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Indiquer les mots clés du texte : Apprendre à décrire le document juridique à l'heure du Web 2.0 L’inflation documentaire dans le domaine du droit est un phénomène indéniable auquel sont confrontés tous les acteurs juridiques au sens large. Malgré les initiatives du gouvernement français pour faciliter l’accès à certaines sources juridiques (Légifrance en est un exemple), l’accès à l’information et au document juridiques est de plus en plus complexe, d’autant plus complexe qu’il existe une forme d’illettrisme informationnel parmi les professionnels du droit. En contrepoint de cette complexité exponentielle, force est de constater que les entreprises font jouer la concurrence des systèmes juridiques du point de vue de leur attractivité économique. Devant la nécessité d’améliorer l’identification et la gestion des documents juridiques, nous proposons une feuille de route pour améliorer la boite à outil primordiale pour toute construction et/ou de tout raisonnement juridique. | Accès à l'information |
Indiquer les mots clés du texte : Apprendre à décrire le document juridique à l'heure du Web 2.0 L’inflation documentaire dans le domaine du droit est un phénomène indéniable auquel sont confrontés tous les acteurs juridiques au sens large. Malgré les initiatives du gouvernement français pour faciliter l’accès à certaines sources juridiques (Légifrance en est un exemple), l’accès à l’information et au document juridiques est de plus en plus complexe, d’autant plus complexe qu’il existe une forme d’illettrisme informationnel parmi les professionnels du droit. En contrepoint de cette complexité exponentielle, force est de constater que les entreprises font jouer la concurrence des systèmes juridiques du point de vue de leur attractivité économique. Devant la nécessité d’améliorer l’identification et la gestion des documents juridiques, nous proposons une feuille de route pour améliorer la boite à outil primordiale pour toute construction et/ou de tout raisonnement juridique. | Accès à l'information |
Extraire les mots clés importants du texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
Extrais les mots clés importants du texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
Isoler les mots clés importants du texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
Isole les mots clés importants du texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
Isolez les mots clés importants du texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
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Dégagez des mots clés dans le texte : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
Générer des mots clés issus du texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
Génère des mots clés issus du texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
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Trouver les mots clés du texte : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
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Repérer les mots clés importants présents dans le texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
Repère les mots clés importants présents dans le texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
Repérez les mots clés importants présents dans le texte suivant : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
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Indiquer les mots clés du texte : Structuration physiologique de la gestuelle: modèle et tests La gestuelle coverbale est trop souvent associée à (contaminée par?) la parole co-occurrente. Elle relève pourtant d'une modalité non linéaire. La compositionnalité possible de la gestuelle ouvre sur une voie d'expression multilinéaire du sens. En dehors des emblèmes, aucun inventaire lexical ne permet d'étudier les productions gestuelles. Une approche physiologique répond à ce préalable: inventorier pour éclairer la composition. Après avoir présenté la structuration articulaire de la gestualité, les résultats d'un test d'assignation d'étiquettes montrent la validité d'une catégorisation structurée par les degrés de liberté (ddl) de la physiologie articulaire. Des proximités formelles sont explorées, elles forment une typologie qu'il reste à informer. En outre, des relations formelles et sémantiques émergent entre ces ddl. Elles seront abordées ici. | Typologie, Relation sémantique |
Extraire les mots clés importants du texte suivant : Premiers éléments de définition d'un type émergent de FASP: l'ecothriller Une profusion de discours sur la crise écologique actuelle semble se manifester à tous les niveaux de la société (dans l'univers des médias, des entreprises, de l'éducation, dans la sphère politique...) ; il peut donc paraître naturel qu'elle se manifeste également dans le domaine de la fiction. C'est ce dont témoigne le développement récent d'un nouveau genre de fiction spécialisée, l'ecothriller, dont l'auteur souhaite présenter les premiers éléments d'une définition. Tout d'abord l'origine de cette nouvelle étiquette générique est étudiée, puis elle est définie à travers l'analyse des points communs entre les différentes fictions qualifiées comme telles. Cette étude amène aussi à s'interroger sur le lien qui existe entre fiction et réel dans ce type de fiction à substrat professionnel. Ce lien peut être comparé à celui d'un double effet de miroir tant la production d'ecothrillers semble découler de faits réels et tant les auteurs de ces romans semblent viser à jouer un rôle politique ou éducatif dans le monde réel. | Fiction, Réel, Substrat professionnel, Roman |
Extrais les mots clés importants du texte suivant : Premiers éléments de définition d'un type émergent de FASP: l'ecothriller Une profusion de discours sur la crise écologique actuelle semble se manifester à tous les niveaux de la société (dans l'univers des médias, des entreprises, de l'éducation, dans la sphère politique...) ; il peut donc paraître naturel qu'elle se manifeste également dans le domaine de la fiction. C'est ce dont témoigne le développement récent d'un nouveau genre de fiction spécialisée, l'ecothriller, dont l'auteur souhaite présenter les premiers éléments d'une définition. Tout d'abord l'origine de cette nouvelle étiquette générique est étudiée, puis elle est définie à travers l'analyse des points communs entre les différentes fictions qualifiées comme telles. Cette étude amène aussi à s'interroger sur le lien qui existe entre fiction et réel dans ce type de fiction à substrat professionnel. Ce lien peut être comparé à celui d'un double effet de miroir tant la production d'ecothrillers semble découler de faits réels et tant les auteurs de ces romans semblent viser à jouer un rôle politique ou éducatif dans le monde réel. | Fiction, Réel, Substrat professionnel, Roman |
Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Premiers éléments de définition d'un type émergent de FASP: l'ecothriller Une profusion de discours sur la crise écologique actuelle semble se manifester à tous les niveaux de la société (dans l'univers des médias, des entreprises, de l'éducation, dans la sphère politique...) ; il peut donc paraître naturel qu'elle se manifeste également dans le domaine de la fiction. C'est ce dont témoigne le développement récent d'un nouveau genre de fiction spécialisée, l'ecothriller, dont l'auteur souhaite présenter les premiers éléments d'une définition. Tout d'abord l'origine de cette nouvelle étiquette générique est étudiée, puis elle est définie à travers l'analyse des points communs entre les différentes fictions qualifiées comme telles. Cette étude amène aussi à s'interroger sur le lien qui existe entre fiction et réel dans ce type de fiction à substrat professionnel. Ce lien peut être comparé à celui d'un double effet de miroir tant la production d'ecothrillers semble découler de faits réels et tant les auteurs de ces romans semblent viser à jouer un rôle politique ou éducatif dans le monde réel. | Fiction, Réel, Substrat professionnel, Roman |
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Dégagez des mots clés dans le texte : Premiers éléments de définition d'un type émergent de FASP: l'ecothriller Une profusion de discours sur la crise écologique actuelle semble se manifester à tous les niveaux de la société (dans l'univers des médias, des entreprises, de l'éducation, dans la sphère politique...) ; il peut donc paraître naturel qu'elle se manifeste également dans le domaine de la fiction. C'est ce dont témoigne le développement récent d'un nouveau genre de fiction spécialisée, l'ecothriller, dont l'auteur souhaite présenter les premiers éléments d'une définition. Tout d'abord l'origine de cette nouvelle étiquette générique est étudiée, puis elle est définie à travers l'analyse des points communs entre les différentes fictions qualifiées comme telles. Cette étude amène aussi à s'interroger sur le lien qui existe entre fiction et réel dans ce type de fiction à substrat professionnel. Ce lien peut être comparé à celui d'un double effet de miroir tant la production d'ecothrillers semble découler de faits réels et tant les auteurs de ces romans semblent viser à jouer un rôle politique ou éducatif dans le monde réel. | Fiction, Réel, Substrat professionnel, Roman |
Générer des mots clés issus du texte suivant : Premiers éléments de définition d'un type émergent de FASP: l'ecothriller Une profusion de discours sur la crise écologique actuelle semble se manifester à tous les niveaux de la société (dans l'univers des médias, des entreprises, de l'éducation, dans la sphère politique...) ; il peut donc paraître naturel qu'elle se manifeste également dans le domaine de la fiction. C'est ce dont témoigne le développement récent d'un nouveau genre de fiction spécialisée, l'ecothriller, dont l'auteur souhaite présenter les premiers éléments d'une définition. Tout d'abord l'origine de cette nouvelle étiquette générique est étudiée, puis elle est définie à travers l'analyse des points communs entre les différentes fictions qualifiées comme telles. Cette étude amène aussi à s'interroger sur le lien qui existe entre fiction et réel dans ce type de fiction à substrat professionnel. Ce lien peut être comparé à celui d'un double effet de miroir tant la production d'ecothrillers semble découler de faits réels et tant les auteurs de ces romans semblent viser à jouer un rôle politique ou éducatif dans le monde réel. | Fiction, Réel, Substrat professionnel, Roman |
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Expression compositionnelle ou locution : ça craint vs ça barde ? L’une des propriétés du pronom « ça », à savoir sa valeur impersonnelle, se constate quand il commute avec le pronom impersonnel « il », comme support de verbes météorologiques (« il gèle » vs. « ça gèle »). Or, au-delà de cette fonction impersonnelle, ce déictique semble responsable du caractère figé de certaines expressions en exerçant sur elles des contraintes multiples. Les expressions sont alors qualifiées de figées car elles sont peu susceptibles de variations syntaxiques. Mais comme tous les verbes ne sont pas contraints de la même manière, on peut parler de semi-figement. Il apparaît en effet que beaucoup d’expressions dites idiomatiques restent compositionnelles. Dans cet article, l’A. se propose d’analyser et de comparer différents exemples tels que « ça va, ça y est, ça rime à rien, ça craint, ça barde ». | Pronom, Impersonnel, Déictique, Propriété syntaxique, Expression figée |
Extrais les mots clés importants du texte suivant : Expression compositionnelle ou locution : ça craint vs ça barde ? L’une des propriétés du pronom « ça », à savoir sa valeur impersonnelle, se constate quand il commute avec le pronom impersonnel « il », comme support de verbes météorologiques (« il gèle » vs. « ça gèle »). Or, au-delà de cette fonction impersonnelle, ce déictique semble responsable du caractère figé de certaines expressions en exerçant sur elles des contraintes multiples. Les expressions sont alors qualifiées de figées car elles sont peu susceptibles de variations syntaxiques. Mais comme tous les verbes ne sont pas contraints de la même manière, on peut parler de semi-figement. Il apparaît en effet que beaucoup d’expressions dites idiomatiques restent compositionnelles. Dans cet article, l’A. se propose d’analyser et de comparer différents exemples tels que « ça va, ça y est, ça rime à rien, ça craint, ça barde ». | Pronom, Impersonnel, Déictique, Propriété syntaxique, Expression figée |
Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Expression compositionnelle ou locution : ça craint vs ça barde ? L’une des propriétés du pronom « ça », à savoir sa valeur impersonnelle, se constate quand il commute avec le pronom impersonnel « il », comme support de verbes météorologiques (« il gèle » vs. « ça gèle »). Or, au-delà de cette fonction impersonnelle, ce déictique semble responsable du caractère figé de certaines expressions en exerçant sur elles des contraintes multiples. Les expressions sont alors qualifiées de figées car elles sont peu susceptibles de variations syntaxiques. Mais comme tous les verbes ne sont pas contraints de la même manière, on peut parler de semi-figement. Il apparaît en effet que beaucoup d’expressions dites idiomatiques restent compositionnelles. Dans cet article, l’A. se propose d’analyser et de comparer différents exemples tels que « ça va, ça y est, ça rime à rien, ça craint, ça barde ». | Pronom, Impersonnel, Déictique, Propriété syntaxique, Expression figée |
Isoler les mots clés importants du texte suivant : Expression compositionnelle ou locution : ça craint vs ça barde ? L’une des propriétés du pronom « ça », à savoir sa valeur impersonnelle, se constate quand il commute avec le pronom impersonnel « il », comme support de verbes météorologiques (« il gèle » vs. « ça gèle »). Or, au-delà de cette fonction impersonnelle, ce déictique semble responsable du caractère figé de certaines expressions en exerçant sur elles des contraintes multiples. Les expressions sont alors qualifiées de figées car elles sont peu susceptibles de variations syntaxiques. Mais comme tous les verbes ne sont pas contraints de la même manière, on peut parler de semi-figement. Il apparaît en effet que beaucoup d’expressions dites idiomatiques restent compositionnelles. Dans cet article, l’A. se propose d’analyser et de comparer différents exemples tels que « ça va, ça y est, ça rime à rien, ça craint, ça barde ». | Pronom, Impersonnel, Déictique, Propriété syntaxique, Expression figée |
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Isolez les mots clés importants du texte suivant : Expression compositionnelle ou locution : ça craint vs ça barde ? L’une des propriétés du pronom « ça », à savoir sa valeur impersonnelle, se constate quand il commute avec le pronom impersonnel « il », comme support de verbes météorologiques (« il gèle » vs. « ça gèle »). Or, au-delà de cette fonction impersonnelle, ce déictique semble responsable du caractère figé de certaines expressions en exerçant sur elles des contraintes multiples. Les expressions sont alors qualifiées de figées car elles sont peu susceptibles de variations syntaxiques. Mais comme tous les verbes ne sont pas contraints de la même manière, on peut parler de semi-figement. Il apparaît en effet que beaucoup d’expressions dites idiomatiques restent compositionnelles. Dans cet article, l’A. se propose d’analyser et de comparer différents exemples tels que « ça va, ça y est, ça rime à rien, ça craint, ça barde ». | Pronom, Impersonnel, Déictique, Propriété syntaxique, Expression figée |
Dégager des mots clés dans le texte : Expression compositionnelle ou locution : ça craint vs ça barde ? L’une des propriétés du pronom « ça », à savoir sa valeur impersonnelle, se constate quand il commute avec le pronom impersonnel « il », comme support de verbes météorologiques (« il gèle » vs. « ça gèle »). Or, au-delà de cette fonction impersonnelle, ce déictique semble responsable du caractère figé de certaines expressions en exerçant sur elles des contraintes multiples. Les expressions sont alors qualifiées de figées car elles sont peu susceptibles de variations syntaxiques. Mais comme tous les verbes ne sont pas contraints de la même manière, on peut parler de semi-figement. Il apparaît en effet que beaucoup d’expressions dites idiomatiques restent compositionnelles. Dans cet article, l’A. se propose d’analyser et de comparer différents exemples tels que « ça va, ça y est, ça rime à rien, ça craint, ça barde ». | Pronom, Impersonnel, Déictique, Propriété syntaxique, Expression figée |
Dégage des mots clés dans le texte : Expression compositionnelle ou locution : ça craint vs ça barde ? L’une des propriétés du pronom « ça », à savoir sa valeur impersonnelle, se constate quand il commute avec le pronom impersonnel « il », comme support de verbes météorologiques (« il gèle » vs. « ça gèle »). Or, au-delà de cette fonction impersonnelle, ce déictique semble responsable du caractère figé de certaines expressions en exerçant sur elles des contraintes multiples. Les expressions sont alors qualifiées de figées car elles sont peu susceptibles de variations syntaxiques. Mais comme tous les verbes ne sont pas contraints de la même manière, on peut parler de semi-figement. Il apparaît en effet que beaucoup d’expressions dites idiomatiques restent compositionnelles. Dans cet article, l’A. se propose d’analyser et de comparer différents exemples tels que « ça va, ça y est, ça rime à rien, ça craint, ça barde ». | Pronom, Impersonnel, Déictique, Propriété syntaxique, Expression figée |
Dégagez des mots clés dans le texte : Expression compositionnelle ou locution : ça craint vs ça barde ? L’une des propriétés du pronom « ça », à savoir sa valeur impersonnelle, se constate quand il commute avec le pronom impersonnel « il », comme support de verbes météorologiques (« il gèle » vs. « ça gèle »). Or, au-delà de cette fonction impersonnelle, ce déictique semble responsable du caractère figé de certaines expressions en exerçant sur elles des contraintes multiples. Les expressions sont alors qualifiées de figées car elles sont peu susceptibles de variations syntaxiques. Mais comme tous les verbes ne sont pas contraints de la même manière, on peut parler de semi-figement. Il apparaît en effet que beaucoup d’expressions dites idiomatiques restent compositionnelles. Dans cet article, l’A. se propose d’analyser et de comparer différents exemples tels que « ça va, ça y est, ça rime à rien, ça craint, ça barde ». | Pronom, Impersonnel, Déictique, Propriété syntaxique, Expression figée |
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Indiquer les mots clés du texte : Expression compositionnelle ou locution : ça craint vs ça barde ? L’une des propriétés du pronom « ça », à savoir sa valeur impersonnelle, se constate quand il commute avec le pronom impersonnel « il », comme support de verbes météorologiques (« il gèle » vs. « ça gèle »). Or, au-delà de cette fonction impersonnelle, ce déictique semble responsable du caractère figé de certaines expressions en exerçant sur elles des contraintes multiples. Les expressions sont alors qualifiées de figées car elles sont peu susceptibles de variations syntaxiques. Mais comme tous les verbes ne sont pas contraints de la même manière, on peut parler de semi-figement. Il apparaît en effet que beaucoup d’expressions dites idiomatiques restent compositionnelles. Dans cet article, l’A. se propose d’analyser et de comparer différents exemples tels que « ça va, ça y est, ça rime à rien, ça craint, ça barde ». | Pronom, Impersonnel, Déictique, Propriété syntaxique, Expression figée |
Indiquer les mots clés du texte : Expression compositionnelle ou locution : ça craint vs ça barde ? L’une des propriétés du pronom « ça », à savoir sa valeur impersonnelle, se constate quand il commute avec le pronom impersonnel « il », comme support de verbes météorologiques (« il gèle » vs. « ça gèle »). Or, au-delà de cette fonction impersonnelle, ce déictique semble responsable du caractère figé de certaines expressions en exerçant sur elles des contraintes multiples. Les expressions sont alors qualifiées de figées car elles sont peu susceptibles de variations syntaxiques. Mais comme tous les verbes ne sont pas contraints de la même manière, on peut parler de semi-figement. Il apparaît en effet que beaucoup d’expressions dites idiomatiques restent compositionnelles. Dans cet article, l’A. se propose d’analyser et de comparer différents exemples tels que « ça va, ça y est, ça rime à rien, ça craint, ça barde ». | Pronom, Impersonnel, Déictique, Propriété syntaxique, Expression figée |
Extraire les mots clés importants du texte suivant : Les emprunts discursifs entre politique et publicité. Des échanges inégaux : Publicité et politique Le monde politique, comme indiqué dans la présentation du dossier, emprunte très largement à la publicité commerciale ses méthodes et techniques, mais moins souvent ses mots. S'il arrive que des locuteurs politiques s'approprient des éléments de discours issus de l'univers de la publicité ou des marques, les cas restent assez limités. Peut-être les politiques rechignent-ils à puiser massivement dans le répertoire marchand par crainte de rendre trivial leur objet? Il est sans doute plus valorisant de nourrir un discours politique de références réputées plus nobles, par exemple historiques ou littéraires. En tout cas, les importations de ce genre exigent que les expressions publicitaires recyclées appartiennent à une culture assurément partagée parles publics visés et bénéficient d'une notoriété suffisante. Leur avantage, comme pour les emprunts au lexique sportif (Barbet, 2007), est alors de parler au plus grand nombre. Si la communication politique emprunte largement ses méthodes à la publicité commerciale, elle s'inspire plus rarement de ses mots, sinon en recyclant quelques slogans de marques à succès. En revanche, les agences publicitaires s'inspirent massivement des discours politiques à des fins de promotion marchande. Depuis les années soixante-dix, la tendance du marketing au «rebond » sur l'actualité politique s'est amplifiée, démultipliée par l'usage de l'Internet. Les annonceurs rivalisent désormais en détournements de formules politiques, en simulacres de vote ou en parodies de campagne électorale parfois audacieuses, visant à faire « élire » des produits. Cette mise en dérision, par décalage, s'appuie sur la désacralisation politique tout en la confortant. Pourtant, elle ne porte pas atteinte au principe électif lui-même, qui s'étend ainsi à des domaines toujours plus variés. | Publicité, Discours politique, Slogan, Parodie |
Extrais les mots clés importants du texte suivant : Les emprunts discursifs entre politique et publicité. Des échanges inégaux : Publicité et politique Le monde politique, comme indiqué dans la présentation du dossier, emprunte très largement à la publicité commerciale ses méthodes et techniques, mais moins souvent ses mots. S'il arrive que des locuteurs politiques s'approprient des éléments de discours issus de l'univers de la publicité ou des marques, les cas restent assez limités. Peut-être les politiques rechignent-ils à puiser massivement dans le répertoire marchand par crainte de rendre trivial leur objet? Il est sans doute plus valorisant de nourrir un discours politique de références réputées plus nobles, par exemple historiques ou littéraires. En tout cas, les importations de ce genre exigent que les expressions publicitaires recyclées appartiennent à une culture assurément partagée parles publics visés et bénéficient d'une notoriété suffisante. Leur avantage, comme pour les emprunts au lexique sportif (Barbet, 2007), est alors de parler au plus grand nombre. Si la communication politique emprunte largement ses méthodes à la publicité commerciale, elle s'inspire plus rarement de ses mots, sinon en recyclant quelques slogans de marques à succès. En revanche, les agences publicitaires s'inspirent massivement des discours politiques à des fins de promotion marchande. Depuis les années soixante-dix, la tendance du marketing au «rebond » sur l'actualité politique s'est amplifiée, démultipliée par l'usage de l'Internet. Les annonceurs rivalisent désormais en détournements de formules politiques, en simulacres de vote ou en parodies de campagne électorale parfois audacieuses, visant à faire « élire » des produits. Cette mise en dérision, par décalage, s'appuie sur la désacralisation politique tout en la confortant. Pourtant, elle ne porte pas atteinte au principe électif lui-même, qui s'étend ainsi à des domaines toujours plus variés. | Publicité, Discours politique, Slogan, Parodie |
Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Les emprunts discursifs entre politique et publicité. Des échanges inégaux : Publicité et politique Le monde politique, comme indiqué dans la présentation du dossier, emprunte très largement à la publicité commerciale ses méthodes et techniques, mais moins souvent ses mots. S'il arrive que des locuteurs politiques s'approprient des éléments de discours issus de l'univers de la publicité ou des marques, les cas restent assez limités. Peut-être les politiques rechignent-ils à puiser massivement dans le répertoire marchand par crainte de rendre trivial leur objet? Il est sans doute plus valorisant de nourrir un discours politique de références réputées plus nobles, par exemple historiques ou littéraires. En tout cas, les importations de ce genre exigent que les expressions publicitaires recyclées appartiennent à une culture assurément partagée parles publics visés et bénéficient d'une notoriété suffisante. Leur avantage, comme pour les emprunts au lexique sportif (Barbet, 2007), est alors de parler au plus grand nombre. Si la communication politique emprunte largement ses méthodes à la publicité commerciale, elle s'inspire plus rarement de ses mots, sinon en recyclant quelques slogans de marques à succès. En revanche, les agences publicitaires s'inspirent massivement des discours politiques à des fins de promotion marchande. Depuis les années soixante-dix, la tendance du marketing au «rebond » sur l'actualité politique s'est amplifiée, démultipliée par l'usage de l'Internet. Les annonceurs rivalisent désormais en détournements de formules politiques, en simulacres de vote ou en parodies de campagne électorale parfois audacieuses, visant à faire « élire » des produits. Cette mise en dérision, par décalage, s'appuie sur la désacralisation politique tout en la confortant. Pourtant, elle ne porte pas atteinte au principe électif lui-même, qui s'étend ainsi à des domaines toujours plus variés. | Publicité, Discours politique, Slogan, Parodie |
Isoler les mots clés importants du texte suivant : Les emprunts discursifs entre politique et publicité. Des échanges inégaux : Publicité et politique Le monde politique, comme indiqué dans la présentation du dossier, emprunte très largement à la publicité commerciale ses méthodes et techniques, mais moins souvent ses mots. S'il arrive que des locuteurs politiques s'approprient des éléments de discours issus de l'univers de la publicité ou des marques, les cas restent assez limités. Peut-être les politiques rechignent-ils à puiser massivement dans le répertoire marchand par crainte de rendre trivial leur objet? Il est sans doute plus valorisant de nourrir un discours politique de références réputées plus nobles, par exemple historiques ou littéraires. En tout cas, les importations de ce genre exigent que les expressions publicitaires recyclées appartiennent à une culture assurément partagée parles publics visés et bénéficient d'une notoriété suffisante. Leur avantage, comme pour les emprunts au lexique sportif (Barbet, 2007), est alors de parler au plus grand nombre. Si la communication politique emprunte largement ses méthodes à la publicité commerciale, elle s'inspire plus rarement de ses mots, sinon en recyclant quelques slogans de marques à succès. En revanche, les agences publicitaires s'inspirent massivement des discours politiques à des fins de promotion marchande. Depuis les années soixante-dix, la tendance du marketing au «rebond » sur l'actualité politique s'est amplifiée, démultipliée par l'usage de l'Internet. Les annonceurs rivalisent désormais en détournements de formules politiques, en simulacres de vote ou en parodies de campagne électorale parfois audacieuses, visant à faire « élire » des produits. Cette mise en dérision, par décalage, s'appuie sur la désacralisation politique tout en la confortant. Pourtant, elle ne porte pas atteinte au principe électif lui-même, qui s'étend ainsi à des domaines toujours plus variés. | Publicité, Discours politique, Slogan, Parodie |
Isole les mots clés importants du texte suivant : Les emprunts discursifs entre politique et publicité. Des échanges inégaux : Publicité et politique Le monde politique, comme indiqué dans la présentation du dossier, emprunte très largement à la publicité commerciale ses méthodes et techniques, mais moins souvent ses mots. S'il arrive que des locuteurs politiques s'approprient des éléments de discours issus de l'univers de la publicité ou des marques, les cas restent assez limités. Peut-être les politiques rechignent-ils à puiser massivement dans le répertoire marchand par crainte de rendre trivial leur objet? Il est sans doute plus valorisant de nourrir un discours politique de références réputées plus nobles, par exemple historiques ou littéraires. En tout cas, les importations de ce genre exigent que les expressions publicitaires recyclées appartiennent à une culture assurément partagée parles publics visés et bénéficient d'une notoriété suffisante. Leur avantage, comme pour les emprunts au lexique sportif (Barbet, 2007), est alors de parler au plus grand nombre. Si la communication politique emprunte largement ses méthodes à la publicité commerciale, elle s'inspire plus rarement de ses mots, sinon en recyclant quelques slogans de marques à succès. En revanche, les agences publicitaires s'inspirent massivement des discours politiques à des fins de promotion marchande. Depuis les années soixante-dix, la tendance du marketing au «rebond » sur l'actualité politique s'est amplifiée, démultipliée par l'usage de l'Internet. Les annonceurs rivalisent désormais en détournements de formules politiques, en simulacres de vote ou en parodies de campagne électorale parfois audacieuses, visant à faire « élire » des produits. Cette mise en dérision, par décalage, s'appuie sur la désacralisation politique tout en la confortant. Pourtant, elle ne porte pas atteinte au principe électif lui-même, qui s'étend ainsi à des domaines toujours plus variés. | Publicité, Discours politique, Slogan, Parodie |
Isolez les mots clés importants du texte suivant : Les emprunts discursifs entre politique et publicité. Des échanges inégaux : Publicité et politique Le monde politique, comme indiqué dans la présentation du dossier, emprunte très largement à la publicité commerciale ses méthodes et techniques, mais moins souvent ses mots. S'il arrive que des locuteurs politiques s'approprient des éléments de discours issus de l'univers de la publicité ou des marques, les cas restent assez limités. Peut-être les politiques rechignent-ils à puiser massivement dans le répertoire marchand par crainte de rendre trivial leur objet? Il est sans doute plus valorisant de nourrir un discours politique de références réputées plus nobles, par exemple historiques ou littéraires. En tout cas, les importations de ce genre exigent que les expressions publicitaires recyclées appartiennent à une culture assurément partagée parles publics visés et bénéficient d'une notoriété suffisante. Leur avantage, comme pour les emprunts au lexique sportif (Barbet, 2007), est alors de parler au plus grand nombre. Si la communication politique emprunte largement ses méthodes à la publicité commerciale, elle s'inspire plus rarement de ses mots, sinon en recyclant quelques slogans de marques à succès. En revanche, les agences publicitaires s'inspirent massivement des discours politiques à des fins de promotion marchande. Depuis les années soixante-dix, la tendance du marketing au «rebond » sur l'actualité politique s'est amplifiée, démultipliée par l'usage de l'Internet. Les annonceurs rivalisent désormais en détournements de formules politiques, en simulacres de vote ou en parodies de campagne électorale parfois audacieuses, visant à faire « élire » des produits. Cette mise en dérision, par décalage, s'appuie sur la désacralisation politique tout en la confortant. Pourtant, elle ne porte pas atteinte au principe électif lui-même, qui s'étend ainsi à des domaines toujours plus variés. | Publicité, Discours politique, Slogan, Parodie |
Dégager des mots clés dans le texte : Les emprunts discursifs entre politique et publicité. Des échanges inégaux : Publicité et politique Le monde politique, comme indiqué dans la présentation du dossier, emprunte très largement à la publicité commerciale ses méthodes et techniques, mais moins souvent ses mots. S'il arrive que des locuteurs politiques s'approprient des éléments de discours issus de l'univers de la publicité ou des marques, les cas restent assez limités. Peut-être les politiques rechignent-ils à puiser massivement dans le répertoire marchand par crainte de rendre trivial leur objet? Il est sans doute plus valorisant de nourrir un discours politique de références réputées plus nobles, par exemple historiques ou littéraires. En tout cas, les importations de ce genre exigent que les expressions publicitaires recyclées appartiennent à une culture assurément partagée parles publics visés et bénéficient d'une notoriété suffisante. Leur avantage, comme pour les emprunts au lexique sportif (Barbet, 2007), est alors de parler au plus grand nombre. Si la communication politique emprunte largement ses méthodes à la publicité commerciale, elle s'inspire plus rarement de ses mots, sinon en recyclant quelques slogans de marques à succès. En revanche, les agences publicitaires s'inspirent massivement des discours politiques à des fins de promotion marchande. Depuis les années soixante-dix, la tendance du marketing au «rebond » sur l'actualité politique s'est amplifiée, démultipliée par l'usage de l'Internet. Les annonceurs rivalisent désormais en détournements de formules politiques, en simulacres de vote ou en parodies de campagne électorale parfois audacieuses, visant à faire « élire » des produits. Cette mise en dérision, par décalage, s'appuie sur la désacralisation politique tout en la confortant. Pourtant, elle ne porte pas atteinte au principe électif lui-même, qui s'étend ainsi à des domaines toujours plus variés. | Publicité, Discours politique, Slogan, Parodie |
Dégage des mots clés dans le texte : Les emprunts discursifs entre politique et publicité. Des échanges inégaux : Publicité et politique Le monde politique, comme indiqué dans la présentation du dossier, emprunte très largement à la publicité commerciale ses méthodes et techniques, mais moins souvent ses mots. S'il arrive que des locuteurs politiques s'approprient des éléments de discours issus de l'univers de la publicité ou des marques, les cas restent assez limités. Peut-être les politiques rechignent-ils à puiser massivement dans le répertoire marchand par crainte de rendre trivial leur objet? Il est sans doute plus valorisant de nourrir un discours politique de références réputées plus nobles, par exemple historiques ou littéraires. En tout cas, les importations de ce genre exigent que les expressions publicitaires recyclées appartiennent à une culture assurément partagée parles publics visés et bénéficient d'une notoriété suffisante. Leur avantage, comme pour les emprunts au lexique sportif (Barbet, 2007), est alors de parler au plus grand nombre. Si la communication politique emprunte largement ses méthodes à la publicité commerciale, elle s'inspire plus rarement de ses mots, sinon en recyclant quelques slogans de marques à succès. En revanche, les agences publicitaires s'inspirent massivement des discours politiques à des fins de promotion marchande. Depuis les années soixante-dix, la tendance du marketing au «rebond » sur l'actualité politique s'est amplifiée, démultipliée par l'usage de l'Internet. Les annonceurs rivalisent désormais en détournements de formules politiques, en simulacres de vote ou en parodies de campagne électorale parfois audacieuses, visant à faire « élire » des produits. Cette mise en dérision, par décalage, s'appuie sur la désacralisation politique tout en la confortant. Pourtant, elle ne porte pas atteinte au principe électif lui-même, qui s'étend ainsi à des domaines toujours plus variés. | Publicité, Discours politique, Slogan, Parodie |
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Génère des mots clés issus du texte suivant : Les emprunts discursifs entre politique et publicité. Des échanges inégaux : Publicité et politique Le monde politique, comme indiqué dans la présentation du dossier, emprunte très largement à la publicité commerciale ses méthodes et techniques, mais moins souvent ses mots. S'il arrive que des locuteurs politiques s'approprient des éléments de discours issus de l'univers de la publicité ou des marques, les cas restent assez limités. Peut-être les politiques rechignent-ils à puiser massivement dans le répertoire marchand par crainte de rendre trivial leur objet? Il est sans doute plus valorisant de nourrir un discours politique de références réputées plus nobles, par exemple historiques ou littéraires. En tout cas, les importations de ce genre exigent que les expressions publicitaires recyclées appartiennent à une culture assurément partagée parles publics visés et bénéficient d'une notoriété suffisante. Leur avantage, comme pour les emprunts au lexique sportif (Barbet, 2007), est alors de parler au plus grand nombre. Si la communication politique emprunte largement ses méthodes à la publicité commerciale, elle s'inspire plus rarement de ses mots, sinon en recyclant quelques slogans de marques à succès. En revanche, les agences publicitaires s'inspirent massivement des discours politiques à des fins de promotion marchande. Depuis les années soixante-dix, la tendance du marketing au «rebond » sur l'actualité politique s'est amplifiée, démultipliée par l'usage de l'Internet. Les annonceurs rivalisent désormais en détournements de formules politiques, en simulacres de vote ou en parodies de campagne électorale parfois audacieuses, visant à faire « élire » des produits. Cette mise en dérision, par décalage, s'appuie sur la désacralisation politique tout en la confortant. Pourtant, elle ne porte pas atteinte au principe électif lui-même, qui s'étend ainsi à des domaines toujours plus variés. | Publicité, Discours politique, Slogan, Parodie |
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Repérer les mots clés importants présents dans le texte suivant : Les emprunts discursifs entre politique et publicité. Des échanges inégaux : Publicité et politique Le monde politique, comme indiqué dans la présentation du dossier, emprunte très largement à la publicité commerciale ses méthodes et techniques, mais moins souvent ses mots. S'il arrive que des locuteurs politiques s'approprient des éléments de discours issus de l'univers de la publicité ou des marques, les cas restent assez limités. Peut-être les politiques rechignent-ils à puiser massivement dans le répertoire marchand par crainte de rendre trivial leur objet? Il est sans doute plus valorisant de nourrir un discours politique de références réputées plus nobles, par exemple historiques ou littéraires. En tout cas, les importations de ce genre exigent que les expressions publicitaires recyclées appartiennent à une culture assurément partagée parles publics visés et bénéficient d'une notoriété suffisante. Leur avantage, comme pour les emprunts au lexique sportif (Barbet, 2007), est alors de parler au plus grand nombre. Si la communication politique emprunte largement ses méthodes à la publicité commerciale, elle s'inspire plus rarement de ses mots, sinon en recyclant quelques slogans de marques à succès. En revanche, les agences publicitaires s'inspirent massivement des discours politiques à des fins de promotion marchande. Depuis les années soixante-dix, la tendance du marketing au «rebond » sur l'actualité politique s'est amplifiée, démultipliée par l'usage de l'Internet. Les annonceurs rivalisent désormais en détournements de formules politiques, en simulacres de vote ou en parodies de campagne électorale parfois audacieuses, visant à faire « élire » des produits. Cette mise en dérision, par décalage, s'appuie sur la désacralisation politique tout en la confortant. Pourtant, elle ne porte pas atteinte au principe électif lui-même, qui s'étend ainsi à des domaines toujours plus variés. | Publicité, Discours politique, Slogan, Parodie |
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Sionisme. Oppositions militantes autour d'un terme à géométrie variable Le conflit israélo-palestinien rejaillit, peut-être plus que nulle autre guerre, dans le domaine du langage. Le terme sionisme est de ceux qui suscitent des tensions entre militants pro-israéliens et pro-palestiniens. Les premiers ont une vision très positive du sionisme tandis que les seconds le considèrent comme une forme de colonialisme et accusent les militants pro-israéliens de chercher à assimiler l'antisionisme à de l'antisémitisme. | Sionisme, Antisémitisme |
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