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Chaîne littérale. |
On appelle une chaîne littérale la manière dont est définie une constante chaîne dans un code source. |
Sous sa forme la plus simple, on déclare une chaîne comme une suite de caractères entre guillemets (double quote) : |
"Ceci est une chaîne de caractère"; |
""; /* Chaîne vide */ |
Si la chaîne est trop longue, on peut aussi la couper sur plusieurs lignes : |
"Ceci est une chaîne de caractère, " /* pas de ; */ |
"déclarée sur plusieurs lignes."; |
Deux chaînes côtes à côtes (modulo les espaces et les commentaires) seront concaténées par le compilateur. De plus on peut utiliser le caractère barre oblique inverse (\) pour annuler la signification spéciale de certains caractères ou utiliser des caractères spéciaux (C.f liste ci-dessus). |
"Une chaîne avec des \"guillemets\" et une barre oblique (\\)\n"; |
Il est aussi possible d'utiliser la notation hexadécimale et octale pour décrire des caractéres dans la chaîne, il faut néanmoins faire attention avec la notation hexadécimale, car la définition peut s'étendre sur plus de 2 caractéres. En fait, tous les caractères suivant le codice_92 et appartenant à l'ensemble codice_93 seront utilisés pour déterminer la valeur du caractère (du fait que les caractères d'une chaîne peuvent faire plus qu'un octet). Cela peut produire certains effets de bords comme : |
/* Ce code contient un effet de bord inattendu */ |
"\x00abcdefghijklmnopqrstuvzxyz" |
Ce code n'insèrera pas un caractère 0 au début de la chaine, mais toute la séquence codice_94 servira à calculer la valeur du caractère (même si le résultat sera tronqué pour tenir dans un type codice_1). On peut éviter cela en utilisant la concaténation de chaînes constantes : |
"\x00" "abcdefghijklmnopqrstuvzxyz" |
Enfin, les chaînes de caractères faisant appel aux concepts de pointeur, tableau et de zone mémoire statique, leur utilisation plus poussée sera décrite dans la section dédiée aux tableaux. |
À noter la représentation obsolète des chaînes de caractères multilignes. À éviter dans la mesure du possible : |
/* Ce code est obsolete et a eviter */ |
"Ceci est une chaîne de caractère,\ |
déclarée sur plusieurs lignes"; |
Booléens. |
Le langage (jusqu'à la norme C99) ne fournit pas de type booléen. La valeur entière 0 prend la valeur de vérité "faux" et toutes les autres valeurs entières prennent la valeur de vérité "vrai". |
La norme C99 a introduit le type codice_96, qui peut contenir les valeurs 0 et 1. Elle a aussi ajouté l'en-tête codice_97, qui définit le type codice_98 qui est un raccourci pour codice_96, et les valeurs codice_100 et codice_101. Néanmoins, ces nouveautés du C99 ne sont pas très utilisées, les habitudes ayant été prises d'utiliser 0 et "différent de zéro" pour les booléens en C. |
Nota : toute expression utilisant des opérateurs booléens (voir opérateurs), retourne 1 si l'expression est vraie et 0 si elle est fausse, ce qui rend quasiment inutile l'usage du type booléen. |
Un booléen en un entier ont des règles de conversion différente, une valeur flottante comprise entre 0 et 1 non inclus, n'aura pas la même valeur selon que le récipient soit booléen ou entier. La valeur flottante NaN, étant différente de 0 sera vraie dans les deux cas. |
Vide. |
En plus de ces types, le langage C fournit un autre type, codice_102 qui représente "rien", le "vide". Il n'est pas possible de déclarer une variable de type codice_102. Nous verrons l'utilité de ce type lorsque nous parlerons de fonctions et de pointeurs. |
Programmation C++ |
Programmation C++/Introduction |
Quelques repères historiques. |
À l'origine, un ordinateur ne comprenait que le langage binaire : un programme était constitué d'une suite de 0 et de 1. Le programmeur devait lui-même traduire son programme sous cette forme. En 1950, Alan Turing et Maurice V. Wilkes de l'université de Cambridge branchent un clavier à un ordinateur, il est dorénavant possible de rentrer des mots associés au langage machine. Par exemple : mov, load, sub… |
Ces mots ne sont pas compris par l’ordinateur qui ne comprend que le langage binaire. Il faut alors un « assembleur » qui transforme le code en langage binaire. |
La nécessité de créer un langage de haut niveau se fait sentir, le FORTRAN (, traducteur de formules) est créé en 1957. Il est utilisé pour des programmes mathématiques et scientifiques. |
En 1970, Ken Thompson, créa un nouveau langage : Le B, descendant du BCPL (, créé en 1967 par Martin Richards). Son but était de créer un langage simple, malheureusement, son langage fut trop simple et trop dépendant de l’architecture utilisée… |
En 1971 Dennis Ritchie commence à mettre au point le successeur du B, le C. Le résultat est convaincant : Le C est totalement portable (il peut fonctionner sur tous les types de machines et de systèmes), il est de bas niveau (il peut créer du code aussi rapide que de l’assembleur) et il permet de traiter des problèmes de haut niveau. Le C permet de quasiment tout faire, du driver au jeu. |
Le C devient très vite populaire, tout le monde veut créer sa version. Beaucoup de compilateurs qui voient le jour sont incompatibles entre eux et la portabilité est perdue. Il est décidé qu’il faut un standard pour le C. L'ANSI () s’en charge en 1983. |
La plupart des compilateurs se conforment à ce standard. Un programme écrit en C ANSI est compatible avec tous les compilateurs. |
Il manque la programmation orientée objet au C. C’est pourquoi Bjarne Stroustrup, des laboratoires Bell, crée le C++, dont le développement a commencé au début de années 1980. Il construit donc le C++ sur la base du C. C++ est capable de compiler un programme C, et garde donc une forte compatibilité avec le C. |
Les langages C et C++ sont les langages les plus utilisés dans le monde de la programmation. |
Présentation du C++. |
Le C++ est un langage multiparadigme. Il supporte essentiellement les paradigmes suivants : |
Outre ces grands paradigmes, C++ implémente la notion de typage strict, de constance, de polymorphisme statique (ou à la compilation) grâce à la surcharge et aux fonctions génériques, de références (une alternative aux pointeurs bien plus robuste et bien moins dangereuse) et permet également la surcharge d'opérateurs et de simuler les mixins grâce au mécanisme de dérivation multiple. |
Il est largement compatible avec le langage C, ce qui est à la fois une richesse et un problème. En effet, le langage C est actuellement (en 2006) un langage largement utilisé pour écrire des systèmes d'exploitation (Windows, Linux, Mac OS). Le C++ peut donc très naturellement avoir un accès direct au système d'exploitation dans le cadre d'une programmation de bas niveau, tout en permettant une programmation de haut niveau en exploitant toute la richesse des concepts orientés objet. Le problème levé par ce lien filial étant que les développeurs ayant appris le C avant le C++ utilisent les techniques C là où le C++ possède des ajouts moins dangereux (par exemple, les références). Ce type de code est surnommé « C "with classes" ». |
Les apports du C++ par rapport au C. |
Le C++ a apporté par rapport au langage C les notions suivantes : |
Programmation C sharp |
Programmation C# |
Programmation Cobol |
Cobol est le nom d'un langage de programmation et un acronyme signifiant mmon usiness riented anguage. |
Le langage de programmation Cobol a initialement été créé en 1959 par le Short Range Committee, un des trois comités proposés à une rencontre au Pentagone en mai 1959 organisée par Charles Phillips du département de la défense des États-Unis. Le comité a été formé pour recommander une approche à court terme pour un langage commun destiné aux entreprises. Il était constitué de membres représentant six constructeurs d'ordinateurs et trois agences gouvernementales. Les six constructeurs informatiques étaient Burroughs Corporation, IBM, Minneapolis-Honeywell, RCA, Sperry Rand, et Sylvania Electric Products. Les trois agences du gouvernement étaient le US Air Force, le David Taylor Model Basin, et le National Bureau of Standards. Ce comité était présidé par un membre du NBS. Des comités à moyen et long terme ont également été proposés au Pentagone. Par contre, même si le premier a été fondé, il n'a jamais été opérationnel, et le dernier n'a jamais été fondé. En fin de compte, un sous-comité du Short Range Committee a été formé avec six membres : |
William Selden et Gertrude Tierney de IBM. |
Howard Bromberg et Howard Discount de RCA. |
Vernon Reeves et Jean E. Sammet de Sylvania Electric Products. |
Ce sous-comité a complété les spécifications de Cobol alors que l'année 1959 prenait fin. Celles-ci furent approuvées par le comité complet. À partir de ce moment, les spécifications furent approuvées par le comité exécutif en janvier 1960 et envoyées au bureau d'impression du gouvernement qui les édita et imprima en les nommant Cobol 60. Le langage fut développé en moins de six mois de travail, et il est encore en utilisation plus de 40 ans après. |
Cobol, comme défini dans la spécification originale, possédait d'excellentes capacités d'auto-documentation, des bonnes méthodes de gestion des fichiers et des types de données exceptionnellement bons pour l'époque, grâce à l'utilisation de la clause PICTURE pour détailler le format d'un champ. Par contre, par rapport aux standards de programmation modernes, il a de sérieuses imperfections, notamment une syntaxe qui est très près du langage naturel, l'incapacité de définir des variables locales, des fonctions récursives et d'allouer de la mémoire dynamiquement. Son manque de support de la programmation orientée objet est compréhensible, puisque le concept était inconnu à cette époque. |
Le Cobol définit beaucoup de mots réservés, et il est difficile d'éviter d'en utiliser un par erreur sans avoir recours à une convention comme l'ajout d'un préfixe à tous les noms de variable. Les spécifications originales du COBOL supportaient même la modification du code pendant l'exécution à l'aide du fameux énoncé ALTER X TO PROCEED TO Y (altérer X pour faire Y). Conséquemment, peu de nouveau code est écrit en COBOL. Toutefois, les spécifications ont été redéfinies au travers des années pour remédier à certaines particularités qui faisaient l'objet de critiques. Les plus récentes versions du langage ont donc réglé plusieurs manques, par exemple en ajoutant des structures de contrôle améliorées, l'orientation vers l'objet et en supprimant la possibilité de modifier le code à l'exécution. |
Plusieurs programmes Cobol sont toujours en utilisation dans des entreprises majeures, notamment dans les institutions financières. Certains pensent que l'utilisation d'une arithmétique de décimales en série a rendu les programmes plus vulnérables à des problèmes tels que le bogue de l'an 2000. Par contre, le gestion des décimales du Cobol évite plusieurs problèmes qui peuvent arriver lors de l'utilisation de nombre à virgule flottante pour les calculs financiers. |
= Liens = |
Boîte à jeux/Buckdice |
Déroulement. |
Un joueur lance un dé : le chiffre sorti sera celui retenu « ATOUT » pour la partie. |
Ensuite, chaque joueur lance 3 dés et marque un point chaque fois que le chiffre « ATOUT» est sorti. |
Chaque joueur joue à son tour. Le gagnant est celui qui a obtenu le premier 15 points. |
Le joueur qui dépasse 15 voit son dernier coup annulé. |
Les brelans comptent 5 points. |
Le brelan d'atout gagne la partie, même si des points sont déjà marqués. |
Boîte à jeux/Sept |
Se joue avec 2 dés |
Au préalable, on aura préparé une feuille de papier divisée en 2 parties dans le sens de la longueur : |
Un joueur désigne le banquier, à tour de rôle, et règle le jeu. |
Les autres joueurs placent leur mise ou jetons sur une des deux colonnes puis le banquier jette les dés. |
On additionne les points donnés par les dés dont le total forme le numéro gagnant. Si le numéro gagnant est dans la colonne manque, les joueurs ayant misé sur celle-ci reçoivent autant de jetons que la mise initiale qu'ils ont joué. |
Les jetons figurant sur la colonne passe sont retirés par le banquier et mis à la disposition de la banque |
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