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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_113 | pour que la réinstallation et la relocalisation fonctionnent dans la pratique et nous commençons à avoir des résultats encourageants. Toutefois, nos efforts doivent s'accélérer de façon considérable. Comme je vous l'ai dit, j'ai écrit aux ministres et j'envisage également d'entamer une communication directe avec les ministres afin de les encourager à faire parvenir un signal d'engagement. J'aimerais constater le véritable progrès en vue du prochain Conseil. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_114 | et en vue plus particulièrement du Conseil européen du mois d'octobre. En conclusion, je vous remercie d'avoir partagé avec tous ici votre frustration vis-à-vis du manque de résultats. Dans cette Assemblée, nous sommes tous d'accord. Ce qui est important, c'est de vous tourner vers vos gouvernements et les exhorter à prendre des engagements. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_115 | Ce qui est tout aussi important, c'est de s'adresser directement aux citoyens européens pour leur rappeler nos valeurs, notre passé. S'agissant de la nécessité de tendre la main à ceux qui sont dans le besoin aujourd'hui, chers parlementaires, ne vous limitez pas à cette Assemblée. Vous savez mieux que quiconque que notre politique européenne en matière de migration n'a jamais été une tâche. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_116 | aisé. La moitié de la victoire dépendra d'une bonne communication. Comme toujours, j'ai besoin, je compte sur votre soutien. Et puisqu'on m'a posé certaines questions, mes compatriotes m'ont posé certaines questions, je vais donc passer au grec. Tout d'abord, je voudrais vous remercier de votre question. Tout d'abord, les chiffres, les réfugiés qui ont été | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_117 | réinstallés de Grèce et d'Italie représentent aujourd'hui 4 740 personnes. Les réfugiés qui ont été réinstallés directement en Grèce tournent autour de 10 600. Est-ce que je suis satisfait, me demandez-vous. Bien sûr que je ne suis pas satisfait, c'est évident. Les chiffres ne me satisfont pas. Cependant, il y a un progrès qui a été enregistré. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_118 | et on constate également une accélération des procédures. Pour ce qui est du soutien financier dont a parlé M. Christogonos, la Grèce a reçu et continue à recevoir de l'aide de l'Union, tant sous forme d'aide de financement urgente ainsi que par le biais des programmes nationaux qui, de toute façon, doivent être absorbés. Comme on l'a dit tout à l'heure, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_119 | et l'amélioration de la situation sont le principal sujet de discussion avec nos interlocuteurs. À chaque contact bilatéral, à chaque Conseil des affaires étrangères, on évoque ces questions. Et d'ailleurs, j'ai envoyé une lettre à cet égard au mois d'août. C'est la priorité de la Commission et ma propre priorité également. Comme l'a dit le président Juncker ce matin, la solidarité, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_12 | En tant que gardienne des traités, la Commission est ici pour placer les États membres face à leurs responsabilités. Et croyez-moi, c'est ce que j'ai fait ces derniers mois. Merci. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_120 | est obligatoire. Les traités nous l'imposent. Donc la réinstallation doit absolument réussir pour soulager les pays qui sont en première ligne et qui subissent d'énormes pressions telles que la Grèce et l'Italie parce qu'effectivement ils ont un poids disproportionné à supporter. Mais également tous les autres pays européens peuvent à un moment ou un autre se retrouver dans la même situation. Merci. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_121 | parce que c'est dans ces moments importants pour l'avenir politique de l'Union européenne que nous devons agir. C'est tout cela que nous devons prendre en considération. C'est pour ça que nous devons nous montrer responsables, que nous devons nous montrer solidaires et c'est pour ça qu'il faut respecter et mettre en oeuvre les décisions prises au niveau européen. Pour terminer, je voudrais dire que la réinstallation reste une priorité de la Commission et également ma propre priorité. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_122 | Merci. Merci, commissaire Ramopoulos. Merci, monsieur Ramopoulos. Madame Keller. Merci. Et à nouveau, je remercie les rapporteurs fictifs qui ont été tellement utiles au cours des travaux et à court de cette procédure d'urgence, comme nous l'a dit la Commission. Je voudrais remercier la Commission des chiffres très utiles qui nous ont été donnés | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_123 | Je voudrais vous remercier, M. le Commissaire, de vos efforts personnels. Je crois que ça a été extrêmement utile, mais je ne suis toujours pas d'accord avec votre dernière proposition. En particulier, si vous dites maintenant qu'il y a eu certains problèmes bureaucratiques au début et maintenant les choses commencent à fonctionner mieux, alors pourquoi changer de voie ? Ces 54 000 places sont nécessaires en Grèce et en Italie. Les gens arrivent au quotidien et les chiffres ne sont pas bas. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_124 | Pas du tout. Et la réinstallation, vous avez dit que c'est très important. Et nous sommes d'accord que c'est extrêmement important. Il faut le faire. Mais il ne faut pas faire une chose au détriment de l'autre. On ne peut pas calculer des chiffres en disant on prend un petit peu là et puis on le met ailleurs. Non. Je crois que il faut étendre le programme, s'assurer que les États membres réinstallent les gens. Mais il ne faut pas faire cela. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_125 | au détriment du programme de relocalisation qui est déjà très, très limité lui-même. L'Union européenne peut faire plus, mais doit faire plus également. Et le vote demain va être un vote pour soutenir le programme de relocalisation. Donc, nous vous soutenons tout à fait. Nous soutenons tout à fait la relocalisation. Nous devons mettre tout cela au point. Il ne faut pas faire diminuer les chiffres de relocalisation qui sont déjà tellement limités. Merci. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_13 | avec plus de 50 000 personnes en Grèce et plus de 125 000 arrivées déjà en Italie. C'est non seulement la chose censée à faire, c'est la chose européenne à faire, véritablement européenne à faire, car ce qui se passe aujourd'hui en Grèce et en Italie pourra arriver dans d'autres pays un beau jour. En fin de compte, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_14 | L'impact de la crise migratoire se fait sentir non seulement auprès des États qui sont en ligne de front, mais également dans le reste de l'Union européenne. Ce qui est en train d'arriver en Italie a un impact direct sur vos pays respectifs, sur les pays d'Europe du Nord. Et un défi européen nécessite une solution européenne. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_15 | Même au sein de cette Assemblée, nous sommes en désaccord. C'est toujours un plaisir de venir ici débattre avec vous. Chaque fois, j'apprends des choses et je revois mon jugement. Je vous en remercie. Ce qui compte, c'est que nous nous mettions d'accord sur l'objectif politique et sur l'importance de la réussite de ce plan de réinstallation. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_16 | C'est également la preuve la plus tangible de la solidarité européenne vis-à-vis des personnes qui ont besoin de protection et de solidarité vis-à-vis des autres États membres également. Un meilleur partage des responsabilités parmi les États membres n'est pas un facteur d'attraction. C'est un instrument indispensable dont nous disposons, nous permettant de mieux gérer la crise des réfugiés ainsi que le défi de la migration en général. Voilà l'essence | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_17 | de notre politique exhaustive en matière de migration, comme l'a souligné le Président ce matin. Mais nous devons faire preuve de réalisme. La Grèce et l'Italie font d'importants efforts. Réellement, ces deux pays ne peuvent pas assumer la responsabilité à eux seuls, la responsabilité d'accueillir et de protéger tous les demandeurs d'asile présents sur leur territoire. Par conséquent, tous les États membres doivent | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_18 | assumer leur part de responsabilité. N'oublions pas ce qu'ont vécu ces personnes. Ces personnes ont mis leur vie en danger pour se mettre en sécurité. Il est grand temps de les accueillir dans des pays où cette protection leur sera accordée comme il faut, comme il se doit, conformément à nos obligations tant morales que légales. Mais surtout, à long terme, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_19 | Il faudra éviter que ces personnes se lancent dans des voyages aussi dangereux en les faisant arriver en Europe de façon sûre et légale. Voilà ce dont il s'agit lorsqu'on parle de réinstallation et cette tâche commence dès maintenant. Permettez-moi maintenant d'en venir à cette proposition spécifique. La raison d'être de la proposition de la Commission était d'offrir la possibilité aux États membres, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_2 | C'est une bonne chose, mais évidemment, cette décision a également toute une série de carences, beaucoup de problèmes. Il y a trop peu de places disponibles. Il y a également un seuil arbitraire de 75% dans le taux d'application. Ceci n'est pas conforme à la réalité. Il y a également beaucoup de bureaucratie. Il y a également beaucoup d'autres écueils que l'on pourrait citer. Mais je continue de penser que cela représente un programme tout à fait novateur. Mais il y a quelque chose, quelque chose qui est absolument menaçant et qui est une menace | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_20 | d'utiliser les 54 000 sites non encore occupés pour la réinstallation ainsi que d'autres formes d'admission légale de Syriens de Turquie vers l'Union européenne. Voilà l'essence de notre proposition. Nous ne pourrons pas appuyer les amendements qui modifieront la raison d'être essentielle ou qui modifieraient considérablement les principaux éléments de la procédure de réinstallation | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_21 | décision du Conseil 2015-1601. Certains des amendements proposés à la décision originale du Conseil pourraient, en principe, être acceptables à nos yeux. Toutefois, nous pensons que le moment est venu de rassembler nos efforts pour que les engagements de réinstallation soient dûment respectés. 4 741 migrants | french | fr | false | false | false | female | {
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| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_22 | ont été réinstallés à ce jour d'Italie et de Grèce. Nous reconnaissons tous que c'est insuffisant, mais les chiffres sont en hausse constante. Par conséquent, il faut continuer sur cette voie. La Commission et les agences de l'Union européenne collaborent étroitement avec les États membres afin de définir et mettre en œuvre des procédures efficaces permettant aux États membres | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_23 | des cas de réinstallation, une réunion sur la réinstallation a eu lieu en Grèce et demain, nous chercherons de nouvelles solutions en Italie également. Notre but est, dans la mesure du possible, de donner suite aux raisons d'être de certains de vos amendements. Par exemple, les procédures plus brèves des mises à jour régulières sur les nationalités admissibles | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_24 | Nous en arrivons à la dernière année de la mise en œuvre des plans de réinstallation. De nouvelles actions seront nécessaires pour accélérer leur mise en œuvre. À ce stade, je tiens à réitérer la nécessité pour les États membres de répondre à l'appel des experts de l'EASO. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_25 | tous les États membres afin de les exhorter à augmenter le nombre de migrants réinstallés. Croyez-moi, je saisis toutes les occasions qui se présentent à moi lors de réunions bilatérales et j'ai dit aux États membres que le moment était venu de faire preuve de solidarité. Idem pour la réinstallation. Les États membres, | french | fr | false | false | false | female | {
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| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_26 | À ce jour, 1 583 Syriens ont été réinstallés de Turquie selon le mécanisme 1 contre 1 depuis le 4 avril. Il faudra rapidement augmenter ce chiffre. Notre proposition à ce jour introduira un peu de souplesse pour s'assurer que tous les États membres qui investissent dans la réinstallation recevront le soutien technique et financier nécessaire. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_27 | Voilà les véritables besoins humanitaires. Tous les États membres devraient arrêter de simplement en parler. Il faut commencer à agir et obtenir davantage de résultats. Merci de votre attention. Merci, M. le Commissaire. Nous allons maintenant avoir l'avis des groupes politiques pour le PPE. Notre collègue Paulièze, deux minutes. Merci, M. le Président. Ce dossier que j'ai eu le plaisir et l'honneur, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_28 | pour lequel j'ai eu l'honneur de représenter mon groupe en tant que rapporteur fictif, est en fait un passage de l'accord avec la Turquie signé en mars. Alors, cet accord est maintenu sur le sujet de favoriser la réinstallation en Europe de Syriens qui se trouvent en Turquie. Le texte qui a été voté en commission est équilibré grâce à la sensibilité du rapporteur Keller et des autres rapporteurs fictifs. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_29 | la possibilité pour les États membres d'enlever le nombre de Syriens de la Turquie du nombre de réfugiés que l'État membre s'était engagé à accueillir dans le cadre du regroupement pour l'Italie et la Grèce. On souhaite que ces relocalisations puissent concerner, comme le rappelait le rapporteur Keller, pas simplement les Syriens, mais également des Érythréens, des Afghans également, afin de rendre plus efficace le mécanisme de relocalisation | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_3 | ce qui pèse sur ce système de relocalisation, mais également le succès qui pourrait être le sien. C'est la mauvaise volonté, la réticence des États membres de donner corps à ce texte à l'heure actuelle. Et ce sont des chiffres de cette semaine de la Commission. Nous avons eu 377 réfugiés pour relocaliser à partir de la Grèce et à peine la même chose en Italie. Et je vous rappelle quand même que dans l'absolu, c'est 600 places | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_30 | Voilà pourquoi je pense que ce texte doit être adopté. Et permettez-moi de faire encore une réflexion. L'accord UE-Turquie a représenté un choix obligé qui donne d'excellents résultats sur la question du maintien de l'itinéraire de la route des Balkans. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_31 | Cette même détermination d'efficacité sera démontrée également en ce qui concerne l'itinéraire méditerranéen, où là, en fait, on a constaté une augmentation des flux à l'entrée. En ce qui concerne la relocalisation, et le commissaire a parlé de ce sujet, les données que nous avons aujourd'hui ne sont pas enthousiasmantes. On parle de 4 000 migrants, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_32 | relocalisé par rapport à 66 000 qui, sur la base du projet initial de 6 000 migrants par mois, devaient être relocalisés au cours de ces mois. Voilà pourquoi j'espère que sur ce sujet, on pourra vraiment renverser la vapeur et que l'Europe pourra montrer quel est le niveau du défi qui s'offre à elle. Merci. Pour les socialistes démocrates, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_33 | Merci, M. le Président. M. le Commissaire, avant de commencer, je voudrais remercier Mme Keller pour l'excellente collaboration. La discussion d'aujourd'hui nous montre de faire l'inventaire de la politique européenne en matière de réfugiés. En mai 2005, nous nous sommes engagés pour relocaliser les réfugiés qui venaient de régions en guerre en Grèce. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_34 | 60 000 réfugiés des pays de première ligne, la Grèce et l'Italie, mais seuls 5 000 ont été relocalisés. Tout est en faute de la mise en œuvre et de l'exécution. Mais que se passe-t-il ? La Commission et la Commission, qu'est-ce qu'ils font ? Pourquoi la Commission et le Conseil prennent-ils des décisions ? Pourquoi les États membres ne les mettent pas en œuvre ? Aujourd'hui, on a vu qu'il n'y a pas de solidarité. La solidarité doit venir du cœur. C'est assez intéressant. Si on parlait du pacte de stabilité, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_35 | ou des subventions nationales, est-ce que le point de vue serait tout aussi souple ? Cependant, je pense que cela a montré que la solidarité des fonds structurels a été vue pour les différents États membres. Il faudrait voir quel est le bilan. Pas de solidarité, pas d'investissement. On dit que la Grèce ne collabore pas, mais maintenant, ce n'est plus le problème. Les données sont traitées et 7500 personnes attendent | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_36 | avec leurs valises et les papiers en main d'être réinstallés. Mais la porte européenne ne s'ouvre pas. Et aujourd'hui, la Commission nous demande également à ce que les gens qui viennent des différents pays en guerre et qui doivent être relocalisés puissent avoir un visa humanitaire et un visa de travail pour qu'ils puissent alléger les pays de première ligne tels que l'Italie et la Grèce. Il ne faudrait pas que ces gens soient obligés d'hiberner en Grèce et en Italie. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_37 | On veut abandonner les politiques nationales dans notre intérêt conjoint. Mais je pense que nous devons agir parce que nous avons 7000 personnes qui, malheureusement, restent là sans réponse. Et pour eux, il faudra absolument faire quelque chose. Merci. M. Ouilladovski, 1 minute 30 pour le groupe ECR. Je vous en prie. M. le Président, Mesdames et Messieurs, je suis bien sûr pour la solidarité européenne. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_38 | La solidarité doit s'appuyer sur les mouvements d'en bas et pas d'en haut. Donc ici, l'initiative doit être prise par les États membres. Et maintenant, en ce qui concerne tout ce programme de relocalisation, ce programme souffre de nombreuses erreurs administratives, de cette tendance de centralisation. Ce programme ne perçoit pas la défense entre les migrants et les réfugiés. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_39 | ne comprend pas que les migrants veulent seulement se rendre dans certains pays européens et pas dans d'autres. Les auteurs de ce programme ne comprennent pas que toute la situation est vraiment complexe. C'est pour cette raison que je ne peux pas soutenir le rapport de Mme Keller. Je vous invite à trouver d'autres formes de solidarité européenne, une vraie solidarité qui nous permettra de résoudre ce problème. Si l'on veut s'en tenir toujours | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_4 | celui-ci n'est pas grand-chose. Mais les personnes qui ont fait l'objet de décisions au cours des années écoulées, ce n'est tout simplement pas suffisant. Et c'est vraiment le problème ici, le problème sur lequel nous butons. Les États membres ne promettent pas ces places, ne remplissent pas non plus leurs promesses. Et c'est un problème notamment pour les mineurs de l'accompagné qui ne trouvent de toute façon jamais de place à peu près nulle part. Et c'est ce qui menace véritablement ce programme. Certains États membres n'ont même pas encore placé un seul réfugié. Que pour nous faire plus pour susciter la solidarité | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_40 | Cette relocalisation arbitraire, cela ne donnera rien. La solidarité peut prendre différentes formes. Moi, je veux une solidarité qui est lointaine de tout ce qui est arbitraire. Merci. Merci. Madame Milina, deux minutes pour la LDE. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_41 | Je crois que nous avons obtenu un bon résultat. Comme nous le savons tous, le titre de notre débat n'est pas vraiment exact car en fait nous parlons de la première partie de l'accord sur les réfugiés entre l'Union européenne et la Turquie. La Commission veut faire en sorte que le système de quotas un pour un soit mis en œuvre et c'est précisément le problème. La relocalisation des réfugiés, selon moi, ne doit pas se faire au détriment des quotas déjà | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_42 | à adopter. Il nous faut les deux systèmes. Les États membres qui ont voté en faveur de l'initiative de réinstallation doivent enfin assumer les responsabilités qui découlaient de cet accord comme l'exige très justement le commissaire. C'est nécessaire non seulement pour la protection des réfugiés mais pour protéger les États frontières. Comme l'a dit Jean-Claude Juncker ce matin et comme vient de le dire le commissaire Abrahamopoulos, j'aimerais une fois de plus lancer un appel à la solidarité en tant que principe fondamental d'une | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_43 | Une coexistence qui fonctionne à ce jour. Le nombre de personnes qui sont arrivées de Grèce et d'Italie à ce jour, ce chiffre est bien trop faible. La souffrance humaine inutile ou qui est prolongée inutilement sert d'épouvantail selon certains. Mais ce n'est pas ainsi que nous pouvons agir sur le dos des droits fondamentaux et des droits de l'homme. Nous ne pouvons pas donner ce genre d'image. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_44 | Si c'est ça la solution de la mise en œuvre commune des solutions pour l'Union européenne, il nous faut tous ensemble en faire davantage en faveur de la politique d'asile et de réfugiés. Enfin, une dernière question à la représentante des partis PPE. Comment pouvez-vous concilier le respect de la famille et le traitement qui est réservé aux réfugiés aujourd'hui ? Merci, Angelica. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_45 | Je suis d'accord sur le rapport de Skakeler sur la proposition de la Commission, mais je voudrais attirer l'attention sur la base juridique de cette proposition. Ce n'est pas la première fois que la Commission a tendance à exclure le Parlement en disant qu'il est urgent d'agir étant donné un afflux imprévu de réfugiés. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_46 | Depuis longtemps, les flux ne sont plus soudains, donc il n'y a pas de raison pour laquelle le Parlement ne devrait pas être impliqué à plein titre, à titre de co-législateur. Je vous invite donc à envisager mon amendement qui indique comme base juridique de la proposition, article 78.3 du traité de fonctionnement de l'Union européenne, soit remplacé par l'article 78.2. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_47 | qui implique le Parlement européen à titre plein et entier. Cela me paraît être une bonne méthode pour porter un terme à cette idée de peu démocratique à propos des réfugiés. Merci. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_48 | réfugiés sur les 160 000 prévus. Nous avons constaté l'échec de l'Union européenne pour gérer les flux migratoires. Le non-respect des engagements pris par les États membres pour la redistribution des demandeurs d'asile en provenance de la Grèce et de l'Italie montre l'absence de volonté politique pour respecter les principes de solidarité et de répartition des responsabilités prévues par l'article 80 du TFUE. Dans ces deux pays de première ligne d'entrée de l'Union européenne, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_49 | de systèmes d'accueil continuent à avoir des problèmes énormes. Alors maintenant, on voudrait sacrifier une partie de la relocalisation en faveur de la réinstallation prévue dans l'accord UE-Turquie en portant atteinte à nouveau à la solidarité entre les États membres. Alors cet accord discutable qui est le fruit de la tentative d'arrêter le flux de migrants vers l'Europe ne doit pas permettre que la relocalisation et la réinstallation se fassent l'une au détriment de l'autre. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_5 | européenne ? Où est l'esprit de la solidarité de Lisbonne ? Et où est cet esprit-là si les États membres ne sont pas en mesure de relocaliser ces différentes personnes qui pourtant ne présentent pas un chiffre très important comparé à tout ce qui doit être assumé par le Liban ? Et nous autres, au sein de l'Union européenne, nous ne sommes pas en mesure de faire au moins notre petite part du travail ? Je crois vraiment qu'il doit y avoir un changement là. Il y a également une autre réticence dans ce cadre de la relocalisation qui a des conséquences très concrètes pour les réfugiés. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_50 | Merci. Notre collègue Epitidiois, non inscrit, 1 minute 30. Merci, M. le Président. La proposition de mesures provisoires de protection internationale de l'Italie et de la Grèce est encore un grand projet de l'Union européenne qui, en fait, ne sera jamais mis en œuvre. Parce que comment pourrait-il l'être lorsque tous les États membres de l'Union européenne, pris de panique, ferment leurs frontières et refusent d'accueillir les réfugiés qui leur ont été attribués ? | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_51 | avec cette célèbre phrase vide de sens, un Syrien de Grèce en Turquie, un Syrien de Turquie en Europe. Les Syriens vont goutte à goutte de Grèce en Turquie. Cependant, la Turquie jette en Grèce des pellets d'immigrés clandestins. Après sa défaite électorale, Mme Merkel menace d'envoyer en Grèce 400 000... | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_52 | que la Grèce avait accepté en sortant du placard la révision du traité de Dublin II, c'est-à-dire la Grèce va devenir un camp de rassemblement d'hommes, de femmes désespérées et malheureux. Une fois de plus, notre pays sera la victime expiatoire et le bouc émissaire sur lequel on va décharger tous les échecs de la politique étrangère de l'Union européenne. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_53 | Mopoulos envisager la création de gardes-côtes et gardes-frontières européens pour qu'ils fassent justement ce qu'essayaient de faire Frontex, c'est-à-dire devenir le gendarme de ceux qui essayent de passer de manière clandestine en Grèce et en Italie ? | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_54 | Peut-être que c'est à ce genre de garde que pensait Juvenal lorsqu'il se demandait qui va nous garder de ces gardes, qui va nous préserver de ces gardes. Merci. Merci. Nous devons respecter les délais qui sont impartis parce que la soirée est très longue. Il y a de nombreux débats et le temps nous est compté. Madame Vosenberg, une minute trente. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_55 | Merci beaucoup, M. le Président. Je pense qu'il faut féliciter notre rapporteur, Mme Keller, et ses collaborateurs pour cette initiative très importante qui nous est présentée aujourd'hui. La proposition dont nous discutons aujourd'hui, nous savons très bien, mesdames et messieurs, chers collègues, que c'est quelque chose qui ne fonctionne pas suffisamment parce que les places promises ne sont pas respectées. Seule une partie réduite des relocalisations ont été effectuées. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_56 | Il y a une cinquantaine de milliers qui ont quitté la Grèce alors qu'on avait décidé qu'il fallait qu'il y en ait une cinquantaine de milliers qui devaient quitter la Grèce et l'Italie. Chez nous, en Grèce, il y a 60 000 personnes, 13 000 sur les îles qui sont déjà dans une situation difficile. Il y a à peu près 2 500 mineurs non accompagnés. On parle également de 5 000 personnes non identifiées. La situation se dégrade et les conditions d'asile | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_57 | et de réinstallation doivent absolument être effectués. Il faut répartir correctement les responsabilités. Il faut absolument que la solidarité joue. Mais on ne fait pas cela. On a traîné en justice, on a tenté une procédure en infraction à la Grèce et à l'Italie parce qu'ils ne respectent pas un certain nombre de choses en matière d'asile. Pourtant, on ne fait rien contre les États membres qui ne mettent pas en oeuvre la décision | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_58 | Je pense que la clé pour résoudre ce problème est une clé de solidarité qui passe par la bonne volonté des États membres, c'est-à-dire simplement mettre en œuvre les décisions européennes. Je vous remercie. Merci. M. Weidenholzer, deux minutes. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_59 | En Europe, on parlait de hotspots et un grand nombre d'États membres étaient prêts à assumer leurs responsabilités. Une année s'est écoulée, de nouveaux réfugiés sont arrivés et nous ne nous sommes pas du tout rapprochés de notre objectif qui était de répartir 160 000 personnes dont il était question à l'époque. Des milliers de personnes sont encore coincées en Grèce, en Italie, certains sont sur la route des Balkans. Ils tombent entre les mains de passeurs criminels. | french | fr | false | false | false | female | {
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| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_6 | Les réfugiés qui s'accumulent en Grèce et qui sont bloqués là-bas, en Italie aussi. On parle ici d'enfants qui dorment dans des conditions épouvantables, insupportables, des enfants qui ne tombent pas à mesure d'être scolarisés, mais également des personnes qui n'ont pas de suivi correct médical, des personnes, des réfugiés qui sont complètement en suspens, qui ne savent pas et qui ne savent pas du tout ce que le lendemain leur réserve. Ce sont les véritables conséquences que nous entrevoyons, nous, et nous devons vraiment pouvoir trouver une réponse à ces gros problèmes. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_60 | qui essayent de les faire passer par les frontières européennes. Et bon nombre de ceux qui ne peuvent pas se permettre de payer les passeurs se trouvent en mauvaise posture. Plusieurs reprises, je me suis rendue en Grèce et ces images ne me quittent plus. Les conditions sont catastrophiques. Les gens perdent espoir. La situation est explosive. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_61 | imaginer quelle sera la situation en hiver. Il faut mettre un terme à cette situation dans l'intérêt de ces personnes qui n'ont pas mérité cette situation et dans l'intérêt de la sécurité et de la stabilité, dans l'intérêt également de la Grèce. La solidarité de la population grecque est exemplaire, mais cette solidarité doit également être reconnue par les autres États membres. C'est pourquoi les autres États membres doivent cesser d'être pusillanimes et assumer leurs responsabilités. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_62 | des obstacles administratifs doivent être surmontés. Il y a certes des cultures administratives divergentes, mais cela montre une fois de plus à quel point il est urgent d'avoir un système européen d'asile. Et | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_63 | Et rien ne nous empêche de mettre en place des voies d'arrivée légales. Ça, c'est un des principaux défis qui se posent à nous. Merci. Monsieur Marius, une minute trente. Monsieur le Président, moi, je voudrais vous rappeler que le nombre total que le Conseil de l'Union européenne avait décidé de relocaliser au sein de l'Union européenne d'Italie et de Grèce est de 160 000 réfugiés. Sur base des données dont dispose la Commission, jusqu'au 12 septembre 2016, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_64 | Tout est pour tout. Il y avait 1 604 qui étaient venus de Grèce et 2 033 depuis la Grèce. Donc, un nombre extrêmement réduit de personnes. Je voudrais également vous rappeler que M. Mavramopoulos s'était dit qu'il fallait qu'il y ait 6 000 relocalisations par mois en provenance de la Grèce pour essayer de respecter les perspectives pour les relocalisations. | french | fr | false | false | false | female | {
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| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_65 | M. Avramopoulos également, dans des déclarations écrites et orales, a émis des réserves sur la possibilité de la Commission d'imposer des sanctions à la Grèce. En Grèce, il y a 60 000 réfugiés. Elle ne peut plus accueillir d'autres réfugiés et d'autres immigrés clandestins. Il faut absolument que la relocalisation ait lieu. Et il ne faut pas oublier qu'ensuite, il y a M. de Maizier, un Allemand, qui souhaite maintenant renvoyer en Grèce des réfugiés. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_66 | qui sont déjà arrivés en Allemagne. Vous vous rendez bien compte que cette situation ne peut absolument pas se poursuivre. C'est quelque chose qui ne peut pas être toléré, surtout dans un pays qui a autant souffert des mémorandums. M. Avramopoulos, il faut absolument prendre des mesures d'urgence. Il faut absolument que ces relocalisations aient lieu. Merci, M. Wigström. Une minute. Madame Wigström, pardon. Merci, l'Union européenne. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_67 | Le continent le plus riche, le plus prospère d'Europe a choisi au printemps dernier de céder aux pressions du gouvernement turc de plus en plus autoritaire avec un arrangement entre l'Union européenne et la Turquie. Ce n'est pas un accord, c'était une tentative de surmonter les défis de la migration dans l'Union européenne. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_68 | de façon flagrante que cet arrangement était une façon d'échapper à sa responsabilité. C'était un plan voué à l'échec. Après avoir entendu plusieurs ministres de différents pays dire que l'on pourrait conclure ce genre d'accord avec des pays comme la Libye ou le Nigeria, j'espère enfin que nous renoncerons à ce genre d'idée pour assumer nos responsabilités. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_69 | Il ne fait aucun doute qu'il nous faut mettre en place notre propre système dans nos propres pays pour pouvoir aider de façon digne ces personnes qui ont droit à une protection internationale. Nous devons travailler ensemble. Nous n'avons pas besoin d'autres accords avec la Turquie. Il nous faut une politique d'asile européenne qui repose sur la solidarité. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_7 | vote demain au sein du Parlement européen, nous autres, le Parlement européen, nous pouvons y mettre un signal fort, nous pouvons montrer que nous, nous tenons à cette décision de relocalisation, que nous engageons dans ce cadre-là. Nous ne souhaitons pas l'avoir diluée en, justement, acceptant de retirer, que des places soient retirées de ce système de relocalisation, parce qu'il y a encore d'autres réfugiés qui arrivent. Ils viennent sur une base quotidienne. Nous devons renforcer l'instrument plutôt que de l'affaiblir. Nous devons le rendre également beaucoup, beaucoup plus rapide. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_70 | Aujourd'hui, on discute d'une modification du régime de réinstallation des réfugiés et d'une répartition entre États membres de l'Union européenne. On perd cependant de vue que ce statut juridique n'est pas appliqué en pratique et que la Grèce et l'Italie sont obligées de faire face seules à un problème pan-européen. En Grèce, il y a 60 000 réfugiés qui sont bloqués et les dépenses d'installation | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_71 | Et les dépenses pour la suivi de ces personnes sont subies par l'État grec, qui en même temps est invité par l'Union européenne de répondre à l'énorme farneau d'une dette publique énorme. La décision du Conseil prévoit qu'il y ait 50 000 réinstallations de la Grèce vers les États membres de l'Union européenne. Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Il y en a eu 3 000 qui ont été effectuées vers les pays de destination, parce que les pays de destination avancent des prétextes divers et variés. Tous les États membres doivent absolument, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_72 | Merci. Mme Comi. Mme Comi. Merci, M. le Président. Cher M. le Commissaire, en tant qu'Italienne, je vous remercie de votre présence et de caractère proche que vous avez montré dans les moments difficiles sur notre territoire. Nous sommes proches pour toutes les difficultés, en fait, que nous connaissons dans les États membres. Il y a un égoïsme dans les États membres. La solidarité ne peut pas se faire à sens unique, simplement. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_73 | L'Italie a été frappée par un tremblement de terre récemment. Nous avons le devoir d'aider nos concitoyens italiens. Quand je me trouve face à quelqu'un qui a perdu sa maison, qui a tout perdu dans un tremblement de terre, est-ce qu'il faut la mettre dans une tente parce que les autres structures sont occupées par des clandestins ? Ce qui veut dire que l'Europe, à plus forte raison, doit se charger des réfugiés et des clandestins parce que nous ne pouvons plus nous en charger en Italie. Il faut penser aux Italiens. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_74 | Alors, il faut que les réfugiés qui s'échappent de la guerre soient accueillis en Europe. Mais ceux qui ont arrivé comme clandestins doivent retourner dans leur pays. Nous avons voté des fonds en faveur de la reconstruction de l'économie africaine. Très bien, mais si ces pays ne reprennent pas leurs propres citoyens, alors il faut mettre un terme aux accords commerciaux. Il en va de même pour les États membres. On arrête tout s'ils n'accueillent pas les réfugiés. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_75 | avec les fonds européens. Je conclue, M. le Commissaire, en parlant, en fait, de votre prochaine visite à Qom, à Vintimille. Qom est très connue parce que c'est une très belle ville, un très bel endroit. Mais c'est connu également parce qu'elle est frappée et envahie par des réfugiés clandestins parce qu'on a fermé les frontières. Alors, nous vous demandons une intervention. Merci. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_76 | Merci beaucoup, M. le Président. Chère Mme Komi, j'aimerais vous poser une question en tant que politicien hongrois. Beaucoup d'Italiens et de Grecs ont déjà pris la parole. Vous avez des problèmes. Nous comprenons que vous vous plaignez parce que l'Europe ne fait rien. Mais regardons un peu dans la pratique. Qu'est-ce qui se passe? Il y a un migrant qui arrive et qui vous dit qu'il aimerait bien | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_77 | Allez dans un autre pays, vous essayez de les aider, mais en fin de compte, il n'y a pas d'autres pays qui les accueillent. Où est le problème ? Pourquoi les autres pays n'accueillent pas ces personnes ? Merci. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_78 | la même solidarité à l'Europe et aux autres États membres. Autrement, en fait, ils ne doivent pas recevoir des fonds européens. Avant de poursuivre, permettez-moi de vous dire que la séance se terminera à minuit. | french | fr | false | false | false | female | {
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| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_79 | Il y a encore huit débats qui sont programmés dans ce délai. Nous n'allons tout simplement pas avoir le temps d'examiner tous ces rapports. Donc je vous prie de faire preuve de compréhension et je vous prie de m'excuser si nous limitons les cartons bleus et que nous respectons les temps de parole. Donc nous allons avoir un grave problème si nous ne respectons pas le temps de parole. Madame Heda. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_8 | Nous devons également inclure la catégorie des Afghans qui forment une partie importante des personnes qui arrivent, qui ont vraiment besoin d'être protégées. Je crois que nous pouvons, mais que nous devrions aussi faire en sorte que ce programme de relocalisation se transforme en réussite, une réussite pour l'Union européenne, mais plus encore pour chacun des réfugiés concernés. Pour toutes ces familles qui sont bloquées, tous ces enfants bloqués en Italie et en Grèce, | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_80 | La crise humanitaire qui a surgi suite à la guerre en Syrie perdure depuis plusieurs années. Une façon de régler cette situation intolérable que connaissent les réfugiés en Grèce et en Italie. Pour résoudre cette situation, la Commission a proposé de répartir ces demandeurs d'asile dans différents États membres. Il nous faut aider les milliers de personnes qui sont restées coincées en Grèce et en Italie. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_81 | Là, il ne se passe pas grand-chose. Jusqu'en juillet de cette année, seules 793 personnes et 2 033 personnes de Grèce ont été réinstallées. Cette inactivité est absolument honteuse dans la région la plus riche du monde qu'est l'Union européenne. En outre, la Commission et le Conseil ont décidé maintenant de diluer le système. Il a été proposé que les réfugiés qui arrivent dans les autres États membres | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_82 | être déduits des quotas qui leur ont été attribués. Mon groupe politique et moi-même, par conséquent, appuyons la proposition du rapport Keller. Les États membres doivent se réveiller et donner suite à leurs promesses. Ils doivent permettre aux réfugiés d'avoir un meilleur départ dans la vie dans les autres États membres de l'Union européenne. Nous devons faire preuve de solidarité et nous devons aussi nous dire que cela pourrait être nous-mêmes. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_83 | Merci. Notre collègue Ala Aho. Monsieur le Président, je pense qu'il est grand temps de se réveiller et de se rendre compte que la relocalisation n'est pas une solution et une panacée pour les problèmes spécifiques de la Grèce et de l'Italie et la crise des réfugiés. Des relocalisations importantes ne sont pas possibles à cause de la pression politique dans les États membres, surtout dans les États membres | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_84 | retrouver tous les migrants. Deuxièmement, les migrants arrivent en Grèce et en Italie parce que de là, ils peuvent continuer vers une destination qu'ils préfèrent. En d'autres termes, plus on en relocalise, plus il y en a qui seront encouragés à traverser la Méditerranée. En deux mots, je pense que l'on devrait aider autant de gens que possible dans les camps jusqu'à ce qu'ils puissent rentrer chez eux plutôt que de relocaliser une petite partie d'entre eux en Europe. Merci. | french | fr | false | false | false | female | {
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| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_85 | Et surtout, il ne faut pas déléguer le contrôle de nos frontières extérieures à un pays comme la Turquie. Merci. | french | fr | false | false | false | female | {
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| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_86 | Merci. | french | bg | false | false | true | female | {
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| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_87 | une solution qui s'appuierait sur un plein partage des responsabilités sans exception merci monsieur Coelho | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_88 | Merci, M. le Président. Je voudrais commencer par féliciter le commissaire de cette initiative et remercier notre collègue Ska Keller pour la qualité de la proposition qu'elle a présentée et qui est meilleure que le texte initial. Comme l'a souligné notre rapporteur, c'est une chose que la relocalisation, c'est autre chose la réinstallation. Nous avons besoin des deux instruments pour faire face aux problèmes. Nous avons deux graves problèmes. L'un est un problème d'échelle. L'échelle, en fait, est insuffisante. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_89 | Et deuxièmement, il y a un problème de rapidité. Pensons à ce qui se passe. Pensons à ce qui se passe dans le monde. Et en fait, il faut voir quels sont les deux problèmes. Nous ne résolvons pas, en fait, les choses de fond. Et nous ne répondons pas non plus de façon efficace à l'urgence humanitaire. On a dit une fois que, en fait, nous sommes trop lents, insuffisants dans l'aide que nous apportons. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_9 | leur conférer la protection dont ils ont besoin. Merci. Je vous remercie. Je donne la parole au commissaire Avramopoulos. Mesdames et messieurs les parlementaires, permettez-moi tout d'abord de dire directement à Mme Schakeller que je suis tout à fait d'accord avec elle. Le tableau est exactement celui que vous venez de décrire. | french | fr | false | false | false | female | {
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72016
| 20160914-0900-PLENARY-14_fr_90 | Et nous laissons les égoïsmes nationaux, en fait, l'emporter. Et ce n'est pas simplement mauvais du point de vue moral, mais également, ce n'est pas conforme aux droits internationaux. La Convention de Genève nous donne le droit d'accueillir les réfugiés qui fuient la guerre, la faim et la mort. Voilà pourquoi, lorsque M. Avramon-Kloss a souligné la nécessité d'être solidaire, c'est en fait cela le fond du débat. Il faut faire plus pression sur les États membres afin qu'ils respectent leurs obligations. | french | fr | false | false | false | female | {
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