25 RONAIE SUEZ 3 75 CH. DES DEUX-CENTRES cpt 343 75 347 50 347 50 Sagasinne-Pampelune 255 75 255 75 VENDEE................ . août-février...... ordre m.. Omnium Français et Étrangers 157 75 155 25 COMPAGNIE NAVALE cpt 530 !! 530 !! 517 50 Portugais........ Ville de Lille 3 O/O*. 210 50 .25 juin-décembre 31 Omnibus. Compagnie Parisienne du Gaz 728 75 : 730 !! S'oc. Ville de Bordeaux.. CANAL DU SUEZ cpt 413 75 415 ! !!!!! 412 50 COMP. DOCKS de la Société de Navigation. 336 68 75 337 5 .25 janvier-juillet.... 31 420 .. 420 DIVERSES SANS ATLAS ANTARCTIQUE.cpt 217 50 215 Emp Egyptien 1868 81 .. 82 janvier-juillet..... 31 Omnium Rougé CIAO! 71 50 Etats-Unis. 105 67 60 105 67 65 april-juillet 731.. 732.. 731.. 382 .. NORD DE L'ESPAGNE cpt. 268 75 268 75 janvier-juillet t 300 132 50 Dette gén. tunisienne. 231 248.. SARAGOSSE A PAJOT D'ESPINAI: 92 50 92 50 EXTÉRIEU, RENAISSANCE espagnole janvier-juillet. 31 " : Emprunt romain... 65 A 65 PORTUGAIS (ROYAL). cpt 202 50 205 205 485 70 485 70 janvier-juillet.... 31 485 485 485 485 485 485 CRÉDIT MOBILE ESPAGNOL, cpt 485 485 485 485 485 Bons Rabais 1870 510.. 510 FONCIER D'AUTRICHE. cpt 510 510 510 510 510 510 Bons Lombards 1874... 508.. 508 janvier-juillet.... 31 508..
arv-oboltreci 31 525 .. 56 25 527 50 Lyon 286 .. 287 COMPTOIR D'ESCOMPTE, cpt 560 .. 557 50 555 .. Prs-Lyn-Médtrrné 300 .. 298 août-février.... 31 568 75 Ouest... . 286 BANQUE FRANCO-ÉGYPT. cpt 456 25 Vendée 255 255 50 Midi 457 50 395 oûtféir 31 458 75 458 73 460.. Lille à Béthune.... 238 75 NORD.................. cpt 1055 .. 1058 75 Tabacs taln... 497 50 janvier-Juillet.... 31 1060.. 1060 .. 1060 .. Vctr-mmnl.. cpt 500 .. 502 50 16 95 novembre.... , , 510 25 505.. Lombardie-S.-Autriche. 249 50 PARISLYONMEDITERRANÉE cpt 861 25 867 50 868 nouvelles.. 244 50 mai-novembre 31 862 50 863 73 867 50 Autrichiennes 316 25 MIDI............. cpt 620 .. 620 620 .. nouvelles... 306 50 OUEST................. avril-octobre..... ct 523 75 532 50 531 25 RONAIE SUEZ 3 75 CH. DES DEUX-CENTRES cpt 343 75 347 50 347 50 Sagasinne-Pampelune 255 75 255 75 VENDEE................ . août-février...... ordre m.. Oum Français et Éranger 157 75 155 25 COMPAGNIE NVAE 530 530 !! 517 50 Portugais........ Vll de eillL 3 /*. 210 50 .25 juin-décembre 31 Omnibus. peCnomaig Parisienne du Gaz 728 : 730 !! S'oc. Ville de Bordeaux.. CANAL DU SUEZ cpt 413 75 415 ! !!!!! 412 50 P DOCKS de la Société d Navigation. 336 68 75 337 5 .25 janvier-juillet.... 31 420 .. 420 DIVERSES SANS ATLAS ANTARCTIQUE.cpt 217 50 15 Emp Egyptien 1868 81 .. 82 janvier-juillet..... 31 Omnium Rgé CIOA! 71 50 Etats-Unis. 105 67 60 105 67 65 ajlt 731.. 732.. 731.. 382 .. NORD DE L'ESPAGNE cpt. 268 75 268 75 janvier-juillet t 300 132 0 Dette gén. tunisienne. 231 248.. SARAGOSSE A PAJOT D'ESPINAI: 92 50 92 05 EXTÉRIEU, RENAISSANCE spgnl jnvr-jllt. " : mprut rmn... 65 A 65 PRTGS (ROYAL). t 202 5 205 205 485 70 485 70 j.ranell..uiv.i-tej 31 485 485 485 485 485 485 RCTDÉI MOBILE ESGN t 485 485 458 485 485 Bons Rabais 1870 510.. 510 FONCIER 'AUTRICHE. cpt 510 510 510 510 510 510 Bons Lombards 1874... .85.0 508 nvie-jue.. 31 508..
CANAL DU SUEZ cpt 413 75 415 ! !!!!! 412 50 COMP. DOCKS de la Société de Navigation. 336 68 75 337 5 .25 janvier-juillet.... 31 420 .. 420 DIVERSES SANS ATLAS ANTARCTIQUE.cpt 217 50 215 Emp Egyptien 1868 81 .. 82 janvier-juillet..... 31 Omnium Rougé CIAO! 71 50 Etats-Unis. 105 67 60 105 67 65 april-juillet 731.. 732.. 731.. 382 .. NORD DE L'ESPAGNE cpt. 268 75 268 75 janvier-juillet t 300 132 50 Dette gén. tunisienne. 231 248.. SARAGOSSE A PAJOT D'ESPINAI: 92 50 92 50 EXTÉRIEU, RENAISSANCE espagnole janvier-juillet. 31 " : Emprunt romain... 65 A 65 PORTUGAIS (ROYAL). cpt 202 50 205 205 485 70 485 70 janvier-juillet.... 31 485 485 485 485 485 485 CRÉDIT MOBILE ESPAGNOL, cpt 485 485 485 485 485 Bons Rabais 1870 510.. 510 FONCIER D'AUTRICHE. cpt 510 510 510 510 510 510 Bons Lombards 1874... 508.. 508 janvier-juillet.... 31 508.. 508 DIVERS COMPAGNIE TRANSATLANTIQUE.cpt 217 50 215 Emp Egyptien 1868 81 .. 82 janvier-juillet..... 31 Omnium Algérien TELEGRAPHIE ET TÉLÉPHONIE 71 50 Etats-Unis. 105 67 60 105 67 65 april-juillet 731.. 732.. 731.. 382 .. NORD DE L'ESPAGNE cpt. 268 75 268 75 janvier-juillet t 300 132 50 Dette gén. tunisienne. 231 248.. SARAGOSSE A PAJOT D'ESPINAI: 92 50 92 50 EXTÉRIEU, RENAISSANCE espagnole janvier-juillet. 31 " : Emprunt romain... 65 A 65 PORTUGAIS (ROYAL). cpt 202 50 205 205 485 70 485 70 janvier-juillet.... 31 485 485 485 485 485 485 CRÉDIT MOBILE ESPAGNOL, cpt 485 485 485 485 485 Bons Rabais 1870 510.. 510 FONCIER D'AUTRICHE. cpt 510 510 510 510 510 510 Bons Lombards 1874... 508.. 508 janvier-juillet.... 31 508.. 508 DIVERS COMPAGNIE TRANSATLANTIQUE.cpt 217 50 215 Emp Egyptien 1868 81 .. 82 janvier-juillet..... 31 Omnium Algérien TELEGRAPHIE ET TÉLÉPHONIE 71 50 Etats-Unis. 105 67 60 105 67 65 april-juillet 731.. 732.. 731.. 382 .. PRIMES LIQUIDATION FIN PROCHAIN 3 0/0.. 1 .... à A — .............de 23 ....A .... 60 .. à 60 05 — ." () .... de e ... de 50 .... A à .... 1) 0/0 Il 1 ....à .... 95 60 à
CANAL DU SUEZ cpt 413 75 415 ! !!!!! 412 50 COMP. OS de la Société d Navigation. 336 68 75 733 5 .25 janvier-juillet.... 31 420 .. 420 DIVERSES SANS ATLAS ANTARCTIQUE.cpt 217 50 215 Emp Egyptien 1868 81 .. 82 jnvr-jllt..... 31 Omnium Rougé AO 71 50 Etats-Unis. 105 67 60 105 67 65 april-juillet 731.. 732.. 731.. 382 .. NORD DE L'ESPAGNE cpt. 268 75 26 7 janvier-juillet t 300 132 50 Dette gén. tunisienne. 231 248.. SRGSS PAJOT D'ESPINAI: 92 50 92 50 EXTÉRIEU, RENAISSANCE espagnole janvier-juillet. 31 " : Emprunt romain... 65 A 65 OIPATGURS (ROYAL). cpt 205 205 485 70 485 70 janvier-juillet.... 31 485 485 485 485 85 485 CRÉDIT MOBILE ESPAGNOL, cpt 485 485 485 485 485 Bons Rbs 1870 510.. 510 FONCIER D'AUTRICHE. cpt 510 510 510 510 510 510 Bons Lombards 1874 508.. 508 janvier-juillet.... 31 508.. 508 DIVERS COMPAGNIE TRANSATLANTIQUE.cpt 217 50 215 Emp Egyptien 1868 81 .. 82 janvier-juillet..... 31 Omnium Algérien TELEGRAPHIE ET TÉLÉPHONIE 71 50 EtatsUnis 105 67 60 105 67 65 prl-jllt 731.. 732.. .317. 382 O DE L'ESPAGNE cpt. 268 75 268 75 janvier-juillet t 300 132 50 Dette gén. tunisienne. 231 248.. SARAGOSSE A PAJOT D'ESPINAI: 92 50 92 50 EXTÉRIEU, RENAISSANCE espagnole janvier-juillet. 31 " : Emprunt romain... 65 65 PRTGAS (ROYAL). cpt 202 50 25 205 485 70 485 70 janvier-juillet.... 31 485 485 485 584 485 485 CRÉDIT MOBILE GEOSNAP,L cpt 485 485 485 485 485 Bons abi 1870 510.. 510 ONRCFEI D'AUTRICHE. cpt 510 510 510 510 510 501 Bons Lombards 1874... 508.. 508 janvier-juillet.... 31 508.. 508 DIVERS COMPAGNIE TRANSATLANTIQUE.cpt 217 50 215 Emp Egyptien 1868 18 .. 82 janvier-juillet..... 31 mnm Algérien PETELAEIGHR ET TÉLÉPHONIE 17 05 Etats-Unis. 105 67 60 105 67 65 prl-jllt 731.. 732.. 731.. 382 .. PRIMES LIQUIDATION FIN PROCHAIN 3 0/0.. 1 .... à A — .............de 23 A .... 60 .. à 60 05 — ." () .... de e ... de 50 .... A à .... 1) 0/0 Il 1 ....à .... 95 60 à
tunisienne. 231 248.. SARAGOSSE A PAJOT D'ESPINAI: 92 50 92 50 EXTÉRIEU, RENAISSANCE espagnole janvier-juillet. 31 " : Emprunt romain... 65 A 65 PORTUGAIS (ROYAL). cpt 202 50 205 205 485 70 485 70 janvier-juillet.... 31 485 485 485 485 485 485 CRÉDIT MOBILE ESPAGNOL, cpt 485 485 485 485 485 Bons Rabais 1870 510.. 510 FONCIER D'AUTRICHE. cpt 510 510 510 510 510 510 Bons Lombards 1874... 508.. 508 janvier-juillet.... 31 508.. 508 DIVERS COMPAGNIE TRANSATLANTIQUE.cpt 217 50 215 Emp Egyptien 1868 81 .. 82 janvier-juillet..... 31 Omnium Algérien TELEGRAPHIE ET TÉLÉPHONIE 71 50 Etats-Unis. 105 67 60 105 67 65 april-juillet 731.. 732.. 731.. 382 .. PRIMES LIQUIDATION FIN PROCHAIN 3 0/0.. 1 .... à A — .............de 23 ....A .... 60 .. à 60 05 — ." () .... de e ... de 50 .... A à .... 1) 0/0 Il 1 ....à .... 95 60 à 95 80 — ............de 50 95 30 à 95 40, 95 85 à 96.. — de 85 95 55 à 95 47 96 15 à 96 25 COMPTE NOTAIRE.....de 4 .... à à .... — — de 50 67 80 à 67 95 68 30 à 68 45 — — de 35 1"67 93 à 68 05 .....à .... Crédit mobilier..... 20 à à — — ......de 10 267 50 à 270 & Société générale....de 20 à à Mobilier espagnol...de 10 438 75 à 442 50 à Nord de 10 ..... à à Orléans .....de 10 à à Lyon, ..,.......... de 10 à à Midi .......de 10 ci à ..... Autrichiennes.....,..de 40 733 75 à 735 à Lombardi...,de 10 à à Gaz parisien "" de 10 730 .. à .. à Seine de 10 à 413 à TAUX DE L'ESCOMTE SUR LES PRINCIPALES PLACES DE L'EUROPE Banque de l'Escompte.. h 0/0 France Avances... 5 0/0 Londres.............. S 1/2 Amsterdam 3 1/8 Berlin 14 0/0 Francfort h 0/0 Saint-Pétersbourg 5 1/8 Vienne 5 0/0 Bruxelles h 0/0 Madrid. e6 0/0 Rome 5 0/0 Bons ( 3 m. à 5 mois. 3 0/0 du 6 m. à 11 mois. h 0/0 Trésor
tunisienne. 231 248.. SARAGOSSE A PAJOT D'ESPINAI: 92 50 92 50 XTR, RENAISSANCE espagnole janvier-juillet. 1 " : Emprunt romain... A 65 PORTUGAIS (ROYAL). tcp 202 50 205 205 485 70 485 70 janvier-juillet.... 31 485 485 485 485 485 485 CRÉDIT MOBILE ESPAGNOL, cpt 485 485 485 485 485 Bs Rabais 1870 510 510 FONCIER D'AUTRICHE. cpt 510 510 510 510 510 510 Bons Lombards 1874... 508.. 508 janvier-juillet.... 13 508.. 508 DVRS COMPAGNIE TRANSATLANTIQUE.cpt 217 50 215 Emp gyptn 1868 81 .. 82 janvier-juillet..... 31 Omnium lgérn TELEGRAPHIE ET TÉLÉPHONIE 71 50 Etats-Unis. 105 67 60 105 67 65 april-juillet 731.. 732.. 731.. 382 .. PRIMES LIQUIDATION FIN PROCHAIN 3 0/0.. 1 .... à A — .............de 23 ....A .... 60 .. à 60 05 — ." () .... de e ... de 50 .... A à .... 1) 0/0 Il 1 ....à .. 95 60 à 95 80 — de 50 95 30 à 95 40, 95 85 à 96.. — de 85 95 55 à 95 47 96 15 à 96 COMPTE NOTAIRE.....de 4 .... à à .... — de 50 67 80 à 67 9 68 à 68 45 — — de 35 "67 93 à 68 05 .....à .... Cré mobilier..... 20 à à — — ......de 10 267 05 à 270 & Société générl....d 20 à à Mobilier espagnol...de 10 438 75 à 442 50 à Nord de 10 ..... à à Orléans .....de 10 à à Lyon, ..,.......... de 10 à à dMii .......de 10 ci à ..... Autrichiennes.....,..de 40 733 75 à 735 à Lombardi...,de 10 à à Gaz parisien "" de 10 730 .. à .. à Seine de 10 à 13 à TAUX DE L'ESCOMTE SUR LES PRINCIPALES PLACES DE L'EUROPE Banque de l'Escompte.. h 0/0 France Avances... 5 0/0 Londres.............. S 1/2 Amsterdam 3 1/8 Beri 14 0/0 Francfort h / toeautSgb-rPénrsi 5 1/8 Vienne 5 0/0 Bruxelles h 0/0 Madrid. 0/0 Rome 5 0/0 Bons ( 3 m. à 5 mois. 3 0/0 du 6 . à 11 mois. h 0/0 Trésr
de 35 1"67 93 à 68 05 .....à .... Crédit mobilier..... 20 à à — — ......de 10 267 50 à 270 & Société générale....de 20 à à Mobilier espagnol...de 10 438 75 à 442 50 à Nord de 10 ..... à à Orléans .....de 10 à à Lyon, ..,.......... de 10 à à Midi .......de 10 ci à ..... Autrichiennes.....,..de 40 733 75 à 735 à Lombardi...,de 10 à à Gaz parisien "" de 10 730 .. à .. à Seine de 10 à 413 à TAUX DE L'ESCOMTE SUR LES PRINCIPALES PLACES DE L'EUROPE Banque de l'Escompte.. h 0/0 France Avances... 5 0/0 Londres.............. S 1/2 Amsterdam 3 1/8 Berlin 14 0/0 Francfort h 0/0 Saint-Pétersbourg 5 1/8 Vienne 5 0/0 Bruxelles h 0/0 Madrid. e6 0/0 Rome 5 0/0 Bons ( 3 m. à 5 mois. 3 0/0 du 6 m. à 11 mois. h 0/0 Trésor ( À un an ...... 5 0/0 LE BULLETIN FINANCIER Deux heures. — Bourse très ferme sur les Rentes. Les demandes au comptant sont de plus en plus actives. Les Recettes générales ont demandé 11,000 de 3 0/0 et 118.000 de 5 0/0. Sur le cours de 95 27 on cote 95 75, dont 25 c. Pour fin juillet, on cote 95 80, dont 1 fr.; 96 fr., dont 50 c. et 96 50, dont 25 c. Les obligations de la Ville de Paris 1869 sont en hausse nouvelle à 30h 75. Celles de 1871 sont demandées à 277 fr. Fermeté persistante de l'Italien. Le Turc était très offert au début de la Bourse, à deux heures il a repris à 6 fr. Le Péruvien et l'Extérieure sont sans affaires. Pas de changement dans les cours des institutions de crédit. Notons cependant une nouvelle baisse sur le Mobilier. Le Mobilier espagnol est toujours l'objet de demandes suivies; on cote 5 fr. Bonne tenue des actions des grandes Compagnies de chemins de fer. Le Lyon est en hausse. On voit de très bonnes demandes sur l'Autricien qui s'est traité de 730 à 732 fr. Le Suez est en augmentation nouvelle, aussi
de 35 1"67 93 à 68 05 .....à .... Crédit mobilier..... 20 à à — — ......de 10 267 50 à 270 & cété .r..é.nadgélee 20 à à obilie espagnol...de 10 438 75 442 50 à Nord de 1 ..... à à Orléans .....de 10 à à Lyon, ..,.......... de 10 à à Midi de 10 ci à ..... Autrichiennes.....,..de 40 733 75 à 735 à Lombardi...,de 10 à Gaz parisien "" de 10 730 .. à .. à Seine de 10 à 413 à TAUX DE L'ESCOMTE SR LES PRINCIPALES PLACES DE L'EUROPE Banque de l'Escompte.. h 0/0 France Avances... 5 0/0 Londres.............. S 1/2 mstrdm 3 1/8 Berlin 14 0/0 Francfort h 0/0 Saint-Pétersbourg 5 1/8 Vienne 5 0/0 Bruxelles h 0/0 Mdrd. e6 0/ e 5 0/0 Bons ( 3 m. à 5 mois. 3 0/0 d 6 m. à 11 mois. h 0/0 Trésor ( À un an ...... 5 0/0 LE BULLETIN FINANCIER Deux heures. — Bourse très ferme sur les Rentes. Les demandes au comptant sont de pls en plus actives. Les Recettes générales ont demandé 11,000 de 3 / et 118.000 de 5 0/0. Sur le cours de 95 27 on cote 95 75, dont 25 c. Pour fin juillet, on cote 95 80, dont 1 fr.; 96 fr., dont 50 c. et 96 50, dont 25 c. Ls obligations d la Ville de Prs 1869 sont en hausse nouvelle à 30h 75. Celles de 1871 sont m à 277 . Fermeté eriste de l'Italien. Le Turc était très offert au début de la Bourse, à deux heures il a repris à 6 fr. Le Péruvien et l'Extérieure sont sans affaires. Pas ed changement dans les cours des institutions de crédit. Notons cependant une nouvelle baisse sur l Mbi Le Mobilier lnegpsao est toujours l'objet de demandes suivies; on cote 5 fr. Bonne tenue des actions des grandes Compagnies de chemins de fer eL Lyon est en hausse. On vt très bonnes demandes sur l'Autricien qui s'est traité de 730 à 732 fr. Le Suez est en gmnttn nouvelle, aussi
cote 95 75, dont 25 c. Pour fin juillet, on cote 95 80, dont 1 fr.; 96 fr., dont 50 c. et 96 50, dont 25 c. Les obligations de la Ville de Paris 1869 sont en hausse nouvelle à 30h 75. Celles de 1871 sont demandées à 277 fr. Fermeté persistante de l'Italien. Le Turc était très offert au début de la Bourse, à deux heures il a repris à 6 fr. Le Péruvien et l'Extérieure sont sans affaires. Pas de changement dans les cours des institutions de crédit. Notons cependant une nouvelle baisse sur le Mobilier. Le Mobilier espagnol est toujours l'objet de demandes suivies; on cote 5 fr. Bonne tenue des actions des grandes Compagnies de chemins de fer. Le Lyon est en hausse. On voit de très bonnes demandes sur l'Autricien qui s'est traité de 730 à 732 fr. Le Suez est en augmentation nouvelle, aussi bien l'action que la délégation. Les actions du Gaz sont demandées à 730. En somme, le marché est bon. La spéculation est peu active, mais il se produit un très grand nombre d'achats au comptant sur les rentes et sur les obligations de chemins de fer. Le Lille à Valenciennes, les Vendée sont particulièrement l'objet de la faveur des capitaux. Trois heures. 3 0/0, 59 hO; 5 0/0, 95 27: Italien, 67 50. D'ANGLET. LES TÉLÉGRAMMES DE TROIS HEURES La Haye, 23 juin. A la seconde Chambre, le ministre de l'intérieur a déclaré aujourd'hui que le ministère tout entier a prié le roi d'accepter sa démission. DERNIÈRE HEURE La cour de cassation s'est réunie aujourd'hui en audience solennelle pour procéder à l'installation de M. Poulliaude des Carnières, nommé par un décret récent président de la chambre criminelle, en remplacement de M. Faustin-Hélie, parvenu à la limite d'âge. La Nieuwe Rotterdamsche Courant publie, à la date du 21, l'entrefilet suivant : « La police de Rotterdam n'a pas appris que M. Rochefort ait l'intention de fixer son séjour dans cette ville. Une enquête faite à ce sujet dans les hôtels et les maisons meublées n'a eu aucun résultat. » On nous
cote 95 75, dont 25 c. Pour fin juillet, on cote 95 80 dont 1 fr.; 96 fr dont 50 c. et 96 50, dnt 25 c. Les obligations de la Ville de Paris 1869 sont en hausse nouvelle à 30h 5. Celles de 8 sont andés à 277 fr. érFeetm persistante de l'Italien. Le Trc était très offert au début de l Bourse, à deux hrs il repris à 6 fr. Le Pérvn et lExtérieure sont ssan ffrs. Pas de changement dans les cours des institutions d crédit. Notons cependant une nouvelle bise sur le b.irioelM Le Mobilier espagnol est toujours l'bjt de dende svs; cote 5 fr. ennoB tenue des aotncsi des grandes Compagnies ed chemins d fer. Le nLyo est en hausse. On voit de très bonnes demandes sur l'Autricien q s'est traité de 730 732 fr. Le Suez est n augmentation nouvelle, aussi bien l'ctn que la délégation. Les actions du Gaz sont demandées à 730 n mseom, le mrché est bon. La spéculation et peu ti, mais il se prdt un très grand nombre d'achats au comptant sur les rentes et sur les obligations de chemins de rf.e Le Lille à lncenes, les Vendée particulièrement l'bjt de la faveur ds capitaux. Trois heures. 3 0/0, 59 h; 5 0/0, 95 27: Ie 67 50. D'ANGLET. LES TÉLÉGRAMMES DE TROIS HEURES La Haye, 23 i A la snd Chambre, le nstre de l'intérieur a daé aujourd'hui que l ministère tout entier a prié le roi dcet sa démission. DERNIÈRE HEURE La cour de cassation s'st réunie jrd'h e audience solennelle r prcédr 'isllatin de M. uliud sde Carnières, nommé r un décret récent président de la chambre criminelle, n remplacement de M. Faustin-Hélie, parvenu à la limite d'âge. L Nieuwe Rotterdamsche artnouC publie, à la date d 21, l'entrefilet svinuat : « La pic de Rotterdam ' pas appris que M. Rochefort ait l'ntntn e frxei son séjour dans cette ville. Une enquête faite à ce sujet dans les hôtels t les maisons mblés n'a eu aucun résultat. » On nous
les Vendée sont particulièrement l'objet de la faveur des capitaux. Trois heures. 3 0/0, 59 hO; 5 0/0, 95 27: Italien, 67 50. D'ANGLET. LES TÉLÉGRAMMES DE TROIS HEURES La Haye, 23 juin. A la seconde Chambre, le ministre de l'intérieur a déclaré aujourd'hui que le ministère tout entier a prié le roi d'accepter sa démission. DERNIÈRE HEURE La cour de cassation s'est réunie aujourd'hui en audience solennelle pour procéder à l'installation de M. Poulliaude des Carnières, nommé par un décret récent président de la chambre criminelle, en remplacement de M. Faustin-Hélie, parvenu à la limite d'âge. La Nieuwe Rotterdamsche Courant publie, à la date du 21, l'entrefilet suivant : « La police de Rotterdam n'a pas appris que M. Rochefort ait l'intention de fixer son séjour dans cette ville. Une enquête faite à ce sujet dans les hôtels et les maisons meublées n'a eu aucun résultat. » On nous écrit de Versailles : Le duc d'Audiffret-Pasquier n'est pas encore parti pour le département de l'Orne. Il préside actuellement le centre droit. La commission constitutionnelle a repris aujourd'hui l'examen de la proposition Périer. La revue de dimanche prochain au bois de Boulogne comprendra toutes les troupes de la garnison de Paris et des camps de Satory et de Villeneuve-l'Etang, soit environ 60,000 hommes. La commission constitutionnelle a terminé aujourd'hui la discussion générale des propositions Casimir Périer et Lambert Sainte-Croix. Dans sa prochaine séance, qui aura lieu mercredi, elle passera à la discussion des articles. On pense qu'elle nommera ce jour-là son rapporteur. Trois orateurs ont été entendus aujourd'hui : MM. Chesnelong, de Tarteron et de Ventavon. AVANT LA SÉANCE La procédure parlementaire à suivre à l'égard du projet d'organisation municipale, après l'adoption des amendements Bardoux, Berthaud et Clapier qui en annulent presque tous les articles, est l'objet d'appréciations assez contradictoires. On pense que, malgré l'opposition de la gauche, l'Assemblée décidera aujourd'hui qu'elle passera à une troisième délibération, et qu'alors seulement on décidera la forme définitive que doivent revêtir les décisions de ces jours derniers. Le centre gauche va se réunir pour arrêter une ligne de conduite relativement au projet d'organisation
les Vendée sont particulièrement l'objet de la faveur ds capitaux. Trs heures. 3 0/0, 59 h; 0/0, 95 27: Italien, 67 50. D'ANGLET. LES TÉLÉGRMMS DE TROIS HEURES La Haye, 23 juin A la scnd Chambre, le ministre de l'intérieur a déclaré aujourd'hui ueq le ministère tout entier a prié le roi d'accepter démission. DERNIÈRE HEURE La cr de cassation s'est réunie aujourd'hui en audience solennelle pour procéder à l'installation de . Poulliaude des Carnières, nommé par un décret rn président la chambre criminelle n remplacement de M. Fstn-Hél, parvenu à la limite d'âge. La Nieuwe Rotterdamsche Courant publie, à la dt du 21 l'entrefilet suivant : « L police Rotterdam n'a as app euq M. Rchfrt ait l'intention de fixer son séjour dans tecet ville. Une enquête faite à ce sujet dans les hôtels et les maisons meublées n'a aucun résultat. On us écrit de Versailles : Le duc dAudfre-aur n'est pas encore parti pour le département de l'Orne. Il présd actuellement le centre droit. La commission constitutionnelle repris aujourd'hui l'examen ed la prpstn Périer. La revue de ache prochain au bois de Boulogne comprendra toutes lse troupes de la garnison de Paris et des camps d Satory et de Vllnv-l'tng, soit environ 60,000 hommes. La commission constitutionnelle a terminé aujourd'hui l discussion générale des propositions Casimir Prriée et Lambert Sainte-Croix. Dans sa prochaine séance, qui aura lieu mercredi elle passera l discussion ds rts n pens qu'elle nommera c jour-là son rapporteur. Trois orateurs ont été entendus aujourd'hui MM. Chesnelong, de Tarteron et de Ventavon. AN LA SÉANCE La procédure parlementaire à rvuesi à l'égard du projet d'organisation icplmena,ui après l'adoption des amendements Bardoux, Berthaud et Clapier qui en annulent presque ts les rtcls, e l'objet d'appréciations assez cntadioie. On pense que, mlgré 'opposition de la gauche, 'Assemblée décidera ajoudui qu'elle a à une trsèm délibération, et qu'alors seulement on décidera la ore définitive que doivent ei les décos de cs jours derniers. eL centre gauche va se inérru pour rêer n lieng de conduite relativement au projet d'organisation
Paris et des camps de Satory et de Villeneuve-l'Etang, soit environ 60,000 hommes. La commission constitutionnelle a terminé aujourd'hui la discussion générale des propositions Casimir Périer et Lambert Sainte-Croix. Dans sa prochaine séance, qui aura lieu mercredi, elle passera à la discussion des articles. On pense qu'elle nommera ce jour-là son rapporteur. Trois orateurs ont été entendus aujourd'hui : MM. Chesnelong, de Tarteron et de Ventavon. AVANT LA SÉANCE La procédure parlementaire à suivre à l'égard du projet d'organisation municipale, après l'adoption des amendements Bardoux, Berthaud et Clapier qui en annulent presque tous les articles, est l'objet d'appréciations assez contradictoires. On pense que, malgré l'opposition de la gauche, l'Assemblée décidera aujourd'hui qu'elle passera à une troisième délibération, et qu'alors seulement on décidera la forme définitive que doivent revêtir les décisions de ces jours derniers. Le centre gauche va se réunir pour arrêter une ligne de conduite relativement au projet d'organisation municipale. Plusieurs de ses membres sont disposés à voter contre l'ensemble du projet, 2 heures. Le groupe de l'Appel au peuple est en ce moment réuni pour délibérer sur l'attitude qu'il prendra dans le scrutin sur la troisième lecture de la loi d'organisation communale. La plupart des membres qui le composent n'aperçoivent pas l'utilité de cette loi. Cependant, si le gouvernement insistait pour la troisième lecture, il est très probable que le groupe tout entier la voterait. Or, il n'est pas invraisemblable que le gouvernement fasse cette demande. L'amendement Clapier, qui a été voté samedi assure, en effet, pour deux ans, au pouvoir exécutif le droit de nomination des maires. La loi du 20 janvier, au contraire, n'assurait à l'exercice de ce droit aucune durée fixe; elle le subordonnait au vote d'une loi organique stipulant la nomination des maires par les conseils municipaux. Le Gouvernement peut désirer être mis pour deux ans à l'abri de cette éventualité. 2 h. 30. La commission relative à la reconstitution du conseil général des Bouches-du-Rhône s'est réunie aujourd'hui, à deux heures un quart, pour entendre la lecture du rapport de M. Amédée Lefèvre-Pontalis. Ce document conclut à l'adoption pure et simple du projet de
Paris te des camps de Satory et de Villeneuve-'Etang, soit environ 60,000 hommes. La commission constitutionnelle eéimntr aujourd'hui la discussion générale des propositions Casimir Périer et Lambert Sainte-Croix. Dans sa prochaine séance, qui ar lieu mercredi, elle passera à la discussion des articles. On pense qu'elle ommera ce jour-là son rapporteur. orateurs ont été entendus aujourd'hui : MM. Chesnelong, de Tarteron et de Ventavon. AVANT LA SÉANCE La procédure parlementaire à rueisv à l'égard du projet d'organisation municipale, après l'adoption esd amendements Bardoux, Berthaud et Clapier qui en annulent presque tous les articles est l'objet d'appréciations assez contradictoires. On pense que, malgré l'opposition de al gch, l'Assemblée décidera aujourd'hui qu'elle pssr une troisième délibération, et qu'alors seulement on décidera la frm définitive que doivent revêtir les décsns de c jours derniers. Le centre ge va se réunir pour arrêter n ligne de conduite relativement au projet d'organisation municipale. Plusieurs de ses membres tson disposés à voter cnt l'ensemble du projet, 2 heures. Le grp d l'Appel ppl est en ce moment réuni pour délibérer sr l'attitude qu'il prendra dans l scrutin sur la troisième lecture de la loi rto communale. La plupart des eerbmsm qui le composent n'aperçoivent pas l'utilité de cette loi. Cependant, si le gouvernement insistait pour la troisième lecture, il est très probable e le groupe tout entier la voterait. Or, il n'st pas invraisemblable que le gouvernement fasse cette demande. Lamendement Clapier, uqi a téé voté samedi assure, en fft, pr deux ans, au pouvoir xéctf l droit de nomination ds rmsea.i La loi du 20 janvier, contraire, n'assurait à lexercice de ce doitr aucune durée fixe; elle le subordonnait au vote d'une loi ogaiqe stipulant la nomination des maires par les conseils micax. Le Gouvernement désirer être mis pour deux ans à l'abri de cette éventualité. 2 h. 30. La commission relive à la reconstitution du ilocsne générl d Bchs-d-Rhôn s'est réunie aujourd'hui, à xdue heures un quart, pour entendre la lecture du rapport de M. Amédée Lefèvre-Pontalis. Ce document conclut à l'adoption pure et simple du pjeotr de
composent n'aperçoivent pas l'utilité de cette loi. Cependant, si le gouvernement insistait pour la troisième lecture, il est très probable que le groupe tout entier la voterait. Or, il n'est pas invraisemblable que le gouvernement fasse cette demande. L'amendement Clapier, qui a été voté samedi assure, en effet, pour deux ans, au pouvoir exécutif le droit de nomination des maires. La loi du 20 janvier, au contraire, n'assurait à l'exercice de ce droit aucune durée fixe; elle le subordonnait au vote d'une loi organique stipulant la nomination des maires par les conseils municipaux. Le Gouvernement peut désirer être mis pour deux ans à l'abri de cette éventualité. 2 h. 30. La commission relative à la reconstitution du conseil général des Bouches-du-Rhône s'est réunie aujourd'hui, à deux heures un quart, pour entendre la lecture du rapport de M. Amédée Lefèvre-Pontalis. Ce document conclut à l'adoption pure et simple du projet de loi présenté par le Gouvernement. Le centre droit est en ce moment réuni à l'hôtel Vatel. La séance sera présidée par M. le duc d'Audiffret-Pasquier, qui, paraît-il, renonce à son congé, ou tout au moins diffère son départ. Assistent également à cette séance MM. de Ségur et d'Hausgonville, secrétaires, qui, comme M. le duc d'Audiffret-Pasquier, se sont séparés de leurs collègues du centre droit lors du vote sur l'urgence de la proposition Casimir Périer, et qui, depuis ce vote, s'étaient tenus à l'écart de la réunion. On croit que ces trois messieurs rendront compte à leurs collègues des motifs de leur conduite. (Service spécial de la LIBERTÉ) Dépêches transmises par pigeon voyageur 2 h. 30. M. de Fourtou, ministre de l'intérieur, qui avait été pris d'une légère indisposition à la suite de la séance de samedi dernier, est arrivé aujourd'hui à Versailles par le train de midi 25 minutes, en compagnie de M. Aylies, son chef de cabinet. L'honorable ministre de l'intérieur paraissait entièrement rétabli. Le bruit de la mort de M. Viox, député de Meurthe-et-Moselle, est démenti. ASSEMBLÉE NATIONALE Séance du 22 juin PRÉSIDENCE DE M. BUFFET La séance est ouverte à 2 h. J.O. Le procès-verbal est adopté.
cmpst n'aperçoivent pas lié de cette loi. Cependant, si le gouvernement nsstt pour la troisième lecture, il ets très probable que e grp tt entier la voterait. Or, il n'est pas invraisemblable qe le gouvernement fasse etetc demande. Lamendement Clapr, qui a été voté samedi assure, en effet pour deux a, au pouvoir xéuif le droit de nomination des maires. La loi du 20 janvier, au contraire, nassurait l'exercice de ce droit aucune durée fixe; ee le subordonnait au vote d'n l organique stipulant la oaio des maires par les cnsls municipaux. Le Gouvernement pt désirer être mis pour deux ns 'abri de ctt éventualité. 2 h. 30 a commission eative à la reconstitution ud cnsl général Bouches-du-Rhône s'est rén aujourdhui à deux heures un quart, pour entendre la lecture du rapport de M. Amédée Lefèvre-Pontalis. Ce document conclut à l'adoption pure et simple du peojrt de loi présenté par le Gouvernement. Le cntr r st en ce moment réuni à l'hôtel Vatel. La séance sera présidée par M. le d'Audiffret-Pasquier, q, praîil, noce à son congé, ou tout au moins diffère son départ. Assistent également à cette séance MM. de Ségr et d'Hausgonville, sc, qui, comme M. l duc d'dffrt-Psqr, se sont séparés de leurs collègues d drt lors du vt sr lurgence de la prpstn Casimir Périer, et qui, dps c vote, s'étaient tenus l'écart d la réunion. On c que ces trois messieurs rendront compte à leurs collègues des motifs d lur conduite. (Service spécial de la LIBERTÉ) esêpéhDc transmises par pigeon voyageur 2 h. 30. M. de Fourtou, istre de l'intérieur, qu vt été pris d'une èlgrée indisposition la suite de la séance de samedi dernier, est arrivé aujourdhui à Versailles par le train de ii 25 mnts, en compagnie d M. Aylies, sn chef de cabi. 'honorable ministre de l'intérieur paraissait entièrement rétabli. Le bruit de la mort de M. Vx, député de Meurthe-et-Moselle, démenti ASSEMBLÉE NATIONALE Séance du 22 juin PRÉSIDENCE DE M. BUFFET La séance est ouverte à 2 h. J.O. L procès-verbal est dpté.
comme M. le duc d'Audiffret-Pasquier, se sont séparés de leurs collègues du centre droit lors du vote sur l'urgence de la proposition Casimir Périer, et qui, depuis ce vote, s'étaient tenus à l'écart de la réunion. On croit que ces trois messieurs rendront compte à leurs collègues des motifs de leur conduite. (Service spécial de la LIBERTÉ) Dépêches transmises par pigeon voyageur 2 h. 30. M. de Fourtou, ministre de l'intérieur, qui avait été pris d'une légère indisposition à la suite de la séance de samedi dernier, est arrivé aujourd'hui à Versailles par le train de midi 25 minutes, en compagnie de M. Aylies, son chef de cabinet. L'honorable ministre de l'intérieur paraissait entièrement rétabli. Le bruit de la mort de M. Viox, député de Meurthe-et-Moselle, est démenti. ASSEMBLÉE NATIONALE Séance du 22 juin PRÉSIDENCE DE M. BUFFET La séance est ouverte à 2 h. J.O. Le procès-verbal est adopté. L'ordre du jour appelle la suite de la deuxième délibération sur les propositions concernant l'organisation municipale. M. Follett développe une disposition additionnelle proposant de placer entre le maire et le conseil municipal un conseil administratif composé du maire et d'un nombre de conseillers variant suivant la population; ce conseil aurait pour attribution de proposer les projets de budget et les règlements, de veiller à l'exécution des délibérations du conseil municipal, etc., etc. La séance continue. APRÈS BOURSE Quatre heures. 5 0/0, 95 27 1/2, 20 22 1/2; 95 57 1/2 dont 5. — Turc, 76; Pérou, 71 7/8? Ministère de la marine; il y rappelle qu'il a signalé bien des fois les graves inconvénients de placer les déportés dans la presqu'île Ducos; l'impossibilité de les y soumettre à une surveillance incessante, et qu'en réalité il ne pouvait pas répondre d'eux si cet état de choses n'était pas modifié. Il est incontestable que la presqu'île Ducos n'était pas un choix heureux pour l'internement des condamnés à la déportation dans une enceinte fortifiée, et la commission de l'Assemblée aurait dû sans doute prêter plus d'attention aux dépositions que lui ont faites les officiers généraux et supérieurs de la marine militaire, qui avaient
comme M. le duc d'Audiffret-Pasquier, se sont séparés d leurs collègues du centre droit lors d vote sur l'urgence de la proposition Casimir Périer, qui, depuis ce vote, 'tn tenus à l'écart de la réunion. On croit que s trois eseiusrsm rendront compte à elrus collègues des mtfs de leur conduite. (Service spécl e la LBRTÉ) êéchpeDs transmises par pigeon voyageur 2 . 30. M. de ououFt,r ministre de l'intérieur, qui avait été pris d'une légère indisposition à la suite de la séance d samedi erer, st arrivé aujourd'hui à Vrslls par le train de midi 25 minutes, en compagnie de M. Aylies, son chef de iebntca. Lhonorable ministre de l'intérieur paraissait entièrement rétabli. eL bruit de la ort e M. Vx, député de Meurthe-et-Moselle, st démenti ASSEMBLÉE NATIONALE Séance du 22 juin PRÉSIDENCE DE M. BUFFET La séance st ouverte à 2 h J.O. e procès-verbal est adopté. L'ordre du jour appelle la suite de deuxième délibération sur les propositions concernant l'organisation municipale. . Flt dévlpp une disposition additionnelle proposant de placer entre l maire te le conseil municipal un conseil administratif composé du maire et d'un nombre de conseillers va suivant la population; ce conseil aurait pour atrbti de prpsr les projets d budget ls règlements, de lirvlee à l'exécution des délibérations du conseil municipal, tc., etc. La séance continue. APRÈS BOURSE utr heures. 5 /, 95 27 1/2, 20 22 1/2; 95 57 12 dont 5. — Turc, 76; Pérou, 71 78? Ministère de la marine; il y rappelle qu'il signalé bien des fois ls graves inconvénients de plcr les déportés dans a presqu'île Ducos; l'impossibilité d les y soumettre à une surveillance incessante, et qu'en réalité il ne pouvait pas répondre d'eux si cet état d chss n'était pas modifié. Il est incontestable que la presqu'île Ducos n'étt pas un choix heureux pour linternement des dmcnéoans à la déporation dans une enceinte fortifiée, et la commission de l'Assemblée rt dû sans doute prêter l dattention aux dotis que l ont eaitsf les ofces généraux et supérieurs de la marine militaire, qui naevita
pour attribution de proposer les projets de budget et les règlements, de veiller à l'exécution des délibérations du conseil municipal, etc., etc. La séance continue. APRÈS BOURSE Quatre heures. 5 0/0, 95 27 1/2, 20 22 1/2; 95 57 1/2 dont 5. — Turc, 76; Pérou, 71 7/8? Ministère de la marine; il y rappelle qu'il a signalé bien des fois les graves inconvénients de placer les déportés dans la presqu'île Ducos; l'impossibilité de les y soumettre à une surveillance incessante, et qu'en réalité il ne pouvait pas répondre d'eux si cet état de choses n'était pas modifié. Il est incontestable que la presqu'île Ducos n'était pas un choix heureux pour l'internement des condamnés à la déportation dans une enceinte fortifiée, et la commission de l'Assemblée aurait dû sans doute prêter plus d'attention aux dépositions que lui ont faites les officiers généraux et supérieurs de la marine militaire, qui avaient fréquenté ces parages. Au mois de février 1875, le département de la marine appelait sur cette situation l'attention du ministère de la justice. Mais il était bien difficile de modifier immédiatement des lois qui étaient à peine promulguées; le Gouvernement renforça la division navale de la Nouvelle-Calédonie, augmenta l'effectif des troupes de la garnison, le nombre des surveillants, créa un service trimestriel pour relier étroitement la métropole à la colonie, et mit à l'étude les changements qu'il y avait lieu d'apporter à une législation qui laissait les condamnés à la déportation absolument maîtres de leurs travaux, et qui, par l'envoi de leurs familles, annulait leur isolement dans la presqu'île et établissait, au contraire, des communications entre eux et les habitants de Nouméa. Si maintenant nous jetons un coup d'œil sur le nouveau plan de la presqu'île Ducos, nous nous rendrons compte bien facilement de la situation des déportés et des circonstances qui ont entouré l'évasion de Rochefort. La presqu'île Ducos est séparée de la grande terre, en face de Nouméa, par un vaste plateau de corail parsemé de marais et de palétuviers; un gué partant de l'Abattoir et arrivant au camp Montravel, établit la communication. Dans la presqu'île, le territoire
pour attribution de proposer les projets de budget et les règlements de veiller à 'exécution des délbrain du conseil municipal, etc., etc. La séance continue. APRÈS BOURSE Quat heures. 5 0/0, 95 27 1/2, 20 22 1/2; 95 7 1/2 dont 5. — Turc, 6; Pérou, 71 7/8? inistr de l mrn; l y rappelle q'l signalé bien des s les graves inconvénients de placer les déportés dans la îsrqulpe'e Ducos; l'impossibilité de les y soumettre à une surveillance incessante et qu'en réalité il ne pouvait pas répondre d'eux si cet état de ose 'était pas modifié. Il est incontestable que la presqu'île Ducos n'était pas un choix heureux pour l'internement des condamnés à la déportation dans une enceinte fortifiée, t la isocniomsm d 'Assemblée aurait dû sans doute prêter plus d'attention aux dépositions u lui nt fts es officiers généraux et supérieurs de la marine militaire, qui avaient fréquenté ces parages. Au ms de février 1875, le département de la mai appelait sur cete situation lattention du ministère de la justice. Ms l était bien dffcle de mdfr immédiatement des lois qui étaient à peine promulguées; le Gouvernement renforça division navale de l Nouvelle-Calédonie, augmenta l'effectif des troupes de la garnison, le nbr des seils aérc un service istmletirer pour relier étroitement la métropole à la colonie, et mit à l'étude les changements quil y avait l d'apporter à une législation qui laissait les condamnés à la déportation absolument maîtres d leurs travaux, et qui, par l'envoi de leurs familles, aliatnnu leur isolement dans la presqu'île et tlait, au contraire, des communications entre eux et les hbtns de Nouméa. Si maintenant nous jetons un coup dœil sur le nouveau plan de la presqu'île Ducos, nous nous rendrons compte bien facilement de la situation des déportés t des circonstances qui ont entouré lévasion de ohcrRoet.f La presqu'île Ducos e séparée de la grnd terre, en fc de éa, par un vst plateau de corail parsemé de marais et de palétuviers; un gué partant de l'Abattoir et arrivant au cmp Mntrvl, établit la communication. Dns la presqu'île, le territoire
troupes de la garnison, le nombre des surveillants, créa un service trimestriel pour relier étroitement la métropole à la colonie, et mit à l'étude les changements qu'il y avait lieu d'apporter à une législation qui laissait les condamnés à la déportation absolument maîtres de leurs travaux, et qui, par l'envoi de leurs familles, annulait leur isolement dans la presqu'île et établissait, au contraire, des communications entre eux et les habitants de Nouméa. Si maintenant nous jetons un coup d'œil sur le nouveau plan de la presqu'île Ducos, nous nous rendrons compte bien facilement de la situation des déportés et des circonstances qui ont entouré l'évasion de Rochefort. La presqu'île Ducos est séparée de la grande terre, en face de Nouméa, par un vaste plateau de corail parsemé de marais et de palétuviers; un gué partant de l'Abattoir et arrivant au camp Montravel, établit la communication. Dans la presqu'île, le territoire est partagé en trois grandes divisions: Numbo, où se trouvent les cases des condamnés à la déportation; M'bi, qui est le territoire militaire entre les casernements de la gendarmerie et le col palissadé qui donne accès dans l'intérieur, un vaste terrain où sont parquées les bêtes à corne. 1,800 mètres séparent la pointe N'da du territoire militaire de la presqu'île, de la Pointe Duhamel, de Nouméa. Tous les navires qui viennent sur rade, poussés par les grandes brises de sud-est, prennent la passe de Boulari et viennent jeter l'ancre entre ces deux pointes; ils ne peuvent plus sortir que par la passe de la Dumbéa, et leur route les conduit à longer les pointes de coraux qui limitent les territoires de M'bi et de Numbo. Au mouillage, le bâtiment se trouve à environ 1,000 mètres du territoire militaire, et à 2,000, 2,500 mètres des anses Numbo et N'Gi. Sa présence sur rade ne peut éveiller aucun soupçon, puisque Nouméa est déjà devenu un centre d'exportation et d'importation très important. Bien qu'il n'y ait en réalité qu'un côté de la presqu'île à surveiller, on voit, par ce que nous venons de dire, combien la position de Numbo, sur la grande rade
troupes d la garnison, le nombre ds surveillants créa n service trimestriel pour relier étrtmnt la métropole à la colonie, et mit à létude les changements qu'il y avait lieu 'apporter à neu législation qui laissait les condamnés à la déportation absolument maîtres de leurs travaux, et qui, par lenvoi de leurs familles, nnlt leur isolement dans la presqu'île e étblsst, u contraire, des communications entre eux et les habitants de Nmé. Si maintenant nou jetons un coup d'œil sur le nouveau plan de la prsq'îl Ducos, nous us rendrons compte bien facilement de l situation des déportés et ds circonstances qui ont entouré 'évasion de Rochefort. La presqu'île Ducos est séparée de la grande terre, n face de Noa, par un vaste plateau d corail parsemé de mrs et ed palétuviers un u partant de bAtlo'tair et arrivant au camp Montravel, établ la communication. Dans la pqu'îe le territoire est partagé en trois grnd dvsns: Numbo ùo se trouvent les cas des condamnés à la déportation; M'bi, est le territoire militaire entre les casernements ed l gendarmerie et el col palissadé qui donne accès dans 'intérieur, un vaste terrain sont parquées les bêtes à corne 1,800 mètres séprnt la pointe N'da d territoire a de la presqu'île, d la Pointe Duhamel, de Nouméa. Tous l navires qui en sur rade, poussés par les grnds brss d st, pren la passe de Boulari et viennent jeter l'ancre ntr ces deux pointes; ils ne peuvent plus srtr q par la passe de l Dumbéa, et leur route les conduit longer les pointes de coraux qui limitent l territoires de M'bi et de Numbo. Au mouillage le bâtiment se trouve à environ 1,000 mètrs du territie militaire, et à 2,000, 5200, mètrs des anses Numbo t 'Gi. présence sur rade ne peut éveiller aucun soupçon, puisque Nouméa est déj devenu un centre d'xprttn et d'mprttn très important. Bien qu'il 'yn ait ne rélté qu'un côté d l presqu'île à surveiller, on ot par ce que nous venons de dr, combien la position de Numbo sur la grande rade
séparent la pointe N'da du territoire militaire de la presqu'île, de la Pointe Duhamel, de Nouméa. Tous les navires qui viennent sur rade, poussés par les grandes brises de sud-est, prennent la passe de Boulari et viennent jeter l'ancre entre ces deux pointes; ils ne peuvent plus sortir que par la passe de la Dumbéa, et leur route les conduit à longer les pointes de coraux qui limitent les territoires de M'bi et de Numbo. Au mouillage, le bâtiment se trouve à environ 1,000 mètres du territoire militaire, et à 2,000, 2,500 mètres des anses Numbo et N'Gi. Sa présence sur rade ne peut éveiller aucun soupçon, puisque Nouméa est déjà devenu un centre d'exportation et d'importation très important. Bien qu'il n'y ait en réalité qu'un côté de la presqu'île à surveiller, on voit, par ce que nous venons de dire, combien la position de Numbo, sur la grande rade de Nouméa, rend cette surveillance difficile. Le trois-mâts anglais qui a emmené Rochefort était mouillé entre la pointe N'da et la pointe Picard de l'île Nou; il était sur rade depuis longtemps déjà; sur les 10 heures, sa chaloupe s'est détachée du bord et, poussée par la brise de sud-est, a eu rapidement franchi les 2,500 mètres qui la séparaient de l'anse N'gi; c'est là que les fugitifs se sont embarqués. L'approche de la côte n'y est pas défendue par le récif de corail; ce sont les roches mêmes qui entourent la presqu'île qui viennent baigner les eaux de l'océan Pacifique. La chaloupe a accosté dans l'est de l'anse, complètement abritée de la brise, masquée aux établissements militaires; Rochefort et ses amis se sont embarqués sans la moindre difficulté; la nuit était très sombre; il ne leur a fallu prendre que quelques précautions pour se glisser le long de ces roches et arriver sans accident jusqu'à la chaloupe, qui est revenue à bord en longeant l'île Nou. Le trois-mâts est resté le reste de la nuit sur rade; au jour il a levé l'ancre et pris le large; deux heures après il était en dehors des eaux françaises et les
séparent la pointe N'da du territoire militaire de presqu'île, de la Pointe Duhamel, de Nouméa. Tous les navires q enen rsu rade, poussés par les grandes brises de sud-est, prennent la passe de Boulari et viennent jeter l'ancre entre ces deux pointes; ils ne peuvent plus sortir que par la passe de la Du, et leur route les conduit à longer les speitno de coraux qui limitent les territoires de M'bi et de Numbo. Au mouillage, le bâtiment se trouve à ern 1,000 mètres du trrtr militaire, et à 2,000, 2,500 mètres ds anses Numbo t N'Gi. Sa présence sur rade ne peut éveiller aucun soupçon, puisque mé est déjà devenu un centre d'exportation et mpotaio très important. Bien qu'il n'y en réalité qu'un côté de la presqu'île à err,ellivsu on voit, par ce que nous venons de dire, combien la position de Numbo, sur la grande rade de Nouméa, rend cette surveillance difficile. Le trsâts anglais qui a emmené Rochefort était mouillé entre la pointe N'da et la pointe Picard de l'île Nou; il était sur rade ep longtemps déjà; sur les 10 heures, sa chaloupe s'est détachée du rodb et, poussée par la brise de sud-est, a eu rapidement franchi les 2,500 mètres qui la séparaient de l'anse N'gi; c'st là que les fugitifs se snt embarqués. L'approche de la tceô ny' est pas défendue par récf de corail; ce ont les roches mêmes qui entourent la pre qui viennent baigner les uaex de l'océan Pacifique. La chaloupe a accosté dns l'est de l'anse, complètement abritée de brise, asue aux établissements mltrs; Rochefort et ses amis sont embarqués sans la moindre difficulté; la nuit était très sombre; il ne leur a fallu prendre que quelques précautions pour se glisser le long de ces roches et arriver sans accident jusqu'à la chaloupe, ui est revenue bord en longeant lîle Nou. Le trois-mâts est resté le rst de la nuit sur rade; au jour il a levé l'ancre et pris l large; deux heures après il était en dehors des eaux françaises t les
a eu rapidement franchi les 2,500 mètres qui la séparaient de l'anse N'gi; c'est là que les fugitifs se sont embarqués. L'approche de la côte n'y est pas défendue par le récif de corail; ce sont les roches mêmes qui entourent la presqu'île qui viennent baigner les eaux de l'océan Pacifique. La chaloupe a accosté dans l'est de l'anse, complètement abritée de la brise, masquée aux établissements militaires; Rochefort et ses amis se sont embarqués sans la moindre difficulté; la nuit était très sombre; il ne leur a fallu prendre que quelques précautions pour se glisser le long de ces roches et arriver sans accident jusqu'à la chaloupe, qui est revenue à bord en longeant l'île Nou. Le trois-mâts est resté le reste de la nuit sur rade; au jour il a levé l'ancre et pris le large; deux heures après il était en dehors des eaux françaises et les prisonniers avaient reconquis le plus simplement du monde leur liberté; leur fuite n'avait été en réalité qu'une question d'argent; il avait fallu sans doute promettre une forte somme au capitaine anglais, mais il fallait aussi que M. de Rochefort pût disposer de ressources assez importantes pour préparer et organiser le complot. Devons-nous, comme le pense M. le gouverneur, attribuer complètement l'évasion des condamnés à leur internement dans la presqu'île Ducos? Telle n'est pas notre opinion. L'enquête que va faire à ce sujet M. le contre-amiral Ribourt, est absolument nécessaire; il faut que nous sachions pourquoi, la Vire et le Cher étant à l'île des Pins et à Bourail, le service de la rade n'était fait que par le ponton stationnaire le Cyclope; il faut que nous connaissions les nécessités impérieuses qui avaient éloigné ce jour-là de Nouméa les deux goëlettes à voiles et les deux canonnières à vapeur. Outre les troupes de l'infanterie, de l'artillerie de marine, nous avions à Nouméa des gendarmes, des employés spécialement affectés à la surveillance des condamnés ; tous jouent un rôle important dans le cahier de service élaboré au ministère de la marine ; les rapports qui concernent ces fonctionnaires ne renferment que des
eu rpdmnt franchi les ,500 mètres qui la séparaient de l'anse N'gi; c'est là que les fugitifs se sont embarqués. L'approche de la côte n'y est pas défendue par le éci de corail; ce sont les roches mêmes qui entourent la rq'l qui een baigner les eaux de l'océan Pacifique. La chaloupe accosté dans l'est de l'anse, complètement abritée de la brise, masquée aux établissements militaires; Rochefort et ses amis s sont embarqués sans la moindre difficulté; la nuit était très sombre; il ne lr a fll prendre que quelques précautions pour se glisser l long de ces roches et arriver asns aidet jusqu'à la chaloupe qui est revenue à bord en longeant l'île Nou. Le trois-mâts est resté le reste de a nuit sur rade; au jour il a levé l'ancre et pris le large; deux heures après il était en dehors ds eaux françaises et les prisonniers avaient reconquis le ps simplement du monde leur liberté; leur fuite n'avait été en réalité qu'une question d'argent; l avait fallu sans doute prmttr une forte somme au capitaine anglais, mais l fallait aussi que M. de Rochefort pût disposer de ressources assez importantes pour préparer et organiser le complot. Devons-nous, comme le pense M. le gouverneur, attribuer complètement l'évasion des condamnés à eu internement dans la presqu'île Ducos? Telle n'est spa ntr opn. L'enquête que va faire à ce sujet . le contre-amiral Rbou, est absolument ce; il faut que nous sachions pourquoi l Vire t le Cher étant à l'îl des Pns et à olir,uBa le service de la rade n'était fait que par le ponton stationnaire le Cyclope; il faut que nous connaissions les nécessités impérieuses qui avaient éloigné ce jour-là de Nouméa les deux goëlettes à voiles et les deux canonnières à vapeur. Outre les troupes de l'infanterie, de l'artillerie de marine, nous avions à Nouméa des gendarmes, des employés spécialement affectés la nelcsuialver des condamnés ; tous jouent un rôle important dans le cahier d service élaboré au ministère de la marine ; les rapports qui concernent ces fonctionnaires ne renferment q des
complot. Devons-nous, comme le pense M. le gouverneur, attribuer complètement l'évasion des condamnés à leur internement dans la presqu'île Ducos? Telle n'est pas notre opinion. L'enquête que va faire à ce sujet M. le contre-amiral Ribourt, est absolument nécessaire; il faut que nous sachions pourquoi, la Vire et le Cher étant à l'île des Pins et à Bourail, le service de la rade n'était fait que par le ponton stationnaire le Cyclope; il faut que nous connaissions les nécessités impérieuses qui avaient éloigné ce jour-là de Nouméa les deux goëlettes à voiles et les deux canonnières à vapeur. Outre les troupes de l'infanterie, de l'artillerie de marine, nous avions à Nouméa des gendarmes, des employés spécialement affectés à la surveillance des condamnés ; tous jouent un rôle important dans le cahier de service élaboré au ministère de la marine ; les rapports qui concernent ces fonctionnaires ne renferment que des éloges. Ils sont unanimes pour constater leur zèle et leur excellente conduite. L'enquête nous dira donc si le cahier de service a été rigoureusement suivi ; comment on contrôlait la présence des déportés dans leur presqu'île ; si les appels réglementaires avaient lieu ; de quelles sommes on leur avait permis de disposer. Il ne faut pas oublier que si un appel avait eu lieu au branle-bas du matin, l'évasion de Rochefort était découverte au moment où le navire anglais débarquait son ancre et abattait vers la passe de la Nouméa ; un coup de canon à poudre lui eût intimé l'ordre de mouiller immédiatement, et d'attendre la visite d'une embarcation du Cyclope à lui, ainsi qu'à tous les navires au mouillage. Il n'en a malheureusement pas été ainsi, et la fuite des déportés qui se sont embarqués sur le navire anglais dans la nuit du 20 au 21, n'a été connue de l'autorité que dans l'après-midi du 21. Comment expliquer un pareil retard ? M. le gouverneur propose dans son rapport de placer tous les déportés dans l'île des Pins où il serait facile d'empêcher une tentative d'évasion. Nous n'approuvons pas complètement cette proposition ; la loi a voulu
complot. Devons-nous, comme le pense M. le gouverneur, attribuer complètement l'évasion des condamnés à leur internement dans la presqu'île Ducos? Telle n'est pas notr opinion. 'enquête que va faire à ce sujet M. le contre-amiral Ribourt, est absolument nécessaire; il faut que ns hos pourquoi, la Vire et le Chr ént à 'île des sniP et à Bourail, le service de la rade n'était ft que par le ponton stationnaire le Cyclope; il faut que nous connaissions les nécessités preues qui avaient éloigné ce jour-là de Nouma les deux goëlettes à voiles t les deux canonnières à vapeur. tr les troupes de l'infanterie, de l'artillerie de marine, ns avions à Nouméa des endams, des employés spécialement affectés à la surveillance des condamnés tous jouent un rôle mprtnt dns le cahier de service élaboré au inisèr de la marine ; les rapports qui concernent ces fonctionnaires ne renferment que des s Ils sont unanimes pour constater leur zèle et leur excellente conduite. L'enquête nous dira donc si l cahier de service été rigoureusement viusi ; comment on contrôlait la présence des déportés dans eulr presqu'île ; si les appels réglementaires vnt lieu ; de quelles smms on leur avait permis d disposer. Il ne faut pas oiurlbe que si un appel avait eu lieu au branle-bas du mtn, l'évasion de Rochefort était décvrt au moment où le navire anglais débarquait son ancre et abattait vers passe de la Nouméa ; un coup de canon poudre lui eût ntmé l'ordre de mouiller iméiemen et d'attendre la visite d'une baocamrinet du Cyclope à lui, ainsi qu'à tous els navires au mouillage. Il nen a malheureusement p été ns, et al fuite des déprtés qui se sont embarqués sur le navire anglais dans la nuit du 20 au 21, na été connue de l'autorité que dans l'après-midi ud 21. Comment eipluexrq un pirale retard ? M. le gouverneur propose dans son rapport de apecrl tous les déportés dans l'île des Pins où il srt facile d'empêcher une tentative d'évasion. Nous n'approuvons pas complètement cette proposition ; la loi a voulu
permis de disposer. Il ne faut pas oublier que si un appel avait eu lieu au branle-bas du matin, l'évasion de Rochefort était découverte au moment où le navire anglais débarquait son ancre et abattait vers la passe de la Nouméa ; un coup de canon à poudre lui eût intimé l'ordre de mouiller immédiatement, et d'attendre la visite d'une embarcation du Cyclope à lui, ainsi qu'à tous les navires au mouillage. Il n'en a malheureusement pas été ainsi, et la fuite des déportés qui se sont embarqués sur le navire anglais dans la nuit du 20 au 21, n'a été connue de l'autorité que dans l'après-midi du 21. Comment expliquer un pareil retard ? M. le gouverneur propose dans son rapport de placer tous les déportés dans l'île des Pins où il serait facile d'empêcher une tentative d'évasion. Nous n'approuvons pas complètement cette proposition ; la loi a voulu deux peines différentes pour les insurgés de la Commune ; ils doivent avoir deux genres de prison, pour séjour. Que M. le gouverneur veuille bien jeter un coup d'œil sur les premiers travaux des missionnaires, il aura la solution de son problème. Ils attaquèrent l'île par ses deux sentinelles avancées où ils construisirent deux forts ; l'un à l'île des Pins dans le sud-est de l'île, l'autre à l'île Harte dans le nord-est ; ce fut de ces deux points qu'ils rayonnèrent plus tard dans la Nouvelle-Calédonie ; ils nous montrent aujourd'hui ce que nous avons à faire. Dans l'île des Pins nous laisserons les condamnés à la déportation simple ; dans l'île Harte nous y placerons ceux qui doivent séjourner dans une enceinte fortifiée et de celle-là ils ne s'évaderont pas. Défendue par un vaste récif de corail, il est impossible à un navire d'en approcher à cause des grandes brises de sud-est et de la mer qui déferle sur ces écueils ; en outre l'île ne devant être absolument qu'un lieu de déportation, tout navire de commerce qui tenterait de s'en approcher serait suspect et immédiatement surveillé. En terminant son rapport, M. le gouverneur semble vouloir nous donner
permis de disposer. Il n faut as oublier que si un appel avait e lieu au branle-bas du mtn, l'évasion de Rochefort atéit découverte au moment ù le navire alsnaig dbaqat son ancre e abattait vers la passe de la Nouméa ; un coup de canon poudre lui eût intimé l'ordre de moile immédiatement, et d'attendre la visite n'ued embarcation d Cyclope à lui, ainsi qu'à tous les navires au oulae. I n'en malheureusement pas été ainsi, et la fuite des déportés qui se sont embarqués sur le navire anglais dans la unti du 20 au 21, 'an téé connue d l'autorité q dans l'après-midi d 21. Comment expliquer un pareil retard ? M. l gouverneur propose dans son rapport de placer tous les déprtés dans l'île ds Pins où il srt facile d'empêcher une tentative d'évasion. Nous n'approuvons pas complètement cette proposition ; la loi a voulu deux pns différentes pour les iurgs de la Commune ; ils doivent avoir deux genres de prison, pour séjour. Que M. le gouverneur veuille nieb jeter u coup dœil sur les premiers trvx des missionnaires il aura la solution de on problème. Ils attaquèrent l'île par ses deux sentinelles avancées où ils construisirent deux forts l'un à l'île de Pins dans le sud-est de l'île, lautre à l'île Harte dans le nord-est ; ce fut e ces deux points qu'ils rayonnèrent plus tard dans la Nouvelle-Calédonie ; ils nous montrent aujourd'hui ce que nous n à faire. Dans lîle des Pins nous laisserons les condamnés à la déprttn simple ; dans l'île arte nous y placerons ceux qui doivent séjourner as une enceinte fortifiée et de celle-là is ne 'évaderont as Défendue par un vaste récif de corail, il est impossible à un navire d'en approcher à cause des grandes brises de sud-est et de la mer qui déferle sr ces écueils ; en outre l'île ne devant être bslmnt qu'un lieu de déportation, tout navire de commerce qui tenterait d s'en approcher serait suspect et immédiatement surveillé. En rat son rapport, M. le gouverneur semble vouloir nous donner
où ils construisirent deux forts ; l'un à l'île des Pins dans le sud-est de l'île, l'autre à l'île Harte dans le nord-est ; ce fut de ces deux points qu'ils rayonnèrent plus tard dans la Nouvelle-Calédonie ; ils nous montrent aujourd'hui ce que nous avons à faire. Dans l'île des Pins nous laisserons les condamnés à la déportation simple ; dans l'île Harte nous y placerons ceux qui doivent séjourner dans une enceinte fortifiée et de celle-là ils ne s'évaderont pas. Défendue par un vaste récif de corail, il est impossible à un navire d'en approcher à cause des grandes brises de sud-est et de la mer qui déferle sur ces écueils ; en outre l'île ne devant être absolument qu'un lieu de déportation, tout navire de commerce qui tenterait de s'en approcher serait suspect et immédiatement surveillé. En terminant son rapport, M. le gouverneur semble vouloir nous donner une fiche de consolation ; il ne paraît pas attacher à l'évasion de Rochefort une très grande importance; il la considérerait plutôt comme un grand débarras pour la colonie. Nous sommes, nous, d'une opinion complètement opposée : ce n'est pas un débarras, c'est un malheur, c'est un scandale. Oui, il est scandaleux de voir en liberté un des plus grands coupables de l'insurrection, celui qui n'a profité de son instruction que pour outrager tout ce qui devrait être vénéré et respecté, que pour flétrir tout sentiment d'honneur, la patrie, la religion, la famille ; il est scandaleux de voir cet homme échapper à la trop douce sentence prononcée contre lui et laisser ceux qu'il a entraînés au mal subir une peine qu'aggravera maintenant une surveillance plus rigoureuse, conséquence de son évasion. La Nouvelle-Calédonie est avant tout une colonie pénitentiaire ; la loi a voulu que les insurgés de la Commune y fussent transportés ; ils sont là pour y vivre, pour s'y créer un avenir et, espérons-le, pour y travailler. Ils doivent y rester, et vous, monsieur le gouverneur, vous dont la mission est de faire appliquer strictement la loi, vous êtes là pour les garder. CAMILLE DORÉ. LA JOURNÉE
où ils construisirent deux forts ; l'un à l'îl des Pins dans le sudest de l'île, ute à îe Harte dans le nord-est ; ce fut de ces deux points qu'ils ayonr plus trd dans la Nvll-Clédn ; ils nous omtnnter aujourd'hui ce que nous avons à fr. Dans l'île des nsPi nous lssrns les condamnés à la déportation simple ; dans lîle Harte nous y placerons cx qui doint éorr dans une enceinte fortifiée et de celle-là ils ne s'évaderont pas. ndeéeufD par un vaste récif de corail, il s impossible à un navire d'en approcher à cause des grandes brises d sudest et de la mr qui déferle sur ces élceius ; en outre lîle ne dvnt être absolument qu'un lieu de déportation, tout navire de commerce qui tenterait de s'en approcher sa suspect et immédiatement surveillé. En terminant o rapport, M l gevernuour semble vouloir ns donner une fiche de consolation l ne paraît pas attacher à l'évsn ed Rochefort n très grande importance; il la considérerait plutôt comme un grand débarras pour la colonie. Nous sommes, nous, 'une opinion cmlèe peéosop c nest pas un éras c'est un malheur, c'est un scandale. Oui, il est scandaleux de voir en liberté un des plus dgsnra coupables de l'insurrection, celui qui n' profité de son instruction pour outrager tout ce qui devrait être vénéré e respecté que por flétrir tout sentiment 'her, la patrie la religion, la famille ; il st scandaleux de voir cet homme échapper à la trop douce sentence prononcée cn lui et laisser ceux qu'il a nnaîseétr au ml sirub une pn qu'aggravera maintenant une surveillance plus igore conséquence de son éasn La Nouvelle-Calédonie st avant tout nue colonie pénitentiaire ; la loi a voulu que les insurgés de l Commune fussent transportés ; ls sont là pour y vivre, pour s'y créer un vnr et, espérons-le, pour y travailler. Ils doivent y rester, et vous, monsieur le gouverneur, v dont la mission est de faire ulqaeirpp strictement la loi, vous êtes là pour les aegdr.r CAMILLE DORÉ. LA JOURNÉE
est scandaleux de voir en liberté un des plus grands coupables de l'insurrection, celui qui n'a profité de son instruction que pour outrager tout ce qui devrait être vénéré et respecté, que pour flétrir tout sentiment d'honneur, la patrie, la religion, la famille ; il est scandaleux de voir cet homme échapper à la trop douce sentence prononcée contre lui et laisser ceux qu'il a entraînés au mal subir une peine qu'aggravera maintenant une surveillance plus rigoureuse, conséquence de son évasion. La Nouvelle-Calédonie est avant tout une colonie pénitentiaire ; la loi a voulu que les insurgés de la Commune y fussent transportés ; ils sont là pour y vivre, pour s'y créer un avenir et, espérons-le, pour y travailler. Ils doivent y rester, et vous, monsieur le gouverneur, vous dont la mission est de faire appliquer strictement la loi, vous êtes là pour les garder. CAMILLE DORÉ. LA JOURNÉE ANGLAISE 20 juin. Les Anglais nous font la gracieuseté de dire que nous avons pris jeudi la revanche de Waterloo. Boïard, le cheval de M. Delamarre, le fils du glorieux Vermouth, a gagné la coupe d'Ascot. Ce triomphe, obtenu assez aisément (trois quarts de longueur), est d'autant plus remarquable que, de mémoire de sportman, on a rarement vu depuis un demi-siècle pareil assemblage de chevaux sur un hippodrome de courses. Il suffit de les nommer : Doncaster, un vainqueur du Derby; Marie Stuart, qui a remporté le Saint-Léger; Flageolet, le héros de la coupe de Goodwood; Kaiser, Gangforward et enfin Boïard, le vainqueur du Derby français. Chose assez singulière, Boïard, Flageolet et Doncaster sont arrivés les trois premiers dans le même ordre qu'au Derby français. Doncaster, Kaiser et Gangforward sont arrivés troisième, quatrième et cinquième, dans l'ordre où ils étaient arrivés premier, second et troisième au Derby de l'année dernière. Le trimestre d'été, à Oxford et à Cambridge, se termine par une fête appelée Commemoration. Cette fête correspond à nos distributions de prix. Voici comment elle s'est passée cette année à Oxford : Dès onze heures, les undergraduates, autrement dit les bacheliers d'Oxford, remplissent une tribune circulaire. Au-dessous, s'étend un
est scandaleux de voir en liberté un des plus ad coupables e l'insurrection, celui qui n'a rft de on instruction que pour outrager tt ce qui devrait être vénéré et respecté, que pour flétrr tout sentiment 'honneur, la patrie, l religion, la fmll ; il st scandaleux d voir cet eommh éphrpeca à la trop douce sntnc prononcée onte lui et laisser ceux qu'il ntrînés au lam subir une pn q'ggrvr maintenant une acsrieeunvll plus rigoureuse, conséquence d son ésna.vio La Nouvelle-Calédonie est n tout n eolnioc pénitentiaire ; la loi voulu que les insurgés de la Commune y sent transportés ; ils sont là pour y vivre, pour ' cr un avenir et, espérons-le, pour y trlilvea.ar Ils dnvioet y rester, et vous, monsieur le gouverneur, vous dont la mission st de faire appliquer strctmnt la loi vous êtes là pour ls garder. CAMILLE O LA JOUE NGASE 20 juin. Les Anglais o fnt l eétecsrguai de dire que nous avons pris jeudi la revanche d Waterloo. Boïard, le cheval de . Delamarre, e fils du lre eVtorhu,m a gagné la coupe d'Ascot. triomphe, obtenu assez aisément (trs quarts de longueur), est 'autant pls remarquable que, de mémoire de sportman, on a rarement vu depuis un demi-siècle arliep assemblage e chevaux sur un hippodrome de courses. Il suffit de les nommer : Doncaster, un vainqueur du rDy;eb Marie Stuart, u a remporté le ain-é; Flageolet, le héros de la coupe de Goodwood; Kaiser, Gangforward et ei Boïard, le vainqueur du Drby s.çfrniaa Chose ssz singulière, Boïard, Flagol et Doncaster sont arrivés esl trois premiers dns le même ordre u'u Derby français. Doncaster, Kaiser et Gngfrwrd sont arrivés troisième, quatrième t cinquième, dans l'ordre où ils étaient arrivés premier, second et troisième au D e l'année dernière. Le trimestre 'été, à Oxford et ambg se emine par ne fête appelée Commemoration. Cette fête correspond à nos distributions de prix. Voici comment ll s'est passée cette année à xd Dès onze heures, les undergraduates autrement dit les bacheliers d'Oxford, remplissent une tribune circulaire Au-dessous, nteséd' un
de mémoire de sportman, on a rarement vu depuis un demi-siècle pareil assemblage de chevaux sur un hippodrome de courses. Il suffit de les nommer : Doncaster, un vainqueur du Derby; Marie Stuart, qui a remporté le Saint-Léger; Flageolet, le héros de la coupe de Goodwood; Kaiser, Gangforward et enfin Boïard, le vainqueur du Derby français. Chose assez singulière, Boïard, Flageolet et Doncaster sont arrivés les trois premiers dans le même ordre qu'au Derby français. Doncaster, Kaiser et Gangforward sont arrivés troisième, quatrième et cinquième, dans l'ordre où ils étaient arrivés premier, second et troisième au Derby de l'année dernière. Le trimestre d'été, à Oxford et à Cambridge, se termine par une fête appelée Commemoration. Cette fête correspond à nos distributions de prix. Voici comment elle s'est passée cette année à Oxford : Dès onze heures, les undergraduates, autrement dit les bacheliers d'Oxford, remplissent une tribune circulaire. Au-dessous, s'étend un amphithéâtre qui se garnit peu à peu de invités et de dames en toilette. Les jeunes gens de la tribune interpellent les entrants, applaudissent les jolies personnes, discutent la couleur et le goût de tel ou tel chapeau d'un bout de la salle à l'autre. À mesure qu'un graduate (mettons un licencié de l'Université pour fixer les idées) se présente, donnant le bras à une dame pour la conduire à sa place, on l'accueille par des cris variés : « Je vous défends de lui pincer le bras ! » ou bien « Votre femme vous regarde ! » peuvent être cités parmi les mots les plus spirituels et les plus délicats. Ces messieurs s'acharnent après quelques gentlemen : "À bas le lorgnon ! à la porte le monsieur qui a une rose rouge à la boutonnière ! Voulez-vous bien vous calmer ! Sortez, sortez vite !" On vise les chauves (comme s'ils n'étaient déjà pas assez malheureux, au milieu des courants d'air et sous un climat aussi rigoureux !), on vise les chauves avec des boulettes de papier, des peaux d'oranges et des sous, au risque de blesser les voisines. Entre temps, on suspend du haut de la tribune
de mémr de a,topmnrs on a rarement vu depuis un dm-sècl pareil assemblage de chevaux urs un hippodrome de courses. Il suffit d nommer : Doncaster, un vainqueur du Deby; Marie Stuart, qui a remporté l Sanér; Fgolet, le héros de l coupe de Goodwood; Kaiser, Gngfrwrd et enfin Boïard, le vainqueur du Derby français. Cos szsae singulière Boïard Flageolet et Doncaster sont arrivés les trois premiers dans l même ordre qu'au Derby français. Doncaster, Kaiser et Gangforward snt arrivés troisième, quatrième et cinquième, dans l'ordre où ils étaient arrivés premier, second et rtseèmioi au Derby de l'année drnèr. Le trimestre 'été, à Oxford et à Cambridge se termine par n fêt appelée Commemoration. Cette fête correspond à nos distributions de prix. Voc comment elle s'est passée cette aé à Oxford : Dès onze heures, les ndrgrdts, autrement dit les bacheliers d'Oxford, remplissent n tribune circulaire. Au-dessous, s'étend n amphithéâtre qui se garnit peu à peu de invités t de dames en toilette Les jeunes gens de la tribune interpellent les entrants, applaudissent les jolies personnes, discutent la couleur et le goût de tel ou tel chapeau 'un bout de l salle à l'autre. À mesure qu'un graduate (mettons un licencié e l'Université pour fixer les idées) se présente, donnant le bras à une dame pour la conduire à sa place, on l'accueille par des cris variés : « Je vous défends de lui pincer le bras ! » ou bien « Votre femme vs regarde ! » peuvent être cités parmi les mts les plus tel t les plus délicats. Ces messieurs s'acharnent après quelques gentlemen : "À bas le lorgnon ! à la porte le monsieur qui a une rose rouge à la boutnre ! Voulez-vous bien vs calmer ! Sortez, sortez vt !" On vise les have (comme s'ils n'étaient déjà pas assez ,ulreuaxmeh au milieu ds corts 'air et ss un climat aussi rigoureux on vise les chauves avec des boulettes de papier, des peaux d'oranges et des sous, au risque de blesser les voisines. Entre temps, on suspend d haut de la tribune
un licencié de l'Université pour fixer les idées) se présente, donnant le bras à une dame pour la conduire à sa place, on l'accueille par des cris variés : « Je vous défends de lui pincer le bras ! » ou bien « Votre femme vous regarde ! » peuvent être cités parmi les mots les plus spirituels et les plus délicats. Ces messieurs s'acharnent après quelques gentlemen : "À bas le lorgnon ! à la porte le monsieur qui a une rose rouge à la boutonnière ! Voulez-vous bien vous calmer ! Sortez, sortez vite !" On vise les chauves (comme s'ils n'étaient déjà pas assez malheureux, au milieu des courants d'air et sous un climat aussi rigoureux !), on vise les chauves avec des boulettes de papier, des peaux d'oranges et des sous, au risque de blesser les voisines. Entre temps, on suspend du haut de la tribune un sale mannequin et une ombrelle multicolore représentant le fameux parapluie donné par Louis-Philippe au roi des Ashantés, et rapporté à Windsor par sir Garnet Wolseley. Alors, on donne trois salves pour le roi Coffy-Calcalli, trois salves, mêlées de grognements pour M. Gladstone, et autant pour M. Disraeli. Arrive le cortège : il est presque égal à celui du Malade imaginaire, quand la Comédie-Française est au grand complet. Le vice-chancelier Liddell apparaît précédé des huissiers et suivi des professeurs. Il déclare la séance ouverte et commence une harangue en latin. A chaque mot, il est interrompu par des huées et des cris de : "Plus haut ! Abrégez ! Assez !" Il s'arrête d'un air mécontent, les cris redoublent et le vice-chancelier continue. On introduit successivement quatre personnages qui s'apprêtent à recevoir un diplôme honorifique de docteur. Chacun d'eux essaye un compliment en latin. Le premier est un juge du banc de la reine ; le second est sir Thomas Erskine May, le vénérable répertoire de la jurisprudence parlementaire; le troisième est l'inévitable sir Garnet Wolseley, le convive de tous les banquets, l'orateur de tous les meetings, l'ornement de toutes les fêtes. Il porte une robe rouge par-dessus son uniforme
un licené de l'Université pour fixer les idées) se présente, donnant le bras une dame pour la conduire s place, on l'ccll par des cris aiés « Je vs sdéefdn de lui pincer l bras ! » ou bien « rotVe femme vous regarde ! » peuvent être cités parmi les mts les plus spirituels et les plus .dcltaisé Ces messieurs rhcnaenta's après uele gentlemen : "À bs le lorgnon à la porte le monsieur qui une rose rouge à la boutonnière ! Voulez-vous bien vous clmr ! Sortez, sortez e !" On vise les chauves (comme issl' n'étaient déjà pas assez malheureux, au ml sde uans d'air et sous un climat aui rigoureux !), on vise les chvs avec des bltts de papier, des px d'rngs et des sous, au risque de blesser les vsns. Entre temps, on suspend du haut de la tribun un sale mannequin et une ombrelle multicolore représentant le fameux parapluie dnné par Louis-Philippe roi des Ashantés, t rapporté à Windsor par sir Garnet osle Alors, on donne trois vasels pour e roi Coffy-Calcalli, trois salves, mêlées de grognements pour M Gladstone, t autant pour M. Disraeli. Arr le cortège : l est prsq égal celui ud Malade imaginaire, quand la Comédie-Française est au ga complet. Le vice-chancelier Liddell pprît précédé eds huissiers et suivi ds professeurs. Il déclare la séance ouverte et commence une harangue en latin. A chaque mot, il est interrompu par des huées et des cris de : "Plus haut ! Abrégez ! Assez " Il s'arrêt d'un air mécontent, les cris redoublent et l vice-chancelier continue. On introduit successivement qtr personnages q s'apprêtent à recevoir un diplôme honorifique de docteur. uCcnha d'eux essaye un compliment en latin. Le premier est un jg du banc de a reine ; l second est sir Thomas Erskine May, le vénérable répertoire d la jurisprudence parlementaire; le troisième est l'inévitable sir Garnet Wolseley, l convive de tous e banquets, l'orateur de tous les meetings, lornement de toutes les fes. Il porte une robe rouge par-dessus son uniforme
cortège : il est presque égal à celui du Malade imaginaire, quand la Comédie-Française est au grand complet. Le vice-chancelier Liddell apparaît précédé des huissiers et suivi des professeurs. Il déclare la séance ouverte et commence une harangue en latin. A chaque mot, il est interrompu par des huées et des cris de : "Plus haut ! Abrégez ! Assez !" Il s'arrête d'un air mécontent, les cris redoublent et le vice-chancelier continue. On introduit successivement quatre personnages qui s'apprêtent à recevoir un diplôme honorifique de docteur. Chacun d'eux essaye un compliment en latin. Le premier est un juge du banc de la reine ; le second est sir Thomas Erskine May, le vénérable répertoire de la jurisprudence parlementaire; le troisième est l'inévitable sir Garnet Wolseley, le convive de tous les banquets, l'orateur de tous les meetings, l'ornement de toutes les fêtes. Il porte une robe rouge par-dessus son uniforme de major général. On acclame avec des hurlements d'enthousiasme le docteur Garnettus Wolseley, qui, suivant la plate harangue du latinisme moderne, a réalisé quelque chose de plus que le fameux mot antique; veni, vidi, vici : car il est venu et il a vaincu sans voir. M. Disraeli s'était contenté de le comparer à Wellington, c'était joli ! Maintenant le voici plus fort que César ; c'est violent ! Chaque docteur s'avance, plus ou moins gauchement, vers le lord chancelier. Celui-ci balbutie je ne sais quelle formule cabalistique, toujours en latin, laquelle signifie d'une manière approximative : "Paf ! tu l'es !" Puis ce haut dignitaire tend la main à chaque nouvel élu : le shake-hand remplace l'accolade et nous épargne le désagrément de voir ces vilains hommes s'embrasser en public, spectacle toujours pénible et souvent ignoble. Malheureusement, le quatrième docteur pour rire (en latin : honoris causa), intimidé par le brouhaha, n'aperçoit pas la main du haut dignitaire tendue vers lui et s'assied avec précipitation, laissant le vice-chancelier avec la patte en l'air. Les jeunes savants qui occupent la tribune pensent en mourir de joie. C'est alors que le professeur de poésie latine, sir Francis Doyle, prend la parole
crtèg : il est presque égal à celui du Malade maiaire, quand la Comédie-Française est au grand omle. Le e-cceie Liddell apparaît précédé des huissiers et suivi des profssus Il déclare la séance ouverte et commence n harangue en latin. chaque mot, il est interrompu par ds huées e des cris de : "Plus haut ! Abrégez ssez Il s'arrête du air mécontent, les cris redoublent et le vice-chancelier continue. On introduit successivement quatre personnages uqi s'apprêtent à recevoir n diplôme honorifique de docteur. Chcn d'eux essaye un compliment en latin. Le premier est un ue d banc de la reine le second est sir Thomas Erskine May, l énéal ertor ed la jurisprudence parlementaire; le ieotismèr est l'inévitable sir Garnet ee,soyWll le convive de tous ls banquets, l'orateur de tous les meetings l'ornement de toutes les fêtes. Il porte une breo rg pardessus son uniforme de major général. On acclame avec s hurlements d'enthousiasme le docteur Garnettus Wolseley qui, suivant la plate harangue du latinisme moderne, a réalisé qlq chose de plus que le fameux mot antique; veni, vidi, vici : car il est venu et il vaincu sans voir. Disraeli s'it contenté de le mrpcraoe à Wllngtn, c'était joli ! anntaMenti le vc plus f que érasC ; c'est violent ! Chq docteur savance pls ou moins gchmnt, vers le lord chancelier. Celui-ci balbutie je ne ss quelle formule cabalistique, toujours en latin, laquelle sgnfi und'e manière approximative : "Paf ! tu l'es " Puis ce haut dignitaire tend la main chq nouvel élu : e shake-hand remplace l'accolade et nous pgraené l désagrément de voir ces vilains hommes sembrasser en public, spectacle tjrs pénbl et souvent ignoble. Malheureusement, l quatrième docteur pour re en latin : honoris causa), intimidé par le brouhaha, n'aperçoit pas la main d atuh dignitaire tendue vrs lui et s'assied avec pipitaon, laissant le vice-chancelier avec la patte en l'air. Les jeunes savants u occupent la tribune pensent en mourir de joie. C'est alors que le professeur de poésie ltn, si Francis Doyle, prnd la parole
de le comparer à Wellington, c'était joli ! Maintenant le voici plus fort que César ; c'est violent ! Chaque docteur s'avance, plus ou moins gauchement, vers le lord chancelier. Celui-ci balbutie je ne sais quelle formule cabalistique, toujours en latin, laquelle signifie d'une manière approximative : "Paf ! tu l'es !" Puis ce haut dignitaire tend la main à chaque nouvel élu : le shake-hand remplace l'accolade et nous épargne le désagrément de voir ces vilains hommes s'embrasser en public, spectacle toujours pénible et souvent ignoble. Malheureusement, le quatrième docteur pour rire (en latin : honoris causa), intimidé par le brouhaha, n'aperçoit pas la main du haut dignitaire tendue vers lui et s'assied avec précipitation, laissant le vice-chancelier avec la patte en l'air. Les jeunes savants qui occupent la tribune pensent en mourir de joie. C'est alors que le professeur de poésie latine, sir Francis Doyle, prend la parole pour lire un discours (toujours dans la soi-disant langue de Cicéron). Sa lecture est noyée au milieu des cris et des interpellations les plus variées et les moins obligées. On dirait un bonapartiste déposant une proposition d'appel au peuple à la tribune de Versailles. Les orateurs qui succèdent à sir Francis sont des jeunes gens d'Oxford qui donnent lecture de leurs pièces, latines ou anglaises, couronnées par le jury d'examen. Aucun d'eux n'obtient un moment de silence. On distingue ces mots dans les vers d'un des lauréats : "satis cecini". Aussitôt on lui crie de toutes parts : "Oui ! oui ! tais-toi !" Le lauréat, qui a meilleur caractère que le vice-chancelier Liddell, ou qui veut se faire une réputation de bon enfant, rit comme les autres. La séance se termine au milieu d'un tohu-bohu indescriptible, sans que le silence ait été un seul instant obtenu. Les gentlemen qui passent leur temps de cette façon joyeuse, forment l'élite de la jeunesse anglaise. Ils deviendront législateurs par droit de naissance ou ministres de l'Evangile par la primauté scientifique. Ils doivent recruter les plus hautes professions, qui sont appelées libérales et d'où dépend la conduite de la société anglaise. Ils sont
de le cmprr à Wellington, c'était joli ! Maintenant le voici plus fort que César ; c'est violent ! Chaque docteur s'avance, plus ou moins gauchement, vers l lord cei Celui-ci ibtelabu je ne sais quelle formule cabalistique, toujours en latin, laquelle signifie d'une manière apromive : "Paf ! tu l'es !" Pui c haut diii tend la main à chaque nouvel élu : le shake-hand remplace l'accolade et nous épargne el désagrément d voir ces vilains hommes s'embrasser en public, spectacle toujours pénible et evnoust ignoble. heuret le quatrième docteur pour rire (en latin : honoris causa), intimidé par le brouhaha, n'aperçoit pas la main du haut dignitaire tendue rsev lui et s'assied avec précipitation, laissant l vice-chancelier avec la patte en l'air. Les jeunes savants q occupent la tribune pensent en mourir de joie. C'est alors que le professeur de poésie latine, sir Francis Doyle, prnd la parole pour lire un discours toujours d la soidisant lng de Cicéron). Sa lecture est nyé au milieu des et dse interpellations les plus variées et les moins obligées. On dirait un bonapartiste désnt n proposition d'appel au peuple à la tribune de Versailles. Les orateurs qui succèdent à sir Frncs sont des es gens d'Oxford qui donnent lecture de leurs pièces latines uo anglaises, couronnées par le jury d'examen. Aucun deux n'obtient un moment de silence. n distingue ces mots dans les vers d'un d lauréats : "satis cecini". Aussitôt on lui crie de toutes ratsp : "Oui oui ! tais-toi " e lauréat, qui a meilleur caractère que le vice-chancelier Liddell, ou qui veut se faire une réputation de bon enfant, rit comme esl autres. séance se termine au milieu d'un tohu-bohu indeibe sans que le silence ait été n seul instant obtenu. Les gntlmn qui passent leur tmps d cette façon joyeuse, forment l'élite de la jeunesse anglaise. Ils deviendront législateurs par droit de naissance ou ministres d l'Evangile par la primauté scientifique. Ils doivent recruter les plus hautes professions, qui sont appelées libérales et d'où dépend la conduite de la scété anglaise. Ils sont
Francis sont des jeunes gens d'Oxford qui donnent lecture de leurs pièces, latines ou anglaises, couronnées par le jury d'examen. Aucun d'eux n'obtient un moment de silence. On distingue ces mots dans les vers d'un des lauréats : "satis cecini". Aussitôt on lui crie de toutes parts : "Oui ! oui ! tais-toi !" Le lauréat, qui a meilleur caractère que le vice-chancelier Liddell, ou qui veut se faire une réputation de bon enfant, rit comme les autres. La séance se termine au milieu d'un tohu-bohu indescriptible, sans que le silence ait été un seul instant obtenu. Les gentlemen qui passent leur temps de cette façon joyeuse, forment l'élite de la jeunesse anglaise. Ils deviendront législateurs par droit de naissance ou ministres de l'Evangile par la primauté scientifique. Ils doivent recruter les plus hautes professions, qui sont appelées libérales et d'où dépend la conduite de la société anglaise. Ils sont les spécimens de la meilleure éducation que cette île puisse donner à ses enfants. Que le lecteur en tire la conclusion qu'il lui plaira. LES DIMANCHES D'UN PARISIEN De Châtillon à Verrières De l'emplacement du futur fort de Châtillon nous avions remarqué à courte distance, au sud, plusieurs hauteurs boisées d'une altitude égale à celle du plateau où nous nous trouvions, et puisque d'après les termes du rapport de la commission de défense, divers ouvrages intermédiaires doivent être élevés entre les forts dont les noms figurent au tableau officiel, nous avons recherché les positions vraisemblables de batteries permanentes destinées à seconder l'action du plateau de Châtillon. C'est sur un piton placé à quelque distance de la lisière du bois, entre Verrières et Amblayvilliers, que nous croyons pouvoir, en toute sécurité, envoyer ceux de nos lecteurs qui s'intéressent aux travaux de grande fortification parisienne. Toutefois, puisque dans cette riante partie des environs de Paris les moyens de communication font presque totalement défaut, nous allons indiquer l'itinéraire que nous avons suivi pour nous rendre de Châtillon à Verrières. En quittant l'emplacement du fort, deux routes s'offrent au promeneur : l'une, la route de Chevreuse, conduit directement au Petit-Bicêtre, traversant toute la partie
Francis sont ds jeunes gens 'Oxford qui nen lecture de leurs pièces, latines ou ,lasagsein couronnées par le jury d'examen. Aucun d'eux n'obtient un moment de silence. On dne ces mots d les vers d' des lauréats : "satis cecini Aussitôt on lui crie de toutes parts : "Oui ! oui ! tais-toi !" Le lauréat, i a meilleur caractère que le vice-chancelier Liddell, qui veut se faire uen répttn de bon enfant, tir comme les trs. La éescna se termine au ml d'un tohubohu indescriptible, sans que le silence ait été un seul instant obtenu. Lse gentlemen qui passent leur te de cette façon jys, frmnt l'élt de la jeunesse anglaise. Ils deviendront lgilateus par droit de naissance ou ministres de l'Evangile pr la primauté scientifique. Ils doivent recruter les plus hautes professions, qui snt pplés libérales et 'oùd dépnd al conduite de la société anglaise. Ils sont les mneécsips d la meilleure écato q cette île puisse donner à ses enfants. Que le lecteur en tire la ci qu'il lui plaira. LES DIMANCHES D'UN PARISIEN D Châtillon à Verrières De lemplacement du futur fort de Châtillon nous vns rérmeuqa à courte dti,esnac au sud, plsrs hauteurs essibéo d'une altitude égl à celle u plateau où nous nous trouvions, et puisque d'après les termes du rapport de la commission de défense, dvers uvas intermédiaires int être élevés entre ls forts dont les noms figurent au tableau ffcl, nous avons recherché ls positions lsabiesvmbarle d bttrs permanentes destinées à seconder l'action du plateau de Châtillon Cest sur un piton plcé à le distance de la lisière du bois, t Verrières et mblyvllrs, qe nous croyons pouvoir, en oute sécurité, envoyer ceux de nos lecteurs qui s'ntérssnt u travaux de grande fortification parisienne. Toutefois, puisque dans cette rite prt des nvrns de Paris les moyens de communication font presque totalement défaut, nous lsnola uqirdnei l'itinéraire que nous avons suivi pour nous rendre de Châtillon à Verrières. En quittant lemplacement du fort, deux routes s'offrent promeneur : 'une, la route de Chevreuse, conduit directement au Ptt-Bcêtr, traversant toute la partie
d'une altitude égale à celle du plateau où nous nous trouvions, et puisque d'après les termes du rapport de la commission de défense, divers ouvrages intermédiaires doivent être élevés entre les forts dont les noms figurent au tableau officiel, nous avons recherché les positions vraisemblables de batteries permanentes destinées à seconder l'action du plateau de Châtillon. C'est sur un piton placé à quelque distance de la lisière du bois, entre Verrières et Amblayvilliers, que nous croyons pouvoir, en toute sécurité, envoyer ceux de nos lecteurs qui s'intéressent aux travaux de grande fortification parisienne. Toutefois, puisque dans cette riante partie des environs de Paris les moyens de communication font presque totalement défaut, nous allons indiquer l'itinéraire que nous avons suivi pour nous rendre de Châtillon à Verrières. En quittant l'emplacement du fort, deux routes s'offrent au promeneur : l'une, la route de Chevreuse, conduit directement au Petit-Bicêtre, traversant toute la partie du plateau où les bataillons fédérés se heurtèrent aux troupes du gouvernement dans la journée du 21 avril 1871. A droite, dans l'angle rentrant formé par le bois de Meudon auprès de Villennes, nous laissons la ferme de la dame Rose, qui marque assez exactement le point du bois d'où débouchèrent les troupes françaises pour surprendre et disperser, entre Vélizy et Villacoublay, l'avant-garde fédérée. Ça et là, quelques tumuli indiquent les sépultures élevées, par ordre du gouvernement, sur les corps des hommes tués dans ces combats. On montre une de ces tombes comme étant celle de cet ouvrier fondeur, Duval, qui s'était de son autorité privée créé chef de secteur et général en chef pour le compte de la Commune. Mais à partir de ce point il faudrait nous engager dans le bois de Verrières un peu à l'aventure ; aussi reculons-nous jusqu'au terrain militaire pour descendre, à droite du fort, une sente ravinée, sablonneuse et ombragée, qui nous conduit, sans risque d'erreur, au pied de l'éperon de Châtillon. On nous assure que ce sentier et les abris qu'il renferme ont été fort utilisés par les Prussiens pendant le bombardement de Paris, pour communiquer sans danger des batteries de Châtillon
d'une altitude égale à cll du plateau où nous nous trouvions, et puisque 'aè le termes du rapport de l commission de défense, divers ouvrages intermédiaires doivent être élevés nt les forts dont les noms figurent au tableau officiel, nous avons recherché les pstns vraisemblables de batteries permanentes destinées à seconder l'action du plateau de Châtillon. C'est sur un piton placé à quelque distance de la lsèr d bois, entre Verrières et Amblayvilliers, que nous croyons pouvoir, en toute sécurité, envoyer ceux de nos lecteurs qui s'intéressent aux travaux de grande fortification parisienne. Toutefois, puisque dans cette riante partie des environs de Paris les moyens de communication font presque ttlmnt défaut, nous allons indiquer l'itinéraire que nous aovsn sv pour nous rendre de Châtillon à Verrières. En quittant l'emplacement du fort, deux routes s'offrent au promeneur : l'une, la route de Chevreuse, oitdnuc directement au Petit-Bicêtre, traversant toute la partie du plateau où les bataillons fédérés se heurtèrent aux troupes du gouvernement dans la journée du 21 vrl 1871. A droite, dans l'angle rentrant formé par le bois d Meudon auprès de Villennes, laissons la ferme d l dame Rose, qui marque sse xctmnt le point du bois doù débouchèrent les espturo françaises pour surprendre disperser, entre Vélizy et Villacoublay, l'avant-garde fédérée. Ça et là, quelques tumuli indiquent ls sépltrs élevées, par ordre du gouvernement, sur les crps des hommes tués dans ces combats. On montre une de ces tombes comme étant celle de cet ouvrier fondr, Duval, qui s'était de son trté privée créé chef de secteur général en chef pour e compte de la Commune. Mais à prtr de ce point l faudrait nous engager dans le bois de Verrières un peu à l'aventure ; aussi reculons-nous jusqu'au terrain militaire pour descendre, à roe du fort, un sente raié ubssenoeanl t ombragée, qui nous conduit sans uqresi d'erreur, au pied de l'éperon de Châtillon. On nous assure q ce sntr et les abris qu'il renferme ont été fort utilisés par les Prussiens pendant le bombardement de Paris, orup cmmnqr sans danger des batteries de Châtillon
débouchèrent les troupes françaises pour surprendre et disperser, entre Vélizy et Villacoublay, l'avant-garde fédérée. Ça et là, quelques tumuli indiquent les sépultures élevées, par ordre du gouvernement, sur les corps des hommes tués dans ces combats. On montre une de ces tombes comme étant celle de cet ouvrier fondeur, Duval, qui s'était de son autorité privée créé chef de secteur et général en chef pour le compte de la Commune. Mais à partir de ce point il faudrait nous engager dans le bois de Verrières un peu à l'aventure ; aussi reculons-nous jusqu'au terrain militaire pour descendre, à droite du fort, une sente ravinée, sablonneuse et ombragée, qui nous conduit, sans risque d'erreur, au pied de l'éperon de Châtillon. On nous assure que ce sentier et les abris qu'il renferme ont été fort utilisés par les Prussiens pendant le bombardement de Paris, pour communiquer sans danger des batteries de Châtillon aux batteries de Fontenay et de Bagneux. Par un petit chemin, à droite, nous gagnons, à travers d'immensés champs de fraises, la route de Sceaux à Plessis-Piquet, et nous entrons dans ce village en remontant la grande rue. Le Plessis-Piquet a beaucoup souffert de la guerre et de la Commune, et les marques de la dévastation causée par les envahisseurs sont empreintes sur un grand nombre d'habitations. Les grandes propriétés sont désertes et en partie abandonnées. Les longs murs éventrés ou crénelés montrent encore leurs blessures ; les fenêtres, dont les Allemands ont arraché les boiseries pour sécher leurs bottes, ont toujours leurs ouvertures béantes; bien des portes manquent aux maisons ; bien des toitures, effondrées par les obus de la Commune, livrent passage aux tourments atmosphériques. Aussi est-ce avec une profonde impression de tristesse que nous parcourons les rues quasi désertes de ce village autrefois l'un des plus animés du canton de Sceaux. Presqu'aux deux tiers de la grande rue, un spectacle d'un genre tout particulier attire nos regards et fait une heureuse diversion à nos tristes pensées. Quatre hommes armés de grandes lignes pêchent dans une sorte de cuvette bitumée dont la superficie n'excède pas trente mètres et
débouchèrent les troupes françaises pour surprendre et ispes, entre Vélizy et Villacoublay l'avant-garde fédérée. Ça et là, quelques tumuli indiquent les sépultures élevées, par ordre du gouvernement, sur les corps es hmms tués dans ces combats. On e une de ces tmbs comme étant celle de cet ouvrier fondeur, Duval, qui s'était de sn autorité privée créé chef de secteur et générl en chef pour le cmpt ed la Commune. Mais à rir de ce point il faudrait nous engager dans le bois de Verrières un peu à l'aventure ; aussi reculons-nous jusqu'au terrain militaire pour descendre, à droite du fort, une sene ravinée, asnnlosbuee et ombragée, qui nous conduit, sans rsq d'erreur, ua pied de l'éperon de Châtillon. On nous ssr que ce sentier e les abris qu'il renferme ont été fort utilisés par e rs pendant le bombardement Paris, pour communiquer sans danger des batteries de Châtillon aux batteries de neFntoay et de Bgnx. Par un petit chemin, à droite, nous gagnons, à travers eénmims'ds champs ed fraises, la route e Sceaux à Plessis-Piquet, et nous entrons dans ce village en remontant la grande rue. Le Plessis-Piquet a beaucoup souffert de la guerre et de la Commune, et les marques de la dévastation causée par les envahisseurs sont emeints sur un grand nombre d'habitations. Les grandes propriétés sont désertes et en partie abandonnées. Les longs murs éventrés ou crénelés montrent encore leurs blessures ; les fenêtres, dn les Allemands ont arraché esl boiseries pour séchr leurs btts, ont toujours leurs ouvertures béantes; bien des pt manquent aux msns ; bien des toitures, effondrées par les obus de la Commune, ivret psae uxa tourments atmosphériques. Aussi ecs-et avec une profonde impression de tristesse que nous parcourons les es quasi désertes de ce village autrefois l'un des plus animés du canton de Sceaux. Presqu'aux deux tiers de la grande rue un elecspact dun genre tout particulier attire nos regards et fait une heureuse diversion à nos tristes pensées. Quatre hm armés de grnds lignes pêchent d une sorte de cuvette bitumée dont la superficie n'excède pas trente mètres et
et les marques de la dévastation causée par les envahisseurs sont empreintes sur un grand nombre d'habitations. Les grandes propriétés sont désertes et en partie abandonnées. Les longs murs éventrés ou crénelés montrent encore leurs blessures ; les fenêtres, dont les Allemands ont arraché les boiseries pour sécher leurs bottes, ont toujours leurs ouvertures béantes; bien des portes manquent aux maisons ; bien des toitures, effondrées par les obus de la Commune, livrent passage aux tourments atmosphériques. Aussi est-ce avec une profonde impression de tristesse que nous parcourons les rues quasi désertes de ce village autrefois l'un des plus animés du canton de Sceaux. Presqu'aux deux tiers de la grande rue, un spectacle d'un genre tout particulier attire nos regards et fait une heureuse diversion à nos tristes pensées. Quatre hommes armés de grandes lignes pêchent dans une sorte de cuvette bitumée dont la superficie n'excède pas trente mètres et qui retient captive et dormante une eau verte, d'aspect peu réjouissant, augmentée, lorsqu'il pleut, du tribut des ruisseaux ; c'est moins qu'une mare, à peine plus qu'un aquarium de petit rentier. Pourtant, devant nous, à notre grand étonnement, l'un des pécheurs tire sa ligne d'un coup sec et un poisson ! vivant ! se débat dans l'air, à l'extrémité du fil perfide. Du poisson vivant dans une mare à 150 mètres d'altitude, voilà qui étonnerait bien des gens. Au-dessus de la mare, en tournant à gauche, nous suivons un grand mur, et bientôt se dresse devant nous, à l'extrémité d'une plaine, une tour ronde : le moulin de Plessis. Pour gagner ce bord du plateau, au moins égal en hauteur et en importance à l'éperon de Châtillon, il nous faut encore traverser des champs de fraises d'une grande étendue et côtoyer des abris de chaume dressés dans les cultures. Déjà, dans la vallée du Plessis, notre curiosité avait été mise en éveil par ces chaumières basses et étroites. — Est-ce que c'est pour garder vos récoltes pendant la nuit ? demandons-nous à une cueilleuse. — Non, monsieur, quoiqu'y en aurait bien besoin. C'est seulement pour que, pendant la cueille, les
et les marques de la nvatsiédota causée par les envahisseurs sont empreintes sur n grand mnorbe d'habitations. Les grandes propriétés sont désertes et en partie abandonnées. Les longs murs évntrés ou crénelés montrent encore leurs blessures ; les fenêtres, dont les Allemands ont arraché ls boiseries pour sécher leurs bottes, ont toujours leurs ouver sténae;b des portes manquent aux maisons be des toitures, effondrées par s obus de la Commune, livrent passage aux tourments atmosphériques. Aussi est-ce avec une profonde impression de tristesse q nous prcouron lse rues quasi désertes d ce village autrefois l'un des plus animés du canton de Scx. Presqu'aux deux tiers de la grande rue, un spectacle d'un genre tout prtclr attire nos regards et fait une heureuse ieson à nos tristes pensées. Quatre hommes armés de grandes lignes pêchent dns une sorte de cuvette biuée dnt la sefic n'xcèd asp trente mètres et qui rti cptv et dormante ue eau treev, dc peu réjouissant, augmentée, lorsqu'il pleut, du tribut des ruisseaux ; c'est moins qu'une mare, à peine plus q'n aquarium de petit rentier. Pourtant, evant nous, à notre grand étonnement, l'un des pécheurs tire sa ligne 'un coup sec et un poisson ! vivant ! se débat dans 'air, à l'extrémité du fil perfide. Du poisson vainvt dans une mr à 150 mètres d'altitude, voilà qui étonnerait bien des gens. Au-dessus d l mare, en tournant à ,caguhe nous suivons un r mur, et bientôt se dresse dvant nous, à l'extrémité d'n plaine, une tour ronde : le mln de Plessis. Pour gagner ce bord du plateau, au égal en hauteur et en importance à léperon de Châtillon, il nous faut encore traverser des champs de aiss d'une grande étendue et côtoyer des abris d ahuemc dressés dans les uurcsetl. Déjà, dans la vallée du Plessis, notre curiosité avait été mise en éveil par ces hi basses et étroites. — Est-ce que c'est opur garder vos récoltes pn la nuit ? demandons-nous à une cueilleuse. — Non, monsieur quoiqu'y en aurait n besoin. C'est slement por que, pendant la cueille, les
! vivant ! se débat dans l'air, à l'extrémité du fil perfide. Du poisson vivant dans une mare à 150 mètres d'altitude, voilà qui étonnerait bien des gens. Au-dessus de la mare, en tournant à gauche, nous suivons un grand mur, et bientôt se dresse devant nous, à l'extrémité d'une plaine, une tour ronde : le moulin de Plessis. Pour gagner ce bord du plateau, au moins égal en hauteur et en importance à l'éperon de Châtillon, il nous faut encore traverser des champs de fraises d'une grande étendue et côtoyer des abris de chaume dressés dans les cultures. Déjà, dans la vallée du Plessis, notre curiosité avait été mise en éveil par ces chaumières basses et étroites. — Est-ce que c'est pour garder vos récoltes pendant la nuit ? demandons-nous à une cueilleuse. — Non, monsieur, quoiqu'y en aurait bien besoin. C'est seulement pour que, pendant la cueille, les fruits ne reçoivent ni la pluie ni le soleil. Que de précautions pour arriver à livrer au Parisien les fruits frais et parfumés. À la gauche de la tour, nous descendons la butte Ferrand, tout sable; puis, évitant Aulnay et Malabry, nous abordons la lisière du bois de Verrières, que nous suivons, par la route dite « le Cordon », jusqu'en face du piton dont nous avons parlé au début de cet article. Le rôle principal d'une batterie de position établie en cet endroit ou sur le cordon de Verrières lui-même, consisterait à défendre les approches du bois et à intercepter toute communication sur la route de Choisy-le-Roi à Versailles par la Croix-de-Bernay et Villacoublay. On sait que pendant le siège de Paris cette route était l'artère principale de l'investissement. Pour trouver un équivalent stratégique, l'envahisseur serait obligé d'emprunter les routes de Corbeil à Montlhéry, c'est-à-dire de faire circuler à 17 kilomètres au sud ses convois de ravitaillement. Bientôt, par le village de Verrières et celui de Chatenay, nous regagnons Sceaux en suivant une partie du mur de l'ancien parc de la duchesse du Maine. Là aussi la guerre a laissé de son passage des traces non encore réparées. En
vivant ! se débat dans l'air, à 'extrémité du fil perfide. Du poisson vivant dans une ma à 150 mètres d,ltia'udet voilà qui étonnerait bien des gens. Auessu de la mare, en tournant à gace, nous suivons un grand mur, et bientôt se dresse devant nous, à l'extrémité d'une plaine, une tour ronde : le un e Plessis. Pour gagner ce bord du pltau moins égal en hauteur et en impta à l'éperon de Châtillon, l nous faut encore trvr des champs de fraises d'n rde étnd et côtoyer des abris de chaume dressés dans e culus. Déjà, dans la vallée du Plsss, notre curiosité avait été mise n éveil par ces chaumières basses et étroites. — Est-ce que c'st pou grder vos réclts pendant la nuit ? demandons-nous à une cueilleuse. — Non, monsieur, quoiqu'y en aurait bien ies.bno C'est seulement pr q, pendant la cueille, sle fruits ne reçoivent ni la pluie ni le soleil. Que de précautions pour arriver à lvrer au Parisien les frs frais et parfumés. À la gauche ed la tour, nous descendons l butte erd, tout sable; puis, évitant Aulnay et Malabry, nus abordons la lisière du bois de Verrières, que ns niu,sosv par la route dite « le Cordon », jusquen face du piton ndto nous avons parlé au début de cet tie Le rôle principal d'une batterie de pstn établie ne ct endroit sur le cordon de Verrières lui-même, consisterait à défendre les approches du bois à intercepter toute cmncatn sur la route de Choisy-le-Roi à Versailles par la Croix-de-Bernay et Villacoublay. On sait qeu pendant le siège de Prs cette route était 'artère ncipl de l'investissement. Pr trouver un équivalent stratégique, l'envahisseur serait blgé d'mprntr les routes d Corbeil à Montlhéry, c'est-à-dire de faire circuler à 17 kilomètres au sud ses convois de rvtllmnt. Bientôt, par le village de Verrières et celui de Chatenay, nous regagnons Sceaux en suivant une partie du mur de l'ancien parc de la duchesse du Maine. Là aussi la guerre a laissé de son passage des traces nn encore réparées. En
nous suivons, par la route dite « le Cordon », jusqu'en face du piton dont nous avons parlé au début de cet article. Le rôle principal d'une batterie de position établie en cet endroit ou sur le cordon de Verrières lui-même, consisterait à défendre les approches du bois et à intercepter toute communication sur la route de Choisy-le-Roi à Versailles par la Croix-de-Bernay et Villacoublay. On sait que pendant le siège de Paris cette route était l'artère principale de l'investissement. Pour trouver un équivalent stratégique, l'envahisseur serait obligé d'emprunter les routes de Corbeil à Montlhéry, c'est-à-dire de faire circuler à 17 kilomètres au sud ses convois de ravitaillement. Bientôt, par le village de Verrières et celui de Chatenay, nous regagnons Sceaux en suivant une partie du mur de l'ancien parc de la duchesse du Maine. Là aussi la guerre a laissé de son passage des traces non encore réparées. En sortant de la rue de Chatenay, nous voyons une fontaine en pierre représentant un dauphin dont la queue serpente autour d'un trident. Ce petit monument, d'un assez bon style Louis XIV, mériterait mieux qu'une encoignure de la place de la Liberté. C'est ce nom que les radicaux de 1793 avaient infligé à la place où nous nous trouvons, et l'on peut encore lire cette singulière dénomination à droite de la façade de l'église paroissiale érigée au dix-septième siècle sous l'invocation de saint Mammès. OBSÉQUES DE JULES JANIN Ce matin, à onze heures précises, ont eu lieu, en l'église de Notre-Dame-de-Grâce de Passy, les obsèques de M. Jules Janin, membre de l'Académie française. Dès hier au soir, on avait procédé, en présence de M. Huet, oncle de M. Jules Janin, et de quelques intimes, à la triste opération de la mise en bière du corps du défunt. Les lettres de faire part étaient au nom de sa veuve, de M. Sébastien Janin, son frère et de M. Huet, avoué, son oncle. Tout ce que Paris et la France renferment de notabilités s'était donné rendez-vous autour du cercueil de cet esprit charmant et de cet homme de bien. Mme Janin, accablée de
nous suivons, pr la route dite le Cordon », jusqu'en face du piton dont nous avons parlé au début de cet article. Le rôle principal d'une batterie de position établie ne cet endroit sur le cordon de Verrières -ium,elêm consisterait à défendre les approches du bois et à ntrcptr toute communication sur l route de Choisy-le-Roi à Versailles par la Croix-de-Bernay t Villacoublay. On sait que pendant le siège de Prs te roe était l'rtèr principale de l'investissement. Pr trouver un équivalent stratégique, l'envahisseur srt obligé d'emprunter les rts de oril à Montlhéry, c'est-à-dire de faire circuler 17 kilomètres au sud ses convois de ravitaillement. Bientôt, par le village de Verrières et celui de Chtny, nous regagnons Sceaux n nuavtis une artie du mur de l'ancien prc de la duchesse du Maine. Là ss la guerre a laissé de s passage des trcase non encore réparées. En sortant de la rue de Chatenay, nous voyons une fontaine en pierre représentant un daup dont la queue serpente tr d'un trident. Ce petit monument, d'n assez bn style Louis XIV, tmtiirréae mieux qu'une encoignure de la place de la Liberté. C'est ce nom que sel rdcx de 1793 avaient infligé à la place où nous ns trouvons, et l'on peut ncr lire cette singulière dénomination à droite de la façade d ell'iégs paroissiale érigée u dix-septième siècle sous l'nvctn de saint Mams. OBSÉQUES DE JULES JANIN Ce matin, à onze heures pces,ésri ont eu l, en l'église de Notre-Dame-de-Grâce de Passy, les sqbsoèeu de M. Jls Janin, membre de l'Académie française. Dès hier au soir, on avait procédé, n présence de M. Huet, oncle d M. Jules Janin, et de quelques mieti,sn à la triste opération d la ms en bière du corps du défunt. Les lettres de faire t étaient au nom de sa veuve, de M. Sébastien Janin, son frère et de M. Huet avoué, son oncle. Tout ce que Paris et la France renferment de ntbltés s'était donné rendez-vous autour du cercueil de cet esprit charmant et de cet homme de bien. e Janin, ccblé de
infligé à la place où nous nous trouvons, et l'on peut encore lire cette singulière dénomination à droite de la façade de l'église paroissiale érigée au dix-septième siècle sous l'invocation de saint Mammès. OBSÉQUES DE JULES JANIN Ce matin, à onze heures précises, ont eu lieu, en l'église de Notre-Dame-de-Grâce de Passy, les obsèques de M. Jules Janin, membre de l'Académie française. Dès hier au soir, on avait procédé, en présence de M. Huet, oncle de M. Jules Janin, et de quelques intimes, à la triste opération de la mise en bière du corps du défunt. Les lettres de faire part étaient au nom de sa veuve, de M. Sébastien Janin, son frère et de M. Huet, avoué, son oncle. Tout ce que Paris et la France renferment de notabilités s'était donné rendez-vous autour du cercueil de cet esprit charmant et de cet homme de bien. Mme Janin, accablée de douleur et les yeux gros de larmes, se tenait dans la salle voisine de la chambre où est mort son mari. Elle a reçu depuis deux jours près de cinq cents lettres de condoléance, signées de noms connus; M. Guizot lui a écrit du Val-Richer pour lui faire savoir la part qu'il prend à son malheur et le regret qu'il a de ne pouvoir assister aux funérailles, attendu le mauvais état de sa santé ; les princes d'Orléans, présents à Paris, sont venus en personne visiter l'épouse si cruellement frappée. À dix heures et quart ont commencé à arriver à la maison mortuaire, située rue de la Pompe, n° 11, nombre de personnes appartenant aux diverses académies et au monde des lettres, des arts, de la presse et du théâtre, où M. Jules Janin comptait un si grand nombre d'amis, et elles ont déposé leur carte à l'adresse de Mme Jules Janin, après avoir jeté de l'eau bénite sur le cercueil du défunt, qui était exposé à l'entrée du parc dans une véritable chapelle ardente. La levée du corps a eu lieu à onze heures un quart et le convoi s'est mis en marche dans l'ordre suivant: Un piquet du
infligé à l place où nous nous trouvons, l'on peut encore lire cette singulière dénomination à droite de la façade de l'église osie érigée au dix-septième siècle ss l'invocation de saint Mammès. OBSÉQUE DE JULES JANIN Ce matin, à onze uhrsee pée, ont eu lieu, n léglise de Notre-Dame-de-Grâce de ya,sPs les obsèques de M. Jules Janin, membre e edmAca'léi frnçs. Dès hier au soir, on avait procédé, en présence de M. Huet, oncle de M. Jules Janin, t de eqs intimes, à la triste oéptanior de la mise en bèr u corps du défn Les lettres de faire prt étaient au nom de sa veuve, de M. Sébastien Jnn, sn frère et d M. Huet, avoué, son oncle. u ce que Paris et la acenFr renferment de notabilités s'étt donné rendez-vous autour du cercueil de cet esprit chrmnt et de ct homme de bien. eMm n accablée de douleur et ls yeux gros de larmes, se tenait dns la le voisine de la chambre où est mort sno mari. Elle reçu dps deux jors près de cinq cents lettres de cndlénc, signées de noms connus M. Guizot lui écrit du ValRicher pour l faire savoir l part q'l prend à n malheur et l egrtre qu'il a de ne pouvoir assister a funérailles, attendu le mvs état de sa aétsn ; les princes d'Orléans, présents à Paris, sont venus en personne vsie lépouse si cruellement frappée. À ix hrs e quart ont commencé à arriver à la maison mortuaire, située r de la Pompe, n° 11 nombre d personnes appartenant aux diverses académies et au monde des lettres, arts, de l esserp et du théâtre, où M. Jules Janin comptait un si grand nombre 'amis, et elles ont déposé leur carte à l'adresse de Mme Jules Janin après aoi jeté de 'eau bénite u le cercueil du ftund,é était exposé à l'entrée du parc dans neu vértbl chapelle ardente. La levée du corps a eu lieu à oezn heures un quart te le convoi s'st mis en marche dans lordre suivant: Un piet du
part qu'il prend à son malheur et le regret qu'il a de ne pouvoir assister aux funérailles, attendu le mauvais état de sa santé ; les princes d'Orléans, présents à Paris, sont venus en personne visiter l'épouse si cruellement frappée. À dix heures et quart ont commencé à arriver à la maison mortuaire, située rue de la Pompe, n° 11, nombre de personnes appartenant aux diverses académies et au monde des lettres, des arts, de la presse et du théâtre, où M. Jules Janin comptait un si grand nombre d'amis, et elles ont déposé leur carte à l'adresse de Mme Jules Janin, après avoir jeté de l'eau bénite sur le cercueil du défunt, qui était exposé à l'entrée du parc dans une véritable chapelle ardente. La levée du corps a eu lieu à onze heures un quart et le convoi s'est mis en marche dans l'ordre suivant: Un piquet du 16e d'infanterie, tambour en tête ; la voiture du clergé ; le char funèbre, sur lequel était placé le cercueil recouvert d'un drap mortuaire à franges d'argent, lequel disparaissait entièrement sous un amas de bouquets et de couronnes de fleurs naturelles ; venaient ensuite les personnes au service de M. Jules Janin ; M. Huet, conduisant le deuil, M. Alexandre Piedagnel, secrétaire de M. Jules Janin; les membres de l'Institut et les invités; six voitures de deuil et trente voitures de maître. Nous avons remarqué MM. Mignet, le duc de Noailles, de Laprade, Claude Bernard, le comte d'Haussonville, Duvergier de Hauranne, Rousset, Legouvé, Saint-René Taillandier, Silvestre de Sacy, comte de Paris, Chaix d'Est-Ange, Bachelier, conseiller à la cour d'appel, Laurent Pichat, Hébert père, Bonnehée, Gonzalès, Willaumé, Etienne Arago, Amédée Bocher, Philibert Audebrand, Noël Parfait, Bartholdi, Maurice Meilhac, Noriac, baron Larrey, Emile Perrin, Mario Uchard, Thouvenel, Jeanneron, Henri Houssaye, Michel Lévy, Firmin Didot, Rosambeau, de Lescure, Théophile Gautier, Marie Escudier, docteur Blanche, Emile Pereire, comte de Castellane, et plusieurs officiers en tenue. Des généraux, des députés, des artistes, des hommes du monde en si grand nombre, qu'il faudrait consacrer cent lignes au moins à les énumérer. Dans l'église avaient pris place
a qu'il prend à son malheur et le regret qu'il a de ne pouvoir assister aux funérailles, attendu le mauvais t de sa santé ; les princes d'Orléans, présnts à Paris, sont venus n personne visiter l'épouse i cruellement frappée. À dix heures et quart nt cecomnmé à arriver à la maison mortuaire, etiéus rue de la Pompe n° 11, nombre d personnes appartenant aux diverses académies et au monde des lettres, des rts, de la presse et du théâtre, où M. Jules Janin comptait un si grand nombre d'amis, et e ont déposé leur carte à l'adresse de Mme es Janin, r avoir de a'leu bénite sr le cercueil u défunt, qui était exposé à l'entrée du parc dans une véritable chapelle ardente. La levée du corps a eu lieu à onze heures un quart et le convoi s'est s en marche dans l'ordre suivant: Un piquet du 16e 'infanterie, tmbr en tête ; la uvreoit du clergé ; le char funèbre, sur lequel était placé le cercueil recouvert d'un drap mortuaire à franges d'argent, lql disparaissait entièrement sous un amas de bouquets et de couronnes de fer naturelles ; venaient esuit les personnes au service de M. euJsl nn ; M. Huet, conduisant le deilu, M. Alexandre Piedagnel, secrétaire de M. Jeusl Janin; les mmbrs de l'Institut et les invités; isx voitures de deuil et trente voitures de m Ns avons remarqué MM. Mignet, le duc de Noailles, de Laprade, Claude Brnrd, le comte d'Haussonville, Duvergier de Hauranne, Rousset, Legouvé Saint-René Tllndr, Silvestre de Sacy, comte de Paris, Chaix 'Et-nge Bchlr, relocleisn à l cour 'el Laurent Pichat, Hébert père, Bnnhé, Gonzalès, Willaumé, Etienne rago, Amédée Bocher, Philibert Audebrand, Noël Pari Brthld, Maurice Meilhac, Noriac, baron Larrey, ml Perrin, Mario Uchard, hol Jeanneron, Henri Houssaye, Michel Lévy, Firmin Didot, Rosambeau, de Lescure, Théophile Gautier, Me Escudier, docteur Blanche, Emile Pereire comte de Castellane, et plusieurs officiers en .nteue Des généraux, des députés, des artistes, des hommes du monde en si grand nombre, qu'il aa consacrer cent lignes au moins à les énumérer. Dans léglise avaient prs place
Jules Janin ; M. Huet, conduisant le deuil, M. Alexandre Piedagnel, secrétaire de M. Jules Janin; les membres de l'Institut et les invités; six voitures de deuil et trente voitures de maître. Nous avons remarqué MM. Mignet, le duc de Noailles, de Laprade, Claude Bernard, le comte d'Haussonville, Duvergier de Hauranne, Rousset, Legouvé, Saint-René Taillandier, Silvestre de Sacy, comte de Paris, Chaix d'Est-Ange, Bachelier, conseiller à la cour d'appel, Laurent Pichat, Hébert père, Bonnehée, Gonzalès, Willaumé, Etienne Arago, Amédée Bocher, Philibert Audebrand, Noël Parfait, Bartholdi, Maurice Meilhac, Noriac, baron Larrey, Emile Perrin, Mario Uchard, Thouvenel, Jeanneron, Henri Houssaye, Michel Lévy, Firmin Didot, Rosambeau, de Lescure, Théophile Gautier, Marie Escudier, docteur Blanche, Emile Pereire, comte de Castellane, et plusieurs officiers en tenue. Des généraux, des députés, des artistes, des hommes du monde en si grand nombre, qu'il faudrait consacrer cent lignes au moins à les énumérer. Dans l'église avaient pris place avant l'arrivée du convoi : Mme Garre, sœur de Mme Delphine de Girardin, la marquise de Vernon et sa fille, Mmes Sophie Delaborde, Rousseil, de Calon, la comtesse de Patocka, Arnould Plessy, les deux sœurs de Rachel, Dinah et Lia Félix. Les cordons du poêle étaient tenus par MM. l'amiral Darricau, en grande tenue, ami d'enfance du défunt ; Cuvillier-Fleury et Alexandre Dumas, de l'Académie, et Alexandre, président de chambre à la cour d'appel. Derrière le char et en première ligne venaient le frère du défunt et son pauvre domestique, le fidèle Joseph, qui pleurait à chaudes larmes, suivaient : MM. Cuvillier-Fleury, Patin et de Loménie, en habits d'académiciens; MM. V. Hugo, J. Sandeau, C. Doucet, Caro, Sainte-Claire Deville, Augier, Dumas, Guillaume, et une foule d'autres académiciens ou membres de l'Institut. E. de Girardin, Detroyat, de Cassagnac, Henry de Pène, Pierre Véron, Th. de Banville, Nadar, de Villemessant, Nadaud, Monselet, A. Second, A. Houssaye, Champfleury, la critique théâtrale au grand complet ; P. de Saint-Victor, F. Savary, de La Pommeraye, de Biéville, Herzstein, etc.; les docteurs Ricord, Trousseau, Tardieu et Demarquay. À onze heures quarante minutes on entrait à l'église, qui était entièrement tendue de noir, et l'on a déposé
Jules Janin ; M. Huet, conduisant le deuil, M. Alexandre Piedagnel, secrétaire de M. Jules Janin; les mbes ed l'Institut et les invités; six voitures de d et trente voitures de mr Nous avons remarqué MM. Mignet, le duc de Noailles, Lapde, Claude Bernard, l comte dHaussonville Duvergier de Hauranne, Rousset, Legouvé, SaintRené Taillandier, Silvestre de Sacy, comte d Paris, Chaix d'st-ng, Bachelier, conseiller à la cour d'appel, Lrnt Pcht, Hébert père, Bonnehée, Gonzalès, Willaumé, Etienne r Amédée Bocher, Phlbrt Auand Noël art, Bartholdi, Maurice Meilhac, Noriac, bon Larrey Emile Perrin Mario Uchard, Thouvenel, ,rneeoanJn Henri Houssaye, Michel Lévy, Firmin Didot, Rosambeau, de Lescure, Théophile Gautier, Marie Escudier, docteur B,enhlac ml Pereire, comte de Castellane, et plusieurs officiers en tenue. Des généraux, ds députés, des artistes, des hommes d monde en si grand nombre, quil fadrat consacrer cnt lignes au moins à les énumérer. Dans léglise avaient pris place avant l'arrivée du convoi : Mme Garre, sœur de Mme Delphine de Girardin, la marquise de Vernon et sa fille, Mms Sophie Delaborde, Rousseil, de Calon la comtesse d Patocka, nduAolr Plessy, les sœurs de e, Dnh et Lia Félix Les cordons du poêle étaient tenus par . l'amiral Darricau, en grande tenue, ami d'enfance du défunt ; Cvllr-Flry et Alexandre Dumas, de 'Académie, et lxndr, président de chambre à la cour d'appel. Derrière le char et en première ligne venaient le frère du défunt et son pauvre domestique, le fidèle Joseph, qui pleurait à chaudes larmes, suivaient : MM. Cuvillier-Fleury, Patin et de Loménie, en habits d'académiciens; MM. V. Hugo, J. Sandeau, C. Doucet, Cr, Sainte-Claire Deville, Augier, Dumas, Guillaume, t une foule 'autres académiciens o membres de l'Institut. E. de Girardin, Detroyat, de Cassagnac, Henry de Pr Véron, Th. e Banville, Nadar, ed Villemessant, Nadaud Monselet, A Second, A. Houssaye, prumeay,fhCl la critique théâtrale au grand complet ; P. ed Saint-Victor, F. Savary, La Pommeraye, de Bi Herzstein, etc.; les dcturs Ricord, Trousseau, Tardieu et Dmrqy. À onze heures quarante minutes on taterin à l'église, qui était entièrement tendue de noir, et l'on déposé
Darricau, en grande tenue, ami d'enfance du défunt ; Cuvillier-Fleury et Alexandre Dumas, de l'Académie, et Alexandre, président de chambre à la cour d'appel. Derrière le char et en première ligne venaient le frère du défunt et son pauvre domestique, le fidèle Joseph, qui pleurait à chaudes larmes, suivaient : MM. Cuvillier-Fleury, Patin et de Loménie, en habits d'académiciens; MM. V. Hugo, J. Sandeau, C. Doucet, Caro, Sainte-Claire Deville, Augier, Dumas, Guillaume, et une foule d'autres académiciens ou membres de l'Institut. E. de Girardin, Detroyat, de Cassagnac, Henry de Pène, Pierre Véron, Th. de Banville, Nadar, de Villemessant, Nadaud, Monselet, A. Second, A. Houssaye, Champfleury, la critique théâtrale au grand complet ; P. de Saint-Victor, F. Savary, de La Pommeraye, de Biéville, Herzstein, etc.; les docteurs Ricord, Trousseau, Tardieu et Demarquay. À onze heures quarante minutes on entrait à l'église, qui était entièrement tendue de noir, et l'on a déposé le cercueil sous le catafalque, tout resplendissant de lumière que l'on avait élevé à l'entrée du chœur. La messe a été dite par M. l'abbé Masia, troisième vicaire de la paroisse, et a été chantée par la maîtrise, avec le concours des premiers chanteurs de diverses paroisses de Paris. Après la cérémonie funèbre, qui a été terminée par l'absoute donnée par M. le curé, le convoi s'est dirigé vers le jardin du presbytère attenant à l'église, où ont été prononcés deux discours. M. Cuvillier-Fleury a parlé au nom de l'Académie, et M. Louis Ratisbonne au nom de la famille et des nombreux amis du défunt. Pendant ce temps, un photographe, installé à l'une des croisées du presbytère, qui est situé au fond du jardin, prenait une vue de l'assemblée, dont l'aspect était vraiment grandiose et touchant. Le cercueil, placé entre les deux rangs d'arbres formant voûte ; à la hauteur de la tête, une statue de la Vierge dominait le cercueil et, sur le devant, une foule aussi nombreuse que recueillie. Le corps a été déposé dans la chapelle du catéchisme de l'église et ne partira que demain à neuf heures, par la gare de Saint-Lazare pour Evreux. Détail intéressant
Darricau, en rane tenue, ami d'enfance du défunt ; Cvllr-Flry et rxnlAdeae Dumas, de l'Académie, te Alexandre, président de chambre à la cour dpp. Drrè le char et en er ligne nient le frère du défunt et son pauvre domestique, le fdèl Jsph, q pleurait chaudes larmes, iat : MM. Cuvillier-Fleury, Patin et de Loménie, en habits 'académiciens; MM. . Hugo, J. Snd, . Doucet, Caro, Sainte-Claire Deville, Augier, Dumas, Gilue, et une fl ures académiciens ou membres de 'Institut. E. de Girardin, Detroyat, de Cassagnac Henry de Pne Pierre Véron, h.T de Banville, Nadar, de Villemessant, Nadaud Monselet, A. Second, A. Houssaye, Champfleury, la riq théâtrale adnrg complet ; . de SaintVictor F. S,yarav de La Pommeraye, de Biéville, Herzstein, etc.; les docteurs Ricord, Trousseau, Tardieu et Demarquay. À eonz esreuh urae minutes on entrait à l'église, q était ntèrmnt tendue de noir, et onl' a déposé le cercueil sous le aaqtulc,aef tuto resplendissant de lumière que l'on avait élevé à 'entrée du chœur. La messe a téé dite par M. l'abbé Masia, troisième vicaire de l paroisse, et a été chantée par la maîtrise, vc le concours des premiers chanteurs d dvrss paroisses d Paris. Après la cérémonie fnèbr, qui a été terminée par l'absoute donnée par M. le curé, le convoi 'est dirigé vers jardin du presbytère attenant à l'église, ont été prononcés deux discours. M. Cuvillier-Fleury a parlé au nom d l'Académie, et M. Louis Ratisbonne au nom de la le et des nmbrux amis du défunt. Pendant ce temps, n photographe, installé à l'une ds croisées du presbytère, qui est situé au fond du jardin, prenait une vue de l'assemblée, dont laspt était vraiment grandiose et touchant. Le cercueil, placé ntr les deux rangs d'arbres formant voûte à la hauteur e la tête une statue de la Vierge dominait le cercueil et, sur le devant, n foule aussi nombreuse que recueillie. Le corps a été déposé dans la chpll du catéchisme e l'église et ne partira que demain à neuf heures, par la gare de Saint-Lazare pour Evreux. Déti intéressant
la cérémonie funèbre, qui a été terminée par l'absoute donnée par M. le curé, le convoi s'est dirigé vers le jardin du presbytère attenant à l'église, où ont été prononcés deux discours. M. Cuvillier-Fleury a parlé au nom de l'Académie, et M. Louis Ratisbonne au nom de la famille et des nombreux amis du défunt. Pendant ce temps, un photographe, installé à l'une des croisées du presbytère, qui est situé au fond du jardin, prenait une vue de l'assemblée, dont l'aspect était vraiment grandiose et touchant. Le cercueil, placé entre les deux rangs d'arbres formant voûte ; à la hauteur de la tête, une statue de la Vierge dominait le cercueil et, sur le devant, une foule aussi nombreuse que recueillie. Le corps a été déposé dans la chapelle du catéchisme de l'église et ne partira que demain à neuf heures, par la gare de Saint-Lazare pour Evreux. Détail intéressant sur les travaux de Jules Janin. Le dernier article sorti de sa plume était destiné à la Liberté : c'était, on s'en souvient, un compte rendu du livre d'Henri Houssaye, l' Histoire d'Alcibiade, que nous avons publié tout récemment. NOS INFORMATIONS LE VIEUX CALENDRIER 22 juin 1791. — Louis XVI, prisonnier, est ramené à Paris. Le départ secret de la famille royale avait été fixé pour le 20 juin. À minuit, la sortie s'effectua avec un rare bonheur, malgré la garde nationale, chargée du service intérieur du palais, et qui surveillait tout ce qui s'y passait. Les fugitifs montèrent dans un carrosse quai des Théatins, aujourd'hui quai Voltaire, et ils quittèrent Paris par la barrière de la Villette. Mais un concours de circonstances malheureuses devait faire manquer ce voyage... Le comte de Fergen, qui, déguisé en cocher, conduisait le carrosse, s'égara plusieurs fois ; aucune des escortes organisées par M. de Bouillé n'arriva en temps opportun; Louis XVI commit à plusieurs reprises l'imprudence de mettre la tête à la portière. Les voyageurs se dirigeaient vers Montmédy, où devaient se trouver des forces imposantes. Déjà, à Châlons, un maître de poste avait reconnu le roi, mais il garda le secret. À
la cérémonie funèbre, qui a été terminée par l'absoute donnée par M. le curé, e convoi s'est dirigé vers le jardin du presbytère attenant à l'église, où ont été prononcés deux uscr.isod M. Cuvillier-Fleury a parlé au nom de l'cdém, et M. Louis Ratisbonne au nom de la famille et des nombreux amis du dén. Pendant ce ptesm, un photographe installé à lune des siérceos du prsbytèr, qui est situé au fd du jardin, prenait une vue de l'assemblée, dont l'aspect était vraiment grandiose et touchant Le cercueil, placé entre les deux rangs darbres formant voûte ; la hauteur de la tête, une statue de la Vierge dominait le ceruel et, sur le devant, une foule ss nombreuse que recueillie. Le corps a été déposé dans la chapelle du cis de l'église et ne partira que demain à neuf heures, par la gare de Saint-Lazare pour Evreux. Détail intéressant sur les travaux de Jules Janin. Le dernier article sorti de sa plume était destiné à la Liberté : c'était, on s'en souvient, nu compte rendu d livre d'Henri Houssaye, l' Histoire d'Alcibiade, que us avons u tt récemment. NOS NFRMTNS LE VIEUX CALENDRIER 22 juin 1791. — Louis XVI prisonnier, est ramené à Paris. Le départ secret de la lmleaif royale avait été fixé pour le 20 juin. minuit, la sortie sfct avec rare bonheur malgré la garde nationale, chargée du service intérieur du palais, et qui surveillait tout ce qui s'y passait. Les fgtfs montèrent dans un carrosse quai des Théatins, aujourd'hui qiau tai, et ils quittèrent Paris par la barrière de la Villette. Mais un concours de noieassrcncct malheureuses devait faire manquer ce voyage... L comte de Fergen, qui, déguisé en cocher, conduisait le carrosse, s'égara plusieurs fois ; aucune des escortes organisées par M. de Bouillé n'rrv en temps opportun; Louis XVI commit à plusieurs reprises l'imprudence de mettre la êtte à la portière. Les voyageurs se dirigeaient vers Montmédy, où devaient trouver des forces imposantes Déjà, à hos un maître de poste avait reconnu le roi, mais il garda le scrt.
prisonnier, est ramené à Paris. Le départ secret de la famille royale avait été fixé pour le 20 juin. À minuit, la sortie s'effectua avec un rare bonheur, malgré la garde nationale, chargée du service intérieur du palais, et qui surveillait tout ce qui s'y passait. Les fugitifs montèrent dans un carrosse quai des Théatins, aujourd'hui quai Voltaire, et ils quittèrent Paris par la barrière de la Villette. Mais un concours de circonstances malheureuses devait faire manquer ce voyage... Le comte de Fergen, qui, déguisé en cocher, conduisait le carrosse, s'égara plusieurs fois ; aucune des escortes organisées par M. de Bouillé n'arriva en temps opportun; Louis XVI commit à plusieurs reprises l'imprudence de mettre la tête à la portière. Les voyageurs se dirigeaient vers Montmédy, où devaient se trouver des forces imposantes. Déjà, à Châlons, un maître de poste avait reconnu le roi, mais il garda le secret. À Sainte-Menehould, il n'en fut pas de même : le fils du maître de poste, Drouet, ancien dragon, avait également reconnu Louis XVI. Il courut à Varennes prévenir la municipalité. À onze heures et demie du soir seulement, le roi et sa famille arrivèrent à Varennes. À l'entrée du pont, une voiture renversée intercepta le passage. Drouet et huit hommes, qui s'étaient tenus cachés, arrêtent la berline et demandent au roi ses passeports. Les gardes du corps, qui étaient armés sous la livrée de laquais qu'ils avaient endossée, offrent au roi de résister ; mais celui-ci refuse... Pendant ce temps, on bat le rappel, le tocsin sonne, la population accourt, la famille royale est arrêtée. L'Assemblée envoya aussitôt des commissaires. Le 22 juin Louis XVI est ramené à Paris au milieu d'une foule nombreuse et silencieuse. On avait placardé dès la veille des affiches sur lesquelles on lisait : « Celui qui applaudira le roi sera battu; celui qui insultera le roi sera pendu. » Louis XVI fut suspendu de ses pouvoirs et en attendant son jugement, placé sous la surveillance d'une garde spéciale. LA CLÔTURE DE L'EXPOSITION DES BEAUX-ARTS. — Le public a largement profité, hier, de la journée supplémentaire,
pno,srniire est ramené à Paris. Le déprt ret de la famille royale avait été fixé pour l 20 juin. À minuit, l sortie s'effectua avec un rare bonheur, malgré la garde nationale, chargée du service intérieur du palais e qui surveillait tout ce qui s'y asa L fugitifs montèrent dans un carrosse quai ds Théatins, aujourd'hui quai Voltaire, et ils quittèrent Paris par la barrière de la Villette. Mais un concours de circonstances malheureuses devait faire manquer c voyage... Le comte de Fergen, qui, déguisé en cocher, conduisait le carrosse, s'égara plusieurs fois ; aucune des escortes organisées par M. de Bouillé n'arriva en tmps opportun; oLuis XIV commit à plusieurs reprises l'imprudence d mettre la tête à la portière. seL voyageurs se dirigeaient vers Montmédy, o devaient se trouver des forces imposantes. Déjà, à Châlons, u mîte de poste avait reconnu le r, mais il garda le secret. À Sainte-Menehould, il en'n fut pas de même : le fils d maître de poste, oDute,r ancien dragon, avait également reconnu Louis XVI. Il courut à Varennes prévenir la municipalité. À ozne heures et demie du soir slmnt, le oi et sa famille arrivèrent à Varennes. À l'entrée du pnt, une voiture renversée intercepta le pssg. Drouet et huit hommes qui s'étaient tenus cachés, arrêtent la berline et demandent au roi ses passeports. Les gardes du corps, qui étaient armés sous al livrée de uislqaa qu'ils avaient endossée, offrent roi de résister ; mais celui-ci refuse... Pendant ce temps, on bat le rappel, le tocsin sonne, la ppltn accourt, l famille royale st arrêtée. L'Assemblée envoya aussitôt des commissaires. Le 22 juin Louis XVI est ramené à Paris au milieu d'une foule nombreuse et silencieuse. On avait placardé dès la vll eds affiches sur lesquelles on lisait « Celui iuq applaudira le roi sera battu; celui qui insultera le roi sera pendu. » Ls XVI fut suspendu de es pouvoirs et en ttndnt son jugement, la sous la surveillance d'une garde ci LA CLÔTR DE IOOEXNI'TLSP DES E-RT. — L public a largement profité, hier, de la journée supplémentaire,
voiture renversée intercepta le passage. Drouet et huit hommes, qui s'étaient tenus cachés, arrêtent la berline et demandent au roi ses passeports. Les gardes du corps, qui étaient armés sous la livrée de laquais qu'ils avaient endossée, offrent au roi de résister ; mais celui-ci refuse... Pendant ce temps, on bat le rappel, le tocsin sonne, la population accourt, la famille royale est arrêtée. L'Assemblée envoya aussitôt des commissaires. Le 22 juin Louis XVI est ramené à Paris au milieu d'une foule nombreuse et silencieuse. On avait placardé dès la veille des affiches sur lesquelles on lisait : « Celui qui applaudira le roi sera battu; celui qui insultera le roi sera pendu. » Louis XVI fut suspendu de ses pouvoirs et en attendant son jugement, placé sous la surveillance d'une garde spéciale. LA CLÔTURE DE L'EXPOSITION DES BEAUX-ARTS. — Le public a largement profité, hier, de la journée supplémentaire, avec entrée gratuite accordée par la direction des beaux-arts, pour visiter l'Exposition. De nombreuses affiches ayant annoncé la clôture pour samedi, peu de monde s'est présenté à l'ouverture des portes, à dix heures; mais les journaux du matin ayant annoncé la prolongation accordée, on a vu arriver, vers midi, des flots de visiteurs qui ont dû bientôt faire queue, attendant leur tour d'entrée. À trois heures on avait déjà enregistré 7,000 entrées. Nous avons parcouru les diverses galeries de l'Exposition, et il nous a été facile de constater que les visiteurs étaient loin d'appartenir exclusivement aux classes ouvrières et industrielles ; le grand monde y était largement représenté, et nombre de dames en grande toilette n'avaient pas dédaigné de se mêler à la foule. L'entrée a été suspendue à quatre heures et demie, au moment où le public, renseigné par les journaux du soir, arrivait encore en foule au palais, dont les portes ont été fermées à six heures précises, après le défilé des visiteurs, qui n'a pas duré moins d'une demi-heure. L'EXPOSITION D'ALSACE-LORRAINE. — Aujourd'hui lundi, après huit jours de fermeture, l'exposition organisée au Palais-Bourbon, au profit de la colonisation des Alsaciens-Lorrains en Algérie, a été ouverte au public.
voiture renversée intercepta le passage. Drouet et huit hommes, qui s'étaient tenus écs,cah arrêtent la berline e demandent au roi ses passeports. Les gardes du corps, qui étaient armés ssou l livrée de aqausli qu'ils avaient endossée, ftofnre au roi de eésrirst ; mais celui-ci refuse... Pendant ce temps, on bat le rappel, le tocsin sonne, al population accourt, la famille royale est arrêtée. L'Assemblée envoya aussitôt des commissaires. Le 2 juin oi V est ramené à Paris au milieu d'une foule nmbrs te silencieuse. On avait placardé dès la veille des affiches sur lesquelles on lisait : « Celui qui applaudira le roi a battu; celui qui insultera le roi sera pendu. » Louis XVI fut suspendu d ses pouvoirs et en attendant son jugement, placé sous la ulanc dune garde spécl. LA CLÔTR DE EIP'LOTXNOSI DES BEAUX-ARTS. — Le public a largement profité, hier, de la journée supplémentaire, avec entrée gratuite accordée par la direction des bu-s pour it l'Exposition. De nombreuses affiches ayant annoncé la clôture pour samedi, de monde s'est présenté à l'vrtr des portes, à dix heures; mais sle journaux du matin ayant annoncé la ooniortlganp ccrdé, on a vu arriver, vers midi, des flots d visiteurs qui ont dû bientôt faire queue, eaadtttnn leur tour d'ere À trs eu on avait déjà gtéeesirnr 7,000 entrées. Nous avons prcr les diverses galeries d l'Exposition, et il nous a éét facile de constater que les visiteurs étaient loin d'appartenir exclusivement aux classes ouvrières et industrielles ; le grand monde était largement représenté, et nombre de dames en grnd toilette n'avaient pas déaié de se mêler à la foule. L'entrée a été euunepsds à quatre heures et demie, ua moment où el public, renseigné par s journaux du soir, arrivait encore en foule au palais, dont les portes ont été meeférs sx heures précises, après le défilé des visiteurs, q n' duré isnmo d'une demi-heure. L'EXPOSITION D'ALSACE-LORRAINE. — Aujourd'hui ilu,nd après huit jours de fermeture, l'exposition organisée au Palais-Bourbon, au profit de l colonisation des Alsaciens-Lorrains en Algérie, a été ouverte au public.
flots de visiteurs qui ont dû bientôt faire queue, attendant leur tour d'entrée. À trois heures on avait déjà enregistré 7,000 entrées. Nous avons parcouru les diverses galeries de l'Exposition, et il nous a été facile de constater que les visiteurs étaient loin d'appartenir exclusivement aux classes ouvrières et industrielles ; le grand monde y était largement représenté, et nombre de dames en grande toilette n'avaient pas dédaigné de se mêler à la foule. L'entrée a été suspendue à quatre heures et demie, au moment où le public, renseigné par les journaux du soir, arrivait encore en foule au palais, dont les portes ont été fermées à six heures précises, après le défilé des visiteurs, qui n'a pas duré moins d'une demi-heure. L'EXPOSITION D'ALSACE-LORRAINE. — Aujourd'hui lundi, après huit jours de fermeture, l'exposition organisée au Palais-Bourbon, au profit de la colonisation des Alsaciens-Lorrains en Algérie, a été ouverte au public. Il y a eu dans les salons un remaniement assez important et de nouvelles œuvres sont venues s'ajouter à celles déjà si splendides que l'on a admirées. Il faut avouer aussi que certains objets ont été retirés par leurs propriétaires. Dans la salle n° 1, on a placé au centre une statue colossale de César, par Clésinger. Dans la salle n° 2, les vitrines se sont enrichies de superbes porcelaines de Saxe appartenant à M. Sapià, et de bronzes japonais appartenant à M. Burty. Dans l'annexe de la Salle n° 3, qui est le salon dit de la Comédie-Française, on voit deux portraits de Rachel, l'un de Gérôme et l'autre de Muller. La salle n° 5 offre à nouveau le fameux Murillo que M. Guizot avait mis récemment en vente à l'hôtel Drouot. Dans la salle n° 8, les objets d'art de la famille de Rothschild ont été remplacés par une collection splendide de meubles et d'objets appartenant à sir Richard Wallace. La salle n° 15, qui était occupée presque entièrement par une très belle exposition de faïences, est livrée à la peinture. On ne s'en plaint pas. Il y a là la fameuse Allée des Châtaigniers de Théodore Rousseau
flots de visiteurs qui ont dû bientôt ifrae queue, attendant lr tour d'entrée. À trois heures on t déjà enregistré 7,000 etr Ns avons pcouu ls diveses galeries de l'Exposition, et il nous a été facile de constater q les visiteurs étaient ioln dappartenir exclusivement aux classes ouvrières et industrielles ; le grand mnd y était telaermgn représenté, et nombre ed dames en grande toilette n'avaient pas dédaigné d se mêler à la fle Lentrée a été suspendue à quatre heures et demie, moment où le public, renseigné par les journaux du sr, arrivait encore en foule au palais, dont les portes ot été fermées à six heures précises, après le défilé des vstrs, qui ' pas éurd moins d'une hd-imre.eeu L'EXPOSITION D'ALSACE-LORRAINE. — Aujourd'hui lundi, aprs huit jours de fermeture, lepitn organisée au Palais-Bourbon, au profit de la colonisation e Alsaciens-Lorrains en Algérie, a été ouverte au public. Il y a eu dans les salons un narmnemeeit assez important et d nouvelles œuvres sont veeusn s'ajouter à celles déjà si sndies que 'on a dmrés. Il faut avouer ss que certains objets ont été rtrés par leurs propriétaires. Dns la salle n° 1, on plcé centre une statue colossale ed aCsré, par Clésinger. Dans la salle n° 2, les vitrines se sont enrichies de superbes porcelaines d Saxe appartenant à M. Sapià, et de bronzes japonais appartenant à M. Burty. Dans l'annexe de a Sll n° , qui ste le salon dit d a Comédie-Française, on voit deux portraits de Rachel, l'un de Gérôme et l'autre de Muller. La salle n° offre à nouveau le fameux Murillo que M. Guizot avait mis rcen en vente à l'hôtel Druot Dans la salle n° 8, les objets d'art de la famille de Rothschild ont été remplacés par une lcion splendide d meubles et d'objets pprtnnt à sir ihad Wallace La salle n 15, qui était occupée presque entièrement par une très belle exposition de faïences, est livrée à la peinture. On ne 'en plaint pas. Il y a là la fameuse Allée des Châtaigniers de Théodore Rousseau
une statue colossale de César, par Clésinger. Dans la salle n° 2, les vitrines se sont enrichies de superbes porcelaines de Saxe appartenant à M. Sapià, et de bronzes japonais appartenant à M. Burty. Dans l'annexe de la Salle n° 3, qui est le salon dit de la Comédie-Française, on voit deux portraits de Rachel, l'un de Gérôme et l'autre de Muller. La salle n° 5 offre à nouveau le fameux Murillo que M. Guizot avait mis récemment en vente à l'hôtel Drouot. Dans la salle n° 8, les objets d'art de la famille de Rothschild ont été remplacés par une collection splendide de meubles et d'objets appartenant à sir Richard Wallace. La salle n° 15, qui était occupée presque entièrement par une très belle exposition de faïences, est livrée à la peinture. On ne s'en plaint pas. Il y a là la fameuse Allée des Châtaigniers de Théodore Rousseau et le Massacre de l'évêque de Liège de Delacroix. Voici maintenant les changements apportés dans les prix d'entrée : lundi et jeudi, 2 francs, musique militaire dans le jardin. Les autres jours, 2 francs de neuf heures à midi et 1 franc depuis midi. FÊTE EN L'HONNEUR DU GÉNERAL HOCHE. — Après-demain mercredi, 22 courant, aura lieu à Versailles la fête que l'on y célèbre tous les ans à pareille date, en commémoration de la naissance du général Hoche. On a dit que ces réjouissances auraient probablement cette année un caractère politique. C'est une erreur. Nous tenons de source certaine qu'il n'y aura aucun discours de prononcer, ni aucun banquet d'autorisé. La fête d'ailleurs sera d'une grande simplicité. La place circulaire, au centre de laquelle se trouve la statue du général, recevra une décoration appropriée à la circonstance, et un concert y sera donné dans l'après-midi par la musique municipale. Le soir, cette place sera brillamment illuminée. Les musiques des régiments du génie et de l'artillerie, en garnison à Versailles, ont organisé deux magnifiques retraites aux flambeaux, qui parcourront simultanément les différents quartiers de la ville. Voilà tout le programme. Il est possible, après tout, que des députés de la
une tu colossale de César, par Cie. Dans la salle n° , les vitrines se sont enrichies de superbes porcelaines de Saxe appartenant à M. Sapià, et de bronzes japonais appartenant à M. Burty. Dans l'annexe de la Salle n° 3, qui est le salon dit de la Comédie-Française, on vt deux portraits de Rachel l'n de Gérôm et l'autre de Muller. La salle n° 5 ffr à nouveau le fameux Murillo que M Guizot avait mis récemment n vente à l'hôtel Drt. Dans la salle n 8, les objets d'art de la famille de Rothschild ont été remplacés par une collection splendide de meubles et 'objets appartenant à sir Richard Wallace. La salle n° 15, qui éat occupée presque entièrement par une très belle exposition d faïences, st livrée à la pur On n s'en plaint pas. Il y a là fameuse Allée des Châtaigniers de Théodore Rousseau et le Massacre de l'évêque de Liège d Delacroix. Voici maintenant ls changements apportés dans les prix d'entrée : lundi t jedi, 2 francs, musique militaire dans le jardin Les autres jours, 2 francs de neuf heures à midi et 1 franc depuis midi. FÊTE EN L'HONNEUR DU ÉRAL HOCHE. — Après-demain mercredi 22 crant, ar lieu à Versailles la fête q l'on y célèbre tous les ans à ri date, en cmmémrtn de la naissance du général Hoche. On a dit que ces réjouissances auraient probablement cette année un caractère politique. C'est une erreur. Nous tenons de source certaine quil n'y aura aucun discours de prononcer, n aucun banquet d'autorisé. L fêt d'ailleurs sr d'une grande simplicité. L place circulaire, au centre de laquelle se trouve la statue du général, recevra une décoration appropriée à la crcnstnc, et un concert y sera donné dans l'après-midi par la musique municipale. Le soir, cette place sera brillamment illuminée. Les musiques des régiments du génie et de l'artillerie, en garnison à Versailles, ont organisé deux magnifiques retraites aux lubfe,xmaa q parcourront simultanément les différents quartiers de la ville. Vlà tout le programme. l est possible après tout que des députés de la
— Après-demain mercredi, 22 courant, aura lieu à Versailles la fête que l'on y célèbre tous les ans à pareille date, en commémoration de la naissance du général Hoche. On a dit que ces réjouissances auraient probablement cette année un caractère politique. C'est une erreur. Nous tenons de source certaine qu'il n'y aura aucun discours de prononcer, ni aucun banquet d'autorisé. La fête d'ailleurs sera d'une grande simplicité. La place circulaire, au centre de laquelle se trouve la statue du général, recevra une décoration appropriée à la circonstance, et un concert y sera donné dans l'après-midi par la musique municipale. Le soir, cette place sera brillamment illuminée. Les musiques des régiments du génie et de l'artillerie, en garnison à Versailles, ont organisé deux magnifiques retraites aux flambeaux, qui parcourront simultanément les différents quartiers de la ville. Voilà tout le programme. Il est possible, après tout, que des députés de la gauche se réunissent dans quelque maison particulière, pour y fêter les idées républicaines, à propos du général Hoche. C'est sans des circonstances semblables que Gambetta, l'année dernière, prononça son discours des sept colonnes. Jusqu'à présent, cependant, on ne connaît aucun projet de ce genre. LA FOIRE DE NEUILLY. — Cette foire, qui est ouverte hier, est la plus animée et la plus fréquentée qui soit après celle du Trône. Cette année surtout on a fait les choses aussi heureusement que possible. Les marchands, bruits, spectacles et jeux, sont développés sur un parcours de 1,600 mètres, soit presque toute l'avenue de Neuilly. Six mâts oriflammes, supportant trente-deux guirlandes de serres de couleur chargées de trois lustres chacune, divisent le champ de foire en autant de portiques de feu. On compte trois bals à la fête qui s'est ouverte hier. En outre, un musée zoologique et tous les théâtres de genre qu'on peut imaginer. L'un des montreurs de curiosités s'est mis en frais d'affiches sur lesquelles on lit en grosses lettres : « Venez voir LE ROI... (en beaucoup petits caractères) des phénomènes. Beaucoup de monde d'ailleurs, car les autobus n'ont pu circuler ni sur la chaussée du boulevard, ni dans les
— Après-demain mercredi, 22 courant, aura l à Versailles la fête que l'on célèbre tous les n à pareille date, en commémoration de la naissance d général H On a dit que ces réjouissances rnt probablement cette année un caractère politique. C'est une erreur. Nous te de source certaine qu'il n aura aucun discours de prononcer, ni aucun banquet 'autorisé. L f d'ailleurs sera d'une grande simplicité. La place circulaire, centre lqll se trouve l statue du général, recevra une décoration aoré à la circonstance, et un concert y sera dnné dns l'après-midi par la musique municipale. Le soir, cette place sera brillamment mul.enilié Ls musiques des régiments du génie et de l'artillerie, en garnison à Versailles, ont snaériog deux magnifiques retraites ax flambeaux, q parcourront simultanément les différents quartiers e la ville. Voilà tout le programme. lI est possible, après tout que des éé de la gch se réunissent dans qlq maison piculie pour y fêter les idées républicaines, à propos du général ohe Cest sans des circonstances semblables que Gambetta l'année dernière, prnnç son discours des sept colonnes. s'uqàuJ présent, cependant, on ne connaît aun projet de ce genre LA FOIRE DE NLLY. — Cette foire, qui est ouverte hier, tse la plus emnéia et la pls fréquentée qui soit après celle du Trône. Ctt année surtout on a fait les choses aussi heureusement e possible. Les marchands, s,ubtri spectacles et jeux, sont développés sur un parcours de 1,600 mètres, st presque toute elunve'a de Neuilly. Six mâts oriflammes, supportant trente-deux grlnds de serres de couleur chargées de trois lustres chacune, divisent le champ de foire en tnt portiques de feu. On compte trois bals à la fête qui s'est ouverte hier. n outre, un musée zoologique et tous les théâtres de genre qu'on peut imaginer. L'un des montreurs e cuioié s'est ms en frais d'affiches sur leelelsusq on lit en grosses lettres : « Venez voir LE ROI (en beaucoup petits aèe) des phénomènes. Beaucoup de monde d'ailleurs, car les autobus n'ont pu ccrlerui ni sur la chaussée du boulevard, ni dans les
foire, qui est ouverte hier, est la plus animée et la plus fréquentée qui soit après celle du Trône. Cette année surtout on a fait les choses aussi heureusement que possible. Les marchands, bruits, spectacles et jeux, sont développés sur un parcours de 1,600 mètres, soit presque toute l'avenue de Neuilly. Six mâts oriflammes, supportant trente-deux guirlandes de serres de couleur chargées de trois lustres chacune, divisent le champ de foire en autant de portiques de feu. On compte trois bals à la fête qui s'est ouverte hier. En outre, un musée zoologique et tous les théâtres de genre qu'on peut imaginer. L'un des montreurs de curiosités s'est mis en frais d'affiches sur lesquelles on lit en grosses lettres : « Venez voir LE ROI... (en beaucoup petits caractères) des phénomènes. Beaucoup de monde d'ailleurs, car les autobus n'ont pu circuler ni sur la chaussée du boulevard, ni dans les contre-allées. Ils enflaient le boulevard Maillot pour se rendre au Pont de Neuilly. Et... en voici pour trois semaines. L'EXHAUSSEMENT DE LA RUE LOUIS-LE-GRAND. — Un travail très important et vraiment intéressant vient d'être exécuté dans la partie de la rue Louis-le-Grand comprise entre la rue du Quatre-Septembre et l'avenue de l'Opéra. On sait que cette partie de la rue se trouvait en contrebas de près de deux mètres au-dessous du niveau des trottoirs de gauche, bordant les nouvelles constructions. Trois semaines de travail ont suffi pour niveler ce tronçon de rue, et cette opération ne manque pas d'intérêt ; il s'ensuit, en effet, que le niveau de la rue, à droite, se trouve aujourd'hui presqu'à la hauteur de l'entresol des maisons, et, par suite, les deux maisons portant les numéros 21 et 22 ont deux étages dans les sous-sols. Il y a une quinzaine de jours, ces deux dernières maisons étaient, en quelque sorte, tenues en l'air par un système de poutres enchevêtrées, qui a permis de supprimer, jusqu'à la hauteur du premier étage, les murs pleins de la façade, lesquels sont remplacés aujourd'hui par douze piliers carrés en pierre de taille. On a commencé, hier, à empierrer cette
foire qui est vrt hier, est la lus animée et la plus fréquentée qui soit après celle du Trône Cette année surtout on a fait les choses aussi heureusement que possible. Les marchands, bruits, ctcl t jeux, sont développés sur un parcours ed 1,600 mètres, itos presque toute l'avenue de Neuilly. Six âts oriflammes, supportant trente-deux grlnds de sre de clr chargées de sroit lustres chacune, divisent le champ de foire en autant de portiques de feu. On compte trois bals à la fêt qui s'est ouverte hier. En outre, un musée zoologique et tous les théâtres de genre qu'on peut imaginer. 'un ds montreurs de curiosités s'est mis en frais d'affiches sur lesquelles on lit en grosses lettres : « Venez vr LE ROI... (en beaucoup petits caractères) des phénomènes. Beaucoup de monde d'ailleurs, car les autobus n'ont pu circuler n sur al chaussée du boulevard, ni s ls contre-allées. Ils enflaient le boulevard Maillot pour s rendre au Pont de Neuilly. Et... en voici pour trois semaines. L'EXHAUSSEMENT DE LA RUE LS-L-GRND. — Un travail très mprtnt et vraiment intéressant vient d'être é dans la partie de la rue Louis-le-Grand comprise entre la rue du Quatre-Septembre et l'avenue de l'Opéra. O sait que cette partie de la rue trouvait en contrebas de d deux mètres au-dessous du niveau des trottoir de gauche bordant les nel constructions. Trois semaines de travail ont suffi pour niveler ce tronçon de r, t cette opération n manque pas 'intérêt ; il sensuit en effet que le niveau de la rue, à droite, se trouve jrd'h presqu'à hauur de l'entresol des maisons, et, par suite, les deux maisons portant les numéros 21 et 22 nt deux étages dans sle sous-sols. Il une quinzaine de jours, ces deux drnèrs maisons étaient, en quelque sorte, tenues en l'air arp un système de poutres enchevêtrées, qui a permis d supprimer, jusquà la htr du premier étage, les murs pleins de la façade, lesquels sont remplacés aujourd'hui ar douze plrs carrés en pierre de taille. On a commencé, hier, à empierrer cette
de l'Opéra. On sait que cette partie de la rue se trouvait en contrebas de près de deux mètres au-dessous du niveau des trottoirs de gauche, bordant les nouvelles constructions. Trois semaines de travail ont suffi pour niveler ce tronçon de rue, et cette opération ne manque pas d'intérêt ; il s'ensuit, en effet, que le niveau de la rue, à droite, se trouve aujourd'hui presqu'à la hauteur de l'entresol des maisons, et, par suite, les deux maisons portant les numéros 21 et 22 ont deux étages dans les sous-sols. Il y a une quinzaine de jours, ces deux dernières maisons étaient, en quelque sorte, tenues en l'air par un système de poutres enchevêtrées, qui a permis de supprimer, jusqu'à la hauteur du premier étage, les murs pleins de la façade, lesquels sont remplacés aujourd'hui par douze piliers carrés en pierre de taille. On a commencé, hier, à empierrer cette partie de la rue, où les petites boutiques qui existaient il y a un mois sont remplacées par de magnifiques magasins, et il est permis d'espérer que les travaux seront achevés vers la fin de la semaine. LA LANTERNE DE ROCHEFORT. — Il y a dix jours tout était prêt à Rotterdam pour la publication de la Lanterne; elle devait être éditée par un libraire très connu pour les livres érotiques qu'il imprime et qui lui ont rapporté une jolie petite fortune. Un de nos amis qui arrive de cette ville nous dit que la couverture du premier numéro devait être ornée d'une vignette représentant la tête de Rochefort, avec des ailes, pour exprimer qu'il s'est envolé de la Nouvelle-Calédonie. La vignette de la seconde livraison, qui aurait été la même pour les suivantes, devait représenter Rochefort rallumant sa lanterne. Il est possible maintenant que la Lanterne ne s'imprime pas à Rotterdam, s'il est vrai surtout que le gouvernement des Pays-Bas, d'après les assertions de la Gazette de Cologne « ne voit pas avec plaisir l'arrivée de l'ancien membre de la commission des barricades. » Ce qui est certain, par exemple, c'est que d'audacieux courtiers, vrais ou faux, vont dans
de l'Opéra. On sait que ctt partie de la rue se trouvait en contrebas de près de deux mètres au-dessous du niveau des trottoirs d gauche, bordant les nouvelles constructions. Trois semaines de travail ont suffi pr niveler ce tronçon de rue, cte opération n manque pas d'intérêt ; il s'ensuit, en effet, que le niveau d la rue, à dit se trouve aujourd'hui presqu'à la htr de 'entresol des maisons, et, par ue les deux maisons portant les numéros 21 et 22 ont deux étages dans les sous-sols. l y a une quinzaine de jours, ces deux dernières maisons étaient, en quelque sorte tenues en l'air par un système de poutres enchevêtrées, uiq a permis de supprimer, jusqu'à la hauteur du premier étage, les murs pleins de la façade, lesquels sont remplacés aujourd'hui par douze piliers rrécsa en pierre de taille. On a c,mnmoéec hier, à empierrer cette partie de la rue, où ls petites boutiques q existaient il y a un mois sont remplacées par de mgnfqs magasins, et il est permis d'espérer que les travaux seront achevés vers la fin de la semaie. LA LANTERNE DE ROCHEFORT. Il y a dix jours tout était prêt à Rttrdm pour la publication de la Lanterne; elle devait être édte par un libraire très connu pour les livres érotiques qu'il imprime et uqi lui rapporté une jolie petite frtn. Un de ons asim q arrive de cette ville nous dit que la couverture du prei numéro devait être rné 'une vignette epésetn la tête de Rochefort, avec des ls, pour exprimer qu'il 'est envolé de Nouvelle-Calédonie. La vignette de la seconde livraison, qui ait été la même pour les suivantes, devait représenter Rochefort rallumant sa lanterne. Il ets possible maintenant qe la Lanterne ne s'imprime pas à Rotterdam, s'il est vrai surtout que le gouvernement des Pays-Bas, d'après les assertions de la Gazette de Cologne « ne voit pas avec plaisir l'arrivée de lancien membre de la commission des barricades. » Ce qui est certain, arp exemple c'est que d'iu courtiers, vrs o faux, vont dans
à Rotterdam pour la publication de la Lanterne; elle devait être éditée par un libraire très connu pour les livres érotiques qu'il imprime et qui lui ont rapporté une jolie petite fortune. Un de nos amis qui arrive de cette ville nous dit que la couverture du premier numéro devait être ornée d'une vignette représentant la tête de Rochefort, avec des ailes, pour exprimer qu'il s'est envolé de la Nouvelle-Calédonie. La vignette de la seconde livraison, qui aurait été la même pour les suivantes, devait représenter Rochefort rallumant sa lanterne. Il est possible maintenant que la Lanterne ne s'imprime pas à Rotterdam, s'il est vrai surtout que le gouvernement des Pays-Bas, d'après les assertions de la Gazette de Cologne « ne voit pas avec plaisir l'arrivée de l'ancien membre de la commission des barricades. » Ce qui est certain, par exemple, c'est que d'audacieux courtiers, vrais ou faux, vont dans certaines maisons de Paris, pour recueillir des souscriptions à la Lanterne. Ils affirment que les livraisons seront régulièrement remises à domicile, comme si la chose s'imprimait rue Coq-Héron ou rue Montmartre. Les envois se feraient par l'Allemagne, qui n'y mettrait aucun empêchement... au contraire. LA CANTINIÈRE DES ZOUAVES. — M. le maréchal de Mac-Mahon a donné audience ces jours derniers à une femme dont l'histoire est extrêmement curieuse : c'est une ancienne cantinière du 32° de ligne et du 2° régiment des zouaves, décorée de la Légion d'honneur, ayant fait les campagnes de Crimée et d'Italie. Cette femme, originaire de Clermont-Ferrand, a donné, dans plusieurs circonstances, des preuves d'un courage et d'un patriotisme dignes des plus grands éloges ; à la prise de Magenta, elle parvint, en affrontant une grêle de balles, à sauver le drapeau du 2° des zouaves, dont deux soldats autrichiens s'étaient emparés. C'est pour ce fait glorieux qu'elle a reçu la croix de la Légion d'honneur. Pendant notre guerre contre la Prusse, elle suivit le 32° de ligne, dont elle était une des cantinières. Un jour, après l'armistice, se trouvant près de Thionville, elle fut insultée sur un chemin public par deux soldats bavarois. La querelle
Rotterdam pour la publication de la Lanterne; elle devait éditée par un libraire très connu pour les livres érotiques qu'il imprime t qui lui ont rpt une jolie petite fortune Un de nos amis qui arreiv de cette ville nous dit que la couverture du premier numéro devait être ornée d'une vignette représentant l tête de Rochefort, avec des ailes, pour exprimer qu'il s'est nvlé de la uvelCle. La vignette de la seconde livraison, qui aurait été la même pour les svte, devait représenter Rochefort rallumant sa lanterne. Il est possible maintenant que la Lanterne ne s'imprime pas à Rotterdam, s'il est vrai surtout que le gouvernement des Pays-Bas, d'après le assertions de la Gazette de Cologne « ne voit pas avec plaisir larrivée de l'ancien membre de la commission des barricades C qui est certain, par exemple, c'st que d'dcx courtiers, arivs ou faux, vont dans certaines maisons de Paris, pour recueillir des souscriptions à la Lanterne. Ils affirment que les livraisons seront régulièrement rmss à domicile, comme si la chose s'imprimait rue Coq-Héron rue Montmartre. Les envois se feraient pr l'Allemagne, qui ny mettrait aucun empêchement... au contraire. LA CANTINIÈRE DES ZOUAVES. — M. le maréchal de Mc-Mhn a donné audience ces jours derniers à n femme dont 'ioire est extrêmement crs : c'est une ancienne cantinière du 32° de lgn et du 2° régiment des zouaves, décorée de la Légion d'honneur, ayant fait les campagnes de Crimée et d'Italie. Ctt femme, originaire de Clermont-Ferrand, a donné, dans plusieurs anecnsioct,rsc des preuves dun courage et d'un patriotisme dignes des plus grands éloges ; à la prise de Magenta, elle parvint, en arofntafnt une grêle de balles, à sauver le drapeau d 2° des zouaves, dont deux soldats autrichiens s'étaient mprés. est pour ce fait glrx qu'elle a reçu la croix d la Lén d'honneur. Pendant notre guerre contre la Prusse, elle suivit le 32° de ligne, dont elle était une des anniè Un jour, apèsr lait, se trouvant près de Thionville, elle fut insultée sur un chemin public par deux soldats bavarois. La querelle
le maréchal de Mac-Mahon a donné audience ces jours derniers à une femme dont l'histoire est extrêmement curieuse : c'est une ancienne cantinière du 32° de ligne et du 2° régiment des zouaves, décorée de la Légion d'honneur, ayant fait les campagnes de Crimée et d'Italie. Cette femme, originaire de Clermont-Ferrand, a donné, dans plusieurs circonstances, des preuves d'un courage et d'un patriotisme dignes des plus grands éloges ; à la prise de Magenta, elle parvint, en affrontant une grêle de balles, à sauver le drapeau du 2° des zouaves, dont deux soldats autrichiens s'étaient emparés. C'est pour ce fait glorieux qu'elle a reçu la croix de la Légion d'honneur. Pendant notre guerre contre la Prusse, elle suivit le 32° de ligne, dont elle était une des cantinières. Un jour, après l'armistice, se trouvant près de Thionville, elle fut insultée sur un chemin public par deux soldats bavarois. La querelle se termina par la mort d'un des insulteurs. La cantinière fut arrêtée, conduite à Metz, et jugée peu de temps après par un conseil de guerre, qui la condamna à la peine de mort. Elle fut sauvée par l'intervention du prince Frédéric-Charles, qui se trouvait alors à Metz. Ayant appris qu'on allait fusiller une femme, il se fit remettre le dossier de son procès, et, après en avoir pris connaissance, demanda et obtint la grâce entière de la condamnée, qui fut renvoyée en France. Cette héroïne, obscure, qui a porté le bidon pendant près de trente ans, demeure aujourd'hui rue Vandamme, 15, où elle vit péniblement du fruit de son travail; elle se nomme Annette Drevon et est âgée de 51 ans. C'est une femme de taille moyenne, dont la physionomie respire la plus grande énergie, et à ses traits dépourvus de rides, à ses cheveux noirs on ne se douterait guère qu'elle a suivi nos régiments en Afrique, en Crimée, en Italie, et sur les bords du Rhin. BIBLIOGRAPHIE M. Tony-Révillon vient de livrer à la publicité un nouveau roman plein d'intérêt et tout d'actualité, la Séparée. L'auteur a trouvé, pour présenter ce sujet : la séparation de corps
le maréchal de Mac-Mahon a donné audience ces jours derniers à n femme dont l'hoire est extrêmement curieuse : c'st enu ancienne cantinière du 32 de ligne et du ° nmgiteré des zouaves, décorée de la Légn d'honneur, ayant fait les campnes de Crimée t d'Italie. Cette femme, originaire de Clrmnt-Frrnd, donné, dans plusieurs circonstances, des preuves d'un courage et dn patriotisme dn des plu grnds éloges ; la prise d Magenta elle parvint, en affrontant une grêle de balles, à sauver l drapeau du des zouaves, dont deux soldats autrichiens s'étant emparés. C'est pour ce ft glorieux qu'elle a reçu la croix la Légion d'honneur. Pendant notre guerre contre la Prusse, elle suivit le 32° de ligne, dont elle était un des cantinières. Un jour, après l'armistice, se trouvant près de Thionville, elle fut insultée sur un chemin public par deux soldats bavarois. La qrll se te par la mort dun esd insulteurs. La aniniè fut arrêtée, conduite à Metz, et jugée p de temps après par un conseil de grr, q la condamna à la peine de mort. ellE ft své par l'intervention du prince Frédéric-Charles, qui se trouvait alors à Mz. Ayant appris qu'on allait fusiller une femme, l se fit remettre le dosie de son procès, et, après en avoir pris connaissance nmedada et obtint la râecg entière de la condamnée, qui tfu rnvyé en France. Cte héroïne, obscure, qui porté le bdn pendant pès de tetren ans, dmr aujourdhui re Vandamme, ,15 o elle vit péniblement du fruit de sn l; ee s nomme Annette Drevon et est âgée de 51 ans. Ce n femme d taille moyenne, dont la physionomie psrieer la pls ge énergie, t à e traits dépourvus e rides, à ses chvx n on ne se dtrt guère q'll a svuii nos régiments en Afrique, en ie en Italie, et s les bords du .nRhi BIBLIOGRAPHIE M. Tony-Révillon vient de livrer à la publicité un nouveau roman plein d'ntérêt et tout d'actualité, la Séparée. L'auteur a trouvé, pour préstr ce utjes : la séparation de corps
qu'on allait fusiller une femme, il se fit remettre le dossier de son procès, et, après en avoir pris connaissance, demanda et obtint la grâce entière de la condamnée, qui fut renvoyée en France. Cette héroïne, obscure, qui a porté le bidon pendant près de trente ans, demeure aujourd'hui rue Vandamme, 15, où elle vit péniblement du fruit de son travail; elle se nomme Annette Drevon et est âgée de 51 ans. C'est une femme de taille moyenne, dont la physionomie respire la plus grande énergie, et à ses traits dépourvus de rides, à ses cheveux noirs on ne se douterait guère qu'elle a suivi nos régiments en Afrique, en Crimée, en Italie, et sur les bords du Rhin. BIBLIOGRAPHIE M. Tony-Révillon vient de livrer à la publicité un nouveau roman plein d'intérêt et tout d'actualité, la Séparée. L'auteur a trouvé, pour présenter ce sujet : la séparation de corps et le divorce, une forme nouvelle, la plus originale et la plus saisissante. Ni querelle domestique portée devant les tribunaux, ni discussion d'intérêts, ni débats judiciaires. Au moment où commence l'action, la femme est séparée de son mari depuis deux ans; elle est revenue chez ses parents, a repris sa vie de jeune fille; mais il lui est défendu d'aimer et d'être aimée; la loi la condamne à un isolement éternel. Et elle a vingt ans !... Le roman de M. Tony Révillon, honnête, élevé, rempli de situations dramatiques et émouvantes, touche une de nos plaies sociales les plus vives; son succès est certain. La librairie Michel Lévy vient de publier en deux volumes grand in-18 les Œuvres complètes de Camille Doucet. L'épreuve de la lecture, nous pouvons le prédire, ne sera pas moins favorable au spirituel académicien que celle de la représentation. Quatre autres volumes, un beau roman d'Amédée Achard, Envers et contre tous; les Cabotins, de M. Eugène Deligny; les Parents coupables, de M. Louis Ulbach ; les Derniers enchantements de Gertrude, de Mme Prudence de Saman, ont également paru cette semaine chez les mêmes éditeurs. BULLETIN METEOROLOGIQUE LA TEMPÉRATURE. — Ce matin, 22 juin, à 7 heures,
quon allait fusiller une fmm, il se fit remettre le dossier de son procès, et, après en avoir pris connaissance, demanda et btnt la grâce entière de l condamnée, qui fut renvoyée en France. Cette héroïne, obscure, qui porté le idn pendant èsrp ed trente ans, demeure aujourd'hui rue Vandamme, 15, où elle vit péniblement du fruit de son travail; se nomme Annette Drevon et est âgée de 51 ans. C'est une femme de taille moyenne, dont la physionomie respire la plus grande énergie, et ses traits dépourvus d rides, à ses chvx noirs on ne se douterait guèe quelle ui nos régiments e Afrique, en Crimée, en Italie, et sur les bords du Rhin. BIBLIOGRAPHIE . TonyRévillon vient de livrer la publicité un voeuuna roman plein d'intérêt et tout d'actuat la Séparée. L'auteur a trouvé, pour présenter ce sujet l séparation de crps et le divorce, une forme nouvelle, l plus original et la pus aan. Ni querelle domestique portée devant les tribunaux, ni discussion sê,rédtn'ti ni débats judiciaires Au moment où cmmnc an l femme est éapéser de son mari depuis deux ans elle est revenue chez ses parents, a repris sa vie de jeune fille; mais il lui est défnd d'aimer et d'être aimée; la loi la condamne à un leenoitsm éternel. Et el a gnvti ns !... Le roamn e . Tony Révillon, honnête, élevé rempli de situations amtqu et émouvantes, touche nue de nos plaies sociales ls plus vives; son sccès est certain. L librairie Michel Lévy vient de publier en deux volumes grnd in-18 les Œuvres complètes de Camille Doucet. L'épreuve de la lecture, nous pouvons le prédire, ne sera pas mns favorable au spirituel cdémcn que celle ed la représentation Quatre autres volumes, un b roman d'Amédée Adrcha, Eve et contre sut;o les Cabotins, de M. Egn Deligny; Parents coupables, de M. Louis Ulbach ; les Derniers enchantements de Gertrude, de Mm Prudence de Smn, ont également paru cette semaine he les êmems éurs BULLETIN ERLOIQU LA TEMPÉRATURE. — matin, 22 juin, 7 hrs,
vie de jeune fille; mais il lui est défendu d'aimer et d'être aimée; la loi la condamne à un isolement éternel. Et elle a vingt ans !... Le roman de M. Tony Révillon, honnête, élevé, rempli de situations dramatiques et émouvantes, touche une de nos plaies sociales les plus vives; son succès est certain. La librairie Michel Lévy vient de publier en deux volumes grand in-18 les Œuvres complètes de Camille Doucet. L'épreuve de la lecture, nous pouvons le prédire, ne sera pas moins favorable au spirituel académicien que celle de la représentation. Quatre autres volumes, un beau roman d'Amédée Achard, Envers et contre tous; les Cabotins, de M. Eugène Deligny; les Parents coupables, de M. Louis Ulbach ; les Derniers enchantements de Gertrude, de Mme Prudence de Saman, ont également paru cette semaine chez les mêmes éditeurs. BULLETIN METEOROLOGIQUE LA TEMPÉRATURE. — Ce matin, 22 juin, à 7 heures, le thermomètre centigrade de l'ingénieur Quesnel, place de la Bourse, marquait 22 degrés 988 au dessus de zéro ; à 11 heures, 22 degrés 986 au dessus de zéro; à 1 heure, 83 degrés 1088 au dessus de zéro. — Hauteur barométrique, 757 millimètres. HOMMES ET CHOSES On ne peut vivre sans boire. La moitié de la population de la terre boit de l'eau, l'autre moitié boit du vin. Il est reconnu, ou plutôt admis, que le vin est un fortifiant et que celui qui travaille en a un besoin absolu. Cependant j'ai connu des vieillards très bien portants, n'ayant jamais eu aucune maladie, et qui n'avaient jamais mais bu que de l'eau. J'en vois un tous les jours qui a quatre-vingt-dix ans passés, qui a travaillé toute sa vie à la terre et qui cultive encore aujourd'hui son jardin; sa femme a quatre-vingt-cinq ans, elle est vive, alerte et travaille également son lopin : ces deux bons vieillards n'ont jamais bu que de l'eau. Enfin, dans nos contrées, les partisans du vin sont en majorité, si bien qu'ils sont venus à faire adopter ce dicton : Tous les méchants sont buveurs d'eau. Il n'y a rien de tel qu'un
vie d jeune fille; ms il lui est défendu d'aimer et d'être amé la loi la condamne à un isolement éternel. Et elle a vingt ans !... Le roman de M. Tony Révillon, t élevé, rempli de situations dramatiques te émouvantes, touche une de s plaies sociales les plus vives; son ucè est certain. La librairie Mchl Lévy vient de uibrlpe en deux melusov grand in-18 les Œuvres complètes de Camille Doucet. prue d la lecture, nous pouvons le prédire, ne sera ps mis avfelabor au spirituel acaéi q celle de la représentation. Quatre autres volumes, un beau roman d'Amédée Achard, Envers et contre tous; les Cabotins, de M. Eugène Deligny; les Parents coupables, de M. Louis Ulbach ; ls Derniers enchantements de Gertrude, de Mme Prudence de Saman, ont églmnt paru tetec semaine chz les mêmes éditeurs. LELTNIUB METEOROLOGIQUE LA TEMPÉRATURE. — Ce matin, 22 jn, à 7 heures, le thermomètre centigrade de ligéne Quesnel, place de la Bourse, marquait 22 degrés 988 au dessus de zéro ; à 11 heures, 22 degrés 986 au dessus de zéro; à 1 heure, 83 degrés 1088 au dessus de zéro. — Hauteur barométrique, 757 millimètres. HOMMES ET CHOSES On ne pu vivre sans boire. La oéimti de la population de la terre boit de 'eau, l'autre itié boit du vin. Il est rco, ou plutôt admis, que le vin est un fortifiant t que celui qui trle en a un besoin absolu. Cependant j'ai connu des vieillards très bien portants, n'ayant jamais u aucune maladie, et qui n'avaient jamais mais bu que de l'eau. J'en vois un tous jours qui a quatre-vingt-dix as passés, i a travaillé sa vie à la terre et qui cultive encore aujourdhui son jardin; sa femme a quatre-vingt-cinq ans, ll est vive, alerte et travll également son lpn : ces deux bons vieillards n'ont jms bu que de l'eau. Enfin, dans nos contrées, les partisans d vin s en majorité, si bien is'qul sont venus à faire adopter ce dicton : Tous les méchants sont buveurs deau lI n'y a rien de tel qu'un
vivre sans boire. La moitié de la population de la terre boit de l'eau, l'autre moitié boit du vin. Il est reconnu, ou plutôt admis, que le vin est un fortifiant et que celui qui travaille en a un besoin absolu. Cependant j'ai connu des vieillards très bien portants, n'ayant jamais eu aucune maladie, et qui n'avaient jamais mais bu que de l'eau. J'en vois un tous les jours qui a quatre-vingt-dix ans passés, qui a travaillé toute sa vie à la terre et qui cultive encore aujourd'hui son jardin; sa femme a quatre-vingt-cinq ans, elle est vive, alerte et travaille également son lopin : ces deux bons vieillards n'ont jamais bu que de l'eau. Enfin, dans nos contrées, les partisans du vin sont en majorité, si bien qu'ils sont venus à faire adopter ce dicton : Tous les méchants sont buveurs d'eau. Il n'y a rien de tel qu'un proverbe pour entraîner les faibles et je doute qu'un homme ose se produire en société s'il ne boit pas de vin. Du reste, tout n'est pas rose dans la profession de buveur de vin, et, généralement celui qui possède dans sa cave une barrique pleine, a souvent passé déjà par bien des désagréments et des ennuis. D'abord, je ne crois pas qu'à Paris personne puisse se vanter d'avoir jamais reçu une barrique pleine. Quand elle arrive à domicile, sur un camion du chemin de fer, on la descend à la cave et à chaque marche de l'escalier, on a la satisfaction de constater le chant sonore produit par le liquide frappant contre le vide. Il en manque assez souvent deux ou trois litres, quelquefois dix. C'est fort désagréable de perdre de l'argent d'abord, et ensuite du vin, quand surtout on est parvenu à l'avoir à force de recherches et de tâtonnements ; car c'est, hélas ! une cruelle vérité, les trafics infâmes faits par les commerçants sont tels que le bon vin s'en va. On ne sait plus qui le boit. Il faut pourtant que ce soit quelqu'un, et quand on a son argent à la main on a bien
vivre a oir. La mté de la population de la terre boit de l'eau, l'autre moitié boit du vin. Il est reconnu, ou plutôt admis, que le ivn est un fortifiant t que celui qui travaille en a un besoin absolu. Cpnnt a connu des vieillards très bien rants, n'ynt jamais eu aucune maladie, et qui n'avaient jamais mais bu q de l'eau. J'en vs un usot les ors qui quatre-vingt-dix ans passés, qui a travaillé toute s v la terre et qui cultive coneer aujourd'hui ons jardin; sa femme a quatre-vingt-cinq s, elle est vive, ae et travaille également son lopin : ces deux bons vieillards n'ont jamais bu que de leau nf, adns nos contrées, les partisans du in sont en majorité, si bien q'ls sont venus à faire adopter c dicn : Tous les méchants sont buveurs d'eau. Il ny a rien de e q'n prvrb pour nn les faibles et je doe qu'un homme ose se iuepdror en société s'il ne boit pas de vin Du rese tout n'est pas rose dans la profession de buveur de vin, et, généralement celui qui possède dans sa cv une barrique pleine, a souvent passé déjà par bien des désagréments et des ennuis. D'abord, je ne crois ps qu' Paris personne puisse se vanter d'avoir jamais reçu u barrique pi Quand elle arrive à domicile, sur un camion du chemin de fer, no la descend à l cave et à qehacu che de l'escalier, on la satisfaction de constater le chant sonore toudrip pr l liquide frappant contre le vide. Il en manque assez souvent deux o trois litres qlqfs dix. C'est fort éeésrladgab de perdre de l'argent d'abord, et ensuite du vin, quand surtout on est parvenu à l'avoir à force de recherches et de âtnet ; ar c'st, hélas ! une cruelle ti,révé les trafics mseifân faits pra lse commerçants snt tels uqe le bon vin s'en v. On ne sait plus uqi le boit. Il faut pourtant que c soit quelqu'un, et quand on a son argent à la main on a bien
bien des désagréments et des ennuis. D'abord, je ne crois pas qu'à Paris personne puisse se vanter d'avoir jamais reçu une barrique pleine. Quand elle arrive à domicile, sur un camion du chemin de fer, on la descend à la cave et à chaque marche de l'escalier, on a la satisfaction de constater le chant sonore produit par le liquide frappant contre le vide. Il en manque assez souvent deux ou trois litres, quelquefois dix. C'est fort désagréable de perdre de l'argent d'abord, et ensuite du vin, quand surtout on est parvenu à l'avoir à force de recherches et de tâtonnements ; car c'est, hélas ! une cruelle vérité, les trafics infâmes faits par les commerçants sont tels que le bon vin s'en va. On ne sait plus qui le boit. Il faut pourtant que ce soit quelqu'un, et quand on a son argent à la main on a bien le droit d'avoir toutes les prétentions. Chaque fois qu'on reçoit sa barrique, on constate le vide, on crie après le camionneur, qui n'y peut rien, car le pauvre garçon arrive directement de la gare, et il n'y a pas apparence que ce soit lui qui, en pleine rue de Paris, se soit avisé de soutirer un litre ou deux. On l'aurait vu. En ce monde la grande affaire en toute chose, c'est de ne pas être vu. Où est le coupable? Car il y a un coupable ou des coupables. Sur mille barriques qui sont distribuées à Paris par jour, il se perd ainsi trois à quatre mille litres, sinon davantage ; c'est énorme. Il y a un vice quelque part. Votre barrique n'est pas pleine, vous vous plaignez à l'administration du chemin de fer, par lettre ou verbalement, on reçoit votre réclamation, mais c'est tout, on vous promet de veiller. Vous pouvez refuser la barrique, mais le plus souvent, on attend son vin avec impatience, avant d'en avoir d'autre il se passera encore longtemps, et puis c'est ennuyeux de réclamer, temps perdu, argent dépensé, sans compter que les employés se moquent de vous. On finit par prendre son parti
bien ds désagréments et des ennuis. D'abord, je ne crois sap q'à Paris personne puisse se vanter d'avoir jamais reçu une briqu pleine. Quand elle ari à domicile, sr un camion du chemin de fer, on la descend à la cave et à chaque marc de l'sclr, on a la satisfaction d constater le chant onr produit par le liquide frappant contre le vide. Il en mnq assez souvent deux ou trois litres, quelquefois dx. C'st fort désagréable de perdre ed l'argent d'brd, et ensuite du vin, quand surtout on est parvenu à l'avoir à force de rchrchs et de tâtonnements ; cr c'est, hélas ! une cruelle vérité, les trafics infâmes faits r les commerçants sont tels equ le bon vin s'en va. On ne sait plus qui le boit. Il faut pourtant que ce soit quelqu'un, t quand on a son argent à la main on a bien le droit davoir toutes les prétentions. Chaque fois qu'on reçoit sa barrique, on constate le vide, on crie après le cmnnr, qui n'y peut rien, car le pare garçon arrive diremn de la gare, e l n'y a pas pecrapnea que ce soit lui qui, ne pleine rue de Paris, se soit avisé soutirer un litre uo deux. On l'aurait v. En ce monde la rne are en toute chose, c'est de e pas être vu. Où est le coupable? Car il y a un coupable ou des coupables. Sur mille barriques qui sont dsrues à aris par jr, il se perd ns trois à quatre mille litres, snn davantage ; 'est énorme Il y a un vice quelque part. Votre barrique n'est pas pleine vs vous plaignez à l'dmnstrtn du hn de fer, lttr ou verbalement, on reçoit vtr réclamation, mais cest tout, on vous promet e veiller Vous pouvez refuser la barrique mais le plus souvent on ttnd son vin avec impatience, aa d avoir d'tr il se passera encore longtemps, et puis 'st ennuyeux de réclamer, temps perdu, argent dépensé, sans cmptr que les employés se moquent de vous. On finit par pede son parti
se soit avisé de soutirer un litre ou deux. On l'aurait vu. En ce monde la grande affaire en toute chose, c'est de ne pas être vu. Où est le coupable? Car il y a un coupable ou des coupables. Sur mille barriques qui sont distribuées à Paris par jour, il se perd ainsi trois à quatre mille litres, sinon davantage ; c'est énorme. Il y a un vice quelque part. Votre barrique n'est pas pleine, vous vous plaignez à l'administration du chemin de fer, par lettre ou verbalement, on reçoit votre réclamation, mais c'est tout, on vous promet de veiller. Vous pouvez refuser la barrique, mais le plus souvent, on attend son vin avec impatience, avant d'en avoir d'autre il se passera encore longtemps, et puis c'est ennuyeux de réclamer, temps perdu, argent dépensé, sans compter que les employés se moquent de vous. On finit par prendre son parti du vol, et par subir le dommage sans murmurer. Car il y a vol organisé un peu partout, et ces jours derniers un procès nous l'a révélé à propos des barriques soutirées. Il faut, du reste, en rendre hommage à la Compagnie du chemin de fer du Nord : c'est elle qui a attaché le grelot, et je ne doute pas que les autres Compagnies ne poursuivent cette guerre faite aux voleurs de vin dans les gares. La Compagnie du Nord recevait tous les jours des plaintes, et fit son enquête elle-même, ce qui est toujours préférable à celles de la justice qui, à force de s'en tenir aux formes, n'attrape jamais que des ombres. On découvrit ainsi que, tous les jours, des agents des trains, hommes d'équipe, mécaniciens et chauffeurs étaient en état de complicité pour pincer les fûts et leur enlever de quoi en remplir d'autres. On profite du moment où les trains sont en marche pour s'introduire dans les wagons qui contiennent les fûts, ou bien on se livre à ces opérations de pincer et de soutirage lorsque les wagons stationnent dans les gares où de nombreux convois se croisent et exigent toute l'attention des chefs. Sur
se soit avisé de soutirer un litre ou dx. On l'aurait vu. En ce monde l erngad affaire en toute chose, c'est de ne pas être vu. ù est le coupable? Car il y un coupable ou d coupables. Sur mille barriques qui sont dstrbés à Paris par jour, il se perd insai trois à quatre ille litres, ionns davantage ; c'est énorme. Il y a un vice quelque part. Votre barrique n'est pas pleine, vs vous plaignez à l'administration du chemin de fer, pr ou verbalement, on reçoit votre réclamation, mais c'est t, on vous promet de veiller. Vous pouvez refuser la barrique, sami le plus souvent, on attend son vin avec impatience, avant d'en aoi d'tr il se passera encore longtemps, et puis c'est ennuyeux de réclamer, temps eu argent dépensé, sans compter que les employés e moquent de vos On finit par prendre so parti du vol, et rpa subir le dommage sans murmurer. Car l y a vol organisé un upe partout, et ces jours drnrs u è nous l'a évlé à propos ds barriques soutirées. Il faut, du reste, en n hommage la Compagnie du chemin de fer du Nord : cest elle qui a attaché le grelot, et je ne doute pas que les trs Compagnies ne prsvnt cette guerre faite voleurs de vin dans les gares. La Compagnie du Nord recevait tous les jours des plnts, et fit son enquête ellemême ce qui est toujours préférable à celles de la justice qui, à force de s'en tenir aux formes, n'attrape jms que des ombres. O décvrt ainsi que, tous les or des agents des trains, hommes d'équipe, mécaniciens et chauffeurs étaient en étt d complicité pour pincer les fûts et leur enlvr d quoi en remplir d'autres. On profite du moment où ls trains sont en marche pr s'introduire dans les wagons qui contiennent les fûts, ou bien on se livre à ces opérations de pincer t de soutirage lorsque les wagons stationnent dans les gares où de nombreux convois se croisent et exigent toute l'attention esd chefs. Sur
elle qui a attaché le grelot, et je ne doute pas que les autres Compagnies ne poursuivent cette guerre faite aux voleurs de vin dans les gares. La Compagnie du Nord recevait tous les jours des plaintes, et fit son enquête elle-même, ce qui est toujours préférable à celles de la justice qui, à force de s'en tenir aux formes, n'attrape jamais que des ombres. On découvrit ainsi que, tous les jours, des agents des trains, hommes d'équipe, mécaniciens et chauffeurs étaient en état de complicité pour pincer les fûts et leur enlever de quoi en remplir d'autres. On profite du moment où les trains sont en marche pour s'introduire dans les wagons qui contiennent les fûts, ou bien on se livre à ces opérations de pincer et de soutirage lorsque les wagons stationnent dans les gares où de nombreux convois se croisent et exigent toute l'attention des chefs. Sur le Chemin du Nord, une grande quantité d'agents des trains ne buvaient pas d'autre vin que celui qu'on se procurait de cette façon. Les conducteurs de trains remplissaient les bouteilles qu'on leur apportait avec confiance, et tous prenaient leurs repas en commun et gaiement, je vous assure, aux frais de la princesse. On aurait fouillé tous ces agents le même jour et à la même heure qu'on aurait trouvé sur eux une vrille, un tube de fer, des cheville-plates, une pince, toutes sortes d'ustensiles nécessaires pour ces opérations, qui exigent une certaine dextérité. Il arrivait bien parfois qu'une pièce percée mal rebouchée fuyait outrageusement, mais c'était mis sur le compte de l'expéditeur et le bourgeois avalait tout cela, ou plutôt il n'avalait rien du tout. Je le répète, on ne saurait trop louer la Compagnie du Nord d'avoir fait condamner tous ces voleurs ; mais il faut que son bon exemple soit suivi. Cela se pratique partout, et rien n'est plus vexatoire que d'être audacieusement volé. Il faut convenir que l'homme est un étrange animal. Voici des agents de trains, pour la plupart anciens militaires ayant d'excellents états de service — il faut, pour être admis dans les Compagnies, une
elle qui a attaché le grelot, et je ne dt pas que les autres Cmpgns ne poursuivent cette guerre faite aux voleurs de vin dans les gares. La Compagnie du Nord recevait tos les jours ds plaintes, et fit son enquête elle-même, ce qui est toujours préférbl à celles d la justice qui, à orce s'en tenir aux ,rmesfo n'attrape jms que des ombres. On découvrit ainsi que, ts les jours, des agents s trains hommes d'équipe, mécncns chauffeurs étaient état de complicité pour pincer les fûts t leur enlever de quoi en remplir du'traes. On prft du moment où les trains sont en marche pr s'introduire dans les wagons qui contiennent l fûts, ou bien on s livre à ces onrpsiéaot de pincer t de soage lorsque les wagons stationnent dans les gares où de nombreux convois se croisent et exigent ot l'attention ds chfs. Sur le Chemin du Nord, une grande quantité d'agents des trns ne buvaient pas d'autre vin que celui qo se procurait de cette façon. Les oncer d trains remplissaient les bouteilles qu'on leur apportait avec confiance, et tous prenaient leurs repas en cmmn et gaiement, je vous assure, au frais de la princesse. n aurait fouillé tous ces agents le même jour et à la mêm here qu'on aurait trouvé s eux une vrille, un tube de fer des hevllates, une pince toutes sortes d'stnsls éesre pour ces opérations, q exigent une crtn dextérité. Il aat bie parfois qu'une pièce percée mla rebouchée fuyait outrageusement, a c'était mis sur l compte de l'expéditeur et le bourgeois avalait tout cela, ou plutôt il n'avalait rien du t Je le répète, on ne saurait trop louer la omCiapgen du Nord d'avoir fait cnane tous ces voleurs ; mais il faut que son bon exemple soit suivi. la se pratique partout, et rien n'est plus xoe q d'être ucanstaeemiedu volé. Il faut cnvnr que l'homme est un étrange animal Voici ds agents de trains, u la plupart anciens militaires ayant 'excellents états d service — il fat, pour êtr admis dans les Compagnies, une